Familles, je vous hais !
Un siècle et des poussières après le cri lancé par André Gide, « Familles, je vous hais ! » n’a rien perdu de son actualité. Plusieurs témoignages sous forme de récits, parus ces deux dernières années dans le fracas du scandale médiatique, en attestent : Orléans de Yann Moix, Le Temps gagné de Raphaël Enthoven, Le Consentement de Vanessa Springora, La Familia grande de Camille Kouchner… Qu’il s’agisse de maltraitance infantile, de viol, d’inceste ou de pédocriminalité, la même question revient lancinante dans ces récits, formulée implicitement ou explicitement : « Où sont les parents ? ». Familles décomposées, recomposées, redécomposées, explosées. Père parti. Et alors ? Comme si le départ, la séparation, le divorce l’exonéraient d’une présence et le déchargeaient de toute responsabilité. Camille Kouchner n’a de cesse d’interpeller ses parents : « Où étiez-vous ? ». La chronique de la vie quotidienne vue par Yann Moix, enfant martyrisé, terrorisé, humilié, est accablante pour les parents.
La famille est la vraie cible de ces livres derrière celle officiellement désignée urbi et orbi. Au-delà de la dénonciation des coupables, la famille est constamment mise sur le grill de manière plus ou moins précise ou refoulée. L’inceste, crime de lien, touche au patriarcat donc à la domination. Or qu’est-ce que ce lien sinon celui de la famille ? Elle peut détruire l’enfant qu’elle est censée protéger. La maison de vacances est l’héroïne cachée du récit de Camille Kouchner, le lieu géométrique des passions, des bonheurs et des angoisses. Sanary, maison de famille mais de « cette famille de fous ».
« Familles, je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur » écrivait donc le jeune Gide dans Les Nourritures terrestres, poème en prose si l’on veut car le livre est en réalité inclassable tant il mêle les genres littéraires, a été publié en 1897 par le Mercure de France. Récit initiatique et sensuel, mêlant sensations et réminiscences, il encourageme à se rendre disponible à la vie et ouvert à la beauté du monde. Gide y invite surtout les lecteurs de sa génération à se débarrasser de ce qui les aliène à commencer par la famille. Si les Nourritures terrestres a été et continue à être lu comme un traité de vie, les tensions de notre société crispée célèbrent plutôt dans les livres de Moix, Enthoven, Springora, Kouchner des traités de survie.
La Familia grande, le plus récent d’entre eux, est une ode à une mère qui, à 20 ans, se disait fascinée par le bréviaire de Gide et n’avait de cesse de transmettre à sa fille sa passion pour ce livre. Elle l’enjoignait de « fuir sa famille », ce qui lui était d’autant plus difficile que celle-ci représentait « une sacrée bande ». Jusqu’à sa désintégration. « Liberté, liberté ! ». Tel était son leitmotiv postsoixante-huitard. Sauf que l’inceste n’est pas une liberté. Des Nourritures terrestres, l’histoire littéraire a aussi immortalisé l’injonction lancée par l’auteur à Nathanaël dès la première page : « Et quand tu l’auras lu, jette ce livre- et sors », mais moins les injonctions suivantes à sortir de sa chambre, de sa pensée… De sa famille.
Que d’absences et de silences dans ces livres à explosions, comme on le dirait d’un moteur, avec la colère comme carburant. Quels concentrés de violences enfouies dans ces récits clivants. Impossible de les toucher du doigt sans s’y couper. Le lecteur en ressort en lambeaux, à l’image des auteurs. L’empathie se paie cash. On est autant touché moralement que physiquement. Yann Moix est le seul écrivain des quatre. Pour les autres, on saura plus tard, si l’essai est transformé. Un écrivain écrit par rapport à son secret. Mais s’il mange le morceau d’emblée, que lui reste-t-il ? C’est le risque- à supposer qu’on en calcule les conséquences lorsqu’on a une masse si oppressante à extirper de soi. Alors on verra bien, une fois que le temps aura fait son œuvre et que l’on aura séparé ces livres du bruit qu’ils ont fait. Philip Roth avait prévenu :
« Quand un écrivain naît dans une famille, c’en est fini de cette famille ».
La famille, l’autre tabou, une omerta infracassable. De quoi hésiter entre deux attitudes. Soit lancer un vibrant « Familles, je vous ai ! » tel Hervé Bazin, l’auteur de Vipère au poing, à qui l’on doit ce mot de résistance. Soit paraphraser une fameuse réflexion de Cioran pour l’adapter à la situation : il est incroyable que la perspective de couver peut-être un futur écrivain n’ait jamais fait renoncer un couple à avoir un enfant.
(Édouard Vuillard, Le Déjeuner Hessel, 1899, huile sur carton, musée d’Orsay » et « André Gide en 1893, peu avant de publier les Nourritures terrestres » photo D.R.)
1 486 Réponses pour Familles, je vous hais !
Il vaudrait mieux analyser sous un angle non freudien, les rapports d’Augustin et de Monique d’Hippone, laquelle n’était pas des plus recommandables avant de devenir la sainte MSM que l’on sait. Je recommande cette bio pour un éclairage plus pénétrant sur le mariage du 3e fiston avec la chasteté.
https://www.editionsartege.fr/livre/fiche/monique-mere-de-saint-augustin-9791033608363
« lmd dit: à
Après avoir vendu 820 000 exemplaires… »
Non France-Info, génération de Kinder-Linder, confond tirage et vente. Les ventes doivent dépasser les 450 000
poussez peut-être jusqu’à l’adUlescence pour un peu de bonheur dans les réponses
Agnès b. témoigne de l’inceste : « C’était l’oncle chéri de la famille. Il avait 45 ans. J’en avais 12″
» C’était l’oncle chéri de la famille, un homme avec une aura extraordinaire. Il avait 45 ans. J’en avais 12. Il m’a fait lire Un amour de Swann, m’habillait d’une autre manière. Je me souviens qu’il m’a emmenée m’acheter trois robes chez Marie Martine. Ma mère n’a rien dit, elle était contente que je ne porte plus celles de ma sœur aînée.
J’ai mis longtemps à me rendre compte que je n’avais pas été du tout protégée par ma mère. Elle était ambiguë, flattée parce qu’on lui disait que je lui ressemblais. J’adorais mon père, qui était loin d’imaginer une histoire pareille. Un inceste. Cet homme m’a envahie de son « amour » jusqu’à ce que je me fiance, à 16 ans, avec Christian Bourgois. J’ai voulu me marier, j’étais et je suis toujours chrétienne. Et je me sentais une proie.
agnès b suite
J’ai 75 ans. Je ne supporte pas les hommes mûrs, je ne peux pas imaginer la moindre relation physique avec eux. C’est fou, cela a ruiné ma vie. Il y a douze ans, sur un bloc, j’ai écrit en deux jours l’histoire de mon film*. J’ai eu beaucoup de mal à trouver des financements, l’inceste est un sujet tabou. J’ai eu l’impression que les hommes se sentant visés sont solidaires entre eux. Mon film est un manifeste, le tourner a été un exorcisme. Je suis pour que l’on recule la prescription. Chaque cas est particulier mais, qu’on le fasse ou non, on doit pouvoir porter plainte même longtemps après. On ne protège pas assez les jeunes filles. C’est pour cela que mon film se termine par : “Je te protégerai toujours.” »
Le témoignage d’Andréa Bescond, danseuse et comédienne, qui a été victime de pédocriminalité. Des viols qu’elle raconte dans son film « Les Chatouilles ».
« Dès qu’il le pouvait, cet ami de mes parents m’a imposé pendant plusieurs années des séances de ‘chatouilles’, comme il disait. D’où le titre de ma pièce*, autobiographique. J »en ai tiré un film, Les Chatouilles [sorti fin 2018 ndlr] ».
Auprès de Marie Claire, Andréa Bescond se souvient : « Quand nous dormions chez lui, il adorait me pénétrer avec ses doigts lorsque ses fils et mon frère étaient endormis. J’ai dû enfouir tout ça, inconsciemment, car je l’ai croisé souvent après. Je savais qu’il m’avait fait un truc, mais quoi ? Les souvenirs ont commencé à remonter quand j’ai eu des petits amis. Un jour, j’avais 17 ans et je l’ai vu à cinquante mètres de moi. Nos regards se sont croisés. Je me suis figée pendant dix secondes. C’est long, dix secondes. Et là, je crois qu’il a compris que je savais. »
bescond suite
« Le procès a eu lieu trois ans après, il a été condamné à dix ans de prison et il en a fait sept, raconte-t-elle à Marie Claire. Il avait agressé d’autres enfants. Le paradoxe, c’est qu’une partie de ma famille a remis en cause mon récit après le procès, même en ayant entendu aux assises les aveux de mon agresseur, qui a demandé pardon à mes parents. Le déni familial est le deuxième traumatisme après le viol. Mais ma descente aux enfers a commencé après, car je n’étais pas prête. Beaucoup d’autres affreux souvenirs me sont revenus. »
Bloom,
comment comprenez-vous la répétition « nous les connaissons, connaissons, connaissons, connaissons. », prononcés à la mort d’Elya Gruner par Sammler à la fin du roman ?
(éclairés par le magnifique passage précédent : « Il savait qu’il devait honorer, et il a honoré – au sein de la confusion et de la comédie vulgaire de cette vie que nous traversons si vite – les termes de son contrat. Des termes que, dans le plus profond de son cœur, chaque homme connaît. Tout comme je connais les miens. et comme chacun les connaît. Car c’est là toute la vérité – que nous connaissons tous, Seigneur, que nous les connaissons, connaissons, connaissons, connaissons. »)
les infos INCESTE AGRESSION étaient dans MARIE CLAIRE
Irish hair girls
—
Syntaxe à la Igor…Heureusement qu’ils ont d’excellents anglicistes au FSB, parfois des Natacha blondes comme les blés d’Ukraine, brunes comme des Géorgiennes ou rousses comme des Oudmourtes.
Russian girls’hair…
Il y a en effet beaucoup de roux dans David Golder. On peut même dire, sans exagérer, que l’apparition d’un personnage juif provoque presque systématiquement l’évocation de sa rousseur, présente ou passée. Golder, dans sa jeunesse, « n’était qu’un petit Juif maigre, aux cheveux roux » (p. 417) [3]
[3]
Nous respectons dans les citations l’orthographe des éditeurs… ; Fischl est « un petit Juif gras, roux et rose » (p. 436) ; le portrait de Gloria Golder fait apparaître « ses courts cheveux roux » (p. 444), et lorsque Golder, attablé dans un restaurant de la rue des Rosiers, observe deux juifs à travers la vitre, l’un s’avère immanquablement être « un jeune garçon aux cheveux rouges […] »
https://www.cairn.info/revue-roman2050-2012-2-page-31.htm
Jazzi dit: « Etonnantes confessions d’un homme qui ne se donne pas forcément le beau rôle… »
Presque une anamnèse. C’est un travail long, obstiné, responsable où il tente de comprendre son trouble à partir d’un oubli initial. retour des souvenirs, retour d’éléments psychiques refoulés. tout cela en adoptant des phrases brèves enchaînées par la plus simple des conjonctions « et ».
Quant à Augustin et Monique à Ostie (livre 9 – chapitre X), c’est une page extraordinaire qui me rappelle la fin du « Paradis »( Chant 33 – v.135-145) de Dante dans La Divine Comédie :
« Et pendant que nous parlions de cette Sagesse et que nous la convoitions, nous l’effleurâmes dans un élan de tout notre cœur. Puis, après un soupir, et laissant là fixées « ces prémices de l’Esprit », nous retombâmes à ce vain bruit de nos bouches, là où commence et finit la parole. » (traduction J.Trabucco)
« Irish hair girls »
Je ne corrige jamais un titre, même s’il merite un (sic!).
@Paul Edel
Reçu Continental films -Cinéma français sous contrôle allemand de Christine Leteux
avec, Jazzi, une préface de Bertrand Tavernier !
Sur la couverture, ce beau portrait de Raimu (Ah, la plaidoirie finale de Loursat, inoubliable !) de l’affiche du film « Les inconnus dans la maison » d’Henri Decoin (1942). Un très grand Simenon.
https://www.youtube.com/watch?v=Aynurh__cek&feature=emb_title
Le livre sent bon. Il est tout neuf. 400 pages, 26 chapitres de bonheur de lecture.
Premiers mots de la préface : « Cela faisait des années que j’attendais un tel livre, qui bouscule des croyances, des préjugés, décape certaines fables et fait émerger la face cachée d’un iceberg, tout un pan d’une Histoire dont on croyait connaître les grandes lignes. »
Un de mes amis, énarque, haut fonctionnaire, aujourd’hui à la retraite, issu d’une famille bourgeoise, catholique, me disait que la seule personne qui lui témoigna de l’affection dans son enfance était un certain M. Seguin. Personnage que l’on qualifierait probablement aujourd’hui de pédocriminel ? Il le rencontrait régulièrement le matin au fond du bus qui le conduisait à l’école. M. Seguin se rendant à son travail. Il lui posait certes parfois une main chaleureuse et troublante sur son genou cagneux ou lui frôlait un peu le bas des cuisses, mais il lui posait surtout des questions sur lui, ce qu’il aimait, ce qu’il désirait faire plus tard.
Mon ami en garde encore un souvenir ému, tandis que chez lui régnait un ordre austère, sa mère exigeant qu’il fasse pipi assis pour ne pas salir la lunette des toilettes, entre autres exemples.
@ceux qui insistent
Un Nobel de littérature : https://www.youtube.com/watch?v=ZE9bjdXCU_Q
sa mère exigeant qu’il fasse pipi assis pour ne pas salir la lunette des toilettes
raimu dirait que c’est une circonstance atténuante si on fait pédé..lors que toi baroz tu n’as même pas cette excuse
(reste un vieil anglais en survet pour lui rendre hommage … https://www.youtube.com/watch?v=ks_AMXwzj-A )
ha baroz te souviens tu des vieille qui nous demandaient si qu’on préférait papa ou manman..des vieux dingo qui faisaient en lousdé des grimaces..et des vieux salaud de marchand au marché que manman exigeait qu’on aille embrasser pour 3 carottes gratis..on taira le saucisson..la rondelle..ça fait trop mal a drihihon
Un très grand Simenon
« Loursat », ainsi rebaptisé par la censure. Faisons simple, dear Christiane, un bon film de Decoin, une excellente prestation de Raimu, d’après un livre de Simenon aimablement ambigu.
@ceux qui insistent
faut un abonment prémiom..on s’sent pas hintégré qu’il dirait baroz
« toi baroz tu n’as même pas cette excuse »
Je n’en cherche pas, le boug. Je n’avais même pas dix ans lorsque je fantasmais déjà sur mon père en caleçon…
Soleil vert, sérieux, je ne voulais pas m’y coller. En plus il faisait un temps trop beau du côté de chez Giono, et je reçois des photos d’un paradis blanc, qui ne me donnent pas du tout envie de rentrer dans ce chenil …
Avant de me féliciter, je voulais vous préciser quelques choses, et vous ferez votre clapping ensuite, éventuellement.
Voilà, déjà en maths, une erreur de signe ou de symbole, et c’est toute la démonstration qui foire.
Alors non je n’ai pas fait d’analogie entre la fin de ce roman et « Calligrammes », j’ai dit que la dernière page est un calligramme. Avez-vous essayé de déchiffrer cet entonnoir qui aspire irrémédiablement vers la fin ?
Il vaut mieux ne pas perdre votre temps, après tout si votre bug informatique est valide, n’oubliez pas que, par analogie avec 2001 Odyssée de l’espace, les derniers mots de Hal sont une chansonnette :au clair de la lune, mon ami Pierrot…
Non la fin de ce roman, l’anomalie si elle m’a fait penser à 2001 Space Odyssey, c’est que ces réalités concomitantes,- j’ai dit intrication quantique aussi-, c’est à cause de David Bowman dupliqué à la fin, en différents temps de sa vie.
La fin c’est la destruction, le renvoi au néant ou vers ailleurs, le romancier laisse la porte ouverte. J’ y ai plutôt vu/lu qu’altérer une de ces réalités revient à les anéantir toutes. Et c’est ce qui se passe quand le 3ème avion va être shooté par un missile,- comme dans le bouquin cette fois, de A. C Clarke.
Si l’humain n’a rien créé, il a seul le pouvoir de sa destruction.
Ce méta roman, c’est un un, a plus d’un titre… « L’anomalie » est le titre du livre de Vict∅r Miesel, confronte l’intelligence à l’inexplicable. Et les réactions sont amusantes
Juste pour dire, signaler par exemple que Passou a pris très au premier degré , il marche à donf ! ce passage où Macron à l’instar des autres dirigeants mondiaux doit annoncer le phénomène inexpliqué à la population. Lui-même ayant été averti, avec le retard qu’on accorde à un importun, par celui qu’il faut bien convenir être Trump… Et les amabiltés que l’on connait.
Mais c’est assez fin quand la réaction de Macron, aidé par sa task force (avez-vous reconnu notre médaillé Fields avec sa lavallière ?) est d’annoncer, en substance et en bon communiquant de start up : « la réponse est en nous ».
Alors que c’est tout l’inverse… Et que nous n’avons pas les sens pour, même avec des outils, la science. Ce qui existe quand je n’y pense pas existe. Ce qui existe et que nous n’aurons jamais la faculté de comprendre, aussi.
Sinon, bien sûr pour doper les ventes, il ne faut pas dire qu’un niveau minimum est requis avec des connaissances scientifiques et techniques, philosophiques, ou théologiques, ou connaitre la suite de Fibonacci, on peut dire c’est un bouquin pour des architectes, ou pour la recette de la crème anglaise…
@ lmd, oui, il y a plusieurs niveaux de lecture, pour ce roman Goncourt ; on peut dire c’est un livre d’histoires drôles. Je vous passe les aphorismes de Jankélévitch sous lsd, on a ici une monomaniaque en catatonie permanente, qui les dit trop bien, un vrai dérouleur à pécul.
Souffrez quand même que certains aient besoin pour leurs nourritures spirituelles, d’un level un peu particulier.
Et ici avec cette bande de fumistes sinistres, c’est pas la joie. C’est comme ça.
A demain, peut-être
Hélas…
Les réflexions du Président irlandais sur « l’amnésie feinte » qui caractérise les rapports de la Grande Bretagne à son passé impérial peuvent être méditées avec profit de ce côté-ci du Channel.
@Irish hair girls
I Pity The Poor Immigrant
https://www.youtube.com/watch?v=t1SPH4oan8k
Augustin avait exprimé le désir de sentir le parfum de ses cheveux — à ce moment, on se dit qu’il y a quelque chose de malsain dans cet éloignement.
Oui mais enfin ce désir est rendu possible parce que la calvitie n’atteint qu’extrèmement rarement les femmes. Sans quoi saint Augustin ne se serait rendu coupable de ce fantasme de la chair.
MS, je pense que vous devriez éditer un livre de recettes de flans. Et les chinois,qui n’en touchent mots, aucune analogie avec un réalisme prégnant. Tout bien sûr dans ce livre se situe au niveau de la physique quantique et n’est accessible et compréhensible que des lecteurs possédant une intelligence analytique soit un peu
moins de 20% de la population. Ou d’un doctorat en théologie, ils étaient 14500 en 2015. 14500 seulement pour saisir la profondeur de l’infini questionnement et la critique d’un monde aux prises avec ses limites scientifiques, politiques, sociétales et sociales.
d’un level un peu particulier.
J’adore ce truffage systématique pour donner idée du style de vie adopté. Et dire que les amateurs se pressent au portail.
« A demain, peut-être »
Sûrement.
Vous voyez, quand vous voulez !
14500 tous doctorats confondus. Le chiffre est en baisse.
Agnès b. témoigne de l’inceste : « C’était l’oncle chéri de la famille. Il avait 45 ans. J’en avais 12
Oui l’inceste est répandu et tu. C’est incroyable quand on y pense. Est ce que je vous ai déjà rapporté qu’un homme dont j’étais chargé de faire l’entretien d’entrée me raconta tout une mythomanie autour de sa prétendue pedocriminalité? Et moi, de tout noter puis de tout rentrer dans l’ordi. Sa femme était présente, il ne cachait rien de ses perversités. Ma foi, pensai-je, au moins un qui ne ment pas. Tout était faux.Pour l’inceste, les jeunes filles sont en dehors d’une hospitalisation très évasives et allusives mais est une pratique qui atteint beaucoup plus d’enfants que je n’aurais imaginé.
Et qui conduit assez souvent à des phénomènes addictifs quand l’enfant devient adulte. Ce n’est pas Sans conséquences et peut être et alii pourriez vous renseigner l’avenir d’une sexualité souillée dès le plus jeune âge? Comment s’en sortent sur ce plan les victimes?
C’est pathogène comme les familles, non?
George Washington a dit « laissez votre cœur ressentir la peine et la détresse de chacun »
(Tiré de l’épisode 3 de la saison 6 d’esprits criminels)
Dostoïevski a écrit « rien n’est plus facile que de dénoncer un être abject. Rien n’est plus difficile que de le comprendre. »
(prononcé par Aaron Hotchner au début l’épisode 8 de la saison 2 d’Esprits Criminels)
Erasme a écrit : « Qu’est-ce d’autre que la vie des mortels qu’une vaste comédie, dans laquelle divers acteurs, travestis de divers costumes et masques, déambulent jouant chacun leur rôle, jusqu’à ce que le grand Ordonnateur les chasse de la scène »
(prononcé par l’agent David Rossi à la fin de l’épisode 5 de la saison 9 d’Esprits Criminels)
je ne sais pas ce que c’est qu’un beau rôle, mais je suppose que mes rêves vont me le montrer:bonsoir
Anne Sexton a écrit « Peu importe qui mon père a été, ce qui compte c’est le souvenir que je garde de lui »
(tiré de l’épisode 3 de la saison 4 d’Esprits Criminels)
C’est une vraie anthologie « Esprits Criminels », puck !
Je suis pas sûr que Marie Sasseur ait le niveau philosique pour suivre ?
le dramaturge Tom Stoppard a dit « Nous traversons nos ponts quand nous arrivons à eux, et les brûlons derrière nous. Il ne nous reste rien pour trouver le chemin parcouru à part le souvenir d’une odeur de fumée et l’idée que peut être cette fois là, nos yeux ont pleuré »
(prononcé par l’agent du FBI Derek Morgan à la fin de l’épisode 7 saison 2)
niveau philosique ? sûrement !
B
Je suis aussi une fausse modeste (et vieille et moche etc).
Pathogène comme les familles.
Mais une famille peut être pathogène hors inceste. Quelle chance !
Jazzi ouai c’est vrai ça vaut bien tous les bouquins cités pas passou.
Et pas de citation d’un auteur français dans « Esprits criminels », puck ?
B dit: C’est pathogène comme les familles, non?
»
B. Roosevelt a dit « les hommes ne sont pas prisonniers de leur destins, ils sont prisonniers de leur propre esprit. »
en tout cas c’est ce que dit l’agent Spencer Reid à la fin de l’épisode 11 de la saison 6 d’Esprits Criminels.
Jazzi dit: Et pas de citation d’un auteur français dans « Esprits criminels », puck ?
»
suffit de demander :
Anatole France a écrit « tous les changements, même les plus souhaités, ont leur mélancolie. Car ce que nous laissons derrière, fait partie de nous même. On doit faire le deuil de sa vie passée, avant d’entrer dans la nouvelle. »
si je me souviens bien c’est à la fin de l’épisode 4 de la saison 5 ?
« Continental films -Cinéma français sous contrôle allemand » de Christine Leteux.
J’ai donc commencé par le chapitre 12 : » L’affaire Harry Baur ». Terrible ! Pression de la gestapo, obligation de participer à un film à Berlin, emprisonnement, tortures et mort dans une totale solitude et un épuisement irréversible. Terrible…
en fait c’est l’épisode où un type viole des femmes avant de les torturer, et pour ne pas qu’elles ferment les yeux il leur découpe les paupières avec cutter.
en fait il fait ça parce que quand il était gamin sa mère qui était prostituée l’enfermait dans le placard de la chambre quand elle recevait ses clients, jusqu’au jour ou l’un deux l’a tuée.
du coup ça la traumatisé, ce qui à la limite peut se comprendre.
N’est-ce pas, Rose. Concluons que toutes les familles sont responsables de nos tares , defauts, défaillances, perversités. Allons en paix délestés de toutes responsabilités et continuons de perpétrer la tradition familiale soit en copiant collant, soit diamétralement et symétriquement opposant si le schéma est objectivité et rejeté , rejeté soit justement soit tout à fait débilement.
Puck, psychotique dangereux. Camisole chimique souhaitable. Bon d’accord, avec ça il n’y aurait plus de scénarios criminels.
#MUSICTOO: L’INDUSTRIE MUSICALE AUSCULTÉE ENQUÊTE
Yohann Malory, le parolier visé par cinq plaintes
11 FÉVRIER 2021 PAR VALENTINE OBERTI
Mediapart révèle qu’au moins cinq plaintes pour harcèlement moral, agressions sexuelles, administration de substances nuisibles et viols ont été déposées contre le compositeur Yohann Malory, visé par une enquête préliminaire du parquet de Paris. Mediapart a rencontré et recueilli les témoignages de sept jeunes femmes.
@ Souffrez quand même que certains aient besoin pour leurs nourritures spirituelles, d’un level un peu particulier.
Je souffre…, car elle a enfin fait semblant de s’outer, vu comment la mise en cause collective en fumisterie semble avoir porté. Mais toute cette « analyse » (?) destinée à en remontrer à passou et à l’herdélien moyen, avec les clins d’oeil à macron et villani dont tout le monde sait le copinage ô-Tellier, n’est guère qu’un habile résumé de celles qu’on voit trainer partout chez les geeks du dkwb, il est vrai, moins bien formulées…
Bàv,
B. oui et sans tous ces violeurs d’enfants il n’y aurait pas tous ces bouquins.
à vue de nez ça l’inceste et le viol ça doit bien représenter la moitié du chiffre d’affaire de nos éditeurs.
au final ça crée des emplois.
et ça permet aussi à nos éditeurs de se payer des baraques dans le Lubéron.
en fait l’économie libérale repose essentiellement sur les lois de l’offre et la demande.
ce sont des lois qui ne connaissent pas la prescription.
suffit de regarder les classements d’amazon.
@ Avant de me féliciter, je voulais vous préciser quelques choses, et vous ferez votre clapping ensuite, éventuellement.
SV ! vous êtes apparemment enjoigné (sic) de répliquer pour ne pas perdre la face… !
Le public est sommé de compter les poings ! Votre honneur est en jeu, que dirait l’herdléie, vu que vous êtes décrété le seul spécialist crédib’…
Pour ma part, me suis déjà permis de répondre à votre place… Questions querelles théologiques, n’y répondez pas, tout le monde sait qu’elle n’a pas le level léthal…
BàV
Orléans de Yann Moix, Le Temps gagné de Raphaël Enthoven, Le Consentement de Vanessa Springora, La Familia grande de Camille Kouchner
le total ça doit bien donner quelques millions d’euros de chiffre d’affaire.
en fait ce qui manque sur le blogapassou c’est surtout un bon économiste, ou bien un bon expert comptable.
ou un associé de chez KPMG spécialisé en évasion fiscale.
en fait c’est plus facile facile d’organiser une évasion fiscale qu’une évasion d’un tueur en série.
ces bouquins cités pas passou c’est juste la version pour intellos d’Esprits Criminels et de NY Unité Spéciale pour les victimes. avec les citations en moins.
heureusement greubou et moi on défend ici la low culture.
pas vrai greubou ?
parce que Yann Moix ça vole bien trop haut pour nous, on a essayer de lire mais on n’a pas tout compris.
pas vrai greubou ?
oups : on a essayé de lire mais on a pas tout compris.
la différence entre greubou et moi c’est que lui y comprend rien à Flaubert.
« Yohann Malory, le parolier visé par cinq plaintes »
dans ma jeunesse c’était Mick Jaegger qui se faisait agressé sexuellement par ses fans.
les temps changent ki dirè bobeudilanne.
@ 11 posts de puck d’un seul tenant, telle une chiasse bureaucratique… Pourquoi ne pas rassembler tte cette logorrhée en une seule fois ? On pourrait passer plus vite.
Je vais boire mon gin-fizz, à vos santés, reine à tho et alter…
Bàv,
Phil dit: « Loursat », ainsi rebaptisé par la censure. Faisons simple, dear Christiane, un bon film de Decoin, une excellente prestation de Raimu, d’après un livre de Simenon aimablement ambigu. »
Chritine Leteux ne fuit pas le côté « ambigu » du film ni les controverses qu’il a suscitées. Henri Decoin avait perçu « une coloration antisémite dans le roman de Simenon et s’était attaché à faire disparaître cet aspect dérangeant à ses yeux ».
Le scénario a été rédigé par Henri-Georges Clouzot. et « Henri Decoin assume la responsabilité de son contenu et a approuvé les dialogues ».
Pour les noms, ne pas confondre « Luska » (interprété par Mouloudji et Maître Loursat interprété par Raimu.
Simone de Beauvoir dans La Force de l’âge écrit : « Raimu était remarquable dans Les Inconnus dans la maison mais le scénario faisait de déplaisantes concessions au racisme ; l’assassin qu’incarnait Mouloudji, n’était pas désigné expressément comme juif, mais comme un métèque. » (« époque où la xénophobie était galopante »).
Donc qui est maître Loursat ? « un avocat qui noie son désespoir dans l’alcool depuis que sa femme l’a quitté, découvre un homme mort dans sa maison et le petit ami de sa fille est inculpé du meurtre. »
Loursat va le défendre et démasquer l’assassin.
La critique fera surtout l’éloge de « l’extraordinaire composition de Raimu » comme dans Paris Soir du 1er juin 1942 :
« Raimu – notre plus grand artiste – a fait une admirable composition en burinant une extraordinaire figure d’avocat équivoque, au regard atone, au visage aviné, prenant conscience de sa déchéance et, brusquement lucide, faisant, dans un pathétique sursaut, le procès de toute une bourgeoisie corrompue. »
Plus que jamais, Phil, je crois que les êtres sont pris dans un réseau complexe de liens, de chemins contradictoires, marqués par des évènements imprévus à prendre en compte avant de les juger trop rapidement, de les enfermer dans une image.
La biographie que P.Assouline a écrit sur Simenon, apprend à comprendre que l’autre est toujours au-delà de ce qu’on perçoit de lui, qu’il déborde de l’image qu’on se fait de lui. C’est le secret de l’intime, son intériorité.
Je me méfie de la médisance…
Justement, ce soir, sur Arte, suite de cette série passionnante « En Thérapie ». nouveaux épisodes. Bonne soirée.
« Mediapart a rencontré et recueilli les témoignages de sept jeunes femmes. »
C’est ce que l’on appelle du journalisme d’investigation ?
« le procès de toute une bourgeoisie corrompue. »
En 1942, c’est celle de Vichy ou la précédente, Christiane ?
( c’est pour la bonne cause ; confondre Lennon pour la bonne cause https://www.youtube.com/watch?v=9g2X_MtVRqk )
Laurent Faulon 3 ANS RACONTE
https://www.mediapart.fr/journal/france/050221/metoo-apres-l-affaire-claude-leveque-la-riposte-des-jeunes-artistes
Tiens, Puck, je vous refile la balle. Vous me direz qu’il vaut mieux chasser le bison ou l’auroch qu’abattre sa régulière en attendant le vaccin.
J’ai vu des aurochs en hiver et dans le Jura. Il est évident que ces bêtes n’ont rien à faire en Indre et Loire, ce sont des ruminants inoffensifs aux longs poils dans leur robe d’hiver.
quelques millions d’euros
—
Conversion livres/euros plutôt avantageuse.
Juteux Fucksit…
Et s’8l n’y avait pas les chasseurs, pas d’accidents de chasse non plus et là encore une perte sèche pour le romancier, le scénariste, le mari jaloux.
Conversion livres/euros plutôt avantageuse.
Quoi quoi?
Quoi?
Je tentais simplement de savoir où se cachaient ces millions à convertir, à changer avantageusement afin de mourir cousu d’or et tranquille.
Chanson
Il nous resterait les digitaliques mais helas pour les Therese en puissance ils sont à présent sous forme de comprimés et à moins de les dissoudre consciencieusement dans une boisson avec assiduité et détermination, aucun espoir ne subsiste pour éliminer l’encombrant mari au profit du séduisant amant. En plus la medcine legale ne laissse aucune issue aux empoisonneuses.Il est souvent question des crimes que commettent les hommes alors que les femmes en sont capables aussi. N’en doutez pas.
Pourquoi j’ai mangé mon père
Je t’en foutrais, des angles non-freudiens, moi.
Les aurochs n’existent plus depuis des millénaires, Bérénice. Vous ne risquez pas d’en avoir vu. Les nazis avaient tenté de reformer par sélection un succédané de l’espèce disparue, sans grand résultat.
J’évoquais la race reconstituée et approchante. Ceux que j’ai pu observer étaient très beaux, je dois avoir des photos .
marqués par des évènements imprévus à prendre en compte
Raimu mort en 46 ne pourra réenregistrer ses scènes avec la version écrite par la censure, Luska reste donc Luska et sa plaidoirie pointe une corruption de la jeunesse due au manque d’hygiène physique.
Merci Christiane pour cette recension à réécouter dans toutes les bonnes cinémathèques rescapées du virus.
Peut-être etait-ce cette race des highlands.
https://www.google.com/search?q=boeuf+des+highlands&oq=boeuf+des+highlands&aqs=chrome..69i57.9452j0j7&client=tablet-android-samsung&sourceid=chrome-mobile&ie=UTF-8#imgrc=NDaSaWRr9dc24M
Aucune clôture même haute de 3 mètres n’aurait résisté deux minutes à un auroch.
Vous m’amusez avec vos bestioles.
La race des Highland ? Mais elle est toute petite et douce. Vous vous faites avoir par les pilosités. Cette race supporte bien les climats rudes et point barre.
C’est qu’il était écrit juste à côté « la ferme aux aurochs ».
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Autobiography (Goodbye, Ultra Violet
The telephone rings in San Francisco,
» This is Ultra Violetb « .
I don’t know her except that she
is a movie actress.
She wants to talk to me.
She has a nice voice.
We talk for a while.
Then she has to go someplace.
» Good-bye « .
Richard Brautigan, Autobiography (When the Moon Shines Like a Dead Garage ; Loading Mercury with a Pitchfork (1976)
Je me marre. Confondre un Highland avec un Auroch. Hurk hurk hurk
Violetb > Violet
Il y a des eleveurs dans l’arriere pays. Une fois l’une de ces bêtes s’etaient eloignees du troupeau et errait au beau mileu de la foret, moi meme perdue dans le circuit desertėe des routes. En revenant, un agriculteur m’a semblé angoissé et à la recherche de l’animal qui était bien loin du point où j’ai croisé et l’homme et le troupeau. Ça doit coûter une petite fortune pour un petit exploitant ce genre de bête.
L’auroch c’était 2 mètres au garrot, 4 de long, 1 de large et 2 tonnes de muscle et de testostérone. Vous me faites marrer avec vos vachettes d’Interville.
@Ça doit coûter une petite fortune pour un petit exploitant ce genre de bête.
Ainsi va la vie des cinémathèques : mettre d’ores et déjà Milos Forman à l’honneur, en alpagueur des alpages
https://www.cinematheque.fr/film/60161.html
Je crois qu’on se doit de dire que la race « Highland » est à l’auroch (qu’on voit dans l’art pariétal et dont on a des squelettes) ce que le chat commun à poils longs est au tigre dents de sabre.
D, 1,80 pour les mâles. Les allemands ont réussi à reconstituer une espèce, une femelle de 1,60 mètre au garrot en photo, 2007 dur la toile mais surement avzient ils la force et la fougue des taureaux . Voyez un peu du genre de celui du film « Parle avec elle » _ celui filmé je ne sais comment à son entrée dans l’arène.
Oui, Phil, et Jazzi,
le groupe de jeunes que fréquente la fille de Loursat commet des larcins et Loursat dans sa plaidoirie critique cette société bourgeoise de province à laquelle il appartient et pas que : « Voyons, Messieurs les jurés, vous connaissez notre ville : indiquez-moi la route du stade, le chemin de la piscine ! Vous bredouillez, vous savez bien qu’il n’y a ni stade, ni piscine. Il y a cent trente-deux cafés et quatre bordels ; ceux-là, pas besoin de les indiquer, tout le monde les connaît. c’est tout ce que nos chefs d’hier ont fait pour la jeunesse… Quand les mômes ne peuvent pas se soûler de grand air et de vitesse, il faut bien qu’ils aillent usr leurs nerfs quelque part, ils vont au cinéma… Et puis, un beau jour, une belle nuit, de spectateurs, ils deviennent acteurs, ils se couvrent de sang… Eh bien ! ce manteau sanglant, c’est nous qui leur avons jeté sur les épaules… »
Evidemment, commente C. Leteux, « cette critique d’un régime instable et prêt à tous les atermoiements face à un régime dictatorial paraît parfaitement valable rétrospectivement. Cependant elle est portée par un film produit par une firme allemande. Critiquer le régime parlementaire d’avant-guerre dans ce contexte revient à donner raison aux Pétainistes et aux collaborateurs pour lesquels la République est honnie. Ce n’était certainement pas l’idée de Decoin lorsqu’il a écrit ce texte avec Clouzot, mais c’est dans ce sens qu’il sera mentionné dans les premières revues clandestines qui vont commencer à paraître en 1943, en particulier dans L’Ecran français, N°1 de décembre 1943 : « Dans un film policier, Les Inconnus dans la maison, la jeunesse française est représentée par des gouapes, la bourgeoisie française rendue responsable de ces jeunes voyous. »
@ Christiane, merci de cette intervention:
La vie de Harry Baur m’était totalement inconnue; à lire vos propos sur l’époque et son cinéma, et surtout votre dernière intervention sur cet immense acteur, je sens comme un raccourci du siècle dernier en ce qu’il a de pire. La trajectoire d’un homme consacré par les critiques et reconnu de milliers de spectateurs, puis bousculé par l’Histoire, finalement traîné dans la boue, sans pouvoir se défendre, laminé, maltraité, laissé pour rien, oublié.
En fait un raccourci de tous les siècles, de tout ce que des humains font à d’autres…
C’est cela qui nous touche, Christiane, cette hantise de l’horreur, quand on se retrouve si vite du coté des traitres et des salauds, que les derniers mois de la vie de Harry Baur incarnent si atrocement.
J’avais lu un article de Pierre Murat sur le livre de Christine Leteux, montrant que la rumeur avait eu sa peau, comme aujourd’hui sur les réseaux sociaux. La vieille sale manière de nuire et d’éliminer l’autre.
Le tigre à dents de sabre qui n’était pas un félin contrairement à ce que certains imaginent.
En effet ke terme tigre à dents de sabre, aussi appelé smilodon, est un nom vernaculaire renvoyant à un ensemble d’espèces disparues de prédateurs synapsides (un groupe comprenant les mammifères et leurs parents éteints) ressemblant à des tigres et possédant deux longues canines. Cet ensemble d’espèces fossiles ne forme pas un taxon validé par la classification phylogénétique, la classification communément admise aujourd’hui. À la lumière des analyses phylogénétiques, les genres Smilodon et Machairodus, par exemple, partagent effectivement un ancêtre commun au sein d’un même groupe monophylétique, les Machairodontinae, une lignée ayant évolué au sein des euthériens. Par contre, le genre Thylacosmilus a évolué au sein du clade des métathériens (un clade réunissant les marsupiaux et leurs parents éteints), et a une morphologie typique du tigre à dents de sabre, mais ne fait pas partie du groupe des Machairodontinae parce qu’il a évolué séparément au sein des sparassodontes, qui eux sont des métathériens. Ainsi, descendant de lignées évolutives distinctes, les Machairodontinae et les Sparassodonta ont produit des espèces partageant la même morphologie dite de « tigre à dents de sabre ». Comme ils n’héritent pas cette morphologie d’un ancêtre commun, c’est un phénomène de convergence évolutive. Ça vous en bouche un coin, je sais.
Cette fiche sur le film de Decoin adapté du roman de Simenon est intéressante :
https://moncinemaamoi.blog/2017/01/23/les-inconnus-dans-la-maison-henri-decoin-1942/
C’est inspiré et c’est Chevillard
Bien souvent, donc, il apparaît plutôt que le garçon braque son sexe sur la tempe de la fille – et tire son coup.
( soleil vert, il va se passer du temps avant que je remette les yeux dans cette bauge de vicieux et leur dernier cercle de l’enfer, mais avant, j’ai oublié de donner suite à l’une de vos propositions de lecture sur des recensions cosmologiques, en voilà une autre c’est l’histoire d’une anomalie.
https://theconversation.com/a-la-recherche-des-neutrinos-ces-particules-fantomes-97301
Vous trouverez un bouquin de » Victor » K. sur le sujet, je vais le commander)
N’affublez pas ceux que vous ne connaissez pas intimement d’hypothétiques défauts, nous pourrions là encore y voir une projection assez fréquenté dans les personnalités perverses et narcissiques. De mon côté, si je puis vous répondre sans que vous sentiez offensée, je ne mettais nullement en doute votre lecture, je posais la mienne qui bien entendu n’atteint pas votre altitude sur les cimes d’un l’Himalaya , pollué hélas comme tout sur cette terre bientôt. Pas un cours d’eau qui ne le soit, c’est navrant.
Il s’érige également des livres de recettes de desserts fameux, les mousses de fruits rouges sont très tentantes et si faciles à réaliser. J’attendais la saison.
J’attendrai. Les excuses.
Conversion livres/euros plutôt avantageuse.
Quoi quoi?
—
Attention jeu de mots: livres = books/pounds…
La manière Vuillard m’évoque la façon Sickert, peintre de conséquence d’origine bavaroise dont certains disent dit qu’il avait un violon d’Ingres type Mr Hyde, le meurtre de prostituées dans l’East End de Londres, sous le nom de Jack L’éventreur.
Pensez-donc, un tueur en série ne pouvait être fils d’Albion!
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Sickert,_Ennui.jpg
Et oui, nous nous situons entre l’infiniment petit et l’infiniment infini. Depuis le siècle révolu et 19ème nous considérons à raison que tout ce que nous ne percevons pas encore existe et agit. Alors qu’avant, le domaine de l’empirique démuni de microscope et de boson de higgs, l’absence d’instruments conduisaient une pensée opposée, tout ce qui ne se voyait pas n’existait pas. C’est encore ainsi dans certains domaines, la préservation des apparences joue un rôle important dans le jeu des relations privées, diplomatiques et interactions dites sociales, dans la réputation des industries et de leur image d’où ces dissimulations et révélations scandaleuses, les dénis, ces mensonges privés, de sociétés ou d’Etats, les lanceurs d’alerte sur ces choses macroscopiques, les observateurs, les sentinelles juridiques et journalistiques sont attendus .
https://home.cern/fr/news/news/physics/exploring-new-ways-see-higgs-boson
Pour le dernier cercle, à mon avis ce n’est pas grave. Nous resterons entre cons sentant. J’ai juste lu de renato, je crois, une allusion au cercle des hypocrites.
https://ladivinecomedie.com/la-divine-comedie/lenfer/chant-xxiii
Janssen J-J dit: @ 11 posts de puck d’un seul tenant, telle une chiasse bureaucratique… Pourquoi ne pas rassembler tte cette logorrhée en une seule fois ? On pourrait passer plus vite.
»
il faut lire ma réponse comme si c’était JP Bacri qui la disait, parce que j’écris comme je parle et le parle comme Bacri :
3j, oui bien sûr, je suis vraiment désolé mon vieux ! vous savez que rien ne me fait plus plaisir que vous faire plaisir. C’est même devenu un objectif dans ma vie, me comporter comme 3j aimerait que je me comporte, ça a donné un sens à ma vie, tous les matins quand je me lève c’est la première chose que je me dis : qu’est-ce que je vais pouvoir faire aujourd’hui qui fasse plaisir à 3j.
Si de mon côté je pouvais vous demander une chose, c’est pas grand chose, juste mettre des majuscules, au lieu d’écrire la chiasse Bureaucratique écrire Chiasse Bureaucratique, ça donnerait l’impression que pedro est toujours là parmi nous, et vous savez combien nous étions proches lui et moi.
même physiquement je ressemble à Bacri, tous mes proches disent que je lui ressemble, j’adorais Bacri, ce qui ne veut pas dire que je m’adore, si un peu quand même.
je lui ressemble tellement que des fois on me dit « allez arrête de faire ton Bacri, à la longue c’est gonflant ! »
Le seul truc négatif chez Bacri c’est qu’il est pas né à Oran, mais dans un petit bled à côté d’Alger, s’il était né à Oran il aurait été parfait.
j’ai cherché dans mes derniers commentaires, ça il faut le lire comme si c’était Bacri qui le disait :
« @B et @Paul Edel, merci beaucoup pour vos réponses ! figurez-vous je me disais tiens ça fait bien longtemps qu’on n’a pas parlé de Flaubert sur le blogapassou et j’hésitais pour trouver un bon biais pour en parler, et là je me suis dis tiens et si j’envoyais une photo de sa mère, je veux dire comme je l’articlapassou ça parlait de la famille, de fil en aiguille… mais j’avoue que ça me faisait aussi un peu peur de l’aborder sous cet angle, aussi je me vois rassuré à la lecture de vos réponses, pour tout vous dire je crois même que je vais bien dormir cette nuit. »
c’est pour ça je comprends pas cette agressivité quand je bougonne contre Flaubert : un type qui bougonne faut pas être agressif contre lui, je veux dire ça n’a pas de sens, un type qui bougonne il faut juste le laisser bougonner.
3j encore 8 pour dépasser les 11 !
Oui, Jibé, P. Edel a été de bon conseil. Ce livre est remarquable, appuyé sur des documents sérieux (sources citeesy et datées).
Ainsi pour Harry Baur, elle remonte toute cette sombre « affaire ». Comment, un jour, les allemands se mirent en tête de faire tourner cette grande vedette française dans un de leurs films, à Berlin. Et comment devant son peu d’enthousiasme, ils emprisonnerent sa femme et lui promirent le pire pour elle. Et là, la presse de déchaîna, le traitant de traitre attiré par l’appât du gain… Puis, ils suspecterent Harry Baur d’être juif comme sa femme sur dénonciation .. d’ un proche. Ont suivi alors les arrestations, tortures pour H.B. finalement relâché comme… aryen..
et juste bon à mourir tant ces séances de torture l’avaient affaibli, tant les médisances l’avaient meurtri. Une fin de vie cauchemardesque…
Ce livre est écrit par une chercheuse vraiment passionnante. Cette époque n’en finit pas de révéler ses horreurs, ses injustices, ses persécutions.
>J’ai lancé un avis de recherche de résolution de l’équation de la page 165 …
> Article passionnant sur l’entropie de Roland Lehoucq astrophysicien au CEA. C’est Boltzmann qui fixe les choses. « La flèche du temps ne serait rien d’autre que celle qui va de l’improbable au probable, car les états à faible entropie sont immensément moins nombreux que ceux à haute entropie »
Perso :si on assimile l’entropie au désordre, on pourrait dire que notre vie est une lutte incessante contre elle : lutter contre la mort, organiser sa vie, écrire pour certains …
>ok JJJ, mais « Si l’humain n’a rien créé, il a seul le pouvoir de sa destruction. » c’est pas mal du tout
Soleil vert dit: Si l’humain n’a rien créé, il a seul le pouvoir de sa destruction.
»
je me demande si c’est pas plus une fatalité inéluctable qu’un véritable pouvoir, comme les gens qui ne peuvent pas s’empêcher de se gratter le nez, une espèce de tic, le « désir de mort » ne relève pas de l’inconscient freudien, c’est juste un tic, une mauvaise habitude.
comme ces virus qui veulent l’extinction de l’espèce humaine, si ça se trouve ils ont été envoyés par toutes espèces que l’homme va faire disparaitre, pour les protéger : si ça trouve il existe un Dieu des poissons.
« Cette époque n’en finit pas de révéler ses horreurs, ses injustices, ses persécutions. »
heureusement c’est derrière nous, maintenant le monde est devenu bien plus amical et paisible, voire même harmonieux., presque parfait.
la période la plus calme en Europe c’est au 19è, parce que les européens étaient trop occupés à génocider ailleurs.
Georges Brassens – Corne d’Auroch – Chanson .
https://www.google.com/search?q=corne+d%27auroch+chanson&oq=corne+d%27auroch+chanson&aqs=chrome..69i57j0i22i30.14799j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
bonne journée
« Plus que jamais, Phil, je crois que les êtres sont pris dans un réseau complexe de liens, de chemins contradictoires, marqués par des évènements imprévus à prendre en compte avant de les juger trop rapidement, de les enfermer dans une image. »
Dans les tenoras, apparaîssent constamment les nuances.
En ce qui concerne Bertrand Cantat, défendu par Céline Lasek, surgit l’idée de le laisser vivre et de ne pas le juger. De le laisser écrire et chanter.
En ce qui concerne Ilan Halimi, défendu post mortem par Caroline Toby, apparaissent la minimisation de l’antisémitisme du meurtre barbare d’Ilan.
Sa surprise de voir si peu châtiée l’appât du jeune homme. Et de constater combien Fofana après son arrestation semble si hermétique à sa resposabilité, puisqu’il dit à Ruth, la maman « c’est votre victime parce que vous n’avez pas payé la rançon ». Et puis Ruth qui entend l’enregistrement d’Ilan « maman, sauve-moi, sors-moi de là. »
Chacun des cas inventoriés, de Damien, matricide, Guy Georges violeur et assassin en série, Riad, violeur de Eddy Bellegueule (qui n’en a pas fini avec l’enfance traumatique) nous pousse à voir la complexité.
@Christiane,
ce qui me vient, c’est que cette époque pas si lointaine est comme un prototype, mais pas du tout une exception. Le piège des rumeurs contradictoires qui ont pris Harry Baur dans une mâchoire affreuse lui a été fatal. Dénonciation-délation-exécution.
Le billet de Passou évoque en creux ces pratiques: aux abus parentaux répondent parfois des désignés coupables qui en ont pris plein la tête, publiquement. Je pense à Enthoven père qui se sent victime d’un règlement de compte. Qui dit vrai, y-a-t-il un vrai?
Les so-called réseaux sociaux permettent une immense entreprise, nécessaire, de prise de parole des victimes. Après, c’est affaire de justice. Sauf que la caisse de résonnance désigne les coupables et n’en démordra pas. Autant on peut se réjouir de la rébellion, enfin, des victimes, autant on peut craindre les effets ravageurs de dénonciations abusives.
Dans le cas d’abus sexuels, la prise de parole prime, tant les faits sont graves. Dans le cas du règlement de comptes père-fils (qui n’en veut pas à papa ou à maman?), j’ai des doutes. Une bonne engueulade familiale ou un grande prise de distance géographique valent mieux qu’une mise au pilori médiatique.
In
L’avocat était une femme
Le procès de leur vie
De Julia Minkowski et Lisa Vignoli
Éditions JCLattès
lutter contre la mort, organiser sa vie, écrire pour certains …
et dire que keupu il aurait just qu’a fermer sa gueule..yavé nest pas grand qu’elle dirait cricri
Familles, je vous ai hais.
Depuis hier soir, 19heures, ai une demi-soeur, moitié ivoirienne, moitié sénégalaise qui a adopté ma maman comme sa maman et moi, j’lui ai dit « je vous adopte aussi ».
Com chui une dingo-crazy de l’Afrique noire et des séances vaudou, on va communiquer. De facto, me retrouve à gérer avec elle un orphelinat en Côte d’Ivoire.
Célavi, rose.
cest morand qui rapporte qu’a sidney le consul anglais dit toujours en lousdé à l’ambassadeur américain la preuve que les français sont vraiment cons c’est qu’ils sont les seuls a aimer lewis..
si l’on devient un salaud parce qu’on est ministre de l’Intérieur
drihihon fait son renard libre dans la maison poulaga..keupu te jetra ptête la pierre
Le prix exorbitant des échalotes grises
faut les planter havant l’hivers et en sechant elle perdent beaucoup de poids…
Les obsolètes : le four de cuisine Tito-Landi
le dutch oven est un hit..je vais te dire..tor henfonce hercule..les roux et les blonds nique pas ta mère..il la font crever au boulot au gras trans et au sucre inverti
@SV //ok JJJ, mais «Si l’humain n’a rien créé, il a seul le pouvoir de sa destruction» c’est pas mal du tout//.
Faut-il en inférer à la supériorité du genre humaine sur le reste du vivant ? Pour SMS, cela ne ferait aucun doute. Pour moi, j’en ai encore… des doutes,
@ Pk, //3j encore 8 pour dépasser les 11 !//
Platero et moi (3j). Z’allez finir par réveiller le grand poète espagnol et voir débarquer sa smala P75 ! On aura l’air fin ! – Devriez vous prendre pour la Jaoui, était bin plus finaude que l’Bicra.
@ B. //SMS-> va se passer du temps avant que je remette les yeux dans cette bauge de vicieux et leur dernier cercle de l’enfer//
On va lui décompter les minutes à Son Altitude pour la voir se dévaler la margoulette du haut de son Nanapurna (le K., par la face nord, bin sûr, c riské !)…
Bàv (12.2.21_9.47)
NB / Si j’ai bien compris la thèse de Gerald Bronner, ce n’est pas la rationalité qui s’impose à terme dans le consensus d’une vérité scientifique, mais la permanente crédulité à l’occasion d’un fait de société, car ce qui serait capturé de notre attention individuelle puis collective, serait d’abord « ce qui flatterait notre appétence cérébrale pour le peur, le clash, la conflictualité ou l’indignation »… Bref, notre cerveau serait plutôt gouverné et attiré par des émotions bien plutôt que par une « raison »… Je pense qu’on peut ne pas souscrire entièrement à cette thèse au vu de ce qui se passe dans ce commentarium. Il est encore des internautes qui essaient de réfléchir et construire sereinement quelque chose, même s’ils se laissent aller le plus souvent à des poussées d’acné juvénile. Je pourrais affiner mon idée, mais ça prendrait plus de 11 commentaire. Donc, le prurit intestinal, non.
Daniel Craig
Jouer James Bond quand on a la tête de Poutine
trésbon..les angliches..cramoisi jaloux quil tue les ours a main nu
« Les mendiants volent les pauvres », disait Alphonse Karr
il ne faut jamais cesser de dire que les riches ont toujours les mains dans la poche des pauvres..pierre dac
C’était mieux avant : le futur avait meilleur goût
mais non..c’est qu’avertit on refrait pas pareil..t’es con ou t’es belge? qu’il dirait keupu
Gaffe soleil vert, dans le panel de cosmologistes il y a pléthore de faiseurs de cosmogonies new age. L’ entropie est decrite dans une des lois de la thermodynamique et croyez- moi, il y en a qui s’en souviennent !
« il se vengerait plus tard », s’il l’a fait ou s’il en avait seulement l’intention
..cherche pas à m’embrouiller quil dirait keupu..
L’ entropie est decrite dans une des lois de la thermodynamique et croyez- moi, il y en a qui s’en souviennent !
..le cul qui lui cuit encor s’en souvient pour elle à térezoune..ou qu’ça va sloger lneurone
Ducon change de disque, et va faire ta toilette.
Les objets manufacturés, qui ne le sont pas, justement, manufacturés
mais manumilitari c’est obligé maréchadéogi
coinçait la part de Vache qui rit dans les mâchoires, et d’un grand coup rageur, l’écrabouillait à deux mains
c’est de l’humour juif qu’il dirait renfield
Zut alors, il me semblait bien que je faisais une grosse connerie en relançant soleil vert.
M’a tout l’air d’un bon gogo pour pseudo scientistes.
Romain Duris, acteur tragique, rapidement rendu incapable de ne pas jouer comme au boulevard, même un personnage de condamné à mort
tu crois qu’on ne guillotine que des meussieu et des madame de drihihon..
96e sinistre vendredi drillonesque qu’il faut bien se taper pour s’inter-comprendre en herdélie : pas étonnant que la Vache qui rit connaisse un succès toujours croissant dans les pays africains musulmans. – Il traduisait les stats et les proba comme le français moyen. Il est des nô-ôtres, il a bu castex comme les au-autres !…
Plus de terres pour l’agriculture, tout en laissant progresser l’artificialisation : il fallait oser cette logique. Il l’a osée
tu fais l’âne pour havoir du foin qu’il dirait keupu
@ 3J – On va lui décompter les minutes à Son Altitude
A mis exactement 27 minutes pour redescendre fissa au fond du cercle de sa bauge polaire, la gueule ensanglantée. L’était pas grimpée bin haut… et la liane était pas fin attachée ! Faisait croire, juste un brin d’SMS.
si ces milliards avaient été versés à l’hôpital, pour soigner et guérir les malades
par contre on sait bien quentre les too bigue to fail et des too minabe à soutenir..on sassoit sur les musiciens
pas étonnant que la Vache qui rit connaisse un succès toujours croissant dans les pays africains musulmans
à sidney aussi..il font des combats de femmes nues dans les apéricubes..lewis c’est pour les français
Eh bien on peut dire que le boursouflé ne retient plus sa violence. Petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur a la retraite, il faut aussi composer avec de type de salopards.
« On va dire pour l’instant qu’il s’en sera vengé plus tard »…
… diraient nos meilleurs écrivaillons, tels les drillons du moulin du vendredi.
« Riad violeur d’Edy Bellegueule »
Vite dit! Devant l’impossibilité de faire émerger une version qui tienne la route de la part de ladite camarilla, le jury a choisi très exceptionnellement de s’en remettre à la version du plaignant-personnage pour lequel, hormis s’etre payé su la bete par son portable, il n’y a vraiment pas eu de quoi fouetter un chat. Tout juste e quoi lancer un bouquin.
C’est curieux comme les personnages de Bellegueule sont une fois de plus en contradiction avec leur « auteur »!
Avez-vous vu sur Arte cette curiosité, « Le Cas du docteur Laurent » de Jean-Paul Le Chanois (1957), avec Jean Gabin, Sylvia Montfort et Nicole Courcelles ? On y voit pour la première fois au cinéma une scène d’accouchement sans douleur. Et c’est tourné en décor naturel dans l’arrière-pays niçois, au coeur des beaux et rudes paysages de mon enfance…
Je vous le recommande !
https://www.arte.tv/fr/videos/100185-000-A/le-cas-du-docteur-laurent/
Bloom, la démonstratio Sickert égale Jack l’Eventreur est due à Patricia Cornwell, qui aurait mieux fait de ne pas se lever ce jour là…
@ Petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur a la retraite,
… un fantasme sexuel récurrent, apparemment puissant et addictif pour son Altesse Sérénissime, triste lesbienne solitaire du blogapassoul, toute pleine de crampes au poignet chaque matin.
C’est un plaisir de fin gourmet.
C’est une histoire adorable.
http://vadeker.net/articles/humour/enfer_paradis.html
Vous verrez l’entropie autrement soleil vert, surtout si vous n’avez pas fait des études de physique 😝
Allez zou, je me tire de cette bauge de vicieux.
sur le futur antérieur, monsieur J Drillon, voir Derrida sur LEVINAS
en attendant:
Par l’aveu d’un futur antérieur, indéniable, le temps et le mouvement de l’amitié débordent le présent
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1502111200.html
Bloom, la démonstratio Sickert égale Jack l’Eventreur est due à Patricia Cornwell, qui aurait mieux fait de ne pas se lever ce jour là…
quand même meussieu courte..cornwell en profileuse..c’est interessant pour la peinture..c’est que sickert est cité comme un maitre par freund et bacon..et qu’il est souvent meilleur qu’eux..dans l’genre angliche évidemment..vuillard en bon français ne fait que tuer le saucisson et le kil de rouge..lartifization des sols sauf..et le cochon courts toujours
@ Non, jzm. Il y avait eu auparavant la Glaise du Jean Sorillet en 1952, un film qui s’est perdu dans les limbes de son avortement. Il en est resté une scène magnifique préfigurant celle de Le Chanois, dont on trouve une trace à l’INA. Mais comme dans ce film, l’enfant était mort-né, aucun producteur n’en voulut…, et Sorillet dut l’abandonner. Il en est tout de même resté un livre du même, difficilement procurable, avec un titre identique. Très intéressant.
http://academie-saintonge.org/?p=143
Bàv,
et alii:
Corne d’Aurochs est la seule chanson de Brassens dirigée contre une personne particulière… que Brassens appelait communément de ce pseudo qu’il avait inventé pour le désigner ainsi qu’il le souvent faisait pour ses amis. Cette chanson à litanies n’est pas un chef d’oeuvre(la trouvaille est dans le titre et il est vrai que la musique en est étonnante); elle a été écrite sous le coup de la rage contre un ami qui était monté à Paris avec lui et qui ne supportant plus la vache enragée, alors qu’ils s’étaient promis monts et merveilles (la gloire), avait décidé de rentrer à Sète. On entend bien la rage, le délire acrimonieux, le copain floué – les copains d’abord est sans doute son exact inverse – ; le bonhomme Brassens, un homme vraiment bon, dérape ici et je n’ai pas souvenir qu’il l’ait beaucoup chantée. Chanson méchante. Elle lui rappelait sans doute ce moment tragique où il s’est retrouvé seul avec son rêve de gagner sa vie en écrivant des chansons. Et puis la méchanceté n’est pas du tout son genre.
L’accouchement sans douleur, introduit d’URSS en France en 1952 par le parti communiste. Les mamans des baby-boomers peuvent lui dire merci, JJJ !
Jean-Paul Le Chanois, de son vrai nom Jean-Paul Dreyfus. Juif, communiste et résistant, il travailla durant l’Occupation à la Continentale, Christiane ! Que dit-on sur lui dans ton livre ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Le_Chanois
lutter contre la mort ? elle gagne toujours cette vieille peau !
Oui, Jibé un emballement médiatique souvent nauséeux qui envahit les médias et rend suspectes les tendresses saines et non ambiguës de la majorité des hommes dans leur famille ou dans la société. La terre n’est quand même pas peuplée que de sadiques et de pervers.
« La mémoire, c’est la question de l’avenir, et pour l’archive, c’est toujours le futur antérieur qui, en quelque sorte décide de son sens, de son existence. C’est toujours dans cette emporalité là que les archives se constituent. » (Le futur antérieur de l’archive) derrida
Que dit-on sur lui dans ton livre ?
faut acheter le livre, dear Baroz. l’éditeur de la Tour Verte, cinéphile de première, produit du bel ouvrage pour les honnêtes gens amateurs de vrai celluloïd. La Continental-films vous titille ? un tuyau, lisez les mémoires d’Alfred Greven. devraient bien mais PaulEdel Christiane vont pas commander Greven sur l’amazone, faut pas pousser mémé dans le mékong à Bloom.
Nathalie Piégay-Gros
Le Futur antérieur
de l’archive
Note
La présence « manquante » de l’archive
Laurent Zimmermann
Dans Critique 2014/10 (n° 809)
https://www.cairn.info/revue-critique-2014-10-page-862.htm
Effectivement, MC, l’hypothèse du barbier (pas le plombier) polonais, basée sur l’analyse du sperme retrouvé sur un châle qui aurat pu appartenir à l’une des victimes n’est pas plus concluante que celle du Duc de Clarence, petit-fils de Victoria et grand amateur de relations tarifées, et mort de la syphilis.
Dernier pétard mouillé en date, Conan Doyle et son patron le Dr Bell auraient identifié l’Eventreur et transmis à Scotland Yard plusieurs rapports qui ont évidemment mystérieusement disparu…
En tous cas, bon article sur ce que dit l’énigme du Ripper de la société victorienne, par le regretté Roland Marx dans l’Histoire de décembre 83.
https://www.lhistoire.fr/l%C3%A9nigme-jack-l%C3%A9ventreur
puck dit: « heureusement c’est derrière nous, maintenant le monde est devenu bien plus amical et paisible, voire même harmonieux., presque parfait. »
Oui,Puck,les considérables différences historiques ne m’empêchent pas d’être effrayée par ce monde où le mal devient une banalité…
Un souffle obscur venu du passé comme une mémoire qui nous met en alerte.
La littérature est parfois un témoin. Elle traverse le temps car il ne faut pas oublier l’engloutissement de toutes ces vies, effacer ces voix devenues muettes.
pour l’économiste qui viendra répondre à l’appel erdélien:
Téléchargez les images – 6
De nouveaux termes pour la finance
En janvier, grâce aux experts du dispositif d’enrichissement de la langue française, deux nouvelles listes sont parues au Journal officiel dans le domaine de l’assurance, de l’économie et de la finance.
Rendez-vous sur FranceTerme pour en savoir plus sur les actifs numériques (la numérisation de la finance en français) et pour découvrir, entre autres, l’équivalent français de revolving door !
Génération.s, est-ce vraiment un parti de gens doués d’une conscience politique ?
« faut acheter le livre »
Certes, Phil. Mais on a la chance d’avoir Christiane, qui est douée pour la synthèse et à la générosité de partager ses découvertes. Pourquoi aller lire le livre soi-même quand on peut se le faire conter !
Ah, si et alii pouvait nous raconter Derrida dans le texte ou Marie Sasseur nous décoder les romans dont nous ne sommes pas capables d’en apprécier la substantifique moelle !
Rose, concernant Ilan, la haine me vient contre ces monstres. Quelle bande de nazes, je ne trouve pas de mots pour exprimer mes sentiments à l’égard de ce genre de nuisibles. Je ne sais pas si vous avez remarqué que dans les cas d’attentats ou d’agressions classées au rayon terrorisme, ils sont éliminés comme on eliminerait la vermine, sommation sommaires j’imagine . Comment est il possible d’excuser ou défendre ces tarés déficients mentaux plus bêtes qu’un cafard. Ceux là meme pas animés d’une revendication politique sont encore pire que les autres, des aberrations de la reproduction bons pour l’abattoir. Une amie m’avait conté les trouvailles de la police, genre torture et mort infligée au fer à repasser branché, un corps attaché. Elle me disait que selon son parent policier, tout ne remontait pas tant l’horreur des crimes etaient monstrueuses.
Etait monstrueuse. Mes excuses.
Jazzi,
pages 231 et suivantes :
« Or, au même moment, Jean-Paul Dreyfus dit Le Chanois, qui travaille comme scénariste à la Continental, mentionne le nom de Pottier aux dirigeants de la société. Ce dernier est convoqué au 104 Champs-Elysées où on lui propose de réaliser une adaptation d’un roman de Georges Simenon, Signé Picpus, une enquête du commissaire Maigret. Il sait qu’il a le choix entre travailler comm prisonnier ou dans le cinéma. Pottier fait le choix de la Continental pour rester auprès de sa femme et de son enfant. »
« Le roman est adapté par Jean-Paul Le Chanois, qui doit tailler sur mesure le rôle di commissaire Maigret pour son interprète, Albert Préjean, qu’on n’attendait pas dans le personnage. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, Georges Simenon a beaucoup apprécié le travail de Le Chanois et lui a même écrit une lettre pour le remercier. En tant que résistant de la première heure, le scénariste prend plaisir à inclure des dialogues à double sens. « j’ai mis contre la police le maximum de choses dans mon dialogue, sans outrepasser les bornes permises, mais suffisamment pour avoir marqué le coup. Je me suis amusé à faire la chose suivante : d’avoir une chatte que j’avais appelée Déa, de façon à pouvoir dire à un moment donné « Déa* est crevé ». Ce sont des plaisanteries innocentes qui nous faisaient plaisir. » Par contre, la censure ne laisse pas passer une scène où un serveur amène une bouteille de vin en disant : « 1918… Une bonne année ! »
Pottier va perdre le contrôle de Picpus […] Le metteur en scène se lamente : « Il a été complètement abîmé par des coupures sans qu’on me demande rien. J’ai alors essayé de m’en aller car je me suis dit : impossible de travailler dans ces conditions. Mais jouait un autre facteur : quand on partait de cette maison, automatiquement on était déclaré disponible à l’organisation de la main d’œuvre pour travailler en Allemagne, qu’on la quitte en bons termes ou en mauvais termes. On risquait pire si on partait en mauvais termes. »
Pottier reste donc au sein de la firme allemande jusqu’à l’arrêt de la production au printemps 1944. »
Notes (bas de page) :
(Marcel Déat fut un collaborateur notoire, condamné à mort par contumace à la Libération.
Cette réplique n’apparaît pas dans la copie de Picpus que j’ai visionnée. procès-verbal du 20 novembre 1944, dossier d’épuration de Jean-Paul Dreyfus (dit Jean-Paul Le Chanois), Archives de Paris.
et
Procès-verbal du 18 octobre 1944, dossier d’épuration de Richard Deutsch (dit Richard Pottier), Archives de Paris.
Si je trouve d’autres citations sur Le Chanois, je te ferai signe. Je n’ai ouvert le livre qu’hier après-midi !
Pourquoi aller lire le livre soi-même quand on peut se le faire conter !
compter…la vo toujours meilleure que le sous-titrage, dear Baroz. passez au laser pour les détails qui tuent..Raimu qui plante la censure en mourant avant le caviardage de la bande originale.
Je ne jouerais pas Clarisse pour défendre Moostbrugger , elle est d’ailleurs elle même un peu dérangée.
Jazzi.. voilà ce que j’ai compris du problème Le Chabnois.. La présence de Le Chanois à la » continental » a toujours étonné. Voici ce que dit Christine Leteux : » comment un scénariste juif et communiste nommé Dreyfus a-t-il pu travailler au sein d’une société allemande ?.
Le Chanois a raconté qu’il a essayé de retravailler, en 1941 : »j’ai demandé ma carte d’assistant réalisateur et de chef monteur. » On lui refuse.il travaille donc comme nègre d’un autre scénariste, Jean Aurenche. Il apprend qu’on n’a pas besoin d’une carte spéciale du COIC pour travailler mais on le dénonce dans la presse collabo. Il fait alors quelque chose d’ étonnant, il se rend au Commissariat aux affaires juives pour obtenir un certificat de non-appartenance à la race juive, ce qu’il obtient .Des amis, Claude Vermorel , puis Clouzot avaient écrit et signé une lettre disant que ce très bon scénariste est indispensable –il a le nom de sa mère Le Chanois- Il se rend alors à la Propaganda Staffel , reçu par le lieutenant Hirsch. Au vu des documents il obtient sa carte du COIC qui lui permet de travailler. C’est alors qu’il travaille pour la société Sirius sur le scénario de » Huit hommes dans un château »(1942) mais de nouvelles dénonciations arrivent, lettres anonymes et coups de téléphone pour dire :»le Chanois, c’est Dreyfus » .Panique des producteurs de Sirius.. lLà encore son ami Vermorel de La continental lui conseille de quitter Sirius et de venir direct à la Continental .Où il sera mieux « protégé »..c’est tout le paradoxe.. le chapitre est étonnant, compliqué, et on comprend que la Continental de 1942 peut protéger Jean-Paul Le Chanois qui fut un résistant de la première heure sous le nom de Marceau.. Donc à la Continental de 1942 il écrit 4 scénarios-tout en continuant d’être Résistant- et il achève le scénario de « La Main du diable » tourné par Maurice Tourneur. la sortie en salle le 21 avril 1943 reçoit un accueil mitigé de la critique. Dans le livre de Christine Leteux, tous les détails du tournage de cette « main du diable » donnent bien l’ambiance. La compagne de Tourneur, Louise Lagrange est arrêtée et mise au secret, et le compositeur Roland Manuel est licencié pendant qu’il compose la musique du film parce que la société a découvert qu’il est juif. Là encore dénonciation. Il faut vraiment Jazzi, que tu lises ligne à ligne ce texte pour comprendre la complexité de ce qui se passait sur un plateau de tournage et dans les bureaux de la Continental. Il reste, bien sûr, des zones d’ombre.
Phil, j’ai enfin depuis hier une TV digne du siècle de la technologie avec un bouquet Bouygues. Que me conseillez vous, j’ai accès à canal+ série
Phil dit: « l’éditeur de la Tour Verte, cinéphile de première, produit du bel ouvrage pour les honnêtes gens amateurs de vrai celluloïd. La Continental-films vous titille ? un tuyau, lisez les mémoires d’Alfred Greven. devraient bien mais PaulEdel Christiane vont pas commander Greven sur l’amazone, faut pas pousser mémé dans le mékong à Bloom. »
Très drôle ! Ce livre passionnant, je l’ai commandé à l’éditeur et j’ai reçu rapidement (collissimo) le livre, neuf, soigneusement emballé. Je vous recommande vraiment cet éditeur.
« La tour Verte », (4 route de Droisy Hellenvilliers 27240 Grandvilliers) et adresse sur internet.
Dans sa collection « La Muse Celluloïd » des livres dont les titres sont notés à la dernière page concernant : Max Ophuls, Georges Méliès, Arletty, Sacha Guitry, Giulietta Masina, Simone Simon, Jean Epstein, françois Truffaut, Maurice Tourneur, Marcel Carné, Federico Fellini….
Bien des auteurs, bien des livres et beaucoup d’autres collections…
Merci du complément, Paul Edel. Je n’ai pas encore lu cette page. (Quelle page ?)
Merci Christiane. Tout est dans tout. Le Chanois fut l’assistant de Duvivier et tout deux adaptent Simenon. Et la Continental est la planque idéale des juifs et des résistants… Et au final, le cinéma ramasse la mise !
Ah, j’ai trouvé ! page 245. Chapitre « La Main du diable ». J’y étais presque… mais vous aimez les courses de vitesse pour briller, Paul Edel.
Christiane
« La terre n’est quand même pas peuplée que de sadiques et de pervers », vous avez heureusement raison, mais on pourra déplorer d’entendre surtout s’exprimer le versant pénible de l’humanité. Ca fait vendre sans doute, ça excite les bas instincts, et perso ça me saoule (je ne parle pas des plaintes justifiées des victimes, évidemment)
bonne journée à vous
Super Paul. C’est rocambolesque !
Même en lisant ligne à ligne on ne pourrait pas y croire.
Une lecture à plusieurs voix s’impose.
Et Passou, grand spécialiste de la question, ne peut pas rester muet…
« puck dit: « heureusement c’est derrière nous, maintenant le monde est devenu bien plus amical et paisible, voire même harmonieux., presque parfait. »
euh..c’est du deuxième degré ?
oui, c’est du deuxième degré. Ouf.
Christiane, je ne cherche pas à briller ni scintiller.mes informations ne ternissent pas les vôtres.. mais j’aime beaucoup Jazzi. lui sur la RDL nous donne beaucoup d’informations sur le cinéma qui sont de grande qualité.c’est un excellent critique de cinéma.
On va fatalement en arriver à Clouzot et au « Corbeau » !
Et puis à Le Vigan…
« Et au final, le cinéma ramasse la mise ! »
très juste, tant il est vrai que l’art ignore la morale et ne choisit pas son camp.
>B
Ce qui est raconté est déjà atroce. La pocation d’une cave pour 1500 euros de manière à réaliser l’enlèvement et les tortures.
Le huis-clos puisque certain(e) était mineur(e). Les avocats auraient voulu procès public pour lancer l’alerte rouge.
Ils ne l’ont pas obtenu.
Et l’enregistrement de Ilan à sa maman
« Maman sauve-moi, Maman enlève-moi de là. »
Carole Toby qui a un goût amer
« Mon ressenti à un moment donné c’est que’il y avait une banalisation de l’antisémitisme ».
Pour ma part, je n’éprouve pas de haine. Mais de l’inquiétude, oui. Sévère.
Location
Oui, Jazzi, dix pages étonnantes dans ce livre que je découvre.
Il est triste de découvrir que « pour faire taire toutes ces dénonciations, il se rend au Commissariat aux affaires juives pour obtenir un certificat de non-appartenance à la race juive. »…
Et, qu’en règle « avec les lois de Vichy, Le Chanois pense qu’il va pouvoir travailler tranquillement ». Mais les tracasseries seront sans fin jusqu’à « rejoindre la Continental qui lui permettra de faire d’une pierre deux coups : pouvoir travailler sans être constamment dénoncé comme juif, mais également la possibilité d’infiltrer cette société allemande de l’intérieur. »
Ainsi fut fait puisqu’il créera en plus de son remarquable travail de scénariste, une « section de résistance au sein des deux studios de la société », collera des affiches dans les vestiaires et les couloirs, détournera de la pellicule et des appareils de prise de vie pour les réseaux de résistance.
Bonne journée.
Tout le cinéma moderne sort de cette époque.
Dans « Le Cas du docteur Laurent », il y a des scènes tournées en extérieurs comme on n’en avais jamais vu auparavant, bien avant les dictats de la Nouvelle Vague !
Jazzi dit: « On va fatalement en arriver à Clouzot et au « Corbeau » ! Et puis à Le Vigan… »
Bon, là, ou tu lis le livre ou tu demandes à sa seigneurie des Malouins…
On attend qu’il y ait un nouveau film classique sur Arte et on en reparle, Christiane !
En attendant de pouvoir retourner voir les nouveauté en salle…
(sur les mémoires d’Alfred Greven, je suis preneur, Christiane. Faut pas compter sur Phil pour nous en dire plus…)
L’ entropie est décrite dans une des lois de la thermodynamique et croyez- moi, il y en a qui s’en souviennent !
vi, Carnot tout ça mais Boltzmann (Sur la relation entre le second principe de la thermodynamique et la théorie des probabilités, en rapport avec l’équilibre thermique)c’est du lourd
c’est sur netflique que ça se passe baroz..et c’est du long
entropie..jolie prénom qu’elle dirait bonne clopine
Et puis à Le Vigan…
en djizeus..c’est un peu autre chose que rocco..sifredi qu’il dirait drrphilou
Le Vigan
oui oui qui s’y colle ?
Rose, Renato
très juste, tant il est vrai que l’art ignore la morale et ne choisit pas son camp
sil devait payer ses royalties..hugoboss frait la nique à donald..reuzment ya hune justice
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