Du rififi chez les seiziémistes
Cela vous a peut-être échappé mais il y a un sérieux problème avec Louise Labé. Ce n’est pas d’aujourd’hui. N’était-elle qu’une « créature de papier » comme le soutient depuis des années Mireille Huchon, professeur à la Sorbonne ? La longue notice que lui consacre Wikipédia la traite comme une grande poétesse née vers 1524 à Lyon et morte en 1566, entendez une vraie femme de chair, de sang et de mots ; l’encyclopédie en ligne ne réserve qu’une faible place au doute et à la contestation sous le titre « Une imposture poétique ? » et se garde bien de citer Mireille Huchon dans sa bibliographie. Celle par qui le scandale arrive à nouveau, la Bibliothèque de la Pléiade lui ayant confié, à elle et à elle seule, l’édition des Œuvres complètes (736 pages, 49 euros, Gallimard) de Louise Labé, l’un de ses plus minces volumes : trois élégies, vingt-quatre sonnets, en tout 662 vers brûlants qui subliment les tourments de l’amour éprouvés par les femmes, avec en sus le dossier complet de la querelle. Car sa publication en 1555 chez l’éditeur Jean de Tournes à Lyon avait été singulièrement cryptée et les sonnets entourés de vingt-quatre mystérieuses contributions anonymes célébrant leur autrice (comme on disait déjà au XVIème siècle…). A l’examen, il apparait bien que des poètes humanistes s’étaient réunis en un collectif autour du grand Maurice Scève pour concocter ce canular nourri de Sappho, Ovide, Catulle…
Une imposture, Louise Labé ? Une supercherie ? Un fantasme poétique ? Et alors, qu’est-ce que cela change au fond ? C’est si rare de défendre l’inauthenticité d’un auteur qu’on ne voudrait pas se priver de ce pur plaisir (lire ici la remarquable étude de Corinne Noirot sur le sujet). Qu’elle fut une femme ou un groupe de lettrés facétieux qui voulaient écrire comme une femme, cela ne change rien à l’authenticité de son œuvre. Qu’importe si ce chant de liberté d’une bouleversante sensualité repose sur un coup éditorial très gaulois dans son esprit contre la suprématie culturelle italienne de l’époque. Pourquoi se priverait-on de savourer l’exquise puissance d’illusion dont use le langage poétique ? Pourvu que ça dure ! Faudrait veiller à ce que notre époque vouée à la normalisation des mœurs et des conduites, ne s’avise pas de réglementer aussi la poésie en la conformant à la tyrannie de l’air du temps.
Les universitaires experts de la question y mettent parfois une telle charge émotive que leur débat prend une tournure d’une violence insoupçonnable alors que cette affaire s’est tout de même déroulée, rappelons-le, dans les années 1540-1556 à Lyon. Sauf que sa réception critique a tant enrichi le cas Labé depuis cinq siècles qu’elle est devenue son affaire, ainsi qu’en témoigne le dossier que lui a consacré la SIEFAR (Société pour l’étude des femmes de l’Ancien régime) sur son site en 2006 sous le titre « Louise attaquée ! ». Mireille Huchon venait de publier un livre chez Droz dans lequel elle défendait déjà sa thèse bousculant allègrement le canon littéraire. Un essai polémique de 488 pages tout de même, parfaitement documenté mais enfin, Droz n’est pas la Pléiade. En fait, il n’y a que la Pléiade qui soit la Pléiade. Elle règne sans concurrence. Ce qui y est imprimé est comme gravé dans le marbre de la postérité.
Chaque époque a fantasmé sur Louise Labé. En ce sens, l’histoire de sa réception critique offre un intéressant reflet de l’évolution des mentalités littéraires et universitaires. Dans ce cas, me direz-vous, quoi de neuf ? Eh bien justement, « l’effet Pléiade », la consécration par la collection de prestige de Gallimard non de l’œuvre, de longue date déjà consacrée, mais d’une thèse iconoclaste contre les autres. La Bibliothèque de la Pléiade est si sanctuarisée que ce privilège accordé à Mireille Huchon est considéré par ses adversaires comme blasphématoire. Bref, la guerre est relancée.
De précédentes affaires de la même encre nous ont pourtant instruit sur ce genre d’exercice littéraire : les fameuses Lettres de la religieuse portugaise (1669) qui n’étaient pas d’une femme ni d’une religieuse et encore moins d’une portugaise mais d’un gentilhomme français assez doué en matière de sublime du nom de Guilleragues. Mais cette fois l’enjeu dépasse l’histoire littéraire. Il faut comprendre : quel sale coup pour les féministes si on leur enlève l’une de leurs icônes et même « un emblème pour les études de genre » ! Rien moins qu’un meurtre symbolique. Non seulement on ose dénier à une femme la possibilité d’avoir été une grande poétesse en un temps où elles étaient rares, mais on voudrait lui subsister une conjuration d’hommes aussi farceurs que virtuoses. Pas genrée, Louise ? Nos réseaux sociaux en ont lynché pour moins que ça.
On l’aura compris : ce volume de la Pléiade dans lequel un chef d’œuvre de la poésie française côtoie des mystères, une mystification, une conjuration et un psychodrame, est le meilleur polar de la rentrée.
1 174 Réponses pour Du rififi chez les seiziémistes
personnellement, je n’ai rien contre les hommes, même s’ils ne sont pas poètes comme ils l’ont cru, et fait croire à leur femme; et ils peuvent se remettre à étudier, c’est leur histoire, non la mienne
La patristique est la discipline qui traite de la vie, de l’œuvre et de la doctrine des Pères de l’Église dans le christianisme ancien. Elle s’intéresse à l’ensemble de leurs écrits en matière de théologie, y compris leurs controverses avec les hérétiques ou encore leurs textes liturgiques. Wikipédia
La patristique est à distinguer de la patrologie, qui ne concerne les Pères de l’Église que dans le domaine de la foi.
La littérature patristique comprend de nombreux genres littéraires (commentaires, homélies, scolies, catenae, etc.) qui se fondent essentiellement sur la Bible, l’« autorité suprême » étudiée dans son sens littéral et historique mais surtout dans son sens spirituel, appelé allégorique1. Elle s’appuie également sur l’analyse linguistique et va de pair avec l’histoire du christianisme et de ses dogmes.
un jour que je voulais entrer dans une église en allemagne, le bedeau(?)m’en interdit l’entrée sans me réciter Kafka, ni l’argument qu’on me servit à NAZARETH « PAS PETITS PANTALONS » sic!
qu’est-ce que c’est comme genre littéraire ce « ppp »
ça, c’était au vingt et unième
« … explique Éric Gilson… »
Les explications de Ralph Gibson sont moins laborieuses !
https://lesempio.blogspot.com/2012/05/ralph-gibson.html?q=ralph
a parabole « Vor dem Gesetz » (Devant la Loi) est un des textes les plus célèbres de Kafka et l’un des rares qu’il ait publiés de son vivant. Ce passage du roman inachevé Le procès était aussi un de ses écrits préférés, qu’il aimait lire à ses amis et sa fiancée Felice [1]
[1]
Klaus Wagenbach, Kafka in Selbstzeugnissen und Bilddokumenten,…. Dans son Journal, il le désigne comme une « légende » et, dans le roman, simplement comme une « histoire ». Mais le terme parabole (Gleichniss), qu’il utilise souvent pour parler de ce genre de textes brefs et à forte charge paradoxale, disséminés comme autant de gemmes étincelantes dans ses cahiers de notes et son Journal, est peut-être le plus approprié.
2Cet écrit polysémique et énigmatique, d’inspiration explicitement religieuse, semble concentrer, en quelques paragraphes, la quintessence de la spiritualité kafkaïenne : il jette une lumière puissante non seulement sur Le procès lui-même, mais sur l’ensemble de l’œuvre de l’écrivain pragois. Il s’agit d’un texte paradoxal, à la fois tendre et cruel, simple et terriblement complexe, transparent et opaque, lumineux et obscur. Il représente l’art de Kafka dans toute sa puissance, et il n’est pas surprenant qu’il n’ait cessé de hanter plusieurs générations de lecteurs et de critiques depuis presque un siècle.
https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2002-4-page-117.htm
« Devant la Loi » : le judaïsme subversif de Franz Kafka
Michael Löwy
Dans Raisons politiques 2002
Préjugés, devant la loi, in « La faculté de juger’ (Jacques Derrida, 1985) [Prejuges]
derrida;
« L’interdiction de la loi n’est pas une contrainte impérative mais une différance : « je t’ordonne de ne pas venir jusqu’à moi »
La loi de la loi, c’est qu’elle doit être sans histoire, sans genèse, sans origine, sans dérivation possible, elle ne doit donner lieu à aucun récit
Pour qu’une oeuvre littéraire surgisse comme telle, il faut que le texte, qui comparaît lui-même devant la loi d’un autre texte, ait le pouvoir de faire la loi
Ce qui fait oeuvre est une perturbation dans le système « normal » de la référence, en rapport avec le jeu du cadrage et la logique paradoxale des limites
Le paradoxe du post-moderne, c’est que, bien que le jugement n’ait ni fondement ni critères, nous ne pouvons pas nous en débarrasser
Nous sommes, a priori, tenus de répondre devant la loi des préjugés que nous sommes
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0803190839.html
bedeau
Apprenez à prononcer
nom masculin
Employé laïque préposé au service matériel, dans une église.
Des bedeaux.
Restons dans le XVIème (siècle) et la littérature. Un article du jour d’EL PAÍS annonce le retour à la Bibliothèque nationale (espagnole) d’un manuscrit qui s’en était volatilisé à la fin du 19ème et a été retrouvé, par hasard, en Angleterre, par un professeur émérite d’études hispaniques d’University College de Londres. 24 pages en 12 folios, parfait état de conservation. Son titre : « Abusos de Comedias y Tragedias ». Il s’agit du premier traité sur les usages et les plaisirs du théâtre à l’époque du Siècle d’Or espagnol. Selon le vénérable professeur, son auteur serait un homme d’Eglise, savant, « obsédé par les peurs, les préjugés et les croyances de son temps ». Ce texte représente la première tentative d’imposer, sous l’angle de la moralité, ordre et règles au théâtre comme nouvelle forme de divertissement. Et, naturellement, la place des femmes préoccupe son auteur. Comme chacun sait, le théâtre anglais avait réglé la problématique en confiant les rôles féminins à des acteurs (hommes). L’auteur du traité propose que disparaissent du répertoire les œuvres où sont distribués des rôles de femmes pour “el peligro que ay en ver y oír muger agena, especialmente compuesta con cuidado y hablando razones muy studiadas en boz blanda y suabe como pasa en las representaciones”. Savoureux. Cependant, en tant que public, les femmes sont admises. A condition d’accéder à la salle par une entrée séparée et de ne pas se mélanger avec le public masculin.
je ne porte que rarement des bermudas; et pas pour marcher dans une « ville »
« Le paradoxe du post-moderne, c’est que, bien que le jugement n’ait ni fondement ni critères, nous ne pouvons pas nous en débarrasser. »
Tout est faux dans cette assertion, sauf sa conclusion logique : à savoir, le « postmoderne » n’existe plus. Car on ne peut pas se débarraser de la Vérité à si bon compte. La Vérité existe, n’en déplaise aux pseudo-déconstructionnistes.
Il faut se méfier du Derridex, qui est une réécriture d’un Derrida fantasmé en pensée « woke ». Par exemple, Derrida n’aurait jamais écrit — et d’ailleurs il ne le pensait pas : « Nous sommes, a priori, tenus de répondre devant la loi des préjugés que nous sommes. » Nous avons des préjugés, mais nous ne sommes pas des préjugés. Abraham et Isaac n’étaient pas des préjugés. Mais des hommes complexes. De même, Nordahl Lelandais n’est pas non plus seulement un préjugé d’assassin (sauf pour un juge), malgré son crime horrible : le seul préjugé serait de le croire coupable. Mais, en tant qu’assassin, il est dépassé par son crime. C’est ce genre de chose que Nietzsche avait bien vu. Et puis, pour ceux qui ont lu Schopenhauer, il ne fait aucun doute que Nordahl Lelandais, cet immonde bonhomme, est innocent. Désolé d’avoir à dire cela. Ceci étant, il faut sans doute l’enfermer, pour qu’il ne recommence pas.
el peligro que
Voulez vous nous traduire, dear miss Neuhoff ?
Souvenir d’une séance à la Comédie Française où Chérubin était joué par une jeune fille. Plutôt raté, surtout la partie chantée.
Joyeux anniversaire, « Ulysses »!
100 ans,aujourd’hui.
Pour plus d’infos, voir:
https://larepubliquedeslivres.com/ulysses-a-cent-ans/
Livres dont « l’action » se déroule en un jour, début de liste:
16 juin 1904 : Ulysses (1922), James Joyce.
? juin 1923: Mrs Dalloway (1925), Virginia Woolf,
?: Les braises, Sandor Marai, 1942
2 novembre 1938: Under The Volcano (1947), Malcolm Lowry
? : Au jour le jour, Saul Bellow,1956
?: Une journée d’Ivan Denissovitch, Alexandre Soljenitsyne (1962)
15 février 2003: Saturday (2005) Ian McEwan
…
Damien, vous voulez faire simple quand c’est compliqué!
bon appétit:c’est assez simple, non?
el peligro, le péril = Phil !
« Mais, en tant qu’assassin, il est dépassé par son crime. » (Damien)
» Ceci étant, il faut sans doute l’enfermer, pour qu’il ne recommence pas. » (Damien)
– Vous êtes magistrat, mon cher ami ?
– Ou Zemmourien, peut être ?
Eric Marty (in, le sexe des Modernes) m’a beaucoup amusé dans son décryptage « derridien » de la célèbre parabole de Kafka. Il faut dire que, charoulien en diable peu versé dans le lacanisme d’un Derrida fortement mâtiné de judaïté postmoderne, je n’avais pas encore eu l’heur d’apprécier le potentiel de la « porte invaginante » ouverte à la différANce !!! 🙂
Marty (je le cite, en retenant mon souff’ – p. 351) : « Derrida opère un coup de force très audacieux. Il interprète la position du personnage de Kafka devant la porte (devant la loi) en terme d’étiologie sexuelle, comme le ‘ante portas’ : le lieu de l’éjaculation précoce (‘coïtus ante portas’), là où la semence se dissémine, là où opère « l’hymen avec la loi », càd l’espace d’une pénétration impossible : « non pénétration par éjaculation précoce ou par non éjaculation. Le résultat est le même, le jugement, la conclusion. Le tabernacle reste vide et la dissémination fatale (…) ». Martyu poursuit : Le rapport sexuel apparaît (…) sur fond d’un inceste impossible avec la loi, impossibilité qui regarde alors chacun puisque cet ‘ante partes’ est en fait un ‘ante portam’, devant une porte, une porte unique au sujet »…
____
Inutile de m’ironiser sur la volonté d’enfoncer ou de déchirer des portes ouvertes débouchant sur le vide, de nos jours… Judith Butler, qui s’est penchée sur ce texte par solidarité juive apparemment avec Derrida, (en en faisant une fois de + une lecture erronée à partir de la traduction américaine) a néanmoins conclu à une posture de sn confrère pas assez idéologique, trop aristocratique, trop esthétisante, trop narcissique, trop romantique, aussi… et sans doute, trop hétérosexuelle à ses yeux, ajoute Eric Mary (p.346).
Pauvre Kafka !… dévoré depuis des plombes à la sauce freudo lacanienne et deleuzo-lyotaresque post-moderne,… désormais englué dans les lois du Neutre genré où nous aboutit Butler…
Bref, et ainsi soit-elle, aucune glose aussi raffinée soit-elle ne parviendra jamais à mes yeux à épuiser le puissant mystère de cette parabole. Je l’ai lue plus dix fois depuis quarante ans, et jamais n’en ai-je éprouvé le même état de mystérieuse sidération à chaque fois. A chacune d’elle, anéfé, je me suis toujours senti différemment interpellé et remué… Voilà pour moij comme la preuve absolue du texte le plus génial qui fut jamais composé au sein de la littérature universelle (et je le mets au même rang que l’inépuisable et insondable formule obstinée de Bartleby).
Bàv tous.tes,
On y revient. La seule chose à faire serait de lire les arguments de Mireille Huchon ; ou d’acheter le volume de la Pléiade.
Pierre Assouline, vous écrivez que Wikipédia «se garde bien de citer Mireille Huchon dans sa bibliographie». Pourtant les notes 14 et 16 mentionnent – Mireille Huchon, Louise Labé. Une créature de papier, Genève, Droz, « Titre courant » ( 24), , 483 (ISBN 978-2-600-00534-0, lire en ligne [archive]). Et effectivement, on peut lire en ligne.
https://books.google.fr/books?id=j56eZkOfGbUC&printsec=frontcover&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false
Nom d’un chien, y a plus qu’à…
peligro, le péril =
et la santa pelligrino, dear baroz, c’est du toxique ?
QUE FAIRE ?
Pour résoudre le problème EHPAD, faire de nos vieux, de nos vieilles, des granulés pour nourrir les pauvres !
D’accord, Soleil Vert ?
Et Marie Sasseur daigna se pencher sur les Guerres de Religion. Savoureux, non, que cet intérêt subit pour des sujets naguère jugés de bedeaux? Oh, ce n’est pas Crouzet, ni Michel de Certeau, tout juste Wikipedia, mais il y a un (petit) effort pour aborder ces sujets il y a peu qualifiés d’obscurantistes. Encore un petit effort, et on pourra en venir à l’Histoire des Mentalités ! MC
Dorothy Parker était une jolie jeune fille, ravagée par l’alcol, elle pensa à se tuer, et composa un poème ironique sur les moyens, tous incommodes et douloureux, à la fin elle décida pour le lent suicide des alcoliques.
Mort de Monica Vitti, actrice Italienne, la Muse de M.Antonioni, sa beauté irrégulière, excentrique et son élégance: des atouts formidables. Son talent aussi rémarquable dans le régistre comique. Les longuers de Antonioni nous ont fait aimer passionnément son visage.
Un ami Anglais se posait souvant le question « Is Mrs Thatcher human? » Suivait un mmmm. plein de doutes.
Bloom, à part nos adorés Irish, faudra-t-il mentionner des auteurs si marquantes comme Sylvia Townsend Warner et Penelope Fitzgerald. Quel style et quelle substance!
Un pasteur n’est pas un Père de l’Eglise et peut se marier…
–
Digne de figurer dans les perles du Baccalauréat. Mais non, l’auteur est bel et bien un commentateur de la RdL.
le Monde annonce aujourd’hui la mort de Monica Vitti à l’âge de 90 ans
On se souvient que ce « journal de reference » avait anticipé l’évènement il y a une vingtaine d’années, ce dont il avait du s’excuser auprès de l’actrice et des lecteurs le lendemain
et alii, j’ai visité un monastère en Grèce avec une jupe longue prêtée à l’entrée pour la circonstance. En effet j’étais en short.
Commençons par le commencement. Ensuite nous pourrons parler de patristique.
www.http://fr.m.wikipedia.org/wiki/P%C3%A8res_de_l%27%C3%89glise
@ Bloom
on peut ajouter
italo calvino: »la journée d’un scrutateur » mais je ne sais pas à quelle date elle est sensée se dérouler
et comme roman qui se deroule en une nuit :la modification evidemment ;au theatre je pense a Mademoiselle julie l’aristocrate qui finit a la fin de la nuit par coucher avec un domestique ?
Le vieux puceau s’est pris une bâche monumentale, la dernière encore hier à propos du film de Tavernier.
C’est presque systématique maintenant, chaque fois qu’il ouvre sa gueule, pour dire des conneries.
N’a-il-pas commencer par louer Huchon, sur ce même billet.
Vont bien ensemble, ces deux là, marions les.
N’a-t-il pas commencé, et il continue.
Pathétique.
Next.
Huchon l’a habitué « à mieux ».
Dans le pire, on attend avec impatience ce que le vieux puceau va inventer comme nouvelle connerie, pour faite oublier sa précédente.
___________
Je suis en terrasse,je prends un petit café, et je repense a cette phrase de Kafka, qui a été évoqué plus haut. Cela concerne une porte.
J’ai lu les arguments de Huchon en 2006 ou 7 : pas convaincants.
Beau portrait de Monica Vitti dans le Monde en forme de retrospective de sa carrière .
Mais on est un peu gêné a l’idee que cet ce article presque simultané de l’annonce de sa mort etait une »viande froide » ‘ qui attendait depuis quelque temps, des années peut-être le moment de sa publication
Affirmer qu’un pasteur n’est pas indispensable à l’Eglise est une énormité.
C’est comme dire qu’un berger n’est pas indispensable à un troupeau.
Qu’un pasteur protestant ne soit pas pqr choix un alter christus au sens sacrificiel, cela peut s’admettre ; et se constate de fait par la non-célébration du sacrifice eucharistique par le pasteur protestant.
Mais qu’il aille jusqu’à nier d’être berger…ça me dépasse complètement.
Monica Vitti :
https://lesempio.blogspot.com/2019/01/monica-vitti_62.html?q=Monica
Les pasteurs peuvent se marier depuis le début du protestantisme. Ce fut une des premières décisions des Réformateurs. Car, comme l’explique Fr édéric Rognon, professeur de philosophie des religions à la Faculté de Théologie protestante de Strasbourg, le pasteur n’est pas un prêtre.
Les pasteurs sont des individus comme les autres. Ils ont des compétences, suivent une formation, ont une vocation mais vivent dans les mêmes conditions que les autres. Les pasteurs n’ont pas de fonction qui relève du sacré. Ils peuvent donc se marier.
Le sacerdoce universel est un principe important dans la Réforme protestante. Tous les croyants sont prêtres, il n’y a pas de différence entre le clergé et le peuple. Luther par exemple, qui était moine, a fini par se marier avec une ancienne nonne et Calvin s’est marié, rappelle le théologien Frédéric Rognon.
https://www.reforme.net/eclairage-vocabulaire/2019/07/05/pourquoi-les-pasteurs-peuvent-ils-se-marier/
Si l’on repart aux temps des premiers chrétiens, les compagnons de Jésus n’étaient pas tous célibataires. L’apôtre Pierre était marié. Après le Concile d’Elvire vers 305, les prêtres n’ont plus le droit de se marier. Le Concile de Latran au XIIe siècle vient imposer formellement le célibat aux prêtres. Dans l’Église maronite, Église catholique orientale, héritière des premiers chrétiens, les prêtres peuvent toujours se marier.
Dans l’Église orthodoxe, les moines ne peuvent pas se marier. Mais les prêtres qui étaient mariés avant de d’entrer dans la prêtrise peuvent le rester. En revanche, ils n’ont pas le droit de se marier après leur ordination.
Parler de sexualité féminine et de Luther sur un même compte Instagram, c’est possible. C’est ce que fait Maike Schöfer, pasteure en devenir en Allemagne. Son objectif : abolir le patriarcat dans l’Église.
« Quand je donnais des cours de religion, les élèves étaient toujours étonnés de me voir arriver. Je pense qu’ils s’attendaient plus à une femme en jupe longue avec des chaussettes dans ses sandales », raconte Maike Schöfer en riant. Il faut dire qu’avec sa veste en cuir et son piercing dans le nez, cette future pasteure est bien loin des clichés parfois associés aux chrétiens. Une impression qui se renforce quand on visite son compte Instagram, très populaire plateforme de photos et vidéos, où elle parle aussi bien de masturbation et de poils sur les jambes que de Luther et de la Bible. Féministe jusqu’au bout des ongles, Maike, 32 ans, est bien décidée à changer l’image de l’Église protestante allemande. Pourtant rien ne semblait prédestiner la jeune femme à occuper un jour des fonctions ecclésiastiques. À Brême où elle grandit, sa famille ne s’intéresse que peu aux questions religieuses. « Je suis baptisée et…
https://www.reforme.net/portraits/2022/02/02/osez-le-pastorat%e2%80%84/
« peut s’admettre » mais ne reçoit évidemment pas mon assentiment. Même si le protestantisme peut produire quelques bons fruits, il n’en reste pas moins qu’il constitue une grave hérésie, transmise familialement depuis des dizaines de générations donc atténuant la faute des actuels adeptes hereditaires, mais ne l’enlevant pas. Il faut dire que l’église catholique avant la Réforme était tombée bien bas et porte une lourde responsabilité dans ce schisme hérétique qui perdure encore. Satan à tous les étages : faisant pécher l’église catholique, faisant pécher ses docteurs sans diplomes pendant des siècles. Mieux : leur suggérant de faire disparaître la notion même de péché. Le grand accusateur et diviseur dans toute sa magnificence malfaisante et insultante de Dieu.
De nombreux points communs existent, concernant la vocation, la formation et les missions attribuées aux pasteurs ayant un poste en paroisse. Cependant, chaque Église protestante a ses propres exigences par rapport au ministère pastoral.
Devenir pasteur, une vocation
Ce qui définit d’abord le pasteur est sa vocation intérieure, il ou elle se sent appelé par Dieu à annoncer l’Évangile. A cette vocation personnelle doit correspondre un appel de l’Église, c’est-à-dire de la communauté des croyants, qui est représentée par la Commission des Ministères, ou conseil d’Église. Cette Commission constituée de pasteurs et de laïcs a pour objectif de juger de la capacité du candidat pasteur à exercer un ministère pastoral. Il existe plusieurs types de ministères pastoraux dans les Églises protestantes : les postes en paroisse, les aumôneries (d’hôpital, de prison, de l’armée, des universités), les missions, les services d’Églises. C’est la Commission des Ministères qui oriente le futur pasteur vers son premier ministère et interviendra de nouveau, si le pasteur souhaite ultérieurement changer de ministère.
https://museeprotestant.org/notice/etre-pasteur-aujourdhui/
Il convient de suivre des études de théologie dans l’une des facultés de théologie protestante française ou étrangère. Le diplôme actuellement exigé est le plus souvent un Master professionnel, qui comprend 4 années d’études théoriques, une année de stage pratique, généralement en paroisse et la rédaction d’un mémoire.
Le choix de la Faculté de théologie se fait en fonction du choix de l’Église à laquelle le futur pasteur veut être attaché. Certaines conventions existent entre les Églises pour permettre aux pasteurs qui le souhaitent de passer d’une Église à une autre, sans avoir à reprendre la totalité de leurs études. Mais ces cas restent finalement peu nombreux.
Après ses études, son stage et plusieurs discussions avec le conseil d’ Église, le futur pasteur est nommé dans une paroisse, où il exerce d’abord en qualité de proposant. Cette période de proposant (ou stage) dure généralement 2 ans et peut être assimilée à une période d’essai. A son terme, le pasteur est reconnu, lors d’une cérémonie de reconnaissance de ministère ou d’ordination, organisée par son Église. Régulièrement le ministère du pasteur est évalué et la paroisse décide ou non de le reconduire dans son poste ou lui-même peut faire le choix de changer de paroisse.
Dans son ouvrage Ré-enchanter le ministère pastoral, Raphaël Picon distingue cinq fonctions principales :
Une fonction théologique. Le pasteur est celui qui prêche et enseigne la présence du Christ. Il n’impose pas ce qu’il convient de croire ou de penser ; il est libre dans sa prédication. Il administre les sacrements (Baptême et Cène).
Une fonction d’écoute. Le pasteur apporte une parole lors des grands événements de la vie. Il aide la personne à confier ses soucis à Dieu, à restructurer ses pensées par des récits bibliques. En aucun cas, le pasteur ne peut absoudre les péchés, mais il annonce le pardon.
Une fonction sociale. Le pasteur est sollicité pour animer la paroisse et certaines de ses activités : les cultes, les baptêmes, mariage, enterrements, le catéchisme, l’animation biblique, l’entraide, etc. Son objectif est de motiver les gens à témoigner de leur foi et à la vivre pleinement.
Une fonction symbolique. En tant que ministre de l’Église, il représente « la possibilité d’une transcendance, de l’action et de la présence créative de Dieu », autant pour ceux qui sont dans l’Église, que pour ceux qui n’y sont pas.
Une fonction identitaire. Le pasteur est un repère dans la foi et peut aider chacun à enrichir sa vie spirituelle.
Selon les goûts et talents de chaque pasteur, les demandes de sa paroisse, sa pratique sera plus ou moins diversifiée. Il est aidé dans sa tâche par les laïcs.
« Il est coutume de dire, dans le protestantisme, que le pasteur est nécessaire au bien-être de l’Église et à son bon fonctionnement, mais non à son être même, à son fondement, ce qui est la thèse catholique. »(Raphaël Picon, op. cit.)
Les pasteurs peuvent avoir une vie de famille, se marier, avoir des enfants.
Une étude du sociologue Jean-Paul Willaime, Profession pasteur (1986), recueille notamment les avis des pasteurs sur leur emploi du temps : Ils déclarent en moyenne un temps de travail de 60 heures par semaine, avec une très forte imbrication entre vie personnelle et vie professionnelle.
Les pasteurs français (hors Alsace, Moselle) sont rémunérés par leur Église et logés le plus souvent par leur paroisse. Leur salaire est inférieur au SMIC.
En Alsace et en Moselle, où les Églises sont sous le régime concordataire, les pasteurs sont payés par l’État et logés par l’Église. Leur salaire est un peu supérieur au SMIC.
En France, on appelle guerres de Religion les huit guerres civiles d’origine religieuse qui se sont succédé dans le royaume de France de 1562 à 1598, opposant partisans du catholicisme et partisans du protestantisme (les « huguenots ») dans des opérations militaires pouvant aller jusqu’à la bataille rangée.
. Dans le royaume, les conflits armés commencèrent officiellement avec le massacre, par les gens de François de Guise, de soixante-quatorze protestants qui assistaient à un prêche à Vassy (mars 1562). Au vrai, depuis l’exécution de Berquin en 1529, les signes avant-coureurs du drame n’avaient cessé de se préciser : persécutions après l’affichage en 1534 de placards hostiles à la messe sur la porte même de la chambre du roi à Amboise ; massacre en 1542 de trois mille vaudois du Luberon sur ordre du parlement d’Aix ; législation antiprotestante d’Henri II ; conjuration d’Amboise (mars 1560), encouragée par Condé pour enlever le jeune François II à l’emprise des Guises.
Le massacre de Vassy (auj. Wassy), conséquence logique d’une tension croissante, marqua l’échec de la politique tolérante du chancelier Michel de L’Hospital. Les protestants étaient devenus une force dans le royaume. On calcule qu’un quart des Français étaient alors passés du côté de la Réforme. En outre, une fraction notable de la noblesse avait adhéré au protestantisme, suivant à cet égard l’exemple de Condé et des trois neveux du connétable de Montmorency – le cardinal Odet de Châtillon, d’Andelot, colonel général de l’infanterie, et l’amiral de Coligny. Enfin les gentilshommes que le traité du Cateau-Cambrésis (1559) laissait sans emploi se trouvaient disponibles pour toutes les violences. Selon leur tempérament, leurs convictions et surtout la clientèle nobiliaire à laquelle ils appartenaient, ils choisirent entre le parti de Condé et celui des Guises.https://www.universalis.fr/encyclopedie/guerres-de-religion/3-catholiques-et-protestants-en-france/
Le séminaire de cette cahoteuse année a été presque intégralement consacré à un siècle chaotique, et d’une extrême richesse, le xvie, probablement le grand siècle d’une littérature protestante française (en lui rattachant les Tragiques, en dépit de leur publication tardive : 1616). Seul le xxe siècle aura présenté une comparable pléiade de talents, mais dans des rapports très différents, on l’imagine (avant d’y revenir l’année prochaine), au protestantisme, de Gide à Chamson, de Paulhan à Ponge, de Barthes à Pieyre de Mandiargues.
https://journals.openedition.org/asr/3844
Protestantisme et littérature en France
Une conférence de Olivier Millet issue du colloque « Protestantismes, convictions & engagements » organisé à l’occasion des 500 ans de la Réforme protestante.
https://campusprotestant.com/video/protestantisme-et-litterature-la-reforme-du-xvie-siecle-et-apres/
« il a commencé par dire du bien sur ce billet de Mireille Huchon » (MS)Pas que sur ce billet ! J’ai parlé du Nostradamus en bons termes, et je les maintiens, même s’il n’a pas eu l’honneur d’un compte-rendu, cf un echange avec DHH il y a quelques semaines . Mais certains , certaines chercheuses, ont aussi des idées fixes qu’on est pas obligé de suivre. C’est le cas ici de Mireille Huchon, et J’ai cité ailleurs la haine d’un illustre balzacien à propos de Madame Hanska, ça n’empêche pas ledit balzacien d’ avoir été un grand. Mais le sens des nuances, et les milieux de la recherche littéraire, il ne paraît pas que MS les connaisse beaucoup… Elle préfère l’invective, l’insulte, et la diffamation. Au fait, de quoi, accessoirement de qui, ce si grand esprit est-il au juste le nom? On attend toujours….
@ MC, pour moi, c le syndrome inguérissable d’un amour déçu transformé en haine pour son directeur de thèse de lettres qui préféra donner le poste convoité à UN rival moins talentueux, plutôt qu’à elle-même… D’où, le déclenchement d’un délire paranoïaque permanent d’amour/haine envers tous les lettrés mâles dominants de la terre. C’est très simple, vous savez, MC !… et vous ne devriez pas vous justifier de la sorte. Elle vous mène par la bite où elle veut. Enfin bref, ça ne me concerne pas, m’enfin, je vous le dis en toute confraternité et solidarité masculines, il faut bien le faire de temps à autre, et j’en suis bien désolé pour les autres femmes, féministes ou non, dont j’apprécie infiniment la tempérance et l’esprit d’ouverture sur cette chaine, Bàv,
Plus original que L’Anomalie : Laurent Genefort – Les Temps ultramodernes – Albin Michel Imaginaire
DHH,
Ah, nous vibrons à la même nouvelle. Elle et Il Deserto Rosso m’ont marqué. Pleine page dans Il Corriere, https://www.corriere.it/
Tristesse de l’annonce de la mort de la belle Monica !
e finita l’aventura…
moi je préfère le canular à la vérité ! qu’une bande de potes, durant une soirée bien arrosée, ont eu l’idée d’inventer de toute pièces une poétesse c’est magnifique :
– je propose de l’appeler Marie Lévèque !
– ah sacrebleu voilà maintenant un évêque parmi nous ! tu mets la barre un peu haut l’ami, je proposerais plutôt un curé ! ou un abbé…
– emballé c’est pesé : d’accord pour Marie Labé
– Et pourquoi pas Louise plutôt que Marie notre Sainte Vierge qui nous les brise menu chaque dimanche à la messe ?
– Louise comme la fille du boulanger de la rue Saint Jean ?
– ah la belle gironde… c’est vendu pour Louise !
– notre poétesse s’appellera Louise Labé… avec pour initiales 2 belles ailes pour nous envoler vers le 7ème ciel !
– ahahahaha dit le gros Pierre
– ohohohoh répondit petit Jean en remplissant les verres…
et c’est ainsi que naquit, un soir d’hiver, dans une taverne malfamée située entre l’Hôtel Dieu et l’imprimerie, celle qui plus tard allait devenir Louise Labé la poétesse lyonnaise…
trop belle cette histoire, et je ne comprends pas comment des personnes soit aimant aimant les livres et la littératures préfèrent défendre la Sainte Vérité plutôt que succomber aux charmes de la fiction et de l’inventivité humaine…
Arts & Loisirs mai 66
https://i.pinimg.com/736x/91/65/b4/9165b4cbbe5285ac3b1a5725bb5f9b71.jpg
Le puceau est incapable de tenir un niveau correct de civilité lorsqu’il se permet d’interpeller tout ce qui porte pseudo féminin sur ce blog; que ce gnome ne s’étonne pas de se faire renvoyer dans ses 22, comme il le mérite.
Il n’a pas la prétention de se faire passer pour un homme, en plus ?
Il ne manquerait plus qu’il se ridiculise complètement.
Huchon lui raconte des fadaises sur les balivernes de Nostradamus, et ça lui plaît.
Pas étonnant, ils sont faits l’un pour l’autre, je vous dis.
Soleil vert dit: à
Plus original que L’Anomalie
»
hola SV faut y aller mollo ! l’Anomalie c’est déjà bien assez original pour celles et ceux qui bouffent du Carrère et du Welbec !
Lu dans le « Canard enchaîné » de ce mercredi 2 février 2022 :
« Un fidèle de Marine Le Pen souligne (« Le Parisien » , 31/01) : « Zemmour, c’est Le Pen des années 80. Il essaie aussi de rassembler toutes les chapelles de la droite nationale : les cathos, les païens… » Sans oublier les racistes. »
@vedo
merci de ce lien
je constate que le corriere dans son article sur Monica Vitti s’offre le plaisir d’une petite pique a son jumeau transalpin en rappelant sa gaffe anticipatrice
J’ai arrêté de lire le frérot du Corriere lorsqu’ils ont publié une photo de Gadda avec sa femme. Or, le Grand Lombard n’était pas marié.
È morta Monica Vitti…Et le cinéma italien ne se porte pas très bien non plus, hélas.
Extension du domaine de l’assèchement.
Un personnage romanesque dénué de tout sens moral : portrait de Nordahl Lelandais par une de ses ex (un couple en adéquation) :
— «C’est un homme mystérieux et menteur, détaché de tout. Il ne dévoilait aucune facette.» Ensemble, ils sont avant tout des partenaires sexuels réguliers. Leur relation se lie lors de rendez-vous rapides à l’arrière d’une voiture, dans un champ ou dans un chemin de terre. «On se voyait quand lui était dispo», souligne-t-elle. Un constat appuyé par les nombreux SMS sans réponse lus par la présidente au cours de l’audience: «J’ai rêvé de toi toute la nuit.», «Bon Jordan c’est oui ou c’est non ?», «Tu as envie de moi ?» C’était alors la mode de «50 Nuances de Grey», rappelle-t-elle, ce qui la pousse à accepter de poursuivre leurs ébats les yeux bandés: «Le bandeau s’est un peu enlevé et j’ai vu qu’il me filmait, se souvient-elle. Mais je n’ai rien dit tant que ça restait dans le cadre perso ça ne me dérangeait pas.» Déjà mère d’une petite fille, elle tombe enceinte et décide d’avorter, une décision qui laisse de marbre Nordahl Lelandais. «Je suis déjà incapable de m’occuper de moi alors d’un enfant», lui écrit-il. Elle comprendra plus tard qu’il était déjà en couple avec une autre femme à la même période. (Le Figaro)
Sans selfie :
JJJ J’aime bien « tout ce qui porte pseudo féminin sur ce blog » . Outre l’exagération épique, l’expression laisse transparaître un sérieux doute sur la vraie nature de MS. ( imagine-t-on Mr Sasseur???) Le travail de Mireille Huchon sur Nostradamus ici incriminé est une excellente biographie . A quoi l’on peut joindre le travail québécois de Pierre Brind’amour, Nostradamus Astrophile, mal accueilli ici mais qui a le courage de tenter de cerner l’univers mental de N , là où Huchon reste quand même synthetique, et bien sûr la bibliographie incontournable de Jean Ceard. Ce que c’est que de parler sans avoir lu. En revanche, le « Pourquoi Nostradamus » de Crouzet est plutôt abscons. Le fait que ce soit un très grand historien n’empêche pas, contrairement à d’autres, la lucidité critique. Bien à vous. MC
Ben voilà, le puceau voulait juste causer de Nostradamus!
A quelles extrémités ce handicapé de l’expression en société n’en est-il pas réduit, à insulter tout ce qui ne va pas dans le sens de ses balivernes pour crétins moyens et crédules.
C’est un monde quand même, à l’heure où l’accès aux disciplines scientifiques se fait beaucoup plus difficiles en France pour toute une génération, voilà qu’un vieux misogyne infect, vient faire de la retape pour l’apôtre Nostradamus et son adepte Huchon.
Ah le beau couple.
Je ne veux pas tenir la chandelle.
Next.
JC….. dit: à
QUE FAIRE ?
Pour résoudre le problème EHPAD, faire de nos vieux, de nos vieilles, des granulés pour nourrir les pauvres !
D’accord, Soleil Vert ?
Faudrait pimenter pour faire passer le gout
02/02/2022
J’espère que Michel de NostreDame, bien connu dans le coin, a préparé un coup fumant avec cette date magique.
J’ai mangé trois petites crêpes, faites maison pour fêter ça.
La Chandeleur (fête des chandelles) est une ancienne fête païenne et latine, devenue ensuite une fête religieuse chrétienne correspondant à la présentation de Jésus au Temple et sa reconnaissance par Syméon comme « Lumière qui se révèle aux nations »[1]. C’est une des douze grandes fêtes liturgiques célébrées par les Églises orthodoxes.
Cette fête se déroule le 2 février[2], soit 40 jours après Noël.
Wikipedia
Apolcalypse Now, article du Monde sur le CNRS, morceaux choisis:
» L’actuel PDG du CNRS est en effet le candidat proposé par Emmanuel Macron pour la direction du CNRS jusqu’en 2023. Antoine Petit occupe ce poste depuis 2018. Actuellement, en qualité… d’intérim. Car son mandat est déjà arrivé à échéance. Etrange non ? Que le renouvellement envisagé par le pouvoir politique à ce poste importan ne soit pas réalisé en temps et en heure révèle probablement le désintérêt pour la science de ce gouvernement.
(…)
« Antoine Petit a mis en avant d’autres informations désagréables. «Le CNRS embauche à bac plus 13 à deux fois le smic, tandis que d’autres pays, certains proches, offrent nettement plus. Les primes des chercheurs, cadres A de la fonction publiques, sont les plus basses de la fonction publique. Les conséquences des décisions s’inscrivent dans le temps long. La perte d’attractivité aura des conséquences dans dix ans.»
(…)
« Les réformes de structures et de financement ont fait perdre une énergie et un temps fous aux chercheurs et universitaires travaillant dans les laboratoires français, et n’ont pas été compensées par un meilleur financement, avec comme résultat le recul net de la France dans la production scientifique mondiale. Un recul inéluctable avec l’émergence rapide et massive d’acteurs nouveaux, dont la Chine au premier rang, mais qui est accentué par le refus des pouvoirs politiques de faire confiance à la communauté scientifique et lui donner les moyens d’une politique scientifique ambitieuse. »
—
Poursuite de l’extension du domaine de l’assèchement, avec comme objectif final la désertification.
Jazzi,
Cet article dans linkiesta me touche. J’ai vécu une situation un peu semblable et différente qui s’est achevée tout récemment. Cela peut être un moment capital, et je n’ai pas été à la hauteur. Une situation bien plus grave que celle de « Cinco horas con Mario ».
L AFFAIRE ANNE Frank est « suspendue » , faute de preuves suffisantes de l’enquête qui avait impliqué un notaire ; en bref:à suivre
le livre de Rosemary Sullivan, sur l’affaire Frank, ne sera pas édité prochainement
l’information est assortie d’excuses pour le retard
Moi je ne mange pas de crêpes aujourd’hui.
Le mercredi c’est Francfort-purée et je m’y tiens.
www.http://i.pinimg.com/originals/85/75/c9/8575c9c9f749f45c23373521d300b285.jpg
puisque le livre L’inconnu de la République (Colin, 2012) connait une réédition augmentée et publiée cette année, sous le titre Jean Zay. La République au Panthéon (Dunod, Ekho), 2021.,j’en profite pour ajouter qu’il est à l’origine du festival de Cannes
Jean Zay, mort en 1944, ministre, Résistant, fondateur entre autres du CNRS et du festival de Cannes. Il explique en 1939 les raisons politiques et diplomatiques qui l’ont poussé à créer ce qui deviendra le plus prestigieux festival de cinéma au monde.IL ETAIT NATIF D ‘Orléans (ce n’est pas une rumeur)
https://www.franceculture.fr/cinema/1939-et-jean-zay-crea-le-festival-de-cannes
Deserto rosso
@et alii
Sauf que jean ZAY n’a pas vu l’avènement de son festival qu’il avait conçu pour faire contrepoids en Europe du festival mussolinien de Venise
la manifestation a ete annulée à cause de la guerre.
le premier festival a eu lieu en 1947
C’est à sa fille qui en est la créatrice et la présidente qu’on doit le memorial des camps du Loiret
Le visage de Monica Vitti, avec ses traits simples et si frappant, chacun presqu’un symbole (yeux, paupières, nez, bouche, mèche, contour), remuait chez moi une résonance avec un type de visage que je semble percevoir dans les oeuvres d’art depuis la Grèce à la Renaissance. (Je viens de chercher, en vain, parmi les masques de théâtre, les statues antiques, Mantegna, Andrea del Sarto, Michelangelo, Pontormo, Bronzino.
Pour le CNRS, commençons par supprimer les départements des « sciences humaines », qui ne servent à rien et répartissons les frais ainsi économisés entre les gens sérieux qui travaillent dans des disciplines scientifique dont les résultats sont vérifiables et réfutables.
une réponse soufflée par claro(tweet)
https://pbs.twimg.com/media/FIFE8HCX0AMMqOH?format=png&name=small
closer, comment réfutez-vous la réponse de la jeune élève (qui suit votre envoi)
DHH
qu’il avait conçu pour faire contrepoids en Europe du festival mussolinien de Venise
Est-ce bien la raison qu’il donne? ce ne serait pas très diplomatique de le dire, même si cela vient à la pensée de tout le monde!
QU’il n’ait pas connu l’inauguration n’ôte rien au succès de l’idée ;
quant à la relève par ses « filles », soit; mais rien « d’exceptionnel » dans cette « fidélité »à laquelle elles ont surement été engagées aussi!
excuse:sa fille;
« fille de » ,comme « femme de » ça peut-être une charge!
« Pour le CNRS, commençons par supprimer les départements des « sciences humaines », qui ne servent à rien »
»
100% d’accord ! ça permettrait de rattraper notre retard économique sur la Chine et le Qatar.
D’autant que dans un système ultra libéral ayant comme seule logique celle de la comptabilité (celle qui fait qu’on maltraite les vieux dans les ehpad pour engraisser les actionnaires) je vois pas trop l’intérêt de faire de la sociologie et de l’anthropologie qui selon cette logique comptable n’est ni rentable, ni productif, ni commercialisable.
D’ailleurs depuis les années 90 la production livresque des sciences humaines est pratiquement tombée à zéro, ça sert absolument plus à rien de payer ces chercheurs qui travaillent pour rien.
bravo cloclo !!!
même les psys ils servent à rien ! moi j’en ai épousé une, une lacanienne, hé ben si elle savait pas faire sa blanquette de veau à l’ancienne que c’est une tuerie ça fait longtemps que l’aurais larguée.
et quand on voit le travail déplorable de cette Madame Mireille Huchon payé avec les deniers de l’état et donc de nos impôts, une femme qui aura passé sa vie à se demander si une poétesse du 16è a réellement existé, à tel point que cela occupé toute sa vie l’empêchant ainsi de dégager un peu de temps pour apprendre à cuisiner la blanquette de veau à l’ancienne pour son mari, seule utilité pouvant donner un sens réel à sa vie, moi je dis qu’on tombé bien bas…
suffit de lire cet extrait de l’articlapassou :
« Les universitaires experts de la question y mettent parfois une telle charge émotive que leur débat prend une tournure d’une violence insoupçonnable alors que cette affaire s’est tout de même déroulée, rappelons-le, dans les années 1540-1556 à Lyon. Sauf que sa réception critique a tant enrichi le cas Labé depuis cinq siècles qu’elle est devenue son affaire, ainsi qu’en témoigne le dossier que lui a consacré la SIEFAR (Société pour l’étude des femmes de l’Ancien régime) sur son site en 2006 sous le titre « Louise attaquée ! ». »
voilà à quoi servent nos impôts !!!
« Société pour l’étude des femmes de l’Ancien régime »
»
l’état paye des gonzesses pour étudier des histoires de régime pour pouvoir entrer dans leur maillot en été !
l’ancien régime…. si elles veulent garder la ligne elles ont qu’à faire du jogging !
j’ai pas raison cloclo ?
le pire c’est les profs de philo, leur salaire représente une dépense de 5 milliards d’euros par an !
tout ça pour quoi ? pour rien ! hop ! 5 milliards balancés par la fenêtre !
non le pire c’est les sociologues ! ils représentent une dépense de 8 milliards par !
avec les profs de philo ça fait 13 milliards !
et si on y ajoute les 4 milliards que représentent les littéraires comme cette Mme Huchon on arrive à 17 milliards d’euros !
en pendant ce temps les français sont incapables de fabriquer un téléphone portable et des masques ffp2 qu’on importe… comme si un prof de philo allait mieux nous protéger du covid ou nous permettre d’appeler le samu…
j’ai pas raison cloclo ?
Au contraire, Puck. Le seul enseignement pour moi indispensable est celui de la philosophie. Je n’aurais pas été ce que je suis sans la philosophie et les grands philosophes comme Kent et Haendel que je tiens pour les plus grands.
Kent. Clark Kente ?
Puck, Lacan faisait une très bonne blanquette de veau. Je ne suis pas surpris.
cloclo tu sais c’est quoi le pire ? c’est que les masques pour nous protéger du covid et les téléphones portables on les achète à un pays communiste !
à quoi ils ont servi Tatcher et Reagan si c’est pour tout acheter à des communistes ?
Non renato, Emmanuelle Kent.
Il a décidé de se fiche de moi, renato, mais ça ne prendra pas avec moi.
Marx il avait bien dit que les communistes ils finiraient par gagner, ben voilà on y est…
On vit sous le joug des communistes !
Le Zyklon B, aux résultats quantifiables, conçu par des gens sérieux qui ne s’embarrassaient pas de considérations humaines.
D. t’es toujours mon ami ?
tu sais que toi et moi on fait partie des couples célèbres du blogapassou.
il y a eu : pedro et chaloupe, kabloom et jambon, terezoune et monsieur courte, jazzman et bonne clopine, et maintenant il y a dédé et keupu !
ça te fait plaisir ?
je vois, vous ne connaissez pas la marraine de mon fils, elle est médecin , et son homme,un juriste , ce n’est pas de Lacqn qu’il m’a estourbie, mais de SACHER MASOCH? VOUSME SUIVEZ ? j’ai cru mourir ;comment le mettre à la porte? ET ELLE? ELLE N4AVAIT QU’UN MOT :dédramatiser! voilà ce qu’il fallait faire, dédramatiser Louise et la louisiane
tant qu’on y était,dédramatiser vous dis-je POPPER?
ET LE PAPER? ET LE PEPPER? DEDRAMATISER!
Je ne me fiche de personne D., je pose une question à propos de ce Kent. C’est légitime ou pas ?
@Le Zyklon B…
»
ça c’est absolument faux ! ils avaient Heidegger qui est, je me permets de le rappeler, le plus grand penseur du XXè s. auteurs de nombreux ouvrages sur l’Humanisme !
puck, il faut dédramatiser la blanquette!
Écoutez, renato, aux dernières nouvelles vous n’étiez pas là quand j’ai passé ma thèse de doctorat en philosophie. Ou alors vous étiez bien caché.
Perso j’y comprend pas grand chose à ce papier, tout est mélangé et c’est la première fois que j’entend parler de cette féministe en herbe. Bref j’ai pas trop le temps de m’y attarder là tout de suite, elle attendra bien encore un peu lol
Quelqu’un sait d’où vient cette citation : « un emblème pour les études de genre »?
J’aimerais bien savoir qui a dit une connerie pareille
Et… vous l’avez publiées cette thèse, D. ?
J’attendais cette question, rebato.
Eh bien, parfaitement : je l’ai publiées cette thèse.
@Monica
Maria Luisa à l’état civil
On la trouve où, D. ?
J’étais certain que vous poseriez tôt ou tard cette question, renato.
Je vais vous communiquer le lien.
Votre adresse mail est toujours renato.maestri@club-internet.com ?
Quand on s’appelle CNRS (« Recherche Scientifique »), on s’occupe de sciences. La science se définit par son caractère vérifiable, reproductible et réfutable.
Déjà en 68 et suivantes on se foutait à juste titre des branleurs qui s’inscrivaient en socio ou en psycho. Aujourd’hui ce sont les mêmes en pire. Qu’ils exercent leur talent dans les universités, soit, à la rigueur, par tolérance; il faut bien faire la part du feu. Ils y « cherchent » ce qu’ils ont décidé de trouver et, évidemment, ils le trouvent. Mais qu’ils se mettent sur le même plan que les physiciens, mathématiciens, chimistes, astrophysiciens, biologistes et consomment des crédits de recherche alors que beaucoup de nos scientifiques les plus brillants partent à l’étranger parce qu’ils manquent de moyens en France et touchent des salaires de misère, non.
Bien entendu, je ne récuse pas la nécessité des études littéraires, historiques, sociales, philosophiques, dans le cadre universitaire. C’est une question de civilisation et de transmission de la culture. Mais assez de cette insupportable prétention à qualifier ces disciplines de « sciences » pour avoir l’air sérieux. Montaigne n’était pas un scientifique, ni Kant. Raymond Aron appliquait toute la rigueur de l’esprit scientifique à ses études sociologiques, politiques, historiques, mais vous le voyez affublé du titre de « chercheur au CNRS »? Ridicule!
Essayiste, penseur, philosophe, oui, scientifique au sens que ce terme devrait avoir au CNRS, non.
Closer, je vous lis et j’en déduis que vous ne misez pas sur l’humain, l’organisation sociale, l’étude des groupes, mouvements , je vous donne raison. Rien de quantifiable ni exactement vérifiable et demontrable, rien de rationnel ni reductible à des equations, matériel hautement instable. De plus comme vous le faites remarquer les éprouvettes coûtent cher.
Bérénice, je me souviens que vous aviez lues ma thèse avec le plus grand intérêt.
Alors pourquoi ce sikence ?
Nico, je crois que la dame etait une poetesse assez libre de moeurs ou du moins libre dans l’expression du tourment amoureux et ou sexuel. A son époque ce n’etait pas si courant, les étoffes et les usages faisaient office de burqa. Fin du moyen âge.
D, ce serait trop long à expliquer et votre these vaut d’etre abordée par chacun serieusement, attentivement. L’appendice est fourni en références de renom et ma contribution pour en dire le plus grand bien pourrait paraître issue de notre longue amitié et ainsi, donc, peu objective.
@ les étoffes et les usages faisaient office de burqa
Bon, où en étions nous avant que la grand âge ne frappe à la porte ?
https://pbs.twimg.com/media/FKgmv_9WYAQDVha?format=png&name=small
Ceci dit, quand j’apprends qu’EM propose au lieu de rénover l’université et d’agrandir sa capacité d’accueil d’augmenter les frais d’inscription de façon significative j’ai presque envie de voter MLepen.
Ce n’est pas mon adresse D.
Vous pouvez m’envoyer la référence via la possibilité donnée dans mes blogs.
Oui mais là je vais me coucher, renato.
Je m’occuperai de tout cela après-demain.
J’ai un planning très chargé et vous n’êtes pas tout seul.
Une petite fuite, D, ?
Eh non, Huchon est très rationnelle, très historienne sur Nostradamus. Ce qui prouve encore une fois que l’on parle de ce qu’on n’a pas lu.🤫. Cela dit , Gallimard en fait beaucoup avec Louise L. Couverture du catalogue Pléiade, puis contestation radicale de l’existence du personnage par une démonstration unilatérale et biaisée , soit un joli petit scandale pour caser un tome maigrelet. Car enfin où elle existe, et un tome de poètes de la Renaissance suffit à l’y inclure, ou elle n’existe pas, et dans ce cas pourquoi lui donner une édition à part? Tout cela est fort distrayant dans ce qu’il révèle d’une comédie universitaire-éditoriale! MC
« La recherche qu’on ne fait pas devient la recherche des autres »! J’aimerais que le ministre de la Recherche et quelques décideurs aient en permanence cette phrase sous les yeux…Pour être de Jules Simon et dater de la France du Franc Germinal, elle n’en est pas moins juste.
JEUDI 3 FEVRIER 2022, 5h48, 10°, éclaircies
« Bien entendu, je ne récuse pas la nécessité des études littéraires, historiques, sociales, philosophiques, dans le cadre universitaire. C’est une question de civilisation et de transmission de la culture. Mais assez de cette insupportable prétention à qualifier ces disciplines de ‘sciences’ pour avoir l’air sérieux. » (closer)
Evident ! terrifiant qu’il faille raisonner, en 2022, les crétins prétentieux qui pensent le contraire, alors que ces disciplines n’ont absolument rien de ‘scientifique’.
SCOOP
Dame Valérie Pécresse a passé la nuit, dans le plus grand secret, sur le porte-avions Charles de Gaulle, pour se donner un semblant de chef des Armées.
Le régalien, c’est un régal !
Un quartier maître qui passait près de sa cabine l’aurait entendu rêver à voix haute, hantée par ses futures tâches :
« Putin ! Putin ! Quelle puissance … »
Pierre Attaingnant :
On l’aura compris, l’insignifiance au service de l’incompétence, ça donne des trucs dements comme: Louise Labé n’a pas existé.
Et comme ces fumistes ne reculent devant rien, ils se présentent comme rationnels pour causer d’un modèle de falsificateur, et le vendre.
Ah ces branleurs, qui coûtent à la collectivité un pognon de dingue.
Je rappelle qu’en 2022 en France, les lycéennes ont de moins en moins accès à l’enseignement des mathématiques.
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2022/02/01022022Article637792935584905674.aspx
« Les associations mathématiques répondent au ministère
Après un premier communiqué des associations de mathématiques (Apmpe, Irem, Cfem, Smf etc.) alertant sur la baisse du nombre de lycéens suivant un enseignement de mathématiques et spécialement des filles, le ministère a répondu en mettant en avant quelques données bien choisies. Cela lui vaut une réponse argumentée et ravageuse des mêmes associations. »
Faites passer… !
Enfin me direz-vous, chère Louise, avec la confiture, même un traité sur la confiture on ne prend pas un grand risque sanitaire, et sur les crêpes, c’est tellement bon.
ANTICIPONS
A force de prendre les femmes pour des sous-hommes, des milices féminines vont se constituer dans le plus petit village, dans les plus grandes cités, et nous les hommes justes, bons, délicats, admirables, nous n’allons plus pouvoir sortir au crépuscule pour boire un pot au bar du coin, et pire, sortir le jour pour aller au stade voir la rencontre de foot si palpitante, PSG/GPS !
Paix entre les sexes, par Cupidon !
Ce monde est une farce…
Trinquons ensemble, par Bacchus !
Qui a volé les tableaux de Claude Berri ?
https://www.leparisien.fr/faits-divers/succession-de-claude-berri-434-oeuvres-dart-auraient-ete-detournees-de-lheritage-du-producteur-02-02-2022-XSP75OIIEFGM5GCEZ7UMYCSXYI.php
Vous avez lu ce chef-d’oeuvre de « raisonnement » ?
« Car enfin où elle existe, et un tome de poètes de la Renaissance suffit à l’y inclure, ou elle n’existe pas, et dans ce cas pourquoi lui donner une édition à part? »
A quoi tient l’existence de L. Labé… a une edition a part ou non, d’un recueil de poemes.
Au mieux la manifestation d’un esprit dérangé, au pire une effroyable preuve de l’existence d’un cinglé complet.
Comme la seconde hypothese me paraît maintenant la plus plausible, j’ai pris à l’instant la décision d’arrêter d’accabler ce contributeur.
En ce sens je veillerai désormais, lorsque cela sera inévitable, sommée d’interagir, ou prise à partie, de répondre avec les égards que l’on doit à un grand malade.
SI VOUS Me permettez, il y a longtemps qu’ensuivant vos « interactions-échanges »,je me demande quel plaisir on peu trouver à « foctionner dans ce « genre »(« style »)c’est ce que je crois qu’on nomme « fixettes »sur la toile, et qui relève des « histoires de « famille »dot jazzy a relevé un exemple; je le lis plutôt de loin en évitant d’en être partie prenante;il y a surement des « psys » spécialisés;et sij’évite de contribuer dans « la fixette »,c’est une question de goût ,et que j’ai déjà connu;pour moi, game is over m’a appris à dire puck
on peut
de famille dont
ce qui peut « m’intéresser »,là dedans, je ne veux pas le discuter avec des erdéliens
je n’yai pas pris un intérêt personnel avec CLOPINE? NI AVEC ROSE, NI AVEC DHH, ni avec jazzy, ni avec J CUBE
J4AI BIEN ASSEZ avec « mes » histoires, de « ma vie »
donc, les directrices, les présidentes, les ami-e-s,
ciao!
P.Assouline parle d’ un effet pleiade, ce que je dis pour « ma vie », ce serait « l’effet RDL »
Je coopère aux travaux du CNRS, je ne récuse pas l’adjectif « scientifique »; on a fait un effort, distingué sciences dures et sciences humaines -ou molles. So what? Est scientifique une démarche qui prend en compte des données diverses et retenues pour leur pertinence, au préalable, et leur variété d’origines et de sources, qui suit un protocole clair et déterminé au préalable également, qui restitue des conclusions sans les tronquer ni les exagérer. C’est à une éthique du chercheur à quoi renvoie le mot « scientifique », sachant que toute analyse aussi rationnelle soit-elle dès lors qu’elle est sous forme de récit, est nécessairement marquée par la culture personnelle de l’analyste. D’o l’intérêt de bosser à plusieurs, de restituer le fruits des recherches dans un labo sous le regard de ses pairs, de publier enfin en se soumettant à la critique des lecteurs.
« Quand on s’appelle CNRS (« Recherche Scientifique »), on s’occupe de sciences. La science se définit par son caractère vérifiable, reproductible et réfutable. »
vérifiable, closer, reproductible, réfutable: tout anthropologue ou sociologue digne du nom de chercheur vous proposera un travail vérifiable, suivant un protocole reproductible (une grille de lecture), aux résultats (comme à la démarche) réfutables évidemment. Idem historiens, géographes, etc. Pensez à Lévi-Strauss par exemple.
Et Alien, tss, tss, vous êtes l’intoxication personnifiée, sur ce blog. Ne cherchez pas des excuses à votre addiction.
« Pour le CNRS, commençons par supprimer les départements des « sciences humaines », qui ne servent à rien »
on peut, évidemment.
Vous critiquez l’éducation, la connaissance? Essayez donc l’ignorance, comme disait l’autre.
ayant eu récemment des mots avec une femme(qui est fille de)j’en étais si contrariée que je l’ai dit à une autre femme qui la connait plus que moi, en revenant sur des faits-causes- sauf le coup de « la bibliothèque » selon moi; la dame que j’ai mise au courant m’a dit, interloquée: »avec vous elle est maltraitante »;c’était la langue du lieu ;et sans doute cette dame avait-elle raison :CQFD la directrice »
vous avez oublié:
Le Japon va fermer 26 facs de sciences humaines et sociales, pas assez « utiles »
Cette décision intervient suite à une lettre du ministre de l’éducation demandant de « favoriser les disciplines qui servent mieux les besoins de la société ».le monde
https://www.lemonde.fr/universites/article/2015/09/17/japon-vingt-six-universites-comptent-fermer-leurs-facultes-de-sciences-humaines-et-sociales_4760695_4468207.html#:~:text=pas%20assez%20%C2%AB%20utiles%20%C2%BB-,Le%20Japon%20va%20fermer%2026%20facs%20de%20sciences%20humaines%20et,les%20besoins%20de%20la%20soci%C3%A9t%C3%A9%20%C2%BB.
pas moi
et alii dit: à
J4AI BIEN ASSEZ avec « mes » histoires, de « ma vie »
________________
Et moi, bien assez de vos malversations verbeuses.
C’est ce qui doit différencier ceux qui ont une responsabilité sociale, de ceux comme vous, trop occupé a faire des histoires.
un de mes professeurs -qui tenait à ce titre et refusait ,contestait d’être dit « mandarin », disait, « les sciences humaines et divines »
un autre de mes profs avait envisagé de me prendre avec lui au CNRSmais c’est moi qui n’ai pas « pu » (voulu ?)au jugé de mon travail
détrompez vous:non seulement, j’ai des responsabilités sociales (reconnues)mais aussi familiales
Brésil : Bolsonaro en guerre contre l’enseignement des sciences humaines
SUR conversation
demandez à CLAUDIO
Le 25 avril 2019, Abraham Weintraub, ministre de l’Éducation de Bolsonaro, a déclaré que le gouvernement, à l’instar du Japon qui avait fermé 26 facs de sciences humaines et sociales en 2015, étude des moyens de retirer particulièrement des fonds publics des départements de philosophie et de sociologie. Objectif : tourner ces ressources vers des domaines qui génèrent plus de revenus aux contribuables, tels que les formations d’infirmiers, la médecine vétérinaire, l’ingénierie ou la médecine.
La place des sciences sociales et humaines dans le système supérieur algérien
https://journals.openedition.org/ries/569?gathStatIcon=true&lang=en
Le Conseil fédéral est chargé de faire en sorte que la section des sciences humaines et sociales (section XII) soit supprimée à l’EPF de Zurich et que les étudiants de cette dernière puissent assister aux cours magistraux de la Faculté des sciences humaines de l’Université de Zurich.
https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=19983258
Quand un récit chasse l’autre
Le pire des enseignements a consisté à faire des récits de l’Europe (et de l’Arabie) des vérités universelles, et à les substituer pour les supplanter à ceux des sociétés autochtones partout dans le monde. C’est pourquoi les Africains sont ignorants de leur ascendance : ils se servent de noms, de langues, de religions, de sciences et de technologies qui sont ceux des autres, au point d’oublier − et parfois même de haïr − les systèmes de connaissances, manières d’être, valeurs et philosophies qui leur sont propres, et de se perdre dans l’univers des autres.
IN
Sciences humaines : de l’importance des récits autochtones
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https://fr.unesco.org/courier/2017-juillet-septembre/sciences-humaines-importance-recits-autochtones
faire des histoires.SASSEUR
IL SEMBLE QUE l’on a regardé « vos histoire »;
je viens d’envoyer des « informations »qui dépassent le cadre hexagonal et le féminin sasseurien
sachant que toute analyse aussi rationnelle soit-elle dès lors qu’elle est sous forme de récit, est nécessairement marquée par la culture personnelle de l’analyste. D’o l’intérêt de bosser à plusieurs
à jéruzalème y sont plusse scientifique et le reste du monde a tort qu’y dit jambon
A force de prendre les femmes pour des sous-hommes
c’est trop dboulot au phiniche..faut leur refiler le gode ceinture de temps en temps qu’y dit jicé..
pardon p;assouline,si j’ai repris des informations éparses dans « le temps » pour nourrir le rififi!
Le régalien, c’est un régal !
à poil!..à genoux!
ta gueule la truie
« La recherche qu’on ne fait pas devient la recherche des autres »!
des autres..complesque militaro hindustriel..les chercheurs haussi veulent les dividendes de la puissance..écouter kabloom
Et Alien, mauvaise pioche; le « féminin sasseurien » s’accommode très très bien d’une émulation, dans une mixité intellectuellement épanouissante , et encore trop peu partagée par mes semblables, depuis des années que ça dure.
En ces temps funestes de la macronie, où l’accès à l’enseignement de disciplines scientifiques est rendu très très compliqué et dissuasif aux lycéennes, ce billet qui avait d’autres intentions, et se trompe de cible, vient rappeler la nécessite de ne pas laisser l’imbécilité gagner du terrain.
D’où ma très grande attention à cet épître dédicatoire de Louise Labé, que j’ai donné en lien, comme on donne de la confiture a des cochons. Ce que je regrette.
Luthez bien, mais luthez juste.
soit un joli petit scandale pour caser un tome maigrelet. Car enfin où elle existe, et un tome de poètes de la Renaissance suffit à l’y inclure, ou elle n’existe pas, et dans ce cas pourquoi lui donner une édition à part? Tout cela est fort distrayant dans ce qu’il révèle d’une comédie universitaire-éditoriale!
c’est bien dit meussieu courte..comme quoi on peut confonde dans un même hélan la comédie du biznèce havec l’élan de l’université..c’est que comme ça quon a des augmentes qu’y dit ladjudant chef
Luthez bien, mais luthez juste
oyez le cri des grosses truies..
Le léZard parfait ses connaissances en sciences humaines en allant voir des films… pornos !
… par exemple, pmp, j’ai conduit toute ma carrière dans les SHS au CNRS où j’ai produit une œuvre scientifique originale et conséquente. Elle fut jugée très honorable par des pairs et des hors pairs, seuls à même de la juger, évidemment situés ailleurs qu’icite. Ce furent des juges éclairés de la scientificité de mes travaux de recherche, bien à l’écart des cellules bavassant bien au chaud à côté du poêle du pilier central du café de commerce du coin. Un jour, par hasard, en entrant dans l’un de ceux-ci, quelle ne fut pas ma surprise d’y entendre un SDF raconter avec talent et brio que le caractère falsifiable des résultats d’une recherche visant à décréter la scientificité d’une discipline dont elle se revendiquait, n’était point une raison nécessaire et suffisante à son auto-qualification. Il rappelait la percée des travaux de JCP sur la scientificité du « raisonnement sociologique non poppérien » à l’œuvre dans certaines sciences humaines telles que la sociologie. Il citait également les travaux critiques d’un BL sur la mécanique non scientifique de la « découverte scientifique » sur les paillasses de nos laboratoires à microbes. Il en rajoutait même un brin sur les apports de cette nouvelle école historique (illustrée par QD et PS) prenant très au sérieux le raisonnement contre-factuel comme d’un enrichissement important à l’histoire des possibles. Cet homme venu de nulle part nous incitait à nous déprendre du dogme réactionnaire de la cécité mutuelle des sciences molles et dures entre elles, autant que des spéculations métaphysiques catastrophistes de pas mal de nos astrophysiciens désespérés du moment par la destruction de la planète…
Ce visionnaire déchu par son apparente assuétude au petit blanc du matin, s’expliquait à lui-même les limites intrinsèques au « karlpopperisme » et autre « khunisme », avant de laisser à leurs certitudes et préjugés habituels les commentateurs matutinaux médusés… Je les vis, pmp, ce matin-là, avaler leur amer café refroidi, le bec de lièvre cloué, bien à l’abri de leurs honteuses moustaches.
Il y a juste un an, ma chère femme a cessé de vivre. Depuis, chaque jour, je pense à elle et demeure inconsolable.
ton hestoire de clodo ça eut marché..des bons cours dangliche..un peu de vitamine..du bon air..du pti personnels à pas cher..des arbres..dla bouffe bio..surtout un bon chèque..les vla tes poppers pour la recherche qu’il dit ladjudant chef
Faut il être bête pour n’avoir rien compris à ce point pourtant clair, de la naissance du monde jusqu’à la fin des temps : les « sciences humaines », cela n’existe pas d’un point de vue scientifique…
Abus de langage !
Next…
..ta gueule keupu
Abus de langage !
pléonasme
pléonasme fasciste, qu’aurait dit Rollon Barthes en reniflant ses poppers « karl ». Hum !
les « sciences humaines », cela n’existe pas d’un point de vue scientifique…
la science jicé c’est cqui fait dla thune..le reste hon a beau dire c’est pas parfait parfait qu’il dirait baroz
@ Depuis, chaque jour, je pense à elle et demeure inconsolable.
Comme je vous comprends, Patrice ! Heureusement, vous avez beaucoup de nouveaux amis à la rdl qui vous aident à tenir le coup. Je vous conseille de raconter chaque jour à ses cendres les aventures qui vous y arrivent. Elle en aurait été réjouie pour vous. Restez courageux, comme vous l’avez toujours été dans les moments difficiles ! Bàv
Ce 3J, ce Jibé, ce sont vraiment des cons de belle peau, pauvre cloportes sans pattes, qui bavent, qui bavent, qui bavent…!
Qu’est ce qu’on se marre chez notre taulier de luxe ! Et cette Huchon qui nous fait tellement pitié !
Je comprends votre douleur, Patrice Charoulet. Soyez assuré de ma sympathie, quelque soient les différences de point de vue que nous pouvons avoir sur cet espace de commentaire.
@ les « sciences humaines », cela n’existe pas d’un point de vue scientifique
… sauf qu’elles sont apparues en même temps que les êtres humains sont devenus auto-réflexifs à l’égard de leur incompréhension de leur apparition et disparition sur terre. Ils n’eurent pas besoin de découvrir une logique différente de la science expérimentale (détachée de l’expérience humaine) sans la peur de laquelle ladite ne serait jamais apparue…
C’est pourtant simple à comprendre, les benoîts : pas de SCIENCE ‘dure’ sans soubassements préalables d’une SCIENCE ‘molle’ autoréflexive, même si l’on veut rester dans les catégories de « l’ontologie matérialiste » (du cogito ergo sum…, – une formule d’ontologie parmi bien d’autres possibilités alternatives ou coexistantes), pour conforter icelle dans le bornage arbitraire de ses propres cadres de raisonnement et de validation. Restant toujours facilement situables hic et nunc, ils sont toujours très « relatifs » et d’autant moins stabilisés que les étalons de mesure et les critères invoqués pour les établir se modifient eux-mêmes en permanence. Il n’y a pas de lois mathématiques extérieures à l’esprit humain susceptibles de les capturer, puis de les formaliser. Einstein n’a pas été inventé par dieu, et s’il a eu des héritiers, c’est parce qu’il était inscrit dans une époque où n’existait pas de ‘transhumanisme’ lié à l’IA.
Les sciences dures sont toujours aussi molles que les sciences molles sont dures, que disait l’Edgar Momo, dans sa méthode de la Méthode…
Je sais bin que son œcuménisme philosémite n’a jamais été en odeur de sainteté, m’enfin, je souhaite un bon anniversaire à ce centenaire toujours amoureux.
une pensée pour vous P.Charoulet, pour traverser des dates difficiles avec les souvenirs qui les accompagnent ; des poètes trouveront les mots qui iront à votre coeur, et c’est vous qui les connaissez;
L.L.
Succession de Claude Berri : 434 œuvres d’art auraient été détournées de l’héritage du producteur
Avez-vous d’autres articles de presse un peu plus complets jazzi?
Sinon, la collection vaut son pesant de cacahouètes!
Jugez plutôt :
Le plus drôle avec ces émissions d’investigation plus que spectaculaires c’est qu’il n’est pas tenu compte des années passées de 2009 à 2021, soit douze ans entre l’estimation et l’évolution actuelle des prix du marché international.
Émission mal ficelée, sinon pour faire s’indigner le vulgum pecus!
Non, désolé, Pat V. Faut demander à Passou !
je trouve l’histoire de cette succession plus affligeante que drôle
Et alii Marie Sasseur vous confirme qu’elle est d’une carrure de Nobel, mais méconnu. Encadrez son message, imprimez-le, et prosternez-vous devant tous les matins! Si traite des Confitures il y a, c’est chez Nostradamus qu’il faut le chercher…. Quant au reste: éditer une poetesse qui n’existe pas dans un volume à part, sous son nom, qui postule donc qu’elle existe, il paraît que c’est normal. Si elle existe, le volume poétique n’étant pas tel qu’il justifie une publication séparée, un tome anthologique sur la période suffit grandement, sauf à vouloir se faire escroquer par la Pléiade d’un volume dont le prix ne se justifie nullement.
Qui a dit que les grandes douleurs sont muettes, et non inconsolables, Patrice Charoulet ?
Une histoire d’héritage, selon Passou…
http://lorientlitteraire.com/article_details.php?cid=73&nid=7673
@ patrice charoulet
La fidélité du souvenir, fin de race que je suis, je ressens la force que me trasmettent ces mémoires. Pas de dépression dans le souvenirs de toute une vie d’amour.
Bien à vous
@ renato maestri
Stefano Terra »Poesie inedite »
All’INSEGNA DEL PESCE D’ORO
di Vanni Scheiwiller
MILANO 1991
quand les « irréguliers » écrivent, revenus de tout, leurs derniers poèmes. Un homme qui mérite notre souvenir.
REPETITION
« Ce 3J, ce Jibé, ce sont vraiment des cons de belle peau, pauvre cloportes sans pattes, qui bavent, qui bavent, qui bavent…! » (JC…)
Rechute de 3J, ce crétin verbeux : il parle de ce qu’il ne connait pas. Pauvre gourde vide !
Je pense qu’on petit rappel n’est pas inutile, pour ceux qui auraient mal compris le message de Louise Labé, qui n’est pas » quand est-ce qu’on baise », contrairement à ce que véhicule cette cabale huchonesque, confirmée par ce billet, sous prétexte de poésie à but lucratif.
Votez plutôt :
Étant le temps venu, Mademoiselle, que les sévères lois des hommes n’empêchent plus les femmes de s’appliquer aux sciences et disciplines, il me semble que celles qui ont la commodité doivent employer cette honnête liberté que notre sexe a autrefois tant désirée, à apprendre celles-ci, et montrer aux hommes le tort qu’ils nous faisaient en nous privant du bien et de l’honneur qui nous en pouvaient venir : et si quelqu’une parvient en tel degré que de pouvoir mettre ses conceptions par écrit, le faire soigneusement et non dédaigner la gloire, et s’en parer plutôt que de chaînes, anneaux, et somptueux habits, lesquels ne pouvons vraiment estimer nôtres, que par usage. Mais l’honneur que la science nous procurera sera entièrement nôtre, et ne nous pourra être ôté, ni par finesse de larron, ni par force d’ennemis, ni longueur du temps. Si j’eusse été tant favorisée des Cieux, que d’avoir l’esprit grand assez pour comprendre ce dont Il a eu envie, je servirais en cet endroit plus d’exemple que d’admonition. Mais ayant passé partie de ma jeunesse à l’exercice de la Musique, et ce qui m’a resté de temps l’ayant trouvé trop court pour la rudesse de mon entendement, et ne pouvant de moi-même satisfaire au bon vouloir que je porte à notre sexe, de le voir non en beauté seulement, mais en science et vertu passer ou égaler les hommes, je ne puis faire autre chose que prier les vertueuses Dames d’élever un peu leurs esprits par-dessus leurs quenouilles et fuseaux, et s’employer à faire entendre au monde que si nous ne sommes faites pour commander, si ne devons-nous être dédaignées pour compagnes tant dans les affaires domestiques que publiques de ceux qui gouvernent et se font obéir.
Louise Labé, Épître dédicatoire à Clémence de Bourges, 1555
Bon appétit, pour ma part, premier déjeuner en terrasse de cette année.
monsieur court
MARIE Sasseur serait donc très modeste de venir se « chercher un homme » -ce qu’elle a écrit-sur la RDL !
tout ça est trop compliqué pour moi tout simplement idiote de naissance,(ce n’est pas digitalement contagieux)je lui souhaite de survivre à ses « commentaires » ;de mon côté, je vous laisse à tous le plaisir de la décoder,déconstruire, je n’y participerai pas; il m’est déjà passé entre les mains des écrits de Nobel;(d’A Carrel, pourles plus récents,pas de quoi être « fière,qui était en quelque sorte de LYON) donc je me range au silence
M Patrice Charoulet
Une pensée pour vous
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