de Pierre Assouline

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La République des livres
Et vous, qu’auriez-vous fait ?

Et vous, qu’auriez-vous fait ?

Alexis Ragougneau ? En d’autres temps, l’éditrice Françoise Verny aurait gueulé : « Pas un nom d’écrivain, ça coco ! Trouves-moi autre chose qui sonne mieux ! Littéraire, quoi ! ». D’Alexandre Ragougneau, j’avoue n’avoir lu à ce jour aucun des polars, ni vu aucune des pièces, puisqu’il mène une double activité de romancier et de dramaturge. Aussi, quand son Niels (354 pages, 20 euros, Viviane Hamy) est arrivé sur ma table, j’étais loin de me douter qu’il se révèlerait à l’examen comme l’un des tout meilleurs romans de la rentrée. Rien de moins. Enfin un roman qui se lit comme un roman.

Le Niels du titre, de son nom Niels Rasmussen, est un danois, projectionniste à Copenhague au lendemain d’une guerre qu’il a vécu en activiste dans la Résistance. Avant 1940, il vivait à Paris et écrivait des pièces de théâtre avec Jean-François Canonnier, un ami metteur en scène. Or, par la lecture du Parisien libéré, Niels apprend que celui-ci, emprisonné à Fresnes, va être déféré devant les tribunaux de l’épuration à Paris pour collaboration avec l’ennemi. Aussitôt, il regagne la France afin de le retrouver pour lui apporter son aide car rien dans ce qu’il a connu de lui ne coïncide avec l’habit qu’on veut lui faire porter. Ce faisant, il découvre la face cachée de cet homme qui lui fut si proche, dans toute sa médiocrité, sa bassesse, sa veulerie, jusqu’à l’innommable…

De quoi en rabattre sur sa conception de l’héroïsme. Dans la quatrième de couverture, l’éditeur pose la question qui lui paraît fondamentale à l’issue des réflexions qui ne manqueront pas de naître à la lecture du livre :

« Et vous, qu’auriez-vous fait ? »

Classique, encore que la formulation fasse penser au titre des livres de Marc Lévy. Mais la question est toujours aussi biaisée. Car si j’avais eu 25 ans à la Libération, et que je m’étais trouvé face à un semblable dilemme, je ne serais pas moi mais un autre avec une toute autre histoire que la mienne aujourd’hui. Aurais-je mouillé ma chemise pour sauver un ami qui fut un immonde salaud ?

L’écriture de Niels est d’une efficacité qui ne perd rien en sensibilité. L’atmosphère de l’après-guerre est restituée avec le son juste. En un sens, c’est un modèle. La narration est parfaitement menée, maitrisée, composée avec un art consommé du dialogue (la patte du dramaturge peut-être), le sens du coup de théâtre et de la progression dans l’action, un vrai travail de détail dans le portrait des personnages secondaires (le colonel FFI Santimaria), une connaissance approfondie des milieux du théâtre ce qui nous vaut une fine mise en abîme avec des actes et des scènes en incrustation (seule petite erreur : les fondateurs du Cartel n’était pas trois -Jouvet, Baty, Dullin- mais quatre, Pitoeff a été oublié). Piques et pointes atteignent leur cible. Ainsi le rappel de cette brève dans le Canard enchainé de 1945 :

« Louis Jouvet, qui avait passé toute la guerre à faire tourner sa troupe en Amérique latine, débarque à Marseille, sa valise à la main, après quatre ans d’absence. Il tombe sur une jeune femme en bonnet phrygien, le visage tuméfié de bleus et de cocards. Quelles nouvelles ? demande Jouvet. Et Marianne de répondre : Le petit chat est mort…robert le vigan procès épuration amis

Il est vrai que le tourné de Jouvet avait été assez ambigüe, du moins jusqu’en 1943. Ragougneau s’est de toute évidence nourri de nombreuses lectures, mémoires et biographies, trop jeune (1973) pour avoir vécu l’après-guerre, ni même connu dans leur grand âge les personnages qui l’ont inspiré. Il a parfaitement digéré et décanté sa vision de l’époque. Les quelques pages relatives à l’attente devant le Lutetia sont d’une impressionnante justesse. Le risque de ce genre d’exercice, c’est de verser dans le roman-à-clef, ce que celui-ci n’est en aucun cas. Le lecteur n’y pensera même pas à l’exception d’un carré de passionnés de l’histoire littéraire des années 30 et de l’histoire politique des années 40. Comme j’en suis, et doublement, je n’ai pu m’empêcher de laisser des noms et des photos se superposer à ceux du livre et de me laisser envahir par les sources cryptées : Birault, le patron de théâtre, m’a fait penser à Anet Badel, le propriétaire du Vieux-Colombier ; le théâtre de l’Olivier au théâtre du Vieux-Colombier ; Madeleine, la chroniqueuse judiciaire à Madeleine Jacob ; l’avocat Me Bianchi à Me Isorni etc A quelques reprises, lorsqu’il emprunte ses propres phrases à Jean Paulhan par exemple, il le signale dans une note en bas de page. Curieusement, une fois, il s’en garde (à moins que ce ne soit un oubli) s’agissant de Jean-Paul Sartre qui est de toute évidence, son portrait en témoigne, l’auteur de cette douzaine de lignes tirées de La République du silence (9 septembre 1944 in Situations, III) et ici théâtralisées :

« Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’Occupation etc »

La plus importante de ces clés qui n’en sont pas sauf pour les obsédés de la période, c’est encore l’autre personnage principal, le fameux dramaturge Jean-François Canonnier, l’ami, le frère de coeur en faveur il se démène. Il est exilé en Suisse où il s’est reconverti dans la critique gastronomique, seule spécialité journalistique qui ne requiert pas de carte de presse, comme George Prade, l’ancien administrateur des Nouveaux temps et de Paris-Soir sous la botte, qui en sus travaillera pour les champagnes Mumm. Mais l’antihéros de Niels s’avèrera aussi avoir été un vil délateur, à l’image de Robert-Julien Courtine qui signera plus tard pendant longtemps Le Reynière sa chronique gastronomique dans Le Monde grâce à la complaisance d’Hubert Beuve-Méry qui n’ignorait pas que le même avait signé de son propre nom ses appels au meurtre dans le torchon Au Pilori.

De le savoir n’enlève rien à ce roman en tous points remarquable. Disons même : irréprochable. Et il n’est pas impossible que pour certains lecteurs, cela ajoute à leur plaisir de lecture. J’allais oublier : il y a eu à la même époque un précédent à cette histoire d’amitié contrariée (on ne se refait pas, décidément) lorsque le résistant Joseph Kessel, combattant de la France libre et co-auteur des paroles françaises du Chant des partisans, a quitté précipitamment Londres pour Paris fin 1944 afin de porter secours à son ami d’avant-guerre Georges Suarez, responsable du quotidien Aujourd’hui financé par l’ambassade d’Allemagne, accusé d’intelligences avec l’ennemi. Sauf que malgré le talent de Kessel, et son plaidoyer vibrant au procès en faveur de l’ami fourvoyé avec qui il avait écrit trois livres dans les années 20, celui-ci fut fusillé.

(« Louis Jouvet en tournée en Amérique latine pendant la guerre » photo D.R. ; « Les amis de Robert Le Vigan à son procès, Fernand Ledoux, Jean-Louis Barrault etc » photo D.R.)

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commentaires

861 Réponses pour Et vous, qu’auriez-vous fait ?

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 12h10

Il faudrait donner la référence du chapitre copié-collé, c’est d’un mauvais goût cette pratique de ne jamais référencer l’extrait pillé !

chapitre VI du livre III.

« Comme il tomba dans l’hérésie des Manichéens »
traduction d’Arnaud d’Andilly :

« Etant en cet état, je tombai dans les erreurs d’une secte d’hommes superbes et insensés qui étaient très charnels, et très grands parleurs. Leurs paroles étaient un piège du diable, et comme un charme et un enchantement composé des mélanges des lettres de votre nom, du nom de notre sauveur jesus Christ, et de celui du Saint esprit, consolateur de nos âmes. Ils avaient en toute heure ces noms à la bouche, mais leur langue en proféraient seulement le son, sans que leur coeur fût rempli des vérités qu’ils signifient ».

closer dit: 5 septembre 2017 à 12h14

D, tu oublies qu’Excalibur a été fabriquée avec un alliage à base d’orichalque, dont la formule avait été transmise par des savants atlantes à des alchimistes arthuriens lors d’une rencontre à Thulée.

Elle peut donc traverser les millénaires.

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 12h18

Exact, voilà l’extrait sans faute, c’est moins vilain :

« Etant en cet état, je tombai dans les erreurs d’une secte d’hommes superbes et insensés qui étaient très charnels, et très grands parleurs. Leurs paroles étaient un piège du diable, et comme un charme et un enchantement composé du mélange des lettres de votre nom, du nom de notre Sauveur Jésus-Christ, et de celui du Saint-Esprit, consolateur de nos âmes. Ils avaient à toute heure ces noms en la bouche, mais leur langue en proférait seulement le son, sans que leur coeur fût rempli des vérités qu’ils signifient ».

JAZZI dit: 5 septembre 2017 à 12h20

1er extrait : « Confessions » (Livre III, VI, 10.)

2e extrait : « Confessions » (Livre X, XXVII, 38.),

in « Œuvres, 1 », traduction de Patrice Cambronne,
Bibliothèque de la pléiade,
Editions Gallimard, 1998

closer dit: 5 septembre 2017 à 12h21

« Ta traduction est bien vilaine »

Pas de chance Zizzi:

 » Par l’élégance de sa langue, il (Arnauld d’Andilly) figure parmi les grands poètes, écrivains et traducteurs du français classique au XVIIe siècle. »

Sa langue a vieilli, c’est tout.

Tout le monde peut se tromper.

D. dit: 5 septembre 2017 à 12h23

N’importe quoi, Closer. Où êtes vous donc allé chercher de telles balivernes ? Vous me faites honte.

Janssen J-J dit: 5 septembre 2017 à 12h24

Où avais-je le tête Monique ? C’est cela, voui… Et Passoul qui surligne en rouge ses fautes d’orthographe pour éclairer le monde (ambigüe) grrr !

Janssen J-J dit: 5 septembre 2017 à 12h26

Et t’en penses quoi de récente la traduction (un peu louf) de Fred Boyer, le compagnon d’Anne Dufourmentelle, dite « Les Aveux » ?

Diogène dit: 5 septembre 2017 à 12h34

@ Nicolas

Sofia Coppola est une écervelée, et je n’aime les rimèques. Il n’y a aucune raison de donner à un Blanc le rôle d’un personnage noir, et inversement (sauf au théâtre peut-être, où les rôles pour les Noirs sont assez rares…). De là à hurler au suprématisme blanc, non. Si les Noirs ne sont pas contents du traitement qui leur est fait, qu’ils passent derrière la caméra, comme Spike Lee ou Steve McQueen (le brun, pas le blond) : ils sont libres.

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 12h37

En plus il y eu plusieurs Hérode, alors, pour s’y retrouver entre celui qui massacra et celui qui fit mourir.

D. dit: 5 septembre 2017 à 12h41

L’épée Excalibur à coûté suffisamment cher pour qu’on se dispensat de déconner en la jetant dans le lac. Même bourré on fait attention à 100 000 euros.
Aliénor d’Aquitaine à hérité de cette fabuleuse épée et l’a fait déposer sous une dalle située dans la crypte d’une abbaye située dans le limousin. Je ne peux pas vous en révéler davantage. Rien à voir avec les atlantes en tous cas.

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 12h41

Diogène, je ne suis pas certain qu’un écrivain doive particulièrement évoquer son temps, je veux dire que ce soit pour lui un impératif. Ce genre de point de vue provoque autant de catastrophes que le sempiternel recours à la seconde guerre mondiale. Qu’il le veuille ou non, s’il s’agit d’un écrivain qui mérite d’être lu, il le fait de toute façon, même si ses livres font d’immenses détours pour en arriver là. Le nombre de masques accumulés ne change rien au visage.
Les années qui ont suivi cette guerre, si j’en crois les témoignages recueillis autour de moi, ont été, moralement ou éthiquement, je ne sais quel mot choisir (Ricœur, qu’on sert à toutes les sauces en ce moment, disait exactement le contraire de Blabla il y a peu, mais ce n’est qu’un détail en passant), bien éloignées de la façon dont elles semblent présentées dans ce roman. Qu’on en parle, si on ne sait pas faire autre chose, mais qu’on en parle vraiment, froidement, cyniquement, sans puiser dans le politiquement correct d’aujourd’hui qui est une forme d’abomination, une façon de tourner en rond dans l’histoire, une manipulation de la morale, et une façon de préparer les bonnes consciences abusives de l’avenir. Le vrai est que la plupart de ceux qui avaient suivi Pétain et Laval n’en démordaient toujours pas trente ans après. Quant à ceux qui n’avaient été ni pour contre, ou vaguement récalcitrants, leur capacité d’indifférence demeurait intacte. C’est cette histoire qu’il faut donner à lire, et non une resucée de morale inventée par les générations suivantes.

D. dit: 5 septembre 2017 à 12h43

L’épée Excalibur à coûté suffisamment cher pour qu’on se dispensat de déčonner en la jetant dans le lac. Même bourrə, on fait attention à 100 000 euros.
Aliénor d’Aquitaine à hérité de cette fabuleuse épée et l’a fait déposer sous une dalle située dans la crypte d’une abbaye située dans le limousin. Je ne peux pas vous en révéler davantage. Rien à voir avec les atlantes en tous cas.

closer dit: 5 septembre 2017 à 13h01

« N’importe quoi, Closer. Où êtes vous donc allé chercher de telles balivernes ? Vous me faites honte. »

Ne vous inquiétez pas D. Je comprends que vous souhaitiez que je n’en dise pas plus, mais je sais tenir ma langue.

Phil dit: 5 septembre 2017 à 13h03

cette signifiante notule ne vise qu’à nous faire regretter le roman du prestigieux passou sur cette époque. fort de son Fleuve Combelle, il pourra laisser tomber les « clés » et autres codes pour les flasques lecteurs d’ary potté, suffit de livrer les bonne explications sur les compromissions des Colette, Berl, Gallimard, Denoël, Cocteau et autres du landernau qui sauvèrent leurs derrières en dînaillant avec Ehling etc..Ni film à la Schlöndorff qui revisite Guy Môquet avec un faux rôle donné à l’épouse du président de l’avance sur recettes.

closer dit: 5 septembre 2017 à 13h10

Fred Boyer, c’est le mec qui a décidé que le bouquin que tout le monde appelait « Les Confessions » depuis 1500 ans se vendrait mieux si on l’appelait « Les Aveux »…

Passou, toujours à l’affût des nouveautés « dérangeantes » (il aime) en avait parlé, je crois.

JAZZI dit: 5 septembre 2017 à 13h10

« Scoop ! Le sociologue Dominique Wolton à accordé une interview au pape François »

N’est-ce pas plutôt le contraire, Passou ? Douze entretiens de 2 heures…

JAZZI dit: 5 septembre 2017 à 13h12

« il y eu plusieurs Hérode, alors, pour s’y retrouver entre celui qui massacra et celui qui fit mourir. »

Et celui qui a construit le Temple de Jérusalem, délicate LVDLB !

bouguereau dit: 5 septembre 2017 à 13h17

enfin, Bouguereau, tu es fatigué ce matin?

dis donc polo..tu les fais a quelle heure tes aftheurs

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 13h22

Oui, c’est indiqué dans la chronique de mme Cohen pour la tradition juive: Herode, bâtisseur. Je n’ai retenu que : vieux comme Herode.

Nicolas dit: 5 septembre 2017 à 13h31

Entre la cohérence éthique de Diogène et le sens des nuances de Phil je ne vois qu’un tas d’enchâssé dans leur vieille lune qui n’ont dorénavant guère mieux à faire pour penser leur ennui que de cracher sur les jeunes comme des vieux cons. J’ai une éthique de la nuance imbattable!

et alii dit: 5 septembre 2017 à 13h42

Gerhard Richter’s Birkenau series goes on permanent display in Reichstag

The abstract images were inspired by documentary photographs of Nazi death camp

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 13h46

Curieusement, je trouve souvent certains points communs entre ceux qui sont nés à la fin des années soixante-dix et la mentalité de La Belle Époque, ce qui ne laisse pas de m’inquiéter un peu. On s’apercevra un jour que la seule génération qui vaille quelque chose dans l’après-guerre est celle née dans la seconde moitié des années soixante, le temps qu’elle se remette de la tentative d’étouffement dont elle est depuis trente ans victime de la part de ses aînés peu partageurs. Ni avant, ni après, les autres trop proches ou trop éloignés.

bob dit: 5 septembre 2017 à 14h03

« Pour Augustin, bien évidemment, il n’y a de beau que Dieu : le Père, le Fils et le Saint-Esprit ! »
De quoi rassurer sa sainte mère

bob dit: 5 septembre 2017 à 14h04

D. dit: 5 septembre 2017 à 14 h 43 min
 » Rien à voir avec les atlantes en tous cas. »

Ils ne peuvent donc pas tout.

bérénice dit: 5 septembre 2017 à 14h06

. Le vrai est que la plupart de ceux qui avaient suivi Pétain et Laval n’en démordaient toujours pas trente ans après. Quant à ceux qui n’avaient été ni pour contre, ou vaguement récalcitrants, leur capacité d’indifférence demeurait intacte.

Tous antisémites ? Avec les découvertes macabres, le compte des morts, la vision de l’horreur, cela semble inimaginable qu’ils aient continué de soutenir la même opinion .

bob dit: 5 septembre 2017 à 14h21

Albert Camus à propos de Sartre, ces « censeurs qui n’ont jamais placé que leur fauteuil dans le sens de l’Histoire »

Diogène dit: 5 septembre 2017 à 14h23

Si les écrivains français de la seconde moitié du XXe siècle sont aussi médiocres, c’est parce qu’il ne s’est rien passé de notable en France pendant cette période. Ils ont été contraints d’aller puiser dans le passé de quoi nourrir leur oeuvre, à commencer par le Sujet des Sujets depuis que le monde est monde, et que l’homme est homme : la guerre. Le cas Modiano est emblématique à ce sujet, d’autant plus qu’il a reçu le Nobel. Mais c’est en train de changer. La guerre est de retour. Merci l’islam !

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 14h25

Bérénice, voyez l’histoire des Klarsfeld, reconnus et célébrés aujourd’hui à leur juste rang, ce qui ne fut pas toujours le cas loin de là, et qui ont vécu dangereusement.

Diogène dit: 5 septembre 2017 à 14h29

Je ne prétends pas gouverner vos lectures, Nicolas. Lisez ce que vous voulez. Lisez tout Pierre Assouline si cela vous chante. Lisez les Bienveillantes. Lisez Hhhh, ou Zzzz, ou QRN sur Bretzelburg. C’est votre droit, et je me battrai jusqu’au bout pour que vous le conserviez.

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 14h32

Si je parle de la génération née dans la seconde moitié des années soixante, c’est qu’elle a vécu depuis l’enfance le lent effondrement d’un modèle qui venait tout juste d’être édifié, pour ainsi dire, jour après jour, avec ça et là le pressentiment de ce qui se levait par-delà, et surtout, avec un peu de chance, un fort contact avec des générations beaucoup plus anciennes. Il serait bien surprenant qu’il n’en sorte strictement rien.

christiane dit: 5 septembre 2017 à 14h38

Janssen J-J dit: 5 septembre 2017 à 12 h 51 min
vous écrivez : « Ch., vous qui, d’après la rumeur, êtes abonnée au journal La Croix (ou tout-e autre internaute dans la même situation), pourriez-vous faire apparaître l’intégralité du papier… »
Je ne suis abonnée à aucun quotidien. Je préfère bavarder avec mon kiosquier en achetant le journal. Je préfère naviguer entre Libé, Le Monde, Le Figaro litt. et quelques hebdomadaires toniques.
Les entretiens du Pape ne m’incitent pas à la curiosité. C’est le patron des Cathos, O.K… C’est Rome…
Je préfère échanger de longues heures avec un vieil ami, prêtre à Villetaneuse, épris de solitude et de philosophie.
M’envoyant une photo de la Vierge de Michel Ange (Basilique St. Pierre, au Vatican), dite « La Piété », il m’écrivait au dos de la carte : « Non, ce n’est pas la piété, mais la pietà du cœur déchiré qui seule peut recueillir ce qui remonte en moi tout ce mois.* J’ai vécu enfin la grande veillée européenne qui me fouaille depuis 1945 quand j’ai commencé à voir l’innommable et à en être sans cesse questionné. Tout ce mois je n’avais plus de mots.(…) De nos constructions il n’est plus que sable. Parfois de nos passages restent des souvenirs de nos vies, mais en coquilles vides…. »
*Je ne me souviens plus de quelle rencontre il revenait mais je me souviens qu’il m’avait confié s’être décidé à être prêtre en assistant au retour des déportés en 1945. Il a mené une vie humble, discrète, dans les banlieues, les livres et la musique…

bob dit: 5 septembre 2017 à 14h45

A l’époque des bonnes-sœurs ont été vues rattraper, et remettre aux autorités, des enfants des enfants qui tentaient de s’échapper des colonnes destinées aux camps de la mort

bob dit: 5 septembre 2017 à 14h47

elles les rattrapaient pour qu’ils soient remis dans les rangs des personnes envoyées dans les camps

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 14h49

bob dit: 5 septembre 2017 à 16 h 45 min

Bob, ça m’intéresse, auriez-vous une source?

Passou dit: 5 septembre 2017 à 14h50

« Scoop ! Le sociologue Dominique Wolton à accordé une interview au pape François »

Jazzi : N’est-ce pas plutôt le contraire, Passou ? Douze entretiens de 2 heures…

M’enfin, Jazzi ! Et votre humour ? et votre troisième degré ? Si vous connaissez un peu DWolton, ou si vous l’avez déjà écouté, vous savez qu’il est extrêmement bavard (et brillant). Et si vous avez lu le lien sur l’article de la Croix, vous découvrez que dans leur livre à deux voix, souvent les questions sont plus longues que les réponses…

D. dit: 5 septembre 2017 à 14h56

Eystein Glumra posséda Excalibur au début du neuvième siècle. Et il en fit bon usage. Je ne peux guère vous en dire davantage.

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 14h57

Les dealers qui menacent les habitants de l’immeuble où se déroule leur trafic, au cas où ceux-ci seraient susceptibles de collaborer avec la police, signent leur tract la direction. Et on dira qu’il n’y a rien à dire…

D. dit: 5 septembre 2017 à 14h59

Ce que vous êtes longue à raconter trois fois rien, Christiane.
Condensez, ma fille, nous n’avons pas le temps.

christiane dit: 5 septembre 2017 à 15h01

D. dit: 5 septembre 2017 à 16 h 59 min
Sautez mon ami, sautez !
J’ai besoin de mots pour aller au bout de mes pensées.
Mais sautez mon ami, sautez !

christiane dit: 5 septembre 2017 à 15h14

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 17 h 03 min et avant
Bonne rafale de questions, Chaloux. Merci.

JC..... dit: 5 septembre 2017 à 15h20

« Le vrai est que la plupart de ceux qui avaient suivi Pétain et Laval n’en démordaient toujours pas trente ans après. Quant à ceux qui n’avaient été ni pour ni contre, ou vaguement récalcitrants, leur capacité d’indifférence demeurait intacte. »

Plutôt Hitler que Stalin était le tube de l’été pour ceux qui pensaient bien. Pour les Nombreux qui ne pensaient guère, comme d’hab : « On attend ! On verra bien ! »

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 15h20

Christiane, juste un mot. Je ne tiens pas à me fâcher avec vous. Il me suffit de DHH que j’estime et qui ne pardonne pas. Mais je trouve que vous n’êtes pas toujours…je ne trouve pas le mot… fair play. Pour info, Pablo n’est pas mon pilier. Je suis mon propre pilier.

Miss Tigris dit: 5 septembre 2017 à 15h25

chritsiane et dieu :demandez donc à JC quand il l’emmène à la messe sur son scoutére toutes voiles dehors

JC..... dit: 5 septembre 2017 à 15h27

Christiane, une sainte femme, a toujours refusé de monter en amazon.fr sur mon scooter rose….

christiane dit: 5 septembre 2017 à 15h27

@Miss Tigris dit: 5 septembre 2017 à 17 h 25 min
Je ne vais pas à la messe avec ou sans scooter.

christiane dit: 5 septembre 2017 à 15h29

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 17 h 20 min
Oui, je sais… Oh là là, vous êtes rancunier mais quand même, ce jour-là, vous n’avez pas été très – je ne trouve pas le mot- Fair-play !

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 15h29

Courir très vite quand on voit une nonne, je ne sais pas si M. Ragougneau a jamais eu cette réponse à son sondage. Bravo bob !

JC..... dit: 5 septembre 2017 à 15h33

J’ai connu dans ma vie d’ascète certaines nonnes auprès desquelles Mireille Darc aurait fait figure de passe-plat …

christiane dit: 5 septembre 2017 à 15h35

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 17 h 20 min
– Pour info, Pablo n’est pas mon « pilier ».
– Alors « poteau » (terme vieilli pour ami solide). Comme dans « …Berlassier et Sarcelotte: de vrais camarades ceux-là, des solides; des sûrs, des poteaux… » (Genevoix, Raboliot,1925, p. 54)

christiane dit: 5 septembre 2017 à 15h39

bob dit: 5 septembre 2017 à 17 h 33 min
La, c’est intéressant ! Réponse intéressante de Passou (sur le magazine Histoire)

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 15h42

Christiane, j’ai cessé d’être rancunier le jour où j’ai compris pourquoi je l’étais.

bob dit: 5 septembre 2017 à 15h48

christiane dit: 5 septembre 2017 à 17 h 00 min
Bob – 16h45/44
« L’exemple inverse existe aussi… »

oui bien sût: il y a de tout

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 15h49

Transmis de vive voix? Dommage . En plus si bob ne veut pas en parler, c’est indiscret de lui poser des questions qui
la gênent. Mais que bob court vite, et a échappé aux nonnes, saluons son courage.
.

bob dit: 5 septembre 2017 à 15h52

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 17 h 49 min

raconté par quelqu’un qui y avait assisté-
il n’est sûrement pas le seul à avoir vu ce genre d’agissement

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 15h56

@Plutôt Hitler que Stalin était le tube de l’été pour ceux qui pensaient bien.

Et on a eu les deux. Lequel a fait le plus de morts ?

bob dit: 5 septembre 2017 à 16h01

« Bonne rafale de questions »
christiane n’hésite pas à tirer, c’est pas très chrétien

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 16h08

l’ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 17 h 48 min

On est curieux de voir l’histoire… en marche… sans maquilleuse.

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 16h15

@Ça vaut toujours mieux qu’une rafale de MP38.

L’histoire par le petit bout le lorgnette, ça fonctionne aussi ; voir l’évolution des fusils d’assaut et le lien de parenté indéniable entre le Stumgewerh 44 de la Wehrmacht, le AK 47 soviétique et le Galil de Tsahal

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 16h23

« non il ne s’agit pas de moi » bob.

En tout cas quelle histoire !
Il y a des moments de grâce, comme ça sur la rdl. On lit bob qui nous raconte une histoire secrète. Ragougneau peut aller changer sa soutane, avec son histoire de théâtreux collabo.
bob nous apprend un secret. Un rapt d’enfants par des nonnes et personne ne moufte. Il faut aider bob. C’est pas normal. Un secret si tu le gardes pour toi, ça peut vite dégénérer; prenez l’exemple de Summer, au hasard de cette rentrée. Bob peut vite se retrouver chez le psy, et passer pour une folle-dingo. Vous y avez pensé ?

D. dit: 5 septembre 2017 à 16h31

Oui enfin pour le coup le MP38 c’est pas du tout un fusil d’assaut. Ca tire du 9mm qui traverserait même pas une planche à 30 mètres.

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 16h35

pas du tout bob. Je prends ton cas très au sérieux.
Ta phobie des nonnes, tu l’avais déjà toute petite ? Je veux dire c’est venu après celle des curés et du pape François ?

D. dit: 5 septembre 2017 à 16h40

C’est vrai qu’entre le 7,92×33 du 44 et le 7,62×39 de la Kalach on a quasiment pas de différence de Philosophie (si BHL est d’accord, bien sûr…)

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 16h42

chaloupe, je n’ai guère compris qu’une chose vous con cernant.
c’est que le nombre des années ne fait rien à votre  » affaire ».

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 16h45

@Ca tire du 9mm qui traverserait même pas une planche à 30 mètres.

Aucune parenté avec l’Uzi, sinon le petit calibre d’une arme de poing – d’où l’appellation de pistolet mitrailleur – qui était un appel au combat corps à corps. Comme la MAT 49.
Pas d’attaque pour causer V2 tout de suite.

bob dit: 5 septembre 2017 à 16h45

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 18 h 40 min
Qui débarbouillera LVDB de sa sotte noirceur?

bien vu

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 16h51

bob, j’ai bien aimé ton histoire. Y’a des marteaux qui écrivent des histoires géniales, ne l’oublie pas. Sérieux, tu devrais te faire écrivain, mais pas de  » vive voix »
Un petit truc me gêne dans ton scénar’. Tu ne nous a pas dit si tu as été héroïne ou collabo. Tu n’as pas aidé tes potes ?

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 16h56

Toujours est-il que vu par le petit bout de la lorgnette, le Sturmgewerh 44 est le premier fusil d’assaut moderne, comme le Donkey-Shot peut-être considéré comme le premier roman moderne, ce qui donne, incidemment, un peu d’épaisseur historique aux maisons d’édition qui en manque tant

Janssen J-J dit: 5 septembre 2017 à 17h18

@16.38 Vous savez à quel point je suis taquin avec vous, parfois. Mais vous, sans jamais vous démonter (sauf avec gwg et ce fut sanglant !), vous préférez évoquer l’un de vos prêtres amis discrets, plutôt que de galéjer sur votre abonnement au journal de La Croix. J’admire votre placidité, j’aimerais y soupçonner de l’ironie, je suis sûr qu’elle y est, mais avec cette élégance de votre patte, on la voit pas, on ne fait que la subodorer. Le Piéta de Michelangelo à la basilique St Pierre, je ne la vois pour ma part qu’accompagnée des efforts de ce prêtre ouvrier de Malakoff qui mêla ses larmes d’impuissance à celles de ma mère, quand son fils agonisait dans cette banlieue, voici juste 29 ans. Ce frère leur faisait comprendre ceci : « ce Stabat mater de Pergolèse accompagnera ma souffrance jusqu’à ma future délivrance, quand les antalgiques n’auront plus d’effets tangibles ». Et il se repassait cette cassette indéfiniment. Il l’emporta dans sa nuit. La mère ignorait qu’elle était sa Piéta.
C’était là une gageüre pour tous, selon la nouvelle orthog., et là vous m’en bouchez encore un coin, vous êtes sur tous les fronts. Vous avez quelque chose de très émouvant qui ressemble à « Nos vies » de M-H Lafon, cette magnifique petite perle de ce mois de septembre qui nous console de son advenue redoutée.
Ergo, je trouve que tous ceux qui vous veulent du mal et vous lancent des quod-libets sont des crapulons-crapulesses, ils ne comprennent rien à votre sensibilité positivement cuirassée par la poétique.
Parfois je ne suis pas d’accord avec votre infinie tolérance et patience, et j’apprécie d’autant vos rares coups de gueule. Dans l’ensemble, j’ai très grande estime et très grand respect pour votre classe, j’ai envie de vous le dire à chaque fois que vous rabrouez les uns et les autres avec cette délicatesse dont nous tous démunis.
Bonne soirée à toussent et, donc à Ch.

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 17h21

@ dont nous tous démunis

tu l’as dit bouffi, cuirassé comme le Potemkine.

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 17h22

Phil mène sa barque comme bon lui semble, mais de mon point de vue, il devrait clarifier ses positions plutôt que de se perdre en circonvolutions.

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 17h24

Lvdbête, je n’ai guère compris qu’une chose vous con cernant.
c’est que le nombre des années ne fait que vous charger tant et plus.

christiane dit: 5 septembre 2017 à 17h27

JC – 17h33
Shirley MacLaine (Sara) en bonne sœur pleine de malice et sexy dans « Sierra torride » de Don Siegel ? et toi dans le rôle de Hogan (Eastwood), le mercenaire ? Un scénario tiré par les cheveux. Il faut choisir entre Porquerolles et le Mexique, une vespa ou une mule, Pistolero !

christiane dit: 5 septembre 2017 à 17h38

@Janssen J-J dit: 5 septembre 2017 à 19 h 18 min
« D’un cœur léger, avec des mains légères /prendre la vie, laisser la vie… ». C’est le tempo de la sprezzatura. Sourire…

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 17h39

l’ombelle, Phil navigue sur le fleuve Combelle. J’ai jamais essayé le paddle, parait que c’est bien.

Sur le sujet du billet, je pense aussi que c’est dans le magasin de  » Passou » qu’on trouve pas mal de choses.

Essayez ce un magasin de fleurs, quelque part à Paris, en face du magasin de manteaux, vous ne pouvez pas vous tromper.

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 17h45

Faire une fleur à quelqu’un est une belle expression ; elle cache souvent des déboires – tant mieux . Off for a week

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 17h48

l’ombelle, bon vent. Cependant, si vous ne comprenez rien à rien, il vous faudra plus qu’une semaine off.

l'ombelle des talus dit: 5 septembre 2017 à 17h48

… à moins qu’avec cette affaire de manteau vous ne parveniez à me transporter chez Nicolas Gogol

Jean Langoncet dit: 5 septembre 2017 à 18h15

quand Ricoeur et donc Macron voudraient la faire passer pour une pasionaria ; autres temps, autres moeurs

Phil dit: 5 septembre 2017 à 18h53

l’Ombelle, quelle position voulez-vous que je clarifiasse ? retrouvez-nous la scène de lumière obscure du Corbeau. L’auteur de la notule passe au bar du Lutetia mais ne boit pas de Champagne.

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 19h07

Phil dit: 5 septembre 2017 à 20 h 53 min

Dear Phil, on dirait un poème de Char de passage chez Lipp.

la vie dans les bois dit: 5 septembre 2017 à 19h21

bob, je pensais que tu avais fini ta journée de besogneuse. Dommage, je dois rendre service à un ami, et remonter un fleuve que nous avons en commun, je ne lirai donc que demain si tu as réussi à sauver tes potes des mains des nonnes. Ou si tu as laissé faire comme une lâche.

bérénice dit: 5 septembre 2017 à 19h30

l’Ombelle, quelle position voulez-vous que je clarifiasse

besoin de leçons de subjonctif, cherche prof.

bérénice dit: 5 septembre 2017 à 19h33

sauver tes potes des mains des nonnes.

est-ce cochon? Je quitte juste l’info sur Arte consacrée à l’élevage industriel en RFA qui ruine le secteur dans les pays voisins. Y(a-t-il des nonnes en Allemagne???

closer dit: 5 septembre 2017 à 19h35

Classement mondial des universités THE 2018 : la France continue de « sous-performer »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr

Ecrasante domination des universités anglo-saxonnes dans ce classement: Oxford 1ière, Cambridge 2ième. Ensuite une foultitude d’universités américaines. Les suisses, les suédois, font mieux que nous.

On pourra discuter à l’infini de la méthodologie of course. Mais elle ne peut expliquer à elle seule la nullité des résultats des universités françaises.

Comment fait-on pour être aussi mauvais?

Giovanni Sant'Angelo dit: 5 septembre 2017 à 19h37


…mon prochain hobby,…

…faire, comme les banques,…accumuler de l’argent, toujours disponible,…pour mes épargnants,…aucun frais, et aucun, intérêts,!…
…juste la garantie d’être rembourser,!…
…sans Visa,…
…les lingots, et tableaux, ne sont pas acceptez,…allez voir,…les chimères des histoires,…les actes de notaires avec session de châteaux, sont le bienvenue,…
…si en économies positives,!…les entreprise aussi,!…si toujours en bénéfices,…etc,…
…Go,!…

Diogène dit: 5 septembre 2017 à 19h53

Personne n’a répondu à ma question d’hier. Auriez-vous tué Hitler dans son berceau, ou avant qu’il se transforme en monstre, si vous en aviez eu l’occasion ? ça, c’est une question amusante. Et ce n’est pas Marc Lévy qui vous la posera.

(Ma réponse ? bien sûr !! Et à coups de batte de baseball, comme dans Inglorious Basterds.)

Giovanni Sant'Angelo dit: 5 septembre 2017 à 19h57


…faut, bien, nourrir, les veuves et les orphelin(es),…mieux, que çà, en pleines grâces,…
…et, bien, dit donc, c’est qu’il y en a du boulot,…
…plus, qu’on croit,…etc,…

JAZZI dit: 5 septembre 2017 à 20h12

Oui, Passou, mais c’est qu’on ne plaisante pas avec le pape chez les chrétiens ! Ne seriez-vous pas un peu anti… catholique ?

JAZZI dit: 5 septembre 2017 à 20h22

« la seule génération qui vaille quelque chose dans l’après-guerre est celle née dans la seconde moitié des années soixante »

Et celle du baby boom de la première moitié des années cinquante, Chaloux, qu’en dis-tu ?

Giovanni Sant'Angelo dit: 5 septembre 2017 à 20h23


…mais, Diogène, vous devinez-pas, que si, c’est pas, Hitler, se seras un autres tête de pipe, à jouer ce rôle ingrat, avec son cinéma, vociférant,…toute la haine de la paix, en contrepartie de Bonaparte,…
…l’histoire des chimères en économies sociales,…bourgeoises,…sans soucis,!…
…of course,!…

Jean Langoncet dit: 5 septembre 2017 à 20h51

j’aurais fait du bref ; moins de deux minutes par titre. transposé à l’écrit, cela pourrait donner des haï ku ou quelque chose de semblable. tout concentrer de sa raison de vivre en trois vers, c’est un bon exercice de modération pour les bavards
https://www.youtube.com/watch?v=iS8oYNK73Ek

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 21h03

A condition que tu restes dans ton domaine. Pas de roman.

(Tu devrais écrire tes souvenirs de rencontres littéraires par ordre alphabétique.)

Jean Langoncet dit: 5 septembre 2017 à 21h15

Le jeu de la baise

Un truc vraiment horrible,
c’est
de se retrouver au lit
nuit après nuit
avec une femme que l’on n’a plus
envie de baiser.

elles vieillissent, elles ne ressemblent plus
à rien – elles ont même tendance à
ronfler, à perdre
leur entrain.

alors, dans le lit, il arrive qu’en se retournant,
vos pieds touchent parfois les siens –
bon sang, c’est affreux ! –
et la nuit est là dehors
derrière les rideaux
qui vous enferme ensemble
dans la
tombe.

et le matin, vous allez dans la
salle de bains, passez dans le couloir, parlez,
tenez des propos bizarres sur des œufs frits et des moteurs
à démarrer.

mais assis face à face
il y a 2 étrangers
fourrant des toasts dans leurs bouches
brûlant leurs têtes et leurs tripes douloureuses avec du café.

dans 10 millions de foyers en Amérique
c’est la même chose :
deux vies desséchées s’appuyant l’une sur
l’autre
et nulle part où
aller.

vous montez dans la voiture
vous vous rendez au boulot
et là-bas il y a encore plus d’étrangers, la plupart
maris et femmes de quelqu’un
d’autre, et à côté de la guillotine du travail, ils
flirtent et plaisantent, et se pincent, et parfois même
réussissent à aller baiser en vitesse quelque part –
ils ne peuvent pas le faire chez eux –
puis ils
retournent chez eux
en attendant Noël ou la fête du travail ou
dimanche ou
quelque chose.

Charles Bukowski, Les jours s’en vont comme des chevaux sauvages dans les collines,
trad. Thierry Beauchamp

Chaloux dit: 5 septembre 2017 à 21h26

Jacquot ne rêve pas. Déjà que certains éditeurs ayant pignon sur rue sont très réputés pour ne pas payer leurs petits auteurs…Pas de nom, pas de nom… manquerait plus que ça te rapporte un kopeck…

D. dit: 6 septembre 2017 à 22h32

C 04- Q 14.
La mort subite du premier personnage
Aura changé & mis un autre au regne:
Tost, tard venu à si haut & bas aage,
Que terre & mer faudra que on le craigne.

C 10- Q 10.
Tasche de meurdre, enormes adulteres,
Grand ennemy de tout le genre humain:
Que sera pire qu’ayeuls, oncles ne peres,
Enfer, feu, eaux, sanguin & inhumain.

C 02- Q 29.
L’Oriental sortira de son siège,
Passer les monts Apennons voir la Gaule
Transpercera le ciel, les eaux & neige,
Et un chacun frappera de sa gaule

Janssen J-J dit: 6 septembre 2017 à 22h47

sur la @ 19.21 / Tiens la grosse martine à la p(l)age (tu sais bien, la nouvelle copine de Monique) qui se réveille en sortant de ses a-bois, dès qu’elle voit un message pour cricri…, comme si elle s’était sentie interpellée de l’oignon…
sur la @ 21.53 / Au fait, Diogène Laerce, Langoncet ou Polémickoeur, cette scène à la batte de baseball d’Inglorious Basterds avec le brad pitt en juif US matrouillant son chwin, est-ce qu’elle vous fait jouir à la revoyure ?
Bons cauchemars à toussent !

Janssen J-J dit: 6 septembre 2017 à 23h19

Paraît que Macron aurait apprécié Zabor ou les psaumes
http://www.livreshebdo.fr/article/emmanuel-macron-admire-kamel-daoud
On est mal, car on n’a rien à faire avec ce type-là, mais beaucoup avec k. daoud. je sais qu’on choisit pas son président lecteur. Enfin brèfle… besoin de repos après le briefing pour la prépa du SO de la prochaine manif avec les potes de la cgt, elle s’est finie à pas d’heure, j’vas m’coucher.

Delaporte dit: 6 septembre 2017 à 0h49

Trump apprécie la devise du général Mattis, son chef d’état-major :

« Be polite, be professional, but have a plan to kill evrybody you meet ».

Les affreux jojos de Washington vont mettre la planète à feu et à sang !

Bloom dit: 6 septembre 2017 à 2h18

« Be polite, be professional, but have a plan to kill evrybody you meet ».

« This is no motto » / ceci n’est pas une devise
(Général Mattis)


Join the army, meet interesting people and kill them (Oxford U, 1979)

François Delpla dit: 6 septembre 2017 à 3h22

Etrange de vouloir interdire à la littérature de cerner cette époque. Cela fait le jeu, et des pétainistes, et des attentistes, entre lesquels la frontière est d’ailleurs poreuse et évolutive. Accord avec Passou pour louer ce livre s’il parvient à décrire les uns et les autres sans être dupe de leurs justifications. Cela rehausse la Résistance, même et surtout si ses difficultés et ses défaillances ne sont pas fardées.

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 3h31

« Enfin brèfle… besoin de repos après le briefing pour la prépa du SO de la prochaine manif avec les potes de la cgt, elle s’est finie à pas d’heure, j’vas m’coucher. » (JJJ)

La CGT ! On croit rêver ! …. choisis mieux tes potes, eh patate… Les voyous protégés de la CGT, ceux là sont les derniers des glandus moribonds du siècle passé…

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 3h35

« Auriez-vous tué Hitler dans son berceau » (Diogène)

Répondre oui, c’est être dans le domaine criminel meilleur que lui. De toutes façons des Dolfie, il y en aurait eu un autre ! Bien d’autres !

C’était dans l’air du temps ….

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 3h39

« Cela rehausse la Résistance, même et surtout si ses difficultés et ses défaillances ne sont pas fardées. » (Delpla)

En 2017 ! Qui se soucie de « rehausser » la Résistance ? A part les historiens de l’imagerie politique dont on a que foultre…

Y a mieux à faire, non ?

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 3h53

« Ecrasante domination des universités anglo-saxonnes dans ce classement: Oxford 1ière, Cambridge 2ième. Ensuite une foultitude d’universités américaines. Les suisses, les suédois, font mieux que nous. On pourra discuter à l’infini de la méthodologie of course. Mais elle ne peut expliquer à elle seule la nullité des résultats des universités françaises.Comment fait-on pour être aussi mauvais? » (closer)

C’est simple : on ment, on ne décide pas.
On se ment. On ne dit pas aux bons qu’ils sont bon, et aux mauvais qu’ils sont mauvais. On confond égalité et égalitarisme. Valable pour les étudiants, comme pour les maitres …

On ne décide pas. Dame ! L’autorité, c’est la porte ouverte au fascisme, s’pa ?

bérénice dit: 6 septembre 2017 à 4h04

. On pourra discuter à l’infini de la méthodologie of course.

on pourrait discuter de la discrimination par l’argent, étudier les différents montants de droit d’inscription en fac dans différents pays, si l’extraction sociale va souvent avec le niveau on ne pourra pas dire que les plus doués des classes moyennes et populaires ont un accès facilité à la fac en Angleterre notamment, des manifestations récentes de protestation contre la hausse des droits d’inscription, au Canada aussi me semble-t-il . Pour le niveau qui baisse en France avant la fac, n’y aurait-il pas un lien avec la paupérisation et la pauvreté d’une partie croissante de la population, ajoutées aux dysfonctionnement, au problème de recrutement des prof, à la valse hésitation des différentes réformes , chacun des ministres manifestant le désir de laisser sa marque en plus de la volonté politique d’adapter le système éducatif à l’exigence du marché, délaissant des matières qui sont de plus en plus considérées comme inutiles ou de luxe.

Delaporte dit: 6 septembre 2017 à 4h06

Sa notice Wikipédia ajoute aussi :

« Mattis popularise également la devise de la 1re division des Marines « no better friend, no worse enemy », une paraphrase de la célèbre épitaphe du dictateur romain Sylla »

Mattis, par son esprit intransigeant, ne serait-il pas aussi un parfait terroriste ?

Delaporte dit: 6 septembre 2017 à 4h09

Il paraît que son livre de chevet, ce sont les Pensées pour moi-même de Marc Aurèle !

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 4h16

« on pourrait discuter de la discrimination par l’argent » (Bérénice)

Bien sûr…uhuhu !
Si tout le monde avait le même pognon, tout le monde serait intelligent. P’tain, quel refrain connu …

Delaporte dit: 6 septembre 2017 à 4h20

Quelques apophtegmes du général fou :

« I don’t lose any sleep at night over the potential for failure. I cannot even spell the word. »
« The first time you blow someone away is not an insignificant event. That said, there are some assholes in the world that just need to be shot. »
« I come in peace. I didn’t bring artillery. But I’m pleading with you, with tears in my eyes: If you [expletive] with me, I’ll kill you all. »
« The most important six inches on the battlefield is between your ears. »
« There is nothing better than getting shot at and missed. It’s really great. »
« I’m going to plead with you, do not cross us. Because if you do, the survivors will write about what we do here for 10,000 years. »

la vie dans les bois dit: 6 septembre 2017 à 4h53

le boursouflé de 0h47 a une « sensibilité » de boursouflé. C’est à dire un égo surdimensionné xxxl. Un brave keuf, comme sous la botte, ce que Delpla appelle « cette époque ».
C’est le circuit découverte, pour les nouveaux, s’il en reste.

bérénice dit: 6 septembre 2017 à 5h11

JC vous réduisez un peu rapidement mon communiqué. Le fait est que c’est dans les zones pauvres et nos pauvres sont en majorité les chômeurs que fabriquent notre système performant de production de la richesse et les immigrés de fraîche date que se rencontrent la grande partie des mauvais résultats ou de l’échec scolaire – la France serait championne dans la fabrique d’inadaptés . En Angleterre comme aux USA les droits d’inscription en fac sont prohibitifs à moins de s’endetter . Je ne dis pas qu’il faut admettre tout le monde, 60% d »échec à l’issue d’une première année c’est trop , cela peut révéler des problèmes d’orientation, des problèmes d’adaptation à un nouveau type d’enseignement, des problèmes de condition d’études ( travailler pour payer ses études ), relever du foutisme d’un certain nombre d’étudiants qui ne s’inscrivent que pour bénéficier des avantages inhérents au statut d’étudiant.

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 5h11

Ne ratez pas le Gigi de 0h47 qui n’a jamais été aussi bas du train, l’omnipus …

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 5h13

« JC vous réduisez un peu rapidement mon communiqué. » (brénice)

Madame … yé fais cé qué yé peux !

la vie dans les bois dit: 6 septembre 2017 à 5h23

@à coups de batte de baseball, comme dans Inglorious Basterds

Si hitler est bien exterminé dans ce film, ce n’est pas à la manière de Diogène, qui porte bien mal son pseudo soit (re)dit en passant- que ce film se termine.

Ultime pied de nez de Tarentino, qui utilise le medium par lequel il va faire périr hitler, pour montrer, aussi, que tout ce brave petit monde parisien,  » de cette époque » ( copyright Delpla), allait au ciné, en même temps.

rose dit: 6 septembre 2017 à 5h39

0h47
bravo
je viens de cauchemarder.
un tigre sanguinaire qui de chat câiin perché sur mes épaules a bouffé l’arrière train de mon chat et qd je me suis réveillée courait après mon chien.
Bonheur de se réveiller. N’a pas eu le temps de le choper.

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 5h40

Cela n’a rien de répugnant que ce soit des enfants issus de milieux favorisés qui réussissent mieux que les autres … vc’est logique.

Soyez réaliste Bérénice !

Tout le monde n’a pas la même chance, les mêmes droits c’est nécessaire, mais la même chance …. c’est une vue de l’esprit. Idiot d’y « remédier », car impossible.

Bourdieu dirait : « Tout le monde n’a pas la chance d’avoir des parents communistes »

rose dit: 6 septembre 2017 à 5h50

ce n’est ni l’argent ni le milieu favorisé.
cela tient en un mot la rigueur.

quant au foutisme des étudiants, vous pourriez parler du foutisme des profs à l’université : un vrai cauchemar. Lorsqu’on est face à ça, faut avoir la niaque. Les étudiants ne l’ont pas. Ils ont une extrême lucidité. Alors, ils foutent le camp en courant.
Bonjour à tous

bérénice dit: 6 septembre 2017 à 5h54

Rose il existe tout de même des facteurs matériels et comptables encourageant favorisant l’étude et d’autres qui n’aident pas. Bien évidemment on pourra recenser une minorité d’individu hors normes qui étudierait dans n’importe quelles conditions.

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 5h55

« je n’ai pas exprimé ce sentiment. » (Bérénice)

Je sais bien …
Mais si on ne peut plus déformer la pensée d’un commentateur, il n’y a plus de dialogue possible…. !

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 5h57

La France est championne du monde du je-men-foutisme généralisé ! C’est un trophée que nous méritons depuis toujours et que peu de pays nous dispute !

bérénice dit: 6 septembre 2017 à 6h01

Rose, votre père était militaire et vous avez étudié à la Sorbonne en vous échappant par les toits, vous parlez d’une rigueur martiale!

JC..... dit: 6 septembre 2017 à 6h01

C’est un trophée que nous méritons depuis toujours. Peu de pays sont capables de nous le ravir !

bérénice dit: 6 septembre 2017 à 6h02

Le mien était ouvrier athé et je me suis retrouvée chez les religieuses de la Croix Rouge Française.

renato dit: 6 septembre 2017 à 6h04

Depuis la nuit des temps les humains aiment raconter des histoires ; selon un sympathique musicien français les animaux aussi, mais ils n’écrivent pas de livres. Pour ce qui est du roman on peut évidemment remonter jusqu’aux Égyptiens, les humains pas les animaux, mais pour aujourd’hui arrêtons nous chez Εὐήμερος, Euhemerus pour les Romains, historien, mythographe, philosophe, utopiste grec (vers 330 a.C. — 250 a.C.). Cohérent avec la tradition des mémorialistes hellénistes, il préfère susciter des émotions en s’arrêtant sur les détails romanesques plutôt que se tenir à un compte-rendu véridique. Dans Sacra Historia — fragments chez Diodore de Sicile et Lactance — il raconte d’un voyage imaginaire où, parti d’Arabie afin d’explorer l’Océan Indien, il aborde dans un
archipel où, sur l’île principale, il trouve une Ville Idéale ordonnée selon un système collectiviste — inutile de me perdre dans un résumé des trois livres, chacun pourra se lancer dans une petite recherche en bibliothèque ou via son moteur de recherche préféré —. Il reste connu surtout pour l’interprétation rationnelle qu’il donna de la genèse des dieux — à l’origine des personnages très puissants et respectés qui seront par la suite vénérés par les citoyens — : l’évhèmérisme ; pendant le siècle d’Auguste, grâce à l’Euhemerus d’Ennius, les Romains intégrèrent ses idées dans leur théologie .

Pour les premiers pas de l’introspection suite au partage de l’empire qui suivit le décès d’Alexandre et les guerres des diadoques, ce sera l’un de ces quatre ; entre temps et sauf, évidemment, si l’on est hypnotisés par les stéréotypes, puisque la dichotomie vérité-opinion est dangereuse, il faudrait s’abstenir de l’usage abusif et plutôt bête qui est généralement fait du mot moderne — histoire de l’usage du manifeste de Marx aux Futuristes, de Dada aux Roxy Music, sans oublier Yves Saint Laurent et son nouveau manifeste de féminité : Euhemerus nous rappellerait que Ermes présida à l’alphabétisation et à la diffusion de la culture.

bouguereau dit: 6 septembre 2017 à 6h09

Le mien était ouvrier athé et je me suis retrouvée chez les religieuses de la Croix Rouge Française

de dada à l’infirmière cul nu en latesque..j’aime bien briane féri mais faut pas pousser rénateau

rose dit: 6 septembre 2017 à 6h12

non mon père est ingénieur, oui j’ai étudié entre autres à
la Sorbonne, à Aix fac de Lettres aussi : ai souvenir d’une excellente prof Mme Hubert qui avait un souci individuel de chacun de ses élèves, une prof hors normes enseignant le théâtre.
La niaque compte.
faut arrêter définitivement de tout mettre sur l’argent et sur le nombre d’élèves par classe ; pur baratin. Ce qu’il faut à l’école, c’est travailler.

rose dit: 6 septembre 2017 à 6h13

un jour oui, j’ai marché sur un toit, d’un château. Très haut. Sans filet.
J’avais fumé un pet, depuis je n’ai jamais récidivé.

la vie dans les bois dit: 6 septembre 2017 à 6h15

Officiellement:
« Le système d’enseignement français est fondé sur de grands principes, certains inspirés de la Révolution de 1789, de lois votées entre 1881 et 1889 et sous les IVe et Ve Républiques ainsi que de la Constitution du 4 octobre 1958 : « l’organisation de l’enseignement public obligatoire gratuit et laïque à tous les degrés est un devoir de l’État « . »

http://www.education.gouv.fr/cid162/les-grands-principes.html

la vie dans les bois dit: 6 septembre 2017 à 6h17

Pourquoi mutualiser l’échec chez les surdipômés?

« Une réussite variable selon les disciplines

D’où viennent ces différences ? Elles dépendent non seulement des caractéristiques des étudiants admis en M1 par chaque fac (âge, niveau d’études), mais également des filières proposées. Ainsi, on réussit mieux en sciences et STAPS (63,5 %) qu’en lettres, langues, art et sciences humaines et sociales (42 %). La sélection exercée (même de façon non officielle…), plutôt en début de M1 ou plutôt à l’entrée de M2 a également son importance. »
http://www.letudiant.fr/etudes/3es-cycles-et-masters/universite-le-palmares-de-la-reussite-en-master-infographie.html

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