de Pierre Assouline

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La République des livres
En attendant Cecilia

En attendant Cecilia

Il n’y pas que Godot qui se fasse attendre. Lorsque l’être aimé se fait attendre, on s’en remet plus naturellement aux Fragments d’un discours amoureux : solennité du moment, perte du sens des proportions, mise en place d’une scénographie, angoisse d’attente, reproches virant à la colère, hantise de la sonnerie du téléphone, assignation à l’immobilité dans un lieu, crainte du malentendu, sentiment d’irréalité… On retrouve un peu du Roland Barthes des Fragments d’un discours amoureux, du moins dans ce que ses observations ont d’universel et d’intemporel, dans Tes pas dans l’escalier (Tus pasos en la escalera, traduit de l’espagnol par Isabelle Gugnon, 256 pages, 22 euros, Seuil ), le dernier roman d’Antonio Munoz Molina (1956, Úbeda, Jaén).

Un appartement en plein coeur de Lisbonne. Un homme sans importance récemment licencié par son entreprise, attend sa femme Cecilia en compagnie de leur chienne Luria. L’emménagement est récent, aussi met-il à profit ses heures d’attente pour en peaufiner la décoration et mettre une ultime touche aux moindres détails. L’écrivain arrange son roman à la manière du narrateur agençant sa nouvelle maison- et inversement. Il aménage l’esthétique de leur quotidien. C’est d’autant plus important que son antihéros est un solitaire qui a besoin de se tenir à une certaine routine et de se consacrer à des tâches domestiques pour conserver son équilibre. A cet égard, ce roman est aussi un éloge permanent de la beauté que peut receler la vie ordinaire dès lorsqu’on s’y attarde. De quoi illustrer sans forcer une fameuse réflexion de Pascal :

 « J’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre.( Pensées, 139 « Divertissement », 1669.)

A ceci près que l’homme pascalien n’attend rien alors que le narrateur du roman guette des pas dans l’escalier- et des pas qui se font espérer. Sa femme, neurologue spécialisée dans les troubles de la mémoire associée à la peur et aux traumatismes dans un laboratoire en lien avec le Pentagone, est retenue, accaparée par les décharges électriques qu’elle fait subir aux rats blancs et aux limaces histoire de voir le souvenir qu’elles en conservent. Elle le fait attendre, activité dont Roland Barthes disait :

« Prérogative constante de tout pouvoir, « passe-temps millénaire de l’humanité. »

Tout parait calme, si apaisé, si lent par rapport à la ville qu’ils ont quittée comme on fuirait une cité à la veille de la fin du monde, le Manhattan du 11 septembre encore plus frénétique, angoissé, hystérique qu’à l’accoutumée. Lisbonne se prête effectivement mieux à l’attente de l’apocalypse que New York qui semble déjà et de longue date y vivre en permanence. Au moins, quand elle embrasera le Portugal, ça surprendra. Il a tout le temps de se projeter dans ce qui sera leur nouvelle vie en se créant de nouveaux repères ou en ressuscitant d’anciens. L’auteur le reconnait : c’est l’histoire d’Ulysse et Pénélope, mais inversée. Quelques livres lui tiennent compagnie pendant son attente : les carnets de bord du capitaine Cook pendant son absence, l’histoire du tremblement de terre de Lisbonne de 1755 qui impressionna si puissamment Voltaire. Le changement climatique augmente l’inquiétante étrangeté de l’atmosphère. De plus en plus de tiques, de moins en moins de lucioles

Au bout de vingt pages, on se dit qu’Antonio Munoz Molina ne prétend tout de même pas nous embarquer pendant 52 chapitres intemporels à attendre avec lui la dissipation de l’absence ; ca ne tiendra jamais avec une histoire aussi fragile car on comprend vite que tout arrive sans qu’il ne se passe rien. C’est fou tout ce qui peut advenir dans un roman aussi immobile. Une apparente dystopie mais pas dans l’absolu. C’est justement la réussite de ce huis-clos littéraire à la première personne du singulier dont le temps est le personnage principal et la musique des silences, la bande originale. On gagne à le lire d’un trait. Le lecteur pressé se perdra à imaginer que c’est un roman sur rien alors qu’il regorge de réminiscences. Celles d’un antihéros à la recherche éperdue de traces du passé pour s’y sécuriser et pour méditer sur la vie de couple, l’un des axes de ce grand livre de la solitude que s’est voulu Tes pas dans l’escalier (quel beau titre simenonien, soit dit en passant). Munoz Molina, qui ponctue in fine la plupart de ses phrases à l’oral par un « non ? », est un homme qui doute. Il y a de quoi avec une femme aussi mystérieuse que la sienne, toujours prête à lui opposer qu’il n’est rien qui ne soit un effet d’optique et que dans la vie, tout est mirage.

 Il est de ceux pour qui la mémoire est la matière première de l’écriture littéraire, autrement dit de toute fiction. C’est peu dire qu’ici son narrateur en use, tout enfermé qu’il est dans sa bulle. Jusqu’au vertige ! De quoi conférer un halo hypnotique à son monologue qui résonne parfois dans un silence toxique. Passionné de Montaigne, de Robinson Crusoé et du capitaine Nemo, il entend faire de l’attente un art. Les messages de son enregistreur téléphonique sont autant de cailloux abandonnés là comme des repères dans ce monde qui en est dépourvu. On se demande parfois si on est dans Alfama ou dans Greenwich Village. Quant au narrateur, grand nomade sédentarisé, qui a remplacé le jogging le long de l’Hudson par la promenade le long du Tage, il est aussi paumé que nous. Mais lui, c’est encore pire car sa chienne paresseuse, fan d’Ornette Coleman et de Ligeti, est à l’égal de son maitre une contemplative.

Il n’arrête pas d’attendre perdu dans son obscurité intérieure et nous, pauvres lecteurs enchantés par cette servitude volontaire car le roman ne se lâche pas, nous attendons avec lui, nous sommes ses compagnons d’espérance dans le jardin suspendu de l’attente infinie. Peut-être après tout s’égare-t-il en plein fantasme dans un certain délire, et nous avec lui, même lorsqu’il nous embarque dans sa déambulation poétique au coeur de cette Lisbonne qu’il dit plus propice que d’autres villes à la quiétude. Celle-ci n’est pas un simple décor mais un élément-clé de l’histoire. Il en nait un certain malaise malgré la richesse et la fluidité de sa prose. Il s’en dégage une musicalité qui, de l’aveu même de son auteur, est inspiré de celle To the Light House (Vers le phare, Au phare, La promenade au phare, c’est selon, de Virginia Woolf.

Ce n’est pas la moindre qualité de ce thriller psychologique qui nous mène à nous interroger vraiment en fin de parcours sur la réalité de cette attente dans la mesure où, manifestement, son narrateur simenonien (Munoz Molina m’a dit avoir lu et admiré presque toute l’œuvre de Simenon, tant les romans durs que les enquêtes de Maigret) replié sur lui-même, perd pied progressivement et commence à s’éloigner du réel jusqu’à ne plus contrôler la réalité. Ce que c’est que de s’en être retiré (retired dit-on en anglais) sinon reformado comme disent les Portugais pour désigner les retraités. Quant à la fin du monde, rassurez-vous et ne vous hâtez pas de chercher la meilleure ville pour l’attendre : avec la crise climatique et ses débordements, elle est partout permanente. Celle-ci existe bien mais cet homme, et cette femme, et cette chienne ? L’existence de Lisbonne est vérifiable comme l’est la puissance d’envoûtement de ce roman à la maitrise impressionnante. Le reste…

(Photos Gérard Castello-Lopes)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

1 531 Réponses pour En attendant Cecilia

Marie Sasseur dit: à

Des que le MaCaque alcoolique lit mon pseudo, il est en transe. Et le vieux keuf, d, jjj, puck, c’est pareil.

Marie Sasseur dit: à

Je pense à ceux qui ont dit hourra Hourris, entre pleurnicheries et pamoison morbide, et là, plus rien, nichts, que dalle. Plus personne pour causer de la langue.

Si Mme Daoud perd tous ses clients, ce qui va inévitablement se produire, les vieux maniaques , des no life en desherence alcoolique sur ce blog, constituent une alternative,

Pablo75 dit: à

Lisant César Aira (« Ideas diversas »), qui cite John Evelyn, je viens de me rendre compte (si mes recherches sont bonnes) qu’il n’a jamais existé de traduction française ou espagnole de son « Journal », contrairement à celui de son ami Samuel Pepys, qui a été traduit autant en français qu’en espagnol.

Étrange…

Jean Langoncet dit: à

Eels – Novocaine For The Soul

Pablo75 dit: à

Lisant Cé.sar Ai.ra (« Ideas diversas »), qui cite John Eve.lyn, je viens de me rendre compte (si mes recherches sont bonnes) qu’il n’a jamais existé de traduction française ou espagnole de son « Journal », contrairement à celui de son ami Samu.el Pe.pys, qui a été traduit autant en français qu’en espagnol.

Bizarre…

Pablo75 dit: à

Étrange: c’est le mot Sam.uel qui ne passait pas dans mon message antérieur.

Jean Langoncet dit: à

Tom Waits – « The Return Of Jackie And Judy »

rose dit: à

des no life en desherence alcoolique sur ce blog, constituent une alternative,

Le premier sujet traité pourrait être moi aussi je viole l’intimité d’une femme comme dit supra.

Psychiatre ce n’est pas psy.
C un sacré cran au dessus.

Marie Sasseur dit: à

La rosse aussi, bonne cliente pour la psychiatrie. D’ailleurs elle a raconté ici avoir déjà épuisé deux psychiatres , et se sert de ce blog comme d’un divan, pour raconter sa vie. A l’aise, et « sans tabou « , la rosse.

JC..... dit: à

PSYCHIATRIE ANALYTIQUE

On a tous besoin d’un divan.

No problem…
IKEA est là pour ça !
(…Kremlin et White House sont déjà équipés…)

JC..... dit: à

DELIRE ARTISTIQUE

« Une banane proclamée œuvre d’art vendue 6,2 millions de dollars à New York

Son acquéreur a promis de «manger la banane pour en faire une expérience artistique unique et honorer sa place à la fois dans l’histoire de l’art et de la culture populaire». » (Le Figaro)

Euh, non ! …Rien.

Marie Sasseur dit: à

On avait déjà vu un prix Goncourt attribué par deux fois à un même écrivain , et voilà qu’en 2024, on a un Goncourt pour deux, comme un fauteuil.

Marie Sasseur dit: à

Le président de l’Academie Goncourt dit n’avoir « aucune déclaration à faire, n’ayant pas les moyens d’investiguer sur cette affaire ».

Sans que l’on comprenne bien quelles investigations pour quelles conséquences.

Mais il a raison, si cela signifie qu’il faut laisser la justice avancer, d’où l’expression, sage : il est urgent d’attendre.

renato dit: à

« Son acquéreur a promis de «manger la banane pour en faire une expérience artistique unique et honorer sa place à la fois dans l’histoire de l’art et de la culture populaire». »

Sachant que la banane a été présentée et vendue pour 120 000 dollars par la galerie Perrotin lors de la foire Art Basel Miami Beach en 2019, elle doit être pourrie à ce jour !

Bonne journée

JC..... dit: à

Cher renato, ces bananes d’artiste ont la vie dure. Elles sont comme ces chrétiens qui croient à la vie éternelle et ne vieillissent jamais…

Hip ! Hip ! Hip ! Houris !!!

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
La rosse aussi, bonne cliente pour la psychiatrie. D’ailleurs elle a raconté ici avoir déjà épuisé deux psychiatres , et se sert de ce blog comme d’un divan, pour raconter sa vie. A l’aise, et « sans tabou « , la rosse.

Vous devez confondre votre vie avec la mienne.

Violeur et menteur.
Je n’ai rien à voir avec vous, mes décisions non plus, et j’en suis fière.

Marie Sasseur dit: à

Heureusement que les archives sont là , pour démentir les mensonges de la rosse.

rose dit: à

Marie Sasseur, journaliste, cette plaie, qui ment comme il respire, viole l’intimité de plusieurs, la mienne j’ai les preuves, et se croit au-dessus des lois. Lorsqu’il se fera choper, je témoignerai à charge.
Y aura les archives.

Marie Sasseur dit: à

Pauvre vieille folle, toxique, qui n’aura-t-elke pas diffamé sur ce blog, à commencer par sa famille.

J J-J dit: à

@ Si Mme Daoud perd tous ses clients,

… je me porte immédiatement candidat pour lui venir en aide, sur son divan… Et pour messieurs Pélicot et Palmade, pour leur quérir des oranges en prison. C’est que l’état de délabrement de la psychiatrie pénitentiaire est dans une véritable catastrophique depuis l’apparition du macronisme.

@ J’aime beaucoup la composition post apocalyptique du nouveau gouvernement fédéral américain. Les méchantes langues le disent peuplé de « saugrenu.es », voilà qui va ravir ses soutiens erdéliens… Iels ont toutes leurs chances,
ma soeur notamment, que l’on verrait bien en conseillère du ministre de la Iustice.
https://www.lemonde.fr/international/article/2024/11/19/quelles-sont-les-premieres-nominations-de-donald-trump-dans-les-ministeres-et-les-hauts-postes-de-sa-future-administration_6403696_3210.html

@ Pour ce prix-là, je veux bien bouffer une banane pourrie si la tronche de mon selfie doit apparaitre dans le Guinesse des raccords.

@ Quoi de neuf sur « la saga Daoude », ce jour :
deux alternatives en une seule ?
(21.11.24_10.12)

MC dit: à

Et Sasseur revint, faute de mieux, à son tromblon favori: son pseudo sur lequel etc etc.

MC dit: à

Notez qu’il y a des choses plus intéressantes. Son degré d’intimité avec la future scribe, par exemple, l’oubli de Houria, dont on souhaitait avant et sur ces pages la traduction. Au fond , tout cela se résume à une conception Algéroise de la psychiatrie….

JC..... dit: à

SAINTE PARITE, BARDEL !

Nous venons d’obtenir la victoire du Bien contre le Mal ! Un triomphe spirituel …

Les patriarches, impuissants, du Vatican viennent de trancher. Manquant de Saintes, ils acceptent de sanctifier toutes les femmes admirables de la République des Livres sauf une, dont le cas est encore à l’étude…

La Cérémonie aura lieu en présence du Pape François à Notre Dame de Paris, le Cardinal Bardella chargé de la chaise roulante fabriquée en Chine. La sécurité sera assurée par 666 Gardes Immobiles, mais diplômés.

Envoyez vos dons à l’adresse suivante :
INSTITUT BARTABACS
Poste restante
Terrasse SUD
PORQUEROLLES

Camarades, merci !

J J-J dit: à

TRAGIQUE ET DIVERTISSANT,

On nous dit que notre Guillaume KASBARIAN, à la « fonction publique », est un fan d’Elon MUSK, qui va nous en remontrer le monde en matière de choc de simplification administrative. Depuis vingt ans, je hais la gauche resistributrice tellement qu’elle m’a déçu…. Donc j’adhère à ceux qui vont enfin nous défoncer tous ces parasites, laisser les pauvres devenir riches, et me redonner un peu du pognon qu’ils ont volé sur mes impôts.
—————
cf… Fiche partiale d’un journal aux abois,
—————
(fait) Elon Musk va prendre la tête du nouveau « département de l’efficacité gouvernementale », aux côtés de l’homme d’affaires Vivek Ramaswamy. Cette nouvelle structure, qualifiée de potentiel « projet Manhattan » du XXIe siècle −en référence au programme de recherche pour créer la bombe atomique–, « apportera des conseils en dehors du gouvernement », a expliqué Donald Trump dans un communiqué. M. Musk doit travailler avec la Maison Blanche et le bureau de la gestion et du budget afin de « mener des réformes structurelles à grande échelle et de créer une approche entrepreneuriale » du gouvernement. Ce projet vise à « envoyer des ondes de choc dans le système » en dérégulant à tout va et en faisant des coupes drastiques dans le budget fédéral, a déclaré Elon Musk dans le communiqué du président élu. Un « classement des dépenses les plus terriblement stupides » sera publié, ce qui « sera à la fois extrêmement tragique et extrêmement divertissant », a annoncé M. Musk sur X après l’annonce de sa future nomination. Les travaux doivent s’achever au plus tard le 4 juillet 2026, jour du 250e anniversaire de la nation. Reste à savoir comment concrètement ce département fonctionnera et comment deux personnalités notoirement égocentriques telles qu’Elon Musk et Donald Trump vont s’entendre à long terme.Elon Musk, dont la fortune est estimée à 250 milliards de dollars, s’est investi dans la campagne de Donald Trump, jusqu’à en devenir un des principaux soutiens.

A l’Etat-providence, substituons l’Etat-starmania !
(l’ami Rit Corée 😉
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Sa S. sera en visioconférence à l’Ajaccio, le 7 décembre, et n’acceptera les dons des erdéliens que s’ils sont venus l’acclamer sur place, et non pas dans les ilôts de PQRL ou de Port Cros. Depuis l’exil de Sénèque, aucun pape n’avait osé franchir le pas corse… Merci François.

pourmapar dit: à

Ces bananes d’artiste ont la vie dure.
Une des trois vient d’ atteindre 5,2 million de dollars aux enchères!

pourmapar dit: à

Ce qu’en pense le philosophe Yves Michaud sur son blog :
 » La banane de Maurizio Cattelan (un des trois exemplaires, paraît-il!) « s’est vendue » 5,2 millions de dollars cette nuit à New York.

Précisons, pour expliquer les guillemets, que la vente a été faite par la maison Sotheby’s, que Sotheby’s, depuis son rachat, appartient à Patrick Drahi, qui l’a transformée en société en nom propre, que Sotheby’s ne publie plus aucun document financier sur son activité devenue totalement opaque et donc…. qu’il n’y a aucune chance qu’on sache si la vente Cattelan a la moindre réalité.

Beaucoup d’enchères aujourd’hui sont fictives: on vend mais le prix affiché est-il exact? Sera-t-il payé? En quelle monnaie de singe? Mystère et boule de gomme. En revanche, ça manipule bien le marché et les gogos, même richissimes sont nombreux – sauf que, comme ils ne sont pas riches pour rien, ils ne paient pas toujours et souvent pas du tout. La société Sotheby’s est, à ma connaissance en vente. Sans être devin, j’entrevois dans ma boule de cristal le jour prochain où Drahi, admirateur de Ponzi, se réfugiera en Israël. Le pays est petit et mal placé au milieu de beaucoup d’ennemis, mais on n’y extrade jamais.

PS Souvenez vous du Salvator Mundi prétendument de Léonard de Vinci. Il est où? A-t-il même été payé! Et si c’est le cas, combien réellement? Pour un Vinci pas trop catholique et bien opportunément Vinci.

Bloom dit: à

1/ Rubrique sémantique :

ATACMS (Army Tactical Missile System /əˈtækəmz/), noms des missiles que les US donne la permission à l’Ukraine d’utiliser sur le terriroire russe est non seulement un acronyme mais un syntgame verbal : Attack’ems = attack them = attaquez-les, comme on dit « dodgems » pour les auto-tamponneuses, contraction de « dodge them(s) »=évitez-les

2/Rubrique « les amis de nos ennemis sont… »
Deux nominations trumpiennes dont on ne peut que se réjouir (‘in a manner of speaking’, comme dirait Sherlock)

– Tulsi Gabbard, directrice du renseignement national, très populaire à la télé d’état russe et fort favorable à Bashar El Asad et à la Syrie, dont elle a dit beaucoup de bien après l’avoir raconté.

– Pete Hegseth, futur ministre de la défense musculeux qui a le corps couvert de tatouages dont certains sont des classiques du suprémacisme blanc et un autre, en latin, « Deus vult » (deus le veult), le cri de ralliement de la première croisade en 1096 (remember?). Cette D.evise, aujourd’hui un des classiques de l’extrême-droite catholique européenne, est également associée aux US à des groupes d’extrême droite mariant nationalisme chrétien et culture des armes à feu (un fabricant d’armes de Floride – cœur battant du trumpisme où on se marre à lagogo – a gravé le slogan sur ses modèle « Crusader » de fusils de type AR-15.
Ben quoi, faut bien se défendre, non? Et défendre la Déclaration des droits, surtout le 2e amendement, parce que la liberté d’expression (1er amendement), c’est juste la leur, pas celle des autres.

Il neige aussi sur le nord-est des US.

Bloom dit: à

l’avoir rencontré…ah, le plaisir…!

J J-J dit: à

@ Et Sasseur revint, faute de mieux, à son tromblon favori
H24, pour la saga Daoud… et plus personne pour la relancer, la pôvrote… L’est trisss, avec sa cornemuse empiergée sur la route, faq aux chères.

pourmapar dit: à

Ce à quoi, uncorrespondant facebook, sur le compte du même philosophe Yves Michaud, Bruno Bret, galeriste professionnel nous apporte d’autres précisions à propos du marché international des œuvres d’art :

Bruno Bret sur fb :
 » En fait, une des questions occultée par la presse française, indigente en matière de journalistes spécialisés dans la culture et particulièrement en économie de la culture, est la qualification des segments des clientèles pour comprendre les motivations d’achats. Jamais un(e) journaliste ne mentionne que la plupart des prix astronomiques payés en salle des ventes pour une œuvre est le fait d’une défiscalisation ! En effet, dans de nombreux pays, cette façon de soustraire des sommes considérables à l’impôt sur les sociétés ou sur la fortune alimente une artificielle politique culturelle par la communication tonitruante qui est faite autour de la mise à disposition du public de telles œuvres.
Nous, sarcastiques français, préférons nous perdre en conjecture sur l’art bidulo-conceptuel et nous interroger malicieusement sur les coûts de remplacement de la banane lorsqu’elle sera trop mûre ! Il est très pratique dans ces régimes fiscaux de n’acheter qu’une seule œuvre (scandaleusement communicante) que d’acquérir pour la même somme des dizaines d’œuvre qu’il faut assurer, entretenir, présenter aux publics, mettre à disposition des chercheurs, prêter à d’autres “institutions”…
Le conseiller financier et l’expert comptable préfèrent une seule facture et contrôler facilement les frais subséquents !
Le conseiller en communication est aux anges avec une œuvre scandaleuse à défendre ce qui évite de s’interroger sur le “sens”, la “ligne” dudit collectionneur qui s’avère très souvent être une holding ou autre trust…
Enfin, la valorisation de la collection est un autre argument qui permet ainsi à une fondation d’acheter puis d’exposer après la commande d’un catalogue dont une partie des articles sont écrits par les “journalistes” et autres “commissaires” impliqués dans cet étroit milieu, pour faire monter la cote dans le quarteron de galeries et salle des ventes complices de ces vertigineuses dépenses.
En fait, la détection des talents est organisée en verticale du fou : l’esbroufe des prix ”médiatiques” est le meilleur moyen de marginaliser à la fois les artistes émergeant (trop nombreux au goût des spéculateurs) et des milliers de rêveurs-fourmis qui, en centre d’art, espaces d’expositions subventionnés et en galeries privées périphériques font l’ingrat travail de présélection sans lequel les pontifiants décideurs auraient plus de travail pour repérer les talents. »

pourmapar dit: à

Le vendeur à la banane!
De 120 000 euros à 5,2 millions de dollars, c’est le Jackpot!

J J-J dit: à

pour ma part, j’ai le commissaire qui prise…

Bloom dit: à

Carlos et Rachida sont dans un bateau, l’effet ni sien ni mien, mais à nous.
Souquez les gones! La deyrouth, c’est tout droit!

J J-J dit: à

@ pmp, rien à voir…, mais si vous ne connaissez pas l’enquête de Postel sur « l’affaire Arnolfini » d’après le tableau de van Eyck, alors je vous recommande un bouquin extraordinaire dont parle son auteur… Cette vidéo est très bien faite. Elle serait propre à vous ravir, je pense.
https://www.youtube.com/watch?v=0HoXbXemXwg
Bien à vous,

Janssen J-J dit: à

On ne sait pas trop ce que pense le philosophe Yves Michaud de Gérard Garouste…
Si vous le savez, dites-le nous, etalii, même avec l’aide de chapgpt ! Bàv,

JC..... dit: à

LIBERTE EGALITE LUBRICITE

« Sa S. sera en visioconférence à l’Ajaccio, le 7 décembre » (Gigi la Visqueuse)

Ma S. sera en string dans la soute du NEMO le 14 juillet 2025 au soir et pour la nuit ! NEMO un bel esquif en mouillage forain au large proche des Iles du Levant. On n’échappe pas à son destin sans en payer le prix !

Qu’on se le dise….

J J-J dit: à

@ Gigi la Visqueuse
Laissez cette insulte convenue à l’imbécile qui l’a inventée en soin CDBF. Elle ne vous honore pas, alors que vous valez quand même un peu mieux.
Ne le visquez pas !… Bàv au bar des tabacs de polricard.

Bill Evola dit: à

A propos de la Banane tripliquée.

La question de l’authenticité est soulevée parallèlement à celle de la définition. Elle suscite des questions de valeur/coût/valeur. Regrouper deux produits de base triviaux et les vendre dans une prestigieuse maison de vente aux enchères, la valeur fait un bond en avant hyper multiplié. Il est intéressant de noter que des offres ont été reçues en crypto-monnaie – analogue à la valeur incertaine de la pièce. Les questions de permanence/conservation/authenticité sont également soulevées. (Il fait partie d’une édition de trois et un kit de réparation est fourni avec un manuel d’instructions.)

J J-J dit: à

JC, et combien vous aura coûté ce NEMO (auditur propriam suam turpitudinem allegans) ? Bon vent pour l’an prochain, si nous n’avez pas fait naufrage entre temps en merdélie… Bàv,

et alii dit: à

banane:
je suis d’avis de consulter la suédoise avec la psychiatre que vous savez pour décider que faire en toute éthique :
la suédoise:Plusieurs journaux ont en effet enquêté sur les demandes de la ministre liées à cette peur. Selon le journal suédois Expressen, l’entourage de Paulina Brandberg veille à ce qu’« aucune trace de banane » ne se trouve sur les lieux où elle se déplace. Le président du Parlement suédois, Andreas Norlén, aurait ainsi demandé s’il était « suffisant si on les rangeait le matin du jour » de sa venue avant de la recevoir. »

et alii dit: à

je souligne que la ministre suédoise ests ministre de l’Egalité entre les femmes et les hommes, face à la polémique de la banane

et alii dit: à

split:
Banana Split (titre original : The Gang’s All Here, littéralement, Toute la bande est là) est un film musical américain en technicolor réalisé par Busby Berkeley, sorti en 1943.
Carmen Miranda, la véritable vedette du film, était présentée au public comme une star brésilienne alors qu’elle est portugaise. Il faut dire que l’Amérique du Sud était très à la mode en 1943, notamment parce que les États-Unis en guerre avaient besoin de bonnes relations commerciales avec ces pays, riches en matières premières, d’où la politique américaine du « Politique de bon voisinage » en vigueur durant ces années-là. Le film s’ouvre d’ailleurs sur une scène portuaire1, où un navire nommé « Brazil » débarque des fruits exotiques. Le style survolté et ultra-coloré de Carmen Miranda correspondait tout à fait, il est vrai, à l’image wiki

une main dit: à

Et alii ne sais pas par quel bout prendre la banane.

Marie Sasseur dit: à

Le MaCaque en folie est sidérant de bêtise.
Il veut a toute fin placer sa « houria » dont il est bien le seul à en imposer la référence à ce pauvre Daoud et madame, alors que rappelons le il ne sait absolument pas de quoi il cause, car , vous allez rire: il n’a pas lu le bouquin de Daoud.

Marie Sasseur dit: à

Il n’y a plus que le torchon le point à hurler au complot, à propos de cette violation de vie privée.

Marie Sasseur dit: à

Je ne sais pas qui est ce Gernelle, mais avec un  » journaliste  » de cette envergure, Daoud et madame sont sauvés, lol.

Marie Sasseur dit: à

Gernelle, qui traite Saada Arbane de menteuse, au motif que Daoud a  » couvert « la guerre civile  » et n’avait pas besoin de lui voler son histoire.

Il se ment à lui même, ce  » journaliste « .

Les sources.
C’est bien là où le bat blesse, je pense.
Car sinon, pourquoi cette compilation de fiches wikipedia dans son , heu, roman ?

Je ne sais pas où y trouver les articles de Daoud qu’il aurait écrits entre 1994 et 2001, mettons. Someone ?

Janssen J-J dit: à

@ Je ne sais pas où y trouver les articles de Daoud qu’il aurait écrits entre 1994 et 2001, mettons. Someone ?

Les éditions Actes Sud ont publié 182 chroniques de KD parues dans le quotidien d’Oran de 2010 à 2016, sur les 2000 textes publiés durant son métier de journaliste. Rien n’indique hélas comment les chroniques de ses indépendances (un très bon document) furent sélectionnées. La préface de Sid Ahmed Semiane est cependant instructive sur la diversité de ses réflexions au quotidien. Après le passionnant « Meursalt, contre enq »uête » et le très décevant Zabor », les chroniques de « ses indépendances » m’avaient convaincu d’être véritablement en présence d’un très bel écrivian prometteur, à l’égal d’un Boualem Sansal. Si l’on veut rechercher dans les chroniques une préoccupation pour le futur personnage de Houri, je n’en ai vu qu’une, « l’Affaire de l’Egorgé qui parle en nous » publiée le 27 septembre 2014… Cela dit, ses Chroniques sont remplies d’allusions très directes au drame qui ensanglanta l’Algérie durant les « années salafistes » vis à vis duquel il ne s’est jamais défilé.
J’espère que d’autres écrits journalistiques de KH seront traduits en français isus des années 1990. Je lui garde mon infinie reconnaissance en dépit des saletés que MS et autres déversent sur lui aujourd’hui. Cela dit, si ses collègues journalistes jaloux qui le démolissent aujourd’hui à cause de sa prétendue « traitrise », veulent bien nous donner des biscuits, nous serions évidemment preneur…. Pour l’instant, c’est le sort de Boualem S. qui me préoccupe grave. J’espère qu’il va réapparaître…
https://www.actes-sud.fr/kamel-daoud-mes-independances (voir notamment la séquence youtube 2.45 à 3.59)
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ car, vous allez rire : il n’a pas lu le bouquin de Daoud.

Euh… et il l’a dit, comme vous l’avez dit vous -même et répété. Vous n’avez guère relu que la chronik de Passoul, comme il en va de toutes les Bayard de votre cariotype.. Et cela vous a suffi !.. Taisez-vous donc, pour une fois, malpropre, au lieu de vous faire accroire à votre lucidité supérieure au commun, avec cet habituel aplomb et mauvaise foi dénotant la vulgarité fielleuse de votre indécrottable PN, comme chacun.e le sait depuis trop bien, icite. Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Je ne sais pas où y trouver les articles de Daoud qu’il aurait écrits entre 1994 et 2001, mettons. Someone ?

Marie Sasseur dit: à

Les articles correspondant à sa couverture de la guerre civile, ma demande est on ne plus précise.

Marie Sasseur dit: à

Quelle est la plus value de cette  » couverture  » , à ce roman ?

Ma demande, la encore extrêmement précise.
On sait par exemple, les derniers en date, ce que Norek et Quentin ont apporté à leurs derniers romans respectifs , oar leur propre enquête de terrain.
Mais Daoud, Quelle plus value, en dehors de l’histoire personnelle de Saâda Arbane ? et un quizz wikipedia pour le jeu des mille euros ou des chiffres et des lettres ?

B dit: à

John Brown était atteint d’un cancer de la prostate et nous a malheureusement définitivement quittés.

Marie Sasseur dit: à

@ vieux keuf immonde, vieux sale et lâche.

Tu reprendras le chapitre 27 exactement, tu te reporteras ensuite aux liens, nombreux que j’ai posté sur la tuerie de Had Chekala .
Et une erreur énorme te sautera a la gueule. Preuve s’il en était besoin, du cynisme ? d’un écrivain qui ne se souvient sans doute plus de sa « couverture » de l’événement. Et se fout de l’Histoire.

Et enfin: Va te laver la gueule , ce n’est pas en vain, que tu vas harceler encore longtemps, sur ce blog. Sinistre imbécile, qui ne sait pas lire

closer dit: à

Quitte à parler d’un écrivain algérien, il me paraît plus urgent de parler de celui-ci:

« L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal aurait été arrêté à l’aéroport d’Alger samedi dernier, alors qu’il descendait d’un avion en provenance de Paris. Depuis, ses proches et ses éditeurs en France restent sans nouvelle et tirent la sonnette d’alarme. Il était accompagné d’un journaliste français ou franco-algérien dont l’identité n’a pas été confirmée. Celui-ci reste également injoignable depuis leur atterrissage. Leurs téléphones portables ont été débranchés.

De sources concordantes mais non officielles, les deux hommes seraient aux mains des services de sécurité algériens et mis au secret depuis six jours. Ils seraient accusés d’«intelligence avec l’ennemi», sans que l’on sache sur quels faits s’appuie ce grief, ni de quel «ennemi» il s’agit. Vraisemblablement, le pays visé serait la France, dont Boualem Sansal a obtenu récemment la nationalité. L’ambassade et le consulat français à Alger cherchaient également jeudi à clarifier leur situation. »

Jazzi dit: à

On a appris le décès, à l’âge de 94 ans, de Marie-Claude Mauriac, petite-fille de Robert Proust, le frère Marcel.

Jazzi dit: à

92 ans, pardon !

J J-J dit: à

@ ma demande est on ne plus précise. On n l’avait compris, mais il n’y a pas de réponses en ligne sur la toile ni sur le site du quotidien d’Oran qui n’a pas encore mis ses archives en ligne (interdition pour tous les journaux de le faire depuis la loi dite de Réconciliation). On peut néanmoins consuler les archives du journal sur place, à condition de motiver une demand qui devra être visée par la sécurité intérieure algérienne. Reste enfin à formuler une demande directe à KD lui-même ou à son épouse, (ou à leurs avocats), en vous faisant passer pour Elise Lucet, par exemple.
Bon courage pour vos investigations à charge. Tenez nous au courant à l’herdélie, nous sommes impatients de connaître la suite de votre feuilleton daoudien. Bàv,

B dit: à

MS, je n’ai pas pris la peine d’explorer toute cette matière à disposition, c’est une affaire qui regarde la justice et, la révolte, la colère, la rage qui vous animent me sont étrangères bien que le procédé s’il est avéré ne soit honnete, pas déontologique ni respectueux. Vous avez raté une vocation de magistrat (dont le rôle ne consiste pas à demander une lapidation sur la place publique). Il me semble que les journalistes et les juristes font leur travail et si un coup de projecteur sur des faits est utile, votre acharnement se lira comme une preuve d’une intransigeance fondée sur une absolue intégrité et un parcours sans faute. Il ne nous appartient pas d’évaluer et de juger la faute de KD et de son épouse s’il y a reconnaissance de cette faute par les services compétents. Merci pour ces info capitales .

Janssen J-J dit: à

Cessez vos injures ordurières, SVP (genre : vieux keuf immonde, vieux sale et lâche, Va te laver la gueule, Sinistre imbécile), On en connait désormais l’inépuisable panoplie répétitive. Anéfé, vous ne vous rendez pas un fier service. Nous sommes d’ailleurs sûrs qu’aucune erdélienne digne de ce nom, ne saurait s’exprimer de la sorte, même en trolant toute la journée sur les routes. Bàv,

B dit: à

L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal aurait été arrêté

Oui, exactement avec la personne, un homme, qui l’accompagnait. Le régime se durcit.
La dernière fois que je l’ai vu, invité par Arte, il ressemblait à un indien d’Amérique du nord.

Janssen J-J dit: à

M-C Mauriac ?… Quel lien avec Claude, jzman ? Et avec Anne Wiazemski ? On s’y perd.

Janssen J-J dit: à

@ B., Le concours de la magistrature, hélas, elle l’a raté comme tous les autres, dieu merci… Il faut dire qu’elle avait pas mal de casseroles sur son B1 et B2 (elles y sont toujours) et qu’on ne rigole pas avec ça quand on va faire ses classes à l’ENM de Bordeaux. On l’aurait jamais foutue au Parquet, de toute façon… ! Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Ma demande ne concerne que ceux qui ont lu, je dis bien : lu, ce  » roman  » de Daoud.

Pour le reste, je vais attendre avec intérêt la suite qui sera donnée au volet de l’affaire concernant la violation de la vie privée de Saâda Arbane et l’instrumentalisation qui en est faite.
Un pillage, une prédation, qui provoquent un dégoût énorme.

Le volet plus politique de contravention à la charte de réconciliation me paraissant plutôt relever de luttes d’influences politiques, et il restera à prouver une intention délibérée d’y contrevenir, sachant que des œuvres de fiction sur cette même période de l’histoire algérienne n’ont pas été interdites de publication, dont le roman  » Houaria  » déjà cité plusieurs fois.

x dit: à

M’enfin, 3 J, si vous avez lu Le temps immobile, vous savez bien que Marie-Claude était la femme de Claude Mauriac ! Et Anne W. leur nièce (fille de la sœur de Claude et donc petite-fille de François Mauriac)

B dit: à

Vous l’avez lu finalement autre part qu’au supermarché ? Je n’ai pas l’intention de lire ce livre néanmoins je pense que sans avoir lu je comprends à quoi vous vous attachez, outre le style, le fond que vous n’étiez pas admirable.

B dit: à

N’estimez pas.

Patrice Charoulet dit: à

INGRAT(ITUDE)

On n’aime point à voir ceux à qui l’on doit tout. (Corneille

L’ ingratitude est ma bête d aversion. (Mme de Sévigné)
*
Souvent les bienfaits nous font des ennemis. (Mme de Sablé)
*
On donne aisément des bornes à sa reconnaissance. (La Rochefoucauld)
*
On ne trouve guère d’ ingrats, tant qu’ on est en état de faire du bien. (La
Rochefoucauld)
*
Toutes les fois que je donne une place vacante, je fais cent mécontents et un ingrat. (Louis XIV)
*
Il y en a beaucoup qui n’ ont que la mémoire du service présent. (Diderot)
*
Les égards font moins d’ ingrats que les services, parce que les égards parlent à la vanité, et que les services ne s’adressent qu aux besoins. (Rivarol)
*
Les malheureux sont ingrats ; cela fait partie de leur malheur. (Hugo)
*
Les hommes ne s’ attachent point à nous en raison des services que nous leur rendons, mais en raison de ceux qu’ ils nous rendent. (Labiche, “Le Voyage de Monsieur Perrichon”, 1860)
*
Avant d’ obliger un homme, assurez-vous bien d’ abord que cet homme n’ est pas un imbécile. (Labiche, 1860)
*
L’ingratitude est une variété de l’orgueil. (Labiche, 1860)
*
Les gens n’ aiment pas plus tenir leur bonheur des mains d’ un autre que les anguilles à être écorchées vives. (Théodore de Banville)
*’
Il n’ y a rien qui ne s’oublie devant les services, non pas rendus, mais à rendre. (Thiers, 1868)
*
Je n’ai pas d’ennemis : je n’ai rendu service à personne. (Renan)
*
Les gens se vengent des services qu’ on leur rend. (Céline, 1932)
*
On oublie toujours ceux qui vous ont fait du bien. (Guitry)
*
On est ingrat pour les services, mais reconnaissant pour les égards. (André Siegfried)
*
L’ ingratitude est la disposition affective caractéristique de notre temps.(Finkielkraut, 1999)

Janssen J-J dit: à

@ petite x, oui je le sais bien, mais c’est histoire de voir si l’herdélie suit bien.
Merci pour votre réaction. J’ignore qui vous êtes, et je ne crois pas avoir communiqué courtoisement avec vous, tellement vous m’impressionnez depuis longtime par votre votre culture littéaire sapientiale (probably l’une des moins discutables parmi toute cette sympathique bande de péteurs.euses), Souvenez-vous surtout du roman de Claude, « toutes les femmes sont fatales »… qui avait enchanté mon pote Michel, durant qu’il faisait son SM service militaire… Pardon pour cet élément d’autobiog public, mais c’est aussi un clin d’oeil à lui adressé). Bàv, x.

D. dit: à

Pourquoi la neige m’est aussi désagréable ? Cela demanderait sans doute une analyse ou une autoanalyse.
Rien ne me déprime autant que la neige, son froid humide, l’espèce de luminosité étrange qu’elle génère et jusqu’au son qu’elle semble manger, les perturbations et servitudes pénibles qui en découlent…cette bouillasse dégoutante sur les trottoirs…
Que j’aime la montagne au printemps et en été mais vous n’imaginez pas combien je la déteste l’hiver.

J J-J dit: à

@ le roman » Houaria »
Ahurie ? Personne n’a jamais écrit cela, c dans votre tête un brin enfin calmée ? Assez de Hard Cèlement, SVP… Vous risquez gros, comme Pélicot-Palmade ! SOngez à affece vos images pédoporno de votre ordi. Nos cyberflics sont sur vos traces, ma soeur !
Tchin, à tous.tes autres, c l’heure. Un whisky tourbé de 15 ans d’âge en Ecosse me suffira. Délicieux. La jouréne fut rude mais le déménagement approche enfin (Déméco, dans une semaine). Ici pas mal de vent mais aucune neige. Le temps est resté doux..L. On nous a fait parvenir des images de Paris sous la neige… Etbé, qu’ils y restent… Hein
Bàv @ RM et JL, notamment. De braves types, le soir, quand vient le soir, avant le dîner.

Janssen J-J dit: à

C’est que vous avez perdu votre âme d’enfant, D., et en voulez à la terre entière d’avoir mal vieilli avec vos poules, je pense… Votre dieu ne vous a hélas donné que des passions tristes. On se demande bin pkoi vous continuer à l’aduler, au lieu de l’acide uler 🙂 Tchin,

Marie Sasseur dit: à

Et ses soutiens, en France, sont des genss influents: tout le clan de Montretout.

vadeboncoeur dit: à

B. Sansal dans le journal l’ humanité »

L’auteur du Train d’Erlingen ou la métamorphose de Dieu (2018) déclarait également : « L’islamisme gagne du terrain, le pouvoir est ontologiquement incapable de se réformer et de réformer le pays, et les hirakistes sont trop divisés pour dégager une ligne médiane qui ne serait ni islamiste ni anarchiste, à partir de laquelle on peut construire un État moderne et former des majorités stables capables de gouverner. » Selon le Monde, Emmanuel Macron, en voyage au Chili, se serait dit “très préoccupé” par la situation de l’écrivain. »
https://www.humanite.fr/monde/algerie/lecrivain-boualem-sansal-arrete-et-emprisonne-en-algerie

Jean Langoncet dit: à

@« L’islamisme gagne du terrain, le pouvoir est ontologiquement incapable de se réformer et de réformer le pays, et les hirakistes sont trop divisés pour dégager une ligne médiane qui ne serait ni islamiste ni anarchiste, à partir de laquelle on peut construire un État moderne et former des majorités stables capables de gouverner. »

Intéressant ; transposé chez d’autres passés à l’action, y ajoutant une dimension ethnique et suprémaciste, on tient la réplique des nazis du 21ème siècle …

Marie Sasseur dit: à

Si le président Macron se dit très préoccupé, B. Sansal peut être rassuré.

Jean Langoncet dit: à

la réplique des nazis du 21ème siècle > la réplique des nazis au 21ème siècle

Marie Sasseur dit: à

Et puis Sansal, décidément très réseau,
a aussi un ami d’origine algérienne qui se demande ce qui lui est arrivé, c’est un certain zemmour, prenom eric.

D. dit: à

pkoi vous continuer à l’aduler, au lieu de l’acide uler 

Vade retro, Satanas !

Chaloux dit: à

De qui cette grosse cxnne d’Assasseure fait-elle le jeu?
Le comprend-t-elle, elle-même? M’étonnerait.

Quant à Bloomie, l’abus des enfants l’attriste profondément lorsque leurs bourreaux sont chrétiens. Beaucoup moins lorsqu’ils ne le sont pas.

Tous, retrouvez votre raison!

Toutes mes pensées les plus inquiètes et les plus fraternelles à Boualem Sansal qui, bien qu’il soit écrivain, ne s’est jamais payé de mots. Une grande leçon.

Marie Sasseur dit: à

Le gros connard d’huissier véreux a des pudeur de jeune fille.
C’est bientôt l’heure pour lui de remplir son vase de nuit.

Chaloux dit: à

Je ne comprends pas pourquoi D déchaîne autant de violence gratuite. Parce qu’il n’est pas dans la doxa totalitaire de type Bloomie? Pauvre, dérisoire Bloomie, incapable de voir que ce sont ses « engagements » qui nous ont menés là où nous sommes, et que son monde de petits profiteurs-brxnleurs de la gauche est définitivement aboli. Plus aucune perspective pour lui que de continuer à brailler dans sa soupente.
Comme notre ami brésilien, j’apprécie l’humour de D. et la singularité de ses points de vue.
Tout mon soutien.

La mort de Claire Gallois, grande amie de ce cher Matthieu Galey, semble passer inaperçue.

Didier Maïsto, qui n’est pas précisément d’exrême-droite, se demande si un certain populisme ne serait pas une étape obligée vers autre chose. C’est aussi l’une de mes interrogations. Nous sommes à nouveau dans un grand laboratoire.

La porte de sortie semble bel et bien s’ouvrir toute béante devant l’incapable néant Macron. Joie, pleurs de joie.

Bonne soirée.

Marie Sasseur dit: à

Je ne connaissais pas cette chaîne YouTube ou Sansal donne de la voix, comme il apparaît dans cet article du monde.
Une chaîne d’extrême-droite qui sponsorise son ami eric.
L’huissier véreux qui vote chardonne et morand et toute la saloperie collabo,
doit connaître.

« Son arrestation semble confirmer un raidissement des autorités, peut-être lié à ses déclarations polémiques sur le média Frontières sur YouTube, très largement reprises par les médias marocains. »

Du coup on sait mieux pour qui roule cet iconoclaste en France; mais en Algérie, on sait pas trop, pour le Maroc?
Il est transfrontalier cet homme là.

D. dit: à

Le mot à la mode en ce moment est : escalatoire. Probablement parce qu’il ressemble à enculatoire.
Les deux sont dans le dictionnaire de l’Académie de ChatRoulette.

Rosanette dit: à

JJJ
la dame qui vient de mourir, petite-fille de Robert Proust, est elle la mère ou la grand mère de Nathalie Mauriac qui a fait la nouvelle edition de Proust dans la Pleiade?

Marie Sasseur dit: à

En confirmation d’une information que j’ai mise en lien il y a quelques temps, les choses se précisent ce jeudi 21 novembre et qui selon moi, sont équitables dans la dénonciation de crimes de guerre et crimes contre l’humanité :

« La Cour pénale internationale (CPI) émet des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l’ancien ministre israélien de la Défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas Mohammed Deif. »

Chaloux dit: à

Pas assez pilonnée, l’Assasseure.Trop laide, trop repoussante guenuche. Dégâts irrémédiables.

Jean Langoncet dit: à

Amoreena

Chaloux dit: à

C’est sa mère.

Marie Sasseur dit: à

Crissian a mis son bonnet de nuit, et pris son vase à 5 francs.

Jean Langoncet dit: à

Up Against the Wall Motherfucker

Marie Sasseur dit: à

Ça m’est revenu cette histoire de crissian a Pleyel , lorsque l’huissier véreux déroulait toute sa bibli collabo. Le vicieux.

Chaloux dit: à

Les vieilles filles, il leur manque quelque chose quelque part.

Jean Langoncet dit: à

Up Against the Wall Motherfucker > Up Against the Wall Motherfucker(s)

Jean Langoncet dit: à

Grateful Dead – Dire Wolf (2020 Remaster)

Jean Langoncet dit: à

Rions encore un peu

« « Désarmer l’Empire Bolloré » : 80 libraires signent une tribune contre la concentration dans l’édition »

Marie Sasseur dit: à

Seule pensée réconfortabte a opposer a ce délinquant qu’un signalement à l’autorite de tutelle devrait calmer : de pauvres femmes sont à l’abri, doublement, pour 5 mois, des exactions de l’huissier véreux.

Jean Langoncet dit: à

New Speedway Boogie

Chaloux dit: à

C’est ça, signale, vieille folle, quand ils verront d’où ça vient, ils rigoleront un brin… Avec ton passif ici.

Marie Sasseur dit: à

Crissian, gros cochon sur le net, rira moins gras, bientôt.

rose dit: à

Boualem Sansal s’est toujours fait un devoir de rester en Algérie, dans la ville de Boumerdès, à une cinquantaine de kilomètres à l’est d’Alger, où, jusque-là, il n’avait pas été inquiété par les autorités.

In Le Monde. Fr

L’Argentine et le Chili, leurs frontières établies, modifiées.etc.
Etc.
Boualem Sansal, arrêté alors qu’il vient d:obtenir la nationalité française, et compte s’installer en France.

La Corée du nord.

Jean Langoncet dit: à

The Band – Smoke Signal (Remastered)

Rosanette dit: à

La qualité d’écriture que j’avais appréciée dans le recueil des articles de Daoud dans El Watam a rendu d ‘autant plus décevante ma lecture de Houris , qui comme je l’ai déjà écrit n’est pas u vrai roman mais une histoire mal ficelée et peu convaincante prétexte a des reportagessur la décennie noire
Quand a reprocher a Daoud le fait d’avoir été inspiré par une histoire vraie, ce n’est pas recevable
c’est un procès qu’on a jamais fait a Flaubert Stendhal,ou Dumas qui ont créé leurs heroines a partir de faits divers

Chaloux dit: à

Ma pauvre Assasseure, tu es vraiment syphonnée!

Rosanette dit: à

@Chaloux
merci

Jean Langoncet dit: à

Bob Dylan – Just Like Tom Thumb’s Blues (Official Audio)

x dit: à

Rosanette, Marie-Claude Mauriac était la mère de Nathalie Mauriac Dyer et l’épouse de Claude Mauriac.

Jean Langoncet dit: à

The Brian Jonestown Massacre – Nevertheless – Live in London

Jean Langoncet dit: à

If 6 Was 9

Chaloux dit: à

Je vous en prie.

Jean Langoncet dit: à

The Dandy Warhols – Godless

x dit: à

Par ailleurs, du côté paternel, Marie-Claude Mauriac était la petite-nièce d’Edmond Rostand.

Jean Langoncet dit: à

Doc’s Guitar (Tickling The Strings) / Black Mountain Rag (Live At Newport Folk Festival / 1963)

Marie Sasseur dit: à

@Quand a reprocher a Daoud le fait d’avoir été inspiré par une histoire vraie, ce n’est pas recevable

Que ça plaise ou non une première plainte a été déclarée recevable, et cela n’a rien à voir avec flobere, quelle idiotie.

https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2024/11/21/une-plainte-visant-kamel-daoud-prix-goncourt-2024-et-son-epouse-a-ete-acceptee

Je suis très rassurée pour ma part, de voir que les droits de Saâda Arbane ne sont pas bafouée, c’est un soulagement de constater que ceux qui ont voulu tirer profit de l’horreur de ce qu’à vécu cette jeune femme devront répondre de leurs actes.

Pour le second volet, qui vise une atteinte à la charte de réconciliation, je pense , a la lecture de certains passages, et au delà du cynisme un peu gore, qu’il y a matière à instruire une forme de révisionnisme, pour ce texte qui reste de toute façon très politique, et avant tout: vindicatif.
Pas sûr qu’il s’en sorte, si en face ils mettent des historiens.

Marie Sasseur dit: à

Je suis très rassurée pour ma part, de voir que les droits de Saâda Arbane ne sont pas bafoués, c’est un soulagement de constater que ceux qui ont voulu tirer profit de l’horreur de ce qu’a vécu cette jeune femme devront répondre de leurs actes.
Là.

B dit: à

la fiche wiki de B Sansal:

Le père de Boualem Sansal, Abdelkader Sansal, est issu d’une famille aisée du Rif ayant fui le Maroc pour l’Algérie, et sa mère Khadjidja Benallouche a reçu une éducation et une instruction « à la française »1. Boualem Sansal a une formation d’ingénieur de l’École nationale polytechnique d’Alger ainsi qu’un doctorat d’économie.

B dit: à

et, fait significatif, il a vécu en Algérie et sait de quoi il parle.

B dit: à

D, la neige étincelante et immaculée dans la campagne, la ville ouatée dans sa blancheur, le crissement des pas quand le mercure tombe sous zéro, cette féerie d’arbres habillés de givre. Si vous ne la subissez pas elle est la source d’ une épiphanie et d’ambiances rares. Ceci dit, il neige exceptionnellement ici et la dernière fois que je suis allée admirer un paysage enneigé ma voiture et moi-meme avons tâté du fossé en raison du verglas, traitre ennemi.

MC dit: à

«Je suis très rassurée pour ma par de voir que les droits de Saadane Arbane ne sont pas bafoués «  . C’ est du haut comique ou quoi ? Et Sansal, il ne vous inspire rien?

MC dit: à

L’effacement du Prix Jean Bernard en Prix Littéraire de l’ Académie de Médecine mériterait aussi une étude…

Jean Langoncet dit: à

Burn Down The Mission

Jean Langoncet dit: à

T.Rex – Lean Woman Blues

Jean Langoncet dit: à

Salut salut aux sionistes dans leurs petits souliers, depuis peu

rose dit: à

Rosanette

Les faits divers, certes, mais le cabinet d’une psychiatre épouse de l’écrivain, non.

Jean Langoncet dit: à

T. Rex – Lean Woman Blues (Working version)

rose dit: à

B dit: à
et, fait significatif, il a vécu en Algérie et sait de quoi il parle.

Longtemps et très récemment encore. Espérons son retour à la maison imminent.
Et pas de tortures.

rose dit: à

B.
Il a arrêté de pleuvoir, pas de relai encore avec la neige.🤗

Jean Langoncet dit: à

@Salut salut aux sionistes dans leurs petits souliers, depuis peu

Des imposteurs de longue date

Jean Langoncet dit: à

La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé ce jeudi 21 novembre rejeter deux recours formés par Israël et émettre des mandats d’arrêt contre le Premier ministre Benyamin Nétanyahou et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant. D’après le communiqué de l’instance, le procureur de la CPI les accuse de «crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis au moins du 8 octobre 2023 jusqu’au 20 mai 2024» dans la bande de Gaza, justifie la CPI.
source : fantaisiste

Jean Langoncet dit: à

Them – Gloria (Live in France)

Jean Langoncet dit: à

Bob Dylan, Van Morrison, Tupelo Honey, Slane Castle 08.07.1984

Jean Langoncet dit: à

Van Morrison – Caravan (Live) (from..It’s Too Late to Stop Now…Film)

Jean Langoncet dit: à

Where To Now St. Peter?

et alii dit: à

j’ai le ssentiment que c’est au prix goncourt que l’on devra de reconsidèrer les conditions de « publicité » de l’histoire de l »invitée »de la psy

et alii dit: à

Olga Kosakiewicz (ukrainien : Ольга Козакевич), née le 6 novembre 19151 (ou 19172) à Kiev et morte en 1983, est une personnalité française d’origine en partie ukraino-polonaise. wiki

rose dit: à

« Les haïtiens le méritent. »

Mais, qu’est ce que cela veut dire cette phrase à la « c.. » ?

rose dit: à

Les ukrainiens et les palestiniens le méritent-ils aussi ?

Bientôt, on va le supplier « taisez-vous par pitié, taisez-vous. » On lui donnera des carrés de chocolat, pour qu’il se taise. On ne parle pas la bouche pleine.

Marie Sasseur dit: à

« Quand a reprocher a Daoud le fait d’avoir été inspiré par une histoire vraie, ce n’est pas recevable
c’est un procès qu’on a jamais fait a Flaubert Stendhal,ou Dumas qui ont créé leurs heroines a partir de faits divers » deachach

Il faut se frotter les yeux , pour essayer de comprendre ce que ce commentaire ébouriffé de la tête veut dire. Et quel négationnisme est à l’oeuvre dans ce relativisme que je trouve absolument odieux, immonde.

Les massacres perpétrés pendant la guerre civile algérienne sont des faits divers ?
Saâda Arbane est à considérer comme un personnage de fiction ?

Non! stop !.

Il sera prouvé que les éléments biographiques , nombreux et parfaitement précis ,du personnage de Aube dans ce texte de Daoud ne peuvent appartenir qu’à,Saâda Arbane, et uniquement à elle.
Ce faisceau d’indices ne dont ni du hasard, ni fortuit.
Ils ont été pillés dans un dossier médical quu devait normalement être protégé, ils ont été pillés par des personnes qui connaissaient personnellement Saâda Arbane, rescapée a l’âge de 6 ans, oui 6 ans, de tueries de masse qui ont eu lieu en Algérie dans les années 90.
Laquelle avait au préalable opposé un refus très clair, et ferme, a ces mêmespersonnes, à toute proposition d’écrire son histoire qui s’inscrit de manière horrible, dans cette tragédie historique.
C’est en l’état que se présente me dossier, au lecteur.
Et qui provoque un dégoût énorme, pour la femme que je suis , comme beaucoup d’autres.

Ces éléments biographiques réutilisés très grossièrement, pour brosser le personnage de Aube, dans le texte de Daoud permettent dans aucune ambiguïté, aucune ambiguïté, de reconnaître Saâda Arbane.
Le plus évident est qu’elle a subi une tentative d’egorgement qui a laissé des séquelles physiques, qu’elle est seule à présenter à son âge , dabs toute l’Algérie.
Oui, comme elle l’affirme, avec pudeur, dans cet entretien tv.
Pourquoi peut elle se permettre de l’affirmer avec force et détermination ?
Parce qu’une héroïne de l’histoire algerienne a croisé le chemin de cette enfant, apres qu’elle a été découverte au milieu d’un charnier et amenée a l’hôpital.
Une femme décédée en 2022.
La seule qui avait jusque là sans doute fait peur à Daoud et l’avait empêché, par son statut, qu’il détruise ,- ou en ait l’intention-, une vie qu’elle avait passé 29 ans, patiemment à reconstruire, avec l’amour d’une mère, celui fait à l’aube, à Saâda Arbane.

La question subsidiaire, comme Daoud a-t- il pu penser ne serait-ce qu’un instant que cette violation de vie privée resterait un petit  » emprunt  » ?

Si encore ce qui apparaît comme un délit dans la loi algérienne et objet de l’action justice inventée contre Daoud et son épouse, donnant au lecteur, aux lectrices surtout, un sentiment de gratitude pour un récit qui grandit et rassemble. Comme celui de G. Faye.

Mais non.
Un texte aigre, confus vindicatif, mal écrit, plus qu’approximatif dans les fausses historiques relaté montrant au mieux une méconnaissance des faits rapportés ou une volonté de s’en servir pour flatter un voyeurisme bestial, donner au lecteur peu curieux une construction intellectuelle , où la haine, plus que la remediation, est moteur.

Cachez votre honte, monsieur, madame.

Marie Sasseur dit: à

Innombrables fautes de clavier, que je ne corrigerai pas.
Ultimes traces de mon dégoût profond et de ma colère.

Marie Sasseur dit: à

Texte corrigé, pour Saâda

« Quand a reprocher a Daoud le fait d’avoir été inspiré par une histoire vraie, ce n’est pas recevable
c’est un procès qu’on a jamais fait a Flaubert Stendhal,ou Dumas qui ont créé leurs heroines a partir de faits divers » deachach

Il faut se frotter les yeux , pour essayer de comprendre ce que ce commentaire ébouriffé de la tête veut dire. Et quel négationnisme est à l’oeuvre dans ce relativisme que je trouve absolument odieux, immonde.

Les massacres perpétrés pendant la guerre civile algérienne sont des faits divers ?
Saâda Arbane est à considérer comme un personnage de fiction ?

Non! stop !.

Il sera prouvé que les éléments biographiques , nombreux et parfaitement précis ,du personnage de Aube dans ce texte de Daoud ne peuvent appartenir qu’à Saâda Arbane, et uniquement à elle.
Ce faisceau d’indices ne sont ni du hasard, ni fortuits.
Ils ont été pillés dans un dossier médical qui devait normalement être protégé, ils ont été pillés par des personnes qui connaissaient personnellement Saâda Arbane, rescapée a l’âge de 6 ans, oui 6 ans, de tueries de masse qui ont eu lieu en Algérie dans les années 90.
Laquelle avait au préalable opposé un refus très clair, et ferme, a ces mêmes personnes, à toute proposition d’écrire son histoire qui s’inscrit de manière horrible, dans cette tragédie historique.
C’est en l’état que se présente le dossier, au lecteur.
Et qui provoque un dégoût énorme, pour la femme que je suis , comme beaucoup d’autres.

Ces éléments biographiques réutilisés très grossièrement, pour brosser le personnage de Aube, dans le texte de Daoud permettent sans aucune ambiguïté, aucune ambiguïté, de reconnaître Saâda Arbane.
Le plus évident est qu’elle a subi une tentative d’égorgement qui a laissé des séquelles physiques, qu’elle est seule à présenter à son âge , dans toute l’Algérie.
Oui, comme elle l’affirme, avec pudeur, dans cet entretien tv.
Pourquoi peut-elle se permettre de l’affirmer avec force et détermination ?
Parce qu’une héroïne de l’histoire algérienne a croisé le chemin de cette enfant, après qu’elle a été découverte au milieu d’un charnier et amenée a l’hôpital.
Une femme décédée en 2022.
La seule qui avait jusque là sans doute fait peur à Daoud et l’avait empêché, par son statut, qu’il détruise ,- ou en ait l’intention-, une vie qu’elle avait passé 23 ans, patiemment à reconstruire, avec l’amour d’une mère, celui fait à l’aube, à Saâda Arbane.

La question subsidiaire, comment Daoud a-t- il pu penser ne serait-ce qu’un instant que cette violation de vie privée resterait un petit » emprunt » ?

Si encore ce qui apparaît comme un délit dans la loi algérienne et objet de l’action justice inventée contre Daoud et son épouse, donnait au lecteur, aux lectrices surtout, un sentiment de gratitude pour un récit qui grandit et rassemble. Comme celui de G. Faye.

Mais non.
Un texte aigre, confus vindicatif, mal écrit, plus qu’approximatif dans les faits historiques relatés montrant au mieux une méconnaissance des faits rapportés ou une volonté de s’en servir pour flatter un voyeurisme bestial, donner au lecteur peu curieux une construction intellectuelle , où la haine, plus que la remédiation, est moteur.

Cachez votre honte, monsieur, madame.

Marie Sasseur dit: à

et merde, lire
objet de l’action justice intentée contre Daoud et son épouse

rose dit: à

De Lydie Turco, documentaire
« Alexandre Baguet, chef du service addictologie du CHU de Rouen
Extrait du documentaire « Le docteur et la femme médecine » de Lydie Turco

Il poursuit : « Est-ce qu’on pourrait envisager dans cette logique-là que l’addiction, ce soit une maladie en lien avec l’extinction de ce feu avant qu’il soit ravivé ici ?

Shianne : Je t’aime, tu es génial ! Le chagrin que les gens ressentent, qui les pousse à passer à l’acte avec l’addiction est une perte en lien avec la relation qu’ils ont avec la Terre, eux-mêmes et l’esprit, leur communauté. Donc oui, c’est un symptôme de cette perte. Et ceci est une reconnexion. » »

rose dit: à

Parce qu’une héroïne de l’histoire algérienne a croisé le chemin de cette enfant, après qu’elle a été découverte au milieu d’un charnier et amenée a l’hôpital.
Une femme décédée en 2022.
La seule qui avait jusque là sans doute fait peur à Daoud et l’avait empêché, par son statut, qu’il détruise ,- ou en ait l’intention-, une vie qu’elle avait passé 23 ans, patiemment à reconstruire, avec l’amour d’une mère, celui fait à l’aube, à Saâda Arbane.

Qui est cette femme ?
Qu’a -t’elle fait avec Saada ?

Marie Sasseur dit: à

La réponse est tellement magnifique que je la garde pour moi.

Le seul rayon de soleil dans cette affaire très, très, très, glauque.

And now, snow.

rose dit: à

Paris a gardé toute la neige que pour elle

Nous, les pequenots abrutis avons que nib, que dalle.

J’ai fait un rêve extraordinaire et je me suis réveillée avant la fin. Tellement magnifique que, pour l’instant, je ne le garde que pour moi. Je pense pourtant très vite le partager, après mon cours d’italien.

rose dit: à

Paris a gardé toute la neige que pour elle.

Salauds de gros égoïstes.

Ah, mais pour une fois que vous allez pouvoir être heureux, laissons-vous vivre cette chance.

Marie Sasseur dit: à

La rosse déjà hs à 7 h du matin, aura tout loisir de consulter Mme Daoud, dans le grand hôpital parisien, où elle exerce, encore.

Janssen J-J dit: à

@ J’ai fait un rêve extraordinaire et je me suis réveillée avant la fin. Tellement magnifique que, pour l’instant, je ne le garde que pour moi.
___
Semblable état me rappelle ces considérations de Tobie Nathan, l’onirocrite… Il nous prévient que si le rêve du rêveur.se qui n’appartient qu’à lui est confié plus tard à la place publique, c’est qu’il n’a pas été suffisamment mûri aux coctions de la nuit, d’où il en ressortira toujours une interprétation filandreuse, accrochée à des souvenirs, échappée vers des constats banals.
Quand un rêve nous parait avoir été mervilleux, « l’accent du rêve » constitue un signe indiquant que la réalité a été repensée par le rêve avant que le rêveur se soit imaginé qu’il n’était pas fini pour en faire durer le plaisir. En réalité, ce rêve perçu au réveil comme merveilleux préparait juste une transmutation de l’univers du rêveur pour les heures, le jour ou ses journées à venir.
Je vous souhaite donc une bien belle journée sans neige mais avec beaucup de joies. Bàv,

@ Claire Gallois ? – J’avoue n’avoir jamais lu aucun de ses 18 romans… Est-ce grave, Dr ? S’il n’y en avait qu’un à rattraper, PE, quel serait-il ?… N’est-elle pas cette femme qui avait mis un pied à l’étrier naguère au lancement du romancier prolifique mais éphémre, Hervé Guibert ?…

(22.11.24_7.57)

rose dit: à

À sept heures du matin, 57, la marie Sasseur a zéro capacité de faire son examen de conscience, alors que le soir, nous le subissons plus abondamment. Enfin, le matin, elle expurge sa colère.

Janssen J-J dit: à

oui, c’est ce que j’allais constater itou, moi qui me suis levé très tôt contrairement à mon habitude, pour aller immédiatement retranscrire un rêve merveilleux du dernier sommeil paradoxal. Or, r^z, comme bien souvent, vous me l’avez enlevé de la bouche en me devançant, et une grosse parasite est venue y intercaler sa rage. Il faut bien dire qu’elle a jamais fait de très beaux rêves, hélas, diurnement comme nocturnement. Quelle horreur doit être une vie aussi durablement remplie de haine !
C’est ainsi…, on n’y peut rien, mène hélas.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Elle a de très beaux yeux lumineux et une poitrine superbe, cette Blanche de R. Vraiment de quoi nous illuminer la journée, et nous faire oublier la laideur de la pourriture qui sévit sur ce blog à longueur de temps. Ma capacité de charité est moindre que la vôtre. Et pour elle, « le désert croît » (Nietzsche).

Janssen J-J dit: à

mais non, c’était Yvonne Baby… ! ah, ces trous d mémoire littéraure qui s’emploient à se reboucher toujours trop tardivement… Bon, je sors. A pluss.

renato dit: à

De la neige, du soleil, pas d’école, et des petits heureux comme des pinsons.

rose dit: à

Ce rêve magnifique, interrompu avant la fin.
Je vais essayer de ne pas trop le modifier.
Mais ce que je pense tout de suite, je l’invente : je faisais classe.

Il y a avait toute une organisation en U autour d’une estrade. Des tables avec une gigantesque crèche.
J’étais en bas. Environ 45 personnes arrivaient et au moment de grimper sur l’estrade plus de marche pour monter. Je m’asseyais dessus alors, au bord.

Et je leur racontais une histoire.
Il me semble que j’ai même convoqué Ulysse dans ma conférence.
Durant ce temps, j’ai assisté à trois vols : le premier, mes cours. Je récupérais l’essentiel. Comme récemment, j’ai jeté six cartons, en triant. G gardé l’essentiel.
Là, c’était qq.feuilles de classeur protégées par des pochettes en plastique.
En second, un homme me regardait et me disait « on vous vole les santons ». Je n’,intervenait pas et poursuivais ma conférence.
En troisième, je voyais mon sac à main (vieux et pourri) voler à ras des santons et partir en étant volé et je laissais aussi faire en poursuivant mon récit.
Puis, étais-je aux deux tiers de l’histoire ? mon rêve s’est arrêté sans se finir.

rose dit: à

Je n’intervenais pas.

Qu:il me vole même mon foie. Je n’en ai cure.

Paul Edel dit: à

JJJ. Pas lu les romans de Claire Gallois.

Chaloux dit: à

@PA. L’acharnement anti-chrétien de B.lo.om devient tout de même un problème que vous devriez AUSSI modérer. Bien cordialement.

D. dit: à

Laissez faire, Chaloux.
Il aura sa récompense dans l’éternité.

D. dit: à

Évangile selon Saibt-Matthieu, Chapitre 25

(…) 31« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.
32Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs :
33il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche. (…)

Bloom dit: à

Superbe livre sur le fond et la forme constitué de fragments inédits de Kafka: « Fiches » ,Traduit de l’allemand et présenté par Robert Kahn , Notice de Jean-Patrice Courtois, Édition bilingue, NOUS, 2024
Extraits:

Note du traducteur
Kafka a vécu huit mois, de septembre 1917 à avril 1918 à Zürau, dans la campagne de Bohême, auprès de sa soeur Ottla. Il considérait cette période comme la plus heureuse de sa vie. Ce séjour faisait suite à la première manifestation visible de sa tuberculose, un accès d’hémoptysie la nuit du 12 au 13 août, dans son logement
du palais Schönborn à Prague. À Zürau, Kafka rassembla des notations, des remarques, dans deux cahiers conservés à la Bodleian Library d’Oxford. Ces notes ont pour objet des thèmes philosophiques, moraux et esthétiques. D’une manière tout à fait exceptionnelle dans l’ensemble de sa production écrite, il a ensuite
extrait de ces cahiers des textes plus ou moins brefs qu’il avait recopiés, en les modifiant parfois légèrement, sur des fiches séparées de format 14,5 cm sur 11,5 cm, fiches qu’il avait confectionnées en pliant en quatre les feuilles aussi utilisées pour « La lettre au père » (novembre 1919) et pour sa correspondance entre le printemps 1918 et le début mai 1920. 105 de ces fiches ont été retrouvées. Ces textes sont aujourd’hui conservés à Oxford sous la cote MS. Kafka 43.
Ils ont été publiés dès 1931 par Max Brod sous le titre Betrachtungen über Sünde, Leid, Hoffnung und den wahren Weg — Considérations sur le péché, la souffrance, l’espoir et le vrai chemin.
On les connaît aussi sous le titre Les aphorismes de Zürau. Mais on peut considérer
(…) qu’il ne s’agit pas, en réalité, d’« aphorismes ». « Aphorismen » existe en allemand, mais n’est jamais employé par Kafka. Certaines des fiches ont un contenu narratif affirmé, ce qui déroge aux règles du genre. D’autres mettent en scène un « je ». On est souvent assez loin de la concision et de la tension exigées de l’aphorisme chez un La Rochefoucauld ou un Nietzsche, pour ne citer qu’eux. Surtout, on ignore si Kafka avait l’intention de les publier.
D’où notre choix de traduire « Zettel » par « Fiches ». (…)Les fiches détachées constituent des monades ou des « fractales », chacune renvoie à la totalité de l’univers de Kafka,
mais elles forment aussi une énigmatique constellation.
Notre traduction a pour principe la plus grande littéralité possible.
Robert Kahn

Il y a deux péchés humains capitaux, dont sont issus tous les autres : l’impatience
et le laisser-aller. À cause de l’impatience ils ont été expulsés du Paradis, à cause
du laisser-aller ils n’y retournent pas. Mais peut-être n’y a-t-il qu’un seul péché
capital : l’impatience. Ils ont été expulsés à cause de l’impatience, à cause de
l’impatience ils n’y retournent pas.

https://www.editions-nous.com/kafka_fiches.html

(Es gibt zwei menschliche Hauptsünden, aus welchen sich alle andern ableiten:
Ungeduld und Lässigkeit. Wegen der Ungeduld sind sie aus dem Paradiese
vertrieben worden, wegen der Lässigkeit kehren sie nicht zurück. Vielleicht
aber gibt es nur eine Hauptsünde: die Ungeduld. Wegen der Ungeduld sind sie
vertrieben worden, wegen der Ungeduld kehren sie nicht zurück.)

De nombreuses ombres de décédés ne s’occupent que de lécher les flots du fleuve
des morts, parce qu’il vient de chez nous et qu’il a encore le goût salé de nos mers.
Le fleuve se hérisse alors de dégoût, remonte le courant et ramène les morts à la
vie. Les voilà heureux, ils chantent des louanges et caressent l’irascible.

(Viele Schatten der Abgeschiedenen beschäftigen sich nur damit die Fluten des
Totenflusses zu belecken, weil er von uns herkommt und noch den salzigen
Geschmack unserer Meere hat. Vor Ekel sträubt sich dann der Fluss, nimmt eine
rückl.ufige Strömung und schwemmt die Toten ins Leben zurück. Sie aber sind
glücklich, singen Danklieder und streicheln den Empörten.)

et alii dit: à

je vous signale, avec mes excuses de revenir là dessus, que pour la cliente de la psy, j’avais écrit l’invitée;moins beau que l’hôtesse, comme l’a rappelé clopine, mais quand même du côté des femmes, puisque titre, et histoire vraie de simone beauregard
https://www.babelio.com/livres/Beauvoir-Linvitee/784899

Bloom dit: à

@Il aura sa récompense dans l’éternité.
Pour le « teasing », va falloir repasser. Saint-Pierre devrait changer de commercial.
Ze fun!

D. dit: à

D, la neige étincelante et immaculée dans la campagne, la ville ouatée dans sa blancheur, le crissement des pas quand le mercure tombe sous zéro, cette féerie d’arbres habillés de givre.

… tout ce que je n’aime pas. La nature semble morte, figée pour toujours. Plus un cm2 de vert. On a froid, c’est humide.

Non merci. Mais j’admets que cela fait partie de la nature. Je ne suis pas contre : je n’aime pas. C’est différent. Je comprends que les enfants aiment, et j’ai le souvenir d’avoir été, enfant, fasciné et attiré par les flocons de neige tombant. J’ai aussi le souvenir de du contact extrêmement froid et humide de la neige, qui m’a immédiatement déplu, avoir été malade de respirer trop longtemps l’air mauvais du temps neigeux.

D. dit: à

J’ai aussi un souvenir très désagréable des stations de ski, je l’ai déjà écrit ici. J’y suis allé 3 ou 4 fois. Les sports de glisse ne me déplaisent pas, et je sais les pratiquer. Enfin, je savais, puisque cela fait cinquante ans que je n’en ai pas fait. Mais ils m’indifférent totalement. Je n’en éprouvais aucune satisfaction. Cela conjugué à l’ambiance des stations, que je n’aime pas du tout du tout… vous aurez compris. Faire la queue pour remonter une pente, pour louer ci et ça, la mouillase boueuse glacée partout, les tenues bariolées ridicules et les bronzages suspects tellement décalés par rapport à ce qu’est la vraie montagne… beurk. Beurk et rebeurk.

Chaloux dit: à

En attendant, ce sont bien les Démocrates qui sont en trains de nous mener vers une guerre mondiale, pas les Républicains. L’Histoire aura le dernier mot.

Bloom dit: à

Magnifique « essai photographique » sur les splendeurs et misères des fermiers des hautes terres du Pays de Galles, dans la vallée de Dyfi, au sud du parc national de Snowdonia : « Une terre, un mode de vie et des savoirs ont été transmis de génération en génération. ces fermiers les gèrent avec soin jusqu’à ce qu’il soit temps pour la génération suivante d’assurer la relève. »

https://www.theguardian.com/artanddesign/2024/nov/22/life-of-hard-work-hills-welsh-valley-photo-essay

D. dit: à

Quand je prévoyais qu’une installation militaire française stratégique serait détruite (j’avais pris l’exemple de Cherbourg, Brest parce que ce sont les cibles les plus faciles et opportunes, selon mes propres estimations), il s’en est suivi ici l’habituel silence gêné ou amusé.
Et bien nous en sommes à 2 millimètres aujourd’hui, à cause du monceau de conneries et d’arrogance vaine empilées par Macron et von der Leyen depuis 2 ans. Voilà où ces gens nous emmènent.

Chaloux dit: à

@D. Le calvaire est déjà commencé. C’est certainement ce dérèglement hystérique nerveux et probablement hormonal, dont nous avons ici chaque jour des preuves, qui lui a valu cet implacable renvoi, sans doute pleinement mérité, dont il ne se remet pas, ce qui, je dois bien l’avouer, fait ma joie. Et peut-être celle du Seigneur.

Chaloux dit: à

« « Il faut arrêter cette folie avant que la Troisième Guerre mondiale ne devienne irréversible » : Un ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, appelle à destituer Joe Biden d’urgence pour éviter un nouveau conflit mondial » ».

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