Henri Cartier-Bresson, antifasciste, foutugraphe, oeil du siècle
Si on a pu appeler Henri Cartier-Bresson (1908-2004) « l’œil du siècle », c’est parce qu’il l’avait couvert dans les deux sens du terme : comme reporter en se colletant à l’Histoire immédiate, et comme contemporain d’un XXème qu’il vécut de bout en bout animé du dur désir de durer. Une grande exposition à Beaubourg jusqu’au 9 juin, première rétrospective de cette ampleur en Europe (il était temps !) et l’album qui l’accompagne (400 pages, 500 illustrations, 49,90 euros, éditions du Centre Pompidou), où le texte et l’image sont au diapason de l’exigence, rendent justice tant à l’artiste qu’à l’artisan en lui. A la fois l’auteur de la seule photo reproduite dans la fameuse Histoire de l’art d’Ernst Gombrich, celui de la première photo jamais exposée au Louvre et celui des milliers d’images qui ont modifié notre regard sur le monde, excusez du peu.
Remarquablement menés par Clément Chéroux, conservateur et responsable du cabinet de la photographie au Centre Pompidou, tant l’exposition que son catalogue, riche de sources et de références, relèvent d’une anthropologie visuelle organisée en trois parties : le surréalisme voyageur des débuts (1926-1935), l’engagement politique (1936-1946), les années Magnum (1947-1970). Le plus délicat était d’y faire la part des faits avérés et de la mythologie personnelle reconstituée « en une suite logique de moments fondateurs ».
Tout a été dit de son génie visuel par les historiens de la photographie : talent de la composition, intelligence des situations, équilibre des masses, agencement des lignes, mise en tension de la maîtrise et de l’intuition, introduction de fulgurances dans la vision géométrique de l’espace, inscription de l’objet du regard au centre de l’image, quête du nombre d’or…. Mais jamais l’un d’eux n’avait poussé aussi loin que Clément Chéroux le souci de contextualiser chacune de ses photos. Et bien peu avaient réussi comme lui à attraper l’homme qui voulait gouverner son rapport à l’Histoire sous le signe du hic et nunc que ce soit lors de l’assassinat de Gandhi, dans la Chine de la fin du Kuomintang où il ne photographia pas la guerre mais l’argent, nerf de la guerre, ou dans l’Union soviétique post-stalinienne. Au couronnement de George VI en 1937, il était le seul envoyé spécial à Londres à ne pas immortaliser le roi mais le peuple regardant son monarque :
« En photographiant le retournement des corps, il montre le renversement du pouvoir. C’est là, précisément, que se situe la valeur révolutionnaire de ses images ».
Cela n’allait pas de soi avec un observateur aussi frénétique, qui faisait fi des découpages imposés par la chronologie. A ses yeux, il n’y eut de grande rupture qu’après 1968 avec l’accélération de la marchandisation et du consumérisme. Il faut rendre grâce à Clément Chéroux d’avoir insisté sur la cohérence de ce parcours esthétique et politique. Cartier-Bresson n’est pas seulement resté toute sa vie le surréaliste qu’il fut à 20 ans : il est demeuré profondément marqué par son vécu du Front Populaire. Anticolonialiste troublé par son séjour très jeune en Afrique noire, antifasciste engagé dans les années 30 aux côtés des républicains espagnols, compagnon de route du Parti (il collabora à Regards et à Ce soir d’Aragon), prisonnier évadé en 1943… Arme de classe, le Leica devient alors arme de guerre entre ses mains. La guerre l’a changé. Il se veut moins abstrait, plus proche des valeurs humanistes. Mais qui ne l’est pas dans les années 50 ? La photo n’y échappe pas. Et le voilà embarqué dans un petit groupe (Doisneau, Boubat, Ronis, Izis), sous une étiquette avec laquelle il prend ses distances dans les années 80, la jugeant trop sentimentale. Evadé un jour, évadé toujours. Il n’y a pas un mais des Cartier-Bresson. Encore fallait-il savoir en faire surgir l’impressionnante unité pour nous donner à voir ce que vit l’œil du siècle. Pour y parvenir, Clément Chéroux a privilégié une approche historienne, chronologique et non thématique. Pour la même raison, quitte à hérisser le poil de photographes qui ne supportent pas l’actuelle marchandisation de la photo par les galeristes et collectionneurs, il a fait le choix de n’exposer que des vintages au sens large du terme. Une manière de « faire comprendre l’importance de l’authenticité comme de l’historicité des tirages d’époque« . Ce qui constitue une grande première. Pas seulement des tirages dus à Cartier-Bresson lui-même (fort mauvais laborantin, comme il le reconnaissait, il n’insista pas) mais des tirages datant soit de l’année de la prise de vue même soit de l’année qui en est le plus rapprochée, de manière à restituer l’évolution de notre regard (format de plus en plus grand, papier un peu terne etc) autant que celle de l’oeuvre. Ainsi le photographe est-il passé insensiblement de tirages traits contrastés, avec des noirs bien profonds, à des tirages qui l’étaient de moins en moins, privilégiant une tonalité douce qu’il qualifiait de « couleur de Loire » et que l’on finira par baptiser « le gris Cartier-Bresson ». Drôle de foutugraphe. Il avait l’art et le goût de s’immerger dans les foules. Mais le même homme était capable de remuer ciel et terre pour aider un prisonnier ou un ami dans le besoin. Grand bourgeois libertaire, tiraillé au soir de sa vie comme au premier jour entre sa naissance et sa vision du monde, l’anar bouddhiste vivait cette contradiction comme une tension nécessaire à la vie. N’empêche qu’elle s’effaçait devant la sérénité et la paix intérieure qui le gagnaient grâce au dharma ; je m’en aperçus lors d’un enseignement d’un rinpoché rue de Vaugirard, ou à une conférence du dalaï-lama au Palais des sports, auxquels il m’emmena. N’empêche qu’à la fin, il était las de tout. Au dernier dîner, sa chaise était l’endroit où l’on avait le plus de chance de le trouver absent. Son corps était bien là, mais son esprit ailleurs. Comme s’il avait déjà passé le miroir. Dans sa jeunesse, la mère de son ami Pierre Loeb lui avait révélé les circonstances de sa mort. Il avait choisi le moment et le lieu. Il s’est laissé partir. Selon son vœu, on apprit qu’il était mort et enterré dans le petit cimetière en haut de la colline, près de sa maison de Céreste, en présence d’une poignée d’intimes. Cette fois, il n’était plus là pour de vrai. Depuis seule sa présence demeure. Obsédante et paralysante parfois pour nombre de photographes (lire leurs témoignages dans l’excellent Hors-série du Nouvel Observateur paru à l’occasion de l’exposition de Beaubourg). Beaucoup ont retenu son caractère parfois difficile, impérieux, cassant ; bien peu ont insisté sur sa générosité, sa curiosité, son ouverture. Question de kairos et de feeling. Mais il pouvait passer de la colère au rire en un instant. Ce qu’il reste encore ? Une influence, une imprégnation. Plus que tout : une vision du monde stricto sensu ; une manière de le regarder en esquissant un pas de côté car on comprend tout mieux dès lors qu’on l’envisage de biais ; une conception géométrique de toute organisation spatiale, seul moyen de démêler le grand chaos universel pour en faire surgir l’ordre, l’harmonie, la mesure, l’équilibre des formes ; l’interdiction donnée à soi-même de chercher à identifier un tableau par son cartouche en le découvrant aux cimaises d’un musée, pour mieux se laisser d’abord envahir par le choc esthétique. Deux réflexes surtout : face à un événement, une situation, toujours se demander « De quoi s’agit-il ? » ; et face à toute manifestation de richesse, toujours interroger « D’où vient l’argent ? ». Cela paraît peu mais c’est beaucoup. Il a avancé dans la vie durant près d’un siècle avec ces deux phrases. Rien n’est plus précieux.
(Photos D.R. et Henri Cartier-Bresson)
629 Réponses pour Henri Cartier-Bresson, antifasciste, foutugraphe, oeil du siècle
Jacques Barozzi, le plus beau café de Wien/Vienne est une ancienne banque dans le Palais Kinski.
Je ne connais ni Vienne ni Prague, TKT, mais je suis totalement tombé sous le charme de Budapest, revenue cosmopolite en diable, avec le jolies statues à tous les coins de rues !
Jacques, il faut que tu ailles à Vienne et Prague ! Buda et Pest et le fleuve sont bien …OK !
Vienne, un peu trop « figé dans le temps », coincé du cul, mais Prague ! … une ville fabuleuse. Quartiers sympas … la synagogue et surtout le petit cimetière juif aux stèles séculaires me restent dans la tête … souvenir émouvant pour un sioniste non-juif comme moi. Vas-y et on en reparle !
Le beauf inculte, ce serait plutôt le gros porc de bavarois, suant la bière et le mauvais cigare, qui se fait une gamine a Marrakech, Rio ou Bangkok ou la vielle pétasse munichoise a la retraite, qui se paie un adolescent a Sousse, juste parce qu’ils peuvent le faire…je crois savoir que ce n’est pas un crime chez eux (ou chez vous, tiens)…
@JC, je n’ai pas de phobies…des antipathies, c’est sur…qui s’étendent aussi a l’Arabie Saoudite et aux pays du Golfe…jamais contre plus faibles que moi…bien au contraire…et tu dois savoir que je n’appartiendrai jamais au même club que toi…c’est physique, mon grand…
Abdel,
de ma vie, je n’ai jamais appartenu à aucun club, excepté sportif ! Tu te rappelles la phrase de Marx Groucho : « I don’t care to belong to any club that will have me as a member »
Jacques, votre église si spirituelle me rappelle une maison que je suis allé visiter récemment, reçu par une vieille dame charmante. Pas la forme de la maison mais celle des barreaux à deux petites fenêtres. En sortant, une heure de fou-rire.
le rire ça fait maigrir
tu pèse pas tes mots
le rire ça fait maigrir
du bout …des doigts
…
…elle est bonne,…d’ou vient l’argent,…
…
…tient,…du travail en,…stage,…déjà,…
…400 €uro,…par mois,…travail de » grouppe’hîr « ,…Stalag 14 von Paris,…Ah,…
…
…les mécanismes de l’économie » paradis escort-girl « ,…
…Henry Cartier – Bresson,…des cartiers de noblesse du photographe – colonial,…de mimé la perfection de la » prise » de vue ,….en nombre d’or,…
…encore les dogmes aux sophistes à papa Socrate,…
…
…le photographe du XX °,…et quoi encore,…avec un Leica,…d’objectif,…
…
…l’Ukraine qui se cherche ses objectifs,…d’ou vient l’argent,…
…des usuriers aux stages,…soustrait des comptes » chômeurs actifs « ,…
…
…l’europe des riches,…
…ou l’exercice du pouvoir,…
…par les modes hériter des ségrégations et appartheids,…
…replays des K.K.K.,…en Suisse,…
…le racisme – colonial,…pour créer des riches,…Papa et ses enfants en stages,…un bon pied dans la collaboration d’esclavage industriel,…la concurrence,…la mondialisation,…et la banane,…en stage découpée en rondelles » on est des vôtre » patron,…l’état collabo,… » coûte que coûte »,…
…pas de quartiers – pressons,…
…passez faite votre chemin,…il n’y a rien à voir,…les systèmes des états-faillites en Europe,…pour la Germany – Task- Force-économique,…
…
…l’étoile de David dans la croix-nazy allemande,…la pierre qui se crée d’elle-même pour les gens du profit à la Bismark,…etc!,…Bib,…Bib,…Ah,…au suivant mon Bresson collabo du XX° siècle,…à la Socrate de parvenu intello,…etc,…
…
…encore une couche,…etc,…
http://thetriangleoffense.blogspot.fr/2012/04/definitive-triangle-offense-resources.html
D’où vient l’argent déjà si on le savait on en aurait…
Et que la joie demeure !:
Ah que l’histoire du landau va peser !
Merci Eisenstein…
Quant aux Tatars,
ils se feront enc. une nouvelle fois.
Déportés par Staline,
ce n’est certes pas Poutine qui va les remettre en place.
Sébastopol est le seul port en eau profonde qui permet à la flotte Russe d’accéder à la Méditerranée.
Il faut être con pour penser que Poutine lâchera le morceau.
Jacques Barozzi dit: 26 février 2014 à 19 h 42 min « revenue »,
ou,
redevenue ??? ?? ?.
Oui, redevenue, le chat !
abdelkader dit: 26 février 2014 à 20 h 07 min
Le beauf inculte, ce serait plutôt le gros porc de bavarois, suant la bière et le mauvais cigare
Et qui joue de l’accordéon, parce que beaucoup d’Allemands jouent d’un instrument ; au pire le Maultrommel, évidemment…
Giovanni Sant’Angelo dit: 26 février 2014 à 21 h 24 min
Stalag 14 von Paris
Hey, cela nous change du Stalag 13, avant d’arriver à Dresde.
Salutation à Kurt Junior?
L’abattoir 5 n’a pas changé de N°.
René Japenot est malheureusement absent, veuillez laisser run message après le bip sur le répondeur.
@ Jacques Barozzi :
Prague est plaisante pour qui aime le gothique et les marionnettes, sans oublier la Pilsen.
Plzeňský Prazdroj, en tchèque.
JC….. dit: 26 février 2014 à 19 h 53 min.
N’y a t’il point usurpation de pseudo ?.
abdelkader dit: 26 février 2014 à 20 h 07 min
Le beauf inculte, ce serait plutôt le gros porc de bavarois, suant la bière et le mauvais cigare, qui se fait une gamine a Marrakech, Rio ou Bangkok ou la vielle pétasse munichoise a la retraite, qui se paie un adolescent a Sousse, juste parce qu’ils peuvent le faire…je crois savoir que ce n’est pas un crime chez eux (ou chez vous, tiens)…
A Oran non plus, Abdel !.
Le chat dit: 26 février 2014 à 23 h 55 min
‘…A Oran non plus, Abdel !.,,;
heureusement que non…ce genre de tourisme, on s’en passe tres bien a Oran…merci chez vous…
@JC, tu me cites Groucho, mais t’as rien compris a son film… y’a pas de plus tristement conventionnel et plus mouton que toi…pov’type…
Sergio dit: 26 février 2014 à 23 h 30 min
jouer de l’accordeon dans son lederhosen, j’en sais rien et, perso, j’en doute…il va a Bangkok, Saigon ou a Marrakesh car il veut niquer des gamins…ca vous va comme ca ou vous voulez un dessin avec?
il est tres possible qu’il y’ait des pedos a Oran et ailleurs…c’est notre merde et c’est a la justice locale d’en traiter…mais des gros porcs de saoudiens ou d’allemands qui viennent specialement a Oran, en touristes, juste pour abuser de nos gamins? non, franchement, j’pense pas…pas encore, en tous cas…
Rimbaud,
Un meuble luit dans la pénombre,
Le jeune Arthur rêve devant.
Il y voit des choses sans nombre,
Un meuble luit dans la pénombre.
Les mots alors sortent de l’ombre,
Et le buffet devient vivant.
Un meuble luit dans la pénombre,
Le jeune Arthur rêve devant.
Jean Calbrix, le 27/02/14
Abdelkader, mon frère, je ne voudrais pas te contrarier de bon matin, mais il me semble que :
– le porc bavarois embièré et la pétasse munichoise replète ont droit au bonheur, eux aussi, de jouir au soleil de la liberté africaine et facturable, après avoir passé de si nombreux jours dans la grisaille germanique …
– l’admirable Gide et bien d’autres ont donné, mutins, dans l’indigène sans que cela leur soit reproché car c’étaient les people de l’époque. Et ça continue !
Bref, la balle n’est pas seulement dans le camp de nos riches et voluptueux Teutons. Elle est aussi, et surtout, dans la captation par les tyrans locaux de la richesse locale qui ne profite pas au peuple lequel loue ses propres enfants, en grand nombre, aux vilains cousins Germains…
Ah ! le chat …,
On voit que votre grand âge vous a fait connaître les délices du Continental Palace de la rue Catinat et ses chambres immenses, …et la beauté des jeunes filles de Saigon ! C’était le bon temps, le temps où la France était colonisatrice : les esclaves qui travaillaient, le négoce international, l’Empire Français, riche, l’exploitation raisonnée des ressources d’autres peuplades nous assuraient la prospérité en Métropole …
Et nous apportions la Civilisation (!)
(…les larmes me montent aux yeux : mon côté tendresse coloniale … un fond d’humanisme, enfoui au plus profond de la brute.)
Hélas, les humanistes de gauche (des gens qui ne mesurent pas les conséquences de leurs actes) ont instruit ces peuplades asservies, leur donnant le goût de la liberté. Les indépendances sont tombées sur nous comme un couperet sans que nous sentions le mal que cela entrainait, la tête désormais séparée d’un corps puissant.
Re-Hélas ! les humanistes légers n’avaient pas prévu que c’était faire la moitié du chemin ! Privé de la facilité que procurait l’Empire, il fallait que les métropolitains se mettent au travail pour créer, eux seuls, une richesse, celle des colonies étant perdue. Cela ne se fit pas, le rêve fut entretenu soigneusement par nos élites… vivant sur la bête.
Et nous en sommes là ! Nous avons gardé des élus pour gérer un pays de 130 millions d’habitants, nous avons gardé notre splendide administration en mille feuille, surdimensionnée pour nos réels besoins, et notre humanisme fraternel continue à tourner à vide, financé par l’emprunt.
Et Saigon s’appelle Ho Chi Minh Ville. Et notre richesse a foutu le camp, et Sapin nous promet qu’elle reviendra fin 2014 …ahahaha ! Quelle rigolade !
JC « la captation par les tyrans locaux de la richesse locale qui ne profite pas au peuple »
ils ont été à bonne école avec vos pères
@Abdel
les touristes se comportant en porcs : il n’y a pas queles ‘Germains’ loin de là
(vos généralisations à partir du comportement de touristes sont débiles et vous le savez bien )
@Abdel ‘y’a pas de plus tristement conventionnel et plus mouton que toi…pov’type…’
ça c’est bien envoyé
@JC « Le libéralisme est la solution ! »
tu devrais être content: c’est justement la politique appliquée depuis des lustres
JC quand vous cesserez de résumer le détail de chacun par une vision réductrice du PIB ou PNB, sera-t-il question des conditions productives de la richesse de nos voisins? Le travail coûte trop cher, c’est la dernière donnée en analyse ou comment rétablir l’esclavage en profitant du volant dernier cri du nouveau véhicule conçu par les actionnaires pour les actionnaires. Mais surement faudrait-il pouvoir lire bilans, bénéfices du pauvre et misère de la finance pour commencer d’y comprendre.
roland, vous avez tout faux : depuis la fin de la seconde guerre mondiale notre pays est administré par des gens sclérosés jacobins, droite ou gauche confondues, qui ne savent pas évoluer en libéraux …!
Sergio dit: 26 février 2014 à 22 h 56 min
de Potosi Sergio Grichka, de Potosi.
« Le nom scientifique « argent » vient du latin « argentum » qui dérive du mot grec « argyros » qui signifie « blanc étincelant » ou « blanc clair ». Le mot néerlandais « zilver » dérive de l’ancien saxon « silubar » qui est devenu « silbar » en allemand ancien et « silber » en allemand moderne. Les alchimistes du Moyen-Age ont consacré l’argent, à cause de son magnifique éclat, à la déesse de la lune (Luna). Le tout premier symbole pour ce métal était par
conséquent une demi-lune. »
Il est nécessaire, Sergio-Grichka, ne nous menton pas, de trouver les bons ingrédients, pour réaliser l’alchimie.
Le « libéralisme » à la JC a ses limites :
« Le patron d’ExxonMobil dit non au gaz de schiste… près de chez lui » = aux portes de son ranch, Bartonville, Texas.
Ce qui n’a pas empêché ce Mr Tillerson d’investir plus de 31 milliards de dollars dans l’extraction de gaz de schiste. Et de mener campagne sur les bienfaits de ladite extraction.
Lien riche d’enseignement, ceci dit j’aime beaucoup votre réponse à Sergio, pour ceux qui souffriraient d’une recherche en filiation ou tout autre, prière de vous munir d’un dictionnaire étymologique, ça tombe sous le sens mais l’étincelle manquait au cheminement logique, merci encore des journées sans qui la simplification des équations s’obstinerait à se perdre dans d’impossibles calculs et réductions.
« Il faut être con pour penser que Poutine lâchera le morceau. »
L’Ukr. est dans la mouise
Mais en tout cas, Pout. ne veut pas perdre la face
Bloom
c’est l’année du Chat?!
8h20 Oui mais la prospection vient à gâcher son paysage, il y a des limites à l’exploitation et il faut supposer que sa puissance et son poids suffiront à ajourner ce projet d’exploitation.
Il faut envoyer nos meilleurs photographes de rue, nos HCB tout neufs, en Ukraine : cela va devenir rapidement une nouvelle Syrie.
De belles photos de souffrance en perspective…
La Crimée ne pourra être abandonnée, Poutine pourra cependant alléger ses conditions, l’ex-président finalement plus que corrompu à l’argent alors que les caisses de l’Ukraine sont vides, sous pression internationale espérons que le massacre s’arrêtera et que d’autres solutions qu’une répression sanglante seront mises en place.
Allons, Béré, allons ! Pas de belles photos sans répression sanglante !…
Putin qui a le sens des belles mises en scène, genre JO de Sochi, va nous la jouer Ossétie du Sud et Abkhazie séparatiste : il a déjà fait le coup en Géorgie dépecée… « je viens défendre les russophones mis en danger par les ukrainiens cédant aux sirènes de l’Occident fasciste et nauséabond ! »
J’entend déjà les belles âmes occidentales gueuler en silence contre la partition prévisible de l’Ukraine, Crimée en tête !
au secours des bourreaux et des ogres pour rien.. t’es un dangeureux idéologue..continue comme ça jicé et tu vas avoir des difficultés à avoir ton visa pour ta prochaine visite à la sainte russie
gaffe les russes je les connais jicé..faut avoir l’air bonasse, boire de la vodka et aimer la poésie..sinon c’est le goulag
Boug, puisque nous sommes seuls, je vais te faire un aveu : je suis un agent soviétique, reconverti démocrate putinien, qui surveille toute la Méditerranée depuis ma chaise longue à Porquerolles. Pas de problème de visa …
« corrompu à l’argent », écrit Bérénice.
Vadiou, peut-on se laisser corrompre pour autre chose, quand on est déjà au pouvoir ? L’argent et le sexe, sont les nerfs de la vie sociale, pour la grande majorité des gens de pouvoir. Quant au Fußvolk, le populo, il doit se contenter du sexe. La vie sexuelle dans les campagnes, fort active à ce que j’ai entendu dire, n’a rien à envier sur les villes.
Quand Poutine tombera, on découvrira l’homme et son parc immobilier. En Russie et ailleurs, une de ses filles a une villa à Mallorca.
Il faut dire que les Russes, ne savent ce que c’est de vivre en démocratie, ils font avec et les seuls gagnants, sont les classes sociales, qui comme en Chine, font de l’argent. Au moins un pays, où il est possible de gagent sa vie. Vrai nouveauté depuis la chute du mur.
Je suis toujours étonné, que les 80 ans de communisme, n’ont pas éradiqué la Russie religieuse, ni même l’ancienne aristocratie.
L’Ukraine, était encore il y a quelques mois, une destination week-end Swiss Airlines. Si l’on veut se rendre à Moscou ou Saint-Petersburg, il faut s’y prendre à l’avance, demander un visa, faire ses réservations. Impossible de décider en début de semaine, de faire un court séjour en Russie. Les Russes, eux, sont partout, de Paris au Vietnam, représentés par les diverses classes sociales, et de plus en plus des gens « convenables ». Des bourgeois comme vous et moi et des gens moins sophistiqués.
Parfois je bois du Bowmore ou du Lagavulin pour donner le change, mais j’adore la vodka. Question poésie, j’aime la bonne : Sapho, Villon, La Fontaine, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Appo , Mallarmuche, et naturellement puisque j’aime la bonne, Jean Calbrix.
Je suis toujours étonné, que les 80 ans de communisme, n’ont pas éradiqué la Russie religieuse, ni même l’ancienne aristocratie
mais pasque ça n’a jamais été du communisme vontraube..et non ce n’est pas l’argent en premier qui corrompt..c’est beaucoup trop facile de dire ça vontraube..poutine est devenu un oligarque largement aprés qu’il soit venu au pouvoir..et staline thésaurisait ses minabes salaires de président comme un moujik
Des bourgeois comme vous, je vous le concède, moi non, je n’ai pas ma carte.
mais j’adore la vodka. Question poésie, j’aime la bonne
..il a été sérieusement question d’interdire la publicité pour la vodka au usa..pasqu’il n’y en a pas de « bonnes », seulement quelquefois de la mauvaise..
Oh ! le Boug qui tente de nous faire passer les 80 ans de communisme en URSS pour du stalinisme dévoyé : « Le communisme, ça n’est pas ça, le communisme c’est le bonheur et la joie de vivre ! ». Eh, non ! partout le communisme c’est ça, avec ou sans Stalin ! La catastrophe…
n’aient pas éradiqué
Béré, ne désespérez pas ! vous arriverez à être bourgeoise, vous êtes tout près de réussir …
ça n’a jamais été du communisme
c’était quoi alors, du capitalisme?
Eh, non ! partout le communisme c’est ça, avec ou sans Stalin ! La catastrophe…
ils sont trop performants et ils te font peurs..le protectionnisme à la papa jicé c’est finito
Bérénice, vous devez confondre avec le PCF.
Une carte ?
En URSS, c’était du communisme càd du fascisme nomenklaturiste !
JC c’est aussi affaire d’étymologie, rien à y faire.
càd du fascisme nomenklaturiste !
faux! vive mélanchon! à mort jicé!
Maurice, le communisme tue, moi pas.
(ne me tente pas !)
TKT une carte ou un tampon, une marque attestant de l’origine contrôlée.
pfff mélanchon n’est pas coco
JC le faf born to kill
En plus…ne mélanchons pas Mélanchon et Mélenchon !
« A ses yeux (HCB), il n’y eut de grande rupture qu’après 1968 avec l’accélération de la marchandisation et du consumérisme. »
ça a commencé plutôt dès l’après-guerre, avec l’américanisation mondiale triomphante qui en a résulté, non ?
mélanchon c’est un ancien de l’oci comme cloasguène
« JC le faf born to kill »
T’es a côté de tes pompes, Momo !
« JC, le piaf born to kiss » ets plus proche de la vérité toute nue.
Revenons au foutugraphe…
9 h 47 min
mais cloasg c’est un ex d’Ordre N
ça a commencé plutôt dès l’après-guerre, avec l’américanisation mondiale triomphante qui en a résulté, non ?
le temps de latence necessaire à la gramchisation de l’europe..art débile,lsd dans le pain, agent terroriss dormant..mauvaise pipe de jfk..la ruine du bon gout quoi
C’est plutôt la tendance individualiste et communautariste qui s’est accéléré après 1968.
Au fait, personne n’a répondu à ma question à savoir à quel moment nous serions passés du XXe au XXIe siècle ?
La différence ?
« plus proche de la vérité toute nue »
t’es juste proche des nazes t’y connais rien
à quel moment nous serions passés du XXe au XXIe siècle ?
..on sait pas..on l’saura dans cent ans aprés les guerres et les gagnant..on est tous des culs du siècle ça c’est certain..jicé plusque les autres..toujours a faire le malin
mélanchon c’est un ancien de l’oci comme cloasguène
c’est pas tous des lumières les anciens de l’oci le moinsqu’on puisse dire!! quant à cloa, il était à ordre nouveau
« foutugraphe… »
Un monde foutu pour le photographe et la photographie, un métier qui n’a plus d’avenir ?
Où une seule société en ruines, paysages et personnages compris, à photographier ?
Avec son anticommunisme viscéral, on touche chez JC à quelque chose de l’ordre de l’intime.
« foutugraphe… »
c’est un selfie de lassouline en se rasant..t’es pas l’oeil de la semaine baroz
Quand Manuel Valls a répondu à Gloasguen que l’extrême droite il connaissait, qu’il en venait, ce n’était pas faux, pourquoi tant d’indignation à l’Assemblée nationale ?
Ialkuvitch serait en train de se faire refaire la gueule,
vous seriez toujours aussi cons
Jacques Barozzi 27 février 2014 à 10 h 03 min
En surface seulement, ils essaient de s’en démarquer.L ‘entourage de mickey vient de là en grande partie.Mickey lui-même en est très proche
JC et ses gimmicks dit: 27 février 2014 à 9 h 59 min
ses pères en étaient (extrême droite)
Ialkuvitch serait en train de se faire refaire la gueule,
ah bon
grâce à Poutine le tsarisme est de retour what else
Il a tué des giens (3 avec un cerceau)
Baroz, « Budapest » a été tourné à Babelsberg. que serait le cinéma sans nos amis allemands..
Mais le Gresham face au Danube, nouvellement rouvert, peut prétendre au rôle.
bouguereau qui est complètement gâââteux (lire ses commentaires) a installé sur le clavier de son ordi une touche repeat : « ferme ta gueule keupu » c’est plus facile pour ses doigts tremblotants, alors toutes les heures ping il appuie au hasard (à noter la disparition de la touche gode ceinture et celle de goering à moins qu’il ne sache plus où elles se trouvent), pov’ petit mec
– Réaction thérapeutique négative
– Barf, moi j’étais pour le crapaud qui s’est changé en princesse
What color is an orange? Ioutchenko n’a pas le monopole du cœur et vous le savez MIEUX QUE QUICONQUE.
Et alors? Trouvez nous un lourd la prochaine fois qui envoie du lourd.
« Henri Cartier-Bresson, antifasciste, foutugraphe, oeil du siècle »
Dans ce titre, il y a un mot qui déplaît foncièrement à JC.
Sorin met en ligne ce jour une photographie de « Cartier » où l’on voit sa mère (de Sorin) feignant de lire des cochoncetés en Espagne. Les joyeusetés du surréalisme. Il paraît que Renoir pelotait sa mère sur le tournage du film. c’est moins surréaliste.
@ bérénice dit: 27 février 2014 à 9 h 42: « TKT une carte ou un tampon, une marque attestant de l’origine contrôlée. »:
Je vois ce que vous voulez dire, ainsi mon acte de naissance donne une idée précise, de mes origines en mai 1946: Par la profession de mon père, industriel (4 ans plus tard, sur son acte de mariage, il avait changé de profession officielle), celle de mon grand-père, industriel, de mon lieu de naissance, une clinique privée, rue Saint-Pierre à Neuilly, de l’adresse ponctuelle de mes parents, Blvd Maurice Barrès, à Neuilly. Mon cursus scolaire, écoles privées, puis Lycée de Saint-Cloud (j’avais un seul camarade de classe certifié d’origines prolétaires). J’ajouterais aussi, la Schmidt Schule à Münich, plutôt fréquentée par des enfants de nantis (les plus chics étaient les Italiens). Bien entendu, les manières de table et la manière de se présenter, sont aussi des signes certifiés d’une origine bourgeoise. Pour faire court, dans ma famille paternelle, nous serions mal élevés, nous serions encore plus détestables.
Parmi nous, Bérénice, difficile parfois de déceler le certificat dont vous parlez. Vous vous présentez donc, comme une non-bourgeoise, cela se remarque par quoi ? Bobo, prolétaire à col blanc, sorry, à corsage repassé ? Vous êtes une gauchère coton mercerisé, ou une vraie de vraie, les aiguilles à tricoter prêtes à l’emploi, dans votre fourre-tout ?
Je crois que la classe la plus chillante, est celle des petits employés de bureau, genre comptable de base, ni prolo, ni bourgeois, ni bobo. Souvent issu de la campagne, ce genre d’homo sapiens sapiens, ne se sent pas encore à l’aise, dans les villes de plus de 30 000 habitants.
Par exemple, JC est-il un bourgeois ou un prolétaire à col blanc ? Le fait qu’il soit populiste et d’extrême-droite, raciste per se, fielleux, ne donne aucun renseignement sur ses qualités sociales. Je l’imagine, plutôt du genre ayant presque tout raté, vie privée et profession. Il se voudrait scientifique, or rien de moins rationaliste et logique, que son fiel.
Dans ma vraie vie, je fréquent surtout des bobos, des libéraux, des gens pas trop mal dans leur peau.
Votre goût pour les relations par l’écriture avec D.bile, vous donne droit quand même…..à être tamponnée: « weird tastes ».
JC et ses gimmicks dit: 27 février 2014 à 10 h 50 min
« Henri Cartier-Bresson, antifasciste, foutugraphe, oeil du siècle »
Dans ce titre, il y a un mot qui déplaît foncièrement à JC.
parle épié
wanda, c’est toi ma chérie?
le Pseudotraube (un pseudo à la mords-moi-la-grappe, bei the weg) nous gâteras toujours avec ses fulgurantes analyses sociologiques maçonnées à la truelle, toujours émouvantes car on sent que le gars, mis en échec dans le secondaire, sans parcours académique à part une heure de remise à niveau dans les locaux du syndicat des limonadiers du Beaujolais, se rattrape aux branches de la culture en ligne, avec la souplesse du satrape qui passe des journées dans les arborescences de l’internet, tout en n’oubliant pas de se chouter la trombine dans des positions selfiques qui défient l’équilibre mental de n’importe quel humain doté d’un surmoi non enflé par les haines rebouillies à force d’être recuites
Combien de fois faudra t il vous l’écrire : Mélenchon !!! Avec un « E » pas un « A » !!! Le richissime Mé-len-chon …
@ Biboulette-Enculette: Bouguereau, est gâteux ? Il est à peine plus âgé que vous, et ne semble pas avoir de tares génétiques. il ne présente pas non plus, les signes d’une enfance massacrée. Franchement, D., cessez de regarder les autres, en y trouvant votre visage de pervers narcissique. Pour ce qui est de touche automatique, vous en êtes avec JC, le champion. Allez en paix et suivez les message de J.C., celui de Betlehem. Le premier, ne médit jamais de tes proches, et encore moins des gens que tu ne connais pas. Je vous tutoie, pure circonstance, peut-être que je traduis d’une langue ancienne ne connaissant pas le vouvoiement.
Vous devriez être excommunié, de votre cerveau fragile ne sort que des pensées mauvaises. Bref, vous êtes un mauvais chrétien
Tout est faux, dans « The Grand Budapest hôtel », Phil, même la moustache du groom ou la blondeur des vieilles peaux !
Un film à tendance marxiste (les frères)…
pourquoi tant d’indignation à l’Assemblée nationale ?
on vit dans une ploutacratie ! je suis pour ce que dit jicé..une loterie a la peine de mort toutes les semaines..truquées évidemment..bien sur que ça tombe sur toi jicé..mais allez..on te guillottinera par les pieds..t’auras une aide ménagère cul nu..avec webcam pour payer les frais de justice..le titre de l’émission sera « que le meilleur gagne! »..pour une fois
plutocrassie..avec dizni
Le richissime Mé-len-chon …
t’es qu’un partageux jicé..on te guillotinnera par les pieds au dessus du genoux, ça t’apprendra
mais TKTruc je ne suis pas chrétienne, seulement athée bien profonde et, pour la dernière fois, je ne suis pas un mec, merde, tu te gourres, vieux schnock, t’es pire que bouguereau
Ah, mon ami Thierry, mon cher ami Thierry, mais il faut que je vous sorte de ces suppositions erronées à mon égard : vous vous trompez complètement !
Je ne suis pas un bourgeois, je suis un aristocrate, populiste, féministe, libéral, mélomane, sportif, franc comme l’or, et terriblement sympathique !
Vous supposez que je serais « plutôt du genre ayant presque tout raté, vie privée et profession » Désolé : c’est exactement l’inverse, j’ai presque tout réussi ! Métier agréable, femme(s) et enfants délicieux… Je me « voudrais scientifique » ? Mais je le suis totalement ! Simplement vous n’avez pas intégré que l’usage de la raison peut ne pas être binaire ou étroitement cartésien. J’ai été plongé par mes études, et ma vie, dans une pensée tout à fait probabiliste, et ça laisse des traces …
Pour le fiel et la perversité, je suis d’accord avec vous, mon cher Thierry, vous avez encore à apprendre de votre ami dévoué JC ! Si vous avez de quoi payer un coach, je suis tout à vous …
bon bein foin de chevrotine alors
– sleeping –
Jacques, vous recommanderiez d’aller le voir, ce film ?
Pour faire court, dans ma famille paternelle, nous serions mal élevés, nous serions encore plus détestables.
Plus détestable ?
Impossible vontraube, tu as atteint le fond.
Ou alors une raison et une seule : tu es mal élevé.
Ce dont personne ne doute ici.
Sauf toi bien sûr qui crois qu’un petit vernis fait une éducation.
Si vous avez de quoi payer un coach, je suis tout à vous …
c’est un démon de troisième classe vontraube..un faisan..les premières le font pour rien, et même il paie pour ça
Je l’ai assez chaudement recommandé hier soir, Clopine, et je vous ai aussi répondu à propos de votre témoignage sur votre blog !
Ce film, c’est une énorme pâtisserie jubilatoire !
Hier après-midi au MK2 Biblio, il y avait déjà la foule pour le « Grand Budapest Hôtel » et pas un chat pour « Hypercondriaque » de Dany Boon…
aquarius dit: 25 février 2014 à 11 h 16 min
« En fait Mozart est né dans une principautée du Saint Empire et son père était né en Bavière. »: Être né quelque part, ne veut pas dire grand chose sur les origines régionales. Mozart est bien Autrichien et Salzbourg, ville princière épiscopale, dont le prince-évèque avait les pouvoirs politiques, est une ville autrichienne. Un grand nombre des princes-évèques de Salzbourg, étaient choisis dans la famille Habsbourg ou leurs parents. Ceci dit, quoi de plus cosmopolite que les familles régnantes ? La Bavière était un état souverain, et aujourd’hui encore, se voit plus bavaroise qu’allemande. Freie Staat Bayern, orne encore aujourd’hui les armoiries du Land. Amadeus Mozart aurait pu naitre ailleurs, ailleurs qu’à Salzbourg. J’aimerais que les gens se rappellent que l’Allemagne n’existe que depuis 1871 et que les habitants des Länder se sentent d’abord des citoyens de leur Land.
les habitants des Länder se sentent d’abord des citoyens de leur Land
hum..c’est comme au texas vontraube, si t’es pas né au texas et sans ascendance juif catholique athé attation..t’es un rastacouère et t’es pas un américain épicétou
@ D. dit 27 février 2014 à 11 h 41: Je ne vais pas vous dire d’aller vous faire foutre, cela vous a mal réussi, dans votre petite enfance. Mon vernis, D.prolétaire à col blanc, vaut bien votre couche de purin.
Vous êtes constamment présent comme connentateur, êtes vous à nouveau au chômage ?
Quant à votre verni de chrétien, impossible de le voir, vous êtes mauvais comme un barbare enragé. Bêtissime, vos piques qui se veulent méchantes, ne sont que furoncles, acné d’un puceau de 54 ans… Un puceau faisandé. Ciao, DZB !
tkt, encyclopédiste du siècle pour les nuls
..reconnais que ton cousin jésus avait une tête de portoricain vontraube..déad ou alive il paie pas ta budweiser
des fleurs et des peluches, sur la belle place
l’hire pégé pigé des puceaux de 54
kad et O, merci, pour ce gag.
Comme un avant-goût des fameux « Cahiers noirs »de Heidegger juste avant leur parution, par leur éditeur Peter Trawny.
Ce n’est pas nouveau. Cela fait bien quinze jours que « le Monde » a publié un entretien avec Peter Trawny.
bouguereau dit: 26 février 2014 à 9 h 20 min
quelqu’un pour faire fermer sa gueule a keupu
ta gueule keupu
TKT dit: 27 février 2014 à 12 h 00 min
Tu vois bien que tu n’as qu’un vernis vontraube, il suffit de grattouiller un poil et le vrai Thierry apparaît, le complexé qui aurait voulu mais n’a pas pu, celui qui finalement a trouvé sa voie dans les injures, la calomnie et la mythomanie bien sûr.
Thierry sera sauvé, lui aussi, le jour du Jugement Dernier !
face à un événement, une situation, toujours se demander « De quoi s’agit-il ? » ; et face à toute manifestation de richesse, toujours interroger « D’où vient l’argent ? ». Cela paraît peu mais c’est beaucoup.
Comme viatique intellectuel, ça paraît un peu mince en effet, mais bon, tout le monde n’est pas obligé d’avoir lu Heidegger. D’ailleurs, pour ce que ça sert, d’avoir lu Althusser… Heidegger veux-je dire.
« D’où vient l’argent ? »
Moi, quand je vois les multi fonctions et productions de Passou, je me demande : « Mais où prend t-il le temps ? »
Et comme le temps c’est de l’argent…
@ D. dit 27 février 2014 à 12 h 26: Vous venez de faire votre portrait, pervers narcissiques. N’oubliez pas tous vos commentaires, depuis 2005, envers Clopine et moi. Je ne vous calomnie pas, enfant vous étiez une victime, vous avez toute ma compassion. Depuis vous voudriez vous venger et, vous n’en n’avez pas le talent. Si je vous ai calomnié, Ducornaud, portez plainte, cela vous obligerait à vous démasquer. Vous avez raconté votre vie, comptable toujours en bas de l’échelle, mis en concurrence par une collègue, qui aurait pu être votre fille (par rapport à votre âge). Me reprocher de ne pas avoir eu un parcours académique, est imbécile, vous tenez l’information de moi-même. Au contraire de vous, je n’ai pas de problème, vous, vous voudriez vous faire passé pour un scientifique, vous avez même tenu tête à un prof d’université, ne mesurant pas votre connerie. Avec le recul, j’aurais préféré avoir un parcours académique, mais ce n’est pas toujours la porte ouverte vers le moindre succès. De ma vie professionnelle, je ne regrette rien, j’ai gagné suffisamment bien ma vie, pour quelqu’un sans formation académique. Je suis un vendeur, cela ne s’apprend pas, à la limite cela peut se perfectionner. Employé subalterne, vous n’avez même pas su vous vendre en tant que comptable. Trop bête, ou trop alcoolique ? Pour finir, je ne changerais rien avec vous, tout ce qui vous fait « vous » est à votre mesure, un soufflé jamais monté. Ce qui a de plus bête chez vous, c’est quand vous avez décidé de me prendre pour cible, ou Clopine, d’ailleurs. Franchement, D.bile, avez jamais, dans votre vie, réussit une attaque conte quelqu’un ? Vous avez eu un impact sur Clopine, mais elle a rebondi. Bref, vous ne ferez jamais taire qui que ce soit, vous êtes le paradigme de l’impuissance, physique, mentale, sociale etc…
Quand je disparais, ponctuellement de ce site, vous vous attaquez à quelqu’un d’autre. Vous en tirez quoi ? Comme JC, vous finirez étouffé par votre fiel. Et si lui, a parfois un certain humour quenellisé, une culture qui perce sous le vomis, vous, D., on peut même se demander, si vous nourrissez votre chat ? Vous êtes plus bête, que mauvais, et c’est bien ce qui est le pire. La seule chose qui vous ferait taire, c’est d’être enfermé.
Désolé mon cher Traube, Salzburg n’était pas rattaché à l’Autriche au temps de Mozart et sa famille paternelle venait de Bavière. Je n’en fais pas un fromage…c’est juste pour dire qu’il est abusif de l’annexer à l’Autriche. En revanche, Hitler est bel et bien né autrichien, d’où la vieille blague que je cite et qui tient la route telle que je l’ai formulée.
Rassurez-vous, je sais que vous êtes un citoyen du monde qui n’attache aucune importance aux nations. Vous nous bassinez assez avec ça…
J’en ai lu, du Heidegger, par curiosité, en lien avec d’autres lectures, et pour la culture générale : eh bien, vous pouvez constater que ça ne permet pas de mettre l’ascenseur philosophique en marche. Je suis toujours, philosophiquement, au RdC : Heidegger ou pas, les cons restent cons.
@ aquarius dit: 27 février 2014 à 12 h 59: Les Nations sont des constructions, basées assez souvent sur le rejet des autres entités.
Je crois aux entités culturelles, menées plus souvent par la lingua franca, que les frontières politiques. Je suis d’abord un Européen, puis oui, je veux être ouvert sur les autres continents. So what ? Mozart vivait à une époque, où les artistes, passaient d’une cour à l’autre. Se sentait-il salzbourgeois avant tout chose ? D’autre par l’idée de nation, est venue plus tard, je ne vois pas en quoi, cela fut une avancée ?
Je vous bassine ? Personne ne vous oblige de lire les commentaires, qui ne sont pas de vous.
Qui vous êtes, quand vous ne signez pas aquarius ? Un autre troll
Thierry,
j’apprend (alors que la discussion sur HCB dont tout le monde se fout, est passionnante) que :
– je finirai étouffé par mon fiel.
– parfois j’aurais un certain « humour quenellisé »
– une culture qui « perce sous le vomi ».
Je trouve que cela fait beaucoup pour une journée bien ordinaire ! Lâchez-moi les baskets, please : j’angoisse…
dear tkt, vous tenez la grande forme, à distribuer de ci de là les claques. indeed, vous pourriez jouer dans « Grand budapest hotel », ou mieux le produire.
Depuis l’apparition des nations, il semble que voyager devient moins intéressant.
Plus sérieusement, Henri Cartien-Bresson est antifasciste comme Yves Saint Laurent ne pouvait aimer le prêt à porter.
« Salzburg n’était pas rattaché à l’Autriche au temps de Mozart »
bah ça se trouvait à la frontière
A l’époque les empires étaient élastiques et leurs souverains faisaient s’entretuer leurs sujets respectifs pour piquer des terres à des parentés princières ou royales (l’humanité a beaucoup évolué depuis…)
j’angoisse…
bien fait
…ou comme Picasso était communiste…
@ JC….. dit: 27 février 2014 à 13 h 16: Vous portez des baskets ? Bon, JC, d’abord je vous prierais de ne pas m’appeler par mon prénom, je ne connais pas le votre… Et puis, ne venez pas dire qu’être attaqué vous dérange, vous démange, je vous imagine plus de résilience que Ciboulette alias Enculette a.d., qui vient de nous annoncer être hermaphrodite tendance duvet sur la figure.
« Moi, quand je vois les multi fonctions et productions de Passou, je me demande : « Mais où prend t-il le temps ? » »
Jacques,
m’étant posé la question, j’ai trouvé de mon côté une réponse langue de bois qui convenait parfaitement car on ne parlait pas d’assistant(e)s dévoué(e)s :
« Passou est or-ga-ni-sé ! »
Phil, c’est croustilant, ça, mieux que le fronton d’une école pour platoniciens caverneux, qui ne ont pas aptes à la géométrie.
» Voici un inédit de Cartier-Bresson que vous ne verrez pas chez Pompidou où farandolent 300 clichés du grand homme »
Cette photo étoffe un peu le chapitre de la bio de référence » L’artiste à la recherche de son instrument… »
Et il manque des lettres à mon clavier.
C’est pas grave.
JC pas un mot de travers sur le blog à Passou avez vous seulement imaginé ce que serait votre vie et celle de la meute du blog si un jour le dit passou décidait d’arrêter, la vague de dépression voire de suicides, c’est votre patée quotidienne,ne soyez pas ingrat!
Picasso était communiste, mais pas à usage personnel.
JB, votre truc au patchouli, c’est tordant.
La question » d’où vient l’argent n’a cessé de tarauder ». C’est à dire pour qui ne vit pas de ses rentes.
elle flattait régulièrement le gland en l’appelant « mon petit oeil du siècle »
la distribution des roles n’est pas bonne..tu devrais demander a clopine pour le casting : qui fait le gland..l’oeil du siècle etc
Jackie, pour De Lucia, les bruits de coulisse parlaient de bisexualité, mais je n’écoute ces bruits que jusqu’à un certain point. Les techniciens ont aussi leurs propres points de vue, pas vrai ? Par exemple, toujours dans ces années 80, l’artiste la mieux aimée des coulisses était Annie Girardot. Les femmes de ménage étaient contentes, parce que la loge de l’actrice, contrairement à tant d’autres, ne réclamait que fort peu de travail : l’actrice n’y passait que très peu de temps, demandant dès son arrivée où était la buvette, et y retournant dès le spectacle fini. Et les techniciens aimaient sa manière de boire. Elle aimait boire au milieu d’eux, et franchement, n’est-ce pas, sans minauder, assouvissant un besoin plus fort qu’elle sans chattemines ou tortillons moraux. Je pense à elle, quand je revois le film du « Singe en hiver ». Girardot était ce genre de buveuse-là. Généreuse et bonne camarade, en plus. Et robuste, assurant malgré tout le spectacle, « professionnelle ». Etonnez-vous que les techniciens du « spectacle vivant », qui croisent des ego aussi invraisemblables que celui d’un Jcé, et ce tous les jours, qui ont tout vu et tout vécu, l’aient respectée, plus que cela, aimée…
Elle est, dans mes souvenirs, l’antithèse de Nina Simone, qui m’a fait bien souffrir. Celle-ci aussi buvait, mais solitairement, avec une hauteur dédaigneuse, à la Daaphnée quoi. Elle planquait ses six bouteilles de champagne (prévues dans la fiche technique, soupirs du régisseur et de l’administratrice) dans un grand sac en tapisserie, comme en avait les bootleggers du Sud (si l’on en croit Margaret Mitchell). Elle faisait attendre le public, toujours un peu trop longtemps, parce qu’elle picolait ainsi. Et racourcissait le spectacle. Mais bon, sa voix et ses arrangements au piano étaient des merveilles, il faut quand même le reconnaître. Elle m’a pourtant fait cavaler, avec des exigences de star qui demandaient tant de temps et d’énergie. Par exemple, son eau minérale naturelle devait être de telle marque, venir de Suisse, et l’on ne pouvait se la procurer que dans une boutique, à Paris (pffff…) Le tout pour la retrouver intacte dans le frigo de la loge… à côté des bouteilles de champ’ vides. Elle a aussi exigé que son taxi soit climatisé. J’ai eu beau tenter d’expliquer à son agent qu’à Rouen, en novembre, c’est plutôt du chauffage qui est nécessaire, rien à faire… Ah là là, en voiture, Simone !!!
phil à 13h24 : ah non surtout pas TKTruc dans ce film génial, il en pourrirait tout le charme ; je vois que maintenant il a des « amis » toupartout !
La question » d’où vient l’argent n’a cessé de tarauder »
sagit il de pain de fesses ?
oui Desjournées..mais personne ne sait qui est l’homme de la photographie, à côté de Madame Sorin-mère lisant un scénario Bunuelien.
33, les années folles pour les surréalistes, le préfet Chappe pour les autres.
JC, hier j’ai entendu, par hasard, un interview de Madame de Fontenay, elle avoua être une grand-mère exemplaire, sachant mener son agenda en maîtresse-femme. Bien sûr tout est question d’organisation et de buts dans la vie.
…ou comme Picasso était communiste…
t’en connais des faux qui ont fait des portraits de staline jeune et qui se sont fait taper sur les doigts par le comité ?
elle avoua être une grand-mère exemplaire, sachant mener son agenda en maîtresse-femme
des aveux de plein gré vontraube ? chapeau
Biboulette-Enculette: Je me pose une question, qu’est ce qui vous a le plus perturbé, être un enfant objet passif de plaisir ou, ne plus intéresser votre prédateur. J’utilise le mot prédateur, car au finish, cela aurait pu être n’importe qui ayant accès au petit-enfant que vous étiez. Élevé dans une ferme, vous aviez au moins, dans ces années 60, la joie de vivre au grand-air, de manger des produits frais et le dimanche, d’aller à la messe.
TKT ce matin
Je n’ai que faire des origines, entre les individus bien que l’origine détermine et conditionne encore quelquefois, le courant passe ou pas et les éléments en jeu sont divers dans un contact, je remarque cependant que même à ne plus exactement se tenir dans le pot d’origine, on éprouve une solidarité pour ce milieu d’où l’on vient et on possède une approche différente des problèmes selon qu’on soit issue d’ici ou là.
Bouguereau, je n’aime pas Madame de Fontenay. Je reconnais sa voix, pour le coup, pas très NAP.
Toujours est-il qu’on vient de divulguer le sujet sur lequel il enquêtait encore à la veille de sa mort en 2004 : l’assassinat du premier ministre suédois Olof Palme en 1986.
ça , on l’a déjà lu en français , (lors des querelles d’héritage? )
Bougureau! comment quoi! vous discutez avec ce fils de bourgeois qui s’essaie à la psychologie d’hyper-marché!
« elle avoua être une grand-mère exemplaire, sachant mener son agenda en maîtresse-femme »
comme son sosie daaphnée
Bon, je suis en attente de modération. Ca m’énerve, parce que je parlais d’artistes défunts. Je copiecolle sur mon blogue, na.
comme son sosie daaphnée
daaphnée est trop jeune pour être grand-mère, ça vous gêne?
@ bérénice dit: 27 février 2014 à 14 h 18: C’est possible, ce que vous écrivez.
« daaphnée est trop jeune pour être grand-mère, ça vous gêne? »
Pas du tout !la ressemblance est frappante cependant. Mais il est vrai que trente ans c’est trop jeune
14h17 et 19 seraient du faux-TKT? le vrai, l’authentique TKT rouge pourrait-il intervenir pour confirmer?
14h28 un constat, il existe également des renégats, mais j’imagine que vous ne cracheriez pas dans la main de vos industrieux parents.
« @ bérénice dit: 27 février 2014 à 14 h 18: C’est possible, ce que vous écrivez. »
Quant à ça, ça vous ressemble bien.
TKTruc, 14h17 : je suis une FILLE née à Colmar le 14 décembre 1984 de parents commerçants dans l’alimentation… et non un homme né dans les années 60… ce mec commence à me gonfler grave, que faire pour le raisonner ???
« Plus sérieusement, Henri Cartien-Bresson est antifasciste comme Yves Saint Laurent ne pouvait aimer le prêt à porter. »
Phil, qu’est-ce qui vous permet d’écrire ça ? Vous vous appuyez sur quoi ?
je suis une FILLE née à Colmar le 14 décembre 1984
calmos t’as le droit d’être djeun et con!
bouguereau dit: 27 février 2014 à 14 h 10 min
des portraits de staline jeune
Faut voir les archives des différents séminaires de Tbilissi…
Ciboulette comment vous croire? Il vous faudrait pouvoir montrer patte blanche, je vous donne une date improbable un passeport trafiqué un rendez-vous bidon un faux téléphone je me teins en blonde je vous laisse le choix du tailleur et de l’heure du départ, je suis un homme.
à Ciboulo : et toi d’être vieux et moche !
Ciboulette dit: 27 février 2014 à 14 h 47:
Trop tard, sauf si vous tuez D. et jamais, n’utilisez en plagiat ses connentaires. Mais vous êtes D., et ce n’est pas la première fois que vous vous prenez pour une femme, remember Anette ? D. est peut-être un hermaphrodite, vierge devant, Enculette de l’autre coté ?
Changez aussi de pseudo, Ciboulette fait soit travelo, soit transsexuel.
Fascinant, Ciboulette ! Je suis né à Colmar, moi aussi, un 14 décembre, exactement comme vous … mais en 1922 … je ne connais pas mes parents qui m’ont jeté dans une poubelle où un groupe de jésuite m’a trouvé, puis élevé en secret …
Vous êtes une fille, je suis un garçon : n’est ce pas merveilleux !
« Phil, qu’est-ce qui vous permet d’écrire ça ? Vous vous appuyez sur quoi ? »
Pas question de répondre à la place de Phil, bien entendu…
Mais enfin, dans la période pré-WWII en Espagne, les fascistes franquistes étant anticommunistes étaient antifascistes, et les républicains espagnols fascistes car communistes mais répondant à l’agression fasciste franquiste étaient, eux, antifascistes.
C’est clair …
oui, c’est meeeerveilleux JC… par contre TKTruc ce qu’il est mochécon comme on dit chez nous et chez vous donc
@ Phil:
Yves-Saint-Laurent a aussi eu une ligne de prêt-à-porter, comme tous.
Tous, parmi les gens ayant fait carrière après ou dans les années 60, sauf le couturier de Los Angeles, dont j’ai oublié le nom, un patronyme grec, et qui habillait Nancy Reagan. Ce greco-américain accepta de donner son nom à un parfum et à une ligne de manteaux de fourrure.
Yves-Saint-Laurent est un couturier majeur, ceux qui changent quelque chose à la manière de s’habiller, c’est à dire de bouger. Quand il se retira de sa maison de couture, Abraham Seide, Zürich, fit faillite.
Phil, pourquoi ce commentaire, qui se veut…..incendiaire ?
L’honneur perdu de Clopina Trouille. dit: 27 février 2014 à 14 h 24 min
Bon, je suis en attente de modération.
Six bouteilles déjà c’est modéré, isn’t ? Et alors Nina Simone, c’est là que la technique intervient, heureusement que c’était pas un cabriolet comme Françoise Sagan, sa tire, parce que voilà, les cabriolets, pour les climatiser…
Prébois, qu’est-ce qui vous permet d’écrire ça ? Vous vous appuyez sur quoi ?
Prébois, qu’est-ce qui vous permet d’écrire ça ? Vous vous appuyez sur quoi ? (JC)
Sur l’autorité de Piotr Patchouline, la référence en la matière
Prébois, qu’est-ce qui vous permet d’écrire ça ? Vous vous appuyez sur quoi ? (JC)
On voit bien que vous n’avez pas lu Régis Jauffret : « Le roman, c’est de la réalité augmentée « .
Onésiphore, Althusser à rien, ce n’est pas exact. Si l’on en croit sa défunte femme, c’était plutôt Althusser moi le kiki.
Onésiphore, Althusser à rien, ce n’est pas exact. Si l’on en croit sa défunte femme, c’était plutôt Althusser moi le kiki. (L’honneur perdu )
Je vous remercie d’éclairer cet intéressant point d’histoire, comme dirait mon cousin Jean-Marie, de la Trinité-sur-mer
Passou dit: 27 février 2014 à 14 h 50 min
A vous lire, dear passou, seulement à vous lire, sous l’intime portrait que vous brossez de l’homme de son siècle perce la conscience de classe, révélée dans ses rapports aux surréalistes qui le rapprochent plus d’un Georges Sadoul que d’un Jacques Vacher. Question d’oripeaux trop lourds à porter. Ce qui n’a rien de dépréciatif à ce niveau.
Comme vous savez, Yves Saint-Laurent prit l’amant de Lagerfeld.
Onéné,
Par bonheur, je n’ai jamais lu Régis Jauffret !
(…j’ai deux copains imprudents qui l’ont fait, après lecture l’un est à l’hôpital en situation de dégénérescence neurovégétative, le second est parti en Syrie pour jihadiser un peu … Dur ! …les proches ont brûlé les œuvres complètes de Régis sur le parvis de la Chapelle, dans une atmosphère démoniaque mais salvatrice !)
« dans Sein und Zeit de Martin Heidegger »
Ne pas confondre avec le Zeit und Sein de Zeitung von Frankfurt von Allgemein
@ Phil, j’ai lu sous la plume de Kaiser Karl, der Milchsproßling, que le sexe n’a jamais été un de ses centres d’intérêt de premier plan. Et puis, que veut dire « prendre son amant » ? Vergessen Sie nicht « Reigen » ! YSL a beaucoup vécu, dans un milieu pas trop sous le joug de la morale bourgeoise catholique faux-cul, je barre faux-cul, pour dire hypocrite.
La complaisance, à l’époque, du milieu intellectuel pour Althusser criminel ayant étranglé son épouse, les témoignages amicaux, tous dans le même sens de confrères, pour lui épargner le jugement furent scandaleux !
« Il a tué Hélène car il était fou, maniaco-dépressif. C’est normal : circulez, y a rien à voir »… Justice…
La journaliste Hélène Roger-Viollet s’était rendue célèbre pour avoir milité dans les années 1930 avec Louise Weiss pour le droit de vote des femmes ; elle s’illustra particulièrement en étant la première journaliste, avec son compagnon Jean Fischer, à couvrir la guerre d’Espagne. Elle fonda en 1938 l’Agence Roger-Viollet, rue de Seine, et augmenta considérablement le fonds photographique par divers rachats, notamment le fonds d’Albert Harlingue (Harlingue-Viollet aujourd’hui). Le plus grand de ses reportages fut un tour du monde épique avec Jean Fischer qu’elle venait d’épouser, empruntant pour ce faire le célèbre paquebot France en 1972.
En janvier 1985, elle fut tuée à coups de barres de fer par son mari, lequel se donna la mort en prison. Ainsi prit fin l’épopée de la famille Roger-Viollet. L’agence fut cependant reprise par la ville de Paris et rassemble aujourd’hui près de huit millions de clichés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Roger-Viollet
« la morale bourgeoise catholique faux-cul, je barre faux-cul, pour dire hypocrite. »
Mais elle n’est pas hypocrite la morale catholique : elle est tout à fait respectable !!!
Sergio, les cabriolets ont l’air-con, parfois la capote, qui peut être un toit dur automatique, est fermée et alors, il faut bien faire circuler avec une température idéale.
Phil, qu’est-ce qui vous permet d’écrire ça ? Vous vous appuyez sur quoi ?
que hcb avait surement la photo de poutine torse nu dans sa chambre..
JC, la morale n’a pas besoin de se tenir debout sur les béquilles de la religion. Les catholiques, ne sont pas plus hypocrites que les protestants ou les musulmans ou les Juifs pratiquants, quoique, plus une religion met des entraves, plus les gens deviennent faux-cul.
parfois la capote, qui peut être un toit dur automatique
un hardtop qu’on dit quand on en est..moi qui en est pas sergio..t’es à la ramasse, les décapotabe haut de gamme chauffe même décapoté..et oui..et ça fait un baille que la capote des bas de gamme est isolé..le vieux pognons quelquefois ça fait juste vieux..faites gaffe!
… Je sais enfin à quoi sert ce blogue, totalement addictif. A vous détourner du devoir, ou de ce que vous considérez comme tel. Pendant que votre pauvre compagnon, en train de réparer une porte, s’arrange pour qu’on vous fiche la paix, interdisant au chien de monter, au téléphone de sonner, servant le café au voisin de passage, bref, pénétré du son que font vos doigts sur l’ordinateur, pendant qu’il croit sincèrement que vous êtes en train d’écrire le nouveau livre dont vous lui avez parlé, eh bien, vous lâchez toutes les cinq minutes le fichier word où vous avez péniblement écrit cinq phrases et vous vous radinez ici, en douce, histoire de perdre votre temps avec une bande d’allumés du cigare de première catégorie. Ce blogue est l’antichambre de la débauche la plus absolue. De celles qui vous feraient passer l’après-midi devant la télé, quoi. Et encore, en privilégiant la chaîne Gulli. J’ai honte. Mon dieu que j’ai honte. Pourvu que Clopin ne l’apprenne jamais…
Les catholiques, ne sont pas plus hypocrites que les protestants ou les musulmans ou les Juifs pratiquants
hypocrite..je biffe hypocrite pour dire que t’es un faux cul vontraube
Au nom de quoi la morale des athées, dont je suis, serait supérieure à celle des catholiques ? des protestants ? des musulmans ? des juifs ?
Autant de morales que de communautés d’idées et de vies : aberration de croire à une Morale Absolue !
TKT dit: 27 février 2014 à 12 h 59 min
Le problème de Thierry vontraube c’est qu’il tient des fiches.
Comme il ne sait pas lire et n’a jamais été capable d’appréhender le moindre second degré, ces fiches sont toutes pourries.
Alors il mélange, il fantasme, il mythomane.
Essayez de comprendre une fois pour toutes TKT :
D. est D. (quand il est D.);
JC est JC (quand il est JC);
Ciboulette est Ciboulette (et peut-être que..je sais pas);
Tétram est Tétram (quand il est Tétram);
moi je suis moi (parfois);
et x est x, même quand il trouve un de vos commentaires stupide (pourquoi un ?).
Voilà, compris, enregistré.
Ah, un détail, vous n’êtes en rien un vendeur Kron.enbourg, tout juste un bonimenteur, ce n’est en rien le même métier.
J’ai honte. Mon dieu que j’ai honte
es tu nue en plus clopine ?
« Pourvu que Clopin ne l’apprenne jamais… »
Chère sœur, tu sais que tu peux compter sur nous… !
j’ai lu sous la plume de Kaiser Karl, der Milchsproßling, que le sexe n’a jamais été un de ses centres d’intérêt de premier plan
faut pas croire un mot de ce que dit karlos vontraube.. »karlos », ou « gros karlos », c’est comme ça qu’il est connu chez chanel, surtout des petites mains.. »keiser karl » c’est son interprétation dans ses bouquins
précision :une autre parole qui me marqua :
peu m’importe le mensonge mais je hais l’inexactitude
remarque en passant de 1938 à 1985 , i y a 47 ans
J’ai un poster de Clopina Trouille dans ma chambre. Absolument nue. Une splendeur ! cirée comme une armoire… Il m’a fallu expliquer à ma chère et tendre que c’est « comme ça que je voyais la Vierge Marie ».
Elle m’a pardonné cet acte, quasi religieux.
14h50
Phil s’appuie sur vontraube et baroz, comme dab, ses deux maîtres à penser.
Vous avez une vie tellement vide, D., que vous l’imaginez multiple, vous changez de pseudo, mais jamais de clichés. Quant aux fiches, Enculette, vous sortez des années après, soit des commentaires entiers, soit un fait, comme celui que je sois allé au cours Bergson-Pollès. Et alors, Ducornaud ? Et alors ?
Vous aviez même, une fois, repris le commentaire de Daphnée, avec la date exacte, à propos d’un voyage en bus, dans les Andes.
Bizarre, qu’une vie asexuée, puisse tellement rendre malade mentalement. Je vous conseille, de faire un voyage à Zumikon, et de vous faire « exité ». La caisse de chômage y gagnerait
cirée comme une armoire
bien vu
JC….. dit: 27 février 2014 à 15 h 38 min
Par bonheur, je n’ai jamais lu Régis Jauffret
Moi non plus, mais par malheur je l’ai vu et entendu.
Il m’a fait penser à TKT.
Je vois bien Thierry en Régis.
es tu nue en plus clopine ?
http://www.vivelesrondes.com/wp-content/uploads/2008/09/grosse.jpg
bouguereau dit: 27 février 2014 à 16 h 04 min
un hardtop
J’ai jamais eu le pognon pour aller jusqu’à ce fin fond du luxe ! Et puis y aurait eu des regards impertinents, ensuite des jonchés… Mais en vérité celui de Françoise Sagan c’était plutôt un roadster, là ça devient sérieux, et je crois bien que Passou nous en avait mis une photo. Elle aussi, faut dire, consommait aussi comme un douze cylindres (Zylinder auf deutsch ça fait un plus beau bruit)…
Thierry,
(vous permettez que je vous appelle Thierry ? Moi, c’est J)
La sexualité de Dédé nous apparaît, à vous comme à moi, complexe car nous sommes des Terriens limités, hélas ! Je suis tombé hier sur un vieux grimoire décrivant l’interrogatoire par l’Inquisition d’un extraterrestre tombé en panne de combustible près de Séville en 1435. Quel témoignage !
Les Galactiques s’envoient en apesanteur artificielle mais orgasmique grâce au Tourniquet de Sirius, à la Brouette à deux coups de Bernoulli, son fameux Lemniscate lubrique, le une-deux de Bourbaki, la fente de Viviani, le léché-collé de Poincaré… des trucs pas possible !
Nos mœurs sexuelles doivent leur paraître si fades … qu’il faut ne pas ergoter sur leurs mœurs. Incompréhensible. Le problème de la vente de couscous aux Inuits …
Ah, un détail, vous n’êtes en rien un vendeur Kron.enbourg, tout juste un bonimenteur, ce n’est en rien le même métier.
Si c’est pas du caribou musqué, c’t’affaire!
Phil dit: 27 février 2014 à 13 h 24 min
dear tkt, vous tenez la grande forme
Les deux vieux réacs se soutiennent toujours et Barozzi passe les plats.
Question d’âge,
Bravo ! Vous avez le podium : TKT/Phil/Jacky
(vous êtes fournisseur de xénon ?)
alors P.Assouline a décidé de « fonctionner » (et il dit en divin ambulant : »donnant donuts! »
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