En attendant Cecilia
Il n’y pas que Godot qui se fasse attendre. Lorsque l’être aimé se fait attendre, on s’en remet plus naturellement aux Fragments d’un discours amoureux : solennité du moment, perte du sens des proportions, mise en place d’une scénographie, angoisse d’attente, reproches virant à la colère, hantise de la sonnerie du téléphone, assignation à l’immobilité dans un lieu, crainte du malentendu, sentiment d’irréalité… On retrouve un peu du Roland Barthes des Fragments d’un discours amoureux, du moins dans ce que ses observations ont d’universel et d’intemporel, dans Tes pas dans l’escalier (Tus pasos en la escalera, traduit de l’espagnol par Isabelle Gugnon, 256 pages, 22 euros, Seuil ), le dernier roman d’Antonio Munoz Molina (1956, Úbeda, Jaén).
Un appartement en plein coeur de Lisbonne. Un homme sans importance récemment licencié par son entreprise, attend sa femme Cecilia en compagnie de leur chienne Luria. L’emménagement est récent, aussi met-il à profit ses heures d’attente pour en peaufiner la décoration et mettre une ultime touche aux moindres détails. L’écrivain arrange son roman à la manière du narrateur agençant sa nouvelle maison- et inversement. Il aménage l’esthétique de leur quotidien. C’est d’autant plus important que son antihéros est un solitaire qui a besoin de se tenir à une certaine routine et de se consacrer à des tâches domestiques pour conserver son équilibre. A cet égard, ce roman est aussi un éloge permanent de la beauté que peut receler la vie ordinaire dès lorsqu’on s’y attarde. De quoi illustrer sans forcer une fameuse réflexion de Pascal :
« J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.( Pensées, 139 « Divertissement », 1669.)
A ceci près que l’homme pascalien n’attend rien alors que le narrateur du roman guette des pas dans l’escalier- et des pas qui se font espérer. Sa femme, neurologue spécialisée dans les troubles de la mémoire associée à la peur et aux traumatismes dans un laboratoire en lien avec le Pentagone, est retenue, accaparée par les décharges électriques qu’elle fait subir aux rats blancs et aux limaces histoire de voir le souvenir qu’elles en conservent. Elle le fait attendre, activité dont Roland Barthes disait :
« Prérogative constante de tout pouvoir, « passe-temps millénaire de l’humanité. »
Tout parait calme, si apaisé, si lent par rapport à la ville qu’ils ont quittée comme on fuirait une cité à la veille de la fin du monde, le Manhattan du 11 septembre encore plus frénétique, angoissé, hystérique qu’à l’accoutumée. Lisbonne se prête effectivement mieux à l’attente de l’apocalypse que New York qui semble déjà et de longue date y vivre en permanence. Au moins, quand elle embrasera le Portugal, ça surprendra. Il a tout le temps de se projeter dans ce qui sera leur nouvelle vie en se créant de nouveaux repères ou en ressuscitant d’anciens. L’auteur le reconnait : c’est l’histoire d’Ulysse et Pénélope, mais inversée. Quelques livres lui tiennent compagnie pendant son attente : les carnets de bord du capitaine Cook pendant son absence, l’histoire du tremblement de terre de Lisbonne de 1755 qui impressionna si puissamment Voltaire. Le changement climatique augmente l’inquiétante étrangeté de l’atmosphère. De plus en plus de tiques, de moins en moins de lucioles
Au bout de vingt pages, on se dit qu’Antonio Munoz Molina ne prétend tout de même pas nous embarquer pendant 52 chapitres intemporels à attendre avec lui la dissipation de l’absence ; ca ne tiendra jamais avec une histoire aussi fragile car on comprend vite que tout arrive sans qu’il ne se passe rien. C’est fou tout ce qui peut advenir dans un roman aussi immobile. Une apparente dystopie mais pas dans l’absolu. C’est justement la réussite de ce huis-clos littéraire à la première personne du singulier dont le temps est le personnage principal et la musique des silences, la bande originale. On gagne à le lire d’un trait. Le lecteur pressé se perdra à imaginer que c’est un roman sur rien alors qu’il regorge de réminiscences. Celles d’un antihéros à la recherche éperdue de traces du passé pour s’y sécuriser et pour méditer sur la vie de couple, l’un des axes de ce grand livre de la solitude que s’est voulu Tes pas dans l’escalier (quel beau titre simenonien, soit dit en passant). Munoz Molina, qui ponctue in fine la plupart de ses phrases à l’oral par un « non ? », est un homme qui doute. Il y a de quoi avec une femme aussi mystérieuse que la sienne, toujours prête à lui opposer qu’il n’est rien qui ne soit un effet d’optique et que dans la vie, tout est mirage.
Il est de ceux pour qui la mémoire est la matière première de l’écriture littéraire, autrement dit de toute fiction. C’est peu dire qu’ici son narrateur en use, tout enfermé qu’il est dans sa bulle. Jusqu’au vertige ! De quoi conférer un halo hypnotique à son monologue qui résonne parfois dans un silence toxique. Passionné de Montaigne, de Robinson Crusoé et du capitaine Nemo, il entend faire de l’attente un art. Les messages de son enregistreur téléphonique sont autant de cailloux abandonnés là comme des repères dans ce monde qui en est dépourvu. On se demande parfois si on est dans Alfama ou dans Greenwich Village. Quant au narrateur, grand nomade sédentarisé, qui a remplacé le jogging le long de l’Hudson par la promenade le long du Tage, il est aussi paumé que nous. Mais lui, c’est encore pire car sa chienne paresseuse, fan d’Ornette Coleman et de Ligeti, est à l’égal de son maitre une contemplative.
Il n’arrête pas d’attendre perdu dans son obscurité intérieure et nous, pauvres lecteurs enchantés par cette servitude volontaire car le roman ne se lâche pas, nous attendons avec lui, nous sommes ses compagnons d’espérance dans le jardin suspendu de l’attente infinie. Peut-être après tout s’égare-t-il en plein fantasme dans un certain délire, et nous avec lui, même lorsqu’il nous embarque dans sa déambulation poétique au coeur de cette Lisbonne qu’il dit plus propice que d’autres villes à la quiétude. Celle-ci n’est pas un simple décor mais un élément-clé de l’histoire. Il en nait un certain malaise malgré la richesse et la fluidité de sa prose. Il s’en dégage une musicalité qui, de l’aveu même de son auteur, est inspiré de celle To the Light House (Vers le phare, Au phare, La promenade au phare, c’est selon, de Virginia Woolf.
Ce n’est pas la moindre qualité de ce thriller psychologique qui nous mène à nous interroger vraiment en fin de parcours sur la réalité de cette attente dans la mesure où, manifestement, son narrateur simenonien (Munoz Molina m’a dit avoir lu et admiré presque toute l’œuvre de Simenon, tant les romans durs que les enquêtes de Maigret) replié sur lui-même, perd pied progressivement et commence à s’éloigner du réel jusqu’à ne plus contrôler la réalité. Ce que c’est que de s’en être retiré (retired dit-on en anglais) sinon reformado comme disent les Portugais pour désigner les retraités. Quant à la fin du monde, rassurez-vous et ne vous hâtez pas de chercher la meilleure ville pour l’attendre : avec la crise climatique et ses débordements, elle est partout permanente. Celle-ci existe bien mais cet homme, et cette femme, et cette chienne ? L’existence de Lisbonne est vérifiable comme l’est la puissance d’envoûtement de ce roman à la maitrise impressionnante. Le reste…
(Photos Gérard Castello-Lopes)
1 531 Réponses pour En attendant Cecilia
le plus drôle c’est qu’aujourd’hui on ne trouvera pas un seul article dans le Monde qui donne le classement mondial des pays qui ont la plus forte croissance économique.
les mecs ils peuvent pas pondre un article du genre :
1 l’Inde 6% de croissance
2 la Chine 4%
3 le Brésil
4 la Russie
parce que là dans les 3 premiers on trouve qui ? les pays qui achètent du gaz et du pétrole russe pas cher, ce qui booste leur économie.
et comme par hasard c’est juste kles pays que les journalistes du Monde » avaient oublié qu’ils existaient…
non sérieux je sais même pas si on peut appeler ça de la faute professionnelle.
c’est plus une espèce d’aveuglement idéologique.
ou de la « pensée magique » : les mecs n’adaptent pas leurs idées à la réalité ils adaptent la réalité à leurs idées.
sur le gala « israel is foever »,aune certitude dans l’express, il faudra donc attendre pour savoir
excuse :forever
Libé c’est autre chose.
Libé c’est comme le Guardian : ils ont dépassé le stade de l’idéologie pour tomber dans une forme de délire hallucinatoire.
Libé c’est le journal de Glucksmann.
il suffit de regarder le regard de Glucksmann quand il parle de Poutine ou de la Russie ou de la Chine : ce regard du schizophrène paranoïaque qui n’a pas pris ses cahcets depuis 1 mois et qui vient de s’échapper de son hôpital psy : ça c’est Libé.
Je n’ai jamais cru que la perversion narcissique fut le seul « apanage » des hommes »… Or, un jeune sociologue bourdieusien vient d’affirmer que c’est bien le cas. Sa démonstration partisane est celle d’un féministe qui a perdu le sens absolu de son devoir de neutralité à partir d’enquêtes empiriques unidirectionnelles. C’est affligeant. Et bravo pour la démolition feutrée de cette étude qui déshonore pas mal notre champ scientifique.
J’ignore qui en est le « critique », mais sa critique (sur un blog littéraire de hautre tenue à mes yeux) me parait plutôt solidement étayée (c’est à la fois un sentiment et une opinion, je n’irais hélas pas perdre mln temps à lire cet ouvrage, bien que connaissant le travail de ce chercheur qui m’était apparu naguère comme plutôt bosseur et tempéré. Hélas, il a été apparemment fort mal encadré dans la publication de son travail).
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2024/10/22/dominants-en-declin/
Bàv,
non, sérieux…
quand je lis un article de Libé j’ai toujurs l’impression d’être dans un extrait de Jason Bourne.
les mecs c’est pas des journalistes c’est tous des complotistes qui s’inventent une réalité et qui mentent à leur lecteur non pas par malveillance mais juste parce qu’ils se mentent à eux mêmes du coup ils ont l’impression de dire la vérité.
quand on lit un article dans Libé de l’incursion à Koursk des ukrainiens on a l’impression qu’ils vont arriver en Sibérie en 3 jours.
en fait c’est juste parce que type qui écrivait ça avait tellement envie qu’ils arrivent en Sibérie en 3 jours qu’il avait fini par y croire.
limite Libé devrait déplacer son siège social et le mettre à Lourdes.
puck,la psychiatrisation sansréférence ne saurait tenir lieu d’argument, pour aucune personne, même pas pour un pseudo,parce qu’elle n’a aucune légitimité
ou même aucune apparence de légitimité
J J-J dit: à
Je n’ai jamais cru que la perversion narcissique (…)
Cet auteur est bougrement foucaldien*!
Il vous faut lire le passionnant essai philosophique de Pascal Engel intitulé : *Foucault et les normes du savoir chez éliot éditeur. Ça vient de sortir. Il s’ agit apparemment, dans le cas de cet auteur,d’une pratique de penser similaire à celle de Foucault.
Musk contrôleur de gestion ? Quel dévouement à la cause publique
Ce soir sur Arte, à 21h35 , un document sur « La montagne magique » de Thomas Mann.
@ »la psychiatrisation sans référence ne saurait tenir lieu d’argument »
comment ça sans référence ?
je sais ce qu’est la paranoïa schizophrénique et je sais aussi ce qu’est la schizophrénie paranoïaque, les trucs hallucinatoires et j’arrive à reconnaitre si unhe personne a oublié de prendre son traitement, mais cela dit comme je suis de nature modeste j’aimerais avoir sur ce point votre avis et me dire ce que vous zen pensez :
Hier soir sur FR2 documentaire sur les premiers mois de la guerre de 14: pas un mot ni sur les troupes britanniques, ni sur les troupes coloniales; présentation d’un affrontement exclusivement franco-allemand.
A quoi à servi le Centenaire?
A Paris il existe une rue du petit musc.
« Musk contrôleur de gestion ? Quel dévouement à la cause publique »
Jeannot Lapin je suis pas certain du tout qu’en ce moment de notre histoire nationale et notamment dans sa dimension économique nous soyons, je veux actuellement, ne ne pas du tout sûr, je veux dire dans le contexte actuel de la France, je ne suis du tout certain que nous soyons les mieux placés, je veuxc dire si on tient compte du contexte actuel, pour critiquer et donner des leçons.
je veux dire à la limite le contraire, et encore, je ne suis même pas sûr que Musk rigole de nous parce qu’il ne doit pas regarder ce qu’il se passe à l’Assemblée Nationale, mais même s’il savait ce qu’il s’y passe, je ne suis même pas sûr qu’il se permettrait de critiquer.
et sur la question du dévouement à la cause publique, sérieux j’ai pas envie de faire la moindre remarque sur ce sujet, peut-être que 3j a quelque chose a dire là dessus, mais perso je passe mon tour…
c’est dommage parce que ça t’instruirait d’avoir mopn avis que la question du « dévouement à la cause publique ».
mais bon on en reparlera quand Barnier va se barrer en laissant tout en plan parce qu’on l’aura trop gonflé.
« Hier soir sur FR2 documentaire sur les premiers mois de la guerre de 14 »
perso je préfère regarder la rétrospective de l’état d’esprit qui a amené à 1914 (quand on sait que le mec est prof à sciences po c’est assez flippant) :
« Munoz Molina, qui ponctue in fine la plupart de ses phrases à l’oral par un « non ? », est un homme qui doute. »
(Passou)
Je ne le comprends pas comme cela. C’est plutôt un tic de langage , et ces » non ? » qui ponctuent des propositions à la forme affirmative, valent pour » n’est-ce pas ? », manière d’impliquer l’interlocuteur.
Rose dit
Pour moi aussi c’est un tic de langage (des gens d’un certain âge) et même un signe de politesse pour ne pas apparaître trop affirmatif et donc pas assez démocratique (l’une des hantises de Muñoz Molina dans un pays où abondent les fanatiques). L’auteur de « Tus pasos en la escalera » est l’un des espagnols qui a les idées les plus claires (politiques, sociologiques, littéraires, historiques, artistiques et même musicales – étant un grand mélomane), comme le montrent depuis plus de 30 ans ses articles de presse, toujours d’une clarté remarquable, surtout ceux qu’ils défendent des idées pendant des polémiques. Muñoz Molina est un type très réfléchi qui ne parle jamais pour rien dire et qui, sur les thèmes qui l’intéressent le plus, a moins de doutes que des certitudes (acquises après avoir pris le temps de bien s’informer, sans aucun sectarisme).
non sérieux ce type : Nicolas Tenzer, il est enseignant, c’est à des types comme lui qu’on confie nos gamins.
sauf qu’il est enseignant à Sciences Po.
parce qu’il serait instituteur en primaire les parents d’élèves auraient demandé à l’école de le virer parce qu’ils ne veulent pas d’un type qui va faire des cauchemars à leurs gamins, je veux dire les gamins qui se réveillent en pleurant la nuit etc…
alors que là comme il est à science po on peut le garder parce qu’à partir d’un certain âge on peut librement traumatiser les élèves.
là encore je veux pas trop verser dans la psy mais à l’évidecne ce type a subi un traumatisme qui n’a pas été pris en charge, il a peut-être été violé gamin par un curé, ou bien il était humilié par les gamins à la maternelle, j’en sais rien mais c’est pas normal de laisser ce genre de personne circuler librement dans la rue, qui plus est être prof.
en fait on vit en ce moment dans un immense hôpital psy à ciel ouvert et le plus grave est qu’oin finit par s’y habituer.
alors bloomy sweet & tears il nous la prévoit pour quand la prochaine guerre mondiale dans le Guardian ?
« l’une des hantises de Muñoz Molina »
ça c’est juste pour faire remarquer à passou qu’il sait même pas faire les tildes avec son clavier.
parce que passou, lui, il écrit Munoz Molina…
pedro faut bien garder à l’esprit que Munioze Molina c’est un écrivain andalou avant d’être un écrivain espagnol !
d’ailleurs même Munioze est un patronyme andalou avant d’être un patronyme espagnol.
hors d’Andalousie tu trouveras pas un type qui s’appelle Munioze.
quant à Molina je t’en parle même pas… y’a pas moins espagnol que Molina.
On sent PPPP (Puck-Puck, la Pute de Poutine) chaque jour un peu plus près de la folie finale, de la crise définitive qui va, enfin !!, le faire disparaître d’ici.
Ses radotages paranoïaques sont de plus en plus visibles, l’état de déliquescence de son cerveau laisse de plus en plus de traces dans ses « raisonnements », on le sent à bout de neurones…
Un type qui était le Crétin Idéologique Parfait, l’Idiot Utile Idéal, le Mouton Co-co Complet, et qui est devenu le chihuahua du Kremlin sur un blog où personne lit ses délires de vieillard qui pense « sous lui » sans la moindre honte…
pedro tu sais quoi, l’Andalousie c’est un peu le Donbass de l’Espagne : faut respecter leurs spécificités culturelles pour éviter de virer genre bataillon Azov…
pedro toi le néo franquiste t’as déjà pensé à fonder un bataillon Azov espagnol ?
parce que Franco c’est un peu le Bandera espagnol.
c’est fastoche : suffit d’aller voir Nicolas Tenzer il va t’expliquer comment il faut faire.
Pergolesi: Stabat mater, for soprano & alto
Céline Scheen, soprano
Philippe Jaroussky, countertenor
L’Arpeggiata
Conducted by Christina Pluhar
PPPP, va dans ta niche rêver que tu te fais caresser par Poutine, grand amateur de chihuahuas dans ton genre.
C’est quand que tu vas te rendre compte qu’ici tu ne fais que le ridicule?
@Un « journaliste » qui en est tout de même à son septième livre, dont six romans, certains déjà finalistes de prix.
Je n’accorde aucun crédit à ce type d’argument.
Et présenté comme cela, il faut bien reconnaître que les enjeux scientifiques, philosophiques, et les réflexions que font naître la lecture du roman Cabane de A Quentin ont une autre envergure intellectuelle que le père Montaigu
Une illustration de l’idéologie à l’oeuvre, absolument bien rendue dans le roman de Quentin, en sera d’ailleurs donnée ce soir, dans la grande librairie d’Augustin , puisque il y aura le grand chamane de l’akademie de Paris.
J’ajoute que le roman de Quentin, qui a l’inconvénient de créer des personnages de fiction, en leur attribuant la paternité d’un rapport qui a servi de bible pour le mouvement écologiste, et lu à l’époque, il y a 50 ans, par des millions de personnes, possède en revanche un socle solide de références historiques, et intellectuelles , et puis quoi , son personnage le plus attachant, le plus drôle et le plus déterminé finalement, car sans ambition personnelle, et qui devient emballé par don sujet, est journaliste.
Lequel rit de s’imaginer gagner le prix Albert Londres…
Que ses lecteurs, conquis, lui accorderaient sans problème, pour compenser un prix Interallié décerné par un jury finalement intellectuellement paresseux et très conformisme, sans grand intérêt pour les enjeux dits » climatiques » de notre époque.
Qui perturbent qqpart le héros de AMM, dans ce roman chroniqué par Passou, non ?
« Álvaro Pombo, premio Cervantes 2024 ».
Comme le Prix Nobel, des gagnants de plus en plus nuls chaque année.
Muñoz Molina l’aurait mérité bien plus – sans le mériter tout à fait non plus (si on le compare aux grands écrivains qui l’on eu au début). Mais à côté de Cristina Peri-Rossi (comme le Nobel à côté d’Annie Ernaux) n’importe qui mérite le prix.
« Ce soir sur Arte, à 21h35 , un document sur « La montagne magique » de Thomas Mann. »
Arte c’est e,core un média qui a complètement perdu les pédales.
durant ces 4 dernières années je les ai tellement écouté et faire des émissions des trucs de désinformation et de mensonge, de débilités d’idéologues à 2 balles et des dénis complets de la réalité etc… que franchement je vois pas trop le but de parler de la MM.
tous ces médias il va leur falloir beaucoup de temps pour retrouver un minimum de crédibilité.
« Comme le Prix Nobel, des gagnants de plus en plus nuls chaque année. »
hé ouai pedro y’a plein de trucs qui ont totalement perdu leur crédibilité.
exemple au hasard : toi avec ton Jaroussky.
la différence c’est que je lis tes trucs sur la musique genre « et toi chaloux s’il ne fallait garder qu’un seul pianiste… » au moins ça me fait sourire, en fait t’es plus marrant comme bonhomme, alors que les autres avec leur guerre ils font pas du tout marrer.
Mais peut-être que les grands prix littéraires sont là pour nous faire découvrir des auteurs inconnus, comme disait Borges du Nobel de littérature (et lui, étant trop connu pour le mériter, il ne l’a jamais eu). En tout ça ça a l’air d’être le cas dernièrement. Qui connaissait Glück, Gurnah, Ernaux, Fosse ou Kang en dehors de leurs pays?
Et qui connait Rafael Cadenas ou Luis Mateo Díez en dehors du monde hispanique (et même à l’intérieur)? Ce qui aggrave le cas del Premio Cervantes c’est qu’il faut le donner à un espagnol et à un Sud-américain en alternance. D’où le fait de l’avoir donné à des écrivains d’une médiocrité qui fait peur comme Ida Vitale, Peri-Rossi, Sergio Ramirez, Gonzalo Rojas ou Nicanor Parra (le poète le plus nul du XXe et XXIe siècles ensemble), entre beaucoup d’autres… Quant aux espagnols, souvent les gagnants l’ont été pour des raisons politiques, comme le lamentable Antonio Gamoneda (c’est son ami Zapatero qui a tout fait pour qu’il l’obtienne quand il était Premier ministre, étant tous les deux amis et de la même ville, León).
Á ce rythme là, on sait déjà qui va gagner le Prix Nobel de Littérature 2025: Maurice Desborels.
Paul Klee, Tunesische Scizze/Tunesian Sketch, 1914.
Aquarelle sur papier à bord découpé.
Je dois vous avouer que j’ai des prémonitions terribles en ce moment. Ce sont des sortes de voix qui me disent quand certaines choses que les gens veulent faire vobt s’avérer inutiles voire contre-productives. Ce sont des voix angéliques, celles d’anges qui l’accompagnent.
dans la grande librairie d’Augustin mon Dieu, ils ont retrouvé le Saint!
D, aperçu votre copain ( dans une émission précédente)Finkielkraut invité par HEC Paris, pas vraiment la grande forme.
Il faut cesser de faire de nouveaux musées ou d’en agrandir d’existants. Tout l’argent dépensé à cela le sera en pure perte. Il faut au contraire consacrer le même argent à mettre le patrimoine artistique et archéologique de l’humanité dans des bunkers très épais et enfouis. C’est la priorité absolue.
Ta gueule, Bérémuche. Ferme ton clapet qui pue le vieux gorgonzola et reviens quand on t’aura sonnée.
L’heure est grave.
Les prix littéraires ont cela de bon qu’ils nous indiquent formellement les ouvrages à ne pas lire.
Je lis une tentative d’illustrer le manque de delicatesse des hommes dont il était question ce matin. En ce moment c’est pavé d’Affinois noix. Bien sûr l’heure est grave et ça va encore s’aggraver.
siffler sur la colline
attendre avec un bouquet d’églantines
dassin (nom issu d’Odessa)
https://www.youtube.com/watch?v=oiu464T9SSE
Oups, désolé. Je m’emporte.
ma soeur doit être ravie par néo ultra brite ce soir : -walden…, dans les bois !, -a quentin, dans sa Cabane !… Descola, oui lui-même… En attendant la Montagne madgique, à 22h45 (PE) sur une autre chaîne, on peut zapper Irving, Orsanna, Vasseur, Royer… et relever les injures du soir…
nb : pmp, jen’ai pas bien compris votre // avec Foucault relu par P. Engel. Je vais voirj…
Bàv
Le Volatile n’a pas été trop emballé par Houris (KD). Mais il le dit sobrement et sans agressivité – Et surtout, il dit pis que pendre du film de Beauvois sur le navigateur dans son jardin, encensé par la france inter…
Pas de comparaison possible de ce Canard avec la presse de g^^ôche, la presse de dro^^ite et l’rdl.
Bàv,
@Jazzi, vu les pistolets en plastique dont tu as fait l’éloge récemment. Je m’attendais à un truc marrant genre Dikkenek (c’est ce que laissait entendre la bande-annonce), mais le scénario est vraiment facile, relâché et mal foutu. A part deux ou trois scènes, c’est dépourvu d’esprit et franchement mal tourné. Seul le talent des comédiens sauve quelques minutes du film, comme cette femme qui mène les deux enquêtrices au mur du jardin. Toutes les scènes sur le vrai Bernardin sont inutiles, ce n’est pas à lui qu’on s’intéresse. Quant à la fin, elle est inutilement gore et déplacée. Pas assez de travail. Le scénariste fait trop confiance au réalisateur qui fait trop confiance au scénariste. Bref, Meurisse a trop confiance en lui-même. C’est bien raté.
La salle d’attente de mon psychanalyste
Michèle Faivre-Jussiaux est psychanalyste en Franche-Comté. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages sur l’autisme et la psychose infantile.
https://www.oedipe.org/livre/la-salle-dattente-de-mon-psychanalyste
Bang A Gong
@ »Á ce rythme là, on sait déjà qui va gagner le Prix Nobel de Littérature 2025: Maurice Desborels. »
absolument !!
d’ailleurs ne dit-on pas de cet auteur qu’il est le Elon Musk de la littérature de ce début de 2&è siècle ?
et ma foi il est foi que cet auteur est à la littérature ce qu’Elon Musk est à la fusée réutilisable…
pedro laisse-moi de citer juste un petit extrait de l’oeuvre de cet Elon Musk de la littérature pour te montrer à quel point cet Elon Musk de la littérature a révolutionné la chose littéraire.
je cite :
« La directrice des ressources humaines s’approche pour le saluer.
— Vous savez, dit-elle en lui prenant la main, chez nous, vous aurez la possibilité de progresser, réparer nos machines ce n’est qu’un début, pour commencer, ce n’est pas le métier d’une vie entière, surtout pour un jeune homme comme vous, vous avez du potentiel, je le sens bien, chez nous vous aurez des opportunités, il faut savoir les saisir.
Vous pourrez même reprendre des études, pour évoluer dans la profession, ajoute-t-elle en serrant plus fort la main de Samuel dans la sienne.
Faire des études de gestion et de management et qui sait, dit-elle, devenir vous-même manager, obtenir un poste à responsabilités, un poste haut placé, bien mieux rémunéré.
Croyez-moi, dit-elle, nous savons reconnaître les compétences de nos associés, nous sommes une grande société, croyez-moi les opportunités sont très nombreuses, croyez-moi, répète-t-elle encore.
Samuel veut bien la croire.
— En France comme à l’étranger de nouvelles opportunités se présentent chaque semaine, ajoute-t-elle en serrant plus fort la main qu’elle tient dans la sienne, il faut se montrer ambitieux et savoir saisir les opportunités quand elles se présentent.
— Merci m’dame répond Samuel sans savoir s’il doit à présent lâcher sa main.
— Vous êtes ambitieux, n’est-pas ? Lui demande-t-elle sans lâcher sa main, en s’approchant de lui, en approchant d’elle sa main à lui, en l’approchant de son chemisier bleu clair, tout près de son chemisier bleu clair bien trop cintré, cintré au point de s’entrebâiller entre les boutons, des boutons bien trop distants les uns des autres, tellement éloignés les uns des autres que cet éloignement est propice à l’entrebâillement du chemisier trop cintré, surtout à cet endroit précis du chemisier trop cintré où sa main se dirige, là où des forces agissent de telle sorte qu’elles amplifient l’entrebâillement du chemisier trop cintré, quelques centimètres plus bas le chemisier trop cintré est bien moins entrebâillé, il est à cet endroit situé quelques centimètres plus bas si peu entrebâillé qu’il peut laisser croire que ce chemisier n’est pas trop cintré mais suffisamment cintré pour éviter toute éventualité d’entrebâillement, c’est sans compter sur les variations des forces qui interagissent sur le chemisier cintré quelques centimètres plus haut, la main de Samuel est à présent à quelques centimètres à peine de l’entrebâillement, il aurait fallu une règle pour mesurer la distance précise à présent entre sa main et le chemisier trop cintré de la responsable des ressources humaines, à l’évidence une règle seule ne sert à rien dans ces circonstances particulières dans la mesure où la distance évolue au fil du temps, il convient d’ajouter un chronomètre à la règle, seuls ces deux éléments, conjugués l’un à l’autre et utilisés de manière convenable permettent en l’occurrence de mesurer la vitesse de déplacement de la main vers le chemisier trop cintré, en l’occurrence une vitesse constante de l’ordre d’un centimètre toutes les dix secondes, soit 0,36 m/h, cette vitesse, bien que dix fois moindre que celle à laquelle se déplace un escargot lancé à pleine vitesse, est dans ces circonstances particulières, une vitesse qui donne le vertige à Samuel.
— Oui m’dame, répond Samuel en regardant une main, en l’occurrence la sienne, se déplaçant à une vitesse de 0,36 m/h en direction du chemisier entrebâillé trop cintré de la responsable des ressources humaines, une petite femme brune aux cheveux courts, regrettant à présent de n’avoir pas eu deux ou même trois enfants, portant un chemisier bleu clair qui s’entrebâille de plus en plus au fur et à mesure que sa main progresse à la vitesse de 0,3 m/h vers cet entrebâillement,
— Il faut être ambitieux pour pouvoir progresser, dit-elle, savoir sauter sur les opportunités quand elles s’offrent à vous, c’est notre rôle, aux ressources humaines, de savoir repérer afin de faire en sorte que ces talents progressent au mieux, ajoute la responsable des ressources humaines dont l’entrebâillement du chemisier progresse maintenant vers la main de Samuel à une vitesse proche de celle de la lumière.
— Oui m’dame répète Samuel, merci, ajoute-t-il, avant de lâcher la main de la responsable des progressions humaines et s’enfuir de son bureau. »
fin de citation.
pedro tu ne crois pas que le Nobel c’est peu de chose au regard de l’immensité littéraire océanique ou l’immensité océnique littéraire de cet Elon Musk de la littérature ?
qui a regardé l’émission d’Arte sur la MMde Mann ?
j’ai regardé la fin c’était absolument grandiose !
Thomas Mann qui a commencé son livre comme un aristocrate nationaliste belliciste et nietzschéen l’a terminé comme un humaniste pacifiste.
c’est comme si Mann avait tracé le chemin et la destinée de l’Europe partant de l’horreur des transchées pour aller vers une destinée portée par un humnisme pacifiste !
d’ailleurs Arte incarne ce destin tracé par Thomas Mann pour l’Europe.
Arte l’incarne persque chaque jour en invitant des va-t-en guerre prêts à contineur d’envoyer des armes pour défendre ses valeurs jusqu’au dernier ukrainien qui mourra comme Hans dans une tranchée !
j’adore cette hypocrisie et ce cynisme de ces amoureux de la culture et des belles lettres !
ces types qui se cachent derrière leur amour de Thomas Mann pour envoyer des centaines de milleirs de pauvres types mlourir dans des tranchées !
c’est absolument magnifique !
en plus la gauche allemande est encore plus belliciste que la gauche française.
limite Glucksmann à côté des bellicistes allemands il mérite le Nobel de la Paix.
et en plus ils sont tellement c.ns, vaniteux et imbus d’eux mêmes ils ne se rendent même pas compte à quel point c’est insupportable ce genre d’émission dans le contexte actuel !
On est plutôt bons au Monde, supra.
Les 80 ans du Monde, « Je t’aime, moi non plus ».
« Né à la Libération sous les auspices du général de Gaulle et de la démocratie chrétienne, le journal se distingue rapidement en refusant de s’aligner sur le camp atlantiste pendant la guerre froide, jusqu’à se voir accusé de « dérive gauchiste » dans les années 1970. L’arrivée des socialistes au pouvoir entraînera ensuite son lot d’espoirs et de désillusions.
In Le Monde.fr
du film de Beauvois sur le navigateur dans son jardin
C’est pourtant le seul que je serais allée voir, peut-être, dans la longue liste supra, ce type qui ne prend pas la mer, toit en ne pensant qu’à ça.
Thomas Mann qui a commencé son livre comme un aristocrate nationaliste belliciste et nietzschéen l’a terminé comme un humaniste pacifiste.
Ce passage extraordinaire, dans la Montagne Magique, qui est extrêmement long, durant lequel il tourne en rond dans neige, en croyant mourir et ayant des visions/ou des rêves fantasmagoriques : in fine, une très longue errance, à pied, au bout de laquelle il se retrouve à son point de départ, déconfit, au lieu d’avoir parcouru des milliers de kilomètres, franchi douze vallées et escaladé quinze montagnes : non, une boucle dans un voyage intérieur, c’est comme cela que Hans a évolué.
Moi, je peux dire ainsi, que les hommes et les femmes, on ne se ressemble pas.
Parce que je vis aussi dans un grand voyage intérieur, sans être à la cheville de Thomas Mann. J J-J et Paul Edel l’ont bien compris, eux.
don sujet, est journaliste.
Lequel rit de s’imaginer gagner le prix Albert Londres…
Il y a rire. Et puis il y a être Victor Castanet qui l’a gagné : les EHPAD sont en déshérence, le premier point d’écroulement étant les frais de chauffage. Pendant que la structure s’écroule, les vieux s’organisent, une la première, et se mettent en couple. Comme ils n’existent pas et n’ont pas droit à la parole, à deux ils sont plus forts, et nous font la nique ; y compris mon ex., déjà en couple dans son EHPAD. Gâteux (elle, hier, elle me dit Alzheimer) et en couple : les femmes sont admirables. Pas moi : le sacrifice est derrière moi.
Vous nous montrez tout Paul Klee, et mon préféré c’est celui qui est accroché dans cette chambre, au mur plein ouest, du soleil couchant, ce saumon admirable, ces quelques lignes tracées : sobre, épuré.
Chaloux dit: à
Les prix littéraires ont cela de bon qu’ils nous indiquent formellement les ouvrages à ne pas lire.
Mais, est-ce systématique ?
Longtemps, je les ai achetés, les Goncourt essentiellement.
Mais, ce n’est pas saumon et pas rose.
C’est un entre deux, subtil et délicat. Tellement doux.
Ce sentiment absolu que le peintre est hors du monde et dans son monde intérieur, tout peut s’écrouler, une vague de boue arriver de six mètres de haut, il cherchera à sauver son pinceau n°1 en poil d’écureuil de la sainte Russie. Pendant que toi tu grimperas sur une chaise, très peu désespérée, parce qu’il faudra ensuite nettoyer. Il aura, lui, sauvé son pinceau.
Paul Edel dit: à
Ce soir sur Arte, à 21h35 , un document sur « La montagne magique » de Thomas Mann.
Paul,
Je n’ai pas la télé.
Un jour, éminemment ancien, mon père qui était souvent chez moi, j’ai toujours travaillé énormément, l’a prise, devant mes deux filles soufflées qui regardaient une série américaine, durant laquelle, de mémoire, une ado,était enceinte sans savoir de qui. Il s’est emporté, a saisi l’objet, l’a emporté aux Mourres, à la décharge publique.
Plus tard, sans jamais s’excuser, mon père s’excuser, faut pas rêver, il m’a proposé, à au moins deux reprises, peut-être trois, d’en racheter une.
Niet, lui ai-je répondu.
Je n’ai pas l’année : plus de vingt ans maintenant, mes filles étaient enfants ; je vais les questionner.
Relativement pas mal de ciné, moins depuis que le tarif a augmenté d’un coup de 20%, et quelques bouquins. Ce blog.
Presque trente, sans doute.
Hier, je lui ai présenté P. B.
Lui ai dit que nous étions amies depuis trente cinq ans, en précisant que nous en avions fait des choses ensemble : il a répondu circonspect « ah oui, les quatre cent coups ».
Je le respecte immensément et lui autant. Nous ne nous ressemblons pas. Ma répartie, de lui, préférée est lorsqu’il m’a dit, péremptoire « tu ne me demandes pas le carnaval ».
J’étais prête à pourtant.
Gaudi lui-même.
Crénom, avec que des petits bouts, que tu sais quand tu commences et n’as aucune idée de quand tu vas finir :
https://images.app.goo.gl/FSYNmtY9PWfVmzDE6
Surtout, que tu ondules en plus.
Les quatre cents coups.
Plus sans doute, quatre cent un ou quatre cent deux.
« J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.( Pensées, 139 « Divertissement », 1669.)
Il y a Pascal. Puis, il y a Pasteur, qui a fait toutes ses découvertes dans son labo.en travaillant sans relâche.
Je n’attends pas Blanchette, puisqu’elle ne reviendra pas. Ni Romain Duris, qui, ayant quitté Le règne animal, est parti vers d’autres aventures.
D’après ce que j’en sais désormais, il me semble que l’appellation « jeune sociologue bourdieusien » est quelque peu redondante, tant la sociologie ne peut plus se dissocier de Bourdieu, et tant on attend quelqu’un, quelqu’une, qui entreprendra d’enfin tuer Papa, ce qui, d’après mes sources, n’est pas encore pour demain… Mais à part ça, je voudrais dire à JJ j que j’ai connu une femme perverse et narcissique. Une femme, pas un homme. J’étais parfaitement mal à l’aise quand je passais plus de cinq minutes en sa présence, car elle avait réussi à plier la réalité, elle inversait systématiquement les effets et les causes, elle humiliait à qui mieux mieux et ne reculait devant rien pour asseoir sa domination. Le résultat était que personne, jamais, ne la contredisait, et que sa folie a été acceptée par tout son entourage. Avec répercussions sur les générations suivantes… Et je trouve d’ailleurs qu’on ne s’attache pas assez aux fils et filles de parents, homme ou femme, pervers narcissiques. Ce sont ces rejetons qui souffrent le plus d’avoir grandi sous les branches tordues des bonsaïs du moi pervers et autocentré : ils en restent marqués à vie.
Cela s’écroule partout, France et Navarre, Périgord noir.
https://search.app?link=https%3A%2F%2Fwww.ouest-france.fr%2Fpays-de-la-loire%2Ftennie-72240%2Ffermeture-de-lehpad-du-village-on-demolit-50-ans-de-vie-4d4a5d88-a0fa-11ef-b119-2c8e787cc364&utm_campaign=aga&utm_source=agsadl1%2Cagsadl4%2Csh%2Fx%2Fgs%2Fm2%2F4
Le boulot accompli par Victor Castanet, prix Albert Londres, journaliste investigateur.
Où réside ma mère, le chauffage n’est tjrs pas allumé. Le WE dernier, on leur a distribué des petits radiateurs à bain d’huile : ma maman était congelée.
d’enfin tuer Papa
Les fils ne pensent qu’à ça.
Et Lisnard se goure.
Le système de retraite, rien à foutre, puisque le fils est en Thaïlande dans le sable blanc, un singe sur l’épaule, un yacht dans les eaux cristallines, pendant que papa marne. Plus tard, il pleurera « ah mais g pas de retraite ». Bah, il trouvera bien quelqu’un à dévaliser, sa sœur, sa mère, ses nièces, pour compenser ses nombreuses années de grand branleur. Ainsi la vie va.
La belle-mère.
Encore trouver moyen de défendre ce fils horrible.
On n’est pas obligé ni de ressembler à ses parents.
Ni de les supporter toute sa vie.
Ni de payer non stop pour les conneries qu’ils ont faites.
La vie n’est pas une longue suite.
Oui pour couper le cordon ombilical.
Eh oui, c’est bien la mère qui fait le fils. En concurrence acharnée avec le père qui n’en peut mais.
Au fond, ils en sont tous bien contents de leurs petites magouilles et de leurs basses machinations : « hein maman, je suis le roi ? Mais oui, mon chéri tu es le roi ».
On va chercher la mère de Dominique Pélicot pour mieux lui pardonner ?
Mais, l’âge adulte, il sert à quoi alors si c pour entériner les vieux acquis inébranlables.
« Oui, je t’intronise mon fils », pendant que l’aînée « c’est une salope, elle m’a volé mon mari ». Sombre bordel dont je suis hors.
En passant et essentiel :
Merci chaleureux à Paul Edel et Janssen J-J pour l’hommage rendu le 11 novembre aux combattants de la Grande Guerre de 14.
Et
Plus jamais ça.
Christine : bravo.
Et laisse la s’appeler Imogene, crénom
https://www.instagram.com/reel/C_Q7idSoPJi/?igsh=MW5zaHpiNXZuNzQ0Mw==
Eh oui. Ce sont les mères qui font les fils. Crénom.
Et démerdez-vous, je ne suis pas là.
Attendez qui vous voulez,
https://www.instagram.com/reel/DBRS2ZJyo8_/?igsh=c3pjZXkyMmk3cXdt
Bon jeudi.
Ni ramadan.
Ni Janoukka.
Ni Christmas pudding.
Cette chance infinie d’aimer les hommes, telles qu’ielles sont.
« D’après ce que j’en sais désormais, il me semble que l’appellation « jeune sociologue bourdieusien » est quelque peu redondante, tant la sociologie ne peut plus se dissocier de Bourdieu,… etc, etc… » (Clopclop)
…Euh, non ! Rien…..!
On ne rit pas !
faute de grammaire, lire
Et présenté comme cela, il faut bien reconnaître que les enjeux scientifiques, philosophiques, et les réflexions que fait naître la lecture du roman Cabane de A Quentin ont une autre envergure intellectuelle que le père Montaigu
Le père Montaigu, pionnier du Mont Aiguille. On ne rit pas.
La rosse qui telle un sanglier retourne le champ et commentaires et au petit matin , c’est dévasté, quelle plaie.
Remarque sans doute absconce, ne regardant personne, si ce n’est moi-même, faite d’observation en observation.
Pardon. Ne pas lire si choqué/e ou âme hyper sensible.
Si la mère s’allie avec le fils pour enculer le père et que les représailles soient sanglantes (céphalées terribles, mal de dos autant).
Peut-être pas d’enfants ?
La remarque dernière doit être pour vous, Marie Sasseur. D’où l’alcoolisme.
La rosse, entre cachetons et bibine, fait des « commentaires » à son image, image qu’on a découverte grâce à d’autres: miche ( lol), sale, bête et méchante.
L’émission d’Augustin Hurt dur Fr5, dispo en replay, était globalement intéressante, sauf le grand chamane qui tirait une gueulé de 30 pieds de long, comme s’il était chargé d’annoncer la mort de Gaïa à la famille, lol.
Orsenna a présenté son bouquin, « la croisière ne s’amuse plus sur le Wonder of the seas échoué à Venise »
Consideres comme un symbole de la démesure consumériste , un de ces hôtels flottants était hier après-midi à quai devant le Mucem ,le Viking Saturn, et les passagers, des vieux , comme Orsenna, en grande majorité, regagnaient leurs cabines, dans un ballet de bus, après un grand tour en ville.
Finalement, il n’y a que A Quentin qui a parlé de joie, hier à la grande librairie, et c’était bien sympa.
L’émission d’Augustin Hurt dur Fr5
C’est la biscotte, le tel n’a pas aimé.
A rajouter dans la playlist
« L’attesa è una suspense elementare
È un antico idioma che non sai decifrare »
Je n’ai pas la télé.
Rose, si vous avez un ordinateur vous conservez la possibilité de regarder 7 chaines au moins, dont Arte, vous trouverez en Replay l’émission d’hier soir.
grand chamane qui tirait une gueulé de 30 pieds de long
J’ai regardé des fragments de La grande librairie, pas noté que Descola tirait une tête de 30 pieds de long.
Sur ce, direction un pays de l’eau vive, dont Giono, ecolo, a immortalisé la defiguration, non ?
https://fresques.ina.fr/sudorama/fiche-media/00000000150/jean-giono-a-serre-poncon.html
Giono, comme Godard…
( clin d’oeil pour les plus ecolos, qui connaissent la nature…)
« Adopte une rivière » , dit Orsenna, exalté avec son utopie pour neo maoris, le Droit accordé a des portions de territoire, ou fleuve comme en Nouvelle Zélande , comme personnalité juridique.
C’est fou, non ?
Alors qu’en France le Droit environnemental reste mal appliqué.
Sur les photos d’illustration tous les hommes regardent la mer
Langueurs et joies de la saudade
« Je suis un gardeur de troupeaux/Le troupeau, ce sont mes pensées/Et mes pensées sont toutes sensations »
Pessoa
« Ne pouvant m’adresser à la terre entière/je dirai un secret à l’oreille d’un seul »
Luiza Neto Jorge (1939-1989)
« Ce sont les mots croisés de mes rêves/Des mots enfouis dans la prison de ma vie/Et cela toutes les nuits du monde une seule et longue nuit/Dans une chambre solitaire »
António Ramos Rosa (1924-2013).
Quelques retours au fond du filet à provision de poissons (hommage @ Lanza del Vasto @ Nazim Hikmet – 14.11.24_8.55.
1 – Descola à la fin, avait la larme à l’oeil en lisant son message d’alarme au monde. Je voulais bien le remercier pour avoir partagé une commune émotion avec un ami qui ne trahit jamais, comme l’était Bruno L. – Qui d’autre de plus crédible que Ph. D, en dehors du pape, aurait pu lancer ce nouveau message solennel ?
2 – Non, CT, la nouvelle sociologie empirique n’est plus « bourdieusienne », même si tous les apprentis ont nécessairement assimilé cet auteur dans leur bagage intellectuel pour perpétuer une discipline hélas de plus ne plus vilipendée par les essayistes philosophes et autres experts du dimanche sur le zinc des chaines conservatrices (cf. Finkie à l’hache EC – terrible !). Nos apprentis doivent faire un effort supplémentaire pour s’en « déprendre », non point la déboulonner mais tenter de la dépasser en démontrant les limites de l’axiomatique des champs et de l’habitus, de la reproduciton et de la distinction sociales. Bernard Lahire peut certes les y aider, par ex., mais avec lui, ils seront toujours maintenus dans le paradigme de ce courant académique orthodoxe mainstream devenu bien confortablement embourgeoisé et un rien aseptisé.
3 – Je souhaite signaler, en outre, un « fait personnel » aux rapporteurs de l’Inserm : appartenant à la catégorie masculine française de la classe moyenne inférieure située dans la tranche (PCS des CIS bac+++) des 55-85 ans, je ne suis plus très actif sexuellement, et affecté au surplus par des troubles mnésiques s’aggravant (les deux faits ne sont en rien corellés).
4 – Je m’interroge sur l’amour porté à son mari par Katia Pringsthein Mann, qui lui fit six beaux enfants, tous plus intelligents les uns que les autres. Et comment ce grand bourgeois parvint à écrire ce chef d’oeuvre universel qu’est la Montagne magique. Même Colm Toîbin n’a pas réussi à en percer le mystère. L’émission d’Arte s’en est approchée, un documentaire magnifique, assurément. Un erdélien voltigeur semble avoir été fasciné par la trajectoire idéologique de Th Mann parti du bellicisme prussien élitiste de sa jeunesse et ayant évolué vers un pacifisme démocratique en vieillissant, à une époque où cela n’allait vraiment pas de soi en Germanie. Hélas, il lui balance le coup de pied de l’âne, désireux de ne pas choisir entre Naphta et Settembrini. Il n’a manifestement pas compris comment l’ambiguité sexuelle native et réprimée de l’écrivian avait pu être intimement articulée à son génie littéraire (autant ses forces que ses faiblesses) et surtout, à son indubitable évolution idéologique « positive » (my opinion). L’info sur la source d’inspiration des personnages de Claudia Chauchat et de Pfefferkorn dans la bio de Mann est passioinnante. J’ai trouvé la mondanité de la savabte Mme de Oliveira plutôt agaçante, tortueuse et si « française », contrairement aux témoignages des britanniques et allemands spécialistes, tellement plus décontractés et moins coincés.
5 – @ « pas mal de ciné, moins depuis que le tarif a augmenté d’un coup de 20%, et quelques bouquins. Ce blog » (r^zmag) /// Dans tout voyage intérieur sous les eaux d’un grangeon, il faut réémerger pour respirer en terre ferme, il y a des algues bien accrochées au rocher qui attendent, tendent la main, heureuses de revoir chaque matin une sirène bien vivante et splendide, s’aventurant à marcher un moment sur des aiguilles de pin d ela terre ferme avant de replonger au fin fond des fjords (FFF) chauds.
6 – la ville de Rouen a la chance d’avoir le jeune maire qu’elle a. Elle peut être assurée d’avoir affaire à un homme à l’égo modeste, de très bonne volonté et dévoué au bien commun. Bien sûr, on peut toujours faire part d’un sentiment trahi par l’émotion, et changer d’opinion, ie d’être démenti par des faits et attitudes pas très reluisants de sa personne publique. Ce n’est pas madame LePen de Montretout et ses sbires qui nous détourneront (le pognon de nos impôts) de penser autre chose.
7 – De toute façon, le vrai froid de novembre arrive avec beaucoup de retard au sein de l’année la plus chaude de toute l’histoire de la planète météorologique. Que voulez-vous ?
Bàv à tou.tes,es retou
L’homme qui aimait les femmes aimait aussi les hommes.
« La bisexualité d’Alain Delon était impossible à révéler » : une nouvelle biographie par Bernard Violet
EXCLUSIF. Auteur des « Mystères Delon » en 2000, le biographe Bernard Violet sort « les Derniers Mystères Delon » (Éd. Robert Laffont), une nouvelle version largement augmentée de son premier livre. Il y cite de nombreux témoignages sur la bisexualité de l’acteur. »
Si vous craignez le cancer de la vessie, voici quelques éléments utiles à ne pas négliger.
, je vais en alerter mon médecin traitant.
https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-de-la-vessie/Le-diagnostic
6 – la ville de Rouen a la chance d’avoir le jeune maire qu’elle a.
Et la radio publique France Inter de peser lourdement sur son étiquette « socialiste » à plusieurs reprises! En quoi la maladie de cet homme a à voir avec son positionnement politique sinon de faire pleurer dans les chaumières de la gauche victimaire?
France Inter insinuerait-il que le socialisme est un cancer, honneur de blog ?
Janssen J-J , vous êtes bien sévère avec Claire de Oliveira, remarquable traductrice de « La Montagne magique » car ce qu’elle a dit dans l’émission était nuancé,pointu, notamment sur le mélange de morbide, de macabre et de satirique, avec parfois des passages franchement bursleques. Relisez ses traductions des dialogues: il ont bien mis en évidence les antagonismes entre le jésuitisme de Naphta et l’idéal humaniste de Settembrini. Les dialogues sentimentaux entre La Chauchat et Hans Castorp sont admirablement dessinés et plus fidèles que l’ancienne traduction de Maurice Betez, pas mal du tout d’ailleurs… Le prof allemand de littérature interviewé , dans le document était excellent mais trop souvent coupé au profit d’autres participants qui n’avaient pas grand chose à dire. .Je regrette que l’émission ne se soit pas attardée davantage sur un aspect capital: la modernité du roman,elle choqua à sa parution en 1924 .Les nazis arrivés au pouvoir brûlèrent cette Montagne magique » et beaucoup de lecteurs refusèrent l’importance de la libido, tandis qu’un Brecht se mouqua violemment du « stoicisme esthétique » de Mann.
Pour d’autres critiques à l’époque , l’aspect danse macabre faustienne choqua sans voir que l’auteur ,avec cette guerre 14-18 , révisait ses anciennes positions conservatrices et nationalistes et alertait.IL découvrait le coté si inquietant et morbide de l’humanité
Enfin , peu de lecteurs à lépoque, comprirent de les conversations et controverses politiques(pas seulement Nahpta et Settembrini) formaient « une polyphonie dune futilité souvent comique » pour reprendre une expression de Claire de Oliveira. Enfin la place essentielle accordée au corps humain,s ses perturbations; tout le psychosomatisme qui règne sur le livre et sa philosophie choqua. la multiplication des questionnements de Thomas Mann sur le Temps, l’oisiveté, le désir sexuel omniprésent , la dilatation de l’Instant,la communion avec la nature, la neurasthénie,la démocratie malade, furent mal comprises.Dans cette émission, le prof de littérature,et le journaliste furent excellents dans le peu de temps qu’ils avaient, pour analyser combien les forces obscures anti-démocratiques étaient puissantes, fatales (notre actuel populisme nous le rappelle) et combien le glacis démocratique restait fragile.
de Pfefferkorn dans la bio de Mann est passioinnante.
Un des spécialistes de Mann affirme dans le docu que ce personnage solaire s’est suicidé en raison vraisemblablement de la dernière discussion avec H Castorp où il le questionne sur ses sentiments envers Me Chauchat, j’ai plutôt compris qu’il était condamné lui aussi en raison d’une autre maladie évolutive et qu’après un dernier raout ( la cascade qui perd son discours dans le vacarme des eaux) il met un terme à sa luxueuse existence après avoir pris le temps d’un dernier échange, il ne pouvait nourrir aucune illusion quant à sa liaison puisque la Chauchat de toutes façons était mariée, très jeune et belle quand lui était vieux, malade bien qu’immensément fortuné.
Aimez-vous Chateaubriand?
Patrick Corneau
FB.
Extrait de la correspondance entre Patrice Jean et Bruno Lafourcade que viennent de publier les éditions La mouette de Minerve sous le titre “LES MAUVAIS FILS – Correspondance choisie”.
Les “vrais lecteurs” se précipiteront, quant aux autres…
« une polyphonie dune futilité souvent comique »
une bataille d’idées, vaine comme la plupart du temps si l’on tient compte des forces du réel mais futile, je ne suis pas d’accord. D’autre part, Naphta me parait être un jésuite dissident, ne lui resterait de mon point de vue, du jésuitisme que l’art de la rhétorique pour tordre les fondamentaux et l’intelligence aiguë pour perdre ceux à qui il s’adresse.
Jazzi,
Cela signifie plutôt que la gauche à le cancer plus que courageux – faisons lui honneur – alors que la droite, le centre de progrès, les communistes par exemple, là on se pose la question!
Tout est dans la sémantique.
Bref, est-ce un véritable travail de journalisme d’ information, à une heure de grande écoute du matin, que de montrer aux auditeurs l’ exemplarité édifiante d’ un politicien – surtout de gauche et on y insiste – rédimé devant la maladie?
Il s’agit bien d’ un catéchisme partisan à usage d’ édification des masses.
– je reconnais PE, y etre allé un peu fort avec cl de oliveira. Excuses, mais il y a tjs des « intelligents » qui passent mal à l’écran… Je reconnais bien sur ma niaiserie à ce sujet. Cela dit, vous reprenez tous ses propos, Paul, et en ajoutez quelques uns d’intéressants notamment les les témoins qui en saluent la modernité actuelle, et pourquoi pas le caractère visionnaire pour les temps présents… Nous sommes OK, y compris avec Béré, c’était une très belle émission.
– HDB, moij non plus, MS, pas compris en quoi l’accent mis sur le « socialisme » de ce maire de rouen importait… Mais voilà, la chaine aurait manqué à son devoir d’impartialité si elle n’avait pas précisé ce « fait ». C’est pkoi votre fille, la petite bête demeurée, est restée muette.
– Jzm, excellente saillie, très drôle !
Bàv,
cela dit un maire du front national qui viendrait nous raconter la même histoire sur france inter, je lui rendrais hommage de la même façon… Mais ça ne risque pas d’arriver… de toute façon, je n’écoute pas les autres chaines boloré mais je suppose que MC et autres cl. ne manqueraient pas de nous le signaler. Merci,
@jazzi,
à usage d’ édification des masses.
Surtout que l’on a insisté, le maire et la journaliste* ( *lourdement) que les cancers étaient dû à la pollution de l’ environnement, bien sûr.
Hier ou avant hier, des scientifiques et médecins sur cette même radio publique d’ état spécifiaient bien que le cancer du poumon, celui des tabagistes, n’ était causé qu’à 15% par les pollutions. Là encore, fausse information favorisant l’ écologisme.
« le jésuitisme de Naphta et l’idéal humaniste de Settembrini »
On retrouve la même opposition dialectique dans la sanatorium de la RDL, Paul !
Est-il nécessaire de donner des noms ?
Il y cite de nombreux témoignages sur la bisexualité de l’acteur. »
C’est un bon argument pour la vente, il y a un public. L’invention de Delon réprimant
son homosexualité ! Je dirais bien que c’est n’importe quoi.
Jazzi, je vous vous bien en jésuite.
JJJ,
je n’écoute que France Inter, la radio publique.
Et de constater qu’ elle distribue autant de « fake news » que les radios privées par ignorance, préjugé ou militantisme.
Là se situe le problème.
« un maire du front national qui viendrait nous raconter la même histoire sur france inter »
ça ne se peut pas, JJJ.
Un cancer sur un cancer = pas de cancer du tout !
« un maire du front national qui viendrait nous raconter la même histoire sur france inter »
ça ne se peut pas, JJJ.Jazzi dit.
C’est tout le problème de l’ auditorat supposé de France Inter, gauche-écolo-lfi.
Cette attitude partisane qui est le fil rouge de la station sert de repoussoir vis à vis d’un auditeur lambda potentiel.
Le discours de La radio publique exprime implicitement le fameux : » pas de çeux-là chez nous! »
Propos typique d’ une droite extrême excluante.
Un trumpisme à la française nous pend au nez!
Que dire de « Au boulot » de Gilles Perret & François Ruffin ?
A la sortie de la projection, un mot m’est venu immédiatement à l’esprit : sympathique.
Mais à la réflexion, après m’être demandé si l’on pouvait faire de la bonne politique avec de bons sentiments, j’ai trouvé ce film très discutable.
D’ailleurs, le mot film en l’occurence n’est pas le bon.
Tout un plus un gentil programme de télé réalité.
Deux starlettes médiatiques, parfaitement semblables dans le fond mais que tout oppose dans la forme (ils n’ont pas le même fond de commerce), se retrouvent sur un plateau.
C’est un boy scout de gauche, tendance LFI, plein d’empathie pour les sans dents et les gilets jaunes, perpétuellement à la recherche de faire sa BA.
Elle est l’illustration parfaite de la connasse de droite, tête à claque, au discours sarkoziste-le-pénien, pour laquelle l’idéal se résume à la vie de jet setteuse et aux marques de prestige.
Flairant le bon filon pour son prochain film, notre député humaniste propose à l’avocate anti feignasses et assistés perpétuels de vivre avec le smig.
Elle accepte ce qui est en fait un fake contrat : il ne s’agit pas pour elle de réduire son budget mais de se mettre dans la peau de…
Et elle joue le jeu en partant au départ en talons aiguilles et se retrouvant à l’arrivée sur les genoux.
Non sans se remettre en question au passage.
Tandis que lui, qui ne cesse de dire qu’il ne s’agit pas de faire du tourisme social, ne fait finalement que ça.
S’en suit alors un tour de France de la misère du peuple, depuis les travailleurs précaires et immigrés, aux femmes seules et aux handicapés et autres accidentés de la société libérale de consommation…
Un film-catalogue où les problèmes ne sont que superficiellement abordés, sans analyse de leurs causes ni esquisses de la moindre solution politique.
Un documentaire où l’on voit très bien qui des deux protagonistes principaux instrumentale l’autre.
D’ailleurs Sarah Saldmann est virée à la fin pour cause d’irrécupérabilité socio-politique et Ruffin offre un pastiche de la noce chez les petits bourgeois (sous forme de tapis rouge cannois et champagne) à ses « misérables ».
Pas de quoi se réjouir ni applaudir…
instrumentalise l’autre…
Je sens que je ne vais pas me faire des amis sur Cinéma & Littérature !
Le bon lien
https://www.lelezarddeparis.fr/cinema-populiste
Personne ici ne serait capable d’être Jésuite. Les prêtres jésuites constituent, avec les sulpiciens et les dominicains, l’élite intellectuelle de l’Eglise.
Les Jésuites ont sans doute un quelque chose en plus : la pratique d’exercices spirituels très exigeants et révélateurs de la partie sombre de l’âme. Ils enseignent ces exercice et accompagnent dans leur pratique.
Non, vraiment, personne ici.
Continuez à en parler sans les connaitre si vous voulez. Ou cherchez à les connaitre et vous serez surpris, voire transportés.
« Dans cette émission, le prof de littérature,et le journaliste furent excellents dans le peu de temps qu’ils avaient, pour analyser combien les forces obscures anti-démocratiques étaient puissantes, fatales (notre actuel populisme nous le rappelle) et combien le glacis démocratique restait fragile. »
ouai c’est bien là le problème du journaliste et de la prof de littérature…
je ne sais pas s’ils manquaient de temps n’empêche qu’ils n’ont pas loupé l’occasion d’instrumentaliser le bouquin de Mann pour déballer leur propre idéologie.
pour nous pondre des banalités des enfponçages de porte ouvertes du genre « oui Thoman Mann reste un auteur d’actualité parce que ce bouquin nous rappelle que la démocratie c’est tip top » non, c’est pas possible !
D’ailleurs ce bouquin se moque de ces gens qui font des raccourcis de ce genre pour tirer la couverture à eux.
d' »ailleurs on ne souligne pas assez l’influence de Musil sur Mann et notamment sur l’usage de l’ironie que Mann a pompé chez Musil.
je pense même que c’est en lisant Musil que Thomas Mann est devenu ce qu’il est devenu parce que si on regarde le momment d’inflexion dans la MM ça correspond pile poil à ses premières lectures de l’HSQ, mais bon c’est pas grave, limite on s’en fout.
le problème c’est de voir une chaine comme Arte instrumentalise la Montagne Magique de Thomas Mann pour propager cette même propagande idéologique à 2 balles qu’elle nous balance tous les soirs !
et voir Paul Edel finir son commentaire par le combat de la démocratie contre le populisme limite c’est clownesque.
Paul Edel vous vivez dans vos livres, au dessus des cimes, de la canopée, dans votre sanatorium, si vous me permettez un conseil : restez-y !
parce qu’à chaque fois que vous revenez dans le monde réel c’esrt pour nous sortir des énormités.
autant vous êtes parfait dans le monde littéraire autant vous n’êtes pas fait pour la ré »alité.
La malle de Fernando Pessoa, elle contenait 27 543 textes, dont le Livre de l’intranquillité
https://via-hygeia.art/wp-content/uploads/2023/10/tumblr_nxumxzMto21qa53j3o1_400b.jpg
la MM comme l’HSQ ne sont pas des livres « autoritaires » (comme dirait Bouveresse) ce sont des romans au second degré : ils n’entrainent pas une « bonne façon » de réfléchir, ils sont une réflexion sur les façons de réfléchir, une réflexion sur la réflexion.
la première conséquence est qu’on ne peut en tirer aucune conclusion : la MM n’est pas un éloge de la démocratie ou d’autre chose, c’est juste un patchwork, une compilation, une somme de discours et de manières d’appréhender les choses sans jamais imposer de hiérarchie.
la chose intéressante serait de faire une étude comparative entre Hans et Ulrich, les 2 viennent du monde scientifique et rationnel, un est ingénieur l’autre mathématicien, dans les deux cas leur rationalité va être mise à mal, mais même quand elle touche à ses limites (rêve de Hans dans neige ou relation entre Ulrich et sa soeur) la narration ne bascule pas avec eux dans ces arrières mondes etc…
qu’importe ! ce sont des romans aiu second degré non écrit par des auteurs d’autorité ou autoritaires ça c’est sûr.
du coup lire la Montagne Magique pour au final en tirer la conclusion que la démocratie c’est mieux que l’autocratie je sais pas comment dire, c’est désolant.
en fait c’est désolant parce que ces romans sont par essence des romans « démocratiques », en multipliant les débats et les opinions etc…, les instrumentaliser pour faire de ces romans démoncratiques des intruments de la démocratie c’est juste une attidue autoritaire que ni Musil ni Mann n’auraient supporté.
sauf que cela correspond à l’ambiance actuelle.
comme dirait Gauchet nos sociétés vivent une grave crise de la démocratie parce que sous la pression de l’hyper individualisme elles ne font plus sociétés, du coup on se raccroche à ce qu’on peut, et en se raccrochant on abîme des choses qui ne devraient pas être abîmées par nos peurs : instrumentaliser la MM en fait partie.
The gift
Le Père-Lachaise est un cimetière jésuite, D. !
« Le succès de cette nécropole est sans aucun doute lié à la beauté du site. Au XIIe siècle, la colline sur laquelle s’étend le cimetière est un vaste terrain cultivé. L’évêque de Paris y possède des vignes et un pressoir. En 1430, ce lieu-dit, « le Champ-l’Evêque », est racheté par un riche négociant en épices nommé Regnault de Wandonne. Il y installe sa maison de campagne, la Folie-Regnault, dont une rue du quartier perpétue le souvenir. En 1626, les jésuites de la rue Saint-Antoine acquièrent la propriété pour en faire leur maison de repos. C’est de là que, le 2 juillet 1652, Louis XIV, âgé de 14 ans, assiste aux combats de la Fronde qui font rage dans le faubourg Saint-Antoine. C’est en raison de cette visite royale que la colline aurait, d’après certains auteurs, pris le nom de Mont-Louis.
Plus tard, le père François d’Aix de La Chaise, confesseur de Louis XIV depuis 1675, vient souvent s’y reposer. Il contribue largement, grâce aux libéralités du roi, à l’embellissement et à l’agrandissement du domaine auquel son nom reste attaché. En août 1763, après l’expulsion des jésuites, le domaine est adjugé à un nommé Gratin qui le revend à la famille Baron en 1771. En 1803, ruiné par la Révolution, Jacques Baron cède le domaine à la Ville de Paris.
C’est à Brongniart (1739-1813), l’architecte de la Bourse, que Nicolas Frochot, préfet de la Seine sous l’Empire, confie les plans de la future nécropole. A partir du jardin à la française des jésuites, celui-ci conçoit un nouveau type de cimetière mêlant étroitement parc à l’anglaise et lieu de recueillement. »
@ elle distribue autant de « fake news » que les radios privées
c’est possible, mais j’en voudrais des preuves, ou au moins des exemples édifiants… J’ai qd même remarqué que lorsqu’elle commet une bévue de ce genre par « suivisme » ou « intoxication par le privé alternatif ou les réseaux sociaux dela fachosphère soft, elle se « rattrape » et s’en excuse auprès de ses auditeurs. J’ignore ce qu’il en est sur les chaines bollorées… Je soupçonne que vous que leur reprochiez plutôt, à ces chaines dites du « service public » de ne pas mettre l’accent seraient supposées le faire les chaines privees, ce qui vous intéresse, vous, càd les réussites du trumpisme, du néo libéralisme, de l’autoritarisme, de l’anti wokisme, des faits divers sanglants cncernant les gens de gauche, la séduction du front national su rl’électorat majoritaire, mais surtout surtout leur sionisme invétéré, vu le nb de journalistes juifs qu’elles recruteraient plus massivement qu’ailleurs, etc… A ce compte-là, on peut tjs discuter de manière « objective », pas vrai ?
@ quant à punkt, toujours aussi arrogant et prétentieux… dans ses précès en bisounousisme des uns et des autres… Toujours le prétendu grain de sel supplémentaire péremptoire mais bien à côté de sa pompe, en se donannt des airs d’intelligence et de culture appronfondie… Du bluff…jamais étayé par quoi que ce soit. Genre infleucne de musil… On a lu ça partout, mais lui seul vous dira ce que la mère Oliveira n’a pas dit… Et puis, quel mal y a t-il à raccrocher la montagne magique à des préssentiments contemporains ?… Franchement, pourquoi tant de haines chez ceux qui n’y verront pas d’immpédiats effets d’instrumentalisaiton partant dans tous les sens ? Ce parfum de complotisme mis à toutes les sauces punkistes ne reflète-til pas en réalité le passage d’un gauchisme désireux de ne pas donner crédit à l’hypothèse d’un virage mal négocié vers le droitisme le plus extrême ?…
Indécrottable…, cette caricature du kon nArt à 2 francs cixous BGBG feignant de ne poht s prendre au sérieux tout en lambdacisant les gaudrioles d’un PP les plus réactionnaires et veules qui soient.
Meuh, perso, m’fera tjs un brin pitiéj, ce pauvre Punkt-JC, ce cul terreux d’extraction basse et de plafond du même akabi.
Bàv,
neurologue:
depuis quelques jours où j’ai rencontré l’expression dans un article,je ne trouve pas l’expression avoir les nerfs à BERLIN;quelqu’un peut-il m’éclairer?
Puck , la lecture d’une œuvre se transforme au fur et à mesure que son public se renouvelle. Cela dit, il est frappant de voir Mann défilant en Allemagne au moment de l’incendie de Reims sous l’écriteau » nous ne sommes pas des barbares! », et Mann après 1914 voire après 1940. Encore que Doctor Faust soit un beau règlement de comptes avec Schoenberg, par Adorno interposé !
tu devrais te relire, jj, mais à quoi bon ?… On s’en ouf comme l’amour, si ça n’imprime pas… L’importnat, c’est que tu puisses conserver ton impression du moment à l’égard d’un gros connard dans ton journal et de mettre au propre ta bafouille su run autre support, ailleurs… Ca ne regrade que toi et ta mémoire… Pour le reste, comprenne qui voudra… c moins important. Ca n’impacte pas la littérature érotique, deal reste inoffensif. Bàt,
Bàt,
@ anéfé, CT, j’en ai rencontré des grosses perverses narcissiques, j’avais d’ailleurs toujours cru qu’elles étaient majoritaires dans la société. C’est vous dire ! On en a d’ailleurs de merveilleux speciwomen sur cette chaine. A pluss, +++
D , votre Jesuitophilie vous perdra. Il y eut certes de Sts personnages, mais aussi, entre autres, un Stanislas du Lac, brocarde fort justement par Mirbeau. MC
@ etalii /// Avoir le NERD à BERLIN ?
Rencontrer une personne de race allamande à la fois socialement handicapée et passionnée par des sujets liés à la science et aux techniques ; binoclard.e, intello germanique, considérée comme infréquentable à cause de son manque de sociabilité et de ses passions par trop ésotériques.
Morales: Vous avez raison, il fut un temps , nous le connûmes, ou l’Agreg , le CAPES même, était synonyme de culture générale. Bientôt on en viendra plus qu’ à connaître les œuvres du concours…Avec la « pensée » dudit concours. MC
Mais l’amour, Jj j, c’est pas juste qu' »on s’en fout, si ça n’imprime pas ‘. Parce qu’on a beau faire dans l’indifférence à l’autre et le cynisme, ça imprime, ça imprime. pas forcément sur le papier, mais sur les nerfs, le cerveau, jusque dans les emballements désordonnés de coeurs qui battent la chamade, ça imprime. Mme pour celles qui n’écrivent pas.
JJJ . Oui, je trouve bon que cette Presse existe. Parce que la démocratie doit refléter toutes les opinions. Cela dit, non , je n’en suis pas les émissions, n’ayant plus de télévision. MC
c’est possible, mais j’en voudrais des preuves, ou au moins des exemples édifiants…JJJ.
Dès ce matin, concernant un fait banal qui devrait réunir tous les françaises et français amateurs de football. On annonce la présence au stade ce soir, vu la circonstance un eu tendue, du Pdt. Macron, du premier ministre en exercice et des deux anciens présidents de la république. Et qu’est-ce que l’on nous propose, JJJ ?
Je vous le donne en mille.
Un interview bien senti de votre ami Hollande! 🙂
Bonjour chez vous, il est bien chez lui celui-là!
En taule, Fifille aura tout le temps de se livrer à des exercices de jésuitisme. Elle se repassera en boucle des émissions de C8 en essayant d’oublier que Gonflette Zigheil, qui vient de publier un livre qu’il n’a pas écrit mais lu presque en entier, lui a volé la flamme du Partei familial.
peu,
une interview bien sentie,
Faudra signaler à l’AK-des-mis que leur dico en ligne n’a pas d’entrée ‘epizeuxe’ alors qu’on y trouve ‘polyptote’ et ses potes ‘anadiplose’, ‘antanaclase’, ‘épanalepse’ & surtout ‘épanorthose’
Il y a tromperie sur la marchandise vendue Quai Conti. C’est comme le Partei familial.
333
AK-334
(De la paternité des choses ; le Galil israélien tient du AK soviétique qui lui-même tient du … allemand)
(allemand > nazi)
(Sturmgewehr 44 ; la ressemblance mécanique est confondante)
ai appris dans l’émission sur Arte que Chauchat était aussi le nom d’un fusil mitrailleur, je l’ignorais, un peu amusé d’entendre que cela appuierait son côté femme fatale
En effet, Poussière!
Chez Soleil Vert, Christiane revient à La Montagne Magique par un itinéraire tortueux mais légitime. MC
Monsieur Court, auriez-vous passé quelques années dans un séminaire de la SJ ?
Si MLP est coupable, qu’elle soit justement condamnée. Que dire d’autre ? Ah oui ; qu’il est toujours sidérant de prendre pour ennemi son défenseur le plus ardent et compétent. Espérons que les décennies à venir n’aient pas à nous le prouver. Cependant cela semble bien mal engagé, hélas.
j’avais un battement de cœur, ce qu’on appelle des nerfs à Berlin ; la vie était épuisée chez moi, je marchais avec la crainte de tomber. Stendhal
voilà ce que j’avais trouvé
il faut avoir du coeur pour trouver le coaur,les néo nerds
le coeur
@ »@ quant à punkt, toujours aussi arrogant et prétentieux… (…) m’fera tjs un brin pitiéj, ce pauvre Punkt-JC, ce cul terreux d’extraction basse et de plafond du même akabi. »
3j on dit plus « cul-terreux » maintenant ceux qui votent pour Glucksmann disent « sans dents », donc il faut dire :
« il me fera toujours pitié ce pauvre …, ce sans-dent de basse extraction… »
et c’est ensuite qu’on ajoute :
‘toujours aussi arrogant et prétentieux blablabla… »
tu me suis 3j ?
c’est hyper important parce que si t’emploies le bon vocabulaire on comprends pas bien ce que tu es et ce que tu veau.
@ que si t’emploies le bon vocabulaire on comprends pas bien ce que tu es et ce que tu veau. (sic transit/intestinal)
écé le but du je … « Q terreux »- est pourtant resté dans le nouveau dico dédié à Makron, même si on le dit pu… Non, moi j’ai pas de traces d’amour pour vous !
Mes empreintes amoureuses sont plus anciennes et perdues dans les sables mouvants de la mémoire lymbique… Désolé. On est heureux sans le savoir quand on perd progressivement sa libido, on devient inoffensif et bienveillant comme une endive de chaville. Il faut le dire aux gens d’Eglise qu’on se rapproche mieux de dieu et des anges asexués. Bien plus érotiques que toutes les houris promises, mais jamais au rendez-vous sur les trottoirs des cieux, si t’arrives sans pépètes…
Bàv,
@ »la lecture d’une œuvre se transforme au fur et à mesure que son public se renouvelle. »
justement ! cette lecture donnée hier sur Arte permettait non pas de comprendre le bouquin mais ceux qui en parlaient.
exemple au hasard : la même émission il y a dix n’aurait pas insisté en guise de conclusion sur un Mann toujours d’actualité comme guide suprême vers la démocratie et l’humanisme.
en plus les allemands ont déjà eu Habermas pour leur apprendre à devenir démocrate du coup ils n’ont pas besoin d’autres guides.
sauf que là, le fait de chercher des types qui nous guident vers la démocratie, l’humanisme et le pacifisme pour les européens c’est comme chercher du gaz ou des mines de lithium : quand on en trouve on crie « hourra ! on a trouvé un sauveur de la démocratie et de l’humanisme européen, on est enfin sauvés ! »
sauf que ça ne marche pas parce que tous ces gens qui parlaient sur Arte sont tous des crétins comme 3j qui votent pour des pro guerre comme Glucksmann.
et croyez-moi Mr Court c’est pas Thomas Mann qui va venir sauver des tarés de pro guerre comme 3j, pedroù ou comme bloomy !
en fait c’est juste que ça ne marche pas comme ça parce que c’est juste que ça ne peut pas marcher comme ça.
l’Europe était un lingot d’or d’humanisme !
d’un côté on avait les russes qui partent en guerre.
de l’autre on a les américains qui dès qu’il faut faire la guerre ils sont toujours là.
et entre les 2 il y avait l’Europe avec ce trésor que représentent ces types comme Mann et autres.
et là on pouvait se dire que ces européens avec leur sagesse et leur humanisme hérité allaient tout mettre en oeuvre pour éviter une nouvelle guerre en Europe.
ben en fait non : non seulement cet humanisme européen n’a servi à rien mais en plus ces humanistes contient de vouloir en découdre !
ces humanistes européens n’en finissent pas de vouloir toujours plus de guerre, plus de morts, plus de massacres !
et là on a une bande d’abrutis que viennent nous dire sur Arte que Mann est le guide vers la démocratier, l’humanisme et le pacifisme ?
sérieux Mr Court je veux bien que les lectures évoluent en fonction des époques ou de je sais pas quoi mais là vous ne trouvez pas qu’on se fout un peu de la gueule du monde ?
sérieux ?
en plus Arte est avec le Guardian et Libé un des médias européens les plus bellicistes en Europe !
mais Mann mort en 1955 n’est pour rien dans toutes vos salades, mon pauvre ami !
Bikini Girls with Machine Guns
The Cramps – Tear It Up (Live – Urgh! A Music War)
Rions un peu
« Le Betar a été fondé en 1923 à Riga, en Lettonie, par le journaliste, militant et poète Vladimir Jabotinsky. Il tire son nom de la dernière forteresse juive que les Romains ont conquise lors de la révolte des Juifs des années 132-135. Il a donc été fondé avant l’État d’Israël (1948) »
Salut salut les rikiki minus
Haiku de notre ambass à Colombo
Par les rues de la ville endormie
Le pèlerin chemine sans répit
Hélas de ses chausses meurtris
Et surtout épanadiplose.
député humaniste propose à l’avocate anti feignasses et assistés perpétuels de vivre avec le smig.
Chez moi, c’est le SMIC.
« misérables ».
Pas de quoi se réjouir ni applaudir…
Jazzi
Analyse de film partisane.
Et là neutralité requise.
Au souri à votre
« Elle commence en talons aiguilles et finit à genoux ».
Je l’ai beaucoup aimée, moi, cette femme.
FOOT
Je ne regarde jamais le foot en tribune ou à la télé.
Certains vont regarder ce jeudi soir le match France-Israël pour voir si tout se passe bien ou non.
Je ne regarderai pas. Je ferai autre chose.
Demain , on nous dira si tout s’est bien passé ou non.
Back to basics
En 1926, Agatha Christie est plongée dans une crise personnelle. À tout juste trente-cinq ans, elle doit faire face à la perte dévastatrice de sa mère et à la douloureuse révélation que son mari, Archie Christie, souhaite la quitter pour une autre femme. Ce double choc la plonge dans une profonde dépression. Seule source de lumière au milieu de cette tourmente, sa fille Rosalind, âgée de sept ans.
Née Agatha Miller en 1890 dans une famille aisée, Agatha fait preuve d’un talent remarquable pour l’écriture dès son plus jeune âge (elle apprend à lire à l’âge de quatre ans). Elle épouse Archie, un pilote, la veille de Noël 1914. Ensemble, ils surmontent les affres de la Première Guerre mondiale. Leur fille, Rosalind, nait en 1919. Lorsque son mariage commence à battre de l’aile, Agatha a déjà publié cinq romans policiers à succès.
Alors qu’elle commence à se remettre de ses problèmes conjugaux, elle se jette à corps perdu dans l’écriture pour y trouver une forme de réconfort. Un voyage à bord de l’Orient Express aide à lui remonter le moral, mais c’est au cours de fouilles archéologiques en Irak, en 1930, que sa vie prend un tournant décisif. Elle y rencontre Max Mallowan, un archéologue plus jeune qu’elle. Ils filent le parfait amour & se marient la même année. Leur union aura comblé Agatha. Seule sa mort les sépara.
Dog ou Doug ?
Sur une radio française, on a diffusé des extraits du discours de la candidate démocrate (pour laquelle j’aurais voté) après la victoire de l’abominable Trump. Son mari, on le sait,se prénomme « Doug ». Elle remercie Doug et sa famille. Le traducteur maison de ladite radio a traduit « Je remercie ma famillle et mon chien* ».
(*dog, pour les personnes, peu nombreuses, qui ne connaissent pas cette langue)
Voilà bien un prénom parfaitement ridicuke.
Moi non plus je ne vais pas regarder le match France-Israël. Je ne savais même pas qu’il avait lieu, ce match.
Et c’est où que ça se jouera ?
Moi je préfère les Haiku du Lieutenant Colombo.
J’en ai besoin pour mon rapport.
Quand je vais raconter ça à ma femme.
C’est une voiture française qui marche très bien.
Tu aurais l’idée de te prénommer Dug, Pouck ?
Emojis
Toujours en retard sur tout le monde , je n’y connais rien en émojis. Les seuls que j’utilise parfois son ceux qui disent que j’aime ou que j’adore.
Récemment , j’avais écrit, un peu partout, des choses peu agréables sur Onfray, qui ont été diversement et abondamment commentées sur Facebook.
Un de mes amis (éminent universitaire, qui avait été reçu 3e à l’agrégation), met après mon scribouillage un émoji que je ne connaissais pas. Je fais une recherche pour interpréter l’émoji. J’apprends qu’il signifie « En colère ». Je m’interroge. En colère contre Onfray ou contre moi , Je lui pose la question.Il me répond des choses très (trop?) gentilles sur moi et me dit qu’évidemmment l’émoji était dirigé contre « cet abrut…d’Onfray ».
Ouf !
L’onosmatique pour les Crétins.
Doug, diminutif de Douglas, du clan épnoyme du South Lanarkshire.
Du moment que les insultes sont entre guillemets, on peut se les peemettre ! Youpi !
😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛😛
Douglas ? Comme le sapin ?
Puck personne n a dit que la Montagne Magique est une marche vers la démocratie..vous rêvez on parlait del évolution personnelle de Mann.. pour l ironie regardez les dates..Mann ecrit Les Buddenbrooks en 1900 et Tonio Kroger en 1903 et déjà l ironie pessimiste est présente alors que Musil écrit son premier roman en 1906 et bien qu ils s estiment mais ne peuvent être comparés l un reste réaliste rt l autre construit un laboratoire des possibles.
Moi aussi, je suis comme Bloomie, rudement content de ce qui arrive à Marine Le Pen. Cela va hâter le coup d’état qui enverra le présétron à Cayenne avec tous ses petits ramasse-miettes option suce-fiente, comme … Bloomie.
Ce sera bien. Ce jour-là, je serai content.
Dans le « Figaro » un article sur la correspondance entre Tournier (dont on parlait récemment) et un de ses amis de jeunesse, rencontré à Tübingen dans l’immediat après-guerre, puis devenu procureur à Stuttgart.
Toujours fascinant de découvrir que les écrivains avaient une vie qu’on ne soupçonnait pas.
https://www.gallimard.fr/catalogue/l-invention-de-l-ecrivain-par-lui-meme/9782073052452
@ éminent universitaire, qui avait été reçu 3e à l’agrégation
merci pour cette précision, digne de france inthère… Une 4e place à mon agreg n’y aurait pas eu droit de parole. Chez Anounaj non pluj, d’ailleurs…
@ L’onomastique me fait toujous penser à la masturbation solidaire chez les Chrétins, allez savoir pkoij … Tchin, cher rBl ! je vous mets une émo-enjoy compréhensib’ pour Tcharoule 😉
Bàv,
« Les petits maîtres des ‘Linguistes atterrés’ » 🙂
Paul Edel le matin :
« Dans cette émission, le prof de littérature,et le journaliste furent excellents dans le peu de temps qu’ils avaient, pour analyser combien les forces obscures anti-démocratiques étaient puissantes, fatales (notre actuel populisme nous le rappelle) et combien le glacis démocratique restait fragile. »
Paul Edel le soir :
« Puck personne n a dit que la Montagne Magique est une marche vers la démocratie.. »
@ »mais Mann mort en 1955 n’est pour rien dans toutes vos salades, mon pauvre ami ! »
d’abord même si j’étais pauvre je ne serais pas ton ami.
je parle de l’instrumentalisation de Mann.
d’ailleurs même Paul Edel le dit :
« Dans cette émission, le prof de littérature,et le journaliste furent excellents dans le peu de temps qu’ils avaient, pour analyser combien les forces obscures anti-démocratiques étaient puissantes, fatales (notre actuel populisme nous le rappelle) et combien le glacis démocratique restait fragile. »
Edel a raison.
sauf que cette démarche est hypocrite parce que ce média « Arte » qui diffuse cette propagande stupdie n’est pas ce qu’elle prétend être.
tu saisis le décalage entre le discours et le réel ?
De fait « zappage » est bien dans le dictionnaire de l’Académie.
Donc vous savez ce qu’il vous reste à faire.
en plus maintenant en Europe on instrumentalise la justice, on la politise pour empêcher les gens qu’ils jugent « infréquentables » se présentent aux élections.
les démocrates ont essayé de faire la même chose avec Trump.
ces tribunaux font avec Marine le Pen et Trump exactement ce que Poutine a fait avec Navalny.
ce n’est pas comme ça que les démocraties fonctionnent.
les démocrates ne peuvent pas gagner des élections en mettant leurs opposants en prison.
on ne soigne pas un type qui chopé la grippe en lui mettant une balle dans la tête !
« Analyse de film partisane. »
Il ne suffit pas de rejeter en bloc mon point de vue, rose.
Encore faudrait-il étayer votre jugement définitif à mon égard !
Le film de Ruffin est essentiellement le procès à charge de Sarah Saldmann…
et alii, si ce n’est pas une blague :
le voisinage immédiat de « nerfs » et « à Berlin » est fortuit et ne constitue pas un syntagme figé doté d’un sens spécifique (et mystérieux) — ni une allusion (un raccourci) du type « la mort à Samarcande ».
La phrase « j’avais un battement de cœur, ce qu’on appelle des nerfs à Berlin » signifie la même chose que « j’avais un battement de cœur, ce qu’à Berlin/en Prusse on appelle “des nerfs”/ce que les Allemands appellent “des nerfs” ».
Une même sensation deux causalités ou références physiologiques différentes selon qu’on parle français ou allemand.
Français-allemand : on ne s’étonne pas trop de la ligne éditoriale d’Arte quand on sait que BHL est président du conseil de surveillance depuis 1993 (et que les statuts de la chaîne ont d’ailleurs été modifiés tout récemment afin de lui permettre de le rester au-delà de la limite d’âge).
rose, prenez exemple sur ce que me dit une commentatrice de Cinéma & Littérature à propos du film de Ruffin :
« Catherine Dprtes
Meilleur(e) contributeur(ice)
Bonsoir, je trouve que vous avez la dent un peu dure. On peut apprécier ou pas et c’est tant mieux. On peut s’interroger et diversement apprécier la qualité du « film », le genre (tv réalité) mais dire que Ruffin est un boy scout « perpétuellement à la recherche de faire sa BA » me semble vache et réducteur. Il a fondé le journal Fakir (qu’on a le droit de ne pas aimer) dont l’équipe est composée essentiellement de bénévoles. Il est journaliste, a réalisé plusieurs films et est député. Le job d’un député ne se résume pas à brailler sur les bancs de l’AS et/ou être présent seulement le mercredi (quand la télé est là, filme et diffuse), c’est aussi d’être sur le terrain. Et Ruffin l’est, sur le terrain. Sinon, vous avez le droit de ne pas vous réjouir et ne de pas applaudir. Il m’arrive aussi d’aller voir un film et de me demander « C’était quoi ce truc ? » mais la curiosité au cinoche étant un joli défaut, je m’applique à n’être jamais déçue 🙂 Il en faut pour tous les goûts. Note perso sans méchanceté : le SMIC a remplacé le « smig » depuis les années 70 sauf erreur 😉 »
MËRCI,X.ce n’était pas une blague;d’ailleurs j’ai précisé!
bien sur, vous avez raison!
par moments,je sature entre « l’ouest » et l’ailleurs absolu, et ça tourne dans ma tête,
le photographe s’est sans doute souvenu de Giandomenico Tiepolo ?
MAGISTER
J’éprouve le plus grand respect pour la bête, ce qui m’amène à porter conseil à nos amis : attention à ne pas tomber en grappe dans le bocal à cornichons, camarades !
Tu peux être aide-soignante et être
une future directrice d’Ehpad. Ton profil me semble convenir : une plaie, sale, bête et méchante.
« Partout, la situation est catastrophique », dénonce un ancien directeur d’Ehpad en Eure-et-Loir https://www.lechorepublicain.fr/chartres-28000/actualites/partout-la-situation-est-catastrophique-denonce-un-ancien-directeur-d-ehpad-en-eure-et-loir_14595096/
Confrontée -trop- ces jours-ci, à une de cet acabit, je me demande vivement qu’elle maltraitance familiale et/ou institutionnelle peut conduire à vieillir ainsi : brillante, hypersensible, étonnamment intelligente et cultivée, et paraissant -je vais le réécrire- sale, bête, méchante, une plaie vive.
Je suis en passe de cesser là la collaboration.
La pauvreté, c’est un drame.
Le chauffage, c’est ce qui coule actuellement les EHPAD : pas encore mis en route dans celui que je fréquente assidûment.
Sébastien, Othilie, Enzo, Marc, Jacques,Pierre,Oriane, Isabelle, Patricia, Caroline ont quitté le navire, les uns après les autres.
La prime de fin d’année, 300 ou 400 € a été supprimée aux aides-soignants et ASH pour rééquilibrer les comptes.
Fini, il y a quelques jours, Souvenirs pieux de Marguerite Yourcenar.
Ai noté les conditions de sa naissance. Et sa filiation maternelle.
Je vais passer au père.
Le com. précédent s’adressant à MS n’est pas passé. J’attends.
Jazzi
Je fais vous répondre. Promis.
Beaucoup de boulot et forme éblouissante, je suis surbookée.
Je ne savais pas que Ruffin était journaliste.
Quelle engeance.
Comme les poux, non ?
(et que les statuts de la chaîne ont d’ailleurs été modifiés tout récemment afin de lui permettre de le rester au-delà de la limite d’âge).
L’horreur absolue.
Comme Jack Lang.
Je suis aux manettes, et j’y reste.
Moi j’ai la réponse, pour Thomas Mann et sa femme. Pour Tolstoï aussi et pour, à vérifier Robert Louis Stevenson.
Je la garde pour moi.
D’ailleurs, la date de cet expo. , je vous la donnerai lorsque l’Expo.sera finie.
cette expo.
Troubles mnésiques.
Cela commence ainsi, parfois à 45 ans.
Pourtant, je ne comprends pas : la méchanceté devrait prémunir.
« Cet été, nous sommes parties nous promener avec Patricia. Il fallait qu’elle prenne l’air. Elle a 94 ans, habite dans la même petite maison depuis plus de soixante ans, à l’ouest de Detroit, dans le Michigan. Elle a perdu la mémoire immédiate, celle des derniers jours, des dernières heures, mais pas celle de sa vie. Ce jour-là, le plus simple était de se rendre dans les allées de Fairlane, une ancienne propriété de l’industriel américain Henry Ford. Ce vaste manoir au bord de la Rivière rouge avec un parc tout autour est depuis longtemps ouvert au public. Le Versailles local. »
In Le Monde.fr
Sur les amerloques, pauvres, latinos, blacks qui votent pour le riche blanc qui attrape les femmes par la chatte.
Une orthophoniste ultra-compétente peut accomplir un excellent boulot pour travailler la mémoire immédiate. Pas de souci, la vieille mémoire reste.
À Détroit, en Amérique, ils ont perdu la vieille mémoire, lorsque les grandes usines ont fermé, qu’ils se sont retrouvé au chômage, ont brûlé leurs maisons, après les champs de coton, et sont partis en Californie comme dans les Moissons du ciel.
Sans doute oublieras-tu que tu violes ma vie privée, constamment.
Moi pas.
Louise
Ah mais c’est très bon ça
Je ne sais pas pourquoi les lycéens sont fiers de l’incorruptibiluté de leur jury…
Anyone ?
C’est comme le schimili, le schimilimili, le schmilblick
Lire: incorruptibilité
Le prix Castel vient d’être attribué au Syndrome de l’Orangerie de Grégoire Bouillier.
C’est quoi, ce prix ?
C’est un prix chic !
Le Prix Castel 2024 est décerné à Grégoire Bouillier pour son roman, Le syndrome de l’Orangerie, publié chez Flammarion. « Il est récompensé pour la modernité de son art, l’alliance de la nuit et de la lumière, et la grâce joueuse de son style », a partagé le jury. La remise de la récompense littéraire est prévue ce 13 novembre 2024, chez Castel. Ce prix, doté de 5000 euros, récompense un roman français de la rentrée littéraire.
Le jury du Prix Castel est composé de : Emma Becker, Claire Berest, Vincent Darré, Étienne Gernelle, Eva Ionesco, Marc Lambron, Justine Lévy, Jean-Noël Pancrazi, Abnousse Shalmani, et Gaël Tchakaloff.
Le lauréat du Prix Castel se voit remettre une carte de membre de Castel, ce qui fait de lui, pendant une année entière, l’invité privilégié de ce lieu emblématique, accompagné de la personne de son choix. Une plaque gravée à son nom est également apposée dans la bibliothèque de Castel. Cette année, une nouveauté s’ajoute aux récompenses : un Ex-Libris personnalisé, conçu par Ex-Libris Paris, est offert au lauréat.
Co-fondé par Castel et Carole Chrétiennot, le Prix Castel distingue un roman, qu’il soit écrit par un auteur jeune ou confirmé, que le jury imagine bien à la table de Jean Castel. Le prix évoque les fêtes mémorables de Castel, où artistes, écrivains, figures du monde de la mode et du cinéma se retrouvaient, animant les nuits de Saint-Germain-des-Prés et de tout Paris. Des soirées mythiques, rassemblant les personnalités les plus emblématiques de ce quartier parisien légendaire.
Les deux premières éditions ont couronné, en 2022, Catherine Millet pour Commencements (Flammarion) et en 2023, Arthur Dreyfus pour La Troisième Main (P.O.L).
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