GAG, sursitaire toujours coupable
Si vous deviez écrire une sorte d’autofiction dans laquelle vous donneriez un autre nom que le vôtre à votre personnage, comment l’appelleriez-vous ? Attention car une fois écrit, tout est dit. Il n’est pas de meilleur, ou de pire, révélateur. Un vrai miroir. On se doute qu’un esprit aussi aigu que Georges-Arthur Goldschmidt, que d’aucuns aiment à nommer de son comique acronyme GAG, a longuement ruminé la chose avant d’écrire L’esprit de retour (156 pages, 17 euros, Seuil) et de le donner à paraître dans la collection « Fiction & Cie ». Il a donc choisi de s’appeler Arthur Kellerlicht – qui pourrait se traduire par « rat de cave ». Cela saute à la figure dès la première page et on ne peut se défaire de cette image de haine de soi jusqu’à la fin.
Etrange livre, si troublant et dérangeant, d’une écriture âpre, dense, durement tressée. Drôle de bonhomme surtout connu comme traducteur, l’un des meilleurs, dont l’œuvre s’enorgueillit de grands textes de Kafka, Handke, Büchner, Stifter, Nietzsche. Pour ce qui est de ses réflexions sur l’art de la traduction proprement dit, on ira plutôt voir ailleurs, notamment du côté A l’insu de Babel (170 pages, 25 euros, CNRS éditions) où l’on voit la pensée rêver de déborder ses mots, la langue sortir de ses gonds, dire plus que ce qu’elle n’en dit et ne pas se laisser faire par le sens imposé. Mais s’agissant de Goldschmidt en personne, de ce qui l’a fait et le fonde, la lecture de L’esprit de retour est une épreuve. Indispensable mais éprouvante car l’auteur ne recule pas. Balayés ses tabous et garde-fous.
Il nous raconte une histoire, la sienne. Celle d’un garçon né en 1928 à Reinbek, près de Hambourg dans une famille protestante mais d’origine juive. Après avoir fui l’Allemagne nazie, il est accueilli dans un pensionnat en Haute-Savoie et finit par s’installer à Paris où il poursuit des études de Lettres ; après la guerre, il retourne régulièrement au pays natal pendant les vacances. Ainsi présentée, l’affaire semble entendue : on s’attend à un récit sur la double culture, le va et vient franco-allemand, l’identité écartelée, l’incertitude de l’exilé, l’ambiguïté du déracinement. Rien que de très convenu en ce XXème siècle bousculé. Esprit français, âme allemande. Et pourtant, s’il s’agit aussi de cela, il ne s’agit pas que de cela ; il est vrai que ce « rat de cave » n’est pas de tout repos. Il ne se ménage guère, et nous avec. Tout jeune, il a une cruelle conscience de l’image qu’il renvoie à la société ; et malgré les efforts assimilateurs de père puriste et juriste, il voit bien que ses compatriotes de la fin des années 30 le voient comme un individu appartenant à ce peuple juif dont il se sent « à la fois proche et étranger » et dont il croit avoir décelé les ressorts de la haine archaïque qu’il inspire : « On cherchera à s’en débarrasser jusqu’à la fin des temps, puisque c’est lui qui a le premier formulé le « Tu ne tueras point » ».
Tout se noue autour de son secret et de son aveu : une sexualité dominée par le masochisme de la flagellation. Un récit d’initiation où l’éveil à l’érotisme est cravaché. Tout a, naturellement, commencé dans l’enfance. Adolescent, il était confié à une grosse femme qui avait la punition facile : dans son cas, la fessée. Sauf qu’il en conçut une délicieuse honte, bientôt sublimée, magnifiée, transcendée, institutionnalisée par le règlement des pensionnats et internats, dans un bain de sang, de larmes et de supplications, la nudité en public, pantalon aux chevilles, s’ajoutant à l’avilissement.
Fouet aristocratique, martinet des familles, badine de bambou : qu’importe l’instrument, pourvu qu’on ait l’extase, l’ivresse, la jouissance, lesquelles ne viennent que par cette douleur-ci sur ce corps-là. Car, tout disgracié qu’il soit, il le croit prédestiné à être flagellé ; même la directrice en est convaincue. Son cas est d’autant plus complexe que, bien que considéré comme non-aryen par le pouvoir, il se tient pour un faux-juif et un vrai chrétien vicieux. L’opprobre ne lâche pas ce garçon qui ne s’intéresse pas aux filles mais que les filles aiment bien ; car, à l’indignité de ce vice se superpose une autre : celle de la langue allemande « qu’il portait en lui comme une maladie honteuse » dans la France de l’après-guerre. De ses années en Sorbonne (où bizarrement, il rencontre un professeur « alsacien et qui savait l’allemand, en ce temps-là ce n’était pas si fréquent », tiens donc…), à étudier de près une littérature allemande avec un je-ne-sais-quoi de « gothique et de mignard à la fois, toute harnachée, équipée de pied en cap », il a conservé un œil impitoyable pour déceler et dénoncer une « Allemagne pour Français », ce qui fait de lui l’un des rares à rejeter aujourd’hui dans ce camp l’œuvre du peintre et sculpteur Anselm Kiefer. Ou encore Heidegger qui eut chez nous des indulgences qu’il n’eut pas chez lui. Son Allemagne personnelle était toute autre. Y retournant en 1949, il fut sidéré de constater que tout le monde ou presque lui assurait avoir vécu des années d’exil intérieur (innere Emigration) sous la férule du Führer. C’était à se demander quel autre peuple l’avait porté au pouvoir, plébiscité, soutenu, encouragé et, de gré ou de force, de ferveur ou de terreur, suivi jusqu’au bout.
Certains livres le soutiennent dans ses doutes homosexuels et ses tourments masturbatoires. Il en cite des passages dont on peut croire qu’ils l’ont effectivement aidé, dans le désarroi d’un adolescent qui porte sa faute en écharpe en se demandant si elle est visible, qu’il s’agisse de La Flagellation chez les Jésuites (1759) de Darragon ou du Géranium ovipare (1935) de Georges Fourest ; en revanche, c’est difficile à imaginer s’agissant du Lieutenant-colonel de Maumort car le fameux roman inachevé de Roger Martin du Gard n’a été publié que longtemps après sa mort, en 1983 dans le Pléiade ; il pourrait alors s’agir d’une reconstruction au sein d’un halo de mémoire. Durant ses années étudiantes, devenu un pilier de la librairie Flinker du quai des Orfèvres, il s’est convaincu que toute la littérature allemande n’a été qu’un cri né des stries de la badine de bambou sur les fesses adolescentes :
« Elle était quelque part au fond de tous ces livres allemands exposés, pas un de ces auteurs qui ne l’ait subie ou vue à l’œuvre. Tous portaient en eux ce genre de visions d’enfance et ce qu’ils avaient écrit n’avait été que la tentative pour les dissimuler ».
A croire que le châtiment corporel serait le prisme idéal pour envisager la fiction outre-Rhin. Une vision que l’on pourra juger pour le moins exclusive. Toujours est-il que de sa névrose iI fait de la littérature, lui l’étranger permanent, ici et là-bas, définitivement heimatlos, sans-patrie plutôt qu’apatride, Français d’adoption qui ne cesse de revenir vers une Allemagne qui ne veut pas de lui, de plus en plus chez et de moins en moins à sa place. De son vice il a fait de l’art. Cette lecture m’a fait défiler les images du film Le Ruban blanc de Michaël Hanecke. Même si, dans ce cas, la punition n’entraîne pas la moindre jouissance mais, au contraire, une rébellion collective contre un système, gouvernée une volonté de vengeance. Rappelez-vous dès les premières séquences, dans ce village d’Allemagne du nord tout imprégné de rigueur luthérienne à la veille de la première guerre mondiale ; déjà, la faute, le châtiment ; et, à l’instant d’asséner les dix coups de verge rédemptrice sur les fesses de son fils, le pasteur qui assure malgré les hurlements annoncés :
« Ces coups nous feront plus mal qu’à vous. Mais une faute ne peut rester impunie si nous voulons vivre dans une estime réciproque ».
Ainsi commence le Ruban blanc. Quant à L’esprit de retour, cruel constat de honte de soi lorsqu’elle se mue en haine de soi, il s’achève par l’évocation d’un Arthur « rat de cave » Kellerlicht en « sursitaire toujours coupable ». Toute une vie appliquée à ne pas en sortir. Mais c’est en français qu’il l’a écrit, comme tout le reste, pas en allemand.
(Photos extraites du film de Michaël Haneke Le Ruban blanc)
909 Réponses pour GAG, sursitaire toujours coupable
ML, je n’ai pas le temps de passer mon après-midi à recevoir vos insultes et à vous les renvoyer. Selon une formule fameuse, si vous saviez ce que je pense de vous, vous en diriez bien davantage.
Ne vous gênez pas, je m’en fous.
Sauras-tu identifier le barde de notre tribu gauloise?
Colérix?
Apoplectix?
Apocalyptix?
Assez d’accord avec la Mauvaise langue sur certains points. Par exemple, quand il dit : « TKT est un gros con » ou : « Chaloux est un âne. » Des propositions qui emportent l’adhésion.
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 15 h 30 min
ses beaux paysages après la défaite de 70
Il y en avait, mais il y en avait moins…
…Oui, l’adhésion des mulets.
Les défaites, ça sert à rien.
« refoulé par des rabbins » (TKT)
Je me demande si ce n’est pas une mosquée qu’il faudrait confier à notre ami.
On prendrait une photo le jour de la remise des clés.
On en prendrait une autre un an après.
On jugerait sur pièces!
ML, TKT, HR : que serait la RdL sans ces lettres-là ?
S’il vous reste du temps…
u. vous avez oublie Hystérix.
On jugerait sur pièces!
Vous ne croyez pas si bien dire, u. Je pense que LML ferait un excellent musulman.
Un petit mot écrit par G-A Goldschmidt hier matin dans les colonnes du numéro 1087 de La Quinzaine de feu Maurice Nadeau, sous la forme d’un court hommage mais qui en dit peut-être long sur l’écrivain dont on parle dans ce billet : c’est par un froid matin d’hiver parisien que G-A. G., près d’un kiosque de la gare Saint-Lazare, découvrit le « Ferdydurke » de Witold Gombrowicz. Goldschmidt note que cette rencontre le fit littéralement basculer du côté de la littérature (« tout un monde qui s’ouvre », nous dit-il.)
Depuis il voit le grand écrivain polonais comme celui qui fit connaître « l’infantile originel. » C’est typiquement une expression goldschmidtienne, cette définition ; la force de sa formulation est si puissante qu’elle s’impose d’elle-même dans les esprits, quitte à ce que, quelquefois, pas toujours, la subtilité d’interprétation qu’on avait ressenti l’habiter intimement perde un peu de sa prégnance ou de sa valeur dans la réflexion personnelle qui ne manque jamais d’arriver dans la foulée (hélas diront peut-être certains.) L’infantile originel de Herr-monsieur Kellerlicht semble très important dans cet « Esprit de retour » qui revient tel un « éternel Reiter ». Comme dans l’histoire de Lancelot, celle du chevalier de la charrette, la honte, surmontée ou subie, vous accompagne toujours de son petit ou grand véhicule, c’est Bouddha qui décide,comme souvent.
Non, pas Bouddha ! Pitié !
Goldschmidt découvrit un extrait de Ferdydurke dans la revue des Lettres Nouvelles en 1957 pour être tout à fait clair.
Denis c.
Oui, il porte bien son nom…!
« C’est vraiment n’importe quoi ! Personne ne relève dans la salle…! C’est comique. » (ML)
Que voulez-vous, Mauvaise Langue, vous ne pouvez pas à la fois être « aux côtés » des manifestant égyptiens (bravo) et dans la salle pour river son clou une fois pour toutes à cet ignorant de Milner.
C’est vrai, c’est frustrant.
(Comix?
Ça peut être un nom de barde?)
Connerix, Merdix, Méphitix.
Coulix ?
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 15 h 45 min
Non, pas Bouddha ! Pitié !
Le boudin sur pattes ne veut pas du Bouddha. Rien ne prouve que le Bouddha aurait apprécié ce boudin. Tout est bien.
Ces trois beaux esprits dans la conférence sur la comparaison entre la peinture française et la peinture allemande se laissent aller à oublier tout de même l’essentiel, noyé parfois dans des spéculations qui le font oublier.
Ce qui frappe immédiatement c’est que la peinture allemande nous montre un arrière-monde. C.D. Friedrich est typique à cet égard.
Ce qui frappe immédiatement dans la peinture française, c’est qu’elle nous parle du bonheur de vivre ici et maintenant. Aragon a dit l’essentiel à ce sujet en parlant de Henri Matisse. Ce que dit là Aragon de la peinture française me semble autrement plus profond et plus beau que les axiomes de JC Milner, qui ne comprend pas la peinture française, à part son analyse passionnante du tableau sur La Mort de Marat.
Onanix.
J’aime votre haine. Elle montre votre bêtise.
Personne ne relève dans la salle…! C’est comique.
non, ce ‘est pas comique mais éloquent !
ce n’est pas nouveau non plus , pas plus que les insultes que vous échangez, ni les convictions de savoir qui et qui sur « l’inconscient aujourd’hui » : ce qui n’est pas mon cas .je ‘aurais jamais suivi les billets si je n’avais imaginé possible le surgissement
d’un moment de trouble qu’au fond ces histoires qu’on se faisait avec l’inconscient d’étaient des histoires pour tenter les aventures des savoirs autrement qu’à giclées de lectures et rencontres franco- lacaniennes .
bonne suite , vos hypnotix ne m’amusent pas non plus
Et Poussin et Le Lorrain, et de la Tour?
Tête de paf.
Furonclix.
« J’aime votre haine. » (ML)
Surtout pas, c’est une affectueuse moquerie.
De la gratitude aussi.
Se poiler un peu par temps de crise, ça mérite remerciement.
La possibilité d’un surgissement…
Cela dit dans les exercice du type art français — art allemand il ne faudrait pas se fier aux Milner et autres folichons (vois Aragon), mais se tenir au travail des critiques… les vrais… j’entends…
L’imbécile de Chaloux ! Quand Aragon parle de la peinture française il ne se limite pas à H. Matisse ! Tu vois bien que t’es un âne, mon pauvre Chaloux !
Aragon a dit beaucoup de conneries, ML, pas autant que toi, mais tout de même un certain nombre. C’est un écrivain, une figure, plutôt, qui ne m’intéresse pas beaucoup. A tort ou à raison, peu importe. Toi, tu m’intéresses et c’est pourquoi je te fais causer. Tu ne peux pas savoir quelle mine tu es.
Chaloux est drôle à l’insu de son plein gré ! Regardez plutôt le Tour de France, Chaloux. Ça vous permettra de décompresser un peu. Sur la route, en Sologne, dans la forêt de Cheverny, j’ai failli rencontrer une famille de sanglier. Soudain, j’ai pensé à vous ! Les sangliers ça rigole pas. Heureusement, ils ont eu peur de mon beau vélo électrique. Ils se sont enfuis. Et en partant, ils ont crier : Chaloux ! Chaloux ! On te vengera !
Quant à lire sur la peinture française, pour s’en tenir à Aragon (que tu n’as d’ailleurs certainement pas lu, car en règle générale tu ne sais pas de quoi tu parles, surtout en littérature) il faudrait vraiment être comme toi une triple buse.
Je t’explique ML. Encore une chose que tu ignores. Il faut vraiment tout te dire.
Quand tu croises un sanglier, il n’y a vraiment de risque que dans deux cas.
– Le sanglier est blessé. Tout le monde sait ça.
– Tu es passé avec ton vélo électrique entre la mère et ses petits. c’est une déclaration de guerre qui ne te sera pas pardonnée.
Tout le reste, tes inepties etc. on te le pardonne.
Ce gus, quand même, il a l’air quelque peu ronchon…
Avec mon vélo électrique, j’ai fait 180 kms en traversant quasiment toute la Sologne d’ouest en est aller et vretour jusqu’à Saint-Viâtre ! Et là, entre Marcilly en Gault et La Ferté Beauharnais, la route des étangs. Gé-nial, mes petits chéris ! Gé-nial ! Je suis aussi aller visiter la château de Villesavin, qui est une demeure privée mais ouverte à la visite. Il a été tellement modifié au XVIIIè siècle qu’il ne reste plus grand chose des origines, du temps de sa splendeur quand une allée le reliait directement à Chambord. Offert par François Ier à son secrétaire aux finances. Seule demeurent d’époque la cuisine et le vestibule réservé à la domesticité avec ses belle tomettes rouges. Mais c’est quand même sympa à visiter. Un beau pigeonnier aussi.
Ml, nul besoin d’être vengé. Et si tu remontes le fil, tu t’apercevras, puisque tu l’as déjà oublié, que ce n’est pas moi qui ai dégainé le premier.
J’ai répondu, hélas.
Mais non, mon Chaloux chéri, c’est toi qui ignores tout des sangliers, qui font plusieurs morts par an en Sologne. Si seulement ils pouvaient se faire un gros con de ton espèce de temps en temps, ça soulagerait l’humanité…
En tout cas, ce que dit Aragon de Matisse et de la peinture française est magnifique ! Aussi pertinent que beau !
Ah oui ! l’escalier de Villesavin a été comme un banc d’essai du fameux escalier à double hélice de Chambord. Ce sont les mêmes ouvriers qui y travaillèrent.
Relis-toi, mon pauvre ML, quel niveau…L’Alpha vaut l’Omega. Quant à la Sologne, je la connais aussi bien que toi, quadruple buse.
Vélix Electrix.
Hihihihihi, mais il est con, ce Chaloux ! Mais con !
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 16 h 14 min
Avec mon vélo électrique
La prochaine fois offre-toi une bétaillère.
Perpendiculix.
Oui, je la traînerai derrière mon beau vélo. Il y a pas mal d’ânes et de chèvres à y fourguer ici en effet ! Vous aurez la première place.
ML, on voit que tu connais pas les ânes. Ce sont des animaux extrêmement intelligents, sensibles et délicats. L’Âne d’Or et Les Mémoires d’un Âne sont deux grands chefs-d’oeuvre que je relis de temps en temps, – avec maintenant pour ce qui concerne Apulée, L’Apologie et Le Daimon de Socrate (merci P. Quignard). Sans oublier le poème de Francis James.
Sur les étourneaux dans ton genre, on ne trouverait pas mieux.
Sur ce type de plagiat, personne n’a fait mieux qu’un fameux romancier. Ouvrez son Balzac, ouvrez celui de Maurois. Comparez. Du début à la fin, une simple reformulation.
Oui enfin vaut mieux pas électrique ça fait des muscles énormes… Les grosses elles regardent chattemite in petto en coin…
Ne pas oublier que Plutarque, a sous-titré le « De Genio Socratis » : « Contre Alcidamas ».
Oui, lew, livre énorme que ce « Ferdydurke ».
» – ne fais pas ça ! disaient-ils. L’immaturité est une idée dangereuse…(…)Comme si un démon me poussait vers l’immaturité !(…) quelque chose me saisit dans le bas du dos comme des tenailles et me cloua sur place : c’était mon petit derrière, mon petit cucul enfantin. (>…) mon cucul puéril et inepte me paralysait, m’enlevant toute possibilité de résistance. (…) Le cucul, le cucul, le cucul. Je ne sais pas si vous le croirez, les adultes artificiellement rapetissés et infantilisés par nos soins constituent un élément meilleur encore que les enfants à l’état naturel.(…)
Voici : le temps est venu, l’heure a sonné, essayez de surmonter la forme ! Cessez de vous identifier à ce qui vous limite (…) Dégagez-vous de votre apparence (…) Notre élément c’est l’éternelle immaturité. Ce que nous pensons aujourd’hui sera fatalement une sottise pour nos arrière-petits-enfants.(…) nous ne savons pas encore comment défendre notre fraîcheur intime contre le démon de l’ordre. (…) il faudra une ruse inouïe et une réelle honnêteté de pensée, et un extrême affinement de l’intelligence, pour que l’homme, débarrassé de sa raideur, puisse concilier en lui la forme et l’absence de forme, la loi et l’anarchie, la maturité et la sainte immaturité.
[le livre]
Il faudrait aussi établir, définir et décréter si c’est un roman, un journal, une parodie, un pamphlet, une variation sur des thèmes imaginaires, une étude – et ce qui prévaut en lui : la plaisanterie, l’ironie ou un sens plus profond, le sarcasme, le persiflage, l’invective, la sottise, le pur non-sens, la pure blague – à moins qu’il ne s’agisse d’une pose, d’un artifice, d’une feinte, d’un jeu… »
Diafoirix
@ Albaschlemihlundmeshuge écrit: « Ce qui frappe immédiatement dans la peinture française, c’est qu’elle nous parle du bonheur de vivre ici et maintenant. »
Pas vraiment utile de commenter dans les détails cette connerie écrite par ce crapaud qui se prend pour un hippopotame.
Ce qui serait vexant, c’est de ne pas être insulté par ce toqué.
ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que que ceux qui n’en savent pas plus qu’eux (Pierre Dac)
Les pauvres gamins du collège, pour ceux qui auront un minimum d’esprit de suite, ce ne sera pas une mince affaire pour eux que de se remettre la cervelle en place. Après les discours d’un tel grouillot pendant un an.
La salle des profs doit faire entendre « le rire du Garçon ».
Chaloux c’est Christiane en mieux ou en pire ?
M’enfin Chalouxx vous n’allez pas finir par lâcher ce ML à qui il manque toujours 1 F pour compléter son érudition c’est comme pour les lignes du poignet, un travailleur immigré oriental m’expliqua que quatre lignes fermées indiquaient sagesse.
« Comme dans l’histoire de Lancelot, celle du chevalier de la charrette, la honte, surmontée ou subie, vous accompagne toujours de son petit ou grand véhicule, c’est Bouddha qui décide,comme souvent. » ainsi termine xlew.m à 15h40
Tant qu’à « basculer dans la littérature », avec cette infantilité originelle, il faut faire attention de ne pas basculer dans la cuvette des WC,
« cul par dessus-tête », j’ai envie d’ajouter.
http://www.cairn.info/revue-le-coq-heron-2003-4-page-17.htm
bérénice dit: 2 juillet 2013 à 18 h 35 min
Pas de ma faute si ML aime le fouet, lui aussi.
Chacun de ses posts quête le châtiment.
Un brin de charité…
Sur ce, je m’en vas pour deux mois.
Bon vent.
bon voyage et bon débarras
D vous savez bien que trop de choses nous séparent dont l’espace et le temps mais j’ai depuis longtemps pensé qu’une autre vie à des millions d’années lumières était possible sous une forme différente et je ne ne doute pas de vous rencontrer dans des circonstances meilleures que celles qui s’appliquent actuellement .
Juste avant de partir, et le début du chant des ML qui s’ensuivra et a d’ailleurs déjà commencé (à ne pas confondre, et pour cause, avec Le Chant des Lamels de Montherlant « frappons le sol de nos queues »), lisez donc pour ceux qui ne connaitraient pas Les Confessions de Mr. Harrison de Elizabeth Gaskell (1810-1865). Un pur délice à 5.70 (ça rime). Points Seuils.(Et lisez aussi les poèmes de Montherlant pendant que vous y êtes, très surprenants).
Bon été.
Chaloux où irez-vous?
Demandez-moi plutôt « où lirez-vous? ».
En tout cas pas en Sologne, et sans vélo électrique, je ne peux pas vous le cacher.
En un lieu fort lointain où je brûle de me rendre. Mon Arcadie (« et in Arcadia Ego »).
A bientôt.
« Moi, je suis aussi en Arcadie », et c’est la Mort qui parle… j’ai donc du mal à comprendre… et cela chaque fois qu’un péteur lance ce memento mori… mais puisque je suis un demeuré notoire on compatira…
En fait ils sont deux.
Aucun être humain (relativement) normalement constitué ne pourrait écrire autant de conneries à lui tout seul. Ils se relaient.
Leur identité véritable ?
PATATIX ET PATATAX.
Plutôt du côté de celui qui déchiffre que de de la pierre tombale, en effet…Pourvou que ça doure…
Non pas notoire, renato, proverbial.
Dit par vous, le reflet spéculaire de LML, c’est un compliment.
renato, bonnes vacances.
bérénice dit: 2 juillet 2013 à 7 h 40 min
Abdelk tant que vous y êtes avouez votre homosexualité latente les homo adorent les jolies femmes et ne sortent que rarement sans leur futur mari, alors le mariage pour vous c’est pour quand?…
Tres possible tout ca, mais z’avez oublié d’ajouter a votre liste que je suis aussi nazophobe…
Jacques Barozzi dit: 2 juillet 2013 à 11 h 57 min
« Les touristes ont fui un pays livré à la barbarie islamiste »
Les touristes qui allaient en Egypte ou en Tunisie s’étaient repliés en masse sur la Turquie. Où vont-ils aller maintenant ?
Porquerolles ? euh…a y repenser, p’tet pas…leur seul crime aura été d’avoir voulu un peu de soleil et du poisson frais…10 jours a PQ me semble une sentence disproportionnée…
Bon puisqu’on se fiche de moi je m’en vais et je ne reviendrai jamais.
» D. qui est d’une grande fermeture intellectuelle, n’avait pas compris le concept de QIV ou quotient d’intelligence visuelle. Cela le faisait pouffer comme une gamine de dix ans »
TKT
Ce qui me faisait pouffer mon Kron.enbourg chéri c’était ta certitude d’avoir un QIV exceptionnel. Il suffit de voir ton blog pour être convaincu du contraire.
John Brown dit: 2 juillet 2013 à 13 h 29 min
Attendre 85 piges pour révéler, sous le sceau du secret de polichinelle de l’autofiction, qu’aux approches de la puberté on a été dûment fessé et flagellé au point d’en éprouver, à son insu de son plein gré, un plaisir aussi coupable que vif, cela aurait pu donner un scoop aux temps lointains de Jean-Jacques, mais relève aujourd’hui plutôt du gag. On a bien raison de le dire, le ridicule tue de moins en moins, même les octogénaires.
Jean marron si tu avais lu plus de trois lignes écrites par GAG tu saurais que tu racontes, encore une fois, des conneries grosses comme toi.
Je me demande si parfois Chaloux n’a pas raison (un comble) t’es vraiment con.
TKT dit: 2 juillet 2013 à 14 h 29 min
En face de Chanel, Albaburlesque, c’est l’Hôtel Ritz. Vous faisiez un apprentissage précoce de Boy ?
Mais quelle burne ce Kron.enbourg. Un QIV de merdre.
Je ne crois pas que Jean Marron soit un con. Surement pas.
Mais il est souvent drôle.
Et parfois un peu rapide dans ses jugements.
Avant vraiment de m’éclipser ainsi que l’astre immenses, sous vos yeux de verrats éberlués, je me pose tout de même une question. Venons-nous ici seulement pour nous haïr et nous mépriser?
l’astre immense,certes…
On peut reprocher des centaines de choses à Ml mais quand il parle de GAG ou de ce qui sépare la peinture allemande ( et ses arrière- monde et ses abimes avec Friedrich ) face à la peinture française(Boucher, watteau, monet, Seurat,) et ce qui , du jardin de watteau aux jardins de Monet, privilégie quelque chose d’épanoui et de oui, « bourgeois » dans ces familles de bord s de seine.. le paradis francais, l’art de vivre entre le second empire et la troisième république..oui ML connait bien l’Allemagne littéraire et notamment Bachmann et Celan et l’expressionisme et traduit tres bien « berlin alexanderplatz »,cde qui n’st pas donné à tout le mnde…. ».. et alors j’oublie le ML ’insulteur de service..ôir prendre le germaniste magnifique qu’il est. je trouve curieux et même un drôle de bouillon maso étrange et bien saumatre ce billet GAG.. : mêler le protestantisme allemand (dans la bavière ?..)et les gouts perso de GAG pour la flagellation et ajouter… le « ruban blanc » de ‘l’autrichien haneke qui surfe curieusement sur des clichés d’Allemagne du nord.. ça me semble bien peu fait pour comprendre quelque chose à l’Allemagne et y mêler bien sûr le nazisme, Heidegger, Wagner..quelle tambouille ..quelle embrouille oui.
merci ML
cortal dit: 2 juillet 2013 à 15 h 33 min
Assez d’accord avec la Mauvaise langue sur certains points. Par exemple, quand il dit : « TKT est un gros con » ou : « Chaloux est un âne. » Des propositions qui emportent l’adhésion
Et pas qu’un peut mon n’veu.
la culture de l’X est la culture de l’ex qui écrit
»
Figure imminente des films d’art martiaux de la « Blaxpoitation »,
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/jim-kelly-mort-du-black-samourai_
Je vous dirai bien une chose : Je n’ai jamais été convaincu par Ferdydurke !
Chaloux, si tu ne veux pas être méprisé, ne soit pas méprisable !
Si tu continues à nous débiter des grosses conneries, genre (comme diraient certains de mes élèves) les principes basiques de la psychanalyse, ça date, faut pas t’étonner qu’on te rentre dans le lard.
Respecte un peu plus tes interlocuteurs aussi, ça ne peut pas faire de mal !
vous avez vu le journal météorologique ?
Beau temps sur les Açores, et temps embrouillé sur Paris.
« Venons-nous ici seulement pour nous haïr et nous mépriser? »
On ne vient ici que pour cela !
(pour aimer, pour tolérer, il y a des maisons spécialisées !)
HA(dhé)reng 102427 dit: 2 juillet 2013 à 20 h 46 min
cortal dit: 2 juillet 2013 à 15 h 33 min
Assez d’accord avec la Mauvaise langue sur certains points. etc…
Et pas qu’un peut mon n’veu.
Evidemment, Ml, puisque tu fais les questions et les réponses.
Manquerait plus que tu sois pas d’accord
Et pas qu’un peuT, mon n’veu.
« Si tu continues à nous débiter des grosses conneries, genre (comme diraient certains de mes élèves) les principes basiques de la psychanalyse, ça date, faut pas t’étonner qu’on te rentre dans le lard. »
Et commenter cela:
Tout le monde s’enorgueillit d’avoir un moi profond et justifie ses actions les plus répréhensibles en disant : « Ce n’est pas moi. Ce n’est pas ma faute. C’est mon inconscient. »
ça vous tente ?
Aujourd’hui Delphine Batho a coulé.
Ce qui frappe immédiatement c’est que la peinture allemande nous montre un arrière-monde. C.D. Friedrich est typique à cet égard.
Ce qui frappe immédiatement dans la peinture française, c’est qu’elle nous parle du bonheur de vivre ici et maintenant. (rédigé par LML)
Approximations de trou du cul inculte. la critique d’art à la louche. Mais quel pauvre type ! quel pauvre type !
Méfiez-vous à qui vous parlez, JB. Vos insultes se retournent contre vous !
C’est pour ça que je file en Espagne à la fin de la semaine, mes petits chéris !
» L’islam c’est l’islam. » (rédigé par LML)
Au moins on aura appris quelque chose cet après-midi ! Ce que c’est que de se doper au vélo électrique !
Patatix et Patatax alias Mauvaise Langue, et ben ils vous causent. dit: 2 juillet 2013 à 21 h 05 min
Ah mon Chachal un bon leurre fonctionne à chaque fois avec toi.
Encore un fois je suis « matté ».
T’es vraiment la plus belle burne de la rdl, TKT ne fait pas le poids.
D à gauche donc cependant à des kilomètres de distance il ne va pas être facile d’éprouver ce plaisir de vous avoir à moi enfin après des mois de négociations difficiles.J’ajoute que dans ce monde bipolaire en morceaux la droite la gauche se rejoignent avant l’infini…
D’autant qu’à mon avis, Mauvaise Langue sait pas du tout de quoi il cause.
Doit faire un sacré moment qu’il n’en a pas vu, « d’arrière monde ».
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 21 h 26 min
C’est pour ça que j’ enfile en pagne à la fin de la semaine, mes petits chéris !
Aucun doute, Chaloux vainqueur.
Et puis il y a les opportunistes qui sentent le vent tourner et préparent leur voilure à temps, les incolores qui trempent leurs mains dans tous les bains pour prendre la couleur du moment, les apatrides, les exilés, les déserteurs et encore que d’honnêtes gens qui se déplacent.
Le catch n’est pas encore terminé?
les quatre piliers du nazisme sont :
1 – Hitler pour la politique
2 – Schmitt pour le juridique
3 – Heidegger pour la métaphysique
4 – Wagner pour l’esthétique
après 45 rien n’a entravé le déploiement du protestantisme libéral d’Habermas.
les 1, 2 et 3 (Hitler, Schmitt et Heidegger) ont en commun d’être des catholiques apostats, c’est loin d’être un détail : comment une minorité d’origine catholique a-t-elle pu imposer sa loi face au protestantisme libéral? c’est une question.
Nietzsche reprochait à Wagner d’être retombé dans le catholicisme le plus benêt avec son Parsifal (déjà Lohengrin tient une bonne couche de rédemption, une rédemption apocalyptique, qui ressemble à ces vers de Baudelaire où la race de Satan monte au ciel pour permettre à Dieu d’y descendre.
Ce qui a toujours manqué au front national pour construire un peuple, une pensée paulinienne permettant d’établir un état d’exception, où le temps s’arrête, où la vérité s’efface devant l’authenticité.
si Marine le Pen avait à ses côté un Schmitt, un Heidegger et un Wagner elle serait élue avec 80% des voix.
bérénice dit: 2 juillet 2013 à 21 h 44 min
Et puis il y a les opportunistes qui sentent le vent tourner et préparent leur voilure à temps, les incolores qui trempent leurs mains dans tous les bains pour prendre la couleur du moment, les apatrides, les exilés, les déserteurs et encore que d’honnêtes gens qui se déplacent.
bérénice dit: 2 juillet 2013 à 21 h 45 min
Le catch n’est pas encore terminé?
Mieux vaut catch que bouillie.
l’intervention de Paul Edel dit: 2 juillet 2013 à 20 h 45 min ,a été pour moi très très éclairante . donc merci de ce regard porté , fort/da
« .oui ML connait bien l’Allemagne littéraire et notamment Bachmann et Celan et l’expressionisme » (rédigé par Paul Edel)
S’il connaissait un peu mieux l’expressionnisme allemand en peinture, il ne sortirait pas des âneries de ce calibre sur les « arrières-mondes » de la peinture allemande ! Quant au bonheur de vivre ici et maintenant, spécialité de la peinture française,sans remonter jusqu’aux Le Nain, tu jettes un coup d’oeil à « l’Absinthe » de Degas ou à « l’Exécution de Maximilien » de Manet, et t’en es tout de suite convaincu.
Aujourd’hui Delphine Batho a coulé.D.
Mais les ministres écolos restent encore dans le même Batho gouvernemental…!
( La pêche est bonne!)
Adhérent 17523 dit: 2 juillet 2013 à 21 h 43 min
On semble croire que Mauvaise se démultiplie.
Heu…non:
il se décompose.
« 4-Wagner pour l’esthétique »
Sa musique est une ondulation permanente.
l’intervention de Paul Edel dit: 2 juillet 2013 à 20 h 45 min ,a été pour moi très très éclairante (rédigé par bolardiX)
Vous êtes bien bon, et pas difficile. Les compliments de Paul Edel à LML pour ses jugements en matière de peinture me confirment dans la piètre opinion que j’ai du discernement de basset myope du Popaul pour tout ce qui touche à l’art.
Raisonnons dit: 2 juillet 2013 à 21 h 59 minu
que faites vous , en vrai post freudien du clivage, et de la fragmentation?
Nul doute que Chaloux ait les plus belles burnes de la RDL.
Mais La MAUVAISE LANGUE a les plus enflées.
Comment peut-on parler d’un « art universel » en ce qui concerne Anselm Kiefer?
Si l’ universel c’est le local moins les murs et que notre Anselm ne fait que bâtir des murs?
avis en passant veut-il dire qu’ils les lui cassent?
Mauvaise Langue devrait changer de pseudo: il devrait s’appeler:
Mauvaise Pioche.
plus que le « ruban blanc » de Haneke, le film Melancholia de Lars von Trier permet de comprendre l’avènement du nazisme, dans la dernière scène on voit trois personnages sous une cabane faite de quelques branches, pour la première fois du film on voit ces trois faire monde, juste avant que la terre soit pulvérisée par la planète géante.
le message de von Trier est violent, il nous dit une évidence : notre monde, technicisé, mécanisé, informatisé ne fait plus monde.
l’héroïne qui sombre dans la mélancolie travaille dans la « communication ».
Tout ce qui faisait horreur à Heidegger : un monde soumis aux lois de la communication n’est plus un monde capable d’accueillir les hommes, encore faut-il mettre un fond musical : le prélude de Tristan et Yseult.
c’est un film heideggerien : seuls l’ennui, l’angoisse, la peur et la mélancolie permettent de percevoir l’étant authentique de l’être au monde, pour Heidegger le libéralisme spinoziste ou protestant ne sont pas propice au soucis de l’être.
le nazisme exigeait un minimum de conviction pour s’imposer, Wagner a nourri ces convictions, sans lui….
Non, mais La Mauvaise Langue est naturellement boursouflé.
C’est un gâteau qui a trop monté.
« le nazisme exigeait un minimum de conviction pour s’imposer, Wagner a nourri ces convictions »
Déjà Wagner est mort le 13 février 1883, vous sortez votre calculette, etc., etc.
Puis, depuis quand les artistes sont responsables de l’usage qui est fait de leur travail ?
Mais qu’il est con ce Chaloux, ne sait jamais s’arrêter, la marque des chefs d’escadrille.
« La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 15 h 53 min
Ce qui frappe immédiatement c’est que la peinture allemande nous montre un arrière-monde. C.D. Friedrich est typique à cet égard. « ………..
Il est vrai que l’Ancien testament,
pour l’arrière n’est pas très positif…
Comme pour le devant …
Toujours entre les deux !.
Et pour l’inceste,
par mégarde…
Et pour la Pédophilie ???
De Ramses à David ;
Même combat pour les vieux ;
07 années ont-elles !.
Ah qu’un livre de cul :
La BIBLE suffit.
Puis, depuis quand les artistes sont responsables de l’usage qui est fait de leur travail ?
renato
Encore faut-il que quelqu’un veuille en faire usage, hein mon toto.
hamlet dans ce film il n’y a quasiment aucune référence au monde comme il se vit pour la plupart d’entre nous ils sont en retrait de ce monde jusqu’au vieux domestique qui se dévoue totalement à ses employeurs, environnés de beauté,en accord avec la nature leur maison semble indestructible, ils bénéficient de toutes les sécurités on peut voir la collision comme vous la lisez peut être est-ce le sens à lui donner mais que dit l’auteur de sa vision d’une apocalypse? Et il y aussi ce mariage totalement raté parce que plus rien ne vaut.
ML, sur les principes de la psychanalyse, qui bougent en effet, tu devrais te documenter sérieusement au lieu de m’asséner tes énormes conneries. Quand on te lit, on se croirait dans le métro aux heures de pointe. Tu es le gros con le plus verbeux et le plus ignare auquel j’aie jamais été confronté. Un must.
renato Wagner a laissé des écrits qui ont satisfait la vision d’Hitler, l’ont conforté quand bien même il n’était plus là pour changer de vue.
Tu es le gros con le plus verbeux et le plus ignare auquel j’aie jamais été confronté.
renato, vous dites une énorme connerie, vous aussi, c’est un festival, un feu d’artifices. C’est pour fêter mon départ ou quoi?
Chez Wagner, il n’y a pas que l’oeuvre, l’esthétique et je ne sais trop quoi encore. Il y a la correspondance, dans laquelle la bête immonde est déjà présente à un point inimaginable. A mon avis,Hitler a commencé par lire les lettres qui regorgent d’un antisémitisme qui préfigure celui des pires années, et « l’art » n’a servi que de confirmation. Wagner est une des pires personnalités d’artiste qui aient existé.
Et pour l’inceste,
par mégarde… (rédigé par la Suceuse diplômée)
Sur la question de l’inceste, Jean Yanne a dit ce qu’il y avait à dire :
Adam et Eve ont eu deux fils , Caïn et Abel. Abel tombe à l’eau, reste Caïn. Avec qui Caïn a-t-il fait ses enfants ? Si c’est avec son père, c’est pas pratique. Si c’est avec sa mère, c’est pas convenable.
Cette inconséquence du texte biblique (elle est loin d’être la seule) me confirme dans mon hypothèse qu’il a été rédigé par un quarteron de scribes en goguette réunis dans un quelconque bar à putes de l’époque, multipliant les bouteillons dans l’intention de tester la crédulité de leurs contemporains tout en s’en payant une tranche à leurs dépens. Là où ils sont, ils en rient sûrement encore.
Miroir, mon beau miroir dit: 2 juillet 2013 à 22 h 30 min
Trop facile, toujours pareil, lassant.
Pour ce qui est du miroir, voyez les Anciens, Platon, Sénèque etc… le prochain épisode sera peut-être un peu plus relevé (si vous êtes relevable, ce qui m’étonnerait).
« Chaloux dit: 2 juillet 2013 à 15 h 22 min
ML, je le réinvente pour vousCroyez-vous, triple buse, que son » goût de l’étymologie » aurait de Groddeck un nazi?
Passons.
Ok : pour aurait FAIT de Groddeck !!!.
J’apprécie de Groddzeck sa définition de l’écriture :
Une histoire de sperme et d’encre …
Ni, Ni, Ni.
Chaloux dit: 2 juillet 2013 à 15 h 23 min
« aurait fait »
Excusez-moi !.
Diplomée, de quelle université?
La Suceuse Diplomée dit: 2 juillet 2013 à 22 h 21 min
On dirait Sant’Angelo qui a mis une jupe par dessus son string ficelle!
22h36 cherchez -vous un emploi qui relève de vos compétences? Votre pseudo fait l’effet du destop mais je doute que les canaux aient ici besoin d’un plombier et votre Ni Ni Ni est en pleine régression ce qui tombe à point puisque nous évoquions le stade anal auquel Arthur G S tente de vouloir dire que l’Allemagne est resté bloqué .
restée bloqué, pardon
bérénice, les nazis ont récupéré Wagner dans un environnement différent de celui où lui-même développa ses positions.
Réfléchissez au fait que Schoenberg ne rappelle pratiquement pas les écrits antisémites de Wagner.
« La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 15 h 30 min »
Perlez de littérature,
LML,
mais évitez la peinture !.
Pas vraiment votre Entre-Cuisse!.
restez avec vôstre vélo électrique,
et vos promenades en Sologne.
Que l’Espagne ne soit pas trop méchante avec vous !!! !! !.
ou peut-être restée bloquée .
Remarquez, je vous demande ça, mais c’est absolument désintéressé. Je déteste.
renato antisémite puriste etc un jour et pas pour toujours?
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 15 h 30 min
ses beaux paysages après la défaite de 70
Il y en avait, mais il y en avait moins…
1870 ou 1970 ???.
LML, toujours aussi con,
pas capable de vous situer !.
Je répètes, bérénice, réfléchissez au fait que Schoenberg ne rappelle pratiquement pas les écrits antisémites de Wagner. Pourtant il était attentif à la montée de l’antisémitisme voyez sa lettre à Kandinsky (nous sommes en 1923) :
« Ce que j’ai été forcé d’apprendre l’année dernière, je l’ai enfin pigé, et je ne l’oublierai jamais. À savoir que je ne suis pas un Allemand, ni un Européen, pas même un humain peut-être (en tout cas, les Européens me préfèrent la pire de leurs races), mais que je suis Juif… J’ai entendu dire que même un Kandinsky ne voyait dans les actions des Juifs que ce qu’il y a de mauvais, et dans leurs mauvaises actions que ce qu’il y a de juif, et là, je renonce à tout espoir de compréhension. C’était un rêve. Nous sommes deux types d’hommes. A tout jamais ! »
… sur la défaite de Mauvaise Langue en 1970. L’essai n’a pas été réitéré.
« u. dit: 2 juillet 2013 à 15 h 37 min
On jugerait sur pièces! »
Ah que OUI,
en pièces détachées !.
Le LML Ecartelé ; Oh joie…
Bon voyage pour les Espaguoins,
mais ne centrer pas trop,
le « Petit Chéri » est fragile du Fion !!! !! !.
« xlew.m dit: 2 juillet 2013 à 15 h 40 min
c’est Bouddha qui décide,comme souvent. »
Ah le sourire du Boudha !.
Il aurait été mieux en ELLE.
Question Nénuphar ou Lotus !.
renato qu’est-ce que ça prouve?
Il parait que la correspondance d’Evariste Proutard pas plus que celle de Justin Roupignol ne font la moindre allusion à l’antisémitisme de Wagner, pas davantage qu’à celui de sa distinguée épouse.
« La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 16 h 15 min,
Mais non, mon Chaloux chéri, c’est toi qui ignores tout des sangliers, qui font plusieurs morts par an en Sologne. Si seulement ils pouvaient se faire un gros con de ton espèce de temps en temps, ça soulagerait l’humanité… »
Merci LML :
encore à demander pardon !!!.
Une histoire d’apostat qui s’ajoute aux autres.
Cela prouve que Schoenberg ne donnait aucune importance aux écrits antisémites de Wagner, quel que ce soit l’usage qui en était fait par les Nazis, mais, par contre, il en donnait à l’opinion de Kandinsky… et puisque vous semblez doué d’une intelligence sans pareil et d’un esprit vif, je vous laisse l’aise de comprendre pourquoi.
De plus, renato, cet extrait de lettre se trouve très facilement sur le net, ce qui tendrait manifestement à prouver que vous n’avez pas lu les lettres de Schönberg. Vous vous rattrapez aux branches, comme d’habitude, avec un matériel de fortune, tout en vous donnant le luxe de prendre ostensiblement les autres pour des cons.
A quand, de votre part, une réflexion sérieuse fondée sur un savoir acquis?
Jamais … sans doute.
« abdelkader dit: 2 juillet 2013 à 20 h 14 min
10 jours a PQ me semble une sentence disproportionnée… »
Abdelkader :
01 seul jour sera toujours trop !.
Bien pour ce soir j’ai fait mon œuvre de charité, si vous voulez vous tortiller vous n’avez qu’à nous montrer vos réflexions sérieuses fondées sur un savoir acquis…
Ah ! le tautologue sans épaisseur, j’oubliais ! pour incroyable que cela puisse paraître, les lettres de Schoenberg sont traduite, et publiées… en italien aussi…
Rototo et Mauvaise Langue, ont un point commun essentiel : une obstination sans frein, et dénuée de toute dignité, même aux heures où on les prend la main dans le sac.
Les deux plus gros menteurs de la RDL.
« J’ai fait mon oeuvre de charité »…ben
voyons.
Plutôt ceux qui vous lisent qui la font.
Mais moi aussi, j’ai fait la mienne.
Comme quoi personne n’est parfait.
En fait, deux points communs, un bagage culturel des plus minces et etc.
« Paul Edel dit: 2 juillet 2013 à 20 h 45 min »
Lire ou relire « Le Questionnaire » de Ernst Von Salomon !!!…
Une bonne explication de l’Allemagne.
Peut-être Toto, Sauf que la traduction française que vous donnez est mot pour mot celle qu’on trouve sur le net. Un faisceau de présomptions…
Nier que Wagner fût un antisémite convaincu, c’est vraiment se foutre du monde. C’est comme les inanités de JB ou de Chaloux. Du même niveau. On est dans la médiocrité plate sur la Rdl, ça ne décolle jamais. Je suis le seul qui contribue à relever le niveau ici. Je n’ai aucun interlocuteur digne de ma culture et de mon intelligence critique. C’est dommage.
6 minutes de rire ininterrompu.
Jusqu’à une date très récente, la musique de Wagner était bannie des salles de concert en Israël. Ce n’est pas pour rien. Qu’on soit pour ou contre n’est pas le problème.
Encore un truc que tout le monde sait…
Pensée suivante, SVP.
« renato dit: 2 juillet 2013 à 22 h 19 min
Puis, depuis quand les artistes sont responsables de l’usage qui est fait de leur travail ? »…
Pas con !.
Sans +.
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 23 h 41 min
Je suis le seul qui contribue à relever le niveau ici.
Oui, ML, mais le niveau de quoi?
Essayez de vous confirmer au 614e commandement:
« Tu ne pueras point ».
Non, mais soyez un brin moins stupide le tautologue, vous n’avez pris personne le mains dans le sac. Vous avez seulement récité le poncif habituel : on trouve ça sur le net : bravo, la belle découverte. Il ne vous est jamais venu à l’esprit que, certes, on trouve de tout sur le net, mais qu’il faut savoir quoi et où chercher ? Vous vous êtes posé la question de savoir pourquoi j’ai cité Schoenberg ?
Conformer…
Suis vaincu. vais me coucher.
A bientôt,
Le bonheur est la marque de fabrique France. « Heureux comme Dieu en France » disaient jadis les Juifs venus de Pologne.
Depuis le XIIè siècle, c’est le propre de la culture française, en peinture comme en littérature. Toute l’œuvre de Chrétien de Troyes tourne autour de cette problématique du bonheur. Les films d’Eric Rohmer en sont aussi une continuité et une belle expression. Toute l’œuvre de Racine tourne autour de cette même problématique, qui n’a rien à voir avec la conception tragique grecque.
La culture allemande, au contraire, est une obsession des arrière-mondes. Personnellement c’est ce qui m’a si fortement attiré vers elle très tôt.
Qui n’est pas capable de saisir le bien-fondé de cette différence essentielle entre la culture française et la culture allemande n’est pas digne de dialogue.
Chaloux avait dit qu’il était parti en vacances, en fait vite revenu afin de poser certaine question cruciale.
Oui, je sais pourquoi Rototo, parce que c’était la branche la plus proche et la moins casse-gueule pour vous. Vous êtes un esprit pratique, je n’en doute pas.
Chaloux manque en plus de l’humour le plus élémentaire…! Faut-il s’en étonner chez un neu-neu pareil ?
Fouga magister, c’est un beau pseudo, celui d’un jeune dans les années 60-70. Cela fait un bail que la patrouille est équipé d’Alpha-jet.
La peinture impressionniste est essentiellement une peinture du bonheur. L’arrière-monde inconscient narcissique par les reflets ne crée nullement ce malaise qu’on peut ressentir presque physiquement devant certaines toiles de C.D. Friedrich parce que le bonheur prime sur l’inconscient. En ce sens, JC Milner a raison quand il postule que la peinture française ne connaît pas d’invisible. L’invisible peut-être là mais comme support du bonheur. Jamais l’inverse comme chez C.D. Friedrich.
Enfin, il a appris ce mot, « tautologue », et il faut bien qu’il en fasse usage !
La mauvaise langue dit: 2 juillet 2013 à 23 h 58 min
Il dit :
« Racine tourne autour de cette même problématique, qui n’a rien à voir avec la conception tragique grecque. »
Il dit aussi.
« Je n’ai aucun interlocuteur digne de ma culture et de mon intelligence critique. »
Il ne connait pas Racine non plus.
Crétin, assassin de la culture. Mais vous ne connaissez vraiment rien ?
Chrétien de Troyes, vous ne l’avez pas lu non plus.
Fanfaron, cuistre, Trissotin.
« de Chrétien de Troyes à Eric Rohmer » voilà un sacré raccourci, fendu en deux idées très simple.
L’ Allemagne et la France des idées vues par un enfant…à vélo électrique!
Ah, les ploucs de service qui sortent leurs groins de la boue où ils ont l’habitude de se vautrer !
Je n’ai peut-être pas d’humour ML mais tu me fais bien marrer.
Eh un peu mon petit chéri, que je l’ai lu, le Chrétien de Troyes, et en ancien français qui plus est, petit trou du cul !
Ben oui, parce que moi, j’ai de l’humour ! Ah il est con, le Chaloux ! Mais il est con !
« La peinture impressionniste est essentiellement une peinture du bonheur. »
Vous me la copierez cent fois, tas d’ignares!
Ceci est de l’ignoble petit Alba, professeur d’ignorance.
« Racine tourne autour de cette même problématique (le bonheur), qui n’a rien à voir avec la conception tragique grecque. »
Exemples:
« Soleil, je te viens voir pour la dernière fois ».
« Dans un mois dans un an comment souffrirons-nous ».
etc. etc.
Ce n’est pas un hasard non si c’est la France qui a inventé l’Amour. On ne s’en aperçoit guère ici avec tous nos petits trous du cul, mais c’est pourtant une des plus belles inventions de la France, que le monde entier nous envie.
Et en plus il pense être convaincant… Quel petit trou du cul !
Pour lire l’ancien français, Alba, il faut savoir le lire. Et j’en ai fait comme toi, en Sorbonne. espèce de gros trou du cul.
La mauvaise langue est essentiellement une langue bouffie (…).
Vous fatiguez pas, le professeur, c’est moi ici. Vous êtes un ignorant qui devrait écouter ce que je lui dis et en prendre de la graine pour approfondir ses lectures des textes français. Non, mais on n’est pas là pour se faire emmerder par tous ces petits trous du cul quand même !
Mais non, Chaloux, Vous n’avez jamais lu comme moi et traduit de l’ancien français. Vous en avez fait comme tous les étudiants, c’est-à-dire de manière très superficielle. En réalité vous ne savez pas lire l’ancien français. Et vous n’avez jamais étudié l’œuvre de Chrétiend e Troyes comme moi je l’ai étudiée, en profondeur. Quand j’en parle, j’en parle en savant pas en amateur comme vous.
Quel fesseur pro, ce Lonesome Merdeux Littérateur!
Et maintenant la France a inventé l’amour… Mais quel sous cuistre, quelle andouille, quel navet…
Tu ne sais définitivement rien, mon pauvre Alba, qu’est-ce que tu fous dans l’enseignement. Encore heureux que tu n’aies pas grimpé trop haut.
Je maintiens que tu ne sais rien de Racine, que tu ne sais rien de rien. Ce que j’ai du mal à comprendre, c’est que tu exhibes cette ignorance absolue jusqu’au fond du sac.
Tu dois aimer le fouet…Je ne trouve pas d’autre explication.
– Et j’en ai fait comme toi, en Sorbonne.
– Vous fatiguez pas, le professeur, c’est moi ici.
Je le relisais d’ailleurs encore récemment suite à des propos de Peter Handke sur la littérature épique (il voulait dire en réalité romanesque) de Chrétien. Je le lis assez souvent. Et toute son œuvre tourne en effet autour de la grande problématique de l’Amour et du bonheur dans l’Amour non courtois. Mais ça vous dépasse parce que vous êtes très ignorant de ces choses en réalité et comme tous les ignorants, vous êtes très suffisant, très arrogant. C’est un signe de votre profonde médiocrité littéraire et humaine.
Oh, ce que j’endure,tu ne sais
Quand une belle femme apparaît,
Sous la soie jaune sa croupe qui
remue dans le bleu de la nuit.
_
A quoi sert aux putains d’avoir un large front
Mieux vaut de larges hanches.
Il en sort davantage, davantage il y entre
Ça invite au bonheur.
Bertold Breht,
« De la séduction des anges »
Trad : Louis-Charles Sirjacq.
Ed : L’Arche.
et pour LML :
« ISBN : 2-85181-384-6 75 F
Le Monsieur qui pilote ce Fouga est un ancien pilote de chasse sur Mirage III-C et il a véritablement croisé un ovni le 23 septembre 1975 à 23:00.
Le professeur que je suis a à vous en remontrer, mon pauvre Chaloux. Vous feriez mieux de m’écouter pour enrichir votre culture au lieu de me cracher dessus. Mais vous ne faites que vous enfoncer en le faisant. Cela montre votre profonde médiocrité intellectuelle, votre peu de connaissance littéraire, votre inanité essentielle de batteur de foire. Vous êtes dans l’air du temps, vous appartenez à la médiocrité ambiante de la France moisie.
La seule chose que tu aies approfondi, mon pauvre Alba, ce sont les coq-à-l’âne.
Ah ! voilà la France moisie ! il me semblait bien qu’il manquait quelque chose…
Je préfère les petits culs aux larges hanches.
Pauvre Chaloux ! On ne peut pas faire plus médiocre ! C’est le type même du batteur de foire sur un blog. Ah, vous y avez une place de choix, de quoi vous plaignez-vous ! Moi, je suis très marginal ici. Je suis trop cultivé, trop intelligent pour tenir ma place dans un blog. Je suis là simplement pour dire aux crétins leurs faits, c’est tout. Ils sont en réalité incapables de comprendre ce que je leur écrit ici. C’est d’ailleurs souvetn ce que me disait Màc : Mais tu te rends pas compte, qu’y me disait, ils n’entravent que dalle à ce que tu leur racontes. J’ai finis par le croire. Mais j’étais beaucoup plus naïf que lui au départ. Depuis j’ai perdu ma naïveté comme on perd sa virginité.
Bon. C’est qu’il va falloir songer à mettre en vente les masterpieces du patrimoine français à présent. Je propose de commencer par Chambord, pour 25 Milliards. Psychologiquement, Chambord, ça passera, c’est un peu loin de tout.
« D. dit: 3 juillet 2013 à 0 h 25 min
il a véritablement croisé un ovni le 23 septembre 1975 à 23:00. »
Ainsi je comprends mieux les lacunes du LML,
Les « Dobble Sun Shine »
petit cachet jaune ne payant pas de mine,
mais laissant que 76 heures à gérer au minima pour la descente.
J’en ai su quelques-uns,
qui toujours, en atterrissage,
cherchent la piste.
LML, faites vous partie de l’escadrille.
Non, mais j’attends d’être emporté par un ovni…
Mauvaise Langue, vous êtes vraiment impayable.
Pensez tout de même à perdre votre virginité pendant les vacances.
Il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Pour le reste, vous êtes pour moi le prototype du chapon stupide et ignare. Vous ne savez rien de rien. Tout ce que vous racontez est empreint d’une sottise de basse-cour de collège, – du vent, des billevesées, des mensonges, vous êtes un imposteur et je m’aperçois en vous lisant que j’ai eu la chance d’avoir des profs de collège et de lycée exceptionnels.
Quant à Saint Montaigneàcheval…passons.
Mais oui, mon petit Chaloux, venant d’un pauvre crétin de votre espèce, ce ne sont que compliments !
Vous êtes trop con pour vous rendre compte de votre inanité. Vous êtes un comique.
Les discussions avec Màc, mon pauvre Chaloux, c’était autre chose qu’avec vous ! Je peux vous l’assurer !
Vous êtes un minus habens, un crétin d’eau douce, un bachibouzouc comme on en rencontre tant sur ce blog.
…
…toute chose créer ou existante ne sont pas mauvaise en sois, ni indispensable,…
…
…tout les faits et connivences,…qui existeront, ne sont pas plus indispensables ni dangereuses à assimiler,…
…
…ou allons nous avec ces raisonnements,…de la désinformation,…
…
…mais, c’est bien sûr,…s’adapter aux exigences modernes,…déjà;…qui en à la liberté de choix ou imposer en masse,…( la pensée unique,…l’état s’octroie vos propriétés âmes, biens et corps,…
…
…tient, pourquoi faire,…se prévaloir en comité restreint, de ce qui est bon ou mauvais pour le peuple,…
…
…sommes nous inconscient de donner notre langue au chat,…toute voiles dehors,…sommes nous inconscient, hérétiques pour une cure d’inquisition,…
…sommes nous » idiots « ,…sans instructions, genre » métro-boulot-dodo » avec l’église comme » opium » du peuple,…
…du pain, du vin, et des baffes,…et musique forcée,…d’abrutis,…
…
…l’éducation obligatoire,…pourquoi faire,…et dans quelles conditions d’inégalités,…reproduire les mêmes castes du village jusqu’aux métropoles,…
…
…toute les choses à comprendre suivant nos vraies dispositions sans se droguer aux A.D.N. des uns et des autres,…dominer par les sciences,…
…
…le rôle des éducations des connaissances,…discerner l’adaptation objective,…aux assimilations du progrès pour vivre mieux en partage des nouvelles données,…
…
…mais, de la à dire, ou faire des solutions finales,…c’est inimaginables,…et montre bien, le niveau d’intello de caporal à go-go-girls de bordel d’académie des arts à gérer, ou à réduire dans son esprit,…
…c’est limite » Express – la Colossale – Mafia – Révolution « ,…écrasez-vous dans les chiottes des guerres,…genre torero Ollé,!,…l’histoire en spectateur de cirque,…pour lobbying,…à deux balles, d’Iznogoud – Hittler,…
…l’état cramé,…tout le système se prend les pieds et la queue à bouffer ( alchimie ),…comme notre crise,…de concurrence des surproductions à obsolescence programmée,…
…
…sans, oubliez les services » en Mobbing « , des employés des entreprises,…à la tête du client,…et origines A.D.N.,…de nos jours,…les nouvelles Show-Ah,…dans les services publics,…
…Vous n’êtes plus chez vous,…vous êtes autochtone,…çà vient les Show-Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…tous ces dragueurs de mines de rien,…à deux balles,…le sexe féminin au pouvoir,…etc,…à déminer,…encore,…etc,…
…
sur Hitler et Wagner :
1) beaucoup de passages des proses du compositeur, à propos des Juifs, sonnent nazi, mais il n’y a pas conformé sa vie;
2) Hitler est un wagnérien idolâtre dès son adolescence (à quinze ans au plus tard) et un boulimique de lecture qui, outre le fait de voir chaque opéra donné à Linz, dévorait sans doute les oeuvres en prose;
3) Pourtant il ne devient antisémite que dans une crise d’allure mystique fin 1918 ou début 1919; les passages de Mein Kampf où il dit la vérité tout en laissant entendre le contraire (il serait antisémite dès 1910 environ) sont du brouillage de pistes… pour ne pas avouer qu’on a attendu l’approche de la trentaine pour découvrir le danger universel à l’éradication duquel on va vouer sa vie !
4) Conclusion scandaleuse : Adolf Hitler a résisté pendant quinze ans à l’antisémitisme de son idole; il devait y voir un aspect bizarre et superflu de sa personnalité.
5) mais en même temps cette imprégnation et ce patronage expliquent la rapidité et le caractère définitif de sa conversion.
hamlet dit: 2 juillet 2013 à 22 h 12 min
« plus que le « ruban blanc » de Haneke, le film Melancholia de Lars von Trier permet de comprendre l’avènement du nazisme »
Désolé, ami Hamlet, mais ce film de Lars von Trier, Melancholia, n’est qu’une bouse post bergmano-tarkovskienne complètement ratée !!! Une merde géante ! Un ramassis de citations, clin d’œil, blabla, déjà vus..; qui n’apporte rien, et surtout pas au « débat sur le nazisme ».
Là où les autres innovaient, Lars dégurgite vainement sa vacuité ! Un travail ridicule…
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