de Pierre Assouline

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La République des livres
Enterrer les morts, réparer les vivants

Enterrer les morts, réparer les vivants

Soit la maladie. Qu’est-ce qu’un écrivain peut bien en faire ? Première solution : rien. Qu’il l’ait vécue ou observée, nul n’est obligé d’en faire de la littérature. Ou disons un objet d’écriture. Passer outre n’est pas l’ignorer mais la mettre en distance dans sa dimension littéraire. Deux écrivains ont éprouvé la nécessité de s’en emparer. Non dans un souci d’auto-thérapie, comme s’il suffisait de publier pour se débarrasser.

Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui. Elle est aux hommes ce que le cancer du sein est aux femmes. Y penser toujours en parler jamais. Il l’a écouté, suivi, accompagné ; il a mis ses pas dans les siens, essuyé ses larmes, recueilli ses rires, enregistré ses espoirs et rapporté ses désarrois. Il a fait sien son témoignage. Comme s’il lui fallait impérativement rapporter cette aventure intérieure, ce voyage dont on revient, pas toujours mais souvent, et dans quel état. L’un et l’autre avaient conscience d’affronter un tabou. Pas pour tous, question de milieu social, d’origine, d’éducation. Car s’il ne s’agissait que d’une affaire de tuyaux et de robinetterie, on en parlerait. Mais comme c’est de sexualité qu’il s’agit en fin de compte, et du spectre de l’impuissance, du moins pour ceux qui s’en sortent, on hésite, on contourne.

Récemment, Franz-Olivier Giesbert s’y était essayé, à sa manière, bien différente avec Un très grand amour (2010). Philip Roth aussi, quoique plus gravement, avec Exit le fantôme (2011). D’aucuns en avaient été choqués. Les mêmes le seront en lisant L’ablation. Ce dont l’auteur ne devrait pas s’étonner car il y a tout de même une volonté de provoquer dans son entreprise, mais provoquer pour bousculer, troubler, inquiéter. Malgré son humour, et certains passages au comique de situation involontaire, c’est un livre grave. Une méditation sur la mort. Celui qui tient la plume pour l’autre tient que la mort brutale rend le deuil impossible, ce qui est discutable ; de toute façon, l’expression même de « travail de deuil » le hérisse. Le scripteur et le mémorialiste de ce récit s’entremêlent vite pour ne faire qu’un. Ce qui n’est pas plus mal. Dès les premières pages, son problème se manifeste et ne le lâchera plus : il ne bande plus. Fini. Ce qui est un peu dur pour un séducteur de 56 ans qui n’a cessé d’aller de femme en femme. Il peut croire que c’est passager. Mais son urologue le convainc de tenter l’opération. La prostatectomie totale au risque de ne plus oxygéner son corps caverneux. La décision lui revient car CIMG2578il a le choix de préférer la curiethérapie ; dans ce cas, le fonction érectile sera préservée mais le cancer pourra récidiver. Les mots se bousculent dans sa tête. On lui parle de « tumeur », il entend « tu meurs» ; il se croit unique quand il n’est qu’eunuque. Les types qui puent la bonne santé l’horripilent. Exténué par le dilemme, il baisse les bras et se résout car l’ablation le dépasse.

C’est fait. Commence alors la résurrection vécue comme une agonie, avec son cortège de hontes et d’humiliations publiques : l’incontinence, les couches-culottes, ce qui coule malgré tout à table et qui pue, l’inconfort de la cystite, la hantise de la rectite… Rien n’est physique comme ce sentiment de la honte. Une guerre intérieure que nul ne soupçonne jusqu’à ce qu’elle s’impose à la vue de tous. Car ce n’est jamais éradiqué à coup sûr. Il faut poursuivre : scanner, IRM etc avec un raffinement dans la torture :  Abba hurlant Mamma mia dans le casque. L’horreur. A la fin, il se résigne :

« C’est la grande leçon que je tire de cette épreuve : il faut accepter ce qui arrive. La vie sans libido est aussi une vie… Une nouvelle vie est possible. Le manque est là comme la douleur du bras fantôme… »

Ne lui reste plus qu’à se faire des idées jusqu’au bout de ses nuits et de ses jours. A ressusciter ses femmes. A revivre son passé en le sublimant. Ce récit drôle et poignant, parfois très cru jusque dans ses évocations érotiques mais plutôt du côté de Luis Bunuel, tire sa force de ce qui s’y joue de la première et la dernière page, quoique jamais de manière appuyée : la peur de la solitude. Car c’est seul que ce malade affronte le mal, lui qui n’avait jamais cessé de s’entourer de femmes et d’enfants pour n’avoir jamais à défier l’esseulement. Ce thème est récurrent dans l’oeuvre de Tahar Ben jelloun, depuis La plus haute des solitudes (1977) sur la misère sexuelle des travailleurs immigrés en France, et La réclusion solitaire (1978) jusqu’à L’ablation où le narrateur se retrouve seul à décider, en passant par Cette aveuglante absence de lumière (2001) sur l’enfermement au bagne de Tazmamart. L’insupportable solitude de celui qui s’éveille le matin sans personne à qui parler. Il lui faut tourner la page. Le seul moyen de vivre encore, mais autrement, à la recherche non d’une maitresse, d’une amante ou d’une amoureuse, mais d’une compagne. Avant de vivre à nouveau, ensevelir sa part morte en lui pour mieux réparer le reste.

« Enterrer les morts, réparer les vivants » : on trouve cela dans le Platonov de Tchékhov. Maylis de Kérangal s’en est servi pour intituler Réparer les vivants (280 pages, 18,90 euros, Verticales), un roman de toute beauté, d’une écriture, d’une langue éblouissantes. Dès la première page, on sait qu’un écrivain est là et qu’une voix s’impose. Car l’auteure donne l’illusion, sinon l’espoir, qu’une autre forme est possible dans cet enchevêtrement de passé et de présent, de familier et de tenu, dans une même phrase, le tout emballé par une fascinante précision lexicale, un souci musical de la scansion, une exigence dans la ponctuation et un sens de l’espace qui n’est qu’à elle. Autant Naissance d’un pont, son précédent roman fort acclamé de partout, nous avait laissé sceptique quant à sa finalité, autant celui-ci nous emporte dès le début sans nous lâcher. C’est fin et intelligent sans jamais se pousser du col, en nous évitant tout pathos, sans chercher même à provoquer la compassion bien que cela se passe à la Pitié. L’histoire démarre au mieux du côté des plages de surfeurs, chez les fondus de glisse, avec leur idiome international de spot en line up, et même leur logique (ah, la lecture de la vague…) si particuliers. Puis c’est l’accident : le van qui s’encastre dans un poteau. Le jeune conducteur Simon Limbres (on est déjà dans les limbes) souffre de lésions irréversibles au cerveau. Coma dépassé. Il se retrouve vite en état de mort cérébrale.

Pendant vingt-quatre heures, le lecteur assiste à un ballet de silhouettes autour de lui pour permettre une transplantation cardiaque. L’intensité de l’opération contamine toutes les pages. Infirmiers coordinateurs de greffe, amis, envoyés de l’Agence de la Biomédecine, ambulanciers, parents et le chirurgien qui dit faire un boulot de plombier. Tous d’un héroïsme des plus discrets chacun dans son registre. Si l’on osait, on dirait que ce roman est palpitant. Il y a ceux qui déjà s’affairent à « renseigner le corps » à grands renforts de codes et d’acronymes, puis à promettre de le restaurer, avant que les parents aient à prendre « la » décision. Laisser leur fils se faire dépecer. Autoriser un expert à vider son corps. Imaginer que son cœur battra dans la poitrine d’une inconnue souffrant d’insuffisance respiratoire, d’une inflammation du myocarde, et bientôt de l’intrusion d’un corps étranger en elle. Tout cela sous l’œil d’un chardonneret acquis à Alger – cet oiseau, aussi réputé pour son plumage que pour la beauté de son chant, est décidemment la vedette de la rentrée puisqu’il règne également sur le roman de Dona Tartt. Dans un cas comme dans l’autre, une affaire de coeur.

« Une aventure métaphysique » : c’est écrit au dos et pour une fois qu’un quatrième de couverture ne raconte pas des salades, on salue.  Car l’humanité qui s’en dégage nous entraîne bien au-delà de la sensibilité de l’auteur.

(« Biarritz », photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 087 Réponses pour Enterrer les morts, réparer les vivants

u. dit: à

Qu’est-ce que commémorer?

C’est réparer un mort, pour mieux enterrer les vivants.

(Je reconnais que c’est extrêmement facile)

u. dit: à

Ce n’est pas moi qui va pleurer sur Sharon.

Mais l’histoire montre que c’est parfois avec d’anciens militaires qu’on fait la paix.
Ils sont les seuls à pouvoir faire avaler la pilule aux civils…

Rectificatif..... dit: à

Mort de Sharon. Effusions de joie dans la rue à Gaza. Même attitude que lors des attentats du 9.11 à NYC… Le grand peuple palestinien a les victoires qu’il mérite ! Pitoyable travail du Hamas.

u. dit: à

Cette photo de Biarritz me fout le bourdon comme une chanson de Barbara ou une improvisation politique de Marguerite…
(« La-droite-la-mort »)

u. dit: à

Devant la houle qui déferle, François, la tête rentrée, explique à Valérie:
« Ce n’est pas du tout ce que tu crois ».

hamlet dit: à

« la charogne est morte…un bon Pommard ce soir… »

où ?
en Syrie ?
en Egypte ?
ou en Centrafrique ?
en Russie ?
dans certains pays, boire une bouteille à chaque mort de charogne c’est un coup à finir avec une cirrhose.

Le crémier de JC..... dit: à

Chère Valérie, notre compassion est immense… et nos larmes coulent sur nos visages défaits par la triste nouvelle, comme se délite un Brie trop fait !

Votre chambre est prête chez notre client et ami… Porquerolles et sa quiétude vous attendent…

hamlet dit: à

effectivement la littérature qui avait plutôt bien commencé avec Homère et Cervantès commence à prendre une tournure bizarre depuis quelques années, ça m’étonne pas que cela finisse avec des histoires de prostate et de greffe du coeur.

je me demande bien ce que sera l’étape suivante, les lentilles pour la myopie ? ou bien les allergies ? au gluten ?

bientôt on ne verra plus la différence entre entrer dans une libraire et entrer dans un hôpital.

hamlet dit: à

désolé de faire part d’une expérience personnelle, je connaissais un neuro chirurgien, un type formidable, il avait sauvé des dizaines de vies.
il était aussi peintre, amateur, pas terrible.
quand on allait chez lui il montrait ses tableaux « alors ? qu’est-ce que vous en pensez ? c’est bien non ? c’est un portrait de mon épouse, je sais on ne la reconnait pas vraiment, c’est une vision personnelle… » autant les gens le félicitaient pour son talent de chirurgien autant pour ses tableaux les gens n’en raffolaient pas.
et bien ce type aurait tout donné, il aurait même échangé quelques vies qu’il avait sauvées en échange d’un tout petit éloge pour ses tableaux…

Lecteur peureux dit: à

Hamlet,
N’avez vous pas peur de rentrer dans une librairie déserte ?! Vous y allez en groupe d’intellectuels, peut-être ? Perso, j’angoisse…

tutut dit: à

« Votre chambre est prête chez notre client et ami… Porquerolles et sa quiétude vous attendent… »

il vous emmènera faire des tours et détours dans ce paradis

tutut dit: à

Votre chambre est prête chez notre client et ami… Porquerolles et sa quiétude vous attendent…

scooter à volonté

u. dit: à

Certains écrivains ressemblent à ces types qui insistent pour baisser leur froc ou lever leur maillot pour te montrer leur cicatrice.

« Té, je vais te montrer, tu vas voir! »
« Mais non, mais non… »

u. dit: à

Un tableau au scalpel, c’est un peu destroy.

u. dit: à

Même mort de soif en plein désert, le lait de coco de giesbert c’est non.

Le petit Marseillais dit: à

Qu’est-ce que commémorer?

C’est réparer un mort, pour mieux enterrer les vivants. (u.)

Je proposerais plutôt : c’est déterrer les morts pour mieux faire chier les vivants.
Je jure que je n’ai pas consulté Dieudonné avant de sortir cette quasi-quenelle. Dire que , pour une vje pourrais me retrouver au tribunal pour apologie de crimes contre l’humanité, c’est effrayant.

@u. dit: à

Beaucoup d’entre nous baissent les yeux et laissent voir de somptueuses et mortelles cicatrices

Le petit Marseillais dit: à

Dire que , pour une vje (mézigue)

Je corrige parce que je me suis avisé que « vje » pourrait être interprété comme « vieille juive empapaoutée » (par Flanby évidemment). Non. Je voulais écrire :  » dire que, pour une vanne pareille , je pourrais …etc. » C’est pas ma faute si mon clavier a des tendances anti-hachémites.

hamlet dit: à

l’émission de Finky de ce matin c’était sur la conjugalité, il avait invité deux femmes, Yasmina Reza et Emmanuel Pagano.
on se demande à quoi ça sert qu’un tas de moralistes français et d’écrivains russes se soient décarcassés à écrire des bouquins pour en revenir au point de départ avec des gens qui nous réinventent le fil à couper le beurre.

j’ai écouté Maylis de Klerangal parler de son livre, il parait qu’on l’a invitée dans une salle d’op de chirurgie cardiaque, c’est là qu’elle a appris tout le vocabulaire spécialisé avec des infirmiers spécialisés pour els greffes, et aussi les parents dont le coeur de leur enfant mort trop tôt battait dans le corps d’un ou d’une autre.

elle faisait quoi Maylis de Klayrangal à l’origine ? elle était journaliste ? ou prof de philo ? ou prof de lettres ?
on se demande bien où ces écrivains vont chercher tous ces sujets.
si ça se trouve c’est une idée de son éditeur, les éditeurs ont du flair pour trouver les bons sujets.

Mme Michu dit: à

être mon propre valet, quelle aventure

Cela vaut peut-être mieux que de brandir ce que l’on n’est pas…

hamlet dit: à

tous ces bouquins sur la maladie et la mort sont le signe d’une société vieillissante au bout du rouleau, un monde sans avenir.

Les Chevaliers de l'Ardente Quenelle dit: à

Adhérez à notre Horde !

La Table est ronde et bien garnie ! Force pucelles, à ne point décevoir. Foin de politique et d’antisémitisme ! Bandons ferme ! Enconnons joyeusement ! Déconnons à tout propos ! La vie est un filon inexploité.

Vendez, dépensez, avant la faillite bancaire …

Le petit Marseillais dit: à

On aura sûrement remarqué que les deux photos, signées « Passou » ont été prises à Biarritz, probablement au moment de la grande tempête, la seconde notamment. On s’autorisera à en conclure que le Passou en question fait partie des guignols qui s’en vont défier les éléments déchaînés au mépris des consignes de la Sécurité civile. Et qui aurait payé les secours si le Passou et son Nikon s’étaient faits ramasser par une déferlante ? J’en ai la prostate qui frémit.

u. dit: à

Hamlet, je suis arrivé sur l’extrait lu par Finkie sur une dame (épouse?) exprimant exprès à haute voix dans un restau son faux dévouement pour un incontinent, et lui passant sous la table une couche-culotte.
Le dernier mot de la phrase était « caca ».

Si vous n’avez pas pleuré, vous êtes un monstre.

hamlet dit: à

bien sûr que j’ai peur d’entrer dans librairie.
ça fait maintenant au moins dix ans que je n’y ai plus mis les pieds, même un seul pied, avec tous ces bouquins il y a de quoi avoir les jetons.
encore Monsieur Assouline quand il en parle ça fout pas trop les jetons mais si vous connaissiez le libraire chez qui j’allais ! le type adorait ces histoires, il se délectait à vous faire des résumer en prenant une voix d’outre tombe : « dans ce livre l’auteur raconte sa maladie, vous connaissez la maladie ? vous saviez qu’il existe des maladies mortelles… » là il me regardait dans les yeux, avec ses lunettes et sa petite barbe grise, se rapprochait de moi et me demandait à l’oreille « et vous, vous y pensez souvent ? je veux dire à la mort ? vous savez que nous sommes tous mortels, nous vivons pour la mort. nous sommes des êtres pour la mort parce que chaque minute qui passe nous en rapproche un peu plus, je veux dire de la mort… »
je sortais de là je rentrais dans le premier troquet venu et je me vidais 6 double whisky, une fois rentré à la maison je finissais une bouteille de Pommard en espérant que cette charogne ne finisse pas l’année !!
et après vous me demandez si j’ai peur d’entrer dans une librairie ?
tout être normal devrait avoir peur aujourd’hui d’entrer dans une librairie !!!

Marcel dit: à

Rectificatif….. dit: 11 janvier 2014 à 18 h 31 min
Mort de Sharon. Effusions de joie dans la rue à Gaza. Même attitude que lors des attentats du 9.11 à NYC… Le grand peuple palestinien a les victoires qu’il mérite ! Pitoyable travail du Hamas.

Rectificatif s’est beurré pendant dix jours à l’assassinat d’Arafat. Il gueulait :  » Un palestinien de moins, plus d’espace vital ! » On comprend sa joie. Moins il y en a en face, plus c’est facile de spolier leur terre !

Le petit Marseillais dit: à

Mort de Sharon. Effusions de joie dans la rue à Gaza. (Marcel)

Il faut les comprendre, ces braves gens. Je suis sûr que si Marcel était un citoyen de Gaza, il serait dans les rues à crier sa joie. C’est vrai que c’est un peu obscène et dérisoire, ces manifestations d’allégresse, mais c’est aussi une façon de dire aux jusque-boutistes d’en face qu’on les emmerde. Les mêmes n’ont sûrement pas dansé dans les rues à l’annonce de l’assassinat de Rabin.

hamlet dit: à

« « Enterrer les morts, réparer les vivants » : on trouve cela dans le Platonov de Tchékhov »

justement si on le trouve déjà chez Tchekhov le mieux est de le relire, on trouve tout chez Tchekhov, même les questions métaphysiques, sur par exemple le sens de la vie.

Sergio dit: à

La photo est pas mal, y a du jaune dans le gris ça se voit exclusivement…

levart dit: à

le mieux, pour les cabines téléphoniques, c’est de les reconvertir en cabines de douche.
enfin, je trouve.

levart dit: à

et avec quatre bibliothèques ikéa on peut faire un abribus.

levart dit: à

les morts, plutôt que de les enterrer, faut les empailler et les mettre dans des abribus.

bouguereau dit: à

radio raclure

abdelkader dit: à

faudrait qu’ils enterrent toutes ses victimes avec lui…euh…peut-pete pas… faudrait un trou carrément de la taille de Ghaza pour les y mettre tous…une autre excuse pour spolier leur terre aux palestiniens…
le garde-champete n’ose pas le dire, il est trop poltron, mais il use sa haine des arabes pour sublimer sa haine toute aussi tangible des juifs…a mon humble avis, on ne peut haïr les uns sans haïr les autres…c’est binaire…tous des metèques…sinon, ce soir au menu de la taverne d’abdel, canard aux cerises arrosé d’un grand Pinot Noir de Bourgogne…

à se vider la vessie de rire dit: à

le coup du bras fantôme, quand même…….

D. dit: à

Je pense que de tous temps il y a eu ce genre de livres, hamlet, et seule uns statistique précise et factuelle pourrait vous permettre d’affirmer sans risque de vous tromper ce que vous affirmez.

D. dit: à

Je m’étonne de la haine qui se dégage de certains commentaires. Certes Sharon n’a pas, à certains épisodes de sa vie, été parfait, loin s’en faut, mais à certains moments il était bon et sympathique.

hamlet dit: à

u. non, je n’ai pas pleuré pour les couche culottes.
j’ai même trouvé cette émission plutôt amusante, le sujet (la conjugalité) est un sujet assez poilant.
le tragique de l’existence aussi est un sujet poilant.

avec toutes les misères du monde, les famines, les massacres, les guerres et autres passes temps humains.

prenez ces types qui font une fixette sur les juifs et Israel, on tue des centaines de syriens chaque jour ils s’en tapent, non seulement ils s’en tapent mais plus on tue des syriens et plus ils font une fixette sur les juifs pour oublier qu’on tue des syriens.

alors désolé mais une couche culotte de plus ou de moins, une prostate de plus ou de moins, un coeur de plus ou de moins c’est pas tout de même pas ce genre de truc qui va nous faire pleurer.
non ?

il faut remettre les choses dans leur contexte.
je sais bien que tous ces écrivains vivent dans leur petit monde parisien, autocentrés sur leurs petis problèmes éditoraiux mais pendant qu’ils écrivent leurs petites histoires pour faire témoigner les sans voix (ne faut-il pas être un peu taré pour demander à un écrivain de publier un livre sur sa prostate ?), pendant ce temps là il se passe un tas d’autres trucs dans le monde.

le risque aujourd’hui c’est ce que dit Monsieur Assouline est qu’ils le font avec du style et une belle écriture.
c’est ça le fléau de notre époque, les génocides africains et syriens sont faits sans style ni belle écriture du coup ils n’intéressent personne.

par contre la prostate de ce sans voix…..
alors non les couches culottes ne me font pas pleurer.

hamlet dit: à

c’est ça le style : un type qui peut vous tirer les larmes en décrivant la façon dont il s’est coincé un doigt dans la porte.

et ça c’est le grand fléau de notre époque.
il faudrait laisser tomber le style et remettre les choses en ordre dans ce monde.

cela dit je comprends que tous les pays arabes ils fassent la fêtes en apprenant la mort de Sharon Stone, vu que c’est des pays où ils n’ont pas tous les jours l’occasion de faire la fête.

mais la France ? la mondialisation je veux bien, l’ouverture à l’autre et à l’ailleurs je veux mais est-ce une raison pour perdre les pédales ?

même les clubs de football ne veulent pas prendre de mesure : ils disent que s’ils virent tous les footballeurs fans de dieudonné qui font la quenelles ils risquent de perdre des places dans le championnat.

Le petit Marseillais dit: à

Les intrigues du flanbyque sérail me passionnent autrement plus que l’état des roubignolles au copain à Tahar. Par exemple, la question de savoir quel titre donner désormais à Valérie me taraude : la répudiée présumée ? la cocue putative ? Le titre de première dame me paraît excessif (bien que « première » implique l’existence d’une seconde et, pourquoi pas, d’une troisième). Il me semble que première concubine conviendrait mieux. Décidément ces sociaux-démocrates sont des enragés de la quenelle : DSK naguère, Roland Dumas jadis.

Le petit Marseillais dit: à

le mieux, pour les cabines téléphoniques, c’est de les reconvertir en cabines de douche.
enfin, je trouve. (levart)

On sait où vous voulez en venir, mon petit ami. Vous croyez pouvoir nous m’bala m’balader avec vos allusions perfides et vos sous-entendus foireux, mais on a tous très bien compris et on n’a pas l’intention de laisser passer cette nième insulte à la mémoire des victimes et à la douleur d’un peuple qui n’a que trop souffert. Cabines de douche… je t’en foutrais, moi. Chaud à la douche, oui.

Le petit Marseillais dit: à

la cocue putative ? (mézigue)

La cocue putative, non : ça sonne vraiment trop mal. Ce n’est pas une travailleuse du sexe, tout de même. Au fait, encore heureux que les papas ras du zizi n’ont pas chopé Flanby en train de filer sur sa mob chez les putes. Tu imagines la tête de Nadja Belkacem…

Le petit Marseillais dit: à

les papas ras du zizi (mézigue)

Trait anti-hachémite caractérisé ou je ne m’y connais pas. Mais que fait le Conseil d’Etat ?

kicking dit: à

il devrait aller se taper un mec, vu que c’est devenu encore pire que les pétasses on sait pas trop vraiment grâce à qui, ça permettra aux passionnés par la politique d’en faire gorges chaudes..

Le petit Marseillais dit: à

Je m’étonne de la haine qui se dégage de certains commentaires. (D.)

Apparemment que D. débarque de la constellation d’Orion.

E dit: à

nan mais c un complot, la Tierweiler va se casser et en fait elle avait été casée par son ex qui a aussi placé la julie pour à la fin le laisser dans le caca

E dit: à

et tout ce beau monde a été payé par poutine avec le fric de sarko

des mots pour se souvenir dit: à

ce billet me laisse perplexe sur la conscience de P.Assouline quand ses identifications les plus intimes sont en jeu

D. dit: à

Si toute cette histoire est vraie -et je dis bien si- cela ne donnerait pas une bonne image du Président.

Le petit Marseillais dit: à

Si toute cette histoire est vraie -et je dis bien si- cela ne donnerait pas une bonne image du Président. (D.)

Tiens, ça me rappelle un passage de « la Cantatrice chauve » :
1 – ça n’est pas vrai ?
2 – Hélas, si !
3 – ça s’est passé pas loin de chez nous.

D. dit: à

Je veux dire par là qu’à son âge on aurait plutôt attendu qu’il se fixât plutôt qu’il courrasse de jupons en jupons. Enfin on verra bien si c’est confirmé ou pas. Pour l’instant on ne peut être que dans l’expectative.

court. dit: à

Comment peut-on parler encore d’un écrivain dont toute l’œuvre est en chute libre depuis des années, Moha étant l’exception glorieuse des débuts?
Parce qu’il a son couvert au Goncourt?
Parce qu’il incarne pour les médias le bon Arabe de service?( Voir Le Racisme expliqué à ma Fille, ce chef d’œuvre.)
Parce qu’il représente ici jusqu’à la caricature le roman analytique à la Parisienne?
Parce qu’un arabe qui reprend ce qu’un Roth a traité, c’est politiquement correct?
Parce qu’il faut bien un écrivain Marocain d’expression française quelque part? Et que celui-là, médiatiquement bien servi, nous dispense des autres? On s’excuse, mais Jamel eddine Bencheikh, c’est tout de meme autre chose!
Pour Madame de Kérangal, rien de remarquable hors le fait que l’ancetre Arsène était imprimeur de l’Evèché de Quimper, et qu’il savait travailler , lui…Mais il se limitait à imprimer les autres. Sage décision.
MCourt

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Mm Michu,…
…brandir, ce que l’on n’a pas,…

…il y a beaucoup de gens qui sont catapultés partout, uniquement par le biais  » canapé « ,…
…mariages pour sauver les apparences,…même plus!,…la morale s’en fout, et les libertés fondamentales en échecs par le fanatisme religieux étranger,…
…casser de l’européen par des zizanies entre eux !,…
…et des gens très sérieux à cols blancs à mettre l’économie des pays,…livrés aux charognards!,…

…Télé-Moustique,…du 15 au 20 août 2010,…
…Les vrais lieux du pouvoir,…

…Clubs privés, lobbies, mouvements spirituels, la politique …. sous influence,…

…s’occuper des gens,…les déviés par les uns et les escroquer par les autres!,…meeting’s à la face des états, et des scouts à l’islam, ou des témoins de Jéhova!…ou autres,…

…le bordel, organisez pour s’en foutre!,…
…la grande marmite, des soupes recuites,…
…les jeunesses  » hitlérienne  » aussi version football,…la grandeur des peuples en perpétuelle – guerres,…

…mais allez travaillez!,…construisez vos maisons,…auto-gèrez vous!…
…trouvez-vous un terrain d’entente en cercle du progrès de l’existence et libérer vous de vos servitudes acariâtres,…de vos jougs,..
…adorez-vous!,c’est gratuit!…vous même,…vous avez tout pour cela!,…n’en inféodez que vous-même!,…
…aucun schiste, pas de révolutions,… concevez le parfait équilibre entre les bonnes conceptions en grandes familles,…
…réunissez vous pour existez, lâchez les basquet’s à la télé,…
…retrouvez vous des années d’après-guerres perpétuelles!,…
…Stop ou encore,…mon valet!,…

Le petit Marseillais dit: à

Et que celui-là, médiatiquement bien servi, nous dispense des autres? (Court)

Le fade Ben Jelloun, il est vrai, est depuis longtemps un écrivain plus parisien que marocain. Mais quels critiques nous parlent des autres ? Qui se préoccupe sérieusement de nous faire mieux connaître ces écrivains francophones du Maghreb et d’Afrique ? Il faut compter aussi avec l’obstacle de la paresse du public français; lourde tâche que celle de la secouer.

des journées entières dans les arbres dit: à

court. dit: 11 janvier 2014 à 21 h 47 min

Bien dit M. Court.
Foin de langue de bois, que pratiquent très bien les auteurs médiatiques chroniqués ici.
(prêter une empathie et un talent à FOG, vous voulez rire ?)
Il faut encore brasser une bibli, pour trouver de quoi ne trop abimer Tahar Ben Jelloun.
Eh bien, figurez-vous que j’ai trouvé.
« Les pierres du temps » et de beaux poèmes sur Fès.

Mme Michu dit: à

Bon, Giovanni, une petite berceuse pour vous souhaiter un rrrrrododo

1) lâcher les baskets je sais très bien le faire, ai même plutôt l’impression qu’on me le reproche, alors vous trouverez facilement des nécessiteux en leçons ailleurs
2) la télé il y a des années que je ne la regarde plus (à part dans la presse… et encore, à peine)
3) pour le droit de réunion, je n’ai jamais été contre, bien au contraire, le droit à l’intrusion c’est autre chose
4) je n’ai pas pour passe-temps de faire la guerre et manque toujours de nerf pour ça, même emmieller c’est pas mon truc
5) les servitudes acariâtres, euh, c’est une question de point de vue, et encore, il y a rire facile et rire facile…… et puis faudrait avoir vraiment vu ce que j’ai vu dans le genre pour bien visualiser un gros tas acariâtre…

Votre vie de pompier pyromane a l’air bien morose… un vrai sourire reste préférable à une grimace. Pensez-y. Bonne nuit!

Mme Michu dit: à

C’est vraiment le règne de la calomnie avec le prétexte-billet d’excuse de la reine-mère. Quelle misère…

bérénice dit: à

« On aura sûrement remarqué que les deux photos, signées « Passou » ont été prises à Biarritz. »

Je confirme en scoop mais les photos sont de moi, je l’y accompagnai mais ne prévenez pas pour autant Gala.

bérénice dit: à

hamlet 18h43 Pareil avec les arts en plastique, vous rentrez dans Versailles et vous vous demandez où sont les vacanciers qui n’ont pas débarrassé le matériel de plage, un scandale quand on sait ce que ça coûte!

des journées entières dans les arbres dit: à

allons, mme michu, vous déprimez encore.
Giovanni fait des efforts, lui.
Ce soir, je vais dormir au  » château ». ( vous me suivez, mme michu ? toutefois, le majordome est assez exigeant sur la qualité des invités).
Et demain, mme michu, c’est high, high, high.
Grand large: la mer de nuages et tout et tout.

Mme Michu dit: à

allons, mme michu, vous déprimez encore

Non, machin, malgré tous vos efforts…

des journées entières dans les arbres dit: à

mme michu, il y a certainement un remède contre les aigreurs. (voir la phamacopée que tout honête homme devrait posséder)
Le moins que l’on puisse dire est que vous n’avez pas la littérature sur l’estomac, vous.

des journées entières dans les arbres dit: à

Lire: honnête, mme michu.

bérénice dit: à

« Sur les rapports entre milieu et maladie, l’indépassable « Mars » de Fritz Zorn. »
DHH je n’ai pas lu ce livre en revanche, lu de je ne sais plus quel auteur, du milieu, une observation globale attestant du rapport entre la maladie psychiatrique et l’histoire familiale. J’ajoute avoir été effarée par le poids de l’histoire familiale dans la précipitation des personnes dans la maladie, que ce soit la toxicomanie, la dépression, certains autres tableaux et bien que n’étant pas psychiatre je trouve votre discours réducteur, accueilli également une dépression France-télécom et écouté le témoignage des pressions subies, harcèlement du au management tel qu’il a généré des suicides, toutes les dépressions ne sont pas uniquement causées par une programmation génétique, une prédisposition.

Mme Michu dit: à

J’ai le droit de ne pas aimer les pétomanes de votre genre, euh qui ? on se connaît ?

Mme Michu dit: à

Et encore, faut pas entendre « connaître » dans sa version plouc, là !

Mme Michu dit: à

Vous m’avez tout l’air d’un pauvre petit trouillard n’osant se promener seul le soir, alors autant dire pas vraiment mon genre. Mes amitiés à votre maman.

bérénice dit: à

Mme Michu, d’un autre coté il ne vous fait part d’aucune proposition malhonnête qui l’obligerait à braver la rue le soir et l’obscurité. Rien n’indique que sa mère vous apprécie et reçoive vos amitiés.

Mme Michu dit: à

il y a certainement un remède contre les aigreurs

Mais c’est au moins honnête de votre part d’admettre que vous ne le connaissez pas…

bérénice dit: à

Mais si vous insistiez à révéler votre véritable identité et que vous soyez plutôt beau brun et fonctionnel, je veux bien, moi, en prendre soin. Voire plus si affinités.

bérénice dit: à

Vous faites quoi par exemple demain, entre 15h et 18h, on ne sait jamais comment meubler ces trois heures du dimanche, on pourrait réviser?

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…Mm Michu,…à 22 h 23 mn,…

…ma vie de pompier-pyromane,…visualiser un gros tas acariâtre,…

…je ne sais pas qui est derrière sous le nom de Mm Michu,…
…mais moi, j’écrit des généralités géo-politiques à s’arracher les chignons, Oui !…

…et je vais dire alors aussi,…d’avoir la chance de ne m’être mêlez à aucune combines pour parvenir aux pouvoirs,…d’autant que j’en ai aucun !,…
…pour moi, c’est des fonctionnaires d’un système de gestion très éprouvée et fiable, en toute confiance,…le système,…

…mais, évidement, à part certains romans et la vraie histoire encore écrite,…
…les spécialités des hommes du pouvoir, me sont totalement étrangers,…
…à part des montages vidéos, et livres sur les moeurs – sado-maso à Londres !
…et, de prendre la réalité des autres comme des fictions-romans provocateurs à réparer les vivants et à analysez !

…au fond, le comble pour moi!,…c’est de savoir, et déterminer,…sans m’être mêler le pinceau dans l’acide du complexe-humain,…
…la tête dans mes dessins, et ma seule imagination préventive,…
…je vous laisse le soins d’imaginez, tout ce que vous voulez, en plus de vos coordonnés établis !,…etc,…

Le chat dit: à

Un tableau au scalpel, c’est un peu destroy. (u).
Pas plus qu’à l’ongle, au couteau, au manche de pinceau …

Mme Michu dit: à

La mauvaise foi s’est supposé faire envie ?

Mme Michu dit: à

S.m.. B……y

puisque vous aimez les points de suspension

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…sincèrement, je crois que vous vous trompez d’interlocuteur,…
…ou que vos donnez de renseignements ont été  » piratés « ,…
…je ne me souvient de rien,…par ce code!,…

….S.m..B……y,…

…je ne sais pas ce que, çà doit me rappeler!,…
…j’ai été effrayer dans ma jeunesse par une collègue,…et réciproque,…j’imagine,…
…mais là je vois rien!,…en ce qui me concerne!,…ou des trucs pour adultes!,…y en à des tonnes!,…pour des bouchées de pain!,…

…en tout cas pourvu, que les autres sur ce blog,…me donnerons plus de fil d’aplomb!,…etc,…et bonne nuit!,…

LéoBloomPold dit: à

Le Marcel se révèle tordu grave, le Débris se réincarne en savon d’Alep et l’ânecdote sudiste se contracte le recte avant d’expulser, bref, rien de nouveau sous le soleil hexagonal: la bande des pieds nickelés continue à produire sa logdiarrhée, à distance du vaste monde dont lui parvient par intermittence un babil indistinct.

Marcel dit: à

LéoBloomPold dit: 12 janvier 2014 à 2 h 55 min
Le Marcel se révèle tordu grave, le Débris se réincarne en savon d’Alep et l’ânecdote sudiste se contracte le recte avant d’expulser, bref, rien de nouveau sous le soleil hexagonal: la bande des pieds nickelés continue à produire sa logdiarrhée, à distance du vaste monde dont lui parvient par intermittence un babil indistinct.

Il a des arguments massues, le père Bloom. J’en reste comme deux ronds de flan !

Mme Michu dit: à

des trucs pour adultes!

Coller une tique au cul, refiler des vers à quelqu’un, ou alors se placer de telle sorte à être regardé de travers en faisant le beau, chier sur quelqu’un pour ensuite aller se faire lécher le cul au fond à gauche.

Des trucs pour adultes, ben voyons…

(Et je passe sur les grands cercles de bouffis)

LéoBloomPold dit: à

Avec son album BD « La Brigade juive », le dessinateur Marvano dévoile un aspect méconnu de la 2ème guerre mondiale.
___
Album passionnant, et qui plus est téléchargeable sur Kindle, parfait pour les cosmopolites sans attaches. Dans la foulée, une mitzvah au
קק »ל: קרן קימת לישראל en souvenir de l’oncle Henri, ancien de la MOI.

Lili dit: à

Cela faisait des lustres que je n’étais venue ici, puis j’y suis venue il y a quelques minutes, accueillie par un café que je ne peux pas m’offrir, que je m’offrais avant la crise, que je ne veux plus m’offrir, à cause de la crise, bien sûr, mais surtout à cause de l’alluminium qui donne le cancer, bien sûr que j’attraperai un cancer, un jour ou l’autre, ne serait-ce qu’à cause des saloperies des voitures de riches alimentées comme des voitures de pauvres, l’essence aussi tue, alors… mais arriver ici, pour trouver quelque chose qui me rassurerait sur la France et la pérennité de ses lumières, et être accueillie par un pub qui renfloue les poches, alors là, je ne reviens plus, et je continue de me terrer là où je me sens à peu près bien? Et la prostate de Tahar, de Philip, de tous ces mecs, j’en ai rien à battre… Parce que si une nana écrivait sur son cancer du sein, eh bien, ça ne passerait pas.

LéoBloomPold dit: à

Puisque personne ne semble en parler en Hollandie et que la discussion est à la commémo, la maladie et la mort, saluons ici la mémoire de ce grand dramaturge et militant noir américain, Everett LeRoi Jones/Amiri Baraka. Ses prises de position publiques, parfois contestables, lui valurent quelques ennuis avec la justice, mais c’est l’auteur, le poète, qui mérite d’être lu, relu et médité, notamment pour The Blues People/Le peuple du blues (Folio), et pour son texte majeur, Dutchman (Théâtre noir révolutionnaire, Buchet-Chastel) courte pièce coup-de-poing-dans-le-buffet, un classique des relations interraciales qui n’a rien perdu de sa pertinence, comme le laisse clairement entendre l’article du Guardian:

« In 1964, Jones’s play Dutchman was staged at the Cherry Lane theatre in Greenwich Village. The action takes place in the carriage of a New York subway train, in which a white woman and a black man flirt with one another, leading to unexpected violence. It won an Obie award for the best off-Broadway play. Forty-four years later, it was successfully revived at the same theatre. »
http://www.theguardian.com/books/2014/jan/10/amiri-baraka

bérénice dit: à

Car c’est une loi singulière que ce peuple d’anathèmes n’ait pu assumer la réprobation collective dont il s’honore qu’au prix fabuleux du protagonisme éventuel de l’individu. — (Léon Bloy, Le Salut par les Juifs, Joseph Victorion et Cie, 1906)

bérénice dit: à

André Brink – pod-cast 67.

JC..... dit: à

Ce n’est pas parce qu’en cette maison de retraite littéraire la plupart des bambins ridés pérorent en couche culottes qu’il faille être surpris ! Grands dieux non ! Ce qui est surprenant, c’est qu’il n’en change jamais, compte tenu de leur production et qu’ils en portent depuis leur jeunesse…

JC..... dit: à

Il vaut mieux, plutôt que de donner le nom des bambins les plus sales ici (souvent ceux qui pérorent sur une propreté qui leur est inaccessible !) rire de ces guides, leaders, führers, grands et petits timoniers, bougies de la pensée mondiale, qui tentent d’échapper à leurs couches et s’en vont à pied, en voiture ou à scooter, faire les pédophiles avec des jeunettes amusées…

C’est un peu comme si la police romaine de Ponce chopait Jésus dans un bordel de Jérusalem alors que les Apôtres débattent sentencieusement sur la crise du pouvoir en Palestine …

On a, en quelques siècles, à peine progressé depuis Héliogabale, Commode, Henri III ou les Borgia ! Marrant …

bérénice dit: à

JC vous oubliez la mitan qui s’en passe, qui s’étend tout de même de deux ans à un age qui varie d’un individu à l’autre obéissant à des règles qui s’assortissent à l’aléatoire, toutes pathologies confondues laissant environ 78 ans pour décorer les toilettes des œuvres que vous n’accrocheriez pas ailleurs à moins de préférer le dépouillement, la sobriété, la surface exempte qui laissera plus de choix à votre imaginaire pour y projeter les productions inspirées par l’effort.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@ Mm Michu,…à,…3 h 42 mn,…

…vous nous faites, des commentaires à  » l’arsenic « ,…
…les guêpes!…le vitriol pour son mari,…inutile,…et merci l’héritage!,…
…la porte ouverte pour vivre qu’au bordel,…et genre maquerelle protectrice!,…
…et encore un effort !,…le bon Dieu c’est demain,…crevez de faim,…les vertueux, les chômeurs-parasites,…vous savez moi j’ai des relations , je m’envoie avec tout le monde, j’ai fait  » la Pompadour High-School  » of States à l’€uro,…la préférée des « salée moi cette bande de pitres »,…
…vous ne construisez rien!,…vous opprimez le contexte littéraire!…
…c’est nauséabond de réagir à vous suivre,…
…vous trouver toujours des continuités pour culpabilisées en bloc tout et n’importe quoi !…Merci!,…de vous être identifiée !…
…par un vernis de souche!,…etc!,…

bérénice dit: à

Commode! Mais qui hormis des gens de votre espèce, minorité lettrée de saloon, connait Commode, je vous le demande, si vous souhaitez atteindre le plus grand nombre parlez nous d’Ikéa, Manufrance, la Camif, les 3 Suisses, de quel pays encaustiqué, de quel antique musée sortez-vous à cette heure du jour?

JC..... dit: à

D’une façon générale, lorsque l’on compare le gap entre les niveaux technologiques disponibles aux siècles anciens ne permettant qu’une pauvre connaissance des ressorts du monde, et le niveau culturel et intellectuel des éleveurs, chameliers, agriculteurs de ces époques qui inventèrent leurs religions, on se dit qu’ils étaient excusables de croire à de telles âneries..

Aujourd’hui, lorsque l’on voit croitre immensément ce gap entre le possible technique et le réel sociétal, il n’y a pas de doute : la Religion Humaniste qui nous parait meilleure est, de loin, la plus conne de toutes ces croyances ! Echec absolu de l’utopie des Lumières, crevasse qui s’ouvre sous nos pieds chaque jour un peu plus, par exemple en Syrie, au Maghreb, au Moyen-Orient, comme dans nos médiocraties occidentales, incapables d’adapter notre comportement, fait essentiellement d’animalité, aux techniques créées qui restent inexploitées.…

JC..... dit: à

Béré,
Vous avez compris que tout ce que je demande au » plus grand nombre » c’est de me foutre la paix….

bérénice dit: à

« Coller une tique au cul, refiler des vers à quelqu’un, ou alors se placer de telle sorte à être regardé de travers en faisant le beau, chier sur quelqu’un pour ensuite aller se faire lécher le cul au fond à gauche. Mme Michu »
Surement faut-il transformer cet essai riche en images choc, prendre un anti-vomitif avant d’en demander plus pour explications, être insensible, anosmique et chercher dans les détritus de l’ordure. Sans prendre le risque d’une erreur interprétative et dans ce sens.

JC..... dit: à

Mme Michu porte ses couches culottes sur la tête !

bérénice dit: à

Avec des solaires ça peut être chic, tout dépend de la tête et de la façon dont on la coiffe, voyez Lady Gaga qui s’habille en steak taillés dans la tranche.

JC..... dit: à

Il me semble que Lady Gaga est passée dans la catégorie people has-been. A 28 ans, c’est cruel ! Reste un beau duo jazzy avec Tony Bennett qui lui en a 87 et tient la route, le saligaud…

JC..... dit: à

Bon ! Tout le monde dort. J’enfile mon étui pénien de Papouasie Nouvelle Guinée, je peaufine mon maquillage de cannibale, ma sagaie en main je vais chasser le gras, et m’en va courir, voler, à quelques centimètres au dessus du sol, par des chemins déserts et sous un ciel couvert…

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

à DHH sur Zorn : votre très intéressant commentaire suscite bien des interrogations – je voudrais bien en savoir plus ! Par exemple, vous évoquez (et en vous lisant, cela me semble « tomber sous le sens ») le livre en pointant nos mauvaises lectures d’un mauvais procès. Contrairement à ce qu’affirme Zorn dans tout le livre, ce ne serait pas son milieu qui le tue, c’est « médicalement » impossible.

Bon, je vous suis jusque là : je suis bien trop rationnaliste pour ne pas préférer la science médicale à l’hypothétique psychanalyse. Mais là où je ne vous suis plus, c’est dans le rebondissement (logique ?) de votre dernière phrase. Vous, qui venez d’ôter à Zorn la légitimité de son accusation sociale sur fond psy, au nom de la science, vous invoquez « un lointain ancêtre qui se serait appelé « angoisse ». Mais quelle science a établi un rapport de cet ordre entre les générations ? Certes, certaines théories psychanalytiques (je pense à Jung)font remonter nos troubles jusque dans nos cerveaux reptiliens… Mais vous venez de refuser ce genre d’hypothèse psy ?

Ca m’intéresse fichtrement, DHH. Pourriez-vous m’expliquer plus longuement votre pensée ?

JC..... dit: à

Il ne peux pas y avoir de « mauvaises lectures » de Mars, par rapport à une miraculeuse « bonne lecture » !!!

Bien fol celui qui serait assez fou pour vouloir rationnaliser, expliquer, comprendre finement une confession pareille …

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Mais, bon sang de bonsoir, vous ne pouvez donc absolument vous empêcher d’intervenir, Jcé ? Ne pouvez-vous vraiment pas ressentir, devant ma demande d’explications approfondies à DHH, la même indifférence, à rebours, que celle que j’éprouve à l’égard de votre opinion, dont je me contrefiche ?

Autrement dit : ne pouvez-vous arrêter, juste un moment, d’em… le monde, ce qui semble votre seule manière d’exister ?

Mme Michu dit: à

Mme Michu porte ses couches culottes sur la tête !

Je devrais parfois… et à l’envers…

scud #5 dit: à

@L’honneur perdu de Clopina Trouille
L’oiseau que vous interpellez est une huppe fasciée (autrement dénommé « pue pue » en raison des odeurs d’excrément de son nid).

D. dit: à

Je ne comprends pas, Clopine.
JC ne fait qu’introduire chez nous des questionnements.

D. dit: à

Refiler des vers, il y en a plein qui le font sans arrêt ici et il n’y a pas de quoi en faire une maladie.

D. dit: à

à moins de préférer le dépouillement, la sobriété, la surface exempte qui laissera plus de choix à votre imaginaire pour y projeter les productions inspirées par l’effort.

…ou au contraire ne laissera aucun autre choix que Dieu, comme chez les Cisterciens.

D. dit: à

Bérénice, je me demande bien ce vous pouvez faire debout à 5h 49. Moi à cette heure-là je dors, et profondément. C’est pour le moins étonnant 5h 49 un Dimanche.

D. dit: à

Bon, je me prépare pour la Messe.

JC..... dit: à

« Mais, bon sang de bonsoir JC…/… Ne pouvez-vous vraiment pas ressentir …/…la même indifférence …/… que celle que j’éprouve à l’égard de votre opinion, dont je me contrefiche ? » (Clopinedours)

C’est toujours plaisant de relever les contradictions logiques chez une paysanne de luxe, être profondément sensible se croyant plus futée qu’elle ne l’est. On mesure son indifférence à cette réaction grotesque… !

(Et il vaudrait mieux, ma chère, que vous me laissiez libre de m’exprimer avec cette prodigieuse vulgarité qui vous dégoûte et vous crève le cul. Que voulez-vous : il va falloir vous y faire ! …)

JC..... dit: à

Pauvre DHH/Judith ! Obligée de répondre à « ça », par solidarité féminine…

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

Mais apprenez donc à lire, au moins ! Certes, je me fiche de votre opinion sur Zorn, et si je réagis à votre commentaire, c’est que vous empêchez toute conversation suivie, comme l’em… que vous êtes !
(bon, ça ne sert à rien, il est imperméable et sourd pire qu’un condom, même devant un miroir il ne réfléchirait pas…ah là là, quelle plaie)

bérénice dit: à

10h07 vous ne passeriez pas pour Pampers, mais avec des solaires, personne pour vous identifier, votre honneur serait sauf.

JC..... dit: à

Clopina Trouille, ça rime avec Nouille : bien vu ! et parfaitement adapté au personnage …

scud #6 dit: à

Vu, hier soir (Bibliothèque Médicis) P. Assouline. Disait son inquiétude à propos de certaine affaire qui meuble l’actualité, son malaise face à l’antisémitisme qu’elle véhicule. Comme une lassitude dans le regard, dans la posture, une détresse ? Espérons pour lui, pour sa santé, qu’il ne pose pas les yeux sur les commentaires de ses billets.

JC..... dit: à

« c’est que vous empêchez toute conversation suivie, comme l’em… que vous êtes ! » (Clopinedech’val)

Vous voyez bien que votre allégation est fausse puisque nous entretenons entre emmerdeur et emmerdeuse, une conversation suivie, conversation que vous avez vous-même initialisée par votre message (si utile) de 9h36…

Allez, va ! Je vous pardonne votre nervosité* bien compréhensible et… Bon dimanche !
*machisme, n’est il pas vrai ?

u. dit: à

« il est imperméable et sourd pire qu’un condom » (Clopine)

Pas mal, je n’avais jamais vu les choses sous cet angle là.

u. dit: à

Pourquoi le livre de Fritz Zorn est venu sur le tapis?

J’ai dû le lire peu après sa sortie, il m’avait impressionné.
Il n’y a naturellement aucune théorie à y trouver sur l’origine du cancer.

Je me souviens de la description formidable, cruelle et marrante, des conversations en famille.
J’ai retrouvé un extrait sur un site:

« Tout devait être sans problème ; ou, si ce ne l’était pas, il fallait le rendre tel. Il ne devait y avoir, sur tout, qu’une opinion, car une divergence d’opinion eût été la fin de tout. Aujourd’hui je comprends bien pourquoi, chez nous, une divergence d’opinion eût été l’équivalent d’une petite fin du monde : nous ne pouvions pas nous disputer. J’entends par là que nous ne savions pas comment on s’y prenait pour se disputer ; tout comme quelqu’un peut ne pas savoir comment on joue de la trompette ou comment on prépare la mayonnaise. Nous ne possédions pas la technique de la dispute et c’est pourquoi nous nous en abstenions, comme un non-trompettiste ne donne pas de concerts de trompette. »

« Mes parents, qui aimaient bien aller de temps en temps au cinéma, classaient cependant, au départ, les films en deux catégories : il y avait les « moroses » et les « loufoques ». La chose se présentait de la façon suivante : un film était « morose » quand on y montrait les côtés tristes, désespérés ou inharmonieux de l’existence. Ces films ne plaisaient pas à mes parents ; ils trouvaient qu’il valait mieux ne pas montrer du tout ce genre de films car, « en fait la vie n’était pas du tout comme ça ». […] / Les autres films étaient « loufoques », c’est-à-dire comiques, mais d’une manière tout aussi fantaisiste que les « moroses » étaient tragiques. « En fait, la vie n’était pas du tout », non plus, telle qu’on la représentait dans les films « loufoques ». Ainsi, les deux genres étaient caractérisés par le fait qu’ils représentaient quelque chose de complètement fantaisiste et impossible, à quoi l’on ne pouvait et ne devait donc pas s’identifier. »

(Mais le lire en suisse allemand, c’est malheureusement un peu duraille)

u. dit: à

« « il est imperméable et sourd pire qu’un condom » (Clopine) »

Je sais, il est absurde de s’attacher à cette phrase.

Je ne comprends pas qu’on puisse reprocher à ce capuchon d’être waterproof, et s’il est sourd le bijou ne sera pas indiscret.

u. dit: à

Que peut-on dire d’intelligent, entre Condom et Zürich?

En tout cas, encore ado, ma première calotte était allemande, et portait écrit sur la boite un « Mit Reservoir » qui m’avait intrigué.

J’ai bien peur qu’aujourd’hui ma contribution au débat ne s’arrête là.

renato dit: à

Il y avait, peut-être, chez Zorn un chrétien qui veillait au grain. Catholique ? Reformé ? Peu importe, mais il semble qu’il croyait que les grands pèches font les grandes maladies. Bon, il aurait dû suivre le conseil implicite in 2 Chroniques 16.12 : « Il avait une maladie au pied, la maladie était très grave, et encore dans sa maladie, il n’alla pas à l’Éternel, mais chez les médecins » (approximativement remémoré et approximativement traduit). Il préféra la jeter en politique — c’était la mode de l’époque.
J’ai connu l’un de ses profs, il en parlait en pleurant : « Dommage, une si belle intelligence ! »

DUREX dit: à

« il est imperméable et sourd pire qu’un condom » (Clopine) »

Il est impossible d’être plus imperméable qu’un Durex ! En outre, notre surdité est une nécessité absolue : elle nous protège des chuintements et autres délires venteux que l’on entend souvent, de ci de là. Bon orgasme dominical !

Col dur dit: à

u. dit: 12 janvier 2014 à 11 h 04 min
J’ai bien peur qu’aujourd’hui ma contribution au débat ne s’arrête là.

Chic ! C’est notre jour de chance.

u. dit: à

« ma première calotte était allemande »

C’est le choix du correcteur automatique, il en vaut bien un autre.
Capotte allemande, c’était quand même mieux, s’agissant de quelqu’un qui s’imaginait « en état de guerre absolue ».

Col dur dit: à

u. dit: 12 janvier 2014 à 11 h 12 min

Hélas, il est revenu.

bouguereau dit: à

et s’il est sourd le bijou ne sera pas indiscret.

un gode musical..c’est une idée a explorer clopine..je le voyant bien faisant ali alo

CRISTOBAL dit: à

on comprend bien ceux qui ont quitté ce blog quand on lit les saloperies d’un JC et de boudegras, quelle honte !

bouguereau dit: à

radio raclure toujours

Jamâl, cousin de Mansûr dit: à

L’intérêt de ce commentaire est proportionnel à l’intérêt qu’on porte à son auteur :

u. dit: 12 janvier 2014 à 10 h 59 min

u. dit: à

Marrant, les pseudos.

A quoi peut bien ressembler un type qui se voit en « col dur »?
Une couille molle?

J’ai l’image qui passe devant mes yeux d’un scootériste sentimental.

Alcofibras dit: à

Et il y en a qui nous ont parlé de Closer. Je l’ai vu chez mon coiffeur. Mais je n’aurais pas osé en parler ici. C’est que ça me fait mal tout ça !

Je me sens totalement anormal. Dans les commentaires, je lis que tous les hommes normaux font comme lui. Des paroles qui blessent ! Quand fera-t-on une loi contre les monogamophobes ?

Nous n’avons pas encore entendu les experts sur nos radios, les psys de tout poil et de toute obédience. Et si notre François allait à Rome visiter l’autre François -visite privée avec son garde du corps (sortez couvert qu’ils disent, la capote est plus importante que le bouton atomique) – pour se confesser.

On ne répétera pas assez que la nature est injuste. Alors vite une loi pour rétablir la justice. La ménopause et l’andropause au même âge pour tous. Après le mariage pour tous, on ne peut plus attendre.

DUREX dit: à

CRISTOBAL dit: 12 janvier 2014 à 11 h 19 min
« on comprend bien ceux qui ont quitté ce blog quand on lit les saloperies d’un JC et de boudegras, quelle honte ! »

Vous aimez ça, Tonton, puisque vous restez et ne quittez pas ce blog. Comme je vous comprend. Eprouver cette honte est une émotion délicieuse.

u. dit: à

« L’intérêt de ce commentaire est proportionnel à l’intérêt qu’on porte à son auteur »

Pitaing cong, ce posteu me parait frappé au coing du bon sens.

Couille molle dit: à

A quoi peut bien ressembler un type qui se voit en U ? Un contorsionniste ? Un bossu ?

bouguereau dit: à

Mme Michu porte ses couches culottes sur la tête !
Je devrais parfois… et à l’envers…

on a beau dire..un bon casque lourd en kevlar comme sergio..à 170 mit gros réservoir nach paris sur le périph..et ali alo a fond..jamais malade jamais arrété

u. dit: à

« A quoi peut bien ressembler un type qui se voit en U ? Un contorsionniste ? Un bossu ? »

Pas mal.

Buona giornata!

Mme Michu dit: à

10h40 parlez d’un autre si vous y tenez, tel le rayon de votre honneur, les discussions à deux cela peut servir à autre chose quand on est moins obtus

bouguereau dit: à

tout le monde il a son antimatière ici..c’est quantique

Mme Michu dit: à

Peut être Zorn doit –il son vrai nom Angst(angoisse) à un ancêtre

Et la traduction de Zorn, elle est pas belle la traduction de Zorn ?

bouguereau dit: à

l’antimatière a sergio est dans sa boite a gant

bouguereau dit: à

zorn pour moi c’est dabord un peintre..j’ai vu quelques uns de ses trucs..wouaaa! du serieux!

u. dit: à

« .à 170 mit gros réservoir nach paris sur le périph..et ali alo a fond.. » (bouguereau)

Ton motard nazi, le billet du jour a trouvé le traitement:

« avec un raffinement dans la torture : Abba hurlant Mamma mia dans le casque. »

bouguereau dit: à

clopine tu devrais en faire tirer un 3m sur 4 pour l’entrée du garage de ta 4×4 quand tu vas démerder ta femme de ménage avec sa vieille 206 dans le chemin creux

bouguereau dit: à

Ton motard nazi

ha pas du tout..assez de politique ! il est de la wermart..il a son quant à lui..et toujours korrect!

bouguereau dit: à

ali alo c’est un chant de franche camaraderie zouzou..traduit les paroles tu verras..ça cause de condom mit réservoir au pire..sans plus

u. dit: à

il est de la wermart..il a son quant à lui..et toujours correct!

C’est vrai.
Comme nos pères disaient avant 42: « Faut reconnaître, ils sont réglo ».

Intérim de Jacques Barozzi dit: à

Quand on se balade boulevard de Clichy, le Boug, on voit une plaque, au n°71, indiquant que le peintre Zorn (Anders) a eu un atelier là.

bouguereau dit: à

da singt der fogel frei..parfaitment!

bouguereau dit: à

on voit une plaque, au n°71, indiquant que le peintre Zorn (Anders) a eu un atelier là.

j’irai voir ! ha comme j’aurais aimé pouvoir dire au gars « j’aime beaucoup ce que vous faites meusieu anders » quelquefois la peinture importe moins que l’envie que l’on aurait de faire le gros notaire qui visite un atelier..maupassant avait raison de mépriser un peu bouvard et pécuchet, le livre

Pink Floyd dit: à

Speak to me.

Cristobal dit: à

connard comme un DUREX ; un gros

le gourou de JC..... dit: à

Si l’Adolf imprudent n’avait pas mis fin unilatéralement au pacte germano soviétique, alors que l’entente était parfaite côté des Ivan, Dieudonné serait ministre de la Justice, ici bas !

DUREX dit: à

Cool Tonton ! COOL !

bérénice dit: à

Mme Michu, le dialogue reste ouvert, je ne vous connais pas avec ou sans, loterie aux suppositions concernant ce pseudo énigmatique. Ceci dit nous plaisantons souvent, comment lire tout ceci?

Le petit Marseillais dit: à

La « quenelle », le geste antisémite popularisé par Dieudonné M’Bala M’Bala

Lue par hasard cette phrase, sous la plume d’Olivier Zilbertin , journaliste au « Monde ». Il prend manifestement pour argent comptant, sans autre forme de procès, l’interprétation univoque donnée à ce geste par certains adversaires de l’humoriste. Or il faut bien dire que la plupart d’entre nous en sont encore à se demander ce que ce geste peut bien avoir d’antisémite. On attend une démonstration. Les uns disent « geste antisémite », l’intéressé et ses amis parlent de « geste antisioniste » ou de « geste antisystème ». Au moins le bon vieux bras d’honneur a-t-il un sens à peu près dépourvu d’équivoque. Je me souviens qu’en visite à Auschwitz, saisi d’un besoin pressant, j’avais exhibé mon cul derrière une baraque. Depuis le temps, il y a prescription, à moins que mon geste ne soit requalifié en apologie de crime contre l’humanité. Car, après tout, n’oublions pas la dimension inconsciente de nos actes. Qu’en eût pensé Jacques Lacan ?

LéoBloomPold dit: à

Vu, hier soir (Bibliothèque Médicis) P. Assouline. Disait son inquiétude à propos de certaine affaire qui meuble l’actualité, son malaise face à l’antisémitisme qu’elle véhicule. Comme une lassitude dans le regard, dans la posture, une détresse ? Espérons pour lui, pour sa santé, qu’il ne pose pas les yeux sur les commentaires de ses billets.

Faut dire qu’il se ménage pas, le père Assouline: on passe pas des mois et des mois avec les crapules de Sigmarigen sans que ça laisse des traces. Pour peu qu’il se sente obligé d’assister au colloque sur ce raseur de Péguy (si c’est ça l’avenir, mieux vaut finalement un bon cancer), on imagine son immense lassitude.
Et avec les scélérats qui sévissent impunément sur son blog, Passou /Frankenstein se retrouve à son corps défendant à avoir repris le flambeau cybernétique du Je suis partout de sinistre mémoire – pas un des moindres paradoxes des ravages de la soi-disant « liberté d’expression » qui profite, comme chacun sait, aux auteurs des propos les plus vils et dégradants. De quoi être profondément déprimé, en effet.
Les règles devraient être claires: on parle de littérature et de rien d’autre. On sort du sujet et on est sabré, comme sur les blogs anglais, mille et une fois plus sémillants. Tu t’égosilles à Speaker’s Corner & tu la fermes ailleurs. Duralex (simple et fonctionnel) sed lex.

Jacky Lacan dit: à

Aux Baumettes, le petit marseillais anti-sémimique !

bérénice dit: à

C’est un geste qui n’ose pas se redresser, mais codé, intentionné, un peu couard. Que déduire? que les problèmes d’érection ont parfois du bon? qu’ils s’accompagnent tout de même d’une éjaculation?

JC..... dit: à

« Pas un des moindres paradoxes des ravages de la soi-disant « liberté d’expression » qui profite, comme chacun sait, aux auteurs des propos les plus vils et dégradants. » (Bloom)

Propos fascistes et totalitaires !
…pour tous ceux qui ont connu le langage totalitaire des Républiques « Démocratiques » et communistes de l’Est de l’Europe. Bon dimanche, pauvre s…pe !

tutut dit: à

abdel et jicé eux aussi sont des êtres humains

Le petit Marseillais dit: à

Depuis le temps, il y a prescription, à moins que mon geste ne soit requalifié en apologie de crime contre l’humanité. (mézigue)

« Je conchie l’armée française dans sa totalité », écrit Aragon à la fin du « Traité du style ». Personne ne lui a cherché noise car l’armerdre, fût-elle française, n’a jamais fait l’objet d’un culte sacré. Quand, jadis, je posai culotte derrière un baraquement d’Auschwitz, je ne proclamai certes pas que je conchiais la Shoah dans sa totalité (d’ailleurs, ce terme, à l’époque, n’avait pas encore été mis en circulation), mais peut-être ai-je pensé très fort quelque chose d’analogue. Il y aurait, si c’était le cas (mais comment m’en assurer ?) ce que Georges Orwell qualifie de « crimepensée ». C’est bien dommage que Jacques Lacan ne soit plus là pour m’éclairer.
En tout cas, l’affaire Dieudonné me paraît fournir un exemple de la difficulté de sacraliser quoi que ce soit d’humain. La notion d’ « atteinte à la dignité humaine » ferait rigoler tout le monde si cette qualification n’avait pas acquis un contenu pénal, devenant riche, du même coup, de toutes sortes de dérives qu’on frémit d’imaginer : par exemple, ce que j’écris en ce moment n’est-il pas une atteinte à la dignité humaine ? Et si je crie aux éventuels touristes mémoriels :  » Au moment de poser culotte derrière un baraquement d’Auschwitz, surtout, pensez très fort », est-ce que mon propos ne risque pas d’être mal interprété ?

Le petit Marseillais dit: à

Les règles devraient être claires: on parle de littérature et de rien d’autre. (LeoBloomPold)

Certainement, certainement. Mais comme tout le reste est littérature, comme l’a si bien dit Verlaine, on n’est pas sorti de l’auberge.

JC..... dit: à

« Par exemple, ce que j’écris en ce moment n’est-il pas une atteinte à la dignité humaine ?  »

« Ta vie entière est une atteinte ! » dirait Josette, si tu ne l’avais pas enfermée à la Tour de Nesle…

gentleman dit: à

jicé être binaire crie au lieu de (avant de?) comprendre,un peu comme son gourou bouboug – il faut s’y résigner (car dieu nous le rendra: c’est écrit)

bérénice dit: à

JC pourquoi oubliez-vous que des propos sont passibles d’une loi quand ils incitent à la haine raciale et antisémite, deux principes dont l’un annulerait l’autre? Les libertés sont, dans un état de droit encadrées par un appareil juridique appliquant un tissu de lois réfléchies et fixées par le législatif, à qui quoi devrait-il être utile?

JC..... dit: à

Il faut vraiment être stupidement incompétent, et inculte, pour parler aujourd’hui de « règles claires » … huhuhuhu !

Josette dit: à

Johnnie, la quenelle (tu te souviens ?) est un bras d’honneur effectué bras tendu, main tendue, doigts joints. Si tu n’y vois pas d’allusion au salut nazi, je vais m’occuper de ta prostate (tu sais que je l’ai conservée dans un bocal).

Le petit Marseillais dit: à

Les règles devraient être claires: on parle de littérature et de rien d’autre. (LeoBloomPold)

Tu imagines l’effondrement : on passerait en un clin d’oeil de huit cents commentaires à douze. A peine mieux que chez Didier Jacob ou Raphaël Sorin. Manman, la déroute que ce serait !

bérénice dit: à

Parce que la littérature se tiendrait en dehors de la plaque? N’ouvrirait qu’à des débats sur le style, la forme, et pas de fond? Elle ne dit rien, ne remue rien de notre réalité ou de celle qui ne se présente pas, plus, à nous en termes d’expérience?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…çà va, çà baigne,…tout le monde à son petit jésus en main,…il se répare le vivant,…
…il vol-tige,…le petit oiseau de toute les couleurs,…ou tu nous emmène dis!,…
…il donne libre court à son destin,…et en perds ses millions!,…ressaisissez vous du nerf,…le plus dur est passé,…
…il timbale!,…etc,…sur la voie ferrer!,…
…encore,…Oh!…une centaure à poils de chameaux!,…
…l’Afrique à ses genoux!,…
…mais tirer!,…c’est la foire aux connards!,…
…envoyez!,…

bérénice dit: à

Giovanni, le fond la forme les fautes. Un homme un slogan, votez pour lui!

JC..... dit: à

Gianni, prend soin de ta quenelle… mais sans la couver, hein ?!

des mots pour se souvenir dit: à

Biarritz : sans date: parce que c’est plus métaphysique ?
méraphysique: on ne dira jamais assez que le choix des billets de P.Assouline est conditionné par la possibilité ou non de dire, de dire à tous des gros mots comme métaphysique , et des mots en itz parce que je ne les aime pas
évidemment les deux rochers ne sont pas unis comme les deux célèbre japonais,et aucun nom , même de l’idiome local autour duquel et cristallée une légende .
je préfère quand même les photos et vive Paphos

JC..... dit: à

SALES JUIFS ! …> antisémitisme… délit = prison
SALES NEGRES !….> racisme … délit = prison
SALES JAUNES ! … racisme ? …euh ? blâme…

SALES MUSLIMS !… > islamophobie… délit = prison ?
SALES PROTESTANTS… > barthélémyophilie …délit… blâme ?
SALES CATHOS ! … christophobie… euh ? rien ?

SALES FLICS … > normal ? rien !
SALES PEDES ! …> homophobie…délit = prison ?

Il me parait important d’harmoniser les insultes, non ? je ne m’y retrouve plus !

des mots pour se souvenir dit: à

espèces d’erdéliens
Meoto Iwa (夫婦岩?), ou les Rochers mariés, sont un couple de petits rochers (stacks) situés dans la mer face à Futami, Mie au Japon. Ils sont liés par un shimenawa (corde sacrée en paille de riz) et ils sont considérés comme sacrés par les fidèles du sanctuaire shinto voisin, Futami Okitama Jinja (二見興玉神社?). Les rochers représentent l’union entre l’homme et la femme dans le mariage. La corde, qui pèse plus d’une tonne, doit être remplacée plusieurs fois dans l’année dans une cérémonie particulière. Le plus large rocher, dont on dit qu’il est l’homme, a un petit torii sur son picMeoto Iwa (夫婦岩?), ou les Rochers mariés, sont un couple de petits rochers (stacks) situés dans la mer face à Futami, Mie au Japon. Ils sont liés par un shimenawa (corde sacrée en paille de riz) et ils sont considérés comme sacrés par les fidèles du sanctuaire shinto voisin, Futami Okitama Jinja (二見興玉神社?). Les rochers représentent l’union entre l’homme et la femme dans le mariage. La corde, qui pèse plus d’une tonne, doit être remplacée plusieurs fois dans l’année dans une cérémonie particulière. Le plus large rocher, dont on dit qu’il est l’homme, a un petit torii sur son pic

renato dit: à

Des nœuds pour se souvenir ? même sur kleenex ?!

des mots pour se souvenir dit: à

et depuis si longtemps que le billard me questionne , je ne vous parle pas de El Biar, où naquit un philosophe français (dont une disciple dit en lisant ses cartes postales « la métaphysique, c’est moi) ni du BIHAR (Le Bihar (bengali : বিহার, hindi : बिहार) est un État du nord de l’Inde. Situé dans l’est de la plaine indo-gangétique, le Bihar est un État très densément peuplé (104 millions d’habitants sur 94 163 km21) et encore peu développé sur le plan économique. Région d’origine du bouddhisme

L'honneur perdu de Clopina Trouille. dit: à

merde, monordi lâche, je ne peux plus jouer. Bon, j’aurais dit comme ça « André Gide », parce que c’est français, que c’est dans les années 30, que ça parle d’un jeune homme qui a maille à partir avec sa famille, et qui n’aime pas les baignoirs sales. Mais le style est un peu trop « relâché » pour Gide (encore que, dans les Caves du Vatican) : non, ça ne peut pas vraiment être lui… Mais je vais devoir attendre pour écouter…

bon, me voilà censuré, dois-je me sentir flatté ? dit: à

même sur kleenex ?!

renato, grand prêtre du mensonge, vaut bien le JC et ses semblables bourreaux usuriers de la logique victimaire, allez, touchez-le bien votre fond

renato dit: à

«… grand prêtre du mensonge, vaut bien le JC et ses semblables bourreaux usuriers de la logique victimaire, allez, touchez-le bien votre fond »

C’est qui ce crétin ? Cela dit, veuillez traduire S.V.P.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…dix versions de diversion,…Oui!,…mais encore,…du volume,…pas dans les oreilles,…
…çà vient, çà va,…çà revient,…une chanson populaire!,…
…c’est toujours çà de sauver!,…

…en fin de compte,..allez à l’élisée,…
…allez au boxon, se trompez de bordel,…de chambre les clés en mains, de maison de campagne,…brûlés les feux rouges,…téléphonez pour ses croissants,…
…nous aussi, on peut le faire,…n’est ce
pas Aldo,…et même à l’ail,…

…c’est à cause du théâtre des opérations,…
…Angela, nous a promis, l’Africa-Corps!,…rien que çà,…et que même les uniformes sont déjà prêts,…
…elle à même ajoutée,…tout pour l’€uro-Hollande,…Natuur-light,…met Danone!,…

…elle à même ajoutée,…Ya!,…les uniformes sans croix gammées,…sinon on voir la suss-porcherie de navets,…
…bien entendu, le téléphone-portable est brouillé,…
…maintenant langage des singes!,…c’est plus mieux accepter,…code-barre,…le pinguin se faux-file en Zoulou!,…Tarzan à Chiquita,…message 5/5,…églantine passe moi le beurre,…etc,…Sch-jeune!,…encore!,…
…etc,…
…et dire que c’est gratuit,…encore les soldes!,…qui lus tu cru,…

bérénice dit: à

Giovanni je savais que vous m’aimiez, cessez votre tenue de camouflage toutenkaki et avouez simplement, que la terre entière sache que l’homme, en gros, rocher c’est vous et la femme raccordée par le pont suspendu moi tel un satellite sans cordon perdu dans l’espace maritime, 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 big badaboum!

Sot Piqué dit: à

Bon alors, s’il est devenu idéologiquement douteux de faire des quenelles on fera de gnocchis.

Caroline dit: à

Pas accroché cette fois au livre de Maylis de Kérangal. Je l’ai trouvé encombré, visant une ambition à la hauteur de laquelle l’auteure malheureusement ne se situe pas, alors que le postulat de départ était passionnant! « Naissance d’un pont » était plus intéressant, mieux réussi à mon sens. Ce sera pour la prochaine fois. Une écrivaine à suivre.

Sur la littérature de la maladie, difficile de nier que « Mars » a quelque chose d’illisible. Sans vouloir jouer du paradoxe facile, c’est de ce maillage étouffant, surchargé, ressassant, de cette tessiture si particulière et de la critique sociale de son milieu dévoyée par la maladie que se dégage le génie du livre (pour moi une lecture des plus marquantes).

Je vais lire sans tarder Tahar Ben Jelloun. Quel sujet ! Combien d’écrivains osent se colleter à un sujet aussi tabou? La sexualité masculine vécue comme un échec, sans verser entièrement sur le mode de la rigolade scabreuse : cela promet non seulement d’être d’un grand courage mais entièrement neuf.

Ce qu’il manque là-dessus est une vision moderne, d’après les années Sida par exemple. Qui oserait déboulonner la statue de Phallus-Roi? Rien à voir avec un féminisme hystéro qui proclame vouloir fouler au pied la masculinité.

Ma seule crainte est que Ben Jelloun soit un peu vieux pour en parler selon le motif à la fois clinique, observateur et littéraire qui m’intéresserait…

des mots pour se souvenir dit: à

D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.D’abord, on apprend en enseignant. La meilleure méthode pour apprendre un sujet, c’est de l’enseigner. C’est ma stratégie systématique. J’enseigne les choses que je ne connais pas très bien et sur lesquelles je veux approfondir mes connaissances. Cela suppose beaucoup de discipline, de travail, de préparation. Mais on ne maîtrise bien que ce qu’on est capable d’expliquer clairement.
cedric Villani
il n’est pas le premier à le découvrir mais il le fait bien passer, avec ses araignées!

DHH dit: à

@clopine
pour repondre à votre question ,
ce n’est pas le lieu ici de m’etendre sur ce sujet surlequel je peux etre intarissable ;je voulais simplement rappeler que des travaux qui remontent maintenant à une trentaine d’annéees ont mis en evidence le caractere hereditaire de la predisposition à ce qu’on appelle aujourd’hui la maladie bipolaire net que les genes correspondants sont partiellemnt identifiés?
des lors que dans des temps reculés l’onomastique rappelait souvent les caracteristiques des personnes (legros ,legrand,lefort) on peut imaginer que ce nom apu etre donné à un ancetre de l’auteur porteur du gene qui s’est transmis de generation en generation.
l’un des enqu^tes les plus celebres qui ont conforté la theorie du caractere hereditaire des troubles de l’humeur a ete menéee sur une collectivité amish ,etl’examen de lignéees renseignéees sur plusieurs generations a montré que les rares suicides observés dans ce monde à forte impregnation religieuse sont toujours le fait d’individus concentres sur le même arbre genealogique

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…de Bérénice à Thérèse, mon renard un jour et maître corbeau un autre,…sch’jeune encore,…
…la victoire des pralines entre les dents,…à la cage aux folles!,…un Rocher!,de la Maison du Peuple,…
…des signes dessinent,…
…un pastis!,…une partis de boules,…en l’air,…qui s’envole,…des gnocchis aux parfums,…etc,…encore!,…
…etc,…

Jacques Barozzi dit: à

« Ma seule crainte est que Ben Jelloun soit un peu vieux pour en parler »

Caroline, un écrivain n’a pas d’âge et est de sexe indéfini : « Madame Bovary, c’est moi », disait déjà Flaubert…

Jacques Barozzi dit: à

Quand je disais « au château », je vous renvoyais, gentiment, au cabanon (l’asile des doux aliénés), tout en jouant avec le célèbre château Saint-Ange, Sant’Angelo…

Jacques Barozzi dit: à

Merci, DHH, vous confirmez l’origine de mon nom : « Barus, le courageux », les gènes sont plus forts que tout !

u. dit: à

« il n’est pas le premier à le découvrir mais il le fait bien passer, avec ses araignées! »

Au plafond?

bouguereau dit: à

comme sur les blogs anglais, mille et une fois plus sémillants

..hurkurkurkurk..vdqs..heu nan..véri supérior old pèle !

bérénice dit: à

Caro votre rapport de lecture se situe à l’exact opposé de celui de PA, quand au vécu de la sexualité comme un échec quand il ne s’agit plus que d’accepter que le feu s’éteigne, Roth dans son opus noir l’a abordé je crois un peu aussi sans trop insister, pas aimé, de fait je préfère quand les écrivains flottent au delà de leur propre ligne de flottaison concernant ce sujet qui pourtant n’est plus tabou, cependant je n’y trouve pas d’intérêt.

Jacques Barozzi dit: à

« Au plafond ? »

Au placard, au cabanon, au château, avec Giovanni ?

hamlet dit: à

bon alors ?
je ne vois pas l’intérêt que Monsieur Assouline vous propose des sujets de dissertation si c’est pour tourner en rond !

donc je vous repose sa question telle que préposée :

« faut-il que la littérature serve réparer les morts et enterrer les vivants ? »

à la limite si ce sujet est trop difficile pour vous contentez-vous de répondre par « oui » ou par « non », on récupère les copies à 18h.

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