de Pierre Assouline

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La République des livres
De quelques autres romans dont on parle aussi

De quelques autres romans dont on parle aussi

Faut-il vraiment considérer un roman comme un organisme vivant doté d’un cœur battant et ses deux ventricules, le réel et la fiction ? En tout cas, Isabelle Desesquelles illustre une fois de plus cette conception dans Là où je nous entraine (288 pages, 20,90 euros, Lattès) mais avec plus d’intensité encore que dans ses précédents livres. A croire qu’elle a tout jeté dans l’affaire, tout ce qu’elle avait de plus intime et de plus précieux comme on joue son va-tout. Et pour cause : nous voilà embarqués dans l’histoire de deux petites filles dont la mère, dépressive et romantique, traductrice du russe mais du genre obsessionnel, à consacrer sa vie à un livre (La Guerre et la paix) s’est donnée la mort. L’annonce, l’absence, le vide, chacun sait les stations de ce chemin de croix. La lecture puis la découverte de la littérature et enfin l’écriture sauveront la petite fille devenue jeune fille puis femme de l’attrait du néant. Il n’y pas que la sororité : la mort hante son récit- et comment en serait-il autrement après un tel traumatisme ?

C’est le livre plus délicat à écrire, le plus difficile, le plus ambitieux pour l’auteure. Elle a su trouver la note juste et s’y tenir, qui plus est tout au long d’un double registre d’écriture, ce qui en augmente la complexité (lire un extrait ici). Comme si Thomas Mann avait intégré le Journal du docteur Faustus au Docteur Faustus, ou Gide le Journal des faux-monnayeurs à son roman. Le risque (heureusement contourné) d’un tel dispositif est de se regarder écrire. Mais quelle force sous la douceur, quelle fluidité sous la densité, quelle émeute d’émotions. On imagine l’épreuve que cela a représenté pour elle de l’écrire et la délivrance que c’est de ne plus avoir à l’écrire. L’ombre de pages de Clarice Lispector et de Philippe Jaccottet traversent ce roman. La Gene Tierney à laquelle s’identifie la narratrice est celle de The Ghost and Mrs Muir (1947), l’un des grands films de Joseph Mankiewicz enveloppé de la B.O. hitchcockienne de Bernard Hermann. On imagine que son inconscient y a puisé le néologisme d’«enfantôme ».

Le genre de livre que l’on écrit pour débarrasser les siens des non-dits qui pourraient les freiner, du poids d’un secret de famille, ce fardeau que l’on se repasse d’une génération l’autre non comme un sparadrap haddockien mais comme un paquet de névroses. L’écrivain y est incarné comme une mèche allumée sur un baril de poudre, la famille. L’explosion a produit ce roman qui secoue, trouble et parfois bouleverse. Parvenue à maturité, la narratrice croit se libérer dans une sexualité débridée dont elle ne nous cèle guère de détails, notamment dans l’évocation crue de ses relations avec un producteur qui suinte la promotion canapé. Mais la folie, les crises, le sentiment abandonnique lui font toujours cortège. Elle demeure une orpheline déboussolée qui se demande comment aimer une mère qui a fait tant de mal à ses enfants.

Avec Le Prince de Babylone (17,50 euros, 192 pages Seuil), Marianne Vic nous emporte, elle, derrière les faux-semblants d’une réussite internationale sans équivalent, sous l’illusion d’un mode de vie fastueux, l’inexorable descente aux enfers d’Yves Saint-Laurent. Par le biais d’un portrait romancé très subtilement agencé par quelqu’un de la famille (sa nièce, manifestement), nous sommes entrainés à la source du mal-être de ce créateur de génie : une famille de bourgeois névrosés totalement dysfonctionnelle dans l’Algérie coloniale, où l’on tait ce dont on ne doit pas parler (viol, inceste, bâtardise, honte de l’homosexualité), avec la figure dominante d’une mère monstrueuse régnant sur le clan féminin qui l’a élevé.

Le roman fait moins de 200 pages mais c’est la bonne distance car il est dérangeant, toxique, violent, troublant, construit sur des allers-retours chronologiques entre le Saint-Laurent oranais et le YSL parisien et marrackchi, mondial et mondain, alcoolotabagique et drogué, voué à son autodestruction, évoluant entre les Noailles, Jacques de Bascher, Karl Lagerfeld, Pierre Bergé, Victoire de Castellane, Anne-Marie Munoz… Tout ce qui n’apparaissait pas dans les deux biopics que le cinéma lui a consacrés, en tout cas pas aussi crûment, intelligemment. Une vraie mise à nu. Le roman commence et finit à l’église Saint-Roch, pour ses obsèques et pour le dixième anniversaire de sa disparition.

Le portrait du héros, sans renoncer à l’admiration affectueuse, est cruel car il ne dissimule rien de sa misogynie, de sa misanthropie et du mépris absolu qu’il vouait à tous, ne réservant son amour qu’aux animaux. Il n’en est pas moins s attachant pour ses défauts même. Un exploit car ce livre fait parler de sa famille celui qui n’en parlait jamais. Seule Marianne Vic pouvait se le permettre, et pour cause… Passionnant car très vivant, écrit, émaillé de choses vues et vécues, informé de l’intérieur. Mais quelle tristesse au fond que cette existence vouée à la solitude. Le rosebud de ce maniacodépressif qui s’étourdissait dans la relecture à l’infini de la Recherche du temps perdu ? El Nino azul de Goya, qui trônait dans son salon entre autres chefs d’œuvre, en face duquel il passait des nuits seul sans dire un mot, tableau qui se trouve désormais au Louvre…

Après la révélation du Bal des folles, Victoria Mas tient déjà ses promesses avec Un miracle (19,90 euros, Albin Michel), deuxième roman sur un adolescent perturbé qui jaillit dans une île du nord-Finistère en s’épanchant sur ses visions, son contact privilégié avec le monde invisible. S’il a eu une apparition, ce ne peut être que la Vierge. Ca finira mal pour lui. Mais on est emporté, on y va jusqu’au bout car Mas fait preuve d’une impressionnante maitrise de son sujet, de ses personnages, de son écriture (lire ici un extrait). On n’a peut-être pas aperçu Marie mère de Dieu, mais un écrivain à coup sûr.

Rien à faire : à la parution de chaque tome des mémoires de Yann Moix (celui-ci est le quatrième), je me laisse prendre par ce type pourri de talents mais si autodestructeur qu’il semble être le premier obstacle à leur éclosion. Cette fois, Paris (256 pages, 20,50 euros, Grasset). De volume en volume, je demeure convaincu que s’il avait tout rassemblé en un très gros livre, celui-ci aurait fait événement car le projet littéraire serait apparu incontestable – et Dieu sait que ce fou de littérature avait une vision et possède un indéniable talent (lire ici un extrait). Cette fois, il raconte ses tous débuts. C’est vif, drôle, pathétique. Au sens étymologique du terme: « qui émeut ».

 Enfin, tout autre chose. Encore que… Avec Simon Liberati, il faut s’attendre à tout même si l’univers de Performance (252 pages, 20 euros, Grasset) ne surprend pas dans son œuvre. Un producteur commande à un écrivain un scénario pour un projet de film sur les Rolling Stones des tous premiers temps. De leur naissance à la mort du manager Brian Epstein. En plein dans les sixties. L’écrivain, septuagénaire endetté et à sec question inspiration, n’arrête pas de ne pas écrire depuis des années. Parallèlement il vit une liaison bouleversante avec une mannequin anorexique (non, ce n’est plus un pléonasme encore que, à l’époque de la Schrimp…) qui pourrait être sa petite-fille. Il y a de belles pages sur l’icône Marianne Faithfull, la rivale Anita Pallenberg, les coucheries de l’androgyne Mick, la volupté du spectacle de la déchéance… (lire ici un extrait).

On suit l’écriture du scénario tandis que le narrateur vide les flacons de whisky. On apprend des choses sur la bisexualité de Jagger, le rapport entre la coke et le sado-masochisme, la difficulté de réussir des scènes de drogue au cinéma… Colette, Nerval, Rousseau, Larbaud, Mandiargues viennent faire un tour en vedette américaine car Liberati est un grand lecteur et il a de la patte. N’empêche que par moments, on dirait un Gault-Millau des substances : tout sur le LSD et ses variantes, les tripsd’acide, l’opium à mâcher, les champignons hallucinogènes, la poussière d’ange… « Les années 60 furent plus violentes et destructrices qu’aujourd’hui » écrit-il. Le narrateur est tellement schooté qu’il croit que les arbres ne l’aiment plus. Nous non plus et inversement. Lecture planante pour les nostalgiques de Rock & Folk première manière (j’en suis) mais c’est tout. A lire en récoutant As tears go by version Faithfull puis version live des Stones (ce livre-là supporte d’être lu en musique, ce n’est pas du Carl Schmitt).

(« Yves Saint-Laurent » photo D.R.; « Image extraite de The Ghost and Mrs Muir, film de Joseph Mankiewicz, D.R. ; Francisco de Goya y Lucientes, Portrait de Luis María de Cistué y Martínez (1788-1842), dit El niño azul (L’Enfant bleu), mars-avril 1791, Huile sur toile, 118 cm x 86 cm, Collection Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, don Pierre Bergé, 2009, Musée du Louvre ; « Euston Station à Londres : Mick Jagger, leader of the Rolling Stones, and his girlfriend, Marianne Faithfull, as they boarded a train for Bangor, North Wales, where they will attend a Love Pilgrimage. Also aboard the train were the Beatles. They are to spend five days living with Himalayan mystic Maharishi Mahesh Yogi, who has expounded the love doctrine around the world for years, 1967).

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

938 Réponses pour De quelques autres romans dont on parle aussi

rose dit: à

Sabolo sa maman italienne, a vécu en Suisse à Genève. Ne connais pas la nationalité du beau-père.

rose dit: à

Christine Angot aussi se revendique auteur.

rose dit: à

Question :
Qui sait l’importance de la montagne et de la mer ?

et alii dit: à

Que savez-vous de la vie ?
j’ignore ce que vous appelez ‘ »la vie », et cela ne m’intéresse pas particulièrement! c’est très exactement le genre de questions que je ne poserais pas à une personne dont je pense qu’elle n’a rien appris de la vie
je vais oser , puisque je suis la plus idiote des personnes qui se risquent sur ce blog à évoquer un livre en rapport avec votre question de post- analysante :
« Dans ce petit livre en gros caractères de 55 pages se trouve le dernier entretien accordé par Jacques Derrida à un journaliste, le 19 août 2004, moins de deux mois avant sa mort (le 9 octobre 2004). On ne sait si c’est Jacques Birnbaum ou Derrida lui-même qui a choisi comme point de départ l’exorde de Spectres de Marx : « Je voudrais apprendre à vivre enfin ». En tous cas Derrida répond : Je n’ai jamais appris-à-vivre, et à mourir non plus [et pourtant j’ai vécu, je meurs]. On ne sait pas non plus qui a choisi le titre du livre, Apprendre à vivre enfin, qui, est distinct de celui de l’article paru dans Le Monde, Je suis en guerre contre moi-même. »
dans la mesure où c’est évoquer la question de l’enseignement, voici un lien pour mieux vous « répondre », « maîtresse »
« . Mais qu’est-il donc question de transmettre, et comment ? Cet idéal « démocratique » en matière de Limoud Torah n’est peut-être pas aussi évident qu’il n’y paraît, et le rapport du maître à l’élève soulève un certain nombre de questions portant précisément sur l’éducation et la transmission.  »
https://www.ayeka.net/post/du-ma%C3%AEtre-%C3%A0-l-%C3%A9l%C3%A8ve-r%C3%A9flexions-sur-l-enseignement

renato dit: à

« Que savez-vous de la vie ? »

Prétentions ridicules de certains bien à part, tout le monde connait la vie et en sait quelques choses.

27.9 — 6.57

bouguereau dit: à

dailleurs ne dit on pas une vie dcon rénateau

bouguereau dit: à

un livre en rapport avec votre question de post- analysante

la psychanalise et ses pretentions -fondées- au surcode dla conrie..c’est une position forte rénateau..suffit douir renfield..et ses désirs de mitre de papesse dla bétise

bouguereau dit: à

Christine Angot aussi se revendique auteur

on l’encule qu’il dirait dirfilou

bouguereau dit: à

Bernard Moitessier après avoir refusé d’accoster lors de son premier tour du monde en bateau était mort dans son lit dans son pavillon de banlieue

et les pilers de bistrots qu’ont sifflé leur patis sec et qui meurent noyés dans un fossé..aux chiottes tes csp+ rosy

bouguereau dit: à

Chez « La Chinoise » de Jean-Cul Go-Dard !

« j’aime pas trop les mecs qui exibent leur gros cigare et qui le font penser à leur place »..entendu incidemment bien à part dune groupie de harvey hier soir dans le longe bar du george five..

closer dit: à

Courrez sur le blog de Paul Edel, pauledelblog.fr, pour lire son analyse de « Guerre et Paix »…Vous verrez que ça ne parle pas que de « La Russie » mais, génialement, de l’humanité toute entière…

Alexia Neuhoff dit: à

closer dit: à

Courrez sur le blog de…

Une façon de ne pas manquer d’R !

et alii dit: à

MANOREXIE!
La manorexie se soigne comme l’anorexie mentale, et commence avec une prise de conscience chez les proches de la victime : « Le premier travail de l’entourage est de détecter le trouble du comportement alimentaire en étant attentif », rappelle Le Dr Corinne Blanchet-Collet. C’est d’autant plus important que les hommes ont généralement plus de mal à accepter le fait qu’ils souffrent d’anorexie mentale, il est donc essentiel d’évoquer le sujet avec eux pour les orienter vers des soins.

Comme tout autre trouble du comportement alimentaire, la manorexie se soigne grâce à la combinaison de plusieurs disciplines médicales : médecin somaticien, psychiatre, psychologue, diététicien, endocrinologue… Des soins complets qui peuvent prendre du temps : entre 2 et 5 ans en moyenne. Pendant cette période, le soutien des proches est essentiel : « Les malades ont besoin d’être maintenus dans la vraie vie, afin d’éviter l’isolement. Or, les proches peuvent agir comme un ancrage, pour aider la personne à garder contact avec la réalité extérieure ».

et alii dit: à

,à choisir un mot-nom, je n’aurais pas dit Assouline, mais rosebud
Rosebud
Pierre Assouline

closer dit: à

ça vous arrive jamais Alexia ? Courez quand même !

MC dit: à

Tout à fait d’accord, Closer pour Paul Edel. C’est jour de fête aujourd’hui . Clopine ne pense pas à m’attribuer l’avatar Lucien Bergeret! Bénie soit-elle….

renato dit: à

Rosebud — Citizen Kane…

Janssen J-J dit: à

@ puisque je suis la plus idiote des personnes qui se risquent sur ce blog

Je ne sais pas… c bien possible mais pas sûr, ça dépend, c compliqué, « en fait ».

D. dit: à

J’ai mangé du riz cantonnais avec des petits nems et en dessert un gros beignet aux pommes.

D. dit: à

Il y avait des chansons chinoises en fond sonore. J’ai demandé à la serveuse ce que voulaient dirent les paroles, elle m’a répondu que ça parlait d’amour puis m’a offert un alcool de riz dans une petite tasse . Au fond dans une perle de verre il y avait Mao Tsé Toung. Ou bien une concubine. On ne voyait pas bien.

D. dit: à

Je lui ai dit à demain.

Patrice Charoulet dit: à

Curieux nietzschéen !

Depuis quelque temps, Géraldine Muhlmann anime l’émisssion consacrée à la philosophie chaque matin sur France Culture. Avant même son arrivée, en voyant son très beau CV, je m’en suis réjoui.
Ce n’est certes pas une tâche facile. Cette semaine est consacrée à Nietzsche. Chaque jour on peut entendre deux spécialistes pour examiner un aspect de Nietzsche.
Ce matin , un des deux invités était Patrick Declerck.J’ai été un peu surpris d’entendre qu’il était
« un pote de Nietzsche ».Il a déclaré notamment plusieurs choses :
« Les SDF sont mes humains préférés. » « Je hais la démocratie . » « Tout me dégoûte, sauf ma
chienne. » « Je me shoote à Jean-Sébastien Bach. »
L’animatrice lui a fort obligeamment fait de la pub pour son livre « Sniper en Arizona ».
L’auditeur n’a pas été plus instruit sur Nietzsche après tout ça.
Certes le choix des invités n’est pas facile. A mon humble, celui-là n’a pas été des meilleurs.

bouguereau dit: à

Au fond dans une perle de verre il y avait Mao Tsé Toung. Ou bien une concubine. On ne voyait pas bien

c’était sa bite à mao..c’est pour tester la combativité de loxidental..mais t’as préféré zapper..comme tous les lâches..en conséquence de quoi linvazion de formose est himminante

bouguereau dit: à

Clopine ne pense pas à m’attribuer l’avatar Lucien Bergeret! Bénie soit-elle….

c’est meussieu courte qui renvoie la botte de foin..il a le gourdin..la religion à un fondement et bonne clopine lincarne

bouguereau dit: à

Une façon de ne pas manquer d’R !

keupu a toujours la courrrante alesquia..comment dire..il ne manque de rrrrien..enfin on préfèrre en rester ignorrrant

bouguereau dit: à

A comparer avec « « La mort c’est rouge. Et puis c’est bleu… Et puis c’est froid. Et par-dessus tout, �a devient un silence…! La mort, c’est un silence de mort. » Le colonel Chabert – Balzac

dans les nde y’a 2 cas grüngrün..ou bien t’es accepté et tu vas vers la lumière..et halors esplosante fisque..garnde prairie..banquet..wahala..ptites pépées….hou bien y’a un espèce de madame du one toutout qui te dit « halte là minabe..c’est trop cher pour toi..va donc enculer médor dehors et réchauffe toi au pinard »..hé houi c’est ça la science..le reste c’est dla littérature et du parti pris

et alii dit: à

Le Petit livre des couleurs LE SEUIL
Michel Pastoureau
Dominique Simonnet

et alii dit: à

BOOKS/
Face à ces personnages, les lecteurs de Golem sont aussi perplexes que les habitants du shtetl. Et l’auteur, Maciej Płaza, finaliste pour ce roman du prix Nike, ne leur vient pas en aide. Car, pour lui, l’essentiel est ailleurs, estime le magazine culturel Dwutygodnik : « Son objectif est de créer l’image la plus riche possible d’une communauté juive de province », bientôt menacée par les pogroms et la guerre. Et ce surtout grâce à la langue, mêlant polonais, yiddish et hébreu. De quoi s’attirer les louanges de la presse, comme Dwutygodnik, qui « ne doute pas que des doctorats lui seront consacrés » : « La question de la langue est essentielle pour comprendre le projet de Płaza, qui fait preuve d’une grande sensibilité et d’une imagination linguistique considérable. »

Quant à l’érudition de l’auteur, elle est sans faille, assure le magazine : « Płaza a lu tout ce qui peut l’être sur la kabbale et le folklore juif. » Culture.pl salue la capacité du romancier à s’approprier cette tradition hassidique pour mieux la « réinterpréter » dans une œuvre unique où les frontières entre mysticisme et réalisme ont disparu.
Golem, de Maciej Płaza, W.A.B., 2021.

Janssen J-J dit: à

@ Les SDF sont mes humains préférés. Je hais la démocratie. Tout me dégoûte, sauf ma
chienne. Je me shoote à Jean-Sébastien Bach. Et Nietzsche en a pleuré. Une civilité rudement mise à l’épreuve du métro, face aux mancheurs : certains voyageurs, comme dirait Carole, cessent de donner le jour où ils s’aperçoivent qu’un SDF a jeté à la poubelle le sandwich qu’il venait de recevoir juste auparavant ; certains donnent toujours au même SDF devenu familier ; certains donnent seulement des cigarettes mais jamais d’argent, ou seulement de la nourriture. Certains ont donné mais ne donnent plus. D’autres se sont mis à donner à la faveur d’une situation ayant changé leur sentiment de responsabilité. D’autres enfin se dont mis à embrasser un cheval de douleur. Tous.tes ont éprouvé de la honte ou du malaise, derrière le masque de l’inattention civile. Je sais pas vouj, mais moij oui…. quand j’étais obligé de vivre dans les enfers urbains. Ce n’est plus le cas, Nietzsche s’est guéri.
Bon courage.

renato dit: à

Vérifiez les liens et al., ou on finira pour vous croire vaguement aliénée…

renato dit: à

Le referendum des anciens soviétiques : comique-obscène.

Marie Sasseur dit: à

Tweet:
« On ne perd jamais son temps à (re)lire « La guerre et la paix » de Tolstoï, fresque dont la clarté des phrases enchan… »

La question est intéressante.
Quelle est la motivation qui ferait qu’une lecture est une perte de temps ou non.

Est- ce que temps de lecture est un critère qui doit apparaître sur les bouquins, comme il apparaît en tête de certains articles de journaux en ligne.

Pourquoi ce texte de Tolstoi ( 3000 pages ?) ne serait une perte de temps pure et simple ?
Vous en avez à faire qq chose vous, de Napoléon en Russie, par Tolstoi?

Moi je m’en tape, à un point inimaginable !
sérieux, la vie est trop courte et si le temps est la seule chose qui reste à offrir, alors Tolstoï peut aller se faire voir. Edel aussi.

Paul Edel dit: à

Chère Marie Sasseur, vous êtes la Sandrine Rousseau de la critique littéraire.

Janssen J-J dit: à

pourquoi insulter les gens qui ont à rattraper du temps à perdre avec des romans guère épais ? l’OTAN de lecture, une défense sacrée. ‘Ce qu’il faut de terre à l’homme’, disait mon bon Tolstoî, dans un petit conte dénonçant la rapacité des koulaks à vouloir posséder un max de terre dans un temps des plus courts.

Jean Langoncet dit: à

@Vous en avez à faire qq chose vous, de Napoléon en Russie, par Tolstoi?

De la coiffe de bécassine. C’est à l’humanité entière que Tolstoï s’adresse, l’humanité de tous temps, au-delà du cas particulier de Napoléon en Russie ; avant qu’il ne devienne un parfait sénile et aigri conchiant (avec compassion) les littérateurs en leur salon, meublé façon ikea vintage (la boite a de l’antériorité dans le standard). Comment pourrait-il en être autrement ?

Jean Langoncet dit: à

Nota : je l’ai sans doute déjà dit, j’aime bien Sandrine Rousseau (pas du genre à servir la soupe à une « pluie de miracles » devant quelques premiers jets disparates du « plus grand écrivain du monde » ; clin d’oeil à l’appui)

Marie Sasseur dit: à

Cher Edel, vous êtes le meilleur du bolchoï littéraire de Paris, Saint Germain.

Rousseau ?
oui bien sûr tout de suite :plus Jean-Jacques que ces obsédés du cul du chez eelv, comme vous.

D. dit: à

Je m’ferais bien des merguez au barbecue, moi.

Marie Sasseur dit: à

Cher Edel, vous êtes le meilleur pour le kazatchok littéraire de Paris, Saint Germain.

Rousseau ?
oui mais JJ Rousseau.

Marie Sasseur dit: à

Ce pauvre vieux misogyne qui en appelle à cette folle furieuse d’eelv pour insulter tout ce qui ne se met pas à genou devant ses articulets.

Si vous aviez compris Tolstoï, vous causeriez de l’histoire, pas de vos fantasmes !

Tenez, apprenez à lire,
si Rousseau , JJ Rousseau est un voisin, en voilà un autre :

« Joseph de Maistre et Tolstoï, « alliés bizarres mais évidents »

La seconde partie de l’essai d’Isaiah Berlin permet d’approfondir la conception philosophique de Tolstoï à partir d’un rapprochement, peu commun, entre le romancier russe et Joseph de Maistre, dont le premier s’inspira largement durant la rédaction de Guerre et paix. Si leurs divergences sont nombreuses, Isaiah Berlin met en exergue une parenté convaincante entre les deux œuvres, où l’irrationalisme du premier converge avec l’attention au détail du second. En postulant l’impuissance de la raison à diriger les hommes livrés à la fureur des instincts et à la destruction, Joseph de Maistre rejoint Tolstoï dans l’impossibilité de rendre compte d’un ordre historique. Mais, comme chez le romancier russe, cette constatation n’aboutit pas au renoncement à la foi dans le déterminisme historique auquel le philosophe catholique adhère instamment. Les deux penseurs se retrouvent alors dans la réfutation des courants historiographiques et dans une similaire entreprise de démolition des théories unificatrices : à défaut de pouvoir opposer une théorie positive alternative que leurs conceptions rendent impossibles, « c’est seulement en montrant les faux poteaux indicateurs pour atteindre son but que [Tolstoï, comme de Maistre,] peut tenter d’en indiquer la direction ». »

https://philitt.fr/2020/10/29/le-renard-qui-voulait-etre-un-herisson-tolstoi-a-la-lumiere-de-joseph-de-maistre/

Jean Langoncet dit: à

@Vous avez du temps à perdre ?

Allez-y :

Au chapitre des considérations inactuelles.
Fidèle à la méthode de la pioche au hasard, je tombe là dessus :

« (…)Quand Pierre rentra chez lui on lui remit deux affiches de Rostoptchine, apposées ce jour-là.

Dans la première, il était dit que le bruit d’après lequel le comte Rostoptchine aurait défendu de quitter Moscou était faux, qu’au contraire le comte Rostoptchine serait très heureux que les dames et les femmes de marchands quittassent la ville.

« Moins de peur, moins de potins, » était-il dit encore ; « mais je réponds sur ma vie que le brigand ne viendra pas à Moscou ! » Ces paroles, pour la première fois, montraient clairement à Pierre, que les Français viendraient à Moscou. La deuxième affiche indiquait que notre quartier général était à Viazma, que le comte Vittenstein avait vaincu les Français, mais que, comme plusieurs habitants désiraient s’armer ils trouveraient à l’arsenal, préparés pour eux, des sabres, des pistolets, des fusils qu’ils pourraient recevoir à bon marché. Le ton des affiches n’était plus aussi plaisant que dans les anciennes conversations de Tchiguirine. Devant ces affiches, Pierre devint pensif. Ces nuages orageux qu’il appelait de toutes les forces de son âme et qui, en même temps, malgré lui, l’emplissaient d’horreur, étaient évidemment proches.

— « Entrer au service militaire et partir à l’armée, ou attendre ? »(…)

Commencement du Chapitre XVIII

bouguereau dit: à

toulmmonde y trouve son plaisir là où il le cherche..rénateau chez lavrof..polo chez tolstoille..et térezoune à sinmalo..hévidemment blatazar y’a langoncet qui cherche au hazar

bouguereau dit: à

Tolstoï peut aller se faire voir. Edel aussi

je sais pas si rousseau y trouvrait son plaisir polo..c’est..comment dire..trés spécial

et alii dit: à

MERCI RENATO.je les vérifie en général; duquel en particulier vous plaignez vous?

D. dit: à

73639 nouveaux cas de Covid en 24h en France !
La situation est préoccupante. Alors que le virus circule en ce moment 15 à 20 fois plus qu’il y a un mois, la population semble n’en tenir aucun compte dans ses comportements et attend connement la flambée paralysante.
Il faut dire qu’avec les récentes déclarations mensongères de Biden…

D. dit: à

J’ai déjà 3 collègues cloués au lit à cause de ça. Moi j’y ai échappé.

MC dit: à

« en postulant l’impuissance de la raison à diriger les hommes livrés à la fureur des instincts et à la destruction, Joseph de Maistre rejoint Tolstoi ». Encore faudrait-il savoir où et quand, mais, cette position serait-elle fondée, on pourrait aussi bien argumenter qu’ils rejoignent Shakespeare, Sénèque, etc, etc. C’est bien gentil le coup du plus petit diviseur commun, mais ici , chère Marie, la ficelle se voit trop. J’en demande bien pardon à votre Isaiah machinchose, derrière lequel vous vous abritez pour vous empêcher de penser par vous même! Bien à vous. MC

Marie Sasseur dit: à

Le chien de garde d’Edel vient japper.
Cet imposteur, débile, qui ne lit absolument rien,
je montre la lune et il me suce le doigt
*copyright Proust, Gaspard Proust

Va coucher, on n’a pas attendu Edel pour lire Tolstoï et sa mystique religieuse.

Janssen J-J dit: à

@ je montre la lune et il me suce le doigt

etmoi, je mont’mon doigt et l’me suce la lune ?… C’est meux, non ?…

T’en penses quoi, toué, commenk tu fais ?

Janssen J-J dit: à

si on n’aurait pas sandrine rousseau, faudrait l’invhenter… hein,

Marie Sasseur dit: à

Je cherche la réflexion de Nietzsche ( référence exacte du texte) sur ce qu’il est vain de chercher un déterminisme à l’ histoire.
Si vous savez pas, perdez pas de temps.

J-J J dit: à

c’est das l’ecce homo, cherche pas sandrine, c pas pourtoi, tu trouvr’as pas !…

rose dit: à

Lionel Duroy nous a raconté la fin de vie de Tolstoï. Son sujet à lui était Disparaître.
Lassé de voir Sofia son épouse fureter toutes les nuits pour lire ce qu’il avait écrit, un beau jour, il s’escapa.

Il trouva refuge dans une petite gare d’un village paumé mais le chef de gare le reconnaît et il prévint nombre de personnes dont journalistes et je ne sais qui. Tolstoï mourut entouré de multiples individus à l’exception de Sofia.

Marie Sasseur dit: à

Trouvé

Seconde considération inactuelle
De l’utilité et des inconvénients de l’histoire pour la vie (1874)

Jean Langoncet dit: à

Un exode massif a lieu en Russie depuis l’annonce de la mobilisation partielle par Vladimir Poutine. Face à cette fuite, les autorités russes concèdent tout juste des « erreurs ». Des scènes de chaos ont eu lieu dans des centres de recrutement, ainsi que des manifestations dans les rues.
https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/guerre-en-ukraine-un-exode-massif-et-des-manifestations-suite-a-l-annonce-de-la-mobilisation-partielle-en-russie_5384560.html

rose dit: à

« « La misère, et je pèse mes mots, dans laquelle le pouvoir judiciaire est maintenu depuis les 30 dernières années, est pour moi une volonté politique évidente d’assécher le troisième pouvoir. Assécher financièrement un contre-pouvoir, c’est l’empêcher de faire son travail. Seul le pouvoir arrête le pouvoir », analyse Dorothée Drouin-Englinger, vice-présidente du tribunal judiciaire de La Roche-sur-Yon.

Afin d’illustrer cette conviction, une juge d’instruction rappelle les propos du président de la République Emmanuel Macron, défendant le maintien d’Éric Dupond-Moretti au gouvernement par ces mots : « La justice est une autorité, pas un pouvoir ». »

Lorsqu’un individu se retrouve sans limites, il devient éminemment dangereux.

Dupont-Moretti pète de plus en plus les plombs. Il devient hors sol.

rose dit: à

Rencontré Émilienne Malfatto pour Le colonel ne dort pas et Lucas Belvaux pour Les Tourmentés.

La première qui fut reporter de guerre en Irak a dit la guerre c’est […].

Me retrouve maline, ai perdu le mot. L’a répété, ne l’a pas développé c’était la fin de l’entretien.
Cela signifiait qu’il y avait une décharge d’adrénaline et que c’était jouissif, addictif, nourricier.

Je peux affirmer que pas pour les vaincus, non.

Lucas Belvaux a expliqué la grande liberté et légèreté donné par le roman versus l’écriture d’un scénario et sa réalisation.
Il a souligné qu’il aimait ses personnages et qu’il ne construit pas le bon le méchant mais des êtres complexes.
Il a aussi expliqué combien ses êtres sont en évolution et ont la possibilité de changer.
C’était jubilatoire.
Je lui ai attribué le Goncourt quoiqu’il en soit pas sur la liste. Tout le monde a ri, comme d’hab.,j’ai une carrière dans le comique, ce ne sera pas du stand-up.
Lui m’a remerciée, a accepté, m’a dit « je le prends ».
C’était vachement bien ce festival des Correspondances : à poursuivre.

Un seul blème, trop de têtes chenues.
Jeunes gens, quittez Tik tok.

B dit: à

Un exode massif a lieu en Russie depuis l’annonce de la mobilisation partielle par Vladimir Poutine

Une belle façon d’envoyer à la mort les pauvres, les minorités ethniques sans défense ni pouvoir. Les autres, riches protégés, classe moyenne aisée et diplômés fuyant. 261 000 sortis au total.

Marie Sasseur dit: à

28/09/2022 7h31
La possibilité de changer.
Le karma peut dégénérer aussi bien que non.

https://youtu.be/Vi76bxT7K6U

Si je n’avais pas louangé, avec conviction, ce roman de L. Belvaux  » les tourmentés  » sur ce blog, il n’aurait pas eu le Goncourt donc.

Il y a des merci! qui se perdent.

Alexia Neuhoff dit: à

Le Monde (le journal) m’apprend qu’il y a une équipe de « fouchbol » à l’Assemblée nationale. [Est-ce qu’ils s’entraînent Place de la Concorde ou aux Tuileries ?] Je ne sais dans quelle division (c’est, je crois, le terme consacré) ils jouent. En tout cas, la division règne dans leurs rangs : les députés PS et LFI ne veulent pas pour partenaires leurs homologues du RN. Pas même pour un match caritatif. C’est dire si la fracture est profonde. Je ne comprends pas que le capitaine (il doit bien y en avoir un) n’ait pas songé à cette solution : faire jouer les RN à gauche du terrain et les autres à droite. Chacun voulant d’instinct regagner sa position (idéologique), il y aurait forcément brassage, échanges, coups de pied (dans le ballon ou ailleurs). Finalement, je doute qu’ils puissent s’entraîner Place de la Concorde.

B dit: à

Vous êtes indispensable, MS, on se retrouvera au cimetière.
De mon côté lu Chien 51.Rien à voir avec Expiation que je termine de lire avec grand plaisir. GAUDE n’a vraisemblablement pas écrit son meilleur bien qu’il puisse éventuellement servir de scénario. Je ne sais si toute la littérature de rentrée est de cette facture, le maillage me semble trop lâche au sens où j’aurais aimé quelque chose que je n’ai pas trouvé pas qui resterait à circonscrire. Comme je n’ai pas de plume je manque des mots et de l’analyse prompts à définir ce qui à mes yeux fait défaut et qui ne m’encourage guère qu’à stationner dans d’autres sillons anciens ou étrangers.

B dit: à

Notre président souhaite se rendre en Chine, parait-il. Pourrait-il influer sur le cours des choses mondiales, est-ce bien nécessaire d’envisager un voyage inutile sauf à, s’il était reçu, sembler volontaire et se rendre visible le temps d’un flash info.

Marie Sasseur dit: à

Me Dupont- Moretti, ministre de la justice en exercice a bien fait de rappeler qu’en France, il y a une institution judiciaire,
et Mme Badinter de dire que l’imprescripribilite s’applique en aux seuls, mais à eux tous,crimes contre l’humanité.

Partant, que toutes les sandrine rousseau règlent leur problème de touche-moi-pas au sein de leur polit buro et pas à la télé et n’attendent pas la date de prescription pour lancer des fatwas, et que les mecs de ces polit buros vert de gris, bolcheviques, soviétiques et melenchoniens, arrêtent de jouer les talibans. Ils sont en France et doivent respecter les lois.

Marie Sasseur dit: à

l’imprescripribilite, pricri, picri,

L’imprescriptibilité.

« Qui n’est pas susceptible de s’éteindre par prescription »

MC dit: à

Notez , c’est un detail’,qu’on a pas eu la citation équivalente de Dr Maistre – et j’ai. Tout de même lu entre autres les Soirées , qui validerait l’équation absurde de Maistre égale Nietzsche. On est prié de se contenter du rogaton Nietzschéen….

Marie Sasseur dit: à

Le dément mc attend sa pâtée. Ou un bon coup de pied au cul, pour avancer.

Jazzi dit: à

Solidarité avec les jeunes Russes qui ne veulent pas aller à la guerre, solidarité avec les femmes iraniennes qui enlèvent le voile !

Jazzi dit: à

« La justice est une autorité, pas un pouvoir »

Cela tombe sous le sens, rose !

Janssen J-J dit: à

@ l’imprescripribilite

décidément…, Élizabeth, Sandrine et Bécassine trébuchent toutes sur ce terme. Un exceptionnel révélateur de leurs divisions idéologiques à l’égard de « l’autorité justiciaire » françoise.
Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Ce gros connard de mc ne sait définitivement pas lire, aveuglé qu’il est par la haine d’un pseudo.

Janssen J-J dit: à

les iraniennes qui brûlent actuellement leurs voiles alors qu’elles le portent habituellement sans problème expriment deux messages : d’une part, leur appartenance à une culture religieuse ancestrale acceptée, de l’autre, le défi lancé aux mollahs au pouvoir de ne pas régir à leur place la maîtrise des rites de leur culture.
C’est difficile pour cette jeune génération rebelle, et très dangereux… Mais ce double message d’espoir est très bien perçu par la société iranienne dans son ensemble. Gardons nous des espoirs des « printemps », faisons confiance aux automnes locaux moyen-orientaux.

Janssen J-J dit: à

@ Cela tombe sous le sens,

Pour montesquieu, qu’on lit encore un peu parfois, pas vraiment !… Depuis l’Empire napoléonien dont la philosophie politique a durablement modelé nos institutions et nos codes : d’un « pouvoir Exécutif » de monarques « républicains » et de préfets aux ordres, dont les licences sont régulées par des juges administratifs (d’un conseil d’Etat toujours inféodé) ; d’un « pouvoir Législatif » toujours faible et précaire (surtout depuis a 5e R. gaulliste) ; mais jamais d’un « pouvoir Judiciaire », grotesque fable, en effet, une « autorité morale » tout au plus…
(…d’où cette fierté citoyenne de vouloir « punir » et « lyncher » ce que le laxisme judiciaire ne contiendrait pas)…
… et blablablab-car, tu vas pas refaire le monde. Bàv

Janssen J-J dit: à

/// leur problème de touche-moi-pas au sein ///
tu m’itonnes !…

et alii dit: à

… et blablabla
-saint YVES n’aurait jamais dit ça

Janssen J-J dit: à

non, je ne crois pas… Les messages du Parisien libéré vous altèrent le jugement, jzmn. Qu’entendez vous objecter à l’Iran, par là ? C’est bin plus compliqué. Et vous êtes bien plus intelligent que ce journal. N’ajoutez pas au malaise des petites maghrébines scolarisées de nos banlieues, merci !
Bàv,

et alii dit: à

Un simple passage devant une vitrine de Manhattan avait suffi au chausseur préféré des stars pour voir rouge, justement. Sûr de son bon droit, Christian Louboutin avait alors entamé une procédure judiciaire aux Etats-Unis contre la maison de couture Yves Saint-Laurent pour « concurrence déloyale » et « violation de marque commerciale ».

L’avocat du créateur, Maître Lewin, eut beau arguer que la semelle rouge existe depuis près de vingt ans, ce qui « permet de reconnaître immédiatement les créations de M. Louboutin dans le monde entier » et que « c’est une marque déposée aux Etats-Unis depuis 2008 », rien n’y a fait, le tribunal fédéral de la ville de New York en a décidé autrement.

Janssen J-J dit: à

je vous admets beaucoup, txfl, mais ne vous faites pas passer pour une idiote hypocondriaque en vous imaginant la plus intelligente et kultivar, car ça lasse la rdl in fine, et ON finirait pas croire que vous l’êtes. Bàv,

bouguereau dit: à

Chez nous la tendance est au renforcement du voile, JJJ !

baroz bétonne plus qu’hidalgo

bouguereau dit: à

Et vous êtes bien plus intelligent que ce journal

en banlieu ptête..mais à pariz la tendance est au renforcement dlintelligence

Janssen J-J dit: à

… sur un blog littéraire parallèle, je signale un papier à contre courant très intéressant sur le grand et inégalé roman de Tolstoï, la guerre et la paix.
Bàv.
(***aujourd’hui, on annonce la sortie de la palme d’or cannoise sur paris, hélas ce film n’est pas encore programmé par chez moi, bof.)

bouguereau dit: à

« La justice est une autorité, pas un pouvoir »

Cela tombe sous le sens, rose !

et si ça tombe pas sous lcoup dla loi on sasséra dsus..
médames méssieux..la cour!

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

Le meilleur biographe du philosophe Alain, l’universitaire Thierry Dominique Leterre vient de mettre sur son mur Facebook un texte d’Alain. On y lit notamment ces mots : « Pour la langue, je place Rousseau au premier rang. »
Il a placé aussi Stendhal au premier rang. Témoin le conseil qu’il donna à son excellent élève Emile Herzog (qui deviendra l’écrivain André Maurois que tout le monde connaît) : « Recopiez à la main d’un bout à l’autre « La Chartreuse de Parme » de Stendhal. » Le philosophe lui donna un excellent conseil, qui doit être rarement donné, je crois, par ses collègues d’alors comme par les professeurs de philosophie ou de lettres actuels. Je conviens que cela prend plus de temps que d’envoyer des SMS en verlan et/ou truffés de fautes d’orthographe. J’approuve Alain et j’ai donné moi-même ce conseil à mes élèves. Certains l’ont suivi et cela ne leur a pas nui.

bouguereau dit: à

Dupont-Moretti pète de plus en plus les plombs. Il devient hors sol

mais sous un clair de lune à maubeuge..et suce moi ldoigt qu’elle dit térezoune

Janssen J-J dit: à

(Emile Chartier parle à Emile Herzog, et Durkheim s’était absenté…) – émoij leur ai donné à recopier la dictée de Pivot, ça les a durablement traumatisés la mère Imée.
https://www.youtube.com/watch?v=2WQIh8zOw9o

bouguereau dit: à

il y aurait forcément brassage, échanges, coups de pied (dans le ballon ou ailleurs). Finalement, je doute qu’ils puissent s’entraîner Place de la Concorde

dans un octogone c’est bon alesquia..à la place dla révolution..faut quça saigne

Jean Langoncet dit: à

@« La justice est une autorité, pas un pouvoir »

Cela tombe sous le sens, rose !

« La séparation des pouvoirs » ? Une théorie de vieille loque …

La théorie classique de la séparation des pouvoirs distingue trois fonctions principales au sein des différents régimes politiques :

– la fonction d’édiction des règles générales constitue la fonction législative ;
– la fonction d’exécution de ces règles relève de la fonction exécutive ;
– la fonction de règlement des litiges constitue la fonction juridictionnelle.
Partant du constat que, dans le régime de la monarchie absolue, ces trois fonctions sont le plus souvent confondues et détenues par une seule et même personne, la théorie de séparation des pouvoirs plaide pour que chacune d’entre elles soit exercée par des organes distincts, indépendants les uns des autres, tant par leur mode de désignation que par leur fonctionnement. Chacun de ces organes devient ainsi l’un des trois pouvoirs : le pouvoir législatif est exercé par des assemblées représentatives, le pouvoir exécutif est détenu par le chef de l’État et les membres du Gouvernement, le pouvoir judiciaire, enfin, revient aux juridictions.

L’objectif assigné par Montesquieu à cette théorie est d’aboutir à l’équilibre des différents pouvoirs : « Pour qu’on ne puisse pas abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. »

bouguereau dit: à

c’est das l’ecce homo

si ! et suce moi ldoigt qu’il dit à pilate..

bouguereau dit: à

le pouvoir arrête le pouvoir

..mais woualou pour les sarmat

et alii dit: à

YSL a introduit le smoking pour femmes ! qu’il en soit béni

bouguereau dit: à

hindustrielment..comme toi la conrie

bouguereau dit: à

la conrie c’est un hartisanat renfield..hors sol et augmentée comme tu le fais ça dvient dla religion détat qui se suce les doigts

Alexia Neuhoff dit: à

A Casablanca, dimanche dernier, une femme exceptionnelle est morte. Aïcha Ech-Chenna. Son nom, ici, ne dira rien. Elle aurait pourtant mérité le prix Nobel de la paix comme l’avait suggéré Le Clézio (dans un entretien au Monde, 2014).
« Aïcha Ech-Chenna n’avait pas peur des mots. Elle est l’une des rares Marocaines à avoir osé briser l’hypocrisie autour des sujets de société les plus tabous : sexualité, avortement, viol, inceste, prostitution… Aïcha Ech-Chenna n’en taisait aucun. Surnommée « la mère Teresa du Maroc », cette figure du combat pour les droits des femmes, qui s’est distinguée par son courage et son franc-parler, s’est éteinte, dimanche 25 septembre, à 81 ans.
Présidente fondatrice de l’association Solidarité féminine, qui œuvre pour les mères célibataires et leurs enfants, Aïcha Ech-Chenna a lutté pendant plus de cinquante ans pour défendre les mères célibataires, dans un pays où les relations extraconjugales sont passibles de prison ferme et l’avortement interdit, et pour la reconnaissance des enfants nés hors mariage, longtemps privés d’état civil. »

lmd dit: à

Jean Langoncet, le texte que vous proposez (les trois fonctions principales) a été rédigé par un certain
Frank Baron  – Conseiller de l’Assemblée nationale. Il conseille, semble-t-il, le pouvoir législatif. Il apparaît donc une fonction de plus, conseilleur, qui conseille les uns et des autres (mais Il reste à préciser la distinction entre conseiller et conseilleur).
https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/270289-la-separation-des-pouvoirs

bouguereau dit: à

langoncet..n’houblie pas la condamnation à mort de louis..et surtout les discours d’époque afférants..si tu ne me crois hors subject..remebeur récemment du rétro pédalage de djo au sujet de poutine..’tyran’ etc..qui a passé la main aux squadriss -fort- hutiles pour les noms doiseaux..ses généraux lui hinterdiant phormelment..qu’il restrait au pouvoir..que nenni on voulait pas changer de régime..et « hinversement » souviens toi de schwarzkopf dmandant à son prez de pouvoir au moins dégommer la statue à saddam..et qui fut renvoyé a ses fayots..bref..causer dla séparation des pouvoirs en plan haméricain collé serré dos a un porte avion..la conrie est un artisanat..houblie pas

Jean Langoncet dit: à

l’humanité n’est pas parfaite mais elle est dans certains endroits un peu moins imparfaite que dans d’autres

bouguereau dit: à

Il apparaît donc une fonction de plus, conseilleur, qui conseille les uns et des autres (mais Il reste à préciser la distinction entre conseiller et conseilleur)

stéphane pladza se dmamdant si ya pas du boulot pour lui..

bouguereau dit: à

mais elle est dans certains endroits un peu moins imparfaite que dans d’autres

tata ya pus de souvrainisss quy dit rénateau..que dlargent..surtout l’miens..et des démocrates chrétiens pour le défende..y sont tout partout halors jai pas a déménager mon hatelier..jai la conscience pour moi..toutafé

Marie Sasseur dit: à

lmd dit: à
Jean Langoncet, le texte que vous proposez (les trois fonctions principales) a été rédigé par un certain
Frank Baron 

Jean Langoncet dit: à
lmd, vous faites bien de citer cette source.

_________

C’est vachement costaud, le niveau.

bouguereau dit: à

mais elle est dans certains endroits un peu moins imparfaite que dans d’autres

disons qu’on en est a hévaluer et classer les himpérialismes..et que par définition « les pouvoirs » sont surtout subjugués

Jean Langoncet dit: à

À Téhéran, on s’en tape de ces considérations

Jazzi dit: à

Le léZard a bien aimé le film du cinéaste coréen Hong Sang-Soo : un beau portrait de femme qui, atteinte très tôt de la maladie de la mort, a décidé une fois pour toute de sourire à la vie !

rose dit: à

ce roman de L. Belvaux » les tourmentés » sur ce blog, il n’aurait pas eu le Goncourt donc.

Goncourt putatif. Il était content.

Alexia Neuhoff dit: à

J’ai écouté, ce matin, dans la matinale d’Inter, l’intervention d’Elisabeth Badinter. Je ne l’ai pas trouvée convaincante, assez confuse même. Evidemment, on ne peut que regretter avec elle qu’
« on livre des hommes, en particulier, à la vindicte publique sans passer par un minimum de justice. » Oui, mais… ce « minimum de justice » n’est pas toujours au rendez-vous. Que faire lorsque la justice ne peut poursuivre (un célèbre présentateur de TV, par exemple, accusé de viols multiples) ) au prétexte qu’il y a prescription ?

rose dit: à

Emma & moij. avons regardé ce film incroyable Anywhere, anytime, once again. Chinois ou coréen. A fait un carton au box-office.
Tarantino peut continuer à somnoler. La relève est assurée.

lmd dit: à

Vous avez raison Bouguereau, un l’idéal supraconstitutionnel (genre Stephane Pladza) serait de conseiller le monde, en espérant avoir raison, de façon à continuer à conseiller (et vivre de ses conseils). Mais cela relèvera-t-il le niveau jusqu’à celui de Sasseur ?
Bon, je vais déjeuner, vous connaissez je crois (Bouguereau) les resto du quartier ?

Soleil vert dit: à

> M Charoulet :
« Le meilleur biographe du philosophe Alain, l’universitaire Thierry Dominique Leterre vient de mettre sur son mur Facebook un texte d’Alain. On y lit notamment ces mots : « Pour la langue, je place Rousseau au premier rang. » »

C’est aussi ma modeste opinion

bouguereau dit: à

À Téhéran, on s’en tape de ces considérations

lors que des drones russe de fabrication iranienne ont été descendu en ukraine et font fulminer zélinskii..élonne a obtenu de passer outre aux sanctions pour des valises starlink..lesquelles sanctions tout lmonde la bas y s’en tape..bien sûr

Marie Sasseur dit: à

Sont fortiches sur ce blog.
Y’en à un qui pompe texto sans donner de référence d’auteur.
Une fois l’auteur de ce texte dûment identifié, -ici in certain Baron-, voilà que celui qui l’a initialement pompé, mot pour mot, dit merci pour la source à celui qui a découvert la supercherie.

__________

Vachement costaud, le niveau.

bouguereau dit: à

Que faire lorsque la justice ne peut poursuivre (un célèbre présentateur de TV, par exemple, accusé de viols multiples) ) au prétexte qu’il y a prescription ?

prétesque..halloons alesquia..ne jamais dire que la lois est un prétesque..dire ‘oeuvrons..votons pour changer la loi »

bouguereau dit: à

un l’idéal supraconstitutionnel (genre Stephane Pladza) serait de conseiller le monde

-aucuns-..je dis bien -aucun- des impérialismes ne veut d’un conseil planétaire..enfin si..pour évaluer ses perfs de com..-point-..

Marie Sasseur dit: à

C’était un serial abuseur, le ppda.

C’est ce qui va le faire aller en prison. Bien fait pour lui.

Une petite subtilité du droit français, qui fait que pour les actes a priori prescrits, eh bien ils vont quand même pouvoir être instruits à la faveur d’un seul qui ne le serait pas.
Car ce delinquant est un abuseur en série. Et le caractère répétitif en série permet de lier TOUTES ses affaires d’abus sexuels, y compris les plus anciennes.

Voilà, comment la justice passera !

bouguereau dit: à

hassez dlautobus sur moi quelle dit térezoune

Janssen J-J dit: à

Que faire lorsque la justice ne peut poursuivre (un célèbre présentateur de TV, par exemple, accusé de viols multiples) au prétexte qu’il y a prescription

EB a quand même dit qu’il ne fallait pas attendre 30 balais pour porter plainte, càd se réveiller après la prescription… « Faut quand même pas exagérer, non plus ! » qu’elle a dit… Le viol et l’inceste itératifs ne sont pas des crimes contre l’humanité, les seuls imprescriptibles, a-t-elle ajouté… Par conséquent, il ne faut pas proscrire la prescription juridique, de noptre état de droit, qui signifie un « droit à l’oubli » judiciaire, mais hélas pas une garantie « médiatique »? D toute façon, PPDA est en mort sociale définitive et quel instinct serait satisfait par sa poursuite actuelle au pénal ? « Enfin faire son deuil » du brillant PPDA que personne ne soupçonnait de mâlfaçons, du temps de sa splendeur ?… Allons donc !
Je l’ai trouvée cohérente, pmp, EB, dans son propre féminisme non radical qui a toujours été le sien, AN, pas vous ?…

bouguereau dit: à

Écrire un bouquin, ducon

térezoune se voit duconne conseyeur..conseyeuse..conseyère..et suce moi ldoigt..sapré térezoune quon va entende au prétoir

bouguereau dit: à

Le viol et l’inceste itératifs ne sont pas des crimes contre l’humanité, les seuls imprescriptibles, a-t-elle ajouté…

un copin a dirfilou havait dit « ya pas mort dhommes »..

Marie Sasseur dit: à

bougreau/alexia/jjj/d/ etc, ducon, ça fait nombre.

bouguereau dit: à

cohérente, pmp, EB, dans son propre féminisme non radical qui a toujours été le sien

épi c’est bientôt l’hivers alesquia..ça doit tenir chaud

Janssen J-J dit: à

@ C’est ce qui va le faire aller en prison. Bien fait pour lui.

« Ah ! combien je regrette de n’avoir point subi ses assauts au ppda », qu’elle s’enrage en arrière fond, la bécasse… L’en peut pu de d’voir l’faire en moins-disante que la sandrine !…

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf bougreau/jjj/alexia/d etc. arrive au bout lui aussi, comme pépédea.

Alexia Neuhoff dit: à

Cher JJJ
(en espérant que la radasse (« un bouquin, ducon » !) me fera la grâce de ne pas réagir à mes propos)
EB est une féministe de la génération Beauvoir et est plutôt critique vis-à-vis d’un féminisme plus radical, ce que je peux concevoir, admettre et partiellement partager. Néanmoins, entre temps, le monde a changé et le mouvement féministe se doit de répondre à des attaques, des violences, des crispations, des résistances toujours plus vives. Ce qui ne va pas sans dérives et outrances mais, après tout, peut-être faut-il en passer par là pour faire avancer une cause juste.

bouguereau dit: à

le mouvement féministe se doit de répondre à des attaques, des violences, des crispations, des résistances toujours plus vives

ça irait donc de mal en pis alesquia..

Alexia Neuhoff dit: à

bouguereau dit: à
ça irait donc de mal en pis alesquia..

C’est l’impression que cette profusion de féminicides et de dénonciations donne. Mais il faudrait une étude statistique pour dépasser le sentiment de ressenti même si pareille étude (scientifique) ne semble pas réalisable du fait de l’absence ou la rareté des plaintes (de leur enregistrement) à une certaine époque par rapport à aujourd’hui où médias et tribunaux sont saisis à la moindre occasion. MeToo est passé par là, entre autres phénomènes de « libération de la parole ».

bouguereau dit: à

cette impression est elle la tienne..j’entends pour ta vie..hévidemment le sentiment que l’on a de l’état de la société par l’intermédiaire des médias n’est pas sans effet..car n’est elle pas aussi de plus en plus -trop?- notre vie..je crois précisément que c’est sur ce point quil y a différence d’appréciation entre badinter et toi..et penser quelle est d’une « autre génération » nest peut être pas sans rapport..d’un coté elle pu connaitre pire et voir les avancées c’est a dire dabord s’esbaudir des effets médiatiques et d’un autre évaluer quand « la libération de la parole » semblent la géner..géner l’idée quelle se fait de « la cause »..et dire au finiche qu’il faudrait des études statistiques non réalisable nest ce pas simplement pour mettre ses propos en touche..ou les croire « dapassés » pour être simplement courtoise

Jean Langoncet dit: à

@des drones russe de fabrication iranienne

et des pruneaux russes de fabrication nord coréenne pour canarder l’Ukraine … quel aréopage certainement sensible à la séparation des pouvoirs ; ce n’est qu’une question de degré

bouguereau dit: à

disons qu’on ne peut faire l’économie d’un préalable phormidabe qu’est la paix langoncet..à Téhéran on s’en tape pas de cette considération..

Jean Langoncet dit: à

Dire que la paix est un préalable à la séparation des pouvoirs, c’est comme dire que l’absence de délit est un préalable à la justice

Alexia Neuhoff dit: à

Contrairement à ce que tu me renvoies, bouguereau, je n’ai pas d’avis aussi tranché sur ces questions et ne rejette pas le propos d’EB. Je partage ses réserves quant à l’attitude de certaines néo-féministes qui dépeignent tous les hommes en ennemis, en prédateurs sexuels potentiels. J’ai également essuyé leurs foudres au cours de débats où j’avais tenté d’introduire un peu de nuance ou de raison. Dialogue extrêmement difficile.

Jean Langoncet dit: à

Se pourrait-il que les russes, les iraniens, les nord coréens aspirent à un état qui observe la séparation des pouvoirs, à un état démocratique ?

Jean Langoncet dit: à

Mais quelle drôle d’idée …

Damien dit: à

A propos des attentats contre Nord Stream 1 et 2 , cette phrase piochée dans mon journal : « Selon les autorités, les incidents sont sans conséquence pour la sécurité ou la santé des résidents des îles danoises voisines de Bornholm et de Christianso. » Je n’aimerais pas néanmoins résider là-bas, aussi prêt du sabotage. Les articles ne disent pas ouvertement qui a commis ces actions. On n’en sait pas assez pour le deviner, on en n’a pas encore les preuves. Tout ça me paraît obscur. Je lis les articles sur ces gazoducs qui traversent les mers les plus froides du Nord avec avidité. Je connaissais un poivrot, jadis, qui voulait qu’on amène la vodka de Russie par des sortes de pipeline. D’ailleurs, je crois que des trafiquants d’alcool avait organisé un commerce sur cette base avec un pays limitrophe de la Russie. Ils ont été arrêtés et condamnés.

Jean Langoncet dit: à

@Badinter

Une des première à avoir alerté sur les dérives « à l’américaine » du féminisme, notamment

Jean Langoncet dit: à

premières

bouguereau dit: à

Mais quelle drôle d’idée …

..des idées de civils mon commandant

bouguereau dit: à

Contrairement à ce que tu me renvoies, bouguereau, je n’ai pas d’avis aussi tranché sur ces questions et ne rejette pas le propos d’EB

tu ne réponds pas alesquia quant à tes espériences..en famille au boulot au bistrot..que sais je..et ça ne signifie pas que ce qui est vrai pour soi engage les autres ou atteint une cause qu’on chérie..si c’est ça « trancher »

bouguereau dit: à

sur les dérives « à l’américaine » du féminisme

pas que..les américains ont bon dos quil dirait bobdilane..ou halors ça signifirait que le féminisme srait un toc colonial langoncet..

Paul Edel dit: à

Damien. Sur une chaine d ‘info en continu à midi aujourd’hui(est-ce LCI ou BFM ? sais plus..) on a rediffusé un document dans lequel Joe Biden menaçait la Russie précisément de rétorsions et notamment de créer des problèmes sur Nordstream 1 et 2…

bouguereau dit: à

faut bien te mette dans la tête polo que les idées des militaire un civil il est pas équipé pour..peut ête rénateau..il s’entraine dur

bouguereau dit: à

..gôch gôch..gôch il aime pas qu’il a dit au sergent..droâât..droâât..droât..là on dirait quil va à moscou..on est pas équipé épicétou

Jean Langoncet dit: à

Une Russie démocratique aurait-elle envahi l’Ukraine ? Je pressens que certains vont nous expliquer ou plutôt insinuer que Poutine a été poussé à cette guerre par les menaces que font peser les « occidentaux » conduits par les Etats-Unis sur l’intégrité de la Russie ? Rhétorique typique des états totalitaires et notamment des héritiers des soviétique qui est celle de Poutine : faire passer le bourreau pour une victime, voire pour un libérateur … la supercherie et le coup de bluff (cf. la Crimée) ça ne marche pas toujours, mon petit bonhomme et néanmoins passible de crimes de guerre, de déportations massives de population, de violation du droit et des engagements internationaux etc.

bouguereau dit: à

ça c’est l’histoire de l’oeuf et la poule..le premier à la coque c’est pour la troupe..la deuxième..vu qu’on se bat pour quun jour on soit tous libre et égaux..on l’a réservé pour vous mon commandant

rose dit: à

Jean Langoncet dit: à
@Badinter

Une des première à avoir alerté sur les dérives « à l’américaine » du féminisme, notamment.

Non.
Clairement, non.
Nous n’avons jamais, Amen, atteint le niveau de débilité qui siège aux USA depuis 20 ans en ce qui concerne le féminisme.

1/ se faire photographier un pied sur la pointe auprès d’un surfeur à Malibu beach.
2/ faire du divorce une pompe à fric pour d’engraisser auprès de son ex.
3/ se servir de ses chères études pour déclaration de viol et ou assassinat.

Nous n’en sommes pas là.

Que le combat soit virulent, cela est.
Qu’il y ait une personne sur deux qui ait été violée, homme, femme, enfant, sportif, handicapé, autiste, cela est totalement sidérant : cela devrait nous parler, nous interroger.
Que plus jamais ça, c’est évident.
Et même, il serait temps.

lmd dit: à

Ceux qui ne sont pas trop ensuqués ont regardés depuis longtemps l’article Nord Stream de Wikipédia et savent que les Américains (Trump et le Sénat) se sont vivement opposés depuis 2017 à ce projet, Les écolos aussi, (mais ils sont moins débrouillards pour les gros sabotage) .
Il faut d’abord savoir si le sabotage vient de l’extérieur du tube (mine explosif, etc) ou de l’intérieur du tube (manipulation de la pression). Il faudrait aussi savoir quelle est la profondeur de la mer à l’endroit du sinistre (qui sait réparer).

rose dit: à

pour s’engraisser

une personne sur dix (ne sais pas la véracité de ce chiffre : je le trouve effrayant).

bouguereau dit: à

et savent que les Américains (Trump et le Sénat)

chef chef il dit du mal dun de nos alliés..c’est surment être un agent du fsb

bouguereau dit: à

chef chef rose on peut l’engager au cuisine et au patate..elle m’a lair davoir une bonne mentalité

bouguereau dit: à

Il faut d’abord savoir si le sabotage vient de l’extérieur du tube (mine explosif, etc) ou de l’intérieur du tube (manipulation de la pression). Il faudrait aussi savoir quelle est la profondeur de la mer à l’endroit du sinistre (qui sait réparer)

on commence par le cuisiner la dsus haprés ou havant la gégène chef?

Petit Rappel dit: à

En attendant, nous voici passés de De Maistre à Poivre d’Arvor. Particule fausse mais imposée par l’usage. Chapeau l’artiste! C’est ce qui s’appelle faire avancer le problème, s’il existe…

Jean Langoncet dit: à

Poutine en vieille carne cuite façon poule au pot, longuement bouilli, mon petit doigt me dit que ce pourrait devenir le nom d’un plat national en Russie ; le Poutine au pot. mais quelle bonne idée qu’il dirait le bon roi Henri

B dit: à

Lmd, l’extérieur ou l’intérieur du tube , une signature?

Marie Sasseur dit: à

Ce vieux dément mc, à part harceler sous divers pseudos, et de s’exciter l’entrejambe sur un pseudo, on se demande ce qu’il a compris de l’usage d’internet , s’il n’en a jamais eu une formation, et il en est de même pour sa compréhension de la structure des commentaires sur un blog.

Cette ordure mc et avatars exige des autres une cohérence et une rigueur, une continuité, que ce fou furieux totalement incohérent et inintelligible dans ses interventions, est bien incapable de comprendre.
Que ce connard aille se faire soigner.

Marie Sasseur dit: à

J’ai bien l’impression que le pseudo mc se bourre la gueule, ce qui expliquerait bien des choses mais ne lui évitera pas le 1/4h de célébrité qu’il va avoir chez les curés de Quimper, si ça continue.

Janssen J-J dit: à

@ (en espérant que la radasse (« un bouquin, ducon » !) me fera la grâce de ne pas réagir à mes propos)

c quand même pas la bécasse toxique qui va mener le bal sur cette chaine, AN… et nous empêcher d’avancer comme on veut, comme si devions être tétanisé.es par ses injures tous azimuts. Merd’alhors !…
Intéressante l’amorce de votre dialogue avec jmb à propos d’EB…, je trouve. Certes, un ajout à ce qu’elle a dit (sur les américaines) a fait déraper son propos et la courtoisie de l’échange qui fut enclenché… Pmp, il n’est pas question de dire que les jeunes féministes d’aujourdhui ne doivent pas inventer d’autres stratégies que leurs aînées face à « l’intolérable » de leur époque… Mais je crois qu’on juge pas de savoir si elles ont raison d’être plus guerrières que pacifistes à l’égard de la gent masculine. On parle d’un PPDA cloué au pilori, à juste titre ou non, par un appel au lynchage ou à la justice privée! La question n’est pas de savoir non plus si les jeunes féministes révoltées d’aujourd’hui subissent plus de violences que leur aînées d’autrefois (un débat intranchable, mais je ferais l’hypothèse tocquevilienne qu’elles sont infiniment moindres, et ce faisant d’autant plus insupportables)? Mais plutôt de se demander pourquoi la « justice publique » se voit bien plus discréditée dans leurs perceptions collectives actuelles, qu’elle ne l’était autrefois quand on l’admettait « comme elle allat » parce qu’on y était moins confrontées…
Mon hypothèse est que l’intolérance à la « lenteur de la justice » (nécessairement décalée des émotions collectives médiatisées) rend de plus en plus insupportables les réactions de dépit et de frustration à son égard, articulées à cette croyance urbaine entretenue, qu’elle serait plutôt complice des « bourreaux » plutôt que des « victimes », comme s’il n’existait pas de confusions dramatiques ‘ordre sémantique sur ces terminologies juridiques ou de sens commun…
Or, on peut objectivement et facilement démontrer que la répression sur les « affaires de moeurs » (dans la mesure de leur sortie de la sphère intime et domestique que jadis la police fuyait, faute de savoir la gérer dans la sphère publique) est devenue le contentieux le plus rigoureux de la justice pénale; après celui des délits contre les personnes (hors sexe) et les délits contre les biens.
Sont-ce la des éléments d’ajout à la complexité de l’enjeu de la vision E Badinter vers S Rousseau ? Je n’en sais rien, m’enfin, c’est mon point de vue. Je n’ai hélas pas encore lu « l’impunité »… Peut-être faudrait’il partir de là pour étayer une dispute plus solide et argumentée… ?
Bàv

Janssen J-J dit: à

(un débat intranchable, mais je ferais l’hypothèse tocquevilienne qu’elles sont infiniment moindrement violentées que leurs aînées, mais que les moindres violences collectives rendent celles qui subsitante comme d’autant plus insupportables)…

cette incise au texte précente la remplaçant, sera t elle plus claire ???? (si non…, PDLLT)

Janssen J-J dit: à

Diit on comprendre que ce sont les services spéciaux US qui auraient fait le coup dans la mer Baltique ???? – On va aller demander aux faux époux Turange, ce qu’ils en pensent… Car en matière de rainbow warrior, ils avaient de l’avance sur notre Charles Hernu et notre Edwy Plenel… hein !

Bloom dit: à

Excellente émission this afternoon sur entre autres choses la fluidité du genre dans le théâtre de Shake-Spear-in-love, au regard des textes et d’une époque où les femmes étaient exclues des planches & de jeunes hommes interpétaient les rôles féminins (Juliette était Jules! bon sang mais…).
Ode à l’Italie aussi, sans laquelle le grand Will ne serait pas ce génie protéiforme.
Défense et illustration du plagiat ‘diégétique’ également,le Cygne de l’Avon n’ayant inventé qu’un petit nombre d’intrigues (La Tempête, Le Songe…).
Bref, un Barde toujours aussi pleinement de son époque et du nôtre, « not of an age, but for all time » comme disait Jonson (Ben, pas Beuris).
Malgré de légers trous de mémoire (no spring chicken, she), Gisèle Venet a servi notre maître à nous autres les anglicistes avec talent & conviction…
Me suis illico presto replongé dans un des volumes de la Pléiade pour quelques pages de ‘Antoine & Cléopâtre’, Guerre & Amour à l’antique revisité par la liberté de ton de la Renaissance.

Pure poésie.

‘What should I do I do not?’

‘Que pourrais-je faire que je ne fais pas?’ demande Cléo de 1 à 24 à sa suivante, qui souhaite retenir son Antoine en Egypte).

Comment pourrais-je mieux faire?

N’est-ce pas là une question que l’on devrait se poser matin, midi et soir, à tous les âges & à tout propos?

Peut-être éviterions-nous ainsi de sombrer dans les eaux glacées de la médiocrité généralisée?

Peut-être…

Marie Sasseur dit: à

Le papier wc le trèfle fait toujours cet effet là à ceux qui découvrent Shakespeare. Ils se sentent moins lourds.

Marie Sasseur dit: à

Hélène Devynk, j’avais pas percuté, mais ce nom me disait quelque chose.
Madame Emmanuel Carrère à la ville.
Pas du genre à se laisser faire, la dame pourtant. C’est bizarre. Comme c’est bizarre.

Janssen J-J dit: à

hélène (carrère d’encause) ?… je demande la mère…

D. dit: à

Ce soir je mange du petit salé aux lentilles.

D. dit: à

Bon. Je constate que de nombreux minables geignent parce qu’il fait froid chez eux. Ils ont fait les malins pendant la canicule : Poutine, tu vas vooyér c’que tu vas vouëre, crénom de nom, an en veut pas de ton gaz, on a pas peur du frouaid, nous. Bande de minables. Il fait 18 chez vous et c’est la panique. Tous en train d’appeler leur syndic, de pleurnicher : ah mais oui mais plus tard avoir froid nous, pas urgent, pas les personnes âgées, pas les enfants, pas les malades, pas les femmes au foyer, pas lrs télétravailleurs.
Bande de gros nazes.

D. dit: à

Même pas foutus de s’enfiler la vodka cul sec pour se réchauffer.

D. dit: à

Quoi de neuf à Kolmar ?

rose dit: à

Émilienne Malfatto.
N’a pas dit la guerre c’est jouissif ; n’a pas dit c’est addictif.

rose dit: à

Ah.
Si un lecteur de King se met à lire Émile Zola, nous serons sauvés.

rose dit: à

Lucas Belvaux, l’ai lu pour son titre.
Ai retrouvé en le lisant que mon grand-père maternel, en le lisant, a été aussi légionnaire avant d’être majeur, pour une durée de sept ans.
Il m’avait été dit au camp des Milles lors d’une conférence que la Légion était une famille ; ma mère m’a dit hier soir « mon père me disait que la Légion s’était sa famille parce qu’il n’avait plus de famille ».
Son père à lui, portant le même prénom était traducteur au tribunal de Casablanca et parlait sept langues.
G été très intéressée dans ce roman passionnant de suivre comment les hommes évoluent.
Oui, évoluent.

rose dit: à

En le lisant, hein.

rose dit: à

Visite hier au prieuré de Ganagobie avec Emma.
Intérieur d’une sobriété saisissante.
Ont enlevé Saint Martin chevauchant son âne (en bois) situé sur le côté droit de la mosaïque.
Ont déplacé la vierge Marie de la Jérusalem céleste à gauche devant la porte du cloître. Dans l’abside. Tellement à l’ombre que l’on ne voit pas l’enfant Jésus qui porte un livre.
Un livre !!! La Bible.
Les deux en bois.
Tu ne voudrais pas qu’il porte le magazine de Spirou ?

Les vitraux modernes sont superbes. Ils racontent une autre histoire que les classiques. À mes yeux, bien plus émouvants que les totalement rouges du prieuré de Salagon.

Les moines ont rajouté deux rangées de sièges en bois en avant de la mosaïque de part et d’autre du choeur. En bois.

À droite, une mosaïque de saint Michel terrassant le dragon. On le fête aujourd’hui. Ma mère ne sait plus pourquoi elle m’a attribué ce prénom ; qui m’est fort utile car ils ne sont que trois archanges et celui-ci est un grand combattant.
Ma mère a eu des vertiges. A failli tomber. Parce que je lui donne le bras et la retient. Elle a la tête qui tourne. A de nouveau passé une journée d’hospitalisation à la Timone pour une énorme allergie cutanée. Ne sait pas ce qui s’est passé.
Les deux fois précédentes c’était parce qu’elle chutait. Je n’ai rien su.
J’ai j’ai s’est attribué la seule personne de confiance à qui l’Ehpad écrit pour donner des nouvelles de la santé de ma mère. Qui est la sienne accessoirement.
La même horreur, les émules de Marie Sasseur, a programmé un repas à midi avec ma maman et des cousins qui ne la voient jamais.
La curatrice m’a écrit dimanche matin pour me demander de ramener ma maman hier au soir dans son EHPAD pour ce repas.
J’ai refusé. Elle ne m’a accordé que quatre jours de sortie ce sont quatre jours pleins. Je lui ai demandé de garder ma maman jusqu’à dimanche puisque sa dame de compagnie est en congés jusqu’au 5 octobre, en réponse j’ai eu ramenez la mercredi soir.

Une chose m’intéresse et m’est revenue, sans lire de livre, la mémoire traumatique c’est comme si tu avais un bloc de béton dans la tête et des vertiges quand tu passes de debout à couchée.
C’est un jour, tu travailles dans ton jardin à pic avec ton mari qui ne te pousse pas alors que tu es obèse et tu tombes. Comment as-tu fait, je ne me sais pas.
Néanmoins, tu tombes de quatre mètres et tu te réceptionnes la tête la première, plus lourde que le reste et pourtant, sur un parpaing.
Ta tête s’ouvre en deux du haut du front jusqu’au bas du nez en plein milieu. Tu seras cousue, portera la frange, pour le nez, c’est foutu, on voit les points. Des mois plus tard, guérie et cicatrisée, tu refuses de montrer des photos du massacre, chez ta sœur cadette, en faisant le récit de l’accident tu diras « je me suis vidée la tête » et resteras estomaquée de ces mots qui sortent de ta bouche sans les avoir contrôlés.

Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi, lorsque l’on subit des choses pareilles l’on recommence.

Au même titre que je ne comprends pas pourquoi, lorsqu’on a été violé/e on recommence sur autrui.

Intrusion dans la vie privée d’autrui sans son accord, c’est un viol : y a Instagram pour mater la vie d’autrui qui l’a choisi, que l’on le mate.

rose dit: à

À Cruis, dans les Alpes de Haute Provence, sur la parcelle du jas Jaubert, les engins ont défriché cinq hectares pour installer des panneaux photovoltaïques.
Ceci sans attendre le résultat du recours déposé au tribunal.
Huit défenseurs de la bio diversité ont le troisième jour grimpé aux arbres pour stopper le massacre. Une activiste s’est retrouvée face à un bûcheron qui, sans vergogne, a coupé l’arbre avec elle dessus. Une héroïne des Temps modernes. J’irai lui serrer la main.
La parcelle de 5 hectares est totalement défrichée.

Cela va passer sur France 2. C’est à 20 bornes de chez moi. Je vais y aller seule vérifier dans le Contadour.

Et cela va continuer. Des milliers d’hectares dans les Alpes de Haute Provence vont être défrichés pour installer des panneaux photovoltaïques.
Une petite commune comme Cruis peut gagner 60 000 euros de location pour un an d’usage.

Pour l’instant, la multinationale serait canadienne.
Ce

rose dit: à

La Légion, c’était sa famille à mon grand-père maternel.

rose dit: à

Je ne me sais pas, c’est sûr. De plus, je ne sais pas.

rose dit: à

C’est sûrement « je me suis vidé la tête » même si c’est une fille et quoiqu’elle porte le pantalon.

Mots fléchés : difficile à accorder.
Le PARTICIPE.

Arrosé Quimper.
l’ ODET.

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
(un débat intranchable, mais je ferais l’hypothèse tocquevilienne qu’elles sont infiniment moindrement violentées que leurs aînées, mais que les moindres violences collectives rendent celles qui subsitante comme d’autant plus insupportables)…

Eh non.
Pardon, hein mais non.

Elles portent le poids de leurs aînées.
Faut-il l’avoir vécu ça de porter la rage d’autrui pour la comprendre.

rose dit: à

Merci de ce lien là même si on n’a pas tout lu.
« Comprendre les enjeux
Pendant plus de six mois, la délégation a mené des travaux sur l’industrie pornographique : des dizaines d’heures d’auditions, dont celle à huis clos de victimes de l’affaire dite French Bukkake, une analyse des contenus pornographiques disponibles en ligne aujourd’hui, le recueil de données chiffrées, le recours à une étude de législation comparée…
Les rapporteures présenteront le tableau sombre que ces travaux ont permis de dresser. Elles entendent alerter le gouvernement et l’opinion publique sur les violences massivement perpétrées et véhiculées par et dans l’industrie pornographique, ainsi que sur les représentations sexistes, racistes, homophobes et inégalitaires que promeut aujourd’hui ce business mondial du sexe.
Elles s’alarment tout particulièrement de l’accès facilité, démultiplié et massif des mineurs et des adultes à des contenus pornographiques de plus en plus violents et toxiques.
Elles appellent à une prise de conscience de toutes et tous sur ces violences systémiques et à mettre un terme au déni et à la complaisance dont bénéficie encore l’industrie du porno. Il y a urgence à engager un large débat public sur les pratiques de cette industrie.
Elles formulent une vingtaine de recommandations de nature à lutter contre les violences pornographiques et leurs conséquences.
Les travaux de la délégation sur la pornographie :
http://www.senat.fr/commission/femmes/missions/pornographie.html
« 

renato dit: à

Ah ! la légendaire éducation communiste !

Marie Sasseur dit: à

Inutile de copier coller in extenso ce que j’ai donné en lien.
La sobriété internet commence par là.

( en off: A moins qu’à l’ehpad, z’impriment plus rien, ou que le traitement cachetons +bibine de la rosse soit de nouveau à upgrader)

Plus intéressant est ce qu’il y a DANS ce rapport sur l’industrie de la pornographie accessible par le même lien,
intitulé  » pornographie, l’enfer du décor »

Vous y apprendrez que 25% de la bande passante internet est consacrée au porno, oui, vous avez bien lu : 25%.

C’est ça l’évolution ?

Marie Sasseur dit: à

29/09/2022, 6h52

rose dit: à

25 % pck les gens regardent.

Les hé mule de Marie Sasseur, obsessionnelle.

rose dit: à

cachetons +bibine de la rosse soit de nouveau à upgrader).

C’est comme l’alcool : une longue montée en puissance qui accompagne une lente dégringolade.

Explication de upgrader pour les néophytes.

cachetons + bibine de Marie Sasseur soit de nouveau à upgrader)

Marie Sasseur dit: à

La rosse est en boucle, et on peut dire, sans être devin, que son évolution va se dégrader, direction le cantou avec sa manman, bientôt.

Marie Sasseur dit: à

C’est la première fois hier soir que je regardais la grande bibli nouvellement présentée par Augustin Trapenard.
Si Ultrabright flattait ses auteurs invités, avec son sourire commercial, on peut dire qu’Augustin qui aime ses auteurs, fait lui, dans le cocooning.
Alors c’est quoi un ecrivain, c’est quoi votre mot, au fond vous êtes des êtres de fiction, peut-on dire que c’est un roman sœur , etc, que c’est bon enfant tout ça, comme on a envie de se pelotonner au coin du feu, avec une tisane en écoutant Augustin. Et de ronronner, rrrr, zzzzz.

Du coup je me suis endormie !
J’ai raté the King, Stephen King !
Je vais être obligée d’aller à la librairie.

Have a nice one.
7h19

rose dit: à

« Dans la soirée, la première ministre danoise, Mette Frederiksen, a affirmé que ces fuites étaient dues à des « actes délibérés » et « pas à un accident ». Le ministre de l’énergie et du climat danois a signalé que ces fuites devraient durer « au moins une semaine » jusqu’à épuisement du méthane qui s’échappe des conduites sous-marines, non opérationnelles depuis le début de la guerre en Ukraine mais remplies de gaz. »

Rien n’a été conçu pour empêcher le.gaz de continuer à circuler lorsque avarie dans le système de transport.

Rien n’est prévu pour le recyclage des panneaux photovoltaïques lors de leur péremption .

En //, l’entreprise capitaliste Total Énergie reverse des milliards de dividende à ses actionnaires suite à la flambée de ses bénéfices. Upgradés de quasiment trois fois par rapport au premier trimestre de 2021.
Ne cherchez pas l’erreur, c’est le fondement du système capitaliste.

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