de Pierre Assouline

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La République des livres
Familles, je vous haime !

Familles, je vous haime !

Certains titres de romans donnent immédiatement le vertige avant même d’ouvrir le livre, ou de se renseigner sur « ce que ça raconte » en le retournant, comme on se précipiterait intrigué vers le cartouche sous le tableau d’une exposition pour savoir « de quoi il s’agit ». Le cas de Je voudrais que la nuit me prenne (18 euros, 208 pages, Belfond) d’Isabelle Desesquelles. La mort d’une enfant vue du point de vue de l’enfant. Elle dit « je » de son vivant et continue d’outre-tombe d’un point de vue omniscient. Le parti pris narratif  est original, audacieux, risqué car il n’est pas sans créer un certain malaise (ici un extrait).

Fille unique, Clémence s’est noyée à 8 ans dans le lieu de vacances cher à ses parents, engloutie par le courant pour avoir nagé trop loin ; à partir de la page 81, elle continue à raconter mais à 24 ans d’outre-tombe, non plus leur enchantement d’être ensemble, si fusionnels dans leur bulle de fantaisie qu’ils chantent, dansent, lisent ensemble… à la folie (comme un petit air d’En attendant Bojangles), mais leur désarroi et leur résilience. Hantée par la scène fondatrice (la vision de l’accouplement particulièrement sauvage de ses parents), elle s’est sentie exclue du bonheur de ce couple qui se veut en fusion avec son enfant, en autarcie campagnarde ; seule la présence bienfaitrice de la grand-mère ou de la cousine parvient à tempérer ce qui se transforme vite en un huis clos étouffant que le métier d’Isabelle Desesquelles (c’est son neuvième roman) rend terriblement prenant.

L’enfant n’en est pas moins « l’ombilic », ainsi  qu’elle se présente, matrice oppressante autour duquel toute sa famille s’était constituée. Aussi vibrante qu’éreintante, Clémence est prête à tout pour impressionner son père, un instituteur. La mère met mal à l’aise tant elle est paradoxale ; elle rêve de raffinement mais crache sur ses cuisses, si inquiétante par son comportement qu’on l’imagine au centre du drame vers lequel tout tend, mais c’est finalement l’enfant qui en est l’axe. Que se passe t il quand il disparaît soudainement ?

Dans cette histoire qui en dit bien plus que ce qu’elle raconte, l’auteur développe un univers poétique lié au sud. Les personnages, surtout les enfants dans leur quête de tout ce qui a été digéré par les chouettes par exemple, entretiennent une relation animale avec la terre, aussi belle que âpre et destructrice. Il y a là quelque chose du jeune Giono dans le mystérieux rapport de ces personnages à la nature, du néoprimitivisme de Regain notamment, car la vie reprend ses droits à la fin. On dirait même que les pages les plus empreintes de réalisme merveilleux sont éclairées a giono ! Le contraste n’en est que plus rude avec celles où la mélancolie entraine progressivement le lecteur dans une spirale d’irrespirable noirceur. A force de resassement, le souvenir d’un certain bonheur et le fragile halo de lumière qu’il diffusait, en deviennent négatifs. L’un des romans les plus troublants de cette rentrée.

Après Mon père, ce héros : Ma mère, ce héros. Ainsi l’écrit Eric Fottorino lui-même dans Dix-sept ans (272 pages, 20,50 euros, Gallimard) alors épargnez-moi un assaut féministe, je n’y suis pour rien. C’est un peu la suite de la quête et le complément de précédents romans du même. Moins une quête d’identité qu’une enquête d’identité sur une famille à tiroirs. Ses trois fils au chevet de leur mère assistent à sa confession. Le secret de Lina : en 1963, accablée par l’injonction familiale de refuser son statut social de fille-mère, elle a abandonné sa petite fille à des religieuses qui l’ont vendue à une femme stérile. Rejetée par les siens, elle est exilée sur les hauteurs de la ville pour mieux y cacher sa honte. Depuis, ce non-dit l’oppresse et l’étouffe. Et l’auteur de repartir sur la route, dans les lieux même : Nice etc. La note juste et la juste mesure. Pas un mot de trop (lire ici l’extrait).

Il y a là, dans l’exploration de ce qui n’était jusqu’alors que le profil perdu de ses livres, quelque chose du Modiano de Livret de famille et de Dora Bruder. Des bonheurs d’écriture, une grande sensibilité, une vraie puissance émotionnelle, des mots coupants, une voix parfaitement identifiable. Que demander de plus à un écrivain ? La langue de celui-ci s’est faite pour la circonstance plus âpre que dans ses précédents romans ; elle y gagne en densité ; il est vrai aussi que la ville qu’il explore se remet à peine d’une tragédie (le massacre de la promenade des Anglais), que les blessures sont encore à vif. La rencontre d’un médecin chargé d’aider les enfants perturbés par l’attentat terroriste, et la reconstitution familiale que celui-ci lui propose à l’aide d’un simple playmobil, autorisera une forme de renaissance à ce qui reste en lui de l’enfant en souffrance.

Comprendre, c’est pardonner, disait déjà Madame de Staël. Le narrateur, professeur de droit à l’université de Bordeaux, a cherché à comprendre sa mère à laquelle le liait un désamour tenace, dans l’idée de lui pardonner. Le contexte, celui de la France des années 60, n’explique pas tout. Il y a l’entourage, les pressions familiales. Une société corsetée et un milieu sous l’influence morale de l’Eglise quand son magistère était encore puissant. De quoi imaginer qu’elle ait fait ce choix de l’abandon d’un enfant en un temps où les avortements clandestins étaient monnaie courante de même que les accouchements sous X dans des maternités publiques ?

17 ans, l’âge de cette femme lorsqu’à Nice, elle a accouché du futur écrivain ; c’est aussi l’âge où il fit connaissance de son père. Mais que l’on ne s’y trompe pas : bien que depuis trente ans Eric Fottorino ne cesse d’écrire sur les siens, il s’agit bien d’un roman ; cette fois, à partir d’une histoire qui le hante (un fantôme d’enfant), il reconstruit fictivement le passé de cette jeune file qui ne lui a rien raconté. Car si les premières pages sont clairement autobiographiques autour de cette femme qui avait été si peu sa mère et dont il avait si peu le fils, une proche mais plus grande sœur que maman, la suite est bien fictionnelle. Pour prendre des libertés avec la vie réelle et mettre à distance son lot de tristesse en s’évadant dans la vraie vie, celle du roman qui s’autorise tout.

Helena de Jérémy Fel (734 pages, 23 euros, Rivages) est à première vue, un classique thriller. Là, je l’avoue, dans cet engrenage de la violence à travers un drame familial, j’ai été soufflé par la technique de l’auteur car c’est admirablement composé. D’une efficacité redoutable. Jusqu’où une mère peut-elle aller pour protéger ses enfants lorsqu’ils ont commis l’irréparable ? Le narrateur dit à la fin que l’amour d’une mère change tout. En effet… Air connu  mais ici transfiguré. On hésite à dévoiler quoi que ce soit de l’intrigue (lire ici l’extrait). C’est un roman très américain, par sa facture et pas seulement parce qu’il se déroule au Kansas.

J’essaie de ne rien déflorer mais sachez que c’est une histoire d’adultes prédateurs, de psychopathes, d’ados meurtriers, de crimes, de viols, de chasseurs et de proies… Beaucoup de sang mais pas que, n’allez pas croire. Âmes sensible s’éloigner. La vraie souffrance y est familiale. Ce roman devrait faire du bruit au-delà du cercle des initiés car il a de vraies qualités littéraires. Quelle maitrise ! Un passage de Cormac McCarthy est cité en épigraphe, mais l’ombre portée de Stephen King se fait ressentir tout le long.

(photos D.R. et Alamy)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 036 Réponses pour Familles, je vous haime !

Delaporte dit: à

L’expression « le sexe des anges » date du XVe siècle, mon pauvre Pablo ; le Christ ne pouvait donc la connaître :

« L’expression fait référence à un événement historique bien précis, à savoir le siège de Constantinople le 29 mai 1453. Alors que les forces turques s’apprêtaient à entrer dans la ville, les religieux byzantins étaient occupés à discuter de la question théologique du sexe des anges, facilitant la prise de Constantinople. Cet épisode a également donné naissance à l’expression querelle byzantine. »

Pablo, du haut de votre nullité intrinsèque, vous me cherchez querelle… byzantine ! Mais vous n’aurez pas le dernier mot, de fait. Votre interprétation exégétique de la parole du Christ est nulle et non avenue. Je suis même étonné de votre niveau de discussion, qui est terriblement hallucinant de médiocrité affligeante. Zéro pour la question.

rose dit: à

et pkoi pas la fée clochette tant que vous y êtes ?

rose dit: à

ns voilà repartis ds mea maxima culpa.
Sans moi.

Delaporte dit: à

Pablo, votre méprise me rappelle la bourde d’un écrivain du XVII ou XVIIIe qui avait avancé que la maladie de Job était la syphilis. Qui n’existait pas encore à l’époque.

Delaporte dit: à

Bref, mon cher Pablo, il va falloir, en ce qui vous concerne, retourner à la maternelle, et cette fois être attentif à ce qu’on vous raconte. En attendant, vous pouvez évidemment nous abreuver de vos boniments sur la musique. Chaloux est là, qui mérite bien ça.

Delaporte dit: à

Evidemment, malgré toutes les preuves possibles que le Christ ne pouvait connaître le « sexe des anges », du moins l’expression, Pablo va garder la tête haute, comme si de rien n’était, et survivre à l’humiliation intellectuelle. Il va continuer à nous parler musique, le pauvre.

Delaporte dit: à

Moi, maintenant, quand une phrase ou parabole du Christ me semblera obscure, je vais demander à Pablo ce qu’il en pense… pour être illuminé de sainteté et de compréhension théologique. Ah ! sacré Pablo…

Delaporte dit: à

C’est vrai que la manière dont il a compris la parole « que votre oui soit oui… » est un modèle du genre. Le fils de mes voisins qui est en 10e n’aurait pas mieux dit ! C’est vraiment extra, un Pablito comme ça ! Il faut en profiter !!!

P. comme Paris dit: à

Mais en bal musette à Nogent en bord de Marne,
qu’en diriez-vous avec Ry Cooder ?

Delaporte dit: à

Je suis sûr que Pablito saurait nous expliquer la Trinité ; du moins qu’il ne reculerait pas devant la tentative. On serait vite chez Groucho Marx, mais, après tout, on est là pour se marrer…

Delaporte dit: à

Et notez que je n’ai pas encore parlé d’Ulrike Meinhof. Voilà un sujet qui fait bondir de haine notre Pablito. Il n’y connaît rien, là non plus, mais il a tant à dire, néanmoins. Ce phénomène de Pablo !

Chaloux dit: à

Sans traitement, de 8 % à 10 % des personnes atteintes souffrent de troubles neurologiques importants dix à vingt ans après le début de la maladie. Un quart des patients non traités sont victimes d’une méningo-encéphalite (Syphilis cerebrospinalis) qui aboutit à la démence (avec parfois une augmentation transitoire des capacités mentales et cognitives des individus contaminés).

Augmentation transitoire des capacités mentales et cognitives?
Une chose est certaine : Delaporte n’est pas atteint.

Delaporte dit: à

Le pire chez Pablito, c’est quand il nous parle d’un écrivain qu’il a censément rencontré et qu’il admire, comme Juan Rulfo. Là, c’est le désastre. Il le croise dans un Beaubourg désert, l’écrivain est ivre et pue l’alcool, et ne profère aucune parole prophétique… Pauvre Pablito qui revient bredouille chez lui, même pas de quoi écrire des Mémoires. Il est condamné à rester éternellement dans sa bauge, à s’ennuyer ferme.

P. comme Paris dit: à

« The pirates c’est un classique ou un jeu video pour ados boutonneux ? »

Koréen, de 2014, avec à peine deux meuf’s et puis wallou.
Putain de merdre, autant s’pignoler devant un gonzo.

Chaloux dit: à

Pauvre Delaporte, avec sa culture d’almanach… Va donc te coucher.

rose dit: à

Delante n’ est pas atteint mais Maupassant oui.

rose dit: à

Delaporte.

Pablo
gardez le moral.
à Nogent sur Marne ou Nogent le Rotrou.
Ça changera de Bougival.

P. comme Paris dit: à

Ah Rose,
que n’avez-vous pas connue le festival de Bièvre sous Lsd.

rose dit: à

je vais re-regarder la liste de x.
Celle des filles à la sensibilité implacable.
Celle des garçons déguisés en tortues- ninjas.
Doit y avoir Delivrance dedans.

Toi tu l’ as regardé une fois et plus jamais ça. Même le canyoning en Sierra de Guarra dans les gorges noires ne t’ a pas effacé les images atroces.
Pendant que le professeur agrégé se le regarde vingt fois en espérant comprendre quoi ? Que tout le monde est laid et mauvais ou qu’ il faut éviter la fréquentation de la nature sauvage ?

Pas de mea maxima culpa. Au diable vauvert.

rose dit: à

Ben non P. comme París. Pas même la vallée de Chevreuse.

rose dit: à

Le 2 masculin, Commissaire Maigret, x ?

rose dit: à

Clopine je compte sur vous.
Le 16 à 17h33.La líste de x.
J’ ai beau plancher, je sèche.

P. comme Paris dit: à

Sic,
de la Duchesse,
bonne amie de Monsieur Court.

rose dit: à

chapelle Sixtine peinte par Michel Angelo au tout début du XVI ème.1500 et des poussières. D’ où la question qui se posa soudain.

rose dit: à

bonne amie de Monsieur Court.
vite fait le mini mental State examination.
j’ assure (l’ ai appris par coeur 30/30 sans tricher).
vais tailler mon jardín en topiaire : boules, nuages, spirales.

pense à ttes ces femmes qui renoncent à la politique Mme Dumas, Delphine Batho , Fleur Pellerin etc. Au peu de place qui leur a été laissé.
À la REM qui bientôt se résumera à Frictouquet, Castagnette, Pénicaud et Nyssen.Et Bern et ses lotos du patrimoine, quelle riche idée.
Pendant que je mangerai/s une tartine camembert poire sur lit de figues & noix.

salut
bises

P. comme Paris dit: à

Bonne nuit Rose.

rose dit: à

je dors pas.

Delaporte dit: à

La lettre d’Isabelle Adjani à Salman Rushdie :

https://youtu.be/J06JK2pd5H0?list=PLluW1axwrkMMj_et7EDJQvOQaINhenArm

Adjani a toujours eu une grande affinité avec cet écrivain, qui est un parfait représentant d’une même classe sociale et qui appartient au même show bizz qu’elle. Le dernier livre de Salman Rushdie paraît, mais adjani ne semble pas encore l’avoir lu : elle en est resté à sa stupéfaction de lectrice séduite par Les versets sataniques, dont elle avait lu d’une voix tremblante un extrait lors de sa remise d’un César pour Camille Claudel. On notera, dans le commentaire d’Adjani, dans sa « lettre », plutôt, car cela se veut une lettre, les réserves d’usage sur la religion, quelle qu’elle soit. Un petit univers circonscrit, balisé, temporel, qui s’adresse somme toute à une frange étroite de la population. Dans son dernier roman, Rushdie a fait le portrait de milliardaires vivant à New York, bien loin des Versets sataniques qui lui ont valu au moins une décennie de clandestinité. C’est comme ça.

x dit: à

En attendant le retour des inventeurs du jeu, Jazzi et Clopine, et ceux qui pourraient deviner très facilement comme CP, pour ceux qui ont comme moi besoin de « divertissement » ou simplement envie d’exercer leur mémoire, je redonne la liste, en indiquant les éléments déjà trouvés par Lucien Bergeret, Bételgeuse puis Jansen. J’ai ajouté les dates pour orienter un peu la réflexion.

1. Ici, l’eau est partout, et la beauté aussi, une plume et un chien passent et reviennent, et je n’arrive pas à me mettre à genoux devant l’image de la femme au manteau entr’ouvert. 1983

2. Catastrophes naturelles, violence, disparitions, tout peut devenir un jeu à mon âge ; dans un accès de fièvre je me révélerai la plus dangereuse de tous ; le pirate innocent paiera pour moi, quand la civilisation et la vie normale, étriquée, m’auront reprise. 1965

3. J’ai sauvé, aidé et aimé l’étranger qui s’était aventuré sur notre fleuve sans voir ni comprendre la beauté autour de lui, sans entendre les murmures de la forêt. J’ai traversé l’océan, découvert d’autres rites, je n’ai pas pu faire autant d’encoches sur le bâton que je rencontrais d’étrangers mais les arbres, l’eau et le ciel demeurent. 2005

(4). Comme le cheval sauvage je ne supporte plus d’être enfermée ; à défaut d’être libre je voudrais me rendre utile, faire réparer les écoles du village, ou aider l’homme dans le malheur à payer ses arriérés de loyer, mais il jette devant moi tous les billets au feu.
2014 Turquie/Allemagne/France (mais d’après des romans et nouvelles russes : Tchékhov et Dostoïevski)
—> Winter Sleep Nuri Bilge Ceylan

5. Je perds un peu la mémoire, et c’est peut-être parce que l’aujourd’hui est si triste que mon passé remonte : l’Afrique, la ferme, nos films d’amateur, et mon amour perdu, sous l’œil des crocodiles. 2012

(6). Je suis évanescente, je sors d’un tableau de Gainsborough, je joue à la lumière des bougies pour oublier que mon irlandais de second mari dilapide la fortune que je lui ai apportée, que mon fils aîné le hait avec persévérance, que notre fils va mourir d’une chute de cheval
1975 USA/ UK
—> Stanley Kubrick, Barry Lyndon

7. Je vis au bout du monde avec mon mari et mon beau-fils difficile ; tout est dur et pourri autour de nous ; j’ai cru qu’un nouvel amour me sauverait avant de m’engloutir dans les eaux glacées.
2014

***

1. Je suis une canaille, un espion qui trahit pour des raisons bassement matérielles, pas même idéologiques, à une époque où le sort du monde est en jeu. Entre mes mains peut-être, qui ne doivent pas trembler. Et pourtant le spectateur vit tout cela de mon côté et fait presque des vœux pour ma réussite, en tout cas il tremble lorsque je risque de me faire prendre. Mais à traître, traître et demi, je ne l’emporterai pas au paradis. 1952

(2). Ectoplasmique ou pas, j’ai toujours aussi mauvais caractère : il faut dire que je ne supporte pas les squatteurs. Nom d’une pipe : c’est Ma maison, Mon portrait, Ma vue sur la mer. Je ne pouvais pas prévoir que je rencontrerais ainsi la femme de ma vie ; heureusement, j’avais tout mon temps pour l’attendre.
USA 1947
—> Joseph Mankiewicz, The Ghost and Mrs. Muir/ L’Aventure de madame Muir

3. La fête s’est transformée en cauchemar, c’est peut-être ma faute si le passé empoisonne ainsi le présent, ou bien la leur, à ceux de la grande famille avec tous leurs mensonges pour ne pas perdre la face. Mais même si je dois me défaire de tout ce pour quoi j’ai combattu, je sauverai la fille de celle que j’aime encore. Chacun a ses raisons. 2018

4. Famille je vous haime ? Je suis un chef d’orchestre survolté, une sorte de Toscanini British, qui élabore ses cauchemars et ses fantasmes en fonction de la musque que je dirige, pour le plus grand bonheur des spectateurs qui n’y entendent que du feu. 1948

5. J’encombre, je n’ai pas ma place auprès de mes parents qui veulent refaire leur vie, il est logique que je disparaisse, mais ce sera une fugue de mort. 2017

6. Malgré mon esprit et mon élégance, je me suis comporté comme un imbécile : j’ai laissé échapper une femme formidable, un brin casse-pieds et perfectionniste certes, mais qui a vraiment du chien. Mais il ne sera pas dit que je la laisserai se remarier, ni draguer par ce grand naïf de reporter que je lui ai moi-même présenté (et s’il allait me doubler dans la dernière ligne droite ?) 1940

(7). Je suis un baron non pas perché mais encombré. D’un laideron. Alors que je pourrais refaire ma vie avec un tendron. Alors l’encombrante, comment m’en débarrasser ?
Italie 1961
—> Pietro Germi, Divorzio all’italiana/ Divorce à l’italienne

renato dit: à

« chapelle Sixtine peinte par Michel Angelo au tout début du XVI ème.1500 et des poussières. D’ où la question qui se posa soudain. »

Pour l’expression « discuter sur le sexe des anges » voyez plutôt la question byzantine — siège de Constantinople 1453.

renato dit: à

La question byzantine : antécédent de la sternienne historie du nez…

Jazzi dit: à

« Algérie : le pape François ne se rendra pas à la béatification des moines de Tibéhirine »

Pourquoi, Delaporte ?

CLopine dit: à

Désolée, « x », votre liste ne me dit rien qui vaille. A part peut-être « Pocahontas » en 3 et « out of Africa » en 5, qui correspondrait à peu près (encore que je ne me souviens d’aucun crocodile dans le Blixen, et que je vous crois trop snob pour aller voir un Disney..) et encore. Je pense n’avoir vu aucun des films que vous citez…

Chaloux dit: à

@Phil. J’ai écouté la fiction Morand. C’est Playmobil pendant la guerre.

Quant à la princesse Soutzo, rappelons, ainsi qu’on peut le constater ci-dessous, qu’elle parlait sans accent russe (où l’eût-elle attrapé? on se le demande).

https://www.youtube.com/watch?v=9p_uv47kgUc

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

« L’expression « le sexe des anges » date du XVe siècle, mon pauvre Pablo ; le Christ ne pouvait donc la connaître…. »

Tu es vraiment un non-comprenant professionnel… Ou tu es analphabète et tu as beaucoup de mal à comprendre ce que tu lis. Ou alors c’est l’âge.

Je n’ai jamais dit que le Christ avait utilisé cette expression (ni celle des « en.culeurs de mouches en plein vol »), je l’ai utilisé pour dire qu’il condamnait les discussions théologiques.

J’ai écrit: « Le Christ parlait [dans Matthieu 5:37: « Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu’on y ajoute vient du malin. »] des disputes sur les idées, des discussion théologiques, des enc.uleurs de mouches en plein vol qui débattent sur le sexe des Anges et dont tu es un bon représentant, dans la branche « obsessions sexuelles ». »

Et après je t’ai dit que tu avais l’air d’ignorer que « discuter sur le sexe des anges » est une expression:

« Au fig. Discuter du sexe des anges. Discuter de questions alambiquées, oiseuses. Ils (…) m’ont taxé de byzantinisme tout de même que si j’avais discuté du sexe des anges (LANCELOT, Déf. de la lang. fr. ds Le Temps, 6 oct. 1938). »
(TLF)

Il faut vraiment que tu retournes à la maternelle pour réapprendre à lire. Ou dans un cours pour adultes analphabètes.

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

« En discutant avec Pablo, j’ai l’impression de devenir con, tant il fait baisser le niveau par ses arguties stupides. Je vais me mettre en grève, et ne lui adresserai plus la parole. »

Je croyais m’être débarrassé de toi, mais non: depuis que tu as écrit que tu n’allais plus m’adresser la parole, tu l’as fait 9 fois !!!

C’est Alzheimer ou que tu t’ennuies tellement dans la vie que tu dis n’importe quoi ici?

Jazzi dit: à

Phil, Morand surprend toujours là où on ne l’attend pas !

« Et pourtant le vrai repos de l’homme n’est pas une agitation qui ressemble vite à des travaux forcés. Avons-nous su assez le trouver en Nous ? Nous l’avons cherché dans un anéantissement du temps, dans un rythme saccadé. Est-ce la paix ?
Ne le découvrirons-nous pas plutôt dans cette retraite intérieure, dans ce loisir qui sont, comme à dit Bonnard, « la permission d’être soi-même » ?
Personne ne supporte plus la solitude et le sur-place. (…) Pourquoi ? – c’est un des aspects de cette peur de mourir, erreur matérialiste du monde occidental, par quoi, peut-être, il périra.
Tandis que les médecins veulent allonger la vie, les hommes veulent l’élargir en y faisant tenir de plus en plus de choses : vivre vite, c’est duper le sort, c’est vivre plusieurs fois ; les gens réagissent ainsi : puisque la mort c’est l’immobilité, le mouvement c’est la vie ; d’où beaucoup concluent que la grande vitesse, c’est la grande vie. (…)
Oui, à l’heure actuelle, nous vivons quatre fois plus qu’il y a un siècle ; mais peut-être vivons-nous quatre fois moins bien, quatre fois moins fort ; peut-être y a t-il une dépréciation de la monnaie ? La mobilité est l’instable principe de la vie d’aujourd’hui, qui n’en a guère plus d’autres. Vagabondage spécial à notre époque.
– N’est-ce pas par hâte que nous jetons par-dessus bord, l’un après l’autre, les lents outils du passé, les chevaux, la voile, la cuisine à feu doux, la politesse ? Qui prend encore le temps, dans les grandes villes, de manger, de dormir, d’accompagner à pied les morts au cimetière ? C’est la vitesse qui lézarde et disjoint notre vieux monde ; construit sur des soubassements profonds par de lents architectes, il est livré à d’impétueux mécaniciens qui ne travaillent qu’en surface. (…)
Quelle erreur cependant pour l’homme de croire que la vitesse pure l’enrichit ! Il va en être une des premières victimes. (…)
On attendait peut-être de moi un éloge de la vitesse, et voilà que je parais la condamner. (…) J’essaie de mesurer la vitesse, de me mesurer avec elle, de la domestiquer. « Téléphone, télégraphe, radio ont rendu possible – jusqu’à en être inquiétant – l’échange rapide des communications, écrit M. Anesaki. Mais qu’avons-nous à nous communiquer ? Des cotes de la Bourse, des résultats de foot-ball et des histoires de couchage. L’homme résistera-t-il à l’accroissement formidable de puissance dont la science moderne l’a doté ou se détruira-t-il en la maniant ? La science ne saurait répondre à ces questions. Ou bien l’homme sera-t-il assez spirituel pour savoir se servir de sa force nouvelle ? » Nous sommes de race équilibrée et, pas plus que les autres monstres, celui-ci ne doit nous faire peur. (…) La possession des richesses ne désorganise pas l’homme qui sait conserver le sentiment de leur néant. La religion nous a appris cela, et toutes les morales. Le sage s’efforce de ne pas voir les premiers plans immédiats, qui s’enfuient, mais de fixer les yeux sur les lointains, qui sont immobiles.
Le vrai repos vient de nous.
(Paul Morand, « Éloge du repos »)

Phil dit: à

dear Chaloux, je ne connaissais pas le principe de cette fiction pour débiles légers, d’autant plus affligeante qu’il a bien fallu payer les facturettes des récitants et autres « producteurs ».
vous dites très bien, « Morand, homme sans qualité humaine », affirmation surprenante de la part du prestigieux passouline, sans doute flagellé à son insu par le souvenir de Séville.

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« Ce que dit Cocteau de Ravel m’intéresserait vivement! »

Il faudrait que tu lisses les 8 vols de son Journal (tu n’es pas abonné aux bibliothèques municipales de Paris où on peut les trouver? Si c’était le cas tu pourrais aussi sortir la « Correspondance » de Debussy). Je suis sûr que cela t’intéresserai beaucoup.

Puisqu’on parle de Morand, Cocteau sur lui:

Morand m’écrit de Vevey: “Mauriac a publié des horreurs sur moi dans L’Express. Il les corrige par des lettres intimes fort aimables.” Toujours la même méthode.
(Le passé défini VI. 1958-1959)

Lu hier un livre de Paul Morand que je ne connaissais pas: « Parfaite de Saligny ». Paul est le véritable héritier de Stendhal. Il envoie la phrase juste et la pointe d’intelligence comme les gosses les boulettes de papier avec un élastique. Jamais il ne manque son but.
(Le passé défini VI. 1958-1959)

Cocteau, ça se voit très bien dans son Journal (où il est très libre, puisqu’il devait être publié après sa mort), avait de problèmes pathologiques d’ego (comme Liszt – son attitude avec Chopin le montre clairement). Cocteau allait souvent jusqu’au délire, se prenant pour l’écrivain le plus important du monde, pour un poète exceptionnel et pour un dessinateur au moins égal à Picasso (il en parle beaucoup de lui, dont le génie et la façon d’être – son côté « gitan » – le fascinaient, mais sans se rendre jamais compte que Picasso le prenait pour un rigolo).

x dit: à

« Rien qui vaille », Clopine ? C’est la première fois que j’entends parler d’une liste menaçante, inquiétante.
Snob parce qu’on s’intéresse à un cinéma qui n’est ni Camping 7 ni Superman 10 ? C’est bien triste venant de vous, à qui d’autres (vos frères ou vos collègues de travail) ont peut-être balancé la même injure.
Tant pis.

Pablo75 dit: à

Cocteau est souvent très lucide, mais il dit aussi souvent n’importe quoi, aveuglé par la jalousie. Et il déteste Ravel, je ne sais pas pourquoi. Je n’ai copié que quelques-unes de ses attaques dans le vol. VI de son Journal:

À la radio j’écoute la symphonie de Prokofiev. Aussi vide que Ravel dont Satie disait: “Il met la ponctuation, mais oublie d’écrire dessus.”
Cette époque (comme les autres) couronne la fausse audace, l’académisme sans culotte.
(Le passé défini VI. 1958-1959)

Ravel baisse – Satie monte – Debussy règne. Cette espèce de justice incompréhensible qui se forme à la longue malgré les imbéciles.
(Le passé défini VI. 1958-19599)

Debussy et Satie détestaient Ravel. J’avais noté une de leurs disputes du dimanche, où Satie, pour taquiner Debussy, feignait d’avoir aimé Les Valses nobles et sentimentales. Il faudra que je le retrouve. C’est pendant cette dispute que Debussy s’écria: “Ravel met la ponctuation, mais il oublie d’écrire dessous.”
En ce qui me concerne, je n’ai jamais connu d’imbécile plus imbécile que Maurice Ravel. Avec Stravinsky, nous complotions pour l’interroger et voir jusqu’où irait cette imbécillité. Elle était sans limites. Ravel était stupide et frivole. La pire espèce. Stravinsky l’appelait: “dandysme économique” [sic]. Ses gants de peau blanche puaient l’essence et lorsqu’il les rabattait, on voyait le numéro du dégraisseur.
Ravel me dit un jour: “Hier soir, j’ai lancé l’habit gris chez Mme Clemenceau.”
(Le passé défini VI. 1958-1959)

Ravel, prince des médiocres.
(Le passé défini VI. 1958-1959)

Je me souviens des explosions furieuses de Debussy contre Ravel. “Comment voulez-vous que de pareilles âneries puissent tenir le coup?” Stravinski, c’était une autre affaire. Debussy souffrait du Sacre. Il me disait: “Si vous êtes sincère, nous sommes foutus.” Il croyait naïvement qu’un clou chasse l’autre.
Gide, Giraudoux et même Valéry. J’ai toujours annoncé leur chute. Et j’ajoute: “Sans leur chute, ma naissance est impossible.” Ils me barrent la route. Ils doivent donc disparaître. Mais je ne croyais pas que les choses iraient si vite.
(Le passé défini VI. 1958-1959)

Pablo75 dit: à

À propos de Ravel, quelqu’un qui en parle très bien est Sviatoslav Richter. Tu as lu son livre « Ecrits, conversations » (Ed. Van de Velde-Actes Sud-Arte Éditions, 1998)?

À propos du disque du Concerto en sol d’Arturo Benedetti Michelangeli, il écrit: « C’est évidemment ce que Michelangeli a jamais fait de mieux. Je n’ai jusqu’ici pas encore entendu de meilleure interprétation de ce concerto. La froideur si caractéristique de ce pianiste est ici exactement appropriée et n’est en aucune façon en conflit avec la musique. »

Ravel – Concerto in Sol – Arturo Benedetti Michelangeli & Ettore Gracis

https://www.youtube.com/watch?v=T2cdTmnHEM4

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

« Ne le découvrirons-nous pas plutôt dans cette retraite intérieure, dans ce loisir qui sont, comme à dit Bonnard, « la permission d’être soi-même » ? »

Il manque une note après Bonnard: il s’agit d’Abel, pas de Pierre.

Lucien Bergeret dit: à

6 (hommes)à Indiscrétion de Cukor

Jazzi dit: à

« Cocteau est souvent très lucide, mais il dit aussi souvent n’importe quoi »

Le propre du « Journal » est d’être subjectif, Pablo75, et c’est pourquoi on prend plaisir à les lire…

christiane dit: à

Et vous, Phil, si vous deviez évoquer Paul Morand, dont vous citez souvent le nom, qu’écririez-vous ?
Ce papier de François Nourissier, publié dans « Le Point » le 22/01/2007 me plaît assez.
http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/2007-01-22/morand-l-abject-nourissier-raconte/989/0/68462
Ce fameux « Journal inutile » aura fait couler beaucoup d’encre…
Voyageur inlassable, lecteur de même, écrivain reconnu mais homme complexe et antisémite notoire.
Que lui vaut votre fidélité ?

Janssen J-J dit: à

@encore que je ne me souviens d’aucun crocodile dans le Blixen, et que je vous crois trop snob pour aller voir un Disney.

…en dit long sur la mentalité de la messagère, abeille indécrott’, pfff.

christiane dit: à

Ravel…
Le « Concerto de Ravel pour la main gauche »… Une histoire singulière… Après la Grande guerre de 1914, le pianiste Paul Wittgenstein, est blessé au front et son bras droit est amputé. Il encourage, alors, la création d’un répertoire exclusivement destiné à la main gauche. Issu d’une famille de riches industriels, Paul Wittgenstein peut y consacrer d’importants moyens. Il passe commande auprès de compositeurs contemporains dont Ravel.
Confrontation insolite entre le soliste et l’orchestre que ce « Concerto pour la main gauche » de Maurice Ravel. C’est une œuvre sombre, mélancolique qui doit donner l’impression d’une partie écrite pour les deux mains. Il semble que P.Wittgenstein ne fut pas content du résultat.
http://edutheque.philharmoniedeparis.fr/0764555-concerto-pour-la-main-gauche-de-maurice-ravel.aspx
En avez-vous un bon enregistrement, Pablo ?

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

« Le propre du « Journal » est d’être subjectif »

Oui, mais être subjectif ne veut pas dire écrire n’importe quoi. Cocteau a écrit dans son Journal beaucoup de co.nneries. Un exemple parmi des centaines d’autres:

« Une petite boulotte sans cou et fort commune – avec de lourdes attaches – c’est Marilyn Monroe, la femme qu’on cite à toutes les pages de tous les livres policiers comme la merveille des merveilles, comme Vénus, comme Hélène. Le cas Monroe est le cas le plus étrange que je connaisse dans le genre hypnose collective. »

Phil dit: à

Dear Christiane, la critique de Nourissier est bien trop vitaminée pour les auditeurs de radiofrance anémiés par trente ans de points de vue misérabilistes autoflagellants.
Bien qu’il jalousât sûrement l’écrivain voyageur en Porsche à plus de quatre vingts ans (« ses genoux calcifiés rétifs à changer de vitesses »), Nourissier n’aurait jamais parlé d’un « homme sans qualité humaine ». Morand mérite un bon point de vue, images du monde, rien de plus, rien de moins.

x dit: à

Lucien Bergeret 9h 45
Bloub, bloub, bloub, un contre-torpilleur coulé !
C’était bien la comédie du remariage Indiscrétions/ The Philadelphia Story
Cary Grant, Katherine Hepburn et James Stewart, excusez du peu.
J’ai trouvé ceci, surtout pour les regards échangés :
https://www.critikat.com/panorama/analyse/indiscretions/

Jazzi dit: à

« Une petite boulotte sans cou et fort commune – avec de lourdes attaches – »

C’est pas faux, Pablo75. Et cela rend d’autant plus fascinant le mystère !

Jazzi dit: à

x, pourquoi vos rébus cinématographiques ne fonctionnent pas ? Trop longs, trop lourds et pas assez percutants. Le principe du jeu repose sur l’identification au personnage principal du film. Des hommes pour Neuhoff, des femmes pour Clopine. Réessayez !

christiane dit: à

@Phil dit: 17 septembre 2018 à 10 h 30 min
Merci, Phil. Oui, « survitaminée » !

Pablo75 dit: à

@ Christiane

Ravel – Concerto pour la main gauche – Leon Fleisher & Seiji Ozawa

https://www.youtube.com/watch?v=7w7vIQe4HU0

En 1964, à 36 ans, Fleisher (qui a aujourd’hui 90 ans) a eu une paralysie de la main droite qui l’a obligé à ne jouer en concert que le répertoire pour la main gauche (dont les deux concertos pour piano commandés par Paul Wittgenstein, celui de Ravel et celui de Prokofiev) et à devenir chef d’orchestre et professeur (il a eu comme élève Hélène Grimaud). Trente ans après il a récupéré l’usage de la main droite.

Passou dit: à

A Chaloux de 23.18, Vous avez tort de les mélanger car le point de vue sur Morand n’est en rien lié à son rôle (mineur) ni à son attitude (comme à son habitude : lâcheté et cynisme) sous l’Occupation.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

 » « Une petite boulotte sans cou et fort commune – avec de lourdes attaches – »

C’est pas faux… »

Boulotte, sans cou et fort commune?

Tu es aussi myope que Cocteau?

https://www.youtube.com/watch?v=5eDHlgnRuaM

Lucien Bergeret dit: à

1 (hommes) James Mason dans L’affaire Ciceron peut-être

Jazzi dit: à

Ce que l’on aime avant tout chez un écrivain, c’est son point de vue, Pablo75. Mais chez toi, il semble qu’il doive nécessairement correspondre au tien !

Jazzi dit: à

« Tu es aussi myope que Cocteau ? »

Ou insensible à la viande féminine ? Pourtant Marilyn est une icône incontournable pour la plupart des homos, Renaud Camus se plaignait souvent de ce culte des gays, dans ses Journaux !

Bételgeuse dit: à

Jazzi , vu nombre de photos de l’actrice mais mis à part quelques scènes de sept ans de réflexion je ne me souviens pas avoir regardé un seul des films où elle joue. La photo, c’était son obsession, elle adorait être prise en image figée.

Phil dit: à

dear Baroz, votre film pour ipodés portraiture la génération « rétinienne », images et tapotages de messages idiots. même la fesse disparait dans la melasse virtuelle.

Lucien Bergeret dit: à

2 (femmes) Pourquoi pas Anna Karina dans Pierrot le Fou?

Jazzi dit: à

Oui,Phil, mais le film est un bel exercice de haute virtuosité. Original. Il propose une enquête policière et suspens et émotion fonctionnent. réflexion aussi.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

« Ce que l’on aime avant tout chez un écrivain, c’est son point de vue, Pablo75. Mais chez toi, il semble qu’il doive nécessairement correspondre au tien ! »

Dire que Marilyn Monroe est moche ou que Ravel est nul ce n’est pas un point de vue, mais une co.nnerie contredite par la réalité.

christiane dit: à

Pablo75 dit: 17 septembre 2018 à 10 h 45 min

Merci beaucoup. J’ai très envie de le réécouter. La dernière fois c’était en 1978…

Jazzi dit: à

Il ne dit pas qu’elle est moche, mais boulotte, Pablo75. Ne déforme pas !

Bételgeuse dit: à

Jazzi, elle a cultivé son apparence, a travaillé sur son corps et son intellect en dépit de l’idée du sex symbole que nous avons d’elle, elle a eu des problèmes de poids, au début de sa carrière ? Je l’ignore mais réels quand son mariage avec Arthur battait de l’aile alors qu’elle désirait un enfant et ne réussissait pas à en avoir, cela l’a minée entre autres choses de sa vie.

x dit: à

Bergeret à 11 h : eh oui ! (je pensais que Claudio Bahia devinerait…)
Bravissima.

Mais à 11h 23, non. Le « à mon âge » est essentiel.

Jazzi dit: à

« Des vaisseaux matériels de l’émotion » sur papier bible, les albums de la pléiades nous tweet Passou ? Seulement pour les riches ! Pour l’émotion, les pauvres, comme moi, se contenteront des livres de poche. ça marche aussi !

D. dit: à

Hier soir j’ai mangé du lapin à la moutarde.

D. dit: à

Delaporte, est-il vrai que vous ayez une culture d’ananas ? C’est Chaloux qui me l’a dit et ça m’a beaucoup surpris.

Bételgeuse dit: à

Russie, après deux jours d’interrogatoire il est hospitalisé en réanimation, empoisonnement, transféré sur Berlin pour suite des soins. Ressortissant canadien membre des Pussy quantity momentanément perturbe la coupe du monde de foot. Voir Le monde.

Bételgeuse dit: à

Ayant pour Quantity ,décidément ce téléphone délire. Sinon rumeur de ma rue, va ta faire en..leur, dégage . C’est charmant comme tout dans cette ville.

christiane dit: à

Dans ce concerto pour la main gauche, comment fait le pianiste pour aller d’une seule main de l’aigu au grave ? quel est le rôle du pouce par rapport aux autres doigts ? Est-ce facile pour un pianiste de laisser sa main droite complètement inoccupée ?
Donc L.Fleisher a pu rejouer à deux mains. Que lui était-il arrivé ?
On voit sa main, là (le pouce est incroyable):
https://www.youtube.com/watch?v=X0LBezQGLNo
Ravel conduisait des ambulances pendant cette guerre. Il a vu de près les grands blessés. Ce concerto s’en ressent.

Bételgeuse dit: à

Enc.ler. et ça continue, après toutes ces réjouissances musicales de l’été, le dialogue de la rue rehausse le niveau.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

« Il ne dit pas qu’elle est moche, mais boulotte… Ne déforme pas ! »

Moi si on me dit d’une femme que je ne connais pas que c’est « une petite boulotte sans cou et avec de lourdes attaches » et que les gens qui l’aiment souffrent « d’hypnose collective », je pense que c’est une femme moche.

En réalité Cocteau ne supportait pas sa célébrité, comme celle de tant d’autres (il attaque bêtement Brassens, Ferré ou Aznavour parce qu’ils deviennent très célèbres – plus que lui). Et dans son Journal montre souvent la grave myopie dont il souffre. Le cas le plus drôle est qu’il se trouve lui-même très viril quand il se regarde dans la glace.

Bételgeuse dit: à

Pablo, merci pour La danse des chevaliers, un extrait d’une chorégraphie avec Noureev, costumes somptueux. https://youtu.be/GSCYI_G5wfY

Pablo75 dit: à

@ D.

Et toi, tu trouves comment Marilyn Monroe?

Bételgeuse dit: à

Elle n’était pas boulotte, Jazzi, quant aux attaches on se croirait chez les maquignons. Le faire est que de brune elle est devenue blonde , actuellement les actrices s’entraînent physiquement et développent leurs compétences sansxsue personne ne trouve à redire. Enfin tout s’apprend si l’on est apte à l’apprentissage. Prenez La Callas, un vrai cas de femme boulotte pas franchement belle et qui s’est métamorphosée en Diva et star internationale incroyablement classe et séduisante. Au départ une chanteuse grecque que tout le monde ignorait. Pas géniale du tout hormis la voix.

Jazzi dit: à

« je pense que c’est une femme moche »

Jean Renoir a dit la même chose, même pire, de la sublime Greta Garbo, Pablo75. Des goûts et des couleurs…

Bételgeuse dit: à

Le fait, remplacer les mots incongrus par le relatif _ que_ .merci.

rose dit: à

Delaporte à 0h21

vu ; merci

« L’expression fait référence à un événement historique bien précis, à savoir le siège de Constantinople le 29 mai 1453. Alors que les forces turques s’apprêtaient à entrer dans la ville, les religieux byzantins étaient occupés à discuter de la question théologique du sexe des anges, facilitant la prise de Constantinople. Cet épisode a également donné naissance à l’expression querelle byzantine. »

Jazzi dit: à

Voilà ce qu’écrivait Paul Morand dans la Gazette de Lausanne du 5 décembre 1932 :

« En quel état l’Amérique nous rend-elle nos héros? Hollywood a prodigieusement enlaidi Greta Garbo, encore que cette frêle femme ait témoigné d’une force de résistance qui a étonné la Californie. Rappelez-vous la Greta de La Rue sans joie [de Georg Wilhelm Pabst, 1925]; comme elle était spiritualisée, éclatante de pauvreté, muette, profonde! Aujourd’hui, elle parle: elle parle du nez et dit des choses affreuses; elle est sexuelle avec ostentation. En Europe, c’était une duchesse dans une mansarde; en Amérique, c’est une plébéienne en manteau d’hermine. On l’a dépaysée aussi absurdement qu’une vierge gothique de Flandre ou de Touraine emprisonnée chez M. George Blumenthal [le banquier allemand mécène du Metropolitan Museum of Art de New York]. Et si ce n’était assez comme mascarade, on lui a encore donné pour suivante, pour doublure, cette superbe fille de beuglant de garnison, cette Marlene Dietrich, devenue une fausse Greta Garbo, pensive et distinguée et moralement comme physiquement décolorée. […] »

rose dit: à

6/ la liste des hommes, x

La dame du vendredi de Howard Hawks 1940

(avec de l’ aide)

Jazzi dit: à

Greta Garbo était un homme !

« Garbo a gardé sa vie privée hors des feux de la rampe. « I want to be alone » (« Je veux être seule »), l’une de ses tirades les plus célèbres à l’écran, dans Grand Hotel, lui a été faussement attribuée à la ville. Garbo rectifia cependant après le film, arguant qu’elle n’avait jamais dit qu’elle voulait être seule, mais qu’elle voulait qu’on la laisse tranquille (« I never said, ‘I want to be alone.’ I only said, ‘I want to be let alone.’ There is all the difference. »).
D’après les lettres privées dont la publication a été autorisée en Suède en 2005 pour marquer le centenaire de sa naissance, il semblerait qu’elle ait été refermée sur elle-même et assez dépressive.
Greta Garbo était bisexuelle, et s’est engagée dans de notables relations amoureuses avec des hommes et des femmes. Elle aurait eu tendance à préférer les femmes, et à se désintéresser de la sexualité en mûrissant8. Il semblerait que Greta Garbo soit restée célibataire par amour pour l’actrice suédoise Mimi Pollak[réf. souhaitée] avec qui elle entretint une relation épistolaire qui dura soixante ans. À la naissance du fils de Mimi Pollak, elle expédia à celle-ci ce télégramme : « Incredibly proud to be a father » (« Incroyablement fière d’être père »).
Sa liaison hétérosexuelle la plus célèbre fut avec l’acteur John Gilbert. Lorsqu’ils se partagèrent le premier rôle pour la première fois dans Flesh and the Devil, leur « intensité érotique » fut perceptible à l’écran. Il est dit que Gilbert demanda Greta Garbo en mariage trois fois et qu’il ne fut pas le seul. L’éditeur suédois Lars Saxon l’aurait aussi demandée en mariage, mais lui reçut une lettre qui confirmait que Garbo « resterait toute sa vie célibataire. Le mot « épouse » est tellement laid » (« I will probably remain a bachelor all my life. “Wife” is such an ugly word. »).
Elle fut également la maîtresse du chef d’orchestre Leopold Stokowski qui avait quitté pour elle son épouse Olga Samaroff. En dépit de certaines rumeurs, il ne fut pas question de mariage entre eux.
La femme de lettres Mercedes de Acosta, dont la correspondance avec Greta Garbo fut publiée en 2000, dit avoir eu une longue relation avec elle.
Elle a également été liée de façon plus ou moins platonique avec les actrices Marlene Dietrich, Claudette Colbert, Joan Crawford, Louise Brooks, Ona Munson, et avec l’auteur Salka Viertel. »
(Wikipedia)

Jazzi dit: à

« Car, mon vrai visage, ils ne le connaissent pas ; et moi-même, je l’ai oublié : pour offrir aux hommes cette merveille hors du temps, cette splendeur de mes traits telle que, sur l’écran, ils l’adorent, j’ai dû altérer la figure d’enfant que Dieu m’avait donnée… Qui sait si je n’ai point déplacé mes sourcils… et ce ne sont peut-être pas mes vrais cils qui ombragent mes regards. La jeune chair n’épand plus sa chaleur, ne rayonne plus à travers les fards, les enduits et les pâtes. Je me suis détruite, je me suis sacrifiée à l’image d’une beauté qui pût assouvir chacun de ces millions de désirs trompés, d’attentes sans espérance. Je suis ce que cet adolescent ne trouvera jamais, et ce que pendant un demi-siècle ce vieillard chercha en vain, et ce que cette femme aurait voulu être, afin de retenir celui qui l’a trahie. Comprenez-vous pourquoi je me dérobe ? C’est par pitié pour eux, et parce que je ne veux pas qu’ils sachent que je n’existe pas. »
Ainsi parlait Greta Garbo. Je la voyais pourtant ; ou plutôt, à cette heure indécise du chien et loup, j’entrevoyais une forme merveilleuse, pareille, il est vrai, à beaucoup d’autres. Tout ce que la voilette, arrêtée au-dessus de la bouche, ne me dérobait pas, disparaissait sous la couche de plâtre et de peinture qui recouvre aujourd’hui le peuple entier des femmes. Je songeais qu’il est étrange que le cinéma exige de ses étoiles cet excès du maquillage pour atteindre à nous livrer, d’une figure, la pure essence. L’écran, barrage mystérieux, ne laisse filtrer que les éléments impérissables de ce nez, de cette bouche. Peut-être, pâtes et onguents servent-ils à en absorber et à en dissoudre tout l’éphémère ? La pensée que Dieu eut, en créant un tel visage, apparaît dans ce dessin d’une simplicité céleste, nettoyé de toute souillure, préparé pour l’Eternité. Il serait incompréhensible que les foules du monde entier, devant cette révélation, n’eussent point la tentation de tomber à genoux, si l’écran ne fixait aussi, hélas ! n’isolait, ne détachait ce qu’il y a de pire, pour chacun de nous, dans un trop beau regard.
Ces yeux merveilleux de Greta Garbo, un garçon faible et fiévreux, perdu dans ces foules innombrables, en supporte tout seul le trouble immense. Chaque désir, en particulier, est éveillé par cette créature à la fois réelle et inaccessible. Impunément, la femme sourit, entrouvre les lèvres, gonfle le cou, laisse retomber à demi sa paupière. Elle est là, vivante et offerte à des millions d’hommes ; mais si l’un d’eux, pris de folie, se précipitait, il ne trouverait rien de plus que le chiffon tendu sur le vide, dont le taureau se leurre, et il n’embrasserait que le néant. »
(François Mauriac, « Journal » 1932-1939)

rose dit: à

je pense bien à Martín Scorcese

D. dit: à

J’aime le charme de Marylin Monroe même si celle-ci ne correspond pas précisément à mon type de femme. Il y avait chez elle une inconséquence dont je n’ai jamais vraiment compris si elle était volontaire ou non.
Elle était une femme sympathique mais « gravement désordonnée ». Et sa façon de quitter ce monde fut en parfaite correspondance avec ce désordre grave.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Pour un Jean Renoir qui trouve moche Garbo et un Cocteau qui trouve moche Marilyn, combien de centaines de millions de personnes qui les trouvent sublimes?

« Des goûts et des couleurs… » et des statistiques.

(Quant à Morand, il ne trouve pas moche Garbo dans le texte que tu donnes).

rose dit: à

12 sept 2018
lettre d’adjani à Salman rushdie
+ tous ces gens qui n’ acceptent plus d’ être des pantins derrière des autocrates ( Premier adjoint maire de paris)
j’en pleurerais, si j’ devais pas faire face.
demain yom kippour ;
j’ui dit shalom. faites attention à ne pas tomber. E’m remercie ; me dit chui tombée deux fois déjà. L’ est toute âgée.

Bételgeuse dit: à

Pablo, j’ai lu il y a pas mal de temps une biographie d’Arthur Miller où il était évidemment question de son mariage avec Monroe. La lune de miel ne dura qu’un moment, leur couple du assez rapidement distandu et ils vivement séparés, il lui rendait visite, la voyait grossir, elle déplorait , crois je me souvenir, des fausses couches et connaissaient d’innombrables et sérieuses difficultés sur les tournages des films.

Bételgeuse dit: à

Cut pour di et vivaient pour vivement.

Bételgeuse dit: à

Merde! Fut pour du.

D. dit: à

Ho hé doucement Béber.

D. dit: à

12h29
Ah ben faut assumer. On l’a pas obligé au départ.

D. dit: à

C’est va te faire en lalair que vous vouliez écrire sans doute Bérénice ? Ou ô lalalair ?

Bételgeuse dit: à

D, une intolérance à l’atropine ou à je ne sais quel produit, il délire et hallucine mais il est vrai qu’en Russie mieux vaut ne pas se risquer à la contestation, protestation, manifestation, opposition, tous les mots en ions à moins de rechercher pension ou moins voir plus si affinition.

Delaporte dit: à

« Je n’ai jamais dit que le Christ avait utilisé cette expression (ni celle des « en.culeurs de mouches en plein vol »), je l’ai utilisé pour dire qu’il condamnait les discussions théologiques. »

Le Christ ne condamnait pas du tout les discussions théologiques, par contre il critiquait âprement les pharisiens pour leur manière de vivre et leur hypocrisie. Pablito, vous n’y connaissez rien ! C’est consternant de vous voir patauger dans ces approximations.

Bételgeuse dit: à

Des moins, du verbe nier , le pouvoir, des coups , la répression.

Bételgeuse dit: à

Des nions, p…..de telephone!

Bételgeuse dit: à

Le couple vivait séparé ( pour résumer la situation) ne me demandez pas des précisions, cela fait des lustres que je l’ai lu, et je suis atteinte de dégénérescence sénile précoce.

rose dit: à

bérénice
même qd on a fini il corrige encore.

x
j’vais chercher les autres

Delaporte dit: à

On se demande si le christianisme est la religion de Pablo, s’il a lu les évangiles, s’il connaît un peu l’histoire. Vu les bourdes qu’il aligne, on a l’impression d’être en présence d’un extra-terrestre. Qu’il nous parle plutôt de musique, avec Chaloux, ça ne fait pas de mal… même si ça encombre le blog.

Bételgeuse dit: à

Dans tous ces faits divers à l’empoisonnement et l’emprisonnement Madi by Russia il est possible d’y voir un pied de nez aux puissances étrangères, Angleterre, Canada, Ukraine. A qui le tour? Les heureux gagnants du Loto russe ne savent pas encore à quelle sauce ils seront excecution ni à quel état ils appartiennent. Jeu de chance et de hasard. Welcome Russia today.

Bételgeuse dit: à

Excecutés.ppur excecution. Attendons l’électrocution , des fils mal branchés et hop, un accident d’avion, un PDG en moins, bouh, quel malheur!

Delaporte dit: à

Le Christ a par exemple parlé de théologie dans son entretien avec Nicodème (début de l’évangile de Jean). Nicodème est venue voir le Christ en secret, la nuit ; Jésus lui parle de choses d’une hauteur spirituelle considérable. Tous les théologiens apprécient particulièrement ce très beau passage, qui confirme la nécessité de la théologie. La théologie est un sublime discours, encouragé par Dieu, et qui a le premier mérite de rendre croyant celui qui s’y livre. Alors, quand ce crétin de Pablito vient nous dire que le Christ condamnait la théologie, on rigole !!!

Delaporte dit: à

Pablito est aussi borné intellectuellement en parlant du Christ que de, par exemple, Ulrike Meinhof. C’est consternant de voir un type comme Pablito qui « consomme » des livres qu’il ne comprend pas, des livres qui ne sont pas faits pour lui et son esprit borné. Un crétin comme Pablito qui lit des livres reste un crétin borné. Un crétin qui lit Goethe reste un crétin goethéen. Pauvre Goeuthe ! et surtout pauvre Juan Rulfo, que Pablito a lu mais sans doute pas compris. Rulfo a dû en rencontrer, et pas seulement à Beaubourg, de ces crétins qui l’avaient soi-disant lu, et qui restaient des crétins, des crétins pour l’éternité. Mais quel sombre crétin, ce Pablito !!!

Bételgeuse dit: à

Delaporte, je suis agnostique , suis je pour autant une extra terrestre? Nous pourrions le vérifier sexuellement cependant je ne connais rien pas plus que vous à ce qui se manifeste dans cette dernière, pensez vous que leurs us et coutumes différent des nôtres ?

Bételgeuse dit: à

L’été 2017 fut sous l’emprise qu’exerçait Roman Polanski sur votre esprit, 2018 aura réussi à bouger votre curseur sur cette UM , attendons une prochaine figure de proue à votre embarcation. Ainsi vous condamnée lourdement des erreurs de jeunesse n’ayant pas entraîné la mort et vous idolâtres une théoricienne partisane de l’action armée qui demande tout de même 34 morts. Comment les excusez vous, quels est votre argumentaire lesté de cette revendication politique qui si elle se fixait un but défendable utilisa des moyens qui conduisirent a des fins condamnables?

x dit: à

rose 17 septembre 2018 à 13 h 04 min : Oui !
Avec l’aide de Rossini, Wagner et Tchaïkovski.

Delaporte dit: à

Monroe était une actrice magnifique, et intelligente, évidemment. On ne peut arriver à ce niveau sans avoir beaucoup d’intelligence. Elle avait la beauté qui allait avec. Greta Garbo était encore plus fascinante, si c’est possible, et encore plus belle, et peut-être encore plus intelligente. Car le mystère autour de Garbo était considérable. Le mystère autour de ces femmes était proportionnel à leur génie humain et artistique. Cela marque toute une époque, qui n’est plus. Les actrices aujourd’hui sont moins redoutables. Elles se moulent dans un environnement plus commun, comme par exemple la sublime Marion Cotillard. Elles savent qu’un prédateur rôde (Harvey Weinstein, le producteur maudit, qui veut se payer sur leur viande). Tristes temps où la lumière n’est pas acceptée.

Bételgeuse dit: à

Condamnez,idolatrez, quel est vôtre argumentaire

Bételgeuse dit: à

D, le génie créatif s’assortit toujours de mystère, combien de véritables génies en un siècle? Les stars sont des personnes incontestablement bénies des Dieux, intelligence, beauté, adaptabilité, il en faut pour briller et durer. Mais les génies sont encore plus rares. Pour tout vous dire une foule de personnes m’epatent , me laissent admirative de et de plus nous dont bénéfiques et nécessaires quand à côté les contre génies qui sont aussi des génies s’ingénient à semer la désolation. Le déséquilibre est flagrant .

Bételgeuse dit: à

Sont pour dont. Je sors. Ciao.

D. dit: à

Delaporte, à mon sens Maria Cotillon doit surtout son succès à son nom que l’on retient très facilement. Si elle s’était appelée Simone Lefèvre il en aurait été tout autrement.

D. dit: à

Simone Lefèvre ou bien Bertha Dupeu.
Ce ne sont que des exemples.

x dit: à

Femmes
n° 3 : en parlant de Pocahontas Clopine « avait bon » : il s’agit bien de son histoire. Mais racontée autrement.

n°5 : « out of Africa » conviendrait pour décrire l’histoire, mais ce n’est pas la bonne langue (le français non plus), et la protagoniste n’est pas une baronne danoise. Vu le nombre relativement restreint de puissances coloniales, cela devrait aider.

le n° 7 (femmes) et le n° 5 (hommes) sont du même réalisateur.

Hommes
le n° 3 a un point commun avec Vertigo de Hitchcock : la présence forte d’un clocher.

D. dit: à

Nous pourrions le vérifier sexuellement

Oh que non. Beaucoup de races d’extraterrestres copulent avec la race humaine et avec talent. Certains utilisent pour cela des enveloppes charnelles empruntées à des humains. En manipulant la dimension temporelle, ces derniers ne se rendent compte de rien. Ils croient juste avoir bien dormi.

Delaporte dit: à

« Delaporte, à mon sens Maria Cotillon doit surtout son succès à son nom que l’on retient très facilement. »

Vous plaisantez, D ? Vous voulez que je vous remette le lien de sa lecture du texte de saint Paul sur l’amour lors des obsèques de Johnny ?

D. dit: à

Ça vous est peut-être déjà arrivé, Delaporte. Alors que vous étiez temporairement réduit à une simple forme énergétique astrale en plein rêve, une créature extraterrestre à emprunté votre enveloppe charnelle pour aller copuler avec je ne sais qui je ne sais où.
Classicos.

D. dit: à

Je n’ai pas l’habitude de plaisanter sur des sujets aussi sérieux, Delaporte. Je lis mieux ce texte que cette jeune actrice. De façon certaine.

Delaporte dit: à

Chacun ses goûts, D.

D. dit: à

Je n’appelle pas cela du génie en ce qui me concerne, c’est une simple expression de ce que je suis capable de faire, c’est tout.

Jazzi dit: à

Et est-ce que tu bouges ton c.ul aussi bien que Marilyn, D. ?

D. dit: à

Ce n’est pas une question de goût. Mais de hiérarchisation des résultats. Je m’estime bien meilleur que Cotillon. C’est tout. Et je pense avoir parfaitement raison.

P. comme Paris dit: à

Pour D,
les extraterrestres sont les incubes et les succubes de nos rêves.
Merci D.

D. dit: à

Non là-dessus, Jazzi, je ne suis pas doué. Je le dis très humblement.

ed dit: à

« tu t’ennuies tellement dans la vie que tu dis n’importe quoi ici? »

Miaou.

D. dit: à

Oh quele heureuse surprise ! Bonjour ed, comment vas-tu ?

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

« En discutant avec Pablo, j’ai l’impression de devenir con »

Ce n’est pas une impression: c’est une réalité. Et plus tu polémiques avec moi et plus con tu deviens.

« Je vais me mettre en grève, et ne lui adresserai plus la parole. »

Depuis que tu t’es mis en grève tu m’a adressé la parole 13 fois !!!

Ce qui veut dire que tu n’as aucune parole. Encore une preuve de ton christianisme de pacotille. Tu n’es qu’une grenouille de bénitier.

vedo dit: à

Christiane, (10h01)
Le papier de Nourissier–quelle bonne information vous avez–permet de mesurer par sa qualité le déclin depuis lors. Pour ce qui est du sujet, il me semble que, peut-être, ce monde nous fascine parce que nous nous rendons compte de sa richesse d’expression que nous n’avons plus, alors que nous percevons la vacuité du fond, voire sa nocivité, sans toutefois pouvoir apporter rien de bien exaltant, à la fois pour la forme et le fond.

Delaporte dit: à

Pablo75 dit: 17 septembre 2018 à 15 h 49 min

Il radote de plus belle, on dirait.

D. dit: à

Vedo, je n’ai aucun conseil à vous donner mais si vous voulez que les gens vous lisent ici, changez de pseudonyme. Je peux vous conseiller si vous en formulez le souhait.

Pablo75 dit: à

@ D.

Tu as lu « Enquête sur les enlèvements extraterrestres » de Marie-Thérèse de Brosses ou « Abductions » du psychiatre et professeur à la Harvard Medical School John E.Mack?

(Si quelqu’un aime se faire peur avec une lecture, qu’il lise le livre de M.T. de Brosses, 12 € sur Amazon).

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

14 fois !!!

D. dit: à

Je connais cette personne, Pablo, laquelle est très respectable, mais je n’ai pas eu besoin de lire son livre. J’en connais à l’avance le contenu.

Pablo75 dit: à

@ Ed

Si tu savais comme il s’embête Delaporte sans toi !

Pablo75 dit: à

@ D.

Tu as entendu Marie-Thérèse de Brosses sur Radio Ici et Maintenant?

D. dit: à

Une chose est certaine : il est totalement vain de tenter de maîtriser ou lutter contre le phénomène.
Nous ne possédons aucune capacité pour le faire et nous ne pouvons en acquérir aucune non plus. Eux et nous, c’est comme nous aujourd’hui et un groupe de chimpanzé. Même fossé. S’ils le veulent ils peuvent nous anéantir avant même que nous ayons pu dire ouf.

Bételgeuse dit: à

Les actualités du WWF France. Stop à l’exploitation de la montagne d’or.

Pablo75 dit: à

@ D.

Ils pourraient le faire en théorie, mais pas en pratique. Tu sais bien qu’il y a d’autres « races supérieures » qui les surveillent.

D. dit: à

Je reçois très mal 95.2 mais il m’est arrivé de l’écouter en voiture ou sur Internet.
Il y a des choses intéressantes. J’aime bien la personnalité et le charisme de son fondateur Didier de Plaige.
Sinon j’ai déjà regardé sur YouTube des vidéos avec MT de Brosse.
Pour tout te dire, Pablo, je me suis retrouvé un jour avec un implant dans l’avant-bras. Je ne l’ai pas fait enlever volontairement. Ils me l’ont laissé quelques mois et un matin je ne l’avais plus. Qu’on-t-ils changé en moi ? Probablement le désir d’en savoir encore plus. Et il faut reconnaître que ce fut efficace car je n’ai plus cherché à en savoir plus depuis.

D. dit: à

Oui ce que tu dis à 16:16 est vrai en un sens mais la situation est beaucoup plus complexe que ça. Pour l’appréhender correctement il faut avoir leur capacité mentale.
Ce que nous ne pouvons pas savoir c’est pourquoi nous sommes « protégés ». Il peut y avoir de très nombreuses réponses à cette question.

vedo dit: à

D. (15:57)
Je ne comprends pas l’importance du pseudo. Mais je perçois évidemment un certain décalage…

Delaporte dit: à

« Si tu savais comme il s’embête Delaporte sans toi ! »

Et même je déprime ! Quand Ed était là, et nous apportait ses commentaires loufoques et un brin vulgaires, c’était le bon temps. Là, on se marrait vraiment. Elle n’y était pour rien, la pauvre petite. C’était dans sa nature. C’est dommage qu’elle ait choisi l’abstinence au blog, elle avait encore tant de choses débiles à nous raconter sur sa punktitude et ses épingles à nourrice !

Bételgeuse dit: à

Pablo, comme s’il était besoin d’ajouter des raisons d’avoir peur. Les humains sont déjà bien assez înquietants par leurs inconséquences et leur vision à court terme,non?

Claudio Bahia dit: à

Bételgeuse dit: 17 septembre 2018 à 13 h 38 min
Norma, 1958
MERCI !!!!!
mais il faudrait écouter la version de 1955, dirigée par un chef talentueux, Antonino Votto, bien mieux que T.Serafin (au moins pour Norma)
mais ce n’est que mon avis.
Superbe Maria Callas

D. dit: à

Ils se sont aussi manifestés à moi plusieurs autres fois. Une fois en faisant passer plusieurs de leurs vaisseaux sous mes yeux et c’est très très très impressionnant parce que ça vous imprime dans l’esprit ce qu’ils peuvent, où ils en sont par rapport à nous.
C’est exactement ce que j’ai ressenti. Quelque chose comme : « ça t’intéresse ? On le sait, seulement voilà : nous c’est ça, c’est vraiment ça. Mais aucune sensation de malveillance non plus. Le mode démonstratif neutre en quelque sorte »
Une autre fois ils m’ont parlé par personne humaine interposée, dans la rue, en plein Paris. Ils ont très temporairement « possédé » une personne pour me parler. Je les ai immédiatement identifiés. Là encore, c’était dans un but démonstratif, pour me montrer ce qu’ils savaient faire mais à ce moment-là j’ai été plus inquiet d’une part parce que j’avais la « personne » tout près de moi, d’autre part parce que ça m’a semblé un poil moins neutre que le passage des vausseaux. Comme pour me dire : ça aussi on sait le faire et imagine un peu les conséquences qui en découlent, es-tu vraiment sûr de vouloir faire un pas de plus vers nous ? Et là j’ai compris le danger et à quelle rapidité j’étais dépassé. Donc stop.

Bételgeuse dit: à

Claudio, j’ai lu sur wiki qu’elles sont selon le site les plus reussies, celle de 58 n’y figure pas mais elle est considérée comme la meilleure interprète de cette œuvre.

D. dit: à

Vous êtes une dame ou un monsieur, vedo ?

vedo dit: à

D, cela ne devrait pas compter.

D. dit: à

Ben si, on a l’impression de lire « vero »
On voudrait savoir si c’est du lard ou du cochon, si vous ma pardonnez la trivialité de l’expression.

D. dit: à

On demande pas la lune, non plus.

vedo dit: à

Vedo m’est venu ainsi
Que
vedo
(avec mon admiration pour Quevedo).

D. dit: à

Ah ben voilà. Quevedo. Très bien. Merci.

christiane dit: à

Vedo – 15h52
Ah, vous aimez la plume de Nourrisier, vous aussi… Ses chroniques étaient souvent féroces mais savoureuses.
Ci-joint un bel hommage, sur le Figaro :
http://www.lefigaro.fr/livres/2011/02/16/03005-20110216ARTFIG00399-francois-nourissier-une-histoire-francaise.php
Dans les liens , en bas de l’article, un renvoi au témoignage de Pierre Assouline ( paru dans « Vies de Job »). Il y a eu, également, un billet en 2011 dans la « République des Livres » mais je ne le retrouve pas.

Janssen J-J dit: à

Quelqu’un (Passoul, peut-être ?) sait-il ici où en est la lecture du manuscrit « le fantôme d’Auschwitz » déposé avant l’été, et sa date approximative de parution ? Merci de nous informer.

D. dit: à

Rappelez-nous l’auteur, JJJ ? Et nous chercherons.

Janssen J-J dit: à

Très émouvante apparition d’Alice Schwarzer hier soir, dans son témoignage tout en retenue sur Romy Schneider. Elle fut pour moi la première féministe à avoir attiré mon attention avec « la petite différence et ses grandes conséquences ». Je commençais juste à apprendre la vie, Simone de Beauvoir n’était pas encore la bisexuelle que l’on sait, juste écho lointain. Mais je me mis à lire le deuxième sexe, nonobstant. Et depuis lors, je suis resté attaché à la défense des minorités ethnico sexuelles. J’ai surtout apprécié à la façon dont les gender studies, au cours de la dernière génération, ont tenté de coloniser les sciences humaines et de changer le regard du monde sur lui-même. Cela me donne beaucoup d’espoir pour l’écologie féministe s’agissant d’entreprendre la sauvetage de la planète. Hélas, les Hulot et consorts sont moins résistibles.

Janssen J-J dit: à

@17.46, d’un prétendu michel alb.a qui sévissait jadis sous le pseudonyme de widergangen, peu des récents arrivés l’ont connu ici.

vedo dit: à

Respectons au moins son pseudo, wiedergänger, ce qui pourrait se traduire en anglais « contrarian ».

D. dit: à

Ah oui, ça me dit vaguement quelque chose.

D. dit: à

Il était comte si ma mémoire est bonne ?

christiane dit: à

@Janssen J-J dit: 17 septembre 2018 à 17 h 57 min
Même si vos rapports étaient parfois orageux, rien ne vous autorise à écrire ici son nom et son prénom. Aimeriez-vous que quelqu’un écrive le vôtre ? Certains se moquent de lui et le mettent plus bas que terre. C’est passer un peu vite sur sa culture solide, ses approches littéraires, son métier qu’il assure avec conviction et de beaux résultats. Il était odieux avec Chaloux mais c’était vrai aussi de Chaloux envers lui. Comme l’a écrit Lavande ou DHH (je ne sais plus), nous nous étions habitués à leurs échanges grossiers mais nous les trouvions lassants. Je n’aimais pas ses dires sur les femmes qu’il désirait soumises ( paroles plus ridicules et vantardes que justes) par contre, qu’il ait brodé sur ses ascendants ne me gênait nullement. L’invention de soi est une forme de création littéraire. Je continue à écrire W. quand je l’évoque ou WGG (comme beaucoup). Les absents ont toujours tort, dit-on…

rose dit: à

duc.
nous avions deux ducs à l’époque.
le revenant disait-il pour wiedergänger.

christiane dit: à

@vedo dit: 17 septembre 2018 à 18 h 12 min
Bravo, Vedo !

Lavande dit: à

Vedo = je vois ! C’est un pseudo optimiste !

D. dit: à

Video, pas vedo.

Claudio Bahia dit: à

« …elle est considérée comme la meilleure interprète de cette œuvre… »
c’est vrai mais il ne faut pas oublier de rendre grande justice et admiration à Joan Sutherland, en particulier sa Norma de 1964.
Mais bien sûr, il ne s’agit pas ici de comparer leurs tessitures.
Paris 1958 n’est pas une représentation de l’opéra, mais un concert, ou elle n’y a interprété que cet air. J’avais mentionné Callas 1955, car sa voix était alors à son apogée, vraiment, et la direction était la perfection même.
merci à vous

Lavande dit: à

JJJ et D. votre façon de faire à propos de Wiedergänger est assez perfide.
Avez-vous l’intention de nous donner vos noms et adresses ?

Christiane, le concerto pour la main gauche de Ravel me rappelle des souvenirs émouvants. Ma mère était une assez bonne pianiste mais avec l’âge elle avait pris de l’arthrose dans l’épaule droite et ne pouvait plus jouer des deux mains. Elle avait déchiffré ce concerto pour avoir le plaisir de jouer encore un peu.

Lavande dit: à

D. 18h39
vedo = je vois en italien.
(video en latin)

Phil dit: à

Achtung, le contradicteur, Widergänger, croyait au revenant, Wiedergänger, et non l’inverse.
Bien dit, vedo. mais nocivité ou vacuité sont de notre époque. Nourissier, génération Nimier, a sûrement regretté de ne pas en être dans la relation nouée par l’écrivain avec Morand.

vedo dit: à

Ooops. Vite que je corrige ce lapsus. Justement, ce n’est pas
« wiedergänger » (à nouveau, encore une fois) mais « widergänger » (contre). Toutes mes excuses.

Claudio Bahia dit: à

On pourrait créer une variante du jeu inventé ici par clopine, Jazzi et X, par exemple en citant la dernière phrase d’un ouvrage?
je fais une première tentative:
« Ma tête tomba sur l’épaule de Saint François
J’étais mort et ne le savais pas »

vedo dit: à

J’ai été devancé.. sur le pseudo « vedo » cela n’a rien à voir avec l’italien.

Lucien Bergeret dit: à

Le livre de San Michele Axel Munthe

D. dit: à

Dites, Lavandou, c’est moi qui mets délibérément ma photo sur LinkedIn ?!

Lucien Bergeret dit: à

« Je voudrais, moi aussi, qu’ils soient nombreux, mes spectateurs, et que leur haine soit sauvage »

Dernière phrase de…?

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