de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
De quelques autres romans dont on parle aussi

De quelques autres romans dont on parle aussi

Faut-il vraiment considérer un roman comme un organisme vivant doté d’un cœur battant et ses deux ventricules, le réel et la fiction ? En tout cas, Isabelle Desesquelles illustre une fois de plus cette conception dans Là où je nous entraine (288 pages, 20,90 euros, Lattès) mais avec plus d’intensité encore que dans ses précédents livres. A croire qu’elle a tout jeté dans l’affaire, tout ce qu’elle avait de plus intime et de plus précieux comme on joue son va-tout. Et pour cause : nous voilà embarqués dans l’histoire de deux petites filles dont la mère, dépressive et romantique, traductrice du russe mais du genre obsessionnel, à consacrer sa vie à un livre (La Guerre et la paix) s’est donnée la mort. L’annonce, l’absence, le vide, chacun sait les stations de ce chemin de croix. La lecture puis la découverte de la littérature et enfin l’écriture sauveront la petite fille devenue jeune fille puis femme de l’attrait du néant. Il n’y pas que la sororité : la mort hante son récit- et comment en serait-il autrement après un tel traumatisme ?

C’est le livre plus délicat à écrire, le plus difficile, le plus ambitieux pour l’auteure. Elle a su trouver la note juste et s’y tenir, qui plus est tout au long d’un double registre d’écriture, ce qui en augmente la complexité (lire un extrait ici). Comme si Thomas Mann avait intégré le Journal du docteur Faustus au Docteur Faustus, ou Gide le Journal des faux-monnayeurs à son roman. Le risque (heureusement contourné) d’un tel dispositif est de se regarder écrire. Mais quelle force sous la douceur, quelle fluidité sous la densité, quelle émeute d’émotions. On imagine l’épreuve que cela a représenté pour elle de l’écrire et la délivrance que c’est de ne plus avoir à l’écrire. L’ombre de pages de Clarice Lispector et de Philippe Jaccottet traversent ce roman. La Gene Tierney à laquelle s’identifie la narratrice est celle de The Ghost and Mrs Muir (1947), l’un des grands films de Joseph Mankiewicz enveloppé de la B.O. hitchcockienne de Bernard Hermann. On imagine que son inconscient y a puisé le néologisme d’«enfantôme ».

Le genre de livre que l’on écrit pour débarrasser les siens des non-dits qui pourraient les freiner, du poids d’un secret de famille, ce fardeau que l’on se repasse d’une génération l’autre non comme un sparadrap haddockien mais comme un paquet de névroses. L’écrivain y est incarné comme une mèche allumée sur un baril de poudre, la famille. L’explosion a produit ce roman qui secoue, trouble et parfois bouleverse. Parvenue à maturité, la narratrice croit se libérer dans une sexualité débridée dont elle ne nous cèle guère de détails, notamment dans l’évocation crue de ses relations avec un producteur qui suinte la promotion canapé. Mais la folie, les crises, le sentiment abandonnique lui font toujours cortège. Elle demeure une orpheline déboussolée qui se demande comment aimer une mère qui a fait tant de mal à ses enfants.

Avec Le Prince de Babylone (17,50 euros, 192 pages Seuil), Marianne Vic nous emporte, elle, derrière les faux-semblants d’une réussite internationale sans équivalent, sous l’illusion d’un mode de vie fastueux, l’inexorable descente aux enfers d’Yves Saint-Laurent. Par le biais d’un portrait romancé très subtilement agencé par quelqu’un de la famille (sa nièce, manifestement), nous sommes entrainés à la source du mal-être de ce créateur de génie : une famille de bourgeois névrosés totalement dysfonctionnelle dans l’Algérie coloniale, où l’on tait ce dont on ne doit pas parler (viol, inceste, bâtardise, honte de l’homosexualité), avec la figure dominante d’une mère monstrueuse régnant sur le clan féminin qui l’a élevé.

Le roman fait moins de 200 pages mais c’est la bonne distance car il est dérangeant, toxique, violent, troublant, construit sur des allers-retours chronologiques entre le Saint-Laurent oranais et le YSL parisien et marrackchi, mondial et mondain, alcoolotabagique et drogué, voué à son autodestruction, évoluant entre les Noailles, Jacques de Bascher, Karl Lagerfeld, Pierre Bergé, Victoire de Castellane, Anne-Marie Munoz… Tout ce qui n’apparaissait pas dans les deux biopics que le cinéma lui a consacrés, en tout cas pas aussi crûment, intelligemment. Une vraie mise à nu. Le roman commence et finit à l’église Saint-Roch, pour ses obsèques et pour le dixième anniversaire de sa disparition.

Le portrait du héros, sans renoncer à l’admiration affectueuse, est cruel car il ne dissimule rien de sa misogynie, de sa misanthropie et du mépris absolu qu’il vouait à tous, ne réservant son amour qu’aux animaux. Il n’en est pas moins s attachant pour ses défauts même. Un exploit car ce livre fait parler de sa famille celui qui n’en parlait jamais. Seule Marianne Vic pouvait se le permettre, et pour cause… Passionnant car très vivant, écrit, émaillé de choses vues et vécues, informé de l’intérieur. Mais quelle tristesse au fond que cette existence vouée à la solitude. Le rosebud de ce maniacodépressif qui s’étourdissait dans la relecture à l’infini de la Recherche du temps perdu ? El Nino azul de Goya, qui trônait dans son salon entre autres chefs d’œuvre, en face duquel il passait des nuits seul sans dire un mot, tableau qui se trouve désormais au Louvre…

Après la révélation du Bal des folles, Victoria Mas tient déjà ses promesses avec Un miracle (19,90 euros, Albin Michel), deuxième roman sur un adolescent perturbé qui jaillit dans une île du nord-Finistère en s’épanchant sur ses visions, son contact privilégié avec le monde invisible. S’il a eu une apparition, ce ne peut être que la Vierge. Ca finira mal pour lui. Mais on est emporté, on y va jusqu’au bout car Mas fait preuve d’une impressionnante maitrise de son sujet, de ses personnages, de son écriture (lire ici un extrait). On n’a peut-être pas aperçu Marie mère de Dieu, mais un écrivain à coup sûr.

Rien à faire : à la parution de chaque tome des mémoires de Yann Moix (celui-ci est le quatrième), je me laisse prendre par ce type pourri de talents mais si autodestructeur qu’il semble être le premier obstacle à leur éclosion. Cette fois, Paris (256 pages, 20,50 euros, Grasset). De volume en volume, je demeure convaincu que s’il avait tout rassemblé en un très gros livre, celui-ci aurait fait événement car le projet littéraire serait apparu incontestable – et Dieu sait que ce fou de littérature avait une vision et possède un indéniable talent (lire ici un extrait). Cette fois, il raconte ses tous débuts. C’est vif, drôle, pathétique. Au sens étymologique du terme: « qui émeut ».

 Enfin, tout autre chose. Encore que… Avec Simon Liberati, il faut s’attendre à tout même si l’univers de Performance (252 pages, 20 euros, Grasset) ne surprend pas dans son œuvre. Un producteur commande à un écrivain un scénario pour un projet de film sur les Rolling Stones des tous premiers temps. De leur naissance à la mort du manager Brian Epstein. En plein dans les sixties. L’écrivain, septuagénaire endetté et à sec question inspiration, n’arrête pas de ne pas écrire depuis des années. Parallèlement il vit une liaison bouleversante avec une mannequin anorexique (non, ce n’est plus un pléonasme encore que, à l’époque de la Schrimp…) qui pourrait être sa petite-fille. Il y a de belles pages sur l’icône Marianne Faithfull, la rivale Anita Pallenberg, les coucheries de l’androgyne Mick, la volupté du spectacle de la déchéance… (lire ici un extrait).

On suit l’écriture du scénario tandis que le narrateur vide les flacons de whisky. On apprend des choses sur la bisexualité de Jagger, le rapport entre la coke et le sado-masochisme, la difficulté de réussir des scènes de drogue au cinéma… Colette, Nerval, Rousseau, Larbaud, Mandiargues viennent faire un tour en vedette américaine car Liberati est un grand lecteur et il a de la patte. N’empêche que par moments, on dirait un Gault-Millau des substances : tout sur le LSD et ses variantes, les tripsd’acide, l’opium à mâcher, les champignons hallucinogènes, la poussière d’ange… « Les années 60 furent plus violentes et destructrices qu’aujourd’hui » écrit-il. Le narrateur est tellement schooté qu’il croit que les arbres ne l’aiment plus. Nous non plus et inversement. Lecture planante pour les nostalgiques de Rock & Folk première manière (j’en suis) mais c’est tout. A lire en récoutant As tears go by version Faithfull puis version live des Stones (ce livre-là supporte d’être lu en musique, ce n’est pas du Carl Schmitt).

(« Yves Saint-Laurent » photo D.R.; « Image extraite de The Ghost and Mrs Muir, film de Joseph Mankiewicz, D.R. ; Francisco de Goya y Lucientes, Portrait de Luis María de Cistué y Martínez (1788-1842), dit El niño azul (L’Enfant bleu), mars-avril 1791, Huile sur toile, 118 cm x 86 cm, Collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, don Pierre Bergé, 2009, Musée du Louvre ; « Euston Station à Londres : Mick Jagger, leader of the Rolling Stones, and his girlfriend, Marianne Faithfull, as they boarded a train for Bangor, North Wales, where they will attend a Love Pilgrimage. Also aboard the train were the Beatles. They are to spend five days living with Himalayan mystic Maharishi Mahesh Yogi, who has expounded the love doctrine around the world for years, 1967).

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

938

commentaires

938 Réponses pour De quelques autres romans dont on parle aussi

rose dit: à

Il est vraie, la marrie, que, entre tourner en boucle non stop du matin jusque au soir et qq. petits commentaires ou bien le matin, ou bien le soir, y’a pas photo.

rose dit: à

Le cantou je viens de l’apprendre est un mot non utilisé chez nous. En Suisse, sûrement, pays replié sur lui-même et cerné de montagnes.

Marie Sasseur dit: à

Je crois que j’ai définitivement fermé les yeux devant l’émission d’Augustin, quand Raphaël a massacré la chanson des Nothomb sisters.

Soft cell, tainted love, avec le bon tempo:

https://youtu.be/XZVpR3Pk-r8

Allez zou, je vais à Marseille, ptdr.

rose dit: à

On va la couler discretos dans le béton sur les docks.
Tant pis pour la plage.

Janssen J-J dit: à

(28.9.22_9.17).
Finalement, vu SANS FILTRE (de Ruben Ostlȕnd) hier soir. Un ovni du cinéma indépendant primé à Cannes, une décision miraculeuse honorant ce festival par les temps qui courent. Satire sociale ou farce cynique ? C’est surtout un terrible réquisitoire contre la pourriture morale des vieilles et nouvelles « élites » gangrenées par le fric de la mondialisation capitaliste triomphante. On rit bien jaune tout du long, en dépit des clins d’œil drolatiques du réalisateur sur la débandade de ces riches gavés d’idéologies égalitaires. Les jeunes couples modernes apparaissent aussi cyniques et pervers dans leur bonne conscience que leurs aînés. Les différences de genre et de race, (passées par le cinéaste au crible de l’épreuve existentielle du naufrage chez quelques rescapés typés de la croisière de luxe), ne parviennent jamais à transcender les barrières de classe opposant maîtres et esclaves, trop longtemps intériorisées par les un.es et les autres… Les gros et gras richards parvenus ou héritiers restent obscènes dans la guéguerre de leurs citations marxistes léninistes ou ultra libérales avinées, tout comme dans le marasme de leur nouvelle condition de naufragés. L’esclave devenue « matriarche » du petit groupe survivaliste, et passant pour la plus lucidement pragamtique de la bande, se met elle-même à singer et profiter des pires travers de la domination masculine, en exerçant son nouveau « droit de cuissage » sur le bellâtre. Et quand le cauchemar de cette robinsonnade un peu longuette prend fin, et que tout redevient « à la normale » (ouf ?), et bé…, il ne reste plus rien de la solidarité féminine unifiée dans l’épreuve de l’émancipation contre la domination masculine. Abigaïl, le personnage le plus lucide en matière de vécu pragmatique de la « lutte des classes », est vouée à ne devenir que la « collaboratrice » de la jeune influenceuse, laquelle n’a décidément rien compris au film, elle non plus…
Désespérant et désarmant de réalisme !… Voilà le tableau à peine caricatural où nous transporte une tenace gamberge sur le caractère incorrigib’ de l’espèce humaine. Il ne fera guère que conforter la conviction des pessimistes politiquement inactifs, cyniques ou non. Donc, à oublier fissa, si l’on préfère ne jamais vouloir vomir son caviar au champagne avec des rivières de diamants autour du cou !
Bàv…

D. dit: à

cantou est un mot de la langue d’Oc, tout simplement.

Jazzi dit: à

« la jeune influenceuse, laquelle n’a décidément rien compris au film, elle non plus… »

Au contraire, c’est elle, manipulatrice en diable, qui tirera son épingle du jeu dans l’histoire.
Etrange que la comédienne qui l’incarne, Charlbi Dean, soit morte cet été d’une maladie « soudaine et inattendue », dans un hôpital de New York, à l’âge seulement de 32 ans.
La réalité est plus forte que la fiction…
Superbe compte-rendu, JJJ !

D. dit: à

Bers ube dissolution de l’Assemvlée nationale abant la noubelle année ?

Janssen J-J dit: à

le frère de jacques Lacan a été enterré sous les chênes de Ganagobie. J’y ai passé une nuit, et subi les mâtines ou les laudes en chantant avec eux, à cinq heures du matin… Moment magique et hors du temps… Sinon, je crois qu’il ne faut pas trop s’alarmer, tout le monde a des furoncles incompréhensibles liés à un épisode de stress insoupçonné, et puis ça disparait comme c’était venu. Il faut toujours essayer de formuler des hypohèses sur ce que l’on ne comprend pas, plut^tot que d’asséner des conviction. Par ex… pourquoi n’y aurait-il pas d’améliorations dans la violence masculine subie par les femmes depuis des siècles, pourquoi les jeune filles devraient-elels hurler le poids de la douleur tue par leurs mères ?… Interroger, oui, de telles affirmations, les remettre en cause puis les conforter le cas échéant, mais ne pas rabrouer les ‘objecteurs.ses’ a priori bienveillant.es avec des arguments d’autorité. (De Bécassine, on s’en fout, on perd son temps avec elle)… Sinon, c’est trop dommage. Continuer à pouvoir se parler même au prix de la mécompréhension, c’est ce qui compte, je trouve.
Bàv,

rose dit: à

Les furoncles sont nettement plus facile à vivre que le prurit anal.

rose dit: à

P.S c moins qui vous ai annoncé la tombe du frère de Jacques Lacan ici. On peut toujours récupérer, y’a les archives.

B dit: à

Sans la rythmique Raphaël a fait ce qu’il a pu. Je me suis demandé de mon côté si je ne connaissais pas par coeur Olivier Adam.

B dit: à

Rose, herpès génital ce ne doit pas être mal non plus bien que je ne puisse en témoigner personnellement. On ne peut pas tout avoir.

B dit: à

D, selon vous, que faudrait il que je lise maintenant après mc Ewan, vous connaissez mes goûts, mes attentes. Un conseil éclairé, please.

B dit: à

Non parce que je suis atteinte d’un psoriasis compliqué de varicelle et tout ça très mal localisé. A l’est d’Eden.

B dit: à

Marseille, quelle drôle d’idée. Au km2 forte concentration de voyous et si vous n’êtes pas immatriculée vous risquez au retour de devoir rouler sans pneus.

Janssen J-J dit: à

@ y’a les archives.

n’allez pas singer masseur, svp ! et je vous prends au mot : allez voir vos archives, je sais qu’on en avait déjà parlé en effet, mais suis pas sûr que vous fussiez la première. Et quand bien même ?
Pour le reste, je lis toujours votre chronique privée rendue publique avec beaucoup de curiosité et de réelle compassion, vu la tonalité.
Pardon de vous renvoyer des messages peut-être intrusifs de temps à autre, mais à qui la faute ? BJàv2,

bouguereau dit: à

Les furoncles sont nettement plus facile à vivre que le prurit anal

hannule et remplace mon commandant : rose à la lessive plutôt qu’à la cuisine..haprés les test daptitude c’est plus dans ses compétences

bouguereau dit: à

Non parce que je suis atteinte d’un psoriasis compliqué de varicelle et tout ça très mal localisé.

le contrat de béré ne sera pas renouvlé mon adjudant..il est temps pour elle de rejoindre la vie civil..c’est plus paisible

bouguereau dit: à

Superbe compte-rendu, JJJ !

agrégateur de critiques comme rotteune tomato..properti à donald baroz..tu srais havec les bigs

bouguereau dit: à

Vous y apprendrez que 25% de la bande passante internet est consacrée au porno, oui, vous avez bien lu : 25%.

chef chef une nouvelle débarque..elle connait rien mais rien..il lui faudrait une formation axélérée

bouguereau dit: à

Donc, à oublier fissa, si l’on préfère ne jamais vouloir vomir son caviar au champagne avec des rivières de diamants autour du cou !

bon jiji tu fais un rapport à ladjudant baroz pour montrer que t’as bien compris lhorreur de la vie civil..bon pour la troupe..mais les gradés et les instruits veulent savoir tout simplement si le film est bon

bouguereau dit: à

En Suisse, sûrement, pays replié sur lui-même et cerné de montagnes.

bien sûr havec une bonne analyse marxiss léniniss on pourrait comprende que le deuxieme rénateau ait eu nul a tous les test mon adjudant..en conséquence de quoi il a quand même été intégré dans notre grande famille et qu’il fra les chiottes..nickel qu’on peut manger dedans..lui tout seul..il est au test

Janssen J-J dit: à

mais les gradés et les instruits veulent savoir tout simplement si le film est bon

en ai rien à battre de savoir ce qu’ils veulent savoir. Bon ? Pas bon ? ça veut dire quoi au just ? ai pas d’opinion arrêtée en ce sens, si vous me donnez pas leurs critères, et faudrait déjà comprendre ceci, comme rotteune tomato..properti à donald baroz..tu srais havec les bigs (sic)
jzman pourrait peut-être m’aider ?… Attendez putôt sa propr’critik, vous dira si c’est bon ou pas bon. ‘Et toué, t’en penses quoué’, qui dira !

D. dit: à

Il faudrait renommer Bandaison passante ces 25 %.

bouguereau dit: à

‘Et toué, t’en penses quoué’, qui dira !

c’est dans mon agenda chargé

renato dit: à

« En Suisse, sûrement, pays replié sur lui-même et cerné de montagnes. »

Voilà un jugement pré-fait à l’intention des cons : peu de pays sont ouverts sur le monde comme la Suisse.

Cela dit, je suis toujours en faveur d’une grève des investisseurs, à la suite de laquelle ce serait intéressant de voir la réalité du chômage, après. Bon, il est vrai que les bas bleus ne s’intéressent point aux faits de l’économie — ça doit être l’éducation communiste.

Cela dit, j’attends patiemment le petit vomi nerveux de bouguereau.

bouguereau dit: à

Cela dit, j’attends patiemment le petit vomi nerveux de bouguereau

tu te doutes bien..que même si jlai pas seriné comme toi..que chte lis pas mon couyon..mais pas du tout..nibe..que dans mon hélico chus audsus dtes montagnes de pove naze enclavé qui se dédit -tous les jours-..et haprés tout c’est ça « un hinvestisseur » pas vrai..povcon

renato dit: à

Voilà, il lui suffit d’un rien à buggy, tout fait émétique chez lui… amusante sa mascarade…

MC dit: à

J’allais vous dire que je vous avais lu,quoique tardivement, plus exactement, que j’avais lu par vous ce qu écrit Isaiah Machinchose, j’allais même m’excuser de ne pas avoir vu la transcendantale splendeur de votre prose hier soir, poussant du coup la plaisanterie un degré trop fort, mais, devant votre seuil d’irascibilité, je me demande si c’est la peine. Croyez, chère Kali de ce blog, à l’assurance de mes sentiments choisis….

Jean Langoncet dit: à

Inquiets d’une possible fermeture de la frontière « pour toujours » après l’ordre de mobilisation de Moscou pour la guerre en Ukraine, un nombre croissant de Russes en âge de combattre fuient, via la Finlande, au poste-frontière de Vaalimaa.

« Maintenant je crois que votre statut importe peu. Si vous êtes en état de servir aujourd’hui, demain vous pouvez être dans l’armée », explique à l’AFP Viktor Zakharov, un scientifique de 35 ans, un des rares à accepter de donner son nom complet.

Venant de Saint-Pétersbourg, lui, sa femme et leurs trois enfants viennent de franchir le check-point, où les passages de citoyens russes ont doublé depuis l’ordre de mobilisation « partielle » de Vladimir Poutine mercredi dernier. (…) »

Ces « russophones » serviront-ils demain de prétexte à Poutine & Cie pour envahir la Finlande ?

bouguereau dit: à

..on comprends pourquoi y’en a des qui son adjudant et d’autres deuxième classe mon adjudant

bouguereau dit: à

J’allais vous dire que je vous avais lu,quoique tardivement

t’as failli nous faire attende meussieu courte..mais la foi sur le champ de bataille vaut 15 chipendale en string et cravate et une caisse de vodka quelle dirait alesquia

bouguereau dit: à

tout fait émétique chez lui…

pas de fosse modestie docteur..surtout toi rénateau..mais en hélico au dsus dla suisse..litalie reconnaissante etc.

Jazzi dit: à

Contrairement à la critique intelligente : Libé, Le Monde, Les Cahiers du cinéma et même Sophie Avon de Sud-Ouest, le lézard, qui fume des cigarettes avec filtres, a trouvé très bon, très fort, le tabac suédois « Sans Filtre » !

et alii dit: à

je connais une collectivité où on dit des fumeurs accrocs qu’ils fument la paille de leur matelas

et alii dit: à

paul VEYNE EST MORT.

MC dit: à

eh oui, Paul Veyne aussi…

Janssen J-J dit: à

ma sœur aussi, hélas, MC !

Chantal dit: à

J’en reviens aussi du Triangle of Sadness, un fou rire énorme pendant la scène du dîner du capitaine …

D. dit: à

peu de pays sont ouverts sur le monde comme la Suisse.

–

J’aurais plutôt écrit « peu de pays sont autant coulant et opportunistes quant à la nature, voire l’origine, des fonds déposés dans le système bancaire de la Suisse ».

D. dit: à

Éthique zéro, autrement dit. Pas grave.
J’ai aussi vaguement entendu parler, pas en bien, d’une très grosse entreprise alimentaire qui s’est rendue indispensable dans le tiers-monde. Depuis des décennids.
Vive la Suisse ! Vive la banlieue zurichoise !

renato dit: à

Ah, les poncifs à dédé!

renato dit: à

Ah, l’ Éthique à dédé !

D. dit: à

Ah ben oui. Ben tiens. Les poncifs. A dédé.

Et qui a abrité Lénine qui attendait son heure pour terminer de démolir la Grande Russie Impériale ? Hein ? Qui ? J’ai pas bien entendu. Plus fort.

D. dit: à

Tu parles d’un CV de 💩, ce pays. Au xviiième ça allait encore. Bien que les protections étaient déjà bien calculées. Mais à partir du XIXème…

renato dit: à

… et qui a abrité Khomeini ? cela bien à part, la grande Russie impériale ? grande il parle de surface l’endivephage, je suppose.

Clopine dit: à

Nous sommes conditionnées, non seulement à cause de notre structure sociale et économique, dont nous sommes tous victimes, hommes et femmes, mais à cause de nos instincts animaux, qui nous conduisent à la reproduction de l’espèce. Et alors ça merde grave. La femme devient couleuvre. Apte à avaler et digérer n’importe quelle humiliation, du moment qu’il s’agit de construire un père. Surtout si on n’en a pas vraiment eu un.

D. dit: à

J’étais certain que vous alliez me sortir Khomeini. Arf. J’ai gagné. Les poncifs à renato.

renato dit: à

Pauvre dédé, il prévoit toujours après.

renato dit: à

Logique sans peine.
Entendu une pub où il est question d’algorithmes qui nous conditionnent (ou quelque chose dans ces eau-là). J’en déduits que le libre arbitre (décider des buts de ses actions et de ses pensées) devient une denrée rare.

Marie Sasseur dit: à

Va falloir suivre de près l’émission l’amour est dans le pré. Je rêve d’y voir un agriculteur à la page. C’est vrai, pourquoi leur demander de choisir une plutôt que d’autres, parmi leurs prétendantes, dans des battles qui sont une version à peine moins immonde que des prostituées en concurrence.
On verrait des clopins avec leur harem,toutes apaisées. Les féministes devraient y réfléchir et bien choisir leur humiliation.

Phil dit: à

Paul Veyne : « La question des origines chrétiennes de la France est un faux débat »

8 min de lecture pour enterrer Veyne dans l’ordre du prestigieux Monde. Péter dans l’eau fait des bulles, nous disent les gazetiers du Monde.

bouguereau dit: à

Péter dans l’eau fait des bulles

cépamoi célangoncé quil dit poutine

bouguereau dit: à

C’est vrai, pourquoi leur demander de choisir une plutôt que d’autres, parmi leurs prétendantes, dans des battles qui sont une version à peine moins immonde que des prostituées en concurrence.

à superu..à meussieu courte tu lui proposes 2 baril dhuile de colza en échange et ben non y préfère térezoune..c’est ça l’hamour hen ville

bouguereau dit: à

J’en déduits que le libre arbitre (décider des buts de ses actions et de ses pensées) devient une denrée rare

hen suisse y zont des appli spécial.. »hon vous aide à garder la liberté d’ête con et suisse »..ça marche fort

Jean Langoncet dit: à

@8 min de lecture pour enterrer Veyne dans l’ordre du prestigieux Monde. Péter dans l’eau fait des bulles, nous disent les gazetiers du Monde.

Certains gaziers devraient réactiver leur compte twitter laissé à l’abandon ; du dense, du lourd, du qui craint pas le retour de flamme (comme ces réservoirs à essence de vieilles pétoires – genre la meule à Bernanos – au dessus desquels on craque une allumette pour vérifier l’état de leur revêtement intérieur et qui, même vides, vous pètent à la gueule un siècle après la bataille)

bouguereau dit: à

mais à cause de nos instincts animaux, qui nous conduisent à la reproduction de l’espèce. Et alors ça merde grave.

le grantamour pour bonne clopine c’est de bien salir ses draps quelle dit la mère denis

Jean Langoncet dit: à

@cépamoi célangoncé quil dit poutine

C’est sans doute qu’il est bien élevé, par Archimède

Jean Langoncet dit: à

Une illustration bien conforme aux origines chrétiennes de la France et fort à propos qu’il dit Archimède (attention, c’est un peu long ; on n’est pas au Monde, ici)
data:image/png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAUUAAACaCAMAAAAJtaohAAABWVBMVEWo1v////8AAACpqamv3///1Hmq2P93mLer2v/b29uGhYSt3P/8/f+j1P+f0v+l2/+OtdaUvdpQZnrr9P/F4/+Ywue0tLT/AACh4f/3IwDpTD+3ttTYcHjKkKGf1/+Jr8//3n8YL0S9m1XDo7rhY2Leam6uyOu05v/a7P/P6P++rcgkM0Dqw26gzPNxkKx/osFgepJCVGWbm5tpaWlMVGHOq2JohJ4wPkpJSUlWUUo5SVi+8v+isbL/54RxXjV4mbGKsMcfKDBWRiiliE5lUy+JckEfGQ12e4ImIx/J1N6tuMVujJ0WHSKiz+3vNxftQzFdd4XbFgBzAAAAABkfGyU5AABfb3CuVUu9AgC1NjB4Y1/Nh3/SeW68MyIAGSW3paO+jIfeXlA4FwDYbGC2lJAzMzN4YStsZFNDNh8vKBaBcFAfAACek6qUPjq3ZW/ago5OAACdAAD7IykRRwsdAAARUElEQVR4nO2d+3/auJqHfYyQNdFkMeqYS9LGnPTitiBZJkVknLRAaJo5JyFt93p2pzud7rTTMz272939/3/YVzYkJCEJEC4mw/dTxzeo5YdXel/Zuhh/WOrmMuadgFuhJcVJaElxEgKK35jfdHe+jXUn1reXa+bJjFL1+PGT7777LoMzmQz57qKePH7cS/TJrZzXnUvV95HHZ3R6enDSfqh2Kf7pzmNIXSazurr6d8No1aBRqu8MutsxKPffX0QqSo2m1RWJL3uduqnDGG8Y2MCRNlaNDSPeGO7mzl/o9OhGfNN34vv79s6TJ5DWx2wlplgm3e8Zw+rk/1/NoBNboBtnE7Kh7797+kmsx3/6c3frSe87F+5tIJ+hU9ZNHfwxTr7Zt3kznVJdPUkp9nu2yMnN/uOBtzoIBraZjcfHk0BhZHZt0SR4RtekNsuO/4slUUuKk1AfRWNJcVz1UbTpjK55qynSWd3ZraZ4i8tFjBC6cEU8uRv+XVDEjpKCnyuwMHf4pO74d0GRNsqCBdzzEIWF6DXyPMd1kN6FP94NXcLvg6LPvI5i9dB3Wy3hMFPasAjF3bLJHNky6zf0rLfcu0DNWV+w2ZJh4EsnK21HhczxGsz2XGFL35NK/2lMjOKti3QwRWhVR8G0WRd+pym5G0glHDtk3AmZEL7K7hwq5aMJUrxltggMHXkUOppigwFQoMgl831fCWBpSSa4DGXgqwZik6N4m8pFTBB1gyPpEH0h7PhwxLENil3h6IXA4thcb1Lboa5zs/TcRooaoS3LdYsiGt8T1msCf8BASW+BfVhhfe6m2fD2USQI2ewoFByhWd3QraNIERcQ0QDCmd2Ocda7LD5F7VDq0hlQ3dMnz3gQHJsqpVR/GA/8xtDqo3jDEnZ4TZYipr3CD7JyEPoEXTAHiBoJJm4Dxa9htJUSLsH1YOr6rs8p4VYW36BeveC2COQM29UxIUHEDZgzqDDUkTfnyHpDOOacYIeDX1GME4cj2/GFDVvSRdjB4yJY7HIRIT8IWF27Xi4CydHAsA/szgxbDf+wyWhTujKQNlhtWchyuXko3CA8Yq7KZhkL3THDxsRTJKefzGTOnUJuKAll4EpcFvr4Mp+MuWjsNKU4bErqKp8BbcNrCMQdaQnLFR2oBir7DVSuZWe8XzeRFEnmxCYIP3k1mXn6tB8jRjxQ4BVcgaxADszKvU+eUvSaioP9NigSwmUW1AK7FIX9RtkOx+MxSCJFwh+ud9OCM8f3eugKrx8UTj+EiAoc7S5EPbAuycpdYa5aYdmy3mTDepn5jDGfokMFphcIJfx6CAdlNhuwwB2zoEkkxUfF+93zuJA/pbj28JQicut+hE4/crgmvAYPLMC7cE65A6bNbU6BrN6DXS1w1nAej22K/RRv8FZ/NA1B8ekJxeIgihgJRtGw18Pc97XVEh3MYBx7YqwPRLvRisTnx7kdI7G2eDVFghTzRvjNMZ3yQ79FpEgMJmZXRx5GC0gR87rtTTeFo2ohKRpDF4kz0gJSNMZ2AlNTv49eFIrJUxLfXi00xcS8vVpoigtTLiZPS4qT0JLiJLSkOAklsUXyQlNM0jOd+wtLMVE5miIP6YaFO8V7Ox5sIkqWFM/oaooEeWCLjiUZq/9kmm///h/KAZPKdry1hzvJq/xFShhFjDziyn98+0+maW5p/XPxX/TK1PrLv1qzbDYyguZC0b2EIvaIVTbN7X8r/pjrarf4rruVSr3+d9P8SfKbNh+egpJki4hKsMBqLve++HNqdzeVSu2mNMXdn1Opjz/v5o4/5FJ/+Q+z7HhJs8cERTrINV8Bwl9+3AWKux/eplK/FN/vFn/cPc7vpj7mP+y+/vAx/zqX2zZl0jAmhyK1zS3Itqmf82sfi++O82CAux/y747X8q+rcPj96+JxMf8jWGhuBTDOKKlDKjnlIqpvpSLtruWP87/sRpvv88X8x9348C/5YrwFGGfWMms4JaZcxKTcpah5vct1t9+fbu6+/qW7WTXHbVAzJSWJ4nYXV6r64X1vM/XxZCu1211rW1xSvIRi3fwhlTvLa5ByOYgelzn6Ultc2Y7inCsIAkIwxKNqginOzkcP8i6aYq66HQeMg1BGoffKJ/hAbknRuMIWAVVq6wfT/LS9spI7p5WVLSBobmtjTTLF+efoXp7d+vQpqjib25HibfPT1krXSJcUjWso9jJvKlfdOtFKLpXry+dLisYQFPtLwlw/viXFU13qXa7yzkuK5zSsLS4kxfm+d+mvuywyxfn2vQKK7RfVK0PurnLVZwmmON++V5j8cbO0+eVZtXpl9SVXPfi+XUswxXmXi3/cTJdK6dpm+8uzg4MY2RnBgZWD73+tPS9VlhSvohipFLH89cuX/e9jPYtU/vxlsxadTC8pGpdGOj2KXZIDFZ9dUjSGoni1kkxxdpHOkuIEdDnFUqlWKV2Bb+wcHfWxmlT6B/z3icrRFfOluamLv7NLuvTcfK6Lxf0xKWqCFwc1wBNrg50oiqVXFe2f9/bSlZcvSpt77dKmuV9q12ptoNjeq1XMV6WxKNKmaZoM6zZTsGDkUd0JMytdqnev7495nRJFsbJXAcurtPc3f2unS2YtXfvr85e19mZt//mrzRclM/1yTFukTYmokr5wiWI28gPLgEUPSyQCl/qKqZsVZ/OhGFxii79tgq39lq61S7VXlXT7N8DXroEtRhRrtdL4FBl3mWLSURZXgbQdS9rcUo5ibmBJZgeNG9XcEmWL6fSeaVbaL/ba7Zd7lZeQq1+Ye6Wa+dd9yNF7e5C5zXFz9JHZsmzVyQZhUFfKFBwWV7miudMQsuEdWpOimAAfDW7keS/iPvUu4FjSz3uOZmSKuusz2CL1vKzKdlRzhzq8IwXFkglHKoMJaXlyYhTn/Q5wOvEi4Q44Y5dxTLLKQdngSLrsSDnMVL7Iclhh1fCUf5ty9MQpEqwYmAdF8ZA7Rnc41e6CwV0jgqhxQyd9yyli4ocz6N+YPIonzxwmQZFmg8YMOlMnjmKl3d6ManqlSqVb4yulT+p+I1LEHSVPCzxy7kuUkjP3fOmwRtdfZx7Puq+kuPkCIsUSRNwQH7aBZKUEG/BvDIoY+wE++ST4mTN3SF3L6R+yG3PLvvl4OrN773IVxVK6XdmvvYBQsba5l365DzUZHXZXXpZGpoipHcSFItZdZ1CDgRMheoDuyNcYTqcjfaQ71iCiR5e3O0h/cAwMiaMIWbq2+Tyi2Iaay4vafm3zZftle390isRhcaEINhnWw2xTugpnhe23mI0JV2VpCx+rFtQMs5i5fj20kWgFY3BIXI5OVyAj74P1wQL40rDeb5fa7drIOZp0pIxLOmwIRixmKVfyrBLSRRxTJXYaUjUPYSVYw1VCdTqKWV5TjY4xcd5F5+lupaVXezmttIxCEWNA1x3f0rAOd7JCKVfRrHDset2lhiwHgZTZQ1hZymK+CGE/CMNALjTF8n762hhneIoYu0Gv3TLYYmBL5kOtxVeBbzvyEFEhuWOrZkM6joNZOZtlNue+dMYZbSxJFLc+t9PXB4tgmrUhRgqBQtHvRYpgi0wqnrUMnwnfcZkAyMRlyvZtSIx0kG9xBJxdasPejSjOu1zUbWmffQGHXLks8NaZu1Lb/7x1vS1ibMmT8A8y9xsvGqAb6d6tNKrvYQqHqB65GyqGuoaIu09sx+CQIB8dt6WtVg8OPrdrlfTpi9N07y1qbfPz9wcr1SFaJOsgpy86nO5bl0Q90+lrBVpdOXj2eT+2ytJzoLf56+fP3z9bqV7XlrYHC/yzQAOOT0kzLxcpZKOIIj6bdc63vANcYJUHulXEwUFV7/Y137mEIqY8nlGIEMFm2QV41hSJG2SRpoipf6YYB4rVQa2bBvY3OBpIkRB1pGMYXQ4GxizfWM+cIg8leMcs8qTpkuspDtarQT6aUMGwy/Qgn25wfpar6WrmORrZLVe3dgrOQhypLW3qSF583IWJCAl1GFRL+oKc2Wj28aInA0u6Ycs5G1FgVP9hWIi5I3aBkobIKQaKlLMBkKeq2b+9gjxdrptB53yWo8ZPK8M0pR3cs1c/1NZDH2uKgs0s9O1dffZ1F+TWTXYBYtRX/1Pqeo66s7573tagJlLWRSFxpK0CY9Y9VudAESMxuCkCMgLz00rqigbJumPWtlnnF7rqY6fuaLKYS5PNrCp7evk51KPxZW/csOcw09yO+1OegdltlLy1bf4tcC4OYoI7zIrNExtjD11+A82D4hWCuu1//tff4k5/K3GXyl2wv+rKynbUNVD+d/HrxQGeMLGC3g8zwdlPh1fCKBpG4UH+q+f4LCzHfSj/53+jVbnOfBvtFF7ni+uFC7PgOPXZxofnlTCKuLD+f/n8/QKKZjAlBkHH+bsFoucyRQgVVtfyxSKcPjtFCeHsgruZrebRTudyZQr3i3rAl6+rmShvZgpf88X8vUJG/8CZjXv5/PHx3WL+waP+XI2JmvfIMEmiCIa4ln+7dnwP/j4FcKTw6EO+eHysqWEj8+gYcvPX4v3VB9paT78FFcp5Dz6WpBydAVt7yB8Cp3tgjoSsfoX9teL6w3z+XgZvvM3fXS3cLd4rFJ6+XTv9ybETzGyk8cs0bYpUT85Mh5gnDlGyns8/LWw8KN7PFB6tPcCrH8AkN4BiYT3K1Q/vQQGpKRoZvt73rj6Y/7AwU6ZIbVYPbMd39PwpuDsRcTzLCo6PxJOqYCQdzNd5hmiKkH0LG5mn+QcbBQMoZjKrd8EYC5CLaUSxr60IFIozfvIwSFOmiBrMFUwJB6BxA+l55ICdDoz1ew6Oqa6sUdjyAhsZqwjjiGIEOPMoA7Q0RSghu165S7Ev/TZLwJhjU357hRoCUSmFy3zEmodB3QeGQatuqnoLzNR0RCswBWJHsOkHQdiJbLH7e+pIJ6Z4ovMUMWFzLxSNqb+9Qo163WS+sFWTsuYb5lBCG6qDmFIdj3PlKwvZ0mWdncBu+U7Z6qdoGNdRxMQX88/PM7BF6XJkK1s2PfjnhIojIVBE0QmswFeCuKpH0bU5Ho0in3uQE2nq5aLsUOpK7WRMsMVAcMLDMCgrCRRFYCnRcWUnDJnpqFAFnZFsERM5f/+sNWWKWLdNx3qqOJuDa7Ft7Zq5YwcuN6KZ5ByuzyIbNhB3OR7JFrGbiPw8/XgxesSiwxndbjWaXpdw2QptCscJHIpmkDOis1G/vJ6P7upKiknJz3N6SguB+GXXGoEiNtTMGiJco3m007lKo9iiMfeaf0+zbaeDzj6mxhdb/45WLk4lkWNo2u10MIGyUDfN0mUiarR8iqC+og/qFwdBluiuO1GxGU9JPlqkkxRN20c7jm9TRzet9B3k1wXluqUgd21Msc+DrGe71LExt7ltc2NJcaCobMmypUzlhqwsrLqwQnnkw8EjwcuMmR0mRRyB20d13VRuSXGAkGrsNAXzvUMLdaSrsm/cHVcErtewhOh4zA+kaDGgyGwWT2S8pHhRSFo7DcUsdCj0AAMy+8bfaVjMpw3Lkh0vsJlDqKVQFih2TsrFYX10YjT9HN0ym4cCG8w0fc6aTmi2ssyiSsGRuplttMrMabXqoRtGc9ovPMVpRF9UNnRD6qjNp241TXTXJ6pbUxMMW0i/4NftrBEicbi6zNEDRMBD47g9cDQaS7zgXjeU00O94G9JcZBGnUV8EMW+PPI7pTiqlrY4CS0pTkIL76NnNvPxVVp4ijObhfsqLXyOTsSDpoWnmJxycUnxhlpSnISWFCehhffRy0hnbCUw0slfkaPJ19NZuROk5Nniu9frp0XL+acRZP1eYl6f9ilp5aJBHq337eGNuw/OYKOZBEJMHkWDnClYCE+i7Z1X8iie0/mB6hKpPoq6X85S48k7oSitpcaV36X4B3Opm+ibmOJSN9WS4iS0pDgJ/T/7XNAtwrkKwgAAAABJRU5ErkJggg==

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, il se produit un phénomène de poussée analogue sur le cours du gaz russe ces derniers jours

Patrice Charoulet dit: à

Démocratie représentative

Au fond, malgré son nom, la démocratie représentative est un système aristocratique simplement atténué par l’élection. Et je ne suis pas de ceux qui s’en affligent outre mesure : il y a pire.

Jean Langoncet dit: à

@il y a pire

Sans doute pensez-vous à la démocratie directe

D. dit: à

Mais bien sûr.
Et le droit divin, la dedans ?
On s’assoit d’ssus ?

D. dit: à

roro Ier, pilier de parasol en terrasse.

renato dit: à

Donc, maintenant un criminel type Saruman veut instaurer un nouvel ordre mondial, et il est tellement con qu’à front des crimes de guerre de sa troupe, il arrive à dire : « Nos adversaires veulent un massacre sanglant ».

Jean Langoncet dit: à

@https://cdn.kastatic.org/ka-perseus-images/f6303464e9f11c72be06995922fbb7d369c29fd2.png

Des légumineuses. Ce soir, mogettes de Vendée cuisinées à la tomate et au Bayonne (oui), servies tièdes en vinaigrette

Jean Langoncet dit: à

à pour > à portée de ou pour

bouguereau dit: à

il y a le jambon de vendée qui matche bien havec des péteux..

renato dit: à

Ce qui est amusant à propos des pets dans l’eau c’est le tennis des experts appelés à l’aide par les journalistes : « Ce sont les Russes ; ce sont les Américains ». Or, personne n’a pas encore fait un constat et cru bon imaginer que puisque ces tuyaux sont contrôlés par computer un bon haker peut modifier la pression du gaz avec les conséquences qu’on voit parfois dans des immeubles grâce à des réseaux de ville mal entretenus, etc., etc.

bouguereau dit: à

et il est tellement con

..rénateau charge plus pire que lui..c’est mesquin

renato dit: à

bouguereau a gagné depuis longtemps déjà « la liberté d’ête con », sans être Suisse.

bouguereau dit: à

Au fond, malgré son nom, la démocratie représentative

c’est bien de te faire représenter keupu..par personne hinterposée ta crétinrie semble plus adoucit

renato dit: à

Donc, si j’ai bien compris sa potée, bouguereau nourri de la sympathie pour le criminel du Kremlin…

bouguereau dit: à

« la liberté d’ête con », sans être Suisse

ce srait un effort louabe que tu pourrais faire rénateau..mais lalgoritm dton appli tl’hinterdit phormelment

Janssen J-J dit: à

Leontiasis osseca, je me souviens du vibrant hommage de la RDL lors de la sortie des mémoires d’égo histoire de Paul V. vers 2014, pour qui j’avais eu beaucoup d’admiration, quand nous allâmes le renconter à Bedoin avec J.D.
https://larepubliquedeslivres.com/paul-veyne-octobre/comment-page-3/
Maintenant qu’il a toute son éternité devatn lui, on peut googliser sur les causes de sa laideur… voir message suivant (pas 2 liens à la fois sur cette chaine)

renato dit: à

Voilà un privilégié : moi je doit faire un effort pour arriver aux acmés de connerie que bouguereau, par son talent, peut rejoindre naturellement, quand on dit qu’il n’y a pas de justice dans ce bas monde !

bouguereau dit: à

veyne a manqué de ne pas avoir fait son coming aout ou quelquechose comme son pôte..dommage qu’il n’ait pas su sortir d’une certaine modeste superbe..modeste certes..mais superbe

bouguereau dit: à

élève rénateau..oyez vous écrire:

Donc, si j’ai bien compris sa potée, bouguereau nourri de la sympathie pour le criminel du Kremlin…

j’ai dit que tu chargeais plus pire que toi..est ce que tu comprends le plus et le moins et la transitivité binaire rénateau..parce que souvent tes « donc » effraie la logique hélémentaire..mais vérouille de l’hintérieur ta conrie tétue..là c’est un fait que toi seul peut voir..c’est térrifiant

bouguereau dit: à

Sergio dit: à
« une malformation congénitale dite Leontiasis ossea qui lui relève en bosse la joue gauche » : Comment ? Il a la chance d’avoir cela et il ne porte pas le monocle ?

voilà fleurie ma morte pensée

bouguereau dit: à

Jacques Barozzi dit: à
Parfois après la sieste, revenant peu à peu à la vie, je contemple le ciel d’ile de France, allongé sur mon lit, guettant dans les nuages le visage de mes morts: ma chienne, ma mère, un ami… Qui me sourient !

t’as pris du gras baroz

renato dit: à

Il te faut un masque pour cacher la nullité de ton être, bouguereau, c’est triste !

Jean Langoncet dit: à

@Sergio dit: à
« une malformation congénitale dite Leontiasis ossea qui lui relève en bosse la joue gauche » : Comment ? Il a la chance d’avoir cela et il ne porte pas le monocle ?

C’est de la triche. Le billet consacré à Veyne, date de l’age de pierre ; c’etait du temps de la République du rock (vinaigrette superflue)
I will teach you hate dit: à
https://www.youtube.com/watch?v=dOhIcGU-vcA

Jean Langoncet dit: à

Ah, oui, quand même
Paul Edel dit: à
GPA, clonage, surpopulation, perte des filiations biologiques: tout est annoncé et expliqué dans « le meilleur des mondes »(1932) d’aldous Huxley.5 euros en pocket. (et Biden a fait péter les gazoducs ; il l’avait annoncé)

rose dit: à

— ça doit être l’éducation communiste

Chez moi il y a eu éducation bourgeoise de droite, que j’ai conchiée tant et plus.
Lorsque j’y songe tout me paraît logique et enchaîné.

rose dit: à

Ai eu l’impression de me reproduire pour suivre une injonction maternelle mais surtout pas pour construire un père.
Maintenant, les couleuvres ont un héi-pénis, se tortillent pas mal et sont ovovivipares.

rose dit: à

Ce soir à la téloche, y a Sainte Thérèse de Lisieux m’a dit mon meilleur pote du cantou.
Ou autre chose sur Arte.

rose dit: à

le frère de jacques Lacan a été enterré sous les chênes de Ganagobie.

Ben non, il est enterré dans un petit pré dégagé, en plein soleil, le long du prieuré de l’autre côté du petit chemin qui mène au point de vue sur la Durance.
Les chênes verts sont autour.

Jean Langoncet dit: à

@Chez moi il y a eu éducation bourgeoise de droite, que j’ai conchiée tant et plus.
Lorsque j’y songe tout me paraît logique et enchaîné.

D’un vieux billet consacré au mort du jour et de ses suites, suite
cotton candie dit: à
Didn’t It Rain: http://www.youtube.com/watch?v=FplK6XN-lBw
Il semblerait que le lien ne soit plus actif ou renvoie au néant nombriliste (sur un titre de Sister Rosetta Tharpe ?)

Jacques dit: à

Le salut dans la fuite… de gaz.
C’est de bonne guerre et le froid, tueur de pauvres gens, tuera aussi les riches.

Damien dit: à

Paul Veyne ne me plaisait pas particulièrement. Son livre sur Foucault n’apportait rien, et sa traduction des « Lettres à Lucilius » de Sénèque (mon maître chéri) était très médiocre. En plus, son style n’était pas d’une clarté totale, ni à l’écrit, ni même à l’oral. Il se perdait dans des complications lourdes et ennuyeuses. Que retiendra-t-on de Paul Veyne ? On l’oubliera, plutôt.

Patrice Charoulet dit: à

UN ORIGINAL

Dieppe, ce jour.

Beau temps, pas de pluie, pas de vent. Occasion d’une agréable promenade jusqu’au bout de la jetée. Tout du long , comme d’habitude, des pêcheurs à la ligne, qui ne pêchent aucun poisson, sauf quand un banc de maquereaux passe devant eux.
Une présence inhabituelle, au bout de la jetée : un homme d’une
trentaine d’années, derrière un appareil monté sur un assez gros trépied, pointé vers le large. Je regarde le large : je ne vois rien de particulier. D’un naturel curieux, je l’interroge : « Bonjour, Monsieur. Que filmez-vous, s’il vous plaît ?
Rien.
Ah bon. Que photographiez-vous ?
Rien.
Que faites-vous, alors ?
J’observe les oiseaux.
Ah bon. Bonne observation et bonne soirée. »
Fin de la conversation. A mon humble avis j’ai eu affaire à un original.
S’il y a, comme partout, en ville, des pigeons et des moineaux , les seuls oiseaux à voir au bout de la jetée , ce sont les mouettes ou les goélands.Or, ces oiseaux-là , dans ma ville, sont un véritable fléau.
Nous sommes envahis : nous ne voyons que ça.
L’homme à qui j’ai a parlé a mis tout ce matériel assez lourd dans sa voiture, l’a porté deux cents mètres au bout de la jetée, pour
observer le vol des mouettes et des goélands. Quand il aura fini d’observer, il va transporter son matériel jusqu’à sa voiture, il va rentrer chez lui comblé : aujourd’hui , il a observé des mouettes.

Damien dit: à

Salut Dieppe ! — Yannick Haenel vient de consacrer une critique, devinez à qui ? A Simon Liberati, autre écrivain incapable d’écrire un roman. Haenel semble avoir retrouvé un frère, il dit de son confrère les amabilités les plus controuvées, comme celle-ci, je cite :

« Tout le livre n’est que la chronique d’une coagulation stylistique entre l’odyssée satanico-sexuelle des Stones et quelques mois de la vie de cet écrivain déglingué de 71 ans, revenu d’un AVC, qui vit dans un ancien presbytère avec une gracieuse jeune fille d’une vingtaine d’années (je sais, c’est inacceptable, mais la littérature s’en fout). »

Liberati et Haenel sont vraiment des êtres perdus, dans une réalité qui a cru reconnaître en eux ce qu’ils ne sont pas, c’est-à-dire de nouveaux Flaubert. Eh non !

Amanda Lire dit: à

Damien, ce sont des
Écrivains de 💩.

renato dit: à

« A mon humble avis j’ai eu affaire à un original. »

J’observe les oiseaux et ne suis pas particulièrement original…

Amanda Lire dit: à

Des volatiles helvètes de 💩.

Janssen J-J dit: à

@ /il est enterré dans un petit pré dégagé, en plein soleil »/ C’est exact.

@ /voilà fleurie ma morte pensée/ Bien.
Mais pourquoi ajouter cette calomnie : « veyne a manqué de ne pas avoir fait son coming aout ». Il a admiré et aimé Foucault, mais n’a jamais eu l’idée de vouloir coucher avec. Ce fut plutôt l’un des fantasmes de Michel qui flatta Veyne pour regretter la persistance de son orthodoxe hétérosexualité, lors d’une mémorable soirée rue de Vaugirard répertoriée par des témoins visuels. Ne salissez pas leur superbe amitié intellectuelle.

@ Contrairement à ce que vous pensez, Veyne fut l’un des grands épistémologues de la matière historique. Vous ne semblez pas avoir compris « comment on écrit l’histoire », vu l’obscurité embrumée de votre paresseux intellect… Je pense que l’Histoire vous oubliera plus rapidement que votre puéril « maître chéri ». Voyez,

Bàv,

D. dit: à

J’aime bien tous ces petits cacas.

D. dit: à

A priori on ne pêche aucun poisson jusqu’au moment où on en pêche un. Mais en logique charouléenne, c’est à vérifier.

D. dit: à

L’homme à qui j’ai a parlé

–

…c’est dans quel dico ?

D. dit: à

ploc
.
.
.
.
.
.
.
💩

renato dit: à

« Chez moi il y a eu éducation bourgeoise de droite, que j’ai conchiée tant et plus. »

C’est quoi une éducation bourgeoise de droite, elle se présente comment ? et puis, bourgeoisie haute, moyenne, petite ? exerçaient-ils un commerce, une profession libérale ou des fonctions de direction dans des entités publiques et privées ? ou bien avaient-ils affaire avec l’industrie (ils possédaient leurs moyens de production) ? enfin, peu importe, une éducation bourgeoise qu’elle soit de droite ou de gauche (libéralisme classique ou socialisme libéral) implique un minimum indispensable de culture économique ; donc, quelques idiots qui a une dent contre son papa bien à part, la conscience que investissement = travail.

closer dit: à

La dernière page du Figaro Littéraire de ce jour est toute entière consacrée à un livre de Philippe Bordas « Le Célibataire absolu » sur Carlo Emilio Garda, un « Italien de génie méconnu en France ».

Quelqu’un connait-il Carlo Emilio Garda ?

renato dit: à

Gadda célibataire absolu ? il faudrait tempérer, maintenant je devrais chercher chez Arbasino (Genius Loci dans Certi romanzi, Einaudi 1977) ; mais enfin, à quelqu’un qui avait avancé la question de son célibat, Gadda avait répondu : « Et si j’étais une violette ? »

rose dit: à

Renato

Vous m’êtes de plus en plus abscons.
Et si au lieu de vous parler à vous-même, vous me parliez à moi-même en essayant de communiquer, hein ?

rose dit: à

CEG.
Non.
Peux mieux faire.

rose dit: à

Les couleuvres ont un hémi-pénis.

renato dit: à

« Peux mieux faire. »

Montrez voir…

rose dit: à

Psoriasis totalement psychosomatique.
Parlez à quelqu’un. Vous guérirez. Courage.

Compassion : pas besoin. Merci quand même.

Ai dormi toute la part one de anyone every where once again. Ma mère a tenu le coup non stop pour tenter de comprendre. Quelle femme !
Ai suivi toute la part deux. Et la trois, magnifique.
Ensuite, nous avons parlé du film.
Ma mère a été beaucoup plus critique concernant Ganagobie. Que les moines ne foutent rien et prier ce n’est pas travailler et je n’ai pas été impressionnée et elle était particulièrement redressée contre les moines. Pas compris. Avec elle, je ne coupe jamais le contact.

rose dit: à

Sinon : je n’irai pas voir Sans filtre.
Pourquoi ? Dresser un tableau catastrophique d’une situation déjà catastrophique, quelle en est l’utilité ?

Déjà, je suis totalement et absolument catastrophée par ce qui se passe en mer et en montagne pour aller assister à une satire corrosive de la situation.
Au Manaslu 1000 personnes au camp de base : et 500 sherpas et 500 touristes. Deux dingues à ski à 8000 mètres. Une, 49 ans dcd.
Non.
Je hurlerais si je m’écoutais. Trois dingues français à skis à 8000 mètres sur un sommet le même ou un autre que le Manaslu à 8000 aussi.
Jean Leininger au secours.
Au secours Jean Leininger.

rose dit: à

En mer.
La dernière tempête en Corse et l’avertissement trop tardif de météo france.
Des kayakistes qui démarrent à 8h du mat.alors que une heure plus tard la pluie se déchaîne. La femme meurt après dessalage, accrochée au kayak. Je suppute que c’est la peur.
L’eau n’était pas glacée. Le choc psychologique, la frayeur.

Des vingt cinq voiliers en mouillage dans une des criques particulièrement touchée par la tempête, vingt drossés ou sur les rochers ou sur la plage pour cinq qui courent sous le vent vers le large, échappant aux récifs.

Si je m’écoutais, je hurlerais.

Tant de gens sur des voiliers et si peu sachant naviguer.
Tant de gens en haute montagne et des népalais qui installent des mains courantes pour leurs clients au risque de leur vie ?

Au secours, à l’aide.

rose dit: à

Vais me renseigner demain pour savoir si l’essence de lavande pourrait être bénéfique contre le psoriasis.
La peau est l’expression sensible de nos émotions.

rose dit: à

Sinon, retour a l’Ehpad de bonne heure.
Mon grand pote du cantou m’a demandé si je m’appelais Nadine arggh.
Je l’ai regardé droit dans les yeux et lui ai dit « non mais oh trois archanges, Michel, Faphaël et Gabriel ». Etc. Du coup, il a enchaîné sur Sainte Thérèse de Lisieux. Lui ai pas dit pas de télé, l’aurait fui. Le jour où on lui a volé sa télécommande, a menacé d’écrire à Olivier Veran son collège de boulot.
Le docteur, qui a rajeuni de dix, voire vingt ans depuis le départ de Tibère, m’a filé en loucedé le rapport médical complet sur ma mère. Ai appris nombre de choses dont les plus intéressantes furent celles sur lesquelles je me trompe.
Et ai conversé 30 mn avec une tutrice adjointe de la curatrice avec qui je devrai pouvoir renouer des liens.
Ai insisté pas mal pour que ma maman ne pleure pas.
Le retour a été difficile.
Elle est facile à vivre. Les trois enfants s’occuperaient d’elle avec respect, bienveillance et amour, elle n’aurait rien à faire dans cet EHPAD.
Pugnace, je ne renonce pas à la sortir.

renato dit: à

Info : Meta a supprimé définitivement l’account Pornhub. L’account qui comptait plus de 13 millions de followers, avait été suspendue début septembre.

30.9 — 6.08

Marie Sasseur dit: à

René de Milan fait dans l’entraide pour abonnés des sites porno ?
Il donne de bon matin des infos ithyphalliques pour abonnés initiés. Faut passer par deepl ce charabia ?

Car  » meta », « account »,  » pornub »  » followers », ça fait un peu réseau crypto-pedophile, ce baragouinage

Non non René, la seule info à faire passer, c’est le rappor du Sénat sur l’industrie du porno.

De quoi ça parle :

https://youtu.be/NInjbMaJ2ZI

Marie Sasseur dit: à

En vous desabonnant de votre site porno favori , René, vous participez EN PLUS, à la sobriété numérique.

Pour les  » followers  » comme René de Milan qui ont perdu leur abonnement meta pornub, voici les chiffres :

« Les chiffres de consultation des principaux sites pornographiques dans le monde et en Francea) Les vidéos porno : plus d’un quart de tout le trafic vidéo en ligne dans le monde

D’après des données internationales publiées sur le site SimilarWeb, parmi les 50 sites Internet les plus fréquentés au monde figurent six sites pornographiques, classés dans la catégorie « Adulte ».

Il s’agit des sites suivants : xVideos, classé 10e site générant le plus de trafic au monde, Pornhub, classé 12e, Xnxx, 13e site, xHamster, 26e site mondial, Realsrv, classé 44e et enfin Stripchat, classé 48e.

Le site Pornhub aurait généré un total de 42 milliards de visites en 2019 et afficherait un nombre de près de 220 000 vidéos vues chaque minute dans le monde.

D’après un rapport4(*) du think tank Shift Project, datant de juillet 2019, sur la sobriété numérique, les vidéos pornographiques hébergées sur des plateformes de streaming de contenus pornographiques (Pornhub, YouPorn, xVideos, etc.), constituent plus d’un quart (27 %) de tout le trafic vidéo en ligne dans le monde, 16 % du flux total de données sur Internet et 5 % du total des émissions de gaz à effet de serre dues au numérique. »
op. cit.

closer dit: à

Merci Renato.

closer dit: à

Néanmoins, le texte de Manganaro sur Gada est assez indigeste…Pas vraiment incitatif.

Marie Sasseur dit: à

Bientôt 9h30…
Un moment de gêne est si vite passé mais là, presque 2 heures, vous faites fort, les clients.

Excusez-moi moi de vous avoir dérangés pendant vos  » visionnages « , j’espère juste que le vieux watercloset bientôt 80 balais, plus ? pense bien a verrouiller, nettoyer? sa tablette après  » usage « , surtout s’il reçoit ses petits enfants, enfin les siens.

Dégueulasses.

B dit: à

La femme meurt après dessalage, accrochée au kayak. Je suppute que c’est la peur.

L’épuisement. Entendu après cette tempête le témoignage de son mari. Elle n’a pas réussi malgré l’aide de son mari à monter dans l’embarcation. A cet âge, plus de 70 ans nous devenons fragile.

B dit: à

Marie Sasseur, assez consternant de savoir que le travail des milliers de travailleuses du porno consiste à se faire enfiler de toutes les façons après viol de soumission pour commencer afin de satisfaire l’appétit visuel de millions de detraqués, d’addicts, de frustrés, d’impuissants, de sadiques, de voyeurs, d’obsedés qui enrichissent vraisemblablement toute une mafia prête au pire pour accroitre ses profits. C’est de l’ordre de la prostitution légale. Je ne sais si les circuits sont transparents, il va cette difficile de protéger les actrices et les acteurs victimes des abus, victimes de viols, coincés dans un système qui privilégie lecrapoort de force, l’abjection, et profite vraisemblablement de la détresse sociale des recrus ou de leur fragilité. Que ces productions n’atterrissent pas dans l’assiette des plus jeunes, des enfants, est me moins qu’on puisse faire. Je suppose que ces images ne sont pas sans conséquences dans la construction d’un individu des son plus jeune âge. Impression de schémas indélébiles, pollution des esprits.

renato dit: à

Closer, je vous conseille de vous passer des présentations, même si je dois avouer que celle de F. Wahl qui accompagne La connaissance de la douleur (trad. L. Bonalumi & F. Wahl, aux éditions du Seuil), est plutôt bonne.

et alii dit: à

Bjen’ai jamais vu un film classé porno, mais je l’ai déjà dit et espère ne pas être une exception , parmiles femmes; je ne pense pas que cela soit le manque le plus criant de ma culture;
bon week end

D. dit: à

Moi accidentellement sur canal + crypté, dans les années 80. On voyait pas grand chose. J’ai changé de chaîne tout de suite.

B dit: à

Je n’ai jamais vu non plus un seul des films du genre, on peut aussi remarquer un déplacement des limites acceptées dans ce qui est actuellement considéré comme n’appartenant pas au X. Dans les recettes pour s’assurer un audimat il faut forcément maintenant plus,qu’un soupçon d’érotisme. Ingrédients de base, violence, sexe, crime. Après peut être vouliez-vous dire que même sans avoir souscrit à une de ces offres nous en sommes atteints par le bruit, la rumeur, la fumée, le fantasme aidant?

renato dit: à

Ce qui dans la décision de Meta relative à Pornhub me laisse perplexe ce le temps que la décision a pris pour murir. L’affaire part en 2004 suite à une plainte conséquente à la mise en ligne de matériel pédopornographique, mais on a dû attendre septembre 2022 pour voir l’account suspendu puis finalement supprimé. Or, puisque Meta dit : « Depuis une dizaine d’années des comportements non autorisés par les règles relatives à la publication de contenus pour adultes, à caractère sexuel et de nudité », est-ce seulement à cause d’une question d’argent ou il y a autre chose ?

D. dit: à

Attention à la Lavande qui contient des perturbateurs endocriniens. Renseignez-vous.

D. dit: à

lavande, pardon. Sans majuscule.

et alii dit: à

histoire du film porno:
« . C’était très clair dans les premiers films pornos qu’il m’ait été donné de voir. C’était à Marseille, en 1973. On insérait des séquences pornographiques à l’intérieur de films qui ne l’étaient pas. Comme dans la comédie musicale, la fiction était soudain rompue, on assistait à un épisode pornographique, puis la fiction reprenait. Exactement comme dans un Fred Astaire. Il est là, sur son sofa. Et tout d’un coup, il se met à faire des claquettes.

4VACARME : Qui avait pris l’initiative de ces « séquences additionnelles » ?

5En fait, c’est la distribution qui est, officiellement, à l’origine de la pornographie. Il ne s’agit ni d’un phénomène d’exploitation, ni d’un fait de production, ce qui est assez inédit. En France, dans le marché « normal » des films, quelque chose d’hétérogène apparaît : des séquences de cul qui viennent saucissonner le film. Ce sont des séquences en 16mm gonflé, alors que le reste du film est en 35mm. En général, c’est une série B ou une série Z. Les distributeurs ont acheté ces séquences, l’année précédente, au marché du film de Cannes. Ils les ont insérées dans les films nuls, ou au moins très mineurs. Ces séquences n’étaient naturellement pas filmées par le réalisateur. C’était une interruption de programme. Vous savez, il s’agissait d’abord de faire fonctionner des films qui ne marchaient pas très bien. À l’époque, on m’avait signalé qu’un film de série Z avait un succès fou à Marseille. Je l’avais déjà vu, il était nullissime. J’y suis allé. J’ai rencontré un vieux distributeur un peu ripou. Sur la Canebière, au cinéma Le Raimu, il y avait une queue incroyable de spectateurs, maghrébins pour la plupart — uniquement des hommes. Au milieu du film, un polar anodin, vaguement érotique, avec une légère dimension saphique, tout d’un coup, on voit des gros plans de sexes en action. Ça faisait toucher les fils dans la tête. Et les gens venaient voir cette séquence. »
https://www.cairn.info/revue-vacarme-1998-1-page-81.html

renato dit: à

« … ou il y a autre chose » à l’origine de tout ce temps qu’il a fallu à Meta pour prendre une décision…

Marie Sasseur dit: à

A part me faire spamer sur ce blog, par la vieille érotomane dégoûtante, j’avoue que l’absence de réactions à ce rapport du Sénat sur l’industrie du porno , est tout simplement consternante. Tout autant que cette  » info  » pour abonnés au meta pornub.

Mais pas très étonnante de la part de qui veulent être  » incité « , lapsus pour : excités ?

Mes massages pas pour vous Et Al. Bonne journée.

Marie Sasseur dit: à

Massages, loool, thai, comme taïaut, taïaut, je m’en vado.

et alii dit: à

 » Les Allemands, qui sont une avant-garde morale très forte, introduisent en France ce qu’on a appelé « les films des docteurs allemands ». Au début, c’étaient des films faits par des docteurs, produits par la méde-cine. On y voyait des jeunes filles venir chez un gynécologue. Il s’agissait de dispenser une éducation sexuelle massive au peuple. C’était accompagné d’une campagne de presse. En réalité, on s’adresse à la nouvelle génération d’après la guerre qu’on veut débarrasser des germes du nazisme. Cette série de films s’appelle « Plaisirs, Dangers et Techniques de la sexualité moderne ». Ce sont des films très populaires, qui ne figurent dans aucune statistique de cinéma. Évidemment, en France, il y a un détournement, un rapt : on va les voir à des fins pornographiques.

17Très vite, pourtant, les films des docteurs allemands ont dégénéré en films bavarois typiques. Toutes ces cinématographies étrangères ont une identité nationale propre. À un moment donné, les Bavarois typiques sont des dégénérescences de l’expression du plaisir allemand. Et la Bavière joue, par rapport à l’Alle-magne, comme un paradis — comme pour nous la Côte d’Azur. On va donc voir, dans les Bavarois typiques, des blondes à grosses tresses, qui s’ébattent joyeusement avec des hommes en short de cuir tyrolien, dans la paille, en buvant de la bière. Cela nous plaît, parce que la fille est belle, le type se débrouille bien. Mais c’est un exotisme sexuel ; c’est presque du tourisme sexuel avant la lettre. Il va donc falloir s’aménager quelque chose qui sera de l’ordre de l’identité nationale, quelque chose de non hérétique, d’officiel en quelque sorte, dans notre propre cinéma.Il s’agit donc de nous fabriquer un rapport sexuel possible en France au XXe siècle. »

Marie Sasseur dit: à

« On va donc voir, dans les Bavarois typiques, des blondes à grosses tresses, qui s’ébattent joyeusement avec des hommes en short de cuir tyrolien, dans la paille, en buvant de la bière.  »

Ça fait un peu suisse aussi.

Marie Sasseur dit: à

René va vous yodler tout ça.

et alii dit: à

lebavarois:
Son origine est incertaine : il pourrait s’agir d’une variante du Rahmsulz bavarois que la princesse Isabeau de Bavière aurait amenée lors de son mariage avec le roi de France Charles VI en 1385, ou d’un blanc-manger que celle-ci aurait apprécié à la cour de France, ou d’une recette popularisée par l’un ou l’autre des princes bavarois qui séjournaient en France au xviiie siècle1.

Marie Sasseur dit: à

l’enfer du décor, c’est ça today :

« D’après des données chiffrées que la délégation a pu consulter, en 2021 près d’un millier de sites pornographiques accessibles depuis la France est recensé pour les calculs d’audience, parmi lesquels environ un quart affiche une audience notable de plus 80 000 visiteurs uniques par mois. En outre, d’après les données fournies par le groupe Dorcel, les Français effectuent chaque mois un total de plus de 650 millions de visites sur l’ensemble des sites pornographiques accessibles dans le monde. En outre, sept Français sur dix consulteraient mensuellement au moins une plateforme pornographique.

En moyenne, en 2021, les sites pornographiques comptabilisent en France une audience mensuelle moyenne de 19,3 millions de visiteurs uniques (personnes qui se rendent chaque mois au moins une fois sur un site classifié « adulte »), soit 36 % des internautes français, dont 2,3 millions de mineurs, soit 12 % de l’audience.

Pornhub est le site pornographique qui génère le plus de trafic en France. D’après les données publiées en 2021 par ce site, la France se situe au quatrième rang mondial des pays les plus consommateurs de pornographie, en termes de nombre de consultations journalières, derrière les États-Unis, le Royaume-Uni et le Japon, et devant l’Italie.

L’audience mensuelle en visiteurs uniques de Pornhub en France s’élève, en 2021, à 7,6 millions de majeurs et 1,6 million de mineurs, soit 17 % de l’audience totale mensuelle du site en moyenne. »

bouguereau dit: à

ta gueule térezoune

bouguereau dit: à

« … ou il y a autre chose » à l’origine de tout ce temps qu’il a fallu à Meta pour prendre une décision…

« une décision »..on a bzoin d’une bonne appli pour « être libre » et suisse..

Janssen J-J dit: à

@ /accidentellement sur canal + crypté, dans les années 80/

moij, quand je regardais emmanuelle furtivement, je me tenais toujours prêt à zapper sur la chaine de ste thérèse de lisieux, au cas où

@ Mayflowers /// satisfaire l’appétit visuel de millions de detraqués, d’addicts, de frustrés, d’impuissants, de sadiques, de voyeurs, d’obsedés qui enrichissent vraisemblablement toute une mafia prête au pire pour accroitre ses profits ///

Ce que le Sénat ne précise pas assez dans son excellent rapport, c’est que 12% des « usagers » de pornhub sur les 27 % des consommateurs mondiaux sont des usagères, et ça change pas mal la bella-donne (source cryptée au darkweb).

@ là, j’ai beaucoup ri, m’égérie : qu’il est drôle, ce D. matinal !… avec ses mogettes flatulentes.
ploc
.
.
.
.
.
.
.
💩 (sic)

@ notre amie la rose. Il faut kommuniker avec les autres, mais certains ne veulent pas, ils font plutôt confiance à la connaissance de la raison douloureuse, par exemple : Garda vs Gadda. – Il n’est pas difficile de comprendre la réaction maternelle à l’égard des moines, ces gros fainéants… N’a pas été branchée sur l’héritage de la tripartition fonctionnelle des guerroyants, orants et travaillants au moyen âgeux. Or, se fiche bien de l’histoire, à son aune du 21e. Faudrait lui dire que ceux de Ganago travaillent à donner des conseils de management aux chefs d’entreprise désireux de souffler un peu, lors de stages ad hoc. – Mais moij comprends fort bien ses réactions, c’est pas un histoire de compassion, merci bien, on s’en passe. Mais communiquer c’est aussi sortir de soie, essayer de comprendre les autres, à titre gratuit, mais rendre compte aussi. Voyez.
Bàv en cette dernière journée de septembre (30.9.22 _ 11.15, tôt ce matin, aij perdu 550 calories au fitness).

bouguereau dit: à

« Que retiendra-t-on de Paul Veyne ? On l’oubliera, plutôt. »

On retiendra Palmyre

au moins dormesson était lui un ouanabi parachuté..en bas ils auraient pu abuser de son corps..mais il en haussait les épaules..veyne le monocle..woualou

et alii dit: à

la belladone est une mandragore à fruits noirs

renato dit: à

Télégramme : « Ce matin, les Rashistes (mot composé de « Russes » et « fascistes ») ont tiré sur des civils qui attendaient un convoi humanitaire civil afin de quitter le centre régional. Ces personnes se rendaient chez leurs proches dans les territoires occupés, apportant une aide humanitaire. Ils auraient aussi dû emmener nos concitoyens dans la partie libre de l’Ukraine. Les occupants ont frappé des Ukrainiens non armés. Il s’agit d’une autre attaque terroriste par un pays terroriste. »

B dit: à

Je ne saisis pas en quoi mon opinion peut avoir déclenché l’exercice vomitif qui précède. Contrairement à vous et sans attendre votre aval, je ne me suis jamais sous le regard de mes enfants laissé allée au bord de la piscine à quelque luxure ou exercice avoisinant, qui selon la définition accordée pourrait rejoindre la discipline incriminée. La pornographie est elle un crime? Toujours aussi culottée Sasseur. Demain, vous retirez le bas?

Marie Sasseur dit: à

Oui, OK, René en meta coquin, c’était pas si drôle.

Marie Sasseur dit: à

Les réseaux sociaux :

« Outre ces nouveaux diffuseurs de masse que sont devenus les tubes, la pornographie a également trouvé de nouveaux débouchés numériques, que ce soit les réseaux sociaux ou les plateformes alternatives, dites « personnelles », qui proposent du contenu pornographique payant et « exclusif ». »

https://www.senat.fr/rap/r21-900-1/r21-900-13.html

Marie Sasseur dit: à

Et on n’est pas au bout de nos surprises dans cette saison en enfer :

Les nouveaux modèles économiques du porno et de la prostitution :

« De même, lors de la table ronde du 3 février 2022 autour de chercheurs et de juristes sur la production de contenus pornographiques, Béatrice Damian-Gaillard, docteur HDR en sciences de l’information et de la communication, professeure à l’Université Rennes 1, chercheuse à Arènes (laboratoire CNRS), a précisé devant la délégation que « les acteurs et actrices comptent de plus en plus sur les revenus qu’ils tirent, non plus des contrats avec les studios, mais des rémunérations qu’ils ou elles reçoivent sur leurs comptes personnels depuis des plateformes telles qu’OnlyFans. Les montages juridiques et économiques des structures vont donc aujourd’hui d’acteurs qui sont autoentrepreneurs à des groupes multinationaux. » »
op.cit

Bloom dit: à

Jean Naymar soutient Bolzo-le-Narrow.
Rien d’étonnant à ce que l’idole des djeunz pense avec ses pieds – n’est pas le King Eric qui veut, formé à la grande & belle école de Ken Loach et qui appelle au boycott du mondial de la Honte et du Pneu.

bouguereau dit: à

le senat le porno..elle hésite a en écrire un livre la duconne..mais pas dnous en chier une pendule en direct havec rénateau..comme hardeur meussieu courte est meilleur

https://www.youtube.com/watch?v=rk7hew80pUQ

B dit: à

Toute cette histoire de pornographie bien que répréhensible et phénomène sociétal nuisible m’indiffère. Ca va avec l’ état du monde, déglingué, décadent, mercantile. Qu’il en soit de plus en plus pour surfer sur ces détritus prouve t il que sous toutes ses dimmensions l’humanité se révèle? Les marchands, les consommateurs. Triste classement, est ce qu’il compte bien ailleurs?

Paul Edel dit: à

A propos de Carlo Emilio Gadda.
A propos de Gadda et de son roman « Quer pasticciaccio brutto de via Merulana », je me souviens de la traduction de 1963 avec le titre « l’Affreux pastis de la rue des Merles. » ça m’avait semblé être une performance quasi impossible pour le traducteur. Sur la trame policière d’une enquête(non résolue) à propos d’une vieille femme victime d’un cambriolage (vol de bijoux) et puis d’une voisine assassinée et mutilée sur le même palier . J’avais eu du mal à suivre cette intrigue pelote de ficelle, et, aussi que le texte joue sans cesse des argots, des jargons de métier, des tournures populaires qui changent selon les quartiers de Rome avec incrustation de phrases latines ou grecques.Il y avait là aussi un curieux pastis linguistique, et des recherches sophistiquées. Evidemment les incessantes trouvailles verbales où la gouaille argotique se perdaient en partie dans la traduction. Fallait-il faire du faux Simonin et son argot de Pigalle ? Ou fabriquer du faux Céline banlieusard ? Ou refaire des inventions et cabrioles phonétiques à la Queneau ? Le résultat était déconcertant ; ça devenait des acrobaties bizarroïdes et peu convaincantes avec une syntaxe déstabilisante. Evidemment ça perdait son un peu comme dans certains romans d’ Andrea Camilleri où il est quasi impossible de traduire dans notre langue française les dialectes des paysans siciliens… En revanche on sentait la vitalité sensuelle des quartiers romains ,une familiarité colorée et une insolence populaire, quelque chose de rabelaisien et de truculent. Gadda s’y moque aussi de la figure du Duce qu’il affuble de tous les noms les plus burlesques.
J’avais aussi constaté en lisant les pages littéraires des journaux et revues italienness des années 70-80 que Gadda jouissait d’un extraordinaire prestige, allant de Italo Calvino à Moravia . Pour avoir une vue plus juste de ce texte, il faut sans doute se reporter à la nouvelle traduction de 2018 , avec ce nouveau titre «Affreuse embrouille Via Merulana »car le traducteur Manganaro est excellent. A relire donc.

Phil dit: à

La pornologue sasseur ne se tient plus, bonne sœur kungfou qui fait sauter la bande passante. Polonaise inversée, disait Hewlett.

Marie Sasseur dit: à

Venons en au hard:

« Le besoin massif de nouveaux contenus pour alimenter ces plateformes a notamment constitué le point de départ de pratiques favorisant les violences sexistes et sexuelles envers les femmes, leur exploitation sexuelle ainsi que la production de contenus de plus en plus « trash » et violents pour alimenter les intérêts économiques de cette véritable industrie du sexe. »
op. cit

et alii dit: à

Quand la pornographie tenait salon
AVEC «BOOKS». PAR ROBERT DARNTON. Toute connaissance dérive des sens. Au XVIIIème siècle la littérature érotique et pornographique servait à ridiculiser les aristocrates et les prélats, à propager les idées des Lumières et dénoncer la domination masculine.
 »
Il manque, dans le débat contemporain sur la pornographie, cet élément que l’on peut appréhender à travers une formule puisée dans Claude Lévi-Strauss: le sexe est bon pour la réflexion. Dans La Pensée sauvage et d’autres textes, l’ethnologue affirme que de nombreux peuples ne pensent pas à la manière des philosophes, en manipulant des abstractions. Ils pensent avec du concret – les réalités de la vie quotidienne, comme l’aménagement de la maison et les tatouages, ou des objets imaginaires tirés du mythe et du folklore.
https://bibliobs.nouvelobs.com/en-partenariat-avec-books/20111201.OBS5832/quand-la-pornographie-tenait-salon.html

B dit: à

Bouguereau, c’est une tâche qu’elle s’assigne, nous éclairer sur l’étendue des dégâts. En plus du caractère d’utilité publique, MS en tire d’une façon pionnière le frisson du risque lié à la proximité d’un sujet tabou et dégoûtant.

closer dit: à

Je me doutais bien que Paul aurait quelque chose à dire sur Gadda, merci.

« des acrobaties bizarroïdes et peu convaincantes avec une syntaxe déstabilisante » ne m’attirant absolument pas, je commencerais plutôt par « La connaissance de la douleur » si je me décidais à y aller voir…

et alii dit: à

, Romans libertins du XVIIIe siècle: une dizaine de récits ramassés dans un seul volume de 1 300 pages. On peut donc faire enfin un tour à peu près complet de l’Enfer littéraire français. Que nous révèle-t-il sur l’histoire de la pornographie et sa place dans l’aventure de la pensée?
« La pornographie n’est plus ce qu’elle était

Le mot, comme la chose, est sujet à controverse. Pour les uns, le terme «pornographie» devrait être limité à sa racine étymologique – signifiant un écrit relatif aux prostituées –, ce qui le distingue de l’érotisme en général. Pour les autres, il s’applique à la description d’activités sexuelles censées exciter le lecteur ou le spectateur et qui bravent la morale conventionnelle. Un esprit postmoderne pourrait soutenir que la chose n’existait pas avant la création du mot, c’est-à-dire avant la première moitié du XIXe siècle. C’est alors seulement, par des mesures comme la création de l’Enfer, que le discours public sur le sexe a défini une catégorie d’ouvrages érotiques jugés particulièrement répréhensibles.
https://bibliobs.nouvelobs.com/en-partenariat-avec-books/20111201.OBS5832/quand-la-pornographie-tenait-salon.html

Marie Sasseur dit: à

Le contenu de ce rapport du Sénat contient des indications difficilement soutebables, il faut le dire, à ceux qui découvrent, comme moi.

Et vu le nombre d’amateurs de vidéos porno, ceux qui sous une forme ou une autre font mine de minimiser le sujet, si je comprends bien l’intervention des mêmes ici, ou de l’envoyer prestement sous le tapis, comme on l’a vu en  » litterature « , je me demande si on vit bien dans le même monde.

« Les contenus les plus violents sont les plus regardés. Les vidéos figurant dans les top rated contiennent des pratiques extrêmement violentes »

Allez les  » gonzos », c’est pour vous, tout ça :

https://www.senat.fr/rap/r21-900-1/r21-900-14.html

et alii dit: à

Mais, après être devenue politique (voir Dom Bougre aux États-Généraux [1789]), elle se fit triviale (Les Quarante Manières de foutre [1790], pseudo-manuel de sexe écrit à la manière d’un livre de recettes, pour l’essentiel de restauration rapide, du genre: «Prenez une cuisse, ajoutez du beurre, couvrez, laissez mijoter…»)

B dit: à

La philosophie dans le boudoir, porno or not porno?

Jazzi dit: à

« Massages, loool, thai »

Un jour, dans un établissement spécialisé de Bangkok, Chedly m’avait réservé une séance de massage complet, d’environ 1 h 30.
Le grand massage.
Lui m’avait précédé pour un massage plus court.
J’y suis allé et me suis fait magistralement masser par un jeune homme, du sommet du crâne jusqu’à la pointe des pieds.
Huilé, palpé, massé, centimètre par centimètre de peau, longuement, délicatement et efficacement.
Après en avoir fini avec le devant du corps, le masseur m’a fait me retourner sur le ventre, la tête coincé dans un coussinet en cuir circulaire et ouvert.
A un moment donné, au passage des fesses, je me suis dit mais je rêve, il me semble qu’un doigt s’est glissé dans mon anus !
Après quoi, j’ai été branlé délicatement mais fermement jusqu’à terme, presque sans m’en apercevoir.
A la fin de la séance, le masseur en souriant, l’air professionnel et sérieux m’a demandé si je voulais une deuxième séance éjaculatoire.
Je l’ai remercié et lui ai dit que ce n’était pas nécessaire et que je me sentais parfaitement détendu.
En sortant, Chedly, qui m’attendait au bar de l’établissement, m’a demandé en éclatant de rire si tout s’était bien passé.

Pornographie ou tradition culturelle, Marie Sasseur ?

Marie Sasseur dit: à

Le rapport du Sénat traite également de pedopornographie. Cela dit pour ceux qui veulent des réponses à leur vice.

Bloom dit: à

Pornographie ou tradition culturelle,
—
Simple commerce.
Prostitution ‘soft’.
Rien de ‘culturel’ là-dedans. De l’économique, de la tête au pied.
Un des plus important marqueurs culturels en Thaïlande est la pudeur.
On baise ou autre pour croûter & on s’arrange avec sa conscience au temple en faisant des offrandes au Bouddha.

Marie Sasseur dit: à

Vous qui entrez ici abandonnez toute espérance.

Y compris celle de croire que la littérature, à l’écrire ou la lire, va les rendre plus humains.

Jazzi dit: à

A l’époque, Dominique Latournerie et Charles Pasqua avaient voulu interdire Gai Pied, le boug.
C’était du temps où je m’occupais des pages du Gai savoir de cet l’hebdo.
Heureusement que Jacques Chirac, qui après avoir déclaré à son ministre de l’intérieur qu’il ne le savait pas si prude, n’avait pas obtempéré à sa demande…

Jazzi dit: à

« Rien de ‘culturel’ »

C’était pourtant fait avec art, Bloom !

Marie Sasseur dit: à

Barozzi est quand même le seul qui a posté sur ce blog une vidéo trash porno scatologique, sans effet d’annonce, et en à fait se barrer sans prévenir non plus.

Alors les  » goûts  » de ce monsieur pour les massages thaïlandais, ma foi, on a bien compris de quoi il s’agit.

Marie Sasseur dit: à

Matzneff est leur modèle à tous ces delinquants sexuels, sous prétexte de littérature.
Lui aussi avait ouvert un site  » exotique  » pour moins de 16 ans. Moins de 16 ans c’est l’âge des « acteurs « , pas des clients amateurs de pedopornographie.

bouguereau dit: à

Simple commerce.
Prostitution ‘soft’.

le blé aussi kabloom..e cours se tient de manière toutafé transparente a chicago..pour pas faire lhantisémite attation..il y a la loi kabloom..et certes aussi la liberté des formules de style..quand au marqueur culturel français tu as souvent daubé que la terre ne mentait pas..bref..tout change..et -partout-..méfiance

bouguereau dit: à

Vous qui entrez ici abandonnez toute espérance.

Y compris celle de croire que la littérature, à l’écrire ou la lire, va les rendre plus humains.

le premier droit humain que la littérature nous permet dexercer..c’est la liberté kapo térezoune..son lieu dexcellence..quant a te rende plus humain..ma foi..c’est telment telment notre tradition qu’elle dirait méloni

B dit: à

A propos de la Thaïlande, vu cette série: 30 degrés en février. Avec ce personnage affreux du pilote retraité tyrannisant sa femme.

Jazzi dit: à

« et en à fait se barrer sans prévenir non plus. »

Pas de veine, Marie Sasseur est toujours fidèle au post(e) !
A croire qu’elle en a vu bien d’autres…

B dit: à

Y compris celle de croire que la littérature, à l’écrire ou la lire, va les rendre plus humains.

On constate chaque jour les effets sur vous.Chez certains elle fonctionne comme un apprentissage au mensonge, à la dissertation, à la dilution pour noyer le poisson, l’éloquence… chez d’autres elle sert d’ ornement, d’autres s’en font un laisser-passer, une médaille, un cache-sexe. De là à penser qu’elle pourrait modifier quoi que ce soit à leur nature est une erreur à mon avis.

Jazzi dit: à

A Paris, les salons de massage ont remplacé les bordels fermés depuis la loi Marthe Richard.

Progrès ou régression ?

B dit: à

Si on y attrape pas de MST et si le personnel n’est pas exploité de façon abominable, oui, progrès. En fait je n’en ai aucune idee précise n’ayant frequenté aucune de ces solutions palliatives.

Marie Sasseur dit: à

Quel que soit le laxisme opéré , dans les commentaires, vis à vis de ce qui ressemble, de la part des mêmes, à une apologie de la pornographie, ou plus sournoisement qui brandissent un « art-libi « ( pratique de ceux qui ont du  » goût  » pour la pedopornographie ou ont défendu, y compris par leur silence assourdissant, la « pedophilie », qui n’autre nom que pedocriminalité) ,
quelle que soit cette adversité , que vous faisiez partie occasionnellement ou a demeure par conviction, et qui se situe en dehors de la communauté humaine,
je continuerai inlassablement de vous dénoncer.

Marie Sasseur dit: à

correction: la « pedophilie », qui n’a d’autre nom que pedocriminalité

Marie Sasseur dit: à

quelle que soit cette adversité , que vous en fassiez partie occasionnellement ou à demeure par conviction, et qui se situe en dehors de la communauté humaine,
je continuerai inlassablement de vous dénoncer.

Voilà

Encore une chose , le programme , si on peut dire, est dans le lien qui suit.
N’hésitez pas à le mettre dans vos favoris.

https://www.senat.fr/rap/r21-900-1/r21-900-1.html

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*

VOUS AIMEREZ AUSSI