Garçon, un pastiche !
(L’Obs ayant commandé à des écrivains un « journal du confinement » qui soit un pastiche d’un auteur de leur choix, pour moi, ce fut Antoine Blondin. Voici donc la version longue de ma contribution parue cette semaine dans l’hebdomadaire...)
Vous n’imaginez pas les affres d’un parisien dans mon genre qui déteste autant sortir de la maison que rentrer à la maison. C’est inextricable. Mais ne comptez pas sur moi pour tenir un « Journal du confinement ». Quel labeur pour l’auteur, quelle souffrance pour le lecteur ! Cela fait peine à voir. Difficile de toute façon quand on a les mains aussi occupées que les miennes, une cigarette dans l’une, un verre dans l’autre, ce serait un art d’équilibriste. Au vrai, j’aime moins écrire qu’avoir écrit. Une émission de radio peut-être : ici l’ombre, un con fini parle aux confinés, ou l’inverse qui sait…
Etre confiné dans mon quartier me gêne d’autant moins que c’est ma situation naturelle. Faire le mur ne m’effraie pas. La vie m’a appris à m’évader d’un internat, d’un camp de travail, du domicile conjugal, toutes choses égales, mais pas d’un virus. N’eut été l’absence de vicaires lubriques, le confinement me ramènerait à mes douze années d’internat dont quatre dans des institutions religieuses. Par deux fois dans le passé, mon éditeur a jugé bon me cloitrer dans une chambre d’hôtel pour me forcer à écrire un roman que je n’arrêtais pas de ne pas écrire. Une fois à Mayenne, une autre à Biarritz. Je m’en suis finalement bien sorti même si je n’en suis jamais revenu. Quand il m’arrive de me retrouver en réclusion studieuse dans ma maison de campagne, j’ai du mal : de romancier, je me métamorphose en personnage de roman.
Ces derniers temps, je me suis donc confiné dans mon confetti, mon petit chez moi à Paris. Au début, je trouvais que la ville était plus belle vue de nos fenêtres fermées. J’ai fini par les ouvrir quand j’ai réalisé qu’en bas rien n’était ouvert. De sa fenêtre, l’homme n’aperçoit que les succursales de la vie. La poésie de Verlaine y demeure par les temps qui courent le plus sûr des moyens de transport. Il n’y a qu’à regarder la rue, c’est déjà du Verlaine. On y voit passer des chiens qui en ont marre d’être promenés. Bientôt, les petits réclameront eux aussi de rentrer à la maison pour se reposer enfin. Les parisiens sont prêts à tout pour sortir une heure de chez eux. J’en connais qui loueraient un bébé pour l’occasion. A mon avis il y a de l’abus dans l’alibi. Les chiens et les enfants devraient s’unir pour se constituer en syndicat.
Confiné à Saint-Germain-des près, privé des grâces et félicités de la vie dans cette atmosphère si irréelle, je me sens comme un songe en hiver quand Paris est habité d’une insondable torpeur. Plus de jour, plus de nuit, un silence minéral règne dans les rues, ce silence dont Joe Bousquet disait que tout poème devrait en être traduit ; il nous enveloppe et nous intime l’ordre de nous taire. Les voisins ignorent tout de ma profession. Ayant muni mon porte-plume sergent major d’un silencieux, j’écris à bas bruit.
On dirait que Paris souffre d’un arrêt du cœur. Tout fait craindre la rupture d’aphorisme. De quoi me couper la chique. Le ciel est d’un bleu électrique, invraisemblable à force d’être immaculé semaine après semaine, ce qui ajoute à l’étrangeté de la situation ; à mi-chemin du printemps et de l’été, on a pourtant l’impression d’entrer dans un long hiver tant nos journées sont interminables. Dans les immeubles, la concierge n’est pas dans l’escalier, elle ne revient pas de suite, elle se trouve dans sa loge sans la moindre intention d’en sortir
J’irais bien quelque part aérer ma difficulté d’être. N’importe où hors d’ici. Dès que le président a déclaré la guerre au virus, une partie des Français a filé se réfugier en zone libre. Il est vrai qu’aller se faire confiner à la montagne, c’est encore le meilleur moyen de tourner l’alpage, mais tout de même.. La France est à nouveau prise de vagabondage. Un nouvel exode comme celui de 40 avec les drones à haut-parleurs de la préfecture en guise de mitraillages de la Luftwaffe, et sur le toit des voitures un écran 189 cm à son ultra en lieu et place du matelas. Dès que le gouvernement aura levé le siège des Français, on en verra revenir dorés sur tronches de leurs villégiatures. Il y en a qui se livrent à la traite des planches du côté de Deauville. Grand bien leur fasse ! Pas de reproches tant qu’ils ne la ramènent pas. On haïrait alors les mensonges qui leur ont fait tant de hâle.
Partir ne me manque pas, mais sortir, oui. Quand on a grandi en fils unique, après on n’arrête pas de sortir pour se créer des frères et sœurs. Aux autres les grands voyages. Seul l’air du pays me manque. Si je venais à souffrir de détresse respiratoire, on me réanimerait au mieux en m’oxygénant de Tours de France. Ivresse de la caravane, volupté de la foule, bon enfant de la réclame, bonheur de l’étape. De toute façon, j’appartiens à la génération du couvre-feu. Ca m’est revenu hier lorsque je suis allé aux commissions. Des policiers m’ayant arrêté pour me demander une attestation de déplacement dérogatoire et que j’ai délicatement extrait un ausweis de mon portefeuille. Ils l’ont trouvé un peu daté ce qui témoigne de leur mauvaise volonté. Et puis quoi, chacun sait que les héros de romans ne courent pas les rues dans le quartier de saint-Germain-des-Prés passé huit heures du soir ; pourquoi m’y attarderais-je alors ?
C’est un effort de suivre les consignes du gouvernement. L’air de rien, ces jours-ci, la paresse n’est pas de tout repos. Toute ma vie je me suis efforcé d’être léger. La spécialité me colle aux basques. Hier encore, peu avant la tombée de la nuit, un journal m’a appelé pour me demander une chronique sur la légèreté. Il n’avait pas tort, le père Céline : Dieu qu’ils sont lourds… Comme si ça se décrétait. Ils n’imaginent ce que ça peut charrier de gravité, de mélancolie, de nostalgie de tristesse. Prenant acte de mon impuissance, ils se sont rabattus sur un rappeur à la mode lequel, pour être effectivement léger, ne s’exprimait pas vraiment comme le Brantôme des Dames galantes. Pour Brigitte Bardot, ca ne change rien : elle est confinée à La Madrague avec ses chauve-souris et ses pangolins depuis le tout début de la Vène république.
Pour ma part, j’ai besoin des gens. L’argent, les objets, les maisons, les choses, toutes choses qui ignorent la chaleur et la fraternité, cela ne m’est rien. Mais les gens, les êtres, les autres, quelle richesse ! Tout pour l’amitié et l’amour, rien pour le reste. Sauf qu’entre quatre murs, on fait peu de rencontres une fois les livres refermés. Reste le journal. L’Equipe fait peine à voir quand il n’y a rien à y lire. On n’en finit pas d’y refaire les matchs. Pas la moindre course à se mettre sous la dent. Il lui faut se rabattre sur de vieilles anecdotes, des bisbilles ressassées, des revoyures de buts patinés. Si le confinement devait jouer les prolongations, L’Equipe deviendra le premier quotidien sportif historique au monde. Un must !
Plus je regarde les passants prendre le soleil dans Paris confiné, et d’autres courir on ne sait où, plus je me dis que décidément, notre planète manque de terrestres extra. Pitié que ces librairies au rideau baissé. Garçon, l’édition ! Même les boites des bouquinistes sur les quais, entre lesquelles coulent la Seine et nos amours, ont mis le cadenas, nous empêchant pour un certain temps de nous plonger dans leurs romans-fleuve. Même à la campagne la France semble à l’arrêt. A croire que les chemins de terre sont en grève. Les journées s’enchainent où il se passe tant de choses alors que rien ne s’est produit. Et alors ? Quel que soit le messager, une simple minute d’éternité est toujours bonne à prendre.
La nuit, je suis partout chez moi. Les rues sont pleines de messieurs Jadis qui ne sont plus là. Ils se reconnaissent à ce qu’on les voit arpenter l’existence à coté de leurs souliers. Ca paraît bizarre dit comme ça mais c’est aussi vrai que l’homme descend du songe. Avant le confinement, je pouvais sonner à la porte de l’Hôtel de Ville et demander au planton s’il leur reste une chambre de libre, il le prenait bien parce que c’était la nuit, justement. Elle me manque pour les rencontres qu’elle suscite, ces soudaines sociétés qui s’improvisent au zinc ; l’aube ne s’est pas encore levée sur Paris que déjà, on s’est fait de nouveaux amis d’enfance. Le geste-barrière aurait été sportif pour les leveurs de coude : pour reposer le verre sur le zinc quand en se tient à peu près droit à une distance d’un mètre cinquante, il faut avoir le bras long.
A la radio, les nouvelles sont alarmantes. Le chômage partiel va-t-il pousser Ricard à réduire sa production ? J’ai cru entendre un long débat là-dessus sur France culture. On y évoquait une certaine perturbation, voire une profonde dépression, chez les Français si la nouvelle se confirmait. Le pire est à craindre. Avec quelques camarades de résistance, nous nous sommes battus dès les premiers jours pour que les cavistes soient considérés comme des commerces de première nécessité et nous avons finalement vaincu l’ostentatoire sobriété de l’exécutif. S’il est vrai que Mitterrand était le Kennedy du nivernais, alors Macron est l’Obama de la Picardie. Pendant ce temps M. Trump, l’homme à la cervelle de vent, menait son pays au bord du précipice.
Méfions-nous du dirigeant qui fait parade de son abstinence : rien ne vaut un homme d’Etat d’ébriété. On peut toujours crier vendange, le cœur a ses raisons que le raisin ne connaît pas. Dans ces moments-là, la philosophie m’est d’un grand secours. Elle exige une parfaite lucidité, laquelle ne saurait s’accorder avec le coma éthylique. Personnellement, j’incline en faveur de Kant. Enfin, j’ai un peu décroché au bout d’un moment. Pourtant, dans mon souvenir, il s’exprime clairement, Kant… terbraü… oh… oh ! A ruminer tout ça je me sens comme un singe enivré.. Si ça continue, comme Victor Hugo, je vais finir par écrire mon « Choses bues » et ça ne va pas être triste.
Lorsque viendra le jour du déconfinement, les bars-tabacs seront pris d’assaut, juste après les coiffeurs, car il faut de la tenue pour se présenter au comptoir. On a sa dignité. Tout le monde n’est pas Marcel Aymé qui cherchait à se faire plus petit que son œuvre. Généralement, c’est l’inverse. Pas le genre à porter sa modestie à la boutonnière, contrairement à… Suivez mon regard. En prêtant l’oreille aux causeries marseillaises du druide des calanques, l’apôtre de la chlorophylle pour tous eut paru hétérocentrique en regard. A l’écouter nous refiler sa potion magique, qui ne se sentirait dans la peau d’un médocain malgré lui ?
On ne sait plus quelle est la couleur des jours. Vivement le retour à la normale que l’on puisse dire à nouveau qu’il y a du monde au balcon sans pour autant déclencher des applaudissements, mais une lueur voluptueuse dans les regards. Gouverné par le principe de précaution, je réfléchis désormais à deux fois avant de lancer ma devise (« Remettez-nous ça !) de crainte de voir rappliquer un bon vieux virus des familles. Si certains relèvent dans ces lignes des ressemblances avec la prose d’un écrivain germanopratin bien connu, cela n’aurait rien d’extraordinaire : à force de suivre les courses de vélo, il arrive que l’on recycle. Je me suis moi-même tellement plagié que cela a fini par me donner un air emprunté. La cuite au prochain numéro.
(« Antoine Blondin » photo Louis Monier ; « Antoine Blondin transporté par Raymond Poulidor sous l’oeil de la maréchaussée » photos D.R.)
1 227 Réponses pour Garçon, un pastiche !
Y aura pas des p’tits pois pour tout l’monde. Non on on y en aura pas.
Et alii
Chez moi elle est gibeuse et superbe. Pleine grosse lune.
@ vous savez comment sont les enthousiasmes 3j, autant ils s’enflamment parfois pour un rien, autant ils deviennent vite fait lourdingues quand on leur demande de se modérer.
Ben voui, je connais bin ce dilemme… c pkoi j’empathise, H., jusqu’à votre prochaine dégelée…
C’est comme Covid’54 dans sa dernière huhurkhiade (depuis son CDBF du CFF), en italiques… Si on n’a pas là l’exemple topique de la viscosité incarnée ozyamenculée par son nouveau mentor, là… je veux bin êt’pendu avec mon boucheron …
Je veux bien inviter etalii à venir se déconfiner à mon ehpad ouvert à tous les vents, juils muslims ahtées et chrétiens maudits, c très oecuménique par là bas… Uniquement pour celzéceux qui trouveraient pas de place dans le Sud Est. Faut répartir la solidarité, hein.
rose, je viens de parler d’elle, et par modestie, elle a du se cacher;je ne la vois pas encore;je vais rester là encore un moment près du balcon; envoyer quelques mails, en lire parce que j’ai du retard! je suis pire que le lapin d’Alice
bonsoir
merci pour les invitations! merci;mais j’ai des « obligations » de famille ; et là, ça me tarde un peu , le temps a été long avec tout ce que j’ai redouté!
bonsoir
surement pour demain, cette « alerte »
Plus dangereux ou moins sévère ? Le coronavirus a subi deux mutations importantes
Puisqu’il semble que l’on vivra lontemps avec le Covid-19, que d’autres vacherie se profilenent à l’horizon — chikungunya, etc. —, plus quelques nouveautés, voilà une solution :
Oups ! vacherie > vacherieS
renato
l’augmentation des prix des voyages est déjà prévue!
Merci Rose. Sud-est au vert. je chercherai sur mapy.
Christopher Knight Becomes One of the Few Art Critics Ever to Win Pulitzer Prize
Brinqueballe dit: « Cricri résumant tout l’art de Duchamp, c’est un texte d’anthologie! »
Quelle sottise ! et comme vous passez à côté d’une joie… J’ai écrit « donc pas grand chose » et j’étais heureuse de me sentir pauvre, ignorante et démunie face à cette photo d’une eau-forte de Duchamp offerte par Renato pour évoquer la balance d’équilibre/déséquilibre d’Antoine Blondin parlant de Cocteau.
Et vous vous moquez… J’aurais pu recopier toutes les notices, si nombreuses sur internet, et mentir. J’ai préféré dire : je ne connais que très peu de choses.
Pauvre êtes-vous de ne pouvoir entendre l’attente de l’autre.
Vous auriez pu faire une fête de cette remarque et apporter un savoir enthousiaste sur l’homme et l’artiste qu’était ce poète marginal et extravagant qui exposait par jeu dans les musées ses « ready-made », c’est-à-dire ses « objets tout faits ».
Mais les signes de Duchamp vous passent au-dessus de la tête et vous ne venez ici, anonymement que pour poser des mots sans importance. Vanité d’épouvantail perdu au milieu… du… champ en friche de vos pensées.
Bien le bonsoir, ô inutile et pitoyable commentateur(trice). Duchamp s’était réinventé dans une femme imaginaire Rrose Sélavy qui a inspiré Man Ray… Robert Desnos en a rêvé et vous, vous ne faites rêver personne. Vous ne créez rien. Vos mots sont comme des fruits gagnés par la moisissure, des champignons microscopiques qui vous mangent le cœur et contaminent votre pensée.
Quand Annelise Roux tenait son merveilleux blog et tenait haut et vivant le 7é art. Elle a écrit un jour qu’elle appréciait très fort Mathieu Amalric.
J’ai pensé très fort à elle ce soir en regardant « L’Agent immobilier », une série donnée complète avec ses quatre épisodes de 40mn. Écrite et réalisée par Etgar Keret et Shira Geffen (auteurs des « Méduses »). Une merveille de poésie, grinçante et douce. Mathieu Amalric y est bouleversant, drôle, surréaliste. Et face à lui Eddy Mitchel bourru, fantasque et solide. Quel beau moment de cinéma. Quelle bouffée d’oxygène en ce temps confiné offerte par ces passe-murailles qui traversent le temps grâce à un poisson ventriloque.
Deux cinglés (rôles) qui touchent l’âme et donnent envie de danser.
Et tout cela dans un mystère qui donne ses clés dans la quatrième partie.
C’était sur Arte. J’espère que ça repassera pour ceux qui l’ont ratée. Si certains d’entre vous ont regardé ce programme, j’aimerais bien connaître leurs impressions.
Un vieil immeuble désaffecté peuplé de fantômes et de mémoire… l’amitié d’un homme à la dérive et d’une enfant débrouillarde. Des seconds rôles épatants (Nicole Shirer, Sarah Adler, Ixyane Lété…).
Annelise aurait écrit un fameux papier sur cette série…
Marie Sasseur, vos commentaires sur ce qu’écrit Rose, et que je viens de découvrir, sont innommables. Que savez-vous de la réalité de cette histoire ? Que savez-vous de la vie dans certains EHPAD ? Oui le personnel est dévoué, surtout les plus humbles et les plus mal payés, mais il est vrai aussi que ces mouroirs sont des pompes à fric, dernier nid pour les esseulés abîmes, contrainte pour d’autres. Et ce que dit Clopine n’est pas invraisemblable…
Vous ne cessez d’attribuer à Rose un déséquilibre mental, des actes déraisonnables. Comme l’a écrit Chaloux un jour, c’est seulement une femme qui a du cœur, droite et sincère et qui espère que sa mère sera entendue. Et même si nous n’avons que sa parole, sa version des faits, rien, comme l’écrit si justement Pablo ne rend tolérable votre méchanceté et votre perversité.
Faites plutôt une cour effrénée aux hommes de ce blog. Au moins on a la paix ! et foutez la paix à Rose qui est cent fois plus grande et plus digne que vous.
Pour vous, Rose.
« Ce sont les premières maisons aux tuiles écailleuses, les premières vignes plaquées contre un mur que le sulfatage a bleui. Ce sont les premiers linges tendus dans les cours, le désordre des choses, le débraillé des hommes. Et le premier cyprès (si grêle et pourtant si droit), le premier olivier, le figuier poussiéreux. Places pleines d’ombres, heures de midi où les pigeons cherchent un abri, lenteur et paresse, l’âme y use ses révoltes. La passion chemine par degrés vers les larmes. Ici, les journées tournent sur elles-mêmes, depuis l’éveil du jour gonflé du cri des poules jusqu’à ce soir sans égal, doucereux et tendre, soyeux derrière les cyprès et mesuré longuement par le chant des cigales. Ce silence intérieur qui m’accompagne, il naît de la course lente qui mène la journée à cette autre journée. Qu’ai-je à souhaiter d’autre que cette chambre ouverte sur la plaine, avec ses meubles antiques et ses dentelles au crochet. J’ai tout le ciel sur la face et ce tournoiement des journées, il me semble que je pourrais le suivre sans cesse, immobile, tournoyant avec elles. Je respire le seul bonheur dont je sois capable – une conscience attentive et amicale. Je me promène tout le jour : de la colline ou bien je vais plus avant dans la campagne. Chaque être rencontré, chaque odeur de cette rue, tout m’est prétexte pour aimer sans mesure. Les étalages de fruits, pastèques rouges aux graines noires, raisins translucides et gluants – autant d’appuis pour qui ne sait plus être seul. Mais la flûte aigre et tendre des cigales, le parfum d’eaux et d’étoiles qu’on rencontre dans les nuits de septembre, les chemins odorants parmi les lentisques et les roseaux, autant de signes d’amour pour qui est forcé d’être seul ; Ainsi, les journées passent. Après l’éblouissement des heures pleines de soleil, le soir vient, dans le décor splendide que leur fait l’or du couchant et le noir des cyprès. Je marche alors sur la route, vers les cigales qui s’entendent de si loin. A mesure que j’avance, une à une, elles mettent leur chant en veilleuse, puis se taisent. J’avance d’un pas lent, oppressé par tant d’ardente beauté. Une à une, derrière moi, les cigales enflent leur voix puis chantent : un mystère dans ce ciel d’où tombent l’indifférence et la beauté. La première étoile déjà, puis trois lumières sur la colline d’en face, la nuit soudain tombée sans rien qui l’ait annoncée, un murmure et une brise dans les buissons derrière moi, la journée s’est enfuie, me laissant sa douceur. »
(Albert Camus L’envers et l’endroit, Gallimard.)
Marie Sasseur, vos commentaires sur ce qu’écrit Rose, et que je viens de découvrir, sont innommables.
christiane dit:
C’est le mot. Ce sont des saloperies de perverse pathologique, d’ignoble ordure spirituelle. Cette infâme Blatte de Blog est ici parce qu’elle est amoureuse du propriétaire des lieux (il suffit de lire le ton des phrases qu’elle lui adresse pour se rendre compte). Et elle hait tout ce qui s’interpose entre elle et lui, c’est-à-dire tous ceux qui participent à ce blog, avec une préférence pour les femmes en général et pour les plus gentilles d’entre elles en particulier.
Elle n’a pas un esprit humain, elle a l’esprit d’une hyène. C’est un cafard abject. Une âme morte.
C’est incompréhensible que P.Assouline lui permette de salir cet endroit comme elle le fait. J.C ou bouguereau, qui ont été interdits ici, sont des mystiques à côté d’elle…
ROSE est notre Cause. La Cause de notre bonheur.
ROSE est notre Pause. Notre Pause-Douceur.😇😇😇
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Marie Sasseur… Avarie sans coeur.
Marie Sasseur… Malheur qui écoeure.
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Bonjour à tous,
Les informations collectives commencent à sortir et le scandale des EHPAD va être porté au grand jour.
http://www.le-fruit-des-amandiers.com/2020/05/ehpad-prives-le-business-sur-la-mort.html
Ma mère a eu l’entièreté des vêtements apportés hier. Jusqu’aux paires de socquettes blanches et une à rayures bleu marine.
Elle a été très contente de voir ma soeur en visite hier après-midi.
Dans les affaires de toilette, tout lui a été donné à l’exception du rouge à lèvres, disparu, d’une savonnette à la rose pour le visage et d’un gros pot rond de crème pour les mains disparus aussi.
En ce qui concerne la boîte en fer remplie de friandises, il lui a été donné une petite boîte de biscuits apéritifs. Rien d’autre. Les M&Ms, les deux tablettes de chocolats, les truffes emballées individuellement, le paquet salé de amandes raisins noix, noix de cajou, le mini paquet de chips, les berlingots de Cambrai, tout a été gardé au bureau. Dans la grosse boîte en fer. Pour distribuer aux copains, macache. Cayenne. Le bagne.
Ma mère est infantilisée. Personne ne parle aux vieux. Sa perte d’autonomie va s’aggravant.
Elle m’a dit hier soir se faire beaucoup de souci parce que désormais elle perd toute sa mémoire immédiate.
Christiane
Comme la page a tourné sur le blog, ai lu la première ligne et pas plus du com.ordurier de M.S. Je considère que les mots appartiennent à ceux qui les écrivent.
Et ci-dessous, d’un texte que je ne connais pas, jaillit la beauté. Merci à vous Christiane pour ces mots magnifiques d’Albert Camus.
« Ce sont les premières maisons aux tuiles écailleuses, les premières vignes plaquées contre un mur que le sulfatage a bleui. Ce sont les premiers linges tendus dans les cours, le désordre des choses, le débraillé des hommes. Et le premier cyprès (si grêle et pourtant si droit), le premier olivier, le figuier poussiéreux. Places pleines d’ombres, heures de midi où les pigeons cherchent un abri, lenteur et paresse, l’âme y use ses révoltes. La passion chemine par degrés vers les larmes. Ici, les journées tournent sur elles-mêmes, depuis l’éveil du jour gonflé du cri des poules jusqu’à ce soir sans égal, doucereux et tendre, soyeux derrière les cyprès et mesuré longuement par le chant des cigales. Ce silence intérieur qui m’accompagne, il naît de la course lente qui mène la journée à cette autre journée. Qu’ai-je à souhaiter d’autre que cette chambre ouverte sur la plaine, avec ses meubles antiques et ses dentelles au crochet. J’ai tout le ciel sur la face et ce tournoiement des journées, il me semble que je pourrais le suivre sans cesse, immobile, tournoyant avec elles. Je respire le seul bonheur dont je sois capable – une conscience attentive et amicale. Je me promène tout le jour : de la colline ou bien je vais plus avant dans la campagne. Chaque être rencontré, chaque odeur de cette rue, tout m’est prétexte pour aimer sans mesure. Les étalages de fruits, pastèques rouges aux graines noires, raisins translucides et gluants – autant d’appuis pour qui ne sait plus être seul. Mais la flûte aigre et tendre des cigales, le parfum d’eaux et d’étoiles qu’on rencontre dans les nuits de septembre, les chemins odorants parmi les lentisques et les roseaux, autant de signes d’amour pour qui est forcé d’être seul ; Ainsi, les journées passent. Après l’éblouissement des heures pleines de soleil, le soir vient, dans le décor splendide que leur fait l’or du couchant et le noir des cyprès. Je marche alors sur la route, vers les cigales qui s’entendent de si loin. A mesure que j’avance, une à une, elles mettent leur chant en veilleuse, puis se taisent. J’avance d’un pas lent, oppressé par tant d’ardente beauté. Une à une, derrière moi, les cigales enflent leur voix puis chantent : un mystère dans ce ciel d’où tombent l’indifférence et la beauté. La première étoile déjà, puis trois lumières sur la colline d’en face, la nuit soudain tombée sans rien qui l’ait annoncée, un murmure et une brise dans les buissons derrière moi, la journée s’est enfuie, me laissant sa douceur. »
(Albert Camus L’envers et l’endroit, Gallimard.)
Bon 8 mai 2020. Victoire !
Elle nous a quitté en 1895 d’une grippe fulgurante qui l’a emportée.
Nous reste son oeuvre et son talent inaliénable. Elle nous a apporté la beauté, la douceur et nous a transmis grâce à Julie Manet sa fille l’immensité de la maternité.
Rose, ce que je vous conseillais hier provient de mon expérience de ce genre d’hébergement pour personnes agees. Pour le personnel, toutes catégories confondues sauf peut être s’il y en a une dans celui qui accueille votre mère l’infirmier coordinateur, travail est à flux tendu. Cependant l’infirmier coordinateur , s’il y en à un dans cet ehpad a accès aux informations médicales, paramédicales, administratives et peut vous renseigner. Il y a aussi dans chaque établissement un médecin coordinateur présent deux fois par semaine au minimum et avec qui vous pourriez obtenir un rendez vous téléphonique afin d’échanger sur votre mère. Reste aussi le médecin généraliste qui la suit et que vous avez droit de contacter . Les personnels sont d’une façon générale surchargés de travail aussi n’espérez pas pouvoir les joindre facilement pour disserter. Normalement, si cet ehpad n’est pas antique, vous devriez pouvoir joindre les infirmiers sans passer par un standard, il existe des numéros de poste, en sachant quelle plage horaire est la plus propice au xialogue parce que la moins chargée de travail.
Avez vous vu ici et là ( notamment dans le Var) ces équipes de soignants qui ont décidé de vivre avec les résidents sans sortir des établissements temps qu’il faudrait afin de limiter dans les conditions qui ont été les nôtres la contagion.
Pablo, MS est un poison, tout le monde sait ça depuis très longtemps. Pour le Reste, votre interprétation me semble erronée. Quand MS s’adresse à Passou c’ est juste une façon de surligner son désintérêt ( ou mépris ) pour les autres. Je la lis de plus en plus rarement tant elle me paraît toxique.
Vendredi 8 mai 2020, 5h41
Entre peuplades de sauvages qui se font la guerre pour des bêtises, on peux espérer, toujours, un arrêt des hostilités et une paix relative. Entre indigènes de blog, et d’ailleurs, jamais.
Bonne Fête de la Victoire, vaillants petits soldats !
> B
« sans passer par un standard ».
Le standart flique.
Je n’ai pas le numéro de poste de l’infirmier.
Il y a une cadre de santé qui est l’infirmière en chef.
Le médecin référent est je pense à plein temps sur les deux EHPAD. C’est celui qui a dit à ma mère « vous n’avez rien » lorsqu’elle a cessé de s’alimenter à compter du 15 mars. Suite à cela, je ne le porte pas dans mon coeur.
Je ne sais pas si je peux avoir accès aux informations médicales. La curatrice m’a répondu en me disant que les médicaments c’est la suite du traitement donnée à l’hôpital pour sa péricardite. Or, seul l’aspégic était utile durant six mois pour cela.
Ce que je veux c’est savoir si ma mère est mise sous anti-dépresseurs. Je surveille tout. Ce qui se dit. Ce qui se fait. Ce qui s’organise. Je suis flic dans un EHPAD.
Même lorsque je manifeste une bonne volonté délirante comme hier matin, je suis très rapidement rabattue vers une réalité terrifiante : personne ne parle à ma mère.
Pas le temps : vous avez raison concernant le flux tendu.
Nota bene :
>Clopine Je suis totalement en porte à faux avec ce que vous écrivez. Heureusement que les EHPAD existent.
L’avenir est au maintien à domicile des personnes âgées, avec structures d’accueil afférentes à la journée. À faire évoluer suivant l’état de santé du patient. La vieillesse n’est pas une maladie. Elle est inéluctable.
>B
Avez-vous été infirmière un temps de votre vie ?
>B
Son médecin généraliste ne suit pas ma mère. Il a un âge certain, est génial, compétent, doux et humain mais est à l’autre bout de Marseille. Je ne suis pas sûre qu’il accepterait de se déplacer. Je lui téléphonerai lundi.
Ma mère habite à un bout de Marseille. Son EHPAD est à l’autre bout.
C’est l’EHPAD de la curatrice. Au moins trois de ses majeurs protégés (elle peut en avoir entre 30 à 40 ; je n’ai pas encore inventorié ce métier mais ai eu qq.infos par l’enquêteur social) sont placés dans cette institution.
Elle ne se déplace pas. Fait tout par téléphone de manière très réactive.
Lorsque je l’ai rencontrée, quasiment deux heures, je l’ai trouvée formidable.
Depuis, j’ai déchanté.
Elle s’est faite manipuler sans jamais avoir rencontré ma mère. A accompli ce qu’ont mis en place ma soeur et mon frère, jeter ma mère dans un EHPAD comme une vieille loque après avoir bloqué tout son pognon ( quatre sous espagnols, loin de l’héritage de Johnny). Elle dit prendre les décisions. En réalité, elle entérine ce qui a été décidé en amont d’elle. Elle exécute, elle ne décide pas.
Si je n’avais pas, sur la demande de ma mère, ramené celle-ci dans sa ville natale, il y a grand risque que je n’ai jamais revu ma mère.
La curatrice est jeune, à peine plus que la trentaine et a trois enfants en bas âge.
Elle est confinée chez elle, avec son mari et ses gosses et ses vieux, dont elle est responsable sont en EHPAD.
Plus belle la vie.
Elle paye l’EHPAD. Elle se paye.
C’est une sinécure.
Le bon taf.
Elle vit sur les vieux.
Et ne venez pas me dire qu’elle les aime.
Je n’y crois pas.
À part les tiens, et qq. exceptions qui te sont proches, je ne vois pas comment tu peux aimer les vieux.
Non : c’est une planque, mandataire judiciaire.
Celui que j’ai rencontré, brièvement était un ancien légionnaire. Il complétait sa solde de légionnaire comme cela.
Tiens, je vais lui téléphoner aussi, lundi.
La curatrice, comme l’oeil de Moscou a des problèmes de mémoire. Je l’ai noté deux fois. On reviendra dessus.
Elle a vu une fois ma mère première semaine de mars, nommée fin novembre.
M’a dit qu’elle était très bien, adorable et que j’avais une chouette maman.
C’est le cas.
J’ai une maman en or.
Rose, quand le médecin ne peut se déplacer pour une raison ou une autre , un autre médecin est désigné pour le suivi médical. En cas de besoin comment répondre à un besoin de santé sans? Sont envoyés aux urgences les urgences, pour le renouvellement des traitements et je penserais ce doit être obligatoire, il y a un médecin traitant.
Eh bien, les vieilles dingos ont encore passé une nuit ( de pleine lune) d’enfer.
Il faut préciser aux petits nouveaux, que la rosse correspond en privé avec ceux qui l’encouragent dans sa démence.
J’espère que quelqu’un aura noté les coordonnées de cet établissement marseillais mis en cause par la rosse ?
Rose, vous pouvez aussi, dans le sens disposer de ce droit, sortir votre mère les week-end. Cela lui permettrait de récupérer des repères si isolement et son placement sont en cause dans l’évolution des ses troubles mnésiques.
Début de mes envois à Rose , apres 5h30 , je me suis endormie avant minuit. Bonne journée.
> B
Par défaut c’est le médecin de l’EHPAD qui est nommé.
Au bout de 5 jours durant lesquels ma mère a cessé de s’alimenter, « vous n’avez rien » lui a-t’il dit alors qu’elle avait des maux de ventre, il a fait placer ma mère sous perfusion en i.tra-cutanée.
Le vendredi à cinq heures du matin j’ai alerté la curatrice, très réactive, qui a fait hospitaliser ma mère en clinique privée à 11h le même jour. Placée immédiatement sous intraveineuse et au soleil au troisième étage, plein sud.
Là, elle a été perfusée cinq jours. Le cinquième elle a été transportée en ambulance dans un hôpital public. On lui a fait un inventaire coeur poumons reins prise de sang. Sa péricardite était guérie.
Enle est retournée à la clinique privée. Le médecin lui a dit « demain vous rentrez à votre domicile ». Lorsque je l’ai appelée elle m’a dit que mon frère ou ma soeur venait la chercher pour la ramener chez elle.
J’ai appris ensuite que son domicile c’était l’EHPAD. Ma mère a cru que c’était chez elle.
C’est terrifiant.
Vous voyez le lien avec la mémoire ?
>B
« si isolement et son placement sont en cause dans l’évolution des ses troubles mnésiques. »
C’est exactement cela que je cherche à dire.
Ma mère, tous les jours me dit « je ne comprends pas pourquoi je suis ici ». « Qu’est-ce qui fait que je me retrouve dans une telle situatio ? ».
Depuis septembre 2018, ma mère se fait massacrer, trimballer comme une poupée de chiffons et on s’étonne de ses troubles cognitifs ?
Elle a une capacité de résistance époustouflante, eu égard à ce qu’elle traverse, mais elle perd toute sa mémoire immédiate.
Parfois, elle me dit « je ne veux pas me souvenir ».
Les neurologues sont très intéressés par cela.
Merci B de votre compréhension des faits pointue.
#Bonne Fête de la Victoire, vaillants petits soldats !
Ici l’ombre, ici à l’ombre de la nuit finie,
la Sainte Victoire est proche, je répète c’est bientôt le 11 mai.
Rose, vous pouvez aussi, dans le sens disposer de ce droit, sortir votre mère les week-end.
Je n’ai pas le droit.
Véran a annoncé hier quatre à cinq mois encore de fermeture des EHPAD pour sécuriser les résidents.
Aujourd’hui, dans la crise, on en est à un mort sur deux. On s’est débarrassé de nos anciens avec ce virus.
Avant que cela ne commence, j’avais écrit ici hécatombe en vue. C’est ce qui s’est réalisé : une hécatombe.
Mon prochain rendez-vous est dans deux semaines. Pour 20 minutes.
>B
Je tiens le coup.
Merci de l’écoute.
JiCé….., le sergent-chef des CONfinés, Gaga bouguereau pioupiou
Rose, j’ai regarde la procedure de mise sous curatelle , il y a quinze jours où la decidion peut etre contestée. Apres c’est votre cas , cela risque d’être un peu plus complexe sauf si vous pouviez trouver un accord familial, j’imagine. Autant que vous en avez les moyens, prenez la avec vous le week end. Pour le medecin, il vous reste à en choisir un, vous pouvez regarder l’annuaire , demander s’ il est d’d’accord pour assurer le suivi de votre mère à l’ehpzd où elle vit. Ainsi voys necserez pas entièrement dépendant de cet établissement. Il faut aussi sue vous ayez conscience que le personnel des ehpad est plutôt surchargé de travail de façon générale comme d’ailleurs partout. La tendance actuelle dans ce type d’établissement est à l’emploi d’un infirmier coordinateur , plus disponible et accessible que le cadre souvent chargé de la gestion .
« making music from the sounds of the world’s first computers »
https://britishlibrary.typepad.co.uk/sound-and-vision/2015/05/the-imitation-archive-part-2-.html
Une dernière précision avant de m’enfuir :
« …J.C ou bouguereau, qui ont été interdits ici, sont des mystiques à côté d’elle… » (Pablo)
Bougboug est un mystique, je ne suis qu’un moustique, sacré loustic de Pablito !
Les circonstances exceptionnelles devraient être prises en compte au cas où le juge des tutelles reçoive votre demande et où vous auriez les moyens d’organiser sa prise en charge à votre domicile. La qualité des soins dans les ehpad est variable et de toutes façons à besoin de la vigilance de tous. Il nous arrive, soignants, de passer à côté ‘d’éléments importants. On se dit quand même qu’il vaut mieux appeler un médecin pour rien que négliger un eventuel diagnostic.
Le Parti dont la stratégie est : mentir.
« La députée du Bas-Rhin, Martine Wonner, seule élue à avoir voté contre le plan de déconfinement du gouvernement, a été exclue du groupe majoritaire ce mercredi 6 mai. »
« Avec son collectif « Laissons les médecins prescrire », la députée du Bas-Rhin, psychiatre de profession, s’était montrée favorable au recours controversé à la chloroquine face à l’épidémie de Covid-19. Martine Wonner avait « regretté l’absence d’une quelconque stratégie thérapeutique », en annonçant son vote contre le plan gouvernemental le 28 avril à l’Assemblée. »
RTL
Isolement par Veran? C’est le personnel qui infecte les residents, je suppose qu’il a prevu le matériel nécessaire à l’hygiene et les tests de dépistage ou est ce que là aussi l’état va etre contraint à un choix cornélien. Ils sont aussi exposés sans la matériel d’isolation dehors que dedans.
Pour les petits nouveaux.
La « soignante » qui tente ici de faire « autorité » thérapeutique pour calmer la folle furieuse , a été remerciée de ses » services ». Comme une malpropre, si j’ai bien compris.
Sasseur, vous vous trompez, je n’ai pas été remerciée, Je suis contractuelle depuis 2005. Et je ne passe pas à côté d’une mydriase sans lui donner suite.
J’ajoute qu’il m’arrive aussi de contester comme Rose les chroniques d’une mort annoncée.
Pour finir, MS, tout le monde n’est pas comme vous , à tenter de faire autorité. Rose à visiblement besoin d’informations, est très inquiete pour son parent et à juste titre. Si mon experience de soignante peut lui servir je n’y entrepose aucune autorité ou vanité. Je ne rivalise pas en autorité vis à vis des autorités compétentes et j’ai fait part de ma gêne à avoir déserté du système de soins covid19. Je suis à 18 mois de pouvoir bénéficier d’une retraite et de plus ne me sens pas la force, le courage d’affronter cette deferlante dans le milieu où ma compétente trouverait encore à s’ exercer sans danger.
BILAN
Celui du confinement est majestueux : un Etat policier, un Etat mensonger, une communication manipulée, une privation de liberté tout à fait hétéroclite, des amendes stupides, une immunité inimaginable dans les territoires de non-droit, une impréparation entraînant des réactions contradictoires, la destruction du travail presque partout, bref la ruine de ce pays par un gouvernement incompétent de fantoches, amateurs éclairés à la bougie…
Réjouissons-nous du futur bilan du déconfinement qui s’annonce bandant pour le rire, mou pour le redressement de ce cher vieux pays ! Cette fois ci, je pars me baigner…bonne journée les déconfis !
Nos amis helges ( des nouvelles de Chantal ?)
Prête-moi ta plume pour écrire un mot.
« Hier encore, peu avant la tombée de la nuit, un journal m’a appelé pour me demander une chronique sur la légèreté. »
La votre est une réussite.
L’est pas né le Laudenbach vous isolant dans un Grand Hotel, pour une injonction à écrire votre humeur vagabonde.
« Ils n’imaginent ce que ça peut charrier de gravité, de mélancolie, de nostalgie de tristesse. »
Cette légèreté, qui donne aux autres la sensation d’en avoir pour leur argent content, est celle d’une solitude absolue, où il n’y a guère que les proches qui trinquent.
Dans cette confrérie de beuverie encrière qui fait l’attraction du zinc, j’imagine, après que le rideau ait été baissé, le tabouret de Houellebecq voisin de celui de Blondin, jusqu’au bout de la nuit.
, » Prenant acte de mon impuissance, ils se sont rabattus sur un rappeur à la mode lequel, pour être effectivement léger, ne s’exprimait pas vraiment comme le Brantôme des Dames galantes. »
Le rappeur Beocea de Rouen ?
Après le temps d’une petite promenade en gabarre sur la Dordogne, et avant que vous l’exploriez a fraîcheur des grottes où survivent les premiers vestiges de la permaculture, laissez-moi vous faire franchir une petite porte à la dérobée, dans la cour de l’abbaye. C’est une pièce sombre, où résonne la voix d’un médium, entrecoupée du cliquetis de sa machine à écrire. Il vous dira tout ce qui lui passe par la tête. On peut le voir, faiblement éclairé par une bougie, lui, ou son automate.
>MS
Comle on est soi-même on voit les autres.
Ce n’est pas flamboyant. Courage à vous.
Du monde au balcon.
Passou, pour cette petite affaire de fanzone et tee- shirts mouillés, va falloir attendre. Pas de teufs à plus de 10 personnes pour l’instant.
>B.
C’est exactement cela.
D’ailkeurs, ce matin, en écrivant qu’ils bossaient à flux tendu, les soignants vous m’expliquez ainsi pourquoi ils n’ont pas le temps de parler aux résidents. J’avais compris qu’ils couraient mais pas vu le concept de flux tendu.
>B
« et j’ai fait part de ma gêne à avoir déserté du système de soins covid19. Je suis à 18 mois de pouvoir bénéficier d’une retraite »
Pas de honte à porter. Des personnes à risque s’éloignent volontairelent du covid 19 pour protéger leur peau.
La retraite est bien méritée lorsqu’elle arrive. Vous devez avoir une farrière longue pour la prendre dans 18 mois.
>B
Merci et puis j’arrête là.
La Juge des Tutelles va statuer sur le lieu de vie de la mère qui désire vivre chez elle, pas chez moi.
Je pourrais l’aider entre trois et quatre jours par semaine.
Je me soucie pck la mère ne sait pas se défendre ; tout sa vie, sereine, heureuse et épanouie, elle s’est mise sous la protection de mon père. Depuis sa mort elle est paumée.
Et puis, elle-même le dit, sa mémoire fout le camp à allure grand V.
Normalement lors de son audition, ma mère sera assistée par son avocate qui la défend depuis octobre 2018 et la connaît bien.
Le pb. B, de cette putain de maladie évolutive est qu’elle est dégénérative, i-e, ne va pas en s’améliorant.
Rose, vous pourriez aussi prospecter et choisir un autre lieu de vie , je ne sais si vous avez choisi celui-ci. Pour avoir exercé mon métier dans différentes structures , je constate qu’il existe des variations dans la qualité des soins mais de toutes façons, dans les meilleurs , les soignants ont peu de temps bien que dans certains d’entre eux les unités fermees soient plus humaines et confortables. Si vous voulez obtenir leur écoute , optez plutôt pour la négociation, demandez quand il est possible de joindre untel ou untel car dans l’ensemble il y a du travail à tous les postes. Un système de rendez vous téléphonique pour ne pas paraître trop exigeante, que ce soit avec le medecin coordinateur puisque c’est lui qui prends en charge le suivi medical de votre mère ou avec une infirmière.
Camus, jeune homme. Puis dcď au double de l’âge de son père mort.
« Le jour où l’on dépasse l’âge auquel son père est mort. »
La fille de Buxtehude vernie : fille échappant à Haendel à Bach etc.
Se réservant le messie. ☺
Chez Jacques Drillon.
>B
Deux points très positifs dans l’EHPAD où séjoirne ma mère : les repas de très bonne qualité.
La propreté des lieux.
Je retourne au calme, bon we à vous, B.
L’organiste qui est 20 mêtres au-dessus de nos têtes ; en tout cas dix.
Heureusement qu’il.s’est fait couper les cheveux. Les grandes orgues apprécient.
Didier Raoult aussi.
Deux centimètres les cheveux et la barbe bien taillée ; on revit à l’entendre.
Blondin chez Bouvard
Celui du confinement est majestueux : un Etat policier, un Etat mensonger, une communication manipulée, une privation de liberté tout à fait hétéroclite, des amendes stupides, une immunité inimaginable dans les territoires de non-droit, une impréparation entraînant des réactions contradictoires, la destruction du travail presque partout, bref la ruine de ce pays par un gouvernement incompétent de fantoches, amateurs éclairés à la bougie…
toute honte ubu qu’elle dit la mère à sa fille
le blog d’à côté m’a piqué mon idée sur burqa…
séreux ça commence à bien faire !
D, vous entrez en campagne avant les délais, vous a-t-elle accordé son consentement et même, a,-t- elle émis le moindre souhait se de porter candidate?
On peut le voir, faiblement éclairé par une bougie, lui, ou son automate
et térezoune elle siffle le phormol dla mère tussauds..pour rester bêle pour toujours pour dirphilou
d-Hamlet-bouguereau, vent arrière debout, d’un coup d’un seul, comme une mauviette…
keupu parlant d’idée c’est comme entendre pédro parlant de phinesse et de légéreté..une sourde hinsulte
Passou, pour cette petite affaire de fanzone et tee- shirts mouillés, va falloir attendre. Pas de teufs à plus de 10 personnes pour l’instant.
..20 couilles pour 10 vits c’est pas tropeu pour la catrine2 à dirphiloo
En tweet,dess nouvelles allemandes du Beau Gosse américain.
Il a raison de râler.
Mais il n’y a pas que des schleuhs à raconter des bobards un 8 mai de leur défaite.
L’excellent mais mal-aimé Jacques Perret, cité il y quelques jours pour Rôle de plaisance, a été comme Antoine Blondin un chroniqueur régulier du Tour de France, et lui aussi pour le journal l’Équipe.
J’ajoute qu’il m’arrive aussi de contester comme Rose les chroniques d’une mort annoncée
béré prétant main forte c’est une statue de sel à lécher
béré prétant main forte c’est une statue de sel à lécher
Est ce que c’est un compliment? Quand j’étais enfant les paysans disposaient dans les pâtures du sel à lécher pour les vaches.
lui aussi pour le journal l’Équipe
le communisme était soluble dans l’alcool..le pot belge mets des descentes dans les montées
Est ce que c’est un compliment?
on dit haussi qu’on ne connait bien quelqueun qu’en ayant partagé un boisseau de sel avec lui béré..là y’en a pour tout l’monde
» Avant d’entreprendre cette recherche à partir de la Bible, j’étais loin encore de pouvoir danser avec la femme de Loth, de penser avec elle. J’avais plutôt, à mon insu, statufié tout l’univers de la Bible en moi, et laissé seulement les contes et les mythes le faire résonner parfois en échos associatifs. »
https://www.cairn.info/revue-le-coq-heron-2009-1-page-59.htm#
Moi aussi j’avais cela B des gros blocs de sel dans les pâtures.
Vous connaissez votre sujet. Là est votre point fort.
cette histoire d’orge a un gout leviratique dans son genre
orgue, amours délices et orgues
Bonjour Rose,
à lire plus tard quand vous repasserez. J’aime pour échanger avec vous ce blog plus que les courriels. La distance rapproche…
J’ai pensé à vous, il y a quelques jours en regardant un film singulier (sorti le 23/09/2019). Ne croyez surtout pas que je hurle.. Il est de Frank Beauvais. C’est un premier long métrage de 75 minutes, classé « documentaire »…
D’une voix off monotone et obsédante Frank Beauvais dévide une introspection intime. Une sorte d’autoportrait concernant six mois de sa vie (juin à octobre 2016). Un soliloque en voix off doublé sur l’écran d’images et de séquences de films, hétéroclites, qui ont ou n’ont pas de rapport avec ce qu’il dit.
Du cinéma. Des centaines de plans (archives personnelles) et de mots dissonants.
Le texte est publié chez Capricci (sorti en même temps que le film – même titre).
Il parle du monde en état d’urgence, des dérives sécuritaires de l’État et de lui en état de solitude après une rupture amoureuse et un deuil, du besoin de dire ses nuits d’insomniaque.
Il est seul, vit à proximité d’un petit village alsacien, un peu en reclus sauf ses promenades en forêt ou ses virées-ravitaillement au village. Il regarde des films, parfois cinq par jour et ses enregistrements et s’enregistre.
Il raconte son quotidien. Pense tout haut, un trop-plein de pensées qui ne demandent qu’à sortir. Un flot continu de paroles. On ne le voit pas à l’écran. On voit les autres, comme vous dans vos écrits.
L’absence d’un destinataire, l’utilisation du « tu » qui dénote une position d’extériorité pour se parler à soi-même, c’est pour lui, une façon de se concentrer, un dialogue entre plusieurs dimensions de sa personnalité intime. Il dévoile le cheminement de sa pensée en train de s’élaborer. Les inhibitions tombent. Comme pour vous.
Une parole orale (ou écrite) pour soi…
Penser à voix haute, entendre ses propres mots, pour faire le tri, pour s’accompagner, pour légitimer son existence.
8 mai à 11 h 20
Anniversaire du jour où Jeanne d’Arc a bouté les Anglais hors d’Orléans.
Last week end to… déconfinement !
Sans préjuger de l’avenir, n’est-ce pas l’heure d’un premier bilan ?
J’ai bien aimé cette période de confinement, que j’ai vécu comme une retraite, au sens monastique du terme : riche moment, qui m’a permis de déployer mon goût de la paresse.
Un temps singulier, partagé à deux…
Renaissance de la nature et des sentiments.
Renvoyer le lecteur erdélien à ses propres ouvrages.
Drillon plus fort que moi !
Remembrance, Christiane !
30 septembre 2019 à 10 h 34 min
« Ne croyez surtout pas que je hurle » de Frank Beauvais.
Comment faire un film sans tourner le moindre plan ?
A défaut de se servir d’une caméra, le « cinéaste » utilise ses propres mots, illustrés par les images des autres.
Sur un texte lyrique dit en voix off, à la manière de « L’homme qui dort » de Georges Perec, Frank Beauvais, plaque près de 400 extraits de films puisés dans son anthologie cinématographique idéale.
Ici, le cinéaste dit « je » et énonce essentiellement pour les spectateurs son journal de l’année 2016.
Période de sa vie amoureuse qui l’avait ramené dans son village originel d’Alsace.
Six mois plus tard, à 45 ans, il s’y retrouve seul, sans son compagnon ni réelle perspective de travail.
Perdu en pleine campagne, au proche voisinage de sa mère, lui parvient l’écho lointain de l’actualité mondiale, notamment les attentats du 14 juillet à Nice et de novembre à Paris, qui virent l’instauration de l’état d’urgence en France.
Se sentant impuissant, il trompe sa rage et son ennui en visionnant quatre à cinq films par jour, téléchargés illégalement sur son ordinateur.
De quoi nourrir son futur film et préparer son retour dans la capitale.
Original et prenant.
Vendredi, 8 mai 2020, 11h40
Passou, pour cette petite affaire de…
Marie Sasseur dit:
Si j’étais Passou je ne laisserai pas salir mon nom par une Blatte du blog… Quand cette Ordure apparaît ici elle répand une puanteur qui donne envie de fuir.
C’est pour quand l’anti-cafards définitif, Pierre Assouline? Il s’agit d’une question de dignité, pas d’une polémique de plus aux mots violents.
Avec Marie la Chiasse on est dans l’abject.
(8.5.20, 11.35 / Armistice) – Pauvre Drillon pasticheur qui nous refait sa pub sur céline et proust comme passoul sur blondin). Le père Buxtehude obligé d’épouser sa fille !?… Nan, on sait pas lire. – 30 jours de prison pour Bach. Quelqu’un en avait fait un petit roman (flemme de rechercher qui). – Amoureuse de Passou et supportant point de possibles rivales ?… un peu vrai (soupçon que tout le monde a un brin depuis des plombes ago) un peu faux (pourquoi prendrait-elle/il à témoin ses rdéliens ? Oserait pas lui déclarer directement sa flamme ?… pourtant fastoche d’avoir son mail perso, comme celui de brigitte chevalier) – ‘Galimatias régressif’, … a l’air d’apprécier sa trouvaille, la répète devant sa glace comme un mantra. Devrait putôt scander : ‘désublimation répressive’, mais trop compliqué à comprendre – Des fèves à foison, purée de fèves. – Nouvelle bonne : Visite à l’ehpad possible uniquement le samedi sur RV et dans le jardin, s’il fait beau. Après deux mois d’absence totale de comm. et aucune coupe de j’veux, c’est frais !… – Quid de Chantal ? – Tailler dans la varlope. 15 fois le tour, mouillasse sur le green, ce matin. Les gallinacées de la Rdl ont fini par séjourner dans la cuisine ouverte et crotter sur le plan de travail. Qui perd gagne aux champs. – Lundi prochain, on pourra faire 50 fois le tour de son département en bagnole sans qu’il vous arrive rien (+ de 1000 km). Mais ‘tation, si tu fais 101 km de chez toi en zone verte pour aller voir ton voisin en zone rouge, vlan 135 euros, 2 fois ton plein, quoi… – Bon, j’allions enfin pouvoir dépenser son carburant tranquille, retrouver la joie de polluer le bon air de France.
Bàv, bonsoir, cordialement, bipbip, etc.
@Jazzi dit: « Remembrance, Christiane !
30 septembre 2019 à 10 h 34 min
« Ne croyez surtout pas que je hurle » de Frank Beauvais.
Comment faire un film sans tourner le moindre plan ? […].
Jazzi, tu es épatant. Je n’avais pas lu ta critique si fine et précise.
Beau rappel : « Sur un texte lyrique dit en voix off, à la manière de « L’homme qui dort » de Georges Perec, Frank Beauvais, plaque près de 400 extraits de films puisés dans son anthologie cinématographique idéale.
Ici, le cinéaste dit « je » et énonce essentiellement pour les spectateurs son journal de l’année 2016. »
Voilà ce qui me manquait : « lui parvient l’écho lointain de l’actualité mondiale, notamment les attentats du 14 juillet à Nice et de novembre à Paris, qui virent l’instauration de l’état d’urgence en France. »
MERCI, infiniment.
« En prêtant l’oreille aux causeries marseillaises du druide des calanques, l’apôtre de la chlorophylle pour tous eut paru hétérocentrique en regard. A l’écouter nous refiler sa potion magique, qui ne se sentirait dans la peau d’un médocain malgré lui ? »
Regardez cette légèreté bergeracoise s’envoler!
Quel panache !
Dans ce trajet si court du Medoc à Sormiou,
Comme il sait mettre une beauté dernière
Dans son château Margaux.
(Encore une bonote de gagnee, c’est sûr)
le blog d’à côté m’a piqué mon idée sur burqa…
hamlet dit:
Pétomane, J.Drillon n’a pas écrit le mot « burqa ». Comment on pique une idée sans en parler, Grosse Andouille? Ou tu crois non seulement qu’il lit tes conneries mais qu’en plus il cherche des photos sur le Net pour les illustrer?
Ton cerveau est en train de se dégrader à une vitesse folle, mon pote. Tu devrais aller consulter…
(Et non, ne nous dis pas que tu blaguais, tu es tellement complexé que tu ne perds pas une seule occasion d’essayer de te la péter, sans jamais arriver, d’ailleurs – ici c’est trop tard, tu es grillé depuis longtemps, on te connaît par coeur, tu ne trompes plus personne sur ton inguérissable nullité).
@La vieille connasse hystérique de Pachel-les-Pots.
Pas compris « CFF ». Quand on insulte, la plus élémentaire courtoisie est de se faire comprendre.
Hurkhurkhurk!
Muselières
« Quand j’observe tous ces gens masqués dans les rues, je me dis que la prochaine étape sera la muselière. On dressera les humains comme on dresse les chiens. Et le pire, c’est qu’ils n’aspirent plus qu’à cela. Pourvu qu’ils aient leur masque et un sucre.(Roland
Jaccard, blog, 8 mai 2O2O)
Retrouvé L’homme à l’oreille cassée d’Edmond About que j’avais beaucoup aimé à neuf ou dix ans. Suis tenté de le relire. De l’enfant à l’adulte, le goût change peu.
Pas retrouvé en revanche, bien que j’en aie deux exemplaires, La Source Sacrée de James, que j’aurais voulu relire ou feuilleter à cause de Madame Solario. Ma bibliothèque a son secret, ma bibliothèque à son mystère.
Pour désinfecter le blog de la puanteur de la Blatte Abjecte et stimuler au passage le flux kundalini dans le canal central de la colonne vertébrale:
« Sat Nam Fest closing ceremony with Mirabai Ceiba, Snatam Kaur, Jai-Jagdeesh and more. »
« Ra Ma Da Sa Sa Se So Hung »
https://www.youtube.com/watch?v=YzJBKY4dvX8
Ra = Soleil
Ma = lune
Da = terre
Sa = Infini impersonnel
Sa Se = totalité de l’infini
So Hung = je suis Toi (sens personnel de fusion et d’identité dans la totalité de l’infini)
Ce mantra est un mantra de guérison en kundalini yoga. Il permet à l’être de se synchroniser avec l’Univers. Il apporte équilibre. Ces 8 sons (ashtang) stimulent le flux d’énergie dans le canal central de la colonne vertébrale pour vous guérir et guérir les autres.
Position :
Les yeux sont clos et dirigés vers le troisième œil (le point entre les sourcils). Asseyez-vous en posture facile avec la colonne vertébrale érigée. Les coudes sont collés aux côtes, les paumes plates en angle droit avec les poignets ; ou encore la main droite à plat sur la main gauche, sur la poitrine (centre du cœur).
Peut être fait 3 minutes, 11 minutes, 31 minutes, 62 minutes ou 2h30.
#Muselières
Charoulet, 8 mai 2020 ( et non 2O2O, ça me choque toujours , cette erreur typo, trop de maths dans ma vie, sans doute)
La dernière nouvelle du front parisien est tout aussi saumâtre: les lits covid sont fermés, et tous les patients sont mélangés.
@ Sans préjuger de l’avenir, n’est-ce pas l’heure d’un premier bilan ?
Nan, il est encore bien trop tôt, c à partir de maintenant qu’il va falloir s’étudier et étudier les autre dans le bilan à venir. Jusque là, c’était encore que les mumuse-bouche.
Cordialement, jzmn. /NB – > Aurais bien des choses à vous dire sur les ruines d’Hubert Robert, suis sûr qu’il vous manque de la doc. Plus tard, si le projet tient toujours, hein ? Imagine que votre jeanne d’arc est bin avancé, bon courage, à quelque chose malheur est bon)…
collège fe france
et chemins de fer fédéraux (suisses)
L’avocat Régis de Castelnau compare Macron à Charles VI. Pas mal vu.
Mais alors, ou est Odette de Champdivers, qui l’initia aux cartes, et je n’ose penser qui est Isabeau de Bavière.
Restent aussi à placer Bourgogne et Berry au Conseil de Régence, et les pots de vins anglais. (Pas d’inquietude sur ce point, ils font partie du paysage de l’Histoire de France!)
Orleans,8 Mai, Patay, 18 Juin…
(Pas d’inquietude sur ce point, ils font partie du paysage de l’Histoire de France!)
je sais pas comment y vont raccrocher leurs bidons de pale ale meussieu courte..il sont telment perdidos despérados qu’ils -vont- trouver quelquechose..cheurchil va leur apparaitre en barboteuse avec alèstère crolé ou quelquechose..on -doit- havoir peur
Pas mal vu
dans tous les cas tut fais grossment poigner le rable mon larbin..et le hurkurkurkurk rviens à ton seigneur et maitre..son bien..raclure!
Les yeux sont clos et dirigés vers le troisième œil (le point entre les sourcils)
pédro dans ses oeuvres de couillon pyrénéens..
VGE faut l’objet d’une plainte pour avoir posé sans consentir à la retirer sa main à deux reprises sur la fesse d’une journaliste américaine venue pour une interview. Vieillard libidineux.
Du virus a été découvert dans des échantillons de sperme dûment référencés par la BnF. ( en Chine sur trop peu pour être étiqueté mst). Messieurs pressés, ne le soyez pas trop.
Pressés d’en finir avec le confinement. Pour le reste, ma foi, on est comme on est.
Arlette Deguil – Le Chant du départ (La victoire en chantant)
https://www.youtube.com/watch?v=br3HLqyG23Q
désolé de le remettre parce que quand c’est trop c’est trop ! voilà :
hamlet dit: (vers le 5 mai vers 17h) :
D. ces polémiques autour de la pénurie de masques c’était tout du flan, on aurait obligé tous les français à porter la burqa et hop ! le problème était réglé, on se créé des problèmes idéologiques : chez nous depuis le mois de janvier on se ballade tous comme ça :
https://www.rts.ch/info/monde/1989324-france-l-interdiction-de-la-burqa-se-precise.html
»
et voilà !
et vlan ! quand c’est pas Chevillard c’est un autre !
passou vous pensez des fois à protéger mes commentaires ?
greubou, comme je le disais à 3j faut arrêter de critiquer la France et les français !
c’est quand même un français (Gobineau) qui a inventé l’idée de la supériorité de la race aryenne !
et comme je le disais à 3j, c’est aussi un français qui a inventé le premier vaccin, contre la rage ! ce gamin qui vivait dans de très conditions d’hygiène abominables qui avait mordu un pauvre chien qui passait devant chez lui ! Pasteur (un français !!!) avait réussi, grâce à son vaccin, à sauver le chien ! par contre, hélas, comme il mordait tout le monde il avait fallu abattre le gamin…
alors je veux bien comprendre toutes ces histoires qu’on raconte, ce révisionnisme ! tiré de discours d’une droite réactionnaire, anti moderne, anti progressiste et catholique, qui racontait des trucs abominable du genre « viens là mon petit Franz, viens monter tes féfesses à l’oncle Louis qui ve te montrer sa grosse seringue… », tous ces cathos ils n’avaient qu’à aller voir du côté de leurs curés pour trouver les poux qu’ils cherchaient dans la tête de Pasteur !
non Pasteur a bel et bien sauver ce chien, game over !
VGE manque de jugement depuis que Lady Diana lui a filé un coup de genou entre les Alpes et les Pyrénées, alors qu’il tentait un rapprochement franco-britannique imprévu.
CODE DE L’HONNEUR PRÉSIDENTIEL EN INTERVIEW
Article 1 / On ne mettra pas la main sur les fesses d’une Américaine sans au préalable avoir posé la question « Amérique du Nord ou du Sud »
Article 2 / Nord ? on se tire sans politesse excessive !
Article 3 / Sud ? On colle au fessier de la belle avec détermination et inventivité : dans le sud, on sait vivre avec hauteur !
sauvé
JC tu vas te baigner à quelle plage ?
sur Buxtehude, un truc drôle c’est qu’il serait présent dans le tableau du peintre hollandais Johannes Voorhout : « Scène de musique dans un intérieur » (1674).
Son amitié avec le compositeur Johann Adam Reinken (au clavecin) confirmerait cette présence…
par contre personne ne sait où il se trouve dans ce tableau, les avis divergent :
certains disent Buxtehude c’est le personnage à gauche jouant de la viole ou bien celui de droite qui semble chanter avec une partition posée sur sa jambe ?
d’autres pensent qu’il est le personnage à droite de Reinken ont pour argument la partition qui serait un canon sur le psaume 133, éloge de l’amitié qui commence par : « Oh! Qu’il est agréable, qu’il est doux pour des frères de demeurer ensemble! » – suivi de l’inscription : « In hon : dit : Buxtehude et Joh : Adam Reink : fratrum »
et ceux qui pensent que Buxtehude est le personnage situé à gauche de Reinken argumentent eux sur le fait qu’il joue un accord de Si bémol avec les notes sib et ré, b – d, initiales de son nom.
Leur autre argument est l’âge : en 1674, année où est réalisé ce tableau, Reinken a 31 ans, Buxtehude 37 ans, letroisième personnage qui serait le compositeur Johann Theile en a 28… Troisième argument : les visages de Buxtehude et Reinken sont sur le même plan et à la même hauteur.
et cette photo est sur la couverture du livre de Cantagrel sur Buxtehude, où il raconte cette histoire avec Bach et sa fille…
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Musical_Company_by_Johannes_Voorhout_(1674).jpg
je vous le redis ici au cazou… :
Pablo, vous pouvez m’expliquer pourquoi quand j’ai cité la phrase de Jankélévitch « la musique n’exprime rien » vous avez pété un boulon, et quand vous retrouvez cette même phrase plagiée dans un autre livre vous conseillez la lecture de ce livre à Chaloux ?
il y a vraiment un truc que je comprends pas chez vous, comme un manque de cohérence.
le fameux tableau :
https://www.akg-images.co.uk/CS.aspx?VP3=SearchResult&ITEMID=2UMDHUQIIZZQ&LANGSWI=1&LANG=French
Mesdames et messieurs, faites vos « Je » !
Diriez-vous que le confinement vous a été globalement positif ou négatif ?
non Pasteur a bel et bien sauvê ce chien, game over !
Dans le nouvel observateur, un article pour les abonnés, hôpital Necker , hospitalisations d’enfants.
Pablo « Si j’étais Passou je ne laisserai pas salir mon nom par une Blatte du blog »
et moi Pablo ? si vous aviez un blog à vous, j’aurais le droit d’y écrire des commentaires ?
« Diriez-vous que le confinement vous a été globalement positif ou négatif ? »
Jazzi c’est un peu comme poser la question aux survivants du Titanic : « pour vous ces quelques heures passées sur sur un radeau ça a été plutôt positif ou négatif ? »
Jazzi, comme je suis un Vendredi sans Robinson, cela ne change grand-chose à mes conditions de vie, il n’y a toujours pas de Robinson. De plus j’en profite pour m’appauvrir un peu plus suivant ma pente naturelle au farniente.
Année LvB, 6 Variations en fa majeur pour harpe sur une chanson suisse, WoO 64 :
B sérieux ? ce truc vient de tuer des centaines de milliers de personnes en quelques semaines !
et on ne sait pas combien de fois plus s’il n’y avait pas eu ce confinement.
non ? un peu de décence… pensez un peu aux victimes avant de penser à Robinson et Vendredi !
« Diriez-vous que le confinement vous a été globalement positif ou négatif ? »
alors celle-là, c’est le pompon, je vais la noter quelque part.
« Diriez-vous que le confinement vous a été globalement positif ou négatif ? »
pour moi ça a été super génial positif !!!
je me suis éclaté comme pas possible ! même quand je vais danser au Djoon avec mes copines je m’éclate pas autant !
j’espère qu’on aura la même épidémie chaque année !
dites donc, Hamlet, il parait que les français sont encouragés à mettre leurs drapeaux à la fenêtre;mais pas comme vous leurs chaussettes
À propos des 6 Variations en fa majeur pour harpe sur une chanson suisse, WoO 64.
Publiées en double édition en 1798 chez Witzendorf à Vienne et Simrock à Bonn, une copie de cette dernière a été trouvée dans une collection de livres du British Museum à Landres.
Le thème, à caractère populaire, présente une curieuse asymétrie structurelle, composée de quatre mesures de quatre quarts. Les six variantes sont configurées comme des phrases de onze mesures. Seulement dans le troisième, huit temps sont répétés, tandis que le dernier est suivi d’un Coda à trois mesures. Dans son ensemble, l’œuvre respecte le caractère aphoristique du thème. Ce sont des variations purement ornementales qui laissent le profil mélodique et la conformation harmonique inchangés du thème ; change le contexte aussi que le contrepoint avec des figures rythmiquement différenciées. Le thème et les variations sont en fa majeur ; sauf pour la troisième variation qui est en fa mineur.
Hamlet, nous sommes toujours en phase expérimentale, il n’existe pas dans notre pays d’immunité collective et le taux de contaminés est élevé. Rien ne dit sue nous ne serions pas de nouveau confrontés à une nouvelle vague , il est nécessaire à mon avis d’observer les consignes: port du masque, lavage des mains, prudence. Nous ne sommes pas l’égale de l’Allemagne qui enregistre un seuil beaucoup plus bas de cas graves et de mortalité et à une politique dépistage plus efficace et donc d’isolement ciblé. Il faut aussi accroitre la capacité de dépistage en attendant que les scientifiques observent un affaiblissement du virus et de sa capacité à nuire et éteindre des vies. La Suède bien qu’elle ait un taux plus faible de mortalité avec son pari pour l’immunité collective à tout de même un nombre élevé de morts si vous multipliez par 6 _ sa population est six fois inférieure à la nôtre. En bénéfice, la capitale serait couverte.
et alii, je suis tellement fier d’être français que je n’achète que des chaussettes couleur bleu blanc rouge.
B qu’importe ! je comprends pas ce que vous dites ?
comment pourrait-on dire ce confinement a été pour moi une expérience très positive ?
à quel niveau d’égoïsme faudrait-il que nous soyons arrivés pour dire ce genre de chose ?
ce que nous venons de vivre est tout simplement un truc sordide et abominable !
ou si vous n’êtes pas d’accord je vous achète un billet d’avion pour aller vivre avec les indiens navajos pour voir ce qu’ils en pensent du confinement !!!
@ moi ?… globalement positif, Jzmn, puisque j’ai travaillé ce jour pour votre futur goût des ruines antiques.
Vous m’obligeriez à y faire figurer ce fragment retrouvé dans une lettre de FRC adressée à Augustin Thierry, le 8 janvier 1829 :
« J’ai été bien touché, monsieur, de recevoir la nouvelle édition de vos Lettres avec un mot qui prouve que vous avez pensé à moi […] ; Vous savez monsieur que je vous désirais vivement à Rome. Nous nous serions assis sur des ruines ; là vous m’auriez enseigné l’histoire ; vieux disciple, j’aurais écouté mon jeune maître avec le seul regret de n’avoir plus devant moi assez d’années pour
profiter de ses leçons :
« Tel est le sort de l’homme : il s’instruit avec l’âge
Mais que sert d’être sage,
Quand le terme est si près ? »
Ces vers sont d’une ode inédite faite par un homme qui n’est plus, par mon bon et ancien ami Fontanes. Ainsi, monsieur, tout m’avertit, parmi les débris de Rome, de ce que j’ai perdu, du peu de temps qui me reste, et de la brièveté de ces espérances qui me semblaient si longues autrefois : Spem longam.
Croyez monsieur, que personne ne vous admire et ne vous est plus dévoué que votre serviteur ».
Tel, jzmn, recevez ce témoignage de ma fidèle dévotion à vos goûts de la paresse sur les antiques ruines de ces temps confinés. J J-J.
comment il disait l’autre ? « l’humanité unie contre le mal » ?
« humanité unie » y’a bien que des philosophes pour pondre des conneries pareilles.
Ce que je voulais dire et qui sûrement ne concerne que les solitaires, n’y voyez pas de l’égoïsme, c’est que ce confinement parvient à peine à modifier mon mode de vie. Ceci étant je regarde autour et j’observe comme vous les conséquences micro ou macro sociales ,économiques, humaines .
B je crois qu’il faut relire la Peste de Camus.
c’est un très beau livre.
sur ;l’obs :
« À la faveur des événements, fertiles en angoisses, doutes, incertitudes, la conversation sur la Toile s’est démultipliée. La nuit n’est plus le refuge et l’exécutoire des solitudes qui s’insupportent. Le jour aussi. Sur la Toile, il y a toujours quelqu’un à qui parler. Chaque jour de l’année, à toute heure du jour ou de la nuit. “Tout bon entendeur doit y trouver salut et s’y retrouver, non sali”, formule admirablement cadencée tirée du “Criticon” de Baltasar Gracián.
Carole Fives : « Ce qu’on vit tous en ce moment, c’est la vie des mères célibataires »
On renoue avec l’ancienne conversation dans ce qu’elle avait de meilleur : on ne s’y intéresse pas aux gens pour ce qu’ils font – leur fortune, leur pouvoir ou leur métier, toutes choses ignorées et jamais demandées, mais pour ce qu’ils sont. Tout le contraire de la conversation française telle qu’elle se pratique quotidiennement de vive voix au XXIe siècle où l’on est ce que l’on fait, et où l’on n’existe que par ce que l’on représente. L’internet ressuscite cette relative et bienheureuse invisibilité. Elle réinstalle une égalité de départ entre les interlocuteurs, ce qui était à la base même du dialogue. Faut-il croire que les nouvelles technologies vont aider celui-ci à redevenir le fondement de la morale ?
P.Assouline
À propos du père de Cage inventeur, Drillon oublie le système de projection pour la télévision et le médicament contre la toux.
Un bref détour pour remercier christiane de ses nombreuses citations toujours bienvenues sur mon blog.
@ H… toujours partagé entre une réaction d’indignation et une réaction d’ironie acerbe. Rappelons d’abord que ce n’est pas b. qui a posé la question en ces termes mais Jzmn.
Ensuite, rappelons que oui, il y beaucoup de gens confinés à la campagne qui ont passé de merveilleux moments, bien qu’ils aient été malheureux pour leurs contemporains restés à la ville. Lesquels, dans le monde de la communication immédiate tous azimuts ont nénamoins su limiter les dégâts que d’autres générations antérieures n’auraient jamais imaginé. Il en résulte présentement un taux mondial de létalité liée à ce virus meurtrier infiniment plus faible en proportion par rapport à celui de la grippe dite espagnole d’il y a seulement un siècle. Nous savons bien que la froide « raison statistique » d’un tel comparatif paraitra toujours obscène et incompréhensible à des esprits chagrins comme le vôtre ne sachant pas gérer correctement la balance de leurs affects et de leur raison. qui sont majoritaires… Pour autant, sasn vous croire obligé d’user de cyniqme, n’accablez par b., cette ancienne infirmière célibataire, dévouée en soins et en conseils avisés, qui se montre un brin plus rationnelle que vous ne l’êtes, H. Essayez de vous hisser à sa hauteur et de contrôler vos nerfs, on vous l’a déjà dit… Au lieu d’accuser les autres, expliquez à jzmn pourquoi se question vous parait oiseuse voire obscène. Il faut argumenter à qui de droit, et pas à côté de vos brodequins français. Merd’alhors !
Chère B., excusez-le, parfois il s’emporte mais je vous assure qu’il n’est pas un mauvais bougre. En fait, il n’a jamais trop su assumer sa furieuse philanthropie. Cela fait partie de son charme et des ses limites.
Bàv, bérénice. Je suis sûr que vous allez bientôt trouver un bon compagnon sans le chercher. Remember : « On rencontre sa destinée souvent par les chemins détournés qu’on prend pour l’éviter ».
Bàv, bérénice. Je suis sûr que vous allez bientôt trouver un bon compagnon sans le chercher. Remember : « On rencontre sa destinée souvent par les chemins détournés qu’on prend pour l’éviter ».
Que ne m’epargnez vous pas de ce couplet!
renato
Alors que les chercheurs du monde entier tentent de trouver des moyens d’endiguer l’épidémie de coronavirus, les scientifiques se tournent vers de nouvelles méthodes pour y parvenir. Et il s’avère que l’une d’entre elles, consistant à mettre le virus en musique, pourrait les aider à mieux comprendre son fonctionnement. Développée par des chercheurs du MIT, cette approche étonnante, dont nous vous avions parlé il y a quelques semaines, a donné naissance au « Contrepoint viral de la protéine pointue du coronavirus » (que vous pouvez écouter ci-dessous).
https://dailygeekshow.com/coronavirus-musique-proteine/?utm_source=newsletter&utm_medium=e-mail&utm_campaign=Newsletter_Journaliere_2020_05_07
je me demande qui sera reconnu le compositeur
A la manière de VH
« Celui qui écrit ces lignes n’a pas mission de dévoiler son nom. Venu de l’ombre, il n’aspire qu’après l’Ombre. D’ailleurs il ne cherche pas à défendre ses feuillets abandonnés au vent d’orage. On y verra ce qu’on voudra, on en prendra ce qu’on pourra. Il est permis au Penseur de regarder à la fois devant lui et derrière lui. Ce n’est donc pas seulement un livre, c’est un torticolis »;
Peters house, Novembre 1865
JJJ, cet extrait de Chateaubriand figurerait déjà en bonne place dans ma sélection mentale pour un éventuel goût des ruines.
Je n’ai pas encore proposé de nouveaux goûts à mon éditrice, après avoir rendu le manuscrit de celui de Jeanne d’Arc, bien avant le confinement…
Ne devrais-je pas tourner l’Alpage ?
Triste 75e cérémonie du 8 Mai. Il y avait moins de porte drapeaux qu’à l’enterrement de mon père, qui batailla pour le maintien de la commémoration de l’armistice. Un des anciens Présidents semblait ignorer les gestes barrière
le mois de mai joué par Richter – les Saisons de Tchaikovsky…
pour le dire de façon musicale, sans toutefois tombé dans un excès dérangeant de lyrisme, mais tout en conservant une certaine rigueur critique je dirais, si je l’ose bien sûr, dire que c’est le summum du top de sa mère du top du summum que même le bon Dieu il m’arrache les oreilles si je mens si c’est pas la vérité de ta mère que je te le jure sur la santé de mes morts :
je n’aurais pas voulu en parler tant c’est ridicule mais j’ai un problème aux coudes ;c’est une reprise mais déjà un médecin n’avait pas su le diagnostiquer; alors ça m’a fait en le grattant des croutes que j’arrachais parce qu’elles filaient mes pulls;je l’ai donc remontré à un médecin qui a mis des noms, des vrais noms aux bobos et aux prescriptions pour m’en débarrasser ,que je puisse lever le coude et jouer des coudes, et faire des gestes barrière dans mon coude; c’est peut-être ridicule, mais c’est la vie
tombER
L’idée du piano préparé en substitution des percussions a été suggérée à Cage par Henry Cowell, dont il fut l’élève en 1934, et qui faisait des expériences en ce sens depuis The Banshee :
En 1931, après un Tour en Europe, Cage rentre en Californie. En 1933, il décide de se consacrer principalement à la musique et il envoye quelques-unes de ses compositions à Henry Cowell, qui lui dit-il d’aller chez Adolph Weiss, un étudiant de Schönberg, il s’installe donc à New York pour étudier avec Weiss et il prend aussi quelques leçons de Cowell. Fin 1933, avec une technique de composition améliorée, il décide de se tourner vers Schönberg pour devenir son élève. Schönberg l’accepte et lui donne des cours gratuitement.
3j d’accord, vous avez raison, promis c’est la dernière fois, je le refais plus jamais de la vie, je vous le jure sur la tête de Mr Court !
B, 3j a raison, vous voulez bien m’excuser ? d’accord ? svp ? je suis vraiment désolé.
tout ça c’est pas ma faute, c’est la faute à la question de Jazzi.
en plus vous êtes la seule ici à me défendre contre la méchanceté perverse et démoniaque de Pablo, c’est pas juste, pardon B !
B ?
et voilà ! maintenant B est partie ! Dieu seul sait si elle reviendra… misère de misère, qu’est-ce que j’ai fait…
Jazzi tout ça c’est ta faute à toi et tes questions à la con !
@ je n’aurais pas voulu en parler tant c’est ridicule mais j’ai un problème aux coudes
… De même qu’une hirondelle ne fait pas le printemps, etalii ne s’en fout pas la paix des erdéliens. Elle aurait bien de l’huile de coudre à revendre, mais à force de copier coller toute la journée, n’arrive plus à composer avec l’épanchement de synovie de son mulot. On l’avait prévenue d’arrêter. Cliquer des liens à longueur de temps, au lieu de réviser son hébreu…, on va enfin comprendre ce qu’auront provoqué les ravages du confinement lié au microbe chez des erdéliennes,jzman. Une externalité négative pour s’éternuer dans le coude… Mais je la trouve sympathique et vraie quand elle est ridicule, beaucoup plus humaine, plus proche de « nous », l’exfoliée, quoi.
@ les consignes qui ont été prises dans l’entreprise de mon ami Philippe, assujetti à devoir répondre aux 8 questions de ce questionnaire avant lundi 11, sous peine d’ostracisme et de prolongement en chomage partiel et menace de licenciement, s’il s’avisait de répondre n’importe quoi (sérieux, H.)
6e question (-je vous épargne les autres-) : « Ces dernières 24 heures, avez-vous eu une diarrhée (avec au moins trois selles molles ?) ».
Les entreprises privées sont de plus en plus curieuses. C’est pas à la rdl qu’on irait intruser les internautes avec des affaires de même !
Relativisons les priorisations et faisons en sorte d’être en capacités d’affronter les problématiques.
A plusse.
@ Mais non, H., bénrénice n’est pas partie à la recherche de sa destinée, on sait bien qu’lele préfère la solitude ! Va nous revenir.
@ de quoi ? jzmn, vous en avez déjà fini avec jeanne d’Arc ? Pour ma part, je suis un stakhanoviste du dégoût, voilà pourquoi je ne propose rien au mercure au chrome, et que j’use pas mon huile au coude…
le bras long?
tout ça n’arrange pas mes souvenirs scolaires:je ne sais plus combien fait une « coudée »;alors j’ai cherché un peu sur internet et j’aitrouvé que Rabelais écrivait « « « Car celui qui se donne à fond, et sans se retenir sait fort bien honorer les dames, il est dit de luy qu’il a les couillées franches »
il n’y a pas la référence mais tout le monde a compris
Le 8 mai 1937, à Glen Cove — New York —, naissait Thomas Pynchon :
https://farm4.static.flickr.com/3060/2725730679_af4eceb74c_b.jpg
Natalia Osipova :
ce pauvre 3J est obsédé , et son orthographe est un reflet de ses intuitions des gens et des choses;il ennuie de clichés non pas un brin mais une masse contraires à l’approche de toutes réalités ;celles du billet puisqu’il est supposé lui aussi le commenter et non chercher des alibis à son narcissisme pour lequel il n’a su créer un blog:preuve qu’il ne suffit pas de butiner dans la judéité, et la médecine pour être pertinent ;
rien à voir pour mon coude avec des histoires de synovie,donc ;mais le premier médecin qui avait vu n’avait pas trouvé ! je ne sais si c’est une pathologie française de se croire « thérapeute » et psy, mais ce 3J est un exemple entre mille de ce vice qui verse en exercice illégal d’une supposée autorité -qu’il n’a pas- à la différence de certains vétérinaires
bonne soirée
Evgenia Obraztsova :
@ jzmn nan je n’harcèle pas…, je m’inspire seulement, quand c’est férie confiné.
(Ne devrais-je pas tourner l’Alpaga ?)
Si fait, bien sûr…, mais vous avez trop le vice hélas (vicélasse). C’est ce que je vous reproche un brin ! On attend toujours le récapitulatif de vos mémoires sur papier bible donnés jusqu’à présent en uniques morceaux flatteurs, dans le monde virtuel de l’erdélie. Alors qu’on soupçonne tout de même des séquences pas très reluisantes, comme chez tout un chacun.
Enfin, voyez ce que vous pouvez faire, hein. Vous serez toujours des nôtres.
Une coudée égale à deux empans.
Un empan égale à 20 cm.
Les coudées franches c’est plus.
@ TXFL, de mémoire, je crois que la coudée égyptienne était une unité de longueur désignant la distance entre le coude et le bout du médius, càd environ 50 cm. Une coudée standard fut établie sur du granite noir : la coudée royale mesurant 52,4 cm, elle servit de modèle à toutes les autre coudées. Il faudrait vérifier auprès du Rablé, bien sûr…
Jazzi, tu citais Un homme qui dort de Georges Perec ce matin à propos du film Ne croyez surtout pas que je hurle de Frank Beauvais.
Passou se glisse dans l’écriture d’Antoine Blondin, Clopine dans celle de Proust et écrit que tous les intervenants, ici, écrivent des pastiches.
J’ai relu cet après-midi cet étrange livre de Perec et ses déclarations à propos de l’écriture de ce livre Un homme qui dort.
Lors d’une conférence, en 1967, Georges Perec évoque l’écriture de ce roman.
« Pour mon dernier livre qui s’appelle Un homme qui dort, j’ai fait la même chose [que dansLes choses avec Flaubert] en me servant principalement de deux auteurs, l’un est Kafka, l’autre est Herman Melville. (…)il y a en ce qui me concerne, une image de la littérature qui se dessine et qui serait l’image d’un puzzle. (…) Butor a expliqué que tout écrivain était entouré d’une masse d’autres…, enfin, il est là et il y a autour de lui, plus ou moins près, plus ou moins loin, d’autres écrivains qui existent ou qui n’existent pas, qu’il a lus, qu’il n’a pas lus, qu’il a envie de lire, et, si vous voulez, ce puzzle qui est la littérature, dans l’esprit de cet écrivain, a toujours une place vacante, c’est évidemment ce que l’œuvre qu’il est en train d’écrire va venir remplir.(…)
De la même manière pour Un homme qui dort, la lecture, à outrance, enfin, pendant des semaines et des semaines, d’une nouvelle de Melville qui s’appelle Bartleby th Scrivener et des Méditations sur le péché, la souffrance et le vrai chemin de Kafka, enfin du Journal intime de Kafka, m’a conduit presque nécessairement, comme à travers une espèce de voie royale et tout à fait étroite, m’a conduit au livre que j’ai produit. »
(Georges Perec, Pouvoirs et limites du romancier français contemporain, conférence prononcée à Warwick le 5 mai 1967.)
Marcel Benabou et Bruno Marcenac, dans Les Lettres françaises du 2 décembre 1965, rapportent des propos de Perec qui complètent ceux cités précédemment.
« Bien sûr, mon ambition n’est pas de réécrire le Quichotte, comme le Pierre Ménard de Borges, mais je voulais par exemple refaire la nouvelle de Melville que je préfère, Bartleby the scrivener. C’est un texte que j’avais envie d’écrire : mais comme il est impossible d’écrire un texte qui existe déjà, j’avais envie de la la réécrire, pas de la pasticher, mais de faire un autre, enfin le même Bartleby, mais un peu plus… comme si c’était moi qui l’avais fait. »
Un homme qui dort est donc placé sous l’égide de ces textes et par leur entremise, l’écriture de Perec se façonne en une écriture véritable.
Mais l’intégration de ces textes est si poussée qu’on peut lire le roman de Perec sans y prêter attention.
Un tissage entre une autobiographie (masquée par le « tu ») alliée à ce gigantesque collage dont les éléments se fondent si bien les uns dans les autres que l’écriture de Perec paraît être spontanée, entièrement de lui, exprimant si bien cette espèce de lassitude, cette indifférence, ce vide, livré à l’écoulement du temps comme dans le film précédemment cité. Un être sans qualités, un homme des possibles, ajouterait hamlet. Une disponibilité telle qu’il peut enregistrer les faits les plus banals avec minutie.
Il existe aussi de sympathiques vétérinaires juifs véreux qui remettent d’aplomb des chevaux arabes, qu’allez vous croire là, mistinguette ? Le monde de Lacan est beaucoup plus compliqué qu’on le croit généralement et personne n’en est venu à bout, sauf erreur, lui-même ne comprenait pas toujours ses galimatias progressifs, même en se relisant… Il eut besoin d’une Ecole dont on voit ce que sont devenus ses principales thuriféraires glosatrices au jour d’aujourd’hui… Amicales pensées de Bibi, du fin fond du lit Koud.
christiane, pour un premier approche du travail de Duchamp et une mise en perspective au delà des poncifs :
Michel Carrouges, Les machines célibataires et aussi l’élaboration du thème par Harald Szeemann : Junggesellenmachinen/Les machines célibataires, avec textes de Harald Szeemann, Arturo Schwarz, Jean-François Lyotard, Michel de Certeau, Michel Carrouges.
Si vous n’avez pas envie de vous taper ces regards anthropologiques rétrospectifs, afin de comprendre comment fonctionne une machine célibataire vous pouvez lire ou relire L’Invenction de Morel d’Adolfo Bioy Casares et/ou La Colonie pénitentiaire de Kafka.
Les coudées franches c’est plus.
merci rose;imaginez bien que j’ai été chercher la page wiki et la mesure en « doigts »:mais sur la RDL, il y en a qui se mettent les doigts dans le nez et bien sûr dans l’oeil -on dit jusqu’à l’omoplate (sans h à homoplate) et ne reconnaissent pas le tien -emprunté- du chien
bonsoir
Je ne connais rien de ce qui précède mais la colonie pénitentiaire, Renato, quelle horreur. Je me demande pourquoi et comment il a pu écrire cette nouvelle, Hitler n’avait pas commencé les réjouissances.
ceux qui commentent le billet et voudraient parler de LACAN citeraient KANT avec Sade sauf les super sadiques à la 3J
Hamlet, j’ai pensé que vous n’étiez pas sérieux, provocation
Un peu comme votre clip avec un black qui vend ses infos au black pour éviter à l’autre de se faire tuer.
Sois juste, c’était ça?
Kant avec Sade est en pdf sur internet :vous saurez bien trouver le lien?
hamlet dit: à
[…]
ce que nous venons de vivre est tout simplement un truc sordide et abominable !
[…]
Oui.
>B
Ce serait pas mal s’il vous achetait quelque chose, non ?
Décryptons, décryptons, on est là pour ça
ce pauvre 3J est obsédé , OUI MAIS PAR QUOI ?
et son orthographe est un reflet de ses intuitions des gens et des choses;
SES INTUITIONS SONT-ELLES CORRECTES OU SIMPLEMENT BANCALES ?
il ennuie de clichés (non pas un brin mais – OUI C’EST MON TIC CHACUN A DROIT AU SIEN) une masse contraires (A QUOI SE RAPPORTE CE TERME / CLICHES ? DES CLICHES CONTRAIRES ?) à l’approche de toutes réalités (QUELLE REALITE – DES CLICHES CONTRAIRE A TOUTES REALITES – Diable 🙂
celles du billet (LES REALITES DU BILLET ?) puisqu’il est supposé lui aussi le commenter 5 AH BON, MAIS QUI A DECRETE CETTE OBLIGATION AU JUSTE ? AVEC QUELLEA UTORITE ET SUR QUEL IMPERATIF COMMUINATOIRE ?) et non chercher des alibis (POURQUOI DES ALIBIS ?) à son narcissisme (OUI POUR LE NARCISSIME, DONT ETALII EST TOTALEMENT DEPOURVUE; NON, LE SIEN EST EXPLICITE, NOMAL ET NORME, A DEFAUT D ETRE PERVERS) pour lequel il n’a su créer un blog (INCOHERENT…, MAIS IL NE S’AGIT PAS D’UN PAS UN SAVOIR, C’EST D’UNE VOLONTE DELIBEREE) :preuve qu’il ne suffit pas de butiner dans la judéité (DANS LA VÔTRE UNIQUEMENT), et la médecine pour être pertinent (NUL NE PRETEND L ETRE ICI ? QUELS SERAIENT LES ETALONS DE VOTRE PERTINENCE AU JUSTE ? celle issue de votre psittacisme lacanien ?);
rien à voir pour mon coude avec des histoires de synovie (C ETAIT DE L HUMOUR NON JUIF) ,donc ;mais le premier médecin qui avait vu n’avait pas trouvé ! (ATTENTION VOUS PASSEZ ALLEGREMENT DE MON ENFUMAGE A VOTRE JUSTIFICATION… UN TRANSFERT NON CONTRÖLE DE VOTRE NARCISSIME ?) je ne sais si c’est une pathologie française (en tout cas certainement pas israélienne) de se croire « thérapeute » et psy, mais ce 3J est un exemple entre mille (BEN SI J AVIONS SU ETRE A CE ONT NOYE DANS LA MASSE J ‘AURIONS PAS VENU, HEURUSEMENT DIEU RECONNAITRA TOUJOURS LES SIENNES PAMI LES ALGUES ENVAHISSAUNTES) de ce vice qui verse (UN VICE QUI VERSE, Jolie allitération, bravo) en exercice illégal d’une supposée autorité (EXERCER ILLEGALEMNT (donc juridiquement- UNE AUTORITE, – qu’il n’a pas (donc purement formelle sur un blog non identifiant) à la différence de certains vétérinaires (Des VETERINAIRES QUI AURAIENT UNE AUTORITE LEGALE SUR LE TRAITEMENT DE LA GALE DES POUX, oui on en a rencontré récemment, et pas chez des grands infectiologue lacaniens)
bonne soirée – (DEJA COUCHEE SUR LE … KOUD ?)
Bon, j’avions fait ce que j’avions pu, pour décoder un brin… était point facile… normal à partir d’une handicapée du clavier et du sabir blondinien proposé par la rdl, hein. Quelle rigolade, ce 8 mai.
Janssen J-J
« Il faudrait vérifier auprès du Rablé, bien sûr… »
Les mesures sont prises sur le corps humain. J’ai vérifié sur moi. 40. Au pire jusqu’au médium 41.
Z’avez 11 cm de trop.
Ça ne va pas.
Christiane
J’ai lu votre longue réflexion de ce matin, le film.afférent et la critique de jazzi.
C’est exactement cela.
Mais la suite est.celle d’un accouchement difficile.
Fièvre puerpérale. Douleurs. Exténuement.
Ma mère qui me dit :
« Le problème est que je ne comprends pas pourquoi je suis ici. »
« Hitler n’avait pas commencé les réjouissances », B, Staline non plus d’ailleurs, mais K. avait vu dans la complexité-stupidité — aliénation — de la bureaucratie, cette machines prodigieuses sans but social, le fondement de toute dictature.
Je signale que mon clavier a des handicap techniques, il n’a pas de corrector…
Son serviteur n’a aucun handicap de cet ordre. Donc, inutile d’ironiser, j’ai vu, j’ai vu, j’ai vu, je sais , je sais, je sais.
Ouarfl. 2O2O
renato dit: Le 8 mai 1937, à Glen Cove — New York —, naissait Thomas Pynchon
»
renato, génial ! merci pour l’info !
pour fêter ça ce soir je vais me boire un bon martini gin ! sans alcool bien sûr !: un tiers de volvic, un tiers de vittel, un tiers de sirop de grenadine, une boite d’olives vertes bio dénoyautées et un zeste de citron vert le tout passé au shaker avec des glaçons !
@ Z’avez 11 cm de trop.
Non c’est pas moi, c’était Ramsès II
(confirmé par sa meilleure biographe, Christiane Desroches-Noblecourt).
Oui, bon anniversaire Thomas. Je me joins à la beuverie générale, même jusqu’après minuit, hein.
je ne parle pas le »blondinien » ni même le
« lapis l’assoulinien » et c’est déjà bien assez pour moi de lire assez pour m’imaginer les comprendre; surtout lorsque P.Assouline rappelle de réel, où chacun recherche une connivence amicale sans songer à « faire du lien social ».
donc c’est peut-être une explicitation des fins d’un blog ; une connivence;
ceux qui ici la cherchent par la haine et le mépris à mes dépens, peuvent s’amuser entre eux, partouser à l’aventure quand ils s’invitent ; je ne doute pas qu’ils trouvent amateurs et amatrices ;
si je veux emprunter, ce sera ailleurs que dans leur mélasse
chez Pynchon il y a un cocktail qui s’appelle « Téquila zombies ».
c’est aussi le nom d’un jeu vidéo, je sais pas qui a pompé sur l’autre ?
synopsis du jeu : « Tequila Zombies est un jeu PC de plate-forme et de tir déjanté dans lequel Miguel, le protagoniste, après s’être aperçu que le Mexique est en proie à une zombicalypse, tente de fuir vers les Etats-Unis en compagnie de Jaqueline, une policière mexicaine. »
je trouve que certains contributeurs trices sont imbuvables et si imbus d’eux-mêmes qu’ils ôtent tout intérêt à la RDL .
EN TOUTE LOGIQUE je vais voir ailleurs
Pink Noises: Women on Electronic Music and Sound
Francis Picabia Sotileza ( Subtilité) 1928.
3j, n’y prenez pas mal, mais j’ai l’imporession que parfois vous avez des discours un peu moralisateurs, qui se veulent irréfutables pour prendre ltoujours le dessus tous les autres etc…
je me souviens d’un temps où vous étiez plus léger et un peu moins plombant, toutes ces majuscules ça vous ressemblent pas, vous devriez essayer de faire un petit travail sur vous-même pour retrouver cette légèreté d’antan…
et alii dit: à
je trouve que certains contributeurs trices sont imbuvables et si imbus d’eux-mêmes qu’ils ôtent tout intérêt à la RDL .
Trinquons!
Rhum Don Papa, jus de citron, cranberry et jus d’orange en commençant avec quelques glaçons!
Eh bien Ramsès II était trop grand.
Dommage.
Tequila Zombies dans Inherent Vice. Le cocktail pas grande chose. Étant donné l’intérêt qu’il porte aux séries et plus largement aux média il est possible qu’il se soit inspiré du jeu.
rose dit: « Christiane
J’ai lu votre longue réflexion de ce matin, le film.afférent et la critique de jazzi.
C’est exactement cela. »
Merci, Rose. C’est bon de trouver du sens à notre présence, ici, et à tous ces mots des uns et des autres. Bonne soirée.
@ vous devriez essayer de faire un petit travail sur vous-même pour retrouver cette légèreté d’antan
Oui, je vais essayer. Merci pout votre judicieux conseil.
@ Désolé pour la coudée égyptienne. Avaient un brin la folie de la grandeur…, pas les prendre en modèle, si ça fait de la peine.
Amitiés à tous.tes, demain sera le samedi 9 mai 2O20, AMS, autant vous le préciser tout de suite.
Après la Belgique, le Portugal : une initiative au sommet.
https://actu.orange.fr/monde/portugal-perche-sur-une-grue-pour-voir-ses-proches-en-maison-de-retraite-CNT000001q1JlE.html
Christiane
Il y a du sens de l’importance de la solidarité et des idées 🥰
Bonne soirée
renato dit: « christiane, pour une première approche du travail de Duchamp : Michel Carrouges, Les machines célibataires.
vous pouvez lire ou relire L’Invention de Morel d’Adolfo Bioy Casares et/ou La Colonie pénitentiaire de Kafka. »
Vraiment merci, Renato. C’est très important les pistes que vous me donnez là. J’avais lu les livres, un peu effrayants mais les hommes avec leurs machines de guerre et leurs tueries le sont-ils moins ?
Quant aux machines,tellement inquiétantes… Ce sont des heures graves précédant ou succédant aux guerres, la mort, les tortures, la détention… la souffrance. Des souvenirs à vif, des prémonitions.
L’érotisme aussi.
Urinoir, porte-bouteilles, porte-manteaux, pelles, roue de bicyclette, empreintes… ou le mouvement du « Nu descendant un escalier »… Fantasmes ou indifférence de l’écart. Tout cela semble avoir un rapport aux corps. Corps androgynes, verge et vulve : Rrose Sélavy. Corps de femmes amputés, mécaniques, tuyaux et trompes, corps nus intimes sexués et fragmentés… Mariée évaporée nimbée d’un halo fantasmatique, rubans et seins dénudés…
Éros et Thanatos… Comme si le désir poussait la vie vers la mort.
Qu’est-ce que cela dit du désir des hommes ? Un regard de voyeur ? Angoisse du mâle devant le sexe féminin ? Désirs de transgressions ? Ou bien l’art ne raconte-t-il rien, ne renvoie-t-il à rien ? Peut-être remplit-il un manque ?
Drôle d’univers…
Bonne soirée.
une analyse de Milner sur la Règle du jeu
. Le système politique français repose sur le principe : le conflit d’abord ; le conflit est premier dans le temps et dans la vision du monde. Le système politique allemand, lui, repose sur le principe : le compromis d’abord ; le conflit, s’il y en a un, ne peut venir que dans un deuxième temps et comme une exception à la règle. Dans les deux cas, il s’agit de bien davantage que de traditions ; on a plutôt affaire à deux lois constitutionnelles non-écrites.
je ne doute pas que vous vouliez produire et rere produire des attestations quevous êtes les meilleurs français ; je n’en discute pas:je m’en fiche!
et que vous êtes les plus porno de la toile ,je n’en discute pas non plus ;ce n’est pas non plus « le thème du billet »
je ne viendrais pas chercher des ami-e-s parmi vous si c’était ma question;
covidez bien, mieux et plus fort ; ce monde n’est pas vide d’humanité
Pablo :
Ma = lune
Ri = Soleil
Sa = Infini impersonnel
Seur = totalité de l’infini
»
wow impressionnant !
si j’avais su ça avant j’aurais pris ce pseudo avant MS.
« Les vrais idéalistes sont des grands pragmatiques […], et quand Robinson part, il ne part pas avec des grandes idées de poésie ou de récit, il va dans la cale chercher ce qui va lui permettre de survivre : du fromage, du jambon, des choses très concrètes. »
Tant pis pour les musulmans en plein ramadan 😅🤣😂
« Qu’est-ce que cela dit du désir des hommes ? »
Cela dit beaucoup.
Quand est-ce qu’on mange ?
Quand est-ce qu’on baise ?
De la peine ?
Pas une once.
Déjà demain.
Christiane c’est de l’humour à l’emporte pièce. Pas même grinçant.
un livre qui va faire date (j’espère que passou en parlera) :
LSDJ – 07 MAI 2020 – N° 956 SANTÉ
Pouvait-on éviter le désastre du confinement ?
« Alors que va s’amorcer le déconfinement en France, les interrogations sur la nécessité du confinement, ou du moins sur sa rigueur, ont été relancées par Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université Paris-Descartes, ancien membre du Haut conseil de la santé publique, et directeur de l’Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport. Au cours de plusieurs interventions (notamment sur Cnews, en lien ci-dessous), il a souligné les motifs d’espérer la fin prochaine de l’épidémie… et de regretter le confinement drastique auquel les Français ont été soumis.
Pour le professeur Toussaint, comme pour le professeur Raoult qui avait évoqué la « forme de cloche très banale dans les maladies virales » de la courbe de l’épidémie de Covid-19, sa décroissance en France et partout dans le monde annonce la disparition de l’épidémie, sans grand risque d’un « rebond ». « Le pic de l’épidémie de Covid-19 a été franchi début avril », « nous sommes à la fin de cette vague épidémique », affirme Jean-François Toussaint sur la base notamment des données de l’institut Johns Hopkins University (JHU), aux Etats-Unis. À son avis, la deuxième vague redoutée par les autorités françaises, après le déconfinement progressif qui sera initié le 11 mai, n’aura probablement pas lieu car elle n’a été observée dans aucun des pays qui nous ont devancés dans l’épidémie. Il y a bien eu ces dernières semaines des remontées du nombre de cas, notamment en Chine ou à Singapour, mais il s’agit dans ces deux exemples de citoyens revenus dans leur pays porteurs du virus (cas de la Chine) ou de travailleurs migrants (Singapour) qui n’avaient pas été testés.
Faut-il attribuer au confinement le ralentissement de l’épidémie et la diminution du nombre de morts ? Là, le professeur Toussaint jette un pavé dans la mare : « Le schéma est le même dans tous les pays, qu’ils aient confiné ou non ». Une décroissance similaire de la courbe s’observe dans des pays qui n’ont pas confiné, tels, en Europe, les Pays-Bas et la Suède, ou qui pratiquent un confinement très ciblé comme l’Allemagne. Ce seraient donc les gestes barrière, le port du masque et la distanciation qui auraient ralenti la diffusion du virus – et qui l’aurait jugulée chez nous si nous les avions mis en place dès le début, en disposant de tests et de protections. Les pays qui, comme la France, ont adopté un confinement général, ont suivi les recommandations d’« un groupe de chercheurs de l’Imperial College de Londres qui a conseillé, avec l’appui de l’Organisation Mondiale de la Santé, une réponse commune à l’expansion du virus, celle du confinement généralisé ». Il fallait à tout prix éviter la saturation des urgences dans les hôpitaux, alors que, fin mars, les prévisions desdits chercheurs étaient apocalyptiques : entre 300 000 et 500 000 morts rien qu’en France ! Or nous ne comptons « que » 25 810 morts en France et 264 000 dans le monde (bilans de ce 7 mai). Notons toutefois que certains chercheurs français, telle l’épidémiologiste Catherine Hill ou encore Pascal Crépey, épidémiologiste à l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) ont réagi aux propos du Pr. Toussaint en réaffirmant la nécessité du confinement, surtout en l’absence de tests et de masques dont Catherine Hill reconnaît qu’ils sont les protections déterminantes contre l’épidémie (cf. cet article de 20 minutes : « Coronavirus : Le confinement inutile ? Pas si simple »)
Si les effets positifs du confinement sont douteux, ses effets désastreux ne font malheureusement plus aucun doute : ruine économique, retards de dépistages et de soins hors Convid-19, retards scolaires, dégâts psychologiques… Le professeur Toussaint pointe le « paradoxe de tenter de sauver des vies par des moyens qui en auront peut-être tout autant détruit ». (L’intervention de Jean-François Toussaint sur CNews, le 3 mai, se situe à 34’25 » du replay en lien ci-dessous.) »
www.http://www.cnews.fr/emission/2020-05-03/bonjour-docteur-milhau-du-03052020-952979
Philippe Oswald – LSDJ
www.http://www.laselectiondujour.com/lsdj/
www.http://antikforever.com/Egypte/Reines/ahmes_nefertari.htm
Un exemple de texte inscrit sur un kudurru : le « caillou Michaux ».
« 600 sutu de terre agricole (= 162 hectares) selon l’arpent de 3 sutu (= 0,81 hectares), à la grande coudée, dans le terroir de la ville de Kar-Nabu, au bord du Canal-des-Eaux-précieuses, dans le Bît-Hamban :
kudurru :ça se prononce coudourou
c’est de l’akkadien
Et bien c’est simple : ce livre est d’une lourdeur semblable à l’été provençal décrit pendant une bonne partie de l’intrigue. Intrigue ? Mais quelle intrigue ? Un lecteur sur un blog littéraire avait parlé d’éternel premier chapitre, mais en bien. Je suis d’accord avec lui, mais en mal. La description de la mort des choleriques ne m’a pas dérangée. Ce qui m’a le plus dérangée est cet ennui, ces descriptions répétitives – pourtant je crois aimer le lyrisme de Giono puisque j’avais adoré Regain – et ce voyage avec un but changeant – rejoindre Giuseppe puis rejoindre Gap. D’ailleurs pourquoi Le Hussard sur le toit ? Angelo ne passe que très peu de temps sur les toits de Manosque. Bref, 500 pages d’ennui.
C’était ma critique laissée sur Babelio. J’ai peut-être abusé du mot « ennui », mais j’ai la conscience tranquille puisque Giono a abusé de mon temps et de mes espérances pendant 500 pages !
Chaloux j’espère que tu me pardonneras.
Bises à tous.
9 mai 2020, à 5h06
Bonne journée à tous
« Impertinent et inimitable, Nicolas Canteloup passe l’info à la moulinette de sa revue de presque sur Europe 1. »
C’est la vertu de certains.
Pendant qu’ils font la revue de presque, nous galopons ventre à terre dans le Contadour.
Nota : je savais bien que la belle blonde des photos c’était un fake. Voili, voilou, la preuve par neuf.
Ami Hamlet,
Le camarade contribuable Gigi est lui même lorsquil est long, verbeux et pompant avec ses majuscules qui doivent le rendre magistral, à son idée !
Un délassement, un amusement, le lire …
Amie Ed,
Je partage, malgré ma méditerranéeitude puissamment installée, ton sentiment sur Giono : trop sérieux, trop lent, trop prévisible…Décevant.
Pagnol m’enchante toujours, Giono lui m’a toujours ennuyé. Je ne le lis plus, alors que mon plaisir pagnolesque est frais, à chaque fois ressenti comme nouveau !
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