Garçon, un pastiche !
(L’Obs ayant commandé à des écrivains un « journal du confinement » qui soit un pastiche d’un auteur de leur choix, pour moi, ce fut Antoine Blondin. Voici donc la version longue de ma contribution parue cette semaine dans l’hebdomadaire...)
Vous n’imaginez pas les affres d’un parisien dans mon genre qui déteste autant sortir de la maison que rentrer à la maison. C’est inextricable. Mais ne comptez pas sur moi pour tenir un « Journal du confinement ». Quel labeur pour l’auteur, quelle souffrance pour le lecteur ! Cela fait peine à voir. Difficile de toute façon quand on a les mains aussi occupées que les miennes, une cigarette dans l’une, un verre dans l’autre, ce serait un art d’équilibriste. Au vrai, j’aime moins écrire qu’avoir écrit. Une émission de radio peut-être : ici l’ombre, un con fini parle aux confinés, ou l’inverse qui sait…
Etre confiné dans mon quartier me gêne d’autant moins que c’est ma situation naturelle. Faire le mur ne m’effraie pas. La vie m’a appris à m’évader d’un internat, d’un camp de travail, du domicile conjugal, toutes choses égales, mais pas d’un virus. N’eut été l’absence de vicaires lubriques, le confinement me ramènerait à mes douze années d’internat dont quatre dans des institutions religieuses. Par deux fois dans le passé, mon éditeur a jugé bon me cloitrer dans une chambre d’hôtel pour me forcer à écrire un roman que je n’arrêtais pas de ne pas écrire. Une fois à Mayenne, une autre à Biarritz. Je m’en suis finalement bien sorti même si je n’en suis jamais revenu. Quand il m’arrive de me retrouver en réclusion studieuse dans ma maison de campagne, j’ai du mal : de romancier, je me métamorphose en personnage de roman.
Ces derniers temps, je me suis donc confiné dans mon confetti, mon petit chez moi à Paris. Au début, je trouvais que la ville était plus belle vue de nos fenêtres fermées. J’ai fini par les ouvrir quand j’ai réalisé qu’en bas rien n’était ouvert. De sa fenêtre, l’homme n’aperçoit que les succursales de la vie. La poésie de Verlaine y demeure par les temps qui courent le plus sûr des moyens de transport. Il n’y a qu’à regarder la rue, c’est déjà du Verlaine. On y voit passer des chiens qui en ont marre d’être promenés. Bientôt, les petits réclameront eux aussi de rentrer à la maison pour se reposer enfin. Les parisiens sont prêts à tout pour sortir une heure de chez eux. J’en connais qui loueraient un bébé pour l’occasion. A mon avis il y a de l’abus dans l’alibi. Les chiens et les enfants devraient s’unir pour se constituer en syndicat.
Confiné à Saint-Germain-des près, privé des grâces et félicités de la vie dans cette atmosphère si irréelle, je me sens comme un songe en hiver quand Paris est habité d’une insondable torpeur. Plus de jour, plus de nuit, un silence minéral règne dans les rues, ce silence dont Joe Bousquet disait que tout poème devrait en être traduit ; il nous enveloppe et nous intime l’ordre de nous taire. Les voisins ignorent tout de ma profession. Ayant muni mon porte-plume sergent major d’un silencieux, j’écris à bas bruit.
On dirait que Paris souffre d’un arrêt du cœur. Tout fait craindre la rupture d’aphorisme. De quoi me couper la chique. Le ciel est d’un bleu électrique, invraisemblable à force d’être immaculé semaine après semaine, ce qui ajoute à l’étrangeté de la situation ; à mi-chemin du printemps et de l’été, on a pourtant l’impression d’entrer dans un long hiver tant nos journées sont interminables. Dans les immeubles, la concierge n’est pas dans l’escalier, elle ne revient pas de suite, elle se trouve dans sa loge sans la moindre intention d’en sortir
J’irais bien quelque part aérer ma difficulté d’être. N’importe où hors d’ici. Dès que le président a déclaré la guerre au virus, une partie des Français a filé se réfugier en zone libre. Il est vrai qu’aller se faire confiner à la montagne, c’est encore le meilleur moyen de tourner l’alpage, mais tout de même.. La France est à nouveau prise de vagabondage. Un nouvel exode comme celui de 40 avec les drones à haut-parleurs de la préfecture en guise de mitraillages de la Luftwaffe, et sur le toit des voitures un écran 189 cm à son ultra en lieu et place du matelas. Dès que le gouvernement aura levé le siège des Français, on en verra revenir dorés sur tronches de leurs villégiatures. Il y en a qui se livrent à la traite des planches du côté de Deauville. Grand bien leur fasse ! Pas de reproches tant qu’ils ne la ramènent pas. On haïrait alors les mensonges qui leur ont fait tant de hâle.
Partir ne me manque pas, mais sortir, oui. Quand on a grandi en fils unique, après on n’arrête pas de sortir pour se créer des frères et sœurs. Aux autres les grands voyages. Seul l’air du pays me manque. Si je venais à souffrir de détresse respiratoire, on me réanimerait au mieux en m’oxygénant de Tours de France. Ivresse de la caravane, volupté de la foule, bon enfant de la réclame, bonheur de l’étape. De toute façon, j’appartiens à la génération du couvre-feu. Ca m’est revenu hier lorsque je suis allé aux commissions. Des policiers m’ayant arrêté pour me demander une attestation de déplacement dérogatoire et que j’ai délicatement extrait un ausweis de mon portefeuille. Ils l’ont trouvé un peu daté ce qui témoigne de leur mauvaise volonté. Et puis quoi, chacun sait que les héros de romans ne courent pas les rues dans le quartier de saint-Germain-des-Prés passé huit heures du soir ; pourquoi m’y attarderais-je alors ?
C’est un effort de suivre les consignes du gouvernement. L’air de rien, ces jours-ci, la paresse n’est pas de tout repos. Toute ma vie je me suis efforcé d’être léger. La spécialité me colle aux basques. Hier encore, peu avant la tombée de la nuit, un journal m’a appelé pour me demander une chronique sur la légèreté. Il n’avait pas tort, le père Céline : Dieu qu’ils sont lourds… Comme si ça se décrétait. Ils n’imaginent ce que ça peut charrier de gravité, de mélancolie, de nostalgie de tristesse. Prenant acte de mon impuissance, ils se sont rabattus sur un rappeur à la mode lequel, pour être effectivement léger, ne s’exprimait pas vraiment comme le Brantôme des Dames galantes. Pour Brigitte Bardot, ca ne change rien : elle est confinée à La Madrague avec ses chauve-souris et ses pangolins depuis le tout début de la Vène république.
Pour ma part, j’ai besoin des gens. L’argent, les objets, les maisons, les choses, toutes choses qui ignorent la chaleur et la fraternité, cela ne m’est rien. Mais les gens, les êtres, les autres, quelle richesse ! Tout pour l’amitié et l’amour, rien pour le reste. Sauf qu’entre quatre murs, on fait peu de rencontres une fois les livres refermés. Reste le journal. L’Equipe fait peine à voir quand il n’y a rien à y lire. On n’en finit pas d’y refaire les matchs. Pas la moindre course à se mettre sous la dent. Il lui faut se rabattre sur de vieilles anecdotes, des bisbilles ressassées, des revoyures de buts patinés. Si le confinement devait jouer les prolongations, L’Equipe deviendra le premier quotidien sportif historique au monde. Un must !
Plus je regarde les passants prendre le soleil dans Paris confiné, et d’autres courir on ne sait où, plus je me dis que décidément, notre planète manque de terrestres extra. Pitié que ces librairies au rideau baissé. Garçon, l’édition ! Même les boites des bouquinistes sur les quais, entre lesquelles coulent la Seine et nos amours, ont mis le cadenas, nous empêchant pour un certain temps de nous plonger dans leurs romans-fleuve. Même à la campagne la France semble à l’arrêt. A croire que les chemins de terre sont en grève. Les journées s’enchainent où il se passe tant de choses alors que rien ne s’est produit. Et alors ? Quel que soit le messager, une simple minute d’éternité est toujours bonne à prendre.
La nuit, je suis partout chez moi. Les rues sont pleines de messieurs Jadis qui ne sont plus là. Ils se reconnaissent à ce qu’on les voit arpenter l’existence à coté de leurs souliers. Ca paraît bizarre dit comme ça mais c’est aussi vrai que l’homme descend du songe. Avant le confinement, je pouvais sonner à la porte de l’Hôtel de Ville et demander au planton s’il leur reste une chambre de libre, il le prenait bien parce que c’était la nuit, justement. Elle me manque pour les rencontres qu’elle suscite, ces soudaines sociétés qui s’improvisent au zinc ; l’aube ne s’est pas encore levée sur Paris que déjà, on s’est fait de nouveaux amis d’enfance. Le geste-barrière aurait été sportif pour les leveurs de coude : pour reposer le verre sur le zinc quand en se tient à peu près droit à une distance d’un mètre cinquante, il faut avoir le bras long.
A la radio, les nouvelles sont alarmantes. Le chômage partiel va-t-il pousser Ricard à réduire sa production ? J’ai cru entendre un long débat là-dessus sur France culture. On y évoquait une certaine perturbation, voire une profonde dépression, chez les Français si la nouvelle se confirmait. Le pire est à craindre. Avec quelques camarades de résistance, nous nous sommes battus dès les premiers jours pour que les cavistes soient considérés comme des commerces de première nécessité et nous avons finalement vaincu l’ostentatoire sobriété de l’exécutif. S’il est vrai que Mitterrand était le Kennedy du nivernais, alors Macron est l’Obama de la Picardie. Pendant ce temps M. Trump, l’homme à la cervelle de vent, menait son pays au bord du précipice.
Méfions-nous du dirigeant qui fait parade de son abstinence : rien ne vaut un homme d’Etat d’ébriété. On peut toujours crier vendange, le cœur a ses raisons que le raisin ne connaît pas. Dans ces moments-là, la philosophie m’est d’un grand secours. Elle exige une parfaite lucidité, laquelle ne saurait s’accorder avec le coma éthylique. Personnellement, j’incline en faveur de Kant. Enfin, j’ai un peu décroché au bout d’un moment. Pourtant, dans mon souvenir, il s’exprime clairement, Kant… terbraü… oh… oh ! A ruminer tout ça je me sens comme un singe enivré.. Si ça continue, comme Victor Hugo, je vais finir par écrire mon « Choses bues » et ça ne va pas être triste.
Lorsque viendra le jour du déconfinement, les bars-tabacs seront pris d’assaut, juste après les coiffeurs, car il faut de la tenue pour se présenter au comptoir. On a sa dignité. Tout le monde n’est pas Marcel Aymé qui cherchait à se faire plus petit que son œuvre. Généralement, c’est l’inverse. Pas le genre à porter sa modestie à la boutonnière, contrairement à… Suivez mon regard. En prêtant l’oreille aux causeries marseillaises du druide des calanques, l’apôtre de la chlorophylle pour tous eut paru hétérocentrique en regard. A l’écouter nous refiler sa potion magique, qui ne se sentirait dans la peau d’un médocain malgré lui ?
On ne sait plus quelle est la couleur des jours. Vivement le retour à la normale que l’on puisse dire à nouveau qu’il y a du monde au balcon sans pour autant déclencher des applaudissements, mais une lueur voluptueuse dans les regards. Gouverné par le principe de précaution, je réfléchis désormais à deux fois avant de lancer ma devise (« Remettez-nous ça !) de crainte de voir rappliquer un bon vieux virus des familles. Si certains relèvent dans ces lignes des ressemblances avec la prose d’un écrivain germanopratin bien connu, cela n’aurait rien d’extraordinaire : à force de suivre les courses de vélo, il arrive que l’on recycle. Je me suis moi-même tellement plagié que cela a fini par me donner un air emprunté. La cuite au prochain numéro.
(« Antoine Blondin » photo Louis Monier ; « Antoine Blondin transporté par Raymond Poulidor sous l’oeil de la maréchaussée » photos D.R.)
1 227 Réponses pour Garçon, un pastiche !
Mon ami Pierrot, au cœur de la lune, quelle plume !
Vivement la réouverture des bistrots pour que les Blondin déconfinés puissent se désaltérer et y retrouver leurs dés-alter egos !!!
Blondin pastichant madame de Sévigné écrivant sur le Tour de France !
ALBI – Ma toute bonne, nous aurions eu une randonnée bien fastidieuse, aujourd’hui, si notre société n’avait été agitée par une histoire que m’ont rapportée les cahiers de M. Goddet qui est notre moderne Saint-Simon : il tient son journal en main. Je vais, à mon tour, vous le conter, par le menu, à la faveur d’un calme plat qui règne sur cette route bombée, témoignant par là, à l’inverse de ce qu’à prétendu M. de Voltaire, qu’il existe de petites Causses qui ne produisent pas nécessairement de grands effets.
Savez-vous ce que c’est que se « charger » ? C’est la chose du monde la plus stupéfiante, si je puis m’exprimer ainsi. D’aucuns l’appellent : faire usage du dopigne. Grâce à celui-ci, les champions qui rivalisent dans ce tournoi auquel nous sommes convoqués se dorent, paraît-il, la pilule. Beaucoup doutaient que de semblables coutumes existassent, et la question, qui reste pendante comme la langue de certains coureurs, a déjà fait couler beaucoup de salive, y compris celle du principal intéressé, notre gentil Malléjac, qui est à l’origine de cette révélation, telle la Brinvilliers, dont vous n’ignorez pas qu’elle fut brûlée en place de Grève. Notre Malléjac, donc, s’étant écroulé sur le chemin, fut examiné par l’apothicaire du convoi, lequel le trouva sujet à potion.
Je vous remets que le dopigne s’absorbe en breuvage comme en pilule, en pilule comme en poudre, et vous laisse à deviner de l’émoi qui s’empara de nos Maistres de Camp lorsqu’ils soupçonnèrent que les champions se payaient leur fiole. Cette petite fiole nommée topette qu’ils glissent dans leurs fontes. Du coup ils rappelèrent à leur souvenir tous les incidents de route qui ont fait, jusqu’ici, tomber nos coursiers avec un gracieux abandon à la clef, et ne manquèrent pas, chère comtesse, de les imputer à la prise de la pastille. Le Tour de France tout entier s’est transformé en entreprise de sorcellerie ! Il n’était point d’équipe où l’on ne se livrât à de mystérieuses messes noires pour fabriquer le fabuleux dopigne, dont l’effet sur le phréno-phrénique, ce nerf qui relie la poignée de frein à la visière de la casquette, est foudroyant ! Les soigneurs, les suiveurs, même, n’étaient point exclus de soupçon de complicité ; j’en tirais de délicieux frissons : c’était, aujourd’hui, la journée des Drogues.
Une commission d’enquête avait été constituée pour mettre au jour ce nouveau trafic de stupéfiants et délimiter la juste mesure, à partir de laquelle leur emploi devient dangereux. Nos beaux esprits l’ont baptisé la Brigade de la Charge Légère. Elle n’a cessé de s’exercer avec un rare bonheur, tout au long du chemin qui mène de Millau à Albi.
A peine avions-nous pris le départ qu’un chroniqueur, surpris l’écume aux lèvres, dut prouver qu’il s’agissait de celle de sa pipe. Au ravitaillement de Rodez, c’était au tour d’un coureur, le nez plongé dans sa musette, d’être aperçu en train d’avaler une tarte ; il eut beaucoup de peine à démontrer que celle-ci n’était pas une tarte-opium. Après Valence, un commissaire occupé à entonner un peu de poudre dans sa narine, échappa de justesse au châtiment en déclarant qu’il était un commissaire… priseur. Affirmerai-je que le fameux arbre à came fut découvert sous la voiture d’un de nos conducteurs. Toujours est-il que les sacoches de M. Benoit, de l’Académie française, qui a pris place dans l’une de nos calèches, ont été trouvées pleines d’héroïnes. Mais cela, nul ne l’ignorait depuis longtemps.
Ainsi, nos inquisiteurs étaient-ils fort absorbés dans l’auscultation de quelques cathares demeurés dans les gorges du Tarn, lorsque la nouvelle nous parvint que De Groot avait pris, pour sa part, la poudre d’escampette. Vous conviendrez, ma belle, qu’il est expédient de profiter du Trophé du Gant pour se faire la paire. Ayant prié notre conducteur de me mener à la hauteur du fugitif, j’eus bien mal à mes jambes. Mais je pus constater de mes yeux, que je n’ouvre que pour bénir ce ciel qui nous couvre, vous et moi, que l’harmonieux coursier des Pays-Bas avait su filer sans tambour ni topette.
Vous voyez que nous ne savons pas encore si tous ces coups d’épée n’ont pas été donnés dans l’eau. Ce soir, dans la gracieuse cité d’Albi, c’est l’étape Toulouse-Lautrec que nous courons. Et s’il me fallait en élire le vainqueur, le cœur opinerait pour le coureur Van Dongen. La hollande gagnerait sur tous les tableaux de cette journée, dont il faut bien que je vous redise, ma fille, qu’elle n’a pas été chargée, puisque le mot est à la mode.
(« L’Ironie du sport », Editions François Bourin, 1988)
… presque aussi bon que les pastiches proustiens de CT. Et dire qu’il voulait pas qu’on écrive notre journal de kon fine… Avait bin médité et mûri le sien, farceur !
Bravo, maestro ! Vraiment un feu d’artifices !…
ah! cornecul, c’est autre chose que les bafouilles du Gaga bouguereau 73, l’avachi de partout
Fortiche, le pastiche mélange et arrose sans frais. Du passe-muraille aux planqués de Saint Malo en passant sur les vicaires lubriques chacun y trouve sa crèche. Ausweis…sans « ss », dear passou, faut bien apporter de l’eau au moulin des pédaleuses du blog.
@Passou,
Paul Edel écrivait (dans l’espace commentaire de votre billet antérieur que vous mettez en lien) :
« Qui a dit mieux que ce Blondin dandy l’amitié parfaite avec le premier venu (par exemple son lecteur qu’il réveiller dés les premières phrases complices avec une tape délicate à l’épaule…) et dans la solitude des bars à carrelage auvergnat au moment où l’on met les chaises sur les tables ? alors que lui Blondin veut mettre les tables sur les chaises… Blondin semble être le frère cadet, un peu Arlequin en goguette, rescapé du suicide brutal d’ Alain, le héros du «feu follet» de Drieu La Rochelle. D’abord ôtons lui cette réputation de paresseux. On oublie les 2OOO articles parus dans la presse, avec Tour de France du temps des Bahamontes.. et de Louison Bobet, et rugby compris. »
Passou, vous apparaissez dans l’épair du papier : « Au vrai, j’aime moins écrire qu’avoir écrit. Une émission de radio peut-être : ici l’ombre,… Quand il m’arrive de me retrouver en réclusion studieuse dans ma maison de campagne, de romancier, je me métamorphose en personnage de roman… De sa fenêtre, l’homme n’aperçoit que les succursales de la vie. La poésie de Verlaine y demeure par les temps qui courent le plus sûr des moyens de transport… dans cette atmosphère si irréelle, je me sens comme un songe en hiver quand Paris est habité d’une insondable torpeur… Les voisins ignorent tout de ma profession. Ayant muni mon porte-plume sergent major d’un silencieux, j’écris à bas bruit… Le ciel est d’un bleu électrique, invraisemblable, ce qui ajoute à l’étrangeté de la situation ; à mi-chemin du printemps et de l’été, on a pourtant l’impression d’entrer dans un long hiver… j’appartiens à la génération du couvre-feu. Ça m’est revenu hier lorsque je suis allé aux commissions. Des policiers m’ayant arrêté pour me demander une attestation de déplacement dérogatoire et que j’ai délicatement extrait un ausweiss de mon portefeuille… Tout pour l’amitié et l’amour, rien pour le reste. Sauf qu’entre quatre murs, on fait peu de rencontres une fois les livres refermés… »
Le filigrane reprend la valeur faciale du billet antérieur et ses motifs principaux, n’est pas très différent de son prédécesseur. Même dérision, mêmes touches précises. Et pourtant, le nouveau « Blondin » qui surgit de ce pastiche présente des différences notables avec son modèle. L’observateur ne s’y trompe pas ! Parodiques ou non, les deux auteurs ne se confondent pas. Mais le deuxième a lu le premier attentivement et son acclimatation au style du premier lui permet de dire sans dire dans un tir oblique… bien des choses… Une image de soi d’un type inédit.
Et puis, comme l’écrit Paul Reboux, « Le pastiche est une forme de la critique littéraire, et non la moins efficace. »
Jazzi dit: « Blondin pastichant madame de Sévigné écrivant sur le Tour de France ! »
Bien trouvé !
Passou, vous avez fait œuvre de sobriété publique, bravo!
On ne pastiche pas Blondin.
On le pastisse !
A mon avis il y a de l’abus dans l’alibi
On peut l’avouer, plutôt que de pratiquer un achat de première nécessité, hier midi, on a pris l’apéro rosé en terrasse chez des amis. On a vu le maire qui allait chercher à pied sa baguette de pain. Et même qu’il nous a salué! 😉
Le verbe pastisser, un verbe que j’aime bien.
Le substantif Pastis, un substantif que je bois bien.
Chez Blondin il y a plus de mouvement, plus de rythme, de vitesse, dans les phrases et les images qu’elles donnent à voir, avec des fulgurances.
Là on a l’impression de faire du sur place, on croirait plus un pastiche de Camus, j’aurais pas su j’aurais un pastiche de la Chute.
vous auriez prendre un auteur plus en accord avec votre caractère passou.
ex de Blondin :
plus de rythme, de vitesse, dans les phrases et les images et les idées : Blondin passe du coq à l’âne dans la même phrase.
Merci Phil, je corrige
@ WL, je comprends pas pourquoi vous n’aimez pas jean-marcel, alors que le comprends fort très bien pour Jissé. Sont très différents l’un de l’autre, nullement au même panier comme les aut’ musiciens de-mon-cul-ma-chemise.
(connaissez-vous la filipendule, William ? c la Grande ombellifère sauvage)
Moi j’aimais bien ausweis avec deux S S, ça faisait plus couleur locale sous l’Occupation…, (qu’aurait dit le Blond-hein !)
M.Court,
pour vous , au douzième sous-sol du fil des commentaires du billet précédent, une chanson sans auteur…
hamlet dit: « […]on croirait plus un pastiche de Camus, j’aurais pas su j’aurais un pastiche de la Chute. […] »
Idem, sauf pour le songe en hiver !
christiane, chez Blondin ça donne « l’homme descend du songe ».
je n’ai pas souvenir chez Blondin de « calembours / jeux de mots » comme : « homme d’état d’ébriété » ou « Emmanuel Kant… erbrau » etc…
déjà ce n’est pas lui rendre hommage, c’est même limite un assassinat : j’imagine ceux qui ne l’ont jamais lu l’idée qu’ils vont s’en faire…
de plus ce genre de calembour, ça ralentit le rythme, alors que (tiré du lien exemple) : « Vint l’armistice et, avec lui, nos premières querelles. » ou « l’homme descend du songe » ce sont des fulgurances qui donnent des coups d’accélérando, etc c’est comme dire « je n’ai jamais osé être de gauche quand j’étais jeune de peur de devenir de droite en vieillissant », ou pour un match de foot « une feinte de passe c’est comme un poisson d’avril » etc… Blondin le dit lui-même : « l’absurde c’est un gag de Dieu qui ne fait rire », ou quand il dit « je reste au bord de moi-même parce qu’au centre il y fait trop sombre ».
Pas tellement mieux que Clopine.
La RDL, club d’amateurs. Comme le gouvernement.
Hurkhurkhurk!
« Dès que le président a déclaré la guerre au virus, une partie des Français a filé se réfugier en zone libre. »
Très bon ! Il y a comme ça des atavismes …
« Lorsque viendra le jour du déconfinement, les bars-tabacs seront pris d’assaut, juste après les coiffeurs, car il faut de la tenue pour se présenter au comptoir. »
Que du bon
hamlet dit: à
Là on a l’impression de faire du sur place, on croirait plus un pastiche de Camus.
Assouline est l’inventeur-breveteur du pastiche universel, qui pastiche tous les écrivains en même temps, ce qui est, d’ailleurs, la base même de son style. Un peu comme la ration du légionnaire dans Astérix, où tout, entrée-plat-dessert, est mélangé et cuit dans le même chaudron. Un concept bien dans la continuité du « style moyen » et de la « porosité ». On est un grand esprit ou on ne l’est pas.
Hurkhurkhurk!
Blondin pastichant madame de Sévigné écrivant sur le Tour de France !
littérature dépad baroz..et le sujet ‘chargé’ montre aussi une totale idiotie politique..c’est la voiture ballet pernod ricard de la littérature de droite..cuite..heureusement que dirphiloo a un ruaouaï..pour pas se perdre pour aller a la cinématèque
On est un grand esprit ou on ne l’est pas.
ta dernière martingale serait d’en savoir plutot que rien..mais cest ton dernier doux rêve..passe le gros pétard à charoulet..c’est pas dla bonne
Billet sans intérêt, hélas…!
Next ?
La RDL, club d’amateurs
‘si tu es un professionnel tu es mort’..in ingliche..y sont pas tous con non plus
Next ?
ça manque d’assurance sacrénom
On ne sait plus quelle est la couleur des jours. Vivement le retour à la normale que l’on puisse dire à nouveau qu’il y a du monde au balcon sans pour autant déclencher des applaudissements, mais une lueur voluptueuse dans les regards
lassouline faisant son coming aout ‘et han plus je me fais catholic pour la messe tridentine..mon rien ne sera plus comme havant’ ..4 myons de vu sur youtube..lindon henfoncé..dédé esplosé et bien profond
« Vivement le retour à la normale que l’on puisse dire à nouveau qu’il y a du monde au balcon »
Là pas d’accord, car reclus comme Fabrice del Dongo, des gambettes au balcon et au soleil j’en ai vu !
des gambettes au balcon et au soleil j’en ai vu !
Même à l’Ehpad où boumou est en train de claquer…
Hurkhurkhurk!
Dans les immeubles, la concierge n’est pas dans l’escalier, elle ne revient pas de suite, elle se trouve dans sa loge sans la moindre intention d’en sortir
c’était déjà phini lassouline..la concierge..le bistrot de quartier..la gitane le coude sur le comptoir..le triomphe en brouette en sportif..adieu veau vache cochon..adieu bise et main au cul..faut lver l’ancre et trouver du nouveau sacrénom
ha..mon larbin sort son cuter pour se tailler un sourire tout seul
dire à nouveau qu’il y a du monde au balcon sans pour autant déclencher des applaudissements, mais une lueur voluptueuse dans les regards.
Montrer ses nénés, d’accord mais avec le masque obligatoire en public, c’est la burqa sur la bouche et bientôt sur les mots.
La recette d’ivresse du vieux « singe », c’était du thé…s’il était de Chine, cette histoire ne le dit pas.
Le chômage partiel va-t-il pousser Ricard à réduire sa production ?
Le prix de l’art au castelet ça tiendra plus sa ligne droite!
rien ne vaut un homme d’Etat d’ébriété
trompe c’est cqui fait..jle trouve parfaitement hussard au prétoir..’i could shoot somebody and I wouldn’t lose any voters’..hon oublie a quel point fallait oser..
https://www.youtube.com/watch?v=iTACH1eVIaA
A mon avis il y a de l’abus dans l’alibi
Et de la buée sur les lunettes!
Montrer ses nénés, d’accord mais avec le masque obligatoire en public
les cageots vont y gagner..ça sra henfin démocratique..et populaire!..celle qu’auront pas dbonnet d c’est qu’elle sront pas hassez bien vu de raoul..’français hencore un effort pour’ qu’il va dire macron..jicé en restra sans voix?
Etre confiné dans mon quartier
Ne pas en faire tout un fromage…ou un désert dessert!
j’espère que les personnes ici feront la différence entre ma critique et chaloux qui rejette en bloc tout ce qu’écrit passou.
De circonstance : de quoi Macron et ceux qui le soutiennent sont-ils le pastiche?
Alexis Poulin.
https://www.lemondemoderne.media/contre-le-president-de-la-violence/
hamlet dit: à
j’espère que
Merci Hamelaide pour cette directive de lecture.
chaloux d’ailleurs on se demande pourquoi tu viens sur ce blog ?
Dans le lit de Dali,Passou texte à tiroirs.
https://trajetslitteraires.files.wordpress.com/2014/10/cabinet-anthropomorphique-1936.jpg
Chaloux, ce n’est pas une directive de lecture, mais tu fais comme Pablo : au lieu d’avoir des avis précis tu t’égares toujours en généralités inutiles fondées sur des attaques personnelles.
répond-moi : si tu n’aimes rien de ce que fait passou alors pourquoi tu viens ici ?
Parce que j’aime lire des sottises.
mon larbin c’est un soralien à lhumour dieudonex..« poujadistes », « fascistes » et « antisémites », râleurs archaïques qui ne comprennent rien à la modernité..huuuuurkurkurkurkurkurk..et sans mforcer a en chier dans mon bène comme toi mon larbin..
répondS-moi
La veine inusitée :
si tu n’aimes rien de ce que fait passou alors pourquoi tu viens ici ?
houblie pas qutu vas dans la même benne que lui raclure de keupu..le désir du rien plutôt que cette horreur que me jvois là
Boutmou, le soralien c’est toi. Une petite merdouille avinée d’extrême droite et de 1M52 qui dissimule son indigence intellectuelle derrière son charabia.
mimi elle va dmander à raoul de lui greffer des tiroirs..plutôt que des bonnets d..rien que pour faire chier le bon français..elle veut faire -haucun- effort
‘reusement qu’on ira pas voir ses postiches d’Eco, au 57 du confit faisandé, des fois qu’on s’apercevrait de ses fulgurances de ‘mateur’ hors du blog, bhurc.
Non, H., pas de comparaison possib’ avec Jissé. Savez rester juste moyen, comme 98,5% de l’Erdélie. Pas rougir. FAUX PAS BIDET.
57, pour êt’ méchant avec passou…, obigé d’êt. gentil avec Cloclope, vu que peut pas s’aligner le crachat. Dur métier pour le Sirius des concierges notariées, pas vrai 75 ?
il y a du monde au balcon
Et les trois chiens de renato n’ont même pas tiré leur langue! 😉
C’est vrai Bouguereau les 1m 52 ?
C’est petit quand même. J’aurais tendance à ne pas y croire.
il y a du monde au balcon
Et les trois chiens de renato n’ont même pas tiré leur langue!
Allez chiens d’sky!
Une petite merdouille avinée d’extrême droite et de 1M52 qui dissimule son indigence intellectuelle derrière son charabia
vise un peu la perf dédé..mon larbin il est toujours a me flatter..en bon français attation..sinon c’est la baffe
plutôt…@ de la buée sur les burettes (meilleure allitération, non ?) – Aboli Bibelot, etcalii…
https://www.youtube.com/watch?v=iW700zeUgKY
cela-dit c’est quand même 20 cm de plus que Mimi Mathy.
57, pour êt’ méchant avec passou…, obigé d’êt. gentil avec Cloclope
Gigi, tu ne sais vraiment pas lire. Il faut absolument que tu arrêtes de jouer à lèche-bidet. Pas bon pour ta tête.
Ils sont aussi nuls l’un que l’autre.
Hurkkhurkhurk!
D, je n’ai vu boutmou qu’assis, mais franchement s’il mesure 1M52,5, c’est le grand maximum.
Phil, dans lequel -les planqués de St Malo? J’ai pensé de mon côté sans raison , juste l’auteur plasticité, à L’Europe qui n’est plus buissonniere avec pour de nombreux pays parmi lesquels la France un assujettissement à une dette augmentées raison du virus pour laquelle l’Allemagne vient de donner via ses tribunaux des nouvelles. Pas très rassurant, il faudra que ce même tribunal pense à annuler les subventions trop genereuses pour la Hongrie cette année, je crois.
Pastiché pour plasticité.
Augmentée en raison.
Discours de Vincent Lindon 24h après sa mise en en ligne sur YT :
2 millions de vues
80 mille ‘like’
11 mille commentaires
jamais vu : même Radiohead n’atteint pas ces scores…
Discours de Vincent Lindon 24h après sa mise en en ligne sur YT :
80 mille ‘like’ pour 1700 ‘unlike’ : élection au premier tour !
des politiques s’en inspireront pour les prochaines élections.
quand je lis les commentaires au discours de Lindon je ne peux m’empêcher de penser au film « Joker ».
il suffit d’un rien pour faire exploser ce pays : voilà à quoi nos intellectuels et nos politiques nous ont amenés.
Hamlet,
Ces calembours, jeux de mots volontaires, m’évoquent littérairement Ionesco, A.Allais et Tardieu, et ludiquement R.Devos, P.Dac, P.Desproges ou F.Blanche et plus près de nous, ciblant les destinataires que sont les lecteurs du blog : Clopine, Phil et bouguereau.
Rarement effectivement dans la critique littéraire (encore que Passou aime ce jeu dans ses billets) et le pastiche (sauf pour les humoristes).
Ce confinement donne à Passou, par ces rebonds ludiques, une réponse adaptée à la dimension proposée par l’Obs. Ne pas oublier la localisation contextuelle de l’hebdomadaire. Il s’agit d’allusion littéraire…
S’ils rompent le fil du pastiche ils permettent à Passou de participer à la connivence joyeuse d’une « conversation » entre membres d’une même microsociété : les journalistes.
Et j’avoue ne m’être pas ennuyée en le lisant, oubliant un peu Blondin et me souvenant fugitivement des chansons de Boby Lapointe.
rebonds ludiques
La vieille peintresse d’école en plein effort…
« oubliant un peu Blondin », tu m’étonnes.
Préfère son Passou, l’antique…
Hurkhurkhurk!
passou on aurait dû vous demander de pasticher Victor Hugo, si ça se trouve vous auriez le même succès que Vincent Lindon.
à moins que l’injustice…
sauf qu’il aurait pas fallu faire de jeux de mot du genre « pauvre…té… au citron »
Le hamlet qui donne une directive de lecture à Chaloux !!!
On aura tout vu !
Décidément, ce hamlet, c’est pas le ridicule qui l’étouffe mais plutôt lui qui étouffe et tue le ridicule !!!
Mais qu’est-ce qu’on s’marre sur ce blog 😀😁😂
« il suffit d’un rien pour faire exploser ce pays »
Il suffit d’un rien pour faire exploser la planète, hamlet !
Ah, les « rebonds ludiques » de la vieille, je m’en souviendrai…
Hurkhurkhurk!
annuler les subventions trop genereuses pour la Hongrie
trop tard dear Bérénice. les chars sont payés et serviront à envahir la Transylvanie spoliée une fois le virus chinois liquidé. Le mieux est de ne pas s’exciter, ressortez vos cassettes de Sissi et passez-vous un Suzy Delair d’avant le voyage à Berlin, bon comme un pastiche et conseillé par M. Court dans sa conférence.
christiane, oui sur ce blog aussi comme l’imbécile qui nous sort des trucs du genre « éthique d’Épicure de moustiques ».
ce que je crains c’est que les personnes qui n’ont jamais lu Blondin s’imaginent qu’il était capable de sortir des trucs du genre « Emmanuel Kant… erbraü » ou du genre « la cuite au prochain numéro ».
vous voyez ce que je veux dire ?
c’est un peu dommage pour Blondin, pour son image et sa mémoire.
d’autant plus venant d’un critique littéraire, qui devrait être sensible à ce genre de truc.
Année LvB, WoO 30 :
Année Beethoven.
Rondo alla ingharese quasi un capriccio in G major, Op. 129.
christiane : écoutez par exemple ce « à la façon de Blondin » de Lucas Fournier dans une émission des papous : de 2mn à 3mn30
@d’autant plus venant d’un critique littéraire, qui devrait être sensible à ce genre de truc.
Y’a pas que l’église qui était bourrée…
https://www.editionslatableronde.fr/Catalogue/hors-collection/le-flaneur-de-la-rive-gauche
oupss le lien :
Phil, c’est pas mon style et je suis assez loin d’être excitée. Je réfrigère à l’ombre de mes volets intérieurs.
Il ne faut pas confondre la pelouse et les jardins de Bagatelle, hamlet !
Revisitez, revisitez, quelque chose restera :
bonne journée
https://www.lemonde.fr/blog/xaviergorce/2020/05/06/gueules-de-zinc/
3J, et ne demandez pas à Jissé s’il est de droite
https://amp.lefigaro.fr/vox/politique/l-allemagne-veut-faire-de-l-euro-un-deutschmark-bis-20200506
Garçon, un pastiche !
Fastoche!
Hamlet,
je préfère cette très belle série d’entretien entre Antoine Blondin et Passou :
https://www.youtube.com/watch?v=ek8YahLQVbM
Renato, je ne vois pas où on pose les pieds sur cet engin. Les jambes en l’air à 130 km/h ne sont pas envisageables.
chaloux d’ailleurs on se demande pourquoi tu viens sur ce blog ?
hamlet dit:
répond-moi : si tu n’aimes rien de ce que fait passou alors pourquoi tu viens ici ?
hamlet dit:
Chaloux dit: à
Parce que j’aime lire des sottises.
Celle-là, le Pétomane l’a prise en pleine poire !!!
Et la suivante aussi:
Le hamlet qui donne une directive de lecture à Chaloux !!! On aura tout vu ! Décidément, ce hamlet, c’est pas le ridicule qui l’étouffe mais plutôt lui qui étouffe et tue le ridicule !!!
OZYMANDIAS dit:
Pauvre Pétomane, la tête à claques du blog!
Preferez, Christiane, bientôt vous n’aurez plus ce choix. Ce sera la Chine post maoïste ou l’Allemagne qui supprimera les subventions accordées au secteur culturel. Les monolingues n’auront qu’à s’initier aux langues dominantes. Cela devrait occuper les jours et les nuits
Pauvre Pétomane, la tête à claques du blog!
Vous n’en avez pas marre?
@ B, non alain minc y’a dit que fallait pas s’inquiéter de la chancelière face à la cour de Karlsruhe, et Jean-michel Atthalie peaufine sa réponse dans le même sens, sortirons point de l’euro tant qu’on aura la dissuasion nucléaireet un veto au CS de l’ONU, et un bon ministre au ministère à not’Culture…, qu’ils ont dit. (« rubrique : des Rebonds Lindon »)
Antoine Blondin réplique à un invité importun
sais pas pourquoi Ozym se range toujours du côté de 57 et 75, au lieu d’aller baiser leurs femmes. Comprends pas ce girovague. Devait pas êt’net sous l’Occup…
(voui, b., y’en à mârre de tu vas voir çui des 3 qu’a la plus ‘tite, hein !)…
Zut, je ne connais pas assez bien l’écriture de Blondin pour savourer le pastiche assoulinien à sa juste valeur. En tout cas, « tourner l’alpage », « un songe en hiver », et surtout cette « génération du couvre-feu » qui est à elle seule tellement évocatrice… Ca me plaît bien. « Choses bues », « Kant- erbrau », c’est un peu moins joli, mais ça se trouve, tout Blondin est comme ça ?
On attend, devant ce joli numéro, effectivement, la cui-cuite.
Allez, un bon mouvement, notre hôte : et si vous plagiiez un page de commentaires de la République des Livres ? Voilà un défi, sûrement, mais tout aussi certainement, pas si difficile que cela à relever. Et cela laisserait une trace de la Rdl confinée !!!
3j le c19 donne l’image de l’Europe : regardez pour la France, l’Italie, l’Espagne, la Hollande, la Belgique et le Danemark le ratio nb de cas pour 1 million d’habitants / nb de décès :
et l’Allemagne bien sûr
Non, pardonnez-moi, en fait. Mauvaise idée que la mienne : n’importe quelle page des commentaires de ce blog est en soi, déjà, un pastiche…
Pas de mélanges !
JJJ, merci de votre compliment, et c’est vrai que, quand je lis le début du pastiche de Drillon sur Proust (une « lettre à Reynaldo Hahn »), je ne rougis pas des miens, ahaha !!!
B., regardez bien, près de la roue arrière — éventuellement, jetez un coup d’œil à la video.
3j vous avez lu les commentaires sous la vidéo de Lindon sur yt ?
il arrive un moment où plus personne ne gobe plus les explications rationnelles.
mais ta gueule raclure
je ne rougis pas des miens, ahaha !!!
si ça continue..on verra ltrou à lisier au cul dson pécé
Et « Proust sioniste », on en parle, notre hôte, ou pas ?
sais pas pourquoi Ozym se range toujours du côté de 57 et 75
il fait 1.45m.. mon larbin 147..lafrenchézado dpédro 148..ça cré des leins dailleurs il vont tous les 3 déconfiner au minigolf..
Louis-Ferdinand CÉLINE : le témoignage d’Antoine BLONDIN
un coup d’pédale ajoute au paysage
pas mal..c’est ça qu’aurait fallu dire a dracul et son véo électrique
« Merci Vincent Lindon pour ce fort message patriotique, merci d’avoir parlé pour ceux qui n’ont pas de voix. »
« merci à Médiapart bravo à Vincent Lindon qui me redonne espoir »
« Des millions d’anonymes pleins de bon sens sont d’accord avec vous. Merci. »
« Merci M. Lindon pour ce texte engagé, magnifique et criant de vérité »
« Tout est dit, bien au delà de la crise sanitaire actuelle. J’imagine que pour vous, Mr Lindon, cela est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. »
« Que cette lettre s’élève aussi loin que celle de Zola « J’accuse ». »
« Merci mille fois , vous êtes un homme généreux …votre discours, participation atteint tout droit le coeur. »
« sérieux? un artiste qui s’engage pour des idées? ça existe encore? Merci merci merci! »
« Bravo Mr Lindon… Je suis une soignante et je vous remercie profondément. »
« Merci infiniment à vous Monsieur, je salut votre courage quand d’autres préfèrent les œillères. Vous êtes une belle personne et votre plume le transcrit clairement. Merci de croire en l’homme et sa sagesse »
« En écoutant M. LINDON que de constatations dramatiques me bouleversent et je me dis que j’ai eu une belle vie mais que mes enfants ne pourrons pas dirent la même chose à mon âge (73 ans ) et j’en suis terriblement désolée »
« Vos propos sont très vrais , merci pour votre voix ! j’espère que cela va être largement partagé ! Respect M. Lindon ! »
Maintenant, le peuple français doit se rassembler pour proposer et mettre en place autre chose.
Nous devons collectivement renverser la table. Cela ne se fera pas avec de simples déclarations, aussi justes et belles soient-elles.
L’Etat profond et les pseudos élites indignes de ce titre car elles ont trahi les français (dans notre histoire, la trahison de ces dernières est assez récurrente, juin 1940 etc …) doivent être neutralisés.
Cela ne se fera pas en discutant autour d’une table. Nous n’avons rien à attendre de cela. Les règles sont faussées dès le départ.
L’histoire passe toujours par l’état de force et le courage.
Le temps de la négociation vient après. Nous sommes déjà dans l’épreuve de force. Les tensions montent. Ce sera eux contre nous, le peuple.
Les corps constitués et les corps intermédiaires comptes de nombreux vrais républicains.
Ils vont devoir pendre position d’ici septembre 2020. Que ces derniers fassent le bon choix car les français sont en colère.
C’est une colère sourde avec beaucoup de frustrations. Elle va devenir incontrôlable.
Le peuple français est endormi depuis trop longtemps. Nous sommes des latins qui aimons palabrer mais aussi beaucoup notre tranquillité.
Est-ce un défaut ? Peut être, je ne sais pas vraiment !
Mais quand notre liberté est en jeu, quand notre espoir de vie meilleure disparaît, quand notre propre survie est menacée, quand les lois et la constitution sont dévoyées au profit des uns contre tous alors « ceux qui ne sont rien », « les sans dents » n’ont plus rien à perdre.
C’est à partir de ce moment là que l’histoire s’écrit. Avec des lettres de sang plus qu’avec des mots.
L’insoumission et la révolte vont finir dans quelque temps par devenir le seul espoir pour la majorité des français.
Individuellement, le rapport de force est connu, il ne va pas bien loin. Tous ensemble avec nos différences, le rapport de force n’est plus du côté des puissants.
Ils ne peuvent plus rien. Ils le savent, nous le savons. Le sol tremble déjà. Ce qui fera la différence ? La confiance en nous-mêmes, collectivement.
Il y a des pouvoirs qui ne possèdent que l’apparence de la puissance. Nous sommes à un point de rupture. Tout va basculer.
Tous ensemble, nous ne sommes que les gestionnaires d’un capital que nos anciens nous ont légué. Que sommes-nous en train d’en faire ?
Aurons-nous le moment venu le courage de regarder dans le yeux nos arrières grands pères et arrières grands mères, grands parents qui ont tant sacrifié à leur propre confort pour nous permettre d’avoir ce que nous avons aujourd’hui ?
Aurons-nous le moment venu le courage de les regarder dans les yeux quand nous déciderons d’être courageux ou lâches en acceptant la soumission à un ordre et à un système qui est contre nature à ce que nous sommes, nous, français ?
J’ignore ce que j’aurai fait, moi, en juin 1940. C’est tellement facile de savoir après coup !
Je veux seulement avoir le courage d’être à la hauteur en 2020 et 2021. Pour moi, ma famille et mon pays et l’idée que je m’en fais. »
Maintenant, le peuple français doit se rassembler pour proposer et mettre en place autre chose.
Nous devons collectivement renverser la table. Cela ne se fera pas avec de simples déclarations, aussi justes et belles soient-elles.
L’Etat profond et les pseudos élites indignes de ce titre car elles ont trahi les français (dans notre histoire, la trahison de ces dernières est assez récurrente, juin 1940 etc …) doivent être neutralisés.
Cela ne se fera pas en discutant autour d’une table. Nous n’avons rien à attendre de cela. Les règles sont faussées dès le départ.
L’histoire passe toujours par l’état de force et le courage.
Le temps de la négociation vient après. Nous sommes déjà dans l’épreuve de force. Les tensions montent. Ce sera eux contre nous, le peuple.
Les corps constitués et les corps intermédiaires comptes de nombreux vrais républicains.
Ils vont devoir pendre position d’ici septembre 2020. Que ces derniers fassent le bon choix car les français sont en colère.
C’est une colère sourde avec beaucoup de frustrations. Elle va devenir incontrôlable.
Le peuple français est endormi depuis trop longtemps. Nous sommes des latins qui aimons palabrer mais aussi beaucoup notre tranquillité.
Est-ce un défaut ? Peut être, je ne sais pas vraiment !
Mais quand notre liberté est en jeu, quand notre espoir de vie meilleure disparaît, quand notre propre survie est menacée, quand les lois et la constitution sont dévoyées au profit des uns contre tous alors « ceux qui ne sont rien », « les sans dents » n’ont plus rien à perdre.
C’est à partir de ce moment là que l’histoire s’écrit. Avec des lettres de sang plus qu’avec des mots.
L’insoumission et la révolte vont finir dans quelque temps par devenir le seul espoir pour la majorité des français.
Individuellement, le rapport de force est connu, il ne va pas bien loin. Tous ensemble avec nos différences, le rapport de force n’est plus du côté des puissants.
Ils ne peuvent plus rien. Ils le savent, nous le savons. Le sol tremble déjà. Ce qui fera la différence ? La confiance en nous-mêmes, collectivement.
Il y a des pouvoirs qui ne possèdent que l’apparence de la puissance. Nous sommes à un point de rupture. Tout va basculer.
Tous ensemble, nous ne sommes que les gestionnaires d’un capital que nos anciens nous ont légué. Que sommes-nous en train d’en faire ?
Aurons-nous le moment venu le courage de regarder dans le yeux nos arrières grands pères et arrières grands mères, grands parents qui ont tant sacrifié à leur propre confort pour nous permettre d’avoir ce que nous avons aujourd’hui ?
Aurons-nous le moment venu le courage de les regarder dans les yeux quand nous déciderons d’être courageux ou lâches en acceptant la soumission à un ordre et à un système qui est contre nature à ce que nous sommes, nous, français ?
« J’ignore ce que j’aurai fait, moi, en juin 1940. C’est tellement facile de savoir après coup !
Je veux seulement avoir le courage d’être à la hauteur en 2020 et 2021. Pour moi, ma famille et mon pays et l’idée que je m’en fais. »
« Maintenant, le peuple français doit se rassembler pour proposer et mettre en place autre chose. Nous devons collectivement renverser la table. Cela ne se fera pas avec de simples déclaration »
« Pour les GJ peu d’artistes se sont ralliés à eux, mais là vu qu’ils sont touchés personnellement, ils réagissent. »
« Bravo Mr Lindon ça fait du bien de votre part nous qui sommes en bas de l’échelle on se sent vraiment mais vraiment seuls, merci. »
etc etc etc etc………
Antoine Blondin se réjouissait à utiliser les calembours ainsi dans ce livre dédicacé par l’auteur à Jean Cocteau :
« Pour Jean Cocteau, ce livre où l’on en regarde pas à la démence. Avec mon admiration et mon obscure sympathie ».
(Editions Jean Froissart -1949) – Antoine Blondin, L’Europe buissonnière.
(Vu au Salon du livre ancien et de l’Estampe.)
On sait qu’Antoine Blondin admirait Jean Cocteau dont il écrira « Ce qui est troublant, chez Jean Cocteau, c’est qu’il faille le prendre au sérieux. On a tôt fait de déceler le déséquilibré quand il est précisément un équilibriste ».
christiane Antoine Blondin se réjouissait à utiliser les calembours
»
mais jamais gratuitement, ou juste pour le plaisir de sortir un calembour.
réduire Blondin à une suite de calembours c’est passer à côté de l’essentiel.
le concours d’admission chez les Hussards ne comportait pas d’épreuve « calembour ».
bouguereau ? aussi drôle que Luis Mariano dans La belle de Cadix tchica tchica tchic aïe aïe aïe
christiane « Personnellement, j’incline en faveur de Kant. Enfin, j’ai un peu décroché au bout d’un moment. Pourtant, dans mon souvenir, il s’exprime clairement, Kant… terbraü… oh… oh ! »
limite ça fait plus penser au capitaine Haddock.
le p’tit Court dit apprécier bouguereau, chanteur d’opérette… Mariano ou Guétary ?
La clé du Pétomane est la jalousie. Il ne supporte pas que Lindon ait 2 millions de vues et 11 mille commentaires, alors que le reste du blog s’en fout complétement…
(Maintenant il va nous pondre une explication pseudo-philosophique pour expliquer sa crise de jalousie).
parmi les meilleurs disques des années 80 on trouve entres autre :
– Beethoven par Serkin chez DG
– Chopin par Arrau chez Philips
– Brahms de Richter avec l’orchestre de Chicago chez RCA
mais aussi une merveille chez DG où Maurizio Pollini joue Webern, Prokifiev, Stravinsky et…. je vous le donne Emile :
Clopine, bientôt, bientôt…
Hamlet, Non seulement ce billet n’est pas constitué que d’une suite de calembours, mais ce que vous qualifiez tel, Blondin l’appelait jeu de mots, acrobatie avec la langue et autres pirouettes. Seuls ses articles et sa conversation en étaient truffés, ses récits et romans nettement moins.
Évoquer d’ores et déjà, comme le fait le gouvernement, un possible reconfinement, en laissant facultatif le port du masque à l’extérieur et en espace public, est d’une totale incohérence voire d’une parfaite débilité.
Une fois encore hélas, la France en pleine clownerie, pendant que ses voisins, même veux du sud, avancent à bottes de sept lieues.
Ceux qui orchestrent ça auront à rendre des comptes, je le répète encore.
Clopine, Passou essaye de vous dire que ce ne sont pas des jeux de mots laids pour les gens bêtes.
Les hussards, c’est une légende parisienne inventée par B. Franck, qui les avait dans le nez.
Il vaut mieux boire un coup avec Blondin, qu’avoir tort avec Sartre.
Blondin passait ses vacances scolaires d’été à Forges les Eaux, ça brayait moins fort que sur la rdl, surtout pour ne rien dire d’intelligent , ni d’intelligible.
J’ai pleuré. Nous sommes déconfinés. Le prem. a annoncé nous faire confiance et que désormais nous marchons sur une ligne de crête.
1000 euros accordés à chaque soignant de la part de chaque directeur d’EHPAD.
limite ça fait plus penser au capitaine Haddock.
Hamlet
Haddock c’est whisky irlandais Nevermore ou approchant. Black mills.
« On a tôt fait de déceler le déséquilibré quand il est précisément un équilibriste ».
Christiane
Comme c beau cette remarque.
« B dit: à
Renato, je ne vois pas où on pose les pieds sur cet engin. Les jambes en l’air à 130 km/h ne sont pas envisageables. »
Y a deux jolis cale-pieds très en arrière sur la carène. Agrandissez l’image. On est très incliné et les pieds derrière le coccyx.
Après V. Lindon dont je n’ai lu aucun commentaire (pas ce temps à perdre), ai entendu ce Claude Malhuret au Sénat, sur un autre registre…
https://www.youtube.com/watch?v=92EgTpOUV7w
Vaut également le détour : son « éloge du libéralisme » un brin convenu est conforme à ‘l’indépendance’ de son parti. Ce médecin (ex verdâtre) semble voir quelques lettres…, ce qui m’a fort étonné de sa part.
Autre pétaudières => @ Chaloux dit: à Parce que j’aime lire des sottises.
… Et l’adhoncques besoin d’en pondre pas mal chaque jour pour avoir le plaisir de se relire souvent, le PN Cov’56…, vu le niveau de celles des autres, hein.
jeux de mots laids la bicyclette, ça doit faire les mollets fermes et beaux pourtant
Le dragueur lourd des boites de nuit, était venu chercher un masque pour couvrir ses méfaits.
« Castaner apparaît sans masque et au milieu d’un groupe sur une photo, Beauvau admet une erreur »
Figaro
Oui, hamlet… Fallait-il… ne fallait-il pas…
Freud décrivait le mot d’esprit en des termes rappelant la définition de l’image poétique : « Le plaisir qui, dans un mot d’esprit, provient d’un tel «court-circuit» est d’autant plus grand que les deux domaines de représentations mis en relation grâce au même mot sont étrangers l’un à l’autre. »
Alors, pour le plaisir et la poésie : « De deux choses lune, l’autre c’est le soleil» – (Jacques Prévert.)
Et ce billet-pastiche, par les temps qui courent, est un petit rayon de soleil.
@rose dit: « On a tôt fait de déceler le déséquilibré quand il est précisément un équilibriste ». Comme c beau cette remarque… »
Oui, Rose Antoine Blondin avait les mots pour dire l’amitié…
lettre de philomag
“Je rêve, affirma-t-il alors, d’une instance d’investigation, de débats contradictoires, quelque chose comme une cour civique, qui soit le règne de la publicité contre l’opacité, de la célérité contre l’atermoiement, de la prospective contre un passé qui ne veut pas passer.” La perplexité de Ricœur n’est-elle pas, davantage encore, la nôtre aujourd’hui ? Et l’idée d’une “cour civique” capable de faire toute la lumière sur la gestion de la crise du Covid-19 une expérience à tenter ?
« On a tôt fait de déceler le déséquilibré quand il est précisément un équilibriste. »
disons seulement pour ceux et celles qui semblent le croire que l’humour avec sa légère gravité ne consiste pas exclusivement en « jeux de mots »;par exemple ce que je viens de retrouver :
« “LE CLIENT
— Dieu a fait le monde en six jours, et vous, vous n’êtes pas foutu de me faire un pantalon en six mois.
LE TAILLEUR
— Mais, Monsieur, regardez le monde, et regardez votre pantalon.”
Samuel Beckett, Le Monde et le Pantalon (Éd. de Minuit, 1989)
« Merci Vincent Lindon pour ce fort message patriotique, merci d’avoir parlé pour ceux qui n’ont pas de voix. »
Et pour les sourds, le texte est ici:
Paris tout rouge! Paris malade! mais Paris deconfiné!
Faut pas leur changer leur « regime ».
3j merci ! je ne connaissais pas Claude Malhunet.
c’est lui qui a créé le site doctissimo.
c’est très bien ce qu’il dit (il est médecin et avocat…), la voie de la raison.
par contre vous avez tort de ne pas prendre le temps de lire ce qu’écrivant vos concitoyens en réaction au discours de Lindon.
c’est toujours le même problème avec tous ces pauvres : on commence par éviter de perdre du temps à les lire, on s’entête, et hop ! on finit par perdre sa tête sur une guillotine.
Boutmou et Gigi la visqueuse on deux points communs : le goût du galimatias régressif et une incapacité foncière à dégainer les premiers. Deux nullités qui se ressemblent, comme ils se doit très contentes d’elles-mêmes.
Sur le blog blablabla
« Loch Lomond
Loch Lomond. Le nom frappera les oreilles des tintinophiles car il s’agit de la marque de whisky préférée du Capitaine Haddock. »20 oct. 2015
C’est pareil.
Du tort-boyau.
et alii, géniale la blague ! ça rappelle l’humour de Cioran quand il dit Dieu doit beaucoup à Bach », le plus drôle c’est ceux qui comme Pablo prennent cet humour au sérieux et au pied de la lettre, (le plus souvent des athées) : ah oui ! ça c’est bien vrai ! Dieu doit beaucoup à Bach !
il y a justement un petit quelque chose de Cioran chez Blondin.
En live.
Hier, j’apprends que ma mère prend quatre médicaments.
Hier après-midi, ce matin et cet après-midi, j’appelle l’EHPAD et demande en vain à parler à l’infirmière/infirmier.
Impossible de lui parler.
Cette fin de journée, la commissaire du peuple :
et une incapacité foncière à dégainer les premiers.
ça, c’est la question de l’histoire deNarcisse auquel répond la nymphe ECHO
avec rose on s’en fout des parisiens ! en Provence, comme dit l’autre « on est au pin et à l’eau » !
…jeudi 7 mai 2020 à 18 h 18 min.
…
…dans la traite des planches à d’Ô – Vil, c’est l’ouate queue j’pré – fer,…
…
…l’émotion de l’estampille en cire chaude par l’état du cachet du cru bourru profond,…
…clos décon-finé au pastiche,!…
…etc,…
rose, excusez moi:peut-être devriez vous vous détendre:les médicaments sont prescrits par le médecin;l’infirmière n’a aucune liberté quant aux prescriptions:c’est « la loi » du lieu ; peut-être devriez vous plutôt prendre R.V.avec le médecin de votre mère pour discuter avec lui et qu’il vous explique;
bonsoir
#on s’en fout des parisiens !
A vrai dire, pour moi, c’est la même. Courant semaine pro, je vais tourner l’alpage au vert.
Un but dans sa vie, quand on s’en invente une.
C’est une histoire foot foot foot.
https://www.arretsurimages.net/articles/la-vie-inventee-de-stephane-bourgoin
Je viens de rappeler le 3977 pour qu’un écoutant me rappelle après le long week-end.
Ce matin ai parlé à l’animatrice qui m’a signalé préparer les plateaux (donc pas le temps ; c’était 11h27, c vrai. Ce que je voudrai savoir est s’il y a des consignes de la direction pour interdiction de parler aux familles. De cette impression, lourde, je n’ai pas de preuves).
L’animatrice m’a signalé avoir fouillé tout l’étage zéro (qui est, in situ, le moins 1, espace protégé càd asilaire, comme la technicienne de surface est la femme de ménage et le référentiel bondissant le ballon de baskett.)
Sa collègue a spécifié que les deux pantalons n’étaient pas à la lingerie non plus.
Perdus, donc.
Cela arrive hélas.
Ma mère porte depuis six semaines un, le même pantalon noir qui lui reste. Il y a qq. jours, elle m’a dit « il tient debout ».
Suite à cela, ai dit à G. je.vous fais.confiance, puis entièrement confiance, puis répété. Elle m’a dit.vous l’avez déjà dit, puis re-répété une quatrième fois avec entièrement.
Conversation si sympathique qu’en raccrochant, (hormis les deux pantalons volés à ma mère, (s’ils n’étaient pas marqués, je suis responsable, j’ai les épaules larges)), ai eu le vif sentiment d’être à Lourdes, dans la grotte, aux côtés de la vierge Marie.
Même que j’me suis dit « T’es une sainte ».
Impossible de lui parler à l’infirmier.
Cette fin de journée, la commissaire du peuple
Et alii, je vous ai lu.
Merci 😘
@ Janssen J-J
Même pas envie de t’insulter tellement tu es pitoyable. Encore plus pitoyable qu’un vieil impuissant même pas foutu de se tirer la brindille et de se satisfaire tout seul.
Tu ne mérites pas mes insultes. j’ai trop de pitié pour toi.
je vais tourner l’alpage au vert
tèrezoune bêle..dirphiloo tend..l’oreille
tu dvrais lui tricoter un gros pull a jj ozy
Je suis très étonnée, Renato, par ses signes gravés par Marcel Duchamp.
Je ne connaissais de lui que ces créations pleines d’humour et visant à choquer le public. A la Joconde il avait rajouté des moustaches et une barbiche en 1919, des objets du quotidien avaient promus objets d’art par l’artiste, comme « Fontaine » (un urinoir en porcelaine posé à l’envers)… « la Roue de bicyclette » .Il choisissait le hasard pour sortir de la routine esthétique.
Deux tableaux, aussi, d’inspiration cubiste « Nu descendant l’escalier » et « la mariée ».
Donc peu de choses !
En 1905, il était ouvrier d’art et avait imprimé des gravures. Son frère était un graveur de talent. Cela explique peut-être cette pointe sèche, « L’Équilibre »…
La bohème artistique à Montmartre, la rencontre avec Francis Picabia et la bande des dadaïstes. Une révolte joyeuse…
«L’art prend davantage la forme d’un signe, si vous voulez ; il n’est plus ravalé au niveau de la décoration.» a-t-il précisé.
ai eu le vif sentiment d’être à Lourdes, dans la grotte, aux côtés de la vierge Marie
au bar pour commander une absynthe il disait ‘patron un terminus charenton’
Pas besoin d’un balcon :
Je ne sais pas si vous imaginez la scene mais elle est irrésistible.
Une personne âgée, marche à côté de son pantalon » qui tient debout », tout seul, et maquillée comme un camion, avec du rouge a lèvre sur la calandre.
greubou, toiké un type cultivé tu te rappelles si c’est dans un film des Marx brothers qu’un type dit à un boxeur : « nous avons payé l’arbitre pour qu’il te déclare vainqueur, nous avons payé ton adversaire pour qu’il te laisse gagner, maintenant le reste dépend de toi. » ?
ça c’est de l’umour filozofik, non ?
Rose, les Ephad…
Moi le lourd soupçon, la lourde impression, qui résultent de l’état de « Jim » à l’EPHAD des Sapins, est que le personnel est tellement sous pression, tellement peu nombreux, tellement mal formé, et surtout surtout tellement mal payé, que toutes les solutions, même les pires, sont mises à l’oeuvre.
Jim ne parle plus, n’entend plus, ne se déplace plus, ne voit plus. Il ne réagit plus à aucune sollicitation, sauf à ingurgiter, encore, une nourriture qui lui est administrée par sonde, et sans doute des mouvements réflexes quand on le change, qu’on le manipule.
Je ne peux pas m’empêcher de soupçonner qu’on l’empêche de partir. Oui, c’est la pure vérité. Je pense cela : que Jim, ou plutôt ce qui reste de lui, cette chair aux réflexes mécaniques, devrait être parti, devrait nous avoir laissé avec notre peine et le souvenir de l’être qu’il était…
Et savez-vous ce que je soupçonne ? C’est que, si ce corps fonctionne encore, alors que plus rien d’autre, ni conscience, ni sensation, ni pensée, ni souffrance (enfin j’espère, pour cette dernière), ni vie réelle, c’est tout simplement parce que cela permet au personnel de gagner du temps.
Jim dans sa chambre, c’est au maxi, pour le personnel, vingt minutes le matin vingt minutes le soir, le temps de changer les gouttes-à-gouttes, de changer le corps, et les draps du lit, d’appliquer les pommades anti-escarres.
Alors qu’un nouvel entrant-Alzeihmer, cela veut dire tant de tâches ! L’emmener au restaurant, à la salle commune, dialoguer, proposer des activités, le récupérer quand il se met à divaguer, etc., etc.
Oui, je sais, c’est sans doute indigne ce que je soupçonne, et le soupçon, on le sait depuis Calpurnia, est mortel…
Mais je n’arrive pas à m’empêcher de penser, si je mets d’un côté les conditions de travail si pénibles des personnels des Ephad, leur situation, pas bien haut au-dessus de celles des éboueurs, des anciennes « filles de salle » des hôpitaux, et de toutes ces prolétaires du soin, et de l’autre le pauvre Jim, qu’il y a comme un lien de cause à effet.
J’ajoute que le plus pénible est sans doute pendant le week-end. Les « soignants » se retrouvent en nombre réduit. Dans l’Ephad de Jim, c’est bien simple : il n’y a plus qu’un agent pour deux étages. Et, comme par hasard, ce sont les blacks, les personnels noirs, qui sont là pour accompagner les vieux blancs pauvres qui terminent leurs jours.
Et enfin, Rose, pour vous dire le fond de ma pensée : pourtant, pourtant, c’est tout de même un progrès incroyable que ces Ephad. Car, si je pense à Jim, il n’y a nul autre endroit sur terre où il pourrait être, en sûreté veux-je dire…
Certes, tout, tout est violent ici. Mais la mort n’a jamais été connue pour être une douce personne.
Et c’est pourtant avec elle que les personnels des Ephad, à chaque jour nouveau où ils se lèvent pour aller gagner leur vie, chichement en plus, ont rendez-vous. Je crois qu’il faut y penser, non ?
Ca craint cette histoire de cantou qui devient de plus en plus lourdingue.
renato vous connaissez ce disque de Maurizio Pollini où il joue Webern, Prokofiev, Stravinsky et Boulez ?
Vu sur le Net qu’on a déjà le sujet de philo pour le bac prochain: « Il manque des masques ou ils masquent le manque? »
Impossible de lui parler, à l’infirmier..
Cette fin de journée, la commissaire du peuple, à 17h25, me dit il distribue les médicaments dans les chambres, rappelez dans un quart d’heure.
Je laisse passer vingt bonnes minutes et je rappelle vers 17h50.
Là elle me redemande ce que je veux.
Je lui dis « j’ai deux choses à lui dire ». Elle me répond il distribue ses médicaments. Vous m’avez suggéré de rappeler plus tard dois-je redire.
-« Je n’ai jamais dit ça ».
– « Si vous l’avez dit cela, je vous ai enregistrée » (ce n’est pas vrai, mensonge). Elle redemande
-« qu’est ce que vous voulez ? »
-« Je vous annonce une bonne nouvelles les soignants des EHPAD vous allez toucher une prime de 1000 euros a annoncé le premier ministre. J’espère l’amadouer.
-« Ne vous inquiétez pas, on se renseigne ».
Elle refuse encore de me passer l’infirmier. Alors, je précise qu’il y a une confidentialité entre infirmier et famille de résidents. Et je rajoute que j’ai le droit de parler à l’infirmier.
Elle me passe sa ligne directe.
Il ne répond pas.
Le standart reprend la ligne. Une dit « je ne sais pas moi, je raccroche ».
Et elle me raccroche au nez.
Je n’ai pas encore pris l’habitude.
Dans l’EHPAD de ma mère, omerta et exclusion des familles : vie en vase clos, bunker (c’est l’animatrice joyeuse qui a employé ce mot).
Nous sommes exclus de notre parent.
Lors de ma visite de mardi, la psychologue clinicienne s’est installée à 3 mètres de ma mère.
Lorsqu’elle a entendu que je téléphonais et que ma mère parlait au téléphone, elle s’est rapprochée à deux mètres et en tournant le dos suivait les conversations.
Ma mère est prise en otage dans un bunker.
Etc.
Moi, je tiens à ce que vous sachiez comment cela se passe à l’intérieur.
Pas de commentaires, merci.
Ça va bien, merci. Du mieux possible.
Je ne sais toujours pas les quatre médicaments que prend ma mère.
‘patron un terminus charenton’
L’asile est à Saint-Maurice, le boug. ça fait encore une bonne trotte à pied…
Il ne fallait pas remettre 2 pièces sur le zinc du juke.
Un ehpad virtuel, soit, mais pas l’unité des dingos. Pitié.
Bonsoir, vous en avez certainement pour la nuit.
faut se méfier des gens qui n’ont pas d’humour : je connaissais un étudiant qui s’était fait descendre en flèche à un oral parce qu’il avait eu le malheur de dire que le tibia c’est l’os qui permet de trouver une table basse dans le noir.
>Clopine
Pouvez-vous précuser votre pensée lorsque vous dites » un lien de cause à effet » ?
Merci.
Pour les we. vous avez raison. Chaque we.ma mère veut mourir.
Pas d’animation (elle a eu trois jours complets la semaine dernière, 1,2 et 3 mai.
Jamais la psychologue clinicienne.
L’autre « responsable », la commissaire du peuple et la commandante en chef s’alternent les we.
Ce commentaire sur Jim, faut le mettre dans le manuscrit, Clopine !
Au tout début ?
Rose, en début d’après midi au téléphone, peut être auriez vous plus de chance pour obtenir l’infirmerie. Demandez à quelle heure est la pause repas des infirmières et essayer un peu après. Ou demandez quel est le créneau horaire où vous pourrez communiquer sans trop déranger.
rose, nous ne sommes pas du tout déconfinés, c’est lundi. Vous ne suivez pas.
Et s’il faut pleurer sur quelque chose c’est sur le gouvernement, pas sur le confinement.
Béré les bons tuyaux.
www.http://youtu.be/Ia0xXWc1yZw
>Clopine
Je pose des hypothèses.
Je ne sais rien, j’invente.
Deux maisons de retraite une seule entreprise.
Construite par les parents des deux directeurs.
Le père a d’abord été agent ou promoteur immobilier.
A pris sa retraite il y a entre dix et quinze ans, avec l’épouse.
Les deux enfants ont pris le relais.
Je parle de l’ensemble.
110 résidents.
55 personnels.
Les parents retraités.
Deux directeurs.
Deux secrétaires de direction, oeil de Moscou dans l’Ehpad de ma mère, l’autre je ne connais pas.
Un médecin.
Un cadre de santé.
Un ou deux ? infirmiers (je pense plutôt deux).
Deux animatrices.
Une seule psychologue clinicienne.
Une équipe de cuisine (je ne crois pas la compter dans le nombre de personnel, mais je ne le sais pas ; je la mets à part).
Tous les autres sont les aides soignants (dans l’EHPAD de ma mère un garçon pour uniquement des filles ; moi je dis 1200 euros par mois.).
Il reste 44 aides-soignants.
22 donc pour 55 résidents, grosso modo un pour deux.
Vous êtes pas comme ça, Béré. C’étions pour rigoler.
Zut. J’ai oublié le personnel de ménage.
Ne sais pas comment les comptabiliser.
Allez on va dire sept et sept quatorze.
Il ne reste plus que 30baides-soignants donc 15 par EHPad.
Je n’en sais foutrement rien.
Rose, on peut en tirer une importante conclusion : tout est divisible par 11.
Dans les faits, christiane, Duchamp ne visait pas à choquer le public. C’est le public qui percevait son action comme choquante.
The Gadget le 16 juillet 1945
La couverture pour View de Marcel Duchamp date du mars 1945.
enfin réunis avec l’boug par le notaire du 57, collage de france.
Je l’espérions pu…
@ H…. Pas compris la nécessité de lire les notules de remerciement des internautes à l’égard de l’intervention du GJ VLindon… Les stats mises en ligne suffisent à dire la portée du coup, non ?… Bàv,… ne cherchez pas trop la complicité… Dès qu’on tempère votre enthousiasme, vous vous sentez vexé. Faut pas être ainsi, voyhons donc, H. ! Aucun gens n’est jamais tout noir ou tout blanc. Même 57 et 75, on sent que parfois, sont un brin différents, que l’un sera toujours l’exkave de l’aut’…
Allez, je vous parle d’argent et d’échelle des salaires, j’hypothèse :
Les parents retraités. 20 000 euros/mois poir les deux.
Deux directeurs 20 000 € /mois, chacun.
Deux secrétaires de direction, oeil de Moscou dans l’Ehpad de ma mère, l’autre je ne connais pas 2000 euros par mois chacune ?
Un médecin 10 000 €/mois.
Un cadre de santé 5000 €/mois.
Un ou deux ? infirmiers (je pense plutôt deux) 3500 €/mois chacun.
Deux animatrices 1600 €/mois chacune.
Une seule psychologue clinicienne 3000 €/mois (super contente d’être là, d’avoir une si belle vie grâce à ces gens là (les vieux aux 3/4 morts).
Une équipe de cuisine (je ne crois pas la compter dans le nombre de personnel, mais je ne le sais pas ; je la mets à part).
30 aides-soignants 1200 €/mois.
14 personnels de ménage 1200€/mois.
Les deux dernières catégories payées au SMIC.
Une pompe à fric.
Un EHPAD, c’est une pompe à fric.
Bon, je vais tondre ma pelouse. Cela va me changer les idées.
> Clopine
Je n’ai pas eu la.chance de.connaître Jim. Mais je ne suis pas musicienne.🙄😬
Sur ce point là, je ne suis pas comme vous.
Je pense que s’il ne meurt pas, c’est qu’il n’est pas prêt.
Ya les charges patronales, Rose.
Et le cout du m2 de bâtiment avec la maintenance des installations.
Notez, ceusses qui ont un brun de tendresse pour moi que, être une sainte, cela n’a fait long feu.
Fin de matinée, 18 heures.
Pauvre Marie, sans moi, dans sa grotte humide.
D.
Le.xhiffre d’affaires est de 600 000 euros/an.
Vous avez des mouchoirs, D. ?
Je rechercherai, mais là, je vais tondre. Gazon maudit qui n’arrête pas de pousser.
The pencil donut.
#Je pose des hypothèses.
Je ne sais rien, j’invente.
Bien sûr la rosse.
En espérant qu’un membre du personnel hospitalier cet établissement marseillais, ou parent d’un pensionnaire, maintenant bien localisable, puisse téléphoner des que possible, pour indiquer qu’une se répand en delation, sur un blog public.
C’est tout le bien que je souhaite à cet Ehpad.
Et ne me ferai pas complice de cette marteau, qui aurait toute sa place en hôpital spécialisé, contrairement à ceux et celles qui encouragent sa démence, et sa très grande perversité.
Des mouchoirs, pour quoi faire ? Je ne suis pas enrhumé. euh l’autre, eh.
…même Oz, si on le lit bien, on voit qu’il a pas mal d’humour quand il veut s’intercaler la queue entre 75 et 57, c pas facile bin sûr, hein, mais l’essaye quand même. A encore pas mal de libideau à son âge. Va sûrement réussir à les enfoncer 1 jour avec son tricotin, son épouze et ses enfants déconfiniées. Souhaitons leur bonne chance à toussent.
hamlet, vous ne remettez pas ça sur la musique ,j’espère
Appelé aulos dans la Grèce antique et tibia dans la Rome antique, c’est un instrument à anche battante, simple ou double, composé principalement d’un tuyau percé de trous, joué le plus souvent par paire (ce qui lui a valu d’être décrit comme « flûte double », ce qui est totalement erroné). À partir du ier siècle de notre ère, les Romains lui apportent quelques innovations techniques.
exercice hillégale dla médcine psychiatrique tèrezoune..compte pas trop sur les oranges a dirphiloo..et renfield partage pas la blatte..
C’est ducon. Fais-moi penser à te souhaiter un bon anniversaire, demain.
et 30 ans avant..arthur sapeck en était déjà mort dingo rénateau..
Les erdéliens
À la vie à la mort.
Tous ceux qui sont confinés à Paris, D.le premier, christiane, Dhh et son mari, Jazzi et son compagnon je vous offre le gîte et le couvert lorsque vous déconfinerez, sud est, au vert.
De tout coeur et en pensées avec vous ❤.
hallons bon et pourquoi demain tèrezoune..pas dcachotrie entre nous..je suis ton avocat commis doffice..t’as pas dchance dans la vie
Janssen,
Lâche-moi les couilles et trouve-toi une bite à sucer, tu m’fais tellement pitié.
L’asile est à Saint-Maurice, le boug. ça fait encore une bonne trotte à pied…
le vrai pélrin a son ptit vélo qu’elle dirait rosy
Je vais réexpliquer la storia. Il y en a qui ne suivent pas, ou, qui sait, des petits nouveaux.
je fais des hypothèses, je ne sais rien, je vais inventer.
Une prof maintenant retraitée, qui manifestait, il y a plusieurs années déjà des signes inquiétants et incompatibles , a mon sens, avec une charge educative, nous gonfle les bits et les octets avec une histoire familiale délabrée, a un seul son de cloche.
Le point de non retour ayant été franchî depuis l’internement en unité protégée, de sa mère . Et visiblement depuis, l’abandon du suivi psychiatrique dont la fille faisait l’objet.
Nous avons compris que cette personne malade,
a été enlevée, comme l’on dit d’un enlèvement délictueux, de son affectation initiale , par l’un de ses enfants, en l’occurence sa fille prof a la retraite, qui n’en a ni la garde ni la tutelle.
Des circonstances un peu particulières puisque ce départ a destination d’un autre établissement médicalisé pour personnes âgées dependantes , facilement identifiable maintenant a Marseille, a été réalisé dans la précipitation: sans chemise et sans pantalon.
Depuis la situation a considérablement évolué en pire, pour cause de confinement, et a abouti à une mise en cause délictueuse de l’établissement d’accueil, comme on a pu le constater.
ce soir, volupté au balcon:
Dans la nuit du 7 au 8 mai notre satellite devrait vous sembler un peu plus imposant que de coutume. Et pour cause, nous assisterons ce soir à la dernière « super Lune » de l’année 2020.
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« Super » Lune ?
Cette Lune est résultat de la conjonction de deux phénomènes astronomiques. Première condition, il faut que notre satellite se trouve au périgée de son orbite, c’est-à-dire le point le plus proche de la Terre. Le périgée de la Lune varie entre 356.400 et 370.400 km tandis que son apogée, le point de son orbite le plus éloigné du Soleil, varie entre 404.000 à 406.700 km. Ces légères fluctuations sont dues à la présence des autres corps célestes qui viennent perturber le couple Terre-Lune. Mais si la différence de distance entre le périgée et l’apogée semble énorme, celle-ci n’influence que très légèrement la taille perçue de la Lune (elle n’apparaît qu’environ 10% plus grosse). Deuxième condition pour obtenir une super Lune : cette dernière doit être évidemment être pleine, sans quoi le phénomène perdrait de sa superbe.
Un phénomène difficilement perceptible
Bien que qualifiée de « super », cette Lune n’apparaîtra pas franchement plus grosse à l’œil nu. Qu’en est-il des clichés que l’on voit passer sur le net le lendemain, sur lesquels la Lune semble gigantesque et sur le point d’effleurer la Terre ? Malheureusement cela est en grande partie dû à une illusion d’optique. Lorsque la Lune apparaît à l’horizon, que ce soit à son lever ou à son coucher, nous la plaçons inconsciemment dans un ordre de grandeur similaire aux bâtiments ou aux arbres que l’on voit à proximité. L’astre sélène nous apparaît donc comme disproportionnée en comparaison avec les autres objets visibles. Une fois haute dans le ciel, elle semble déjà bien plus petite.
L’occasion d’en apprendre plus sur cette vieille amie de la Terre
Quoi qu’il en soit, cet épisode nous donne une bonne raison pour lever les yeux au ciel et admirer ce corps rocheux dont l’histoire est intimement liée à celle de notre bonne vieille Terre. De sa naissance violente, possiblement due à un impact entre notre jeune Terre et une autre planète, à la course à l’espace qui amena l’humanité à la fouler du pied une nouvelle fois, la Lune est cette voisine qui nous accompagne depuis longtemps et dont l’histoire fascinante mérite que l’on y jette un œil.
elle était déjà très belle hier
bonsoir
La Blatte du blog continue à déposer ses crottes ici en toute impunité.
Jusqu’à quand une telle ordure salira cet endroit?
Année LvB, WoO 168 n 2, Das Reden :
Canon énigmatique en fa majeur, 3 voix.
3j Dès qu’on tempère votre enthousiasme, vous vous sentez vexé. Faut pas être ainsi, voyhons donc, H. !
»
3j c’est tellement vrai ce que vous dites ! croyez-moi j’ai suivi vos conseils et je fais un travail de fond sur moi-même…
mon enthousiasme ne voit pas ça d’un très bon œil, ce travail de fond sur moi-même que j’en entrepris sur vos conseils, d’ailleurs j’ai même pas dit que ça venait de vous de peur de représailles.
Parfois mon enthousiasme m’attriste, j’ai l’impression qu’il se sent mis à l’écart, du coup il fait le gueule et il boude dans son coin.
c’est pas facile de se retrouver entre le marteau et l’enclume, d’un côté ce moi profond qui a bien besoin d’une sévère remise en question, et de l’autre un enthousiasme qui fait la tronche…
je lui ai pourtant dit à mon enthousiasme : c’est toi ou moi, faut choisir ton camp si c’est pour faire la tronche tu dégages !
vous savez comment sont les enthousiasmes 3j, autant ils s’enflamment parfois pour un rien, autant ils deviennent vite fait lourdingues quand on leur demande de se modérer.
« je vous offre le gîte et le couvert »
A Marie Sasseur aussi, rose ?
Van Gogh
Le pont du Carrousel et le Louvre, 1886.
Cricri résumant tout l’art de Duchamp, c’est un texte d’anthologie!
Oui.
À Pierre Assouline aussi.
À Chaloux, Pablo 75 et Hamlet aussi.
Et quand vous reprenez vos cliques et vos claques, je garde D. ❤🙈🙉🙊❤ au vert.🏞
>B même si vous habitez à la campagne, vous pouvez v’nir.
Y aurabpas des p’tits pois pour tout l’monde.
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