Gonzalo du lac, ou le bond du perturbateur
C’est un théâtre au bord de l’eau. D’ailleurs, on l’appelle comme cela quand on ne dit pas Vidy. Cet endroit semblable à peu d’autres est à Lausanne et à l’entracte, ou au souper, on peut effectivement tremper l’orteil dans le Léman. On dit que le miracle de ce lieu tient à cette proximité, à ce concept du Théâtre-Maison qui a longtemps été l’apanage du théâtre russe. René Gonzalez y avait très provisoirement posé ses bagages en 1990. Le metteur en scène Mathias Langhoff, alors à la tête de Vidy, l’y avait appelé pour lui succéder. Il savait qu’il pouvait compter sur un homme qui avait fait ses preuves en dirigeant le Théâtre Gérard Philipe à Saint-Denis et la Maison de la culture de Bobigny puis l’Opéra-Bastille et de s’enfuir de ce « coupe-gorge » après l’ouverture. Arrivé à Vidy pour quinze jours, il y est resté un peu plus de vingt ans. Il n’y a pas fait mieux, il y a fait autrement, pour reprendre un trait de Jean Vilar.
René Gonzalez. Le théâtre pour la vie (496 pages, 25 euros, Buchet-Chastel) en témoigne avec éclat et chaleur. Le journaliste Patrick Ferla, l’un des grandes voix de la Radio Suisse romande, qui l’a composé, a battu le rappel des amis, de Michel Piccoli à Jean-Luc Godard, de Zabou Breitman à Joël Jouanneau, de James Thierrée à Jean-Quentin Châtelain, afin que chacun apporte sa tesselle à cette mosaïque. Et comme il n’était pas un homme de réseau mais un électron libre, ils sont de toutes sortes, ces soixante-six comédiens, metteurs en scène, écrivains, cinéastes, musiciens appelés à la barre. La propre évocation du disparu par le maître d’œuvre du livre n’est pas seulement émouvante : elle rend justice à sa manière d’être, sa façon d’habiter le théâtre comme il était habité par lui. On en retire déjà, dès l’entame du livre, le portrait d’un jeune homme qui débuta comme comédien mais qui comprit vite, après avoir admiré Alain Cuny et Laurent Terzieff dans Tête d’or, qu’il serait, lui, plus utile à ce monde-là en s’en occupant, non sur les planches mais en coulisses, du côté des producteurs, des tourneurs, des organisateurs, des comptables, des banquiers, des administrateurs, des machinos. Avec un plus que lui permettait son intime connaissance des textes et des auteurs, surtout ceux qu’il avait toujours à son chevet (Char, Aragon, Miller, Nin, Valéry) en sus de son intimité avec la machine théâtrale. Il est vrai que la voix d’un Alain Cuny lisant du Rilke, comme il aimait à l’écouter en boucle, était « d’un extra-terrestre, un torrent né du fond des âges » et n’encourage pas un jeune comédien à le défier.
On sait que le bouquet d’hommages est un genre convenu, le plus souvent anecdotique, égocentrique, flatteur, affectif. Sauf que dans celui-ci, qui contient aussi des hommages de ce type, on en trouve d’autres qui révèlent vraiment une personnalité hors du commun des théâtreux. Un créateur au service des créateurs car il ne voulait pas être du festin mais être du bond (René Char, toujours), c’est à dire être du et dans le mouvement. Le romancier Yves Ravey, dont la pièce Montparnasse reçoit fut montée à Vidy, en offre une magnifique évocation en se souvenant des répétitions auxquelles il assista, ombre de son ombre, glanant ici ou là des morceaux de l’Hypérion de Hölderlin ou de la Fin de partie de Beckett, le tout mélangé dans un vibrant chaos de mots que les comédiens doivent d’abord taire dans leur solitude pour mieux les dire dans la foule :
« L’extraordinaire était cette absence de frontière entre la scène, la salle, l’acteur, le metteur en scène, et le directeur du théâtre. Je n’avais jamais aperçu pareil chantier, ni vu, ni imaginé cela »
Le metteur en scène Jean-Yves Ruf peut témoigner que ce producteur ne lui parlait presque pas de production mais de littérature, de poésie, d’acteurs. Son autorité était naturelle car on le savait du bâtiment, donc de la troupe et non des bureaux. Du théâtre, il avait fait le tour en tous sens mais ne s’en lassait pas. La gestion, ce n’était pas le problème pour cet ardent défenseur du théâtre service public ; et on ne sache pas qu’il ait mené le navire « Vidy » sur un iceberg (son autofinancement reposait en grande partie sur l’exportation des spectacles en tournée en France) ; le problème, c’était de savoir que faire de La Panne de Dürrenmatt après avoir lu une page d’intention de mise en scène. Quelqu’un qui marchait uniquement à l’envie. Qui avait remplacé le mot « projet » par « utopie ».
Après quelque vingt années à faire du théâtre au bord de l’eau, dans cette ville dont Cingria a entamé le mystère dans ses Impressions d’un passant à Lausanne, Vidy et sa « Royal Vidy Company » étaient devenus l’un des premiers foyers de création en Europe en faisant du poétique l’arme politique suprême. Jusqu’au bout ironique avec élégance, dans le foutoir de son bureau où l’on avait le plus de chance de le trouver absent, il disait : « Je suis guéri, sauf coup de théâtre ». L’effet du lac, probablement, et de la Suisse dont il disait que c’est un pays qui sait faire la place à la folie. La sienne lui faisait terminer ses lettres de malade en rémission « Lacustrement, Re-Né ». Armé d’un humour implacable, il se présentait comme « le killer de crabe ». Le crabe, le cancer, son locataire dans l’oesophage. Son médecin traitant a avoué que Gonzalo du lac, comme il signait, lui avait appris, à lui et à tous ceux qui avaient fréquenté sa dernière chambre, « à ne pas avoir peur ».
En avril 2012, sur son lit d’hôpital, alors qu’il savait ses jours comptés, René Gonzalez travaillait à la préparation du prochain spectacle, confié au metteur en scène polonais Krystian Lupa. Un texte de Thomas Bernhard, Perturbation. C’était tout lui.
(« Jean-Quentin Châtelain dans Ode maritime de Fernando Pessoa mis en scène par Claude Régy au théâtre Vidy » photo D.R. ; « René Gonzalez » photo Philippe Pache)
538 Réponses pour Gonzalo du lac, ou le bond du perturbateur
« une fausse femme a barbe. »
daap hnée en est une authentique
L’emploi du temps… trempe la trompe dan le miel … une adventice reprise au tour du quart de tarte myrtilles… au couteaux, à la mitraille, avec de la crème fruitée… une voile sur le lac… bon, elle rentre… à demain… si madame la mort le vaut… veut… veau ?
Bougreau, « foolish wives » ne joue pas dans la même catégorie que conchita wurst. Les ruines de l’europe sous l’eurovision.
…
…la liste!,…mais ou suis je!,…d’ou venons-nous!,…
…
…des vapeurs d’un Boeing B-17,…Ah!,…à moins, dans la première vague,…du Type 152 Beaufort,…
…encore que,…du Bombardier Type 163 Buckingham!,…la classe & précision is allès!,…
…
…les machinismes aux services de qu’elles réalités utopiques, encore à célébrer!,…une autre!,…pour plus d’ange-bleu!,…du terroir!,…
…un panier pour mes maquettes!,…
…déjà,…B-2,…Avion mystère chauve-souris!,…
…
…mais ou sont passer mes mirages,…en sécurité!,…Sir!,…
…pour la tenaille Sir!,…
…Ah!,…d’accord!,…l’€urope ma poupée à Doxa,…qu’elle ma quette en haut-talons,…un peut de rouge!,…en drone aux anges!,…
…
…of course!,…Ah!,…Ah!,…
…
Pablo75 dit: 12 mai 2014 à 15 h 57 min
Qu’est-ce qui était gratuit?
Oncle Wolf a fait beaucoup d’argent avec, mais surtout avec de la vente quasi-forcée, à l’Etat au premier chef. Mao a repris le principe, au demeurant rien moins que complexe.
En revanche Mein Kampf était offert (donc avec l’argent de l’Etat) aux particuliers à l’occasion de diverses circonstances de leur vie civile, mariage entre autres, et y compris dans les territoires occupés, sauf bien sûr l’Auvergne où on sait compter mais pas lire, même la Fraktur même le gothique…
M Court, pas besoin de majuscules pour les petites remarques clopiniennes, vous savez. Je veux juste dire que, passionné ou pas, prix mesuré ou non, certains d’entre nous ne pourront jamais avoir accès à ce type de manuscrit. Sauf si un des acquéreurs en scanne toutes les pages et les poste sur un blog, par exemple : elle est pas bonne mon idée, là ?
La démocratisation du savoir par internet : l’horreur absolue de Finkielkraut, mais un vrai acte de générosité, si vous y pensez.
finky est assez sot pour penser que des mains impies peuvent cochonner les icones et toi pas plus maline a croire que le gratuit est motivé par la générosité..vous avez besoin l’un de l’aute comme deux soulots qui en s’appuyant font un quadrupéde qui fait hihan
En revanche Mein Kampf était offert
comme les écrits de staline..surement avec une bouteille..c’est lui l’plus fortiche dabord
« foolish wives » ne joue pas dans la même catégorie que conchita wurst
c’est de l’entertênemente..l’eurovision c’est quelquechose d’inouie comme jean pierre pernaud..c’est magique..on sait exactement ce que c’est sans regarder..c’est de la synchronicité mathématique ! et freud est loin derrière
La démocratisation du savoir par internet se conchite en wurst.
Très bien vu, Boug.
un aigle!
C’est un type qui s’est protégé, qui s’est mis à l’abri, pour faire fructifier son capital. Un sacré bon comédien le mec.
ha c’est complesque..mais c’est possibe..en tout cas dafnoz y’a 1000 et 1 « pouvoir » et objet de désir, staline a jamais mis sa main dans la caisse et thésaurisé ses minabs salaires..que mao faisait gaffe jusqu’à son maillot de bain
…
…de la choucroute de Strasbourg!,…avec les worst’s,…pour la Mittel-europe-collabo’s de N-Y!,…Ah!,…Ah!,…
…avec Mou-tard(e), de Dijon,…aux Jeanne’s!,…Ah!,…
…Stop ou encore!,…etc!,…
…
Faut essayer la bernerplatte Giovanni :
http://stephanedecotterd.files.wordpress.com/2013/03/dsc_1310-copie.jpg
renato dit: 12 mai 2014 à 17 h 17 min
Faut essayer la bernerplatte
Ha là faut becqueter vite sinon ça sort de l’écran… Pourtant j’en ai deux énormes… Ca va passer de l’un dans l’autre ! Comme un boa…
Azert déserte et ne veut pas savoir que les plus nombreux ne sont pas obligatoirement les présents, Bloom ne fréquente plus assidument le blog cependant l’ensemence par poignées d’illustres jetés à la volée, pour ne regarder que du coté de l’Irlande, je n’en connais aucun.
La cause était belle de Lee Child
Les Duncan étaient du genre pharisien pur et dur. Et les gens commençaient à peine à prendre conscience du pouvoir qu’ils avaient sur eux. Une véritable police de la pensée. Tout d’abord, ils ont attendu de Dorothy qu’elle présente des excuses, ce qu’elle n’a pas fait ; après quoi, ils ont attendu d’elle qu’elle la ferme et que tout continue comme si rien ne s’était passé. Elle ne pouvait même pas prendre le deuil, ce qui serait revenu à les accuser à nouveau. Cette histoire mettait tout le monde mal à l’aise dans le comté. En fait, on attendait de Dorothy qu’elle accepte le sacrifice au nom des autres. Comme dans les vieilles légendes, quand il faut sacrifier un enfant au monstre pour le bien du village.
Clopine Trouillefou dit: 12 mai 2014 à 9 h 30 min
Bravo Clopine, vous avez gagné un tour en vaisseau spécial de D., un strapontin seulement, car
Un sot en écrivant… : Boileau, Oeuvres, volumer 1
est imprécis. Il fallait écire Satire II.
Satire II !
J’ai bon ?
…
…je viens de voir!,…foolish wives,…
…
…presque un roman plausible !,…la religion et la classe!,…çà aide!,…
…
…pour le plat!,…je fait un max pour m’alléger de quelques kilos,…un demi par mois ou plus!,…
…
…pas encore à 75 kilos!,…un peu de patience avec une autre balance!,…etc!,…
…
Giovanni sur Arte ce soir programmé au lit smoke, en un peu plus réssens.
Et n’allez pas
fantasmer que je vous drague, je ne sais pas ça non plus, en exercice de style only.
bérénice dit: 12 mai 2014 à 8 h 05 min
Tandis qu’au-dessus d’eux, coton blanc dans le noir,
La grande effraie ulule
la grande effraie ulule, sérieusement vous articuleriez ce vers de terre à votre bien-aimée? L’air que ça prendrait au clair de lune, Marcel je crois là que vous grillez une partie de votre potentiel/chance amoureux. C’est un peu nul.
Chère poétesse, ce n’est pas une déclaration d’amour. Je suis assez content de ma dernière image.
Par contre, vous auriez pu me faire remarquer que les effraies ne ululent pas mais chuintent (ou hioquent, ou hôlent…).
Ce sont les chats-huants qui ululent (ou hululent).
…
…merci!,…@,…j’ai un agenda très chargé,…pensé à rien!,…etc!,…
…
…entre deux lignes d’un trait!,…etc!,…
…
Je note, Marcel, les verbes Hioquer et holer, indispensables au cocktail dés que possédés et maitrisés. Je ne vois plus comment circuler de cimaise en cimaise sans ourdir mon prochain d’un de ces deux oligoéléments qui manquants dévitaliseraient le dialogue.
@ Sergio
« Mein Kampf était offert »
Je ne savais pas. Moi je l’ai payé 1 franc aux Puces il y a 20 ans. Sa lecture a été pour moi une découverte: c’est en le lisant que j’ai compris qui était vraiment Nietzsche.
…
…comme tout un chacun!,…
…vous faites comme vous l’entendez!,…vous pouvez capturer qui s’y blase!…à son heure!,…
…
…j’ai encore trop de livres à trier!…
…et du genre démagnétisé!,…etc!,…
…
« Le bonhomme dont vous osez chanter les louanges s’est acheté un statut social (trente heurs par semaine, éthique dévoyée du « fini-parti »), et cela fait toute l’affaire au contraire. C’est un type qui s’est protégé, qui s’est mis à l’abri, pour faire fructifier son capital. Un sacré bon comédien le mec. »
En effêt! Igneuble ! D’une mesquinerie incueummensuraable! quel meuvais goût! digne d’un criminel ! Voyons Clopine en effet comment eusez-vous chanter les louanges de ce vulgaire profiteur (stal et tout cmme dit maître bougros)
Giovanni vous vantiez les bienfaits du régime! Je suis déçue, sniff…que vous ne fassiez pas l’effort d’un semblant d’intérêt, les taux vont-ils à la hausse que vous ne m’en prêtiez aucun?
« c’est en le lisant que j’ai compris qui était vraiment Nietzsche »
mais quel huevon!!
bérénice dit: 12 mai 2014 à 18 h 21 min
Dans un cocktail chouette alors, Béré ?
…
…tout n’est que partis remise!,…
…………………………..,tout viens à l’en cas!,…en boîte d’€urovision!,…
…les doublons parallèles à nos vies!,…
…etc!,…
[…]
…
… Ah!,… Ah!,… Jehanne!,… d’Arc!,…
… Clo-dette des Armoises,…
… Chaud biznèce!
… mi-rage, mi ré do…
… Domrémy,…?
… Sainte au sang de witch,…
… Panini… Nutella…
… Hot dog,…! Moutarde… Dijon,…!
… Aux mains des Bourguignons… Vendue aux Anglois,…!
… Choucroute light,…! Mon régime,… Je m’aigris,… Patience! Ah!,…Ah!,… Balance beurrée,… Bon poids ! Bonne heure,… Ponderosa ! Bonanza !
… Trahison,…! Mon neveu,…! Western armagnac,…! On m’appelle,…! Pesto Rosso ? Répondez, Pesto Rosso ! Qui parle,…? Identifiez-moi,…? D’où viens-je,…?
(à çuivre…)
Marcel, vous parlez…Un être vous manque et tout est dépeuplé. Pour ma part, à l’extérieur du cercle de mon vague à l’âme déchirant quand j’y pense, je n’ai pas encore découvert celui-là et c’est infiniment plus triste encore.
…
…touchez!,…D7!,…combat naval!,…
…
…je crains le pire pour vous!,…
…je vais essayer de viser! ailleurs pour vous maintenir à flots!,…
…que ferait je!,…sans vous!,…
…mes Brother’s uniques en chaloupe de sauvetage!,…ramés,…attention aux barrages de mines !,…
…kiss!,…etc!,…
…
…@,…bérénice,…il faut évitez les challenges!,…
…
…techniques offertes aux Cyclopes mondialistes en planque!,…
…
…comme Rapetout,…et Nobel,…à l’affût!,…
…compétitions en privé passe encore!,…
…ne pas jouer le jeux!,…c’est mieux!,…
…toujours avoir des coups d’avance!,…
…etc!,…
Bérénice, vous avez quand même la chance que D. vous ait proposé une balade dans les étoiles. Je sais qu’il est inconstant. Ne vous a-t-il point dit :
Madame, il faut vous faire un aveu véritable.
Lorsque j’envisageai le moment redoutable
Où, pressé par les lois d’un austère devoir,
Il fallait pour jamais renoncer à vous voir.
Mais je ne doute pas qu’il redescende sur terre.
Pablo75, votre réponse sur Heidegger est incroyablement faible…J’y avais d’ailleurs répondu par avance dans mon commentaire.
@ aquarius
Vous avez une meilleure?
Pour rester dans le sujet du billet, j’ai pu voir l’acteur transformiste Charles Gonsalez en Sarah Kane.
http://www.charles-gonzales.com/qui_est_charles_gonzales.htm
Rendons hommage au bougre pour sa prescience concernant la mise en avant d’un (e) » Wurst » sous les sunlights des écrans de l’Eurovision, sorte de Christ ou Messie sauveur de la Liberté d’être autrement ..
bérénice dit: 12 mai 2014 à 18 h 13 min :
« Giovanni n’allez pas fantasmer que je vous drague… »
LA REALITE REJOINT LA FICTION :
Marccccc écrivait, 10 mai 2014 à 18 h 45 min :
(Une voix derrière la porte):
– Angelo… Bel Angelo…
– Ah, j’entends ma voix! Qui, cette fois? Spock, Charlemagne, Pesto Rosso, Cagliostro, Sainte Marguerite, Hélène d’Anjou…?
– Non, Angelo, je m’appelle Bérénice. Je vous observe depuis quelque temps. Je vous aime en secret. Je viens vous prévenir d’un grand danger. Ouvre-moi, bel Angelo.
S’ils font des petits, vous m’en mettrez un de côté ! AZERT
C’est un peu tard, vous auriez pu y songer avant. Reste l’adoption mais les formalités attendent une réforme, une de mes amies confia à la psychologue qui l’interrogeait pour sonder son territoire affectif et sa disposition à l’amour filial, comme elle vivait en solo nichée dans un 5ème étage surplombant une rue Thiers d’une ville lambda, qu’elle hébergeait des plantes vertes et en obtenait croissance et photosynthèse. Son dossier fut accepté tant l’intelligence de sa franche stratégie ne laissait aucune ombre au doute.
19h40 au minimum besoin d’une photo, la cérébralité dessine des limites que le corps ignore, ça ne veut rien dire.
…
…tempêtes !,…dans un verre de Perrier!,…au citron,…etc!,…
…
« Cela n’a l’air de rien à première vue, mais la victoire de la saucisse viennoise Conchita Wurst marque une date, un tournant dans l’Histoire de l’Europe »
mais pas du tout !
« Dès ses débuts, le concours a transcendé sa nature de simple compétition musicale, en revêtant des enjeux symboliques qui dépassent le spectre culturel. La qualité intrinsèque des chansons s’est vue imbriquée à des considérations extérieures, d’ordre géopolitique »
Bibliographie
Emmanuel Dufey, sous la direction de Michel Demeuldre, Le concours Eurovision de la chanson : reflet de la chanson de variétés des cinquante dernières années ou monument de la culture kitsch ?, mémoire de licence en journalisme, Université libre de Bruxelles (Belgique), 2001
Vincent Bayer, sous la direction de Jean Lohisse et Brigitte de Le Court, L’Eurovision dans son énonciation : analyse des dispositifs télévisuels du Concours Eurovision de la chanson de 1984 à 1991, et interprétations pragmatiques, mémoire de licence en communication sociale, Université catholique de Louvain (Belgique), 1991, 96 p. + annexes.
Bibliographie[modifier le code]
Emmanuel Dufey, sous la direction de Michel Demeuldre, Le concours Eurovision de la chanson : reflet de la chanson de variétés des cinquante dernières années ou monument de la culture kitsch ?, mémoire de licence en journalisme, Université libre de Bruxelles (Belgique), 2001
Vincent Bayer, sous la direction de Jean Lohisse et Brigitte de Le Court, L’Eurovision dans son énonciation : analyse des dispositifs télévisuels du Concours Eurovision de la chanson de 1984 à 1991, et interprétations pragmatiques, mémoire de licence en communication sociale, Université catholique de Louvain (Belgique), 1991, 96 p. + annexes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Concours_Eurovision_de_la_chanson
Giovanni il vous faut garder tête froide, Schweppes, bitter american tonique.
« Cela n’a l’air de rien à première vue, mais la victoire de la saucisse viennoise Conchita Wurst marque une date, un tournant dans l’Histoire de l’Europe »
mais pas du tout !
« Dès ses débuts, le concours a transcendé sa nature de simple compétition musicale, en revêtant des enjeux symboliques qui dépassent le spectre culturel. La qualité intrinsèque des chansons s’est vue imbriquée à des considérations extérieures, d’ordre géopolitique
Où comprenez-vous qu’il y ait contradiction ou compétition entre Histoire et Politique?
twett
« Michael Connelly est devenu célèbre, d’un seul coup, quand le président Clinton fut photographié achetant «le Poète», en plein scandale Lewinsky. Depuis, inlassablement, Connelly publie au moins un livre par an: chaque fois, on tourne les pages avec délice. »
c’est pas faux. Mais depuis plus longtemps.
« Où comprenez-vous qu’il y ait contradiction ou compétition entre Histoire et Politique? »
Heu, pas tout à fait the question Bérénice.
Onenote voudrait nous faire croire que c’est la première année que le concours eurovision, -concept télévisuel, il faut le rappeler- est de nature à exacerber les nationalismes. Comme le sien.
Et vous les tournez aussi? A quel rythme en y découvrant quoi de si délicieux, si votre sens du partage rejoignait la beauté de votre plumage… Quel pied pour la communauté!
Il faut en temps de paix inventer de nouveaux champs de bataille, le foot, l’eurovision, le tournant tiendrait à la liberté d’être différent qui s’énonce au palmarès.
Oui Pablo…tout simplement que l’anti-sémitisme de Heidegger est purement culturel, qu’il est en phase avec sa critique du libéralisme et du matérialisme anglo-saxon, n’a rien à voir avec l’anti-sémitisme biologique des nazis…et n’a finalement qu’un rôle tout à fait marginal dans sa pensée.
Euh, rien à dire, c’était juste pour que vous connaissiez mon pseudo !
Vous pouvez encore coller et copier, on le fait aussi pour occuper le terrain comme antinationalistes.
Alors pour les tamagoshis que je nourris à -vraiment-peu de frais je voudrais parler économie.
Classement des artistes musicaux français les mieux payés en 2013:
01. Mylène Farmer (4,7 millions d’euros)
02. Maître Gims (3,1 millions d’euros)
03. Johnny Hallyday (3 millions d’euros)
Sources: Challenges.
Tête d’or, ça vous dit quelque chose ?
On parle trop de Conchita la saucisse, mais pas assez des ridicules à moustache qui ont prétendu défendre la France :
un beau p’tit cul comme ça dédé ça se refuse pas
http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/article/2014/05/0905-Tom_of_Finland.jpg
…@,…
…@,…Attention!,…Bérénice!,..à,…19 h 54 mn,…….
…………………ou D,…Marcel,…Rdl,…etc!,…
…
…d’après des oui! dire!,…et des murs aux oreilles en tavernes!,…de la haute et basse Egypte,…d’Alexandre II,…le Worst de Capri!,…Billancourt !,…
…
…
…donc!,…le Schweppes, bitter american tonique est,…une source de mortalité,…
…
…puisque!,…d’après des sources aux murs des hospitaliers!,…
…
…le Schweppes mélangé au Baleys,…
…donne du » plastique « ,…qui bloque l’estomac!,…
…
…vous êtes prévenu!,…en quelle proportions exactement,…je n’en sait rien!,…souvenirs d’oreilles en voyages et randonnées!…
…
…çà devrait être signalé et diffusé » ces trucs-là! « ,…
…
…merci!,…de votre attention!,…toute prévenante!,…
…etc!,…
Giovanni et Bérénice, à la tv européenne, il y a « un ange à ma table ».
Pour « tête d’or », je ne connaissais pas.
http://www.paul-claudel.net/oeuvre/tete-d-or
@ bouguereau dit12 mai 2014 à 16 h 44: « En revanche Mein Kampf était offert »: C’est vous le prof d’Histoire, mais je ne suis pas trop sûr que les jeunes mariés le recevaient en cadeau des mains du maire de leur commune. Peut-être ils devaient le payer ? Même avant son élection en 1933, Herr Hitler gagna pas mal d’argent avec son programme « Mein Kampf ». Par la suite encore plus, le livre était obligatoire dans chaque ménage.
Tom of Finland à la poste ..
Sans compter que si tout le monde s’y met, il en faudra, des images d’Epinal ..
De quoi relancer ou enterrer définitivement l’épistolaire – dis, chéri, tu as reçu mon timbre ? – On ne peut pas savoir ..
Voyez plutôt :
http://yagg.com/files/2010/05/timbre-gay-pride-poste-autrichienne.jpg
Ce soir … festival à la napolitaine !
Vitello tendre,…!!! Entrez par ici, ….ressortons par là;….
Si je vous salue du chef, l’oeil braisé;
Sortons la myrrhe des sachets, les corps s’envolent;….
Veuillez me laisser faire schhhhhweppes !!!!
Château du Lac, au bord de l’eau, gaz & bulles !!!!
Mettons nos bottines et explorons la nuit …
…
…@,…des journées dans les arbres, à 21 h 30,…
…
…le livre » tête d’or « ,…un scénario,…pour débile du pouvoir, accroché à ses lunes à courir après son zoo d’or!,…
…
…merci!,…c’est pas pour moi!,…envoyer le, à un autre,…gratuit de préférence!,…pour ramasser les crottes de son chien en vadrouille!,…page par page!,…
…etc!,…
…plutôt, du genre conseiller à Bertrand du Guesclin,…derrière une double tenture!,…
…etc!,…
…chacun ses limites!,…dans ce chaos!,…Ah!,…etc!,…
…
…
21h17 GSA Vous voyez que j’ai une tête de mouette pour bouffer du plastoc? Pour qui me prenez-vous enfin!
Giovanni Sant’Angelo dit: 12 mai 2014 à 22 h 45 min
Giovanni, je ne sais pas si vous avez vu – et à la limite, tant pis pour vous- ce biopic de Janet Frame réalisé par Jane Campion diffusé ce soir sur Arte.
Les derniers mots sont quelque chose comme ça: « Hush-hush-hush, the grass, and the wind and the fir and the sea saying : hush-hush-hush »
Bonne nuit.
Chut chut chut, que le silence règne pour que parlent nos âmes.
De fait elle semble épouser le chant de la nuit et transcrit sur clavier le rythme des cigales auquel vient s’ajouter celui des oiseaux qui veillent, le souffle du vent qui caresse les arbres
Merci, Bérénice.
J’ai les yeux qui se ferment. Trop vite pour continuer sur « Holy smoke ».
Un trophée momifiée, je suis issue d’une de ces collections dernièrement mises à jour et conservées au musée des arts premiers, pas une affaire pour vous, D, savez-vous qu’en vieillissant en toute logique l’esthétique se rapproche sans autorisation licite du squelettique, tout s’affine, la peau, le cheveu, les chairs jusqu’au discours qui se raréfie pour disparaitre comme celui de feu notre u; plus connu sous ce pseudo: ueda. Avis de recherche lancé à toutes les polices d’écriture, bip bip
Que se passe-t-il donc dans cette ferme, encor ?
Sur son tas de fumier, le coq cocoricote,
Bien plus qu’à l’ordinaire, affolant la cocotte,
Rappelant ses poussins, grappe de boules d’or.
Le fermier ébaubi, du haut du mirador,
Voit s’enfuir le bélier qui des pattes tricote,
Et l’agneau délaissé n’est déjà plus mascotte,
Pourtant le temps est beau en ce doux messidor.
Clopine est affairée entre l’ordi, l’étable ;
L’endroit enferme-t-il un bien inestimable ?
Soudain s’étend sur tout, un silence troublant.
Et la porte s’entrouvre sur l’ânesse qui boîte.
Suit, les oreilles au vent, le sabot flageolant,
L’ânon cherchant le pis sous le pelage moite.
Jean Calbrix, le 13/05/14
PS. Désolé, Clopine, j’étais trop avancé pour pouvoir tenir compte de tes dernières indications.
…
…@,…des journées X arbres!,…à 23 h 30mn!,…
…je me suis concentré,…sur la guerre de cent ans!,…( tout le bazar à remastériser Attila – Papable ),…et saint entre les seins!,…
…
…ensuite je me suis payez!,…l’épée viking » ||+ULFBERHT+ « ,…à l’acier trempé au creuset d’Iran!,…
…
…la mondialisation pour se ménager les prix Nobel!,…les alliances à bon compte!,…
… » genre qui veut de la tête de noix « ,…Lucre & Haine, gratos en cognition » top-là « ,…
…
…un replay!,…aussi de ma formation de fondeur des métaux précieux!,…un jeux d’astuces pour conquérir les métiers!,…
…
…raison de plus pour voir venir!,…les robots-tueurs!,…
…avec fiches en jeux d’échec!,…Marccccc,…tes batteries à plat en manque d’oseille de l’E.N.A.!,…à poils de carottes Vert-Bio!,…la tenaille!,…intello’s!,…en sécurité!,…Go!,…etc!,…envoyez!,…
…le carreau d’ass!,…ouvrez les trappes!,…le fondue aux moules!,…etc!,…
…chouette!,…le fléaux des Dieux!,…l’Europe à feux et à sang!,…
…
…Altius!,…les accords de Latran sous la jaquette!,…à Attila !,…Ö’puces Day !,…
…( …… )
…Allez mes soeurs!,…levez-vous à poils pour Danone!,…Ah!,…Ah!,…
…
…tout çà sur ta boucle de ceinture!,…en caractères runique ou » futhark « ,…déjà du grec à teutoniques exhibitionnistes!,…Darck plagiat!,…
…
…ma bible, ma fille, quelle passoire et couvercle en osier,…les alvins en truites chacun son casque d’or!,…pressons le devoir national!,…etc!,…envoyez!,…
…
Il était un petit poète,
il était un petit poète
Qui n´avait ja-ja-jamais versifié
qui n’avait ja-ja-jamais versifié.
Ohé! Ohé!… Ohé
(Refrain:)
Ohé! Ohé! Marcello,
Marcello navigue sur les mots
Ohé! Ohé! Marcello,
Marcello s’embrouille avec des mots !
Bonjour, Giovanni.
En fait, le sommeil m’ayant fui, j’ai bien poursuivi avec le film » Holy smoke »; à conseiller à tous les hommes qui ont un problème intime avec Conchita.
Grande dame que Jane Campion.
Ne serait ce pas Conchita qui a un problème avec les hommes ?
Bérénice, uhuh en est sans doute encore à sa bafouille de condolélances. Il cherche ses mot.
hush hush hush.
Bonne journée.
ses mots.
Soory, Fernando, il faut avoir vu le film Holy smoke; la proposition n’est pas réversible.
Je suis en hurry, sorry.
soit ! alors, il a des problèmes avec les femmes…
« Et l’agneau délaissé n’est déjà plus mascotte,
Pourtant le temps est beau en ce doux messidor. »
« Pourtant » ?! Voilà un adverbe que l’on comprend mal dans cet environnement… mais bon, il y a peut-être des « subtilités » que seulement celles et ceux qui on vécu à la ferme comprennent et savent apprécier… Enfin-bref, quelle relation entre le temps qui fait et le fait d’être ou ne plus être mascotte ?
« Par la suite encore plus, le livre était obligatoire dans chaque ménage. »
Mein Kampf était offert aux jeunes mariés dès 1936(4 millions d’exemplaires) et seuls les fonctionnaires étaient obligés de l’acheter.A la fin du troisième Reich,12 millions d’exemplaires sont présents dans les foyers allemands.(source:Mein Kampf,c’était écrit »d’Antoine Vitkine)
Marcel, Merci.
Marcel dit: 13 mai 2014 à 1 h 58 min
« Le fermier ébaubi, du haut du mirador, »
C’est quoi la ferme de Clopine? Un camp de rééducation par le travail? C’est Mélenchon qui va être content. L’aura les infrastructures.
« PS. Désolé, Clopine, j’étais trop avancé »
Et même un peu fait?
« Lisant (dans le train qui me conduit à Stuttgart) des nouvelles de Virginia Woolf, je suis pour la première fois frappé du tour arnoschmidtien de cette prose qui n’est en somme que la rumination d’une conscience à vif prisonnière d’un monde absurde et brutal où parfois quelque beauté scintille.
La probabilité que je voie un jour le petit nichoir accroché à la branche de cet arbre d’un jardin voisin de la gare de Hanau était des plus minces. Or je l’ai vu, depuis la fenêtre du train Berlin-Stuttgart. Il est sûr, en revanche, que cela ne se reproduira pas. Ça m’embête un peu, non que je me sois à ce point attaché à lui, mais j’aurais bien aimé pouvoir vérifier, par intégrité morale, pour ne pas tromper la confiance de mon lecteur, qu’il s’agissait bien, ce machin suspendu, d’un nichoir. »
(Eric Chevillard)
J’ai toujours aimé Francis Jammes.
J’aime l’âne si doux
J’aime l’âne si doux
marchant le long des houx.
Il a peur des abeilles
et bouge ses oreilles.
Il va près des fossés
d’un petit pas cassé.
Il réfléchit toujours
ses yeux sont de velours.
Il reste à l’étable
fatigué, misérable.
Il a tant travaillé
que ça vous fait pitié.
L’âne n’a pas eu d’orge
car le maître est trop pauvre.
Il a sucé la corde
puis a dormi dans l’ombre.
Il est l’âne si doux
marchant le long des houx….
Francis Jammes
Renato, Chaloux, et la licence poétique, vous en faites quoi ?
Perso j’ai trouvé la rime « mirador, messidor » ingénieuse et inédite.
L’allitération en « s », dans le « soudain s’étend sur tout… » parfaitement adaptée au sens du vers, qui commence par l’abrupt « soudain » pour finir étalé dans les « en » (silence troublant).
Quant au dernier vers « l’ânon cherchant le pis sous le pelage moite », il est à la fois fort juste sensoriellement et fort beau poétiquement. J’ajoute que finir le poème par l’image de l’ânesse suivie par son petit est une image fort juste : cette image-là est si forte qu’elle a donné naissance à l’expression « ânesse suitée ». Et nous savons même, grâce à la bible, que le jour des rameaux, c’est ainsi que Jésus est entré dans Jérusalem : précisément assis sur une ânesse suitée.
Je m’en voudrais beaucoup si ce petit échange entre Calbrix et moi lui vaut, in fine, les critiques aigres et les ricanements si souvent en cours sur ce blog. Moi, je prends le tout comme un cadeau de web. Et je propose à Marcel d’être le parrain putatif d’Elzéar. Il ne serait pas le premier : un certain ânon nommé Papou (année des « P », Bouguereau, pas la peine de rebondir là-dessus) a eu lui aussi, en son temps, une bien jolie marraine !
Tout ce que vous voulez, Clopine mais « mirador » donne tout de même une idée assez curieuse du décor, d’autant que dans un poème on a peu de place pour le planter : »Ce toit tranquille où marchent les colombes… ».
Et je vous avouerais que la « licence poétique » de « mirador » m’échappe un peu. C’est comme « Kalachnikov », « kapo » et « Bouguereau », ça m’inspire pas.
Si vous en avez assez des « âneries » de la bécasse, du ronron écolo-fermier au beurre normand, du gnangnan flasque sans saveur, dites-le !
Un signe d’intelligence, et je suis sûr que le patron sera d’accord pour revenir foutre le bordel dans la pastorale insipide des bergères poudrées style hameau du Petit Trianon !
Quant à Passou …
Faudrait revoir la chose nommée « licence poétique » et, éventuellement, son mode d’emploi. Cela dit, il arrive que, emballé « poésie », on lise n’importe du n’importe quoi…
Et que dire du ronron du « garde-chasse de PQ » ?
Toujours suffisant mais jamais nécessaire !
« … les critiques aigres et les ricanements… »
Où ça ?!
(Oups ! on lise n’importe du n’importe > on lise du n’importe quoi…)
Nous avons beaucoup aimé votre récit d’adolescence, Jacques Barozzi ! De la veine des Mémoires de Saint-Simon à la plage.
Un récit bien loin d’un ronron suffisant. Nous dirions même : un ouvrage nécessaire …
« L’âne n’a pas eu d’orge
car le maître est trop pauvre.
Il a sucé la corde »
Âne nie aimer les sucettes
les sucettes à l’anis…
Jacques, vous remarquerez tout de même que l’âne de Jammes ne « suce » que parce qu’il y a crise alimentaire.
Il a pas le choix.
Chaloux, vous avez raison sur le point du mirador : il n’y en a pas chez moi, bien sûr. Mais il y a cependant une cabane juchée sur un arbre, en hauteur, qui pourrait convenir. Et puis Marcel a bien le droit, si ça lui chante, d’exécrer la campagne, de fuir les animaux, et de trouver agaçant mon attachement rural…
Au point qu’inconsciemment (à mon sens, il ne s’en rend pas vraiment compte) il qualifie tout ceci négativement : le coq est évidemment sur un « tas de fumier », le fermier « ébaubi » n’a pas l’air bien malin, le « mirador » permet de regarder un agneau « délaissé », et l’ânesse « boîte » ; certes, ce n’est pas folichon, mais c’est le droit absolu de Calbrix, nom de Zeus !
Et puis il n’est pas le seul à repousser cet univers-là. Sans parler de Daaphnée qui se pince le nez et se réfugie dans l’arrogance, il y a des gens très très bien, et tolérants en plus, qui fuient cependant les prés verts et les animaux trop étrangers pour eux. Woody Allen, par exemple. Ou une fleur de pavé, comme DHH…
Moi, je lui suis reconnaissante d’avoir respecté le contrat, et un sonnet, c’est un sonnet ; pas si facile à faire ! (respect !)
De France Gall à Conchita Wurst, D. pourrait nous proposer un « Goût de l’Eurovision », Chaloux ?
des journées entières dans les arbres dit: 13 mai 2014 à 7 h 43 min
Bérénice, uhuh en est sans doute encore à sa bafouille de condolélances. Il cherche ses mot.
hush hush hush.
Ne cherchez pas la petite bête, il aura vraisemblablement fouillé rapidement son lexique et trouvé ce qu’il faut pour la circonstance présente, pourquoi vouloir aujourd’hui remuer le passé, pas le temps des journées, désolée, cela ne me concerne pas, cet envoi.
« Moi d’abord la campagne, faut que je le dise tout de suite, j’ai jamais pu la sentir.
… Mais quand on y ajoute la guerre en plus, c’est à pas y tenir. »
LOUIS-FERDINAND CELINE
De l’origine des mots :
« Le mot espagnol mirador désigne une terrasse ou un autre point élevé d’où l’on a une belle vue (un belvédère). »
gonzalo-du-lac ou Marcello-du-mirador ?
« La campagne n’a de charme que pour ceux qui ne sont pas obligés d’y habiter. »
EDOUARD MANET
Clopine, il ne s’agit pas de ricanements, mais le poète (surtout le poète, car il est parmi les écrivains celui qui se trouve dans la plus fâcheuse posture, -j’écris ça pour faire plaisir à Barozzi- ) doit se soumettre lui-même à une impitoyable critique avant de publier. Un de mes bon amis d’autrefois, qui s’est depuis taillé une petite et bruyante notoriété, avait formé le projet d’écrire un ouvrage formidable, par-delà lequel il n’y aurait rien, et pour lequel il cherchait un titre. Illumination divine, ce serait : « Tous un continent ». Il ne m’a jamais pardonné de l’avoir mis en garde contre les lectures scabreuses qui pourraient être faites de ce titre sublime.
Hors sujet…
Ella Hepworth Dixon :
Chaloux, j’ai bien ri. Perso j’ai connu une chorégraphe contemporaine qui avait intitulé son ballet « sur le fil du rasoir ». Comme on s’y ennuyait beaucoup…
Cependant, Chaloux, permettez. Il ne s’agit pas ici de « publier » un ouvrage revendiqué. C’est une boutade entre Marcel et moi, et nous sommes sur un blog, où l’éphémère est la règle. Certes, même sur un blog, on peut prendre un peu de soin à l’expression de ses idées, à la rédaction… Mais un sonnet fait en un jour ou deux ne peut prétendre, malgré le soin que Marcel y a mis, j’en suis sûre, à la perfection absolue d’une oeuvre littéraire. Je ne crois pas me tromper en disant que Marcel-Calbrix ne peut lui-même s’y tromper (malgré l’indulgence que nous ressentons tous, à tort ou à raison, envers nos propres productions) ; encore une fois, il s’agit surtout ici de jouer.
J’aime tellement jouer ! J’y suis portée tout naturellement, même si je peine souvent à trouver des partenaires (notamment aux échecs, snif.)Vraiment, vos critiques envers Marcel me porte à lui présenter mes excuses. Je nous croyais innocents, mais visiblement, nous sommes, lui et moi, coupables… au moins, de ma part, de légèreté.
me portENT, bien sûr. Ces satanés doigts !!!
« sur le fil du rasoir »
http://thumb.kweeper.com/10/04/19/873dea859b9b093ee8374542ec534816_h.jpg
Jacques, merci d’avance de ne pas illustrer « fâcheuse posture ».
Bonne journée,
Messidor ou messie d’or ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Messidor#mediaviewer/Fichier:Messidor.jpg
…
…@,…des journées entières sur les arbres,…
…
…dans l’infinité des modèles structurés de la pensée!,…et ses priorités d’interprétations pour les mouvoir en actions-écrits,…
…
…chacun fait sien, par ses expériences!…et son obéissance à la force de son groupe ethnique!,…par exemple!,…
…
…or!,…arriver à avoir raison des autres systèmes de cognitions,…n’est pas une gloire en soi!,…surtout,…quant on devine les masques des acteurs et le rôle des structures de leurs formes de pensées qui sont porter aux bénéfices,…par le mensonge étalé,…ou d’autres ruses!,…
…
…ceci dis, en passant!,…comme préambule,…il existe les conversations pour glisser dans l’entonnoir à former des débauchés en » spiritueux « ,…
…
…j’ai trop de techniques en tête et les amalgames neutres et objectifs reste difficiles,…la limite!…c’est que la vérité ne donne pas à manger à son homme!,…
…
…conclusion!,…écrire!,…pour n’y retrouver que soit-même!,…en somme!,…
…
…j’ai pas de T.V.,…et c’est toujours le même » cirque » d’informations!,…trop faux!,…presque de l’évêché d’état!,…
…
…il y a, à avoir le discernement de ne pas perdre son temps avec toutes les productions du cinéma,…qui se Copier/Coller!,…pour abrutir!,…forcément les pactoles vers soi!,…c’est humain comme » Alouette!,…gentille Alouette à crédit! d’état en aval!,…
…bien le bonjours!,…
…Bertrand du Guesclin,…trop de fois » prisonnier » et libérer!,…l’aventure!,…
…etc!,…
…çà sent, la combine pour préparer le terrain aux adversaires!,…Ah!,…Ah!,…etc!,…
…
C’est Raymond Queneau, à propos de la campagne, qui a parlé du « solennel emmerdement de la ruralité ». Dans Saint-Glinglin. (Lu chez le merveilleux Jacques Lacarrière. Essayé de lire Saint Glinglin mais il m’est tombé des mains…).
Chaloux cher le dentiste, mauvaise posture ?
http://soumisissy.s.o.pic.centerblog.net/a14a71dd.jpg
bah, Chaloux, de Virgile à Giono, on pourrait trouver tout autant d’amour que de dégoût… Et puis, la vie citadine vaut-elle vraiment mieux ? A voir la rage absolue avec laquelle, tous les week-ends, les parisiens se soumettent aux interminables embouteillages, pour se répandre, affamés de verdure, dans n’importe quel trou perdu, je pense qu’on pourrait en douter.
… Ce soir, je vais voir « Bovines » ; non que j’en aie vraiment besoin (moi je les vois tous les jours, les vaches, de ma fenêtre. Elles paissent dans un pré au-dessus de la maison. Nous sommes donc précisément « sous » les vaches, ce qui me plaît bien.), mais pour le recommander, ou non, à mes potes citadins…
Bovines : http://youtu.be/Nzq6A9WKpG4
« Tous incontinent »
http://www.articles-lib.com/wp-content/uploads/posts/8902/lincontinence-urinaire-chez-les-hommes-cinq-types-dincontinence-urinaire.jpg
@ aquarius
« l’anti-sémitisme de Heidegger est purement culturel, il est en phase avec sa critique du libéralisme et du matérialisme anglo-saxon, n’a rien à voir avec l’anti-sémitisme biologique des nazis…et n’a finalement qu’un rôle tout à fait marginal dans sa pensée. »
C’est une blague? On voit bien que vous n’avez pas lu les livres de Farias, Ott ou Faye. Moi j’ai dû les lire par obligation, et j’ai compris non seulement qu’il était antisémite, mais qu’il l’était, philosophiquement, métaphysiquement même. Votre réponse me rappelle ce que me disait un philosophe très connu et très germanophile que j’ai traduit, à propos de la polémique créé par le livre de Farias (qu’il n’avait pas lu): « Vous savez, j’ai connu des gens de l’entourage de Heidegger et je peux vous dire que ce n’est pas lui qui était antisémite, mais sa femme. Elle, oui, très. Et lui avait peur d’elle ». Le plus drôle de l’histoire c’est qu’il considérait l’auteur de « L’Être et le Temps » comme un fumiste, et sa philosophie comme du verbiage sans aucun intérêt (chose que, n’étant pas très courageux, il a à peine osé écrire). Mais comme lui aussi était assez antisémite (en privé) il trouvait que le procès qu’on faisait à Heidegger (et encore plus à Junger) était très injuste.
À part ça, Heidegger ne m’intéresse absolument pas, pour moi ce n’est qu’un enculeur de mouches en plein vol atteint de diarrhée verbale, d’incontinence sémantique incurable, capable de confondre Hitler (« l’Attila des peintres en bâtiments » comme l’appelait Suarès) avec une espèce de nouveau héros germanique (« Hitler, le gorille d’Odin », Suarès encore). Je vous rappelle que votre ami Martin a osé écrire en 1933: « le Führer lui-même est la réalité allemande et sa loi, maintenant et toujours. »
Mais si vous voulez plus de preuves accablantes de son antisémitisme, vous pouvez lire les citations que j’ai donné en novembre dernier ici même, lors de la discussion sur le « Dictionnaire Martin Heidegger ».
Clopine, sur ce point, nous sommes très partagés. Ou on reste, à Paris ou tout comme, ou on s’en va. Pour moi qui ai finalement opté pour une existence dépourvue de mondanité entre mes pianos et ma bibliothèque, je pense que ça ne changerait pas grand-chose, sauf pour l’espace, évidemment. Reste à choisir la région… On se donne encore deux ou trois ans pour tergiverser.
Chaloux, « vos » pianos ? Vous en avez combien, grands dieux ? Des droits, quart-de-queue, demi-queue ? Un pour chacun des membres de la maison, ou bien un pour le matin, un pour le soir, un pour le jazz, un pour le classique, etc ?
@ Chaloux
« J’ai toujours aimé Francis Jammes. »
J’espère qu’il a écrit quelque chose de moins nul que ce « J’aime l’âne si doux » (sauf s’il l’a écrit à 12-13 ans).
« entre mes pianos et ma bibliothèque »
Et rien pour Daaphnée, Chaloux ?
Clopine, il y en a au moins deux. L’idéal serait qu’il y en ait quatre. J’ajouterais bien un autre allemand et un tchèque, – et même un grand Erard ancien, ce qui ferait cinq- mais la place manque et c’est pour cette raison que la province me tente. De même pour les livres, les tableaux, le mobilier, ça commence à coincer. J’ai cependant renoncé à collectionner les pendules, trop bruyantes.
j’ai deja dit sur ce blog que Marcel n’estpas un poete mais un rimailleur,ce que Jean Cohen appelle un poete du dimanche .
Mais, même dans ce registre, livrer en 24 heures sur un sujet donné un sonnet à la metrique irreprochable, là vraiment je suis admirative ; et qu’en plus on soit un mathematicien de haut vol et un auteur de polar ça m’epate !
je n’aimerais être ni sa femme ni sa fille ,cela me donnerait trop de complexes
Chaloux dit: 13 mai 2014 à 9 h 11 min
J’ai toujours aimé Francis Jammes.
J’aime l’âne si doux
J’aime l’âne si doux
marchant le long des houx.
Il a peur des abeilles
et bouge ses oreilles.
Il va près des fossés
d’un petit pas cassé.
Il réfléchit toujours
ses yeux sont de velours.
Il reste à l’étable
fatigué, misérable.
Il a tant travaillé
que ça vous fait pitié.
L’âne n’a pas eu d’orge
car le maître est trop pauvre.
Il a sucé la corde
puis a dormi dans l’ombre.
Il est l’âne si doux
marchant le long des houx….
Francis Jammes
Pitié pour les ânes.
Ce poème serait rejeté dans un concours de poésie classique. fossés ne rime pas avec cassé (lettres finales différentes et non équivalentes)Pauvre, corde et ombre ne riment à rien. « Il reste a l’étable » n’a que cinq pieds au lieu de six.
Jamais La Fontaine ne serait permis cela !
Tous un continent
On appelle ça un kakemphaton.
Vite, tous sur Wiképédia !
Pablo, je crois que ça semble un peu moins « nul » dès qu’on s’éloigne du VIe arrondissement (que je connais très bien, j’y ai vécu longtemps). La lecture que nous faisons des œuvres dépend beaucoup du milieu naturel dans lequel nous sommes immergés. J’ai eu plus d’une fois l’occasion de m’en apercevoir en voyageant. Une route change plus de choses en nous qu’un livre. Lisez ce petit poème sur un sentier de montagne et vous en sentirez peut-être l’humilité, la justesse et la douceur.
Un des esprits les plus riches intellectuellement que j’ai jamais connus
Il y a une faute de français dans ce bout de phrase. Sauras-tu la retrouver ?
« Quand Vargas-Llosa, Perez-Reverte et Javier Marias se rencontrent, on imagine la conversation! Secrets de fabrication. » (en entrant à droite).
C’était plutôt une conversation sur leurs souvenirs en relation avec la littérature. Vargas Llosa raconte que dans un avion vers les Canaries un passager est venu le voir, très ému, pour lui dire qu’il l’admirait beaucoup et que ses livres avaient été très importants dans sa vie, surtout… « Cent ans de solitude » !
Marcel dit: 13 mai 2014 à 11 h 37 min
« Ce poème serait rejeté dans un concours de poésie classique »
Marcel, mon bon, tu es un plouc, mais je n’ai plus le temps de te dire pourquoi.
Veux-tu s’il te plaît :
1) Nous rappeler les noms des lauréats de l’Académie française en poésie, disons entre 1857 et 1867 (deux dates prises au hasard).
2) Faire le compte de ce qui est resté lisible.
Tu auras répondu pour moi.
Ce poème de Francis Jammes est charmant. Jammes était le poète des gens humbles et des petites choses simples. On peut lui préférer Baudelaire mais il avait un certain talent. Gide l’aimait beaucoup et lui accorde même une place dans son anthologie de la poésie.
Oups, Albert Cimm a raison : que j’aie connus. C’est ça ?
En tout cas, ce matin je me suis bien amusé.
vous auriez fait un article sur Celine, vous en seriez déjà, j’sais pas, moi?, disons 800 posts, faut vendre ce qui se vend! bon sang de bonsoir!!
D., il est temps de vous informer, à propos de Conchita Wurst.
Wurst traduit en français est bien saucisse, sauf dans le pseudo choisie par l’artiste mi-travesti mi-christ. Cheveux longs et barbe, me font penser au christ ou à des hippies sortis de la nuit des temps du 20ème siècle.
Dans le cas de Wurst, le pseudo de Conchita Wurst aka Tom Neuwirth, il n’y a aucune connotation avec de la saucisse*, mais, rappel de l’expression germanophone « Es ist wurst », soit « c’est égal », c’est du pareil au même, cela n’a pas d’importance etc…
J’ai écouté et regardé un interview de C.W./Tom Neuwirth, il dit bien avoir inventé le personnage de Conchila Wurst, car son message est que seul la personnalité d’un individu compte et non sa présentation, son air extérieur. Une femme avec une barbe bien noire, bien viril, comme un excité de la religion, un mélange pour choquer les petit-bourgeois et les prolos coincés.
Voyez vous, Ducornaud, votre importance attachée à une chemise en plein été, jaune, montre votre niveau de tolérance. Ceci dit, vous êtes un personnage mauvais, méchant et impuissant (aucune connotation sexuelle, pour cette fois), alors il serait mieux d’être une femme barbue, que vous ou JCouille. Tom Neuwirth/Conchila Wurst se veut « politique », plaide pour la tolérance, que l’on soit entre les genders ou handicapés physiques. Bien entendu c’est aussi un message à votre idole, le Président Poutine.
Je trouve Conchila Wurst assez répugnante, mais c’est ainsi que le message doit passer: « Peut importe l’allure, ce qui compte c’est la personnalité ». Vous voyez, que vous, faux catho hypocrite, votre personnage est à jeter.
* Wurst/saucisse, la barbe de Conchila Wurst est un attribut bien viril, comme une saucisse bien formée de taille respéctable. Autre clin d’œil humoristique de l’artiste Neuwirth ?
D’une manière générale, Ducornaud, les travesties en costume, se veulent vraie figure féminine. La grande et longue barbe bien noire de Neuwirth et bien là pour faire contraste…
D.bile, j’imagine volontiers, Tom Neuwirth vous sodomisant, bref en face de vous, il aurait le rôle le moins féminin. Vous êtes un neutrum, alors « pourquoi pas ? », et puis Pathos Connemara, es ist wurst welche role die partnern spleen !
Je comprends qu’une chemines d’été jaune vif, puisse vous choquer, vous êtes un cul-terreux d’Aurillac des années 60, et puis avec votre physique de franchouillard, moche asexué, couleur de cheveux blond-eau-sale, couleur de peau blafarde, il est préférable de ne pas porter de couleurs trop voyantes. Allez en paix, Ducornaud, je vous souhaite une semaine de merde !
Vous devriez faire une psychothérapie, peut-être qu’un bon psy, pourrait vous donner le courage de regarder les gens dans les yeux, votre timidité n’est pas wurst pour votre personnalité, vous êtes un homme mauvais, car incapable dans la vraie vie, de communiquer.
Tscüß Würstli !
@ Chaloux
« je crois que ça semble un peu moins « nul » dès qu’on s’éloigne du VIe arrondissement ».
Pourtant j’habite assez loin du VIe, dans le XXe (entre les Buttes Chaumont et le Père-Lachaise).
Je trouve ce poème d’autant plus nul que je connais très bien le livre de poésie en prose le plus beau qui existe, pour moi, et dont le héros (réel) est un âne: « Platero y yo. Elegía andaluza » (1917) du très grand poète mais aussi aphoriste Juan Ramón Jiménez (l’un de 3 ou 4 écrivains en espagnol les plus importants du XXe siècle – et, accessoirement, le plus méchant de tous…). Ce livre est une merveille de la première à la dernière page. Je plains, d’ailleurs, son traducteur en français, tellement sa poésie me paraît intraduisible.
Spielen et non spleen (correcteur automatique words), mais la notion de spleen est aussi assez plaisante.
DHH dit: 13 mai 2014 à 11 h 27 min
Merci, Judith, pour vos lauriers. Je garde sous le coude la belle expression « Poète du dimanche ». Cela fera un joli titre pour un recueil.
Chaloux, Jacques Lacarrière avait une maison à Sacy (village natal de Restif) et aimait beaucoup la campagne française, en particulier son petit coin de campagne, tout en étant un authentique voyageur. Lire chemin faisant pour s’en convaincre.
Pablo75 dit: 13 mai 2014 à 11 h 06 min
@ Chaloux
« J’ai toujours aimé Francis Jammes. »
J’espère qu’il a écrit quelque chose de moins nul que ce « J’aime l’âne si doux » (sauf s’il l’a écrit à 12-13 ans).
Pitié pour Rimbaud.
On peut dire de la campagne ce que Jules Renard disait de la province : à la campagne, même la pluie devient une distraction.
Marcel dit: 13 mai 2014 à 12 h 23 min
DHH dit: 13 mai 2014 à 11 h 27 min
« Je garde sous le coude la belle expression « Poète du dimanche ». Cela fera un joli titre pour un recueil. »
La cerise sur le gâteau…On dirait de l’humour, mais ce n’est pas de l’humour. Ce pauvre Marcel est complètement cuit. C’est pas le poète, ce serait plutôt le gigot du dimanche….
Pablo, je n’ai pas lu le livre dont vous parlez (mais Les Mémoires d’un Âne est un grand roman), je vais voir. Mais je continuerai à aimer Jammes, comme j’aime les reportages de Depardon sur la paysannerie française.
« Poète du dimanche »
Ah bon ? C’est Jean Cohen l’inventeur de l’expression ? Et poète à la petite semaine, c’est lui aussi ? Quel génie de la formule…
Oui, Albert, Lacarrière cite cette phrase de Queneau dans le livre qui avait d’abord été « offert » par Plon pour l’achat de deux « Terre Humaine » et qui est reparu depuis. Le titre m’échappe… Pour mettre en garde ceux qui rêvent de vivre à la campagne sans penser qu’il y a un tribut à payer.
Ma faim, Anne, Anne !
Fuit sur ton âne !
Ce pauvre Rimbaud n’était pas très doué. Enfin il a fait ce qu’il a pu. Comme Marcel.
(entre les Buttes Chaumont et le Père-Lachaise)
La traversée du (métro) Jourdain !
Marcel, il y a eu un meurtre récement au Père-Lachaise !
Oups, récemment…
http://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-au-cimetiere-du-pere-lachaise-un-suspect-mis-en-examen-et-ecroue-10-05-2014-3830615.php
« Poète du dimanche »
Non, Marcel c’est le « Poète de la première heure » (entre 1h 37 et 3h du mat.)
Clopine Trouillefou dit: 13 mai 2014 à 10 h 03 min
Et puis Marcel a bien le droit, si ça lui chante, d’exécrer la campagne, de fuir les animaux, et de trouver agaçant mon attachement rural…
Au point qu’inconsciemment (à mon sens, il ne s’en rend pas vraiment compte) il qualifie tout ceci négativement : le coq est évidemment sur un « tas de fumier », le fermier « ébaubi » n’a pas l’air bien malin, le « mirador » permet de regarder un agneau « délaissé », et l’ânesse « boîte » ; certes, ce n’est pas folichon, mais c’est le droit absolu de Calbrix, nom de Zeus !
Et puis il n’est pas le seul à repousser cet univers-là.
Absolument pas, Clopine. Très jeune, j’allais en vacances chez une tante au cœur du pays de Caux et pour moi, petit citadin, c’était un endroit paradisiaque.
Le coq sur son tas de fumier, n’est pas péjoratif, juste une image d’Epinal qui fait rêver l’enfance.
Il faut être un paysan de Paris comme Chaloux pour ne pas apprécier. (on dirait que ça le gêne de matcher dans la boue)
En tout cas, bien content de vous avoir fait plaisir, Clopine. Entre Pays, c’est bien normal.
@Renato
Le quatrième vers du deuxième quatrain est une réflexion qui a trait au mystérieux charivari développé depuis le début et ne s’applique pas seulement au vers le précédant concernant l’agneau.
tkt ? Toute la Marine suisse lui est passée dessus. C’est depuis ce temps-là qu’on dit « Un Gonze à l’eau douce ! » et non pas « Un homme à la mer ! », comme dans toutes les Marines normales du monde normal. (Le type semble fabriquer ses moignons de posts sur Word avant de les poster et les sauvegarder, lol !).
« Vous devriez faire une psychothérapie » (TKT)
Il est bête ce TKT ! Une distraction comme TKT c’est une merveille, dommage que Barnum soit mort : il aurait été superbe, l’helbête entre Conchita la Saucisse à Barbe et Taubbira la Guenon aphone, uhuhuhu !
La campagne est faite pour les ploucs
La ville est faite pour les ploucs
La banlieue est faite pour les tarés du ghetto
Les maisons de retraite sont faites pour les déchets oubliés.
Les cimetières ? le rêve !
@ Jacques Barozzi
« La traversée du (métro) Jourdain ! »
C’est le mien !
Marcel dit: 13 mai 2014 à 12 h 49 min
« Il faut être un paysan de Paris comme Chaloux pour ne pas apprécier. »
Marcel, mon bon, tu n’es pas cuit, tu es surcuit. Jamais dit ça.
Jacques Barozzi dit: 13 mai 2014 à 12 h 38 min
Marcel, il y a eu un meurtre récement au Père-Lachaise !
Donc, « Mon cadavre normand n’a pas ri à Paris » était prémonitoire, Jacques !
Je pense à mon cadavre à l’Elysée, mais il me faut rimailler sans compter qu’il me faut aussi jouer les coqs sur les tas de fumier.
Je comprends qu’une chemines d’été jaune vif, puisse vous choquer,
TKT
Ce n’est pas le jaune mon Thierry chéri (encore que) mais la chemise ouverte sur un tee-shirt (en été !) tel le touriste franchouillard visitant le monde.
Avec bermuda (rouge ?), sandales et chaussettes.
Pablo75 dit: 13 mai 2014 à 12 h 14 min
… et, accessoirement, le plus méchant de tous…
Wow, superbe! Et je ne vous prends par pour quelqu’un faisant dans l’humour involontaire !
bérénice dit: 13 mai 2014 à 10 h 05 min
Idem.
Pas plus d’interêt pour votre u, cette nuit 0h27mn.
En revanche, les pleurnicheries de uhuh me font rire. Et pas qu’un peu.
Albert Cim dit: 13 mai 2014 à 12 h 36 min
Ce pauvre Rimbaud n’était pas très doué. Enfin il a fait ce qu’il a pu
On peut tout dire et son contraire, ici !
Métro Jourdain : bons commerces de bouches et deux belles librairies pour les livres anciens et modernes, Pablo75…
tkt ? Toute la Marine suisse lui est passée dessus
Ben normal, faut les comprendre ces marins !
Voir un athlète (de Vaud) se balader avec un bichon sur tous les ports des lacs en chemise jaune ouverte ça émoustille.
Sérieux, sa séquence « émotion » en prime time, à uhuh, c’est Nicolas Hulot sans son ULM, et sans Nicolas Hulot, d’ailleurs.
Un tweet du CNRS ?
How strange…
« Les lecteurs français découvrent le terme « agnotologie » »
Quand la vie devient un roman policier.
Hier on a assassiné en plein jour, pendant qu’elle traversait une passerelle de ma ville (León), une célèbre politicienne du Partido Popular, qui comme son nom ne l’indique pas, est le parti de la Droite espagnole. Elle était, entre beaucoup d’autres choses, la chef de l’équivalent d’un conseil régional français. Aujourd’hui on apprend que l’auteur est la mère d’une employée qu’elle avait viré pour des raisons personnelles (ce qui a obligé la fille à vendre son appartement) et la femme d’un inspecteur de police d’une ville proche, qu’elle soupçonnait d’être la maîtresse de la victime – laquelle avait un compagnon qui avait décidé, quelques minutes avant, d’aller en moto, au lieu d’à pied avec elle comme d’habitude, à l’endroit où travaillaient les deux.
Pas « la maîtresse de la victime », mais son amant.
(Bérénice, Nicolas Hulot a une histoire douloureuse)
Bon aprèm.
…on s’en fout, Pablo, de ce fait divers léonin …!
JCouille, franchement, sandales et chaussettes, cela doit plutôt être votre mode de vie.
Vous nous remettez un commentaire raciste, Taubira et guenon.
Vous êtes définitivement une merde de raciste, manière année 30.
Ce qui est choquant c’est que vos commentaires racistes soient si peu censurés.
Taubira et guenon, vous devriez pour cela être interdit de commentaire.
@ Jacques Barozzi
« et deux belles librairies pour les livres anciens et modernes »
Trois plutôt… Plus bas, à la fin de la rue Jourdain, dans la petite place qui n’en est pas une, il y a une autre librairie d’occasion, plus petite que celle qui est à la sortie du Mº.
Toucher le pompon dit: 13 mai 2014 à 13 h 28 min
« tkt ? Toute la Marine suisse lui est passée dessus »
Pas moi ! J’étais en RTT ….
Traiter Taubira de guenon, c’est vache ! Pour qui, en fait ?
TKT dit: 13 mai 2014 à 13 h 40 min
JCouille
Mais c’est qui ce JCouille auquel s’en prend toujours vontraube ?
Un marin du port de Zürich qui n’en avait qu’une ?
Un mocassin qui n’avait qu’un gland ?
Une burne moins conne que lui ?
Je vois pas.
Je confirme pour les librairies, Jacques Barozzi!
Le fantome ou la réincarnation de François Coppée, éléphantesque poète des humbles, plane sur ce blog…
Bien à vous.
MC
Ybof!
Je me suis fait la meme réflexion. Curieux, non?
Bien à vous.
MC
…
…censurer!…
…
A propos de poète du dimanche, on sait qu’ Auguste Boncors, Chauffeur de profession, publia son poème » Comme des boas lents mes deux jambes lugubres » dans une anthologie mémorable de 1947 aux Éditions de clairefontaine préfacée par Jean Paulhan et intitulée à demain, la poésie…
Lu dans La Libre que le « huit mai, célébra(it) la fin de la Deuxième Guerre mondiale »…
Euh, Hiroshima, Nagasaki…?
Fin de la guerre en Europe (en anglais VE-Day) certes, mais il restait à gagner la guerre contre le Japon, la guerre dans le Pacifique. C’est le 15 août, date de la reddition du Japon, qui marque la véritable fin de la Deuxième guerre mondiale. La victoire contre le Japon/dans le Pacifique (VJ- ou VP-Day) est célébrée aux US (le 2 septembre), en Chine, à HK & en Corée, le 15 août.
Le clochermerlisme européen est affligeant. Vas-y, c’est pas chez, moi, ça existe pas.
…
…le texte envoyez déjà,…8 x , et jamais afficher!,…
…de toute façon!,…je l’ai copier;coller!,…il est archivé!,…par mes soins!,…
…un fiasco pour la diplomatie de gangster!,…etc!,…
…
D’ ailleurs, vous avez raté le beau poème » La France » d’ Hélène Massenot-Reigner ( Bouchère) de cette même anthologie…
Aux anges, par terre ( distique oublié ) …
Le chevalier d’Orient enfourche les étoiles
Les anges ont des seins et des jambes d’ivoire
Couchés nus sur le sable et la mer va et vient
Et son ressac charrie des morceaux d’ambre gris
Quarante cavaliers traversent le grand fleuve
Ils montent des juments qui parlent le français
Toute terre est noyée sous des eaux parfumées
Et une femme nue dit je t’aime en pleurant
Qui donc fera s’enfuir les ânes sans reproche
Qui donc consolera le chevalier en deuil
Qui donc retrouvera la terre douce et chaude
Il y a les miroirs qu’on traverse en silence
Et les émaux gravés aux messages secrets
Le chevalier d’Orient libre est parti vers l’Ouest
Copée est le poète populaire et sentimental de Meaux, des tableaux de rue intimistes du monde des nantis. Poète du souvenir d’une première rencontre amoureuse avec Fillon, de la rage d’une ambition présidentielle ou de la beauté du jardin de l’Elysée, il rencontrera un grand échec populaire.
Bloom dit: 13 mai 2014 à 14 h 23 min
Le clochermerlisme européen est affligeant.
De toutes manières, faudrait bien un peu laisser tomber…
…
…pour faire court!,…sans démonstrations!,…
…
…la planète!,…
…rackettée!,rançonnée,dévalisée,taxée,soutirée!,…
…par les » systèmes Business’s school management d’état à morpions!,…ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…
TKT dit: 13 mai 2014 à 13 h 40 min
Taubira et guenon, vous devriez pour cela être interdit de commentaire.
Thierry, c’est de l’histoire ancienne. Il ne faut pas vous raccrocher aux branches.
Donc, selon Bloom, les Européens n’ont aucun motif de commémorer le 8 mai 45, soit la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie et, pour eux, la fin de la Seconde Guerre mondiale, autrement dit la capitulation de l’Allemagne (un détail). Chacun sait que l’Europe a eu beaucoup a souffrir de l’occupation japonaise…
Pour conclure, permettez-moi de publier le poème de Constant Bermer ( Chef de contentieux) de cette même anthologie en hommage à nos grosses cylindrées poétiques CC (Clopine et Calbrix)du blog.
La notule explicative en fin de recueil nous dit un peu mieux qui est cet auteur.
» Né en 1905. Très actif, n’a pas une minute à soi. Chef de contentieux. Marié. S’ offre rarement une distraction (cinéma,théâtre, sports). Si on lui demande pourquoi et quand il écrit des poèmes, il répond : » exceptionnellement et par une sorte de complaisance (car je ne me prend pas au sérieux), que peut expliquer l’état euphorique d’une convalescence. C’ est dire que j’écris très peu, jouissant d’une excellente santé ».
CONSTANT BERMER
(Chef de contentieux)
CHANSON LIBRE
J’avais une petite, copain, copant
Qui faisait la fête, clopin, clopant
Comme ça drôlement, donnant, donnant
Par étourderie, la riri, la riri.
Je lui découvre un vice, dadon, dadère
De construction, pardon, ma chère
Et, zim, je la lance sur des roulettes
Avec sa jambe en duralumin, badaguin, badaguin.
A propos, elle s’en tire,
Elle a des dessous, faut voir comme
Des talons haut comme ça, gomme, gomme
Et ses boules pressées dans une gaine en or.
Je la montre à Mimille, éhé, aïe donc !
Y veut mordre dedans, minute, minute,
Tu vas chiffonner, impoli, oui, kiki
— De quoi ? – – Des claques ! piaf, piaf.
CONSTANT BERMER
Elle se fâche et s’en va, houch, houch, houch
Ça fait injure à moi-même,
Mais ciel ! l’autobus la happe, hop, hip,
L’écrase toute, hoch, hoch, hoch.
Son âme file droit au ciel, frrt, frrt, frrt
Pendant que sur terre, ter, ter
La carcasse de la jambe gît, cabossée
Et la carcasse d’eue, mutiléééé…
(Le point d’orgue du ténor gagne l’éternité.)
Bloom dit: 13 mai 2014 à 14 h 23 min
Le clochermerlisme européen est affligeant.
C’est le moins que l’on puisse dire. (Sauf que, qui c’est qui le dit ?)
Marcel, un commentaire récurrent, n’est pas de l’histoire ancienne.
Je n’ai aucune tolérance pour le gâtisme raciste de JC.
Jouer sur la couleur de peau d’un Gouvernant est inacceptable.
JCouille et D.bile, ressortent les mêmes histoires depuis des années, ce n’est pas de l’histoire ancienne, c’est un manque de créativité de deux frustrés, que l’on peut sans difficultés, taxer d’enfoirés.
JC, sait patois être drôle, amusant, il n’est pas inintelligent, mais il est surtout une personne frustrée, pleine de haine qu’il prend pour de l’humour.
« JC, sait patois être drôle, amusant, il n’est pas inintelligent, mais il est surtout une personne frustrée, pleine de haine qu’il prend pour de l’humour. »
TKT
Grosses cylindrées, grosses cylindrées… Quand les moteurs vont être électriques, va falloir trouver… En voilà un problème hardos ! Multispire ? Comme le matelas…
Le clochermerlisme européen est affligeant.
zêtes des pines, c’est l’à minima de l’europe, la guerre c’est dans sa cuisine ou au moins à sa porte..et qui ose dire que c’est midi ?!
@ Les âneries de Bloom dit:13 mai 2014 à 15 h 00 : Mais non, JCouille, Bloom a vécu en Asie, il connait l’Histoire du Japon et des pays de l’Asie de l’Est. Je ne suis pas trop sûr, que la majorité des Occidentaux, connaissent l’Histoire de la colonisation japonaise et de l’Occupation*, en Chine, à Singapore et en Malaisie, sans oublier les Philippines. Oui, cela ne change rien au fait du Reich de 33 à 45.
Mais Bloom vise juste, pour vous ne compte que ce qui c’est passé en France. En effet, le Japon fasciste n’a pas fait souffrir les Européens en Europe. Par contre, en Asie, oui ! Persécution des Juifs, entre autre à Shangha! et de tous les Européens dans les colonies britanniques.
Voyez vous, JCouille, moins débile et bêtissime que D., vous devez quand même avoir laissé votre intellect tombé en pourriture, après votre retraite. Il y a 20 ou 30 ans ?
* Sans avoir vécu à Singapore, et sans mes voyages à Shanghaï (Jewish Museum et Holocaust House), je ne connaitrais pas aussi bien cette partie de l’Histoire.
TKT serait il la Conchita helvétique !?
Grosses cylindrées, grosses cylindrées… Quand les moteurs vont être électriques, va falloir trouver…
oublier son plus grand symbole, c’est la fin de l’individualisme qui commence
la Conchita helvétique !?
..mais non hé..que je vous dise..aucune des « élites » ne veut gagner..surtout pas! ça coute une pincée à organiser..la « risée » vient de là
@TKT « Ce qui est choquant c’est que vos commentaires racistes soient si peu censurés. »
PA ne peut pas passer sa vie à lire les commentaires.
Quant au merdérateurs …
(Jicouille n’est pas intelligent – c’est un beauf, raciste pervers, complètement con- il adore attirer l’attention – faire ichier-. Le plus simple est de l’ignorer –il est reconnaissable sous n’importe quel pseudo -c’est un minable, qui amuse ce pauvre bouguereau (lequel s’ennuie et veut donner l’impression d’avoir l’esprit ouvert)
une question à bloom..pourquoi a t’on tant tardé et l’a t’on fait avec tellement de dédain d’inviter les russes au di day ?..clochemerlisme..manque pas d’air kabloom
ferme ta sale gueule de pute..raclure
seb dit: 13 mai 2014 à 15 h 32 min
Tous aux abris, la cocotte-minute va exploser.
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