de Pierre Assouline

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La République des livres
En attendant Cecilia

En attendant Cecilia

Il n’y pas que Godot qui se fasse attendre. Lorsque l’être aimé se fait attendre, on s’en remet plus naturellement aux Fragments d’un discours amoureux : solennité du moment, perte du sens des proportions, mise en place d’une scénographie, angoisse d’attente, reproches virant à la colère, hantise de la sonnerie du téléphone, assignation à l’immobilité dans un lieu, crainte du malentendu, sentiment d’irréalité… On retrouve un peu du Roland Barthes des Fragments d’un discours amoureux, du moins dans ce que ses observations ont d’universel et d’intemporel, dans Tes pas dans l’escalier (Tus pasos en la escalera, traduit de l’espagnol par Isabelle Gugnon, 256 pages, 22 euros, Seuil ), le dernier roman d’Antonio Munoz Molina (1956, Úbeda, Jaén).

Un appartement en plein coeur de Lisbonne. Un homme sans importance récemment licencié par son entreprise, attend sa femme Cecilia en compagnie de leur chienne Luria. L’emménagement est récent, aussi met-il à profit ses heures d’attente pour en peaufiner la décoration et mettre une ultime touche aux moindres détails. L’écrivain arrange son roman à la manière du narrateur agençant sa nouvelle maison- et inversement. Il aménage l’esthétique de leur quotidien. C’est d’autant plus important que son antihéros est un solitaire qui a besoin de se tenir à une certaine routine et de se consacrer à des tâches domestiques pour conserver son équilibre. A cet égard, ce roman est aussi un éloge permanent de la beauté que peut receler la vie ordinaire dès lorsqu’on s’y attarde. De quoi illustrer sans forcer une fameuse réflexion de Pascal :

 « J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.( Pensées, 139 « Divertissement », 1669.)

A ceci près que l’homme pascalien n’attend rien alors que le narrateur du roman guette des pas dans l’escalier- et des pas qui se font espérer. Sa femme, neurologue spécialisée dans les troubles de la mémoire associée à la peur et aux traumatismes dans un laboratoire en lien avec le Pentagone, est retenue, accaparée par les décharges électriques qu’elle fait subir aux rats blancs et aux limaces histoire de voir le souvenir qu’elles en conservent. Elle le fait attendre, activité dont Roland Barthes disait :

« Prérogative constante de tout pouvoir, « passe-temps millénaire de l’humanité. »

Tout parait calme, si apaisé, si lent par rapport à la ville qu’ils ont quittée comme on fuirait une cité à la veille de la fin du monde, le Manhattan du 11 septembre encore plus frénétique, angoissé, hystérique qu’à l’accoutumée. Lisbonne se prête effectivement mieux à l’attente de l’apocalypse que New York qui semble déjà et de longue date y vivre en permanence. Au moins, quand elle embrasera le Portugal, ça surprendra. Il a tout le temps de se projeter dans ce qui sera leur nouvelle vie en se créant de nouveaux repères ou en ressuscitant d’anciens. L’auteur le reconnait : c’est l’histoire d’Ulysse et Pénélope, mais inversée. Quelques livres lui tiennent compagnie pendant son attente : les carnets de bord du capitaine Cook pendant son absence, l’histoire du tremblement de terre de Lisbonne de 1755 qui impressionna si puissamment Voltaire. Le changement climatique augmente l’inquiétante étrangeté de l’atmosphère. De plus en plus de tiques, de moins en moins de lucioles

Au bout de vingt pages, on se dit qu’Antonio Munoz Molina ne prétend tout de même pas nous embarquer pendant 52 chapitres intemporels à attendre avec lui la dissipation de l’absence ; ca ne tiendra jamais avec une histoire aussi fragile car on comprend vite que tout arrive sans qu’il ne se passe rien. C’est fou tout ce qui peut advenir dans un roman aussi immobile. Une apparente dystopie mais pas dans l’absolu. C’est justement la réussite de ce huis-clos littéraire à la première personne du singulier dont le temps est le personnage principal et la musique des silences, la bande originale. On gagne à le lire d’un trait. Le lecteur pressé se perdra à imaginer que c’est un roman sur rien alors qu’il regorge de réminiscences. Celles d’un antihéros à la recherche éperdue de traces du passé pour s’y sécuriser et pour méditer sur la vie de couple, l’un des axes de ce grand livre de la solitude que s’est voulu Tes pas dans l’escalier (quel beau titre simenonien, soit dit en passant). Munoz Molina, qui ponctue in fine la plupart de ses phrases à l’oral par un « non ? », est un homme qui doute. Il y a de quoi avec une femme aussi mystérieuse que la sienne, toujours prête à lui opposer qu’il n’est rien qui ne soit un effet d’optique et que dans la vie, tout est mirage.

 Il est de ceux pour qui la mémoire est la matière première de l’écriture littéraire, autrement dit de toute fiction. C’est peu dire qu’ici son narrateur en use, tout enfermé qu’il est dans sa bulle. Jusqu’au vertige ! De quoi conférer un halo hypnotique à son monologue qui résonne parfois dans un silence toxique. Passionné de Montaigne, de Robinson Crusoé et du capitaine Nemo, il entend faire de l’attente un art. Les messages de son enregistreur téléphonique sont autant de cailloux abandonnés là comme des repères dans ce monde qui en est dépourvu. On se demande parfois si on est dans Alfama ou dans Greenwich Village. Quant au narrateur, grand nomade sédentarisé, qui a remplacé le jogging le long de l’Hudson par la promenade le long du Tage, il est aussi paumé que nous. Mais lui, c’est encore pire car sa chienne paresseuse, fan d’Ornette Coleman et de Ligeti, est à l’égal de son maitre une contemplative.

Il n’arrête pas d’attendre perdu dans son obscurité intérieure et nous, pauvres lecteurs enchantés par cette servitude volontaire car le roman ne se lâche pas, nous attendons avec lui, nous sommes ses compagnons d’espérance dans le jardin suspendu de l’attente infinie. Peut-être après tout s’égare-t-il en plein fantasme dans un certain délire, et nous avec lui, même lorsqu’il nous embarque dans sa déambulation poétique au coeur de cette Lisbonne qu’il dit plus propice que d’autres villes à la quiétude. Celle-ci n’est pas un simple décor mais un élément-clé de l’histoire. Il en nait un certain malaise malgré la richesse et la fluidité de sa prose. Il s’en dégage une musicalité qui, de l’aveu même de son auteur, est inspiré de celle To the Light House (Vers le phare, Au phare, La promenade au phare, c’est selon, de Virginia Woolf.

Ce n’est pas la moindre qualité de ce thriller psychologique qui nous mène à nous interroger vraiment en fin de parcours sur la réalité de cette attente dans la mesure où, manifestement, son narrateur simenonien (Munoz Molina m’a dit avoir lu et admiré presque toute l’œuvre de Simenon, tant les romans durs que les enquêtes de Maigret) replié sur lui-même, perd pied progressivement et commence à s’éloigner du réel jusqu’à ne plus contrôler la réalité. Ce que c’est que de s’en être retiré (retired dit-on en anglais) sinon reformado comme disent les Portugais pour désigner les retraités. Quant à la fin du monde, rassurez-vous et ne vous hâtez pas de chercher la meilleure ville pour l’attendre : avec la crise climatique et ses débordements, elle est partout permanente. Celle-ci existe bien mais cet homme, et cette femme, et cette chienne ? L’existence de Lisbonne est vérifiable comme l’est la puissance d’envoûtement de ce roman à la maitrise impressionnante. Le reste…

(Photos Gérard Castello-Lopes)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

1 531 Réponses pour En attendant Cecilia

MC dit: à

Même s’il peut être l’occasion de belles confrontations, et de salubres remises en cause, ce Jubilé est surtout ce que les Papes ont trouvé de mieux pour remplir leurs caisses….

et alii dit: à

The Lizard King of Long Island
Jon Sperling secretly spread a non-native species across the Northeast. “It’s insane what this guy was doing,” a biologist said.

By Ben Goldfarb
yhe new yorker

Jean Langoncet dit: à

Doc Watson and Earl Scruggs Performing ‘John Hardy’

D. dit: à

Monsieur Jansène, mon petit frère se prénomme Mosha. Mosha Ricaud.

Jean Langoncet dit: à

Woody Guthrie~ All You Fascists Bound To Lose

Donnna Ricaud-Veyre dit: à

Monsieur D. Vous essayez de m’imiter ? Vous y parvenez très mal.

Jean Langoncet dit: à

Mercy Mercy Me (The Ecology)

Jean Langoncet dit: à

(Ruffin ? Gimme a break)

et alii dit: à

Le premier numéro d’En attendant Nadeau paraît le 13 janvier 2016.

et alii dit: à

let’s wait and see who is the first to come and play with Gerard,

rose dit: à

Ce n’est la peine de m’embaucher pour apprendre à quelqu’un à lire et écrire, je n’irai pas. Il y a deux classes que je n’ai jamais assumées : le CP et la terminale.

J’ai soixante sept ans et six mois, et je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie : c’est un fait.

Paul,
Moi aussi, j’ai un grand-père aimé. Mais, ils avaient le droit de se copier, vos parents, sur leurs cahiers, ou pas ? Je n’ai pas trop compris. Hormis ce livre que vous avez écrit, vous avez souvent raconté cette violence vécue lors du Débarquement, de la part des alliés américains, les bombardements détruisant Caen. Votre amour pour Rome, antique, je l’ai compris comme un lien direct avec cet événement de l’enfance.

Paul Edel dit: à

Rose, j’avais demandé à ms parents de ne pas regarder ce qu’écrivait l’autre, lorsqu’ils écrivaient les souvenirs du Débarquement, ce qu’ils ont fait.

Marie Sasseur dit: à

Billet:
« Passionné de Montaigne, de Robinson Crusoé et du capitaine Nemo, il entend faire de l’attente un art. »

Je ne suis pas persuadée que l’attente du Capitaine Nemo, gentleman extraordinaire, soit ce qui caractérise sa vie.
La vengeance, oui.

Janssen J-J dit: à

@ Les Henri sont ordinairement de fortes têtes (Chaville).
La Gigi évoquait votre copine, Henriette Chafoin…, souvenez-vous de Philippe H.
A des fins normalement polémiques, bien évidemment.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Henriot

et alii dit: à

rose,merci;
c’est impressionnant , ce haka, repris au stade et au parlement parce que c’est un cri identitaire

et alii dit: à

rose, je me souviens d’une personne qui avait dit sur ce blog être la seule de « son identité » ,et récemment Clopine semblait contente de s’être sentie différente;personnellement, je n’aurais jamais osé dire être sur ce blog la seule personne à *****

il s’agit donc de notre unicité: or, je crois à notre unicité;et
Nos cris sont uniques et reconnaissables à l’oreille humaine; c’est ce qu’affirme l’étude réalisée par l’Université Emory et publiée dans le journal PeerJ. Leur spécificité permettrait de définir notre identité personnelle et de déterminer leur origine. Par exemple, on crie différemment quand on voit une araignée et lorsqu’on se casse une jambe. (slate)
https://www.slate.fr/story/178968/cris-partie-identite-hurler-crier

Janssen J-J dit: à

merci pour cet étrange papier de Mohamed Mazouzi, universitaire (?) qui dégomme le Kamel Daoud à Alger dans El Watan.
Vous parlez de vengeance, MS ?… Mais de laquelle au juste ?…
Lui, il défend son pays et la juste cause de la réconciliation nationale basée sur l’oubli d’une tragédie dont le monde entier connaitrait tous les ressorts… Par ailleurs, on apprend que personne n’aurait jamais fantasmé le « bordel » des houris promis par Allah à ceux qui auraient désiré s’enrôler dans la guerre sainte contre les mécréants, avec des ceintures bourrées d’explosifs … Dont acte et bonjour pour le « niveau » des attaques envers l’ex confrère !…
Vu d’ici, on ne sait pas trop ce qu’en pensent ou en auraient pensé Tahar Djaout, ou Malek Chebel, et notre Tahar Ben Jelloun…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tahar_Djaout
On n’a que très peu d’info sur ce que pensent les intellectuels algériens mal à l’aise avec les « années de plomb »… Mais ce n’est certainement pas dans ce papier pro Tebboune qu’on en saura plus.
On attend toujours ici avec impatience le pendant du rapport des historiens algériens en réponse à celui de Benjamin Stora… A-t-il même été écrit ? Mais comme le dit Mazouzi, il faudra peut-être attendre 200 ans comme en France pour en savoir plus sur le « génocide des Chouans » vendéens ? Et entre temps, Daoud aura été buté, et Mazouzi aura sauvé son pays du déshonneur…
Voilà comment on (r)écrit l’histoire à chaud et à forid, comme aurait dit Paul V !…

Bloom dit: à

« Mr Wilder et moi » , excellent roman

Il y a chez Coe une envie de partager des histoires singulières, des ambiances et des personnages attachants, une vision du monde amusée et parfois grave mais jamais pesante, qui constitue une grande bouffée d’air frais dans l’ atmosphère considérablement raréfiée qui prévaut depuis des lustres de ce côté-ci du Channel.

Chaloux dit: à

Pauvre crétin de Gigi la visqueuse, Tahar ben Jelloun est franco-marocain.

et alii dit: à

unicité:
la première photo est cele d’ un homme seul(semble-t-il) et la dernière, comme annoncée par la première,d’une ligne d’hommes comme « semblables »,par leur habillement, leur vélo, leur tenue ,appuyés contre le miret à regarder

Janssen J-J dit: à

T’ai… Henriette Chafoin est de retour !… Bonjour à elle.
Et que je le sais bien… chère amie demeurée… Mais dites nous donc : TBJ ne devrait-il rien penser de ce qu’il advient dans l’histoire des pays voisins à l’ouest du sien, ou à l’est, en votre chère Libye martyrisée par la France ?
Il était bien inutile de sortir de votre CDBF pour si peu, je pense… Vous allez finir par y retourner avec vos insultes itératives envers le blog de notre hôte… Et ce serait bin dommage pour l’erdélie qui vous estime tant pour la profondeur de vos réflexinos littéraires, musicales et politiques. Elle a encore beaucoup à apprendre de votre heureuse vision du monde à venir dessinée par votre cher Donald Trump. Ne la décevez pas… Vous faites ombrage à votre ami Escrobar 75. Faites comme lui, ignorez-moij.
(17.11.24_10.16)

Chaloux dit: à

Gigi, je ne peux pas t’ignorer, pas plus que Bloomie le volatile préhistorique. Vous êtes tellement minables que vous faites ma joie.

Janssen J-J dit: à

A la bonne heure… henriette !
« Que ma minable joie demeure » n’est pas une oeuvre de Vivaldi, me semble-t-il…
Super, Allison Balson, merci Renato, c’est un divertimento fort agréable à écouter ! Bàv.

Chaloux dit: à

Oui, la Gigi, je maintiens que le nom de Tahar ben Jelloun cité dans ton post est d’un crétin, voire d’un abruti, pour toutes sortes de raisons qui ne peuvent que t’échapper. Tahar ben Jelloun a d’ailleurs donné son commentaire sur le Goncourt. Pauvre noeud-noeud, passe par la presse algérienne si c’est plus simple pour toi. (Incroyable que tu aies exercé la moindre fonction universitaire quand on voit ton niveau général. Tu devais remplir la machine à café ou déboucher les ch…, et encore).

Chaloux dit: à

En lisant les commentaires de certains ici, j’ai souvent l’impression qu’ils sont le chant du cygne d’une génération (45-60) qui ne peut plus voir devant elle et s’enfonce résolument dans la nuit.

MC dit: à

Très curieux éditorial d’ El Watan , qui mobilise entre autres une influence américaine de surcroît (!) issue des explications issues des controversées Colonial Studies pour tenter de dégommer Daoud et de le frapper de mensonge. On a beau se dire que ce n’est pas un chef d’œuvre, ce genre d’argument porte à faux. Quant à l’algerisation du Bon Arabe de service, c’est un argument totalement superfétatoire. Il s’agit aussi d’un auteur de langue française, quoi qu’on en pense. ( Et je pense qu’ à part Moha le Fou, il n’y a pas grand chose à sauver. Ses domestiques restés au pays, peut-être.,,,

Marie Sasseur dit: à

Je crois que TBJ s’est plus exprimé sur le Sahara Occidental que sur la qualité littéraire de ce texte qui n’en a aucun et pourtant prix Goncourt, non ?

Marie Sasseur dit: à

sur la qualité littéraire de ce texte qui n’en a aucunE.

Chaloux dit: à

Tahar ben Jelloun s’est exprimé sur ce Goncourt et son utilité internationale selon lui.

Marie Sasseur dit: à

En attendant, je salue les quatre qui ont refusé de se plier à cette mascarade.

Mimi Pinson dit: à

Paul Klee.
« Feuille de souvenir d’une conception », 1918
Aquarelle, gouache et encre de Chine sur papiers tissés, montés sur carton ; 25.7 x 16.8 cm.
Musée Norton Simon, Californie.

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Janssen J-J dit: à

@ Et je pense qu’ à part Moha le Fou, il n’y a pas grand chose à sauver. Ses domestiques restés au pays, peut-être (MC).
Pourriez-vous être plus explicite sur TBJ, juré du goncourt, SVP, lcé. Merci

@ Amel Blidi… Dans ce papier (vos liens deviennent passionnnants mpm, MS), une chose reste incompréhensible au deeuré que je suis bien volontiers… Quel est l’intéreêt de cette Saada Arbanez de vouloir à tout prix se présenter ocmme l’horoïne du roman de Daoud qui lui aurait volé l’ histoire qu’elle aurait éternellement voulu caché u monde ?…
Le ballot est bien obligé de se poser AUSSI cette question, indpendamment de la justesse de la cause de cette personne bien complaisante sous la plume de ce journaliste… A aucun moment, il ne prend la moindre distance, enfonçant la femme de Daoud pour viol de sercret professionnel (!!!!) et indirectement Daoud, lui-même.
Décryptons, décryptons ce scoop, plutôt que d’insinuer, une fois de plus, avec les converties au scandale de ce prix littéraire. Etc, – Merci, lcé. Bàv

Marie Sasseur dit: à

@ »Quel est l’intéreêt de cette Saada Arbanez de vouloir à tout prix se présenter ocmme l’horoïne du roman de Daoud qui lui aurait volé l’ histoire qu’elle aurait éternellement voulu caché u monde ?… »

???

Si Mme Daoud est co-scénariste du  » thriller  » de son mari, autant le savoir, déjà elle est pas gynécologue, ça c’est sûr…et ne doit pas non plus être médecin…

Janssen J-J dit: à

Mazouzi II. Donc, nous y voilà… Le traitre d’enfoiré passé dans le camp du grand Israël ! Merci MS pour ce nouveau lien !…
———-
(citons) Kamel Daoud ne semble pas bien informé sur le génocide des Palestiniens qui dure depuis plus de 70 ans. Son inconditionnelle allégeance à ses nouveaux maîtres ne lui permettra jamais de mordre la main qui le nourrit.
———–
Et donc… Le Point de FOG aurait pactisé avec Daoud pour en rajouter une couche sur l’horreur commise par le Hamas ? Eh bé !… tu m’étonnes. Hein ? Mme Daoud, donc une maïeuticienne qui accouche les esprits pour son mari. Du genre Socratesse sans le savoir, koi ! Bàv.

Jazzi dit: à

 » je crois à notre unicité »

La seule unicité de l’homme, n’est-ce pas la mort ?

« Pour moi, lorsque je vois un mort, la mort m’apparaît alors comme un départ. Le cadavre me fait l’impression d’un costume qu’on a laissé derrière soi. Quelqu’un est parti, sans éprouver le besoin d’emporter son seul et unique vêtement. »

(Fernando Pessoa «Le livre de l’intranquilité »(Bernardo Soares))

Marie Sasseur dit: à

J’ai posté des liens, et chacun en fera la lecture avec son niveau de compréhension… y compris le degré zéro.

Comme j’ai déjà posté une analyse littéraire d’une professeur de littérature, sur ce  » roman », qui était lumineuse et nécessaire pour démontrer cette mystification.

Je trouve cette affaire hyper toxique, bien révélatrice, pour finir, des propos tendancieux de M. Daoud dans les médias.

Et s’il a pu tromper son monde, je n’en ai jamais été.

Janssen J-J dit: à

Merci pour vos liens, quelle importance si nous n’en faisons pas les mêmes lectures, MS ? Inutile de tjs tirer la couverture à vous, comme si vous aviez l’exclusivité de ce qu’il fallait penser, à la lecture de vos liens… Un peu moins d’arrogance ne nuirait pas, je trouve j’estime. M’enfin, chacun est comme il veut bien se présenter icite… Chacun est autre chose ailleurs, bien entendu…
Nous ne réduisions, pnp, aucun erdélien au seul aspect qu’il veut bien donner de lui-même, aussi détestable soit-il. Bàv,

J J-J dit: à

La seule unicité de l’homme, n’est-ce pas la mort ? (jzmn, via FP)
J’aurais dit : « la seule caractéristique commune à tous les vivants, n’est-ce pas la mort »… définitive qui met fin à l’infinie diversité de leur stupidité commune… Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Je t’emmerde, là au moins exclusivité ou non, c’est clair et lâche moi les baskets.
Ce n’est pas ton blog même si tu fliques tout ce qui bouge ici.

Marie Sasseur dit: à

Pauvre naze, comment oses tu encore prétendre savoir lire, avec ton piteux cr de lecture de ce brûlot politique de Daoud; va t’essorer, tu fais trop serpillière.

MC dit: à

« Je t’enmerde » … « pauvre Naze » et autres gentilles piques, / Marie Sasseur ici n’est point académique…/

Janssen J-J dit: à

Vous surenchérissez dans l’insulte à l’HC, MS ?… Aurait-on touché un brin à quelque chose de sacré en vous ? Du calme…, voy’ons ! Vous vous déconsidérez une fois de plus auprès de « notre hôte » !… C dommage. Bàv

Damien dit: à

Sarkozy président ! Oyez, bon peuple, ce qu’il déclare dans une interview reprise par Figaro, mon journal préféré :

« Je suis un félin, je sors dans la rue, je sais en regardant autour de moi ce que la dame pense de moi. Quand je rentre dans l’avion, je sais si l’hôtesse a voté ou pas pour moi. Ce n’est pas de l’arrogance, mais de l’expérience », conclut-il jurant, après la diffusion d’un micro-trottoir l’appelant à se représenter, que ce n’est pas son projet. « Après les circonstances sont ce qu’elles sont. » FIGARO

Qui peut réunir la droite ? Qui peut soulever les masses avec un enthousiasme juvénil et populaire ? Qui peut séduire la ménagère de moins de cinquante ans ? Qui peut faire des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient ?
Vous avez deviné : Sarkon, qui dit qu’il y va peut-être. Lui, le spécialiste. Il va remettre la France au travail, comme Mussolini de son temps.
On dit que Hollande y songe aussi. Un beau remake du débat, où Hollande avait dit : « Moi, président… » devant un Sarko défait.
J’y crois.

J J-J dit: à

@ « Tu fais trop serpillère ». Par exemple : « Comme j’ai déjà posté une analyse littéraire d’une professeur de littérature, sur ce » roman », qui était lumineuse et nécessaire pour démontrer cette mystification » (bis).
Ben ouais… lumineuse, pour les verres luisants, en somme. Degré zéro de la démo.
Bof, c comme dab (distributrice automatique de biftons). Hello, on se kâââlm, le napââââlm !

D. dit: à

du livre du prophète Daniel

En ce temps-là se lèvera Michel, le chef des anges,
celui qui se tient auprès des fils de ton peuple.
Car ce sera un temps de détresse
comme il n’y en a jamais eu
depuis que les nations existent,
jusqu’à ce temps-ci.
Mais en ce temps-ci, ton peuple sera délivré,
tous ceux qui se trouveront inscrits dans le Livre.
Beaucoup de gens qui dormaient
dans la poussière de la terre
s’éveilleront, les uns pour la vie éternelle,
les autres pour la honte et la déchéance éternelles.
Ceux qui ont l’intelligence resplendiront
comme la splendeur du firmament,
et ceux qui sont des maîtres de justice pour la multitude
brilleront comme les étoiles pour toujours et à jamais.

Chaloux dit: à

Je n’insulte pas, je décris, c’est bien pis.

D. dit: à

Salve, Regína, Máter misericórdiæ
Víta, dulcédo, et spes nóstra, sálve.
Ad te clamámus, éxules, fílii Hévæ.
Ad te suspirámus, geméntes et flentes
in hac lacrimárum válle.
Eia ergo, Advocáta nóstra,
íllos túos misericórdes óculos
ad nos convérte.
Et Jésum, benedíctum frúctum véntris túi,
nóbis post hoc exsílium osténde.
O clémens, O pía, O dúlcis Vírgo María

x dit: à

Mention bienvenue de Fanon dans la 1ere partie de l’article « nouveaux tirailleurs » d’El Watan.
Quelqu’un (d’autre que moi) a-t-il lu la biographie rédigée par Adam Shatz, Frantz Fanon Une vie en révolution, parue en mars dernier (très peu de temps après la v.o.) ?
En a-t-on parlé ici ?

J J-J dit: à

Merci de m’avoir rendu hommage, D (aniel). Je suis prêt pour entrer direct au paradis. J’espère que vous m’y suivrez peu de temps après… J’aimerais avoir des nouvelles plus fraiches des poules de Chaville. Bàv,

J J-J dit: à

Non, pas encore. Voilà le CR critique qu’en avait fait MS (?) en début d’année, si mes souvenirs sont bons. Mais je peux me tromper, petite x…
(CC – Frantz Fanon, Une vie en révolutions d’Adam Shatz… La vie de Frantz Fanon se lit comme un thriller de la décolonisation et de la guerre froide. Elle est aussi un témoignage essentiel des bouleversements politiques et intellectuels du XXe siècle. Après avoir combattu en Europe et en Afrique du Nord dans les rangs de la France libre, puis suivi à Lyon des études de médecine, Fanon, jeune psychiatre martiniquais charismatique et talentueux, publie à seulement 27 ans Peau noire, masques blancs, ouvrage prophétique qui s’imposera avec le temps comme un irremplaçable classique. Il approfondit son expérience clinique au centre hospitalier de Saint-Alban en Lozère, berceau d’innovations thérapeutiques qui marqueront profondément sa recherche d’une psychiatrie désaliénée au service des humiliés. Cette quête de la désaliénation, il la met à l’épreuve de la situation coloniale lorsqu’il est muté à Blida en Algérie, à la veille de la guerre de libération. Il s’engage alors corps et âme dans le combat anticolonial, d’abord à Tunis où il met ses compétences médicales au service du Front de libération nationale (FLN), dont il devient l’un des porte-parole, puis en tant qu’ambassadeur itinérant du mouvement en Afrique subsaharienne.
Fauché par une leucémie foudroyante au moment même où paraît son livre le plus célèbre, Les Damnés de la terre, Fanon meurt le 6 décembre 1961, à l’âge de 36 ans, laissant derrière lui une œuvre qui suscite depuis soixante ans une multitude d’interprétations et d’appropriations créatrices.
Servie par la plume élégante d’Adam Shatz, cette biographie politique et intellectuelle s’impose comme un ouvrage de référence. Retraçant avec minutie et délicatesse l’extraordinaire destin de Frantz Fanon, l’auteur montre pourquoi le révolutionnaire martiniquais, dont la pensée entre en résonance avec nos questionnements contemporains les plus brûlants, est aujourd’hui lu et célébré dans le monde entier (fin de citation)…

Une critique pque pour ma part j’avais trouvée un brin trop dithyrambique, et par suite, laissée de côté. Bien à vous,

J J-J dit: à

je n’insulte pas, j’en sense au contraire les tas de draps… oups.

et alii dit: à

Car ce dont Barthes parle et que lui révèle la Photographie du Jardin d’Hiver n’est pas la Mère, pas même sa mère, mais un individu unique auquel le lie l’élection d’une relation singulière par laquelle se manifeste cette universelle forme d’amour à laquelle, pour finir, il donne le nom démodé de «Pitié».

et alii dit: à

« Barthes vise dans la petite fille de la Photographie du Jardin d’Hiver l’«être unique» avec lequel tout individu est susceptible d’entretenir le commerce d’une affection vraie. »

Bloom dit: à

La Gazette de Chaville, gros titres:

Noël annulé – on a retrouvé le père.
Pâques aussi – on a retrouvé le corps.

Bloom dit: à

C’est Mapine Lareine qui l’dit – L’est innocente, not’ bonne ministre de la kultur, c’t’une harcelée, elle aussi, poursuivie par les méchants juges rouges.
Mais quelle époque, Jésus-Marie-Joseph, les gens honnêtes peuvent même plus vivre de leur honnêteté ! `
Et pis 900 000 euros pour 900 h de travail à rien faire, moi aussi j’aurais pu aussi si j’aurais voulu. Pas parce que j’ai eu 4/20 en philo au bac que j’ai pas compris les fondements de la pataphysique des mœurs politiques !
Dis, Steve, tu m’mets tout ça en chti, stp?

Chaloux dit: à

Rappelons que 365 millions de chrétiens sont persécutés dans le monde.

B dit: à

Quel est l’intéreêt de cette Saada Arbanez de vouloir à tout prix se présenter ocmme l’horoïne du roman de Daoud qui lui aurait volé l’ histoire qu’elle aurait éternellement voulu caché u monde ?…

Des cas comme le sien ne doivent pas se rencontrer dans tous les cabinets de psychothérapeute, convenez-en et ce ne serait pas le premier écrivain qui se voit reprocher d’avoir utiliser une biographie sans l’accord de celui à qui cette vie appartient.

B dit: à

utilisé.

Chaloux, ces millions de chrétiens représentent-il la totalité des chrétiens ou une partie seulement?

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf fait de nouveau preuve de lâcheté, mais à quoi s’attendre, venant d’un vieux qui « attend » h24 sur un blog , utilisant plusieurs pseudos, pour paraître moins seul ?

En attendant, Saada cause, depuis sa canule, et en français.

https://youtu.be/MPIz8YEgBwE?feature=shared

Marie Sasseur dit: à

Ce Goncourt 2024 entrera dans l’histoire, enfin pas celle que reecrit M. Daoud.

FL dit: à

* Le mot « bananophobe »

Bloom dit: à

Les évangélistes américains, grands trumpistes devant l’éternel (8 sur 10 ont voté pour lui), vous connaissez?

« Les plus forts soutiens à la politique actuelle du gouvernement israélien se trouvent parmi les chrétiens évangéliques américains. À partir d’une lecture littérale de la Bible, ils dénient toute existence d’un État palestinien. Leur vision est à la fois créationniste et eschatologique : il faut hâter l’arrivée de la Fin des temps. Elle n’est pas philosémite : au terme, les Juifs qui ne se sont pas convertis au christianisme seront détruits ».
Denis Lacorne, Etudes, janvier 2024
etudes_26640.pdf

Passage savoureux:

(…)
Prenons l’exemple de Jerry Falwell, le plus fameux des fondamentalistes américains, le fondateur de la Liberty University à Lynchburg, en Virginie. Falwell – comme Robertson, Hagee et d’autres – était un prémillénariste. Selon lui, tous les événements observés de son vivant étaient les signes avant-coureurs d’un avenir certain qui prendra place au Moyen-Orient et qui atteindra son apogée avec la bataille d’Armageddon. L’histoire du monde est déjà écrite dans l’Apocalypse de Jean (Ap 16, 16), elle est irréversible et seuls les born-again christians et les Juifs convertis (un tiers des Juifs) seront sauvés. Mais avant même la Grande Tribulation, qui aboutira à la bataille finale (précédée par l’« enlèvement » des vrais chrétiens), il y aura des petites tribulations qui, elles, ne sont pas irréversibles. Ainsi, si les Américains agissent aujourd’hui et se comportent en vrais chrétiens, « Dieu […] nous permettra de devenir une nation libre […] et d’échapper aux tribulations14 », explique Falwell. Le 11 septembre 2001 était horrible, mais c’était une punition divine contre les mœurs dissolues des New-Yorkais. Il convenait donc de prier encore plus pour protéger le reste de l’Amérique de pareilles mésaventures, pour échapper aux malheurs des petites tribulations… Falwell, comme l’a bien montré l’anthropologue Susan Harding, envisageait ainsi un moment bref, pendant lequel les chrétiens agiraient de façon positive pour protéger l’Amérique du pire, en multipliant les conversions… Ces actions pouvaient prendre place à l’étranger, lors de voyages touristiques dans les lieux saints, en Israël et en Jordanie. Un tour leader choisi par Falwell n’hésitait pas à cacher de petites bibles dans le sable du désert pour hâter la conversion des Juifs au moment proche et inévitable de la Grande Tribulation, précédant la parousie du Christ.

Les évangéliques ne sont donc pas les philosémites que l’on imagine. Leur univers eschatologique prévoit la destruction des deux tiers des Juifs… Et c’est pourquoi, lorsqu’ils discutent avec leurs amis israéliens, ils évitent de faire état de la Parousie, ou même de mentionner le nom du Christ. Mais il convient de souligner que les Israéliens qui collaborent avec les évangéliques ne sont pas dupes. Ils agissent en pragmatistes : le soutien des sionistes chrétiens leur est utile, car ils améliorent l’image d’Israël, tout en contribuant à l’économie touristique du pays, avec près de 300 000 visites annuelles de touristes motivés par leur foi évangélique (…)

FL dit: à

Pour l’instant c’est quand même moi qui suis atterré. J’ai fait un tour aux Invalides pour retrouver un peu d’équilibre. L’harmonie classique c’est revigorant.

B dit: à

Ils agissent en pragmatistes : le soutien des sionistes chrétiens leur est utile, car ils améliorent l’image d’Israël,

A mon humble avis, l’Etat d’Israël ( son appareil) actuellement ne se soucie pas de son image qui par ces guerres engagées me parait un peu détériorée, je me demande vers quoi ce gouvernement s’oriente. Apparemment l’Iran a fait pression sur les états arabes environnants afin qu’ils réagissent, la destruction éventuelle des installations pétrolières saoudiennes a fait sortir du silence le prince qui vraisemblablement jusqu’à présent ne s’était pas senti concerné par le sort de ses frères palestiniens au point de s’exprimer.

et alii dit: à

BANANOPHOBE.CESt une pathologie, non!!j’en ai connu une qui alla chez un psy pour la traiter!

et alii dit: à

B
J4AI CONNU UN HOMME venu d’amérique latine :pour aller chez Lacan:il avait découvert que son psy, dans son pays, avait publié son cas,ce dont il enrageait

et alii dit: à

SVP,est-ce que l’enfant d’une mère juive et baptisée à la demande de sa mère est encore considérée comme juive?

et alii dit: à

ce n’est qie plus tard que la mère que je « connais »m’a dit qu’elle ne voulait pas qu’on dise qu’elle était juive;comme elle me demandaiy de la prése,ter à un érudit juif, hébraisant et qui avait fait une belle carrière universitaire, sans se renier, j’ai refusé de la présenteret pris mes distances avec elle;je la trouve trop culottée, même si c’est pour ses affaires;elle a donc 2 FILLES baptisées

et alii dit: à

elle me demandait de la présenter;

et alii dit: à

j’ai oublié une virgule,avant
et baptisée :c’est l’enfant , une fille

et alii dit: à

dans l’histoire de DAOUD? L ECRIVAIN,on peut se demander qui est, initialement ,demandeur du récit!

MC dit: à

A noter , dans le témoignage de Saada une phrase capitale ; « Je n’ai pas fini le livre ». Daoud si, à tous les sens du terme. On remarquera qu’il y a trois semaines, le même bruit de copie frappait le mauvais Grégoire Bouiller en son opus sur Monet. Mais l’œil de Sasseur ne s’égarait pas dans Le Figaro….

FL dit: à

« SVP,est-ce que l’enfant d’une mère juive et baptisée à la demande de sa mère est encore considérée comme juive ? »

Tant que vous n’avez pas donné de définition au mot « juif » on ne peut pas répondre.

et alii dit: à

dans le cas évoqué, la mère étant juive(famille bourgeoise italienne)géfiniyion « commune », traditionnelle avant guerre

Marie Sasseur dit: à

et alii dit: à
dans l’histoire de DAOUD? L ECRIVAIN,on peut se demander qui est, initialement ,demandeur du récit!

Sa femme ?

et alii dit: à

traditionnelle:wiki dit: lequel est défini comme Juif tout individu « né de mère juive, ou converti au judaïsme et ne pratiquant pas une autre religion ».
un bébé baptisé à la naissance en france

Marie Sasseur dit: à

Le MaCaque alcoolique, qui se branle encore sur mon pseudo, est abscons, mais surtout dément, à tout mélanger dans une confusion mentale infecte.

Pour Bouillier, que j’ai lu, dans ce recit horriblement mal écrit, cela ne m’étonnerait pas du tout
qu’il fasse l’objet d’une plainte de la part de la reprise de justice avec laquelle il a correspondu, comme il l’explique très clairement dans cette autobiographie.

et alii dit: à

en attendant vos délibérations:
Pour le professeur Joseph Mélèze-Modrzejewski
Patricia Hidiroglou
? Pourquoi la famille juive ? Parce que la famille a été l’une des préoccupations du juriste, historien du droit antique et papyrologue qu’est Joseph Mélèze-Modrzejewski.

Quelques parutions, alors qu’il est un tout jeune assistant puis professeur à la Faculté d’histoire de l’Université de Varsovie (1952-1958), montrent déjà la curiosité en ce domaine : « Les mariages entre frère et sœur dans l’Égypte grecque et romaine » (1955), « Le droit de la famille dans les lettres privées grecques d’Égypte » (1956). S’il a suivi alors la voie toute tracée par ses maîtres, les professeurs Georges Manteuffel et Raphaël Taubenschlag, le climat politique le force à quitter avec femme et enfants sa Pologne natale (1958). Ils s’installent en France et c’est à Paris, auprès de Louis Gernet et d’Henri Lévy-Bruhl, que, boursier de la fondation Ford, puis chercheur au CNRS (1958-1972), il évolue, poursuivant ses recherches en sociologie juridique et en histoire des institutions grecques et romaines.
https://books.openedition.org/psorbonne/74979?lang=fr

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Mademoiselle Sasseur. Foutez-moi la paix avec votre Daoud. Vous faites une fixation.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Georges Clooney est beaucoup plus intéressant que ce Daoud.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

j’ai souvent l’impression qu’ils sont le chant du cygne d’une génération (45-60) qui ne peut plus voir devant elle et s’enfonce résolument dans la nuit.

Monsieur Chaloup, j’allais le dire. Vous me l’avez presque volé.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

En particulier le charentais Janssène.

Marie Sasseur dit: à

Donne haricots verts ? Le vieux keuf alcoolique a encore changé son  » profil « , non ?

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Un ancien meudonnais, dit-on, qui faisait ses courses en tricycle à quadruple pignon et freins à disques ventilés. Bien que cette information n’ait pas été parfaitement vérifiée.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Monsieur René Maestre est un autre représentant de cette navrante génération.

renato dit: à

Mieux vaut être un navrant que d’agoniser dès la naissance comme la merde émétique, c’est-à-dire Donna Ricaud-Veyre.

rose dit: à

qui est, initialement ,demandeur du récit!

Sa femme.

Sa femme est à l’origine du dévoilement de ce qui constitue un secret médical.
Violé, donc.
Daoud double traître : à sa terre natale et à Saada.

Difficile.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

I am very shocking.

renato dit: à

Et pourquoi ? C’est vous qui avez choisi le rôle à jouer, et ce n’est pas de ma faute si votre scénario est nul.

B dit: à

Daoud double traître : à sa terre natale et à Saada.

On a encore le droit d’estimer que l’herbe est plus verte ailleurs . Pour ce livre que je n’ai pas lu, l’histoire de cette femme a pu constituer une source d’inspiration, ceux qui l’ont lu devraient pouvoir être en mesure de dire si ce n’est qu’un point de départ et si l’histoire s’écarte du parcours de cette victime pour aller vers autre chose .

rose dit: à

Ce qui est dit dans un cabinet de psychiatre et ou de psychanalyste n’a pas à se retrouver dans un roman auquel on attribue le prix Goncourt.

et alii dit: à

Toi que je ne sais pas où attendre et qui ne liras pas ce livre,
Qui as fait toujours leur procès aux écrivains,
Petites gens, mesquins, manquant de vérité, vaniteux,
Toi pour qui Henri Michaux est devenu un nom propre peut-être semblable en tout point à ceux-là qu’on voit dans les faits divers accompagnés de la mention d’âge et de profession,
Qui vis dans d’autres compagnies, d’autres plaines, d’autres souffles,
Pour qui cependant je m’étais brouillé avec toute une ville capitale d’un pays nombreux,
Et qui ne m’as pas laissé un cheveu en t’en allant, mais la seule recommandation de bien brûler tes lettres, n’es-tu pas pareillement à cette heure entre quatre murs et songeant ?
Dis-moi, es-tu encore aussi amusée à prendre les jeunes gens timides à ton doux regard d’hôpital ?
H Michaux Amours

et alii dit: à

MICHAUX
Énigmes
A Jules Supervielle

Ceux-là savaient ce que c’est que d’attendre. J’en ai connu un, et d’autres l’ont connu, qui attendait. Il s’était mis dans un trou et il attendait.
Si toi-même tu cherchais un trou pour quelque usage, mieux valait, crois-moi, chercher ailleurs un autre trou, ou bien à ses côtés t’asseoir, fumant les longues pipes de la patience.
Car il ne bougeait point de là.
On lui jetait des pierres, et il les mangeait.
Il avait l’air étonné, puis il les mangeait. Il demeurait ainsi pendant le sommeil et pendant l’éveil, plus que la vie d’un préjugé, plus qu’un cèdre, plus que les psaumes qui chantent les cèdres abattus; il attendait ainsi, toujours diminuant jusqu’à n’être plus que l’orteil de lui-même.

et alii dit: à

en chanson,l’histoire commune
Gilbert Bécaud « Je reviens te chercher » 1967 – clip officiel

et alii dit: à

mais qui demande de la transgression (du secret)qui semble la couleur de fond d’internet au point que l’on ne peut s’empêcher de penser que le secret ne se réduit pas ça qu’on vient de « révéler »(tout ça pour ça)et qui n’a été ramassé là que pour accrocher le client forcément déçu

et alii dit: à

ne se réduit pas à ça , mais qu’il a encore été éludé

et alii dit: à

Glossaire
Temps d’attente (Join time)

et alii dit: à

Il n’existe toujours pas au niveau international ou encore au niveau national un consensus sur la définition d’un temps d’attente de soins.

Méthode :
La définition de la notion du temps d’attente est complexe en soi. Pour le patient et sa famille, il correspond au délai qui s’écoule entre l’apparition des symptômes (ou le désir de consulter) jusqu’au traitement définitif. Du point de vue des professionnels de soins, le temps d’attente commence dès que le patient est reçu dans le bureau du médecin de famille jusqu’à la guérison totale de la pathologie traitée. Les instances gouvernementales, procèdent au décompte d’un délai d’attente à partir du moment où le patient consulte un médecin spécialiste jusqu’à la date du traitement .

Résultats :
Nous nous appuierons sur nos résultats obtenus dans les différents services du CHUM afin de pouvoir comprendre la complexité du parcours du patient dans le système de soins de santé d’une part et l’importance de la standardisation de la définition des temps d’attente dans le processus de leur évaluation.
https://www.inspq.qc.ca/jasp/clarification-de-la-definition-des-temps-d-attente

et alii dit: à

Ce qui est dit dans un cabinet de psychiatre et ou de psychanalyste n’a pas à se retrouver dans un roman

l’inverse est plus coutant qu’in ne l’avoue et que ce qui est écrit dans un roman se retrouve en consult psy

et alii dit: à

plus courant

JC..... dit: à

QUESTION

L’intérêt des échanges, standard salle d’attente, en République des Livres ?

Euh, non … Rien !

Marie Sasseur dit: à

« Houri, contre-enquête  » donne à voir la monstruosité.
Monstruosité de ce qu’a subi cette jeune femme de 30 ans, 30 ans ! au cours de la guerre civile algérienne , et monstruosité de la récupération  » romanesque », si elle est avérée.
Ne pas être explicite c’est laisser la porte ouverte à tous les patients de l’HP qui trollent sur le net.

Marie Sasseur dit: à

et alii dit: à
en chanson,l’histoire commune
Gilbert Bécaud « Je reviens te chercher » 1967 – clip officiel

C’est ça vieux tromblon, idem la vidéo déjà mise en ligne.

And now tout de suite c’est : je pars.

https://youtu.be/QOtyDDye_Ns?feature=shared

Marie Sasseur dit: à

Attendre patienter, espérer, des mots pour une gestion du temps un peu différente.
Bonne étude !

Jazzi dit: à

« les psaumes qui chantent les cèdres abattus »

Du Liban !

B dit: à

« Houri, contre-enquête » donne à voir la monstruosité.

Cette montée historique de l’islamisme en Algérie a été monstrueuse, ils egorgeaient les gens, villageois, un à un au sortir d’un bus sans épargner quiconque, hommes, femmes, enfants, vieillards ( exemple), elle fut un prodrome de ce qui s’est passé ensuite sous la même bannière. L’Amnistie a laissé en liberté des assassins , sont-ils tous repentis?

Marie Sasseur dit: à

@mais qui demande de la transgression (du secret)qui semble la couleur de fond d’internet

Quel bel effort de manipulation. Encore une fois !

Confondre secret et préservervation de la vie privée, faut pas déconner quand même.

Saada Arbane est une sportive, qui a eu des résultats en équitation , depuis lors son histoire personnelle avait déjà fait l’objet de demandes de  » publication », toujours refusées de sa part.
Jusqu’à une possible instrumentalisation ?. L’avenir le dira.
J’espère que cette jeune femme trouvera un bon avocat, plus compétent que son ancienne psy.

Des liens intéressants sur le net sur la prise en charge psychiatrique suite à la guerre civile, où une proportion importante de la population s’est retrouvée en état de stress post traumatique, et beaucoup ont attendu longtemps des nouvelles de disparus.

et alii dit: à

@Quel bel effort de manipulation.
là,de ma part, je n’ai fait qu’un pas ,qui n’est pas le premier sur la caractérisation sur le  »
zeitgeist l’air du temps » avec internet, les réseaux, les prix, etc
juste sur le chemin qui amène à penser que la réaction de la jeune femme est discutable, mais surement pas condamnable sur le fond , sinon sur la manière, sa voix si on peut oser le mot

et alii dit: à

zetgeist
on lit sur internet:soyez le premier à réagir, commenter;c’est le désir de « popularité »qui est autant suscité que condamné,bien plus que celui d’une « découverte »

et alii dit: à

et bien sur, désir de la « vérité »;

et alii dit: à

«Dans un état démocratique», il faut sans cesse redouter que le «désir de la popularité» ne pousse à recourir aux «mœurs vulgaires», s’inquiétait en 1800 Madame de Staël (dans De la littérature), dix ans après une Révolution française qu’elle saluait pour avoir instauré la «liberté républicaine» mais blâmait pour son recours à la violence et ses «crimes absous par le succès». Pointant le danger lié à l’irrépressible désir de pouvoir des individus, et pressentant l’indignité des populismes, qui recourent, en démocratie, à n’importe quels moyens pour séduire le plus grand nombre. Deux siècles plus tard, Covid-19 et désarroi planétaire aidant, force est de constater que le renaissant «désir de popularité» des partis d’extrême droite (sans projet social, écologique ou politique ni solution d’aucune sorte, mais cherchant par opportunisme à infiltrer mouvements dissidents ou complotistes) est en train de mettre sérieusement à mal ce qui reste de nos démocraties.
https://www.letemps.ch/opinions/desir-popularite-democratie?srsltid=AfmBOoq8BB4aFuKyWFXrSeXSVD-uo9zJACJQiJvmqF6f4srLvg3eE1g9

Marie Sasseur dit: à

@juste sur le chemin qui amène à penser que la réaction de la jeune femme est discutable, mais surement pas condamnable sur le fond.

Heu, c’est à quel sujet docteur Lecter ?

Elle n’a pas tweeté son histoire, et n’a pas de followers ?
Elle a refusé de se faire du blé ?

C’est quoi votre problème ?

Moi le mien, ce sont les prédateurs et les vampires !

et alii dit: à

un autre éclairage (écho au billet)
Et voici qu’au cours du XVIIIe siècle, et culminant dans la philosophie de l’histoire de Hegel, peut-être le premier grand philosophe de l’histoire – c’est-à-dire, pour qui l’histoire est le principe explicatif de tout le reste – apparait la notion d’époque, la notion de temps aussi, saisi comme la totalité d’un moment historique, dans l’expression fameuse de Hegel ; le Zeitgeist, l’esprit du temps cette unité de signification, cet esprit que le philosophe veut saisir et situer dans une histoire (…)https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-pourquoi-du-comment-philo/comment-hegel-a-t-il-invente-l-esprit-de-l-epoque-5885882

et alii dit: à

depuis une semaine, j’ai un nouvel ami, poils blancs et noirs; quans sa maîtresse me le passe ,de ses bras dans les miens, il me débarbouille à grands lancers de langue;et jappe;

rose dit: à

en état de stress post traumatique, et beaucoup ont attendu longtemps des nouvelles de disparus.

Le Pérou, l’Argentine, le Mexique.

Jazzi dit: à

Charles Dumont, encore un dont je découvre qu’il était encore en vie à l’annonce de sa mort !

et alii dit: à

3« Face à la cheminée, le téléphone, il est à côté de moi. A droite, la porte du salon et le couloir. Au fond du couloir la porte d’entrée. Il pourrait revenir directement, il sonnerait à la porte d’entrée : « Qui est là. – C’est moi.» Il pourrait également téléphoner dès son arrivée dans un centre de transit : « Je suis revenu, je suis à l’hôtel Lutetia pour les formalités. » Il n’y aurait pas de signes avant-coureurs. Il téléphonerait. Il arriverait. Ce sont des choses qui sont possibles. Il en revient tout de même. Il n’est pas un cas particulier. Il n’y a aucune raison particulière pour qu’il ne revienne pas. Il n’y a aucune raison particulière pour qu’il revienne… Il faut que je fasse attention : ça ne serait pas extraordinaire s’il revenait. Ce serait normal. Il faut prendre bien garde de ne pas en faire un événement qui relève de l’extraordinaire. L’extraordinaire est inattendu. Il faut que je sois raisonnable : j’attends Robert qui doit revenir… Je ne sais plus quand je me suis retrouvée devant lui, Robert. Je me souviens des sanglots partout dans la maison… » Marguerite Duras
https://lutetia.info/lexposition-3/lattente/

et alii dit: à

« Il y avait là auprès de moi, à Lutetia, où je l’ai souvent accompagné, un homme pour qui j’avais la plus grande vénération, c’était l’historien Jules Isaac, l’auteur des manuels scolaires. Sa femme et sa fille lui avaient été enlevées, il n’avait jamais eu de nouvelles, et il attendait… attendait. (…) Je partageais avec lui et avec ses fils la douleur de ne pas revoir celles qu’il espérait. Mais à ce sentiment se mêlait aussi la joie de savoir que ceux qui rentraient avaient tenu et que le régime hitlérien n’était pas parvenu à les achever, de sorte que je puisais dans ce retour des déportés une salubre foi dans l’homme [1]. » Jacques Madaule

et alii dit: à

POUR RESTER DANS L4HISTOIRE/
La longue table avait été installée le 20 octobre, en plein cœur de la ville, à quelques pas du quartier général de l’armée, comme une façon de matérialiser l’attente des 240 otages retenus à Gaza par le Hamas. Destiné à rappeler, jour après jour, l’absence pesante des hommes, des femmes et des enfants enlevés le 7 octobre, ce banquet fantôme est devenu le centre d’une intense activité. Soir après soir, des centaines d’anonymes passent ici afin d’être ensemble,
LE MONDE

et alii dit: à

l’attente exposée:
« Aujourd’hui, cela fait 900 jours que notre fille Cécile Kohler est otage en Iran. Neuf cents jours de souffrance, de privation et d’attente insoutenable », ont déclaré ses parents, Mireille et Pascal Kohler devant l’Hôtel de ville de Paris où plusieurs dizaines de parents, amis et élus étaient réunis.
https://www.france24.com/fr/info-en-continu/20241023-fran%C3%A7ais-d%C3%A9tenus-en-iran-900-jours-de-souffrance-de-privation-et-d-attente-insoutenable

MC dit: à

Sasseur, je me suis borné à constater que vous ne lisiez pas Le Figaro et aviez passé à l’as conséquemment la controverse sur Bouiller. Tout le reste de votre part ressort du vieux tromblon d’injures purement gratuites, lesquelles ont beaucoup servi, et , qui, n’en doutons pas, serviront encore…. MC

Marie Sasseur dit: à

« Sasseur, je me suis borné à constater que vous ne lisiez pas Le Figaro et aviez passé à l’as conséquemment la controverse sur Bouiller. »

As tu déjà lu pareil mange-merde ?

J’ai plus de chance d’éviter les gros bourrins en tracteur qui déversent leur fumier sur les routes, et leurs pesticides dans les nappes que d’écraser les merdes qui jonchent ce trottoir à ragots qu’est devenu ces espace commentaire.

_______

Pour le reste, ni Daoud, ni le torchon le point n’ont réagi à ce bruit de plus en plus persistant, venant d’Algérie, étonnant, non ?

https://actualitte.com/article/120390/international/houris-de-daoud-une-violation-de-mon-intimite-raconte-saada-arbane

Jazzi dit: à

@rose

Sur le site consacré au cimetière du Père-Lachaise, un contributeur évoque une personnalité défunte susceptible de vous intéresser.

« Je vais vous parler d’une femme : CONSUELO de SAINT-EXUPERY.
Cette femme est née le 10 avril 1901 en Amérique Centrale au Salvador.
Elle a fait de belles études supérieures d’arts plastiques des beaux arts de San Francisco, puis à la faculté de droit de Mexico.
Elle se marie une première fois en 1922 avec Ricardo Cardenas mais c’est un échec. Elle divorce moins d’un an après le mariage.
En 1926, elle se marie une seconde fois avec Enrique Gomez Carrillo mais il décède un an après en lui laissant un important héritage.
Elle voyage beaucoup. En 1930, elle rencontre Antoine de Saint-Exupéry à Buenos Aires. Ils se marient l’année suivante à Nice.
Le 31 juillet 1944, son mari Antoine disparait dans un accident d’avion en survolant la Méditerranée.
Elle apprend la mort de son mari par la presse. Elle se sent seule et désemparée et cherche du travail. C’est grâce à Salvador DALI qu’elle trouve un emploi de décoratrice en 1945.
Elle succombe d’une crise d’asthme en 1979 à Grasse et elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise auprès de son second mari, Enrique Gomez Carrillo.
Il est à noter qu’Antoine avait eu plusieurs femmes dans sa vie mais avait été marié qu’une seule fois et avant sa mort, il avait une relation avec Sylvia Hamilton, une jeune journaliste new yorkaise qu’il a rencontré au début de l’année 1942. C’est à elle qu’il avait confié ses écrits sur « le petit Prince ».
Consuelo de Suncin n’a pas eu d’enfant et elle lègue toute sa fortune et sa part sur les droits littéraires de Saint-Exupéry à son secrétaire José Martinez Fructuoso que beaucoup pense qu’il était son amant.
Elle était certainement au courant des relations extraconjugales de son mari et c’est l’une des raisons pour laquelle elle a voulu être enterrée avec son second mari.
En 2014, une chanson, CONSUELO, lui rend hommage dans l’album Alain Souchon & Laurent Voulzy.
Elle repose à la division 89.
Sur sa tombe, vous pouvez remarquer un papier qu’a laissé une personne qui est un dessin du petit Prince.
Le corp d’Antoine de Saint-Exupéry n’a jamais été retrouvé. Seule une gourmette a été repêchée sur laquelle était gravée son nom et celui de son épouse. »

Pablo75 dit: à

Connaissez-vous la « magie littéraire »? Si ce n’est pas le cas, achetez-vous « La Hyène du Capitole » de Simon Liberati et vous aurez un « manuel » pour la pratiquer.

« Avec le manuel de magie littéraire qu’est La Hyène du Capitole, Simon Liberati poursuit son œuvre majeure entamée avec Les Démons (Stock, 2020). »

https://www.editions-stock.fr/livre/la-hyene-du-capitole-9782234086456/

Janssen J-J dit: à

@ encore un dont je découvre qu’il était encore en vie à l’annonce de sa mort

Monsieur de La Palice, pas mort !… l’était encore en vie un quart d’heure avant.

@ « L’écrivain n’a pas encore réagi », mais il est toujours en vie, aux dernières nouvelles.
Bizarre, l’intitulé de cet itw pour parler du roman litigieux : « Les houris »…? iels l’ont bien lu, au moins, jusqu’à la dernière page ?

@ Thérèse & Isabelle, plutôt (VL, d’une vraie littérature) : « Isabelle m’embrassait partout. Elle me couvrait de décorations. Je l’accablais de médailles. Le printemps dans sa toison fraternisait avec le printemps dans ma toison » (p. 65, in version non coupée, 2024). Qu’en aviez-vous pensé, les féministes ? Pour moij, une re-découverte majeure !
Bàv (18.11.24_12.28)

Janssen J-J dit: à

@ elle lègue toute sa fortune et sa part sur les droits littéraires de Saint-Exupéry à son secrétaire José Martinez Fructuoso que beaucoup pense qu’il était son amant. (jzmn)
Phrase incompréhensible…. C’est au Père-Lachaise du ciemtère de Grasse ?…
Jzmn ????????????

Marie Sasseur dit: à

@Bizarre, l’intitulé de cet itw pour parler du roman litigieux : « Les houris »…?
C’est important ?

Non parce que si tu as bien lu l’ITW, la Houri est de sexe masculin, mais ça collait pas trop à la story du Goncourt, c’est évident.

renato dit: à

Le théme de mosaïque d’Asaroton * (sol non balayé), dans une maison privée dans la ville d’Aquilée, vers le 1er siècle après J.-C.

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5tDuzb-VAWDsgAUoHNSU5kdOdhH7IGBT8tHhMIBlVLCZoUKjJVAouwQV9AEY7-5pe_qOxNXUsF1DuWcDw_WKTkNIFpYIxx8yZw04UIFr_QEdfGapQ0NDALF72cVyMLYd6EWXb/s400/asaroton+Aquileia-ari+kokomosaico.jpg

Thème créé par le mosaïste hellénistique Sôsos de Pergame, qui a représenté avec de minuscules tesselles polychromes les restes d’un repas (épluchures, noyaux, morceaux de pain, arêtes de poisson, etc.) éparpillés sur le sol.

D. dit: à

Je t’en foutrais, moi, des pluchures éparpillées…

Janssen J-J dit: à

la Houri est de sexe masculin,

ah ouais ? non j’avions pas compris que les mecs fantasmaient la rencontre de 78 vierges de sexe masculin, après leur mission sacrée? Ben dis-dong !

D. dit: à

Biden est totalement inconséquent et incapable de comprendre qui est Poutine, à savoir une intelligence bien supérieure à la sienne.
Son inféodation totale aux lobbies militaro-industriel est écoeurante et rappelle Bush JR et l’Irak.

renato dit: à

Ce sont les restes de repas qui sont éparpillés, les épluchures ne sont qu’une partie du lot ! et sont d’ailleurs entre parenthèses. Mais je comprends que ce pauvre bougre veuille ainsi cacher sa stupidité.

FL dit: à

Ça serait bien de laisser quelques sites archéologiques debout au Moyen-Orient.

C’est notre patrimoine.

et alii dit: à

A L42POQUE DE LA GUERRE D’algérie,j’avais encore une amievenue passer son bac en france puis retournée à ALGER
maintenant, elle est traductrice et s’était mise au journalisme ,en israel où elle s’est installée et mariée;mais au temps de la guerre,nous nous écrivions tous les jours,et même plusieurs fois par jour, si bien que j’attendais le facteur toute la journée,seule, postée près de la boîte;

et alii dit: à

un proverbe français dit:
Qui se nourrit d’attente risque de mourir de faim. »
les retraités ne font qu »attendre, ou presque, et attendent la mort;

et alii dit: à

Le nombre de personnes qui font la queue en rêve est tout simplement faramineux. Il est impressionnant de voir à quel point cette propension fastidieuse peut être addictive et se répercuter dans nos songes ! Mais pourquoi ? Quelle attente est ici symbolisée ? Il s’agit d’une névrose de report. Cette propension est issue du sentiment d’abandon primitif qui nous induit encore en attente de notre place. Alors, nous faisons la queue, même dans nos rêves, par conditionnement, dans l’attente d’une délivrance, d’une reconnaissance ou d’une légitimité. L’attente, c’est l’enfer. De là à procrastiner, il n’y a qu’un pas.
https://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Queue

FL dit: à

L’intelligence artificielle contre les brouteurs. (Regardez la vidéo elle est hilarante.) Je ne sais pas si le mot « brouteur » est dans le dictionnaire vedette de la société commerciale en commandite « Le Robert » mais si on pouvait inventer le même genre d’IA pour lutter contre les wokes et autres linguistes atterrés ça serait une bonne chose.

https://www.bfmtv.com/tech/intelligence-artificielle/j-ai-tout-mon-temps-cette-grand-mere-creee-par-ia-est-chargee-de-rendre-fous-les-escrocs-par-telephone_AV-202411180385.html

Patrice Charoulet dit: à

Contrôle des gouvernants 

«Un tyran peut être élu au sufftage universel et n’être pas moins tyran pour cela. Ce qui importe, ce n’est pas l’origine des pouvoirs, c’est le contrôle continu et efficace que les gouvernés exercent sur les gouvernants. » (Alain, « Propos » 1910)

Exemples ? Hitler, élu, mais pas contrôlé.Trump, élu, mais qui aura tous les pouvoirs et ne sera pas contrôlé pendant quatre ans.

Bloom dit: à

Trump ….ne sera pas contrôlé pendant quatre ans.

Faux: 2 ans, mid-term elections/ élections de mi-mandat.
Le Sénat est élu tous les deux ans pour un tiers de ses membres, tandis que la Chambre des représentants est élue tous les deux ans pour l’ensemble de ses membres. Pour les élections au Congrès des États-Unis, le point de référence est le mandat du président. Il existe trois catégories de sénateurs américains ; chaque élection remplace une catégorie, de sorte que les « élections de mi-mandat » correspondent au tiers du mandat d’une catégorie et aux deux tiers de l’autre, tout en restant à mi-parcours du mandat d’un président.

Ne pas appliquer aux EU une logique qui relève de notre monarchie présidentielle.
On peut faire beaucoup de conneries en 2 ans, moins qu’en 4 ou pire, en 5.

Bloom dit: à

Le saviez-vous?
Teodoro Obiang dirige depuis 45 ans la Guinée équatoriale, un pays de 1,7 millions d’habitants situé sur la côte ouest de l’Afrique centrale. C’est le plus ancien président en exercice au monde.
Le pays est actuellement déstabilisé par une affaire de scandale mêlant sexe et politique.
Nous possédons une ambassade à Malabo (un ambass + 8 ETP), un IF (4 ETP) et un Lycée français (1 ETP).

FL dit: à

Bon la société commerciale Le Robert n’est pas en commandite. Je le note parce que sinon il y a des risques de se faire tomber dessus par les Atterrés. Mais je trouvais que « ça faisait bien le vers ».

rose dit: à

C’est extra. Il vous ressemble.

Christiane, chez Paul Edel.

Lorsque l’on soulève les strates, on retrouve l’enfant que l’on a été.
C beau Christiane !

poussière dit: à

« Qui se nourrit d’attente risque de mourir de faim »

quelqu’un m’avait lancé « dans un labyrinthe on peut mourir de soif », sans pour autant m’en indiquer la sortie… c’est loin maintenant

Marie Sasseur dit: à

@Encore heureux qu’il ne lise pas les commentaires ici.

Qu’est ce que cela changerait ?

La liste des diffamateurs ? a tendance à s’allonger, et en France, c’est bizarre.

La pauvre Saâda va se faire laminer. Par le marché. Réduite au silence pour de bon.

Et vous voudriez que l’on se fasse complice de cette négation pure et simple? tu déconnes Edmond.

Marie Sasseur dit: à

Monsieur Gallimard aura confondu  » Houri,
contre-enquête » avec  » Kamel, contre-enquête « , ce qui est tout à fait autre chose… et pour le peu qui est disponible en ligne, et ses nombreuses tribunes politiques, il n’a pas besoin de diffamateurs, il s’accuse tout seul, mol.

Marie Sasseur dit: à

Lol, alors que ce sinistre tribun est bien loin d’être un comique.

rose dit: à

Jazzi

G appris qq infos de ce que vous retranscrivez concernant Consuelo et je vous en remercie.
Dont Salvador Dali.
À Buenos Aires, Saint Exupéry avait deux vies : celle de pilote de l’Aéropostale. Un truc dingue : de port Saint Louis du Sénégal, ils ont d’abord traversé en hydravion jusqu’à Natale au Brésil. Mermoz y a laissé sa peau. Puis, sont descendus jusqu’à Comodoro Rivaderia. Puis ont traversé la Cordillère des Andes jusqu’à Santiago du Chili.
Une vie d’aventuriers casse-cou.
À Buenos-Aires où Daurat avait établi le siège de l’Aéropostale, j’ai visité l’appartement où Saint Ex.a écrit —- et où il mettait le bébé phoque dans la baignoire, ils faisaient la fête tout le temps et pas qu’un peu.
Antoine est tombé amoureux de Consuelo comme un fou. Faut dire qu’elle était adorable. Le soir de la rêception, il l’a invitée à faire un tour de survol de Buenos Aires dans son coucou. Et là, il a refusé de se poser tant qu’elle ne lui donnerait pas un baiser
Ce qu’elle a fini par consentir.
Ils se sont mariés à Agay, je crois pouvoir dire, elle en robe de dentelle noire avec un immense bouquet d’oeillets rouges.
Ils ont eu un amour tumultueux, lui, lui étant très infidèle.
Le Petit Prince, c’est Consuelo, l’inspiratrice.
Ils se sont tout le temps aimés au delà des turbulences.
Je ne crois pas que son secrétaire particulier ait été son amant. Mais son homme de confiance, j’en suis sûre.
Consuelo et Antoine, cela fut le grand amour.

rose dit: à

Merci Jazzi.
J’ai fait deux conférences payée 250_ chacune.
Ce connard de Sarko c’est de l’ordre de 200 000€, pour déblatérer.
La seconde, la présidente était lesbienne, âgée, très, et a cru qu’elle pourrait avoir une touche avec moi. Manque de Q.j’aime les hommes. Elle m’a salement démolie, enterrée, laminée. Au troisième lieu de conférence, un aérodrome local réputé, le responsable (président ?) m’a dit « je ne vais pas vous lâcher 250€ comme ça ».

Il a eu tort. Et moi, je ne me suis pas battue : je ne me vends pas. À la première conférence, dans la bibliothèque ancienne de Forcalquier, mes amis, quelques autres, une quarantaine de personnes, qui en sortant m’ont dit que c’était brillant.
Les mille euros concernés par ces quatre conférences, deux seulement ont eu lieu, faisaient partie de notre voyage en coucou de Toulouse à Dakar et servaient à financer des projets humanitaires, essentiellement destinés aux enfants des écoles. Les enfants, c le royaume ai-je dit à N.récemment.
La vieille lesbienne, elle m’a aussi cassée auprès de la responsable de la médiathèque de Château-Arnoux Saint Aubin. Alors que j’y étais connue comme le loup blanc pour y avoir animé le ciné-club du collège des années durant.
Je ne lui voue pas de rancune sur ce qui s’est passé. Je me souviens d’une dame très âgée à la fin de la conférence aux Mées qui était venue me dire « c’était formidable, merci ».
Sans elle, je n’aurai eu que le négatif.

rose dit: à

250€.
Les 500€ manquants, je jes ai donc payés de ma poche. Cela correspond bien à mon dédain.

rose dit: à

G fait deux trajets de l’Aéropostale : en coucou, celui de Toulouse à Dakar.
En bus, celui de Buenos Aires à Comodoro Rivadavia.
Il me manque la traversée de l’océan atlantique et aussi tout ce qui concerne la traversée de la cordillère des Andes. Oui.

Bloom dit: à

Donna Ricaud-Veyre dit: à
I am very shocking.

That is if you can’t tell your arse from your elbow.

J J-J dit: à

faut dire qu’en matière de fist fucking, il se pose là, le haricot vert poussé par les endives de chaville

et alii dit: à

rose
avez-vous lu:Donner un sens à l’existence – ou pourquoi le petit prince est le plus grand traité de métaphysique du 20ème siècle
Jean-Philippe Ravoux (Auteur)
https://www.cultura.com/p-donner-un-sens-a-l-existence-ou-pourquoi-le-petit-prince-est-le-plus-grand-traite-de-metaphysique-du-20eme-siecle-9782501082921.html
sa femme est (ou était,)ELISABETH RAVOUX
Méthodes de critique littéraire
De Elizabeth Ravoux-Rallo
Armand Colin
Collection U
ILS APPEL7RENT LEUR FILS ANTOINE,et leur fille Florence (l’italie du père delisabeth, que j’ai un peu connue, quand elle était prof a AIX? ENTICHEE DE PSYCHANALYSE,au point d’inviter un psy à son cours à la fac et faire suivre à ses élèves un cours d’un de ses copains, (avant son divorce )
je les ai « connus », tous les deux,avant son engouement à elle pour un féminisme assez politique militant (voir sa bibliogaphie)
https://www.hisler.fr/livre/46910-methodes-de-critique-litteraire-elizabeth-ravoux-rallo-armand-colin
https://www.babelio.com/auteur/Elisabeth-Ravoux-Rallo/337924

Damien dit: à

https://youtu.be/v97GTWm-8xI C’est la nouvelle chanson de Polnareff, « sexetcera » ou quelque chose comme ça. C’est pas mal : une resucée des années 70, une resucée c’est le cas de le dire : une chanson sur l’identité sexuelle, dont notre époque n’a pas le monopole, sachez-le. « Est-ce une quille ou un glaçon », comme disait Daho. Je me souviens ausi d’une roman de Boileau & Narcejac, ils aimaient les histoires floues, ces deux-là. C’était déjà comme ça à l’époque, bien avant les gender studies et Judith Butler. A l’époque on n’avait pas encore le Hamas, c’était le Fatah d’Arafat qui faisait sauter les avions israéliens et autres JO de triste mémoire… Les années 70 reviennent, merci Polnareff.

Damien dit: à

Pablo, vous êtes sûr que Simon Liberati écrit une oeuvre majeure ? Moi non. Il est sympa, le ouistiti junkie, l’alcoolo de service qui passe à la tévé dans un état à la Bukovski. Pour les lire, ces deux écrivains mineurs, il faut être en automne comme maintenant. Saupodrez de quelques pages de « Moi Christiane F… » et mettez un disque de Françoise Hardy et faites-vous sauter la cervelle avec votre arme favorite… Pablo, Liberati ça se savoure !

et alii dit: à

excuses, je crains que ma plus grande erreur ait été de signaler des livres

je crai,s que ma plus grande erreir ait été de signaler des titres de livres( de critiques universitares qui se donnent pour tels soit professionnels publiés)
et que cela dérange la « censure » du blog qui les rejette)

D. dit: à

Oh… doit-on dire à Patrice Charoulet qu’il y a une différence entre Hitler et Trump qui se compte en dizaines de millions de morts.
Sinon, c’est tout pareil, évidemment.

Pfff… le ridicule ne tue pas à Dieppe. Manifestement.

et alii dit: à

unis vers Cythère

Damien dit: à

Je croyais aussi que Ch. Dumont était mort. C’est pas trop tôt, selon moi. Comment s’appelait ce flic de série tévé allemande qui passait l’après-midi ? C’est excatement ça… Ah oui, l’inspecteur Derrick…

Marie Sasseur dit: à

Une unique dépêche AFP, reprise en boucle pour etouffer un scandale naissant, ou ce qui en a tous les attributs.
Les journaleux parisiens pratiquent la sous-traitance.

Moi, plutôt que la réponse lapidaire d’un chef d’entreprise, qui a un autre agenda économique que les petits lecteurs…
j’attends la réponse de Kamel à Saâda, vraiment, ce serait un chouette moment de réconciliation, non ?

rose dit: à

Vous attendez aussi que Gisèle se réconcilie avec Dominique ?

Marie Sasseur dit: à

Ah oui, ce serait un chouette moment, surtout pour ceux qui commencent à se demander si cette année le père Noël ne sera pas une ordure en déposant ce livre dans les godasses

Marie Sasseur dit: à

Allez, on va laisser à Kamel encore une petite semaine, avant de passer à la forme affirmative, simple.

MC dit: à

Mais même Courrier International est moins méchant que Marie Sasseur..,. MC

x dit: à

L’accusation de « plagiat psychique » (selon les termes de Camille Laurens dans la polémique qui l’avait opposée à Marie Darrieussecq) ne nuira probablement pas au livre, bien au contraire, en ces temps de littérature spectacle où l' »authenticité » est plébiscitée aux dépens de l’imagination (et de l’écriture).
Avant de savoir si l’appropriation (indue) est avérée, le roman primé a le temps de se vendre et son attrait pour les amateurs de « fiction du réel » et de littérature du trauma risque plutôt de s’en trouver renforcé (elle lui fournit une sorte de garantie). On ne serait pas autrement étonné que la courbe des ventes suive celle de l’indignation.

Reste le problème de « l’effet Streisand » lorsque des éléments de la vie privée de quelqu’un sont dévoilés à son insu et/ou contre son gré. Une fois le livre paru, le mal est fait et toute agitation aura le même effet que pour un malheureux pris dans les sables mouvants ; se manifester pour protester attire l’attention sur soi et ce qui a été dit de soi.

D’autre part, je crois avoir vu passer un commentaire (MS ? à moins que ce ne soit dans un des articles mis en lien ?) ridiculisant les capacités de ventriloque de KD (ça, le discours d’une femme ? très mal imité/inventé — quelque chose de cet ordre) ; si je ne l’ai pas rêvé et si K. Daoud se révèle en effet une sorte d’émule d’E. Reinhardt et quelques autres, je me demande quels réajustements seront nécessaires.

Marie Sasseur dit: à

Un grand féministe comme Kamel ne pourra pas laisser Saâda se débattre dans cette situation monstrueuse. Il faut toujours garder espoir, même s’il ne survivra pas au delà de la semaine.

Il a été évoqué un problème d’éthique à propos de cette affaire. Si les écrivains n’y sont pas tenus ? même si on aimerait bien que Kamel retrouve sa voix…Que dire des entreprises qui les éditent ?

Les consommateurs sont de plus en plus sensibles au bilan rse des entreprises.
Par exemple tu ne vas pas mettre des Nike dans la hotte du père Noël, sachant pertinemment que les conditions de fabrication étaient pour le moins opaques ?

Marie Sasseur dit: à

@(ça, le discours d’une femme ? très mal imité/inventé — quelque chose de cet ordre)

Non. Pas de cet ordre ni en ces termes.

Il s’agit d’une femme enceinte. Lisez donc !

Marie Sasseur dit: à

Quant au // Daoud/ Reinhardt, il vient naturellement très rapidement à l’esprit, lorsque cette histoire de Saâda a été publiquement présentée.

Sauf que Daoud n’a pas rencontré Saâda sur un site de rencontres, ni n’a été sollicité pour réécrire sa vie. Pire, in refus ferme et définit lui a été opposé.
Essayez de savoir de quoi vous parlez avant de faire des amalgames foireux.

Marie Sasseur dit: à

Pire, un refus ferme et définitif lui a été opposé.

Et alii dit: à

et son attrait pour les amateurs de « fiction du réel » et de littérature du trauma risque plutôt de s’en trouver renforcé (elle lui fournit une sorte de garantie). On ne serait pas autrement étonné que la courbe des ventes suive celle de l’indignation.
oui; je partage ce jugement!
et j’avoue ma curiosité pour le livre de K.D

Marie Sasseur dit: à

Je pense avoir très tôt indiqué que Daoud avait congédié l’histoire et la raison, pour privilégier le trauma et la psychologisation.
Je ne savais pas que sa femme était psy.

Marie Sasseur dit: à

J’ai donné assez de liens sur la décennie de guerre civile en Algérie. Y COMPRIS sur ceux qui l’ont racontée.

Maintenant, si comme le dit Daoud à la radio, française, l’histoire n’est pas importante, que voulez-vous faire devant cet abrutissement revendiqué pour ses lecteurs ?

Eh bien les considérer comme des imbéciles.
C’est tout.

et alii dit: à

la femme de KD EST PSY PROFESSIONNELLE ET l’autre était sa cliente:là est le noeud où ça se corse!

et alii dit: à

exemple de précisio;
ses confidences, partagées avec son épouse, psychologue, au cours de séances de thérapie. Saâda, qui a commencé à consulter la femme de l’écrivain en 2015, prétend que ce sont ces entretiens, où elle a ouvert son cœur à une psychologue pour tenter d’exorciser ses démons, qui ont été utilisés pour nourrir «Houris». Elle évoque une violation flagrante du secret professionnel et une trahison de sa confiance.

Marie Sasseur dit: à

@ »la femme de KD EST PSY PROFESSIONNELLE ET l’autre était sa cliente:là est le noeud où ça se corse! »

Ça se corse pour qui ?
D’un point de vue juridique c’est le seul fait susceptible de légitimer une procédure.

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