de Pierre Assouline

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Espagne : la guerre n’est pas finie

Espagne : la guerre n’est pas finie

Certains livres d’histoire ont au moins le mérite d’annoncer le programme dès le titre sans détour et sans ambiguïté. Par programme, il faut entendre : point de vue, conviction, parti pris. Ce que le genre n’exclut pas, il s’en faut. Ainsi de celui de Paul Preston Une guerre d’extermination. Espagne 1936-1945 (The Spanish Holocaust, traduit de l’anglais par Laurent Bury et Patrick Hersant, 890 pages, 29,90 euros, Belin, 2016). Il affiche la couleur qui n’est ni noire ni rouge. Une teinte étrange qui laisse un goût amer après la lecture de ce qui se veut non un livre de chercheur (toutes les sources utilisées ont déjà été publiées) mais une synthèse offrant une nouvelle perspective en resserrant la focale sur la violence faite aux civils.

Ceux qui ont eu la curiosité de vérifier le titre de l’édition originale anglaise sur la page de garde se diront qu’on a échappé au pire (et plus encore ceux qui auront été chercher ailleurs le sous-titre Inquisition and Extermination in Twentieth-Century Spain) . Car enfin, s’il y a bien qui ne passe pas en France, du moins qui ne passe plus, c’est bien celui d’ « holocauste ». A-t-on assez dit depuis des décennies qu’il était impropre ? Il désigne un sacrifice rituel ; or ce qui s’est passé en Europe avec la solution finale appliquée par les nazis aux Juifs n’avait rien d’un sacrifice et ne relevait pas d’un rituel. Libre à chacun de l’appeler « génocide » ou « shoah » ou autre. Aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, on en est resté à « Holocauste » sous l’influence d’une médiocre mini-série télévisée à grand succès (Holocaust, 1978).

Quoi qu’il en soit, en user dans un autre contexte, c’est faire implicitement référence à « la destruction des Juifs d’Europe » pour reprendre le titre du grand livre de Raoul Hillberg. Le mot renvoie l’inconscient du lecteur à des images subliminales de charniers et de camps. Juste assez pour créer des parallèles. Le but, justement. Ce qui est d’autant plus absurde que la barbarie à l’œuvre dans la guerre civile espagnole se suffit à elle-même sans qu’il soit nécessaire d’en rajouter avec des analogies douteuses. Si l’on date à raison les vrais débuts de la seconde guerre mondiale non de 1939 mais de 1937 en référence à l’Espagne, ce n’est pas seulement en raison du bombardement de Guernica par les aviations allemande et italienne : pour l’horreur aussi ce fut une répétition générale, le génocide en moins, justement.

Paul Preston (Liverpool, 1946) le sait mieux que quiconque. Historien formé à Oxford, enseignant à la London School of Economics, spécialiste de la guerre civile, biographe de Franco et de Juan Carlos, il est un spécialiste reconnu et acclamé de l’Espagne contemporaine. Ses travaux et leur retentissement en attestent. Son dernier livre a tout d’une somme : poids d’un pavé, notes par milliers en fin de volume, cartes, chronologie, glossaire, index… N’y manque curieusement qu’une bibliographie. L’allant du récit, la plume facile de l’auteur et la richesse de ses images, font oublier non seulement sa longueur mais l’horreur permanente qui y est racontée par le menu. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : une histoire de massacres de part et d’autre gouvernée par une haine absolue et réciproque. Tout cela a déjà été écrit maintes et maintes fois par les historiens espagnols et étrangers.michael_mann_robert_capa_photo_02

Pourquoi dans ce cas l’ouvrage de Paul Preston fait-il problème à défaut de faire débat ? Par le manque de rigueur et la mauvaise foi de sa démonstration. Car il entend bien démontrer ceci et tout, du moindre fait avéré à l’interprétation plus contestable des chiffres de la comptabilité macabre, tout y est subordonné : d’un côté un camp nationaliste qui a commis exactions, meurtres, pillages, exécutions, viols, tortures ; et de l’autre un camp républicain toutes tendances confondues qui en a fait autant. La différence ? Les premiers, impulsé par Franco, ses généraux rebelles et les combattants de la Phalange l’ont fait systématiquement en vertu d’un programme d’extermination de masse rationnellement mis au point ; les seconds l’ont fait spontanément et en réaction.

Autrement dit, la droite incarne le Mal en pratique, mais lorsque la gauche s’y met à son tour, cela n’en est qu’une conséquence. L’une volontaire et déterminée, l’autre débordée. Pourtant, dans l’Espagne du début des années 30, toute la société était prise dans la spirale de la violence politique ; l’étudier de près permettrait justement de comprendre ce qui a nourri la haine fratricide qui s’ensuivit. Ce qui manque ici à supposer que Preston en ait été capable. Rendant compte du livre dans la revue l’Histoire (décembre 2017), Benoît Pellistrandi remarque avec justesse qu’à ce niveau de sauvagerie (femmes enceintes éventrées, sadisme à tous les étages, mépris des cadavres etc), ce n’est plus du ressort des historiens mais des anthropologues. Paul Preston tente bien une explication, du moins pour expliquer la barbarie nationaliste, la seule qui compte vraiment à ses yeux ; et ce faisant, il fait d’un épiphénomène bien connu une clé essentielle, ce qui en dit long sur son ethnocentrisme :

« Les leaders de la rébellion, les généraux Mola, Franco et Queipo de Llano, considéraient le prolétariat espagnol comme une race inférieure qu’il fallait subjuguer par une violence soudaine et sans compromis, au même titre que les Marocains. Ils appliquèrent donc en Espagne la terreur exemplaire qu’ils avaient apprise en Afrique du Nord, en déployant la Légion étrangère espagnole, et les mercenaires marocains de l’armée coloniale, les regulares. Ces généraux approuvaient la barbarie de leurs soldats, comme en atteste le journal de guerre tenu par Franco en 1922, qui décrit avec exaltation la façon dont les villages marocains furent détruits et leurs défenseurs décapités ».

Ah, les fameuses têtes des ennemis fièrement plantées au bout des baïonnettes pendant les passages en revue ! Comme si, dans la longue histoire du colonialisme et même avant, les occidentaux avaient eu besoin d’agir sous l’influence des autochtones arabes dans la pratique de la terreur ! Quant aux chiffres (100 000 morts au compteur des franquistes, la moitié à celui des républicains), ils ont été âprement contestés par les experts de la période. Pas sûr qu’un tel livre, qui fait fi de décennies d’avancées dans la recherche historique ou en manipule en sens unique les résultats, féconde la guerre de mémoire qui persiste aujourd’hui encore en Espagne. Il serait plutôt de nature à réactiver les polémiques non pour le meilleur mais pour le pire : l’affrontement stérile des mémoires. D’autant que la démonstration de l’auteur ne s’arrête pas à la fin de la guerre civile mais se poursuit jusqu’en 1945 avec « le terrorisme d’Etat » mis en place par le caudillo une fois parvenu au pouvoir.

N’en rajoutons pas une couche en précisant que l’essai de Paul Preston a été couronné du Prix d’histoire de la Catalogne 2011. Mais étonnons-nous tout de même de voir un livre si peu rigoureux avec les sources et leur interprétation, qui jongle imprudemment avec des termes aussi historiquement chargés qu' »holocauste », « inquisition », « extermination », et qui ferait plutôt reculer la connaissance que nous avons de la question, être publié en France dans une collection dirigée par Henry Rousso et Denis Peschanski, deux historiens français de référence sur tout ce qui a trait à la seconde guerre mondiale.

(« Civils espagnols sur les routes de l’exil vers la France » photo D.R. ; « Madrid, novembre-décembre 1936  » photo Robert Capa)

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commentaires

744 Réponses pour Espagne : la guerre n’est pas finie

la vie dans les bois dit: à

Cette série télé a au moins permis à l’époque de prendre conscience d’une histoire qui n’était pas abordée à l’école. Et je vous assure qui n’a aucun lien avec le terme Holocauste, majuscule SVP, qui restera dans toutes les consciences de ceux qu’un mot de vocabulaire ne detournera pas de l’Histoire.

Janssen J-J dit: à

Parfois je ne vous comprends pas Passou à revenir incessamment sur des faits archi connus pour épingler une thèse partiale à vos yeux (vous dites : « ethnocentrique » mais non, voyons donc !). Mais pourquoi consacrer tant de lignes à ce bouquin qui n’en vaut pas la peine ? Je ne vous comprends pas : c’est vous qui ravivez en permanence la guerre de mémoire espagnole… Un grain de sel pour alimenter le buzz chez nos aficionados de la pauvre Catalogne comédienne et martyre ? Cela dit, sans vouloir de mal, ça va nous changer de la Bretagne.

closer dit: à

Rien de surprenant Passou…C’est la haine ordinaire des anglo protestants contre l’Espagne catholique.

Ils sont à l’origine de la « leyenda negra » de l’Espagne.

C’est la gauche qui est principalement responsable de la guerre civile, avec ses tentatives d’insurrection révolutionnaire qui ont précédé le coup d’état de Franco.

Franco n’a pas su maîtriser sa victoire et a poursuivi une répression inutile. Mais en faire le seul « méchant » de l’histoire est une imposture.

Janssen J-J dit: à

Je connais bien Rousso et Peschanski…, qui ne sont pas toujours vertueux avec l’Histoire, c’est sûr, car ils ont parfois les engagements propres à l' »histoire immédiate » souvent difficilement démêlables d’avec les préoccupations du temps présent, et ne s’en cachant d’ailleurs pas. Le second se préoccupe de la mémoire des victimes des attentats du Bataclan par exemple, dans un projet pas toujours des plus convaincants : comment vont-ils se reconstruire dans l’avenir. Brefl c’est pas le sujet.
Mais de là à suggérer qu’ils se seraient peut-être laissés aller à publier la daube que vous épinglez, parce que la Catal. serait d’une actualité « commercialement porteuse », je me demande s’il n’y aurait pas là comme une manière de revanchisme indirect du journaliste sur les historiens communément passionnés par la période. J’aimerais bien me tromper.

Claudio Bahia dit: à

@ Closer
« Ils sont à l’origine de la « leyenda negra » de l’Espagne. »
C’est tout à fait vrai, mais on pourrait ajouter qu’ils se sont en partie appuyés sur les écrits d’un authentique espagnol.

DHH dit: à

je serais curieuse de savoir combien ici sont assez âgés pour comprendre que le titre choisi par Passou est un clin d(œil au film de 1965 intitulé « la guerre est finie » qui met en scene avec un personnage qui ressemble à Semprun ,incarné par Montand , la routine fonctionnarisée d’un opposant au Franquisme qui vit sa terne vie de militant en exil dans les années 60 .

Janssen J-J dit: à

Je suis pas assez âgé pour avoir compris le clin d’œil, c comme « de quoi Perros est-il le non ». Ça devient de plus en plus capilotracté pour les seuls initiés qu’arrivent à lui défriser les cheveux. Bravo : Annelise de la RDC approuve l’oreille en coin !

l'ombelle des talus dit: à

Incidemment, la grippe espagnole était-elle de droite ou était-elle de gauche ? Et combien de millions de morts causa-t-elle, chers naturalistes de l’écosystème ? Un dans chaque famille comme 14-18 ou plus encore ?

et alii dit: à

APOLLINAIRE
. Il meurt à Paris le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole, mais est déclaré mort pour la France2 en raison de son engagement durant la guerre.

Bloom dit: à

Angoissante époque où les mots ont de moins en moins de rapport avec les choses…

la vie dans les bois dit: à

Pas d’angoisse, juste de l’ennui à voir émerger ce concept de roman national, à transposer à la mode espagnole.
Qui si j’ai bien compris n’est plus qu’à écrire… avec tout ce matériau historique déjà disponible.

Je n’ai pas tout compris le billet, ni la démonstration qui est faite de l’imposture de cet essai, qui remet en cause des faits incontestables ?
Ou plutôt qui en donne une interprétation erronée , en les falsifiant ?
Interprétation biaisée de Preston, pour en arriver à une nécessaire explication, la sienne, des raisons de la guerre civile espagnole et la dictature qui s’en est suivie pendant 36 ans?

Pour une démonstration rigoureuse, le terrain de l’interprétation n’est pas le plus judicieux. En ce cens, les termes:  » autrement dit », et  » épiphénomène » n’y ont pas leur place. Sauf à vouloir imposer une autre réalité, si le but est de convaincre; mais qui, au juste ?

Bloom dit: à

Oberthur a un agenda.

L’Oberthur Sturm Führer, qui sert de guide.

(Y avait aussi l’oberthur au centre, grande ouverte, d’où le dez bouché et la brononciation embêchée)

la vie dans les bois dit: à

c’est une bataille de mots, pourvu que ce ne soit pas un essai lacanien ?

Bloom dit: à

Si l’on date à raison les vrais débuts de la seconde guerre mondiale non de 1939 mais de 1937 en référence à l’Espagne,

Et à la Chine…Sur le décentrement salutaire de la perspective européenne, cet article du NY Times, paru en octobre 2013:

« War broke out in earnest in July 1937, and during the eight years that it lasted, both the Nationalist forces of Chiang Kai-shek and, to a lesser extent, the Communist fighters answering to Mao Zedong engaged in extraordinary feats of resistance (…)At least 14 million Chinese were killed and some 80 million became refugees over the course of the war. The atrocities were many: the Rape of Nanking, in 1937, is the most notorious (…) »
http://www.nytimes.com/2013/10/18/opinion/the-worlds-wartime-debt-to-china.html

PATRICE GABET dit: à

Le qualificatif holocauste,qui est certes important pour les linguistes vétilleux,ne doit pas faire douter de la crédibilité d’une œuvre et c’est celle-ci qui a retenu l’attention des historiens qui l’adoubent.

renato dit: à

On peut dates le début de WWII au mois de novembre 1918.

radioscopie dit: à

closer dit: 29 novembre 2017 à 19 h 31 min
« C’est la gauche qui est principalement responsable de la guerre civile, avec ses tentatives d’insurrection révolutionnaire qui ont précédé le coup d’état de Franco. »

Closer a gagné un séjour au Valle de los Caídos. Il y pourra fleurir la tombe de Francisco Franco et verser quelques larmes.

Bloom dit: à

On peut dates le début de WWII au mois de novembre 1918.

On parle d’opérations militaires, pas de causes.

raymond dit: à

La guerre civile européenne commence en 1914 et finit à peu près en 1945, dit-on par chez moi (Nord de la France).

renato dit: à

« On parle d’opérations militaires, pas de causes. »

Je suis peut-être un brin limité mais pas à ce point ; reste que rappeler les causes peut donner un nouveau but aux effets.

Bloom dit: à

rappeler les causes peut donner un nouveau but aux effets.

C’est à dire?

Phil dit: à

La réécriture des histoires nationales est d’actualité depuis qu’un vent de grand remplacement doit être boucheronné par les idéologue, à l’ouvrage ce matin encore sur franculture.
Holocauste certes médiocre téléfilm comme tous les télé-films, mais le choc fut rude à l’heure du Abendbrot dans les chaumières d’outre-rhin où la famille rassemblée regardait le martyr de la Streep orchestré par des sbires qui renvoyaient aux miraculés economiques, sagement assis, leur spitting image hollywoodienne. Le résultat, entendu le lendemain des diffusions dans les cours d’école à blondinets, n’a pas été celui escompté par les producteurs qui manquaient de bonne foi comme M. Boucheron dans ses révisions prospectives de l’histoire de France.
Le titre de la notule est aussi la mise en abyme des déclarations de Semprun qui donnent le vertige à la vérité historique littellisée manière filtre.

closer dit: à

Dans l’article très long et très érudit mis en lien par de nota, l’historien Julius Ruiz décortique quelques unes des falsifications ou approximations de Preston.

Le ton des extraits cités de ce dernier est d’emblée polémique et l’on doit être inquiet du concert de louanges qui a accueilli ce livre, notamment dans le monde anglo-saxon, mais même en Espagne, de la part d’une intelligentsia ultra majoritairement contrôlée par la gauche, qui a souligné son caractère soi-disant « scientifique ».

Ces intellectuels de gauche qui ont toujours refusé, dans leur immense majorité, de faire leur auto-critique sur leur complicité avec les régimes criminels communistes (un de plus aurait sans nul doute émergé un Espagne en cas de défaite de Franco) s’agrippent à quelques mythes, comme celui de la lutte du Bien (les républicains) contre le Mal (les franquistes) pour pouvoir se regarder dans la glace…L’Espagne est un terrain rêvé pour ces gens-là. La haine de son histoire et surtout de sa religion est tétée au biberon de tout anglais qui se respecte et cette haine s’est répandue dans tout l’occident (la leyenda negra), malgré les efforts de quelques historiens pour ce rapprocher de la vérité.

Parmi ces derniers, je cite Serafin Fanjul, un homme de gauche, anti-franquiste, universitaire arabisant, qui a revisité l’Andalousie dans « Al Andalous, l’invention d’un mythe ».

L’Andalousie, l’Inquisition, et la Guerre Civile sont en effet les trois principaux domaines dans lesquels la manipulation historique fait rage.

Laura Delair dit: à

Coucou me revoilou, tout juste rentrée de Berkeley où j’ai présenté mon travail sur les sciences comportementales, j’ai obtenu mon master avec mention spéciale du jury, youpie ! le thème, inspiré par les commentaires de celui qui signe JC (il semble avoir disparu de ce blog, à ce qu’on dit) a retenu l’attention par le caractère « mythomane et pervers » du personnage et son comportement réel ou fantasmé, ce qui apparaît dans ses interventions, merci à lui, donc… vous pouvez lui transmettre mes compliments

JAZZI dit: à

Chantal, revue de presse enthousiaste sur « La villa » de Guédiguian !
http://www.lefigaro.fr/cinema/2017/11/29/03002-20171129ARTFIG00306–la-villa-robert-guediguian-embarque-presque-toute-la-critique-dans-ses-filets.php

Je serais plus réservé…
La boboïtude généralisée, qui s’abat sur Marseille, à l’égal de Barcelone ou de Lisbonne, et fait se louer à prix d’or jusqu’aux vieilles baraques des calanques sur airBNB offre désormais l’occasion à Robert Guédiguian de nous jouer, à ciel ouvert, les bonnes âmes de Méjean. Un film plein de nostalgie, où s’agite encore, à la fin, le cadavre rigidifié du communisme ! A défaut des prolétaires disparus, les bons sentiments se recyclent ici autour des nouveaux migrants. Certes, bien sympathique cette Villa-là, mais pas totalement convaincante et un poil longuette…

Laura Delair dit: à

Coucou itou au p’tit Court (de la part de mon cerveau d’amide)

Bloom dit: à

La haine de son histoire et surtout de sa religion est tétée au biberon de tout anglais qui se respecte

On se calme:

1. Les Anglais n’aiment pas grand monde sinon eux-mêmes;
2. Si haine il y a (encore aujourd’hui..!), elle a davantage pour cible les Allemands que les Espagnols;
3. L’Anglicanisme High Church n’a pas grand chose à envier au catholicisme romain;
4. Sans une tempête providentielle (an act of God?), l’Invincible Armada aurait peut-être réussi à envahir l’Angleterre en 1588, malgré Drake et Hawkins.

De grands écrivains anglais sont allés combattre aux côtés de la République espagnole, Orwell, Auden, Spender, Cornford…
Cette Espagne-là attirait les grands talents.

‘What’s your proposal? To build the just city? I will.
I agree. Or is it the suicide pact, the romantic
Death? Very well, I accept, for
I am your choice, your decision. Yes, I am Spain.’

WH Auden, ‘Spain’

Cf. The Penguin Book of Spanish Civil War Verse

Petit Rappel dit: à

Ah?,les Radclifferies et autres Lewiseries chères au Roman Gothique avec couvents à In Pace, incestes, etc ne seraient donc qu’une illusion?

Janssen J-J dit: à

@j’ai obtenu mon master avec mention spéciale du jury, youpie !

Bravo. On est toujours très heureux d’apprendre que des jeunes gens sont fiers de leurs comportements scientifiques récompensés. Ca met du baume au choeur de la rdl et contribue en principe à augmenter sa qualité générale.

Clopine Définitivement un cas à part dit: à

Il manque le mot « mot » dans la phrase : « Car enfin, s’il y a bien un XXXXX qui ne passe pas en France, du moins qui ne passe plus, c’est bien celui d’ « holocauste ».

Ca me trouble toujours ces lapsus linguae qui en disent beaucoup, sans qu’on sache exactement quoi. Oublier le mot « mot » : vous avouerez…

Ca fait penser à Artaud, lui si justement dit « le Mômo », et de la part d’un homme de lettres de l’envergure de notre hôte, ça mériterait presque une petite psychanalyse sauvage, dite « de comptoir ».

Mais je suis brayonne, et donc parfaitement capable de me retenir de raconter ce qui peut bien me passer par la tête. Silence, donc, promis, juré !

D. dit: à

de la part d’un homme de lettres de l’envergure de notre hôte

Elle se mesure en mètres qu’i faudrait rajouter, au cas où se serait mal interprété

D. dit: à

mort pour la France2

Ah non, c’est Envoyé Spécial qu’est mort pour la France2, pas Apollinaire.

D. dit: à

Berkeley c’est très surfait soit dit en passant. C’est là qu’Einstein bossait bon d’accord, mais qu’est ce qui nous prouve la constance de C, au fond, à part 2 ou 3 expériences trop vite faites. Ahem.

D. dit: à

Han plus c’était le fils d’Einstein, même pas le père. Il enseignait des problèmes de robinets. C’est dire à quel point c’est pas grand chose.
Ce qui explique pourquoi ça commence par Berk et que ça finit par heuuulé.

bouguereau dit: à

Elle se mesure en mètres qu’i faudrait rajouter, au cas où se serait mal interprété

un ptérodactile capabe d’emporte bonne clopine dans son aire a singmaringueune

bouguereau dit: à

2. Si haine il y a (encore aujourd’hui..!), elle a davantage pour cible les Allemands que les Espagnols;

pas dac..il se souvienne trés bien dla poche de dunkirk..mais contrataque en disant que les arbres le long des champs élysées etc..et que ouyam était dan..

bouguereau dit: à

La guerre d’Espagne est loin d’être finie, elle se poursuit jusqu’à Paris !

elle haussi a droit a ses goudoux ouvrières..t’es hingrat baroz

bouguereau dit: à

Dans l’article très long et très érudit mis en lien par de nota, l’historien Julius Ruiz décortique quelques unes des falsifications ou approximations de Preston

les espinguoins ceux qui kiffent le plus c’est les afrenchézado cloclo..ils les kiffent bien plus que les anglais..que même les américains qu’aiment pas trop les portoricains comme pédro

bouguereau dit: à

Les leaders de la rébellion, les généraux Mola, Franco et Queipo de Llano, considéraient le prolétariat espagnol comme une race inférieure qu’il fallait subjuguer par une violence soudaine et sans compromis, au même titre que les Marocains

ça dvait trapler nos hanculés dgénéraux en 14 lassouline..hanculés à la tripe pleine de sciure cloclo..rimenbeur cloclo..’cette race là il en restera toujours hassez’..vas tfaire crucifié au barbelée cloclo

DHH dit: à

Terrible photo qui ouvre le billet et qui ajoute à l’horreur ordinaire des images d’exode devenues helas classiques ,l’insoutenable ,le scandale absolu l’enfant, étrangère à tout cela, qui a perdu une jambe et qui ne pourra jamais vraiment sortir de l’enfer dans lequel la guerre l’a plongée et avoir une jeunesse et une vie d’adulte banalement heureuses

JAZZI dit: à

« t’es hingrat baroz »

Sans haine ni esprit de revanche, le boug. Mais il y a que je n’oublie rien.
Quand j’étais responsable du service des éditions et des insertions publicitaires de la Mairie de Paris, maintenu à ce poste à hauts risques, où l’on me faisait endosser la responsabilité administrative des directives du cabinet du Maire, j’ai demandé que l’on revoit mon statut de cadre B et le salaire y afférent, à ‘occasion du renouvellement de mon contrat de trois ans. Il me fut répondu que c’était compliqué, qu’il fallait carrément un vote du conseil de Paris ! J’ai refusé alors de signer, et fut viré sans indemnités après 23 ans d’ancienneté. Pendant ce temps-là, je voyais débarquer, dans les locaux du « Bureau des temps » (cette montagne imaginée par Anne Hidalgo, qui n’a même pas couchée d’une souris), voisins des miens, tout un tas de petits marquis encartés roses, rouges, verts, directement propulsés cadre A. Je vois que madame Hidalgo est restée fidèle à ses principes…

la vie dans les bois dit: à

Le prix Bayeux-Calvados , catégorie photo reporter de guerre a été remis cette année à A. Arkady pour un reportage en Irak.

Pat V dit: à

le scandale absolu l’enfant, étrangère à tout cela, qui a perdu une jambe et qui ne pourra jamais vraiment sortir de l’enfer dans lequel la guerre l’a plongée et avoir une jeunesse et une vie d’adulte banalement heureuses DHH.

Eh bien, on peut croire tout le contraire de ce pathos visuel historiquement daté.

luc nemeth dit: à

on peine à garder son sérieux là où à la dernière ligne le nommé Henry Rousso (oublions, son fidèle Peschanski) est présenté comme un… « historien de référence sur tout ce qui a trait à la seconde guerre mondiale » : disons plutôt qu’il aura été de tous les mensonges officiels -comme aura pu l’être la fine équipe qui émarge dans l’officine qui a pour nom ‘Institut d’Histoire du Temps Présent’.
Citer tous ces mensonges serait trop long, n’en citer qu’un serait injuste mais il en est un qui vaut d’être rappelé car c’est lui qui aura valu à l’intéressé sa notoriété.
En 1987, alors que plus que jamais les archives de la période de l’Occupation restaient fermées, non sans que de temps à autre Rousso ou autre nous assure que ces archives étaient ouvertes, dans le même temps qu’il nous expliquait… pourquoi il était bon qu’elles restent fermées, l’intéressé, décidé à pousser son avantage encore un peu plus à fond la caisse, commit un ouvrage intitulé « Le syndrome de Vichy » dans lequel, sans se démonter, il énonçait ce qui suit : « Le syndrome de Vichy est l’ensemble hétérogènes des symptômes, des manifestations, en particulier dans la vie politique, sociale et culturelle, qui révèlent l’existence du traumatisme engendré par l’Occupation, particulièrement lié aux divisions internes, traumatisme qui s’est maintenu, parfois développé, après la fin des événements ».
Bref, à l’heure où plus que jamais les archives de cette période étaient verrouillées (et ce grâce à une interprétation extensive de l’article 7 § 5 de la loi du 3 janvier 1979 sur les Archives, article qui permet de doubler le délai de communicabilité de tout dossier sensible), quiconque était désireux d’en savoir plus, et sans se gargariser du « devoir de mémoire » (comme on dit, dans les officines chargées d’organiser l’oubli officiel) se voyait soudain présenté comme atteint d’un… syndrome !
Et l’on faisait ici d’une pierre deux coups puisque a contrario ceux qui ne voulaient pas qu’on en parle se voyaient mis dans un même « sac », qui incluait :
– (1) les pouvoirs publics
– (2) les ex-pétainistes et les branches collatérales
– (3) ceux et celles qui avaient été persécutés, mais pour qui se souvenir était encore trop douloureux
Mais en France, la mauvaise marchandise a tôt fait de chasser la bonne… Et c’est ainsi qu’aujourd’hui encore une petite-bourgeoisie semi-inculte-intellectualisante aime à parler d’un air entendu, du « syndrome de Vichy », à moins qu’elle ne préfère présenter Vichy comme un « passé qui ne passe pas » -pour ici utiliser une expression que le nommé Rousso aura piquée aux révisionnistes d’Outre-Rhin…

Janssen J-J dit: à

@ qui n’a même pas couchée d’une souris
(qui n’a même pas accouché d’une souris ?)
(qui n’a même pas couché avec une souris ?)
Une montagne en mal d’enfant…, Mme Hidalg.o est-elle aussi indigne qu’on le dit, jetait une clameur si haute, et Manu Val.ls que pense-t-il de l’indépendance… que chacun, au bruit accourant…, de la Catalogne dans son Bureau des Temps, crut qu’elle accoucherait sans faute, -la guerre est-elle finie-, d’une cité aussi grosse que Madrid, Elle accouchit d’un p’tit marquis. Foutus temps présents.

D. dit: à

Cela-dit attention, il y a déjà eu des précédents avec des enfants mis en scène, encore récemment en Syrie. Ou des photos sensées correspondre à tel fait et qui en fait correspondait à toute autre chose.
D’emblée je dois me poser la question d’où sort cette photo, par qui, quand, l’enfant ne serait-il pas né sans jambe, etc.. En fait je réalise que je n’ai pas les réponses. Eh oui.

Janssen J-J dit: à

@14.12, Ce n’est vraiment pas très malin de diffamer ainsi les collègues à visage découvert quand on se prétend spécialiste de la Révolution française cherchant à terrasser les dragons (ouarf).
http://ahrf.revues.org/2130
Ca pourrait même (vous) coûter assez cher. Enfin, moi, ce que j’en dis, hum.

D. dit: à

Si, c’est un certain Robert Capa qui l’aurait prise en 36 et en Espagne.

Sergio dit: à

Majestueuse, cette photo… Surtout lorsque l’on pense que ce qui les attendait, c’est l’internement par un gouvernement frère !

D. dit: à

Vous n’imaginez pas ce que je viens de trouver sur Wikipedia. J’en suis tout tremblant :

« Capa faussaire ?
C’est pendant ce séjour en Espagne qu’il prend la photographie qui lui vaudra sa grande renommée et qui sera à l’origine du mythe Capa. Intitulée Mort d’un soldat républicain, elle représente un soldat des forces républicaines, en chemise blanche, s’effondrant après avoir été touché par une balle. Cette photo symbolise la guerre d’Espagne et reste gravée dans la mémoire collective. Néanmoins, une polémique sur l’authenticité de la photo naît à partir de 1970. Une enquête a toutefois permis de découvrir l’identité du soldat : le militant anarchiste Federico Borrell Garcia qui a bien été tué le 5 septembre 1936, le jour où Capa a pris la photo; la polémique s’arrête un temps mais elle reprend quelques décennies plus tard quand le journal catalan El Periodico affirme en juillet 2009, clichés comparatifs à l’appui, que la photo n’a pas été prise près de Cerro Muriano, mais près de la localité d’Espejo à cinquante kilomètres, endroit où il n’y avait pas de combats à la date de la prise de vue. Un argument supplémentaire à l’appui de la thèse de la fraude vient du fait que Capa a pris deux photos de soldats républicains différents à cet endroit (une des deux photos étant devenue plus célèbre que l’autre) : aux yeux de certains, la chute de deux soldats exactement au même point devant un appareil se trouvant dans la même position constituerait un hasard difficilement crédible.

Sergio dit: à

D. dit: 30 novembre 2017 à 12 h 25 min
qu’est ce qui nous prouve la constance de C

Yes ! +1 comme on dit.

Même en physique quantique c’est admis, et j’aimerais bien savoir au nom de quoi, finalement…

Delaporte dit: à

Slobodan Praljak aurait bénéficié d’un « suicide assisté ». Décidément, le TPIY nous réserve bien des surprises, et de taille. Ce n’est plus un tribunal, mais une pétaudière :

« L’enquête s’oriente sur la question du suicide assisté » et sur « la violation » de la réglementation sur les substances médicales, a précisé mercredi soir le parquet néerlandais dans un communiqué.

Sergio dit: à

luc nemeth dit: 30 novembre 2017 à 14 h 12 min

– (2) les ex-pétainistes et les branches collatérales

C’est-à-dire tout le monde à l’exception d’une infime minorité, les quatre-vingts, les gaullistes, les communistes (oui mais eux et pour cause), ne l’oublions pas…

Phil dit: à

des nouvelles de Jonathan Littel, independant from Barfelona ?

Janssen J-J dit: à

@10.15 (mastère de berk s/mer) « il semble avoir disparu de ce blog, à ce qu’on dit »
Il vous répond en bonne et due forme sur un blog circumvoisin et demande aux transfuges des blogs littéraires de vous le faire savoir ici.

Phil dit: à

dear baroz vous fûtes victime de la gestion d’invertis, pire que celle des femmes lorsqu’elles envahissent une industrie, l’édition par exemple. mesquinerie et machiavélisme rachitique à tous les étages. Delon n’est jamais meilleur que lorsqu’il est dirigé par un puissant hétérosexuel.

Delaporte dit: à

Et pourtant, la justice internationale était au départ la grande promesse de ces temps démocratiques, une nouvelle ère qui s’ouvrait pour les hommes du monde entier : la certitude d’être redevable du droit, partout et à tout moment. Ce grand idéal est en train de foirer, parce que personne n’y croit plus, à commencer par les Etats forts de la planète. Honte à eux qui méprisent cette justice, et se complaisent dans le viol de la loi à chacune de leur action. L’humanité n’en sort hélas pas grandie !

luc n. dit: à

(@Janssen J-J, du 30 novembre 2017 à 14 h 24 min)

1) je ne me prétends « spécialiste » ni de la Révolution Française, ni de… rien du tout : je me réserve d’intervenir sur tout sujet -et avec pour seul critère, « il y a ce qui est vrai, il y a ce qui est faux », sans chercher à terrasser aucun dragon…

2) libre à vous, de monter au créneau pour défendre des gens indéfendables, mais vous aurez été mal inspiré d’utiliser ici le mot : « diffamation ». Car l’histoire de la rétention des archives de la période de l’Occupation, et celle du monsieur Rousso, ne s’arrête pas tout à fait là… C’était en 1992 mais je m’en rappelle comme si c’était hier. L’ami (aujourd’hui disparu) Kurt Werner Schaechter, enfant de déportés, avait photocopié en catimini 12 000 (!) documents aux archives départementales de la Haute-Garonne et en avait transmis à la presse certains qui ne manquaient pas d’allure : il y avait notamment celui qui prouvait qu’à la fin de la guerre la SNCF avait… adressé sa facture, pour le transport du « bétail humain » -et que de Gaulle, avait ordonné de payer ! Je vous laisse imaginer la rage, dans ce petit milieu ‘IHTP’ qui avait fait de l’histoire de cette période, sa chasse gardée… Bien entendu l’ami Kurt aura surtout eu droit à de l’estime mais aussi à de la diffamation (sans guillemets), du côté du petit milieu… Et c’est ainsi que le nommé Rousso et un journaliste dont j’ai oublié le nom eurent l’infamie, dans un ouvrage ultérieur dont j’ai aussi oublié le nom, d’écrire qu’il avait photocopié ces documents GRACE A DES COMPLICITES VENALES (sic). La diffamation étant ici caractérisée, Kurt avait engagé une action à l’occasion de laquelle j’avais eu plaisir à lui fournir mon témoignage écrit, en restant sur un terrain professionnel (j’avais antérieurement occupé un poste de Conservateur d’archives à la FNSP). J’avais pris les choses à la rigolade et en rappelant simplement que celles et ceux de tout grade et qui travaillent dans les archives, lorsqu’ils décident de donner un coup de main, le font par sympathie -et non… « pour de l’argent ».

bouguereau dit: à

Autrement dit, la droite incarne le Mal en pratique, mais lorsque la gauche s’y met à son tour, cela n’en est qu’une conséquence

faut scloquer édmond burque..savoir cque vaut le rix dla liberté dlhomme et dla justice..un catholique attation

bouguereau dit: à

Majestueuse, cette photo… Surtout lorsque l’on pense que ce qui les attendait, c’est l’internement par un gouvernement frère !

l’mieux étant l’hennemi du bien qui dit serdgio..contentons nous du bien..hé houi..c’est haprés qu’on rgrette..hon a les moyens

bouguereau dit: à

est dirigé par un puissant hétérosexuel

une ‘puissante hétérosexuelle’ ça le fait haussi non d’une chienne

JAZZI dit: à

L’histoire des photos de guerre d’Espagne de Robert Capa est très connue, D., ne fait pas semblant de la découvrir !

bouguereau dit: à

Terrible photo

papate..no pun intended..y veut dire que mainant on lui mettrait un panard en nano tube de carbone et qu’elle courait le 100m en moins de 10secondes..ou une belle jambe en gel de gras de jambon de synthèse et qu’elle aurait fait le bonheur de weinstein..sapré papate

Phil dit: à

C’est plus rare en cinéma, dear Bougreau. Dorothy Arzner était une cinéaste et lesbienne considérables.
dédé répand de l’antimite en maintenant le capuchon.

JAZZI dit: à

« une ‘puissante hétérosexuelle’ »

ça existe, le boug ? Ne sont-elles pas toutes des lesbiennes en puissance ?

bouguereau dit: à

et avoir une jeunesse et une vie d’adulte banalement heureuses

..banalment..tu veux suggérer quune carrière de hardeuse était pas henvisageabe?..et bien..harchi faux! qu’elle aurait dit bonne clopine

bouguereau dit: à

ça existe, le boug ?

je n’en ai haucun doute baroz..hévidemment..n’oublie jamais que le rire est haussi trés souvent le meilleur marqueur de limpuissance

JAZZI dit: à

Vous oubliez le petit garçon, derrière, sur la photo. Lui aussi a une béquille !

bouguereau dit: à

dédé répand de l’antimite en maintenant le capuchon

dédé y croit que c’est le rituel qui opère..et souvent il a bon

bouguereau dit: à

Vous oubliez le petit garçon, derrière, sur la photo. Lui aussi a une béquille !

sapré baroz..t’as l’oeil..grosse malheur la guerre

JAZZI dit: à

« le rire est haussi trés souvent le meilleur marqueur de limpuissance »

Quel rapport avec l’hétérosexualité féminine ou le lesbianisme, le boug ?

bouguereau dit: à

Dorothy Arzner était une cinéaste et lesbienne considérables

certe phil y’a le ricard et le porc comme parangon..mais il y a haussi de forte poitrine

bouguereau dit: à

l’hétérosexualité féminine ou le lesbianisme, le boug ?

que cette hinterprétation te reste à jamais sur la conscience baroz..je parlais de la femme puissante.. »nous sommes sous ses jupons » quils disaient du temps des cathédrals

JAZZI dit: à

Oui, Phil, mais Leni Riefenstahl avait un faible, elle, pour le Peul aux longs membres !

Delaporte dit: à

Les propositions publicitaires indécentes se multiplient après l’annonce du mariage du prince Harry :

« Le ministre australien du Tourisme a vanté sans retenue dans un courrier les atouts de son pays dans l’espoir d’attirer le prince Harry pour l’enterrement de sa vie de garçon ou sa lune de miel après son mariage avec l’actrice américaine Meghan Markle. »

Phil dit: à

c’est simplement le triomphe de la volonté, dear Baroz

Sergio dit: à

Ainsi de celui de Paul Preston Une guerre d’extermination. Espagne 1936-1945 (The Spanish Holocaust, traduit de l’anglais par Laurent Bury et Patrick Hersant, 890 pages, 29,90 euros, Belin, 2016)

Help ! j’ai toujours du mal avec ces indications : S’agit-il de deux titres différents :

1) une guerre d’extermination ;

2) Espagne 1936-1945, qui est la traduction de The spanish holocaust ?

Ou me trompé-je dans l’oeil jusqu’à l’omoplate ?

Thank’s for advance !

bouguereau dit: à

ce n’est plus du ressort des historiens mais des anthropologues

c’est tout comme réparer les clims qu’il dit cloclo..

bouguereau dit: à

« L’enquête s’oriente sur la question du suicide assisté »

suspension de séance dlalourde..tu vas voir comment qu’ça va chier quand qu’y sra réintroduit par hanubisse

Phil dit: à

le sac à main remplace le slip, baroz, les ethnologues financés par lagerfeld confirmeront.

bouguereau dit: à

ils recherchent une femme ou un mari ?

leur clim est en panne baroz..hassez de smoquer

bouguereau dit: à

« L’enquête s’oriente sur la question du suicide assisté »

suspension de séance dlalourde..tu vas voir comment qu’ça va chyer quand qu’y sra réintroduit par hanubisse

bouguereau dit: à

les ethnologues financés par lagerfeld

vontraub il aurait dit qu’y havaient pas bsoin de grand col de tartarin dans lmystral pour scacher les plis du cou

Delaporte dit: à

Quand une risible feuille de chou comme Le Point fait le bilan du TPIY, hélas sans avoir totalement tort :

« C’est sur cette image dramatique que le TPIY va fermer ses portes après presque un quart de siècle consacré à juger ceux qui ont commis les pires atrocités en Europe depuis la Seconde guerre mondiale. Et le rideau s’est baissé dans la salle d’audience, devenue « scène de crime ». » Le Point

D. dit: à

l’internement par un gouvernement frère !

Un état sœur, quoi ?

D. dit: à

Et s’il s’agit de savoir si on peut plaisanter avec tout la réponse est certainement pas.

Bloom dit: à

Cette photo, « terrible » comme le remarque très justement DHH, m’évoque le dernier vers du poème de John Cornford, « Full Moon At Tierz: Before The Storming Of Huesca »

« We are the future. The last fight let us face. »

D. dit: à

le petit garçon, derrière, sur la photo. Lui aussi a une béquille !

…ce qui me fait penser soit à une tare congénitale, soit au glyphosate.

Janssen J-J dit: à

@14.54 Monsieur Nemeth, cher monsieur, je n’ai point voulu vous offenser, juste vous mettre en garde. Votre éclairage sur une affaire que j’ignorais, pour étonnant qu’il me paraisse, explique assez votre réactin courroucée qui n’est plus réductible à de l’imprudence, mais une riposte assumée face à une ancienne accusation de diffamation. Il ne vous arrivera rien. Quoiqu’il en soit, on aimerait avoir la version des intéressés sur l’affaire évoquée, mais je doute qu’ils vous lisent ici. La RDL pourrait enquêter à ce sujet, ça m’a tout l’air de ressembler à un polar des temps obscurs avec de vrais personnages. Bien à vous.

D. dit: à

Tu vas enfin cesser Delaporte, de faire du Harry cover ?

D. dit: à

Les premiers bombardements des positions républicaines ayant eu lieu à partir de la mi-août 36, il est vraisemblable que ces enfants aient pu être sur pied et béquille en novembre.

Janssen J-J dit: à

@14.54 Excusez-moi d’insister, monsieur Luc Nemeth. Vous faites allusion à « Vichy un passé qui ne passe pas » écrit avec Eric Conan, dans un chapitre cosacré à l’enjue des archives de cette période. Et dans un livre ultérieur d’entretiens avec Philippe Petit, « la hantise du passé », Rousso s’explique à nouveau sur les raisons pour lesquelles les archives suscitent un enjeu de débat public alimenté par certains médias, tellement passionné.
Je reste simplement surpris par votre attitude comme « conservateur d’archives à la FNSP » rendant compte avec le plus parfait naturel d’une activité consistant à photocopiller illégalement 12000 documents dans des archives départementales, sans rien trouver à y redire, parce que c’était pour la bonne cause. La portée de votre aigreur à l’encontre de l’IHTP, qualifié « d’officine », discrédite assez singulièrement votre témoignage d’amitié, convenez-en un brin.

luc n. dit: à

Janssen J-J merci de votre réponse (oublions l’IHTP et revenons-en à cet article)

un des meilleurs articles à propos de l’impropriété du terme ‘Holocauste’ est sans doute celui publié en juin 1977 par Claude Lanzmann dans les ‘Temps modernes’, à l’époque du succès de la série TV américaine du même nom ; il avait pour titre : « De l’Holocauste à ‘Holocauste’ ou Comment s’en débarrasser ». Et il montrait bien comment ce terme, avec tout ce qu’il implique de sacralisation, aboutit à éluder les tentatives d’explication.
Or curieusement c’est -à son insu, on veut bien le croire- à peu de choses près ce qu’a fait Lanzmann avec le mot : ‘Shoah’.
J’ai souvenir de l’avoir entendu expliquer devant le public d’un cinéma avenue de Clichy (où il s’était gentiment déplacé pour commenter une rediffusion du film) que lorsqu’il avait choisi ce mot comme titre pour son film il n’en savait pas même la signification exacte en hébreu. Et je ne me permettrais pas de suspecter sa bonne foi sur ce point, quels que soient mes désaccords avec l’évolution politique ultérieure des TM…
Mais un titre pour un film est une chose : un « concept » en est une autre. Et pour ma part je suis totalement opposé à l’utilisation du mot ‘Shoah’ dans le cadre du débat historien. J’ajoute que mon père, qui avait perdu les siens à Auschwitz, se refusait à utiliser le mot ‘Holocauste’. A la fois, à cause de la religiosité dont il est chargé et aussi par respect envers les victimes de toute origine, de la barbarie, même s’il savait que les juifs avaient éminemment constitué le plus grand nombre

Delaporte dit: à

« Tu vas enfin cesser Delaporte, de faire du Harry cover ? »

C’est l’événement people du moment, je ne vois pas pourquoi je le censurerais. C’est un jeune couple qui va faire beaucoup parler de lui. On peut faire confiance aux deux tourtereaux, avant le mariage, pendant le mariage, et après avec le divorce dans quelques années. Car ce devrait aller assez rapidement, vu leur tempérament fougueux à tous les deux.

Bloom dit: à

Christiane, si vous en avez l’envie et le temps, sur le bombardement de Guernica & l’oeuvre de Picasso, une bonne émission récente de la BBC (passer la pub)
https://www.youtube.com/watch?v=lUW8GyL0Acw
Nationalisme, fascisme & nazisme, mélange hautement volatile.

Bloom dit: à

Luc.n., toujours utile les contradictions de Lanzmann, qui est un spécialiste du genre. Après tout, n’avait-il pas choisi comme sujet de DES de philos, « Les possibles et les incompossibles chez Leibniz »?

christiane dit: à

@Bloom dit: 30 novembre 2017 à 16 h 49 min
Ah merci, je l’écoute de suite.

luc n. dit: à

(Janssen J-J ma réponse a croisé votre commentaire de 16h39, auquel je réponds plus brièvement)

oui, j’approuve intégralement ce qu’avait fait l’ami Kurt, qui s’est comporté en bienfaiteur de la recherche. Et attendez c’est pas tout, j’en ai moi-même fait autant -avec un nombre plus limité de documents, malheureusement.
C’était aux Archives nationales, alors encore installées au CARAN à Paris. A côté de moi était assise une thésarde dont je me rappelle même le nom, Laurence Apfelbaum, et qui travaillait sur : « La définition du juif ». La pauvre était désespérée : la dérogation qu’elle avait été obligée de solliciter pour pouvoir consulter la série AJ38 = Commissariat Général aux Questions Juives (serait-ce que ces papiers menaçainet encore la sûreté de l’Etat ? la Défense nationale ? la vie privée ?) était assortie d’une… interdiction de photocopies. L’ennui est que, vu ce qui l’amenait : c’eut été dommage, avouez-le, qu’elle ne dispose pas de la photocopie de ces édifiants graphiques par lesquels le CGQJ appliquait aux bipèdes les lois de Mendel et s’interrogeait sur le point de savoir s’il faudra considérer comme juif, ou non-juif, le fruit du croisement d’un 1/4, 1/2 ou 3/4 juif avec une 1/4, 1/2, ou 3/4 juive…
Crapoto basta, a dit un jour une publicité. Bref je me suis installé à une table à côté de cette dame, j’ai commandé pour moi-même un carton de documents, j’ai demandé à aller faire des photocopies et comme vous l’aurez déjà compris j’ai avant de quitter ma place discrètement intercalé dans le lot, ce qui pouvait intéresser cette charmante dame

luc n. dit: à

Bloom dit: 30 novembre 2017 à 16 h 57 min

Luc.n., toujours utile les contradictions de Lanzmann, qui est un spécialiste du genre.

* * * *

on est bien d’accord : même que, il y en a une qui m’est restée en travers de la gorge. Lorsqu’en 2008 un romancier a consacré au résistant polonais Jan Karski un ouvrage qui se présentait clairement comme une fiction, Lanzmann est monté sur ses grands chevaux au motif que l’auteur avait osé décrire un Roosevelt en train de mastiquer son chewing-gum et de regarder les jambes de la secrétaire, pendant que Karski lui confirmait l’extermination en cours des juifs d’Europe. Mais : on se doute bien que le romancier n’était pas là, en 1942, sous le canapé… En fait ce que Lanzmann, dans son virage atlantiste où on se demande où il s’arrêtera, reprochait à ce romancier était d’avoir rappelé l’existence de ce que David S. Wyman (auteur dont le seul nom provoque des convulsions chez le nommé Delpla) a qualifié de ‘Abandonment of the Jews’ : phénomène que… Lanzmann lui-même, dix ans plus tôt, n’avait pas de mots assez durs pour dénoncer !

la vie dans les bois dit: à

Pour être déjà intervenu dans les commentaires de ce blog, il me semble que M.Henry Rousso a laissé un cuisant souvenir à quelque historien. Mais maintenant la charge portée contre lui dans les commentaires de ce fil s’apparentent a des pratiques d’un julian Assange des archives.

la vie dans les bois dit: à

la charge s’apparente, etc, le reste inchangé.

la vie dans les bois dit: à

La théorie du complot, « on nous cache tout, on nous dit rien », c’est très à la mode. Très à « l’ordre du jour », quoi.

Jean Langoncet dit: à

@harry cover

préfère le haricot beurre vapeur

Janssen J-J dit: à

@16.43, je vous avoue en avoir plus gros sur la patate avec Lanzman qu’avec le pauvre Henry Rousso (interdit de débarquer aux States sous Trump), car si l’enjeu de la discussion est de comparer leurs turpitudes respectives, nous sommes bien d’accord, y’a pas photo. Que, par ailleurs, vous ayez commis vous-même quelque acte déviant par esprit chevaleresque plaidereait alors en votre honneur.
Cela dit, puisque vous réfutez autant les termes d’Holocauste que de Shoah, de quel syntagme plus neutre qualifiez-vous le monstruosité indépassable de notre temps ?

Pablo75 dit: à

Closer a raison: c’est la gauche espagnole qui a sabordé la Segunda República. Il suffit de lire le « Journal » de Azaña pour s’en rendre compte. Stalin voulait l’Espagne encore plus que Mussolini et Hitler.

L’historien Antony Beevor, auteur de « La guerra civil española » et de plusieurs livres sur la Deuxième guerre mondiale, a écrit: « La guerre civile espagnole est la seule exception au fait que l’histoire est écrite par les vainqueurs. Dans le cas espagnol elle a été écrite par les vaincus ». Et Paul Preston, étant de gauche, a la vision de l’Espagne des vaincus.

Preston est un historien très discuté en Espagne. Même Antonio Muñoz Molina, qui est de gauche et qui connaît très bien le thème pour avoir beaucoup lu et écrit sur lui, pense que Preston exagère: « Paul Preston es un gran historiador, y la represión franquista tras la guerra civil fue espantosa, pero no es serio hablar del “Holocausto español”.  »

http://antoniomuñozmolina.es/2013/12/las-comparaciones/

Dans la même page, l’un des commentateurs les plus intéressants de ce blog cite une interview avec Preston à propos du mot « holocausto »:

« P. ¿Considera que el título de su libro puede llegar a ser controvertido?
P. P. No he pretendido demostrar que lo que sucedió en España fuese idéntico al holocausto sufrido por los judíos. Para ello hay que tener en cuenta lo que significa la palabra ‘holocausto’, que viene del griego Holos / Kaustos, que en su origen significaba algo completamente quemado y que posteriormente pasó a significar sacrificio en el latín Holocaustum. De ahí vendrá la palabra española ‘holocausto’ y la inglesa holocaust. Estas dos palabras a partir del siglo XVI se utilizarán para describir una gran matanza de personas, sin especificar números. A lo largo de los siglos se ha aplicado a montones de matanzas y hay muchos historiadores judíos a los que no les gusta la palabra ‘holocausto’ por sus connotaciones de sacrificio, ya que consideran que lo que les pasó a los judíos no fue un acto de sacrificio a Dios sino de maldad por parte de los nazis y, por tanto, prefieren muchos de estos historiadores utilizar la palabra hebrea Soáh, que significa gran calamidad. Yo creo que lo que pasó a los españoles de ambos bandos durante la Guerra Civil fue una gran calamidad y merece la utilización de la palabra ‘holocausto’, y si alguien me puede mostrar una palabra más adecuada, estoy aquí para escuchar. Pero quien piense que da igual lo que le pasó a los españoles, que no importa, que no era terrible y que eso no fue un holocausto, para mí es una persona insensata e insensible. »

Dans une autre intervention, le même commentateur écrit à propos du même mot:

« Malaquías
09/12/2013
Me he puesto a rastrear el uso de la palabra “Holocausto” para referirse exclusivamente al holocausto judío. He encontrado cosas curiosas gracias al Google Ngram Viewer, esa herramienta de google que te ofrece estadísticas sobre el uso de una o varias palabras a lo largo de los años. Resulta que tanto en inglés como en hebreo (????, según el traductor de google) el uso de la palabra “holocausto” se dispara a partir de los años sesenta (y no justo después de la guerra, como yo esperaba). Sorprendido por las estadísticas del Ngram Viewer, me he puesto a rastrear más a fondo y parece ser que lo que puso de moda esta palabra para hablar de la Shoah fue: 1) el juicio de Eichman; 2) el hecho de que Golda Meir la utilizase en su autobiografía; y 3) una serie de televisión titulada “Holocaust” de la que no tenía conocimiento. »

Pablo75 dit: à

La preuve que Preston n’est pas un historien objectif (ou alors il connaît très mal l’Allemagne nazi):

« Paul Preston: ‘Franco es comparable con Hitler’.

….Creo que si comparamos lo comparable, es decir, Hitler de 1933 a 1940 y Franco de 1936 a 1943, o sea, dejando de lado lo que pasó durante la Segunda Guerra Mundial fuera de Alemania, yo diría que en el tratamiento de sus conciudadanos Francisco Franco es comparable con Adolf Hitler. »

http://www.elmundo.es/cronica/2015/11/09/563cefd622601d073e8b465c.html

bérénice dit: à

Sinon ,MrTrump officiellement souhaite que son homologue chinois bouche le pipe-line et qu’ainsi Mr Kim investisse ailleurs qu’au perfectionnement de missiles inter continentaux, la Chine aimerait de son côté pouvoir reprendre les négociations pour que cessent les chinoiseries inquiétantes et nord coréennes.

bérénice dit: à

L’officier qui s’est suicidé hier au tribunal n’avait plus que six mois à purger, treize années de prison ouvraient à une remise de peine . Philosophe, économiste, bref intellectuel pour finir officier puis jugé coupable . Le nationalisme conduit à des choix qui laissent perplexes.

bouguereau dit: à

Holocauste que de Shoah, de quel syntagme plus neutre qualifiez-vous le monstruosité indépassable de notre temps ?

total du finish c’est pour ça que vontraub parlait de la solution phinale..ça c’était un commentateur de blog dirait bonne clopine..havec une grosse noueuse..puissante pis tout

bouguereau dit: à

« La guerre civile espagnole est la seule exception au fait que l’histoire est écrite par les vainqueurs. Dans le cas espagnol elle a été écrite par les vaincus »

c’est bien des propos d’afrenchézado dmes couilles dirait lassouline..au finish..surtout

bouguereau dit: à

préfère le haricot beurre vapeur

havec un tibone et une grosse saucière de béarnaise..pour mette de la couleur..c’est la mode..faut sacrifier aux temps

bouguereau dit: à

bon les gars..pour huberizer dracul..faudrait que pédro y morde plus..grgr..là..c’est mou..si si..c’est mou

bouguereau dit: à

Francisco Franco es comparable con Adolf Hitler

..de loin havec des chaussettes tricotée main à pompon dans une forét de sapin..tu sors ton fusil pédro..dis pas l’contraire

bouguereau dit: à

j’ai avant de quitter ma place discrètement intercalé dans le lot, ce qui pouvait intéresser cette charmante dame

..ha hon voit lgenre..sans moutarde jespère..j’ai horreur dla moutarde haurait dit bonne clopine

Jean Langoncet dit: à

@pour mette de la couleur..

à ce propos, cuisson du haricot vert plutôt dans l’eau bouillante qu’a la vapeur afin qu’il conserve un beau vert éclatant

bouguereau dit: à

havec du bicarbonate en boivant une stout..comme à london

Jean Langoncet dit: à

lardon calling

Janssen J-J dit: à

@18.44, On n’y arrivera jamais. Hurban c’est de l’hébreu, et si on cause français, ça donne « catastrophe », (un peu fade) ; si on cause gwg revu par bougr’ ça donne « solution finale » (mais enfin ça fait nazi à la conf. de wannsee), et le vont dire que les deux sont un peu trop euphémisés. Moi je veux bien dire comme RH, « destruction des juifs d’Europe », qui n’implique pas la banalité du mal (au moins ça), mais c’est bien trop long…
Donc je sais pas…, on est piégés de toutes parts, et pourtant il faut bien riposter aux négationnistes qui vous continuer à nous le faire dans « le détail ». Et dieu sait pourtant que je voulais pas aller au point Goodwin de la discussion sur l’Espagne, mais c fatal à la Rdl : c’est la fot’à passoul, moi je dis, cqfd.

la vie dans les bois dit: à

« le terme Holocauste, majuscule SVP, qui restera dans toutes les consciences de ceux qu’un mot de vocabulaire ne detournera pas de l’Histoire. » Moi

y’en a qui voudraient peut-être qu’on rajoute ce qualificatif unique aussi dans l’histoire: nazi.
Holocauste nazi ?

closer dit: à

Le Journal de Gabriel Matzneff (81 ans) vu par lui-même:

« J’y relate ma vie amoureuse avec impudeur, mais ce qui importe, c’est moins mes coucheries (aujourd’hui , tout le monde couche, le sexe est omniprésent dans les livres, au cinéma, c’est la banalité même) que la description que je fais des très jeunes filles lorsqu’elles tombent amoureuses , aiment, rompent. De ce point de vue , mes carnets noirs, somme d’observations sur les adolescentes, sont un document unique , sans pareil. Cela ne signifie pas que mon journal soit plus intéressant qu’un autre…. »

closer dit: à

Une autre lampée:

« Je suis un de ces animaux rares. La jeune Moabite est l’ adolescente qui se couche aux pieds du vieux Booz dans le poème d’Hugo. C’est un des plus sublimes poèmes de la langue française . Un soir, à Paris , je lus ces vers à une jeune hypokhâgneuse rencontrée quelques mois plus tôt à Strasbourg . Et, comme elle était de soixante ans ma cadette, quand nous devînmes amants, ce titre s’imposa à moi… »

JAZZI dit: à

Christiane est revenue ! La parjure !

Chaloux dit: à

Booz endormi, c’est tellement beau que parfois la voix de celui qui le dit, submergé, se brise dans les derniers vers. J’ai entendu ça, un souvenir magnifique.

Pablo75 dit: à

« Espontáneos »

[…]

« La técnica del lavado de cerebro es especialmente grata a algunos historiadores. Son gente de mucho aparato, crítico y bibliográfico, y taponan la porosa materia del olvido con cuatro documentos, varias interpretaciones y un par de consignas o ideas preconcebidas. Lo venden como “memoria” y les funciona. Tal es el caso de Paul Preston, historiador al que suelen anudarse, como las latas en los coches de algunos recién casados, epítetos cascabeleros del estilo de “prestigioso” o “acreditado”. En su último libro, El holocausto español: odio y exterminio en la guerra civil y después (me fascina ese lazo final), tiene el descaro de sostener que la represión republicana fue una reacción espontánea difícil de concebir sin la sublevación militar. »

http://www.jotdown.es/2011/12/espontaneos/

la vie dans les bois dit: à

Pourquoi closer se sent-il obligé de relayer une auto-hagiographie d’un pédophile sur ce billet ? Il est cocké?

Janssen J-J dit: à

ben voilà, c’est ça : l’Holocauste nazi.

Chaloux dit: à

En matière d’histoire, la guerre n’est jamais finie. Elle est même sans cesse renaissante. De ce côté-ci des Pyrénées, il suffit de voir comment certain historien vous arrange La Terreur et Robespierre.

bouguereau dit: à

cloclo pleure sur les 2 trois poupée gonflabe qu’il a chiffonné et meurtri..tiens nous éloigné de tes gueunons tarzoune

bouguereau dit: à

Et, comme elle était de soixante ans ma cadette, quand nous devînmes amants, ce titre s’imposa à moi…

lui c’est pas boz c’est beuzz cloclo

bouguereau dit: à

« solution finale » (mais enfin ça fait nazi à la conf. de wannsee)

n’est ce point cela et n’appel t’on pas un lieu..une hidée qui vient..daprés un premier qui l’a nommé..le reste est simagré

christiane dit: à

Lvdb et chaloux, un message pour vous sur le fil précédent.

closer dit: à

lvdb, je trouve le cas de Matzneff presque pathologique et digne d’intérêt pour cela même. Son obsession d’exhiber des conquêtes juvéniles à 80 ans est pathétique. Sans vouloir « faire du Christiane », on peut supposer chez lui un immense vide, un trou béant, dans lequel il s’efforce de ne pas tomber en s’accrochant à sa b… tant qu’elle sera rigide.

Ceci dit il a une excellent plume, très agréable à lire.

bouguereau dit: à

Ceci dit il a une excellent plume

ça va bien cloclo..un peu de tenu

bouguereau dit: à

mon larbin ficelé havec les femmes nues dans la caves à lassouline..ma mère de ma mère..hon arrête pas le progré inclusif..

bouguereau dit: à

bon je vais lire ovide..en entrelardant d’horace je l’avoue sans honte haucune

JAZZI dit: à

« bon je vais lire ovide..en entrelardant d’horace »

Il y a des scènes pédérastiques, le boug ?
Avec des vieux à gode-ceintures !
ça va pas plaire à tout le monde…

Petit Rappel dit: à

« pendant qu’il sommeillait, Ruth, une Moabite,
Etait couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Espérant on ne sait quel rayon inconnu,
Quand viendrait du Soleil la lumière subite »

En l’état actuel, un tel texte nous vaudrait les ligues de Moralité à la Delaporte sur le dos…

Chaloux dit: à

christiane dit: 30 novembre 2017 à 21 h 24 min

Lu et répondu.

Claudio F. dit: à

La Mairie de Madrid essaie de préserver de la destruction la maison qui apparaît dans la photo de Robert Capa qui apparaît ici. Elle voudrait qu’elle devienne un symbole de la mémoire de l’Espagne. Elle se trouve dans le quartier périphérique de Vallecas. En effet, les quartiers populaires de Tetuán, Vallecas, Entrevías furent particulièrement bombardés par les Franquistes pendant la Guerre Civile.

Delaporte dit: à

« En l’état actuel, un tel texte nous vaudrait les ligues de Moralité à la Delaporte sur le dos… »

C’est un très beau texte, et j’apprécie la rime avec « Moabite », qui n’était pas évidente à trouver…

Delaporte dit: à

Autant donner tout le poème :

Booz endormi

Booz s’était couché de fatigue accablé ;
Il avait tout le jour travaillé dans son aire ;
Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ;
Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé.

Ce vieillard possédait des champs de blés et d’orge ;
Il était, quoique riche, à la justice enclin ;
Il n’avait pas de fange en l’eau de son moulin ;
Il n’avait pas d’enfer dans le feu de sa forge.

Sa barbe était d’argent comme un ruisseau d’avril.
Sa gerbe n’était point avare ni haineuse ;
Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse :
– Laissez tomber exprès des épis, disait-il.

Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques,
Vêtu de probité candide et de lin blanc ;
Et, toujours du côté des pauvres ruisselant,
Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques.

Booz était bon maître et fidèle parent ;
Il était généreux, quoiqu’il fût économe ;
Les femmes regardaient Booz plus qu’un jeune homme,
Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand.

Le vieillard, qui revient vers la source première,
Entre aux jours éternels et sort des jours changeants ;
Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens,
Mais dans l’oeil du vieillard on voit de la lumière.

Donc, Booz dans la nuit dormait parmi les siens ;
Près des meules, qu’on eût prises pour des décombres,
Les moissonneurs couchés faisaient des groupes sombres ;
Et ceci se passait dans des temps très anciens.

Les tribus d’Israël avaient pour chef un juge ;
La terre, où l’homme errait sous la tente, inquiet
Des empreintes de pieds de géants qu’il voyait,
Etait mouillée encore et molle du déluge.

Comme dormait Jacob, comme dormait Judith,
Booz, les yeux fermés, gisait sous la feuillée ;
Or, la porte du ciel s’étant entre-bâillée
Au-dessus de sa tête, un songe en descendit.

Et ce songe était tel, que Booz vit un chêne
Qui, sorti de son ventre, allait jusqu’au ciel bleu ;
Une race y montait comme une longue chaîne ;
Un roi chantait en bas, en haut mourait un dieu.

Et Booz murmurait avec la voix de l’âme :
 » Comment se pourrait-il que de moi ceci vînt ?
Le chiffre de mes ans a passé quatre-vingt,
Et je n’ai pas de fils, et je n’ai plus de femme.

 » Voilà longtemps que celle avec qui j’ai dormi,
O Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ;
Et nous sommes encor tout mêlés l’un à l’autre,
Elle à demi vivante et moi mort à demi.

 » Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ?
Comment se pourrait-il que j’eusse des enfants ?
Quand on est jeune, on a des matins triomphants ;
Le jour sort de la nuit comme d’une victoire ;

Mais vieux, on tremble ainsi qu’à l’hiver le bouleau ;
Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe,
Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,
Comme un boeuf ayant soif penche son front vers l’eau.  »

Ainsi parlait Booz dans le rêve et l’extase,
Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ;
Le cèdre ne sent pas une rose à sa base,
Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.

Pendant qu’il sommeillait, Ruth, une moabite,
S’était couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Espérant on ne sait quel rayon inconnu,
Quand viendrait du réveil la lumière subite.

Booz ne savait point qu’une femme était là,
Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d’elle.
Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèle ;
Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.

L’ombre était nuptiale, auguste et solennelle ;
Les anges y volaient sans doute obscurément,
Car on voyait passer dans la nuit, par moment,
Quelque chose de bleu qui paraissait une aile.

La respiration de Booz qui dormait
Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse.
On était dans le mois où la nature est douce,
Les collines ayant des lys sur leur sommet.

Ruth songeait et Booz dormait ; l’herbe était noire ;
Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ;
Une immense bonté tombait du firmament ;
C’était l’heure tranquille où les lions vont boire.

Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ;
Les astres émaillaient le ciel profond et sombre ;
Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l’ombre
Brillait à l’occident, et Ruth se demandait,

Immobile, ouvrant l’oeil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu, quel moissonneur de l’éternel été,
Avait, en s’en allant, négligemment jeté
Cette faucille d’or dans le champ des étoiles.

Jean Langoncet dit: à

@boozefighters

« The problem with these people is, their houses were never bombed and their mothers were never told to shut the fuck up. »

la vie dans les bois dit: à

@21h33, moi je ne lui trouve pas d’excuse, « pathologique » à ce multi-récidiviste.
Alors comme on l’a déjà dit, l’usage de la langue française, le bel usage, n’est pas un droit réservé. Elle est souvent un moyen nécessaire pour des criminels, sexuels, vous noterez.

Delaporte dit: à

Mauvaises audiences pour Meghan Markle. Son mariage avec Harry, une reconversion forcée ?

« En France, les cinq premières saisons de « Suits, avocats sur mesure », sont disponibles sur Netflix. La série judiciaire avait été déprogrammée de France 4 en 2015, en raison de mauvaises audiences. »

la vie dans les bois dit: à

En revanche closer, la question- double- reste entière. Pourquoi sur ce billet et cocké, ou pas ?

Delaporte dit: à

Le problème avec l’éternel Matzneff (81 ans) est que dans ses livres il ressasse toujours la même chose, une même obsession pour la pédophilie qui vire à la manie. C’est bien écrit, peut-être, mais c’est sans intérêt depuis fort longtemps. Cet adepte du suicide a suicidé toute possibilité littéraire en lui – peut-être par manque de talent. On s’en rend compte aujourd’hui, pour ceux qui n’étaient pas au courant, ses très rares lecteurs…

JAZZI dit: à

« Autant donner tout le poème »

L’usage veut qu’il soit accompagné du nom de son auteur, Delaporte !

Jean Langoncet dit: à

convoquer les gros esprits tourmentés du XIXème ne remplit-il plus de soupe nos assiettes creuses en faience ébréchée d’autrefois, ni ne fait plus tourner nos tables de bridge vermoulues ?

chocolat jesus
https://www.youtube.com/watch?v=m5kHx1itU8c

JAZZI dit: à

A ma connaissance, Gabriel Matzneff n’a violé personne. Ses jeunes partenaires consentants avaient-il plus ou moins de 15 ans ?

Jean Langoncet dit: à

@JAZZI dit: 30 novembre 2017 à 23 h 48 min
A ma connaissance, Gabriel Matzneff n’a violé personne. Ses jeunes partenaires consentants avaient-il plus ou moins de 15 ans ?

Posez donc la question à la si fine Denise Bombardier dont les diatribes ont été évoquées il y a peu sur la RDC

Et la bande son continue de défiler
https://www.youtube.com/watch?v=EtLVXBqfqBY

Jean Langoncet dit: à

@ballets roses et ballets bleus

vous ne faites pas bien de vous accrocher, vous aurez encore mauvaise mine au déjeuner

christiane dit: à

@JAZZI dit: 30 novembre 2017 à 20 h 36 min
Pas de parjure puisque l’espace avait été… assaini par la modération et que les commentaires de DHH et de Xlew rayaient en quelques mots la médiocrité de certain (qui poursuivant, haletant, les blogs où je m’exprimais se pensait, cette nuit, poursuivi. Oh, l’orgueilleux que voilà, surestimant sa pauvre banalité…). Un vrai Tex Avery.
Quant à J.L. il retrouve cette nuit le ton d’un blog très controversé… Soutien entre pairs échangeant leur fiel ? On est loin du J.L. des confidences…
Vanitas vanitatum et omnia vanitas .

Delaporte dit: à

L’étau judiciaire se resserre contre Weinstein. De tous côtés, les accusations nouvelles continuent de fuser… jusqu’au « trafic sexuel », qualification juridique particulièrement infamante et infâme, qui permettra de poursuivre le gros mogul pour des agissements perpétrés dans des pays étrangers :

« Ce lundi 27 novembre, une plainte a été déposée par Kardian Noble. Cette actrice accuse le magnat , son frère Bob et leur maison de production de «trafic sexuel» à Cannes. »

Delaporte dit: à

« A ma connaissance, Gabriel Matzneff n’a violé personne. Ses jeunes partenaires consentants avaient-il plus ou moins de 15 ans ? »

Il n’est que de lire ses journaux intimes, qui sont autant d’auto-réquisitoires contre lui-même. La plupart de ses conquêtes avaient moins de quatorze ans, y compris les petits prostitués aux Philippines. Il l’a écrit lui-même. Aujourd’hui, sans la prescription, il serait mûr pour la plus abjecte des prisons, là où l’on met ce genre de malades. Il a beau enjolivé ses « conquêtes », dire qu’il n’a jamais violé, les faits sont là, et terribles. Sa fin sera comme celle de Dorian Gray : innommable.

Delaporte dit: à

Une presse française bien optimiste qui juge que :

« Avec ce mariage, Harry se range des voitures et ce faisant, se rachète une conduite: la famille royale a le bon sens de sauter sur l’occasion pour se réjouir et espérer que sa relation avec le peuple repartira sur de bonnes bases… »

C’est sans doute compter sans la suite, qui pourrait être un divorce dans un délai plus ou moins rapide. L’histoire d’amour de Harry et Meghan passera par tous les stades dramatiques d’une passion amoureuse plutôt incongrue dans ce milieu…

la vie dans les bois dit: à

à propos des lois mémorielles:
« Mais parmi le faisceau d’éléments permettant de rendre compte de cette évolution, il en est un qui a souvent échappé aux observateurs parce qu’il inscrit l’histoire de la mémoire espagnole dans son contexte européen ou même occidental : c’est la montée en puissance, depuis les années 1960, des revendications victimaires qui coïncident en partie avec ce que l’historienne Annette Wiewiorka a dénommé « l’ère des témoins ». »
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/pages-europe/d000620-espagne.-les-fantomes-de-la-guerre-civile-et-du-franquisme-par-stephane-michonneau/article

la vie dans les bois dit: à

Pour citer cet article : Stéphane Michonneau, « Espagne. Les fantômes de la guerre civile et du franquisme », Grande Europe n° 6, mars 2009 – La Documentation française © DILA

bérénice dit: à

bien bien, lv, références indispensables si tôt que ne subsistent de doutes quant à vos ruminations et illuminations historiennes.

bérénice dit: à

Puigdemont est-il rentré ou mène-t-il campagne courageusement de sa Belgique natale?

renato dit: à

« Harry cover »

Toujours dans l’actu people ?

Chaloux dit: à

« surestimant sa pauvre banalité ».

Un trait fort bien partagé.

la vie dans les bois dit: à

La Catalogne, désertée par les touristes depuis octobre, pour cause des mouvements politiques, nous dit-on en France, tout en oubliant Paris et cette même situation au lendemain des attentats,oui, mérite le voyage, comme déjà dit à de nombreuses reprises;  » n’en rajoutons pas une couche » comme l’écrit si bien  » Passou » qui en met deux.

renato dit: à

Chez Paul Edel on censure même les images en relation avec le sujet ! ah, questi pavesini !

la vie dans les bois dit: à

@1h05,
Votre sollicitude, a été entendue.

Mais c’est le temps.
Et cette blancheur qui tombe dru et serrée, ce matin.
Toujours la même magie, quand elle paraît.

Bonne journée.

closer dit: à

Pas cocké lvdb.

Quant à coller un extrait qui m’a amusé par son côté caricatural pour un vieil obsédé de 81 ans, mais qui n’a rien à voir avec le billet du jour, ce n’est pas la première et ce ne sera pas la dernière fois.

Phil dit: à

Matzneff écrit mieux que Camus et les deux sont bannis des ondes franculturées, what else.

JAZZI dit: à

Auriez-vous un contentieux avec Paul Edel, renato ?

Phil dit: à

yes Baroz. peu importe le slip littéraire, les trois votent à droite.
temps regretté du téléaste Polac (mort accusé pédo, on n’arrête pas le progrès) qui donna le premier un droit de réponse au brillant jazzophile Nabe.
Il neige comme dans les enfants terribles de Cocteau, rue d’Amsterdam, qui lancent leurs blackboules à Franceculture.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…juste, deux mots,…pour saluer, le sujet, du jour,…bref,!…

…quoi, penser à écrire,…Dieu, et ses variantes de parasites,…une énigmatique loi d’économie sociale,… » tous juifs & wisigoths « ,…ou sont passés les  » romains « , d’Espagne, dans tout cela,!…
…bon, passons,!…

…surtout, dans les royaumes,…quels parenthèses, pour les peuples,…soumis aux exactions de ces royaumes tyranniques ou vivent les collabos des paradis à t-roubler les peuples,…sous toutes les bannières bananières,…

…encerclons le sujet, des inquisitions – sociales, pour voler, son voisin,…
…et, lui, interdire, se que vous comptez, seul, vous approprier,…

…les comédies du lucre, par les autres raisonnements,!…
…en somme,…
…des variantes, d’anthologies de comédies et conditions dans cet  » humanisme « , à l’image, des Dieux, du lucre, qu’ils se sont choisis,!…

…le  » nombrilisme égocentrique « ,…des parasites,…sans talents, les jalousies, les ruses, pour s’approprier, ce qu’on veut interdire, aux autres citoyens,…comme une inquisitions des valeurs, absentes,…
…lesquelles,!…
…en partage, gloires, luxes et voluptés,…

…en somme, et ce massage, c’est pour aujourd’hui, ou pour demain,…
…toutes ses mois sociales, pour se casser ses rêves,…autant, se branler,!…etc,!…
…Ah,!Ah,!…tous des fascistes,!…franco-de port,!…de plaisance,!…à ses grèves,…
…les éditions, faire ceinture, du houblon,…Bip,!Bip,!…envoyez,!…

luc nemeth dit: à

« Les leaders de la rébellion, les généraux Mola, Franco et Queipo de Llano, considéraient le prolétariat espagnol comme une race inférieure qu’il fallait subjuguer par une violence soudaine et sans compromis, au même titre que les Marocains », rappelle une citation dans l’article. Ce n’est pas faux. Mais avant même la première guerre mondiale c’était dans tous les pays voisins que la caste dirigeante (ne parlons pas, des généraux…) considérait le prolétariat comme une race inférieure qu’il fallait éliminer. On avait même assisté à l’éclosion d’une « anthropologie des classes pauvres », d’inspiration lombrosienne, et qui avait fini par contaminer jusqu’à la gauche où des esprits éclairés vous assuraient que « la Révolution est impossible, puisque le prolétariat est biologiquement inférieur ». En fait ce fut surtout le fait de la bourgeoisie si peu avant que ne commence la tuerie ce discours se fit plus discret : c’était tout de même chose difficile que de demander d’aller risquer leur vie, à des gens auxquels à longueur de temps on racontait qu’ils étaient… biologiquement inférieurs

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