Feu la France de Jean Gabin et du général De Gaulle

http://youtu.be/pPNtNj3cSxU

rajoutons

De Gaulle à Moscou – Décembre 1944
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/de-gaulle-et-le-monde/de-gaulle-et-lrsquourss/analyses/de-gaulle-a-moscou–decembre-1944.php

D votre lien ne s’ouvre pas. Il s’ouvre pour vous Widergänger ?

votre lien
Pardon

Plus le temps passe, plus De Gaulle étonne, impressionne, ravit. Pour lui, il y avait la Russie éternelle, l’U.R.S.S. ne pouvait pas durer. Que penserait-il de Putin ?

le regret d’une époque où la géopolitique était claire, les deux blocs antagonistes…

Vraiment? Et les indépendances africaines? L’assassinat de Lumumba & le kidnapping de Ben Barka…Les non-alignés ne comptent pas pour du beurre non plus.

http://www.dailymotion.com/video/xz2u8u_jean-gabin-2000-ans-d-histoire_shortfilms

Espérons que ça passera sur Arte ! Je vois déjà Phil en perdre ses faux cils et bombarder son poste à coups de Morteaux. L’Oural, ça ne lui vaut rien.

Halte au feu (le France; la France elle m’a laissé tomber)!

Bihoreau, duc de Bellerente dit: 30 mars 2017 à 2 h 06 min
il était maurrassien

A la place de Gabin on a Depardieu, mais à la place de de Gaulle il n’y a plus personne.
Faut-il le regretter ?

Vieille France liftée qui, comme Christine Angot, s’approvisionne au marché des amants. Et le petit Macron, bien élevé, n’est-il pas charmant ?

Il est clair que Jean Gabin, dans « La Bête humaine », est un pis aller dans le rôle de Lantier !

La vigoureuse virilité du visage de François Hollande, son air de guerrier prolétaire habitué aux travaux de force, eut mieux convenu.

Quant à Bébé Maqueron, je le vois bien dans un remake 2017 : « La Bébête humaine » …

Macron a Trogneux.
Hamon a Aubry.
Mélenchon a l’Internationale.

A chacun sa Vieille !….

Où est Bouguereau ?
Ce blog ne ressemble presque à rien sans lui.

Bon c’est plutôt rassurant.

« qu’importe..puisque cette France n’existe plus » dixit Passou dans sa retraite thérapeutique de Biarritz. Gare aux rouleaux, chaque année un ou deux surfeurs se font déculotter en public.
« cette France » se reconstruisait sur des ruines avec des hommes qui n’avait pas besoin de diplômes de la femis pour faire leur cinéma. Moncorgé Gabin, enfant de la balle, a réclamé et gagné l’enracinement dans son domaine terrien, ça n’en fait pas un Barrès.

Quelle bêtise, tout ces marathons. Les gens s’abiment la santé à courir de cette façon. Le corps humain n’est pas du tout configuré pour encaisser de tels excès sans contrecoups dont quelques-uns sont parfois fatals.
Et c’est un sportif qui vous parle.
Je pratique le Kung-Fu à haut niveau depuis 3O ans déjà. Je cours le matin 5 km rapides à jeun, JAMAIS DAVANTAGE, puis je prends un petit déjeuner composé de fruit, d’avoine et d’oeuf.
Je médite ensuite, puis si j’en ai le loisir je m’entraîne au Kung-Fu en commençant toujours par 1/2 heure de Taichi.

l’intelligence de JC éclipse vraiment celles de tous les autres commentateurs… continue comme ça mon gars, on est mort de rire ahahahahah

Et le petit Macron, bien élevé, n’est-il pas charmant ?
–
Ya keke chose qui monte, mais pas certain ke soit le niveau du débat…

Le Fipa (festival international de programmes audiovisuels) s’est clôturé le dimanche 29 janvier.

Il était temps que Passou en parlât !

Le ridicule ne vous tue pas. La fin du désir ne correspond pas avec le début de la ménopause. Une femme ne fonctionne pas comme un homme.

Non, Phil, les nouveaux cinéastes post vecchialiens ne m’intéressent pas plus que leur maître. Ils ont la fesse gay trop cheap ! Petite exception pour Alain Guireaudie toutefois…

à la bonne heure, baroz. Dame, le low cost envahit toutes les plages d’horreurs.

Observant de loin le visage ingrat des ministres de l’Intérieur, Matthias Fekl, et des Outre-mer, Ericka Bareigts en GUYANE, accompagnés de quelques milliards de dette supplémentaire, j’ai pensé illico :

TUDIEU … ON EST BIEN GOUVERNE !

Lire les déclarations de patrimoine des candidats était chose bien gouleyante.

Sous estimation attendue chez Le Pen et Macron, la routine. Le contraire chez ces deux manipulateurs eût été un scoop planétaire.

Situation de sexa ayant fait son chemin chez Meluch, du tranquillement bourgeois finalement assumé avec calme et une belle soumission bien comprise à cet ordre capitaliste même quand largement raillé dans le discours, déjà par alliance au PC, ou plutôt à ce qu’il en reste.

De la bourgeoisie installée et fière de l’être chez l’ensablé des LR ; cela avec cette arrogance tranquille qui m’a toujours vacciné de soutenir, comme le disait si bien Hugo, les tenants de cet « intérêt parvenu à satisfaction ».

Du gentiment risible, non, ce serait sottement méchant, disons modeste, chez Arthaud et Poutou, eux à la vie en accord avec leurs idéaux. C’est déjà ça.

Il fut d’ailleurs un temps, certes assez lointain, où « votais Arlette » plus pour la sincérité de la femme – passablement limitée mais juste en son registre – que pour son programme de révolutionnaire-robot, on s’en doute.

Le plus drôle reste quand même Hamon (le 11è commandement).
Voilà un garçon qui a filé directement d’une licence à une carrière politique sans jamais entrer dans quelque structure de création de richesse que ce soit, qu’elle soit privée ou public, et qui tout en voulant faire redistribuer une richesse qu’il est d’autant moins à même de faire fructifier qu’il n’en a jamais créé sauf pour lui-même (8KE mensuel net à en croire les infos lisibles dans la presse récemment, plus le salaire de Madame à LVMH, ne doivent pas camper souvent ceux-la, sauf sur leurs positions, surtout sociales…) prétend être pertinent pour redresser l’économie de la France…

C’est tellement risible que cela en deviendrait presque drôle.

Sont 90% de chances que j’aille grossir les rangs attendus et fournis des 32% d’abstentionnistes annoncés.

Bien la première fois que je voterai comme la majorité.

AO

Ce qui rend le personnage de Gabin finalement touchant, est cette envie – presque consentie – de laisser le cinéma le montrer vieillir, perdre son énergie, son souffle et bientôt sa vie, comme s’il avait été filmé en continu la quasi totalité de son existence.

Si on veut édifier – et désespérer que cela se résume finalement à ça – toute jeune vie quand à ce à quoi elle n’échappera pas, il suffit de lui faire dérouler la filmo complète du gars Moncorgé devant les yeux.

Sans le vouloir, Gabin a écrit sur la péloche une manière de Condition humaine, en moins brumeux, en plus brut brut d’instants coffrés par le temps. Nous y sommes tous.

AO

oursivi dit: 30 mars 2017 à 14 h 03 min
Passionnant

JAZZI dit: 30 mars 2017 à 9 h 59 min
La France, qui n’est point gouine, ne veut pas de Marine !

Fô distribuer les fisils ! Vite fé au galope…

Havant que ça se casse !

Phil dit: 30 mars 2017 à 14 h 58 min

Allons Phil, que le Jeannot l’arpent ait cumulé de la terre à la pelle lui qui se fit saupoudrer en mer, ne change rien au fait que le Gabin – par exemple – de l’Année sainte était plus proche du fauteuil roulant (et de Michel à Mr Cinéma) que de la vitalité propre à l’évasion, même fiscale.

Sortez de votre grande illusion, du pipeau que tout cela, comme aurait dit Fresnay*.

AO

* sans vous jeter la Pierre

Pierre, pas Michel, Rouland, argh, je vieillis, moite aussi…

C’était Jacques, je vais y arriver…
Ah le Zeimer…

Ainsi, cette Âme est née au monde des effigies et des épreuves ; et elle crie.
Son élément était le fluide céleste, la Lumière intérieure de l’Univers, l’Ether spiritueux, de dedans et l’endroit de la Substance cosmogonique.
La voilà à l’envers, au dehors, en pleine nuit.

Elle ne voit plus son corps céleste : il s’éclipse.
Elle en a perdu la science, la conscience, la vie réelle. Son intelligence se ferme, sa clairvoyance directe ne voit plus, son entendement n’entend plus, sa sensibilité psychurgique est partout accablée.

Entre elle et l’Univers s’interpose un obstacle terrible, quelque chose d’obscur et de limitant, de courbe, d’obtus, d’âcre et de chaud, étrange composé qui bruit et fourmille, voilé savamment et artistement tissé, replié sur lui-même et sur elle, dont toutes les contextures animées, images de l’Univers, en communion précise avec Lui, figures des facultés de l’Âmes, en conjonction substantielle et spécifique avec elle, s’enlacent et s’enlacent dans les méandres tortueux des organes et des viscères : c’est le corps.

Si le corps crie, c’est que l’Âme souffre.
Elle veut fuir mais elle retombe sous une irradiation qui lui rappelle la lumière vivante, Ionah, la Substance céleste ; c’est un baiser maternel.

Parfois, il lui semble qu’elle est morte. Elle se rappelle comme dans un songe l’immensité de cette Lumière secrète où elle se baignait nue dans des tourbillons resplendissants, les croupes, les vallons éthérés d’un astre aimé, sans atmosphère élémentaire, sans attraction physique, monde des essences, des arômes et des parfums de la Vie, d’où elle entendait monter et descendre les Harmonies et les Mélodies intérieures des Temps et des Espaces, des Etres et des Choses, d’où elle s’élançait, frémissante, à la voix intime des bien aimés et des bien aimées, pour contempler Shamaïm, l’Ether, la Mer azurée du Ciel, les îles, les flottes sidérales, les mouvements de leurs Génies animateurs et de leurs Puissances animatrices.

Comme un reflet d’étoile sur une eau qui frissonne, un souvenir tombe et tremble encore en elle de la grande réalité.
Elle exhale encore la céleste ambroisie des Mystères éternels du Saint-Esprit ; et les effluves de l’autre Monde ne s’évaporent que lentement de sa balsamique essence que la Mère boit, respire et baise avec une ivresse étrange pour les profanes.

Ne t’envole pas, doux reflet de l’Astre des Mages !Immortelle, souviens-toi !
Elle croit les voir encore, les blanches, les divines, hommes et femmes, déesses et dieux, diaphanes, lumineuses formes, types de la Beauté, calices de la Vérité, se mouvant, planant, s’enlaçant dans les ondes magiques du céleste Amour, dans les communions éblouissantes de la Sapience.

Ne sont-ce point encore les Théories sacrées, les Poèmes vivants du Verbe occulte, les Hymnes des Pensées créatrices, les Symphonies des Sentiments animateurs, les enseignements hiérarchiques des Cercles psychurgiques, le trouble saint des Grands Mystères, les Dieux, rayon du Dieu dont la Lumière est l’Ombre, le sillon lumineux, le vol arômal des Génies, des Envoyés, des Intelligences parfaites, des Esprits immortels, des Âmes victorieuses et glorifiées.
O vertige ! là, n’est-ce point encore le quadruple cercle inférieur des âmes montant ou descendant, l’Océan fluidique, étincelant, sur lequel passe la brise de l’Amour, dans le fond duquel crient la Naissance et la Mort ?
N’est-ce point encore…? Mais qu’allais-je dire ?
Que s’est-il donc passé ? Chante, fille des Dieux !
Ecoutez !

Un grand trouble, un vertige, un enivrement subit, une lourdeur étrange, un magnétisme lointain, une attraction douce et terrible, une incantation des Astres, un mot d’ordre, un cri de sphère en sphère, des adieux déchirants à la vie Supérieure, aux bien-aimés, une prière, une cérémonie solennelle, aux rites funèbres, une dernière étreinte, un dernier baiser, un serment de se souvenir et de revenir, un Génie aux pieds ailés qui prend l’immortelle et l’entraîne vers les Gouffres, l’Immensité d’en haut qui se ferme, celle d’en bas qui s’ouvre avec fracas, l’Océan tumultueux des Générations, Abîmes d’Âmes gagnant ou quittant la cime ou le fond de l’atmosphère d’un autre Astre, bataille électrique des passions et des instincts de la Terre…. puis… quoi donc ?

C’est l’orbe de la Terre, c’est l’Océan métallique déroulant ses flux, enroulant ses reflux.

On traverse des tourbillons d’Âmes qui s’élèvent ou s’abaissent, les unes diaphanes et pures, spiritualisées et légères, s’exhortant à vaincre celles qui s’opposent à gravir dans Lumière l’échelle des rayons célestes, à franchir la région des Nuées et des courants fluidiques, à gagner la Citadelle ignée du Feu supérieur, les cercles de l’Ether ; les autres, obscures et marbrées de tâches comme des peaux de fauves et de reptiles, souillées par les vices, enténébrées par les crimes, matérialisées par l’instinct, alourdies par l’Egoïsme, impuissantes à briser les Fleuves électriques de l’Air, emportées par les Orages et les Vents, roulant loin de la barque d’Isis dans le Puits démoniaque de l’Abîme, dans le vertigineux cône de ténèbres que la Terre traîne dans les Cieux, criant dans le Silence, s’accrochant aux premières et essayant de les entraîner avec elles pour diminuer d’autant le poids épouvantable du Destin?

Qu’est-ce encore ? Souviens-toi !
Ce sont, dans l’Atmosphère, les Nuées, les grands Courants polaires, les souffles de l’Orient, les rafales de l’Occident, les Fleuves aériens secouant l’écume des nuages, agitant leurs serpents électriques ; c’est l’Océan inférieur de l’Air, avec ses quatre régions ; celle des aigles, des grands migrateurs, des alouettes et des colombes.

Dans cette dernière, commence le règne de la Substance plastique sur la Terre, avec ses quatre Nômes : Minéral, Végétal, Animal, Hominal, et ses sept tourbillons de Puissances génératrices et de Générations spécifiées.

Après les cirques et les amphithéâtres vertigineux des Montagnes blanches, après la féerie éblouissante des Glaciers et des Abîmes, voici venir à l’infini les molles ondulations des Collines vertes, l’écoulement écumeux des Torrents, le serpentement écaillé des Rivières et des Fleuves métalliques, le balancement des Forêts sonnantes, l’immensité circulaire des CAmpagnes herbeuses, où courent et se jouent des frissons.

C’est la Terre, l’une des mille Citadelles du Royaume de l’Homme, Fils immortel et mortel de Dieu-les-Dieux, c’est Déméter, c’est Adamah, le monde des Effigies et des Réalités physiques, l’Enfer, le Purgatoire, le Paradis, selon l’Âme qui s’incarne, selon l’Esprit qui règne dans la chaire des Âmes incarnées, selon la Foi, la Loi, les Múurs de l’Etat-Social.

Voici les cercles de pierre des Métropoles, des Cités, des Villes et des Villages, avec le bourdonnement des voix d’airain qui, du haut des dômes et des clochers, scande et annonce, au-dessus du fracas des grandes eaux populaires, la Naissance et la Mort.

L’Immortelle s’arrête brusquement ; s’attachant avec force à la clarté des Astres, elle mesure l’espace parcouru, la distance qui la sépare des Cieux.
Grâce ! dit-elle à son Guide !

 » Courage ! Tu l’as juré ! Là-haut, la couronne de la Foi, là-bas l’Epreuve ! »
Pardonne ! Oui, j’ai peur ! Si, là-bas, j’allais ne plus pouvoir rassembler mes souvenirs !

« Tu le pourras en rassemblant les Sciences. »
Du moins, dis : dans quel Etat-Social, dans quelle RAce, dans quelle Nation, dans quel Foyer ?
« Ici, répond le Guide ailé des Âmes, ici, la Généthliaque céleste indique la trame de ta destinée. »
Pour longtemps ?
« Jusqu’à l’accomplissement. »
O mon Génie ailé, quels sont ces chúurs d’Âmes qui nous suivent ?
« Ce sont les Ancêtres qui te font cortège ; car je vais remonter. »
Déjà ? Je me sens de nouveau défaillir !
« Courage donc, Âme immortelle ! Je reviendrai si tu sais vouloir. »
Où suis-je ? Ciel, Terre, tout a disparu ; mais une attraction invincible m’enchaîne tout entière.

« Âme immortelle, voici ta Mère !
« Au nom de Dieu, au nom de la Nature, au nom d’Iod et de Hévah, voici ta patrie vivante ici-bas.
« Sois unie à elle par toutes les Puissances magiques de la Vie !
 » Adieu ! »

Elle se rappelle encore ses entretiens avec l’Âme maternelle, leur indivisible et mutuelle pénétration, leurs communions mystérieuses, pleines de souvenirs et d’espérances sur-terrestres, douleurs et joies, frissons, extases, musiques muettes, le lent enroulement des neuf cercles séléniques, l’incantation des épigenèses, puis… une souffrance crucifiante, terrible, une vapeur sulfureuse, un effluve ferrugineux montant brusquement des Gouffres ignés de la Terre, tourbillonnant, l’arrachant à l’Âme maternelle, la clouant à un vide pneumatique, à un antre pulmonaire chaud, mouvant… un cri dans cet antre, dans cette effigie creuse et… le Souvenir rentre dans ses profondeurs avec les Innéités célestes.
Il ne revivra plus que par la Science.
O vous qui mettez votre honteux honneur à descendre du gorille, vous mériteriez de n’en pas remonter!

Eloignez-vous de ce Mystère céleste ; laissez prier ici les femmes.
Elles sauront dire au moins : « Notre Père qui êtes aux Cieux… »
Vous, restez, Vierges, Epouses, Mères, Aïeules, Druidesses de l’Arbre de Vie ; restez près de ce Dieu vivant, priez l’Ancêtre des ancêtres.

Et sachez que si, dans le cercle des Générations, le Père donne le germe de l’effigie, le mouvement initial de l’Espèce, la Mère sa substance et la forme spécifiée, contrairement aux âmes des animaux qui viennent du Feu terrestre, l’Âme humaine vient du Ciel.

Appelez donc le Prêtre, pour qu’au nom de l’Etat-Social, l’Espèce humaine salue la Loi du Règne et l’ordre du Royaume.
Quel prêtre, direz-vous ?
Celui de votre Foi et de vos Moeurs sociales : pope, curé, pasteur, rabbin ou marabout.

Faites accueillir solennellement ce nouveau-né.
Car, en vérité, je vous le dis : la Naissance est chose aussi grave que la Mort, et c’est un des Mystères qu’il fallait entrouvrir à vos yeux.

En fait, à vous lire, Philou, l’est mort en pleine forme le Jeannot !

Me revient ce qu’on prétend être l’épitaphe de Groucho (ne sais pas, ne l’ai jamais trouvé, l’est très au nord du centre de LA), « vous avais bien dit que je n’allais pas bien », qui n’apparaît nulle part sur le Net, déjà parce qu’incinéré, tirant sûrement une dernière bouffée pour la route, là qu’une photo à l’entrée rappelle sa philosophie :

« Please accept my resignation. I don’t care to belong to any club that would have me as a member ».

Les Marx, une autre idée de l’Amérique, hélas défunte, elle aussi.

AO

Oursivi, Gabin, médecin trompé par sa douce pendant la seconde guerre (oublié le titre), proposait à ses patients estomaqués « des lavements à la guimauve ».
Un remède qui résume assez bien l’homme.
dédé, vous avez des suggestions de menu pour le dîner ?

Juncker irrité par Trump: « S’il continue, je vais encourager l’Ohio ou le Texas à quitter les Etats-Unis »

« Euh… avez mangé quoi à midi ? »

Grave cas de constipation littéraire, faut consulter, D. !

l’ombelle des talus dit: 30 mars 2017 à 8 h 37 min
Halte au feu (le France; la France elle m’a laissé tomber)!

De la rue d’Isly à Sardou censuré par De Gaulle pour avoir commis l’irréparable avec Les Ricains !

« Elle ne voit plus son corps céleste : il s’éclipse. »

flûte alors!c’est pas de veine

Certains auront reconnu le très-remarquable Saint-Yves d’Alveydre.
Un bonhomme immense surtout comparé au financier verreux Juncker qui prétend gouverner l’Europe illégitime.

Qu’est-ce qui se passe non mais qu’est-ce qui se passe ?

On s’en fout de qui gouverne la France, car qui gouverne nos cœurs ?

Ne te force pas djavert, tu vois, ce que je sais, c’est que Gabin- Madeleine, te mets encore une douille.

http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/14/martine-havet-morte-cosette-miserables-jean-gabin-bourvil_n_6470186.html

c’est marrant il s’est engagé dans les fndl au même moment que mon père, si ça se trouve ils étaient sur le même bateau, si c’est le cas il n’en aurait rien dit, vu que ces hommes n’aimaient pas parler de leurs faits d’arme, des taiseux du genre à cacher leurs médailles dans un tiroir sous les draps.

la France a changé, les hommes aussi ont changé, l’honneur, le courage, la patrie, le respect, la honte, le courage, l’honnêteté, la pudeur, la culpabilité, la morale, la force morale, tous ces mots sont d’un autre âge, en fait un tas de trucs ont changé.

amlette, tu as tort de faire le nez. Cette version des  » Misérables » de Jean-Paul Le Chanois est très acceptable, pour caractériser ce qu’est la pourriture, actualisée web2.0

JC….. dit: 30 mars 2017 à 20 h 15 min

On s’en fout de qui gouverne la France, car qui gouverne nos cœurs ?

–

Moi, JC.

djavert, tu connais cette expression: numéroter ses abattis ?
Commence à compter.
http://www.expressio.fr/expressions/numeroter-ses-abattis.php

tu te laisses aller sous les bois des tropiques de guyane, cosette mondoline, tu dégabines
https://www.youtube.com/watch?v=V1bFr2SWP1I

pense à lui mettre une gerbe en descendant, michèle morgane de toi, cosette :
http://www.union-gaulliste-de-france.org/2017/01/deces-de-monsieur-paul-chouteau-membre-du-commando-kieffer.html

Ste Naze redore son blase, ça jazze, laisse tombaze, t’peux pas compraze

dans un docu sur Einstein que j’ai récemment vu, sa petite fille se plaignait d’être la petite fille de l’illustre savant parce que ,disait-elle ,on attendait beaucoup d’elle;pauvres français qui répondent à pareil sondage au lieu de retourner la question du tonneau « qui tu préfères ton papa ou ta maman » par une boutade

Triplicate, le nouvel album de Dylan demain à l’écoute
Ce qu’endure Le Figaro pour en dire la promo :
http://www.lefigaro.fr/musique/2017/03/30/03006-20170330ARTFIG00188-dylan-trois-bonnes-raisons-d-ecouter-triplicate-le-nouveau-disque-du-nobel.php

naïF….

Pourquoi parler de république alors qu’ils vivent comme des Rois ?

Pourquoi parler d’identité alors qu’il faudrait parler de Nation ?

Pourquoi parler de déclin en France alors que nous avons inventé la misère aisée ?

J’écoutais la radio, quelqu’un a dit « épiphénomène », wow ! et voilà qu’un long moment d’un ennui mémorable s’installa ; vue l’importance relative des intellectuels dans le panorama contemporain, il ne manquait qu’une boutade à vide ou un « mannequin challange sonore » (une phrase répété en boucle : « Il revint encore plusieurs fois mais il vient moins souvent à présent. / Il revint encore plusieurs fois mais il vient moins souvent à présent. / Il revint encore plusieurs fois mais il vient moins souvent à présent. / Il revint encore plusieurs fois mais il vient moins souvent à présent. ») pour achever le tableau : domestiqué pour domestiqué, une saine réévaluation de la figure de la « cheerleader » s’impose.

Schubert : http://youtu.be/rMjGjavbXfI

« qu’hamon se retire et invite les siens à aller vers mélanchon, c la seule solution. »

Il totaliserait 0% et là les frais ne sont pas remboursés !

« qu’hamon se retire et invite les siens à aller vers mélanchon, c la seule solution. »

Et pourquoi pas l’inverse ?

« vous admettrez que J-L M est moins ennuyeux que l’autre. »

Incontestablement, renato ! Mais pourquoi demander à l’un et pas à l’autre ?

Parce que l’autre demande depuis un bon bout de temps déjà, et si vraiment il se fait du souci pour la gauche il n’a qu’à renoncer — ce serait noble… Puis, vous savez que dans les urnes 15+10 ne fait pas toujours 25…

Pourquoi lire Lacenaire, puisque c’est toujours « du JC » ?

Bloom, effectivement c’est là une chose assez curieuse.
d’un côté les hommes semblent meilleurs aujourd’hui et le monde paraît se porter mieux.
et d’un autre côté les hommes semblent moins bons aujourd’hui et le monde parait se porter plus mal.

c’est comment qu’il dit Céline dans le Voyage, sa pensée profonde qui fait se pâmer tous ses adorateurs, un truc métaphysique du genre : s’il existait un moyen simple de différencier les bons des méchants…

Marrant cet Hamon…

Il a passé son temps à planter Hollande en plein milieu de mandat – là que tous constations, lui aussi, que ce premier cap plutôt gauchisant donnait les mêmes résultats si médiocres que ceux de Mimit entre 81 et 83 – et il se plaint qu’on le plante comme il a planté…?
Qui a fait périr par le glaive par le glaive périra.
Quoique dans ce monde ils soient plutôt dans un échange de glaviots.

Si Macron l’emporte, François Normal les aura bien niqués, tous ces fron et fraudeurs.

AO

Mais là on parle des candidats de la semaine… On n’a pas déjà ceux de la semaine prochaine ?

« Si Macron l’emporte, François Normal les aura bien niqués, tous… »

A commencer par lui-même, Oursivi !

De la fachosphère augmentée et de la propagande nauséabonde (dire qu’Emmanuelli que l’on situait à l’aile gauche du PS était passé par une banque Rothschild)

http://m.huffingtonpost.fr/2017/03/31/macron-cible-dune-nouvelle-campagne-web-des-republicains_a_22019648/?xtor=AL-32280680

Prétendre que Macron est le poulain de Hollande ne me semble pas résister à l’examen

Non mais comme ça le grand Charles i bossait le russe discretos à l’Elysée ! Ceux de maintenant sorti de Ruquier…

Erdogan utilise à peu près la même techeunique que les Québécois et les catholiques nord-irlandais: la revanche des berceaux…On pourrait discuter des nuances, mais c’est grosso modo une stratégie voisine. La femme comme utérus, l’utérus comme arme (le zgeg n’étant qu’un invité temporaire)…La femme comme vecteur de son aliénation au service de la Cause…on peut dévider le fil de tout ce que cela présuppose.

« déclaration bien entendu passée à la trappe des médias français… » nullement, ca fait à peu près un an qu’on sait ca, tous les grands journaux francais suivent l’évolution de la Turquie.

On peut lire par exemple les 200 articles de Ariane Bonzon pour faire un petit récapitulatif historique. https://m.slate.fr/source/ariane-bonzon

C’est tout le problème des journalistes, on leur dit que c’est des p.tes à clic mais personne ne lie leurs articles pointus.

une petite mangue saint emilion, dear Bloom ? pour vous remonter le moral et les bretelles. « la chaleur descelle les dalles comme les moeurs » disait l’excellent Morand, qui voyait les bolcheviks au pouvoir en France en deux mille.

« sans doute, léger et avec de l’esprit. »

Mais avec un manque complet de culture, contrairement à François I, oursivi !
Oui, pour lui Macron sera la plus belle des sorties. Mais peut-il le dire, va t-il appeler à voter pour lui ?

Herr Dogan

C’est quoi une postdoc, oursivi ?

Phil, la Chinoise n’était pas dans le RER, faut suivre ! Ils ont dû revenir en taxi ?

constante et noble question, baroz

une postdoc chinoise arrive le plus souvent à roissy, baroz.

« un cdi quelque part. »

En France ? Encore un emploi en moins pour les indigènes !

J’imagine la cruauté de son directeur de thèse :

Tu iras faire une thèse en France, cela te fera les pieds !

AO

« Par contre, Macron n’a pas intérêt à foirer »

Avec toutes ces bonnes fées penchées sur son berceau et son bâton de Bergé, il ne peut que réussir ou finir sur la Croix, oursivi !

Nabilla, pour revenir à elle, a vécu un nouveau chapitre de ses prochains Mémoires :

« Le voyage chaotique de la starlette de téléréalité Nabilla à Londres mercredi a donné lieu à un échange énervé avec la compagnie Air France sur les réseaux sociaux. »

L’arrogance du soi-disant monde libre se paie cash aujourd’hui; comme après la Grande Guerre.
https://www.theguardian.com/commentisfree/2017/mar/31/putinism-russia-1989-world-order-rejected

J’essayais de faire un peu d’humour oursivi… L’eau est noire la bas https://www.dropbox.com/s/2imdd83dn85m1ur/2014-07-06%2019.54.48.jpg?dl=0

C’est que pour De Gaulle le visionnaire, les Pyrenées devaient constituer une sorte de ligne Maginot millénaire (allons donc) avec l’Espagne, où les arabes séjournèrent huit siècles et des poussières … Alors la commune de Colombey-les-Deux-Eglises, vous pensez bien

Mélenchon vs Le Pen au second tour, du 100% Putin blanchi in France, on a des sondages ?

pier mon ami

vien moi vite en haide,j’ai baucoup des problaimes SVP depouis qu’on sé vues la dernière fois

https://www.youtube.com/watch?v=aa911_8TP2s&list=RDaa911_8TP2s#t=61

mais m’appelle pas surtout pas sur mon portabel, donne moi directemant ton, code de carte wisa ou maistercard, merçi pour ton è_de

janssen ton ami bizes, jen-jack

Jean Langoncet dit: 31 mars 2017 à 18 h 51 min
après avoir prédit à la veille de la seconde guerre mondiale que l’aviation n’avait aucun avenir

C’est pratiquement vrai : pas un mot sur les navions dans Vers l’armée de métier, contrairement bien sûr aux grandes unités blindées.

Maintenant on y trouve quand même un petit paragraphe, il a été inséré par des nègres à lui lors des rééditions de l’après-guerre.

Ben les méchants on peut les bouffer… Hon les met dans une marmite !

Oui Monsieur, mais ensuite les ris de veau ça s’accommode pas à l’improviste pour autant.

Bloom l’a dit : à quelques mètres de chez lui il y a des gamines qui se vendent pour quelques roupies.

la faute à qui ? au système.

parce que comme le dit Bloom les hommes sont meilleurs aujourd’hui qu’avant, du coup le monde aussi est meilleur.

le système est fait de telle sorte que sans coupable il ne peut pas y avoir de crime, cqfd.

tout le contraire de la justice où le raisonnement consiste à dire sans victime il ne peut pas y avoir de coupable.

ça le truc le plus fortiche, d’avoir un système qui a réussi à inverser cette logique : où voyez-vous des victimes ? regardez mieux ! il ne peut pas y avoir de victimes puisqu’il n’y a pas de coupable.

résultat des courses la misère, l’exploitation etc.. n’est pas un crime vu qu’il n’y a pas de coupable.

et même quand la gamine de douze ans d’à côté de chez Bloom se fait sauter pour trois roupies ce n’est pas un crime vu qu’il n’y a pas de de coupables à mettre en prison.

à choisir il vaut mieux la guerre.

Bob Dylan est le premier album de Bob Dylan, sorti en 1962 sur Columbia Records.
“I was always a singer and maybe no more than that”
https://vimeo.com/139819976

Le monde est meilleur sauf hamlet toujours plus méchant chaque jour en cherchant des poux sur toutes les têtes. Méchant ! Méchant, hamlet !

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »
Benjamin Franklin

Dans les Abattoirs, on ne demande pas aux moutons et aux veaux de voter. En Démocratie, oui.

Josef Sudek :

http://blogfigures.blogspot.fr/2013/04/josef-sudek-spring.html

Lacenaire* est devenu intelligent : il vote pour le maquereau rond, le Macron !

*POISON D’AVRIL !

Macron ? Peter Pan !

…. je sais…je sais…. sa Fée Clochette, elle va nous foultre le bourdon…