de Pierre Assouline

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La République des livres
Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !

Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !

Même pas sûr ce que ce soit un paradoxe : le grand livre sur l’épuration en France vient de paraître en format de poche. Il s’agit bien d’un inédit, chose assez rare pour être soulignée. Le titre Les Françaises, les Français et l’Épuration  (810 pages, 11,90 euros, Folio/Histoire), sans oublier le sous-titre programmatique en page de garde « 1940 à nos jours », annonce la couleur. Il ne s’agira pas seulement des institutions et des partis, des instruments de répression et des systèmes politiques, mais des gens. Et les auteurs François Rouquet et Fabrice Virgili annoncent également leur couleur en distinguant dès le titre les femmes des hommes, ce qui tout aussi rare, et en pratiquant le cas échéant au long de leur texte l’écriture inclusive. Car ils ne sont pas seulement des historiens et des universitaires spécialistes de la Seconde guerre mondiale : leurs travaux ont la spécificité de porter également sur le genre. Nul doute que leur livre fera date dans l’historiographie de la période.

Depuis les années 50, il en est certes d’autres sur la question. Mais ils sont soit obsolètes, largement dépassés par les acquis des nouvelles recherches, soit consacrés à un aspect seulement du phénomène (une période restreinte, une corporation en particulier), soit trop sensationnels dans leur parti pris. A partir de 1967, l’Histoire de l’Epuration en quatre volumes de Robert Aron donna le « la » en instillant l’idée que le phénomène s’était déployé dans l’arbitraire et la violence aveugle ; il fut suivi par The Resistance Versus Vichy: The Purge of Collaborators de l’historien américain Peter Novick paru en 1968 et traduit dix-sept ans plus tard en France (je m’ enorgueillis d’en avoir été l’éditeur aux éditions Balland). Mais bien que le second ait eu le mérite d’exprimer un point de vue plusépu4 nuancé, froid et distant à partir d’une recherche dans les archives, celles-ci ne s’ouvrirent vraiment que plus tard. Mais l’un comme l’autre s’en tenaient à une appréhension essentiellement politique et judiciaire du phénomène. Le travail de Rouquet et Virgili a ceci de remarquable qu’il constitue une synthèse, la première du genre, équilibrée, informée, documentée, nuancée, de l’histoire de l’Épuration, qui tienne compte des apports et nouveautés de toutes les recherches et avancées, publiées ou inédites, de ces trente dernières années (on peut en lire ici un extrait).

 S’il est un point sur lequel ils sont prioritairement attendus au tournant, c’est bien celui des chiffres. Longtemps, une presse et des ouvrages néo-pétainistes ont diffusé sans guère de preuve le bilan de quelque 100 000 morts, accréditant « le mythe du bain de sang » ; puis Robert Aron estima les pertes à 30 000/40 000 morts ; par la suite, des historiens qui ne pouvaient encore avoir accès aux archives se basèrent sur des sources préfectorales pour reprendre le chiffre de 10 000 morts suite à l’épuration extrajudiciaire. Rouquet et Virgili sont autrement plus pondérés preuves à l’appui : 9100 exécutions sommaires dans une proportion d’1 femme exécutée pour 4 hommes (car contrairement à une légende têtue, une de plus démontée par ce livre, le général de Gaulle n’a pas gracié toutes les femmes) ; sur 310 000 affaires traitées par la justice, 180 000 furent classées ; 20 000 femmes tondues pour la plupart à l’été 1944 sous l’accusation de collaboration, mais contrairement à une idée reçue, la moitié seulement d’entre elles se voyaient reprocher leur collaboration « horizontale », selon l’expression consacrée, l’autre moitié étant punie pour les mêmes crimes que les hommes (dénonciation, travail pour les Allemands, militantisme politique etc) ; sauf que, même si cela n’excluait pas des peines de prison ou d’indignité, les femmes étaient aussi tondues, dénudées, exhibées. Le fait est que l’on a tondu dans toute la France et que ce rituel expiatoire s’est déroulé les premières semaines dans l’assentiment général, contrairement à ce que la Résistance voudra faire croire par la suite. Historiens du genre, les auteurs apportent là une explication qui manquait à l’intelligence de ces processions de corps de femmes offerts au voyeurisme, à la vindicte et à la haine de la populace :

« Ce sont des pratiques qui s’érigent en une mise en scène du corps, laquelle brave les tabous de l’époque et revendique explicitement cette dimension sexuelle. La chevelure, attribut de la séduction, marqueur culturel de la différence entre les sexes dans bien des sociétés et à différentes époques, que les religions monothéistes ont longtemps imposé aux femmes de cacher, la chevelure perçue comme symbole de la trahison en 1944, doit également disparaître. Le corps métaphore du territoire national, donc symboliquement souillé par l’ennemi, doit être purifié. Reprendre ainsi possession du corps de ces traitresses invite les hommes de France à rétablir une virilité perdue dans les humiliations successives de la défaite et de l’Occupation ».

épu7En fait,  si la mémoire nationale fait débuter l’Épuration à la Libération, celle-ci a véritablement commencé dès les premiers temps de l’Occupation. En juin 1941, le journal résistant Défense de la France prévenait :

«Vous serez tondues, femelles dites françaises qui donnez votre corps à l’Allemand »

Déjà, des articles de la presse clandestine, des tracts dans les boîtes aux lettres, des émissions de Radio-Londres promettaient le châtiment aux « mauvais Français »,des listes noires réelles ou fantasmées circulaient (à la Sorbonne en 1943). Toutes choses qui participaient tant d’une menace que d’une promesse.

Formellement, ça s’est passé d’abord passé en Corse à l’automne 1943, premier département libéré aux lendemains de la chute de Mussolini. La Résistance locale s’étant emparée des préfectures et sous-préfectures, les évènements s’accélérèrent. Les femmes soupçonnées d’avoir couché avec l’occupant (italien, en l’espèce) furent exposées tondues et nues au regard de la foule, des indicateurs de police, des délateurs notoires furent exécutés sans autre forme de procès. Pour autant, ce qui s’est passé en Corse n’est pas vraiment une répétition générale de ce qui se passera un an après sur le continent. Pour trois raisons : les liens de parenté et d’amitié entre les belligérants, l’éloignement de certaines personnalités de l’île décidé par le préfet et surtout le fait que l’occupant se soit peu appuyé sur la Milice pour réprimer la Résistance.

On ne sera pas surpris d’apprendre que les régions de France où la vengeance s’est abattue avec le plus de violence sont celles qui ont eu le plus à souffrir de l’action conjointe de l’armée allemande et le Milice française. De même on ne sera pas étonné de lire que l’épuration fut souvent une question de voisinage, comme le fut la délation sous l’Occupation. On dénonce celui qui a dénoncé, collaboré, trafiqué, tué, vendu, étant entendu que le collabo, c’est toujours l’autre. Rien de tel pour s’accorder à soi-même un certificat de civisme. Le processus est rendu plus naturel encore dans les communes, villages, villes moyennes et dans les quartiers des grandes villes, là où tout le monde se connait :épu9

« Se punir entre soi est alors indispensable pour retrouver une place au sein d’une communauté reconstruite pour refonder la nation ».

Ne jamais oublier que l’Epuration est une guerre civile succédant à ce qui fut aussi une guerre civile. Il y a bien eu une justice au coin du bois à l’été 1944, même si tout ne s’est pas fait à l’insu des regards ou hors prétoire. Nombre d’exécutions sont publiques et à Nîmes, elles ont même les arènes pour théâtre ; elles ont toujours lieu par fusillade comme le prévoient les tribunaux militaires et non par décapitation comme pour les droits communs, et à Paris dans l’enceinte des forts militaires de Châtillon et de Montrouge. Les condamnations à la tonte n’ont pas pour cadre un tribunal mais un bistro comme à Trégastel où se réunit le Comité local de libération. Les auteurs soulignent d’ailleurs un détail peu connu, à savoir qu’une bonne moitié du public est composé de femmes et de jeunes filles, ce qui « renvoie aux tricoteuses des échafauds de la Révolution française et assimile la foule au registre l’irrationnel, à l’hystérie et au féminin ».Plus encore que l’expression de « justice au coin du bois », celle « d’épuration sauvage » semble beaucoup gêner les auteurs, qui la récusent pour ce qu’elle insinue selon eux dans l’inconscient populaire : l’idée d’une barbarie indigène, qui contrasterait donc avec la civilisation extérieure au local.

épu20Pour autant, Rouquet et Virgilli jugent inadapté le concept de « brutalisation » forgé par leur collègue américain George Mosse (1990) pour désigner la situation des sociétés européennes au lendemain de la première guerre mondiale. Car en France, si la violence s’est bien exercée sitôt la Libération par leurs anciennes victimes contre ceux qui la leur avaient fait subir, elle a rapidement décru jusqu’à être récusée. D’une manière générale, les Français se déprennent de l’Épuration à partir de l’été 1945, après le procès de Pétain.

Même lorsqu’on croit bien connaître tant la période que le phénomène, on apprend une quantité de choses dans ce livre à l’écriture fluide malgré les références et la rigueur du propos. Des histoires et des détails inconnus, méconnus ou oubliés, qui n’ont rien d’anecdotiques. Ainsi la tenue d’un tribunal populaire treize jours durant (18 août/31 août 1944) à Pamiers alors que des combats se poursuivent encore dans le reste de l’Ariège ; près de deux cents personnes du département sont arrêtées, des femmes tondues et exhibées, et plusieurs dizaines d’accusés exécutés après avoir été « jugés » moitié par des officiers FTP (communistes) moitié par des habitants, et enterrés dans une fosse commune. Il n’y a pas que l’Ariège même si peu lui disputent la palme du déchainement le plus sanglant. On expliquera ce paroxysme de la Terreur par l’atrocité de la répression allemande et milicienne locales, par la défaillance des autorités préfectorales à peine en place et par un emballement nourri par le légendaire révolutionnaire.

Cela dit, les tribunaux militaires, instaurés pour juger tous ceux qui se sont rendus coupables de trahison (article 75 du Code pénal), dont le marché noir ne relève pas, ne sont pas en reste. La cour martiale du Grand-Bornand (massif des Glières, il est vrai…) a jugé en moins de 24 heures, dans la précipitation de la Libération, près de cent miliciens et en fait fusiller la moitié. Une justice de guerre certes « expéditive mais légale » durant laquelle un brassard suffit parfois à asseoir une autorité.Autre événement peu connu ou inconnu de cette période : les attaques de prisons. A partir de novembre, des commandos armés de justiciers populaires, soutenus par des centaines sinon des milliers de manifestants insatisfaits des sentences prononcées, ont en effet forcé sous la menace des gardiens de prisons à leur remettre certains détenus condamnés à mort puis graciés.

Ainsi à Bourges où une fois exfiltrés, deux d’entre eux furent abattus à cinquante mètres de la prison. Le même scénario s’est reproduit fin 1944 surtout dans le sud du pays (Béziers, Gap, Digne) où l’on compta ainsi des dizaines de morts. Les rapports des Renseignements généraux indiquent que, pour justifier ses encouragements au lynchage, la population explique que la faute en incombe aux autorités à Paris qui l’obligent ainsi à exécuter elle-même une décision de justice. Il en est ainsi jusqu’à l’été 1945, soit pendant un an, jusqu’à ce le massacre à Rambervilliers (Vosges) de toute une famille réputée collaboratrice, y compris trois très jeunes enfants, fasse basculer définitivement l’opinion publique contre cette justice populaire, lui donnant ainsi un coup d’arrêt.

Mais en 1966, après que le général de Gaulle ait gracié Jean Barbier, ancien chef du PPF de Grenoble, membre de la Waffen-SS et de la Gestapo, reconnu coupable de nombreux meurtres, condamné à mort par contumace, rattrapé par son passé et emprisonné, les organisations de la Résistance dans le Dauphiné exprimèrent leur vive indignation ; si bien que deux prisonniers de droit commun de la centrale de Melun le prirent en otage couteau sous la gorge et exigèrent de pouvoir enregistrer ses aveux publics. Il est intéressant de constater en passant les dossiers des condamnés en revue l’absence de « corrélation rationnelle »entre les décisions des juges et les réactions de l’opinion publique. Avec une fixation récurrente sur la figure quasi mythologique du « lampiste », le subalterne qui endosse les responsabilités des hauts placés. Un vrai décalage augmenté encore par le fait que la contumace a rendu caduque nombre de condamnations à mort.

« L’épuration en France a été faite et plutôt bien faite si tant est que ce genre de processus puisse l’être. Force est de faire ce constat lorsque l’on compare ce qui se passe dans l’Hexagone au reste de l’Europe »

épu11Et comme les auteurs ont eu la bonne idée de poursuivre leur étude jusqu’à nos jours avec l’épuration à retardement Touvier, Papon, Bousquet, cela nous vaut au passage d’intéressantes analyses sur les procès les plus tardifs à commencer par celui de Xavier Vallat par exemple, en 1947. L’ancien commissaire aux questions juives de Vichy, dont l’organisme fut incontestablement un rouage de la persécution, des rafles et de la déportation, ne songea pas à nier son action, tout au contraire. Mais il fit valoir qu’il n’avait en rien collaboré car son antisémitisme, reflet de ses convictions profondes, relevait d’un antijudaïsme chrétien qui n’avait rien à voir avec le racisme biologique des nazis, et cette défense porta ses fruits : dix ans de prison, libération conditionnelle au bout de deux ans, remise en liberté en 1952.

Quant aux collaborateurs de Je suis partout, les Rebatet, Cousteau et autres, la morale de l’Histoire, si l’on peut dire, confirme que les plus lâches, ceux qui fuient la Justice et savent mettre de la distance et du temps entre eux et leurs juges, sont ceux qui s’en tirent toujours le mieux. Quelle que soit la condamnation, ils échapperont à la peine de mort, bénéficieront de l’amnistie présidentielle en 1953, instrument politique destiné à apaiser les tensions et réaffirmer l’unité nationale, et mourront bien plus tard dans leur lit.

Des procès, il y en a eus. Et l’une de leurs fonctions cathartiques fut de répondre par la loi à le demande de violence de l’opinion publique. La comparution de Pierre Laval fut une parodie de justice. Mais au fond, celle-ci a su s’adapter aux temps exceptionnels de la Libération sans trop se renier ce qui la fonde et sans abuser des dérogations en mettant très vite un frein aux tribunaux populaires. Il est vrai qu’elle l’avait déjà fait peu auparavant, l’ensemble des magistrats (à l’exception remarquable de Paul Didier) ayant  non seulement accepté de prêter serment de fidélité au maréchal Pétain, mais ayant également accepté l’inacceptable principe de lois rétroactives, ce qui a permis de condamner des résistants pour des faits commis avant l’invention de ces lois.

La police a bien été épurée (mais oui…), touchant 1 policier sur 5, ce qui a mis sur la touche 40 000 policiers. Dans la même proportion que les magistrats et les policiers, l’épuration toucha 15% des universitaires dont la moitié à la Sorbonne, bien que là aussi, de même que pour la plupart des membres de la fonction publique, les peines furent bénignes. L’Eglise fut peu épurée, ce qui lui permit de venir en aide aux nouveaux traqués comme elle l’avait fait avec les anciens persécutés peu avant. Peu de commerces et d’entreprises sont vraiment sanctionnés autrement qu’avec une amende : les dossiers du secteur de l’alimentation dominent, ceux des bouchers étant les plus nombreux, et les sociétés de travaux publics remportant peut-être la palme des profits illicites (ah, le mur de l’Atlantique…). Quant aux spoliateurs, ceux qui avaient de l’aryanisation des biens juifs, ils n’eurent qu’une sanction fiscale, certains poussant le cynisme jusqu’à refuser de quitter l’appartement qu’ils occupaient en raison du « départ », de l’ « absence » ou de la « fuite » de son propriétaire. Les hommes politiques, eux, échappèrent globalement aux foudres de l’épuration. 18 peines de mort prononcées, dont 8 par contumace, 5 commuées et 3 à peine exécutoires : Darnand, Laval, Brinon.

Et dans la presse et le milieu littéraire, la qualité de journaliste étant souvent rejointe par celle d’écrivain ? 7 exécutions : Georges Suarez, Paul Chack, Robert Brasillach, Chastenet de Puységur, Paul Ferdonnet, Jean-Hérold Paquis, Jean Luchaire. L’Académie française n’a exclu que quatre de ses membres, l’immortalité n’immusant pas contre l’indignité nationale : Abel Bonnard, Abel Hermant, Charles Maurras et Philippe Pétain.épu78

A la Libération, le général de Gaulle ayant décidé en bon pragmatique que l’urgence étant de reconstruire le pays, de refaire l’unité des Français et de relancer l’activité économique, l’épuration ne fut pas trop sévère avec les institutions. La notion d’indignité nationale, peine qui a frappé nombre d’épurés en les bannissant provisoirement de la société sans les en exclure, a surtout concerné les vichystes, coupables sans être traitres. On regrettera qu’ici comme partout ailleurs, il y ait confusion entre « vichyste » et « vichyssois », les deux étant indistinctement utilisés pour désigner les partisans de la Révolution nationale et donc du nouveau régime, alors que le second terme ne saurait rien désigner d’autre que ceux qui n’ont jamais commis d’autre délit que de naître à Vichy ou d’y d’habiter…

On trouvera également dans ce livre si riche des pages sur l’exil de ceux qui se sont soustraits à l’épuration en se réfugiant à Sigmaringen, en Suisse, en Espagne, en Amérique du sud… Une telle synthèse, produit d’une trentaine d’années de recherches, ne pouvait s’achever que par une conclusion sur la transmission de cette mémoire. François Rouquet et Fabrice Virgili relèvent à ce sujet que si l’épuration figure bien depuis 2012 au programme du bac et qu’elle est étudiée en classe de première, elle va être de plus en plus difficile à faire passer : auprès des uns parce que leurs grands-parents et arrière-grands-parents ne seront plus là pour raconter et témoigner, et auprès des autres dès aujourd’hui car

« cette histoire mémorielle n’a pas grand sens pour une jeunesse issue d’une immigration extra-européenne (Afrique du Nord, Afrique, Asie) pour laquelle le poids de la Seconde guerre mondiale est différent ».

Un mot encore, à propos de la couverture. Une scène de lynchage ordinaire : une silhouette torse nu, crâne tondu et tête basse,« symbole inoxydable » juché sur les le toit d’une voiture, cernée par ses tortionnaires eux-mêmes cernés par une foule vociférante. La scène se passe le 28 août 1944, non dans un village de la France profonde comme souvent en la circonstance mais place de l’Hôtel de Ville à Paris. La légende nous apprend que la silhouette est membre de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme puisqu’elle tend au-dessus de son crâne une pancarte « J’étais un LVF ». Un homme tondu.

(« Sacha Guitry interrogé à mairie du VIIème arrondissement » photo Henri Cartier-Bresson puis photos D.R.)

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commentaires

1 100 Réponses pour Enfin « le » grand livre sur l’Épuration !

JC..... dit: à

Ceci dit, les Bisounours se féliciteront toujours du travail ambitieux de ces organismes dont la hauteur de vue est, rappelons le aux incrédules, admirable….

renato dit: à

Lorsque j’aurai « besoin » de vos opinions je vous ferai signe. Cela dit, lisez L’Invention de Morel avant de ma faire une leçon à deux balles.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…d’un système, à un autre,…
…bon, bénéficier, d’un lapsus d’informations minimum,…

…si, on ne chambarde, pas, tout, rapport, qualité-prix, trop faible,…çà aussi,…
…quels circuits-fermés,…
…bonjours les dégâts,…etc,…
…rentrer, dans ses bénéfices,…Ah,!Ah,!…

…tous à nos corporations – brexit,…pour diviser l’Europe,…guerre – commerciale,…

…le soleil, brille, pour tout le monde,…Go,!…etc,…

JC..... dit: à

Je n’ai rien à foultre de ton opinion, mon chou !

Pablo75 dit: à

« ce territoire qu’on appelle Suisse et que certains voudraient reconnaitre comme nation. »
(D.)

Ce territoire est une nation depuis 727 ans, c’est-à-dire, une nation bien plus vieille que l’Espagne, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Russie ou l’Italie, par exemple.

JC..... dit: à

Mettre en doute la géographie politique d’un homme comme Dédé, venu d’ailleurs, Pablo, me parait exposer la Terre à des représailles galactiques funestes !

Soyons prudents : nous n’avons comme armes que notre bonne foi, et notre foi en un dieu unique, bon et malheureusement distrait …

JC..... dit: à

Il y a plus d’intelligence dans le cerveau d’une stripteaseuse au Vatican, dans celui d’une péripatéticienne au travail, d’une caissière de supermarché, d’une paysanne du Bray, d’une secrétair d’Etat de la République, que dans celui, absolument vide, de Lancelot Lancemerde.

Pablo75 dit: à

« Des groupes de mecs à la pelle lors du concert auquel j’ai assisté. Même Manuel Valls y était. Si c’est une minette pour vous… »
(Ed)

Non, c’est un minet. Ou un cynique à la recherche de voix. Ou les deux à la fois.

« À quel moment ai-je dit que Sirkis était un grand chanteur ? Je dis que c’est une légende ».
(Ed)

Tiens, et moi qui croyais que c’était une marque de feta…

« Je dis que c’est une légende, et c’est d’autant plus étonnant qu’il chante mal en effet. »

Une légende de la chanson un type qui ne sait pas chanter? Moi je dirais plutôt que c’est une légende de la coiffure et de la danse avant tout. Il faut vraiment avoir eu un traumatisme à l’adolescence pour tomber en extase devant pareille exhibition d’absence absolue de sens du ridicule.

https://www.youtube.com/watch?v=SWtiCRntA-E

Heureusement pour ces petits péteux que la bouffonnerie ne tue pas !

Je te les fou.terais, moi, dans une pièce fermée à clé avec du Bruckner ou du Chostakovitch à fond jusqu’à qu’ils demandent pardon à genoux pour avoir prétendu que leur daube sonore puérile aux rythmes crétinisants c’est De La Musique.

Quand, étant adulte, on traite de « légende » un type qui ne sait ni composer, ni chanter, ni danser, ni s’habiller, ni se coiffer, le mieux qu’on puisse faire c’est de se regarder dans la glace en s’interrogeant sur sa santé mentale.

Jean dit: à

Les Etats Unis quittent le conseil des droits de l’homme de l’ONU

Je suis fou du chocolat Donald

Bérénice dit: à

Dieu que ce billet fait couler d’encre, ponctuée de ducon par ci ou par là auquel j’ai ajouterai ma fleur ,D peut être nous offrira sa joie et je laisse au dernier qui passera de trouver la pièce manquante du rébus.

JC..... dit: à

Des gamins !
Rappeurs merdiques, hurleurs déjantés, jouant dans le bac à sable musical, sans sable, sans musique…

Bérénice dit: à

Pablo les légendes se construisent désormais sur rien c’est comme à la bourse c est psychologique. N’oubliez pas cependant que ces engouements ne sont pas clauses redhibitoires.

JC..... dit: à

« ducon par ci ou par là, auquel j’ai ajouterai ma fleur » (Bérénice)

De quelle fleur parlez vous, très chère…?

Bérénice dit: à

Mais, Pablo, si votre âge ne vous a pas encore réduit sachez que moi même ( je m’appelle Henri) suis une légende , sexuelle, vous pourriez trouver une réplique, cela manque au dialogue.

Pablo75 dit: à

Bérénice dit: 20 juin 2018 à 10 h 25 min

Traduction?

Bérénice dit: à

Celle qui me pousse à l’intérieur, JC.

Bérénice dit: à

C’est clair Pablo un dessin est légendé , s’il manque une réplique et @que deux personnes y figurent on pourra conclure au silence volontaire involontaire du personnage coit.

Bérénice dit: à

Je n’ai plus rien à declarer. Mes sinceres salutations, à demain pour de nouveaux ducons, I hope so!

Pablo75 dit: à

Bérénice dit: 20 juin 2018 à 10 h 35 min

Traduction de la traduction?

(Quelqu’un comprend ce que dit Bérénice ou c’est moi qui suis comme Cocteau – « Il y a trois mystères que je ne suis jamais parvenu à percer : le flux et le reflux des marées, le mécanisme social des abeilles, et la logique des femmes »-?).

Bérénice dit: à

Pablo, bien que ce ne doit ni le lieu ni peut être l’heure, si vous passiez par ici dans l’Hersult je vous montrerai et prouverai mes talents endormis par des années d’observance religieuse. Voilà, c’est dit et même écrit, exposés comme une improbable installation d’art contemporain, faites le tour pour vérifier les branchements, au cas où cela viendrait à clignoter puis s’éteindre.

Bérénice dit: à

En fait peu de choses, tout cela m’ennuie. Néanmoins il faudrait remettre cent balles dans la machine pour voir.

Janssen J-J dit: à

… comme quoi ceux qui se revendiquent de cocteau sur le dernier point resteront toujours de sombres crétins. Qu ene feraient-il spour citer un bon mot, un bon mot ??????
Le message de b. était pourtant clair. A demain.

Clopine Trouillefou dit: à

Pablo75 qui cite Cocteau qui parle du mystère des abeilles, et les autres : je dis ça je dis rien, m’enfin pendant que les abeilles crèvent, nous, à Beaubec Productions, on tend le micro aux apiculteurs histoire qu’ils nous racontent un peu… Donc, si vous voulez soutenir le film « demain, l’abeille : la dette humaine », ben vous pouvez toujours pré-acheter le dvd du film. Comme ça, ben vous participez, et d’un, et de deux, vous ne payez que 14 euros au lieu de 18. Et fin juin, terminé : ce sera 18, basta, et ce jusqu’au congrès national qui va se tenir à Rouen en octobre, et où le film sortira. Vous allez rechigner, je le sens. Sauf que jamais une abeille ne rechigne, elle, à aller chercher du pollen, et que si on ne lui balançait pas du poison à la gueule, elle n’aurait besoin que de fleurs pour vivre… Songez-y !!! (Ceci est un appel de la présidente de l’association qui voit les fonds s’amincir et les factures s’accumuler !!!)

Bérénice dit: à

Comme si le désir répondait à une logique, Pablo si seulement ! Étant logique je n’aurais pas eu à traverser un désert pour me retrouver qu milieu de nulle part sans une âme avec qui correspondre.

Bérénice dit: à

Bezubec production.fr? Faites un don

Bérénice dit: à

Clopine, si l’agriculture ne change pas de traitement ce sera boucher un trou avant la mort des abeilles en plus de la disparition des oiseaux et la faillite pour de nombreux apiculteurs.

Bérénice dit: à

Pour ceux qui ont les moyens de voyager et ont une âme d’écologistes ou d’herboriste il faut se rendre en Roumanie, le territoire est intact, cela ne durera pas.

JC..... dit: à

La logique des femmes, c’est mettre bas…
La logique des hommes, c’est l’inverse.

Morigène dit: à

L’ homme ce deus ex vagina, JC. … 😉

Delaporte dit: à

« La logique des femmes, c’est mettre bas…
La logique des hommes, c’est l’inverse. »

Les artistes hommes « accouchent » aussi d’une oeuvre après avoir été enceints d’elle. Créer, procréer. La vie…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…rapports d’initiés des bourses,….

…autant, Vassily Kandinsky, mathématicien,…devenu  » artiste-peintre « , moderne,…

…autant, un artiste-peintre, aussi,…
…peut t’il devenir,  » mathématicien « ,…

…le choc, utile, de l’inutilité de la grande  » gueule « , littéraire, pour faire, son J.C….sur l’opinion – management, détournée,…
…Archimède,…J.R.,Dallas,…Big-Boss, à deux balles,…etc,…

la vie dans les bois dit: à

Vassily Kandinsky, mathématicien ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…initialement, formé, prof de math,…etc,…

la vie dans les bois dit: à

Vassily Kandinsky, « mathématicien »
« initialement, formé, prof de math,…etc,…
… »

bridges2013-473.pdf

Etc..

Bloom dit: à

« 50 Best Restaurants » de la revue britannique Restaurant. »

Titre on ne put plus dénotatif. Straigth to the point. Comment la gastronomie britannique est petit à petit sortie du tout bouilli pour le tout-Marmite.
Un panorama de la nourriture britannique consommable, tiendrait en 3 pages dactylographiées: fish & chips, ploughman’s lunch, Welsh rarebit, Yorkshire pudding, Sunday roast, black/white pudding in batter, haggis (north of the border), Xsmas turkey, Wensleydale, red Leicester, mature cheddar with Port, Arbroath smokie (nord est d l’Ecosse), lamb with mint sauce, gammon steak, et le curry de tout, un peu notre couscous à nous…
(Pour la petite histoire, les salades composées du resto du British Council de Delhi sont excellentes).

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…de plus, fait partis-pris, avec le mouvement  » Bauhaus « ,…

…conclusions,…revoir, mes notes littéraires à ce sujet,…
…bizarre,…etc,…

D. dit: à

JC, je ne sais pas si l’Unesco pue mais en tout cas il occupe un site qui vaut une véritable fortune (milliards d’euros) dans le 7ème arrondissement de Paris. J’aimerais savoir si ce site est mis à disposition de l’Unesco par l’État voire la mairie ou bien si l’Unesco en est le propriétaire foncier ?

D. dit: à

Il serait souhaitable que les USA prennent conscience de l’extrême gravité de séparer parents et enfants. Ceci ne peut s’appliquer que dans des cas de force majeure (nécessité impérieuse d’incarcération des parents).
Il est encore temps de faire machine arrière.
Les conséquences seront immenses dans l’opinion mondiale, ternissant de façon irréparable l’image des USA.
Ceci ne remettant aucunement en cause le droit des USA de garantir l’étanchéité parfaite de ses frontières.
Expulser sur le champ, oui. Retenir après avoir séparé, non.

Widergänger dit: à

On sent que D va partir pour les USA. Faut que la situation soit vraiment grave.

JC..... dit: à

Ami Dédé, UNESCO tout ça est loin, je n’y ai plus mis les pieds depuis longtemps et j’ai la flemme de rechercher …

Paul Edel dit: à

Il y a un chapitre intéressant consacré à l’épuration dans l’essai passionnant « Continental films » de Christine Leteux (éditions La Tour verte ).. Rappelons que « La Continental » fut une firme à capitaux allemands qui produisit trente longs métrages français de février 1941 à avril 1944, de Carné à Decoin, et de Clouzot à Cayatte ou Maurice Tourneur…, On y parle du rôle du Comité de Libération du Cinéma Français(CLCF) Mais c’est une autre instance qui organise l’épuration des comédiens« le comité national d’épuration des professions d’artistes dramatiques, lyriques et des musiciens exécutants, » sous l’égide du commissariat aux Beaux- arts de la Rue de Valois..
D’après le livre de Christine Leteux, le CLCF effectue un travail sérieux et professionnel, tandis que le comité national d’épuration de la rue de Valois « brille par son amateurisme ».. On y parle des cas d’Arletty, de Mireille Balin et de Ginette Leclerc. du sort de ceux qui ont travaillé à la « continental », de Fresnay à Fernandel, de Le Vigan à Harry Baur et coté réalisateurs, de Henri Decoin à Clouzot .le plus étonnant est sans doute le procès fait au chef d’œuvre de Clouzot « le corbeau »(avec l’accusation fausse que le film aurait été diffusé en Allemagne)car ce « corbeau » présente une image épouvantable d’un village français dont les habitants sont présentés sous leur coté noir .Selon Georges Sadoul, critique du Parti Communiste , le film reflète l’image d’une France – je cite- « nation pourrie, dégénérée, petite- bourgeoise, vicieuse et décadente, en concordance avec les assertions de « Mein Kampf »…

JC..... dit: à

Mon rêve : une carrière d’épurateur !

radioscopie dit: à

@ Bloom (en première ligne, même si le sujet n’aide pas à faire passer le « lamb with mint sauce »)
ARTE a diffusé hier soir un doc très intéressant concernant notamment l’Inde : Un monde sans femmes, d’Antje Christ et Dorothe Dörholt (All., 2018). Il révèle qu’au lendemain de la seconde guerre mondiale, un puissant mouvement antinataliste voit le jour aux Etats-Unis. Des entrepreneurs (blancs) estiment que le nombre élevé de pauvres sur la planète constitue un redoutable danger. Ils décident, à travers des programmes financés à coups de millions de dollars par de puissantes fondations (Ford, Rockefeller…), d’inciter les habitants des pays en voie de développement à faire moins d’enfants. Dans les années 1960, le Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap) va mener de vastes campagnes pour contrôler les naissances en Inde (avec la complicité d’Indira Ghandi), Corée du Sud, Chine ou Vietnam. Aujourd’hui encore, le Fnuap consacre plus de 60 % de son budget à cette question. Et c’est en 1968 que le biologiste américain Paul Ehrlich publie La Bombe “P” (pour population), ouvrage ­antinataliste qui connaîtra un grand succès. A ces campagnes parfois brutales (avortements forcés) s’ajoute un phénomène culturel : dans beaucoup de familles asiatiques, le garçon était considéré comme une chance, la fille comme une calamité.
Tout cela a abouti à un constat ­inquiétant : il manquerait aujour­d’hui 177 millions de femmes sur terre, notamment en Asie, pour respecter l’équilibre des sexes ! Et l’on estime à près d’une vingtaine le nombre de pays qui pratiquent encore la sélection par le sexe. Même si les mentalités évoluent, les dégâts sont considérables. Le doc revient, à l’aide d’images d’archives, sur ces politiques à grande échelle, en rencontrant des militants associatifs, de jeunes hommes à la recherche d’épouse ou de jeunes femmes qui racontent leur calvaire (avortements ou mariages forcés). Et ne fait pas mystère du business de l’échographie, General Electric s’engraisse au passage.
Le manque de femmes entraîne, de fait, une augmentation des violences -aurait-on ici l’explication de l’épidémie de viols en Inde ?-, des trafics, des enlèvements. Il faudra attendre des décennies avant que le ratio hommes-femmes soit de nouveau équilibré. Mais les politiques ­changent enfin. En Chine, celle de l’enfant unique a été abandonnée. En Corée du Sud, de 1960 à 2010, le taux de fécondité est passé de six à un et l’avortement est sévèrement contrôlé. En Inde, le gouvernement récompense les familles donnant naissance à des filles.
(Avec LE MONDE | 19.06.2018)

JC..... dit: à

Très tôt, Radio la Tonte, j’ai pratiqué une politique raisonnable consistant à garder les garçons nés de nos copulations prolifiques, tout en jetant les filles inutiles dans les poubelles de la Maternité.

Comment faire autrement dans cette société machiste….? Mes trois fils ne s’en plaignent pas !

Phil dit: à

oui PaulEdel, Christine Leteux a consulté les archives pour documenter la fin tragique de Harry Baur, entre autres, que Berlin voulait désaryaniser avec l’aide de sbires français. Sadoul, écrivain surréaliste manqué, a viré communiste, c’est un classique mais il emploie bien le subjonctif imparfait. Clouzot a été « épuré » pendant deux ans puis en 48 tout est reparti pour le bien du cinéma de qualité mais l’homme avait le dégoût de la société et de lui-même.

Bloom dit: à

Etonnant, Radioscopie, que vous abordiez le sujet de la discussion que nous avions avec ma femme ce matin. Elle me parlait de ces femmes vietnamiennes qui épousent des Chinois tant l’Empire du Milieu connait un déséquilibre démographique patent: le ratio hommes/femmes est de 1,5 homme pour une femme environ. Grave problème dans les campagnes, et chez les plus pauvres.
En Inde (et désolé de sortir l’argument culturaliste, mais il est bien réel), avoir une fille est perçu comme une véritable malédiction: il faut payer la dot de la futur mariée qui ira vivre dans la famille du mari. Perte sèche.
D’où le nombre effroyable d’infanticides des filles à la naissance, la prolifération des pseudo-cliniques promettant un changement de sexe, alors qu’il est interdit par la loi, de connaitre le sexe du futur enfant.
Le ratio est aussi déséquilibré (pas de stats fiables là-dessus comme sur le reste de la société en Inde), une frustration permanente des jeunes mâles qui doivent attendre le mariage pour avoir leur premier rapports avec une femme (il existe des pratiques homosexuelles palliatives).
Naitre/Etre femme en Inde signifie lutter au quotidien contre le machisme des hommes mais aussi celui du système, de plus en plus oppressif à mesure que l’on descend dans l’échelle des castes, sous-castes, sous-sous-castes…).
Femmes puissantes, sans pouvoir…
Ce sont des femmes âgées qui balaient la poussière des rues, courbées sur la gerbe d’osier qui leur sert de brosse (L’Inde ne connait pas le manche à balai…)
Les militantes d’un groupe féministe de Delhi que je connais bien, (toutes issues de la haute bourgeoisie de Delhi), EWES, Equal World Equal Space, font du bon boulot, mais l’ampleur de la tache est immense…
L’Inde envoie des satellites dans l’espace, procure à la Silicon Valley certains de ses meilleurs créateurs (avec la Chine), mais socialement, c’est encore souvent le moyen-âge…
Allez, je vais me verser un verre de Jameson 12 ans d’âge et porter un toast à l’émancipation des femmes indiennes (comme de juste souvent bien plus intéressantes que les hommes).

D. dit: à

Welsh rarebit

C’est quoi cette merde ? Du 🐇 ?

JC..... dit: à

Fin WWII, le film que la société cinématographique « Provençal Films » -un équivalent régional de « Continental Films »- a tourné sur une version marseillaise de « Marius et Juliette » de Willie le Brit, racontait les amours de Gaston Defferre et Edmonde la Rouquine sur fond de duel avec cette fiotte en chaussons de Lifar Serge.

Bide absolu ! Ignoré par la critique de l’époque, décimée par une épuration inutile soumise aux dictats communistes …

D. dit: à

Et je vais me verser un verre de Jameson 12 ans 

Xcellente conclusion.

JC..... dit: à

Aucun Jameson ne vaudra jamais un Scapa.

JC..... dit: à

L’amour asiatique ne connait pas de frontière, surtout l’amour tarifé, càd la vente de filles….

radioscopie dit: à

@Bloom
A l’évidence, votre majordome est rustique. Un chiffonnier de Calcutta en re[con]version ?

Claudio Bahia dit: à

« Ce sont des femmes âgées qui balaient la poussière des rues, courbées sur la gerbe d’osier qui leur sert de brosse (L’Inde ne connait pas le manche à balai…) »

J’ai vu cela un peu partout en Indes, c’était dans les années 70-80. Je ne savais pas que cela existait encore.
De ce que j’en avais entendu, ce sont les Britanniques qui avaient imposé ce mode de travail aux femmes indiennes. Pourquoi est ce que cela continue; c’est atroce de voir ces femmes courbées vers le sol, sous le regard des clients d’un hôtel ou autres lieux

Phil dit: à

JC, avant l’occupation et la Continental, Pagnol filmait la Provence au goût de Giono avec une prescience des années à venir; 1937: « Regain ».. d’intérêt pour le retour à la terre contre une société de marchands. remarquable jeu ambigu du chevalin Fernandel, pas encore prisonnier de sa vache (et Le Vigan, pas encore célinien).
étonnamment Pagnol s’en est mieux sorti que Giono dans la phase épuration.

la vie dans les bois dit: à

Giono avait un coiffeur pour Hommes c pourssa.

la vie dans les bois dit: à

Si y’a des strangers qui lisent les comments vont croire que tout les franssais etaient au ciné pendant la ww2. C’est faux.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…enfin, de quoi, on écrit, en ce moment,…


…je suis, très fragile, question de femmes et beautés,…
…dans ce sens, pratiquement, rien, ne me fait bander,…
…et, de plus, je ne conçoit pas, d’élaborer, une stratégie de connexions de stratagèmes, pour me satisfaire,…

…je m’élimine, automatiquement, de tout rapport, homme.femmes,…

…Dieu, peut, aller, voir ailleurs, pour multiplier, ses génies, dans mon genre,…

…de plus, même cool,…et très doux, je suis, extrêmement, dur, sur tout, ce qui concerne, mon environnement, de qualité, de la vie, en mon sens, absolu,…

…j’ai déjà, eu beaucoup, de candidates, depuis, cinquante ans et, plus, toutes, envoyez au diables, rien à foutre,…

…c’est pas, ma faute, je suis, comme çà, et aujourd’hui, encore, plus, qu’hier,…
…les canons, de beauté, doivent, être régler, avec une richesse de statuts, automatiques, accortes,…châteaux, domaînes, industries, etc,…

…et, rien, n’y fait, je hait, les moches riches,…
…en conclusions, la puissance d’Adonis-Mars, avec Vénus-Athéna,…

…qui, en veut, de l’épuration, détruisez-vous, tous, par tout les moyens,atomique ou infections,…

…mes préoccupations, avant tout, partout,…et naturelles,…

…donc, plus exigeant, que les Dieux, toujours, et plus, que tout les monarques absolus, qui ont exister, ici-bas, sur terre,…Ramsès II, Alexandre le grand,…
…rien à foutre,…de tout ce monde,…
…Oui, plus dur, que tout les dieux, c’est moi,…doux comme un ange,…Ah,!Ah,!…

…à jamais, paranoïaque, sur ce sujet,..
…sans fins,…etc,…

…l’Inde, la Chine, l’Afrique, rien à foutre,…ou les somme de laides,…
…en plus d(être des formes de soumises,…
…qu’elles horreurs, en tout points,…

…bander, s’imaginer, soit-même, en double alter-égaux,…etc,…
…services,…et goûts,…Ah,!Ah,!..

la vie dans les bois dit: à

Demain c’est la fete de la zique, icite vont faire la danse des canards au pas de l’oie, lol.

Bérénice dit: à

Giovanni, je ne sais plus qui a émis cette idée sur Kandinsky serait comme l’horloger de l’abstraction tant sa précision et sa recherche d’équilibre l’occupait. Trouvé ce lien en rapport avec votre propos. http://images.math.cnrs.fr/Euclide-et-Kandinsky.html

Bérénice dit: à

Aient. Il y a cette composition 8 que j’aime beaucoup avec une équerre qui campe au milieuhttp://www.allposters.fr/-sp/Composition-VIII-1923-Affiches_i12925418_.htm ni

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…condamner, à vivre seul, éternel et vieux, à cracher, sur les soupes, de la terre,…etc,…

…et, content, absolu,…alors l’épuration, déjà, premier volontaire, parce que aucune perfection à ma portée tranquille,…gratis,…
…personne, ne doit, payer, pour une femme,…qu’elle qu’elles soient,…etc,…
…toujours vainqueur absolu,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…Merci,…Bérénice, à 19 h 33 min,…etc,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…19 h 30 min,…Bérénice, merci,…etc,…

Bérénice dit: à

Giovanni, je tentais de faire passer un lien sur l’oeuvre de Klee qui comme chacun sait fut musicien et peintre avant que la maladie le prive de ce choix, beaucoup quand ils sont musiciens perçoivent l’influence nette de la musique sur sa peinture. Le lien ne passe pas.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…Trump,…de la pure,..merde,…du capitalisme d’escrocs, de la foret Noire, ( Allemagne ),…

…avant, la lettre,…Hitler, compris,…
…pas digne, d’exister, en société,…

…alors, en plus, président,…
…c’est, n’importe quoi,!…les poubelles – sociales,!…

JC..... dit: à

« c’est atroce de voir ces femmes courbées vers le sol, »

Nous sommes d’accord ! Se courber devant autre chose que Dieu ou son Divin chéri d’époux est scandaleux !

JC..... dit: à

Ne jugeons pas trop vite Trump ! Cet homme est un nouveau Don Corleone ….

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…j’ai, compris, Bérénice,..

…de toute façon,il y a,toujours, l’option, de la bonne volonté,…contrarier, par, tout les automatismes, qui nous régulent, en tout liens, abstraits,…

…mais, ma nouvelle math, je n’en dirait, rien, pour restez loin devant, comme toujours, vainqueur sur tout,…etc,…

Widergänger dit: à

JC….. dit: 20 juin 2018 à 15 h 44 min
Tu serais submergé de travail…!

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…J.C.,…Corleone, il va à la merde, avec toute çà clique cinématographique,…

…la terreur, c’est les vrais Seigneurs, fléaux des Dieux et des éléments, la terre en 1.000 morceaux, comme les astéroïdes,…
…services compris, un boucher, de libre,…
…etc,…sur le champ doux et radical,…
…Go,!…

Bérénice dit: à

Giovanni, je vois la Chine en Eminence grise derrière beaucoup de tractations y compris la Corée du Nord , avec un sens de la psychologie pour que Trump ait l air de rester maître du jeu. On ménage son orgueil.

Delaporte dit: à

Le débat sur l’homéopathie fait à nouveau rage, pourtant quelle belle médecine, et combien il y aurait lieu de l’approfondir encore ! :

« L’Ordre des médecins a publié mardi une « mise au point » sur l’homéopathie qu’il range dans les pratiques « non éprouvées » par la science. »

Delaporte dit: à

Il est vrai que lorsque le cas est désespéré, comme pour wgg, l’homéopathie ne peut plus rien, et qu’il devient contre-productif de soigner le mal par le mal !

Delaporte dit: à

L’homéopathie est plus une philosophie de vie qu’un traitement médical. La France est championne du monde pour l’homéopathie, mais peu philosophe quand il s’agit d’élire un président !

Widergänger dit: à

Delaporte ne demande pas d’être épuré mais d’être purgé, et pas par l’homéopathie ! Une grande purge stalinienne !

Delaporte dit: à

Vous, wgg, il faudrait vous faire le traitement à l’huile de ricin que les fascistes italiens réservaient aux mauvais sujets. Cela serait d’actualité. Sur ce blog, vous ne faites rien d’autre que ça.

Delaporte dit: à

On réserve l’homéopathie aux êtres civilisés et délicats. Pour les wgg, on demande les grandes manoeuvres !

Widergänger dit: à

Aujourd’hui on vit une épuration d’un nouveau genre: l’épuration de tout ce qui n’est pas politiquement correct pour l’édification du Royaume du Bien.

La catastrophe de l’Homo Festivus est proche, je vous le dis…

Widergänger dit: à

Mais personne ne doute que vous soyez ce fasciste-là, Delaporte ! C’est très clair.

Delaporte dit: à

On vous le dit, wgg : revenez une autre fois !

Widergänger dit: à

Delaporte des chiottes jou au bourreau virtuel, signe de son impuissance (sexuelle…).

Delaporte dit: à

Pour parler de wgg, il faut en effet plonger dans la plus immonde cinéphilie.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…Bérénice,…19 h 15 min,…

…mais, la Chine, est trop intelligente, en plus, avec des allies du profit net, global, en divisant sa société, en divers strates,…

…longtemps, elle se souviendra de l’occupant japonnait, et de ses bonnes manières,…en mal, de civismes de sang-froid, de gestion,…

…la question, de qui lave, plus blanc, que le blanc, sur son continent,…

…le japonnais d’où, quels mélanges, vient t’il,homogène,…trop obéissant et vindicte,…etc,…

Widergänger dit: à

Âg mental, trois ans.

Widergänger dit: à

Nous vivons l’époque de l’Homme dévasté et la fin de l’Histoire qui s’appelle le « postmodernisme. Les données anthropologiques qui ont structuré l’humanité en Occident dans ce qui fut son histoire, données héritées essentiellement du message biblique, en particulier la différenciation des sexes et des ordres, le masculin et le féminin, le ciel et la terre, le travail et la fête, le principe de plaisir et le principe de réalité, la loi et la nature, le privé et le public, plus généralement le Même et l’Autre, avec pour corollaire l’opposition, la confrontation, la lutte par laquelle l’humanité s’arrache à l’indistinction maternelle du paradis pour se lancer à l’assaut du ciel.

L’existence humaine ne peut être ce conte de fée qu’on nous vend aujourd’hui à chaque coin de rue et de publicité, dans les institutions, en particulier à l’École et dans le discours sur l’École, proposant comme horizon la jouissance de l’être dans l’accord de soi avec l’autre. Elle s’accomplit nécessairement dans la conscience du Mal comme une dimension constitutive de la condition humaine, comme ce qui nous expulse du Paradis, de la Mère, du royaume du Bien.

L’Homme contemporain commet ses méfaits dans la bonne conscience d’un rapport imaginaire à lui-même. Il est devenu un pervers. L’humanité véritable ne commence qu’avec l’expulsion du paradis. C’est le sens profond et universel du message biblique. Elle est en exil (toute la grand littérature de l’exil est là pour nous le seriner, d’Ovide à Kafka), expatriée de la plénitude de la jouissance, de l’état d’innocence, elle advient comme inquiétude, culpabilité, déchirement entre des postulations contradictoires, tentatives avortées, tentation, essais, erreurs, désir et frustration, c’est-à-dire en définitive comme travail du négatif, exercice critique. C’est le grand message de Flaubert, de Kafka, c’est de notre humanité qu’ils nous parlent profondément.

Les slogans de Mai 68, Jouir sans entrave, c’est le début de l’enfer, celui que nous vivons aujourd’hui, l’enfer du Bien, du politiquement correct, de l’Homo Festivus comme le définit Ph. Muray, qui prétend au contraire de l’héritage biblique et de son relais, la Modernité, vivre d’une existence réconciliée (réconcilier les Français, le grand mot d’ordre de l’après-guerre, la grande hypocrisie de Mitterrand, qui a retardé pendant des décennies l’érection du Mur des Noms au Mémorial de la Shoah et la reconnaissance de la culpabilité de l’Etat Français et de Bousquet !). L’Homo Festivus est né de l’ère mitterrandienne et de l’esprit de Vichy à travers lui, cet esprit qui entend jouir d’un bien-être physique, moral, social complet avec le culte de l’enfant roi, cet être sans Histoire dans lequel l’Homme postmoderne se contemple (et les professeurs sont bien placés pour savoir combien son image est laide dans le miroir, et tyrannique), le maternage social, la normalisation de tout ce qui conteste la norme, l’assomption du Désir dans son expression infantile. Immense régression de toute la civilisation pour créer ce que Ph. Muray appelle si justement des « mutins de Panurge ». Macron et sa politique est l’expression même de l’Homo Festivus et ses députés des « mutins de Panurge ».

Widergänger dit: à

Pour comprendre la collaboration économique et industrielle, lire le grand livre d’Annie Lacroix-Riz (800 pages, Industriels et banquiers français sous l’Occupation, Armand Colin, nouvelle édition entièrement refondue, 2013, avec une préface d’Alexendre Jardin, dont le grand-père était chef de cabinet de Laval, qui, aux yeux de Passou, passe pour un gentil toutou pas collabo du tout…).

la vie dans les bois dit: à

Today c’était bac sciences.
C’estoit bac sciences pour les lettreux L et les istoiriens ES.

Je vous passe le sujet 1: comment nourrir l’humanité avec de la confiture de framboise stérilisée dans les bocaux de mémé.

Je vous passe le sujet 2 : comment diminuer la facture de chauffage pour votre maison construite sur un sol radioactif, avec un puits canadien, dernier cri techno, qui récupère les calories de de réaction nucléaire dans votre jardin.

Pour en venir au sujet 3:
« Représentation visuelle, la tenue du chasseur »
ou comment aller chasser le sanglier en tenue fluo.

ben t’was, comme dit l’autre, le monde de l’akadémie se divise en deux:
y’a ceux qui creusent, et ceux qui creusent

Et y’a les autres.

https://www.youtube.com/watch?v=P2W4FsDVKMY

Jazzi dit: à

« c’est encore souvent le moyen-âge…
Allez, je vais me verser un verre de Jameson 12 ans d’âge et porter un toast à l’émancipation des femmes indiennes »

C’est du cynisme pur ou de l’angélisme absolu, Bloom ?

Jazzi dit: à

« Les slogans de Mai 68, Jouir sans entrave, c’est le début de l’enfer »

Et pour le début du paradis, il faut prendre quel chemin, WGG, SVP !

la vie dans les bois dit: à

billet

« On ne sera pas surpris d’apprendre que les régions de France où la vengeance s’est abattue avec le plus de violence sont celles qui ont eu le plus à souffrir de l’action conjointe de l’armée allemande et le Milice française.(…)Le processus est rendu plus naturel encore dans les communes, villages, villes moyennes et dans les quartiers des grandes villes, là où tout le monde se connait(…) »

On n’est pas surpris. Mais dire que vous ne le serez pas à la lecture de cette évidence, c’est que vous semblez découvrir un truc qui vous aurait échappé.

Curieux quand même. Le contraire ne vous paraitrait pas anormal ?

Tiens, c’est pour les amateurs de chiffres et des lettres…

http://www.tampow3945.com/lepuration-1944-1945-.php

la vie dans les bois dit: à

Faut bien relire ça:

« On ne sera pas surpris d’apprendre que les régions de France où la vengeance s’est abattue avec le plus de violence sont celles qui ont eu le plus à souffrir de l’action conjointe de l’armée allemande et le Milice française.(…)Le processus est rendu plus naturel encore dans les communes, villages, villes moyennes et dans les quartiers des grandes villes, là où tout le monde se connait(…) »

Car contrairement à l’amalgame sournois du billet, ce n’était pas de la délation comme ont pu en être victimes les juifs.

la vie dans les bois dit: à

Faut bien relire ça:

« On ne sera pas surpris d’apprendre que les régions de France où la vengeance s’est abattue avec le plus de violence sont celles qui ont eu le plus à souffrir de l’action conjointe de l’armée allemande et le Milice française.(…)Le processus est rendu plus naturel encore dans les communes, villages, villes moyennes et dans les quartiers des grandes villes, là où tout le monde se connait(…) »

eh, oui, une source inépuisable- et pas souvent exploitée, sauf « Passou » avec sa cliente parisienne-, pour la littérature, disons sagas familiales en province, lol.

Widergänger dit: à

@Jazzi
lis le dernier Clément Rosset; le paradis c’est ici et maintenant.

________

Annie Lacroix-Riz montre en se fondant sur les Archives qu’en fait le couple Pétain-Laval était dans les tiroirs de la Synarchie, fondée en 1922, depuis 1934 pour lutter contre la montée des revendications ouvrières et imposer la baisse des salaires. La collaboration entre les hauts fonctionnaires de la synarchie et le régime d’Hitler a commencé dès la montée au pouvoir du petit caporal. La défaite de 1940 n’est pas arrivée par hasard.

Jazzi dit: à

« le paradis c’est ici et maintenant. »

Et un peu ou beaucoup juif, WGG ?

Jazzi dit: à

Tu es devenu l’attaché de presse de la dame Lacroix-Riz, WGG ?
Physiquement, elle ne manque pas de piquants bien mûrs ! Clopine va encore trouver à redire sur le fait que l’on parle du physique de l’historienne…

Widergänger dit: à

Rien à voir avec le judaïsme, Jazzy.
_________
À propos des sujets de ce matin au bac, un prof, dont la fille passait semble-t-il le bac, s’énervait au téléphone dans la salle des profs de Janson contre sa fille qui avait écrit dans sa copie qu’il fallait « iophiliser la confiture ». La mère de s’esclaffer : « Mais enfin, voyons, tu n vas pas iophiliser la confiture, c’est impossible ! Mais comment put-on être aussi bête ! » Et sa fille lui a raccroché au nez… Je riais sous cape dans mon coin, assis confortablement en sirotant mon café sur le divan et en train de lire Claire de Chardonne… Génération de crétins même chez les enfants de profs…

la vie dans les bois dit: à

billet

« Peu de commerces et d’entreprises sont vraiment sanctionnés autrement qu’avec une amende : les dossiers du secteur de l’alimentation dominent, ceux des bouchers étant les plus nombreux, et les sociétés de travaux publics remportant peut-être la palme des profits illicites (ah, le mur de l’Atlantique…). »
ah ah,, non ?
Sûr, qu’à côté la fleuriste, Mme Armand la pauvrette a eu un triste destin, hein  » Passou » ?

https://www.geo.fr/photos/reportages-geo/seconde-guerre-mondiale-le-mur-de-l-atlantique-construit-pour-l-ennemi-par-des-francais-127066

Widergänger dit: à

Je m’attache peu au physique des savants, je te dirais. Mais dans le cas d’Annie Lacroix-Riz, ce qui me plaît, c’est surtout son tempérament, que souligne d’ailleurs Alexandre Jardin dans sa préface à juste raison. C’est une historienne qui a beau patager à longuur de vie dans la merde de l’histoire de France, elle est tonique et affiche un optimisme sans pareille. Et elle n’est jamais ennuyeuse ! ce qui est une rare qualité chez un historien.

Faut dire que les historiens de son niveau et de sa qualité sur la période considérée et sur les sujets abordés sont peu nombreux en France. Si on s’intéresse à la collaboration, c’est elle la grande spécialiste, pas de doute.

Jazzi dit: à

« Si on s’intéresse à la collaboration, c’est elle la grande spécialiste, pas de doute. »

Tu veux dire qu’en tant que grande collabo du Parti Communisme, elle sait de quoi elle parle, WGG ?

Jazzi dit: à

« Rien à voir avec le judaïsme, Jazzy. »

Tu me rassures, WGG !
(à moins que tu t’auto-modère ?)

Claudio Bahia dit: à

lyophiliser, WGGG, lyophiliser !!
maintenant, lyophiliser de la confiture…. ce sera au prix du caviar, n’est-ce pas

Widergänger dit: à

Je te laisse tes propos infantiles. Lis d’abord et après tu pourras parler.

Widergänger dit: à

lyophiliser, oui ! Enfin, tout ça n’est pas de mon ressort…! Mais j trouve les sujets de bac de plus en plus crétins, comme les élèves…

la vie dans les bois dit: à

lacroix-riz, cococollabo ?

« Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir avec les soldats allemands, soit dans la rue, soit au bistro du coin. Bravo camarades, continuez même si cela ne plaît pas à certains bourgeois aussi stupides que malfaisants ! La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante. (L’Humanité, 4 juillet 1940) »

Widergänger dit: à

Jazzy, tout ce qui se dit sur ce blog à mon propos concernant le judaïsme c’est du pur fantasme. Je ne me sens nullement le représentant du judaïsme ici, qui n’occupe de fort peu de place dans ma vie réelle. Je m’y reconnais, c’est tout. Mais je ne suis pas pratiquant, je ne vais jamais à la synagogue ; pour moi, le judaïsme c’est une morale, une façon de penser le monde et l’existence humaine. Ce n’est pas du tout une obsession pour moi, c’est vous qui projetez sur moi vos délires.

Delaporte dit: à

« Mais j trouve les sujets de bac de plus en plus crétins, comme les élèves… »

Tels profs, tels élèves…

Bérénice dit: à

Jazzi, j ai connu un homme qui par dénonciation fut déporté pour avoir chanté l’internationale devant un monument aux morts, les communistes n’étaient pas bien vus des nazis.

Widergänger dit: à

Ce matin, je croise un collègue de lettres qui a aussi une classe de 4ème. Il me dit : J’ai une classe de 4ème très mauvaise. Au conseil de classe, tous les profs ont souligné que les élèves trichent sans arrêt.

Un autre collègue, de maths, me dit alors qu’on déjeunait : lors d’une précédente rentrée, le proviseur adjoint a cru bon de dénoncer en réunion plénière de prérentrée dans la grande salle Clermont devant les dizaines de profs réunis que le lycée se trouvait bien d’êtr rue de la Pompe… Il s’est fait tapper sur ls doigts ensuite par le proviseur qui reconnaît néanmoins la réalité scandaleuse de la pompe. Le niveau d’ensemble des élèves baisse chaque année un peu plus…

la vie dans les bois dit: à

« tout ce qui se dit sur ce blog à mon propos concernant le judaïsme c’est du pur fantasme »

c’est plutôt de l’inverse, mathématiquement démontré, qu’il faudrait considérer cette imposture, du gros mogul vulgaire et incompétent.

Delaporte dit: à

« Le niveau d’ensemble des élèves baisse chaque année un peu plus… »

N’est-ce pas dû en particulier au niveau des profs, qui devient d’année en année toujours plus lamentable ? Quand vous nous racontez, wgg, vos aventures professorales, vraiment lamentables, on se dit que oui. Les profs sont devenus aujourd’hui des crétins stupéfiants, à votre image paradigmatique, qui restera dans les annales. Les confessions régulières que vous livrez sur ce blog le confirme. Allez au diable !

Jazzi dit: à

« les communistes n’étaient pas bien vus des nazis. »

Il y a de bons communistes comme il y a de bons chrétiens, Bérénice. De moins en moins dans le premier cas, un peu plus, semble-t-il, dans le second…

Jazzi dit: à

Il y a aussi de très bon musulmans, Bérénice, sans oublier les asiates !

Delaporte dit: à

Les profs ont les élèves qu’ils méritent. A professeur nul, élève nul et demi !

Widergänger dit: à

Si ça peut faire plaisir à ton tout-à-l’ego !

Jazzi dit: à

Quand tu parles de pompes, WGG, tu veux dire que les élèves font du copier/coller sur internet ?
Le monde change a vue d’oeil pour tout le monde…

Bérénice dit: à

Jazzi, en temps de paix il est toujours aisé de prendre position. Soumis, contraints voir dans les premiers temps influencés par une propagande ce fut certainement pour beaucoup l’occasion de se laisser berner, je ne pense évidemment pas à ceux qui bien placés savaient et ont accepté de bonne ou de mauvaise grâce. Ensuite les français se sont montrés zélés avec leur milice et leur gestapo ou en devançant les exigences des nazis. Quant à l’église, le clergé pour le haut du panier la période je crois reste compromettante.

Delaporte dit: à

« Quand tu parles de pompes, WGG, tu veux dire que les élèves font du copier/coller sur internet ? »

CQFD : les élèves imitent leur prof calamiteux !

Chaloux dit: à

« élèves font du copier/coller »

A Janson-de-Sailly, il ont un crack! Leur Michel Blabla, celui qui pouffe sur les divans.

Delaporte dit: à

« Quant à l’église, le clergé pour le haut du panier la période je crois reste compromettante. »

Pensez quand même à tous les chrétiens qui sont morts en martyrs, et en résistants, de la main des nazis.

Delaporte dit: à

Toute la culture apparente et fantasmatique de wgg est due au copier/coller. Il n’existe que grâce à Internet. C’est une larve…

Bérénice dit: à

Delaporte je ne les oublie pas, que sauriez vous du Vatican à cette époque?

la vie dans les bois dit: à

« Le président américain a essuyé des critiques émanant de son propre camp, des parlementaires républicains aux leaders chrétiens évangéliques, frange puissante de sa base électorale. Des centaines de fidèles de l’église méthodiste de Jeff Sessions, le procureur général, ont même condamné les décisions de celui-ci, à la manœuvre dans l’application de cette politique. «Le populisme n’est pas une solution», a de son côté critiqué le pape François »

http://www.liberation.fr/planete/2018/06/20/enfants-migrants-trump-face-a-la-honte_1660792

D. dit: à

Le dernier clip de la dénommée Beyonce – dont les œuvres musicales m’ont toujours laissé froid, alors que pourtant je suis comme vous le savez naturellement ouvert aux musiques diversifiées –
se paye un palais national nommé le Louvre en guise de décor, se permettant de figurer devant des chefs d’œuvres comme si elle-même et/ou son œuvre en étaient aussi, de façon indiscutable.
Ainsi va le monde et je vous laisse terminer comme vous l’entendez.

D. dit: à

vous chercherez vous-même le lien ver ce clip, ça me ferait mal de le donner ici.

D. dit: à

et à la place de la merde pédante et mondialisée sponsorisée par ministère, je vous laisse vous souvenir que la musique existe

http://youtu.be/Vet6AHmq3_s

Bérénice dit: à

Pour ma part j’aimerais bien apercevoir le Sèvres qui ornera les tables, pour le prix ce devrait être rénovant et tout à fait exopsable.

Phil dit: à

Widergänger lit « Claire » de Chardonne, livre jamais mentionné sur ce prestigieux blog, il faut le dire.

Ed dit: à

D.

La première fois que j’ai vu ce clip – le jour de sa sortie – j’étais bien contente de l’avoir fait le ventre vide, sinon…

Widergänger dit: à

Annie Lacroix-Riz montre dans son livre sur Industriels et banquiers 4 photos en annexe où on voit très nettement la fabrication du zyclon B en France dans l’usine Ugine à Villers Saint-Sépulcre et les ouvriers devant les boîtes de zyclon portant la marque de l’usine. C’est ce zyclon qui fut utilisé à Auschwitz pour assassiner les dizaines de milliers de Juifs hongrois en 1944. Et une photo où on voit l’usine.

Delaporte dit: à

Commentaire trouvé sur Amazon, à propos d’un livre débile sur la bande à Baader-Meinhof, mais le propos de l’intervenant mérite l’attention. Comme quoi il y a des connaisseurs :

« La RAF a justement reproché à la génération précédente de n’avoir pas su empêcher les nazis d’accéder au pouvoir. Il faut rappeler je crois qu’après la guerre, les alliés ont placé à des postes clés de l’état allemand, administrations, industrie, d’anciens cadres nazis (ils n’ont donc pas tous été jugés à Nuremberg, volontairement donc). Pourquoi ? parce qu’ils avaient des compétences utiles aux deux systèmes voilà tout. C’est à dire au capitalisme aussi, qui est un système de domination et d’exploitation. La RAF disait justement que le fascisme se cachait derrière le vernis, bien mis en évidence lui. Le sort qui leur a été réservé en prison (torture, procès bidon, puis assassinés, leur donne raison). Il ne faut pas oublier non plus qu’en Allemagne, après la guerre, certains professeurs faisaient encore le salut fasciste dans leur classe, ni que la RAF a exécuté schleyer, patron des patrons allemands qui n’était qu’un ancien officier nazi. Que faisait-il là, à un poste aussi important de l’état ?
Qui sont alors les enfants d’Hitler, la RAF ou l’état allemand, à la botte des USA de l’après guerre jusqu’à la chute du mur quasiment ? »

Delaporte dit: à

En politique, on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment. L’Allemagne de l’après-guerre est plus que restée dans cette ambiguïté politique, ce qui a motivé la révolte des jeunes gens qui allaient former la RAF. La guerre du Vietnam, l’impérialisme américain, etc., étaient les nouveaux maux d’un univers unilatéral, dans lequel la protestation se perdait dans le sordide. Cette protestation s’est incarnée en Ulrike Meinhof d’une manière magistrale et définitive.

Delaporte dit: à

Le mot de « terrorisme » a été inventé, forgé de toute pièce par les impérialistes.

Delaporte dit: à

Devant une telle apocalypse, le salut ne résidait que dans la seule Croix du Christ.

Delaporte dit: à

Dans les années 70, je suis allé à une messe en Allemagne. Les enfants de choeur distribuaient des feuilles avec des slogans proches de ceux qu’auraient pu soutenir Baader-Meinhof. Pendant le sermon du prêtre, une femme s’est levée devant tout le monde (la grande église était pleine à craquer) et est sortie comme pour protester contre ce que l’on disait, dans un silence grandiose.

Paul Edel dit: à

Delaporte.C’est sans doute la formation de ce qu’on a appelé « La grande Coalition » en Allemagne de l’Ouest allemande qui fit naitre le soupçon de la naissance d’un dangereux Etat à parti Unique. Le rapprochement de la Gauche SPD avec les Conservateurs de la CDU- CSU( qui trimballaient dans leurs rangs pas mal d’anciens nazis) pour gouverner le pays apparut pour l’extrême Gauche comme une trahison totale des idéaux de Gauche.
Cette Grande Coalition occupa le pouvoir de décembre 66 à octobre 69 avec Kiesinger . C’est avec la personnalité du gauchiste Rudi Dutschke et l’APO,( une opposition extraparlementaire nettement révolutionnaire) que commença la lutte .Dutschke et l’APO se donnèrent pour mission de lutter contre la manière dont deux grands partis confisquaient définitivement le pouvoir et verrouillaient la politique du pays. Dutschke et ses partisans avaient une vision apocalyptique de cette Grande Coalition, infiltrée selon eux par d’anciens et de nouveaux nazis.
L’APO et Dutschke voulurent donc lancer des actions immédiates et concrètes pour lutter contre un retour du fascisme qu’ils jugeaient imminents. C’est à partir de la naissance du mouvement Dutschke que certains (Baader, Ensslin) basculèrnt (entre 68 et 70..) dans le terrorisme.il y eut le déclencheur des émeutes contre la venue du shah d’iraà Berlin (un étudiant tué apr la police..) puis la tentative assassinat de Dutschke par un jeune extrémiste de Droite , qui mit le feu aux poudres dans les universités et les milieux d’extree gauche.

renato dit: à

« Je n’ai rien à foultre de ton opinion, mon chou ! »

Là c’est le gars qui comprend vite si on lui explique lentement.

renato dit: à

Impatients de s’émanciper, quelques oisillons tombent des nids et me voilà en compétition avec les chats du quartier, comme chaque année depuis longtemps déjà ; depuis vendredi je n’ai recueilli 8 (3 mésanges, 1 verdier, 4 moineaux) ; le temps qu’ils puissent prendre leur envol, ils squattent la table de l’atelier, bien au chaud dans des boites à chaussures, ce qui m’oblige à travailler le jour plutôt la nuit parce qu’il faut que je les nourrisse : hachée de vers de farine (Tenebrius monitor) et de bœuf, pâté de millet au miel, mie de pain au lait. J’aime le moment où ils prennent leur envol, car comme tout ce qui appartient au passé ils ne regarderont pas en arrière, ils ne reviendront pas ; il n’est pas facile de deviner quelle distance ils couvriront lors du premier vol, où réussiront ou décideront-ils de se poser : à chacun sa dose de sentiments obvies. Certains ils disparaissent vite, d’autres ils restent dans les abords un jour ou deux ; il arrive qu’il pleuve et qu’il vente, alors ils cherchent refuge sous l’appentis où je croute par beau temps ; seulement, les chats aussi y cherchent refuge, j’ai donc installé des branches en hauteur et c’est assez amusant parce que la présence des oiseaux charme les chats, comme l’entrée en scène improvise d’un ballon, peu importent la forme et la dimension, retient toute l’attention des garçons.

renato dit: à

Voir See sorrow de Vanessa Redgrave.

Bloom dit: à

Les profs ont les élèves qu’ils méritent.

Faux. Ce sont les chefs d’établissement qui répartissent les services – je me souviens d’une classe de BTS NRC pas piqué des vers, qui n’avait que peu d’appétence pour l’enthousiasme & la compétence de leur prof.
L’équivalence Montesquieu (les peuples ont etc.) n’est pas un paradigme à resservir à toutes les sauces (y compris à la menthe)…!

Fin d’un mythe: le bon mot de de Gaulle: ‘Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables’, n’est que la reprise d’un proverbe irlandais (la connexion irlandaise du grand Charles). Voir le remarquable « Journal irlandais » d’Henrich Böll.

JC..... dit: à

« Là c’est le gars qui comprend vite si on lui explique lentement. » (renato)

Renato, c’est le gars qui comprend rien, qu’on lui explique vite ou lentement.

renato dit: à

Allez voir sous le fil précèdent, JC, il se peut qu’envers et contre votre étroitesse d’esprit, vous compreniez quelque chose…

JC..... dit: à

Hongrois rêvé !

Le Parlement hongrois vient de voter une loi qui punit de prison ferme les ONG qui aident l’immigration illégale.

Voilà l’humanisme comme je le comprends …
Vive la Hongrie !

JC..... dit: à

Pauvre renato, il est tellement large d’esprit qu’il a raté le concours d’entrée à l’EHPAD : il dort seul dans la rue…

renato dit: à

Jamais participé à un concours d’entrée à l’EHPAD… d’ailleurs, c’est quoi l’EHPAD ?

JC..... dit: à

EHPAD : établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes …

Phil dit: à

« il ne faut pas oublier non plus qu’en Allemagne, après la guerre, certains professeurs faisaient encore le salut fasciste dans leur classe »,
Delaporte qui cite un « amazonaute »

non, épuration immédiate du corps enseignant nazifié et rappel des retraités à cause de la pénurie ! Dans de nombreuses primaires, on trouvait des instituteurs octogénaires. Grand bénéfice pour les jeunes enfants d’avoir été instruits par des contemporains de Bismarck, lecteurs de Fontane.

Bérénice dit: à

Renato, ne vous inquiétez pas, il s’agit d’un examen d’entrée où il est demandé d’arracher aux livres d’histoire et de sciences toutes les pages qui dérangeraient l’ordre actuel du monde afin de tester la capacité d’adaptation des candidats. JC conserve toutes ses chances . Établissement pour acceuil des personnes dépendantes.

renato dit: à

Là, voyez-vous, je suis peut-être âgé mais pas dépendant — je n’ai même pas pris ma retraite ! —, comme quoi vous parlez sans vous tenir au réel, ce qui fait de vous une pauvre chose… et maintenant lâchez mes baskets : vos jugement pré-faits sont vraiment d’un ennui mortel.

Phil dit: à

comme vous Renato, Gide a recueilli et nourri un sansonnet tombé dans le jardin de sa maison à Cuverville en Normandie. L’occasion de quelques belles pages à épisodes dans son Journal. L’oiseau qui revenait régulièrement se poser sur l’épaule de son bienfaiteur finira croqué par un chat (celui de sa femme).

JC..... dit: à

Renato porte des baskets : on aura tout vu !

JC..... dit: à

Revenons à l’épuration…
Question : quand va t on épurer le monde syndical ferroviaire et autres des fous sectaires de la CGT ?

William Legrand dit: à

revenons à l’épuration, clame la super intelligence de ce blog : commence donc par toi-même , sombre andouille

Bérénice dit: à

Phil, je redis le peu de choses que j’en sais mais à l’est comme à l’ouest grande utilisation de SS pour les services de renseignement, recyclage de la compétence. J’ai appris par l’intermédiaire d’un TV film allemand diffusé il y a quelques saines que jusqu’en 90 même après, excusez le peu de précision, n’importe qui en rfa pouvait se retrouver enfermé légalement en unité psychiatrique ad vitam aeternam sur dénonciation étayée. Si vous veniez l’ordre public, une institution public ou privée, votre conjoint ou conjointe pour peu que ces entités aient des appuis l’on vous enfermait. Le droit à évolué et supprimé ce genre de possibilité douteux hérité d’un autre système mais ce fut pour beaucoup l’équivalent de la condition des mauvaises filles en Irlande .https://journals.openedition.org/revdh/3829. Apparemment c’est encore d’actualité, dans le TV film , l’interné était décidé à dénoncer une fraude dans le système bancaire pour lequel son épouse travaillait et avec lequel elle collaborait en échange d’avantages rétributions.

Bérénice dit: à

Semaines, si vous troubliez ou menaciez, publique etc,

Bérénice dit: à

Renato je me moquais de JC, pas de vous.

William Legrand dit: à

au lieu de t’en prendre à tout le monde quite rejette, commence donc par t’enprendre à toi-même piteux couillon cong et arrête de pleurnicher sur Sergio dont tu te moquais de son vivant, merdeux

Bérénice dit: à

JC, l’exploitation du charbon n’a plus lieu en France, on regrette le temps où l’on envoyait des enfants de 8 ans à la mine, les syndicats ont fait du mauvais boulot. Sans eux les hôteliers ne se seraient pas développés et vraisemblablement un trafic aérien beaucoup moins polluant, nos rivages seraient respectés, la démographie moins importante et les pompes funèbres se porteraient mieux encore.

William Legrand dit: à

godemiché ? avec le tien tu te l’enfonces bien profond et à JC aussi

Jean dit: à

Si rien de ce qui existe n’existe sans la volonté de Dieu, il s’ensuit, à mon avis, qu’il existe une Justice Divine. Quant à savoir laquelle au juste, vous avez le bonjour d’Hitchcock.

 » Mon Dieu, Mon Dieu, je vais mourir, psalmodiait la vieille dame effondrée sur sa couche. « Mon Dieu, mon Dieu, pardonnez-moi ! ».

— Rassurez-vous, Madame B. ,lui disait l’aide-soignante affairée à lui changer sa couche. « Nous sommes tous les enfants de Dieu, et Dieu pardonne à tous ses enfants « .

On ne va tout de même pas désespérer Billancourt.

William Legrand dit: à

Campanella a pris un drôle de coup sur la tronche, il a du mal à s’en remettre

Bérénice dit: à

Jean le fataliste et son gode. Êtes vraiment branchant comme type, je me demande si l’on ne s’est pas loupé . Nous aurions pu nous unir tant nos modes réflexifs sont proches et voisins qu’en même temps complémentaires.

JC..... dit: à

Quand on pense qu le petit Legrand, nain de la pensée, résidu de fausse sceptique, clown de patronage désertifié, partage quelque chose avec William Shakespeare …Décidément, ce monde est mal fait !

JC..... dit: à

…et Bérénice qui est tellement tarte …. !

Jazzi dit: à

Qu’est-ce que tu en dis de Chardonne, WGG ?

C’est l’été !?

Jazzi dit: à

Votre pseudo, Bérénice, c’est à cause d’Aurélien ?

Jean dit: à

» Mon Dieu, Mon Dieu, je vais mourir, psalmodiait la vieille dame effondrée sur sa couche. « Mon Dieu, mon Dieu, pardonnez-moi ! ».

— Rassurez-vous, Madame B. ,lui disait l’aide-soignante … (moi)

On me dira que c’est vilain d’écouter aux portes. Mais, par ces chaleurs, toutes les portes sont ouvertes, et celle de la chambre de la vieille dame est juste en face de celle où elle attend, paisible, sa main dans la mienne, qu’on vienne s’occuper d’elle à son tour.

Si le Bon Dieu l’avait voulu,
Lanturlurette lanturlu,
J’aurais connu la Cléopâtre
Et je ne t’aurais pas connue…

J’aurais connu la Mélusine…
……………………….

Mais le Bon Dieu n’a pas voulu
Que je connaisse leurs amours,
Je t’ai connue, tu m’as connu,
Gloire à Dieu au plus haut des nues.

William Legrand dit: à

Décidément ce monde est mal fait… et JC y contribue énormément, hein, Campanella ?

S&nt'Angelo Giovanni dit: à


…André Nouschi Prof. Université de Nice
…livre, « Initiation aux sciences historiques  »

…1967 Nathan, université, information, formation

Jean dit: à

Je t’ai connue, tu m’as connu,
Gloire à Dieu au plus haut des nues.

Et je pleure, là, comme un con.
Le chat est assis à mes pieds.

Tiens, mais ça fait deux octosyllabes ; ça ne console pas, mais tout de même.

S&nt'Angelo Giovanni dit: à


…Bérénice,…à 9 h 22 min

…le protectionnisme entre classes cognitives, pour trahir, son peuple,…les affaires, assurer, la garde, des ascenseurs,…
…la pensée unique, donc,…encore,…
…le bain des pieds,…l’odeur des chiffres,…etc,…

Widergänger dit: à

Rien pour l’instant, Jazzy.

JC..... dit: à

Legrand mérite son surnom ! Le Grand Con…patriote

William Legrand dit: à

j’habite à côté de chez toi, je trouve que t’as pas bonne mine aujourd’hui, ça s’arrange pas enfin !

JC..... dit: à

Viens boire un coup, mon ami ! j’ai un sirop au Polonium 210, j’arrive pas à le finir…

William Legrand dit: à

quand tu ne sais plus quoi dire tu ressors ton ultime argument : le mot CON qui te va si bien

JC..... dit: à

J’ai vu les Bleus à la TV : y sont tout noir !

JC..... dit: à

Quittons nous sur un dernier fou-rire.

Des magistrats ont condamné la SNCF è payer des jours de « repos » à des grévistes qui n’ont « pas travaillé » !

Avant de se moquer de nos alliés, il conviendrait de rire de nous-mêmes, n’est il pas vrai ?!

Bonne nuit mes petits choux !

raymond dit: à

La Grande Coalition en Allemagne dans le milieu des années 60 dont Paul Edel nous décrit très bien les conséquences peut aussi être vue comme une trahison de la gauche puisque le SPD n’avait pas eu le pouvoir depuis la République de Weimar; c’est la première fois que la gauche vient enfin au pouvoir, mais elle y accède en s’alliant à la droite honnie par les jeunes politisés qui comme nous en 81 aspiraient abusivement à la venue de la Gauche comme une parousie… les jeunes allemands idéalistes ont éprouvé cette coalition (SPD CDU)comme un mouvement de trahison… on rappela beaucoup trop à l’occasion le fait que Friedrich Ebert (social démocrate) fit tirer sur la foule au début des années 20. La radicalisation des jeunes intellectuels du coup n’étonne pas, d’autant que la grande coalition met forcément en valeur les extrêmes comme seule possibilité de « changement »…

D. dit: à

WGG, sauf erreur de ma part, le zyklon B n’était pas fabriqué pour gazer des gens, on en a détourné l’usage de façon abominable.

William Legrand dit: à

le dernier fou-rire c’est Campanella se barrant comme le péteux qu’il est… OUF §

Widergänger dit: à

Clui-là l’était pour remplacer l’usine bombardée d’IG Farben qui le produisait auparavant pour alimenter les tueries en chambre à gaz. C’est à cette usine Ugine de l’Oise que les Juifs hongrois doivent d’avoir été gazés, l’usine de Francfort étant dans l’incapacité de produire le zyclon B suite à sa destruction.

Les alliés auraient pu bombarder l’usine de Villers Saint-Sépulcre. Ils ne l’ont pas fait. Ils n’avaient peut-être pas le renseignement.

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