de Pierre Assouline

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La République des livres
Edna O’Brien entre les deux moitiés guerroyantes de son moi

Edna O’Brien entre les deux moitiés guerroyantes de son moi

Qu’on les baptise « Mémoires », « Autobiographie », « Racontage de mézigue » ou de toute autre manière, les souvenirs d’un créateur sont un genre en soi. Ce genre de livre, la romancière et nouvelliste irlandaise Edna O’Brien ne voulait pas en entendre parler, du moins pour elle. Autant préparer ses funérailles. Elle n’écrirait jamais rien de tel, promis juré. Et puis voilà… Fille de la campagne (Country Girl, traduit de l’anglais (Irlande) par Pierre-Emmanuel Dauzat, 474 pages, 25 euros, Sabine Wespieser éditeur), intitulé en un clin d’œil à sa fameuse trilogie romanesque. Elle s’est laissée prendre il y a peu. Sa madeleine à elle, c’est le pain. Pas le pain de la boulangère : le pain de la maison, celui qu’on fait soi-même, car il dégage une odeur sans égale. Il faut la croire puissante puisqu’elle a déclenché la machine à réminiscences, un jour d’août, alors que l’auteur avait 78 ans…

Le principal écueil chez ceux qui ont beaucoup fréquenté, entendez qu’ils ont socialisé avec des semblables qui se trouvaient le plus souvent être des collègues de travail, c’est le name dropping. Traduction pour les germanistes : une tendance compulsive à balancer à chaque page quelques noms de célébrités que l’on a bien connues, ou même tout juste cocktailisées. N’allez pas croire que cette pathologie est contemporaine de l’ère people que nous vivons. En 1964, le très attendu Histoire de ma vie de Charlie Chaplin fut une grande déception car ce n’était qu’un chapelet de noms sur des centaines de pages. Un garde-fou existe : la relecture humble, attentive et enchantée des Mémoires d’un vieux con du regretté Roland Topor, mais tous les écrivains irlandais ne connaissent pas Roland Topor et rien n’indique qu’il soit traduit en gaélique.

Edna O’brien a parfois les souvenirs de tout le monde mais l’aigu des portraits et la couleur des descriptions fait la différence. C’est écrit, ce qui s’appelle « écrit » : soigné, composé, fignolé. Son penchant pour l’autodérision n’est pas seulement une forme d’humour mais une forme de violence exercée contre soi. Le ton de ces Mémoires, ce pourrait être ces quelques lignes :

« … je jetai un œil sur la page de garde de mon nouveau carnet et vis où j’avais recopié un vers de Joseph Brodsky : « Se débarrasser du superflu est en soi le premier cri de la poésie ». N’ayant absolument rien écrit, j’approchais de la poésie »

Il y a de belles choses dans ce récit, notamment son amour pour une religieuse rencontrée pendant ses « années d’incarcération » au pensionnat chez les soeurs ; sa déambulation dans un Dublin fourmillant d’histoires parmi une humanité de buveurs divisés en loquaces à la Joyce et taiseux à la Beckett ; sa passion revendiquée pour la mode ; ses démêlés avec les esprits réactionnaires qui la traitèrent d’« énigmatique petite cochonne des lettres de trente ans » et dénonça l’immoralité de sa trilogie sur les filles de la campagne alors qu’il ne s’agissait que d’amoralité (elle n’en fut pas moins interdite pour obscénité) ; les vertiges nés de ses liaisons avec les hommes ; son divorce scandaleux pour l’époque et la région, et la bagarre afin d’obtenir la garde de ses enfants ; son attachement indéfectible à sa langue et son pays, englobés dans un commun « Home », quoi que celui-ci lui ait réservé. Sa conception de l’art du roman est aussi entre ces lignes. Quant aux pages consacrées à la récente guerre de religions qui déchira une partie de l’Irlande, dans lesquelles elle se demande « comment la province n’a pas sombré dans l’anarchie et la folie totale » alors qu’il semble bien qu’elle y soit tombée même si elle s’en est relevée depuis, l’agonie de Bobby Sands que la mort de Mrs Thatcher a réactualisée, ces pages sont terribles. Sa réputation de sacré caractère n’est pas usurpée et n’a pas faibli avec l’âge (83 ans). On comprend qu’elle n’était pas du genre à laisser un quelconque biographe lui couper l’herbe sous le pied, et l’empêcher d’avoir son mot à dire sur sa propre existence. Son timbre de voix atteste déjà de son opiniâtreté.

A côté de cela, son petit côté name-dropper est sans importance, presque touchant ; faut-il être un critique à courte vue pour le lui reprocher et imaginer que l’évocation d’une coucherie d’un soir avec Robert « Let’s go… baby » Mitchum, une visite impromptue de Paul McCartney pour chanter une chanson aux enfants dans leur chambre à la maison, une nuit à préférer écouter Richard Burton lui réciter du Shakespeare alors qu’il brûlait de baiser la petite libertine, des soirées arrosées avec Marianne Faithfull, Roger Vadim, Jane Fonda,   éclipse ce qui fait l’essentiel de ce livre. Quand on a vécu à fond et avec un certain succès les Swinging Sixties, il en reste au moins la nostalgie de ce folklore, récits des trips lapis-lazuli au LSD inclus. Cette dernière expérience est d’ailleurs l’occasion d’hallucinations tordantes lorsque c’est elle qui les raconte, Beckett sirotant son whisky à son chevet tout en avouant ne pas écrire grand chose « et à quoi bon de toute manière ? » tandis que Marguerite Duras court lui chercher des suppositoires à la pharmacie ! Tiens, au passage, j’y ai appris qu’en anglais, les Vies parallèles de Plutarque s’intitulent The Rise and Fall of Athens.

Ceci pour vous dire qu’il y a quelque chose de profondément émouvant dans ce livre, une fois débarrassé de son écume de célébrités : la sérénité de la mémorialiste lorsque, à l’issue de son entreprise, elle se sent prête à présider son dernier banquet personnel et privé, celui auquel sont conviées « les deux moitiés guerroyantes de mon moi » pour une ultime réconciliation. Il y a quelque chose de rassurant, un je-ne-sais-quoi de réconfortant, à découvrir des écrivains, des artistes, des créateurs qui gagnent bien leur vie avec leur art mais qui ont régulièrement des problèmes de fins de mois en début de mois. Et puis quoi, on ne se refait pas : j’aime qu’une romancière avoue avoir pleuré en écrivant certains de ses livres.

(« Elle, ici et là », photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

712 Réponses pour Edna O’Brien entre les deux moitiés guerroyantes de son moi

petite fatigue dit: à

ou n’aiment pas le voir

La mauvaise langue dit: à

Et toute notre grande littérature de la Renaissance qui nous vient du « Jardin de France », comme dit Panurge : « Je suis né et ay esté nourry jeune au Jardin de France, c’est Touraine ». Rabelais, Ronsard, Du Bellay !

Eh bien, mes petits chéris, le vélo à roulettes électriques, c’est l’idéal ! On ne se fatigue pas et on file si vite que c’est à peine si on a le temps de voir le paysage. J’ai respiré à pleins poumons les senteurs des forêts solognotes, embrassé un grand ciel de nuages d’où perçait une soleil radieux. J’ai revu outre le grand étang de Perret tout gorgé d’eau, le moulin du Theil plus au sud où j’allais à la pèche quand j’étais môme, un coin absolument ravissant sur une petite île de la Sauldre, un charme fou dans ce coin secret que peu de gens connaissent. Le moulin a dû être racheté par des parisiens qui l’ont entièrement refait en briques rouges et pierres blanches, il est splendide. Je me souviens d’avoir pris quelques perches dans la rivière et mon oncle deux beaux brochets qu’il exhibait fièrement au bout d’un crochet.

Catherine Charlier n’est pas rabbin mais professeur de philosophie à Nanterre.

Ah ! ils sont en pleine forme, tous mes petits chéris. Hein, passou, qu’y sont mignons.

bouguereau dit: à

les plus belles femmes, les meilleurs pinards, et des écrivains weurld class, c’est ça la loi du plus fort kabloom

renato dit: à

La spiruline est riche en carotène…

bouguereau dit: à

le vélo à roulettes électriques, c’est l’idéal ! On ne se fatigue pas et on file si vite que c’est à peine si on a le temps de voir le paysage

ma mère de ma mère..abémousse papamobile

Sergio dit: à

renato dit: 28 avril 2013 à 17 h 30 min
While my guitar gently weeps

Elle est bien. Je pense que la version Harrison + Clapton, très honnêtement, et à laquelle j’ai mis un peu de temps à m’habituer, et un chouia encore meilleure. Mais la plus impériale, forcément, et contre vents et marées, doit bien rester l’originale, celle des quatre, avant-dernier morceau de la face trois du grand disque blanc…

Sergio dit: à

Oh le paysage, c’est comme les femmes, faut pas tout regarder non plus, hein…

John Brown dit: à

« Vous êtes sûrs? C’est un peu un cliché, non? » (rédigé par bloom)

C’était même très cliché. Votre réponse est fort pertinente. Cependant, histoire de m’enfoncer un peu plus, je dirais volontiers que c’est rarement de leur bonheur ( notez que j’ai dit rarement) que les peuples, heureux ou non (mais y a-t-il des peuples heureux?) tirent leur grande littérature (quand ils ont une littérature, bien entendu). En ce qui concerne le Bangladesh , j’ai vaguement entendu parler d’une certaine Taslima Nasreen…

John Brown dit: à

« Eh bien, mes petits chéris, le vélo à roulettes électriques, c’est l’idéal ! » (rédigé par LML)

Feignant.

bouguereau dit: à

Oh le paysage, c’est comme les femmes, faut pas tout regarder non plus, hein…

n’empêche dracul cul nu et à 4 pattes tirant un trollet bus..je suis sûr que ce serait une muse qui inspirerait un joli sonnet a la province..mais voilà, jean marron a raison : que du cholestherol pour sa gueule

John Brown dit: à

« Le grand Marcel a commencé comme cela… » (rédigé par Sergio)

Marcel Conche ?

Sergio dit: à

C’est quand même diabolique qu’on puisse pas se corriger, on se croirait dans le blog du fisc point gouve point effaire c’est pas hamical du tout oh non non non…

John Brown dit: à

« Eh bien, mes petits chéris, le vélo à roulettes électriques, c’est l’idéal ! » (rédigé par LML)

Pédaler en vélo électrique, en Sologne, c’est feignant de chez feignant. Y a pas de côtes !

bouguereau dit: à

le congepaye jean marron..sur les gonzesses ça fait grosse texanne fille de grand écrivains qui à une glacière pleine de bière dans sa pontiac..kabloom a raison l’amérique ça a du bon

Sergio dit: à

John Brown dit: 28 avril 2013 à 17 h 59 min
« Le grand Marcel a commencé comme cela… » (rédigé par Sergio)

Marcel Conche ?

Proust, probablement sur Jean Santeuil et peut-être les premiers de la Recherche. Mais je pense qu’à cette époque ce genre de dispositions était vu et conçu différemment de maintenant.

1000 pages d'écriture dit: à

« Dos Passos, Faulkner et Steinbeck et des centaines d’autres n’ont rien à voir avec le marketing. Et les poètes des années 50, et Robert Lowell…Si vous trouvez du marketing ailleurs que dans A supermarket in California de Ginsberg, faites-moi signe: »
Bloom

Sont pas un peu morts vos exemples ?

John Brown dit: à

 » Proust, probablement sur Jean Santeuil  » (rédigé par Sergio)

Marcel Conche, c’était à l’intention du roi de la pédale (électrique)

La mauvaise langue dit: à

Non seulement y’a des côtes mais en plus des faux plats…! C’est le pire, les faux plats ! Ça vous cisaille le moral en moins de temps qu’il faut pour le dire. Tandis que là, mon Jambrun, avec mon moteur électrique, je te monte les côtes et je te rentre dans le faux plat comme sur une pente neigeuse, et tout ça bien sûr avec élégance et finesse, hein, faut pas croire ! Je suis passé aussi devant le château de Chémery qu’est toujours aussi délabré. S’il y a une bonne âme qui a des sous pour le faire refaire…! En lisan t les bouquins sur les châteaux de la Loire, j’ai appris que les rois de France avaient finalement vécu en terre ligérienne un bon siècle, entre 1420 et 1520 à peu près, si bien que la capitale du Jardin de France s’est trouvé déplacée durant ce siècle, à cause de ces maudits Anglais…! Finalement en France aussi il y a quelque chose qui ressemble un peu à l’histoire de la Russie avec ses multiples capitales, Moscou, Saint-Petersbourg, Kiev à l’origine. Et rôle énorme de la bourgeoisie marchande (ex : Jacques Cœur) comme appui des rois pour lutter contre les Grands du royaume qui veulent leur faire la peau.

Mélomane ravi....... dit: à

Lorsque toute la société craque, cette musique craquante enchante : Journalistes et Magistrats, se tenant main dans la main devant le Mur des Cons … Gloire au bien nommé !

renato dit: à

M’enfin ! c’est quoi ce mur des cons, une histoire luxembourgeoise ?

tears dit: à

petite fatigue
pas seulement ! lorqu’ils en viennent à nous dire cela, c’ est qu’ils ont déjà des images de ce qu’ils voudraient que l’on puisse être , faire et ne voudraient pas .
bien des contes explorent cette veine du désir et de ses contradictions …
En ce qui me concerne, puisque j’en suis aux aveux, le père Noêl qui m’interdisait de lire même mes livres d’école , et n’acceptait pas que je « fasse des études » tout en réajustant ses désirs, et ainsi que je devienne élève brillantissime entre les brillantissimes-dans tout ce qui existait à sa connaissance, sans me laisser étudier (pas plus qu’en m’ayant appris à lire) ce père noel polycéphale osa me mettre une lettre manuscrite ! dans un album de « comics » français? pour me faire part de ses souhaits : j’identifiai aussitôt la main qui avait écrit, et je suppose pensé seule sa manière de se recommander pour mieux me commander .
Mauvaise langue klaxonnera bientôt les saules les nuages et les bécasses ,la RdL devient exigüe pour lui,et même ses apôtres n’osent dire c’est le nôtre
bonne suite .

La mauvaise langue dit: à

Faites gaffes quand même, mes petits chéris, que le mur des cons ne se retrouve pas sur la rdl… La translatio studii est déjà bien engagé avec Jambrun et le Boug mais quand même ! Grâce à Bloom et à sa désagrégation anglaise, on a encore de la marge. Mais suffirait que dracul démissionne de la pensée pour que la Rdl ne se verticalise dans la connerie… !

Regarde Bloom, le défenseur des terroristes irlandais.... dit: à

…. et rigole franchement devant ce vide qui l’anime ….

Sergio dit: à

renato dit: 28 avril 2013 à 18 h 36 min
une histoire luxembourgeoise ?

Ha non faut pas l’envahir le Luxembourg comme oncle Wolf à Charleroi, ce sont eux qui fabriquent mes cigares ils ont des usines énormes sur des centaines d’hectares…

John Brown dit: à

 » En lisan t les bouquins sur les châteaux de la Loire, j’ai appris que les rois de France avaient finalement vécu en terre ligérienne un bon siècle, entre 1420 et 1520 à peu près  » (rédigé par LML)

Trois en tout : Charles VII, Louis XI, Charles VIII . C’est vrai que Mehun-sur-Yèvre fut quasiment capitale de la France au temps de Charles VII. Je vois bien Charles VII, dans la pâture à Mehun, regardant passer les trains des équipages.

Rappel nécessaire.... dit: à

Pour Edna O’Brien, dont les moi se battent entre eux ….. on attend un peu, voir qui va gagner ?
Et on achètera, fric à perdre, si on gagne à la loterie.

renato dit: à

Faites-moi comprendre, Mauvaise langue klaxonnera ?! C’est par son avertisseur sonore qu’on entend passer le vélo ?

John Brown dit: à

 » Mais suffirait que dracul démissionne de la pensée pour que la Rdl ne se verticalise dans la connerie… !  » (rédigé par LML )

LML me fait penser à Pincettes ou à Cisailles dans la nouvelle de Melville. Entre midi et 19 heures, il est calme, il est même capable d’une certaine urbanité, il fait des tours sur sa bécane électrique sous le regard de la châtelaine de trucmuche. Sur le coup de 20 heures, il commence à déraper grave, il se met sur la roue arrière. Faut attendre minuit une heure avant qu’il ne s’endorme sur le guidon. Quelle santé tout de même !

tears dit: à

1) Mauvaise Langue a un caractère réjouissant sur blog .
2)Il faut la croire puissante puisqu’elle a déclenché la machine à réminiscences, un jour d’août, alors que l’auteur avait 78 ans…
aucune raison d’en douter, ni de se focaliser sur l’ odeur, si insinuante soit celle-ci qui n’est pas de l’ordre du visible .
n’oublions la pharmacienne qui a éduqué ses sens en O’Brien !

tears dit: à

n’oublions pas!
ça,et la correction, c’est de l’ordre du visible, du lisible .
i

Capétiens et descendance dit: à

« En lisan t les bouquins sur les châteaux de la Loire, j’ai appris que les rois de France avaient finalement vécu en terre ligérienne un bon siècle, entre 1420 et 1520 à peu près, si bien que la capitale du Jardin de France s’est trouvé déplacée durant ce siècle, à cause de ces maudits Anglais…! Finalement en France aussi il y a quelque chose qui ressemble un peu à l’histoire de la Russie avec ses multiples capitales, Moscou, Saint-Petersbourg, Kiev à l’origine »
LML

A ton âge et ta supposée culture mon Mimi ce constat n’est pas très valorisant. Au temps passé où MàC buvais des bières avec toi tu aurais du prendre des cours.

arf dit: à

l’auto-dérision s’achète au salon de l’auto ? autant acheter des chaussures quand on est bipède

tears dit: à

quant aux dictateurs habituels de ce blog, s’ils sont intéresser par l’odeur de la sainteté de leurs commentaires , ils pourront se reporter à
Revue d’Histoire de la Pharmacie

« Fondé en 1913, le Bulletin de la Société d’Histoire de la Pharmacie a pris en 1930 son titre actuel de Revue d’Histoire de la Pharmacie. C’est la plus ancienne revue au monde traitant de l’histoire de la pharmacie et des sciences annexes, considérées sous tous leurs aspects, scientifique, technique, sociologique, artistique et humain. »
ils ne seront pas déçus comme ils le sont par mon peu d’entrain à suivre leurs indications .

tears dit: à

s’ils sont intéressés

bunny sleepers dit: à

la mentalité d’apothicaire dans toute sa spleendeur..

tears dit: à

il me semble qu’a priori l’odeur la plus prégnante est celle du levain , mais cela vaut pour certains gateaux

bunny sleepers dit: à

oui mais aujourd’hui tout est est moisi comme dit LML

bunny sleepers dit: à

un peu plus à l’ouest aussi

renato dit: à

La Jachère déconne. Vous trouvez ça normal vous ? C’est toutefois vrai que si Mauvaise langue klaxonne, la Jachère peut déconner comme bon lui plait…

homothétie dit: à

« C’est toutefois vrai que si Mauvaise langue klaxonne, la Jachère peut déconner comme bon lui plait… »
renato

C’est toutefois vrai que si l’Alsacien klaxonne, la Jachère peut déconner comme bon lui plait…

tears dit: à

qui ici a déjà fait son pain , sans avoir acheté préalablement la pâte à pain? pas forcément cuit du pain à la maison : on en fait chez les scouts , et français, et anglais ? c’est un exercice collectif où ceux traitent les autres de cons ne sont généralement pas ceux qui savent faire autre chose que dégoiser, et sont surtout incapables d’apporter une pièce constructive à la soirée des loupiots

Homothétie? tu parles! dit: à

tears dit: 28 avril 2013 à 18 h 37 min
« Mauvaise langue klaxonnera bientôt les saules les nuages et les bécasses… »

tears dit: à

ceux qui traitent les autres de cons ne font que dégoiser et sont ceux qui sont incapables même d’une histoire pour la veillée de la soirée

renato dit: à

« et sont surtout incapables d’apporter une pièce constructive à la soirée des loupiots »

Commence par apporter ta pièce constructive, puis tu causes… s’il te reste assez de salive

tears dit: à

imaginer mauvaise langue en train de chahuter allègrement , et sur les petites routes zigue zaguer à la tati , ce n’est pas très méchant !j’espère qu’il s’est bien amusé , dissipé parce que la rdl n’est pas le royaume de l’auto dérision ….

tears dit: à

va te faire de la pate à pain et va te l faire cuire et nous dire quel son parfum ,si tu ne te souviens pas d’autre chose que de tes cuirs et after cuirs en zigue zingues

renato dit: à

« va te faire de la pate à pain et va te l faire cuire et nous dire quel son parfum ,si tu ne te souviens pas d’autre chose que de tes cuirs et after cuirs en zigue zingues »

Bof, comme pièce constructive j’ai vu mieux…

tears dit: à

va te la faire cuire et reviens nous dire,dans la langue qui te restera: il n’y a pas que le grec ni le malpolitain

tears dit: à

cesse de chercher courir à l’épate ,pour l’épat et après l’épate , c’est pas Lépante ici ,petit manchot qui grillerait plutôt Sancho que de reconnaître qu’il n’en tombe plus ni un , ni une et fait le trottoir à la sortie des boites à bachot

tears dit: à

à 21 h 11 min est une suggestion au malpolitain qui a encore raté son casting de napalmolitain

renato dit: à

Si j’ai bien compris je dois aller me la faire cuire… la bécasse klaxonnée avec les saules et les nuages par LML… je supposes… enfin… ce n’est pas vraiment la saison de la bécasse… mais tout est possible… LML peut klaxonner près du congélateur… mais désormais le taux d’usure (rate of wear and tear) semble assez élevé… il faudra donc laisser le gamin seul avec ses enfantillages…

G.S.A.Giovanni dit: à


…les châtaignes c’est pas de saison,…etc,…

G.S.A.Giovanni dit: à


…vous savez,…que j’ai failli être coupé de communiqué,…par le système à Google C°,…
…j’ai pris un autre moteur de recherche,…
…ou peut-être des virus,…de connivences,…
…enfin,…tout est en ordre,…
…je peux me rendormir,…rien de nouveau sur le gazon,…etc,…

renato dit: à

Par contre c’est la saison de la morille…

arf dit: à

oh mais c’est alors qu’il y en a bien plus de quatre !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…autant revenir au nom habituel,…pour se retrouver,…
…c’est quoi cette histoire de bicyclette,…
…etc,…

tears dit: à

enfin lu la critique catalogue : la question lancinante en commun est « ce que peut l’écriture » ? et toute écriture,sa puissance comparée à celle d’ une odeur de pain d’enfance, nous dit P.Assoulie et il est impossible de l’évacuer, ni par un mariage, ni par un siège si honorifique soit-il , et elle ne harcèle pas moins l’auteur que le lecteur .

tears dit: à

il est impossible d’évacuer cette question
souvenir d’avoir lu »peut-on écrire avec un parfum » , comme une histoire de familles, j’en avais gambergé beaucoup, ce fut pour moi une question tentation !

renato dit: à

Il n’y a qu’une seule chose à faire… peut-être deux… trois si on compte le whisky… et le cigare qui va avec… Bon, la pertinence du whisky et du cigare est hors discussion : ils sont toujours pertinents ; pour ce qui est de la pertinence de ce qu’il reste à faire je suis moins sûr…

tears dit: à

si je n’aime pas l’autre critique , ce n’est pas à cause de son reproche sur le name-dropping: c’est qu’il semble avoir voulu plus encore , et plus impudique,de telle manière qu’il justifie paradoxalement cette part consentie par l’auteure comme « mesure » pour « mesure » pour pouvoir faire découvrir la question de la puissance de l’écriture.

larmes de sang dit: à

rien.

tears dit: à

la critique de P.Assouline n’est pas exaltée , et sollicite plus l’intime en nous, le plus difficile à s’avouer, et à reconnaître que la fringale de célébrités. il nous incline à les retrouver comme le plus étonnant , au grand age venu, qui peut-être le nôtre ou celui de tels proches , parfois défunts, qui ont eux aussi eu une histoire avec des célébrités, dont ils auront ou non pu parler .il nous aide à nous situer face à cette question , et ce geste me touche

S..cryme dit: à

pas la peine de brandir une lolo pour la têtée, quand tu n’es entouré que d’assis avec le même cale-cul tu finis par ne plus vouloir rien

S..cryme dit: à

le même ou pas exactement mais pour se donner le même « genre »

S..cryme dit: à

mais bon, j’aurais au moins eu un aperçu de ce à quoi peut ressembler la mégalomanie collective

B.O.X dit: à

Farrell a caché sa tête,
le gazon de Tweek lui a appris qui était encore le maîstre !!!.

Il l’a su et reconnu !.
Beau moment de Rügbu !.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…certains de mes commentaires ne vous sont pas parvenus tantôt,…
…en gros,…
…de tout ramener sous le compas,…les châteaux anciens et domaines,…
…et aujourd’hui,…les nouveaux châteaux financiers offshore et prolétariat soumis,…
…par personne interposée en forme de sainte-nitouche de toute les couleurs spectaculaires,…la pub à toute les sauces,…avec en faire du vent,…et laisser planté,…les choux à moisir,…les liens pour se ressaisir,…les dessins habituels,…
…etc,…

Sergio dit: à

L’auto-dérision de toutes manières c’est encore la maladie de l’identité…

D. dit: à

Que quelques autres ne se réjoussient pas trop vite sachant que ce qui est valable pour Bouguereau l’est aussi pour eux.

B.O.X dit: à

tears dit: 28 avril 2013 à 17 h 21 min

Explicitez, explicitez !….
En extra-terrestre***,

??? ?? ?.

B.O.X dit: à

« John Brown
j’ai vaguement entendu parler d’une certaine Taslima Nasreen… »…
Oui;
il n’est pas facile d’être écrivain dans un pays qui refuse son passé !.

tears dit: à

L’auto-dérision de toutes manières c’est encore la maladie de l’identité…
Sergio, vous vous placez dans le contexte Normal.Pathologique »pour reprendre un titre fameux
: bien sûr que billet parle de folie et que cela e peut laisser indifférent
pr ailleurs il y a l’aspect de « thérapeutique » , écrire peut-il être thérapeutique, ou encore précipiter vers le suicide : toutes questions qui été posées à propos de …la psychanalyse: et fut un temps o des psychanalystes se plaignaient que les gens au fond voulaient « des histoires »
ce qui ramène encore à « psychanalyse et écriture », et là la bibliograpie sur toile dépasse ce que ce blog peut accueillir dépasse ce que l’on peut demander légitimement à ce blog d’accueillir( je mets juste un lien pour idication que la question est déjà posée :http://crpeparis.free.fr/pages/association.htm

et la question de la puissance de l’écriture …

Sergio dit: à

Oui mais enfin relative vacuité c’est quand même pas très facile à prononcer…

B.O.X dit: à

« bouguereau dit: 28 avril 2013 à 17 h 36 min
no ouimane no craï..
tire sur mon taaarpé
et mets toi à l’oalpé
..je rime du pauvre avec jean marron ».

Fumer,
cela s’apprend,
jeune homme !!!.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout est question du point de vue, ou on est placé,…des intérêts et convictions qui vous sont favorables,…ou s’il faut changé soit-même en face des évènements pour les faire siens,…etc,…

S..cryme dit: à

les évènements ? elle est raide celle-là !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…quelle traduction faire des écrits,…pour soi,…
…même s’ils sont déjà traduit et interpréter par la  » doxa  » cadre-relativiste,…etc,…

Angèle Kousmine dit: à

Et d’un ailleurs qui oublie le truc du « made in .. »

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le conseil de Jean Yanne à cette jouvencelle,…des années passer,…
… bien prononcé,… » met la moi »,…
…le vent porte parole ad-oc,…etc,…

tears dit: à

B.O.X dit: 28 avril 2013 à 23 h 30 min
mon alibi n’est pas si mauvais : c’était il y a trop longtemps pour y revenir facilement, et je suis à tout autre chose, justement en découvrant que d’une personne dont on m’avait raconté l’histoire, de manière visiblement trop gourmande, d’une gourmandise qui semblait déplacée sur ma personne , j’ai vu sur la toile une célébrité (de plus!) de sa généalogie, qu’elle donna elle-même, et qui ne m’avait pas été dit ! j’avais toujours soupçonné une question chez la personne qui m’en avait parlé !

tears dit: à

B.O.X dit: 28 avril 2013 à 23 h 30 min
vous voyez la fatigue, maintenant et je ne m’efforce plus d’écrire ce manière claire :
votre question a été osée trop longtemps après le post que vous indiquez
quant aux deux personnes que j’évoqucomme la narratrice, et celle qui a donné quelques élément de sa biographie sur la toile pour des raisons professionnelles ! , ce sont deux femmes . je n’ai connu, assez amicalement que l’une d’elle ,plusieurs personnes de sa famille, et nous avions des connaissances communes . il ya des histoires de livres et d’écriture bien sûr dans tout ça , et beaucoup!
bonne nuit .

tears dit: à

posée
que j’évoque comme
quelques éléments .
ce qui ne m’a pas été dit, c’est l’ancêtre très renommé : mais peut-être ne le savait-elle pas alors? je ne l’aurais pas oublié , celui-là ! peut-être sentait-elle mes réticences aussi, surtout après une gaffe que j’avais trouvée plaisante de sa fille sur les noms et prénoms ?

renato dit: à

Enfin ! solliciter les culottes là où un brin de critique suffirait me semble excessif !

B.O.X dit: à

« tears dit: 28 avril 2013 à 17 h 21 min
les peuples heureux ont rarement une grande littérature
ce que je voulais dire sur la conclusion « on ne se refait pas », c’est que si ce blog m’intéressa c’est qu’il était un extraordinaire laboratoire pour mon désir de comprendre..; et de comprendre le désir de comprendre … qui n’est pas étranger à P.Assouline , désir qui est mobilisé dans l’avec et l’entre ….cela dépassait très profondément donc ma personne même si la capacité à comprendre et de n’être pas comme on me comprenait m’a été reprochée depuis mon enfance lorsque vers cinq ans je déduisis à haute voix que le père Noël n’existait pas, et que c’était une invention de parents .
Bien sûr j’ai aussi vite compris, à peu près dans ces mêmes années, que l’on espérait à travers moi, comprendre et même résoudre des questions identitaires autrement difficiles : je les ai retrouvées sur ce blog . »…

Dois-je ? :
Que « Me Comprendre », »Me Comprendre », »Me Comprendre » :

soit à force lisible ??? ?? ?.

« de manière visiblement trop gourmande, d’une gourgandine qui semblait déplacée sur ma personne , »…

Mec :
les gourgandines n’ont jamais été déplacées sur ma personne !!!.

tears dit: à

on a ou non un désir de comprendre dont on est ou non conscient .
les femmes que j’évoque ne sont nullement des gourgandines, mais leur amitié s’est déplacée d’un objet , disparu(mort déménagement) à un autre …avec une certaine avidité de connaître et de comprendre .. « l’autre » et parfois soi-même avec les histoires dans l’Histoire

tears dit: à

je ne fais plus attention et ne veux plus faire attention à éviter les fautes de frappe, ne pas oublier un mot etc: c’est clair ?
donc bonne nuit

tears dit: à

petite remarque : l’une de ces femmes est très connue comme très fine critique, et très lettrée

tears dit: à

d’ailleurs je peux souligner que je n’ai pas écrit critique littéraire ; elle travaille dans une institution, connue de P.Assouline,et est surement plus que débordée de suggestions, d’informations, d’invitations aussi .

B.O.X dit: à

L’odeur d’une vraie rousse,
de Kork,
en ma jeunesse,
sans suppôt de Satan,
ni whishcat pour toucouleurs,
encore,
me plait !!!.
Lèvres blèmes,
par ma langue humectées,
toujours vivantes .

Bon et bien alors tout va bien... dit: à

… à ce demander pourquoi vous éprouvez de faire votre propre publicité …

(non mais les cons)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…à mon,…9 h 56,…

…a la suite du « nombre d’or « ,…la réalité des croissances dans l’humanité des civilisations,…l’harmonie des  » fractuales « ,..d’un détails la sympathie ou le plongeon dans l’aversion,…ne plus être sois même parce que  » saboté « ,…

…l’homme interagit sur d’autres hommes pour se faire valoir en copier:coller ou autres astuces,…il veux se construire en détruisant le naturel à copier,…
…chercher des sources intarissables et se substituer au naturel à diffamer,…
…donc, ne rien répondre d’intelligent quand ils vous tracassent d’opinions à vous projeter,…des cloportes de raison,…
…Cinéma variante Show Ah ,…parce qu’ils se nourrissent de palabres,…ces intello-badauds là,…
…mon intérêts est de vous ignorez,…
…etc,…la guerre des charognards,…là,…

tears dit: à

un ble exemple du désir de comprendre dans le mone avec cette remarque :
« . Il n’y a pourtant pas d’erreur : la marque de la suture existe mais le tissu observé au microscope est celui d’une artère. « J’étais en train de voir quelque chose qui n’était pas censé arriver, dit Badylak, quelque chose qui allait contre tout ce qu’on m’avait enseigné à la faculté de médecine. »
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/04/28/les-incroyables-promesses-de-la-medecine-regeneratrice/

tears dit: à

un bel….. le monde

B.O.X dit: à

… Salutation, …
etc…
Kurt en voyage,
Vonnegut sur Dresde,
Jr sans LSD.
Stalag :
Bravo …etc,
13 et Naplam !!!.
Slaughterhouse Five,
abatoir 05 !.

Rien à ajouter !.

B.O.X dit: à

« Quand on a vécu à fond et avec un certain succès les Swinging Sixties, il en reste au moins la nostalgie de ce folklore, » :
Oh, le Passouline,
cela n’avait rien à voir avec le folklore !!!.
Rappelez-vous Michael Herr.

B.O.X dit: à

Il est vrai,
seulement,
que Woodstock et l’Île de whight,
étaient contemporains… .. .

B.O.X dit: à

90 000 morts pour les français et leurs supplétifs,
50 000 pour les « ricains ».,
sans compter ceux d’en face…
2 Millions environ…,
appeler cela du folklore… .. .
A sucer une « hot » rouquine
meilleurs souvenirs !.

B.O.X dit: à

Saïgon, Saïgon, Saïgon…
Jet Mama !.,
Et un jour fut ou :
Leningrad redevint Saint-Pétersbourg !.

пожалуйста.

Et Gogol termina sa phrase par :
S.I.L.E.N.C.E…

B.O.X dit: à

Cougnao mama !.
Bien le bonsoir.

B.O.X dit: à

Le jour se lève,
ciel de teintes*** splendides ce matin.
Nonne notte.
***Il est vrai que mes vitres sont crades,
mais belles irisations… .. .

Cela s'appelle un hommage non littéraire..... dit: à

…A terre Owen Farrell, dix ans de moins, incline sa tête sur l’épaule de Jonny Wilkinson en signe de respect. L’action est terminée. Le Maitre vient d’échapper au placage, a passé un drop fabuleux, et fini sa chute sur le gazon de Twickenham. Il console le gamin doué d’une tape amicale sur l’épaule : ce sera bientôt ton tour, petit ! Moment sublime de rugby et de pure fraternité ….

renato dit: à

« … je mets juste un lien pour idication que la question est déjà posée […] / et la question de la puissance de l’écriture … »

Toute ‘‘idication’’ ou ‘‘indication’’ que ce soit bien à part, je maintiens : « solliciter les culottes là où un brin de critique suffirait me semble excessif ! »

renato dit: à

« Notre monde n’était pas, par le passé, comme il est aujourd’hui, et il devra disparaître un jour. Léonard voit la terre bruler et se dessécher. L’air se raréfiera et sans humidité les fleuves resteront sans afflux d’eau, la terre ne laissera plus rien croître. Les bêtes mourront par manque de manger. Aux hommes aussi, après maintes inutiles mesures, ne restera que mourir. La terre, par le passé fertiles et féconde, deviendra un désert vide. Enfin elle devra être brûlée par le feu. Sa surface brûlera jusqu’à devenir cendre. Il est vraisemblable, dit Léonard, que celle-ci sera la fin de la nature terrestre. »

Karl Jaspers, Léonard philosophe.

Polémikoeur. dit: à

Qu’est-ce que nous cherchons,
qu’est-ce que nous extrayons,
des mémoires que nous lisons :
compléments ou confirmations
de nos propres accumulations ?
Curiosinquiétudinalement.

Valeria Elena von Bank und Rottweiler dit: à

Les 3/4 des français sont, paraît il mécontents de mon petit gros ! Ah, les ingrats !

On leur aurait menti en proclamant notre acte de foi, notre promesse de rénovation, de joie, de réenchantement : « Le changement, c’est maintenant ! »

Mais, ils ont tort, bon dieu ! il n’y a pas eu mensonge. Il est là le changement ! Il a eu lieu, le changement ! Oui, il y a eu changement… en pire.

le Cri des Cons dans la forêt de Solférino..... dit: à

A Berlin ! A Berlin ! Confrontons ! Confrontons ! 1870-1871 ! 1914-1918 ! 1939-1945 ! A bas Adolphine Merklitler…

« Nous gagnerons car nous sommes les plus forts ! » comme dirait Ramzou Hammadou

Samu Social Club dit: à

Renaro is sending automated queries.

tears dit: à

les cours d « humour et auto dérision ne seront pas assurés par les erdéliens professionnels mais par des vacHataires »recrutés au nosimètre nausicaal

John Brown dit: à

Carlo Maria Giulini — Brahms, Variations on a Theme by Joseph Haydn : ( conseillé par eenato)

Brahms, Variations sur un thème de Haydn, NBC Symphony Orchestra, Arturo Toscanini.

Toscanini touché par la grâce dans une musique elle-même touchée par la grâce. Je doute que même le grand Giulini soit à la hauteur.

Polémikoeur. dit: à

A Dublin ! A Dublin ! Commentons !
N’importoùquancomment.

John Brown dit: à

C’est curieux, ce rapprochement proposé par Renato entre « la Vie d’un héros », de Richard Strauss et les « Variations sur un thème de Haydn », de Brahms. D’un côté la grâce aérienne de la musique de Brahms, de l’autre la pesanteur des flonflons post-romantiques à la sauce Richard Strauss. Et c’est Brahms qu’un jour d’égarement Jankélévitch osa traiter de bourgeois teuton !

La mauvaise langue dit: à

le Cri des Cons dans la forêt de Solférino….. dit: 29 avril 2013 à 9 h 06 min

Je partage votre avis ! Il faut qu’Hollande agisse vite et fasse taire la frange d’abrutis incultes du PS avant qu’ils ne nous foutent le fascisme au pouvoir. Les Français sont mûrs pour une nouvelle dérive fasciste, comme en 1940 ! Bartolone, aux chiottes de l’histoire ! Y’ a marre de tous ces connards qui prétendent nous gouverner pour notre bien. Je prends la défense de Hollande et d’Ayrault contre le PS et sa frange d’extrémistes irresponsables. Faisons les réformes nécessaires pour approfondir l’intégration européenne au lieu de taper sur Merkel avant que ça nous pète entre les doigts avec un nouveau Pétain méchancon au pouvoir.

le Cri des Cons dans la forêt de Solférino..... dit: à

Les sarkozystes étaient les rois du bac à sable … Disparus, les glébeux ! Une fois partis, les solferrugineux ont sorti du Siège leur Grande Trampoline Idéologique qui permet de s’envoyer en l’air sans se faire mal.

Constat : hélas ! la trampoline ne vous transforme pas en oiseau pour autant ! …L’autruche, peut-être ?

@J.Ch. dit: à

Waltz for Debbie : beaucoup de tendresse, aussi…

Polémikoeur. dit: à

Au fond, le commentaire de blog
a aussi vocation de forum
où à peu près tout
s’exprime.
Soupapetièrement.

@Polémoqueur dit: à

Forum ? Certes ! Pourquoi se generait-on ? l’outil est à la disposition du singe, du tueur comme de l’ingénieur … il suffit de se baisser comme dirait l’infâme Bouguereau.

Les Moi d'Edna..... dit: à

On en est où, dans cette guerre des moi… ?

tears dit: à

lu sut le tweet
« Quand une religieuse qui était au Rwanda au moment du génocide est rentrée en France, ses collègues se sont relayées pour la faire parler sur ce qu’elle avait vécu… Ce qu’elle a fini par faire : elle a succombé à une crise cardiaque.

Quand on ne sait pas, il ne faut jamais forcer quelqu’un à parler : on peut le replonger dans la détresse.

John Brown dit: à

 » Je prends la défense de Hollande et d’Ayrault contre le PS et sa frange d’extrémistes irresponsables. Faisons les réformes nécessaires pour approfondir l’intégration européenne au lieu de taper sur Merkel avant que ça nous pète entre les doigts avec un nouveau Pétain méchancon au pouvoir. » (rédigé par LML)

Eh, mais, indépendamment du ton de tribun furibard qu’on pourrait croire emprunté à Mélenchon, je suis contraint de me reconnaître globalement (comme disait Marchais) en accord avec cette analyse. Toute la question est de savoir si le couple Hollande/Ayrault aura l’énergie de les faire, ces réformes.

John Brown dit: à

…A terre Owen Farrell, dix ans de moins, incline sa tête sur l’épaule de Jonny Wilkinson en signe de respect. L’action est terminée. Le Maitre vient d’échapper au placage, a passé un drop fabuleux, et fini sa chute sur le gazon de Twickenham. Il console le gamin doué d’une tape amicale sur l’épaule : ce sera bientôt ton tour, petit ! Moment sublime de rugby et de pure fraternité …. (rédigé par Cela s’appelle un hommage non littéraire)

Dimanche dernier à Twikenham, la demi-finale de la coupe d’Europe de rugby entre Toulon et les Saracens s’est achevée sur une victoire totale des Anglais.

Enfin, de deux Anglais. Jonny Wilkinson (24 points pour Toulon ) et Owen Farrell ( 12 points pour les Saracens ) ont marqué la totalité des points du match.

Ce qui fait la séduction du rugby, c’est la diversité des options de jeu possibles . Or, dans ce match, on pourrait croire que les deux équipes ont tout misé sur la puissance de leurs avants et la virtuosité de leur arrière. Ce ne fut pas tout-à-fait le cas, mais pourtant tout s’est passé comme si les échelons intermédiaires — demi de mêlée, demi d’ouverture, demis, trois-quarts — avaient été court-circuités. Ce sont justement les interventions de ces échelons intermédiaires qui insufflent au jeu de rugby sa gaieté un peu folle, son côté échevelé, qui soulèvent l’enthousiasme dans les stades.

Redonner toute leur importance aux échelons intermédiaires, cela ne dépend pas seulement du talent individuel des joueurs. Cela dépend beaucoup de l’entraîneur et de se options tactiques.

tears dit: à

et du même Tisseron(que j’apprécie depuis longtemps puisque ce blog est une république
« Aucun secret familial ne s’enracine s’il n’est pas collectif. Le secret est lié à l’intimité mais aussi à une situation sociale. C’est parce que l’avortement était interdit qu’il était source de secrets. L’alcoolisme, il y a quelques années, était davantage lié à une faute et donc source de secrets. Le fait qu’un événement, dans un pays, soit vécu comme honteux ou coupable influe sur les secrets. C’est pour ça que tous les pays ont les secrets qu’ils méritent. »

Ô misère de l'homme sans ballon ovale !... dit: à

« Dimanche dernier à Twikenham, la demi-finale de la coupe d’Europe de rugby entre Toulon et les Saracens s’est achevée sur une victoire totale des Anglais. »

Confusion : le match avait lieu entre Clubs.

Ô misère de l'homme sans ballon ovale !... dit: à

Dernier détail : ce n’est pas la façon qui compte, il ne s’agit pas de faire « joli », mais de gagner au final.

John Brown dit: à

« Dernier détail : ce n’est pas la façon qui compte, il ne s’agit pas de faire « joli », mais de gagner au final. » (rédigé par ô misère…)

Quelle misère !

Ô misère de l'homme sans ballon ovale !... dit: à

Reviser les règles du jeu s’impose, semble t il …. y compris aux meilleurs analystes de canapé.

John Brown dit: à

« Dernier détail : ce n’est pas la façon qui compte, il ne s’agit pas de faire « joli », mais de gagner au final. » (rédigé par ô misère…)

Ô bonheur obscène de l’abjecte bourrique chauvine, scandant, entre son pastis et sa télé : « On a gagné ! on a gagné ! »

renato dit: à

Faudra encore une fois tout miser sur la force de caractère d’un Sir Winston Churchill… et espérer dans l’intervention armée des U.S.A. ? Non, parce que c’est sur ça qu’on mesure la grandeur politique des petits esprits latins…

renato dit: à

Voyons.

Le gouvernement grec donne mandat à une banque d’organiser la magouille qui lui permettra d’entres dans la zone Euro.

L’action mise en place conduit à la situation que l’on connaît.

En d’autres termes, la Grèce est entée dans la zone Euro par le biais d’une escroquerie mise en place par son gouvernement avec laide d’une banque, qui est l’escroc… et… qui doit payer ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…rien à dire,…un vernis de culture,…en plusieurs couches,…
…çà nous protège un homme de la corrosion,…et des coup bas,…pour évitez les confrontations,…bonjours chez vous,…etc,…

renato dit: à

D’ailleurs il faut voir comment la banque a organisé la combine-escroquerie et l’assurance aves laquelle le gouvernement grec en accepte les conséquences sans en évaluer les limites.

Observateur calme et tranquille.... dit: à

« Ô bonheur obscène de l’abjecte bourrique chauvine, scandant, entre son pastis et sa télé : « On a gagné ! on a gagné ! »

John Brown,
Vous êtes entraineur, joueur dans une équipe de rugby. On vous demande de choisir entre deux scénarios pour un match :

1/ vous gagnez le match
2/ vous développez des phases de jeu superbe, mais … Untel est génial en touche, mais… Ah ! si X avait réussi à déborder, mais …

Vous choisissez quel scénario ? le scénario n° 1 « obscène », ou le scénario des imbéciles ?….

xlew.m dit: à

À lire, à parcourir en vélo électrique, à pied, en voiture (dans les années quatre-vingt-dix, les Irlandais de la péninsule de Dingle arrivaient en masse, après le boulot, sur l’estran de Inch en voiture, ils se garaient sur le sable, à même la plage, les jantes baignant presque dans l’eau.
J’aimais bien ce rapport direct et sauvage avec la nature non pollué par le souci de montrer à la communauté que l’on est écologiquement correct et en règle avec la « Garda sîochàna » morale, même si cela me choquait un pneu, on ne se refait pas, surtout au niveau du gonflage de la pression de son être, de voir ce spectacle attendrissant), je disais donc qu’il nous faut lire vraiment l’entretien accordé en 1984 par E. O’Brien (en 1788, de Brienne, alors ministre des sous de louis XVI avait tenté d’imposer l’impôt sur le revenu, les parlements avaient freiné des quatre fers, précipitant la chute du trésor dans la spirale du manque de ressources intersidéral et déclenchant le feu révolutionnaire presqu’aussi viralement qu’il est donné de le faire à la chevelure d’une rousse possédant la douceur d’un incendie) à la Paris Review. On a beau dire, l’empreinte de Joyce et de Yeats est encore énorme sur les écrivains de L’Irlande de la fin du vingtième et du début du vingt-et-unième siècles, ce qu’elle raconte de leur influence me conforte dans cette idée. Proust est son grand héros, pas étonnant que l’on ait cette impression rapide lorsque les yeux plongent dans la belle photographie, au magnifique jusant, icône du billet, qu’elle pense avoir aperçu de Gaulle, tante Yvonne et un garde du corps en `69, année peu érotique pour les chênes qui choisissent de s’abattre eux-même, marchant sur la plage…
Son côté francophile lui ferait voir surgir des noms galliques qu’elle mêlerait à ceux des Gaëls.
Les « Après Parnell » sont toujours difficiles, en France comme en Irlande, c’est sûr, mais il y a certains noms qu’on ne dropera peut-être jamais par terre, ni sur le sable ni dans l’écume.

Observateur calme et tranquille.... dit: à

Précision utile : le bonheur n’est jamais obscène, la connerie institutionnelle l’est.

renato dit: à

Seulement, en bons philistins, le bon peuple préfère s’en tenir à la vision mélenchonienne, ce qui revient à dire la vision du « crémier de JC », plutôt qu’aux faits… et c’est là que l’on voit l’intelligence des peuples…

Phil dit: à

renato, le monde sera sauvé par le petit nombre. remember: le petit nombre.

tears dit: à

la question que je poserais me vient du mot faux plat employé hier : je me demandais si en anglais, recherche que j’ai pas amorcee du tout, il y a tout une production de mots en fauw comme en français, faux col, faux cul, faux ami ….
enfant la peinture faux bois m’intriguait beaucoup et je pouvais rester à regarder, dehors, les peintres chaque jour .

Observateur nerveux et inquiet dit: à

Le crémier de porquerolles serait mélenchonien ? Rafraichissant !

tears dit: à

des mots en faux !
mais aussi fausse modestie , et maintenant »à l’heure d’internet » fausse bonne idée

renato dit: à

Phil,

« Soltanto angeli perniciosi resteranno », disait-il.

Il disait aussi que le petit nombre aurait sauvé monde, mais il finit brûlé sur la place publique.

nikolai petrovitch dit: à

la solennité et l’academisme culturel et politique de John Brown est un régal.C’est le plus divertissant de la chorale RDL.

tears dit: à

et pour les joueurs faux jeton

tears dit: à

et comme concept pour les psychologues fausse reconnaissance

John Brown dit: à

John Brown,
Vous êtes entraineur, joueur dans une équipe de rugby. (rédigé par Observateur…)

Je choisis le 2 en enlevant les « si » et les « mais » et avec obligation de résultat. A la fin de la saison, l’équipe ayant évité de justesse la relégation, je suis relevé de mes fonctions, mais avec les honneurs.

John Brown dit: à

« la solennité et l’academisme culturel et politique de John Brown est un régal. » (rédigé par Nikolaï Petrovitch)

Parfaitement. Il ne me manque que l’épée.

Bloom dit: à

Mon ‘faux’ préfré en anglais, c’est ‘phoney’, associé à ‘war’, dans ‘the Phoney war’ = la drôle de guerre, la fausse guerre.

A phoney = un charlatan, un poseur, un faux-jeton, je laisse mettre des noms.

Un faux col, c’est ‘a detachable collar’. une bière sans faux-col, c’est ‘a beer with no head’, un crime de lèse mousseté dans le cas de la Guinness, supposément encore servie aux mourants dans les hôpitaux irlandais.

Pour finir sur une petite mousse de bonheur, cet extrait de Two Pints, le dernier Roddy Doyle, une série de conversations abiérés entre 2 specimens de la classe laborieuse nord-dublinoise. Si vous pigez les références (the Shinners – the Semtex) vous aurez mérité votre « jar » chez Mc Daid’s, off Grafton Street.
—-
31-5-11

— YOU KNOW YOUR man Gaddafi?
— From the chipper?
— No. The Libyan nut.
— What about him?
— You know the way they’re lookin’ for a country to take him?
— I’m not in the mood for fuckin’ politics.
— He should come here.
— Wha’?!
— A state visit, like. The hat-trick. It’d be great. The few words of Irish, green jacket at the airport, kiss a few babies.
— He’d strangle the fuckin’ babies.
— Not if he’s looked after properly. It’d keep the buzz goin’. And the Shinners wouldn’t object this time. He could bring the Semtex himself – save on the post.
— Good point. Where’s Libya, annyway?
— I don’t know – the desert.
— Which one?
— Wha’?
— Which desert?
— The fuckin’ sandy one. Ask fuckin’ Peter O’Toole.

Doyle, Roddy (2012-11-01). Two Pints. Jonathan Cape. Kindle Edition.

Doyle, Roddy (2012-11-01). Two Pints (Kindle Locations 94-107). Jonathan Cape. Kindle Edition.

bérénice dit: à

Tears également fausse monnaie faux semblant fosse commune fosse sur mer
Dans l’ensemble le billet draine des commentaires captivants fou ce que ça se bouscule en inventifs intérêts à tel point qu’il semble incongru de n’avoir rien à en dire, tant pix

bérénice dit: à

Bloom puisque vous êtes omniscient a-t-on jamais osé écrire l’expression de la simulation, de la répétition, de la précocité ou du retard ceci avec précieuse franchise et duty free

Bloom dit: à

14 h 09, passionnant. A la auteureu.

tears dit: à

bérénice dit: 29 avril 2013 à 14 h 09 min
je n’y avais pas pensé, bien sûr mais vous habitez toujours rue des faux sauniers ?

John Brown dit: à

Where’s Libya, annyway?
— I don’t know – the desert.
— Which one?
— Wha’?
— Which desert?
— The fuckin’ sandy one. Ask fuckin’ Peter O’Toole. (cité par Bloom)

C’est un dialogue entre deux officiers de l’armée française au Mali ?

bérénice dit: à

Tears rue des faucons

tears dit: à

pourvue que la auteure de 14 h 09 min ne nous lance pas son confauramage

Polémikoeur. dit: à

Le local de réunion est de mieux en mieux équipé : un juke-box !
Une machine à café, un frigo, le wi-fi gratuit… ?
Castoramiquement.
Dartyficement.
Ikéalement.

Polémikoeur. dit: à

Une machine à pain pour attirer les Irlandaises nostalgiques.
Pétrinquillement.

Polémikoeur. dit: à

Un jeu de fléchettes, un billard et une loterie truquée pour donner un air de pub.
Alcotestament.

Sergio dit: à

Polémikoeur. dit: 29 avril 2013 à 14 h 59 min
le wi-fi gratuit…

Oui enfin après deux cent cinquante-six y a plus de place, hein…

Sergio dit: à

Les Cranberries c’est bien, mais alors j’ai plus la couleur…

bérénice dit: à

tears Bloom du haut de sa grandeur se montre rarement moqueur je suis étonnée presque blessée d’une telle perfidie quoique mon strabisme convergent n’y ait vu que des flammes vous parvenez de façon inattendue à rétablir la trajectoire du projectile blair witch, merci encore d’excusez la lourdeur du style qui mériterait régime et moult livres en équilibre

u. dit: à

(Fin de fil

La médiocrité insondable qui nous environne (voir le crétinisme anti-allemand d’une partie de l’appareil du PS) fait encore mieux ressortir les rares occasions où le discours politique se montre capable de pure et simple dignité, comme dans les propos de Giorgio Napolitano au Parlement italien, le 22 avril.

On parle de rires jaunes, mais on devrait parler d’applaudissements jaunes, quand on observe un certain nombre d’idiots, dans l’assemblée, qui frappent des mains mécaniquement avant de prendre vaguement conscience de la honte publique qui les frappe.)

http://www.youtube.com/watch?v=xKfp7dO8J2Y

bérénice dit: à

bon bien ce livre remplie d’aventures et de leçons philosophiques est-il sionistement indispensable? Va-t-il falloir attendre d’etre certain que peu finalement hormis tears qui parait très inspirée veuillent alimenter le foyer du débat avec ou sans cris et autres encore pour passer au suivant qui sans contestation possible sera décortiqué et brillament ramifié?

Sergio dit: à

u. dit: 29 avril 2013 à 16 h 31 min
qui frappent des mains mécaniquement

Ha ben voilà ! Au moins dans la grande Russie d’Andropov il y avait un nombre de secondes, de minutes, pour les applaudissements correspondant à chaque intervention, c’était carré, couché à l’avance comme à l’opéra sur un livret…

Bloom dit: à

Pour le Boug’, la version de T(h)in Lizzy

« As I was goin’ o’er the far famed Kerry mountains
I met with captain Farrell and his money he was countin’.
I first produced my pistol, and then produced my rapier.
Said stand and deliver, for I am a bold deceiver,

With me whack dumma do damma da
whack for the daddy ‘ol
whack for the daddy ‘ol
there’s whiskey in the jar »

Phil Lynott à la basse et au chant….good man himself…

Ca vaut presque Christy Moore, the greatest Irish singer of all times, qui fut un des plus fidèles soutiens des grévistes de la faim.

Motherland, ou l’émigration comme condition essentielle du peuple irlandais

http://www.youtube.com/watch?v=amMRwfwLqDM

Where in hell can you go, far from the things that you
know,
Far from this concrete sprawl that keeps crawling it’s
way,
About a thousand miles a day.

Take one last look behind, commit this to memory and
mind,
Don’t miss this wasteland, this terrible place, when
you leave,
Keep your heart off your sleeve.

Motherland cradle me, close my eyes lullaby me to
sleep,
Keep me safe, lie with me stay beside me don’t go.
Lyrics from eLyrics.net

(…)

bouguereau dit: à

mais alors j’ai plus la couleur…

en même temps..dla peine et des larmes..et le dimanche du sang comme en espagne ! olé !
tu préfères le conemara de sardou?..boh t’as le droit, une belle voix c’est rare

bouguereau dit: à

(voir le crétinisme anti-allemand d’une partie de l’appareil du PS)

(voir le crétinisme anti-allemand d’une partie de l’appareil du PS)

le membre dominant du couple franco allemand de droite..ça prouve une chose que la politique devient (un peu) européenne, la preuve c’est que tu vois midi a ta porte et que tu méprises les peuples, en faisant toujours peur avec tes zigzig heil

bouguereau dit: à

les irlandais joue pas trop classe avec l’europe kabloom..et c’est pas des pigz pourtant

bérénice dit: à

Sous l’influence du monde extérieur réel qui nous environne, une fraction du ça subit une évolution particulière. A partir de la couche corticale originelle pourvue d’organes aptes à percevoir les excitations ainsi qu’à se protéger contre elles, une organisation spéciale s’établit qui, dès lors, va servir d’intermédiaire entre le ça et l’extérieur. C’est à cette fraction de notre psychisme que nous donnons le nom de « moi ».
Durant la longue période d’enfance qu’il traverse et pendant laquelle il dépend de ses parents, l’individu en cours d’évolution voit se former, comme par une sorte de précipité, dans son moi une instance particulière par laquelle se prolonge l’influence parentale. Cette instance, c’est le surmoi. Dans la mesure où le surmoi se détache du moi ou s’oppose à lui, il constitue une troisième puissance dont le moi est obligé de tenir compte.
Freud

Bloom dit: à

Le Boug, les Irlandais ont bien des défauts, l’attirance pour l’argent facile en est un parmi d’autres…

bouguereau dit: à

ils sont aussi plus atlantiste que les anglais, je parle culturellement, le continent ils en ont a peu prés rien a cirer et faut pas les pousser pour reprocher aux français de faire de becket un des leurs par exemple, ce qui est passablement faux, sauf pour dire « qu’il nous le laisse »

u. dit: à

On va dire que tu es optimiste, bouguereau, tu penses qu’il existe déjà une vie politique commune, au sein des populations européennes de la Roumanie à l’Irlande. Je voudrais bien que tu aies raison.

Il est tout-à-fait normal qu’un français puisse être anti-Merkel ou pro-Sigmar Gabriel (Sigmar qui?).
Mais la manière dont de puissants cerveaux comme ceux de MM. Bartolone, Hamon ou Cambadelis présentent cette question à leurs électeurs a quelque chose d’effarant.

bérénice dit: à

When i am not, and none beside,
nor earth, nor sea, nor cloudless sky,
but only spirit wandering wide
trough infinite immensity.

bouguereau dit: à

Je voudrais bien que tu aies raison

..mais non tu voudrais pas, les waffen en bèême c’est du nanan ! nach paris ? ..on bouderait paris pour moscou ou washington ou londre..la belle affaire, la popo la popolitique zouzou..mais ça t’arrange de nous faire assoire sur du casque à pointe et de nous dorer des helmut et des françois a genoux..ça va bien

bouguereau dit: à

la doite est aussi à court d’argument que la gauche..bien pire que melanchon..obligé de se radicaliser toute seule, dêtre à la ramasse des necessités, se saisissant des « débats de société » comme renato accablant le clergé de rome..consternant, conternant et bien plus dangeureux évidemment..alors tes fantasmes de « je voudrais bien »..c’est plutôt « j’espère ardemment » évidemment

renato dit: à

« … accablant le clergé de rome… »

Hé ! bouguereau ! ça c’est jouer sur des valeurs sûrs…

bouguereau dit: à

ça c’est jouer sur des valeurs sûrs…

..mais non..les étologues appellent ça « le déclenchement à blanc » la cause a disparut mais le reflexe existe et se déclenche de manière érratique.. »sans cause »..si si je t’assure
c’est comme dracul..les nazis ! attation !
..la conscience des peuples ? il y a quelquechose à gratter, voilà la vérité

renato dit: à

« … la cause a disparut… »

T’as des garanties en ce sens ?

bouguereau dit: à

T’as des garanties en ce sens ?

..non, et pour tout te dire je crois que merkel ourdit un génocide maousse avec benoïte..dailleurs c’coup ci il s’est mis à plein temps sur le coup

u. dit: à

J’aime tout chez Najât, sauf ce qu’elle dit.

bouguereau dit: à

d’être un gros matcho c’est moins grave que d’ête ûberstumf chez goering zouzou..tribunal de petite instance..et encore si t’insitistes beaucoup

renato dit: à

« … je crois que merkel ourdit un génocide maousse avec benoïte… »

Mais non, bouguereau, mais non, c’est dracul qui peaufine un gros projet social, d’ailleurs sa terrasse est sous le contrôle constant de tous les Services Secrets (tu vois ?)…

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