Génération sacrifiée, vraiment ?
Jusqu’à quand va-t-on continuer un peu partout à évoquer la situation des étudiants comme celle d’une « génération sacrifiée » sans le moindre souci de la résonance historique d’une telle expression ? D’autres catégories estiment être sacrifiées sur l’autel de la raison sanitaire : restaurateurs, voyagistes, hôteliers, commerçants, propriétaires de salles de théâtre et de cinéma, sportifs etc Mais s’agissant des étudiants, c’est la seule catégorie pour laquelle on insiste sur la dimension générationnelle du sacrifice, même s’il se trouve toujours un président d’université pour préciser in fine : « Il faut relativiser… ». Il y a bien eu ça et là de timides tentatives du côté de la « génération perdue » mais vouées à l’échec tant l’écart est grand entre le désarroi des étudiants faisant la queue pour obtenir un repas gratuit et la vie quotidienne des écrivains américains expatriés à Paris entre les deux-guerres, d’autant que la situation des Hemingway, Fitzgerald, Dos Passos, Pound et autres, pour désenchantés qu’ils fussent, n’avait rien de tragique, le roman Paris est une fête en témoigne.
Depuis un siècle que l’on parle donc de « génération sacrifiée », la formule a travaillé comme on le dirait du bois dans une charpente. Son étonnante souplesse d’usage l’a galvaudée jusqu’à l’indécence, le mot n’est pas trop fort lorsqu’on se souvient ce qu’elle recouvre à l’origine : ces centaines de milliers de garçons qui eurent le malheur d’avoir vingt ans en 1914, de survivre quatre ans durant dans des conditions inhumaines au front dans les tranchées, d’y mourir ou d’en revenir atrocement mutilés, défigurés, traumatisés. Ces combattants d’autrefois de l’âge de nos étudiants d’aujourd’hui n’avaient pas le blues mais la peur au ventre. Ils n’affrontaient pas la précarité mais l’horreur.
Ce n’étaient pas les écrans des ordinateurs à l’issue des cours en ligne qui leur abimaient les yeux mais le gaz moutarde qui les rendait aveugles. Cela n’a pas empêché des sociologues de parler il y a vingt ans de « génération sacrifiée » pour désigner les jeunes entrant sur le marché du travail, contre d’autres sociologues qui battaient en brèche l’idée que les générations succédant à celle du baby boom aient été sacrifiées. N’empêche que selon un récent sondage de l’IFOP, 62% des jeunes « se vivent complètement comme une génération sacrifiée » tant la crise bouleverse leur mode de vie.
Qu’importe si un groupe punk décidait de se baptiser « Les trente glorieuses ». Nul n’est propriétaire d’un label historique. Passe encore que l’on emploie « surréaliste » à tort et à travers au mépris de ce que représenta le surréalisme dans l’histoire littéraire et artistique, quand « irréel » conviendrait mieux. Passe encore que « kafkaïen », « proustien » entre autres ne subissent pas un meilleur sort. Les analystes du marché du luxe prédisent de nouvelles « années folles » à la sortie de la crise sanitaire quand la pandémie sera derrière nous, comme ce fut le cas au lendemain de la première guerre mondiale et de la pandémie de grippe espagnole dans les années 1920-1929- et pourquoi pas. Mais il est limite de sortir l’expression « années de plomb » du contexte terroriste de violence politique et de terrorisme intérieur de l’Italie des années 1968-1982.
L’enjeu mémoriel fait la différence dès lors qu’il touche à une tragédie telle que la guerre. « Déporté », « camp de concentration », « années noires » entre autres sont des termes non pas confisqués mais connotés. S’en emparer à d’autres fins en jouant sur leur polysémie n’est jamais innocent en nos temps de vérités truquées. « Génération sacrifiée » devrait être une A.O.C. Ce qui ne diminuera en rien la détresse et les souffrances des étudiants en temps de Covid. Le fait est que l’Histoire et la mémoire ont consacré l’expression. Manifestement cela n’a pas suffi à la protéger. Faudrait-il la sanctuariser ?
Nous revient alors en mémoire le vibrant incipit d’Aden Arabie. On ne saurait trop louer Paul Nizan de nous l’avoir offert pour la première fois en 1931 dans sa dénonciation de l’ordre social colonial. Son essai sous forme récit de voyage avait la violence d’un pamphlet provocateur, insolent, haineux jusqu’à l’appel au meurtre. Il s’ouvrait par ces mots qui résonnent si puissamment en 2021 par l’esprit de révolte qui les animent et qui ne seraient pas, eux, déplacés ou indécents en la circonstance, la nôtre :
« J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie ».
(« Statue de Maillol dans le jardin des Tuileries », Photo Passou)
1 905 Réponses pour Génération sacrifiée, vraiment ?
À propos, comme a dit, justement, un ecrivain italien
Sûrement un milanais qui s’exprime en français comme une cagole.
Paul Edel dit: Puck, votre amour des paradoxes et des dialectiques ironiques a quand même des limites ; vos pirouettes vous font passer complétement à côté de la renaissance démocratique de la littérature allemande des années 50-80, des deux côtés de l’Allemagne…
»
et vlan dans les rotules !
voilà bien un exemple de l’ambiance qui règne aujourd’hui sur ce blog : on se permet de porter un petit jugement personnel sur un truc et vlan ! on se fait allumer.
bon c’est pas grave, je vais quand même réponde en restant poli.
Très cher Paul,
je ne pense pas, tout au moins je n’arrive pas à imaginer, évolution démocratique ou pas évolution démocratique, qu’un type comme ce Reich-Ranicki n’ait pas été quelque peu tourmenté par la lourde question de la culture, la civilisation et la barbarie !!!
je veux bien que vous passiez votre temps à rester à la surface des choses de façon plus ou moins frivole parce que personne dans votre famille n’a fini dans un camp d’extermination mais faudrait que nous prendre pour des cons si vous voyez ce que je veux dire !
et croyez bien que je le dis de la façon la plus courtoise qui vienne à l’esprit.
bien à vous,
puck
ça te fait quoi d’être pris pour Paul Edel, puck ?
« En matière d’indépendance financière des femmes, s’il y a une date à retenir, c’est le 13 juillet 1965. Ce jour-là, le Parlement vote une loi autorisant les femmes à ouvrir un compte bancaire en leur nom et à travailler sans le consentement de leur mari. »
et parmi toutes les boulettes politiques c’est sans doute pas la moindre.
comme si les types qui avaient, durant des siècles, interdit aux femmes de faire des chèques étaient des imbéciles.
ou alors il aurait fallu accompagner cette loi leur permettant de faire des chèques d’une autre loi leur interdisant de faire les boutiques !
mais bon, quand on sait le niveau d’intelligence de nos politiques on comprend bien qu’il ne faut pas leur demander des trucs trop évidents !
ou alors il aurait fallu accompagner cette loi leur permettant de faire des chèques d’une autre loi leur interdisant de faire les boutiques !
😝
Bien sûr, monsieur Bovary.
Pour les amateurs de créateurs et artistes Indiens, un videaste magnifique, Amar Kanwar :
https://slash-paris.com/fr/evenements/amar-kanwar-such-a-morning
et une artiste qui surprend, toc, Nasreen Mohamedi :
http://www.artnet.fr/artistes/nasreen-mohamedi/untitled-4PaQaP7VebAt6LR9AnTiIg2
Les deux vus à Kassel, pas besoin d’aller trop loin.
J’espère que vous qui connaissez l’Inde, vous les connaissez.
en parlant de Mme Bovary : une belle émission hier sur FC sur la vie d’Alma Mahler.
Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures, puck.
« Puck est Edel » Impensable, Christiane, là tu t’égares. »
Non. Et pas que… Face à Passou qui n’est pas sur Passou…
renato dit: Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures, puck.
»
très bien mon adjuvant !
à vos ordres mon adjudant !
c’est noté mon colonel !
Le Milanais ? Mais il n’existe pas plus que Puck. Le marionnettiste change son orthographe et son caractère au gré de ses humeurs. Ce jour, la méprise et la goujaterie qui la suit sont mises en scy pour provoquer l’indignation.
Pedro a disparu. Il n’amusait plus le marionnettiste…
Et vogue la galère…
Au plus, ils sont quatre…
il règne un esprit de plus en plus militaire sur ce blog.
scène
« très bien mon adjuvant ! »
Excellent !
Le permis de conduire est instauré en France en 1893 par Louis Lépine pour les candidats de plus de 21 ans et de sexe masculin. C’est en 1898 qu’une femme obtient son permis de conduire, Anne De Rochechouart, la duchesse d’Uzès, est la première femme à obtenir le précieux certificat. Deux mois plus tard, elle est verbalisée pour excès de vitesse (qui aurait sans doute mérité un petit score de trajet sur eiver) ! Excès de vitesse, tout est à relativiser aujourd’hui puisque la limite autorisée était de 12 km/h en ville et 20 km/h en campagne.
« Face à Passou qui n’est pas sur Passou… »
???
Il y y a trente ans, je passais pour très progressiste avec elle, je lui avais dit lors de notre union civile : « Je suis le gardien de tes droits, pas le maître de tes devoirs ».
Aujourd’hui, une telle proposition de pacte ne serait plus dicible, elle passerait pour tout à fait réactionnaire ou, à tout le moins, politiquement très incorrecte.
Et savez-vous pourquoi ? Savez-vous ce qui s’est passé, au juste, en l’espace d’une seule génération ?
Bàv,
Vous avez parfaitement raison christiane, vous êtes vachement futée !
Pour les amateurs de créateurs et artistes Indiens, un videaste magnifique, Amar Kanwar :
https://slash-paris.com/fr/evenements/amar-kanwar-such-a-morning
Certes cher caporal !
Pour renato on a son identité.
Comme pour Paul Edel.
Ne me dis pas que moi aussi je serais l’autre !
Tu vas bien Christiane ?
ce matin sur FC une émission très drôle avec Axel Kahn (qui est toujours très drôle).
pendant toute l’interview il a tenté de persuader le journaliste et les auditeurs qu’il était un « type bien », avec un tas de preuves à l’appui.
notamment en redisant la fameuse phrase léguée par son père, de façon testamentaire, et donc privée, intime, il l’a encore déballé cette intimité comme preuve que c’était un type bien, alors qu’exhiber de la sorte la mémoire de son père pour en tirer profit est la pire chose qui soit.
et ensuite il a répété qu’être un type bien c’est avoir le souci d’autrui, alors qu’à l’évidence il instrumentalise cet autrui que pour faire reluire son amour propre.
et ce type se dit « éthicien »…
…et une artiste qui prend à contre pied :
http://www.artnet.fr/artistes/nasreen-mohamedi/untitled-4PaQaP7VebAt6LR9AnTiIg2
J’espère que vous qui connaissez l’Inde ,vous les connaisez. Je les ai vu à Kassel, pas besoin d’aller trop loin.
Je crois que renato existe bel et bien, de l’Italie milanaise ou de Colmar. Je reconnais que ces derniers temps, il est devenu plus à cran… Mais c normal, tout le monde, même le + flegmateux, pète le covid un jour ou l’autre. Essayons de nous supporter avec tous nos défauts apparents, et de nous nourrir des qualités dissimulées de chaque erdélien.ne
Bàv,
EN VOITURE SIMONE !
https://eiver.co/actualites/actu-auto/expression-en-voiture-simone-femme-automobile/?cn-reloaded=1
non, pedro c’était beaucoup plus drôle !
il avait besoin de savoir qui était qui, et il se servait des étoiles pour y parvenir, et à chaque il tapait à côté !
quelle misère qu’il ne soit plus là, en plus il recopiait tous mes commentaires le con ! si ça se trouve il est en train d’écrire un bouquin dessus.
J’aime beaucoup ce que vous faites sur le plan artistique, maître.
« comme si les types qui avaient, durant des siècles, interdit aux femmes de faire des chèques étaient des imbéciles. »
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« éthicien »
Ethicien de surface !
’automobile est devenue le moyen modal de la mobilité quotidienne : aujourd’hui, en France, près de 83 kilomètres sur 100 effectués par les ménages sont parcourus en automobile [Armoogum et al., 2010]. La période des Trente Glorieuses joue un rôle central dans cette diffusion : c’est la période de l’« universalisation » de la « révolution automobile » [Bardou et al., 1977]. Pourtant, cette universalisation est d’abord masculine et, en 1981, à la fin des Trente Glorieuses, une femme sur deux seulement détient le permis de conduire alors que c’est le cas pour trois hommes sur quatre. Le constat de la massification de la voiture apparaît en réalité avoir négligé la question du genre [Boltanski, 1975 ; Blum, 2004]
INLes femmes prennent le volant
Diffusion du permis et usage de l’automobile auprès des femmes au cours du xxe siècle
Yoann Demoli.
ce sont plutôt certaines générations de femmes qui ont connu un accès privilégié et exceptionnel à l’apprentissage de la conduite. L’accès des femmes à l’automobile a été notamment un accès par le rôle de passagères et il se répand véritablement lorsque le multi-équipement se banalise, dès les années 1980.
: « Je suis le gardien de tes droits, pas le maître de tes devoirs ».
Aujourd’hui, une telle proposition de pacte ne serait plus dicible, elle passerait pour tout à fait réactionnaire ou, à tout le moins, politiquement très incorrecte.
Et savez-vous pourquoi ? Savez-vous ce qui s’est passé, au juste, en l’espace d’une seule génération ?
Nous nous sommes mises à gagner nos vies.😃
La Grande Guerre est un tournant historique dans la diffusion du permis de conduire auprès des femmes. En France, comme aux États-Unis,
Christiane au moins, ils sont quatre : très bien mon adjuvant.
La Grande Guerre est un tournant historique dans la diffusion du permis de conduire auprès des femmes. En France, comme aux États-Unis
»
grâce à la pression des lobbies des garagistes et des carrossiers !
La diffusion du permis auprès des femmes a enfin connu une dynamique générationnelle. Sophie Roux confirme que les effets de génération sont bien plus faibles pour les hommes que pour les femmes. Pour ces dernières, l’auteure note qu’« un effet de génération persiste : le taux de permis par âge augmente à chaque âge pour chaque génération » [Roux, 2012, p. 159]. Toutefois, la linéarité de l’effet de la cohorte – plus récentes sont les générations, plus le taux de détention est élevé – semble contestable
Pour les hommes, les effets de génération semblent bien moins prégnants que pour les femmes. Au sein de la population féminine, à période et effets fixes contrôlés, les cohortes nées avant les années 1930 paraissent, moins que les autres, détenir le permis de conduire. Un changement d’ampleur intervient pour les générations nées après les années 1930, avec un pic pour les femmes nées entre 1940 et 1950 ; les coefficients sont en effet maximaux pour ces femmes du baby-boom. Appartenant à des générations qui connaissent la motorisation rapide et massive des Trente Glorieuses dans leur enfance, ces femmes se sont fortement socialisées à la conduite. Quant aux générations qui leur sont cadettes, elles connaissent, toutes choses égales par ailleurs, un engouement moindre pour le permis de conduire. Ce résultat, robuste, vient contredire l’intuition d’un progrès linéaire affectant successivement les différentes cohortes. Le constat selon lequel plus les cohortes seraient jeunes, plus elles auraient tendance à détenir le permis est vrai d’un point de vue descriptif mais ne tient plus dès lors que l’on compare ce qui est comparable.
Christianeais qui esst le polyphonique breton de passage ? 😳
Je l’ai raté . 🙄
rose dit: à
Christiane
Mais qui est le polyphonique breton de passage ? 😳
Je l’ai raté . 🙄
Je me souviens qu’hamlet m’a une fois dit ce qu’on peut faire avec le prix d’un apéritif à l’Harry’s Bar — combien d’enfant on peut nourrir etc. : je me demande qu’est-ce qu’il fait réellement un comme ça pour les autres.
La covid-19 est un révélateur supplémentaire de l’uberisation de la médecine qui soigne les esprits. Les chèques psy en bois, octroyés par un gouvernement inconséquent sont symptomatiques d’échecs redondants livrant à elle-même toute une génération sacrifiée.
Face à ce délitement programmé du soin psychique, les praticiens en sont réduits à tenter de préserver des fondamentaux non-négociables.
LUNDI MATIN/
La psychiatrie en temps de Covid
La chose plus aberrante relativement aux femmes c’est que dans certains pays de l’UE elles sont plus mal soignées que les hommes — va savoir pourquoi.
Christiane
christiane dit: à
Renato, je parle d’un écrivain à Rose.
Un peu comme Maurice Ronet dans un film que j’aime beaucoup.
Lequel, si ge n’est pad indiscret ?
Comment en êtes-vous venue à acheter Antimatière de Maurice Desborel ?
C’était chez Sergio ?
Vu le film christiane avec Maurice Ronet
elles sont plus mal soignées que les hommes — va savoir pourquoi.
C’est exact et bien connu ,et pour certaines maladies -coeur- , et même en France;mais il faut rechercher les articles je n’ai pas l’énergie maintenant ;
je voulais préciser qu’il y a des intellectuels et écrivains qui ont souligné qu’ils ne conduisaient pas parce que la voiture est un « personnage littéraire à part entière et une composante de l’identité (et avec quels noms!D.S.!)
Visite de l’exposition parcours de Martin Bruneau dans Autun juillet 2004
La nouvelle Citroën,
extrait de Mythologies
de Roland Barthes.
https://www.desordre.net/textes/bibliotheque/barthes_citroen.htm
Non, Rose, ici.
Un certain Pedro… Avait avec insistance donné le titre et le nom de l’auteur. Une vidéo canular d’un jeune ridicule donnait à l’ensemble une image de dérision. Jay voulu en avoir le coeur net et jaiy chargeur le livre sur la tablette.
Seul un familier de ce blog avait pu l’écrire. Quant aux critiques de littérature. C’était un familier des oeuvres de musily et de David et de la littérature de langue allemande.
De plus les échanges entre Pablo, Puck et P.Edel ressemblaient à une savante construction pleine de faux semblants.
Aimant les hétéronymes de Pessoa et ayant perçu sur ce blog le goût des multiples pseudos, j’ai commencé à faire des rapprochements : B B et Clopine, Pedro et un passionnés de littérature espagnole, les possibilités infinies d’un romancier, dramaturge et auteur de polars pour Puck, Et Alii…
Jusqu’à là tout va bien mais mettre ce talent au service de la moquerie, d’un certain sadisme est triste.
Bon, cette fois je laisse ces pitres amuser la galerie. Je vous quitte
Reste deux énigmes : les métamorphoses de Marie Sasseur et la méchanceté d’un certain mélomane. Puissent-ils être différents dans la vraie vie.
Merci pour la création de Jibé.
Merci à Rose, Jazzi et DHH pour leur presence.
J’ai voulu – j’ai chargé – Musil – passionné
La vieille folcoche , vieux chameau de cour d’école, n’aura pas assez du restant de ses jours pour résoudre ses » énigmes ». Bon vent.
Dernières pitrerie du smartphone, lire « de sa vie » et non pas « David ».
Ta gueule Sasseur !
« Les femmes, les grandes oubliées des maladies cardiovasculaires
Ainsi, l’idée que les maladies cardiovasculaires concernent surtout les hommes est solidement installée. En réalité, l’infarctus et l’accident vasculaire cérébralsont les premières causes de mortalité aujourd’hui chez les femmes. « Elles sont les grandes oubliées des maladies cardiovasculaires », constate amèrement le Pr Claire Mounier-Vehier, président de la Fédération française de cardiologie, membre du Comité scientifique de Santé magazine.
Les femmes plus nombreuses que les hommes à souffrir de BPCO
Autre idée reçue : le profil type du patient atteint deBPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive) serait « un homme de 50 ans qui fume, qui tousse et qui crache », selon l’expression d’un pneumologue. Aujourd’hui, en France,40 % des patients atteints de BPCO sont des femmes, contre 20 % il y a vingt ans, en lien avec le tabagisme, la pollution et l’exposition professionnelle à des produits chimiques. Aux États-Unis et en Australie, elles sont désormais plus nombreuses que les hommes à être touchées par cette maladie.
j’avais bien enregistré cet exemple:
De fait, les symptômes d’une même maladie s’expriment différemment d’un sexe à l’autre. Exemple typique : l’infarctus se manifeste chez un homme par des douleurs dans la poitrine, du côté gauche, irradiant dans la mâchoire. Chez une femme, les signes seront plutôt digestifs. « Trop souvent, lorsqu’une femme arrive avec des vomissements aux urgences, on va penser à une gastro ou à un ulcère, avec le risque de passer à côté d’un infarctus », dit le Pr Mounier-Vehier. Conséquences : les femmes victimes d’un accident cardiaque sont prises en charge avec une heure et demie de retard en moyenne par rapport à un homme. « Une véritable perte de chance », pour le Pr Mounier-Vehier.
Pour Elles, pour nous.
ceci aussi est bien connu
Pendant longtemps, la recherche scientifique sur de nouveaux médicaments n’a tenu aucun compte des spécificités féminines. « Les mouvements féministes aux États-Unis ont été les premiers à le dénoncer et à obtenir le vote d’une loi, en 1993, obligeant les acteurs de la recherche à inclure des femmes dans leurs essais cliniques », observe Catherine Vidal. L’Europe a suivi le mouvement, mais avec un temps de retard. Conséquences : les médicaments ne sont pas toujours adaptés au métabolisme féminin.
« Dans le traitement du cholestérol, les femmes qui prennent une statine ont davantage de crampes que les hommes, tout simplement parce que la dose a été calculée pour des hommes », précise Claire Mounier-Vehier.
Bon, quitter ce blog en réécrivant sur ordi ce dernier commentaire saccagé par les divagations de la « correction » du smartphone !
Non, Rose, ici.
Un certain Pedro… avait avec insistance donné le titre et le nom de l’auteur. Une vidéo canular d’un jeune ridicule donnait à l’ensemble une image de dérision. J’ai voulu en avoir le cœur net et j’ai chargé le livre sur ma tablette.
Seul un familier de ce blog avait pu l’écrire. Quant aux critiques de littérature. C’était un familier des œuvres de Musil et de sa vie, et, de la littérature de langue allemande.
De plus, les échanges entre Pablo, Puck et P.Edel ressemblaient à une savante construction pleine de faux-semblants.
Aimant les hétéronymes de Pessoa et ayant perçu sur ce blog le goût des multiples pseudos, j’ai commencé à faire des rapprochements : B et Clopine, Pedro et un passionné de littérature espagnole, les possibilités infinies d’un romancier, dramaturge et auteur de polars pour Puck, Et Alii…
Jusqu’à là, tout va bien mais mettre ce talent au service de la moquerie, d’un certain sadisme est triste.
Bon, cette fois je laisse ces pitres amuser la galerie. Je vous quitte.
Reste deux énigmes : les métamorphoses de Marie Sasseur et la méchanceté d’un certain mélomane. Puissent-ils être différents dans la vraie vie.
Merci pour la création de Jibé.
Merci à Rose, Jazzi et DHH pour leur présence.
C’est la fête, Ève, lève-toi.
il faut m’exclure,christianede ces jeux de mystification ,dont je n’ai ni le talent, ni le temps, ni le goût
S’il faut sortir ses sources, cher Puck, il y eut un parallèle particulièrement fouillé entre Mahler et Adrian Leverkuhn sur France Musique. Je pensais que vous étiez au courant. Pour le reste, on ne vous cherche pas, on a simplement attiré votre attention sur ce que Malraux a pu dire de Bernard de Clairvaux à Vezelay. Vous vous en êtes servi pour extrapoler un St Bernard de Carnaval. Je n’ y peux certes rien, que constater que les écrits qu’il a laissé ne sont pas ce que vous lui faites dire,mais encore faudrait-il lire le De la Consoderation où les Sermons sur le Cantique des Cantiques….Et j’ ai idee ce ne sera pas demain la veille! Cordialement. MC
Ce n’est pas une génération sacrifiée, mais des malades sacrifiés: 40% des activités non-Covid sont déprogrammées dans les Hôpitaux d’Ile-de-France.
J’ai perdu une de mes plus chères amies l’an dernier pour cette raison-même.
Nous payons des années de sous-financement de la santé publique et de l’Hôpital.
Ils ont bousillé tout ce qui fonctionnait et dont nous pouvions être fiers: l’École et l’Hôpital.
Il faut réagir.
au tweet Mannoni, ajoutons qu’il a traduit le dernier SLOTERDIJK « faire parler le ciel »
MC « (je ne peux) que constater que les écrits qu’il a laissé ne sont pas ce que vous lui faites dire,mais encore faudrait-il lire le De la Consoderation où les Sermons sur le Cantique des Cantiques….Et j’ ai idee ce ne sera pas demain la veille »
pas demain la veille ça veut dire quoi ?
« Pour les chevaliers du Christ, au contraire, c’est en toute sécurité qu’ils combattent pour leur Seigneur, sans avoir à craindre de pécher en tuant leurs adversaires, ni de périr, s’ils se font tuer eux-mêmes. Que la mort soit subie, qu’elle soit donnée, c’est toujours une mort pour le Christ : elle n’a rien de criminel, elle est très glorieuse. Dans un cas, c’est pour servir le Christ ; dans l’autre, elle permet de gagner le Christ lui-même : celui-ci permet en effet que, pour le venger, on tue un ennemi, et il se donne lui-même plus volontiers encore au chevalier pour le consoler. Ainsi, disais-je, le chevalier du Christ donne-t-il la mort sans rien redouter ; mais il meurt avec plus de sécurité encore : c’est lui qui bénéficie de sa propre mort, le Christ de la mort qu’il donne.
Car ce n’est pas sans raison qu’il porte l’épée : il est l’exécuteur de la volonté divine, que ce soit pour châtier les malfaiteurs ou pour glorifier les bons. Quand il met à mort un malfaiteur, il n’est pas un homicide, mais, si j’ose dire, un malicide. Il venge le Christ de ceux qui font le mal ; il défend les chrétiens. S’il est tué lui-même, il ne périt pas : il parvient à son but. La mort qu’il inflige est au profit du Christ ; celle qu’il reçoit, au sien propre. De la mort du païen, le chrétien peut tirer gloire, puisqu’il agit pour la gloire du Christ ; dans la mort du chrétien, la générosité du Roi se donne libre cours : il fait venir le chevalier à lui pour le récompenser. Dans le premier cas, le juste se réjouira en voyant le châtiment ; dans le second, il dira : « Puisque le juste retire du fruit de sa justice, il y a sans doute un Dieu qui juge les hommes sur la terre. »
Pourtant, il ne convient pas de tuer les païens si l’on peut trouver un autre moyen de les empêcher de harceler ou d’opprimer les fidèles. Mais, pour le moment, il vaut mieux que les païens soient tués, plutôt que de laisser la menace que représentent les pécheurs suspendus au-dessus de la tête des justes, de peur de voir les justes se laisser entraîner à commettre l’iniquité. […]
Qu’ils soient rejetés loin de la cité du Seigneur, ceux qui commettent l’iniquité, ceux qui s’efforcent d’enlever les inestimables richesses que Jérusalem réserve au peuple chrétien, ceux qui veulent souiller les Lieux saints et s’approprier le sanctuaire de Dieu. Que les deux glaives des fidèles soient levés sur la tête des ennemis, pour détruire quiconque s’élève contre la foi de Dieu, c’est-à-dire celle des chrétiens, « pour que les nations ne disent pas: où est leur Dieu ? » (Saint Bernard, De laude novae militiae, cité par Jean Richard,
dans L’Esprit de croisade, Paris, 1969.)
et si vous voulez lire la suite de l’apologie du bain de sang (comme disait l’autre c’est ici :
mon passage préféré :
« Pourtant, il ne convient pas de tuer les païens si l’on peut trouver un autre moyen de les empêcher de harceler ou d’opprimer les fidèles. Mais, pour le moment, il vaut mieux que les païens soient tués (…) »
lui non plus n’avait pas peur de faire dans le comique.
comme dit l’autre : l’adoration est la quantité d’amour nécessaire pour perpétrer des massacres.
Il faudrait que les fabulateurs se soignent !
« Mais, pour le moment, il vaut mieux que les païens soient tués »
tu parles qu’après ça les types ils pogromaient tous les juifs qui se trouvaient entre leur point de départ et Jérusalem…
vous imaginez la quantité de morts que cela représente Petit Rappel ? jeunes, vieux, enfants, hommes, femmes enceintes éventrées pour bruler le foetus qu’elles portent en elles.
sérieux faut juste arrêter avec ces esxcès de révisionnisme à la longue ça devient exaspérant !
quant à Dr Faustus : Mann s’en prend à tous les compositeurs dont la musique ne s’adressaient pas à tous et intelligibles par tous, mais seulement à des poignes d’élus. alors effectivement soit des élus « intellectuels » dont une Grâce tombée du Ciel leur permettaient de comprendre une musique que personne hormis eux ne comprenait. soit des élus de « race » : comme Wagner qui n’écrit des oeuvres que seuls les aryens ne peuvent comprendre !
Mann y voit une rupture avec la tradition humaniste pour laquelle il s’éprend à partir des années 30 (cf ses écrits après guerre aux US)
Mann reproche même aux compositeurs juifs de musique moderne (entre autres Schoenberg mais pas que) d’avoir nourri l’idéologie nazie avec des oeuvres ésotériques, mystiques et sectaires.
aujourd’hui ces attaques ne tiennent plus la route, mais c’est comme Ranicki : si on ne replace pas les choses dans leur contexte historique on ne comprend plus rien à rien !
Le massacre puck est l’un des plus anciens passe-temps de l’humanité, figurez vous qu’il est pratiqué depuis les temps préhistoriques — on ne va pas faire la liste mais avec le net vous y arriverez sans peine —. Il y divers aspect de la chose, certains castraient les prisonniers avant de le tuer, d’autres leur coupaient les mains toujours avant de les tuer. Bon, vous regardez chez les chrétiens parce qu’il sont plutôt tolérant désormais et vous pouvez les critiquer sans vous exposer aux conséquences plus ou moins violentes maintenant tant à la mode.
renato, ne me gonflez pas svp avec vos lectures de travers !
il n’est pas question de massacres en général, mais de Saint Bernard de Clairvaux !
c’était pour répondre à Mr Court !
répondre sur sur SAINT BERNARD DE CLAIRVAUX !
je sais bien que les massacres sont un truc habituel chez l’homme, ne me prenez pas pour un imbécile avec vos propos pontifiants !
Un brin de pub pour un ami photographe :
Italo Bertolasi, « Kafiri, les derniers païens de l’Hindoukouch », 1971
Gonfler vous connaissez n’est-ce pas ? bien sur, c’est tout ce que vous savez faire.
Il paraît que vous avez écrit un roman, c’est vrai ?
Heureusement, il y a encore et toujours des Kafirs animistes, renato, dans les vallées Kalash du Pakistan, peuple aux yeux bleus (pas tous) dont mon ami Georges L. est le spécialiste mondial. Capitale, Chitral.
Le nord du Pakistan, les vallées de Swat, de la Hunza, Chitral et le Karakoam Highway jusqu’à Kashgar dans le Xinjiang, les plus beaux paysages du monde (avec la Polynésie de Melville, Stevenson, Gauguin et Brel)…
Voyez vous, Puck, en lisant nos commentaires,je me disais que vos lectures, votre culture, la mienne, celle des blogueurs, au lieu de nous rassembler,nous divise. Et je ne parle même pas du fait que le jour où je suis allé à l’université, mes parents, au lieu d’être fiers, m’ont trouvé suspect de quitter ainsi leur culture à eux..et le fossé s’est agrandi. abime de reflexion. excusez moi si j’ai été un peu aigre à votre égard.Parfois, quand je disute avec mon boucher ou mon boulanger, je me prends à cacher ma culture? tout ça me laisse un drôle de parfum.Vous ne sentez jamais ça? d’ailleurs, regardez l’exemple ce blog, le nombre de gens de bonne volonté qui sont venus voir, discuter, ont voulu parler culture en toute honnêteté, et qui se sont brouillés ou sont partis.. quelle question qui nous est posée à tous.
je trouve sur une page « santé »
Chers amis,
La France compte officiellement 1 300 morts du Covid-19 par million d’habitants.
L’Inde, ce pays encore très pauvre au système de soin défaillant et où s’entassent parfois des millions de gens dans des bidonvilles propices aux épidémies, n’en connaît que … 112 par million d’habitants.
C’est plus de 10 fois moins… Comment ce “miracle” est-il possible ?
C’est plus de 10 fois moins… Comment ce “miracle” est-il possible ?
—
1/ nous n’avons pas les vrais chiffres, qui sont certainement beaucoup plus importants (ne pas compter sur l’Inde pour les statistiques n’ayant pas de rapport direct avec l’armée, institution centrale)
2/ les Indiens, comme tous les peuples vivant dans des environnements où prolifèrent les maladies, ont développé des défenses immunitaires bien plus importantes que nous. Ils boivent une eau qui nous envoie directement à l’hosto, voire ad patres…
en Inde l’eau mine et râle
Paul a mal compris, quand on « sent » , en it. ,son mot Kultur, on sort le luger.
Elle mine et ON râle, dear Phil.
L’eau de vichy a St Malo, ça va bien 5 min.
« L’amibe amie qui vous mine le bide », comme chantait le génial Bobby!
C’est la fête, Women.
Oui mais il ne faut pas partir du blog à cause d’un amour propre parfois mis à mal. Croire que la discussion constructive peut adv, avec une dose d’auto ironie de la part de chaque un brin auto-déridé.
Par exemple, entre les deux exemples de bonne volonté équidistante (P et R), je trouve qu’ils s’équivalent, mais à chacun de garder son style propre… Aurais envie de départager le pontifiant du pontifical, mais voilà qui agacerait les protagonistes. Je (me) le dis et l’écris, mais n’attends en rien les départager, bien au contraire. Moucher l’autre et se moucher, fut toujours la règle inaugurale implicite du commentarium. Certes, d’aucun.es en sont mort.es symboliquement, mais jamais physiquement. La rdl n’a jamais eu de morts sur la conscience. Elle a plutôt su accompagner les vrai.es mourant.es en les reconnaissant pour sien.nes
Et maintes femmes fortes ont toujours su triompher des harcèlements trollesques. Pas Mordom ni de réels Féminicides. Non. Pas icite.
La vie est ailleurs, comme disait Milan (qui en connait un sacré bout sur la vie et sur l’ailleurs, d’ailleurs).
Bloom, moi j’etais parti sur des traces hellénique et boudhistes, mais la naissences de mon fils — 1967 — m’a arrêté à Bagram.
Mon ami, photographe avec un regard trés soutenu, a eu une experience « Orient » plus complète : Inde avec Harisson, les Kafirs, le Fuji, le soufisme. J’ai toutes ses photos Kafirs et Fuji, aussi qu’une de Ravi Shankar. Il a reussi la photo de l’un de mes premiers travail dont un aspect qui n’était pas facile à percevoir — il s’agissait de enregistrer les réflets sans être dans l’image —.
La première photo :
La rdl n’a jamais eu de morts sur la conscience.
Trop beau, alzheimer chez les vioques icitte.
Mais rien ne va gâcher cette fête que Passou a bien fait de zapper, d’ailleurs. Pas très fort sur le sujet.
Vous n’ aimez pas le Miles Christi dépeint par Bernard? Il manque a vos yeux un humanisme gouleyant?Bienvenu au palais de l’ anachronisme.
Schoenberg se serait bien vu en petit führer de la musique nazie, pour laquelle il fit acte de candidature, acte retrouvé et authentifié dans une université d’outre-Atlantique. Mais de cela, il ne faut pas parler, n’ est-ce pas? Peut-être allez- vous me rendre Mann sympathique en me le présentant arme contre le Kougloff malherien et sa postérité bouffie puis mise à la diete du dodécaphonisme. C’est la grâce que je vous souhaite. MC
… c comme quand jmb se déchaine contre mc, on perçoit enfin la classe de celui-là et chanceler la superbe de celui-ci. Le voir pour le croire. Et Paul Edel qui comprend tout du premier le laisse faire…, mais où va-t-on ?
Bernanos vertigine… et ça se passe à côté, ni chez passoul, ni chez drilhon, ni chez l’ascensio !
Il faut lui envoyer un Saint Bernard à Courtaud, il a toujours un tonneau bien gouleyant pour calmer les croisés.
Quelques spécificités auréolent l’image du chien du Saint-Bernard. Le tonnelet en est une. D’origine controversée, il semblerait pourtant que le petit tonneau en bois attaché par des lanières de cuirs, que l’on trouve autour du cou des chiens, trouve sa justification dans le sauvetage des personnes égarées en montagne. L’eau de vie qu’il contient aurait la vertu de réactiver temporairement la circulation sanguine. Mais de quelle eau de vie parle-t-on? Certains évoquent le rhum, d’autres le schnaps… ou encore de concoctions locales
Les femmes de serge lama n’ont pas l’air si vioques que ça… Autrement dit, dans le lien aimablement mis à notre disposition.
dès qu’etalii s’en va, l’autre trolle prend la relève. L’est formidablement huilé, ce commentarium, H24. Comment faites-vous, passoul, depuis 16 ans ?
Le milanais en Inde.
C’est vrai, on a oublié les hippies.
Je ne me souviens plus si ce n’est pas C. Millet, qui est aux femmes ce que la prostitution est aux prostituées- n’en avait pas récupéré quelques uns.
L’Inde des hippies et l’art néo-tantrique, un sujet pour Onfray.
https://m.huffingtonpost.fr/raphael-rousseleau/lart-neotantrique_b_7459794.html
Erreur, il s’agit de C. Clement, je les confonds souvent.
Et en avant avec les fakes ! ça doit être une habitude petit-bourgeoise.
Le milanais a la base est un analphabete, un motodidacte.
« Il faut réagir. »
Tu appelles à voter pour Marine, Bloom ?
Un dodomidocte
Je rappelle que Toussaint Louverture fut enfermé au fort de Joux sur ordre du nabot… Et qu’ayant contracté, le st-bernard en est mort, malgré le bon rhum de st-domingue (futur haïti).
Bloom, moi j’etais parti sur des traces hellénique et boudhistes, mais la naissences de mon fils — 1967 — m’a arrêté à Bagram.
—
L’art du Gandhara & ses somptueux drapés…L’âge d’or des Gupta…Avez-vous vu les Bouddhas de Bagram? J’étais à Peshawar quand les turbans noirs les ont dynamités…Lesquels turbans noirs avaient leur bureau à Islamabad…’talebs’ comme je suis archevêque…
C’est de Bagram que s’est enfui sur une moto le mollah Omar, sous les bombardements US…
Bloom, je ne garantis rien et je n’ai pas recompté;
ce dont je me souviens quand j’étais à l’hosto, c’est d’avoir lu sur le monde qu’un médicament générique-qu’on me donnait-fabriqué en inde avait été arrêté (je ne sais pour quelle raison) et que l’hosto ne le savait pas encore parce que je l’avais annoncé en refusant le médicament ;
il semble qu’en pharmacie, l’inde soit compétitive
bonsoir
Grand poème de René Depestre sur ce terrible épisode, 3J. Je vais tâcher de le retrouver. Y-a-t-il ne serait-ce qu’une rue Toussaint Louverture en France?
Je ne pense pas…
Ce serait le moment!
Mme Anne Hidalgo, excellente challengeuse, a demandé qu’on lui laisse sa chance. Elle a un an pour préparer l’opinion. Je pense qu’elle peut fracasser le binôme EM/MLP, d’autant que Ménilmuche n’a pas donné de consignes. Arrêtez de nous présenter ces deux-là comme des certitudes, avec le blanc comme détergent au 2e tour. La francophonie regarde les simagrées électorales de la rdl avec grande hébétude et parfois consternation. Restons à la hauteur de l’enjeu en temps utiles. Terrassons d’abord l’infâme covid19. Et sauvons la nouvelle génération !
Analphabète ? peut-être bien, mais avec quelques distinguos que je ne vais pas égrainer ici ; heureusement pas petit-bourgeois inculte, borné et fermé aux choses de l’art, de la littérature, de l’esprit comme l’aigrie Sasseur.
Et maintenant, après m’avoir insulté, elle dira que je ne sais qu’insulter…
il semble qu’en pharmacie, l’inde soit compétitive
—
C’est là que sont fabriqués nos médocs ou en tous cas les principes actifs de ceux-ci. Et le Pakistan pour les prothèses…
Pas de petits profits.
Des Saint Bernard dans le Doubs ?
Non, il faut rétablir certains faits. Ce n’est pas un Saint Bernard qui a sauvé Napoléon au passage des Alpes, mais le guide Dorsaz.
Paul Edel, on peut bien discuter tout de même non ? ce qui me sidère c’est que vous connaissez une foultitudes de détails, vous connaissez la littérature allemande sur le bout des doigts et vlan ! vous faites l’impasse sur l’essentiel !
c’est comme Mr Court qui me dit que je reproche un manque d’humanisme gouleyant à un type qui crie haut et fort « tuez tous les païens dès que vous en croisez (d’où le mot « croisade ») un !!! »
sérieux on peut essayer de trouver un juste milieu et un terrain d’entente sans se fâcher tout de même ?
« Y-a-t-il ne serait-ce qu’une rue Toussaint Louverture en France? »demande Bloom..
Je ne pense pas…
eh bien oui Bloom, il y a dans le 11° arrondissement à paris,, au Pont-de Cé, à Auray,à Bobigny etc..
sur féminin…
philomag lettre:
Prenons maintenant un deuxième exemple, plus pointu. Il existe une expression dans notre culture juridique qui m’a toujours marqué. C’est celle du “bon père de famille”, le “bonus pater familias”. Issue du droit romain, intégrée dans le Code Napoléon au lendemain de la Révolution, elle a longtemps servi de référence centrale dans le droit civil pour désigner le comportement “prudent et diligent” de la personne qui prend soin des biens et des intérêts qui lui sont confiés. À l’inverse, la faute civile apparaît comme ce que ne ferait pas le bon père de famille. En 2014, l’expression a été retirée du droit français par la loi consacrant l’égalité hommes-femmes. Depuis, on parle d’un comportement “raisonnable”.
bonsoir
Oui Puck,OK mais quand vous me dites que je rate l’essentiel et que vous niez ce qui s’est passé dans l’après guerre littéraire dans la langue allemande, ça me laisse perplexe. c’est tout.
on n’a pas les textes de ses appels à la croisade donc on ne peut rien en dire…
on croit rêver.
Vive internet, Paul Edel.
Une rue Dessalines?
Il est cité dans la remarquable biographie du jeune historien anglais Hazareesing l’a abondamment commenté… Vous conseille sa récente biographie. En tous points remarquable !
https://www.franceinter.fr/emissions/le-vif-de-l-histoire/le-vif-de-l-histoire-17-novembre-2020
Ne cherchez pas plus loin bloom, le voici, cet émouvant poème :
http://ile-en-ile.org/depestre-cendres-de-toussaint-louverture/
Bàv,
c’est gonflant ces histoire de « droits des femmes » « droits des homos » « droits des enfants » « droits des minorités… »
on a remplacé la conscience politique et les conflits des classes par des histoires de droits qui ne riment à rien du tout.
sûr que les ultra libéraux ont bien enfumé leur monde !
Merci, 3J. Il est dans Non-assistance à poètes en danger, un beau recueil tout bleu.
Depestre vit dans le Roussillon, dont il parle avec émotion.
Grand monsieur. Immense écrivain.
Les Haïtiens, la littérature, la peinture…
Merci Janssen, quel écrivain ce René Depestre!
Paul Edel, je sais très bien ce qui s’est passé dans l’Allemange d’après guerre, il y a longtemps j’ai même étudié Habermas.
vous connaissez la biographie de Reich Ranicki dans le ghetto de Varsovie ?
vous croyez vraiment que c’est le genre de chose qui ne laisse aucune trace dans la mémoire pour ensuite le gommer comme vous le faites quand vous parlez de lui ?
sérieux on marche sur la tête ?
« Merci pour la création de Jibé »
Christiane? Vous voulez dire quoi? Que je serais une création ou que j’ai un peu l’esprit créatif? rassurez moi, s’il se peut. Et rassurez-vous, je suis qui je dis, à moi seul un seul personnage, ni plus ni moins complexe que tout individu. En tout cas, votre formulation me laisse perplexe …
Bien à vous, Christiane
Les droits de l’Homo et de la Citoyenne. Ca en jette, non?
et puis arrêtez de me chercher je suis bien plus intelligent que vous tous réunis malgré toute votre érudition littéraire ! vous ne me coincerez jamais !
Et dudieu, restez, Christiane!
Si vous me lisez, là ou bientôt, …
Pas vu les Bouddhas, Bloom, le télégramme m’a surpris entre deux étapes.
Je crois que les turbans noirs ont realisé contre leur gré une transformation zen des haut-reliefs — je pense à ça :
https://blogfigures.blogspot.com/2012/02/hakuin-daruma_22.html
Un p’tit bout vaut tous les Bouddhas, renato!
« Anne Hidalgo »
Avec un bilan catastrophique à Paris, JJJ !
Deux fois plus de raison pour voter pour Macron…
@ Jibé / à moi seul un seul personnage
c’est du chexpire tronqué… Le macho John Irving avait voulu s’essayer à un nouveau genre dans un roman prometteur avec ce titre « à moi seul bien des personnages »… Au début, il semblait devoir tenir ses promesses, puis très vite, ne tient pas la route sur la longueur filandreuse… Lourdingo, koi (avais-je trouvé)…
J’imagine que vous vous souvenez de l’argument du roman qui dépeignait la vie, notamment sentimentale, d’un jeune homme bisexuel, Billy Abbot.
Chapeau pour l’élégance de votre remarque à Ch. – Bàv, tchin : c’est l’heure !… la journée de promenades champêtres a été rude.
Sûrement un milanais qui s’exprime en français comme une cagole.
Et un cul nu indouiste de la syntaxe surtout! 😉
(MS est en forme ce soir!)
@ Avec un bilan catastrophique à Paris, JJJ !
Il suffit qu’on vous mette un chiffon rouge, et ça marche à tous les coups, jzmn… On a déjà parlé 100 fois des gestions antérieures de la capitale, nec varietur…
@je suis bien plus intelligent que vous tous réunis malgré toute votre érudition littéraire ! vous ne me coincerez jamais !
Laisse quand même un truc identifiable à Passou. On sait jamais, des fois qu’il faille commenter sur un » pour saluer ». Que ce ne soit pas un truc à l’aveugle.
Le patatras ? En voilà un (-e ?) dont l’opinion ne vaut pas un pet de moineau.
(MS est en forme ce soir!)
Vous galejez papate, ça fait depuis ce matin. On est le 8 mars, et en même temps, femme ou on ne l’est pas. C’est pas shakespearien.
Évidemment papate, depuis ce matin j’ai recours au hit-parade, voyez, car des hommes sur ce blog, il n’y en a pas.
Donc, papate considérez cela comme cynique. Mais au sens philo, évidemment, » je cherche un homme », etc.
@Bloom
je ne connais pas ce poeme de Depestre
mais je mets ci-dessous, bien que ce texte soit deja connus de beaucoup de posteurs ici le merveilleux poème de Césaire sur cette terre d’esclavage où de dresse Toussaint Louverture avant de finir écrasé par les blancs sous la garde d’un blanc, dans ce paysage jurassien blanc de neige mourant d’une mort blanche dont lui le noir triomphe
Extrait d’ Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal,
« Ce qui est à moi, ces quelques milliers de mortiférés qui tournent en rond dans la calebasse d’une île et ce qui est à moi aussi, l’archipel arqué comme le désir inquiet de se nier, on dirait une anxiété maternelle pour protéger la ténuité plus délicate qui sépare l’une de l’autre Amérique ; et ses flancs qui secrètent pour l’Europe la bonne liqueur d’un Gulf Stream, et l’un des deux versants d’incandescence entre quoi l’Equateur funambule vers l’Afrique. Et mon île non-clôture, sa claire audace debout à l’arrière de cette Polynésie, devant elle, la Guadeloupe fendue en deux de sa raie dorsale et de même misère que nous, Haïti où la négritude se mit debout pour la première fois et dit qu’elle croyait à son humanité et la comique petite queue de la Floride où d’un nègre s’achève la strangulation, et l’Afrique gigantesquement chenillant jusqu’au pied hispanique de l’Europe, sa nudité où la Mort fauche à larges andains.
Et je me dis Bordeaux et Nantes et Liverpool et New York et San Francisco
pas un bout de ce monde qui ne porte mon empreinte digitale
et mon calcanéum sur le dos des gratte-ciel et ma crasse
dans le scintillement des gemmes!
Qui peut se vanter d’avoir mieux que moi?
Virginie. Tennessee. Géorgie. Alabama
Putréfactions monstrueuses de révoltes
inopérantes,
marais de sang putrides
trompettes absurdement bouchées
Terres rouges, terres sanguines, terres consanguines.
Ce qui est à moi aussi : une petite cellule dans le Jura,
une petite cellule, la neige la double de barreaux blancs
la neige est un geôlier blanc qui monte la garde devant une prison
Ce qui est à moi
c’est un homme seul emprisonné de blanc
c’est un homme seul qui défie les cris blancs de la mort blanche
(TOUSSAINT, TOUSSAINT LOUVERTURE)
c’est un homme seul qui fascine l’épervier blanc de la mort blanche
c’est un homme seul dans la mer inféconde de sable blanc
c’est un moricaud vieux dressé contre les eaux du ciel
La mort décrit un cercle brillant au-dessus de cet homme
la mort étoile doucement au-dessus de sa tête
la mort souffle, folle, dans la cannaie mûre de ses bras
la mort galope dans la prison comme un cheval blanc
la mort luit dans l’ombre comme des yeux de chat
la mort hoquette comme l’eau sous les Cayes
la mort est un oiseau blessé
la mort décroît
la mort vacille
la mort est un patyura ombrageux
la mort expire dans une blanche mare de silence.
la neige est un geôlier blanc qui monte la garde devant une prison.
Faut quand même pas exagérer, là, le racistes bien-pensants
Ce blog de racistes , ça commence aussi à bien faire.
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Je suis devenu le premier Noir aux Jeux olympiques d’hiver. Par Lamine GuèyeParis Match | Publié le 22/07/2008 à 16h23 |Mis à jour le 24/05/2018 à 17h04
Recueilli par Julien Jouanneau
Ecolier turbulent, on m’a envoyé me rafraîchir les idées en Suisse. Là, j’ai découvert la neige et le ski. La passion de ma vie. Et j’ai fait un rêve : représenter le Sénégal aux JO d’hiver. Le plus merveilleux, c’est que j’y suis arrivé. A Sarajevo, en 1984.
En 1968, après le décès de mon grand-père, président de l’Assemblée nationale du Sénégal, ma grand-mère et ma mère m’envoient en Suisse pour apaiser ma turbulence. Un vrai choc : tout est vert, à perte de vue. Pas de neige. Dans mon esprit, celle-ci reste aussi lointaine que la Lune. Je trépigne d’impatience. Et enfin, un matin peu après Noël, un silence inhabituel règne dehors. J’entrouvre mes volets et le blanc incendie mes rétines : un panorama immaculé et brillant sature l’horizon ! J’ai 8 ans et l’instant est féerique. Je me précipite dehors et caresse pour la première fois cette poudre légendaire. J’attrape aussitôt le virus.
1977. Direction Paris. Plus de neige. Je pratique le hockey mais je rêve toujours de ski. De retour au Sénégal, un matin, je lance à ma mère : « Je vais créer la Fédération sénégalaise de ski ! » Elle me prend pour un fou ! Mais l’idée se grave dans ma tête et j’appelle les fédérations française et internationale de ski. Un silence d’une quinzaine de secondes au bout du fil. Ils pensent à une plaisanterie. Pas du tout. Pendant l’année qui suit, je rédige les statuts de la fédération en trois langues, et je triche en précisant que nous sommes quarante-sept skieurs, alors que je suis bel et bien le seul. J’expédie les déclarations au ministre des Sports du Sénégal, et au président Léopold Sédar Senghor, qui y répond personnellement. Il me réserve un accueil chaleureux et je suis scotché par ses connaissances en ski ! A force d’insister, je rencontre l’équipe de France à Tignes. Les skieurs me dévisagent tel un Martien. Ils m’assaillent de questions pour m’évaluer, je réponds à côté de la plaque. Je peux donc descendre… sur la piste des filles. Vu la gamelle qui s’ensuit, hors de question d’intégrer l’équipe de France ! Mon rêve se volatilise, c’est la fin du monde. Mais ils considèrent cependant mon entreprise courageuse et je décroche l’autorisation d’intégrer le groupe junior avec les France Espoirs.
En 1980, je vois à la télé les Jeux olympiques de Lake Placid, abasourdi par le style du grand skieur autrichien Franz Klammer ! En 1983, après une succession de blessures et d’immobilisations, j’ai la conviction que les Jeux olympiques de Sarajevo vont me passer sous le nez. Mais j’apprends que le Comité olympique m’autorise à y participer sous la bannière du Sénégal ! Dans l’avion pour Sarajevo, je plane. Au village olympique, je déambule tel un gosse à Disneyland. Tout semble une nébuleuse magique où j’erre seul, sans entraîneur. Dans les allées, plein de sportifs viennent spontanément vers moi. Solidarité, respect, l’olympisme dans toute sa gloire ! Dans le passé, j’ai croisé quelques regards dédaigneux, mais aucun à Sarajevo.
La cérémonie d’ouverture approche. Dans les coulisses, on nous dispose en rangs. Je contemple les trois cents sportifs américains et les deux cents soviétiques. Je suis tout seul ! L’ordre alphabétique est impitoyable : je vais défiler entre les équipes américaine et soviétique, les deux délégations les plus importantes ! Affreux. Les saccades de mon cœur frappent tel un roulement de tambour. C’est à nous ! Quand j’entre dans l’arène, pris en sandwich entre les Américains et les Soviétiques, je serre de toutes mes forces le drapeau du Sénégal. A ma vue, seul sur la neige, le stade se met debout et crie : « Sénégal, Sénégal ! » J’éclate en sanglots, je chiale comme un gamin. C’est l’aboutissement d’un rêve. J’aurais voulu que mon père et mon grand-père me voient. Je songe au Sénégal et saisis soudain la portée symbolique de ma présence, jamais un skieur d’Afrique noire n’avait participé à des Jeux d’hiver !
Le soir, impossible de dormir. Je me sens investi d’une mission : ne pas décevoir l’Afrique ! Je désire accomplir la course de ma vie. Je pense même aux médailles, comme tout athlète. A défaut de miracle, je réussis mes épreuves sans tomber, et je bats une quinzaine de skieurs !
De retour à Paris, les étoiles olympiques toujours dans les yeux, place au contrecoup. Epuisé, je décroche un peu du ski. Une belle aventure se termine. Je travaille sur les marchés financiers, je fais du mannequinat, bosse dans l’import-export et fais même du cinéma ! Aux Jeux de Calgary en 1988, je regarde à la télé l’équipe de bobsleigh jamaïquain qui en devient la coqueluche et sera plus tard le sujet du film « Rasta Rockett ». Du coup, je réactive ma licence, et participe aux Jeux olympiques d’Albertville, en 1992. A la cérémonie d’ouverture, j’ai droit à des « C’est avec régal que nous accueillons le Sénégal ! ». Je termine 66e sur 133 en slalom géant ! D’autres Jeux suivront, car je n’ai jamais trouvé aucun vaccin à ce virus.
C’est ça, deridez- vous les vieux, all inclusives, racistes, cons et sinistres, de ce blog.
JJJ
je me souviens très bien de ce John Irving, étouffe-chrétien comme tout. Irving n’est pas un génie littéraire, mais il est parfois agréable à lire, sauf qu’il fait trop long.
N’est pas Tolstoï qui veut, ou Melville,…
ne vaut pas un pet de moineau
C’est quand même mieux que les restes de graines intacts dans vos matières (grises?) fécales! 😉
Vive les femmes!
Picture is dangerous
Pipilotti Rist
https://vimeo.com/167880482
Avec la matière fécale on peut quand même améliorer le sol du potager, tandis qu’un pet de moineau… rien.
Picture is dangerous
Color is dangerous, plutôt, non ?
Ne lisent même pas les liens qu’ils postent.
La fête est terminée. Bien contente d’avoir reçu ce matin un message du 8 mars, d’une amie-sœur, du fin fond de d’Afrique noire.
Je ne salue personne ici, je vais lire.
tandis qu’un pet de moineau… rien.
D’ Olivier Messiaen à John Cage, toto n’est pas à une contradiction près! 😉 🙂 😉
Olivier Messiaen et John Cage ont étudié les pets de moineau ? avez-vous des références ?
Renato
La fiente des pigeons est un excellent engrais.
refusant le médicament ;
il semble qu’en pharmacie, l’inde soit compétitive.
Et alii
L’oeillet d’inde et le marron d’inde, oui.
Renato
Les moineaux, je n’ai pas d’étude.
JE N’AI PAS LA PATIENCE d’écouter ces salades, mais je sais que le link n’a pas été donné à la rdl. Et que pour info, bcp d’erdéliennes sont prêtes à le recevoir, MS notamment. Serviteur.
https://www.nouvelobs.com/
(NB / je trouve qu’O. W. a pris pas mal d’embonpoint ces derniers temps, mégane aussi, mais pour une raison différente, elle serait tombée prégnante). Bàv,
Une masse de fientes c’est une sorte de guano, rose, tandis qu’avec les pets vous n’obtenez pas de beaux légumes.
Maintenant, la vérité :
Bonne lecture MS : je vous salue Marie. Essayez de vous réveiller tôt demain matin, les cours commencent à huit heures. Bien amicalement,
Petit moment de calme :
Toto n’entend pas le vent, l’instrument à vent, c’est du vent, c’est le rien.
Encore plus idiot qu’on le supposait ce type.
Étudier quoi? Ils créent!
Toto étudie, t’en dis quoi?
Merci, may I, 3j ? Demain, après l’aube, à l’heure etc. je serai à Marseille et je lis en ce moment » l’inconnu de la poste », c’est un style journalistique atypique, très fluide. Dis à Passou que c’est pas sur Netflix que ça se passe, quand la réalité dépasse la fiction. Les Sussex ont beaucoup de choses à dire, against la firme. La duchesse surtout… sur tmc.
Tania Mouraud.(ci-dessus)
Vive les femmes artistes!
Véra Molnar
https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/158169193_975196379970604_8126881682408007028_o.jpg?_nc_cat=107&ccb=1-3&_nc_sid=8bfeb9&_nc_ohc=qFv00-_1UxEAX-l6Hmm&_nc_ht=scontent-cdg2-1.xx&oh=ac1b150e578573e902d51cf942522ff8&oe=606E14E8
Joan Mitchell,
On voit patatras que vous vous nourrissez de mythologies désespérantes, prenez quelques infos relatives à la création avant de déblatérer.
J’aime beaucoup cette photo et cette artiste!
Toto étudie mais ne peut s’empêcher de faire la leçon! 😉 😉 😉
Qui est-ce qui déblaterre 😉 sinon notre étudiant supérieur avec son engrais à base de merde?
Magnifique artiste! Françoise Pétrovitch
Enfin, chacun à ses parasites, moi j’ai patatras le pet. Assez joué, qu’il cause.
Monique Frydman!
Bon vent 😉 si renateau met les voiles! 😉
Sweat Sophie Calle,
Aurélie Nemours,
Passou : en ce moment, MS lit l’inconnu de la poste à Marseille. Elle vous conseille d’arrêter de regarder la chaine de cinéma payante, flixur le niet. Elle dit que la qualité de vos papiers s’en ressent, qu’elle ne trouve plus de quoi les alimenter, qu’elle ne sait plus quoi faire pour se rehausser dans votre estime et mieux vous aider pour soigner le blog. Demain, dès l’aube, elle dit qu’elle blanchira votre compagne, s’envolera pour le Sussex contre la Firme. Elle dit que vous comprendrez son message codé. D’aller vous coucher dès maintenant, après une bonne infusion vous vous devez garder le secret de fabrication de la Marque « duchesse tmc ».
Bàv,
Olivier Dassault, tragiquement disparu, était aussi un artiste qui faisait de bien belles choses
Encore un épisode de violence aveugle : Deux adolescents ont été gravement blessés.
Christiane
Vous êtes une passionnée 😊
Ah oui renato.
Cela se nomme le guano pour les oiseaux de mer. C un excellent engrais.
Picture is dangerous.
Drôle de geste artistique, on en tremble.
Mardi 9 mars 2021, 8h41, 10°
« Ce blog de racistes, ça commence aussi à bien faire. » ( Sasseur)
Allons ! Allons ! On se calme, chère amie ! Un raciste, c’est une personne de bonne foi qui d’un simple coup d’œil est capable de jugement sûr.
Il voit un Noir ? « Ce nègre est noir »
Il voit un Blanc ? « Ce blanc est blanc »
Il voit un Asiatique ? « Ce niakoué est jaune »
Toute confusion est impossible pour cette personne sensée. Car si l’on nie ce que l’on a appris à l’école de la république, si l’on ferme les yeux pour voir clair, on a rien compris à la Nature qui adore la diversité.
Les races existent, il est ridicule de le nier. Ce qu’on en conclut est tout autre chose…
D. dit: à
Maintenant, la vérité :
Qu’il aille se faaire foutre.
On n’aa rien vécu de grave. Cela se voit qu’il n’y était pas ; écouté 1mn 25.
Contre les préjugés :
https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Etudes_turbulences_-_Léonard_de_Vinci.jpg
La pire des stupidités actuelle en France ? Coller dans la Constitution ce qui ne la concerne en rien : le souci de l’environnement climatique !
Le connerie gonfle à l’hélium les dirigeables qui montent montent montent….
Pour les turbulences : von Karman. Un ami de Jane Mansfield, une moderne Joconde hollywoodienne.
Après la France, la Belgique, l’Autriche et le Canton du Tessin… les Suisses ont accepté l’initiative populaire «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage» à 52% des voix.
…
«C’est un immense soulagement», a dit Mohamed Hamdaoui, député du Centre au Grand Conseil bernois et initiateur de la campagne «A visage découvert».
Tu appelles à voter pour Marine, Bloom ?
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Toujours aussi clairvoyant politiquement, Baroz.
Tu oublies que j’ai failli entrer dans l’histoire avec mon parapluie, le 1er juillet 2016, à Thiepval.
Aimée Césaire et René Depestre ont de dignes continuateurs aujourd’hui, en Dany Laferrière, Lyonel Trouillot, Patrick Chamoiseau, et l’ami Michael Ferrier qui était sur France Q ce matin.
Ces tenants et pratiquants d’une « littérature monde », ambitieuse, ne professent pas le racisme à rebours pratiqué aux US ou par l’activiste batave Janice Deul, qui s’est offusquée que les poèmes d’Amanda Gorman, dont un a été lu le jour de l’investiture de Biden, soient traduits par une blanche, fût-elle lauréate du Booker international…Jeu très dangereux. Idiots utiles de l’extrême-droite.
Quand Richard Wright, James Baldwin et Chester Himes fuyaient la ségrégation, ils ne se sont pas réfugiés en Tanzanie ou au Nigeria,mais à Paris. Ne jamais oublier ça.
Oui.
Ne jamais oublier.
Quand Richard Wright, James Baldwin et Chester Himes fuyaient la ségrégation, ils ne se sont pas réfugiés en Tanzanie ou au Nigeria,mais à Paris. Ne jamais oublier ça.
Va te recoucher.
Ne pas oublier non plus, que tout cela c’est du flanc, tant qu’on n’a pas fait l’expérience du contrôle au faciès systématique, en France.
« Idiots utiles de l’extrême-droite. »
Il est tout à fait utile de faire un compte précis des idiots utiles de l’extrême droite, de l’extrême gauche et de l’extrême centre.
En effet, leur nombre est souvent mal connu, voire sous estimé.
En outre, cela permet de n’oublier personne, sans compter que celui qui compte n’est forcément pas dans le compte des Idiots Utiles !
Du flan, s’agit pas de flancher
Je ne connaissais pas Clara Zetkin avant ce matin
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/03/08/clara-zetkin-femme-demain/
Elle fut une amie de Rosa Luxembourg.
Alors, je lui rend hommage bien tardivement, car elle mérite toute ma sympathie.
Bàv,
@J3
Clara Zetkin est aussi une figure du roman d’Aragon:les Cloches de Bâle
OK, DHH, ne connaissais pas non plus les Cloches de Bâle… Etendue quotidienne de mes ignorances !… Bof, me dis que plus on est curieux, plus on la mesure, que c pas forcément une tare. Qu’on aura toujours icite de l’aide bienveillante.
Bàv Judith,
Chester Himes n’a pas choisi le Retour en Afrique … alors que ce salaud de colonel Calhoun veut, lui, que les blacks retournent dans le Sud. Ed Cercueil et Fossoyeur Jones restent maitres du terrain, pardi.
quelle question qui nous est posée à tous.
vous avez raison ,P.Edel;personnellement,je parle avec des gens qui ont des troubles dégénératifs et autres handicaps comme la surdité, et j’appends aussi d’eux/elles, et beaucoup;et de « moi aussi », mais merci à vous de tout ce que vous apportez
;personnellement,je parle avec des gens qui ont des troubles dégénératifs et autres handicaps comme la surdité, et j’apprends aussi d’eux/elles, et beaucoup;
Itou et alii.
😅😅🤣😆😂🤣😅😆😇
« j’ai failli entrer dans l’histoire avec mon parapluie, le 1er juillet 2016, à Thiepval. »
Un point d’histoire erdélienne que j’ignore, Bloom.
Mais que s’est-il donc passé ce jour-là et en ce lieu-là ?
Délit de sale gueule, le cas du Libéria. Pays fondé au 19e par d’anciens esclaves affranchis transportés par la American Colonization Society, qui ont rapidement colonisé la population locale africaine noire en la maintenant dans un statut d’infériorité permanente. Ces Africo-Libériens forment aujourd’hui encore l’élite du pays.
The Americo-Liberian settlers did not relate well to the indigenous peoples they encountered, especially those in communities of the more isolated « bush ». The colonial settlements were raided by the Kru and Grebo from their inland chiefdoms. Americo-Liberians developed as a small elite that held on to political power, and indigenous tribesmen were excluded from birthright citizenship in their own land until 1904. Americo-Liberians promoted religious organizations to set up missions and schools to educate the indigenous peoples.
« On a déjà parlé 100 fois des gestions antérieures de la capitale, nec varietur… »
Oui, mais là, selon vos voeux, JJJ, il s’agit d’élargir la catastrophe de l’échelon régional à l’échelon national !
et allí et rose, voulez-vous signer avec moi ?
https://www.bing.com/videos/search?q=apprendre+le+langage+des+signes&docid=608039650494711234&mid=22F022350F547EF2E7AA22F022350F547EF2E7AA&view=detail&FORM=VIRE
Commencez par l’alphabet
http://www.soleilfm.com/wp-content/uploads/2017/06/alphabetLSQ.jpg
Attention à ne pas vous tromper de doigt avec la lettre D !
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