de Pierre Assouline

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La République des livres
En attendant Cecilia

En attendant Cecilia

Il n’y pas que Godot qui se fasse attendre. Lorsque l’être aimé se fait attendre, on s’en remet plus naturellement aux Fragments d’un discours amoureux : solennité du moment, perte du sens des proportions, mise en place d’une scénographie, angoisse d’attente, reproches virant à la colère, hantise de la sonnerie du téléphone, assignation à l’immobilité dans un lieu, crainte du malentendu, sentiment d’irréalité… On retrouve un peu du Roland Barthes des Fragments d’un discours amoureux, du moins dans ce que ses observations ont d’universel et d’intemporel, dans Tes pas dans l’escalier (Tus pasos en la escalera, traduit de l’espagnol par Isabelle Gugnon, 256 pages, 22 euros, Seuil ), le dernier roman d’Antonio Munoz Molina (1956, Úbeda, Jaén).

Un appartement en plein coeur de Lisbonne. Un homme sans importance récemment licencié par son entreprise, attend sa femme Cecilia en compagnie de leur chienne Luria. L’emménagement est récent, aussi met-il à profit ses heures d’attente pour en peaufiner la décoration et mettre une ultime touche aux moindres détails. L’écrivain arrange son roman à la manière du narrateur agençant sa nouvelle maison- et inversement. Il aménage l’esthétique de leur quotidien. C’est d’autant plus important que son antihéros est un solitaire qui a besoin de se tenir à une certaine routine et de se consacrer à des tâches domestiques pour conserver son équilibre. A cet égard, ce roman est aussi un éloge permanent de la beauté que peut receler la vie ordinaire dès lorsqu’on s’y attarde. De quoi illustrer sans forcer une fameuse réflexion de Pascal :

 « J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.( Pensées, 139 « Divertissement », 1669.)

A ceci près que l’homme pascalien n’attend rien alors que le narrateur du roman guette des pas dans l’escalier- et des pas qui se font espérer. Sa femme, neurologue spécialisée dans les troubles de la mémoire associée à la peur et aux traumatismes dans un laboratoire en lien avec le Pentagone, est retenue, accaparée par les décharges électriques qu’elle fait subir aux rats blancs et aux limaces histoire de voir le souvenir qu’elles en conservent. Elle le fait attendre, activité dont Roland Barthes disait :

« Prérogative constante de tout pouvoir, « passe-temps millénaire de l’humanité. »

Tout parait calme, si apaisé, si lent par rapport à la ville qu’ils ont quittée comme on fuirait une cité à la veille de la fin du monde, le Manhattan du 11 septembre encore plus frénétique, angoissé, hystérique qu’à l’accoutumée. Lisbonne se prête effectivement mieux à l’attente de l’apocalypse que New York qui semble déjà et de longue date y vivre en permanence. Au moins, quand elle embrasera le Portugal, ça surprendra. Il a tout le temps de se projeter dans ce qui sera leur nouvelle vie en se créant de nouveaux repères ou en ressuscitant d’anciens. L’auteur le reconnait : c’est l’histoire d’Ulysse et Pénélope, mais inversée. Quelques livres lui tiennent compagnie pendant son attente : les carnets de bord du capitaine Cook pendant son absence, l’histoire du tremblement de terre de Lisbonne de 1755 qui impressionna si puissamment Voltaire. Le changement climatique augmente l’inquiétante étrangeté de l’atmosphère. De plus en plus de tiques, de moins en moins de lucioles

Au bout de vingt pages, on se dit qu’Antonio Munoz Molina ne prétend tout de même pas nous embarquer pendant 52 chapitres intemporels à attendre avec lui la dissipation de l’absence ; ca ne tiendra jamais avec une histoire aussi fragile car on comprend vite que tout arrive sans qu’il ne se passe rien. C’est fou tout ce qui peut advenir dans un roman aussi immobile. Une apparente dystopie mais pas dans l’absolu. C’est justement la réussite de ce huis-clos littéraire à la première personne du singulier dont le temps est le personnage principal et la musique des silences, la bande originale. On gagne à le lire d’un trait. Le lecteur pressé se perdra à imaginer que c’est un roman sur rien alors qu’il regorge de réminiscences. Celles d’un antihéros à la recherche éperdue de traces du passé pour s’y sécuriser et pour méditer sur la vie de couple, l’un des axes de ce grand livre de la solitude que s’est voulu Tes pas dans l’escalier (quel beau titre simenonien, soit dit en passant). Munoz Molina, qui ponctue in fine la plupart de ses phrases à l’oral par un « non ? », est un homme qui doute. Il y a de quoi avec une femme aussi mystérieuse que la sienne, toujours prête à lui opposer qu’il n’est rien qui ne soit un effet d’optique et que dans la vie, tout est mirage.

 Il est de ceux pour qui la mémoire est la matière première de l’écriture littéraire, autrement dit de toute fiction. C’est peu dire qu’ici son narrateur en use, tout enfermé qu’il est dans sa bulle. Jusqu’au vertige ! De quoi conférer un halo hypnotique à son monologue qui résonne parfois dans un silence toxique. Passionné de Montaigne, de Robinson Crusoé et du capitaine Nemo, il entend faire de l’attente un art. Les messages de son enregistreur téléphonique sont autant de cailloux abandonnés là comme des repères dans ce monde qui en est dépourvu. On se demande parfois si on est dans Alfama ou dans Greenwich Village. Quant au narrateur, grand nomade sédentarisé, qui a remplacé le jogging le long de l’Hudson par la promenade le long du Tage, il est aussi paumé que nous. Mais lui, c’est encore pire car sa chienne paresseuse, fan d’Ornette Coleman et de Ligeti, est à l’égal de son maitre une contemplative.

Il n’arrête pas d’attendre perdu dans son obscurité intérieure et nous, pauvres lecteurs enchantés par cette servitude volontaire car le roman ne se lâche pas, nous attendons avec lui, nous sommes ses compagnons d’espérance dans le jardin suspendu de l’attente infinie. Peut-être après tout s’égare-t-il en plein fantasme dans un certain délire, et nous avec lui, même lorsqu’il nous embarque dans sa déambulation poétique au coeur de cette Lisbonne qu’il dit plus propice que d’autres villes à la quiétude. Celle-ci n’est pas un simple décor mais un élément-clé de l’histoire. Il en nait un certain malaise malgré la richesse et la fluidité de sa prose. Il s’en dégage une musicalité qui, de l’aveu même de son auteur, est inspiré de celle To the Light House (Vers le phare, Au phare, La promenade au phare, c’est selon, de Virginia Woolf.

Ce n’est pas la moindre qualité de ce thriller psychologique qui nous mène à nous interroger vraiment en fin de parcours sur la réalité de cette attente dans la mesure où, manifestement, son narrateur simenonien (Munoz Molina m’a dit avoir lu et admiré presque toute l’œuvre de Simenon, tant les romans durs que les enquêtes de Maigret) replié sur lui-même, perd pied progressivement et commence à s’éloigner du réel jusqu’à ne plus contrôler la réalité. Ce que c’est que de s’en être retiré (retired dit-on en anglais) sinon reformado comme disent les Portugais pour désigner les retraités. Quant à la fin du monde, rassurez-vous et ne vous hâtez pas de chercher la meilleure ville pour l’attendre : avec la crise climatique et ses débordements, elle est partout permanente. Celle-ci existe bien mais cet homme, et cette femme, et cette chienne ? L’existence de Lisbonne est vérifiable comme l’est la puissance d’envoûtement de ce roman à la maitrise impressionnante. Le reste…

(Photos Gérard Castello-Lopes)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

1 531 Réponses pour En attendant Cecilia

Chaloux dit: à

Il n’y a pas de grand homme pour un valet de chambre!

Bonne soirée, Toto!

Hurkhurkhurk!

rose dit: à

Vu une merveille : Flow du cinéaste letton Gints Zilbalodis.

et alii dit: à

la fête de la réouverture de Notre-Dame de Paris, les 7 et 8 décembre prochains.

renato dit: à

Je soupçonne le parvenu de détester son métier et qu’il l’utilise pour insulter, une espèce de revanche typique de son état.

Chaloux dit: à

Ce qui m’amuse n’est pas ton métier, c’est ton personnage, Toto.

renato dit: à

Bon, assez joué avec le parvenu.

renato dit: à

Pour revenir à un sujet certainement intéressant, compte tenu de l’époque : X. La question se pose actuellement pour certains d’aller voir ailleurs, c’est-à-dire de fermer le compte, ce que je comprends mal car il s’agit d’accepter que Musk ait des opinions politiques, comme nous acceptons les opinions des autres au quotidien. On peut ne pas être d’accord avec le Musk politique, mais on ne peut pas lui refuser le droit de faire de la politique simplement parce qu’il est très riche et que nous n’aimons pas son Champion, bref, beaucoup de mécontentement à propos de quelque chose de tout à fait normal Je ne me souviens pas d’une attitude aussi agressive à l’égard du président de Facebook au moment du scandale Cambridge Analytica qui était un vrai sale coup. Le fait que Musk soit d’extrême droite n’est pas un mystère et il ne l’a pas caché, il a donc fait de la politique en accord avec ses idées, pourtant, ce n’était pas difficile de comprendre l’idée qu’il se fait de l’humanité, ni la mission qu’il s’est donnée, ni ses objectifs. Cela étant de notoriété publique, je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas abandonné X avant que Musk n’emprunte la voie politique. Pourquoi, par exemple, continuent-ils d’acheter chez Amazon alors que le journal propriétaire (Washington Post) s’est abstenu et certainement pas par idéologie. Il faudra donc attendre un peu, lire d’autres motifs d’abandon, voir qui abandonnera vraiment et ainsi de suite, puis nous verrons ce qu’il en est réellement.

Chaloux dit: à

Une sonnette vient de retentir? Il est temps de remettre ta livrée, Ô humble et dévoué chambrier…

et alii dit: à

l’express: folio:
Les Misérables d’après la comédie musicale. Et les internautes de s’enflammer. Florilège : « Que Victor Hugo s’estime heureux que les producteurs de la comédie musicale ne l’attaquent pas pour plagiat ! » « Waow

renato dit: à

Ce parvenu est vraiment une fiente.

Chaloux dit: à

Ne me dis pas qu’à 77 ans, tu es encore en exercice!

B dit: à

il s’agit d’accepter que Musk ait des opinions politiques

N’est-il pas d’un bel opportunisme, un coup Obama( bleu) un coup Trump(rouge), ou serait-ce que son service météo le renseigne précisément sur le climat qu’il va faire à la Maison Blanche?

B dit: à

et qu’ainsi il sache avant les autres comment s’habiller pour éviter les coups de froid ou de chaud. La prochaine fois il enlèvera le haut

renato dit: à

Mais bien sûr, mon cher parvenu, juste pour le plaisir.

B dit: à

on veut pas voir le reste, je mettrai pas cent balles pour ça, na.

B dit: à

chaloux, et chez vous ça marche encore sans artifice? votre prostate était surveillée de près par Sasseur Marie, il n’y a pas de fumée sans feu, et je m’interroge, jusqu’à quand votre testosterone va vous rendre belliqueux

B dit: à

avouez qu’elle est dans la confidence et le secret de vos jours de villégiature nombreux, surnuméraires, qui doivent en plus vous coûter un bras vu prix de la consultation.

renato dit: à

Il y a eu une évolution vers la droite, B, puis vers l’extrême droite, et tout le monde l’a remarquée ; elle était d’ailleurs déjà prévisible au moment où il a fondé PayPal, puisque les premières formulations significatives des évolutions futures et plus importantes étaient déjà perceptibles.

B dit: à

je ne comprendrai jamais comment un avare peut sacrifier à la règle pour des besoins qu’on pouraient dire organiques puisque l’amour ne circule pas toujours dans vos partitions, vos décrets, vos apostrophes à moins qu’il s’agisse de cette fameuse passion négative qui vous fait ressembler tout deux à des langues de …, des démons haineux.

B dit: à

pourrait.

B dit: à

Il y a eu une évolution vers la droite, B, puis vers l’extrême droite,

et selon vous c’est excusable?

Chaloux dit: à

Toto, à cette heure tardive, je t’imagine, dans ta soupente, éclairé par une simple bougie, en chemise de nuit, baignant tes pieds endoloris dans une humble cuvette. Tu dois être à peindre. Un Greuze.

renato dit: à

Il y a des gens de toutes sortes d’opinions, B, ce n’est ni bien ni mal, c’est comme ça et c’est bien qu’on l’accepte. C’est une question de tolérance. Il y a une vieille blague qui dit qu’il y avait des maisons spécialisées pour cela, mais c’est une question d’impartialité. Musk a eu cette évolution ; vous pouvez vous intéresser à ses motivations ou vous contenter d’un jugement hâtif, c’est à vous de décider.

renato dit: à

ce sont des crétins comme D qui perdent leur temps à imaginer la vie de l’autre. Cela dit, je porte des chaussures bien faites, donc douleur aux pieds nada.

B dit: à

Renato, je ne juge pas, le programme de Trump dont il nous parvient quelques éléments ne me séduit absolument pas, il contient des pans indéfendables et les shows du candidat en campagne disent beaucoup de ce qui sûrement a motivé nombre de ses électeurs.

renato dit: à

Je n’ai pas affirmé approuver le plan de Trump, B, ni adhérer aux convictions politiques de Musk. Ce n’est pas parce que nous ne sommes pas d’accord que nous devons rejeter des personnes. C’est ainsi que fonctionne la démocratie.

renato dit: à

En bref, B, en 2012je n’aime pas la manière très grossière et absolument incohérente de concevoir et de mettre en œuvre la politique. Par exemple, Macron a gaspillé du capital pour aider des entreprises qui auraient fait faillite de toute façon (et qui font effectivement faillite ou licencient des salariés aujourd’hui). Il faut regarder la différence entre la manière dont Draghi a mis en œuvre le «whatever it takes» en 2012, et la démarche de Macron, même si elle est motivée par d’autres facteurs. Donc, à un moment donné, le président doit être providentiel, même si on admet que beaucoup d’erreurs ont été commises dans la politique industrielle et économique depuis les trente ou quarante dernières années, et que l’argent distribué ne servira à rien. Ensuite, lorsque le flop devient évident, le président devient incompétent. Mais combien de personnes ont jeté un coup d’œil déjà seulement aux problèmes liés aux systèmes de production lors de la joyeuse distribution de l’argent ? Combien de personnes se sont demandé quel était le besoin réel des entreprises aidées et si c’était vraiment utile de les aider ? L’échec d’un groupe ne peut jamais être imputé à une seule personne, même si cela plaît au plus grand nombre. Tout ceci n’a pas pour but de justifier Macron, mais seulement de mettre en perspective une action qui aurait dû être menée autrement par lui et évaluée autrement par le public.

Chaloux dit: à

« ce sont des crétins comme D qui perdent leur temps à imaginer la vie de l’autre. »

Comme c’est bizarre, il me semblait qu’il s’agissait-là d’un des objets de la littérature!

renato dit: à

Oups ! le premier « en 2012 » est tombé la suite à une mauvaise manœuvre trackpad – clavier, pardon, etc.

renato dit: à

Bien sûr, mais sans fantasmer sur ce que l’autre fait ou ne fait pas en le prenant pour argent comptant, parce que ça c’est de la « conciergerie », pas de la littérature.

B dit: à

Renato, le rejeter? Le problème ne se pose pas, Musk est devenu un incontournable mais il reste possible d’émettre une critique quant à la pertinence de son positionnement politique même si face à Trump le projet politique est resté vague, trop indéfini et que seules quelques valeurs ont tenu lieu de cheval de bataille. Il faut reconnaître que même l’état de New-York penche à droite alors que c’est un des plus progressistes.

B dit: à

Rose, je la regardais hier et j’ai été surprise par la vitesse de décroissance, si seulement nous nous inspirions un peu de cette astre.

rose dit: à

B.
Je n’ai pas vu la décroissance, et bêtement, je ne l’ai pas photographiée.
Chez moi, l’hiver, en elle se lève à gauche de la citadelle, la surplombe, continue sa montée dans le ciel en oblique.
L’été, elle démarre dans un petit creux à droite de la citadelle et ensuite suit le même trajet dans une courbe harmonieuse.

J’apprends à la connaître. Elle est incroyablement timide et de manière surprenante, si lumineuse.

Jazzi dit: à

Désormais, les cours d’Instruction civique et d’Histoire sont à l’affiche des cinémas plutôt qu’à l’école !

J J-J dit: à

@ r^z. le 15/11 – Comme chaque nuit, je me suis levé pour aller faire pipi dans le jardin, très dévêtu, vu qu’il ne faisait pas froid. Or cette nuit là, je ne pus émettre le moindre (péri) jet, à cause de l’inouie splendeur de saon imprévue luminosité… Mimi-Souris (MS), une fois n’est pas coutume, avait choisi de rester hors les murs toute la nuit. Et je n’avais pas su le comprendre.
Merci pour vos photos de cette lune illuminant la terre comme elle le fait depuis toujours gratutitement, bien avant que le monde ne fût habité… *** Et pardon pour ce petit détail autobiographique, que j’avais oublié de consigner au J Ex. Bàv
(20.11.24_9.07)

Chaloux dit: à

Renato, je pense que beaucoup de bons livres ont été conçus sur un mode peu vertueux. Et vous-même feriez un excellent modèle pour un de ces personnages secondaires dont Dickens truffait ses romans.

renato dit: à

Je n’empêche personne d’apporter une critique, B. Ce qui me gêne, c’est que l’on pose la question de l’excusabilité.
(Rappelez-vous, j’ai écrit : « Il y a eu une évolution vers la droite, B, puis vers l’extrême droite » // Et vous : « et selon vous c’est excusable ? »)

Depuis quand on peut se poser cette question relativement aux opinions tout à fait légitimes d’un autre ? à ma connaissance, il n’a ni violé ni tué, bref, il n’est pas un criminel, ce qui poserait la question de l’excusabilité, il exprime des idées politiques avec lesquelles on peut être d’accord ou non. Voulez-vous formuler une critique ? Voyons ! Mais la question de l’excusabilité n’est pas une critique, elle est plutôt le résultat de la pensée monothéiste, selon laquelle ce que nous n’aimons pas constitue une faute.

La situation est donc la suivante : c’est ainsi que Musk voit actuellement le monde. Tondelier parle « très démocratiquement » de fermer X. Je pourrais donc comparer la liberté d’expression de Musk à la volonté coercitive et de censure de Tondelier, mais je m’abstiens, car je suis bienveillant.

renato dit: à

Chaloux, je connais beaucoup de monde, dont quelques écrivains, e je sais comment naissent les livres, et de ce fait je ne porte pas une critique à la matière des œuvres, mais à l’usage inapproprié de l’image que l’on se fait (qu’on imagine) de l’autre. Il me paraît clair que l’on ne doit pas considérer notre imagination comme de l’argent comptant, c’est-à-dire croire aveuglément à ses propres fantasmes et les livrer comme vérité.

B dit: à

renato, en politique il n’existe hélas pas d’invarianbles, toutes les lignes peuvent être dépassées et cela rapporte des suffrages, l’Histoire montre parfois à quoi ça peut conduire et plus modestement la vie quotidienne reste soumise à l’état d’esprit qui a porté le candidat au pouvoir quand ce ne sont pas des lois . Dans le cas des USA les années qui viennent nous montreront sur quoi s’ouvre une absence de contre-poids.

B dit: à

Invariables.

renato dit: à

En ce qui concerne les contrepoids, B, il faudrait que les forces politiques de gauche analysent les raisons de leurs échecs, pas seulement aux États-Unis, mais dans d’autres pays aussi. Grâce à ces analyses, on pourra peut-être mettre fin à cette situation qui comme elle se présente, va durer encore environ trente ans.

Pour l’instant, je suis en train d’attendre Judy, le film d’Iñárritu, dans lequel on verra Cruise dans le rôle de Musk. Le tournage vient de débuter, donc il faudra être patient pour découvrir la version plus frimeuse de Musk.

rose dit: à

B.

Moitessier et Slocum atterrés.
Un voilier de ce type, luxueux, vient de couler par le travers, emporté par une trombe ou une tornade, récemment.

Laissons à la marine à voile son atout.

rose dit: à

Ah, B. je me suis farci hier Les naufragés de l’île de la Tortue, de Jacques Rozier, ce qui m’a rendu plus que sceptique sur les aventuriers d’opérette qui pratiquent la voile.
Enfin, j’ai relevé trinquette.

D. dit: à

Soyons charitable, Chaloux.

D. dit: à

Psaume 93

1Dieu qui fais justice, Seigneur, Dieu qui fais justice, parais !
2Lève-toi, juge de la terre ; aux orgueilleux, rends ce qu’ils méritent.
3Combien de temps les impies, Seigneur, combien de temps vont-ils triompher ?
4Ils parlent haut, ils profèrent l’insolence, ils se vantent, tous ces malfaisants.
5C’est ton peuple, Seigneur, qu’ils piétinent, et ton domaine qu’ils écrasent ;
6ils massacrent la veuve et l’étranger, ils assassinent l’orphelin.
7Ils disent : « Le Seigneur ne voit pas, le Dieu de Jacob ne sait pas ! »
8Sachez-le, esprits vraiment stupides ; insensés, comprendrez-vous un jour ?
9Lui qui forma l’oreille, il n’entendrait pas ? + il a façonné l’oeil, et il ne verrait pas ?
10il a puni des peuples et ne châtierait plus ? Lui qui donne aux hommes la connaissance, +
11il connaît les pensées de l’homme, et qu’elles sont du vent !
12Heureux l’homme que tu châties, Seigneur, celui que tu enseignes par ta loi,
13pour le garder en paix aux jours de malheur, tandis que se creuse la fosse de l’impie.
14Car le Seigneur ne délaisse pas son peuple, il n’abandonne pas son domaine :
15on jugera de nouveau selon la justice ; tous les hommes droits applaudiront.
16Qui se lèvera pour me défendre des méchants ? Qui m’assistera face aux criminels ?
17Si le Seigneur ne m’avait secouru, j’allais habiter le silence.
18Quand je dis : « Mon pied trébuche ! » ton amour, Seigneur, me soutient.
19Quand d’innombrables soucis m’envahissent, tu me réconfortes et me consoles.
20Es-tu l’allié d’un pouvoir corrompu qui engendre la misère au mépris des lois ?
21On s’attaque à la vie de l’innocent, le juste que l’on tue est déclaré coupable.
22Mais le Seigneur était ma forteresse, et Dieu, le rocher de mon refuge.
23Il retourne sur eux leur méfait : pour leur malice, qu’il les réduise au silence, qu’il les réduise au silence, le Seigneur notre Dieu.

Janssen J-J dit: à

PAVESE, ce matin, chez EAN, on nous met en évidence ceci, issu d’un « carnet secret », avec mille précautions oratoires, tout en se bouchant le nez :
« Toutes ces histoire d’atrocités nazies qui effraient les bourgeois, en quoi sont-elle différentes des histoires de la Révolution française qui avait aussi la raison de son côté ? Même si elles étaient vraies, l’histoire ne prend pas de gants. Peut-être notre véritable défaut d’Italiens est que nous ne savons pas être atroces. ».
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2024/11/19/zones-dombre-de-pavese/
On voit ça, on le lit, on dit rien, on note juste… Quand on a aimé « Le Métier de Vivre » et autres nouvelles, bien sûr qu’on est pas mal déçu. Et on eût préféré que ces textes ne sortissent pas de leur néant. Ben quoi ? Pardine, car cela ne fut jamais l’intention de l’écrivain italien, apparemment. Cela gênerait-il notre confort intellectuel, 67 ans après son suicide, Paul ? Oui.

Bàv, P.E.

B dit: à

Rose, si vous pensez au yatch qui a coulé cet été en Sicile, ce n’est pas tout à fait le même bateau, de plus des erreurs de yatching ont été évoqués pour expliquer ce drame qui a coûté la vie à quelques millionaires. Là il s’agit d’un bateau de croisière qui aura une capacité d’accueil plus importante .

B dit: à

La bateau qui a coulé était réputé insubmersible et avait un mât qui a détenu longtemps le record de hauteur contrebalancé par une quille en proportion, rétractable.

J J-J dit: à

Je suis écoeuré par ce « voilier ». Je me demande bien qui oserait mettre les pieds dedans.

honneur de blog dit: à

de Médias Citoyens via Anne Sculfort :

PRESSION MAXIMALE ET COUPURES DE PAROLES EN CASCADE –

Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la décentralisation de France, n’aura guère eu le temps de s’exprimer ce matin sur France Inter. La journaliste Sonia Devillers, très remontée voire véhémente sans que l’on comprenne bien la raison de cette agressivité, ne lui en aura pas laissé le loisir.
Débutant son ITW en listant un grand nombre de communes dans lesquelles le ou la maire a démissionné, la journaliste enchaine : « J’ai lu chacune de leurs lettres, elles sont déchirantes, ils parlent de santé mentale qui dévisse, de problèmes cardiaques, de santé qui dévisse, de prises de poids excessives, de sommeil qui fout le camp, ces hommes et ces femmes se sont littéralement écroulés… Qu’allez-vous faire pour eux !? »
« La dissolution a privé les maires comme les agriculteurs d’une loi qu’ils attendaient ! » (…) Le 106ème congrès des maires sera-t-il le congrès de la colère !? Ce sont les mots très forts de David Lisnard qu’on vous martèle Madame la ministre depuis une semaine ! La France a plongé dans le rouge, c’est l’heure des comptes ! (…) »
Le reste de l’entretien est de cet acabit avec pas moins de 16 coupures de parole en 9 minutes ; où l’on se demande si la recherche de « moments », théorisée par la collègue Léa Salamé, ne finit pas par déteindre sur l’ancienne journaliste « médias » de France Inter. En y ajoutant un goût immodéré pour la phrase choc, le slogan qui claque et l’émotion poussée à son paroxysme, l’intervieweuse devient l’attraction principale de l’entretien au détriment de son invitée. »

*****
Donc le ressenti plutôt que l’analyse rationnelle et la recherche de la vérité.
Cela fait collusion avec la présence très récemment sur la chaîne 5 de quatre animatrices et animateurs de la matinale de France Inter, la plus écoutée des radios ( mais par rapport à quelle population, y a-t-il course à l’échaloteaudiovisuelle contre l’ Hanouna ?) qui s’auto-congratulent en présence de Patrick Cohen ( qui, il est vrai est plutôt bon journaliste le matin depuis sa reprise). Et que dire de la présence du journaliste de Médiapart dont le livre est plus que complaisamment présenté par Léa Tata Yoyo ce matin même?
Ce dernier insista lors de sa présence sur la Cinq avec le « groupe » de la matinale, sur l’importance de la vérité, sur le fait même de bien discerner l’ erreur de la vérité. Mais il fait lui-même de la philo-journalisme dénoncée déjà jadis par Karl Kraus et dans le salutaire et très condensé essai, par la philosophe Claudine Tiercelin. intitulé La Post-vérité aux éditions Intervalles 2023 .

J J-J dit: à

Je me demande bien quel serait l’intérêt de faire un biopique sur Elon Musk, après celui de Donald Trump… Qui cela peut-il bien intéresser ? Cet homme-là existe-t-il vraiment, sur cette terre massacrée ? De quelles obscures fascinations s’agirait-il au juste ? Voudrait-on lui ressembler, par hasard ?

renato dit: à

Le jars gavé aux endives est arrivé.

Janssen J-J dit: à

@ Léa Tata Yoyo
Mais pourquoi n’assumez-vous pas votre autre pseudo, marie sasseur ?… pour nous parler de l’indiscutable déontologie de France Hintaire dont les journalistes ont à juste titre enfin épousé, en ramant à contre courant, l’ère de la post vérité très en avance sur les réseaux sociaux hanounesques ?

FL dit: à

Rions avec les Atterrés.

Les Atterrés ont encore fait des découvertes.

 » Quant au mot ‘jaune’ ils [l’Académie] ont pompé quasiment à identique leur définition de 1935. Ce n’est pas juste hétéroclite, riquiqui et ridicule. C’est scandaleux. »

Le jour où ils vont apercevoir que le dictionnaire vedette de la société commerciale « Le Robert » recopie d’une année sur l’autre 99 % au moins des mots de l’édition précédente, ils vont être verts… ou jaunes.

https://social.sciences.re/@tract_linguistes/113511025814431129

morales sed laisse dit: à

« J’ai lu chacune de leurs lettres, elles sont déchirantes, ils parlent de santé mentale qui dévisse, de problèmes cardiaques, de santé qui dévisse, de prises de poids excessives, de sommeil qui fout le camp, ces hommes et ces femmes se sont littéralement écroulés… Qu’allez-vous faire pour eux !? »

Cette phrase se souciant du « care » des maires attristés de France pourrait tout aussi bien s’ appliquer aux représentants de commerce surchargés de travail,sur des routes à la vitesse limitée, etc. et qui dévissent tout autant et grossissent tout autant. Cette journaliste ne fait que la grossière propagande sur une radio publique, vous avez raison HDB.

renato dit: à

Vis comica, JJ-J. L’homme le plus riche, puissant et influent au monde se donne pour mission de sauveur de l’humanité (et il veut prouver sa capacité à le faire), avant que le désastre qu’il a déclenché ne détruise tout. Incidemment, il faut noter que le scénario a été écrit il y a deux ans (bien avant l’aventure politique de l’entrepreneur), alors que le tournage n’a commencé que récemment.

renato dit: à

pour mission de DEVENIR LE sauveur de l’humanité

FL dit: à

Rions avec les Atterrés.

Les Atterrés sont des rois de la sexualité Donc ils ont la bonté de nous instruire.

Rien ne leur fait peur et ils se sont penchés sur le définition du « sodomie » dans le dictionnaire de l’Académie !

« Pratique de la pénétration sexuelle anale. »

Là encore la définition ne leur va pas. Ils en sont outrés.

Je leur donne la définition de « Le Robert dico en ligne » sur internet.

« Pratique du coït anal. »

C’est vrai qu’une définition par un vrai dictionnaire fait par des vrais professionnels c’est quand même tout à fait autre chose.

https://social.sciences.re/@tract_linguistes/113506188627128279

Janssen J-J dit: à

@ « Sous les yeux de Trump et Musk, SpaceX échoue à récupérer le premier étage de sa mégafusée Starship » (le figareau du jour)

C’est un peu bête pour eux, non ? A moins d’une fake-new propagée par leurs ennemis infiltrés dans ce journal français… C’est sûrement ça !

morales sed laisse dit: à

« de prises de poids excessives »

Les banquets chez les députés, maires ou sénateurs cassoulet, ça existe encore!
Et aux frais de la princesse!
Le sénateur Président Larcher s’est-il plaint de son excès de poids?

Cela ne fait que souligner le ridicule de la propagande de cette « journaliste » de France Inter.

FL dit: à

Rions avec les Atterrés.

Je note qu’un de leurs petits amis s’esclaffe. Il rit mais il rit. L’Académie a le toupet de citer un auteur qu’il ne connaît pas : Théophile de Viau.

Comment peut-on citer un auteur qu’il ne connaît pas ! Pauvre chéri.

https://social.sciences.re/@tract_linguistes/113506188627128279

FL dit: à

* du mot « sodomie

FL dit: à

Pardon c’est pas une citation c’est un exemple qui parle de Théophile de Viau. Je corrige parce qu’ils vont me tomber dessus. Ils sont tellement pénibles.

Marie Sasseur dit: à

En attendant Kamel.

Une petite phrase de Saâda Arbane, dont la vie a été grossièrement hackée, à fait son chemin…
En substance : Il n’aurait jamais pu faire ça du vivant de ma mère ,  » elle l’aurait descendu  »

Et quand on prend connaissance du CV de la maman adoptive, on se dit que, effectivement, Kamel l’a échappé belle. Mais qu’il ne l’emportera pas au paradis.

morales sed laisse dit: à

Les maires sont trop gros de leur trop gros budgets.

Régime!

J J-J dit: à

langueur ?
chais pas, on pense toujours, Dédé et moi, que honneur du blog, Marie sasseur, Morales sed laisse ou Bolibongo sont toujours un peu la même et quelque fois une autre.
Bien à elles,
(en revanche, on n’a aucun doute pour rôz, rosanette, B. et Clopine T. qui sont récurrentes et homogènes. Etalii est un brin plus compliquée, qui se fait souvent corriger par son mari, car iels ont chacun.e un usage très différent de leurs ordis et de la pratique psychanalytique d’analysant.es).
Bàv,

Paul Edel dit: à

Janssen JJ
Ça fait tant d’années qu’on parle de ce carnet secret de Pavese qui ne l’’est plus du tout, secret… Ce carnet est surtout rempli de notes , en 1943, sur l’âme romantique et des notes de décembre 43 à propos de Shakespeare. Oui, il y a des déclarations qui semblent « nationalistes » : »Quand la guerre sera finie, note-t-il , tu devras réviser toutes tes idées sur l’âme nationale.Tu ne savais même pas qu’elle existait et pourtant la voici ! » mais avec Pavese rien n’est simple, plusieurs fois il a confié dans ses lettres, à ses amies sa grande lassitude à l’égard de l’engagement au sens militant. Il exprime surtout dans ce carnet une haine de la monarchie italienne, parfois le regret que les italiens ne soient pas aussi efficaces que les allemands. Enfin, plusieurs fins lecteurs et critiques de Pavese ont fait remarquer que souvent, l’écrivain, dans ses notes de travail donnait la parole à un des personnages de ses futurs romans ; donc les déclarations qui pourraient passer pour des slogans antifascistes serait la position d’un personnage de fiction. Qui peut trancher ?
Ce que je note surtout, connaissant bien sa correspondance, c’est qu’ilc se retrouve assigné à résidence à Brancaleone, sans jamais avoir été un militant antifasciste déclaré..Simplement, par amitié il avait accepté d’être directeur » par intérim » de la revue Cultura puisque la direction avait été arrêtée par les fascistes. Et son procès-verbal note bien que sa détention ,il l’a doit pour détention de correspondance clandestine. Donc, c’était par simple amitié qu’il avait accepté ce poste de directeur de revue et non pas une adhésion franche. Plus tard, dans les années 5O, quand il possédera la carte du Parti communiste italien, il est mal vu par les communistes orthodoxes. Malgré son récit « Le camarade » ils qui ne cessent de lui reprocher d’être mou, indécis, pas clair dans sa critique de la bourgeoisie, dans ses romans Il collabora, de plus, à une revue «  Cultura e realtà « qui voulait changer le marxisme de l’intérieur , ce qui aggrava son cas car ce mouvement comptait -horreur !- pas mal de marxistes « chrétiens ». Enfin, et surtout, si on lit bien ses textes, essais, romans, et surtout ses nombreuses lettres magnifiques lettres, il ne faut pas oublier qu’il a dit et répété à ses plus proches :
« Je suis à la campagne avec ma famille et je travaille tant bien que mal dans la ville voisine, mais, comme dans la littérature intimiste, ce ne sont pas les faits qui comptent, ce sont la tension intérieure et le relâchement qui se succèdent et se débattent furieusement […] C’est une mauvaise chose que d’être dans les griffes de l’histoire ». Oui, il se méfiait des griffes de l’Histoire et son séjour à Brancaleone lui avait permis de longuement méditer tout ça.

Marie Sasseur dit: à

@on pense toujours, Dédé et moi,

Dis, vieux toquard, au lieu d’attendre ta fin de vie sur un blog h24, tu attends aussi qu’on précise de nouveau aux crétins ahuri et atterrés, que D puck, jjj, et combien d’autres pseudos sont le fait d’un même débile, petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur, à la retraite, 70 balais et toujours aussi con?
C’est fait

renato dit: à

Toujours vis comica, JJ-J, pensez juste au fait que Trump a été voté dans l’illusion qu’il allait abolir la vaccination obligatoire, et libérer les gens d’un état intrusif qui espionne les faits et gestes de tout le monde et contrôle tout le monde. Et au gouvernement arrive un pour qui les puces à injecter dans le cerveau ne sont pas de la science-fiction, mais un projet industriel déclaré.

morales sed laisse dit: à

épousé, en ramant à contre courant, l’ère de la post vérité très en avance sur les réseaux sociaux hanounesques ?

Justement,JJ-J, c’est un « vice » du savoir la post-vérité!

Janssen J-J dit: à

@ La journaliste Sonia Devillers,…
Qu’on la pendouille haut et court, en somme !…
J’avais trouvé intéressante e pas mal contr eintuitive son enquête sur « les Exportés »…
Et là, en consultant sa fiche, et en voyant sa têt epour la première fois, on voit de qui elle est l’épouse, pourquoi elle n’est plus crédible, et mériterait sans doute ses menaces de mort.
https://www.youtube.com/watch?v=55Xg_k9R3t4
Quelle époque !

et alii dit: à

à propos de puce, avez-vous lu qu’il y a des fourmeis électriques?
et moi qui n’aime pas les insectes

Janssen J-J dit: à

@ D puck, jjj, et combien d’autres pseudos sont le fait d’un même débile, petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur, à la retraite, 70 balais et toujours aussi con?

Toujours aussi romanesque, ma soeur…

@PE, merci pour cette réaction étayée sur Pavèse… Vous restez décidément un merveilleux avocat de vos amis écrivains…, par delà le temps et la chape de poussière qui pourrait les encombrer. Vous honorez ce blog, en attendant Bartoli… Et moi, je ne connaissais pas l’existence de ce carnet secret. D’où, ma vulnérabilité, et ma gratitude. Bàv,

morales sed laisse dit: à

Qu’on la pendouille haut et court, en somme !…JJ-J

Voilà un exemple de question avec sa réponse toute faite, antagonique, conflictuelle,aiguisant la violence d’un non dialogue démocratique.
Vous gonflé le post-véritisme.
On analyse un fait, un discours sur une radio à un temps T ( tiens, elle a un peu travaillé sur Bergson…) on se fout de qui elle est l’épouse, etc.

Marie Sasseur dit: à

@Toujours aussi romanesque

Pas le temps pour des toxiques dans ton genre.
Note que j’ai laissé de côté ton usurpation de pseudo, la plus triviale, les concernés ne sont plus là pour s’en plaindre.
Et puis comme FLou, y ‘en a qui aiment se faire enculer, alors, ne les prive plus.

morales sed laisse dit: à

Vous gonflez et vous êtes gonflé, c’est sûr!

J J-J dit: à

@ vieux toquard,

On vous a déjà dit cent fois qu’il fallait écrire « vieux tocard », pour un gars demeuré qui ne porte pas nécessairemnt de toque…
Vous êtes stupide, anti charoulesque ou quoij, ma pucée ?

Paul Edel dit: à

JJJ je vous recommande de lire en priorité « La prison » publié dans le recueil « Avant que le coq chante ». Ce texte où Pavese révèle ses obsessions profondes fut écrit entre 1938 et 1939 mais ne fut publié qu’en 1948 après l’effondrement du régime fasciste. Il raconte son séjour de huit mois à Brancaleone en Calabre où il fut assigné à résidence par le gouvernement fasciste. Il vit surveillé dans une humble cabane face à la mer grise. Image de l’ennui, de la monotonie d’un rivage plat et d ‘une existence artificielle. La encore la solitude subie devient passionnante grâce à deux présences féminines, Elena , la femme de ménage , humble, fidèle, attentive , pudique image d’une épouse-modèle, figure féminine qu’il rechercha toute sa vie, comme preuve de la maturité. et Concia ,image de la » femme sauvage »,libre, émancipée, souveraine,qui se donne aux hommes sans états d’âme.
Sans cesse revient l’image de la fenêtre ouverte sur la mer. Pavese écrit :
« Là-bas il y avait la mer. Une mer lointaine et délavée qui, aujourd’hui encore, s’ouvre derrière toutes mes mélancolies. C’est là que finissait toute terre, sur des plages désolées et basses, dans une immensité vague. Il y avait des jours où, assis sur le gravier, je fixais de gros nuages accumulés à l’horizon sur la mer, avec un sentiment d’appréhension. J’aurais voulu que tout soit vide derrière ce précipice humain. » La réflexion sur la séquestration, le « confino » devient une auto-analyse d’où il émane une poétique de la pauvreté intérieure et une recherche d’ascétisme. Toutes les lettres de cette époque sont à lire.   Pavese se souvient d’ une lettre de Léopardi :»Je connais un homme qu’un simple œil-de-bœuf ouvert sur le ciel vide, en haut d’un escalier, met dans un état de grâce » .Tout Pavese est dans cette réflexion.
Bo, maintenant, Rigatoni à la sauce verte avec anchois… et là ça rigole plus.

J J-J dit: à

@ on se fout de qui elle est l’épouse (MSL, missel)

Ah mais point du tout !… Ca intéresse ‘achement les sociologues des medias, de qui une journaliste gonflée (sic) par son capital culturel est l’amoureuse, genre celui qui la débriefe tous les matins, après sa prestation de service. Hein ?
Et lui, il est spécialiste de Bergson aussi ou de qui d’autre ? Quels talents réunis chez ce couple anéfé, il valait bien le détour ! Incroyabl’ tout ce qu’on peut apprendre quand on commence à s’intéresser aux gens publics jusqu’à présent ignorés. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ Là-bas il y avait la mer. Une mer lointaine et délavée qui, aujourd’hui encore, s’ouvre derrière toutes mes mélancolies. C’est là que finissait toute terre, sur des plages désolées et basses, dans une immensité vague. Il y avait des jours où, assis sur le gravier, je fixais de gros nuages accumulés à l’horizon sur la mer, avec un sentiment d’appréhension. J’aurais voulu que tout soit vide derrière ce précipice humain.

Je comprends de mieux en mieux la nature de vos observations et méditations malouines face à la mer, souvent présentes sur la chaîne de vos Carnets, cher PE. Bàv,

D. dit: à

Je t’en foutrais, moi, des récurrences homogènes brayonnes…

D. dit: à

Qui a écrit ça, JJJ ?

D. dit: à

Ah oui, Pavese. Je groyais que c’était Paul Edel mais je me suis dit que c’était trop commun et bâclé pour lui ressembler.
Pavese ? Eh bien…pas terrible.

D. dit: à

Dans ce bout de texte, il n’y ni inattendu, ni grande recherche.
Beaucoup de gens sont capables d’écrire la même chose, en peu de temps. C’est en réalité convenu et éculé, la plage, les nuages, la mélancolie etc.

D. dit: à

Même vous, JJJ, vous abez plus d’idées et écrivez mieux que ça, assez souvent.

D. dit: à

renato, je comprends votre réticence à améliorer votre cerveau par une puce, parce que dans votre cas, il en faudrait plusieurs. Voire que des puces et plus de cerveau. Tout le monde y gagnerait tellement ; alors quoi…un petit effort, non ?

rose dit: à

Qu’est ce que vous mettez Paul, dans la sauce verte ?

Bloom dit: à

Pendant des décennies, les pensionnaires du village pour enfants de Riaumont, à Liévin, géré par une communauté catholique intégriste, ont été victimes de maltraitances et de violences sexuelles. Une enquête édifiante et des témoignages déchirants qui remettent en cause l’attitude des pouvoirs publics.

https://www.arte.tv/fr/videos/116021-000-A/les-enfants-martyrs-de-riaumont/

L’enquête, qui révèle aussi les liens de la communauté avec des réseaux d’extrême droite français, allemands et belges, remonte avec une efficacité redoutable aux racines du mal : l’alliance mortifère entre l’intégrisme catholique, le scoutisme militaire et une éducation par la violence, confortés par l’inaction des pouvoirs publics.

renato dit: à

Quand on dit que D est un con ! Cela dit, compte tenu de la couche de bave qui lui sert de cerveau, même plusieurs puces ne résoudraient pas ses problèmes.

J J-J dit: à

@ j’ai laissé de côté ton usurpation de pseudo, la plus triviale

Please, rappelez-là nous, que nous l’avons oubliée, chère mme waldène, la cokarde, A-D, vos journées entières avec HC, exilée dans les branches de son CDBF. Bàv,

Bloom dit: à

Sondage Yougov sur les artistes préférés des Brits (2019)

1 Banksy
2 Monet
3 Van Gogh
4 Constable
5 Léonard de Vinci
6 Turner
7 Picasso
8 Dali
9 Lowry
10 Michel-Ange

renato dit: à

Pour apporter un peu de clarté à D qu’il en a grand besoin, je n’ai pas eu d’objections à l’encontre d’une idée qui ne m’intéresse pas. J’ai juste exprimé mon étonnement face au fait que des personnes qui se sentent dominées par leur gouvernement soient dirigées par quelqu’un qui envisage d’implanter des puces dans leur cerveau ! Si ça ce n’est pas comique…

et alii dit: à

il est bien connu que Yeshayahou Leibowitz ,ce professeur israelien anticonformiste chez qui le psy G.Haddad -qui le traduisit-avait été étudier,
que ce professeur,qui était neurologue- refusa un grand prix
on sait aussi queL’avocat et blogueur américain controversé Shamaï Leibowitz est l’un de ses petits-enfants

Bloom dit: à

La Tate Modern, ouverte en 2000, est le 4e musée le plus visité au monde (Le Louvre est N°1). L’entrée y est gratuite, comme pour tous les Musées nationaux au R.U.

Paul Edel dit: à

Rose je mets 2gousses d ail etdeux anchois et une grosse poignée de persil et un peu de roquette + un jus de demi citron et 12 centilitres d huile d olive et on mixe le tout dans un robot. Ca peut se garder 24 h au frigo.

rose dit: à

Ah, Paul, contente. Je viens de lire celle de Luana Belmondo. Elle dit que le secret, c’est la roquette. Pas de basilic ?
Je copie/colle. J’aime bcp les rigattonis. Où rigatonnis, je ne sais pas.
Qq lamelles de parmesan, par dessus, quand même ?

Marie Sasseur dit: à

« Deux plaintes contre l’écrivain Kamel Daoud et son épouse en Algérie (avocate)
Agence France-Presse
20 novembre 2024 à 15h12 »

Marie Sasseur dit: à

« Deux plaintes ont été déposées en Algérie contre l’auteur franco-algérien Kamel Daoud et son épouse psychiatre, les accusant d’avoir dévoilé et utilisé l’histoire d’une patiente pour l’écriture du roman « Houris », récompensé récemment par le Prix Goncourt 2024, a appris l’AFP auprès de l’avocate des plaignants. « 

Marie Sasseur dit: à

Tout s’explique…

https://www.lefigaro.fr/livres/deux-plaintes-deposees-contre-kamel-daoud-et-son-epouse-pour-violation-du-secret-medical-et-diffamation-20241120

«La première plainte a été déposée au nom de l’Organisation nationale des victimes du terrorisme» et «la seconde au nom de la victime», a précisé Me Benbraham, assurant que leur dépôt remontait au mois d’août, «quelques jours après la parution du livre», et bien avant l’attribution début novembre du Prix Goncourt au roman. «Nous n’avons pas voulu en parler, afin qu’il ne soit pas dit que nous voulions perturber la nomination de l’auteur pour le prix», a-t-elle déclaré.

Marie Sasseur dit: à

Faut peut-être acheter le bouquin avant qu’il ne soit plus non plus dans les librairies françaises.
C’est dingue que le prix devienne par effet pervers, inversement proportionnel à la qualité.

Paul Edel dit: à

Rose, je préfère nettement des lamelles de Pecorino jeune au Parmesan. Surtout pas de basilic, ça détruit l’arôme du persil et la finesse de la roquette, l’élément indispensable. On écrit Rigatoni (12 minute pour la cuisson al dente)

rose dit: à

Ah Paul, le parmesan est trop fort et pas du tout de basilic.
Recopié recollé les rigatonis sauce verte
Merci.

rose dit: à

Vu, écouté et entendu les enfants martyres de Riaumont.
Quelle honte, suis accablée.

Ai noté :après le suicide de Romain 14 ans, il a encore fallu 18 ans avant que le collège ferme en 2019.
Cinq ans après, en 2024, toujours pas de procès en vue.
La tristesse infinie de ces hommes qui acceptent de témoigner face caméra.

Marie Sasseur dit: à

« Kamel Daoud, prix Goncourt pour « Houris », est accusé par une victime algérienne du terrorisme d’avoir « volé » son histoire, en violant le secret médical. Selon nos informations, l’écrivain a déposé plainte contre la chaîne qui a diffusé le témoignage. »

Comment couper la parole deux fois…

Pas de réconciliation, ce sera la guerre.

Marie Sasseur dit: à

Une pauvre petite chaîne télé, choisie par Saâda Arbane, à l’exclusion de tout autre média ; même pas une chaîne d’état, mais un média privé , dont le journaliste avait été encouragé par le passé, par France Inter…
La liberté de Saâda dérange, qui ne correspond pas aux fantasmes d’un écrivain.
Ce procès va être historiquement intéressant.

Bloom dit: à

Terrible tristesse.
Ce dont les êtres humains sont capables avec plus faibles qu’eux…

Marie Sasseur dit: à

« ordre et désordre : séquence de Fibonacci »

Ah ces pseudo-savants de rien.

La suite, on dit.
C’est mathématique.
Suite qui reste d’ailleurs très prisée par les charlatans de l’ésotérisme.

Marie Sasseur dit: à

Ces généralisation grandiloquentes..
Non, ni tristesse ni rien, juste un dégoût , qui est là, énorme, pour ce dont est accusé K. Daoud. Pour ce qu’il a fait et dit.
Je ne lui reconnais en outre aucune, mais vraiment aucune légitimité, à subtiliser ou s’approprier la parole de quelque femme que ce soit.

Dino dit: à

Est-ce que Kamel Daoud et son épouse mangent des rigatoni à la sauce Edel?

Paul Edel dit: à

Renato, je vous crois.

D. dit: à

C’est bon les rigatonis.
Hein, Bloom ?

rose dit: à

avec plus faibles qu’eux…
DES ENFANTS.

rose dit: à

Paul et Renato,

Eu egard au fait que les rigatonis ont des trous, ce qui c’est pas mal non plus, c’est une sauce tomate maison avec oignons grillés,ail et viande hachée moulinée et un mélange gruyère parmesan en poudre.
Demain, j’irai acheter des rigatonis.

rose dit: à

Ce serait les rigatonis sauce rouge.

rose dit: à

Mais là sauce c erreur de Paul n’est pas un pesto, notez-le.

Bloom dit: à

Je préfère les graffitis sauce anglaise, du type:
God is not dead.
She’s just out for lunch.

rose dit: à

Mais la sauce verte de Paul.

D. dit: à

Beaucoup de choses ont des trous, Rose. A commencer par l’espace-temps. Le gruyère a des trous. Et des chercheurs ont mis en évidence une propriété quantique du gruyère : plus il y a de gruyère et plus il y a de trous et en même temps, moins il y a de gruyère.

D. dit: à

Évidemment, renato va me contredire.
Il adore ça. Gnagnagna…le gruyère n’a pas de trous…c’est l’emmental et gnagnagna… D. est un con, un imbécile, doublé d’un crétin idiot…alors que c’est totalement faux.

rose dit: à

Pour Daoud, espérons encore que ce ne soit qu’un horrible malentendu.

rose dit: à

Il y a même des trous noirs. Bien placée pour le savoir. Mais depuis que mes amis m’ont laissé un sac de courses entier de pâtes italiennes, je touche ma bille en pâtes.

Jean Langoncet dit: à

Un écrivain éventuellement poursuivi du chef de violation du secret médical ? Heu ! Non, rien …

Jean Langoncet dit: à

@Je ne lui reconnais en outre aucune, mais vraiment aucune légitimité, à subtiliser ou s’approprier la parole de quelque femme que ce soit.

Personne ne risquerait à « s’approprier » la votre

renato dit: à

moi j’aime les rigatoni à la sauce au gorgonzola et noix
faire chauffer de l’huile dans une poêle et ajouter l’oignon finement haché ;
lorsque l’oignon a pris de la couleur ajouter le gorgonzola haché et le laisser fondre ;
ajouter la crème et les noix finement hachées ;
remuer jusqu’à que la sauce devienne crémeuse ;
ajouter les pâtes.

certains ajoutent du parmesan râpé, mais je trouve qu’il n’améliore pas la saveur .

Jean Langoncet dit: à

@Un écrivain éventuellement poursuivi du chef de violation du secret médical ?

En Algérie ? C’est un coup monté par son éditeur pour faire un peu de foin jusqu’aux achats de fin d’année …

Marie Sasseur dit: à

C’est vrai que la vie privée, pour certains gros connards ici, n’a aucun sens.

Marie Sasseur dit: à

Deux plaintes pour deux chefs d’accusation et deux parties plaignantes dont une en la personne morale d’une association de victimes du terrorisme, en lien direct avec cette charte de réconciliation.

Saâda sera sauvée une deuxième fois des barbares. C’est ce que je souhaite, de tout mon cœur.

Jean Langoncet dit: à

Ceux qui portent éventuellement atteinte à la vie privée de quelqu’un sont ici peut-être ceux qui identifient nommément une personne au récit romancé en cause

Jean Langoncet dit: à

@de tout mon cœur

Vous en faites trop sur cette affaire et pas assez avec le coeur … Quant au reste, salut salut

x dit: à

et alii, simplement pour compléter : dans la famille Leibowitz, je demande aussi la sœur, Ne(c)hama.

Marie Sasseur dit: à

L’ironie du sort, il en faut une, c’est par une avocate que Daoud périra, exactement le métier de la mère adoptive de son personnage de fiction; la vraie, elle, a sauvé Saâda une première fois.

Marie Sasseur dit: à

Langue chargée , cette vieille langue de pute n’a plus rien à se mettre sous la dent. Il grogne.

Dino dit: à

Affaire Houris/Daoud: C’est tout simplement dégueulasse… et minable.

puck dit: à

@ »L’ironie du sport, il en faut une, c’est par une avocate que (…) »

l’ironie du sport… hé ouai

Jean Langoncet dit: à

Nico- These Days

puck dit: à

sans trop exagérer on peut dire que cette affaire illustre la crise morale que traverse notre société.

cette pauvre femme a été agressée, violée et quasiment égorgée par des terroristes islamistes parce qu’elle avait un institut de beauté, déjà c’est craignos, mais bon c’est des islamistes et ces types sont ce qu’ils sont.

ensuite cette femme s’est confiée à la psy qui s’occupait d’elle.
quand elle a su que cette psy avait un mari écrivain elle a dit qu’elle ne voulait que son histoire se retrouve dans un livre.

elle n’était pas consentante ? pas grave : et vlan elle s’est faite violer une 2ème fois par un écrivain et son éditeur.

là il faut regarder les motivations : les islamistes c’est des tarés à cause de leur idéologie de tarés.

mais les autres : l’écrivain, la psy, l’éditeur etc… c’est quoi leur motivation ?

leur motivation c’est le pognon !

et franchement entre des tarés guidés par une idéologie de tarés et d’autres tarés guidés par l’appât du gain je sais pas c’est qui les plus tarés ?

le plus terrible c’est quand on lit que Gallimard est content parce que grâce à ce pognon il va pouvoir boucler son année fiscale.

sérieux ?

dans cette crise morale à chaque qu’on a l’impression qu’on tombera pas plus bas vlan ! ça dégringole.

Marie Sasseur dit: à

J’ai relu la chronique de Passou, et j’éviterai de recommencer, au risque de ne plus pouvoir commenter ici.
Je tiens à vous remercier de nouveau Passou, de permettre qu’on puisse dénoncer, à l’inverse, une mystification, énorme, et dégoûtante, sous prétexte de littérature.

Marie Sasseur dit: à

Quand tu penses en plus que ce journaleux, qui maîtrise assez mal le français, au point que ses  » métaphores  » les plus vides de sens et improbables sont considérées comme de la poésie , ce journaleux, donc, s’est vu confier une mission de traduction par Macron( ça rime) , tu comprends vite pourquoi la macronie est en état de déficit, et de faillite morale.
Il donne des cours à science po, non ?

Dino dit: à

La question subsidiaire, :

Est-ce que Passou avait eu vent de tout cela avant le vote?
Quels sont les membres du jury qui savaient avant le vote?
Gallimard, savait-il?

puck dit: à

pour ceux qui lisent le NY Times j’espère qu’ils ont remarqué le changement de langage sur la guerre en Ukraine : jusque là ils accolaient le mot « unprovoked » au mot « war », maintenant ils ont remplacé le mot « unprovoked » par le mot « proxy ».

avant c’était une guerre non provoquée, maintenant c’est une guerre par procuration.

c’est ce qu’on appelle un progrès sémantique, voire même une révolution sémantique.

si ça se trouve c’est l’élection de Trump qui a provoqué un électrochoc qui leur a remis les neurones en place ?

ou alors après la surdose du pédalage dans la semoule pendant les élections ils en ont eu subitement marre de raconter n’importe quoi ?

on sait pas trop quels effets ça peut avoir sur le cerveau de pondre des trucs qui ne veulent rien dire, si ça se trouve il arrive un moment où le cerveau refuse, et là les mecs se disent c’est plus possible je ne me sens plus capable d’écrire que cette guerre n’était pas provoquée.

Bloom dit: à

On va tout d’même pas accuser le NYT d’antisémantisme, hein?

rose dit: à

renato dit: à
moi j’aime les rigatoni à la sauce au gorgonzola et noix

Oh la la la.
Copié/collé

Jean Langoncet dit: à

Question infiniment subsidiaire : Passou peut-il ne pas être complice de violation du secret médical ?

et alii dit: à

je suis si fatiguée que si je tombr je vais faire
bada bloom,bloom, bloom

Jean Langoncet dit: à

(Pour ma part, je m’en remets à la justice du front polisario …)

Claudio Bahia dit: à

D
je vous aime bien car vous avez de l’humour, et vous réagissez en gentleman aux tonnes d’insultes que l’on vous envoie.
Mais pour le Gruyère, vous êtes tombé dans le trou : il n’y a PAS de trous dans le Gruyère, celui fabriqué dans les cantons de Fribourg et Vaud (je ne parle pas d’un « gruyère » savoyard, ou népalais.
Quant au fromage nommé Emmental (de la vallée de l’Emmen dans le canton de Berne), lui IL A des trous, parfois assez gros (à nouveau je ne sais pas ce qu’il en ait d’un « emmental » parisien ou groenlandais.
Et c’est un brésilien qui vous le dit

Jean Langoncet dit: à

Elli & Jacno – Le téléphone

MC dit: à

Est auteur qui crée ou organise un récit, je crois.Quoi qu’on pense de Daoud, c’est tout de même lui qui a transcrit ce récit en y ajoutant des variations. L’autre n’est qu’une patiente. Si la patiente devient l’auteur, on tombe au niveau d’ Edouard Louis antépénultième manière.

rose dit: à

La santé.
Et Isabelle qui dit à Nosferatu encore.
🙄
Crénom.
Le bromure.
(C pas de la soumission chimique au moins ?).

rose dit: à

Et Christine Angot.
C quand même mieux de prendre soi-même son propre destin en mains.

renato dit: à

« Anti-social behavior is a trait of intelligence in a world full of conformists. »
Nikola Tesla

Marie Sasseur dit: à

Saâda Arbane indique dans cet entretien à la télé, qu’elle a sollicité, qu’elle va écrire son histoire, pour rétablir la réalité de son histoire, et pour une unique raison: pour son fils.

A la question pernicieuse de dino, dont on en a déjà lu ici d’aussi tordues sur Passou et Gallimard, les faits suivants sont incontestables:
Tout le monde savait, bien avant le 4 novembre, que cet écrivain et son éditeur n’étaient plus invités au salon du livre d’Alger.
Y a t il un lien de cause à effet ?
Je me garderais bien de conclure, sauf pour deux jurés qui ont dit, vérifiable dans la presse, avoir changé d’avis deux jours avant le vote … vous savez compter ?

Jean Langoncet dit: à

@La santé.
Et Isabelle qui dit à Nosferatu encore.
🙄

La sauce verte, rose, la sauce verte …

Marie Sasseur dit: à

On ne sait pas si Palmade ira à la santé, mais il ira directement en prison, sans passer par la case defonce.
A bon entendeur !

Jean Langoncet dit: à

Quand Polo entrera dans le grand âge et c’est pas pour demain, vous aurez quelques recettes à proposer dans le monde réel pour devancer bécassine à son chevet

Marie Sasseur dit: à

Les camés, quand ils ne sont oas des délinquants routiers, devaient réfléchir aux différentes complicités qu’ils établissent avec le crime organisé , faisant d’eux des criminels par procuration.

Marie Sasseur dit: à

Fatigue
Les camés devraient réfléchir aux différentes complicités qu’ils établissent avec le crime organisé.
Après la sauce des pâtes, cela reste accessoire.

Dino dit: à

Comme disait ma mamie, « un petit moment de honte est vite passé », encore faudrait-il que certains écrivains, certains éditeurs, certains jurys… et certains psychiatres en aient, de la honte, ce dont je doute.

Jean Langoncet dit: à

Sans trahir aucun secret médical tout en se montrant édifiant et opportun :

Marie Sasseur dit: à
Les camés, quand ils ne sont oas des délinquants routiers, devaient réfléchir aux différentes complicités qu’ils établissent avec le crime organisé , faisant d’eux des criminels par procuration.

Marie Sasseur dit: à
Fatigue
Les camés devraient réfléchir aux différentes complicités qu’ils établissent avec le crime organisé.
Après la sauce des pâtes, cela reste accessoire.

Dino dit: à
Comme disait ma mamie, « un petit moment de honte est vite passé », encore faudrait-il que certains écrivains, certains éditeurs, certains jurys… et certains psychiatres en aient, de la honte, ce dont je doute.

Jean Langoncet dit: à

(10% de faits 90% de fantasmes)

MC dit: à

Elle va l’écrire, Saada. Elle n’en avait pas l
Intention avant. Quelqu’un lui a donné des idees….

MC dit: à

Je note que tout ce bazar a englouti Houria, source présumée initialement de Daoud…

Pablo75 dit: à

Impossible de trouver une interprétation de la Partita nº 1 par S.Richter.

Dn dit: à

Demain après-midi, Pablo, 3 cm de neige bien tenace à Chaville, avec -2° et vent. Tout ça verglaçant dans la nuit de jeudi à vendredi. Mes poules sont déjà toutes dans ma chambre. Évidemment.

D. dit: à

J’espère que Jazzy a de bons après-skis à poils, comme les miens que j’ai utilisés en Antarctique.

Pablo75 dit: à

Dino, encore un pseudo de D. (de la série des commencés par la lettre D).

Jean Langoncet dit: à

Moon Martin – Bad News

Marie Sasseur dit: à

Langue chargée a été mouché.
_______

Saâda Arbane va écrire son histoire pour laver son honneur, et qui a part son fils est plus digne d’en recevoir le témoignage. Personne.

Jean Langoncet dit: à

Rollin’ In My Rolls…

J J-J dit: à

@ (Elle va l’écrire, Saada. Elle n’en avait pas l
Intention avant) – Pas facile, vu qu’elle a pas lu la fin du book de gallimardias, mais bou, l’va se faire aider par ma soeur marie qu’est rousse, elle qu’a rin lu non plus, hormis les coupures de presse à daoud… Un vrai roman pimoriental !
https://www.facebook.com/watch/?v=733844967233963
Continuera à faire marcher la vapeur… Après l’actu du charmant couple Pélicot, voici celui de Palmade.
Sur X., comme chez les chadoks qui pompaient, la mauvaise monnaie chasse « la bonne et moij »… – La partita 1 par Hélène Grimo est bien meilleure, je trouve… Au Brésil, ils sont toujours en retard d’un océan sur les trous de l’Appenzel. Vont bintôt faire revenir Bolsonario. Bàv,

rose dit: à

Après la sauce des pâtes, cela reste accessoire.

Primi piatti, tout de même.
Lire ça !

rose dit: à

2%de faits.
98% de fantasmes.
Encore,

Marie Sasseur dit: à

Le vieux keuf a lu Daoud, il a pleuré comme une madeleine. C’était pathétique une loque comme ça.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Monsieur Paulo, avez-vous remarqué comme moi que Daoud commençait par D.?
N’est-ce pas hautement suspect ?

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Ricaud, mon nom de jeune fille, également le nom de mon frère Mosha, commence par r, comme renato.
Tirez-en les conclusions que vous voudrez.

Pablo75 dit: à

Daoud, on le connaît en dehors d’ici. Mais Damien, Dino, Donna Ricaud-Veyre, etc, etc ne sont que des trolls de D., lequel est un troll de…

D. dit: à

Pablo-Puck. Du pareil au même.

D. dit: à

MC et Marie S. Les mêmes.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Jeansène-Jazzy. Même troll.

D. dit: à

Tu as trouvé tout ça grâce à ton pendule, Pablo ?

Un petit peu plus à l’ouest, comme disait Tryphon…

MC dit: à

Celle- là, D , elle est bonne!

Mosha Ricaud dit: à

Je confirme les propos de ma soeur Donna.

Pablo75 dit: à

D. s’ennuie tellement ici qu’après avoir créé des trolls avec des noms divers, il s’est lancé le défi d’en créer toute une série commençant avec la même lettre de son pseudo principal. D’où les Damien, Dino et Donna Ricaud-Veyre (le dernier et le plus nul de tous), entre autres que j’oublie.

Il croit, le con, que cela ne se voit pas, mais il y a plein de détails entre ses personnages et lui qui confirment ce que j’affirme et dont je ne parlerai pas pour qu’il ne perfectionne pas ses déguisements.

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