Enterrer les morts, réparer les vivants
Soit la maladie. Qu’est-ce qu’un écrivain peut bien en faire ? Première solution : rien. Qu’il l’ait vécue ou observée, nul n’est obligé d’en faire de la littérature. Ou disons un objet d’écriture. Passer outre n’est pas l’ignorer mais la mettre en distance dans sa dimension littéraire. Deux écrivains ont éprouvé la nécessité de s’en emparer. Non dans un souci d’auto-thérapie, comme s’il suffisait de publier pour se débarrasser.
Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui. Elle est aux hommes ce que le cancer du sein est aux femmes. Y penser toujours en parler jamais. Il l’a écouté, suivi, accompagné ; il a mis ses pas dans les siens, essuyé ses larmes, recueilli ses rires, enregistré ses espoirs et rapporté ses désarrois. Il a fait sien son témoignage. Comme s’il lui fallait impérativement rapporter cette aventure intérieure, ce voyage dont on revient, pas toujours mais souvent, et dans quel état. L’un et l’autre avaient conscience d’affronter un tabou. Pas pour tous, question de milieu social, d’origine, d’éducation. Car s’il ne s’agissait que d’une affaire de tuyaux et de robinetterie, on en parlerait. Mais comme c’est de sexualité qu’il s’agit en fin de compte, et du spectre de l’impuissance, du moins pour ceux qui s’en sortent, on hésite, on contourne.
Récemment, Franz-Olivier Giesbert s’y était essayé, à sa manière, bien différente avec Un très grand amour (2010). Philip Roth aussi, quoique plus gravement, avec Exit le fantôme (2011). D’aucuns en avaient été choqués. Les mêmes le seront en lisant L’ablation. Ce dont l’auteur ne devrait pas s’étonner car il y a tout de même une volonté de provoquer dans son entreprise, mais provoquer pour bousculer, troubler, inquiéter. Malgré son humour, et certains passages au comique de situation involontaire, c’est un livre grave. Une méditation sur la mort. Celui qui tient la plume pour l’autre tient que la mort brutale rend le deuil impossible, ce qui est discutable ; de toute façon, l’expression même de « travail de deuil » le hérisse. Le scripteur et le mémorialiste de ce récit s’entremêlent vite pour ne faire qu’un. Ce qui n’est pas plus mal. Dès les premières pages, son problème se manifeste et ne le lâchera plus : il ne bande plus. Fini. Ce qui est un peu dur pour un séducteur de 56 ans qui n’a cessé d’aller de femme en femme. Il peut croire que c’est passager. Mais son urologue le convainc de tenter l’opération. La prostatectomie totale au risque de ne plus oxygéner son corps caverneux. La décision lui revient car 
il a le choix de préférer la curiethérapie ; dans ce cas, le fonction érectile sera préservée mais le cancer pourra récidiver. Les mots se bousculent dans sa tête. On lui parle de « tumeur », il entend « tu meurs» ; il se croit unique quand il n’est qu’eunuque. Les types qui puent la bonne santé l’horripilent. Exténué par le dilemme, il baisse les bras et se résout car l’ablation le dépasse.
C’est fait. Commence alors la résurrection vécue comme une agonie, avec son cortège de hontes et d’humiliations publiques : l’incontinence, les couches-culottes, ce qui coule malgré tout à table et qui pue, l’inconfort de la cystite, la hantise de la rectite… Rien n’est physique comme ce sentiment de la honte. Une guerre intérieure que nul ne soupçonne jusqu’à ce qu’elle s’impose à la vue de tous. Car ce n’est jamais éradiqué à coup sûr. Il faut poursuivre : scanner, IRM etc avec un raffinement dans la torture : Abba hurlant Mamma mia dans le casque. L’horreur. A la fin, il se résigne :
« C’est la grande leçon que je tire de cette épreuve : il faut accepter ce qui arrive. La vie sans libido est aussi une vie… Une nouvelle vie est possible. Le manque est là comme la douleur du bras fantôme… »
Ne lui reste plus qu’à se faire des idées jusqu’au bout de ses nuits et de ses jours. A ressusciter ses femmes. A revivre son passé en le sublimant. Ce récit drôle et poignant, parfois très cru jusque dans ses évocations érotiques mais plutôt du côté de Luis Bunuel, tire sa force de ce qui s’y joue de la première et la dernière page, quoique jamais de manière appuyée : la peur de la solitude. Car c’est seul que ce malade affronte le mal, lui qui n’avait jamais cessé de s’entourer de femmes et d’enfants pour n’avoir jamais à défier l’esseulement. Ce thème est récurrent dans l’oeuvre de Tahar Ben jelloun, depuis La plus haute des solitudes (1977) sur la misère sexuelle des travailleurs immigrés en France, et La réclusion solitaire (1978) jusqu’à L’ablation où le narrateur se retrouve seul à décider, en passant par Cette aveuglante absence de lumière (2001) sur l’enfermement au bagne de Tazmamart. L’insupportable solitude de celui qui s’éveille le matin sans personne à qui parler. Il lui faut tourner la page. Le seul moyen de vivre encore, mais autrement, à la recherche non d’une maitresse, d’une amante ou d’une amoureuse, mais d’une compagne. Avant de vivre à nouveau, ensevelir sa part morte en lui pour mieux réparer le reste.
« Enterrer les morts, réparer les vivants » : on trouve cela dans le Platonov de Tchékhov. Maylis de Kérangal s’en est servi pour intituler Réparer les vivants (280 pages, 18,90 euros, Verticales), un roman de toute beauté, d’une écriture, d’une langue éblouissantes. Dès la première page, on sait qu’un écrivain est là et qu’une voix s’impose. Car l’auteure donne l’illusion, sinon l’espoir, qu’une autre forme est possible dans cet enchevêtrement de passé et de présent, de familier et de tenu, dans une même phrase, le tout emballé par une fascinante précision lexicale, un souci musical de la scansion, une exigence dans la ponctuation et un sens de l’espace qui n’est qu’à elle. Autant Naissance d’un pont, son précédent roman fort acclamé de partout, nous avait laissé sceptique quant à sa finalité, autant celui-ci nous emporte dès le début sans nous lâcher. C’est fin et intelligent sans jamais se pousser du col, en nous évitant tout pathos, sans chercher même à provoquer la compassion bien que cela se passe à la Pitié. L’histoire démarre au mieux du côté des plages de surfeurs, chez les fondus de glisse, avec leur idiome international de spot en line up, et même leur logique (ah, la lecture de la vague…) si particuliers. Puis c’est l’accident : le van qui s’encastre dans un poteau. Le jeune conducteur Simon Limbres (on est déjà dans les limbes) souffre de lésions irréversibles au cerveau. Coma dépassé. Il se retrouve vite en état de mort cérébrale.
Pendant vingt-quatre heures, le lecteur assiste à un ballet de silhouettes autour de lui pour permettre une transplantation cardiaque. L’intensité de l’opération contamine toutes les pages. Infirmiers coordinateurs de greffe, amis, envoyés de l’Agence de la Biomédecine, ambulanciers, parents et le chirurgien qui dit faire un boulot de plombier. Tous d’un héroïsme des plus discrets chacun dans son registre. Si l’on osait, on dirait que ce roman est palpitant. Il y a ceux qui déjà s’affairent à « renseigner le corps » à grands renforts de codes et d’acronymes, puis à promettre de le restaurer, avant que les parents aient à prendre « la » décision. Laisser leur fils se faire dépecer. Autoriser un expert à vider son corps. Imaginer que son cœur battra dans la poitrine d’une inconnue souffrant d’insuffisance respiratoire, d’une inflammation du myocarde, et bientôt de l’intrusion d’un corps étranger en elle. Tout cela sous l’œil d’un chardonneret acquis à Alger – cet oiseau, aussi réputé pour son plumage que pour la beauté de son chant, est décidemment la vedette de la rentrée puisqu’il règne également sur le roman de Dona Tartt. Dans un cas comme dans l’autre, une affaire de coeur.
« Une aventure métaphysique » : c’est écrit au dos et pour une fois qu’un quatrième de couverture ne raconte pas des salades, on salue. Car l’humanité qui s’en dégage nous entraîne bien au-delà de la sensibilité de l’auteur.
(« Biarritz », photos Passou)
1 087 Réponses pour Enterrer les morts, réparer les vivants
bouguereau dit:
à
Caroline, un écrivain n’a pas d’âge et est de sexe indéfini
c’est vrai mais c’est pas l’tout baroz..une lectrice faut la convaincre..faut qu’elle se sente en menace de culbute..de tournante..d’attaque d’armée en déroute..comme phil avec morand, bref faut tenir le bon bout
noé dit:
à
« le caractere hereditaire de »
c’est faire peu de cas du cadre ou milieu familial
bouguereau dit:
à
ta gueule keupu..tu fais fuir
noé dit:
à
bérénice dit: 12 janvier 2014 à 12 h 27 min
JC pourquoi oubliez-vous que des propos sont passibles d’une loi quand ils incitent à la haine raciale et antisémite, deux principes dont l’un annulerait l’autre? Les libertés sont, dans un état de droit encadrées par un appareil juridique appliquant un tissu de lois réfléchies et fixées par le législatif, à qui quoi devrait-il être utile?
il n’oublie pas il est c.n et s’amus eà faire chier dans son désert
bérénice dit:
à
résurrection, insurrection, confirmation, investigation, instruction du dossier des vivants et des morts.
hamlet dit:
à
j’aime beaucoup la conclusion de cet article :
« « Une aventure métaphysique » : c’est écrit au dos et pour une fois qu’un quatrième de couverture ne raconte pas des salades, on salue. Car l’humanité qui s’en dégage nous entraîne bien au-delà de la sensibilité de l’auteur. »
ça donne vraiment envie de le lire, je veux dire de lire le dos de la couverture.
Jacques Barozzi dit:
à
Cela dit, moi aussi, quand je ne connais pas bien un sujet, je l’approfondis en faisant un livre.
Ce matin, en prenant le café, mon ami Chedly, auquel j’avais dédicacé un exemplaire de mon dernier livre, « Le goût de l’Afrique », m’a bien fait rire, involontairement. Je lui avais demandé, d’un air détaché : « Alors, tu l’as lu au moins ? » Il m’a répondu : « Oui, j’ai commencé, mais tu parles de toi, qu’est-ce que ça vient faire ici ? » Et puis comme dans l’introduction j’ai écrit : « Et puis j’ai eu des amis Noirs… », il a rajouté : « On s’attend à un livre porno ! »
La solitude intrinsèque de l’écrivain, incompris jusqu’au plus intime des siens !
bouguereau dit:
à
c’est faire peu de cas du cadre ou milieu familial
..keupu..toujours à faire pleurer avec son dab collabo
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…Barruzzi, j’avais bien, compris l’allusion,…
…mais pour construire,…je garde aussi les repères précédents,…
…on improvise,…les ponts sur des certitudes et utilités d’ensembles,…
…déjà gardez la position,…et se renforcer!,…etc,…
…tout dépend du temps et du terrain,…entre les sujets à se repositionner!,..
…
hamlet dit:
à
Monsieur Assouline vous la connaissez mme Kérangal ?
si ça l’intéresse, comme elle a l’air curieuse des biotechonologies je peux lui expliquer comment marche un séquenceur d’adn, j’en ai un chez moi, je l’utilise pour séquencer des haricots et des tomates, j’aime séquencer mon chat, si elle veut savoir à quoi ça ressemble je peux lui envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception.
bouguereau dit:
à
il a rajouté : « On s’attend à un livre porno ! »
..clopine aussi en promet et fait rien qu’à décevoir
JC..... dit:
à
Donc je vous repose sa question telle que préposée :
« faut-il que la littérature serve réparer les morts et enterrer les vivants ? »
Hamlet, cette question, comment dire, … elle est vraiment bonne : on passe à autre chose ?
hamlet dit:
à
greubou tu veux pas que je te séquence ton adn ?
histoire de voir si on peut isoler le gène de l’intelligence.
bouguereau dit:
à
le géne de l’intelligence..tu l’as hérité de papa qui bossait chez mengélé ton séquenceur..
Jacques Barozzi dit:
à
Hamlet, tu pourrais séquencer mon gène du courage, tu en aurais besoin pour oser retirer le masque !
jean dit:
à
ras le bol de bouguereau et ses insultes
des mots pour se souvenir dit:
à
deux femmes qui avaient prié devant moi m’ont dit que c’était aujourd’hui l’épiphanie puis m’ayant demandé mon prénom , en m’expliquant que c’était pour prier pour moi, et qu’elles ne pouvaient pas prier pour une image,-parce que j’avais refusé même d’en inventer un (pour ne pas tromper leur Dieu?)me dirent qu’elles chantaient dans une chorale et m’ont parlé des vepres !!
hamlet dit:
à
notre monde est la somme des mondes de chaque individu.
les livres servent à appréhender le monde pour le comprendre et le maitriser, l’art, la culture, les médias construisent le monde.
toutefois beaucoup restent persuadés que nous sommes passés à côté d’un truc important, un truc que nous avons sous le nez, gros comme une maison.
quelque chose nous a échappé, comme ce chanteur de Sugar Man qui a changé le destin de la Afrique du sud.
les individus combinent avec les éléments qu’ils maitrise de notre monde, pour arranger la situation, mais s’ils ont beau combiner et recombiner et rien ne change c’est qu’une possibilité nous échappe.
une possibilité qui n’entre pas dans le monde appartient au champ de l’impossible, mais pas de l’improbable.
il est évident que nous sommes passés à côté d’un truc hyper important.
je ne suis pas sûr que si les écrivains se mettent à se taper tous les services d’un hôpital, faire chaque étage, ça nous avance beaucoup.
c’est bien pour elle, elle a appris un truc qu’elle ne connaissait pas, tant mieux pour elle.
si les écrivains commencent à se taper l’inventaire de tout ce qui existe dans ce monde, quand on sait le peu qu’ils en savent, sûr qu’ils vont avoir du boulot.
u. dit:
à
Ça clignote vers mon oeil droit.
« Un roman cruel et drôle sur le retour de Prokofiev…
Un roman autobiographique et drôle sur l’écriture…
Une jeune ouvrière chinoise s’éveille à l’amour, à la vie et à l’individualité »… (my favorite, il fallait oser)
Elle n’est pas « drôle » aussi, la Chinoise?
Ça sent la bavasserie d’éditeur.
– « Putain, encore une auto-bio! sur la fameuse écriture!
Et un paveton sur l’URSS…
Qui va acheter des trucs aussi chiants?
– Mets que c’est « drôle ».
« Féroce et tendre », c’était bien aussi, mais ça a trop servi. »
des mots pour se souvenir dit:
à
je ne pouvais pas leur donner comme mon prénom passou : cela aurait fait de ces confusions métaphysiques!
bouguereau dit:
à
La vie sans libido est aussi une vie… Une nouvelle vie est possible. Le manque est là comme la douleur du bras fantôme…
tu sais baroz qu’il y avait une secte à paris de gens qui se faisait eunuque..un vieux machin a la mystique russe et bogomil..leur emblème était l’oignon, c’est un peu compliqué a espliquer si qu’on est pas alqueumist, mais en tout cas la vrai vie était à ce prix..
hamlet dit:
à
si ça intéresse Mme Kérangal je connais bien le type qui au cours de ces 40 dernères années a aidé à mettre au point les premiers doppler, les premiers scanner, les premiers irm et les premiers séquenceurs.
son nom ne figure nulle part, dans aucune brochure, personne ne le connait mais sans lui tous ces appareils n’auraient jamais vu le jour.
bouguereau dit:
à
La vie sans libido est aussi une vie…
de toute façon lassouline c’est des conneries..la libido c’est quantique..picasso disait à la fin de sa vie « on ne peut pus le faire mais on y pense encore autant »..j’ai connu un trés vieux qui pratiquement sur son lit de mort m’a demandé d’aller lui acheter des bouquins de culs..je l’ai déjà dit ‘t’es le seul a qui je peux demander ça’ et ça m’a presqu’ému..alors quoi on dirait que les écrivains d’aujourdhui donnent raison a claudine..ô temporé
des mots pour se souvenir dit:
à
c’est dans des commentaires de l’océan talmudique que j’ai lu que les maîtres enseignent ce qu’ils ne savent pas (traduction très approximative)
u. dit:
à
bouguereau fayote.
Moi aussi je relis le texte.
J’y prends cette phrase:
« La prostatectomie totale au risque de ne plus oxygéner son corps caverneux. »
C’est presque du Pascal.
Sergio dit:
à
bouguereau dit: 12 janvier 2014 à 15 h 42 min
mengélé
Ha oui ça le mengele c’est un petit animal inoffensif qui hante les hostos… S’acclimate et se reproduit au-dessus de tout soupçon…
bouguereau dit:
à
bouguereau fayote.
pas du tout..je m’imagine sur un blog angliche..jaffant des toasts à la marmite
hamlet dit:
à
« Non dans un souci d’auto-thérapie, comme s’il suffisait de publier pour s’en débarrasser. »
effectivement cela parait évident.
heureusement que les livres n’entrent pas dans la liste des médicaments, ce serait un coup à couler la sécu.
des mots pour se souvenir dit:
à
gerz , l’homme du monument contre le Racisme et les 2146 pavés a aussi dit qu’il faisait ce qu’il ne savait pas faire
hamlet dit:
à
si quelqu’un a écrit un bouquin sur l’ablation de la glande pinéale je suis preneur.
en fait, c’est par chauvinisme mais je rappelle que cette glande a été découverte par un français : Descartes parce qu’il avait décidé de prendre en compte que ce dont il pouvait être sûr et laisser tomber les découvertes sans preuves.
c’est une glande hyper importante quand on la retire on se met à loucher, c’est une espèce de prostate qu’on a dans le cerveau.
je le sais parce que j’ai un beau frère à qui on a retiré la glande pinéale, le pauvre.
bouguereau dit:
à
ce serait un coup à couler la sécu.
le chiffe d’affaire de l’edition litteraire en france c’est quoi..le myard d’eu a tout casser..la moitié du cout de la kyné pour les joggeur comme jicé..keupu, un pauvre con qui n’a aucune notion des chiffres..
des mots pour se souvenir dit:
à
a propos du travail de Gerz
dans wiki espliqué « Le monument qu’il a conçu en 1986 avec Esther Shalev-Gerz, dans le quartier Harburg de Hambourg est une colonne d’un mètre de large et de 12 mètres de haut, recouverte d’une mince couche de plomb. À côté de cette colonne il y a deux stylets et une inscription, dans sept langues, à propos de ce monument contre le fascisme, invitant les passants à signer. Aussitôt que la surface disponible était totalement écrite, la colonne devait être abaissée pour cacher ce morceau. Dans la conception, les artistes voulaient un monument où l’interaction avec les hommes devait naître, par une liste avec des noms gravés, et qui disparaissait en même temps dans le sol »
aujourd’hui, dans sciences et avenir une tour qui disparait dans le décor « infiny » , 453 mètres, GDS architects près de l’aéroport de Séoul
hamlet dit:
à
greubou vous savez qu’à votre âge il faudrait vous faire ausculter votre glande pinéale ?
le dépistage est gratuit.
des mots pour se souvenir dit:
à
de l’aventure que diable
But few venture farther inland to the oasis of Dunhuang, a small city on the edge of the Gobi Desert, 1,150 miles northwest of Beijing. If they did make the trip, they would discover a World Heritage Site that rivals the beauty and cultural importance of more popular tourist attractions: the Mogao Caves, sometimes referred to as the Caves of the Thousand Buddhas. This expanse of 492 grottoes carved into the sandstone face of a nine-story-high cliff holds an unrivaled collection of Buddhist art, with more than 484,000 square feet of murals and 2,400 sculptures.
http://www.artnews.com/2013/12/24/chinas-desert-treasure/
Jacques Barozzi dit:
à
hamlet, c’est plutôt le gland pinéal qu’il s’est fait retirer !
hamlet dit:
à
« La pinéalectomie totale au risque de ne plus oxygéner son corps caverneux. »
ça c’est du Descartes.
en fait c’est dans le Discours de la méthode, là où il reprend le mythe de la caverne, de Platon.
en fait Platon dit que les philosophes sont là pour aider les autres à sortir des corps caverneux où on leur a mis des chaines comme pour les voitures quand on va au ski, pour éviter les dérapages.
heureusement que Platon ne faisait du ski, sûr qu’il aurait fini comme Sumacher.
gilles dit:
à
« greubou vous savez qu’à votre âge il faudrait vous faire ausculter votre glande pinéale ?
le dépistage est gratuit. »
il devrait aussi consulter, il deviendrait peut-être moins parano à défaut d’arrêter l’alcool
JC..... dit:
à
Vous comprenez rien à rien, mes petits choux ! Bougboug, c’est un stylite à la Siméon, vous savez le Syrien près d’Alep*. C’est un ascète qui cherche sa voie… Bon ! Il n’a pas trouvé de colonne alors il est resté en cave, à rechercher son génie dans la bouteille…
* si j’ai un conseil à vous donner c’est « allez-y ! ». Le lieu est prodigieux. Tout de même, attendez un peu, c’est pas le moment…Quand il n’y aura plus de Syriens…
Sergio dit:
à
Mais pourquoi diable faire pencher la mer à droite ?
u. dit:
à
bouguereau s’interroge.
Plus prudemment, Jean-Marcel Bouguereau se demande dans La République des Pyrénées quelle sera la réaction des Français :
«Vont-ils voir dans les escapades en scooter de leur Président un côté +vacances romaines+ ou bien vont-ils mal juger ces écarts amoureux à l’heure où la France a bien d’autres problèmes à régler ?»
JC..... dit:
à
La Première Concubine, désespérée de passer Concubine de Secours, est hospitalisée : j’en pleure …!
xlew.m'bourinm'bourin dit:
à
@ 12h11, propos intéressants. Qui bizarrement entrent en violente contradiction avec ceux émis @ 04h49.
De Leroi Jones en Amiri Baraka, le poète beat doué s’est transformé en un antisémite militant haineux, homophobe, black nationalist, sans concessions. La faute à Fidel Castro et Malcolm X ? Non, ce fut sa décision à lui. Stanley Crouch, un autre spécialiste du jazz et du blues le connaissait bien et a rappelé — à qui veut bien l’entendre — le vrai visage du récent disparu (lire l’obit du NY Times, pourtant élogieux lui aussi, Crouch y est tout de même mentionné). Ce qui est marrant c’est que lorsqu’on lisait les désolants tweets de Baraka (« Smile, jew. Dance, jew. Tell me you love me, jew…I got the extermination blues, jewboys. I got the hitler syndrome figured”) il devenait fastoche de voir où notre pauvre franchouilleux de Dieudamné M’Ballot M’Ballot allait puiser ses « idées. »
renato dit:
à
« Mais pourquoi diable faire pencher la mer à droite ? »
Une distraction ? un choix ‘poétique’ ?
des mots pour se souvenir dit:
à
au fait : enterrer les morts, c’est antigone, eschyle ?
et réparer les vivants, le tikkoun (de letaken réparer)
puisque P.Assouline et si épris de philosophie qu’il ne peut imaginer qu’un lecteur ne soit pas sous telle influence académique qui le conforte dans son imaginaire
des mots pour se souvenir dit:
à
plus facile de trouver un seul mot comme galligrasseuil ou commémorathon qu’un seul mot pour enterrer les mort et réparer les vivants
JC..... dit:
à
Deux concubines en même temps… mais … dites moi… ça fait deux staffs de conseillers, des bureaux en plus… une commission d’arbitrage… etc, etc…! Payez, joyeux bolos, c’est Folleville !
La polygamie ? c’est excellent pour une partie importante de l’électorat, mais qu’est ce que ça pose comme problème élyséens !!!
Sergio dit:
à
JC….. dit: 12 janvier 2014 à 17 h 31 min
qu’est ce que ça pose comme problème élyséens !!!
Normalement, aucun : l’hôtel d’Evreux était une maison de passe durant leur maudite révolution, ça devait être agencé en conséquence, on devrait retrouver facilement…
Daaphnée dit:
à
Polygamie, pfff ! N’importe quoi, JC.
A mon avis, l’intérêt d’avoir une maîtresse, c’est justement que ce ne soit pas une 2° épouse.
JC..... dit:
à
Daaphnée, vous niez la situation actuelle !
Ce Don Juan bedonnant, petit et grassouillet est polygame : c’est plus facile que polyglotte ou polytechnicien …
JC..... dit:
à
Par pitié ! Enterrez la République morte, réparez les survivants !
u. dit:
à
Parfois, je lis les titres des journaux français en pensant aux étrangers francophones.
Pas toujours évident:
« Les gorilles sont sur les dents ».
Curiosa dit:
à
ce qui est le plus agaçant : Passou n’est plus maître chez lui… ce blog appartient définitivement à JC et boudegras, ignominieux profiteurs… Popaul a bien raison de faire le ménage
Sergio dit:
à
Daaphnée dit: 12 janvier 2014 à 17 h 42 min
Polygamie, pfff ! N’importe quoi, JC.
l’intérêt d’avoir une maîtresse, c’est justement que ce ne soit pas une 2° épouse.
Ca dépend y a des récidivistes qui persévèrent diaboliquement…
JC..... dit:
à
Etes-vous maître chez vous, Curiosa ? En êtes vous sûre ? Pouvez-vous nous dire en quoi le concept est intéressant ???
non dit:
à
Ce blog est squatté par un ramassis de concierges m.rdeuses.-
hamlet dit:
à
n’empêche que l’antisémitisme lui a permis de bien gagner sa vie : plusieurs mille euros par jour ! et grâce à cet argent il a créé des emplois.
vu l’état économique de la France et les difficultés pour trouver des activités permettant de créer des nouveaux emplois si des créneaux comme l’homophobie et le racisme permettent de diminuer le chômage je ne vois vraiment les raisons de faire la fine bouche.
non ?
en plus il a réussi là où d’autres ont échoué : créer une cohésion nationale.
des mots pour se souvenir dit:
à
il est tout à fait possible que le livre soit bien meilleur que l’auteur du billet n’arrive à le donner à penser, du fait qu’il se trouve lui-même face à ses questions pour lesquelles le mot métaphysique est une misérable solution
JC..... dit:
à
On doit sortir d’une histoire de cul, pardon d’amour, par le haut. Valérie, dépitée, aurait mieux fait de tromper sa Nouille avec Sarkozy, Hortefeux, Morin ou Bayrou !
Le petit Marseillais dit:
à
La Première Concubine, désespérée de passer Concubine de Secours, est hospitalisée : j’en pleure …! (JC)
Moi aussi, mais de rire. Toute la France est d’ailleurs partagée entre la rigolade et l’indignation.Quel salaud, tout de même, ce Hollande. Il aurait pu au moins la prévenir, la préparer. Surtout le coup de la mobylette. A mon avis, c’est le détail qui l’a achevée, la malheureuse.
Pioupiou Montcanard dit:
à
Sergio, pour mieux te cerner, j’aimerais savoir : t’es royaliste genre :
– nationaliste facho ?
– catho intégriste ?
– maurassien ?
– prout-prout-ma-chère ?
– vichy-c’était-bonnard ?
JC..... dit:
à
Ceux qui, ici, se plaignent du changement n’ont pas compris que la littérature a explosé, elle aussi.
hamlet dit:
à
il parait que Monsieur Assouline a décidé de fermer son blog littéraire, il a proposé à greubou de prendre la suite, à partir du 1er avril, c’est une sacrée promotion.
Daaphnée dit:
à
Oui, Sergio, il faut alors que la nouvelle soit diaboliquement mieux que la précédente .
Bon, mais pas forcément avec des oreilles pointues… ou juste un peu, peut-être ..
JC..... dit:
à
S’il y a une fermeture qui fut vécue comme un drame, c’est celle du blog de Dexter…
Le petit Marseillais dit:
à
Quand je pense à ce malheureux Dieudonné. Quel manque d’imagination, avec sa quenelle et ses ananas. Alors que l’actualité lui offre l’occasion de mille et un spectacles hilarants. Moi, comment que je te l’aurais mis en scène, le Flanby sur sa mobylette, flanqué de ses deux nanas. Enfoncé, Feydeau.
Daaphnée dit:
à
Tiens, pour remonter le moral des libido’n’lost
Chris Isaak – Baby Did a Bad Bad Thing
http://www.youtube.com/watch?v=dPZQ7ZLy3MI
Marcel dit:
à
Les règles devraient être claires: on parle de littérature et de rien d’autre (Bloom 12 h 11)
Pour répondre à cette saillie, il ne sert à rien, comme certains le font, d’alléguer Verlaine ou la baisse de fréquentation du blog. Il suffit de faire remarquer que ce que propose monsieur Bloom est une tentative de confiscation, non pas de la terre palestinienne, mais de ce prestigieux blog de monsieur Assouline sous prétexte de littérature. Or qu’est-ce que la littérature ? Ce n’est qu’un outil pour transmettre des histoires, des idées, des préjugés, des pubs, des slogans… On ne jugerait alors que l’enveloppe sans se soucier du contenu. Ainsi tel Léonidas enveloppé dans du papier journal serait rejeté au profit d’une crotte de bique enrobé de papier d’argent. Tel texte faisant l’amalgame entre l’antisionisme et l’antisémitisme serait monté au pinacle s’il était composé de belles phrases ciselés, bourrées de superbes adjectifs et d’imparfaits du subjonctif.
En tout état de cause, cher monsieur Bloom, daignez reprendre votre post de 2 H 55 min à l’apologie de monsieur Marcel pour que toutes grossièretés (impropre à la littérature) disparaissent, puisque vous paraissez tenir à une certaine tenue de ce blog.
JC..... dit:
à
Petit Marseillais,
Vous écrivez le texte de l’opéra, un truc façon Adams ou Britten, et je vous compose la musique de ce chef d’œuvre nous contant la Passion selon Francesco !
hamlet dit:
à
greubou vient de m’envoyer son premier article pour correction :
»
..hurkurkurkurk..vdqs..heu nan..véri supérior old pèle ! (c’est le titre)
Je vais faire de ce blog un blog angliche..jaffant des toasts à la marmite
car le chiffe d’affaire de l’edition litteraire en france c’est quoi..le myard d’eu a tout casser..la moitié du cout de la kyné pour les joggeur comme jicé..keupu, un pauvre con qui n’a aucune notion des chiffres..
de toute façon, avant lassouline, c’est que des conneries..la libido c’est quantique..picasso disait à la fin de sa vie « on ne peut pus le faire mais on y pense encore autant »..j’ai connu un trés vieux qui pratiquement sur son lit de mort m’a demandé d’aller lui acheter des bouquins de culs..je l’ai déjà dit ‘t’es le seul a qui je peux demander ça’ et ça m’a presqu’ému..alors quoi on dirait que les écrivains d’aujourdhui donnent raison a claudine..ô temporé
il y a une secte à paris de gens qui se faisait eunuque..un vieux machin a la mystique russe et bogomil..leur emblème était l’oignon, c’est un peu compliqué a espliquer si qu’on est pas alqueumist, mais en tout cas la vrai vie était à ce prix..
c’est vrai mais c’est pas tout….une lectrice faut la convaincre..faut qu’elle se sente en menace de culbute..de tournante..d’attaque d’armée en déroute..comme phil avec morand, bref faut tenir le bon bout…
…. »
perso je trouve ça bien meilleur que les meilleurs articles de Monsieur Assouline.
on va enfin avoir un vrai salon littéraire digne de ce nom.
vivement le 1er avril.
Mme Michu dit:
à
pour oser retirer le masque !
Pas besoin de masque pour cacher ce qu’on fait, baroz…… C’est bien la peine de jouer les incompris.
Le petit Marseillais dit:
à
Petit Marseillais,
Vous écrivez le texte de l’opéra, un truc façon Adams ou Britten, et je vous compose la musique de ce chef d’œuvre nous contant la Passion selon Francesco ! (JC)
On pourrait solliciter une aide à la création ?
Sergio dit:
à
oupiou Montcanard dit: 12 janvier 2014 à 18 h 09 min
genre :
Ha non ça me passe largement au-dessus faudrait de l’instruction, moi mon problème le vrai c’est de savoir si les capétiens ont soulevé ou non le trône aux Guise… Et là ça se discute avec circonspection âpreté la baïonnette dans le ventre comme dirait Riqueti y a un boulot énorme c’est encore plus pire que pour les propulseurs à effet Hall…
JC..... dit:
à
PM,
C’est à ça que servent les couches du mille-feuilles territorial : on va faire non seulement du succès mais du fric : comme tout le monde dans le culturel !
Le petit Marseillais dit:
à
greubou vient de m’envoyer son premier article pour correction : (Hamlet)
Eblouissant, le pastiche !
hamlet dit:
à
greubou, ton premier article est très bien.
merci de m’embaucher comme correcteur de tes articles : sur celui-là je n’y ai trouver aucune faute d’orthographe, ni de syntaxe, ni de grammaire, et crois moi j’ai l’oeil s’il y avait eu une je ne jamais passé à côté.
JC..... dit:
à
Marcel,
Bloom aime les règles claires, les choses non-complexes. La littérature pure, faite de mots, le style, le rythme de la phrase. Son livre préféré ? l’Annuaire des téléphones….
De Singapore, hein, c’est plus polyglotte !
Le petit Marseillais dit:
à
Il paraît que la révélation de ses amours à mobylette n’a pas fait baisser la cote du Président. C’était sans doute un peu tôt pour en juger. Gageons que les dommages collatéraux feront réviser leur jugement aux Français. Flanby pourrait ainsi être le premier Président de la Ve à se prévaloir d’une cote négative. Valérie, on t’aime !
JC..... dit:
à
Né en 1922, j’étais trop jeune pour avoir vécu Mai 68 … mais il me semble que l’histoire bégaie, et que nous sommes dans ce même climat d’enfermement ouvert.
Comme si l’on venait d’apprendre que de Gaulle (le bien nommé …) venait de sauter Brigitte Bardot à scooter et que Tante Yvonne avait tenté de mettre fin à ses jours…
hamlet dit:
à
Monsieur Assouline elles sont très bien les pubs sur votre site.
je vais tous les acheter :
– Jacques le Goff, « le moyen-âge expliqué aux âges moyens ».
– la guerre 14-18 expliqué à un réfugié syrien débarquant en France.
– M Kerangal la greffe du coeur expliquée aux greffés du rein
– TBJ la prostatectomie expliquée à mon épouse.
– greubou « les salons littéraires du 18è expliqués à lassouline et ses bloggueurs »
– Abdelkader « les placements financiers pour échapper à l’impôt expliqués à Dieudonné ».
– Dieudonné « le racisme expliqué aux chômeurs pour trouver du boulot »
c’est tout très bien, je vais aussi en offrir, merci.
Mesures et Poids dit:
à
oui, Curiosa, ce qui est à craindre : ces deux loubards iront déposer leurs déjections ailleurs ; reste l’éradication complète, on s’y prépare et ça va faire mal, des escouades entières sont sur le pied de guerre…
des mots pour se souvenir dit:
à
judith Butler , qui ne prétend pas enseigner la psychanalyse , ni l’art de lire et d’écrire ,ni ignorer les philosophes précise pour télérama ce qu’elle entend, elle, par deuil.
je l’ai entendue dans différents contextes dont l’un me paraissait « piégé » par… des psys justement et qui n’en sont pas sortis réparés, même comme traducteurs !
des mots pour se souvenir dit:
à
il ne semble ps que le modèle de l »homme normal » pour les français réussisse à la santé des femmes .or, il m’a semblé que pour certains, et pas seulement des commentateurs, P.Assouline était une figure de l’homme français « idéal » !
Sergio dit:
à
hamlet dit: 12 janvier 2014 à 18 h 17 min
vivement le 1er avril.
Là faut pas s’y fier il va encore neiger pendant des trentaines de jours les camions-benne vont être obstrués des centaines de caisses à neuneu enterrées sous vingt mètres, mais il y a quand même d’ores et déjà une chose dont on est sûr donc indicatif, c’est qu’on verra en hi-fi et en stéréo toutes les secondes à la téloche si elle marche encore la trombine à Valls…
Le fantôme d'u. dit:
à
mon problème le vrai c’est de savoir si les capétiens ont soulevé ou non le trône aux Guise… (Sergio)
La réponse est oui.
Marcel dit:
à
Sergio dit: 12 janvier 2014 à 18 h 21 min
oupiou Montcanard dit: 12 janvier 2014 à 18 h 09 min
genre :
Ha non ça me passe largement au-dessus faudrait de l’instruction, moi mon problème le vrai c’est de savoir si les capétiens ont soulevé ou non le trône aux Guise…
Absolument pas, Sergio. Mon patron en parle dans « Mon cadavre se met en boîte à Eu ». Il apparaît que le mage qui lisait le passé dans les entrailles d’un poulet, s’était planté. Il est maintenant scientifiquement prouvé que Carolus premier n’a pas pu faire de Guise à sa guise.
Adémar de Coligny dit:
à
Les Guise ?
Au trou !
L'Œil dit:
à
On parle de cancer et Jambrun se venge.
Tss…
Marcel dit:
à
@Le petit Marseillais 18 h 18
Le mieux qu’il puisse lui arriver, c’est qu’il n’ait plus sa connaissance, comme son célèbre prédécesseur, Félix Faure.
Papy Jeanjean dit:
à
et Jambrun se venge.
Boh moi aussi j’ai eu un cancer de la prostate. Mais je bande encore. Comme avant, c’est-à-dire mou.
Bardamu dit:
à
agence Novotny – Press
« Apprenant toutes les nouvelles, Léonarda vient de tenter de mettre fin à ses jours… » Moscow/23h05
« Un hélico du Glam vient à sa demande de la rapatrier d’urgence dans l’hosto de Krocqveiller » Tirana/23h 15
« Après Fabius(casqué), c’est Depardiou (casqué) qui vient de se présenter au domicile de jULIE (prêté par Jojo porteflingue)… DSK aurait été vu dans le quartier de Julie… » Vladivostok/ 23h 18
Novotny-pRESSE
Papy Jeanjean dit:
à
Emmurer les torts, river les paravents.
Sergio dit:
à
Marcel dit: 12 janvier 2014 à 19 h 29 min
Carolus premier n’a pas pu faire de Guise à sa guise.
Il n’y a pas de porte dérobée à Aachen ? Bon le mieux, comme dans Gavisconell on va agir rapidement, pour vérifier on va occuper la rive gauche comme Clemenceau sans accent…
abdelkader dit:
à
Un autre argument made in GIYUS est de vous sortir la vieille ritournelle : oui mais pourquoi vous ne dites rien sur la Syrie, la Lybie, le Tibet, la C etc etc…non, vous êtes contre Israel parce que c’est un état juif and donc ipso facto, vous êtes antisémites…circulez y a rien a voir !
Bof…même le camarade Sancho me l’a sortie, lui au moins, a l’excuse d’être un peu dense …sinon, ici depuis qu’Anelka a fait cette quenelle (que tout le monde ici ignorait, dont vot’serviteur), la Jewish Chronicle, qui comme son nom l’indique, ne s’adresse pas a des lecteurs comme moi, fait campagne pour qu’Anelka soit puni pour une infraction qui n’en est pas une en Angleterre….la quenelle ne voulant absolument rien dire ici, perso j’préfère le bras d’honneur traditionnel (et je prends le camarade Sancho comme témoin là-dessus)… même si Anelka s’est excusé et promis de ne plus la répéter… punir quelqu’un en Angleterre pour un geste qui ne constitue pas un délit ici mais qui pourrait peut-être constituer un délit en France (et la les membres du Jury délibèrent encore)… j’avoue que je n’y comprends pas grand-chose…
bérénice dit:
à
des mots pour se souvenir dit:
à
Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui.Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui.Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui.Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui.Dans L’ablation (128 pages, 14,90 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun se fait écrivain public, dans la pure tradition africaine, pour se mettre à la place d’un ami opéré d’un cancer de la prostate qui lui demande de témoigner pour lui .
étrange l’enchainement pour la « justification »-après l’autothérapie »- dans le billet, et le commentaire de P.Assouline lui-même.(tradition peut-être pourquoi pas : je ne vois pas où est la provocation en occident )
bref, l’écrivain a exaucé les quasi dernières
volontés de son ami .
Quand on a soi-même frôlé dès sa jeunesse sa propre mort et la mort de proches et moins proches , cela ne laisse pas indifférent
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…et dire qu’un roi,…se devait d’écoutez des sphères pareilles,…le saint homme,…pourvu du cardinal son frère,…et de sa famille,…
…comment sont’ils arriver à s’étriper,…pour une voie, un vote, un frère,…du sang bleue,…
…
…vaut mieux pas s’inviter à table,…
…
…faut dire que dans ses familles,…déjà avec les mouchoirs Pampers,…
…l’emploi héréditaire,…vous achetez mes titres de noblesse,…
…noblesse du culot pour un soleil rayonnant,…à la bougie faut pincée,…
…
…et tout ces coups de Jarnac!,…Rome après l’heure!,…la misère!,…restons bourgeois,…pas de folies des grandeurs,…
…
…le règne de l’humour et vitalité,…
…docteur mon roi je jouis , encore,…
…construisez des couvents près de Paris!,…avec des passages secrets pour scooter,…des pétarades à Fantômas,…etc,…
…
…voilà encore un piquet dans la mare,…raffermir le terrain,…toute ces Laguna , des Venise’s partout,…et mon désert,…mes chameaux restez,…empiffrés vous !,…sonnez la mesure,…etc,…
…
des journées entières dans les arbres dit:
à
hamlet dit: 12 janvier 2014 à 15 h 33 min
Hamlet,
Je ne lirai bien évidemment pas ce livre de M. de Kerangal.
Mais peut-être écouter, son idole ?
des journées entières dans les arbres dit:
à
bérénice dit: 12 janvier 2014 à 20 h 41 min
merci.
j’ai déjà repéré deux intervenants comiques: l’auteur de « cap sur l’avenir » et le psychiatre.
Je vais écouter la suite.
« Quand on a soi-même frôlé dès sa jeunesse sa propre mort et la mort de proches et moins proches , cela ne laisse pas indifférent »
Une lapalissade qui se paie de mots?
des mots pour se souvenir dit:
à
il ne faut pas « avoir de coeur » pour accepter de mettre en partage certains souvenirs sur la RDl, et même avec P.Assouline dont les photos sont belles à mes yeux .
bérénice dit:
à
Hamlet,ne pas considérer pour l’écarter le point de départ mais profiter du voyage, observer les paysages, entendre la langue en usage et faire le point à l’arrivée.
Mme Michu dit:
à
Pour revenir à Mars voici ce qu’en écrit Adolf Muschg:
« Il est mort de n’avoir pas appris à partager sa vie, à la communiquer, jusqu’à ce qu’il fût trop tard. »
Regretter de l’avoir fait et il y a très très longtemps suite à des relents douteux (malgré les airs de triomphe) peut être encore plus mortifère.
Autant dire que les donneurs de leçon de vie valent ce qu’ils veulent. Seriner stupidement pendant quinze ans les mêmes inepties non vécues par soi-même comme un prof autant vaniteux que paresseux, après tout faut vraiment le vouloir.
De l’air. Bonne soirée!
des journées entières dans les arbres dit:
à
ah, mais mme michu, de Zorn, moi je m’en contrefiche, mais royalement…
Mme Michu dit:
à
moi c’est de ta clique que je m’en fiche abruti, mais faut toujours te le répéter…
des journées entières dans les arbres dit:
à
Mme Michu dit: 12 janvier 2014 à 21 h 55 min
mme michu, la « clique » est là, fait-il vous le répéter ?
http://www.publicsenat.fr/vod/bibliotheque-medicis/olivier-grenouilleau,pierre-assouline,pierre-rosanvallon,yoan-biya-oula,chirstian-buchet,alain-brac/144236
bérénice dit:
à
Demain silence entrecoupé seulement de quelques bruits intempestifs, joie, repos, baignade entre les pages enfin… Do not disturb.
bérénice dit:
à
Qui a vu Zoulou en VO?
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…j’ai déjà donnez,…faite suivre,…!
…
…Oui,…notre père qui êtes aux cieux,…
…
…etc,…
des journées entières dans les arbres dit:
à
bérénice dit: 12 janvier 2014 à 22 h 04 min
non, Bérénice, seulement lu « Zulu ».
Mais vu » tel père, tel fils », en VO.
Pierre Rosanvallon est très intelligible dans cette émission de public sénat.
bérénice dit:
à
Des journées, pour les fils qui n’ont pas connu de père ni de substitut paternel, quelle phrase?
des journées entières dans les arbres dit:
à
bérénice dit: 12 janvier 2014 à 22 h 31 min
Bérénice,on parle du même film, celui de Hirokazu Koreeda ?
bérénice dit:
à
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55005x/f100.image
la dernière leçon de Léonard de Vinci 1499
bérénice dit:
à
Je n’ai pas eu vent de ce film, vu cet après-midi Zulu présenté en 2013 à Cannes, en clôture.
des journées entières dans les arbres dit:
à
la métaphysique …
Encore un mot trop galvaudé par ici.
Il faut sans cesse répéter les mêmes choses, aussi, c’est pénible.
http://www.college-de-france.fr/site/claudine-tiercelin/#|m=inaugural-lecture|q=/site/claudine-tiercelin/inaugural-lecture-2010-2011.htm|p=../claudine-tiercelin/inaugural-lecture-2011-05-05-18h00.htm|
Mme Michu dit:
à
Putain, y’en a qui y tiennent à leurs décrets
bérénice dit:
à
Des journées merci pour le conseil je crains malheureusement que cette petite merveille ne parvienne jusqu’où je vis.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Et le cirque continue, au N°20 de la rue du même nom.
D. dit:
à
bérénice dit: 12 janvier 2014 à 22 h 04 min
Qui a vu Zoulou en VO?
–
pas moi.
D. dit:
à
On m’a dit que c’était un film très limite et j’ai préféré renoncer.
Le chat dit:
à
« j’ai connu un trés vieux qui pratiquement sur son lit de mort m’a demandé d’aller lui acheter des bouquins de culs..je l’ai déjà dit ‘t’es le seul a qui je peux demander ça’ et ça m’a presqu’ému..alors quoi on dirait que les écrivains d’aujourdhui donnent raison a claudine..ô temporé »…
Pas très chrétienne cette histoire…
Le sucer ou l’enculer, suivant ses volontés, vous aurait permis de passer directement devant St Pierre sans condom !!! !! !.
Claudine aurait été certainement plus charitable !.
Pov’ vieux, pas eu de chance de tomber sur un chancre tel que vous !.
Le chat dit:
à
Le petit Marseillais dit: 12 janvier 2014 à 18 h 28 min
Beaucoup de jaloux, peu d’élus … .. .
Le chat dit:
à
JC….. dit: 12 janvier 2014 à 18 h 33 min
Quid de De Gaulle…
je préfère Félix Faure.
Donc salutation à Mme Marguerite Jeanne Japy.
Le chat dit:
à
Mais, pour ce qui est de Marguerite,…
Je préférerai toujours celle du Maître.
Marcel dit:
à
Occis, mort
Puisqu’il faut pomper à la source
Pour que mort donne du vivant,
Mon corps sera votre ressource
Puisqu’il faut pomper à la source.
Mais laissez ma plus grosse bourse
Pour payer mon enterrement.
Puisqu’il faut pomper à la source
Pour que mort donne du vivant.
Jean Calbrix, le 13 janvier 2014
JC..... dit:
à
Il y a ceux qui baisent et ceux qui sont baisés…
(Ignace de Loyola / Exercices Spirituels. 1548)
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…les morts, sont vivant pour ceux qui on de l’imagination,…faculté a prohiber,…
…pour nous autres vivants,…baiser ou baiseurs à toutes les sauces,…
…garder la faculté d’en gober,…des salades,…à cheval sur les générations!,…
…etc,…
En hommage à Marcel dit:
à
Le curé de L’Alizé a les couilles qui pendent
Le curé de L’Alizé a les couilles qui pendent
Et quand il s’assoit dessus
Ca lui rentre dans le cul
Il bande il bande il ban an de !
Le curé de L’Alizé a un troupeau de vaches
Le curé de L’Alizé a un troupeau de vaches
Et comme il a pas d’taureau
C’est lui qui s’tape tout l’boulot
Quel homme quel homme quel ho om me !
Sur la place du village ya la statue d’Hercule
Sur la place du village ya la statue d’Hercule
Et comme le maire et curé
Sont tous les deux des pd
L’enculent s’enculent l’encu u le !
Jeunes filles de L’Alizé vous êtes toutes pucelles
Jeunes filles de L’Alizé vous êtes toutes pucelles
Et quand vous êtes dans mon lit,
Vous me touchez le kiki
Je bande; je bande, je ban an de !
Le curé de L’Alizé a acheté un âne,
Le curé de L’Alizé a acheté un âne,
Un âne républicain
Qui se tape toutes les putains
Quel âne, quel âne, quel â âne !
(Alcofribas Nasier/ Exercices Prostatiques. 1542)
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…sur cette lancée,…bienvenue,…
…
…les éditions Sabine Fournier,…
…
…pour du foutre à l’esprit,…avec,…Sophie Villalonga,…John Jensen,…etc,…
…
…plus près du ciel,…mon Dieu,…elle est bonne celle là!,…
…1 exemplaire réservé à l’élisée tirage limité aux lit’Ô,…Ôriginales,…en portefeuilles de France & Mercure,…etc,…
…
…
JC..... dit:
à
La pantomime de l’anagramme paillard de 7:58 est scandaleuse. Comment peut-on, en ces lieux mythiques où règnent de si beaux esprits, parler d’autre chose que de littérature…?
L’ami Bloom a raison. La règle est claire. Désormais, nous nous exprimerons par citations littéraires NF, càd estampillées Norme Filippetti.
bérénice dit:
à
Houlala, inspiration en berne comme après une prostatectomie radicale, gris lundi, attendons le cours de la bourse qui reste la place sure de l’économie des vraies vies, quand on aime on ne compte pas, allo? mon cachalot?
u. dit:
à
Dans les arrière-salles des meetings, dans la chaleur d’étable des congrès, c’était l’homme de la Synthèse.
Normal qu’il ait essayé aussi d’intégrer quelques éléments de la motion DSK, quoique plus modéré, plus en rondeur.
Les média font main basse sur notre attention, on est maraboutés par une force centripète.
On connaît la liaison, on connaît le quartier, on connaît la rue, on connaît maintenant le numéro et l’étage.
On veut voir le lit!
bérénice dit:
à
changer l’air la partition la répartition et l’orchestre, entendre l’âme de l’artiste qui selon, souffre, grince, s’époussette se baigne nage, erre vagabonde cabriole, tempête chuchote et négocie debout devant vous, jamais ne désespère de sortir de l’étui qui la retient captive les feuilles chiffonnées tige repliée .
bérénice dit:
à
u. on s’en fout, je me demande même si ce n’est pas un coup monté pour réparer sa fermeté et par là son autorité, son image.
D. dit:
à
bérénice dit: 13 janvier 2014 à 10 h 44 min
u. on s’en fout
C’est vrai, Bérénice, tout le monde se fout d’u. et je crois qu’il commence à s’en rendre compte. J’ai de la peine pour lui.
bérénice dit:
à
Société de spectacle, après tout pourquoi pas imaginer que ce puisse n’être qu’une manipulation en supplément dans le journal du dimanche, avec ils ont tout prévu,comme dans « les falsificateurs »; on a trop parlé de Dieudonné, on ne va pas poursuivre avec ces mauvaises pages du feuilleton Élyséen, non?
u. dit:
à
Ce propos ne manque pas de gravité.
Pourquoi néanmoins est-ce la note comique qui domine?
Parce que, lorsqu’il est renseigné sur l’endroit où le Président » passe la tête », le lecteur se demande où il passe la queue?
« Sous pression, François Hollande a passé le week-end à l’Élysée, enfermé dans son bureau, passant une tête de temps à autre dans le bureau de ses collaborateurs, Pierre-René Lemas ou Aquilino Morelle. «Il travaille, il relit des fiches, il réfléchit, il prend des notes», assure un conseiller. Le chef de l’État a déjeuné samedi avec ses conseillers, cercle élargi. Même chose dimanche, dans un format plus réduit, avec le secrétaire général de l’Élysée, Pierre-René Lemas, les secrétaires généraux adjoints, Emmanuel Macron et Nicolas Revel, et son conseiller politique, Aquilino Morelle. «Nous sommes au travail», martèle l’un d’eux. »
« Martèle »…
Ils méritent leur avoine, ces conseillers?
On ne pourrait pas les remplacer par des emplois-jeunes?
Orlando Urioso dit:
à
on connaît le quartier, on connaît la rue (u.)
à 50 m de l’Elysée.
Barozzi, qui possède peut-être le Dictionnaire des rues de Paris, nous dira éventuellement à quel Cirque le nom de cette rue fait allusion.
bérénice dit:
à
Personnellement cet épisode ne changera en rien l’opinion que j’ai de la chose publique et actuelle, les journaux tentent de survivre et traquent les personnalités à qui il va falloir un peu plus d’imagination pour atteindre le seuil de discrétion suffisant à préserver leur vie privée puisqu’ils ne peuvent plus compter sur le silence de la presse. D’un autre coté on n’a pas retué Lady Di.
D. dit:
à
Le parcours d’Aquilino Morelle m’impressionne. Fils d’ouvrier, devenu docteur en médecine, puis diplômé de Sciences Po, puis énarque, ce n’est pas u. qui pourrait en dire autant.
hervé dit:
à
un coup monté pour réparer sa fermeté et par là son autorité, son image.
voyons bérénice,e nesriez-vous pas gagnée par les procès d’intention du grand u (immense penseur, s’il en est)et les manipulations des truands nabot et ses hommes de main, qu’il aime tant! Vous oubliez giscard, chi, mitterrand, pour ne mentionner qu’eux ! tous les présidents de la Répu, à part de gaulle, la plupart des hommes et femmes politiques.. ils ont tous des histoires comme le commun des mortels aussi durant leurs mandat
u. dit:
à
Fascinant, le mécanisme par lequel le visage de cet homme poupin, comme celui de son prédécesseur, suscite désormais dans l’opinion des réactions pavloviennes, où domine le mépris amusé.
Il faut prendre ces micro-événements démocratiques comme des leçons de choses (la plus magnifique étant l’implosion en direct devant le peuple, lors de l’adresse à Leonarda: c’est probablement indépassable).
Je bénis Berlusconi.
Par sa simple existence, le Cavaliere peut nous faire imaginer qu’on n’a pas encore touché le fond.
(Marrant les looks, l’un faisait VRP, l’autre adjoint au maire)
@ berénice
Trop fort, l’hypothèse de l’auto-complotisme.
@ Dédé
Tu vis ça comment, mon grand?
Pas trop déboussolé par ces histoires de queues?
La voix d'u. dit:
à
Dédé, je t’épice à l’arrêt.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…pour en revenir des bourses et des choses sérieuses de l’économie,…
…
…les détails math’s à s’appliquer après Ô’rions’en,…
…une relique de chez Payot, Paris
…
…la Fascination des Nombres
…par W.J.Reichmann 1959
…
…traduit de l’anglais par Robert Lartigau
…
…mode d’emploi de l’Amour du Capital et son Volume,…etc,…
…
bérénice dit:
à
Oui Hervé justement sur ce plan ils ne sont pas différents du commun des mortels, mais ils représentent une part de marché puisque le tout venant s’arrachera le journal qui étale ce genre de banalités qui nous unissent dans un baldaquin. Ce qui fait vendre et qui ne constitue même plus un objet de scandale, nous y sommes habitués.
JC..... dit:
à
« L’honneur et le profit ne couchent pas dans le même lit. »
(Miguel de Cervantès / De Lépante au pantin. 1571)
hervé dit:
à
« Ce Don Juan bedonnant, petit et grassouillet est polygame »
jaloux , et raciste que tu es, tu te retiens de le traiter d’arabe et d’antisémite
D. dit:
à
« Pas trop déboussolé par ces histoires de queues ? » me demande u.
Oh, vous savez, j’ai été acteur porno avant de me convertir au catholicisme. A chacun ses erreurs de jeunesse. Alors, les questions de braguette… Il faut être obsédé sexuel comme vous, u., pour se laisser encore perturber par ces choses.
Non, ce qui me gêne, c’est que vous tentiez de pervertir Bérénice, qui a un cœur pur.
hervé dit:
à
puisque le tout venant s’arrachera le journal qui étale ce genre de banalités qui nous unissent dans un baldaquin. Ce qui fait vendre et qui ne constitue même plus un objet de scandale, nous y sommes habitués.
non les gens sont blasés rien à cirer de ce genre de trucs (à part le concierge de PQ, qui crève d’ennui dans sa tour d’ivoire)
Le petit Marseillais dit:
à
Plus question de lâcher la grappe (c’est le cas de le dire) à l’immonde Flanby. Les méfaits de l’obsédé sexuel à la mobylette doivent trouver leur sanction. Poussé par la brise de mer, jusqu’où ira-t-il ? Et la Valérie, qu’est-ce qu’elle est ? première,seconde, troisième, quatrième ou cinquième concubine ? Le citoyen a le droit de savoir. A côté de se dérapages, ceux de Dieudonné font figure d’innocente amusette et Berlusconi est un enfant de choeur. Assez. assez.
hervé dit:
à
@ u.à l’heure où la France a bien d’autres problèmes à régler ?»
les potes à u. ont eu des décennies pour régler les problèmes: on est encore sous le choc
bérénice dit:
à
D ne vous inquiétez pas pour moi, je n’aime que les grands bruns avec une chaussure noire, u. mesure 170cm environ. C’est pas assez.
Le petit Marseillais dit:
à
« Ce Don Juan bedonnant, petit et grassouillet est polygame »
Même pas. Il mélange tout. A cause de lui on ne sait plus qui est qui. la première dame de France n’est plus qu’une barbie surnuméraire, la brise de mer est bise à ma poule continentale. comme l’a montré René Girard, l’indifférenciation est source de violence. Nous ne l’écarterons qu’en sacrifiant le bouc !!
CZ dit:
à
moi, ce qui me fait marrer, c’est qu’on vomit sur closer, alors que toute la presse s’est jetée sur l’info et en a fait ses gros titres, même à l’étranger.
si vraiment c’est une info de caniveau (ce que je pense) alors pourquoi l’avoir reprise ?
quant à john brown, il est jaloux de la prostate de hollande, tout simplement.
Le petit Marseillais dit:
à
La gravité de la crise sacrificielle où nous nous débattons (l’affaire Dieudonné l’a amplement montré) exige l’immolation du bouc étranger venu de Hollande qui conchie impunément nos usages matrimoniaux les plus sacrés !
A. dit:
à
bérénice ! Je suis brun, je mesure 1 m 88 et j’ai toujours au moins une chaussure noire.
Ah, si nous nous étions connus il y a quarante ans !
Polémikoeur. dit:
à
Pour en revenir aux vagues de Biarritz,
qui enterrent aussi des vivants,
vraiment grosses !
Marégravement.
u. dit:
à
« si vraiment c’est une info de caniveau (ce que je pense) alors pourquoi l’avoir reprise ? »
Naturellement parce que le phénomène a changé de nature, il est aujourd’hui pleinement politique.
Il ne s’agit plus du tout de Mlle Gayet (jolie, soit dit en passant)
Le petit Marseillais dit:
à
si vraiment c’est une info de caniveau ( CZ)
C’est dans le caniveau qu’on ramasse les politiciens félons ! Luxons le bouc hollandique au poteau !
bérénice dit:
à
Si cette info en est vraiment une, il faut conclure que le couple présidentiel a ses détracteurs, a semé des inimitiés qui peut être sont à l’origine de ces révélations ou tout simplement, l’éditorial de Closer l’a décidée sans raison particulière, sans plus de motivation, pour booster ses ventes.
Leo Bloom dit:
à
Pas trop mal troussé votre truc, Marcel. Je me reprends donc ci-après, à l’aide de mon ami Shapespeare (qui inspire), de son Othello (1,2,3), de son Hamlet(4), et dans l’original, svp. Nous voilà donc en passe d’être comblé:
1. Le Marcel se révèle tordu grave = « Thou art a villain »;
2. le Débris se réincarne en savon d’Alep = « I am not what I am »;
3. l’ânecdote sudiste se contracte le recte avant d’expulser = « What profane wretch [thou art] »
4. la bande des pieds nickelés continue à produire sa logdiarrhée, à distance du vaste monde dont lui parvient par intermittence un babil indistinct = « There are more things in heaven and earth (…) than are dreamt of in [their] philosophy »
In fine, à la relecture, votre truc est pas si bien tourné que ça: celui qui, dans un acte jivaro, réduit la littérature à un « outil », lui fait subir une telle coupable atténuation, une si douloureuse ablation, un tellement fort rabaissement, qu’on se demande laquelle de la sottise ou de l’incompréhension du monde hante le vide de son esprit simpliste.
S’il est des plaisirs auquels vous n’avez pas accès, souffrez que d’autres y puissent goûter à l’envie, cher petit monsieur.
Le petit Marseillais dit:
à
Luxons le bouc hollandique au poteau ! (mézigue)
Malédiction ! J’ai emprunté cette célinienne imprécation en oubliant complètement que « luxer au poteau » est une expression de l’argot des courses, équivalent de « griller (un autre cheval) sur le poteau ». Donc j’invite à dépasser le sacripant dans ses sacripitudes ! Donc je dis le contraire de ce que je veux dire ! Damned !
hervé dit:
à
bérénice
le hollande bashing bat son plein, mais il est résistant
(pauvre u. qui regrette l’hystérique freluquet fils à maman )
Jacques Barozzi dit:
à
Qui trompe sa femme trompe la France !
antoine dit:
à
Par une lecture attentive et sa connaissance intime de l’Espagne, où elle a longtemps vécu, par aussi son apprentissage passionné des langues anciennes (l’araméen et l’hébreu) en vue de cette élucidation, Dominique Aubier a accédé à l’œuvre manifestement scellée, mystique, dans le Quichotte, où s’identifie la culture espagnole.
Les aventures de l’Hidalgo de la Manche ne sont qu’une projection didactique, implicite, du Zohar, condensation de la Kabbale qui procède de Siméon Bar Yohaï (I et II siècles), tradition qui préserve la refondation du judaïsme par Ézéchiel. Ainsi, l’ouvrage de Cervantès serait le dépositaire d’une parole nécessairement cryptée face à l’Inquisition triomphante.
Don Quichotte, prophète d’Israël est remarquable tant par son propos, l’énonciation d’une prophétie, que par sa méthode.
Soucieuse de restituer la démarche de l’œuvre, évitant toute thèse ou hypothèse, Dominique Aubier s’arrête à chaque pas ou aventure de l’Hidalgo, répondant ainsi à l’interrogation qu’il pose.
Cette approche, curieusement (ou très logiquement), est parallèle à celle de Wilhelm Fraenger qui, vingt ans auparavant, a simplement accepté de voir l’évidence du Royaume millénaire de Jérôme Bosch (Ivrea, 1993), autre « synthèse », historiquement inattendue (la rose-croix) du judéo-christianisme en Espagne.
Wilhelm Fraenger lui aussi a, par attention à l’œuvre de Jérôme Bosch/Jacob von Almaengien (von Almaengien dont l’enseignement, à sa façon, intègre l’enseignement du Zohar de Moïse de Léon), reformulé la pédagogie du Royaume millénaire, volonté de préserver le judaïsme par un retour au christianisme primitif.
Les deux œuvres, le « Don Quichotte » et le « Royaume Millénaire », très logiquement sont au cœur de l’Espagne qui les maintient dans leur évidence « cachée », celle-ci se révélant cependant à qui accepte de voir.
JC..... dit:
à
« Et si je ris de toute chose ici-bas, C’est afin de n’en pas pleurer. »
(Lord Byron / Don Juan, en Hollande.1819)
par dit:
à
u (le phénomène a changé de nature, il est aujourd’hui pleinement politique.)
les voyous hantés par leurs casseroles, sont prêts à tout pour revenir aux affaires, ils considèrent que le pouvoir leur appartient de plein droit
Le petit Marseillais dit:
à
Donc j’invite à dépasser le sacripant dans ses sacripitudes ! (mézigue)
» Les sacripitudes du sacripant sont un signe de crise du sacré en phase de crise sacrificielle » (René Girard, « La Violence et le sacré »)
ce que Court aurait dû nous avoir dit:
à
C’est une rue prédestinée.
C’est là qu’habitait Miss Howard lorsqu’elle était la maîtresse du président de la République Louis-Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III).
Sachons lire Barozzi dit:
à
Jacques Barozzi dit: 13 janvier 2014 à 11 h 30 min
Qui trompe sa femme trompe la France !
Sauf s’il est UMP, bien sûr !
Le petit Marseillais dit:
à
Don Quichotte, prophète d’Israël
Il y a vraiment des maniaques de l’annexion. Cette Dominique Aubier est l’Ariel Sharon des études littéraires. Tu me diras que René Girard en est bien le Charlie Chaplin. Vive les farceurs : à eux l’Académie française.
JC..... dit:
à
« Ne vous souciez pas d’être sans emploi ; souciez-vous plutôt d’être digne d’un emploi. »
(Confucius / Entretiens. 541 BC)
Le petit Marseillais dit:
à
C’est une rue prédestinée. (Ce que Court…)
C’est aussi dans cette rue que Zola situe l’appartement de Nana.
.....CJ dit:
à
« Le scooter est à Porquerolles ce que la connerie est au genre humain. »
(François Mauriac)
JC..... dit:
à
« Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. »
(Winston Churchill / Français, réveillez-vous ! 1952)
Le petit Marseillais dit:
à
La rue du Cirque ! ça ne s’invente pas.
u. dit:
à
« Les deux œuvres, le « Don Quichotte » et le « Royaume Millénaire », très logiquement sont au cœur de l’Espagne qui les maintient dans leur évidence « cachée », celle-ci se révélant cependant à qui accepte de voir. »
Ces deux excellents ouvrages sont une métaphore sur la queue présidentielle.
u. dit:
à
« le hollande bashing bat son plein, mais il est résistant »
C’est sexe.
JC..... dit:
à
« Liberté Egalité Fraternité Quenelle »
(Dieudonné de Saint-Just / Révolution et Démocratie. 1790)
Le petit Marseillais dit:
à
. Ainsi, fait observer l’entourage de M.Hollande, le nom de Ferraci n’apparaît pas sur l’interphone de l’appartement (« Le Monde.fr »)
Mais, selon le même article, il apparaît sur la boîte aux lettres. Il est vrai que, pressé d’aller tirer son coup, Ducon trissait vite fait jusqu’à l’ascenseur.
Le petit Marseillais dit:
à
Peut-être que, quand on l’aura viré, Hollande pourrait former un duo avec Dieudonné : dans le genre comiques nauséabonds, ils font la paire.
antoine dit:
à
@Petit marseillais: arrêtez le pastis de si bonne heure ! Vous voulez dròle, vous n’êtes qu’à côté de la plaque mon pauvre. Allez donc lire l’histoire de Marseille par Alessi dell’Umbria, grand connaisseur de cqui mérite d’être connu.
Dr Lutz, praticien à Grasse dit:
à
Le petit Marseillais dit: 13 janvier 2014 à 11 h 55 min
quand on l’aura viré
Mais pour mettre qui à la place ?
JC..... dit:
à
« Pour le bouc, ce qu’il y a de plus beau, c’est la chèvre. »
(Marcel Pagnol / Tu voulais César et tu as eu Pompée, couillon d’électeur. 1953)
JC..... dit:
à
« Mais pour mettre qui à la place ? »
N’importe qui !
Pourquoi pas Bouguereau ? je serais bien Premier Ministre d’une pointure pareille…
jean dit:
à
JC a écrit : « Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. »
(Winston Churchill / Français, réveillez-vous ! 1952)
Guy Debord répond au bourgeois Churchill : « Elle est devenue ingouvernable cette « terre gâtée » où les nouvelles souffrances se déguisent sous le nom des anciens plaisirs; et où les gens ont si peur. Ils se réveillent effarés, et ils cherchent en tâtonnant la vie. Le bruit court que ceux qui l’expropriaient l’ont, pour comble, égarée. »
hi hi hi dit:
à
U est jalu, il essaie de se consuler avec duuphnée, mais çu le fait pas, çu le fait pas.
Le petit Marseillais dit:
à
de l’Espagne qui les maintient dans leur évidence « cachée », celle-ci se révélant cependant à qui accepte de voir. (Antoine)
On croirait du mauvais René Girard. » Et j’ai cru voir ce que l’homme a cru voir » (Antoine). Visionnaires de mes deux.
u. dit:
à
par dit: 13 janvier 2014 à 11 h 33 min
les voyous hantés par leurs casseroles,
C’est finement observé.
On commence par faire passer à la casserole, on finit par trainer ces casseroles à sa queue.
Fraternité du petit gros et du petit nerveux!
Unie à la liberté de jouir et à l’égalité des passe-droits, voilà qui va susciter un sursaut républicain!
(C’est pas sexe, le sursaut républicain?)
chantal dit:
à
j’ai fait un cauchemard : passer une main dans la chevelure de Jean Calbrix .. j’étais sur un vapeur, je tenais un parapluie, je tenais la main de Franz, ou les deux ..
Tout à coup la vague, le smog, sur l’onde un cadavre, les pieds en équerre, …; ho les flots, hissé haut,…; les yeux dans la forêt météorologique des nuages, taches blanches, lait pissé sur ciel on the move.
La citadelle, haute femme à vieilles tentures, encastrée dans la nature, le major monte l’échelle, dernier voyage au grenier avant la fin, descendit en majesté, se coiffa d’un chapeau claque, jeta un denier regard au lierre qui mangeait la façade, monta dans sa simca, descendit la drève cendré et quitta son royaume de tilleuls et d’acacias ..
Au dernier jour de sa vie de batailles, le major se débrancha, revint au logis sous le portrait du ministre de la G.
Il réclama des fraises chantilly, s’étrangla.
Il avait échappé à trois guerres, sa femme, l’oflag, la prison, la potence. Il mourut d’une fraise ; dans son costume en draps de laine.
jean dit:
à
La citation de Guy Debord provient d’In girum imus nocte. Elle est placée en incipit au livre visionaire de Mezioud Ouldamer, « Le Cauchemar immigré dans la décomposition de la France ». Ouvrage ô combien utile par les temps qui courent !
u. dit:
à
Les caméras du monde entiers sont fixées sur la conférence de presse de demain.
Frappe un grand coup, mon Françouille!
Présente toi en slip léopard.
Mobutu l’avait sur la tête, tu l’auras sur la queue.
Le petit Marseillais dit:
à
« Mais pour mettre qui à la place ? »
N’importe qui ! (JC)
Marine ou Ségolène ou Nathalie, mais une femme : ça nous changera.
Ernest Legros, 3 rue de Tielle, 47315 Fournans dit:
à
JC….. dit: 13 janvier 2014 à 11 h 59 min
« Pour le bouc, ce qu’il y a de plus beau, c’est la chèvre. »
Tu peux charrier Hollande, c’est de bonne guerre, mais Julie Gayet n’a pas mérité ta goujaterie.
Marcel dit:
à
Hong Kong: des passagers tombent le pantalon dans le métro
Snackvid
Par Snackvid – Il y a 1 heure 28 min
Israël rend un dernier hommage à Ariel Sharon
Par Reuters – Il y a 1 heure 43 min
Les nouvelles se suivent à la queue leu leu sur la page d’accueil de free. Faut-il y voir malice ?
bérénice dit:
à
u. je lis que votre libido est en crue et noie une partie de vos circuits, ne vous laissez pas ainsi par la faiblesse déborder, ce flux ravine une partie de votre capital qui n’est, nous en possédons les preuves, pas à négliger. Rangez vos frustrations, repliez votre gaule et donnez-nous aujourd’hui notre du.
JC..... dit:
à
C’est vrai, Jeannot, que Churchill ne fait pas le poids face à Debord, huhuhuh !
D. dit:
à
Depuis que u. écrit les commentaires de JC, je trouve qu’il y a du relâchement.
Le petit Marseillais dit:
à
Frappe un grand coup, mon Françouille!
Présente toi en slip léopard. (u.)
A poil. Rien dans les mains rien dans les poches. Une main devant une main derrière.
Jacques Barozzi dit:
à
Certes, Sachons lire Barozzi, Giscard, Mitterrand et Chirac trompaient allégrement leurs femmes, mais, à la différence de Hollande, ils ont toujours offert un emploi stable à leurs premières dames, tandis que ce dernier ne lui aura donné qu’un emploi très précaire !
On commence par manquer de respect à sa femme et c’est toute la France que l’on méprise…
JC..... dit:
à
Ernest Legros, elle est là, la difficulté de l’intellectuel, apprécier un animal merveilleux : la chèvre
(Xénophon / Retraite des Dix Mille. Long time ago BC )
D. dit:
à
Bérénice, l’augmentation de la Gauldo est proportionnelle à la diminution de la gaule d’u., ne cherchez pas ailleurs l’origine de sa frustration.
Nous en reparlerons le 17 janvier.
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