Garçon, un pastiche !
(L’Obs ayant commandé à des écrivains un « journal du confinement » qui soit un pastiche d’un auteur de leur choix, pour moi, ce fut Antoine Blondin. Voici donc la version longue de ma contribution parue cette semaine dans l’hebdomadaire...)
Vous n’imaginez pas les affres d’un parisien dans mon genre qui déteste autant sortir de la maison que rentrer à la maison. C’est inextricable. Mais ne comptez pas sur moi pour tenir un « Journal du confinement ». Quel labeur pour l’auteur, quelle souffrance pour le lecteur ! Cela fait peine à voir. Difficile de toute façon quand on a les mains aussi occupées que les miennes, une cigarette dans l’une, un verre dans l’autre, ce serait un art d’équilibriste. Au vrai, j’aime moins écrire qu’avoir écrit. Une émission de radio peut-être : ici l’ombre, un con fini parle aux confinés, ou l’inverse qui sait…
Etre confiné dans mon quartier me gêne d’autant moins que c’est ma situation naturelle. Faire le mur ne m’effraie pas. La vie m’a appris à m’évader d’un internat, d’un camp de travail, du domicile conjugal, toutes choses égales, mais pas d’un virus. N’eut été l’absence de vicaires lubriques, le confinement me ramènerait à mes douze années d’internat dont quatre dans des institutions religieuses. Par deux fois dans le passé, mon éditeur a jugé bon me cloitrer dans une chambre d’hôtel pour me forcer à écrire un roman que je n’arrêtais pas de ne pas écrire. Une fois à Mayenne, une autre à Biarritz. Je m’en suis finalement bien sorti même si je n’en suis jamais revenu. Quand il m’arrive de me retrouver en réclusion studieuse dans ma maison de campagne, j’ai du mal : de romancier, je me métamorphose en personnage de roman.
Ces derniers temps, je me suis donc confiné dans mon confetti, mon petit chez moi à Paris. Au début, je trouvais que la ville était plus belle vue de nos fenêtres fermées. J’ai fini par les ouvrir quand j’ai réalisé qu’en bas rien n’était ouvert. De sa fenêtre, l’homme n’aperçoit que les succursales de la vie. La poésie de Verlaine y demeure par les temps qui courent le plus sûr des moyens de transport. Il n’y a qu’à regarder la rue, c’est déjà du Verlaine. On y voit passer des chiens qui en ont marre d’être promenés. Bientôt, les petits réclameront eux aussi de rentrer à la maison pour se reposer enfin. Les parisiens sont prêts à tout pour sortir une heure de chez eux. J’en connais qui loueraient un bébé pour l’occasion. A mon avis il y a de l’abus dans l’alibi. Les chiens et les enfants devraient s’unir pour se constituer en syndicat.
Confiné à Saint-Germain-des près, privé des grâces et félicités de la vie dans cette atmosphère si irréelle, je me sens comme un songe en hiver quand Paris est habité d’une insondable torpeur. Plus de jour, plus de nuit, un silence minéral règne dans les rues, ce silence dont Joe Bousquet disait que tout poème devrait en être traduit ; il nous enveloppe et nous intime l’ordre de nous taire. Les voisins ignorent tout de ma profession. Ayant muni mon porte-plume sergent major d’un silencieux, j’écris à bas bruit.
On dirait que Paris souffre d’un arrêt du cœur. Tout fait craindre la rupture d’aphorisme. De quoi me couper la chique. Le ciel est d’un bleu électrique, invraisemblable à force d’être immaculé semaine après semaine, ce qui ajoute à l’étrangeté de la situation ; à mi-chemin du printemps et de l’été, on a pourtant l’impression d’entrer dans un long hiver tant nos journées sont interminables. Dans les immeubles, la concierge n’est pas dans l’escalier, elle ne revient pas de suite, elle se trouve dans sa loge sans la moindre intention d’en sortir
J’irais bien quelque part aérer ma difficulté d’être. N’importe où hors d’ici. Dès que le président a déclaré la guerre au virus, une partie des Français a filé se réfugier en zone libre. Il est vrai qu’aller se faire confiner à la montagne, c’est encore le meilleur moyen de tourner l’alpage, mais tout de même.. La France est à nouveau prise de vagabondage. Un nouvel exode comme celui de 40 avec les drones à haut-parleurs de la préfecture en guise de mitraillages de la Luftwaffe, et sur le toit des voitures un écran 189 cm à son ultra en lieu et place du matelas. Dès que le gouvernement aura levé le siège des Français, on en verra revenir dorés sur tronches de leurs villégiatures. Il y en a qui se livrent à la traite des planches du côté de Deauville. Grand bien leur fasse ! Pas de reproches tant qu’ils ne la ramènent pas. On haïrait alors les mensonges qui leur ont fait tant de hâle.
Partir ne me manque pas, mais sortir, oui. Quand on a grandi en fils unique, après on n’arrête pas de sortir pour se créer des frères et sœurs. Aux autres les grands voyages. Seul l’air du pays me manque. Si je venais à souffrir de détresse respiratoire, on me réanimerait au mieux en m’oxygénant de Tours de France. Ivresse de la caravane, volupté de la foule, bon enfant de la réclame, bonheur de l’étape. De toute façon, j’appartiens à la génération du couvre-feu. Ca m’est revenu hier lorsque je suis allé aux commissions. Des policiers m’ayant arrêté pour me demander une attestation de déplacement dérogatoire et que j’ai délicatement extrait un ausweis de mon portefeuille. Ils l’ont trouvé un peu daté ce qui témoigne de leur mauvaise volonté. Et puis quoi, chacun sait que les héros de romans ne courent pas les rues dans le quartier de saint-Germain-des-Prés passé huit heures du soir ; pourquoi m’y attarderais-je alors ?
C’est un effort de suivre les consignes du gouvernement. L’air de rien, ces jours-ci, la paresse n’est pas de tout repos. Toute ma vie je me suis efforcé d’être léger. La spécialité me colle aux basques. Hier encore, peu avant la tombée de la nuit, un journal m’a appelé pour me demander une chronique sur la légèreté. Il n’avait pas tort, le père Céline : Dieu qu’ils sont lourds… Comme si ça se décrétait. Ils n’imaginent ce que ça peut charrier de gravité, de mélancolie, de nostalgie de tristesse. Prenant acte de mon impuissance, ils se sont rabattus sur un rappeur à la mode lequel, pour être effectivement léger, ne s’exprimait pas vraiment comme le Brantôme des Dames galantes. Pour Brigitte Bardot, ca ne change rien : elle est confinée à La Madrague avec ses chauve-souris et ses pangolins depuis le tout début de la Vène république.
Pour ma part, j’ai besoin des gens. L’argent, les objets, les maisons, les choses, toutes choses qui ignorent la chaleur et la fraternité, cela ne m’est rien. Mais les gens, les êtres, les autres, quelle richesse ! Tout pour l’amitié et l’amour, rien pour le reste. Sauf qu’entre quatre murs, on fait peu de rencontres une fois les livres refermés. Reste le journal. L’Equipe fait peine à voir quand il n’y a rien à y lire. On n’en finit pas d’y refaire les matchs. Pas la moindre course à se mettre sous la dent. Il lui faut se rabattre sur de vieilles anecdotes, des bisbilles ressassées, des revoyures de buts patinés. Si le confinement devait jouer les prolongations, L’Equipe deviendra le premier quotidien sportif historique au monde. Un must !
Plus je regarde les passants prendre le soleil dans Paris confiné, et d’autres courir on ne sait où, plus je me dis que décidément, notre planète manque de terrestres extra. Pitié que ces librairies au rideau baissé. Garçon, l’édition ! Même les boites des bouquinistes sur les quais, entre lesquelles coulent la Seine et nos amours, ont mis le cadenas, nous empêchant pour un certain temps de nous plonger dans leurs romans-fleuve. Même à la campagne la France semble à l’arrêt. A croire que les chemins de terre sont en grève. Les journées s’enchainent où il se passe tant de choses alors que rien ne s’est produit. Et alors ? Quel que soit le messager, une simple minute d’éternité est toujours bonne à prendre.
La nuit, je suis partout chez moi. Les rues sont pleines de messieurs Jadis qui ne sont plus là. Ils se reconnaissent à ce qu’on les voit arpenter l’existence à coté de leurs souliers. Ca paraît bizarre dit comme ça mais c’est aussi vrai que l’homme descend du songe. Avant le confinement, je pouvais sonner à la porte de l’Hôtel de Ville et demander au planton s’il leur reste une chambre de libre, il le prenait bien parce que c’était la nuit, justement. Elle me manque pour les rencontres qu’elle suscite, ces soudaines sociétés qui s’improvisent au zinc ; l’aube ne s’est pas encore levée sur Paris que déjà, on s’est fait de nouveaux amis d’enfance. Le geste-barrière aurait été sportif pour les leveurs de coude : pour reposer le verre sur le zinc quand en se tient à peu près droit à une distance d’un mètre cinquante, il faut avoir le bras long.
A la radio, les nouvelles sont alarmantes. Le chômage partiel va-t-il pousser Ricard à réduire sa production ? J’ai cru entendre un long débat là-dessus sur France culture. On y évoquait une certaine perturbation, voire une profonde dépression, chez les Français si la nouvelle se confirmait. Le pire est à craindre. Avec quelques camarades de résistance, nous nous sommes battus dès les premiers jours pour que les cavistes soient considérés comme des commerces de première nécessité et nous avons finalement vaincu l’ostentatoire sobriété de l’exécutif. S’il est vrai que Mitterrand était le Kennedy du nivernais, alors Macron est l’Obama de la Picardie. Pendant ce temps M. Trump, l’homme à la cervelle de vent, menait son pays au bord du précipice.
Méfions-nous du dirigeant qui fait parade de son abstinence : rien ne vaut un homme d’Etat d’ébriété. On peut toujours crier vendange, le cœur a ses raisons que le raisin ne connaît pas. Dans ces moments-là, la philosophie m’est d’un grand secours. Elle exige une parfaite lucidité, laquelle ne saurait s’accorder avec le coma éthylique. Personnellement, j’incline en faveur de Kant. Enfin, j’ai un peu décroché au bout d’un moment. Pourtant, dans mon souvenir, il s’exprime clairement, Kant… terbraü… oh… oh ! A ruminer tout ça je me sens comme un singe enivré.. Si ça continue, comme Victor Hugo, je vais finir par écrire mon « Choses bues » et ça ne va pas être triste.
Lorsque viendra le jour du déconfinement, les bars-tabacs seront pris d’assaut, juste après les coiffeurs, car il faut de la tenue pour se présenter au comptoir. On a sa dignité. Tout le monde n’est pas Marcel Aymé qui cherchait à se faire plus petit que son œuvre. Généralement, c’est l’inverse. Pas le genre à porter sa modestie à la boutonnière, contrairement à… Suivez mon regard. En prêtant l’oreille aux causeries marseillaises du druide des calanques, l’apôtre de la chlorophylle pour tous eut paru hétérocentrique en regard. A l’écouter nous refiler sa potion magique, qui ne se sentirait dans la peau d’un médocain malgré lui ?
On ne sait plus quelle est la couleur des jours. Vivement le retour à la normale que l’on puisse dire à nouveau qu’il y a du monde au balcon sans pour autant déclencher des applaudissements, mais une lueur voluptueuse dans les regards. Gouverné par le principe de précaution, je réfléchis désormais à deux fois avant de lancer ma devise (« Remettez-nous ça !) de crainte de voir rappliquer un bon vieux virus des familles. Si certains relèvent dans ces lignes des ressemblances avec la prose d’un écrivain germanopratin bien connu, cela n’aurait rien d’extraordinaire : à force de suivre les courses de vélo, il arrive que l’on recycle. Je me suis moi-même tellement plagié que cela a fini par me donner un air emprunté. La cuite au prochain numéro.
(« Antoine Blondin » photo Louis Monier ; « Antoine Blondin transporté par Raymond Poulidor sous l’oeil de la maréchaussée » photos D.R.)
1 227 Réponses pour Garçon, un pastiche !
Changeons d’environnement ?
MS ne rigolez : j’ai un neveu s’est fait verbaliser parce qu’il faisait son jogging à 1,15 kms de chez lui !
il s’est fait allumer de 135 euros pour 150 m en trop… soir 1 euros par mètre.
mais le flic avait google maps pour contrôler !
Bonjour Ed et Rose,
heureuse d’avoir partagé avec vous la lecture de ce Hussard sur le toit.
Quelques dernières remarques avant de refermer les livres de ce cygle « Angelo ».
Oui, Ed, « amour des chevaux » et pour Pauline et pour Angelo, révélant leurs qualités chevaleresques et de guerriers. Ils se ressemblent tant… des alter ego.
(Juliette Binoche est un très bon choix de J-P.Rappeneau pour interpréter ce personnage féminin.)
Maintenant les prénoms des deux héros.
Angelo / Jean Giono : même nombre de syllabes, sonorités semblables. Jean / ange/ Angelo : rapport à l’ange (pureté).
Jean Giono admiratif de Stendhal, du Fabrice del Dongo de La Chartreuse de Parme en a créé un double caracolant sur les routes de Provence (avant de le reconduire en Italie…)
Pauline de Théus. Pauline (comme sa mère Pauline Pourcin), comme l’héroïne de Polyeucte (Corneille).
L’union charnelle, elle a lieu par deux fois, métaphoriquement :
Dans le grenier merveilleux qu’il décrit comme une femme idéale. Lieu allégorique semblable au Paradis. Lieu enchanté où il rencontre Pauline et où il trouve ce sabre de cavalerie et sa dragonne d’or. C’est le chat qui sera l’éclaireur s’y introduisant par une lucarne étroite. Angelo le suivra.
Une deuxième fois quand, malgré le refus farouche de Pauline, alors qu’elle est gagnée par les signes alarmants du choléra, il arrache ses vêtements et frictionne tout une nuit ce beau corps nu et offert car inanimé. Nulle caresse interdite, nul viol, seulement un paroxysme de volupté inconnue.
Pour le reste son fantasme c’est la liberté, c’est l’Italie, l’aventure qu’il compare à une femme idéale.
Le « long » roman a été écrit en trois périodes séparées sur quatre ans (1947/1951). La deuxième période verra naître ce long monologue d’Angelo sur les toits alors qu’il revit sa vie.
Deux romans suivront ce cycle : Ennemonde (1964) et L’iris de suse (1969). Du grand Giono sans influence…
vanina (?) dit : « Giono: Pauline est la parténaire idéale d’Angelo, mais
celui-ci est décrit avec un appeal beuacoup plus sensuel que Pauline; et compte tenu de toutes les femmes des romans, elles donnent plutot dans la ménagère à triple mentons, et une fois , à barbe.
Ceci , compte tenu de l’époque et des lieux , n’est pas si étrange, mais, si, plutot un type à mec. »
Non.
Janssen J-J dit: « Hamlet, vous êtes trop cérébral, et vous avez besoin de vous fournir des explications plus claires à vous-même. Or en guise de clarification, on a l’impression qu’elles ne font que vous embrouiller… »
Bien vu !
hamlet dit: à
MS ne rigolez.
J’aime pas les ordres.
C’est très sérieux, et ce laisser-passer de 1720 s’est vendu plus de 135 euros…
Un juge-Consul n’est pas toujours un maire sous l’Ancien Régime.
Je ne suis pas inconditionnel de la Boulangerie (Bernstein dixit) mais Nadia B a tout de même tenu et transmis un certain métier.
JJJ ne pas oublier que le « Mal du Siècle » commence avec René. Et, ^peut-être pour Chateaubriand, avec la fin de l’enfance et l’entrée dans la famille:
Fumaroli là dessus a dit de bonnes choses in Chateaubriand Poésie et Terreur.
Bien à vous.
MC
rencontre entre Argerich et Celibidache en 1974, la pianiste a 33 ans – conerto en la de Schumann…
comment le dire sans être cérébral ? c’est une tuerie ? :
Ennemonde et autres caractères ce sont des nouvelles ; L’Iris de Suse est un roman. Déjà seulement le mot « caractères » devrait mettre une puce à l’oreille !
« Marie Sasseur dit: J’aime pas les ordres. »
sauf que je suis désolé mais quand le type l’a verbalisé à 1,15 km de chez lui vous savez ce qu’il lui a dit ? : « la loi c’est la loi, et nul n’est censé l’ignorer »
#Un juge-Consul n’est pas toujours un maire sous l’Ancien Régime
Court pour une fois, essayez de dire un truc intelligent.
Contextualisez ce laisser-passer de 1720.
( ne faites pas honte aux élèves de l’EN des Chartres qui viendraient s’égarer ici)
vanina dit :
à Christiane, c’est selon, le blog devrait consentir à
toutes-tous la libre expression , sans etre fusillé
pour lèse-majesté de la part d’un comité de Salut Public.
Bonne dimanche.
ce matin, je me suis pommadé le coude (je vous en ai parlé) pour faire un post « ich » et j’ai entendu une vois d’Eco umberto qui m’a dit :devinez quoi
une voix d’ECO !
diap dit: « Nadia Boulanger, quand elle fait travailler Mozart au jeune Naoumoff, parle de «tendresse», et puis quelques minutes plus tard, se reprend… »
Toujours la même admiration ! Merci pour le lien. (Méthodes draconiennes, un vrai tyran, mais tout le monde voulait suivre ses cours. Élève de Gabriel Fauré, Nadia Boulanger (1887 – 1979) s’est à son tour consacrée à l’enseignement de la musique. Impressionnante carrière au Conservatoire américain de Fontainebleau où elle est professeur dès la création de celui ci en 1921. Elle enseigne aussi à l’École Normale de Musique de Paris (où elle est l’assistante de Paul Dukas avant de lui succéder dans la classe de composition) ainsi qu’au Conservatoire National Supérieur de Paris.
Ses élèves ? des prestigieux musiciens du XXème siècle : Aaron Copland, Leonard Bernstein, Quincy Jones, Astor Piazzolla, Michel Legrand, George Gershwin, Daniel Barenboim, Yehudi Menuhin, Vladimir Cosma, Igor Markevitch, John-Eliot Gardiner…
Paul Valéry, qui était un de ses amis intimes au même titre que Stravinsky, disait de Nadia Boulanger qu’elle était « la Musique en personne ».
Un beau témoignage :
http://www.brunomonsaingeon.com/FR/INTERPRETES/BOULANGER.html
vanina dit: »à Christiane, c’est selon, le blog devrait consentir à toutes-tous la libre expression , sans etre fusillé pour lèse-majesté de la part d’un comité de Salut Public.
Bonne dimanche. »
Bien sûr ! comme cette même « libre expression » permet de signaler un désaccord par un mot : non. (ce qui n’est pas une exécution au mur des fusillés !)
Pour le développement lire les échanges sur ce blog et surtout relire « le hussard », ce qui semble ne pas avoir été fait par « vanina »(?) qui a dû le lire « il y a très longtemps »… assez longtemps pour inventer à Pauline une personnalité fourre-tout des obsessions de vanina…
Elle est horrible la vieille maitresse Boulanger quand elle attrape la main de l’élève. Horrible, aussi pire que les vieilles maitresses , qui n’ont aucune pédagogie, en n’espèrent qu’à faire taire.
Moi je préfère le jeune de France Musique qui apprend à tendre l’oreille, et qui a expliqué hier matin ce qu’était cet accord de « dominante « , c’est pas du bdsm pour vieille dingo.
christiane, sérieux c’est pas sympa de votre part de me reprocher de m’embrouiller parce que j’essaie d’être un peu cérébral.
comme si je le voyais pas que je complique trop les choses !
bien sûr que j’en suis conscient. Et je sais bien que ces choses sont simples, et que ces choses simples mon cerveau ne fait que les embrouiller par de vains excès de cérébralités ne menant nulle part…
et vous savez ce qu’il me répond mon imbécile cerveau quand je le lui en fais le reproche ?
il me dit « il faut apprendre à flâner… »
« flâner ? flâner ? » que je lui dis ! « qu’est-ce que tu parles de flâner alors que tu me fais tourner en rond sans me mener nulle part ! »
lui : « ben oui c’est ça la flânerie »
moi : « non pour moi ça c’est de l’enfumage ! »
lui : « relis Janké : dans la musique le point qui mène de a à b n’est pas la ligne droite »
moi : « qu’est-ce que vient foutre Jankélévitch là-dedans ? je m’en tape de ton Jankélévitch, moi ce que je veux c’est juste goûter les plaisir simples de l’existence sans me poser de question… »
lui narquois : « tu veux dire glander ? »
moi : « oui ! c’est ça ! glander ! tu ne vois pas qu’à tout compliquer tu me fais passer pour un débile profond aux yeux des autres ? »
etc etc etc…
sérieux les choses sont pas simples…
…replay à 12 h 40 min.
…dimanche 10 mai 2020 à 9 h 38 min.
…
…plutôt en excellente santé à ce jour,!…
…
…de plus, depuis près de 3 semaine déjà,…
…j’ai stopper, tout mes médicaments de mon diabète de type 2,…et rien n’a changer,…
…mon taux de glycémie reste bas,!…
…conclusion,…
…goinfrer le patient, pour garder un client.
…
…deux livres; l’alimentation anti-âge ( Solar éditions ) Dr Richard Béliveau et Dr Denis Gingras 2009. Paris
et Diabète de type 2 ( Alpen editions ) Dr Eric Ménat 2019. Monaco
…
…s’aménager un espace de réflexion à soi-même.
…etc,!…
ce laisser-passer de 1720 s’est vendu plus de 135 euros…
J’en ai des « spécial pandémie » jusqu’à ce soir minuit, entièrement datés, signés, localisés avec date de naissance, etc., à 120,00 euros la pièce sur papier, qu’on se le dise! 😉
d’accord ! si pour vous s’étonner qu’un policier verbalise un type qui fait son jogging à 1,15 km de chez lui alors les autorisations visant à éviter la propagation d’un virus disent qu’il ne faut pas aller au delà de 1 km, si pour vous cet étonnement c’est être cérébral alors d’accord, je suis cérébral.
parce que courir à 1 km de chez soi ou 1,15 km de chez soi le cérébral en l’occurrence m’indique que cela fait une différence de 0,15 km et ces 0,15 km dans la campagne déserte ne justifie pas de coller cette amende !
après je comprends que cette position puisse entrainer une certaine polémique de type cérébrale, mais voilà !
moi non plus j’aime pas les ordres !
Court je vous reposte le doc.
Ce qui est hilarant, ce sont les indications de taille. J’imagine la réaction des keufs de la macronie: entravé direct.
https://mobile.twitter.com/ferrerbartomeu/status/1252953484925829121/photo/1
oui, d’accord… et aussi des autorisations de mariage datant du 17è siècle :
et voilà elle trouve ça hilarant, alors que verbaliser un type qui court à 1,15 km de chez lui elle s’en tape complet.
et après on dira que c’est moi qui suis cérébral…
pour MS ce genre de questionnement c’est cérébral :
( ne faites pas honte aux élèves de l’EN des Chartres qui viendraient s’égarer ici)
Bouh, lire: Ecole des Chartes
il me dit « il faut apprendre à flâner… »
Mais non, hamlet, il te dit achète le Goût de la paresse de Jazzi !
> Christiane
Ah…respir !
« Méthodes draconiennes, un vrai tyran, mais tout le monde voulait suivre ses cours. »
Les tyrans, j’ai donné. Fin de partie.
De plus la patience cela ne sert à rien.
Éviter
@ Pachelle-de-pots ?
Pour Pachelbel et son canon, s’adresser plutôt au maire de notre petite communauté, il donne facilement des sauf-conduits
http://www.lachapelle-des-pots.fr/
Bàv,
.
Justement amlette, a vol d’oiseau, est finalement très poétique, comme je l’ai lu par ailleurs…et 100 bornes à vol d’oiseau sur la carte, t’imagines pas le territoire que ça peut représenter, si on met la carte à plat…
soit en la pense comme une mise en évidence d’un problème de fond pré existant remettant en cause l’ensemble du système de gestion comptable de la planète.
perso je suis pour l’option 2.
Ouaip.
Je plussoie pour le 2.
Oui, Diap,
même sur France-Musique, « Le champ de la méditation, par Nadia Boulanger », une archive de 1974 :
https://www.francemusique.fr/emissions/les-tresors-de-france-musique/le-champ-de-la-meditation-par-nadia-boulanger-une-archive-de-1974-76974
« Je voudrais que chacun écoute seulement ce qui est en lui de meilleur et qu’il entende, s’il aime la musique, que la musique lui parle un langage suprême … » Nadia Boulanger.
hamlet dit: « christiane, sérieux c’est pas sympa de votre part de me reprocher de m’embrouiller parce que j’essaie d’être un peu cérébral.[…] »
J’aime beaucoup ce commentaire. Surtout ne changez pas, cher hamlet.
vanina dit:
des opinions littéraires n’ont aucun rapport avec les
mathématiques, mes lectures du « Hussard » ont été, au fil
des années, assez nombreuses, et puisque je suis probablement la plus ancienne fréquentatrice du blog,
(1946), cela fait bien de reprises, et nullement d’obsessions, je vous prie de me croire.
On ne peut pas etre d’accord avec tout le monde.
croyant que ausweis se traduit aussi sauf conduit,j’ai pensé à un poète musicien russe également musicien:Pasternak dont sauf conduit est un titre en français;voici un lien, parce que je veux impérativement me reposer
https://www.cairn.info/revue-de-litterature-comparee-2003-4-page-483.htm
À l’écoute des poètes-musiciens : une pratique d’analyse musico-littéraire à l’épreuve des textes
Anne Faivre Dupaigre
Dans Revue de littérature comparée
Passou aime bien la vieille Boulanger. Et la vieille maitresse aussi.
Ils ont, m.o.d.e.r.a.t.o c.a.nt.a.b.i.le, une passion secrète pour la leçon de piano.
Vont bientôt faire comme dans le Liseur,prendre une douche ( froide)
( Passou, sur ce coup là, je vais gagner au moins un quintal de patates)
« méthodes draconiennes »
Je ne sais pas maintenant, mais lors de mes études trouver un prof aux méthodes non draconiennes était chose rarissime. J’avais piano complémentaire, le prof me dédiait 1 heure par semaine, il fallait executer de mémoire et après avoir analysé la parition — harmonie, éventuellement contrepoint et parfois créer une cadence — ; pour ceux qui avaient piano comme instrument principal c’était encore plus rigide. Idem pour composition : « Si tu l’as écrit, tu connait le sentier qui t’as percourru », et pas question de lire ses notes, priés de ne pas porter en classe les « calepins » !
Méthode allemande.
Pour Hamlet… la part de l’ombre… de Jean Tardieu :
« Partout, la redoutable importance de ce qui n’est pas – de ce qui n’est plus ou de ce qui n’est pas encore – donne support à ce qui nous frappe.
Ainsi, comment mesurer l’énorme espace de pensée qui sépare les mots dans le discours le plus serré ? Dérision de croire que ces maigres flambeaux, piqués de loin en loin dans la nuit, font à eux seuls la lumière ! Ce sont plutôt les relais visibles d’un courant que l’on ne voit pas, que l’on n’entend pas, mais qui d’un terme à l’autre circule.
Ce qui fait que certains poèmes nous impressionnent plus que d’autres, c’est sans doute un peu plus grand écart entre les mots et la plus grande quantité de pressentiments qui se trouve prise dans leur intervalle, comme dans les mailles d’un filet. Il faut tant de « non-sens » (en deçà ou au-delà du sens) pour nourrir les significations ! »
« Méthode allemande »
Un camarades qui avait porté la même critique avait obtenu d’etudier avec Rampal et il s’était trouvé dans le même bain. Peut-on dire « méthode française » ?
vanina dit: « mes lectures du «Hussard» ont été, au fil des années, assez nombreuses, et puisque je suis probablement la plus ancienne fréquentatrice du blog, (1946), cela fait bien de reprises, et nullement d’obsessions, je vous prie de me croire. »
Alors, éclairez-moi, quels détails dans ces lectures nombreuses vous permettent de qualifier ainsi Pauline : « Pauline est la parténaire idéale d’Angelo, mais celui-ci est décrit avec un appeal beuacoup plus sensuel que Pauline; et compte tenu de toutes les femmes des romans, elles donnent plutot dans la ménagère à triple mentons, et une fois , à barbe. »
J’ai hâte de connaître vos arguments, vos citations du « Hussard ».
« Lorsque viendra le jour du déconfinement, les bars-tabacs seront pris d’assaut, juste après les coiffeurs, car il faut de la tenue pour se présenter au comptoir. »
H-10h30, le pied. Mais pas pour aller au bartabac. Les estaminets seront encore fermés, cela dit pour ceux qui cherchent une tondeuse désespérément…
Moi, j’ai déja préparé ma première heure. Une promesse de l’aube que je me suis faite. lol.
A demain, peut-être.
Renato dit: «méthodes draconiennes».
Merci, Renato, pour ce beau témoignage.
Je n’ai pas bien compris qui était Michael West dans le monde de l’art contemporain. Pourriez-vous m’expliquer ? Merci.
je suppose que P.Assouline est sensible aux différentes facettes dont témoigne la vidéo de Nadia
:la musique, la composition et l’interprétation:un métier comme le rappelle aussi renato , avec des mots comme cadence, tierce ;
et l’enseignement à des élèves, la transmission ;même quand l’élève est « doué » ;il y a le choix de l’élève et de ses possibilités ,capacités (d’attention par exemple);ainsi, cette leçon de Nadia est très riche d’enseignement parce qu’elle dispose elle même de toutes les qualités à ses yeux essentielles
Et le dr Lecter sait bien lui ,quelles sont les qualités « essentielles » requises pour la cruauté. Vieux barbon.
non, là vous n’y êtes pas du tout !!!
au départ Westworld c’est un parc d’attraction où des gens payent pour venir défouler leurs pulsions violentes sur des robots tellement bien faits qu’on croirait qu’ils sont humains.
tellement bien faits qu’en fin de journée on est obligé de vider leur mémoire de toutes atrocités qu’ils ont vécu dans la journée afin qu’ils puissent les revivre le lendemain sans broncher.
voilà, Westworld c’est ça au départ : rien de bien cérébral.
sauf que les choses commencent à devenir cérébrales quand des robots s’arrangent pour ne pas qu’on efface leur mémoire !
alors là d’accord les choses partent en couilles cérébrales !
et à la question est-ce qu’on se prend plus la tête en regardant Westworld qu’en le Hussard de Giono la réponse est oui bien sûr.
parce que Giono est tout sauf un cérébral !
Giono est un type qui ne se pose jamais de question.
en tout cas il s’en pose bien moins que Welbec, qui lui-même sans pose moins que Kafka,, qui lui-même sans pose moins que Thomas Mann, qui lui-même s’en pose moins que Hermann Broch qui s’en pose moins que Thomas Bernhard !
en gros…
Thomas Pynchon est un cérébral, sans doute le plus cérébral des auteurs américains en dehors des scénaristes de South Park et de Westworld qui est une cybervision de South Park.
quand Pynchon écrit par exemple :
« je suis censée me rappeler. Tous les indices qui me parviennent sont censés posséder une clarté propre, une chance d’éternité. Elle se demanda alors si ces indices, comme des prières précieuses, n’étaient pas simplement une forme de compensation pour la consoler d’avoir perdu la Parole directe, épileptique, le cri qui pourrait abolir la nuit. »
faut pas fumer que des cigarettes et boire que de la Vittel pour écrire ce genre de truc, c’est évident.
J’avais écrit quelques choses à propos de Michael West il y a quelques temps de là, christiane. Enfin, elle était une peintre américaine — Corinne Michelle West pour le livre des naissences, mais se présente sous le nom Michael West afin de surmonter les préjugés relatifs aux femmes artistes —.
Après des études au Conservatoire elle entre à l’Accademie des Beaux-arts et décroché son diplôme s’installe à NY où etudie avec Hans Hofmann. Proche d’Arshile Gorky qu’elle refuse d’épouser car elle pense que la vie de famille serait un handicap pour son travail. Proche amie de Lee Krasner et de Pollock.
Dans mon atelier de Turin j’ai des poèmes d’elle.
comme quand Kafka écrit dans son journal :
« le Négatif retire de la « lutte » un maximum de puissance probable qui rend imminente la décision entre folie et équilibre ».
ça un truc typique de prise de tête germaniaco- dépressive.
« Thomas Pynchon est un cérébral, sans doute le plus cérébral des auteurs américains… », vous oubliez Gaddis, hamlet.
Renato,
sur France Culture commence une émission correspondant au tableau de Turner que vous aviez mis en lien.
L’Art est la matière : Lumière et couleur de JM William Turner (une rediffusion). Je crois que je vous l’avez indiquée. Je la réécoute avec plaisir.
https://www.franceculture.fr/emissions/les-regardeurs/lumiere-et-couleur-la-theorie-de-goethe-le-matin-apres-le-deluge-de-jm
il faut oser poser la question : qu’est-ce que Joséphine la Cantatrice, ce texte testamentaire de Kafka, sinon une parabole d’une littérature se livrant à l’acte amoureux ?
#sinon une parabole d’une littérature se livrant à l’acte amoureux ?
Dommage, je pensais jamais ne devoir etre prise de fou-rire à propos de ce texte lu par amlette.
Non tu te goures. C’est l’idole des jeunes cette Joséphine, c’est la diva des dancings. C’est la fan-zone qui transmet la peste…
c’est bien hamlet que vous évoquiezT.Berhard:je pensais justement à lui, mais pas comme cérébral!
renato dit: « J’avais écrit quelques choses à propos de Michael West il y a quelques temps de là, christiane. Enfin, elle était une peintre américaine — Corinne Michelle West pour le livre des naissences, mais se présente sous le nom Michael West afin de surmonter les préjugés relatifs aux femmes artistes —.
Après des études au Conservatoire elle entre à l’Académie des Beaux-arts et décroché son diplôme s’installe à NY où étudie avec Hans Hofmann. Proche d’Arshile Gorky qu’elle refuse d’épouser car elle pense que la vie de famille serait un handicap pour son travail. Proche amie de Lee Krasner et de Pollock.
Dans mon atelier de Turin j’ai des poèmes d’elle. »
Merci, Renato. Je peux maintenant chercher.
Cette atmosphère me rappelle un roman de J.Updike Tu chercheras mon visage – traduit en français par Claude Démanuelli.
« Le 20ème roman de John Updike se déroule en un seul jour. Un jour dans la vie de Hope Chafetz, femme peintre renommée de 79 ans, qui dans sa maison du Vermont rural, reçoit Kathryn d’Angelo, New Yorkaise de 27 ans, venue l’interviewer sur sa vie et son œuvre. La rencontre prend la forme d’un long dialogue au caractère théâtral évident où les unités de temps, de lieu, d’action sont respectées et facilitées par la focalisation intérieure de Hope, le lecteur n’accédant jamais aux pensées de Kathryn. Dans ce huis clos, où Kathryn joue le rôle du chat qui tente de débusquer la souris, elle est à la fois l’intruse – en quête d’une vérité qu’elle s’est forgée et cherche à confirmer – et le catalyseur/déclencheur des souvenirs de Hope. Loin d’être la souris-victime, Hope saisit l’occasion de rassembler en quelques heures les fils épars de 60 ans de vie et aussi de s’interroger sur le sens de la création. Des liens ambigus se tissent entre les deux femmes qui relèvent parfois du sado-masochisme, sans exclure la complicité ou, inversement, l’incompréhension, parfois de l’affrontement entre la vieillesse et la jeunesse. Hope revit sa jeunesse à travers Kathryn, qui goûte avant l’heure à l’amertume et à l’inéluctabilité du vieillissement. Ce face à face est aussi prétexte à un formidable exposé sur l’art et sur la peinture américaine de l’après-guerre dont Hope, comme artiste et épouse d’artistes célèbres, a été une figure centrale. Le 1er mari, Zack McCoy qui hante d’ailleurs tout le récit n’est autre que Jackson Pollock, le génial enfant terrible de l’expressionnisme abstrait (cf « dripping », alcoolisme, accident de voiture. » (Sens critique)
Extrait :
« Mais le monde de l’art à l’époque était presque exclusivement un monde d’hommes ; c’était eux qui avaient le trop-plein d’énergie, l’instinct de la lutte.[…} mais les femmes n’ont pas suffisamment le sens de la démesure pour se donner à fond ; elles sont trop timides et respectueuses… Elle ne parvenait tout bonnement pas à peindre à partir de rien, à partir d’elle-même, il n’y a qu’un homme pour oser cela. »
Vanina dit:
Je n’ai aucune intention de faire du papier-collé de ce
dimanche, j’attend mes enfants, ce n’est pas important.
Le blog n’est pas , à mon sens, un « lit de justice »
il vaut mieux accepter que la vision d’un meme morceau
littéraire engendre des différentes visions, que de
penser que tout écart de votre champ sémantique préféré conduit à la ruine morale et esthétique.
Je renonce à tout entretien ici.
Bien à vous.
après il y a le fond et la forme.
une personne peut dire les choses ainsi :
« L’union charnelle, elle a lieu par deux fois, métaphoriquement »
et une autre ainsi :
« Pendant toutes leurs aventures, c’est même plutôt elle qui le chauffe que l’inverse. »
en fait les deux formulations signifient à peu près la même chose sauf que c’est pas dit pareil.
c’est pourquoi j’incite fortement les lecteurs à avoir une vision plus mathématique de la littérature.
Quelques réflexions sur Thomas Bernhard : la musique comme idéal et envers de l’autorité
chez Bernhard, à un véritable besoin psychologique, une garantie de pouvoir intimement supporter une activité littéraire aussi constamment maintenue que sujette à dérision. Les prétentions à s’exprimer subjectivement en qualité d’artiste, et pire, à produire ces objets moralement contestables que sont des œuvres, se voient donc systématiquement confrontées à ce qu’on pourrait appeler la « condition musicale » : il n’est pour Bernhard de créateur tolérable qui n’entretienne de près ou de loin une véritable passion de la musique, au double sens actif et pathologique du terme. La nécrologie élogieuse et dérangeante que constitue Le Neveu de Wittgenstein fait ainsi le portrait significatif de Paul, seul ami envisageable, élu et exempté d’une disposition absolument misanthrope :
https://books.openedition.org/pur/40580?lang=fr
« romans, elles donnent plutot dans la ménagère à triple mentons, et une fois , à barbe. » »
On dirait mon père dabs sa saloperie de base, répétitive.
Après avoir plaqué le piano, l’opéra le concerto, il a plaqué sa moto, puis son chien, son verget allemand.
Pour 64 ans après plaquer son épouse.
Comment les hommes tu ne les regrettes pas, rose, dans leur médiocrité.
intrinsèque.
Comment les choses s’imbriquent.
Comment elles s’annoncent aussi.
Mon père répétant tu es un double menton, incapable de voir sa triple connerie. Le mien de père, porteur de parapluie.
christiane vous vous sentiriez capable de résumer l’histoire par cette phrase : « Pendant toutes leurs aventures, c’est même plutôt elle qui le chauffe que l’inverse. »
ou bien pour vous c’est une façon trop cérébrale de voir les choses ?
rose dit: à
« romans, elles donnent plutot dans la ménagère à triple mentons, et une fois , à barbe. » »
On dirait mon père dans sa saloperie de base, répétitive.
Après avoir plaqué le piano, l’opéra le concerto, il a plaqué sa moto, puis son chien, son berger allemand.
Pour 64 ans après plaquer son épouse.
Comment les hommes tu ne les regrettes pas, rose, dans leur médiocrité
intrinsèque.
Comment les choses s’imbriquent.
Comment elles s’annoncent aussi.
Mon père répétant « tu as un double menton », incapable de voir sa triple connerie. Le mien de père, porteur de parapluie.
Répondait-il ainsi à mon incompréhension ou bien à mon mépris ?
clin d’oeil au billet et…
L’énonciation bernhardienne, ainsi, exhibe et assume une disposition despotique, une sorte de commination par la langue, perçue comme thérapeutique mais potentiellement intimidante pour autrui, qui a été souvent imitée : pour s’en tenir au domaine français, on peut mentionner le roman de Nicolas Stakhovitch, Les Aphorismes de Gralph4 (1991), pastiche si réussi qu’il abusa l’éditeur Maurice Nadeau,
Une intéressante artiste :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/04/helen-frankenthaler_1.html
aphorismes loufoques, c’est aussi le style Blondin.
Désolé pour les chartes mais la rue des Juges-Consuls à Paris ne renvoie certainement pas à un maire quelconque.
Regardez Cheruel, dictionnaire des Institutions de l’Ancienne France, qui savait de quoi il parlait, lui. « Tel cuide engeigner Merlin souvent s’engeigne lui-même! »
Enchanté de vous avoir fourni ce petit complément.
MC
MC
Avancé quelque peu dans Nadia Boulanger. Quelle vie stérile !
RENATO? BIZARRE que ça ne semble pas rendre compte du travail de cette artiste que j’avais remarqué
merci de me le rappeler;
je m’absente un moment un peu long
bon aprèm
christiane dit: à
« vanina (?) dit : « Giono: Pauline est la parténaire idéale d’Angelo, mais
celui-ci est décrit avec un appeal beuacoup plus sensuel que Pauline; et compte tenu de toutes les femmes des romans, elles donnent plutot dans la ménagère à triple mentons, et une fois , à barbe.
Ceci , compte tenu de l’époque et des lieux , n’est pas si étrange, mais, si, plutot un type à mec. »
Non. »
Pas du tout.
Quel point de vue imbécile.
S’il y a bien une femme qui a de la hauteur, c’est Pauline de Théus.
Qui est encore cette fausse nouvelle venue sur ce blog ? On sature.
rose, c’est votre point de vue, non celui des gens qui l’ont aimée et connue , hommes comme femmes;
occupez vous de mener la vôtre ;ce sera déjà ça
« B dit: à
3J, la nostalgie est présente chez de nombreux créatifs de plus de 50 ans. En 50 ans, ils ont trouvé les moyens de tuer la possibilité du rêve, vous êtes assez vieux pour comprendre. »
La nostalgie est présente chez les mecs lorsqu’ils ne bandent plus.
Un peu moins chez les maçons pck ils bâtissent. Autre création.
toutes ces instances de proclamation de la littérarité lui répugnent, alors que la musique est principe de régénération : « Par la musique, sauvé chaque jour de toutes ces abominations et ces choses odieuses, c’est cela, par la musique redevenir tout de même tous les matins un être qui pense et qui sent, comprenez-vous8 ! » Ecrire, pour Bernhard, c’est moins faire de l’art que lutter sans relâche, avec le langage, contre les innombrables falsifications dont se rend coupable ce même langage, c’est adopter une attitude résolument critique contre l’immensité du mensonge langagier, sans prétendre à davantage qu’une infinie dénonciation. Son écriture pourrait ainsi être définie comme une contre-écriture de combat, vitale pour qui s’emploie à ne pas mourir étouffé par les fausses vérités, mais qui peine à produire des objets esthétiques.
« et alii dit: à
rose, c’est votre point de vue, non celui des gens qui l’ont aimée et connue , hommes comme femmes; »
Oui. Je l’exprime. Ce petit garçon au piano avec sa man au bout du banc. Ses garçons avec qui elle joue à six mains. Sa sévérité. Ses bajoues comme les mémés de Jacques Faizant de chaque côté du petit menton pointu.
Ai bcp aimé entendre Leonard Bernstein, au français impeccable.
Ce petit garçon au piano avec sa maman au bout du banc qui l’admire.. Ses garçons avec qui elle joue à six mains. Sa sévérité implacable.
Le point commun entre Emile Naoumoff et Jankélévitch, Gabriel Dupont :
https://www.youtube.com/watch?v=qeQG1krY8UI
(Ceux qui, malades ou non, n’auraient pas le temps ou l’envie de tout écouter peuvent éventuellement se contenter de « Après-midi de dimanche » à 12’13. Aux énervés en tout genre on prescrira bien sûr la dernière pièce, « Calme ». Aux météo-sensibles, « Chanson de la pluie ».)
#Désolé pour les chartes mais la rue des Juges-Consuls à Paris ne renvoie certainement pas à un maire quelconque.
Heu Court vous êtes malade ?
Dites Court, vous n’avez pas honte ?
Vous savez lire, oui ou non ?
Où avez-vous lu que ce consul était parisien ?
Encore une fois, ne restez pas le nez collé aux trottoirs de Paris, sont pas très propres…
N’oubliez pas le contexte.
Quel est-il ce contexte, a propos de ce laisser-passer de 1720 ?
Accessoirement, qui avait en charge l’administration de ce bourg de Remoulin ?
Question subsidiaire: qu’elle était la taille d’ Alexandre ?
#alors que la musique est principe de régénération
C’est ça dr lecter. Meme les schleuhs étaient d’accord. La musique ne dit pas non.
Vieux barbon.
dernière scène la femme demande « tu es prêt Bobby ? » lui : « prêt pour quoi ? »
avec en arrière plan la ville en train d’exploser elle répond : « This is the new world… and in this world, you can be whoever the fuck you want »
« ce nouveau monde dans lequel tu peux le putain de ce que tu veux être ».
Hyper intéressant le « whoever fuck ».
Dans un panel de compréhension du minde différentes et moi je étant passablement orientée -ah l’horreur absolue des mecs passifs- je le traduis par :
« Voici le nouveau monde… et dans celui-ci tu peux être (?)
Jackson Pollock, le génial enfant terrible de l’expressionnisme abstrait (cf « dripping », alcoolisme, accident de voiture. »
Il s’agit sûrement du dernier titre de » Voici « ?
« Dans mon atelier de Turin j’ai des poèmes d’elle. »
Et là, le dernier titre de » Détective « , sans doute? (on ne saura jamais s’il s’agit de la première ou seconde édition ou de photocopies…)
whoever est quiconque
whoever you want signifie qui vous voulez
whoever fuck you want je le comprends comme
« la pire pute que vous désirez être ».
Et je constate qu’ici Marie Sasseur ne s’en prive pas ce qui est une charmante litote.
>B
M bcp votre traduction. À mes yeux bien trop positive.
whoever the fuck.
Ai omis the.
Peut-être certains vont ils s’y coller.
La pluie s’est calmée.
Ausweis.
Ah…
x dit: Le point commun entre Emile Naoumoff et Jankélévitch, Gabriel Dupont :
https://www.youtube.com/watch?v=qeQG1krY8UI
»
merci !!!
Court vous êtes un gros lourdaud.
J’ai copier-colle une transcription du doc, dont voici la fin:
« Remoulin ce 20 novembre 1720
Fabre Juge Consul (maire) »
Et vous avez sauté sur cette parenthèse, finale, destinée à faciliter la compréhension, au XXIeme siècle.
Et qui n’est pas dans le doc original.
Que j’ai posté 2 fois ! Et que vous n’avez pas lu, bien sûr.
Vous êtes un enculeur de mouche, Court.
Sur la compréhension de ce document, ce n’est pas vous qui pourrez développer. Comme Alexandre, vous auriez sûrement eu du mal à remplir ce questionnaire.
Mais a la question taille ?, on n’attend pas autre chose vous concernant, que: sans tête et de courte taille, plus que médiocre.
là encore l’ami Vladimir n’a pas été assez écouté, il plaçait Dupont au niveau des plus grands, il n’avait pas tort, c’est évident.
Sasseur c’est cadeau, pour toi ! pète un coup et respire :
et alii cadeau pour vous :
hamlet dit: « après il y a le fond et la forme.
une personne peut dire les choses ainsi : «L’union charnelle, elle a lieu par deux fois, métaphoriquement» et une autre ainsi : «Pendant toutes leurs aventures, c’est même plutôt elle qui le chauffe que l’inverse.»
en fait les deux formulations signifient à peu près la même chose sauf que c’est pas dit pareil. »
J’étais loin, Hamlet, d’Angelo et de Pauline, en écoutant cette très fine analyse de la peinture de Turner dans l’émission « Les regardeurs » (lien déjà donné).
Il y a un moment extraordinaire. Des critiques sont devant une toile de Turner censée représenter le martyre d’un homme condamné à être exposé face au soleil, les paupières coupées pour le rendre aveugle. Tous cherchent où est ce martyre dans le tableau. Un des critiques dit : mais c’est vous le martyre. Vous regardez le soleil comme il l’a vu avant d’être aveugle. Révélation…
Bien, j’en reviens à votre comparaison.
Pour moi, ces deux formulations ne veulent pas dire la même chose et ne montrent pas le même Angelo.
Ed pointait avec son langage… direct, qui m’amuse beaucoup, les tentatives de Pauline visant à obtenir une réponse amoureuse d’Angelo.
J’essayais, par ma formulation d’induire que cette étreinte charnelle, du moins son équivalent, s’était produire dans l’inconscient d’Angelo sans que Pauline y ait eu quelque rôle actif. Dans le grenier (quand elle n’y était pas encore) et qu’une sorte d’extase donne à Angelo la certitude de vivre un moment paradisiaque. Le grenier est alors décrit comme une femme.
Le deuxième tour que lui joue son inconscient, c’est de transformer les soins qu’il donne à Pauline d’abord rebelle, puis inanimée et dont le corps est gagné par le choléra, en une sorte de fête sidérée des sens. Étant obligé pour la sauver de frictionner ce corps tout une nuit, il ne peut rester insensible à cette intimité sensuelle dévoilée. Il fait d’ailleurs des choix, s’obligeant à ne pas porter trop d’attention aux détails repoussants visuels ou olfactifs.
Quant à « chauffer » (exciter, attiser, lui faire la cour avec ardeur), ce terme si bien choisi par Ed, pour imager l’attitude de Pauline, il traduit un état de subconscient. Son corps et ses gestes, ses tutoiements prévenants, sa complicité inventent des signes que sa droiture refuse. Les perçoit-il ? C’est possible… mais sa quête fait qu’il ne peut y répondre. Il sait qu’il ne peut s’attarder près d’elle. Son rêve l’appelle ailleurs. Il préfère le maniement du sabre, les courses à cheval, la liberté à une romance avec une femme mariée et avec laquelle il n’aura aucune aventure charnelle, son code de l’honneur le lui interdisant.
Non merci amlette, je ne clique plus. Marre de votre musicalcoolemie.
Timeo Danaos et dona ferentes
moi je reste fidèle à mes goûts.
https://youtu.be/n2MtEsrcTTs
Serieux, Court est effrayant de bêtise.
@ Renuncio a todo mantenimiento aquí.
Aquí no es donde mantenemos la forma, es todo vanidad. Ni siquiera donde los pastores, con su urna en la mano, hablaban del día…- ; Este blog no nació en 1946: su creador todavía estaría languideciendo en el limbo durante siete años – Estoy tan viejo y tan cansado, necesito tanto descansar. No me des un descanso. Me tomo con un escalofrío semanal. La parca se acerca a mí.
Il me semble Janssen J-J que l’écrivant, ou écrivante, donne l’année de sa venue au monde : 1946.
« Pendant toutes leurs aventures, c’est même plutôt elle qui le chauffe que l’inverse. »
oui, mais la blonde ou la brune ?
Marie Sasseur dit: Non merci amlette, je ne clique plus. Marre de votre musicalcoolemie.
»
désolé, je réponds aux provocs et aux demandes d’exclusions !
mais z’avez tort c’était d’la bonne…
meilleur que la grosse soupasse du donneur de leçons Neil Young…
Neil Young ou l’erreur de casting…
Ici quelques poèmes de Michael West :
C’estoit de la super bonne, mais j’ai perdu la cassette.
A demain, au jour d’après. N’oubliez pas d’envoyer vos cartes postales de l’étape…
Ah, bien voilà renato! 😉
VARIA
« Le pardon est mort dans les camps de concentration « Jankélévitch)
« L’économie, c’est la vie. » (Alain Minc, mai 2020)
Le paludisme cause 700 00 morts par an dans le monde. (Eric Le Boucher)
Si Dieu existe, j’espère qu’il a une bonne excuse. (Woody Allen)
Il n’y a pas que les enveloppes qui sont timbrées. (Sandrine Sarroche)
La science n’est pas l’omniscience. (Finkielkraut)
La France est le seul pays qui interdise le Plaquénil. (Pr Christian Perronne, 29 avril 2020)
Gouverner, c’est décider . (DamienAbad, avril2020)
Nous ne voulons pas mourir guéris. (id)
Cette espèce de grève générale me paraît suicidaire. (X, avril 2020)
La loi de dispose que pour l’avenir ; elle n’a point d’effet rétroactif.
Moi, l’hypermacronien….(Cohn-Bendit, avril 2020)
L’équivalent de la QPC existe en Allemagne depuis 1949 .(Thomas Wieder, mai 2020)
La France est un pays totalement flippé. (Philippe Guibert, mai 2020)
Les maires sont les couteaux suisses de la politique. (Catherine Nay, 2020)
Je ne respecte que ceux qui me résistent. Malheureusement je ne les supporte pas. (De Gaulle)
Grandir en humanité. (Abdennour Bidar)
Les convertis ont les deux oreilles bouchées. (id)
J’étais au bord du retweet. (Claude Malhuret, 2020)
« Cohen » veut dire « prêtre ».
Le racisme admet le délit de naissance. (Moi)
Tous les hommes se haïssent naturellement l’un l’autre. (Pascal)
En langage communiste, démocratiser une institution signifie accroître ou laisser s’accroître l’influence du PC en son sein. (X)
Aux alentours de 1968, « bourgeois » a servi d’injure universelle. (X)
53 000 avocats en France.
x dit: « Le point commun entre Emile Naoumoff et Jankélévitch, Gabriel Dupont » :
https://www.youtube.com/watch?v=qeQG1krY8UI
Quel beau cadeau !(musique- interprète et toile de Whistler).
Ce bord de mer au crépuscule, ce ciel pâle, ce dépouillement, cette silhouette qui se dissolvant dans l’espace confine à l’abstraction.
Ce temps qui nous est donné, regardant cette toile pour écouter « Les heures dolentes » de Gabriel Dupont jouées avec sensibilité par Emile Naoumoff.
L’ineffable… aurait soupiré Jankélévitch, esprit aérien et si fin.
Il aimait Erik Satie, Debussy et Ravel.
«Le mystère est la chose de la musique […] la musique est elle-même une manière de silence», écrivait-il dans La Musique et l’ineffable.
Présence-absence de la mort qui devait hanter Gabriel Dupont, mort si jeune de la tuberculose, confiné dans sa chambre où il composait mais douceur aussi…
comme disent les décorateurs milanais : « come rinnovare gli ambianti »
@renato : vous connaissez Frank Martin ? lui c’est pareil, certaines de ses pièces ne sont pas assez jouées :
sauf en Suisse
« donne l’année de sa venue au monde : 1946. »
Elle a l’outrecuidance de se croire la plus ancienne du blog, alors que nous comptons parmi nous des nonagénaires !
Si on a vécu à Genève, hamlet, on ne peut ne pas connaître la musique de Frank Martin — c’est comme la peinture de Calame et Liotard.
« Il aimait Erik Satie, Debussy et Ravel. »
aussi (parmi les français) : Massenet, Aubert, Chabrier et surtout Fauré, ses analyses de Fauré…
renato, j’étais sûr de votre réponse, mais le fait de connaitre la réponse ne doit pas nous empêcher de poser la question.
renato, le problème de Martin c’est qu’il est peu connu dès qu’on sort de Genève (surtout de son conservatoire), c’est pas juste.
« on ne peut ne pas connaître la musique de… »
Service rewriting : « on ne peut méconnaître la musique de… »
nous avons aussi la possibilité d’entendre sa voix :
ça ne dure que 4 mn il faut l’écouter parler de la musique dans cet extrait !
sur le prélude – où l’on se rappelle que l’humour joue un rôle important dans sa pensée, on l’entend sourire quand il parle, et comment s’empêcher de sourire ? :
Un jour, j’ai appelé Jankélévitch au téléphone, en vue d’une interview pour France-Culture. A la voix qui a répondu, j’ai dit : « Bonjour madame, pourrais-je parler à monsieur Jankélévitch ? » Et la voix a répliqué : « C’est moi ! »
La honte…
Il me semble Jacques que méconnaître vaut ne pas reconnaître quelqu’un, quelque chose comme tel, ne pas l’apprécier à sa juste valeur. Il me semble donc que pour reconnaître ou apprecier il faut connaître.
« Méconnaître » dans le sens « d’ignorer », renato…
es enjeux économiques avec la Chine dont si importants qu’il est envisageable que nous ne connaîtrons jamais la vérité
–
J’adore comment c’est dit. Mais ce n’est pas de votre faute, vous faites avec votre bagage.
Bon, Bérénice, les méthodes hypothéticodéductives ne conduisent ni à l’hypothèse naturelle pangolin/chauve-souris ni à un virus échappé accidentellement d’un laboratoire de Wuhan.
Moi, l’hypermacronien….(Cohn-Bendit, avril 2020)
–
C’est la plus spectaculaire des sentences. Se salir de la sorte sans même en avoir conscience c’est un peu comme finir grabataire avec une démence sénile des couches remplies de caca. Triste.
@ Patrice C… le moins qu’on puisse dire c’est que la récolte de vos deux mois de confinement n’aura pas été un grand cru, pas plus que sa pensée personnelle sur le PC (F ?).
@ r. &t jzmn… Il aurait fallu lire à plusieurs reprises la nouvelle septuagénaire du blog pour la comprendre (une séquestrée d’Altona ?). Heureusement qu’elle n’est pas restée bien longtemps (on aurait dit le puinée d’etalii, déjà que…).
@ MC. Donc, il aurait contracté une maladie de l’âme à l’adolescence ? Auriez-vous une référence susceptible d’en démontrer l’impact éventuel sur sa mythomanie ultérieure ? Je serais disposé à l’examiner, pour lui trouver des CA, dès la fin du 4e tome des Mémoires de cette Pierre d’Outre Timbale. Merci.
@ RDL – T. affirme que le monde se divise en deux catégories de gens : les pigeons et les arnaqueurs (Incident à Twenty-Mile, 1999). Et moi, j’affirme qu’il a su dresser le portrait de l’actuel président, à travers la ruse suivante, éculée mais hélas toujours efficace… Quand il a compris que le pigeon l’avait pris la main dans le sac, il ne lui restait plus qu’à avouer avoir menti dans l’espoir de finir par paraître honnête pour avoir avoué être un menteur.
Magnifique illustration de la manipulation du langage chez l’arnaqueur de la « réinvention de soi-même », comblant d’émerveillement les pigeons de la gent ailée germanopratine.
rose, si c’est de naissance la bosse que vous avez dans le dos, il y a peut-être un rôle pour vous dans un walt Disney secret renseignez vous; moi, je sors d’un séminaire de philo sur l’imperium, et je prends juste le temps de regarder si cous avez mis un bécarre à vos glapissements
si vous
pour la rue BECCARIA ,prenez un plan VB (venus de blog)
bonsoir
Continuer à limiter les visites en Ehpad d’une façon abusive et inhumaine (vitres, distances excessives, espacement trop grand des visites, nécessité d’une attestation médicale de toute fin de vie délivrée par un médecin pour qu’un proche puisse franchir + de 100 km) pourrait conduire beaucoup de gens en prison dans quelques mois. Il paraît que certains commencent à mandater des huissiers pour effectuer des constats.
… durant le confinement, on peut donc suivre des cours le dimanche aprèm à la Sorbogne sur le traité philosophique des délits et des peines de Cesare Beccaria, en si bémol majeur. C’est proprement impérial ! (Chassons les menteries des intruses !)
« Et moi, j’affirme qu’il a su dresser le portrait de l’actuel président, à travers la ruse suivante, éculée mais hélas toujours efficace… Quand il a compris que le pigeon l’avait pris la main dans le sac, il ne lui restait plus qu’à avouer avoir menti dans l’espoir de finir par paraître honnête pour avoir avoué être un menteur.
Magnifique illustration de la manipulation du langage chez l’arnaqueur de la « réinvention de soi-même », comblant d’émerveillement les pigeons de la gent ailée germanopratine. »
Dieu quelle prise de tête et intellectualisme lourdingue, et que je te fais des tours et des détours et autres circonvolutions illisibles pour ne appeler les choses par leur nom.
3j ça vous arrive de parler plus simplement ?
vous croyez qu’on vient sur ce blog pour se prendre la tête ?
Il se peut que vous ayez raison, Jacques, je préfère toutefois me tenir au TLFi, car il me semble que ignorer pour méconnaître vaut « ne pas vouloir connaître, feindre de ne pas connaître » ; mais peu importe, chacun suivra son idée.
comme Pauline qui nous chauffe notre Angelo.
pourquoi ne pas dire simplement de cette dame que comme Emma, et cela dit sans offenser la gente féminine, que c’est une « chaudasse », et voilà ! emballé c’est pesé et en voiture Simone !
j’envoie – j’envoie pas – j’envoie – j’envoie pas – et puis merde : j’envoie !
« vous croyez qu’on vient sur ce blog pour se prendre la tête ? »
hamlet, c’est l’hôpital qui se fout de la charité !
une histoire très connue, jzmn, la femme de Janké aimait beaucoup à lui jouer ce genre de tours pendables, comme le racontait Mathurin Maugarlone (FG). Il avait des chaussures sensationnelles. Avez-vous été éconduit de honte ou gardé une trace de votre questionnaire à défaut d’avoir eu des réponses. Je vous vois mal aller itw VJ à son domicile. Mais après tout, pourquoi pas, hein ? vous avez côtoyé tant de gaies célébrités parisiennes, hein !
Bon, un brin de légèreté :
Jazzi ? moi ? pourquoi moi ? à cause de toutes ces accusations mensongères dont j’ai fais l’objet !
Jazzi faut surtout pas les écouter !
Et à la fin de « j’envoie ! », tu touches, hamlet !
Chez Giono, les mecs sont des proies…
j’ai fais… : voià la preuve que je ne prends pas la tête moi !
@ H… C’est qu’on est si vite contaminé par le virus de l’intellectualisme que vous avez si bien su inoculer à l’erdélie. Voyhons donc, la langue infiniment chantournée de TB, piouff… !
« Jazzi dit: à
Chez Giono, les mecs sont des proies… »
Autant l’admettre, on aura tout lu, ici, concernant Giono. Angelo une proie. D’ici peu, on va lui coller l’étiquette lgbt.
L’interview de Jankélévitch, c’était pour une série des Nuits magnétiques, JJJ.
https://www.babelio.com/auteur/Jacques-Barozzi/24470/videos
hamlet dit: à
« comme Pauline qui nous chauffe notre Angelo.
pourquoi ne pas dire simplement de cette dame que comme Emma, et cela dit sans offenser la gente féminine, que c’est une « chaudasse », et voilà ! emballé c’est pesé et en voiture Simone ! »
Il pourrait s’interdire, il se pose la question, mais non il envoie.
=> hamlet est une fille.
@ H. Laissez les chaudasses tranquilles ! Claudia Chauchat avait froid, et Mynherre Peeperkorn se proposait de la réchauffer. Inutile d’insulter le bestiaire de Davos !
(J’envoie ou j’envoie pas ? – allez : j’envoie pas, c vraiment trop nul !… ah zut, ça m’a échappé !)
« D. dit: à
Continuer à limiter les visites en Ehpad d’une façon abusive et inhumaine (vitres, distances excessives, espacement trop grand des visites, nécessité d’une attestation médicale de toute fin de vie délivrée par un médecin pour qu’un proche puisse franchir + de 100 km) pourrait conduire beaucoup de gens en prison dans quelques mois. Il paraît que certains commencent à mandater des huissiers pour effectuer des constats. »
Cela va se passer comme ça durant quatrenou cinq mois.
Un rv.tous les 15 jours 20 mn.
Jazzi quand tu lis ça à 17 ans dans un internat c’est le dernier truc qui te dérange si tu vois ce que je veux dire !
« D’ici peu, on va lui coller l’étiquette lgbt. »
C’est fait depuis longtemps, rose !
J’ai parlé à son sujet d’homosensualité…
Il y a des descriptions du corps en action des mecs absolument bandants chez Giono !
oui mais du coup, c’est catherine clément qui s’y colla et trinqua… Etalii, la grande lacanienne légendée, était-elle magnétisée à l’époque ?
– Ca nous rajeunit pas les Denise Glaser et Claude Maupommée, tout ça, hein !…
« et je prends juste le temps de regarder si vous avez mis un bécarre à vos glapissements »
Glapissements attribués au renard. Vous convient mieux qu’à moi. Vous sortiriez du séminaire serait plus salvateur que d’un.
les 3J,c’est le type même de la prétention à comprendre et savoir de ce blog;mais il se trouve que je n’ai pas dit que j’écoutais une leçon sur Beccaria ;LES 3J EST un robot aveugle et sourd;
« si tu vois ce que je veux dire ! »
ça active les mouvements du poignet, hamlet.
Demande à Paul Edel !
que d’un quoi? Votre phrase n’a aucun sens,et vous voulez faire la loi, petite utilitariste,retournez voir votre psy et celui de votre manman à 12doigts
La morte della ragione
Jazzi dit: ça active les mouvements du poignet, hamlet. Demande à Paul Edel !
»
je veux bien faire des efforts de sociabilité, mais là non, désolé, je préfère me débrouiller tout seul…
Christiane
« pour imager l’attitude de Pauline, il traduit un état de subconscient. Son corps et ses gestes, ses tutoiements prévenants, sa complicité inventent des signes que sa droiture refuse. Les perçoit-il ? C’est possible… mais sa quête fait qu’il ne peut y répondre. Il sait qu’il ne peut s’attarder près d’elle. Son rêve l’appelle ailleurs. Il préfère le maniement du sabre, les courses à cheval, la liberté à une romance avec une femme mariée et avec laquelle il n’aura aucune aventure charnelle, son code de l’honneur le lui interdisant. »
Heureusement que nous vous avons sur ce blog. Vous êtes le safran de cet équipage.
Jankélévitch : Le prélude (Chopin, Scriabin, Debussy, Fauré)
https://www.youtube.com/watch?v=YHYED_ErlpM
Cinq minutes de bavardage totalement creux pour finir par dire « L’homme n’aime pas la musique… ». Quel nullité ce Jankélévitch !
glapir: Altération, peut-être d’apr. japper*, du verbe a. fr. glatir « aboyer,
Sortir du séminaire est plus -ceci cela – que sortir d’un séminaire.
Pffffiou.
Si vous voyez la nuance.
« je préfère me débrouiller tout seul… »
C’est ce que je disais, hamlet…
Les jeunes gens de 17 ans lisant La Chartreuse de Parme ou le Hussard sur le toit se masturbent en pensant narcissiquement au héros : Fabrice Del Dongo ou Angelo Pardi !
Il y a deux jours Keith Jarrett a fêté son 75ème anniversaire.
Tokyo Solo 2002 Encores
https://www.youtube.com/watch?v=Eqr0ZmgmDr4
Tatouage:
Etant donné que je suis un peu à la naissance de la controverse (« le hussard sur le toit », livre de mec à usage de mecs)je voudrais juste dire que…
90 % de la littérature, à vue de nez et au doigt mouillé (si je peux me permettre) appartiennent à cette même catégorie.
Sauf que…
Pourquoi donc sont-ce des femmes qui lisent cela, qui n’a visiblement pas été écrit pour leur procurer des émotions, à elles, sinon par acrobatie ?
Je veux dire, pourquoi les petites filles persistent-elles à lire Tintin ?
Je vous laisse deviner la réponse, mais disons qu’elle peut se déduire de faits économiques et sociaux, qui commencent par « domi » et se finissent par « nation ».
Et comme je dis ça, je dis rien…
Je m’en vais me « déconfiner » un coup toute seule, là. En remarquant que « déconfination » rime avec déconfiture…
n’ayant jamais prétendu être lacanienne,comme les erdéliennes qui n’ont pas démenti, je vous laisse aussi libre de fantasmer;j’écoute ce qui m’intéresse et ceux et celles qui ont un peu d’entente du « collectif »,votre collectif est infect et abject ; faut-il que le virus soit idiot pour ne pas vous avoir atteints en priorité;mais ce n’est pas fini!bonne chance
sans compter, évidemment, le titre… Ce « hussard »… Ben voyons…
« Un livre de mec à usage de mecs » ?! voilà que j’ai encore loupé la coche.
« déconfination » rime avec déconfiture…:NON
DECONFITURE PEUT RIMER AVEC BITURE et ciboulot avec goulot , mais vérifiez sur la toile « rime »
et bien sur si pastiche rime avec godiche quand il s’agit d’une femme
« faut-il que le virus soit idiot pour ne pas vous avoir atteints en priorité »
Retirez immédiatement cet appel au meutre collectif, quasi génocidaire, et alii !
« et bien sur si pastiche rime avec godiche quand il s’agit d’une femme »
Et alii a l’air particulièrement remontée : tous aux abris !
exemple de conférence sur l’imperium aujourd’hui que vous pouvez encore écouter:
« Pourquoi donc sont-ce des femmes qui lisent cela, qui n’a visiblement pas été écrit pour leur procurer des émotions, à elles, sinon par acrobatie ? »
That’s the question, Clopine !
Ce qui expliquerait le fait que Ed s’est passablement ennuyée à la lecture ? Moi, quand je l’ai lu, à l’armée, pas un seul instant !
godiche est sur le CNRTL
JAZZI ne comprend pas les mots qu’il emploie !qu’il s’instruise!
et les 3Jetalii, elle répond à un ROBOT sourd et aveug’… L’est complèt’ment, zarbie ou quoi ? Déjà rev’nue de son cours du 4e âge ? Voudrais voir la prise de notes, vu l’état du koud ou gnôle ! Besoin d’un peu de repos déconfiné en province peut-être ?… Connais un bon gîte pas cher :
https://www.tripadvisor.fr/VacationRentalReview-g2457819-d6494771-Coudougnol_Nord_en_Perigord-Saint_Avit_Riviere_Dordogne_Nouvelle_Aquitaine.html
tour sur les rimes par wiki pour les dames -et leurs petits (faux)maîtres qui ne pensent qu sexe sexualité
Une rime est une répétition de sons semblables (le plus souvent identiques) dans les syllabes finales de deux ou plusieurs mots. Le plus souvent, ce type de répétition est utilisé volontairement à la fin des vers de poèmes ou de chansons.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rime
les 3J est un malade idiot qu’il se cherche des interlocuteurs trices qui correspondent à son niveau mental si son Jazzi ne peut plus rien pour lui
j’ai des interlocuteurs et conseils en dehors de ce blog qui se mêle de qui ne le regarde pas;et les femmes qui exhibent leurs jalousies haineuses ne m’apparaissent pas des références sauf en pathologie
S’il passe dans votre horizon : Wittgenstein’s and Derrida’s Hermeticism: From the Parody of Esotericism to the Mystic Machine.
même si vous m’aviez demandé le nom de la prescription que m’ a faite un médecin compétent confirmé, je ne vous l’aurais pas donné :vous n’avez qu’à consulter
renato: c’est un titre de quoi? UN ARTICLE? en livre?
MERCI de préciser
et3alii, elle pense pas que sexe ça peut rimer avec absence de sexe. A besoin de wiki pour rimailler. Mais qu’est-ce qu’on leur apprend à l’Université du 4e âge aux vieilles maîtresses des colles : La nostalgie du rut ou la cécité du cul ?
(Devient trop vulgaire ce blog, allez zou, je me kasse Patricia, & foutez-moi la p…)
Vous le trouvez ici, et alii :
votre blog sera consacré comme un blog de Q,P.Assouline; si c’était votre but, c’est réussi ; sinon , on se demande pour qui vous ouvrez de commentaires lorsqu’on y voit des males et des femelles chercher partenaires de délires sexuels ,d’où ma préférence d’aller écouter ailleurs des auteurs dignes de ce nom ; si vous faites de l’assistance de vieux malades, comme il semble, changez de ministre !c’est vous le responsable de ce que vous suscitez chez ces males et femelles comme j***** , r******, et autres « AMS «
merci, renato, j’avais trouvé !
je suis un peu à la naissance de la controverse
on avait un brin oublié où la Loire avait pris sa source, notez bien. Quant au Hasard, c’est pas par Hussard qu’il te prend sur le toit. Un livre très hot, comme l’article sur le neveu de Wittgenstein, r. ; Passou par là. L’heure du martini-dry. Et dans cinq heures (4h.35 même), MS nous fait une teuf d’enfer avec ses copines du ramdam. Yeh. (Passe à l’heure des kinox, du rouge au vert).
effectivement, il y a des contributeurs -trices-d’une vulgarité insensée;
l’ambiance-on disait aussi la mentalité- de ce blog me dégoute maintenant
… d’où ma préférence d’aller écouter ailleurs des auteurs dignes de ce nom
et elle est toujours là… depuis ce matin, la délirante du Sexe Agée Nerf, comme incrustée pour menacer le blog de Passoul.
De fait, s’instruit beaucoup avec les erdéliens dignes de ce nom, n’arrive pas à masquer sa fascination pour la fesse, malgré le déni puerpéral. Plusse se dit dans le déni, plus la libido se réactive. C’est gratuit, et on dit « merci qui », FMLP3 ?
r******
je voyhons point qui ça peut bien être
rôh, ce soir je mange 12 huîtres bien grasses de Marennes-Oléron avec un zeste de gingembre dans le jus de citron.
je rappelle aussi elfriede Jelinek qui fit des études de musique et joua de plusieurs instruments ; sa mère est à opposer quand même à la domination de C.T.
On ne met rien dans les huîtres quand on sait les apprécier. Seulement du pain de seigle avec un beurre de première qualité.
Mais bon. Liberté.
wiki précise à propos de Jelinek
Titulaire d’un diplôme d’organiste obtenu en 1971, elle collabore avec la jeune compositrice autrichienne Olga Neuwirth (Todesraten, Bählamms Fest, drame musical d’après Leonora Carrington)11. Elle travaille également avec Hans Werner Henze12. Jelinek a passé son temps à promouvoir en Autriche l’œuvre, qu’elle estime méprisée, d’Arnold Schönberg, Alban Berg et Anton von Webern5.
On ne met rien dans les huîtres quand on sait les apprécier. Seulement du pain de seigle avec un beurre de première qualité.
Mais bon. Liberté.
jelinek:
J’utilise le son de chaque mot comme s’il s’agissait d’une composition musicale. J’essaie aussi de révéler le caractère idéologique du langage, de le contraindre à lui faire sortir ses contre-vérités, et ce avec beaucoup d’humour4
Jamais corrigé les huîtres avec quoi que ce soit. À un moment l’on m’a dit que l’huîtres peut être toxique, ce pourquoi on la goûte avec quelques gouttes de citron ; mais puisque je ne suis jamais mort, je suppose qu’il s’agit d’une fake new.
l’huîtres sans S
C pour l’anesthésier puisqu’on la mange vivante.
La pie grièche n’a rien inventé.
Le dr Lecter rappelle, décrète, admoneste.
Mais que ce vieux barbon laisse Jelinek en paix.
Il ferait lieux d’aller écouter sa musik ailleurs, avec sa Boulanger; il paraît qu’elle adoucit les morses.
On ne met rien
Mais qu’en savez vous, D…?, de ce qu’il faut faire avec les huîtres en lactance…? A d’autres, hein !… Moi, je suis né dans le bassin d’Oléron… et j’en ai avalé des milliers depuis lors, sous toutes leurs formes… Vous n’allez quand même pas m’apprendre l’ostréiculture, ti’morveux 🙂 … Le citron… c’est après la deuxième eau, et sans obligation aucune. D’autres préfèrent accommoder une vinaigrette à l’échalotte.
BB/ Le parallèle CT et Jelinek est proprement stupide et odieux. Faites la taire…, la taxifofolle ! Ses pulsions meurtrières commencent à être un brin voyantes depuis ce matin. Ou alhors, c’est son AD qui déconne complètement… Temps d’en changer, hein ! consultez consultez, doctissiMule… et FNLP…
Pardonnez-moi, chère MS si je n’entre pas dans votre jeu, mais est Juge-Consul qui remplit une fonction analogue aux membres de nos tribunaux de commerce.
Vous m’accorderez, je pense, que les gens de 1720 le savaient bien Les gens de 1720 le savent bien. Si donc il a été nécessaire de rajouter Maire, et entre parenthèses, pour le nommé Fabre, ce n’est pas que les Juges-Consuls le soient tous, c’est que celui-là l’est. Par cooptation, évidemment.
Et c’est ainsi que votre bel argument s’écroule, que la parenthèse soit de 1720 ou ultérieure. Je laisse apprécier la rigueur du syllogisme qui sous-tend cette belle démonstration:
Fabre est Maire
Fabre est Juge Consul
Donc les tous Juges-Consuls sont maires.
une telle vision, le terme n’est pas usurpé, surprendrait beaucoup entre autres un Montaigne, élu Maire de Bordeaux par un Collège de Jurats.
maintenant, vous pourrez toujours dire que je n’ai rien compris, c’est votre ressource suprême quand vous êtes en difficulté.
Mais ca ne marchera pas, désolé.
MC
Le tout premier prédateur bien à part, personne n’a rien inventé, bien que on peut parier que la pie grièche a commencé à empaler ses proies avant que les humains découvrent les qualités de l’huître… enfin, il me semble que des petites singes se delecten de coques ou quelques fruits de mer dans ces eaux-la. Cela dit, si on mange l’huître sans citron on la tue, avec le citron on l’assassine après torture.
A propos de mentalité, et alii, un mot qui rime avec communauté…
https://www.lemondejuif.info/2020/05/terrible-au-moins-1300-francais-de-confession-juive-sont-morts-du-coronavirus/
à Rose
Madame,
Aviez-vous il y a quelque temps pris le pseudo
« Mrs Rose » sur un site non littéraire, mais où l’on se distrait en jouant ?
@Pardonnez-moi, chère MS si je n’entre pas dans votre jeu.
Cher Docteur, permettez-moi en retour de faire assaut d’amabilité. Fût-ce pour vous faire passer pour un âne. Loin de moi, cette envie qui me tenaille.
Vous n’êtes pas sans ignorer que Remoulin d’où est parti le citoyen Alexandre se situe dans une province fort éloignée de Paris. Que les réformes successives de
l’administration municipale est telle que les maires et échevins n’étaient pas partout la règle a cette époque.
Ainsi le juge consul Fabre, qui a signé le laisser-passer d’Alexandre le 4 novembre 1720, est juge-consul, il écrit au nom des consuls ( relisez le doc !).
Et je vous confirme qu’il avait la fonction de ce que l’on nomme aujourd’hui un maire.
Vous trouverez attaché à ce commentaire, à votre aimable discrétion, un justificatif, prouvant votre grande outrecuidance.
Petlettez-moi de vous demander , cher docteur, pour quel motif, ce document a-t-il été établi ?
Je ne vous salue pas, j’ai faim, et demain je je lève avant l’aube.
Pièce jointe
https://www.persee.fr/doc/anami_0003-4398_1995_num_107_211_2435
Maurice BORDES*
CONSULS ET ASSEMBLÉES DANS LES
PETITES VILLES DE LA GASCOGNE
GERSOISE AUX XVHe ET XVHP SIÈCLES
Les communautés villageoises des provinces méridionales jouissaient d’une organisation plus solide que celles du reste du royaume. Avec une organisation différente, toujours plus bourgeoise, toujours plus oligarchique à cause des tensions plus vives entre les divers groupes sociaux, les villes se rapprochaient davantage de celles des autres provinces. Mais, dans les campagnes comme dans les villes, les consuls se trouvaient toujours au premier plan.
Les pouvoirs des consuls
Les consuls jouaient le principal rôle dans l’organisation municipale des provinces méridionales, de la Gascogne en particulier. Ils disposaient de pouvoirs de police et de justice plus ou moins étendus. Ils maintenaient l’ordre, faisaient respecter les usages, surveillaient les porteurs de contraintes contre les contribuables en retard, examinaient leurs pouvoirs, taxaient les denrées, vérifiaient les poids. Ils géraient les biens communaux, passaient les baux des fermes communales, faisaient élire les collecteurs des impôts royaux et procédaient à la collecte si on n’en trouvait pas. Ils certifiaient les états du collecteur et demandaient à l’intendant l’autorisation de lever des suppléments à la taille ou à la capitation pour couvrir les dépenses qui excédaient les revenus patrimoniaux. Ils préparaient l’ordre du jour des assemblées, les présidaient si cette présidence ne revenait pas à un juge, faisaient exécuter leurs décisions.
Pourquoi préférer la deuxième eau pour les huitres? Deux avantages.C’est que la première eau est chargée en salinité et couvre en partie le gout de l huitre. De plus en vidant la première eau vous éliminez les petites écailles qui peuvent provenir de l’ouverture.
@Barozzi
personnellement, les rimes ne m’obsèdent pas ! et de celles que vous avez présumée entre vous et Yanke, vous n’avez ostensiblement pas su conclure que vous vous mépreniez::puisque vous recommencez ici; vous pouvez raccrocher;
Bouh…Que les réformes successives de
l’administration municipale sont telles que les maires et échevins n’étaient pas partout la règle a cette époque.
Patrice Charoulet
Non.
Ce n’est pas moi.
présumées je l’avais d’abord écrit au singulier;excuses
« Ce n’est pas moi. »
C’est donc Sasseur !
« Vous n’êtes pas sans ignorer » ok ok, on fera mieux un autre jour.
Vous ne savez rien Court, c’est ce que je voulais dire.
Patrice Charoulet
Si d’aventure je joue je le fais en face à face. Usuellement je ne me distrais jamais.
Je travaille d’arrache-pied.
Là j’ai entrepris que les escargots ne débore pas les jeunes pousses. Un oeillet d’inde et un jeune poivron vert ont déjà subi leurs assauts.
Et j’ai entrepris un très gros boulot au niveau de mon composteur que j’ai fini hier soir, pas sans peine et pas sans mal.
Je suis désormais autonome en termee de fumier. Ce n’est pas pour l’économie, en terme de prix environ 6 € pour un sac de 20 litres, mais en terme de recyclage réussi je touche désormais ma bille ce qui m’a pris plusieurs années d’apprentissage et de travail.
Je suis fière de moi.
Capable d’apprendre ce qui m’intéresse.
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