GAG, sursitaire toujours coupable
Si vous deviez écrire une sorte d’autofiction dans laquelle vous donneriez un autre nom que le vôtre à votre personnage, comment l’appelleriez-vous ? Attention car une fois écrit, tout est dit. Il n’est pas de meilleur, ou de pire, révélateur. Un vrai miroir. On se doute qu’un esprit aussi aigu que Georges-Arthur Goldschmidt, que d’aucuns aiment à nommer de son comique acronyme GAG, a longuement ruminé la chose avant d’écrire L’esprit de retour (156 pages, 17 euros, Seuil) et de le donner à paraître dans la collection « Fiction & Cie ». Il a donc choisi de s’appeler Arthur Kellerlicht – qui pourrait se traduire par « rat de cave ». Cela saute à la figure dès la première page et on ne peut se défaire de cette image de haine de soi jusqu’à la fin.
Etrange livre, si troublant et dérangeant, d’une écriture âpre, dense, durement tressée. Drôle de bonhomme surtout connu comme traducteur, l’un des meilleurs, dont l’œuvre s’enorgueillit de grands textes de Kafka, Handke, Büchner, Stifter, Nietzsche. Pour ce qui est de ses réflexions sur l’art de la traduction proprement dit, on ira plutôt voir ailleurs, notamment du côté A l’insu de Babel (170 pages, 25 euros, CNRS éditions) où l’on voit la pensée rêver de déborder ses mots, la langue sortir de ses gonds, dire plus que ce qu’elle n’en dit et ne pas se laisser faire par le sens imposé. Mais s’agissant de Goldschmidt en personne, de ce qui l’a fait et le fonde, la lecture de L’esprit de retour est une épreuve. Indispensable mais éprouvante car l’auteur ne recule pas. Balayés ses tabous et garde-fous.
Il nous raconte une histoire, la sienne. Celle d’un garçon né en 1928 à Reinbek, près de Hambourg dans une famille protestante mais d’origine juive. Après avoir fui l’Allemagne nazie, il est accueilli dans un pensionnat en Haute-Savoie et finit par s’installer à Paris où il poursuit des études de Lettres ; après la guerre, il retourne régulièrement au pays natal pendant les vacances. Ainsi présentée, l’affaire semble entendue : on s’attend à un récit sur la double culture, le va et vient franco-allemand, l’identité écartelée, l’incertitude de l’exilé, l’ambiguïté du déracinement. Rien que de très convenu en ce XXème siècle bousculé. Esprit français, âme allemande. Et pourtant, s’il s’agit aussi de cela, il ne s’agit pas que de cela ; il est vrai que ce « rat de cave » n’est pas de tout repos. Il ne se ménage guère, et nous avec. Tout jeune, il a une cruelle conscience de l’image qu’il renvoie à la société ; et malgré les efforts assimilateurs de père puriste et juriste, il voit bien que ses compatriotes de la fin des années 30 le voient comme un individu appartenant à ce peuple juif dont il se sent « à la fois proche et étranger » et dont il croit avoir décelé les ressorts de la haine archaïque qu’il inspire : « On cherchera à s’en débarrasser jusqu’à la fin des temps, puisque c’est lui qui a le premier formulé le « Tu ne tueras point » ».
Tout se noue autour de son secret et de son aveu : une sexualité dominée par le masochisme de la flagellation. Un récit d’initiation où l’éveil à l’érotisme est cravaché. Tout a, naturellement, commencé dans l’enfance. Adolescent, il était confié à une grosse femme qui avait la punition facile : dans son cas, la fessée. Sauf qu’il en conçut une délicieuse honte, bientôt sublimée, magnifiée, transcendée, institutionnalisée par le règlement des pensionnats et internats, dans un bain de sang, de larmes et de supplications, la nudité en public, pantalon aux chevilles, s’ajoutant à l’avilissement.
Fouet aristocratique, martinet des familles, badine de bambou : qu’importe l’instrument, pourvu qu’on ait l’extase, l’ivresse, la jouissance, lesquelles ne viennent que par cette douleur-ci sur ce corps-là. Car, tout disgracié qu’il soit, il le croit prédestiné à être flagellé ; même la directrice en est convaincue. Son cas est d’autant plus complexe que, bien que considéré comme non-aryen par le pouvoir, il se tient pour un faux-juif et un vrai chrétien vicieux. L’opprobre ne lâche pas ce garçon qui ne s’intéresse pas aux filles mais que les filles aiment bien ; car, à l’indignité de ce vice se superpose une autre : celle de la langue allemande « qu’il portait en lui comme une maladie honteuse » dans la France de l’après-guerre. De ses années en Sorbonne (où bizarrement, il rencontre un professeur « alsacien et qui savait l’allemand, en ce temps-là ce n’était pas si fréquent », tiens donc…), à étudier de près une littérature allemande avec un je-ne-sais-quoi de « gothique et de mignard à la fois, toute harnachée, équipée de pied en cap », il a conservé un œil impitoyable pour déceler et dénoncer une « Allemagne pour Français », ce qui fait de lui l’un des rares à rejeter aujourd’hui dans ce camp l’œuvre du peintre et sculpteur Anselm Kiefer. Ou encore Heidegger qui eut chez nous des indulgences qu’il n’eut pas chez lui. Son Allemagne personnelle était toute autre. Y retournant en 1949, il fut sidéré de constater que tout le monde ou presque lui assurait avoir vécu des années d’exil intérieur (innere Emigration) sous la férule du Führer. C’était à se demander quel autre peuple l’avait porté au pouvoir, plébiscité, soutenu, encouragé et, de gré ou de force, de ferveur ou de terreur, suivi jusqu’au bout.
Certains livres le soutiennent dans ses doutes homosexuels et ses tourments masturbatoires. Il en cite des passages dont on peut croire qu’ils l’ont effectivement aidé, dans le désarroi d’un adolescent qui porte sa faute en écharpe en se demandant si elle est visible, qu’il s’agisse de La Flagellation chez les Jésuites (1759) de Darragon ou du Géranium ovipare (1935) de Georges Fourest ; en revanche, c’est difficile à imaginer s’agissant du Lieutenant-colonel de Maumort car le fameux roman inachevé de Roger Martin du Gard n’a été publié que longtemps après sa mort, en 1983 dans le Pléiade ; il pourrait alors s’agir d’une reconstruction au sein d’un halo de mémoire. Durant ses années étudiantes, devenu un pilier de la librairie Flinker du quai des Orfèvres, il s’est convaincu que toute la littérature allemande n’a été qu’un cri né des stries de la badine de bambou sur les fesses adolescentes :
« Elle était quelque part au fond de tous ces livres allemands exposés, pas un de ces auteurs qui ne l’ait subie ou vue à l’œuvre. Tous portaient en eux ce genre de visions d’enfance et ce qu’ils avaient écrit n’avait été que la tentative pour les dissimuler ».
A croire que le châtiment corporel serait le prisme idéal pour envisager la fiction outre-Rhin. Une vision que l’on pourra juger pour le moins exclusive. Toujours est-il que de sa névrose iI fait de la littérature, lui l’étranger permanent, ici et là-bas, définitivement heimatlos, sans-patrie plutôt qu’apatride, Français d’adoption qui ne cesse de revenir vers une Allemagne qui ne veut pas de lui, de plus en plus chez et de moins en moins à sa place. De son vice il a fait de l’art. Cette lecture m’a fait défiler les images du film Le Ruban blanc de Michaël Hanecke. Même si, dans ce cas, la punition n’entraîne pas la moindre jouissance mais, au contraire, une rébellion collective contre un système, gouvernée une volonté de vengeance. Rappelez-vous dès les premières séquences, dans ce village d’Allemagne du nord tout imprégné de rigueur luthérienne à la veille de la première guerre mondiale ; déjà, la faute, le châtiment ; et, à l’instant d’asséner les dix coups de verge rédemptrice sur les fesses de son fils, le pasteur qui assure malgré les hurlements annoncés :
« Ces coups nous feront plus mal qu’à vous. Mais une faute ne peut rester impunie si nous voulons vivre dans une estime réciproque ».
Ainsi commence le Ruban blanc. Quant à L’esprit de retour, cruel constat de honte de soi lorsqu’elle se mue en haine de soi, il s’achève par l’évocation d’un Arthur « rat de cave » Kellerlicht en « sursitaire toujours coupable ». Toute une vie appliquée à ne pas en sortir. Mais c’est en français qu’il l’a écrit, comme tout le reste, pas en allemand.
(Photos extraites du film de Michaël Haneke Le Ruban blanc)
909 Réponses pour GAG, sursitaire toujours coupable
« Comment ne pas comprendre qu’un réseau mondial d’échange entre Etats, Entreprises, Individus ne soit pas surveillé, y compris au niveau de la vie privée de chaque individu ? »!
surtout que c’est tellement efficace comme on a vu
d’ailleurs on comprend le plaisir à lire « gag » quand on a des questions sur l’usage d’écriture ci-dessous
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_acronymes_rabbiniques
essai 8h70 La vidéo proposée est symptomatique de l’age des différents interlocuteurs qui ici prennent part à l »actualité bouillonnante comme le lait dans la casserole ou le café alors c’est foutu, moi-même ai bien connu la grand-mère de cette chanteusecélèbre
Saisir l’individu par l’extrémité de son nom c’est un peu le rattraper pour lui éviter la chute fatale lors d’un accident de cordée .
@ Passou : la traduction de GAG himself est « rat-de-cave ». Les traits d’union, bien qu’inexplicablement ignorés par le dictionnaire de l’Académie, permettent d’éviter le contresens et de faire expressément référence à la « bougie mince et longue, enroulée sur elle-même, dont on se sert pour éclairer une cave » (TLF)
« moi-même ai bien connu la grand-mère de cette chanteusecélèbre »
vous devez être centenaire alors
renato A Reims ils avaient REM, la montée des eaux avec Moise dans son panier a depuis quelques années envahi le parvis aussi Jeanne est-elle devenue un symbole détourné, livrant bataille sous pavillon maltais aux idées du palais républicain pourtant jouxtant à proximité.
Eh bien oui gran-papi on n’arrête pas le progrès, pas même atteinte de DMLA, incroyable!
je doute que vous puissiez comprendre le fondde ma pensée ,et ce n’ estpas seulement une question d’ intellectualité(encore un néologisme!) mais de disposition par rapport
à la lecture du passé .Ce blog me déçoit de plus en plus et je ne continue à le lire que parce que je m ‘intéresse
aux « monstres « de P.Assouline ,mias
certainement pas aux radotages des contributeurs .Je
me demande si je vais continuer à commenter
9h28 faut-il culpabiliser ou se sentir méprisés quoique qu’aucune injonction n’en soit encore diffusée?
« Je me demande si je vais continuer à commenter »
Non ! Bolardi, non ! Tout, mais pas ça … tenez bon !
Désolé, Magnus Pym de 9h15, mais j’ai le livre sous les yeux et il n’y a pas de tirets à « rat de cave »
dans un article d’un psy indiqué sur ce blog « Seul ce qi est humain peut nous être étranger » et que j’ai donc lu il y a u chapitre au titre de « être soi-même:la définition » à partir d’une cure – de quinze ans – où le patient avait dit « la terreur m’oblige a devenir moi-même « .commentée à la suite par le psy « cette réflexion de prime abord étonnante , m’apparaît d’une grande rigueur métapsychologique.Elle va , comme toute pensée rigoureuse à l’encontre du sens commun «
Jc votre tempérament d’histrion ne réussit pas à faire oublier vos amitiés politiques et votre ambition qui se coupe des moyens officiels à faire entendre sa voix ou alors c’est que vous hésitez encore ou que vous répugnez à vous afficher en certaines compagnies, si tel était le cas, plutôt qu’à jouer avec le feu si vous tentiez de l’éteindre en mettant à profit le coté clair de votre intellectualité tant qu’il est encore temps.
Pourtant, noble Passou, le sens « rat-de-cave » = sorte de bougie tel que décrit dans le trésor de la langue française informatisé (TLFI) traduit bien le « kellerlicht ».
C’est convaincant ! Il manque les tirets par erreur.
Désolé, Bérénice… je préfère jouer avec le feu que l’éteindre !
(en outre « amitiés politiques » ne veut strictement rien dire)
le nom de l’auteur de cet article que je ne connais pas est Dominique Scarfone .
il définit la définition au passage ainsi
« la définition est une figure de la prédation »
« la définition est une figure de la prédation »
Queue de chat !
U;, merci du conseil, j’acquiers l’ouvrage illico. Pour l’instant, je reste simplement interloquée pas la poussée de côté, d’une pitchenette, d’ Onfray, du problème de la femme chez N., avec un simple argument : « certes, Nietzsche a des écrits violents contre la gent féminine, mais dans sa vie il a été fou amoureux, alors… Et puis sa soeur était une authentique garce, alors itou… », ce qui est une analyse à mon avis d’une insuffisance grave. j’espère que votre Andler ne fait pas l’impasse là-dessus. C’est à mon avis une clé aussi bonne qu’une autre pour aborder l’oeuvre philosophique, non ?
Il me semble d’autre part évident que les pseudos servent avant tout à ça, à l’autofiction veux-je dire. D’où la contradiction chez l(‘état)e civil Chevillard, qui a donné ce titre à son blog, et le fourmillement des confessions qui se bousculent ici même. Songez à la « mauvaise langue » à « versubtil » et autres Odradek, Optiz, etc. Songez aussi à la boitillante Clopine, bien sûr, cette « reine des gueuses » cicatricielle !
Au fait, j’en profite pour rappeler à tous que ce soir, sur France Cul, Véronique Aubouy présente une émission autour d’Anne-Marie Schwarzenbach. Pas allemande, mais suisse, cette dernière. Et amante de Carson Mac Cullers, ce qui ne peut qu’éveiller ma curiosité ! Tous à vos postes : vers 23 heures, je crois.
« Tous à vos postes : vers 23 heures, je crois. »
Euh ! même libre à cette heure là, les amours de cette pauvresse suicidaire ….
Fantastique ! on nous dis que Anne-Marie Schwarzenbach n’est pas Allemande mais Suisse ! et surtout qu’elle fut amante de Carson Mac Cullers ! wow ! on apprend toujours quelque chose ici… et je ne vous dis pas ce que l’on apprend via France Cul… avec ses 40 trains de retard sur le réel…
Magnus Pym, je possède un « rat de cave » : ce n’est pas la bougie qui est « enroulée sur elle-même », mais le support en métal qui est évidé d’une vis sans fin, et muni d’une clef qui parcourt cet évidement. Vous embochez n’importe quelle bougie, tout à fait normale, dans ce support : au fur et à mesure de sa combustion, vous manierez la clé qui soulèvera la bougie, permettant ainsi de la tenir, sans se brûler les doigts, jusqu’à son dernier centimètre. Comme le tout est muni d’un socle et d’une anse, qui permet de l’accrocher ou de le poser partout, vous comprendrez que le rat-de-cave était utilisé surtout par les vignerons, ou, chez nous, par les producteurs de cidre, quand ils mettaient les liquides en bouteille. Il permettait d’avoir les mains libres, était économique et l’astucieux procédé évitait toute brûlure.
Tenez :
/Users/mariebenoit/Desktop/Ancien-Bougeoir-rat-de-cave_55834410L.jpg
« autres Odradek, Optiz, etc. »
Tu veux dire « Opitz », clo ? On s’inquiète pour toi… tu n’aurais pas la vue boitillante, des fois ?
« Vous embochez n’importe quelle bougie »
C’est pas parce qu’il s’agit de GAG et de son Kellerlicht qu’il faut faire du racisme anti-allemand, Klo !
Comprend la réaction malveillante de Renato. Pourquoi donc est-il énervé ? Anne-Marie S; est effectivement née à Zurich, qui reste suisse pour moi. Elle fut effectivement aimée de Carson, alors, je ne vois pas où est la lourde ironie de Renato. Veut-il dire que ces informations, écrites juste pour « situer » mon intérêt vis-à-vis de AMS, sont sans intérêt car connues de tous ? Eh bien, je crois qu’il se trompe, et que fort peu de gens ont accès à AMS. En tout cas, moi, je vais essayer de combler mon ignorance ce soir… Et je ne vois pas en quoi cela peut défriser Renato, à moins que ce dernier ne considère que tout ce qui tend à vulgariser une oeuvre ne devrait pas exister. Ah, élitisme, quand tu nous tiens !!!
Le rat-de-cave est une mèche d’éclairage — selon le TLFI : une « bougie mince et longue, enroulée sur elle-même, dont on se sert pour éclairer une cave ». (Avec ou sans tirets…)
Puis il y a les douaniers… et aussi un livre (Le Rat de Cave) : http://www.amazon.fr/Le-Rat-Cave-Gwenlan/dp/2356220046
Et au fait, c’est une ERREUR : l’émission de Véronique, c’est dans une semaine, mardi prochain ! Oups.
Anne-Marie Schwarzenbach est tellement peu connue qu’il y a même un train qui porte son nom…
ce qui est sidérant, c’est comme certains « commentateurs » semblent d’une jalousie haineuse d’une violence infinie ….et il semble qu’ils seraient jaloux d’un rat
Mauvaise nouvelle pour les rats-de-cave : L’American Electrical Novelty and Maufacturing Company vient d’acheter le brevet de David Misel, qui a inventé un petit appareil d’éclairage portatif fonctionnant à pile appelé « lampe de poche ».
rien, absolument rien n’est prouvé sur une relation « homosexuelle » entre Carson et Anne-Marie, juste une forte amitié amoureuse
Sur Annemarie Schwarzenbach, il serait bon de discuter les origines de sa fortune de famille, ses rapports à trois avec les enfants Mann et son goût suisse du voyage dont a hérité Bouvier, délaissant imparfaitement fumette et lesbianisme. IL faut espérer que Franceculture prononce correctement son nom. Depuis l’exposition sur l’Allemagne, les élites françaises élargissent dangereusement le domaine possible du nazisme. Goldschmidt ici discuté en sait quelque chose.
« ce qui est sidérant, c’est comme certains « commentateurs » semblent d’une jalousie haineuse, d’une violence infinie »
Ce qui est sympa, c’est que cela ne se produit jamais entre « commentatrices », toutes pétries de douceur les unes pour les autres. Ah ! nos chères sœurs …
Annemarie Schwarzenbach par Marianne Breslauer
http://blogfigures.blogspot.fr/2012/07/marianne-breslauer-annemarie.html
« rien n’est prouvé sur une relation « homosexuelle » entre Carson et Anne-Marie » (jc)
Il faut lire Reflets dans un œil d’or entre les lignes.
Annemarie Schwarzenbach et son teckel…
http://blogfigures.blogspot.fr/2010/02/annemarie-schwarzenbach-fest-des.html
on trouve tout sur le blog à renato.
Bleu Immortel
Annemarie Schwarzenbach :
Très garçon manqué la suissesse, très champion de ski…
Georges-Arthur Goldschmidt
http://romeojuliette.blog.lemonde.fr/files/2009/09/g-a-goldschmidt.1253201758.jpg
ce qui est agaçant chez renato ; son mépris pour les gens qui ne savent pas ce que LUI sait… qu’en serait-il du contraire !
JC à Porquerolles :
Barbara, ce n’est que juste attitude d’avoir du mépris pour les gens qui ne savent pas ce que vous savez : mais que font-ils donc de leurs journées, ces glands hein ?
Mais non, barbara, le mépris c’est autre chose… c’est plutôt la dame qui vient nous illuminer sur la nationalité et la sexualité de Schwarzenbach qui joue le mépris…
Jacques Barozzi :
Il était plutôt joli garçon, Annemarie Schwarzenbach !
« Comprend la réaction malveillante de Renato. Pourquoi donc est-il énervé ? » Clopine.
Vous ne l’avez pas nommé comme un autofictif (?) du blog alors que devant sa cabine d’essayage, il nous sort des photos de son cru…
renato, c’est « the blog » et nothing else!
(Impardonnable Clopine!)
Je confirme ! Pas besoin d’annexe pour monter à bord, j’y vais à pied. Côté fringues, quelques différences … mais le look général est réaliste.
Tu auras du mal à trouver ma photo sur internet, toto !
Qui a lu « l’Eloge de la fessée » (1976) de Jacques Serguine ?
« Très garçon manqué la suissesse, très champion de ski… »
Et comme ça ?
Une tête de mec, mâchoires et profil à angle dur…
La pauvrette, en robe longue, a un côté malsain … !
(Ceci dit, un coup en passant, ça ne se refuse pas. Amitiés aux féministes …)
On dirait belle Kacem?
( Ce matin sur la « liste rose » de Patrick C. à France Inter!)
L’habit ne fait pas le moine, la bite peut être ?
Angoissante question posée par Passou ce matin : « les lecteurs vont-ils s’emparer des jurys littéraires ? »
c’est déjà fait, baroz. voyez le prix donné au jeune suisse pas rasé. il aurait mieux fait de relire Bouvier.
Démontez cette proposition : ‘ Un bon juré est un mauvais lecteur’.
S’emparer de jurés littéraires, JB ? Mais qui paierait pour ce matériau-otage là ? Il vaut mieux piquer un chef d’entreprise ou un ministre (attention, ne pas choisir certains … Qui sortirait un sou pour Duflot, Batho ou Montebourg ?)
Rêvons ! Une souscription RdL pour libérer Passou, tel Richard Cœur de Drouant, ça aurait de la gueule et du sens !
» voyez le prix donné au jeune suisse pas rasé »
Faut dire que le prix officiel donné au jeune corse pas rasé était un peu limite, Phil ?
« Président du CNL (Centre national du livre), ça vous tente ? Le ministère de la Culture lance un appel à candidatures »
On nomme d’abord et on consulte après, pour la forme !
oui baroz. ces « écrivants » feraient meilleure figure dans « l’inconnu du lac » qu’en littérature. G-A Goldschmidt serait d’accord.
Mon vœu le plus cher, dans l’hypothèse d’enlèvement de jurés célèbres : recueillir les sous versés en RdL pour libérer Passou devenu otage d’une minorité intégriste antilittéraire, une fortune, piquer la caisse, me tirer fissa en compagnie de quelques jeunes femmes de qualité, échapper aux sbires de Bercy, envoyer à Passou en geôle, abandonné de tous, « Consolation de la Philosophie » de Boèce, et oublier qu’il y eu une morale, jadis, avant la prise contrôle hollandaise ….
Phil, hier, dans le cadre du festival Paris cinéma, j’ai vu « Ilo Ilo » le film du jeune singapourien, Anthony Chen, qui a reçu la Caméra d’Or à Cannes. Une histoire de fessée publique. L’auteur est venu présenter son film autobiographique et intimiste sur fond de la vie quotidienne à Singapour, ville que l’on connait bien désormais grâce à TKT, qui devrait apprécier ce film, s’il ne l’a déjà vu ?
Extrait
CATACLYSME
Ce qui arrive en Egypte aujourd’hui n’est que la suite logique de ce qui précède.
Il suffit d’appliquer le Coran, même à faible dose, dans un pays pour le voir sombrer corps et biens. Quant à l’âme… Y a-t-il eu jamais âme dans cet ouvrage que l’on pourrait baptiser : « le monothéisme pour les Nuls » ?
L’Egypte de Moubarak était dans un état précaire depuis des lustres. Son régime avait le seul avantage de maintenir un équilibre fragile à la fois politique et ethnique.
Comme tout pays arabe, l’Egypte n’a rien à vendre d’autre que son soleil ou/et ses ressources naturelles.
Le tourisme donnait à manger à 7 millions de chefs de familles qui leur tour nourrissaient 5 personnes en moyenne. Sur une population qui comprend entre 80 et 105 millions de personnes (toutes les statistiques dans le monde arabo-musulman sont à la louche…), faites le compte !
Les touristes ont fui un pays livré à la barbarie islamiste et les investisseurs les ont précédé. L’explosion de la délinquance, des viols et meurtres de femmes, de déprédations et de corruption des vertueux Frères Musulmans ont tout naturellement suivi.
Près de vingt millions d’égyptiens connaissent la disette et bientôt la famine.
Même si l’armée revient aux affaires, elle n’y pourra rien. Elle est elle-même sur la défensive dans la péninsule du Sinaï où tout ce que les corano-crétins comptent de barbares sanguinaires, y a créé une succursale à demeure. A tout moment elle-même peut être amenée à appeler : au secours !
Quant à l’Occident, il n’a plus les moyens de voler au secours d’un pays dont l’horizon se limite au jour-le-jour.
L’Egypte est vraiment mal barrée
« Les touristes ont fui un pays livré à la barbarie islamiste »
Les touristes qui allaient en Egypte ou en Tunisie s’étaient repliés en masse sur la Turquie. Où vont-ils aller maintenant ?
« pays livré à la barbarie islamiste »
Faut rien exagérer !
Merci Baroz. le coup de la fessée se retrouve aussi chez Almodovar. il a pourtant pas mal tourné ensuite.
Oui, mais Almodovar il n’a jamais réussi à décrocher un prix à Cannes, la bande à Gilles Jacob ne le trouve pas à la hauteur assurément !
c’est sûr. Jacob est indéboulonnable, comme drucker à la tivi. y’a des fessées qui se perdent.
Dites, Renato, pourquoi vous sentez-vous méprisé lorsque je rappelle une émission qui va passer sur AMS ? J’ai du mal à saisir le mépris dont j’aurais fait preuve. J’ai plutôt l’impression que vous considérez AMS comme votre chasse gardée, et que quiconque a le « culot » de faire état, que dis-je, de mentionner simplement une émission commet un crime de lèse-majesté. Quant à la célébrité d’AMS, je vous crois volontiers, mais pourtant, quel mal y’a-t-il à rappeler les deux ou trois choses que je sais d’elle ? Franchement, si mépris il y a, il est de votre côté. Il est vrai que nous ne vivons visiblement pas sur la même planète : je me souviendrai toujours de la franche rigolade qui m’a saisie, quand vous avez mis en doute mon existence, ma vie aux champs voire même la réalité de Clopin…
pays livré à la barbarie islamiste
L’Egypte est vraiment mal barrée
Les fafs disjonctent en constatant que les populations musulmanes ne se laissent pas faire !
Et nien sûr motus sur le fait qu’environ 141.500 personnes, dont 30.000 enfants, étaient sans domicile début 2012 en France, soit une progression de près de 50% depuis 2001, selon une étude de l’Insee rendue publique mardi 2 juillet. (encore merci à la bande organisée de sacrifier son modeste confort pour venir en aide aux démunis comme c’est marqué dans les saints évangiles)
toto dit: 2 juillet 2013 à 10 h 57 min
JC à Porquerolles :
trop efféminé
Commencé le livre de GAG. Quelle lecture forclose en effet. On peut détester la dimension de voyeurisme de certains récits autofictifs et reconnaître une portée différente à d’autres, comme allant au-delà de la gratuité exaspérante de se raconter. Sûrement pas indifférent que Goldschmidt ne se soit prêté à l’exercice qu’à un âge avancé. Il faut un sacré courage ou bien avoir décidé de brûler la terre derrière soi pour s’exposer ainsi à l’incompréhension, au ridicule éventuel, à une opprobre induite. GAG réalise peut-être là quelque chose de l’ordre de ce que Daniel Cordier après un coming-out tardif a promis de faire dans un prochain recueil, une tentative raisonnée et cependant curieusement naïve, assez bouleversante de mise au clair, en vue de se délier d’un poids, d’une image asphyxiante?
Schwarzenbach – qu’elle était belle, entre le Bowie de Space Oddity &Julie Andrews de Victor/Victoria – et Carson, par exemple, pour reprendre l’expression de PA au sujet de Kiefer et l’Allemagne, « tout le hurle », et pourtant on reste dans la suggestion, le non dit, même « Reflet ds un oeil d’or » n’est pas totalement du domaine de l’explicite. Tandis que Goldschmidt ici entreprend de brûler ses vaisseaux en enfonçant les barrières de l’intime, c’est en cela sans doute que sa lecture ne se contente pas d’être juste dérangeante et personnelle, mais gagne ses galons du côté d’une âpreté plus symbolique.
Pour l’utilisation des pseudos, j’aime en changer le cas échéant d’un billet à l’autre, au gré de l’humeur du moment. Mais hors toute salauderie : jamais je n’en change au fil d’un même billet, afin de ne pas rouler dans la farine d’autres contributeurs. Encore moins s’il s’agissait de se disputer ou en cas de castagne
La Reine du com est-elle une femme ?
« du côté d’une âpreté plus symbolique. »
Mais encore ?
Jacques, calmez-vous, mais je mesure 1,87m pour 90kg – au bas mot. A vous de voir.
« brûler ses vaisseaux en enfonçant les barrières de l’intime »
Ouiiiiii ! Enfonçons, mes frères !
(sachant qu’un chantier efficace, compétent et fidèle, est prêt à rebâtir une flotte entière de vaisseaux à brûler pour d’autres aventures !!!)
C’est tout vu ma poule !
Je vous avais pris pour Clopine dont on peut désormais voir la photo sur son blog réactivé !
Jacques, si tu as besoin d’un coup de main pour dompter la Reine des Commes, tu peux compter sur mon QI musculaire.
Ton QI musculaire peut-il me dire ce que c’est que l’âpreté symbolique, JC ?
Je ne comprends pas la question … si tu as besoin d’autre chose que du muscle stupide, lance un appel d’offres !
Je veux dire que le livre de Goldschmidt, abordé dans la grande réticence que j’éprouve la plupart du temps envers les récits autofictifs, ne me fait pas le même effet que Christine Angot attelée à dépeindre son coït avec Bruno Beausire tandis qu’elle repasse, l’oeil fixé sur un documentaire consacré à la Shoah. Ce que j’en lis pour l’instant est d’une autre épaisseur, d’une autre ambition, je ne sais pas, d’une autre nécessité tragique, qq chose en tout cas qui dépasse le discursif et la simple narration pour atteindre à un coeur littéraire. Je ne peux pas dire que j’aime le livre, pas une question de goûts en l’occurrence. Je lui reconnais des qualités indéniables, c’est tout, et quelquefois c’est beaucoup mieux de ne pas être ethnocentré, de ne pas faire de ses lectures seulement une question de plaisir ou de sympathie
« je mesure 1,87m pour 90kg – »
c’est donc toi daaphnée!
« Elle va , comme toute pensée rigoureuse à l’encontre du sens commun » emprunté à Bolardi, 9h48.
En fait de pensée rigoureuse, et plutôt que de céder aux facilités littéraire de « la fessée », ce qui serait faire insulte à tout lecteur que de réduire les autofictions de Goldschmidt à cet aspect voyeur de la chose, ce voyeurisme fut-il le sien propre, d’ailleurs et en premier lieu, à ceci donc : non. Mais se questionner sur le sens de « mystification », voilà ce qui m’a occupé l’esprit, pas très longtemps, il faut en convenir, mais qui résume bien ce que finalement il me restera de la lecture de Goldschmidt, lecture, oui, un peu » monstrueuse ». Mystification parfaite.
Ne pas oublier le sens premier de mystifier.
« Mystifier quelqu’un, si les mots ont un sens, c’est l’initier. Déconcertante étymologie qui semble faire du bluff, du leurre, voire du mensonge, un rituel de dessillement ! »
http://www.leseditionsdeminuit.eu/f/index.php?sp=liv&livre_id=2145
Mais alors, il est pédé ou pas le vieux Goldschmidt, la Reine du com ?
Chez Schlöndorff,dans le plus pur style « Mädchen in Uniform », AMS prenait le temps de s’en envoyer quelques-uns derrière la cravate en compagnie du jeune Mathieu, entre deux fessées.
A l’époque, on portait la raie à gauche.
– Dites, cher client, vous qui ne manquez pas de ressources… il n’y aurait pas un côté auto-fellatoire chez GAG à raconter ces couillonnades intimes dont il nous repait contre monnaie sonnante et trébuchante ? Qu’est ce que vous en pensez ?
– Euh…peut-être dans le fond ! … La littérature peut être un acte obscène… Tiens, tant qu’a faire… pourriez-vous me donner un beau morceau de Provolone piccante ? Ce sera tout pour aujourd’hui.
Il est où le mépris ? mais voyons, vous écrivez ici sur un blog littéraire (prestigieux, selon Phil), il me semble donc que faire un distinguo relativement à la nationalité d’une écrivaine ce soit inutile, comme il est inutile de rappeler sa sexualité…inutile et méprisant…
Quant à mettre en doute votre existence et votre vie aux champs, je maintiens… vous êtes plus crédible comme marchande que comme paysanne (et cela n’a rien à voir avec la kulture…)
test
Mais alors, il est pédé ou pas le vieux Goldschmidt, la Reine du com ?
heureusement qu’il reste « la littérature » !
croyez-vous que P.Assouline ait été vraiment éprouvé ?
« Mais alors, il est pédé ou pas le vieux Goldschmidt, la Reine du com ? »
Il est ce qu’il écrit, Jacques.
Jacques, cessez d’être dans les projections & autres rêvasseries. Je vous vois venir, depuis que vous avez cru apercevoir Helmut Berger à la place de la cavalière de Tanger photographiée par notre hôte. Périlleux billet donné par PA aujourd’hui, et oui le livre de GAG vaut le coup,entendu comme la confession éprouvante d’un faux rescapé du nazisme n’ayant pu compter sur d’autres moyens que la punition obligatoire, la masturbation pour tenter d’évacuer un peu la tension.
Pour continuer sur votre question de 12h34, l’évocation de poils sur les jambes devrait continuer de vos aider dans vos déductions. Ca me rappelle Jack Lemmon ds Some Like it hot, avec le milliardaire, oeillet entre les dents : « Mais je suis un homme! » (Et la réponse, « Personne n’est parfait »)
@ Jacques Barozzi: J’ai bien aimé votre QIM, le quotient d’intelligence musculaire, un néo quotient d’intelligence, il fallait penser aux muscles et à leur relation avec l’intelligence. D. qui est d’une grande fermeture intellectuelle, n’avait pas compris le concept de QIV ou quotient d’intelligence visuelle. Cela le faisait pouffer comme une gamine de dix ans. Comme les muscles sont commandés par le cerveau, pourquoi pas un QIM. Pour ce qui est du pénis, c’est souvent lui qui commande le cerveau, c’est du moins ce qu’en pensent les femmes. Mais là au lieu de quotient d’intelligence du pénis, un quotient basé sur la libido de l’intelligence, serait pour les hommes plus adéquat.
Votre question sur GAG, ne s’agit-il pas de son adolescence ? le trouble adolescent entre le sexe opposé et le son propres sexe, ne veut rien dire sur la personne devenue adulte. D’ailleurs, combien d’homosexuels ou homosexuelles, ont eu des expériences avec le sexe opposé ? Sans pour autant, par la suite, changer de mode de vie ou ne pas être fidèle aux penchants qui leur sont naturels?
HR, GAG un faux rescapé du nazisme ? Pourquoi faux ? Vous avez à peu prêt le même âge que GAG, vous êtes Juif, vous devriez quand même savoir que la Gestapo et les autorité de Vichy, raflaient les enfants Juifs, même ceux qui étaient protestants ou catholiques. Voyez vous, Lew, les lois de Nüremberg sont raciales, pas religieuses.
Pourquoi signez vous, la reine des com, vous vous sentez comme une reine ?
« Il est ce qu’il écrit, Jacques. »
Certes, mais alors à quoi ça sert que l’on commente ici, u. ?
Renato, vous divaguez. C’est dans une biographie de Carson Mac Cullers que j’ai lu l’allusion à son aventure amoureuse avec AMS : un fil comme un autre pour me conduire de l’une à l’autre. Et que faites-vous, sur ce blog littéraire, d’autre que lire les chroniques de notre hôte, qui journellement, quand il parle d’un écrivain, resitue ce dernier dans son époque, sa vie, raconte parfois ce qui l’a mené jusqu’à lui, bref, rien que du banal, de l’ordinaire dans ma démarche, que vous semblez trouver scandaleuse… Je maintiens ce que j’ai dit : il s’agit bien plutôt de l’agacement qu’éprouve celui qui estime que devraient perdurer les chasses gardées (alors que j’estime, pour ma part, qu’on devrait abolir la chasse : deux univers, vous dis-je). Par contre, continuez à m’imaginer autre que ce que je suis, marchande ou vivant à Paris, que sais-je. C’est vraiment rigolo de vous voir vous planter à ce point. Ca vous rendrait presque sympathique, au lieu du pathétique qui vous nimbe si souvent.
Clopine être reconnue comme marchande par des marchands n’est-ce pas la reconnaissance que vous désiriez ?N’allez pas nous dire que vous êtes homo et que vous écrivez , sous pseudo sur le conseil de votre éditrice le livre qui va scotcher tous vos amis de la RdL!
Attendre 85 piges pour révéler, sous le sceau du secret de polichinelle de l’autofiction, qu’aux approches de la puberté on a été dûment fessé et flagellé au point d’en éprouver, à son insu de son plein gré, un plaisir aussi coupable que vif, cela aurait pu donner un scoop aux temps lointains de Jean-Jacques, mais relève aujourd’hui plutôt du gag. On a bien raison de le dire, le ridicule tue de moins en moins, même les octogénaires.
Jacques Barozzi, en effet la Clopine a récupéré son Blog en en changeant l’en-tête. Prenez vous pour son portrait, ces horribles légumes verts qui ressemblent au cancer vu au microscope ?
Clopine la fausse paysanne, mais vraie volonté de marchande, a écrit une Note qui parle de D. Et de M. mais je ne vois pas qui peut être ce M, peut-être un autre pseudo à une lettre, rencontré sur internet.
« L’Egypte est vraiment mal barrée » (Cannan)
Le temps d’une cigarette,
Le problème de l’islamisme, c’est le sexe.
Une gigantesque construction théologico-poiltique bâtie autour de la peur de la sexualité féminine.
Un système Maman-ou-putain qu’on connait aussi dans nos rivages méditerranéens, mais élevée à la dignité d’une idéologie à la Kim Il-sung!
Président Moncef, Président Morsi, Président Monzob.
Mal barrée?
La barre apposée sur la chatte de la soeur du copain produit un intérêt pour l’anus du copain.
Heureusement qu’ils ne sont pas (toute) l’Egypte.
Commenter, ça n’est pas fait pour « servir » à quelque chose … c’est comme écrire !
C’est quoi cette histoire de chasse gardée ? bof… les préjugés habituels…
« Votre question sur GAG, ne s’agit-il pas de son adolescence ? »
Je n’ai pas les moyens ni l’envie d’acheter tous les derniers livres parus, voilà la raison pour laquelle je posais la question à la Reine…, qui a le livre entre les mains. Mais alors que de chichis pour répondre, la reine est une drag queen !
TKT, je n’aurais pas le temps de poursuivre aujourd’hui ni ds les jours à venir, mais vous devriez être sensible à un truc qui existe même au bar des meilleurs hôtels suisses et qui s’appelle l’ironie. La Reine des com, à une consonne près prend une autre connotation, puis on se trouve rapidement du côté aussi de la Reine des pommes, celle de Himes, pas celle de Donzelli.
« Faux rescapé du nazisme » non pas du tout comme vous l’aurez entendu, mais parce que GAG n’en a pas été rescapé du tout, n’en est pas du tout sorti indemme
je mesure 1,87m pour 90kg
bientôt tu nous dira qu’t’as la plus longue..que les femens elles se crèpe le chinion à celle qui te donneras la fessée la plus mémorab..t’es qu’une biroute épicétou
Non ! la plaie de l’Islam n’est pas le sexe (y a toujours moyen de s’arranger…), c’est l’oubli frigide de l’humain au profit de l’inaccessible rêve, congelé dans une fournaise depuis un gros millénaire)
Thierry, dans l’une de ses premières nouvelles notes, on voit Clopine au côté d’un homme en kilt…
Qui est ce Lew, TKT, ce HR avec lequel vous me confondez?
Jacques, 13h33, avant de quitter ici : je vous aurais volontiers fourni d’autres éclairages sur le livre si c’était parce que vous n’aviez pas les moyens de l’acheter. Là d’accord. Mais vous rajoutez « je n’ai ni les moyens, ni l’envie ». Alors là non. Un des rares moments où je suis pour faire marcher le commerce. Vous vous rappelez Beckett, à propos d’Harrabal, je crois : « c’est beaucoup ce que doit endurer celui qui écrit »…
Ne rajoutez pas à sa propre peine?
JC, je parle de l’islamisme (idéologie moderne), pas de l’Islam en général.
Je sais que vous refusez la distinction, mais j’ai connu d’autres Islams.
Oui, mais dans ce cas là, votre expression « faux rescapé du nazisme » n’a plus guère de sens.
Elle suppose en effet qu’il y a des rescapés du nazisme qui ne soient pas faux. Or, selon le sens que vous accordez à votre expression, ce serait des rescapés qui ressortiraient du nazisme complètement indemne, ce qui est une impossibilité. On ne peut pas ressortir du nazisme indemne et a fortiori quand on a des origines juives.
Donc votre expression est totalement vide de sens. Une absurdité de plus sur ce blog. Et qui nous fait perdre notre temps avec des conneries.
u,
Il ne peut exister d’islam moderne : tout est définitivement écrit comme parole divine.
Le con qui prétends qu’il a connu d’autres islam… ! Regarde plutôt les textes, eh, bourrique ! C’est l’Islam la catastrophe. L’islam en tant que tel !
Oui, il n’y a pas d’islam moderne possible. Les Frères musulmans sont en train de conduire l’Egypte à la catastrophe. C’est évident. On ne finira pas la décennie sans une guerre.
U. qui prétend réduire l’islam à une histoire de cul ! C’est le cliché par excellence ! C’est pauvre en pensée, très pauvre. Nul.
Comme tous ces jeux de mystification deviennent ennuyeux !
peut-être est-ce trop « simplifier » de penser qu’il a…. attendu d’avoir atteint un âge avancé pour en faire un (pseudo) scoop.Il y a plus de « coïncidences » à l’affaire
JB « cela aurait pu donner un scoop aux temps lointains de Jean-Jacques, mais relève aujourd’hui plutôt du gag. On a bien raison de le dire, le ridicule tue de moins en moins, même les octogénaires »
commentaire dégueulasse
« Le problème de l’islamisme, c’est le sexe. » (rédigé par u.)
C’est le monothéisme tout entier qui a un problème avec le sexe. Les vaticâneries sur la question sont aussi anciennes que l’église catholique.
En plus, le Coran a fort probablement été écrit par un chrétien arabe ! Sacrée ironie de l’histoire !
Des dizaines de milliers de gens dans la rue et lml qui continue à jouer les pleureuses de malheur, bientôt rejoint par son toutou de pq et l’autre frustré de u. …
« il n’y a pas d’islam moderne possible »
amen
D’ailleurs au départ, les musulmans étaient perçus comme des chrétiens hérétiques.
» commentaire dégueulasse » (rédigé par Christian)
Quoi ? il n’en est pas mort, de fait. On s’en réjouit pour lui. Mais il faut dire qu’à ce degré de burlesque, on pouvait légitimement s’inquiéter.
Dernier ouvrage paru, à la signature de Benedict XVI, édition de la Louve : « Mes vaticaneries sont plus belles que vos madrassaloperies »
« Le con qui prétends qu’il a connu d’autres islam… ! Regarde plutôt les textes, eh, bourrique !
Content de vous voir, Mauvaise Langue!
Vous prendrez bien une tasse de thé à la menthe?
Nous pourrions parler de l’Islam indonésien, par exemple (l’Indonésie, c’est un grand pays qui se situe en Asie et qui comprends la plus forte population musulmane)
Mais je suis au côté des Egyptiens qui manifestent dans la rue contre les
Frères musulmans, espèce de bachibouzouc inculte !
J’en ai rien à foutre de l’islam indonésien ! L’islam c’est l’islam.
par pitié mauvaise langue, ne nous envoyez pas de littérature sur « indemne » et le « traumatisme de la naissance » par exemple pour allumer les réverbères !ça ne nous médusera pas
JB a un pois chiche à la place du cerveau, ce qui explique pas mal de chose, mais n’excuse rien !
Respirez un bon coup tranquillement, mes amis.
L’histoire (quand on la connaît, non quand on la survole), c’est une petite machine à dissiper les paniques.
Mais à renforcer la critique, ce qui est tout autre chose.
Mais c’est une autoroute… et c’est plein de poivrons rouges, de poivrons verts et de queues de chat…
Mon petit bolardi, va falloir changer de ton avec moi si vous voulez qu’on soit copain. Et surtout être plus clair. Traduisez toujours en fin de com svp !
« J’en ai rien à foutre de l’islam indonésien ! L’islam c’est l’islam. »
Hihihi…
C’est peut-être une mauvaise idée, l’électricité.
De vigoureux coups de pédales, en chandelle, ça permet des retours sereins et apaisés.
Ah, Mauvaise Langue, heureusement que vs voilà revenu de votre promenade en Sologne pour marteler vos vérités, dénoncer les absurdités chez autrui tout en laissant de grosses poutres dans votre oeil. Bien sûr qu’on ne peut pas ressortir indemne du nazisme. Vous n’êtes pas le seul dont la famille, partie de la famille ou totalité ont été anéanties par la Shoah. Et bien entendu, on peut considérer d’une autre façon sans avoir besoin de jouer sur les mots que l’ensemble d’une famille est anéanti, quand bien même une seule personne aurait péri dans les camps et les autres membres en auraient réchappé. Il est bouleversant de parler sur du très long terme, à titre familial, intime, avec les survivants de la notion de culpabilité profonde, d’indicible quelquefois d’autant renforcés que les choses n’ont pas été vécu au premier chef, que pour des raisons générationnelles en particulier, la Shoah est une représentation héritée, et non pas vécue directement. Mais gardez vos leçons – c’est souvent mieux que vous nous parliez des chevreuils rencontrés à vélo que de nous tartiner en chaire comme un prédicateur de campagne méprisant, hystérique et cuistre
« Mon petit bolardi, va falloir changer de ton avec moi… »
Un, deux, trois… frites… et que ça saute…
« et oui le livre de GAG vaut le coup,entendu comme la confession éprouvante d’un faux rescapé du nazisme n’ayant pu compter sur d’autres moyens que la punition obligatoire, la masturbation pour tenter d’évacuer un peu la tension. » La Reine du Com à 13H16
Je ne peux m’empecher de penser qu’il y a là comme une confusion entre la cause et les effets.
A la question de Bolardi de 13h03, et s’il faut s’en tenir au texte de P. Assouline, ma réponse est : non.
Toutefois tempérée par une certitude: P. Assouline l’a lu, même si quelques indications dans le texte laissent penser que cette lecture est assez récente, si posée sur l’échelle du temps de ce blog.
Ne pas le suivre du tout lorsqu’il écrit « névrose » est une liberté que je me garde.
il n’y a pas d’islam moderne possible
Que deviendraient les petites frappeettes racistes sans leurs bouc émissaires dont elles ne refusent d’admettre que dans leur immense majorité ils sont parfaitement bien intégrés et cent fois plus intelligents qu’elles – l’espoir des frappettes de booster la grosse fasciste vers le palais les fait vivre..
« En plus, le Coran a fort probablement été écrit par un chrétien arabe ! » (rédigé par LML)
Oui, mais dans quel état. On se fait beaucoup d’idées fausses sur le sérieux des premiers rédacteurs des textes sacrés (Ancien Testament, Nouveau Testament, Coran). En réalité, tous ces textes ont très probablement été rédigés à la va-vite sur un coin de table, au fond d’auberges mal famées, par des compagnons de beuveries, à l’occasion de mémorables bitures. « Tiens, celle-là, qu’est-ce que t’en penses ? Tu crois qu’ils vont la gober ? — Là, ça m’étonnerait, c’est vraiment lourd. — On essaie quand même, pour voir ? … Eh bien, ça a marché !
« de nous tartiner en chaire comme un prédicateur de campagne méprisant, hystérique et cuistre »
Atttation…..ça dégénère!
Ah ben non,je suis forcée de raccrocher et de partir, là… Ms c’est vrai que Mauvaise langue, vous me faites penser parfois à un personnage de Flannery O’Connor
JP « ce degré de burlesque »
de mieux en mieux..
ML les Egyptiens qui manifestent dans la rue sont musulmans eux aussi (les musulmans laïques existent )
« 1) L’islam c’est l’islam.
2) Mais je suis au côté des Egyptiens qui manifestent dans la rue contre les Frères musulmans, espèce de bachibouzouc inculte ! »
Euh, ces manifestants sont pour l’essentiel des Musulmans.
« ML », ça se viendrait pas de l’expression s’emMLer les pinceaux?
La Reine du com dit: 2 juillet 2013 à 14 h 03 min
Feriez mieux de vous taire ! Vous ne connaissez strictement rien à toutes ces choses pour en parler comme vous en parler.
Le fait de ne pas avoir vécu les choses au premier chef n’est pas une objection. Mais ça vous dépasse !
En tout cas, GAG les a vécu lui au premier chef. Mais ce n’est pas pour autant qu’on peut y voir un lien avec ses goûts pour la fessée publique. Au reste, ce n’est pas une pratique typiquement allemande. Je me souviens que lorsque j’étais élève à l’école primaire rue Cambon, en face de chez Chanel, il y avait une maîtresse qui pratiquait la fessée déculottée devant toute la classe pour les cas difficiles. C’était au début des années 60 ! Je ne l’ai jamais eu comme maîtresse. J’étais un élève modèle en plus.
« Oui, mais dans quel état. »
C’est vrai que entre les choses qui se fument et celle qui se mâchent, et compte tenu que l’alimentation n’était pas toujours suffisante (le sommeil aussi, d’ailleurs), se poser des questions relativement à l’état c’est la moindre des choses…
« de nous tartiner en chaire comme un prédicateur de campagne méprisant, hystérique et cuistre »
Excusez-moi, je n’ai pas bien suivi. Vous parlez de LML, là ? ou sinon, de qui ?
Et alors ? Ils sont contre la dictature de Morsi ! C’est tout ce qui compte ! Vous avez une vision caricaturale de ce que je suis. Je ne sais pas comment vous espérez à ce compte entretenir un dialogue avec moi !
La référence à Maumort est hors du temps. les juifs de hamburg sont émancipés depuis belle lurette.
Je ne l’ai jamais eu comme maîtresse. J’étais un élève modèle en plus. (rédigé par LML)
Menteur ! Se faire casser le pot, il connaît !
tous ces textes ont très probablement été rédigés à la va-vite sur un coin de table, au fond d’auberges mal famées, par des compagnons de beuveries, à l’occasion de mémorables bitures. « Tiens, celle-là, qu’est-ce que t’en penses ? Tu crois qu’ils vont la gober ? — Là, ça m’étonnerait, c’est vraiment lourd. — On essaie quand même, pour voir ? … Eh bien, ça a marché !
et ça rapporte gros
Vous avez une vision caricaturale de ce que je suis. Je ne sais pas comment vous espérez à ce compte entretenir un dialogue avec moi ! (rédigé par LML)
QUI a encore usurpé le pseudo de LML ? J’adore le pastiche, mais là, c’est gros !
La référence à Maumort est hors du temps. les juifs de hamburg sont émancipés depuis belle lurette. (rédigé par Phil)
Phil imperturbable au milieu d’une bande d’ivrogne cuvant leur pastis. Trop drôle !
qui peut argumenter davantage , même comparativement et pas eulement sur le couple allemagne/ france sur « il a conservé un œil impitoyable pour déceler et dénoncer une « Allemagne pour Français »,
« Vous avez une vision caricaturale de ce que je suis! »
Mais non, le manga et la caricature sont deux genres différentes.
Vous êtes un personnage de manga, mais pour la caricature, je ne me permettrais pas.
« Je ne sais pas comment vous espérez à ce compte entretenir un dialogue avec moi ! »
Mais si, mais si.
Tiens, vous allez faire un geste de bonne volonté: l’abandon des points d’exclamation (vous savez, ces petites matraques en bout de phrase).
Tope là?
« … une bande d’ivrogne cuvant leur pastis. »
Je ne sais pas les autres, mais moi je ne couve rien à cette heure-ci, et surtout pas du pastis…
« Phil imperturbable au milieu d’une bande d’ivrogne cuvant leur pastis. »
Mais si on écrit des textes sacrés, c’est tout bon.
@ HR nous écrit « mais parce que GAG n’en a pas été rescapé du tout, n’en est pas du tout sorti indemne »:
là bien sûr, vous mettez le doigt où il faut.
Vous n’êtes pas la reine des c.. ? OK, mais vous êtes quand même Lew. Vous êtes comme JC et D., signant x pour faire oublier a ou y. Quand on change de pseudo, il ne serait pas un luxe de changer de style et surtout d’obsessions.
Pour ce qui est des bar d’hôtels, ici ou ailleurs, je n’aime pas les bars d’une manière générale, même quand je suis en voyage. Parfois bien sûr cela peut être amusant, et vous avez raison, plutôt dans les hôtels de luxe, oui, les nantis sont plus drôles à observer. Et puis des ploucs, franchement il suffit de se promener ou de prendre les transports en commun.
svp, JB, ne pas gratouiller Phil dans le sens du poil, il va encore nous reparler de Denoël !
Maurice, mon pauvre maurice, ce que vous avez compris de ce que j’ai écrit n’a strcitement rien à voir avec ce que j’ai écrit !
« les nantis sont plus drôles à observer »
Reflexion faite, ce film du singapourien Anthony Chen il n’est pas fait pour vous, TKT. Il traite de la classe moyenne, 8O% de la population ainsi que me l’a précisé le cinéaste à l’issue de la projection !
En face de Chanel, Albaburlesque, c’est l’Hôtel Ritz. Vous faisiez un apprentissage précoce de Boy ?
mieux que vous nous parliez des chevreuils rencontrés à vélo que de nous tartiner
dracul il a présumée de ses force..y s’est pris pour edy mersque..des myons de furoncle qui grouye au fond d’son calbute..va falloir tartiner épicétou
Pauvre TKT ! Lui et les Juifs ça fait déjà deux, mais Lui et la géographie…! Mon D.ieu, mon D.ieu, il a été complètement raté celui-là !
Là où Milner est excessif, c’est quand il pose un axiome de la peinture française selon lequel il n’existe pas d’invisible. Or, l’Impressionnisme est précisément une Ecole de l’invisible, l’inconscient. C’est une objection consistante à sa thèse.
Ce qui en revanche me semble juste dans ce que dit Milner, c’est que la peinture allemande crée du malaise, de l’unheimlich en peignant l’invisible, alors que’on n’éprouve pas du tout ce malaise en regardant les reflets dans l’eau des Impressionnistes. Donc, il y a bien une peinture de l’invisible française sans pour autant qu’elle crée de malaise. Ce qui n’est pas sans rajouter de son mystère.
Au cinéma, Jacques, je visionne les observations du cinéaste*. Pour ce qui est d’un film singaporean/singapourien (bière Singa pour rien), je le verrais et l’entendrais rien que pour entendre le singlish, aussi drôle que le ch’ti.
80% de classes moyennes à Singapore ? Ou 20% de classes supérieures ?
Les Singapouriens gagnent très mal leur vie, même dans les classes moyennes sorties des universités. Par contre l’idée de taxer les gens comme en Europe, n’est même pas un fantasme.
* Je trouve les ridicules des nantis plus ludiques que ceux de la masse.
Ce qui est drôle c’est qu’en face du ministère de la justice, rue Cambon, se trouve l’hôtel où a séjourné Th. Hertzel quand il était à Paris.
Quoi, le petit ML a été fessé par mademoiselle Chanel du côté de la rue Cambon !
Comme si TKT ne faisait pas partie de la masse innommable des crétins de toutes sortes !
OK, mais vous êtes quand même Lew
Puisqu’on te dit que ce pauvre XML.Lew 2.0 n’y est pour rien, bougre d’âne ! Sa Majesté n’a jamais dû entendre parler de wiki, et elle doit totalement ignorer l’art du copier-coller.
Tu distinguerais pas la liste des courses d’un discours de réception à l’Académie, burne creuse !
Albaburlesque, n’oubliez quand même pas que vous êtes plus cochonnaille, que pastrami. Là, vous avez aussi raté le métro, Schlemihl !
JC, je disais bien plus haut, que quand on change de pseudo, on doit changer et de style et de vocabulaire.
Je n’ai jamais raté de métro. Enbrevanche, vous avez raté votre bac !
Non, Jacques, ayant vu son visage, la maitresse n’a pas voulu voir ses fesses. Elle devait lui taper sur les doigts avec une règle en métal.
« Je n’ai jamais raté de métro. »
J’en étais sûr !
« Je n’ai jamais raté de métro. »
Pas rat de métro?
Ouf.
Embrevanche ? Néologisme ou faute de frappe ?
J’ai raté mon bac, et alors ? Si vous le savez, Schlemihl, c’est que je ne le cache pas, où est donc le problème ? Vous avez raté votre carrière, vous vous imaginiez prof de fac et grand auteur. Vous avez même raté votre entrée comme Juif, refoulé par des rabbins. Et dire que des goys certifiés 100%, peuvent devenir juif. Ils ont dû comprendre, ces rabbins, que vous étiez dérangé et faux-cul.
La détermination par l’enfance me semble un mode d’explication (explication de quoi, au fond?)déjà très daté. On sait maintenant que l’inconscient se transforme tout au long de la vie. Il faut le laisser faire, et pas rester accroché à ses propres racontars pour se nouer une histoire avec des fils qui n’existent pas..
Pour le reste, voir l’article de Bourdieu sur Persée: « L’illusion de la biographie ».
Etre au monde, c’est peut-être surtout sortir et s’extraire de l’origine, ou du moins de cette supposée origine, de sa supposée biographie, de tous les instruments de pression que les sociétés humaines ont inventé pour peser sur l’homme .
On peut toujours dire ce qui est, par les moyens de la légende, du conte, du récit de rêve, de la tragédie, tout est possible. Mais le « son » ne peut plus être le même après que cette prise de conscience a eu lieu.
« Les dieux n’étant plus, et le Christ n’étant pas encore, il y a eu, de Cicéron à Marc-Aurèle, un moment unique où l’homme seul a été ».
Flaubert, Correspondance.
AlbaUbu, alors la RATP n’est plus responsable de votre dernier échec à l’agrégation ? Je me disais aussi, quelqu’un qui essaie maintes fois, ne peut pas mettre la faute de son dernier échec, sur les grèves du métro.
Dans le taquineur (j’en ai marre du mot « teaser ») du film singapourien, on voit que la famille parle correctement l’anglais avec la maid filipina, mais qu’ils parlent entre eux mandarin, quoiqu’avec un fort accent (une petite majorité continue d’utiliser un dialecte à la maison à SGP).
— Chen a choisi de laisser le titre un peu opaque pour le spectateur. Je suppose qu’on apprend dans le film que Ilo Ilo est le lieu d’origine de la mais (le titre chinois est plus explicite: Papa et Maman ne sont pas à la maison).
de la mais> de la maid
« Enbrevanche, vous avez raté votre bac ! » (ML)
Enbrevanche, pas mal.
On ne parlait pas plus haut de conversations de poivrots?
« AlbaUbu, alors la RATP n’est plus responsable de votre dernier échec à l’agrégation ? »
Ce n’est pas parce qu’il à moulé la forme initiale sur les infos du moment (grèves, etc.) que le modèle contient les vraies motivations…
TKT, vous imaginez beaucoup de choses me concernant. on ne prête qu’au riche. Mais vous êtes à côté de la plaque. Que peut-on attendre d’autre d’un pauvre type qui redresse le menton alors qu’il a raté son bac et a un cerveau aussi gros qu’un pois chiche. Vous ne faites pas le poids, mon pauvre TKT. Vous êtes un gros con tout simplement. Rien d’original. Et quand on ne sait même pas compter jusqu’à deux, on ferait mieux de la fermer.
Chaloux dit: 2 juillet 2013 à 15 h 03 min
La détermination par l’enfance me semble un mode d’explication (explication de quoi, au fond?)déjà très daté. On sait maintenant que l’inconscient se transforme tout au long de la vie.
Chaloux qui réinvente à lui tout seul les principes de base de la psychanalyse ! C’est le sommet de la journée ! Le top ten de la Rdl ! Le sublmime dans la connerie !
Je reste de l’opinion que « The Nothing Man » est un bien meilleur livre…
« Chaloux qui réinvente à lui tout seul les principes de base de la psychanalyse ! C’est le sommet de la journée ! Le top ten de la Rdl ! Le sublmime dans la connerie ! » (ML)
Déjà quatre points d’exhibition, pardon d’exclamation?
Je vous donne déjà les plumes.
Gare au goudron!
Une telle somme de conneries en si peud e mots ne peut que susciter les exclamations ! Y a que sur les blogs qu’on trouve ça !!!!
On a publié un livre sur les Hollande qui s’appelait « la madonne et le culbuto ».
Même après une ou deux nasardes, notre ami ML revient sur son cul (bravo).
Question: sauras-tu nous dire qui est la madonne?
ML, je le réinvente pour vous. Pour le reste, je ne réinvente rien du tout. Vous datez. Vous datez de plusieurs décennies. Vous pouvez toujours tomber à bras raccourci sur les autres quand la moindre parcelle de réflexion se révèle immédiatement tout à fait étrangère à vos méninges. Néanmoins, relisez-vous. Dans votre petite phrase, toutes les raisons pour lesquelles tout ce que vous écrivez ici sonne absolument faux.
Quant au reste, n’en parlons même, votre allusion à Hippolyte tout à fait absurde, le sort fait par vous « au goût de l’étymologie » etc. Chapelet de sottises.
Croyez-vous, triple buse, que son » goût de l’étymologie » aurait de Groddeck un nazi?
Passons.
« aurait fait »
Chaloux dit: 2 juillet 2013 à 15 h 22 min
ML, je le réinvente pour vous.
Arrêtez vos conneries ! Vous nous faites pisser de rire !
Comment pouvez-vous être aussi con ? Pour moi, c’est un mystère.
Milner, c’est croque.
Milner commenté par ML, c’est quignolet!
Chaloux, tout ce que j’écris ici ne peut que sonner faux pour des gens faux comme vous qui ne savent lire qu’eux-mêmes chez autrui…! Vous êtes un âne. C’est banal ici.
« N’en parlons même pas ».
Allons, Mauvaise langue, retrouvez le meilleur de votre veine littéraire.
Evitez ceci:
« Ils s’y remirent », avec clin d’oeil devant son miroir à Pécuchet.
Monet a voulu montrer que la France existe encore avec ses beaux paysages après la défaite de 70, nous dit tranquillement JC Milner. C’est vraiment n’importe quoi ! En plus le premier tableau impressionniste reconnu comme tel est une représentation du port du Havre ! Où on ne voit quasiment rien ! Personne ne relève dans la salle…! C’est comique.
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