de Pierre Assouline

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La République des livres
Historiciser… « Mein Kampf » !

Historiciser… « Mein Kampf » !

Gaston Gallimard aimait à dire que son ami Léon-Paul Fargue était le principal obstacle à la diffusion de son œuvre, ajoutant que le cas était assez rare chez les auteurs, tous plus pressés les uns que les autres de paraître dans la double acception du terme. Plus exceptionnel encore est celui d’un éditeur qui semble multiplier les écueils entre l’un de ses livres et le public comme si sa publication était gouvernée par une névrose d’échec. Il est vrai qu’il s’agit de la réédition critique de Mein Kampf (Mon combat) d’Adolf Hitler, laquelle ne peut advenir sans un certain nombre de précautions de toutes sortes. A l’épreuve, la tactique choisie par Sophie de Closets, pdg de Fayard, mérite tous les éloges, même si cette publication demeurera dans les annales de l’édition comme un cas d’école. Car se la procurer et la lire relève d’un parcours du combattant.

Imaginez un instant : le livre ne se trouve pas en rayon et encore moins en vitrine chez les libraires qui ne le procurent aux lecteurs qu’à la commande en souscription ; son titre n’est pas Mein Kampf comme on pourrait s’y attendre, ce qui aurait été plus commercial et racoleur, mais Historiciser le mal dont on conviendra qu’il n’est pas vraiment tape à l’œil ; la couverture, typographique, ne comporte ni la photo ni même le nom de l’auteur ; il est constitué du texte de l’auteur et des introductions et commentaires le déconstruisant, le contextualisant, le corrigeant, l’analysant et le présentant à maintes reprises comme un ouvrage illisible, confus, obsessionnel, mensonger, délirant au style surchargé et répétitif ; fort de ses 2800 notes en marge et en bas de page afin que nul n’en ignore et non renvoyées en fin de volume où seuls les spécialistes se rendent (ce qui lui donne des allures talmudiques et bibliques !), le tout pèse plus de trois kilos et coûte 100 euros.

Et après tout ça, vous êtes sûr que vous vous voulez l’acheter ? et le lire aussi ? vraiment ? Il faut vouloir, en effet. N’empêche que cette édition d’un document historique indispensable pour comprendre le nazisme, l’Allemagne et les Allemands des années 20 aux années 40, est exemplaire malgré le titre ; car le nazisme comme idéologie, manifeste et programme est irréductible à un seul livre, fut-ce celui du chef, et Mein Kampf ne saurait incarner « le mal » à lui tout seul, d’autant que relit « Mal », même avec une majuscule, n’est pas un concept historique mais moral ou religieux.

Fayard s’était lancé dans l’aventure il y a dix ans quand Olivier Nora dirigeait la maison, sur les conseils de l’historien Anthony Rowley. On s’en doute, tout le monde ne s’accordera pas sur l’impérieuse nécessité de l’édition critique de ce « fatras » au moment où une partie de l’Europe menace de céder à nouveau à la démagogie des nationalismes. Ceux qui estiment que ce n’est pas le moment reconnaissent volontiers que ce n’est jamais le moment. Mais il est aussi d’éminents historiens du nazisme tel Johann Chapoutot pour juger que, outre son encouragement néfaste à une vision « hitléro-centrée » du nazisme, elle ne s’impose pas eu égard à l’accablante médiocrité du texte et ne permet pas de démonter les logiques de la vision du monde et de l’idéologie au cœur de cette révolution culturelle conservatrice.

S’il n’est pas une source historique majeur, ne serait-ce donc pas faire trop d’honneur à Mein Kampf que de réunir durant cinq ans une équipe savante et lui consacrer 864 pages afin de « l’encadrer comme un bouclier protecteur » selon l’expression de Serge Klarsfeld ? Ce n’est évidemment pas l’avis des historiens Florent Brayard et d’Andreas Wirsching à la tête de ce commando d’experts (Christian Ingrao, Stefan Martens…), d’un comité scientifique international (Henry Rousso, Denis Pechanski, Renée Poznanski…) ni du traducteur Olivier Mannoni qui a dû batailler entre les völkisch et les judentum entre autres pour les restituer en français sans trahir la pensée de l’auteur ; de toute façon, outre que la langue a évolué, on ne peut traduire un pareil texte sans tenir compte du LTI de Viktor Klemperer.  Ses biographes Ian Kershaw et Joachim Fest estiment d’ailleurs qu’on peut lire Mein Kampf non seulement pour son intérêt programmatique mais comme un autoportrait en creux d’Hitler.

On n’imagine pas sérieusement qu’une telle entreprise éditoriale, adaptation et prolongement de l’édition allemande de 2016, ait des effets pervers de nature à révéler des vocations de néonazis. Elle ne convertira personne. Depuis cinq ans qu’il est tombé dans le domaine public, n’importe qui peut lire le texte nu de Mein Kampf en librairie et depuis plus longtemps gratuitement en ligne dans de nombreuses langues. Dans sa version papier, il cartonne dans le monde arabe et en Turquie, de même que les Protocoles des sages de Sion, vieux faux fabriqué par une officine antisémite qui a la peau dure.

La fondation Auschwitz-Birkenau, qui finance la conservation des vestiges du camp de concentration et d’extermination, percevra des droits au premier exemplaire vendu et la totalité des bénéfices de « Historiciser le mal ». Dix mille exemplaires en ont été tirés dont un millier réservé librement aux bibliothèques qui en feront la demande. Un sans-faute éditorial que cette historicisation de… Mein Kampf.

(« Une lecture obligatoire dans l’Allemagne du IIIème Reich, tant pour les Jeunesses hitlériennes (membres de l’Ordnungsdienst lisant « Mein Kampf », le 22 mars 1939, dans le territoire de Memel (région de Klaipeda, Lituanie) que pour les jeunes mariés » photos de propagande D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire.

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commentaires

1 020 Réponses pour Historiciser… « Mein Kampf » !

et alii dit: à

Je signale qu’il y a à Paris
L’allée des Refuzniks est une voie publique du 7e arrondissement de Paris.

D. dit: à

Ce soir c’est merguez. Miam.
Je suis dingue des merguez. Je me damnerais pour des merguez.

lmd dit: à

À propos du nik de beatnik, on doit rappeler l’intrusion fracassante du Spoutnik soviètique en 1957 dans l’univers des commentateurs américains.

On doit aussi rappeler que la beat génération écoutait beaucoup de jazz à un moment où cette musique apportait des formes et des pratiques musicales extrêmement novatrices ; et que le terme –beat– (antérieur au sens beat génération) était au cœur du vocabulaire des musiciens et des commentateurs . Les sens ont convergé mais je ne sais pas si quelqu’un a explicité ce téléscopage ?

Jazzi dit: à

« Ce terme a pris différentes significations selon les époques :
1/ Dissidents juifs soviétiques,
2/ Refuznik (Israël) est un hyperonyme et un néologisme politique désignant des citoyens ou des soldats israéliens qui refusent de servir dans les Territoires palestiniens.
3/ Refuznik au Royaume-Uni : des personnes refusent la carte d’identité nationale imposée par le gouvernement britannique. … »

L’Allée des Refuzniks est un hommage aux dissidents juifs soviétiques.

La couleur de mes orgasmes est verte, et alii. Quelle est la vôtre ?

Jazzi dit: à

Merci Wikipédia, lmd !

« Le mot beat désignait depuis le XIX siècle un vagabond du rail voyageant clandestinement à bord des wagons de marchandises. Peu à peu ce mot a pris le sens que lui ont donné les jazzmans noirs : beat en est venu à signifier une manière de traverser la vie. Être beat devint « être foutu, à bout de souffle, exténué ». Le « beat » (« pulsation ») est aussi le
« rythme » en musique (jazz).
Le terme beatnik, forgé à partir du mot beat et du nom du satellite russe Sputnik, était initialement péjoratif en cherchant à faire croire que les beats étaient une communauté de communistes illuminés en pleine période de maccarthysme. Jack Kerouac a toujours rejeté le terme de beatniks qui sera pourtant repris par une partie de la génération hippie »

Bloom dit: à

…ou comme « nudnik » (« casse-pieds » en yiddish) ou « kibbutznik », ou -nik n’est pas négatif

B dit: à

Comme le spoutnik.

et alii dit: à

ce qu’il y a d’intéressant, c’est qu’on peut voir que Jazzi trouve tout tout seul , refuznik par exemple !évidemment ,pas le « premier », mais à quoi ça lui servirait?

et alii dit: à

ALLONS UN + DE MASQUES , sinon renato me le reprochera(et il aurait raison!)
boiteverte.fr/the-masked-series-par-inge-morath-et-saul-steinberg/

Jazzi dit: à

Il parait que la lérina jaune, de couleur plus naturelle, a un léger goût de safran. Cela vous correspondrait-il, et alii ?

lmd dit: à

Jazzy, pour certaines choses, je n’ai pas besoin de wiki, J’ai lu le journal tous les jours depuis 1954 ; j’écoute du jazz depuis 1956 (The Voice of America, Willis Conover speaking in Whashington Dee Ceee)….

et alii dit: à

Ingeborg Hermine Morath est une photo-journaliste américaine née le 27 mai 1923 à Graz en Autriche et morte le 30 janvier 2002 à New York à l’âge de 78 ans1.

Elle a été la première femme photographe acceptée comme membre de l’agence Magnum Photos en 1953 et ceci jusqu’à sa mort. En 2002, les membres de Magnum Photos créent en son honneur le prix Inge Morath, administré par la Fondation Inge-Morath, et qui est attribué annuellement à une photographe ayant moins de 30 ans
une bio sur wiki

Jazzi dit: à

Je n’en doute pas, lmd, mais je trouvais que cet extrait de wiki répondait clairement à vos interrogations.

et alii dit: à

mon amiem’a déposé un bouquet d' »herbes » de son jardin auquel elle a ajouté une rose;
ça Dn’y pense jamais à mettre par exemple de la menthe
dans des concombres à la crème fraîche

et alii dit: à

masquée par le peintre!
Les artistes peignent par-dessus leurs toiles finies pour de nombreuses raisons – par frustration devant un design raté, parce qu’ils n’ont pas les fonds pour acheter plus de matériel, ou même pour contrarier qui ou quoi que ce soit qu’ils ont représenté. Ce dernier cas était le cas dans le « Portrait d’une fille » d’ Amedeo Modigliani (1917), une peinture à l’huile d’une brune maussade et assise aujourd’hui conservée dans la collection de la Tate. Des études aux rayons X de la toile menées par le musée en 2018 ont révélé que la pièce était à l’origine un portrait en pied d’une autre femme, une blonde élancée aux traits anguleux et allongés. Une partie de cette peinture cachée – maintenant exposée à la Lebenson Gallery à Londres – a été découverte et reconstruite par deux scientifiques en utilisant une combinaison d’imagerie stéréoscopique, de technologie d’intelligence artificielle et d’impression 3D.
https://hyperallergic.com/654555/oxia-palus-technology-reveals-hidden-modigliani-portrait/?utm_campaign=daily&utm_content=20210621&utm_medium=email&utm_source=newsletter

D. dit: à

En langue inuite, nik marque l’accusatif pluriel des compléments d’objet direct des racines verbales utilisées avec un suffixe pronominal uniactanciel. C’est tout. Y’a pas à tortiller. Tout le reste en découle.

et alii dit: à

rose:
Papier cadeau Le Petit Prince

Prix ​​habituel9,95 $

D. dit: à

Par exemple Inuit qaujimajummariungmata nanurnik, ou encore Sunatuinnarnik piugusuktuq, Aupaluktuniklu qakuqtuniklu pigumajunga.

B dit: à

un suffixe pronominal uniactanciel

Excusez mon ignorance mais qu’est ce c’est, clairement si possiball

D. dit: à

J’aime pas le Petit Prince. Je l’appelle le petit con d’ailleurs.

B dit: à

A quoi pensez vous en lisant cette phrase brillamment rapportée par l’explorateur que nous admirons tant il est risqué maintenant de tenter le pôle fondant, les ours affamés et les pétroliers ainsi que sous marine russes.

lmd dit: à

Jazzy, merci ; effectivement je ne connaissais pas le sens : « beat en est venu à signifier une manière de traverser la vie. Être beat devint « être foutu, à bout de souffle, exténué » Je pensais, moi , au sens n« beat » (« pulsation ») ; mais je sais que la traduction certaine des mots du jazz peut être floue .

Renato, merci aussi, non je ne connaissais pas cette compilation (je ne l’ai jamais rencontrée). À la lecture de Sur la route , on note souvent qu’on écoute, qu’on va écouter du jazz mais cette musique n’est jamais identifiée précisément (dans mon souvenir). Sur cette compilation on constate un choix très éclectique, Lionnel Hampton à coté de Parker et Monk. Je n’ai pas pu écouter ce que dit Kerouac et je ne sais pas qui a fait les choix.

Mais j’ai cherché moi aussi, et j’ai trouvé Kerouac lisant un poème sur Charlie Parker :
https://www.youtube.com/watch?v=2YhveH2yuuI

Je vous renvoie plutôt au Charlie Parker que j’ai proposé ce matin (voir plus haut) The Street Beat .

D. dit: à

Ben écoutez, Bérénice, c’est tout simplement relatif à un actant, qui implique un seul actant. Ainsi, du point de vue syntaxique, une structure impersonnelle est regroupée autour d’un verbe d’habitude uniactanciel (Il neige, il fait froid) où le pronom impersonnel « il » remplit la fonction sujet. Et chez les inuit il neige et il fait froid d’où la grande importance de l’uniactanciel.

D. dit: à

Qu’il est con avec son costume vert olive et ses pattes d’eph. Prffftttt. I m’énerve.

lmd dit: à

……Renato, je n’avais pas encore vu (et couté) votre History of Bop (5) …

renato dit: à

lmd, j’ai apprécié votre Charlie Parker.

et alii dit: à

D? VOUS N’ËTES PAS ROSE qui aime St ex?
pourquoi vous sautez sur ce papier?
estce que je vous dis si j’aime le museau?
VOUS abusez

et alii dit: à

books dans sa lettre
:

FORCE BRUTE

Condamné en appel comme organisation criminelle en octobre 2020, le parti néonazi grec Aube dorée a vu ses principaux responsables emprisonnés pour meurtre. Figure centrale de cette affaire historique, l’avocat de l’accusation Thanásis Kambagiánnis dresse le réquisitoire implacable de ces « loups » aux portes du pouvoir dès 2012. Il leur oppose la « solidarité du monde des abeilles », en rendant hommage aux adolescentes grecques et aux immigrés qui témoignèrent à visage découvert.

La revue culturelle en ligne Lifo prescrit cette « leçon de démocratie » qui « sort de la cour d’appel pour dialoguer avec l’Histoire » et mériterait d’être enseignée en classe. Selon cette revue, « la puissance sereine de la parole de l’avocat fait face à la force brute » symbolisée par l’assassinat en pleine rue du rappeur antifasciste Pávlos Fýssas en 2013. D’une haute teneur politique, ce plaidoyer révèle comment ratonnades et exactions, loin d’être des actes isolés, furent méthodiquement organisées et bénéficièrent du soutien tacite de la police. Célébrant une « précieuse source de force morale », le site d’information AlterThess appelle à y puiser au-delà du procès.

D. dit: à

Je peux pas le piffer le p’tit price, je le blaire pas avec son costume à la con et son écharpe à ressorts. C’est mon droit, non ? Aller faire chier la faune sauvage comme il le fait sur une planète grotesque, ah non, pardon.

D. dit: à

Rose aime Saint Ex. parce qu’elle fait un transfert. C’est très clair. Alors tout y passe, les pattes d’eph, la conchita machin, et tout le reste.

D. dit: à

Papier cadeau le p’tit prince, tu parkes d’un cadeau. Moi je le couperais en petites feuilles pour le mettre vous savez où.

D. dit: à

Parfaitement.

et alii dit: à

D? JE ME MOQUE DE vos gouts; vous seriez mieux inspiré de vous renseigner sur les risques de cancer
selon les viandes, même si vous êtes vegétarien,vous aussi

D. dit: à

Et puis arrêtez deux minutes avec vos majuscules, et alii. Ce n’est pas parce que vous usez de majuscules que ce que vous écrivez est plus important que ce que j’écris. MON PROPOS N’EST PAS MOINS IMPORTANT QUE LE VOTRE.

et alii dit: à

sur le point:
Rumeur tenace mais fausse : Hitler mangeait de la viande. Et redoutait les végétariens, auxquels il interdit tout prosélytisme, toute publication, tout regroupement. Certains durent s’exiler de l’Allemagne nazie. Pourtant, le chancelier défendit ardemment la cause des animaux, clamant que « dans le nouveau Reich, il ne devra plus y avoir de place pour la cruauté envers les bêtes ». Ses lois protectrices des animaux furent les premières en Occident. Amour des bêtes et haine des hommes : une dualité singulière.

D. dit: à

Le cancer du p’tit prince ?

D. dit: à

Amour des bêtes… Bien qu’en pleine santé, Blondi a terminé au cyanure, comme toutes les blondinettes Goebels.

et alii dit: à

« En février 2013, à 95 ans, Margot Woelk, parfaite inconnue, a décidé de se confier. Dans les colonnes du Daily Mail et du Time, cette Allemande raconte pour la première fois les deux années de sa vie pendant lesquelles elle était au service d’Adolf Hitler. Chaque jour, entre 11 heures et midi, la jeune femme devait en effet goûter les plats du Führer, pour détecter d’éventuelles traces de poison.

Elle fut l’une des quinze « goûteuses » au service d’Adolf Hitler. Tout commence en 1942, quand son appartement berlinois est bombardé. Margot Woelk quitte alors la capitale du Reich et pose ses valises chez sa belle-mère à Gross Partsch, dans l’est de la Prusse (l’actuelle Pologne). Son mari, lui, est engagé sur les lignes de front. Très vite, la jeune femme est embarquée de force par les SS, qui la conduisent non loin de la « tanière du loup », le QG d’Adolf Hitler sur le front de l’Est. Là, elle rejoint d’autres femmes qui, comme elle, sont contraintes de goûter la nourriture destinée au Führer, quitte à en mourir. « Évidemment que j’étais effrayée. Si la nourriture avait été empoisonnée, je ne serais plus là aujourd’hui. Nous étions forcées de manger, nous n’avions pas le choix », a-t-elle déclaré.

rose dit: à

D. dit: à
Rose aime Saint Ex. parce qu’elle fait un transfert. C’est très clair. Alors tout y passe, les pattes d’eph, la conchita machin, et tout le reste.

N’importe quoi.
Occupez-vous de vos merguez sur comment vous allez les faire cuire.
Avec des aubergines ?

et alii dit: à

la gouteuse :
Le Führer était en effet végétarien, ne consommant ni viande ni poisson, mais des produits frais en majorité. Il s’interdisait également la cigarette et l’alcool. »

« Tout était végétarien, uniquement des produits frais, des asperges aux petits pois en passant par des poivrons, du riz, mais aussi des salades. Tout était disposé sur le plat juste comme cela lui était servi. » Adolf Hitler ne proscrivait d’ailleurs pas seulement la viande. La cigarette et l’alcool – il n’aurait été ivre qu’une seule fois dans sa vie à 13 ans – subissaient le même sort. Et strictement personne n’était autorisé à fumer en sa présence. »

rose dit: à

Consuelo.

et alii dit: à

Margot Woelk raconte qu’une nuit, l’un d’entre eux a pu la violer malgré la surveillance permanente. Fin 1944, ce fut pourtant un autre SS avec qui elle avait sympathisé qui lui sauva la vie. L’Armée rouge progressait vers le QG. Grâce au soldat, qui lui trouva une place dans le train de Goebbels à destination de Berlin, elle put s’échapper de la Prusse et retrouver sa ville d’origine. Toutes les autres jeunes femmes utilisées pour goûter les plats furent par la suite abattues par les soldats de l’Armée rouge »
http://www.berthomeau.com/2019/01/hitler-etait-vegetarien-il-decrivait-l-horreur-de-l-abattage-des-animaux-a-table-afin-de-dissuader-ses-convives-de-manger-de-la-vian

D. dit: à

Du niveau WACO – OTS et consort.
A ce stade, on sait très bien que des forces occultes très puissantes ont agi.

D. dit: à

Eh bien oui parfaitement je vais m’occuper de mes merguez.

et alii dit: à

a la table des tyrans:
Christian Roudaut parle aussi de la fausse convivialité de Staline : « Staline avait tellement peur d’être empoisonné, qu’il incitait ses invités à se servir eux-mêmes. Il débouchait les bouteilles de vin lui-même ». Enfin, la table est aussi un lieu de pouvoir : « Viatcheslav Molotov disait que Staline prenait toutes ses décisions à table », conclut Christian Roudaut.

et alii dit: à

noms (suite)
D’après le journal Midi Libre, un habitant de Lunel a été condamné la semaine dernière à un mois de prison ferme pour avoir lâché ses deux chiens sur son voisin d’origine maghrébine. Niant avoir tenu des propos racistes, l’homme a décidé de faire appel de cette décision. Ses deux bergers allemands s’appellent Adolf et Blondi qui était le nom de la chienne d’Hitler, précise Midi Libre dans son article.

Jibé dit: à

Blondie, je crois me souvenir, avec un e, comme la chanteuse qui n’avait rien de nazi et que je trouvais si jolie

renato dit: à

Comme livre rouge je préféré celui de Jung.

Bloom dit: à

Pas le même genre que Debbie Harry, mais elle est une chanteuse mondialement célèbre.
Le frère sont elle parle dans ce texte est un romancier connu, dont tous les ouvrages sont traduit en français (Joe pour Joseph).
Qui sont ce frère & cette sœur qui portent le même nom?
L’action se déroule en 1977.

« I come downstairs one morning, after Elvis [has died], and hear a kind man’s voice singing to a girl that she needn’t cry anymore. I go to the record player. I make my brother Joe play it again. I say, “Who’s he?” “Bob Dylan.” I see from the album cover he’s as beautiful as if God blew a breath from Lebanon and it became a man. I’m not allowed to touch the record when my brother isn’t home. I wait at the window every day because he has a summer job. I run out into the street and around the corner to watch for him. I never know when he’s coming home. Things aren’t safe at all when he’s out. My mother doesn’t like little girls. I like this Dylan man’s singing. In my head I call him Lebanon Man. »

Bloom dit: à

Dont elle parle…

renato dit: à

Un Roi à l’écoute
L’histoire, écrite en 1982, a été adaptée en un livret d’opéra par Calvino et mise en musique par Berio.

Le protagoniste de l’histoire est un roi qui pour régner sans craindre d’être déposé, ne quitte jamais son trône. Pour réaliser l’exploit le faire, il a imaginé une solution a été imaginée : répondre à tous les besoins humains de sorte qu’il ne laisse jamais le trône sans surveillance. Il passe des heures à écouter les sons qui l’entourent. La terreur d’être évincé comme son prédécesseur ne le fait pas renoncer à son objectif. Dès qu’il laisse son esprit vagabonder et tente de s’échapper de la salle du trône en écoutant la douce mélodie chantée par une jeune fille, il se retrouve au milieu d’un coup d’État et s’enfuit dans les sous-sols du palais où se trouvent les prisonniers d’État. Il entend encore la voix de la fille qui chante avec le nouveau roi. L’histoire finit lorsqu’il retrouve la liberté — l’air libre.

renato dit: à

Sinead.

OZYMANDIAS dit: à

Je pense que le temps est venu pour moi de dévoiler ma véritable, réelle et authentique identité :
Je suis principalement le petit prince inuit qui cause en inupiaq et accessoirement l’amant de Blondie la mangeuse de merguez.
Voilà.

et alii dit: à

Soumis à des questions improbables et répétées et à des insultes pour avoir oublié de mettre de la moutarde sur les tables lors d’un repas, le jeune marin subissait un rituel habituel chez les marins-pompiers de Marseille : le « caleçonnage »,
le monde
quand je me représente pout ce que D a oublié, je présume qu’on va lui faire un calçonnage de dégagisme

et alii dit: à

caleçonnage un mot important!

Bloom dit: à

Sinead.

Bien vu, renato.
Sinéad O’Connor et son frère Joseph, grand romancier historique.

Dans « Rememberings », ses mémoires, d’où j’ai tiré l’extrait ci-dessus, elle raconte sa rencontre avec Prince, dont la reprise du « Nothing Compares 2 U » l’a propulsé sur l’avant-scène musicale.

Pas facile à rendre en français, mais ça donne à peu près ça (Sinéad se prononce « Shinèd »):

Prince (accent américain): You must be Shinead (Shaïne-èd).
Sinéad (accent irlandais) : You must be Prance (Pranz).

Ce personnage complexe et attachant possède un évident talent d’écriture, qui semble « courir dans la famille » comme l’écrit Littell dans la première édition des Bienveillantes. J’espère que ce texte tantôt drôle, tantôt provocateur, jamais vulgaire ni voyeur, sera traduit en français.

Jean Langoncet dit: à

Culture et carton-pâte font si bon ménage …

Jean Langoncet dit: à

Meredith Hunter, le rêve brisé des sixities, le jazz et les beats, renato et sa communauté se retirent … ce qu’on se narre

Jean Langoncet dit: à

Non, renato, mais je me souviens du jagg pissant dans sa culotte sur scène à Altamont en 69 alors que tout était joué depuis des lustres

Jean Langoncet dit: à

… Et de Robert Crumb refusant de signer une pochette pour un album des Stones

rose dit: à

« Lorsque j’étais enfant, j’apprenais la « théorie musicale » dans de petits manuels (je ne sais pas s’ils existent encore) partagés en deux : le livret vert des questions et celui rouge des réponses. La première leçon de la première année était la suivante : « Qu’est-ce que la musique ? » ; et sur le livret rouge, il était écrit : « La musique est l’art des sons ». Quel ne fut pas mon éblouissement, à l’âge de huit ans, en découvrant cette définition. Je ne sais pas si ce fut mon entrée dans la « théorie musicale », mais je crois que ce fut mon entrée en philosophie. Il y avait dans cet énoncé tout le pouvoir magique des formules définitionnelles. Elle concentrait en quelques mots simples le mystère des choses impalpables. Je n’ai guère changé d’opinion : la musique est bien l’art des sons. »

Francis Wolff

Pourquoi la musique ?

Parce que les hommes sont à la guerre.

Singing club, de Peter Cattaneo.

Kristin Scott Thomas sublimissime.

et alii dit: à

19Tyner, Alfred McCoy, « Search for Peace », par McCoy Tyner (piano), Joe Henderson (saxo ténor), Ron Carter (contrebasse), Elvin Jones (batteries), The Real McCoy, Blue Note Records (1999).
https://www.pourquoilamusique.fr/extraits.html

Jean Langoncet dit: à

On ne saurait convaincre le service d’ordre ou les forces de police de racisme lors des événements du 13 novembre 2015 au Bataclan

Jean Langoncet dit: à

Étant précisé que le groupe qui se produisait ce soir là, comme à Altamont en 69, était un groupe de merde. La tragédie est d’autant plus sensible.

D. dit: à

Oui l’art des sons. Excellente définition.
Tout est dedans.

JiCé..... dit: à

Renato a raison : le livre rouge de Jung est une splendeur ! Coûteuse, mais magnifique…

JiCé..... dit: à

Question amusement, financé pour la survie d’un troupeau de débiles soi-disant scientifiques, le dernier rapport des fadas apocalyptiques du GIEC semble du plus grand intérêt !

Le Combat des cons bas. Des spécialistes….

et alii dit: à

don’t let your struggle become your identity

et alii dit: à

S.Hawking,né le 8 janvier 1942 à Oxford et mort le 14 mars 2018 à Cambridge, un physicien théoricien et cosmologiste britannique.est devenu une célébrité mondiale,pour ses travaux;il a dû lutter sans cesse,y compris pour surmonter sa gravissime maladie ,pour laquelle Hitler l’eut condamné, et il a eu une fille avec laquelle il écrivit un livre

et alii dit: à

Le théorème de la surface du trou noir, que Hawking a dérivé en 1971 de la théorie de la relativité générale d’ Einstein , stipule qu’il est impossible que la surface d’un trou noir diminue avec le temps. Cette règle intéresse les physiciens car elle est étroitement liée à une autre règle qui semble régler le temps pour qu’il s’exécute dans une direction particulière : la deuxième loi de la thermodynamique , qui stipule que l’ entropie , ou le désordre, d’un système fermé doit toujours augmenter. Parce que l’entropie d’un trou noir est proportionnelle à sa surface, les deux doivent toujours augmenter.
https://www.livescience.com/hawking-theory-confirmed.html?utm_source=Selligent&utm_medium=email&utm_campaign=LVS_newsletter&utm_content=LVS_newsletter+&utm_term=10211531&m_i=he3hPx605pgoCrUacVaCgzk7VQX8%2BrpElALP%2BCp1u%2B4AbB5vRMyxqJvAM7jxvNEeZJbNB_UJ7Dps5W0px00DFP3nG7BvilkxHfUj2F3hhB&lrh=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7

et alii dit: à

bien sur, ce couplet sur Hawking est pour Soleil vert:
La série Masters of Science Fiction est présentée oralement par Stephen Hawking.

renato dit: à

lmd, pourrait vous intéresser : Hayden White, Music and Text: Critical Inquiries — dans <Form, Reference, and Ideology in Musical Discourse," dans Form, Reference, and Ideology in Musical Discourse, 1992.

et alii dit: à

Stephen Hawking
Non seulement Dieu joue aux dés mais il les jette parfois là où on ne peut les voir

JiCé..... dit: à

Rappelons aux crédules que dieu est une pure invention humaine, qu’Einstein est mort, qu’Hawking est mort, que personne ne lit Penrose, Greene, Rovelli ou Smolin, et que nous-mêmes, résidents de longue date de l’Ehpad RDL, nous nous sentons de plus en plus faible…

rose dit: à

Parlez pour vous Jicé : plus faible.

renato dit: à

Einstein aurait dit : « Dieu ne joue pas aux dés » en présence de Bohr, qui aurait répondu : « Einstein, arrête de dire à Dieu ce qu’il doit faire ! ».

L’anecdote est très souvent rapportée, mais on manque de sources fiables pour l’étayer. Certaines sources rapportent un épisode très similaire, et Bohr, se souvenant de sa rencontre avec Einstein a écrit : « Pour sa part, Einstein nous a demandé en plaisantant si nous pouvions réellement croire que la Providence divine avait eu recours au « jeu de dés », ce à quoi j’ai répondu en soulignant que les penseurs anciens nous avaient déjà avertis d’être très prudents dans la définition des attributs de la Providence dans le langage commun. Werner Karl Heisenberg, qui était présent, se souvient de de la plaisanterie et de la réponse de Bohr : « Mais ce n’est pas à nous de dire à Dieu comment il doit faire tourner le monde ».

Jazzi dit: à

Oui, mais Mallarmé n’avait-il pas prévenu qu’un coup de dé n’abolit pas le hasard ?

et alii dit: à

Dieu ne joue pas aux dés1 est un essai du biologiste et philosophe Henri Laborit publié en 1987 aux Éditions Grasset & Fasquelle.

Cet essai a pour vocation de vulgariser les concepts et découvertes de physique quantique afin de tenter de les rapprocher du fonctionnement des organismes vivants et d’essayer de comprendre comment, au travers de différents niveaux d’organisation imbriqués, la matière peut s’auto-organiser pour devenir vivante.

Le titre du livre emprunte la célèbre phrase d’Albert Einstein au congrès Solvay de 1927 (« Gott würfelt nicht ») par laquelle ce dernier exprimait son opposition à l’interprétation probabiliste de la mécanique quantique par l’École de Copenhague autour de Niels Bohr.

et alii dit: à

VOUS REMARQUEZ QUE NOUS PREPARONS LE COLLOQUE DE Cerisy?

et alii dit: à

Je suppose que « la nouvelle grille » (Laborit) est pour Drillon

Janssen J-J dit: à

Je vois pas pourquoi j’irais pas demander à Dieu comment il doit faire tourner le monde, vu qu’il tourne si mal, et qu’il n’y a pas de Dieu… Hein !..
C koi, ta ‘pbmtq’, J (né) C ?…

Alexia Neuhoff dit: à

Puisqu’il est fait (beaucoup trop à mon goût) référence à dieu sur ce blog, j’ai vu, hier soir, en replay, sur Arté, un documentaire (Coming out) montrant, à l’état brut, des « sorties du placard » effectuées et filmées par des jeunes à destination de leurs parents. La plupart dans des pays anglo-saxons (RU, USA, Canada, Australie). Il est intéressant d’observer qu’il est souvent fait mention de dieu (pour désapprouver le « choix » (sic) de l’homosexualité) dans les réactions des familles. Ce qui me conforte dans cette opinion que la laïcité est une belle et grande chose.

et alii dit: à

« Dieu ne joue pas aux dés  » est une « histoire belge »

et alii dit: à

Le de d’Einstein et le chat de Schrodinger
de:Paul Halpern
Catégorie:Sciences techniques et médecine

Janssen J-J dit: à

@ etalii (… mon souci être d’être arrivée la première sur tous les dossiers… avant JZMN, RPTV et D.)
-> Einstein aurait dit : « Dieu ne joue pas aux dés » en présence de Bohr, qui aurait répondu : « Einstein, arrête de dire à Dieu ce qu’il doit faire ! ». L’anecdote est très souvent rapportée, mais on manque de sources fiables pour l’étayer. Certaines sources (LESQUELLES : Carlo ROVELLI ou Etienne KLEIN ?) rapportent un épisode très similaire, et Bohr, se souvenant de sa rencontre avec Einstein a écrit (OU CA ?) : « Pour sa part, Einstein nous a demandé en plaisantant si nous pouvions réellement croire que la Providence divine avait eu recours au « jeu de dés », ce à quoi j’ai répondu en soulignant que les penseurs anciens nous avaient déjà avertis d’être très prudents dans la définition des attributs de la Providence dans le langage commun. Werner Karl Heisenberg, qui était présent, se souvient de de la plaisanterie et de la réponse de Bohr : « Mais ce n’est pas à nous de dire à Dieu comment il doit faire tourner le monde » (souvenir contesté dans LE PRINCIPE, de J. Ferrari).
Bàv, Txfl.

D. dit: à

En tout cas Dieu ne vient pas sur ce blog dire s’il est fait suffisamment référence à Alexia.

rose dit: à

de la plaisanterie et de la réponse de Bohr : « Mais ce n’est pas à nous de dire à Dieu comment il doit faire tourner le monde ».

Certes.
Et lorsque vous cherchez un carton rangé depuis deux ans moins cinq mois dans une cave -humide- et que le premier carton que vous trouvez sur quarante, y a noté Première Littérature École Internationale, dès lors vous vous permettez de douter de la non-existence de Dieu.
Puisque depuis, le carton, vous l’avez ouvert, et qu’il contient pile-poil les cours dont vous allez avoir besoin cet été.

D dit: à

L’art des çons. Une toute autre musique.

Patrice Charoulet dit: à

« Fasciste » ! ou « Gauchiste »!
Rien n’est plus important quand on pense, quand on parle et quand on écrit, que de savoir ce que les mots veulent dire. Les juges de paix sont les dictionnaires, et pas seulement le Petit Larousse.
Cas le plus courant : Des gens de gauche ou d’extrême gauche usent du mot « fasciste » (ou « facho » ) à tort et à travers. Des gens de droite ou d’extrême droite usent du mot « gauchiste » à tort et à travers.
Anarchiste, communiste, socialiste, centriste, gaulliste, libéral, ultralibéral, libertarien, royaliste, souverainiste, nationaliste, raciste, contre-révolutionnaire, fasciste, nazi… Ces mots ont un sens (souvent avec des nuances).
Le vocabulaire politique, comme le vocabulaire ordinaire, doit être manié avec justesse.

P.-S. L’immense Trésor de la Langue française informatisé (TLFi), le plus complet de tous, rend, très souvent, de grands services. C’est gratuit !

et alii dit: à

Einstein, lettre à Max Born (7 sept. 1944) (in A. Einstein, M. Born,
Correspondance 1916-1955, Seuil, Paris, 1969) : “ Tu crois au Dieu qui joue aux dés, et
moi à la seule valeur des lois dans un univers où quelque chose existe objectivement, que
je cherche à saisir d’une manière sauvagement spéculative. (…) Le grand succès de la
théorie des quanta dès son début ne peut pas m’amener à croire à ce jeu de dés
fondamental, bien que je sache que mes confrères plus jeunes voient là un effet de la
fossilisation”.
Lettre à Michele Besso (30 nov. 1949) : “Actuellement parait un livre [P.A..
Schilpp (ed.), Albert Einstein, philosopher scientist, 1949] (…) J’y défends le Bon Dieu
contre un prétendu jeu de dés continuel.” In A. Einstein, Michele Besso,
Correspondance, Hermann, Paris, ).
Dans une lettre à Niels Bohr (4 avril 1949), Einstein évoque “la question
cruciale de savoir si Dieu joue vraiment aux dés ou pas, et si nous devons nous en tenir à
une réalité accessible à la description qu’en peut donner la physique”. (in Einstein,
Oeuvres choisies, 1 : Quanta, Seuil, Paris, 1989).
Et dans une autre, à Erwin Schrödinger (22 déc. 1950) : “Il m’apparait

et alii dit: à

aléa jacta est:
Le mot hasard se trouve chez Wace en 1155 ; il vient de l’arabe ǎz-zǎhr, en transitant par l’espagnol et signifiait à l’origine « dés » (ou la fleur dessinée sur l’une des faces du dé), à l’instar du mot latin alea qui désignait déjà à la fois le dé, le jeu de dés et le hasard.

renato dit: à

Si un dieu quelconque veut m’informer de quoi que ce soit il a tout intérêt à me parler directement, car ses concierges m’ennuient et je ne lasse jamais par le secrétariat. Or, puisque jusqu’à maintenant aucun dieu n’a donné signe de vie, je peux douter de l’existence de cette entité ou alors je suis assez bien et donc il n’a rien à me dire.

Assez amusant : selon l’un de mes camarades d’internat qui a fait une belle carrière au Vatican — bibliothécaire — j’aurais une bonne relation avec la divinité.

Jazzi dit: à

Voilà ce que je disais du film à sa sortie en salle, Alexia.

4 mai 2019 à 13 h 24 min
Vus, hier, coup sur coup, deux films sur le thème de l’homosexualité.
Un documentaire : « Coming Out » de Denis Parrot, et un film de fiction « Tremblements » du cinéaste guatémaltèque Jayro Bustamante.
Le premier est un montage de vidéos filmées par des jeunes du monde entier au moment où ils annoncent à leurs parents qu’ils sont gays. Témoignages que le « cinéaste » a recueilli sur le Net. Est-ce encore un film ou une simple succession de copiés/collés ?
Le résultat est cependant intéressant.
Les jeunes garçons et filles appartiennent tous au monde Occidental. Parmi eux on dénombre une majorité d’homo mais aussi quelques transsexuels. Tous font leur coming out à leur mère. Un seul, un jeune Canadien l’annonce à son père. On les voit plein de trac et d’appréhension, mais en général ça se passe plutôt bien. Et, quand la religion s’en mêle, parfois plutôt mal, très mal même. Là, il est question d’aller pourrir en enfer et l’un d’entre eux prend des coup de sa mère et de son père venu en renfort. Parfois aussi, certaines mères bienveillantes mais maladroites répondent à leur enfant qu’elles respectent leur choix. Ce à quoi les enfants répondent tous que ce n’est pas un choix et que s’ils avaient eu vraiment le choix, ce n’est pas celui qu’ils auraient fait.
J’ai été très étonné de voir que dans la salle il y avait une grande majorité de jeunes du même âge que les protagonistes du film. Et qu’ils étaient empreints d’une certaine gravité.
J’ai alors pensé que les choses étaient loin d’être gagnées…
Le second est un film de fiction plus traditionnel et bénéficiant de certains moyens budgétaires.
Pablo, 40 ans, est un homme de la bonne bourgeoisie guatémaltèque. Un beau mec, viril, cadre supérieur, superbement incarné par Juan Pablo Olyslager.
Religieux pratiquant, il est marié à une non moins superbe femme (Diane Bathen, qui a des faux-airs de Carla Bruni).
Le couple modèle a deux enfants merveilleux, une grande fille et un petit garçon.
Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’au jour où Pablo tombe amoureux de Francisco.
Patatras !
Scandales sur fond de séismes et tremblements à tous les étages.
C’est alors que la famille s’en mêle et demande secours au pasteur et à son étrange épouse de leur paroisse pour le « soigner ».
Le film tourne dès lors au cauchemar surréaliste…
https://www.arte.tv/fr/videos/091193-000-A/coming-out/

Janssen J-J dit: à

@ Alexia et Jzmn,

Txfl vous rappelle que dans le livre du Lévitique de la Bible hébraïque, les actes homosexuels masculins sont explicitement condamnés à deux reprises (Septante et Vulgate) :
– « Avec un mâle, tu ne coucheras pas à coucherie de femme. C’est une abomination [toeva ; bdelygma ; abominatio]. » — Lévitique, XVIII, 22.
– « L’homme qui couchera avec un mâle à coucherie de femme, ils font une abomination, les deux. Ils sont mis à mort, à mort, leurs sangs contre eux. » — op. cit., XX, 13.

Je me souviens d’à quel point l’interdit de cette croyance enracinée chez les parents du célèbre neurologue britannique Oliver Sacks le condamna à pratiquer toute sa vie une chasteté forcée de célibataire, plutôt que de vivre normalement sa sexualité, avant sa vieillesse… Un exemple parmi des millions, peut-être…
(source ? – En mouvement, une vie, 2015 https://www.lemonde.fr/livres/article/2016/06/16/le-cas-oliver-sacks_4951430_3260.html) / Des mémoires que j’avais trouvés passionnants, à leur sortie… J’ignore si on les trouve en poche aujourd’hui… Bàv,

et alii dit: à

C’est complètement na[s|z]e !

Il me semble avoir déjà entendu cela. Larousse traite du cas de l’objet cassé ou endommagé, ou de la personne, dans le sens d’un peu fou ou ivre, d’un registre populaire. En fait ça viendrait de nazi pour syphilis en argot et le TLFi suggère la comparaison avec loffe (arg. nigaud, imbécile).

Alexia Neuhoff dit: à

Pour revenir sur le documentaire (Coming out) dont j’ai parlé plus haut, une séquence montre une jeune fille américaine qui se filme téléphone en main. Elle a fait le numéro d’une église (laquelle ? cela n’est pas dit mais une parmi la foultitude de celles qui sévissent là-bas) dont le répondeur lui propose de taper un chiffre (l’un correspond au soutien de l’US army), elle choisit le 6 qui concerne le chapitre « homosexualité ». S’ensuivent un déchainement de propos haineux, d’anathèmes, de menaces de brûler en enfer, dignes des pires fatwas du pire mollah.

rose dit: à

soit il a tout intérêt à me parler directement, car ses concierges m’ennuient et je ne lasse jamais par le secrétariat.

Pas concernée.

Pas de concierges, pas de secrétariat, pas de fatuité, pas de vacuité.

Post qui fait plop.

De plus, le mot intérêt est inusité ds le contexte envisagé.

Jibé dit: à

« j’ai été très étonné de voir que dans la salle il y avait une grande majorité de jeunes du même âge que les protagonistes du film. Et qu’ils étaient empreints d’une certaine gravité.
J’ai alors pensé que les choses étaient loin d’être gagnées »

comme vous, Jazzi, j’ai vu ce film en salle, et j’ai été témoin des mêmes réactions, les jeunes qui étaient dans la salle semblaient abattus presque. certains parlaient entre eux de leur expérience avec la conviction qu’il ne fallait rien dire aux parents. La même année, j’avais croisé la gay pride, les costumes drôles et inventifs de certains et certaines m’avaient incité à quelques photos: plusieurs m’ont demandé de ne pas les publier sur les réseaux (ce dont il n’était pas question bien sûr). Dans les deux cas, une grande inquiétude, comme lorsque ce jeune gay m’avait abordé pour me parler de l’association « le refuge », m’expliquant les besoins des jeunes jetés hors de chez eux avec l’anxiété de qui s’attend à se faire rembarrer.
Non, c’est pas gagné.
Le puritanisme chez les jeunes et le revival de certaines religions s’ajoute à la défiance, et pire, des parents. D’où le nb élevé de suicides parmi les gays et lesbiennes (je ne connais pas les chiffres, mais sont supérieurs à moyenne chez les jeunes)
Je dirais plus: c’est loin d’être gagné.

renato dit: à

Ah, les petites leçons de rose entre maison de paroisse et cellule de parti, c’est à dire le conformisme dans toute sa gloire.

Jibé dit: à

Alexia N. je me souviens parfaitement de cette séquence, après laquelle la seule solution était de se soumettre (et de pratiquer l’abstinence et même de se faire soigner) ou de se flinguer. Ou de partir loin loin loin.

renato dit: à

L’UEFA nous donne la démonstration que l’administration du sport est par sa nature réactionnaire.

rose dit: à

Renato

Ravie de trouver ce point commun avec vous : le conformisme.

renato dit: à

Janssen J-J, si par une erreur de jugement populaire le RN ou LFI accèdent au pouvoir, je fais ma valise et m’installe ailleurs, car que cela vous plaise ou pas ce sont deux parti douteux — évidemment, la qualité super-ultra-extra de votre « culture » politique vous permet de nuancer selon la nature de vos intérêts.

rose dit: à

Ai vu aussi en 2019 un film latino-américain sur un père qui revendiquait son homosexualité.
Il était sculpteur de sortes de crèches traditionnelles et son coming out ébranlait toute sa famille et provoquait une énorme violence sociale.

Je retrouverai le titre.

Cependant, notons que la Suède constate la déferlante de transgenres depuis peu.

renato dit: à

Bien sur rose, nous sommés tous des conformistes ; conscient de cette évidence je me félicite de ne pas être un conformiste catho-communiste.

Phil dit: à

Adolf H semble faire long feu sur le prestigieux blog à passou, question de genre. L’illumination vespérale de Munich pour tailler en pièces les pédés magyar eût rejoui Röhm (prononcez Reum, pas Rome). Sortez vos longs…couteaux.

et alii dit: à

personnellement, je n’accepte que l’on parle ou écrive en mon nom (sur ce blog « et alii »)et tiens pour des escrocs ceux qui s’en emparent pour justifier leurs opinions plus ou moins sincères
ROUDINESCO a rappelé dans l’entretien que j’ai envoyé en lien combien la question du sujet était importante et qu’elle est piétinée jusque par ceux qui invoquent la recommandation psy, (la grande manipulation des contributeurs trices)

et alii dit: à

je n’accepte pas

et alii dit: à

C’était un vieux serpent de mer du petit monde de la bande dessinée depuis quelques années. Tout le monde reconnaissait en Chris Ware sans doute l’auteur le plus important pour le médium de ces cinquante dernières années, mais le Grand Prix du Festival d’Angoulême se refusait encore et toujours malicieusement à lui. Il a fallu attendre une pandémie mondiale, et l’annulation de l’édition 2021 de l’événement charentais, pour que soit enfin récompensé celui qui racontait l’année dernière son « confinement » dans une planche hilarante publiée dans le New Yorker, dont il est l’un des illustrateurs stars : « Le monde entier a fermé ses portes. C’est formidable, mon style de vie est reconnu ! Trente ans passés à éviter les autres êtres humains ! Les auteurs de bande dessinée ont gagné ! »

lmd dit: à

Pour régler cette question-là, je ne vois pas bien pourquoi j’achèterais ce Mein Kampf et ces trois kilos de commentaires. Et à vrai dire, je me demande qui peut bien s’y résoudre ; peut-être des demandeurs d’exorcisme ?

Jean Langoncet dit: à

@Pour beaucoup d’entre nous, l’aventure finit avec l’assassinat de Meredith Hunter (au cours de la performance de Rolling Stones lors du Festival d’Altamont Speedway — 6 décembre 1969 —, les Hell’s Angels qui assuraient le service d’ordre, assassinèrent Meredith Hunter, un jeune Noir), puisque pour ce qui nous concernait, nous pensions avoir défait les structures subjacentes au racisme, mais les Hell’s Angels montrèrent qu’il n’en était rien.

Incidemment : https://www.rollingstone.com/music/music-news/altamont-death-angel-not-guilty-190196/

Claudio Bahia dit: à

et alii dit: à
C’est l’une des figures les plus stimulantes de la pensée contemporaine. Après avoir séjourné longtemps chez les Indiens d’Amazonie et essayé de comprendre leur culture cannibale, le philosophe et anthropologue en est revenu avec la conviction que leur cosmologie est une ressource pour faire face à la crise écologique. Et une incitation à transformer notre rapport au monde. Nous l’avons interrogé de vive voix à Paris et en visioconférence à Rio de Janeiro, avant et durant la crise du Covid-19.
https://www.philomag.com/articles/eduardo-viveiros-de-castro-pour-les-indiens-quand-un-jaguar-se-voit-dans-le-miroir-il

Bonjour Et Alii,en complément je voudrais dire que dans mon ouvrage sur les peuples indigènes du Brésil, écrit d’abord en portugais puis traduit en français, il y a une note de bas de page sur Viveiro de Castro:
quote:
Les idées généreuses de Cândido Rondon et sa vision idéaliste d’une relation pacifique et harmonieuse entre la Société Nationale et les peuples indigènes impliquaient de reconnaître à ces derniers le droit à la différence, au respect et à la préservation de leur culture.
L’anthropologue Eduardo Viveiros de Castro (*) disait : « nous ne pouvons penser comme les indiens; nous pouvons, au mieux, penser avec eux ». Il n’était pas nécessaire de vouloir à tout prix les intégrer à la société nationale, mais plutôt de les aider à coexister avec le monde nouveau qui s’approchait d’eux à chaque jour un peu plus. Les idées de Cândido Rondon se révélèrent un fiasco irrémédiable, car l’homme occidental de cette époque n’était pas prêt pour cela; pour lui, il n’y avait ni nécessité ni désir d’établir de telles relations.
(*) Eduardo Viveiros de Castro (1951) est certainement l’un des plus influents et des plus respectés anthropologues brésiliens. Sa pensée et son œuvre académique, ainsi que ses travaux de terrain sont connus dans tout le monde de l’anthropologie. Claude Lévi-Strauss, son collègue et mentor, disait de lui: « Viveiro de Castro est le fondateur d’une nouvelle école de l’anthropologie. Avec lui, je me sens en totale harmonie intellectuelle ». L’ultime livre de E. Viveiros de Castro, “Metafísicas Canibais”, de lecture accessible pour des non-spécialistes a été traduit en français: « Métaphysiques cannibales », PUF, 216 pages (2009).
unquote
En fait, la note concernait d’abord Cândido Rondon, ses succés et échecs avec les peuples indigènes rencontrés au cours de son épique travail d’installation d’une ligne télégraphique entre Cuiaba et Porto Velho, travail qui a duré près de 8 ans.
D’ailleurs, c’est en suivant ce qui restait de cette ligne du télégraphe que Lévi-Strauss est arrivé chez les Nambikwara, un peuple qui l’a profondément marqué et qu’il a superbement décrit.
Quant à Eduardo Viveiro de Castro, il a principalement étudié les Araweté, un petit peuple de environ 500 ames localizé sur la rive droite du Moyen rio Xingu, dans le sud de l’État du Pará.

Sur les Araweté, et en relation à l’art de la peinture corporelle, j’en disait ceci:
quote:
La peinture faciale des femmes est très simple: elles tracent une ligne horizontale à la hauteur des sourcils, une autre partant du front jusqu’au bout du nez et deux autres lignes incurvées partant des oreilles jusqu’à la commissure des lèvres. Ce tracé de lignes simples est le même que celui effectué lors de célébrations festives, sauf que dans ce cas les femmes Araweté n’utilisent pas de la teinture de roucou mais une résine parfumée, sur laquelle elles appliquent des plumes minuscules d’un superbe oiseau, le cotinga (Cotinga cayana), au plumage d’un bleu scintillant extraordinaire.

Bonne journée à vous

Claudio Bahia dit: à

renato dit: à
Einstein aurait dit : « Dieu ne joue pas aux dés » en présence de Bohr, qui aurait répondu : « Einstein, arrête de dire à Dieu ce qu’il doit faire ! ».

C’est aussi le titre d’un livre écrit par François de Closet: « Ne dites pas à Dieu ce qu’il doit faire », Editions du Seuil, 2004, 444 pages, 23 €
En épigraphe il y a
-« Dieu ne joue pas aux dés »
– « qui êtes vous, Einstein, pour dire à Dieu ce qu’il doit faire? »
Dialogue entre Einstein et Niels Bohr

Un livre grand public (mais pas trop quand même) très bien écrit, et très intéressant, sur la destinée de Albert Einstein

Claudio Bahia dit: à

Dans le figaro je lit:
« Pénurie et flambée des matériaux »:
je demande: c’est du français ?

bon, je retourne à mon travail, et préparer le churrasco pour mes invités du São João (demain 24 juin)

Janssen J-J dit: à

@ je fais ma valise et m’installe ailleurs, car que cela vous plaise ou pas

Je vous conseille un éloignement au Portugal, les valises n’y sont plus en carton…, A moinss que ce pays ne soit encore trop européen… ? J’ai toujours un brin méprisé les déserteurs, comparativement aux résistants sur place…
Je connais pas mal d’aristocrates distingués qui eurent bcp plus de couilles, par le passé…. Mais que le l’êtes vous, aristoloche de la photo sans p-Interest ?… ,
Serviteur niaiseusement démo-républicate.

@ personnellement, je n’accepte PAS que l’on parle ou écrive en mon nom

N’en ai cure… A pilleuse de troncs juive, pilleur catho-communiste et demi … Roudinesco et Lacan n’aimaient pas trop que l’on parlât en le leur nom, quelque gourous qu’ils fussent…
Quant à tous ces Copiés-Collés qui ne protestent jamais d’être ainsi mutilés par les voraces inscrupuleuses de la culture wikipédiesque universelle !… Qui leur rendra jamais hommage ?…

Soleil vert dit: à

Contes de Tolstoï

Janssen J-J dit: à

@ Si vous tombez dans un trou noir, n’abandonnez pas. Il existe un moyen d’en sortir

Ai retenu ce conseil de lecture dont on trouve une belle illustration dans la Zone du dehors (Damascio) aimablement conseillée par vos soins, cher SV ! En ai tiré un bon profit, croyez le bien !…

renato dit: à

« J’ai toujours un brin méprisé les déserteurs, comparativement aux résistants sur place… »

Déserteur ? et pourquoi au juste ?

Pour ce qui est du mépris, veuillez agréer, Monsieur, le mien.

Janssen J-J dit: à

On va bientôt refêter La Fontaine, il vaut la peine d’en relire l’un des premiers portraits croqué par Tallemant, le Rochelais…
Délicieux, lunatique, rêveur et peu jaloux…, – le sage de Château Thierry… Ecce homo.
https://www.persee.fr/doc/lefab_0996-6560_2010_num_21_1_1186
Veuillez agréer…, Monsieur, mes solfatares et autres fumerolles.

et alii dit: à

la visqueuse est surtout dépitée de n ‘avoir pas un souvenir, d’une citation d’une recherche, d’une rencontre personnelle avec la fille de Jenny Aubry,
qui eut son cabinet et Aix en Provence et qui eut une une activité dans la résistance et qui eut une ; décoration; alors que la visqueuse donna pour siennes des interprétations d’enseignantes et mendia sur la RDL les mots d’autres femmes;
Dieu me préserve de causer de poules comme la visqueuse qui ne séduit personne sur la RDL ni homme , ni femme ;la visqueuse a mal de ne pas se retrouver en gloire dans les jugements de Roudinesco et fait subir sa détresse qui fleure l’antisémitisme et la haine les plus vulgaires à tous ceux et celles qui n’ont pas opté pour ses conformismes;pour ma part, je ne plaindrai pas la visqueuse qui est incapable de consulter un médecin et en apprendre les contr’indications du voltarene que mon médecin m’expliqua récemment
bonne journée et évitez tous les compagnies d’escrocs comme la visqueuse

D. dit: à

JJJ devient fou.

et alii dit: à

à AIX EN Provence

Alexia Neuhoff dit: à

Si j’ai bien compris (tâche ardue en la circonstance), Madame Roudinesco qui bricolait dans son cabinet d’Aix (la Chapelle) s’est fait une tendinite en maniant sa disqueuse et a dû fouiller l’enclos des poules pour récupérer le tube de Voltarène que Mme Aubry lui avait piqué.

D. dit: à

Que Dieu lui vienne en aide pour vite guérir de cette tendinite.

Bloom dit: à

Que Dieu lui vienne en aide pour vite guérir de cette tendinite.

Dieu est une femme kiné d’origine marocaine.
QED.

D. dit: à

Elle est morte en 87. Pardon. Je retire.

et alii dit: à

voilà, alexia, vous lisez comme une erdélienne;apprenez aussi que le prêtre psy tony anatrella sera jugé

D. dit: à

Mais non je dis des conneries, la tendinite c’est bien E. Roudinesco. Ah mais.

D. dit: à

Les visqueuses, ça se manie pas comme ça.

D. dit: à

J’ai relu des bouts du Petit Prince. Je vais tempérer quelque peu mon propos d’hier qui a pu paraitre dur.

et alii dit: à

D,comme on dit sur la RDL, JE M’EN TAPE de vos commentaires avariés

et alii dit: à

pour l’exactitude:

Le deuxième moment charnière est celui de son installation à Luynes avec son mari, près d’Aix-en-Provence, lorsqu’elle prend sa retraite de médecin des hôpitaux en 1968. Cette date en effet marque l’épanouissement du courant lacanien en Provence. Entre 1965 et 1968 Daniel Bordigoni faisait souffler tout seul le vent nouveau. Les Écrits de Lacan venaient de paraître, repère essentiel dans la chrono-logie. Ricœur, armé de sa fréquentation du Séminaire de Lacan à Paris, bataille ferme à ciel ouvert contre les pujoliens et contre Denise Pache. Il ne pouvait aller sur le divan de Bordigoni, l’ayant fréquenté à Strasbourg et à Paris. Jenny Aubry joue un rôle important au congrès d’Aix de l’efp en 1971, comme à celui de Montpellier en 1973, à l’occasion duquel, Élisabeth Roudinesco le rapporte, elle est vivement prise à partie par Oury, Guattari, Ginette Michaud et d’autres membres de l’équipe de la clinique de La Borde, héritiers de la psychothérapie institutionnelle…
40. Madame Aubry
Dans Dans le midi de Lacan

D. dit: à

Tant mieux car ça ne s’adresse pas à vous.
Je vous trouve autoritaire, et alii.
Cela est permis aux autorités, dont vous êtes. Donc pas de problème me concernant.

D. dit: à

Comment ça Dansdans ?

D. dit: à

Et aliu, j’ai bien noté que vous n’étiez en rien lacanienne, mais connaissez-vous Catherine Millot ? Je l’ai écoutée tout récemment chez Laure Adler.

et alii dit: à

D? LA CONNAÏTRE? NON
j’ai été l’écouter autrefois dans une fac (Vincennes,je crois)où elle avait un séminaire

lmd dit: à

et aliii Attention à l’exactitude,
….Daniel Bordigoni et Denise Pache sont de mes amis.

renato dit: à

Premiers pas du variant Delta Plus…

Patrice Charoulet dit: à

VARIA

Le nom de Stendhal était Henri-Marie Beyle.

Stendhal a perdu sa mère à 7 ans.

Son nom de plume est fondé sur une petite ville prussienne (sans « h ») : Stendal.

« L’alexandrin n’est le plus souvent qu’un cache-sottise. » (Stendhal)

En 1839 , Stendhal a écrit « La Chartreuse de Parme », son chef-d’oeuvre, en 52 jours.

« Je serai célèbre vers 1880. » (Stendhal)

(Dans un roman), la politique, c’est un coup de pistolet dans un concert. (Stendhal)

Qu’est-ce qu’un amour qui fait bâiller ? (id.)

Au séminaire;il est une façon de manger un œuf à la coque qui annonce les progrès faits dans la vie dévote. (Stendhal)

Il y avait de bonnes raisons pour qu’ils n’eussent pas l’air penseur . (id.)

« To the happy few. » (id.)

Ils me donneraient la moitié de ce qu’ils volent que je ne voudrais pas vivre avec eux. (id.)

On meurt comme on peut. (id.)

« Les phrases de neuf lignes… » (id.)

La politique consiste essentiellement à prévoir. (Jacques Bainville, 1920)

« Sans une doctrine on n’a pas de politique. » (id.)

« Je voudrais qu’on pût engager nos frères les gens de lettres à laisser, en discutant, le ton rogue et tranchant. » (Beaumarchais)

« Jamais on n’a tant parlé pour si peu dire. » (Taine)

« Chacun abonde et surabonde en son propre sens. (id.)

Quelqu’un a écrit un livre intitulé « Happy Inde ».

« Abstention, piège à cons » (titre d’un hebdo papier, en juin 2021)

« J’ai voulu devenir philosophe pour comprendre comment Auschwitz fut possible. » (Catherine
Clément, reçue première, à 22 ans, à l’agrégation de philosophie)

« Bergson se fit porter au commissariat pour se faire enregistrer comme juif, reçut son étoile jaune et mourut en 1942. » (id.)

Janssen J-J dit: à

@ Si j’ai bien compris (tâche ardue en la circonstance), Madame Roudinesco qui bricolait dans son cabinet d’Aix (la Chapelle) s’est fait une tendinite en maniant sa disqueuse et a dû fouiller l’enclos des poules pour récupérer le tube de Voltarène que Mme Aubry lui avait piqué. ///

Y avait déjà un ‘ti poil de talent dans le texte de txfl sur la Disqueuse à Vis, mais là, Alexia…, c’est du grand art oulipien !… (etalii peut aller se rhabiller, la queue basse et le poignet ramollo)…

Soy mdr, esclaffé, cul par terre, au pissat al’culotte ! 🙂 🙂
Quelle rue brique à braque, des fois !… Merci, chère A N pour votre excellentissime humour, c si rare sur c’te chaine toujours mal huilée des embouchures !

Moralès sed laisse dit: à

Toto rit, na!

Janssen J-J dit: à

@ mon propos d’hier qui a pu paraitre dur.

que nenni… Moi j’en en ai rien dit, car en étais TAF d’accord…
Comme vous, ai tjs trouvé ce bouquin surfait parfaitement insupportab’… de prétention, et certainement bien plus insignifiant que la série de mes Bécassine.
Parait qu’il ne faut pas le crier sur les toits, car des terroristes intégristes faisant partie de la secte, risqueraient de vouloir se venger…
Cela dit, la vie communiée de St-Ex et Consuelo est intéressante, au regard de l’histoire mouvementée de ce couple. Elle se laisse appréhender avec plaisir… Bàv,

Janssen J-J dit: à

Un organisme anaérobie est capable de vivre et de se développer dans un environnement dépourvu d’oxygène
(Toto rit na-in jaune, par exemple, avec l’SMS du soir).
23.6.21_19.05, tchinz, RM… à la blanquette de Limoux !

et alii dit: à

vous pouvez parlez de la camarde qui rigole toute la soirée ,j’ai autre chose à « faire »
rigolez bien:
Sur les 71 personnes décédées du variant dit « indien » du Covid-19, ils étaient 26 à avoir une vaccination complète, soit près de 36% des morts infligées par ce variant. L’Express

Soleil vert dit: à

« J’ai voulu devenir philosophe pour comprendre comment Auschwitz fut possible. » (Catherine
Clément, reçue première, à 22 ans, à l’agrégation de philosophie)

Non-sens : La pensée d’Heidegger n’a pas fait obstacle au nazisme. L’ a t-elle encouragée ? C’est aussi discutable.
La philosophie n’explique ni ne réfute le nazisme.
Ce n’est pas l’outil approprié. Il faut se tourner vers l’Histoire ou l’Inexplicable comme dirait Lanzmann

Bloom dit: à

Pour revenir au sujet du billet, je suis tombé il y a peu sur un article du « New Yorker » d’avril 2018, intitulé « The Hitler Vortex, How American racism influenced Nazi thought », qui met en exergue les points de contact entre l’idéologie & les pratiques racistes américaines et le nazisme.
https://www.newyorker.com/magazine/2018/04/30/how-american-racism-influenced-hitler
L’article vaut le coup d’être lu car il permet d’aller un peu plus loin que l’évocation classique des nazis américains genre Henry Ford, Charles Lindbergh ou encore l’archi antisémite Charles Coughlin, comme Philip Roth les met en scène sans complexe dans The Plot against America.

Morceaux choisis:

“Thomas Jefferson spoke of the need to “eliminate” or “extirpate” Native Americans. In 1856, an Oregonian settler wrote, “Extermination, however unchristianlike it may appear, seems to be the only resort left for the protection of life and property.” General Philip Sheridan spoke of “annihilation, obliteration, and complete destruction.” To be sure, others promoted more peaceful—albeit still repressive—policies. The historian Edward B. Westermann, in “Hitler’s Ostkrieg and the Indian Wars” (Oklahoma), concludes that, because federal policy never officially mandated the “physical annihilation of the Native populations on racial grounds or characteristics,” this was not a genocide on the order of the Shoah. The fact remains that between 1500 and 1900 the Native population of U.S. territories dropped from many millions to around two hundred thousand.” (…)

[Hitler] made frequent mention of the American West in the early months of the Soviet invasion. The Volga would be “our Mississippi,” he said. “Europe—and not America—will be the land of unlimited possibilities.” (…)

“California’s sterilization program directly inspired the Nazi sterilization law of 1934” (…)
“In 1924, the first execution by gas chamber took place, in Nevada. In a history of the American gas chamber, Scott Christianson states that the fumigating agent Zyklon-B, which was licensed to American Cyanamid by the German company I. G. Farben, was considered as a lethal agent but found to be impractical. Zyklon-B was, however, used to disinfect immigrants as they crossed the border at El Paso—a practice that did not go unnoticed by Gerhard Peters, the chemist who supplied a modified version of Zyklon-B to Auschwitz. Later, American gas chambers were outfitted with a chute down which poison pellets were dropped. Earl Liston, the inventor of the device, explained, “Pulling a lever to kill a man is hard work. Pouring acid down a tube is easier on the nerves, more like watering flowers.” Much the same method was introduced at Auschwitz, to relieve stress on S.S. guards.” (…)

Jazzi dit: à

« Pour revenir au sujet du billet… »

Sur un blog de langue française, svp, Bloom !

renato dit: à

Jefferson, pour ses ambivalences et contradictions, restera pour moi un mystère.

et alii dit: à

Ce que le nazisme a fait à la psychanalyse
Laurence Kahn
Collection:
Petite bibliothèque de psychanalyse
Discipline:
Psychologie et Psychanalyse

et alii dit: à

Mais ce que j’ai souhaité et essayé de repérer, au-delà de la catastrophe dans les vies individuelles, c’est la manière dont les nazis avaient atteint la psychanalyse dans son utilisation de la culture.

De quelles façons ?
Très tôt, l’usage nazi des mots de la culture fait écho au vocabulaire de la psychanalyse. Des mots qu’ils détériorent et pétrifient. Par exemple le mot «pulsion», Trieb en allemand, que la traduction française de Mein Kampf en 1934 restitue de façon erronée par «instinct». De même, l’expression «pulsion d’autoconservation», mise par Hitler au service de la destruction d’une partie de l’espèce et de la justification d’un «Lebensraum». Ou encore le terme d’inconscient ou celui de forces obscures. Plus largement, dans l’Homme Moïse et la religion monothéiste, Freud désigne le «grand homme» avec le terme «Führer». Certes, le mot est banal en allemand, employé dès les premières traductions du Contrat social de Rousseau pour nommer le «chef». Mais en 1934, sa charge est tout autre. Thomas Mann repère ces dévoiements et les souligne avec une ironie mordante dans Frère Hitler (1938), qui fit scandale, ou dans la Loi (1943). De même il insiste sur le fait que les nazis développent une théorie de la pulsionnalité et il en fait part à
https://www.liberation.fr/livres/2018/05/11/les-nazis-ont-deteriore-et-petrifie-les-mots-de-la-psychanalyse_1649427/

et alii dit: à

Pourquoi invoquez-vous autant Imre Kertész dans votre essai ?
C’était un survivant de l’Holocauste, un romancier, un lecteur de Thomas Mann et d’Adorno, et un traducteur de Freud. Il était en quête de la «langue d’après Auschwitz» qu’il voulait «atonale» pour indiquer la brisure que représentait Auschwitz. Il eut aussi le culot d’utiliser l’expression de «contre-culture nazie». Culot, car «contre-culture» véhicule l’idée d’une avant-garde émancipatrice et créatrice. Kertész le fait après que les nazis, en fait de contre-culture, interdisent l’échange entre Einstein et Freud sur les causes de la guerre et les sources de la destructivité, qui devait paraître en trois langues en 1933.

Comment cette «contre-culture» atteint-elle la psychanalyse ?
Elle fut un renversement. Après Auschwitz, il faut réfléchir à la culture telle que l’entend la psychanalyse, c’est-à-dire à la façon dont nous vivons ensemble, à partir de ce meurtre inaugural nazi et non plus à partir du meurtre originaire du père, depuis lequel Freud conçoit les interdits civilisateurs. Mais rares sont les analystes qui ont investi ce terrain.

Quelles conséquences eut Auschwitz sur la pratique analytique ?
L’inflation de l’empathie, entre autres. En travaillant sur Shoah, de Claude Lanzmann, j’ai découvert un très grand nombre de textes issus de débats tenus autour du film. Ils étaient entièrement centrés sur la pathologie des rescapés, et ils expliquaient que Shoah était le film de quelqu’un définitivement traumatisé par les camps dans sa jeunesse, qui avait subi comme tous les rescapés un abrasement de la mémoire sous le coup du traumatisme. Selon eux, la théorie psychanalytique était trop sévère, trop froide pour s’adapter à l’écoute du patient traumatisé par Auschwitz. Ils reprenaient des enquêtes américaines de 1961 sur la pathologie d’un rescapé, affirmant que celui-ci souffre d’un trauma spécifique qu’il faut l’écouter avec une méthode spécifique : l’empathie. Le psychanalyste devait tenir la position de la mère pour réparer le rescapé : il ne restait plus rien de la théorie analytique.

Pourquoi l’empathie vous gêne-t-elle ?
L’idée qu’on va pouvoir en finir avec l’effroi en reconnaissant la douleur de la victime et qu’à soi seule, cela doit la réparer, est une position simpliste. Or elle s’est généralisée. Je me souviens de la page d’accueil d’un site psychanalytique américain, montrant des demandeurs d’asile syriens derrière des fils de fer barbelés, avec comme surtitre : «Empathy for refugees». Notre empathie leur faisait une belle jambe. Est-ce que la responsabilité des psychanalystes ne consiste pas plutôt à se demander pourquoi ces réfugiés sont retenus derrière des fils de fer barbelés de triste mémoire ? Là, je retrouve Kertész, dont la langue est dénuée d’emphase et qui refuse absolument tout pathos pour écrire sur l’Holocauste.

Autre effet du nazisme sur la psychanalyse : la prégnance de l’identité…
En effet : pourquoi l’identité est-elle devenue le fer de lance de toute une psychanalyse qui adore réparer les troubles identitaires, alors que l’identité est aussi l’arme de guerre du refus des étrangers ? Le nazisme a atteint la théorie analytique là où pointe le mal qu’il nous a appris. Il a fait de l’identité un élément majeur, il a réveillé en nous une passion identitaire. Comme si le vœu nazi d’ignorer la complexité de la vie psychique s’accomplissait encore là.

rose dit: à

Comment chez Gallimard se pratique l’hégémonie.
Et que je te bouffe les Éditions de Minuit.
L’accord financier ? Secret.

et alii dit: à

une pensée pour Claudio
 » au Brésil, à São Paulo plus précisément, où Christian Dunker est professeur de philosophie et psychanalyste. Si ce jovial et passionnant intellectuel manifeste à Lacan un grand respect, cela ne l’empêche nullement de lui adresser de sévères critiques quant à sa politique institutionnelle, à la gestion de son École et à ce qui lui fit suite, la multiplication des chapelles, en France mais au Brésil aussi bien, chacune s’attribuant « le sel de la vérité de la vraie psychanalyse ; elles ont commencé par produire des caudillos et des petits maîtres de tous genres, à l’unisson de notre histoire politique à faible tradition républicaine […] avec le temps cela a donné naissance à une vague d’analystes fabriqués à la va-vite… ». Une lettre qui laisse poindre le sens de l’acidulé qui s’entend très fort si l’on écoute Dunker de vive voix comme j’ai eu la chance de le faire mais qui ne masque pas une souffrance – sous-France, ironise-t-il en s’appuyant sur les déboires de la « Seleção » face à l’équipe de France (il s’agit de… football) et sur ce qui peut en résulter pour « notre nationalisme sous-tropical ».https://www.en-attendant-nadeau.fr/2018/11/20/cher-jacques-lacan-laufer/

et alii dit: à

« Tous, tels que nous sommes ici, nous sommes tous racistes, tout le monde en plus le sait, tout le monde passe son temps à tout faire pour que pratiquement finisse la race, mais il est tout à fait clair que c’est absolument indéracinable. »
Jacques Lacan, « Conférence du 14 octobre 1972 à l’École belge de psychanalyse ».

Phil dit: à

Et que je te bouffe les Éditions de Minuit.

Le bouffé était volontaire. Histoires de bouffis.

rose dit: à

Rose, du parti communiste chinois.

Marie Sasseur dit: à

Le vieux rogommeux, qui cause bouffis , comme lui, a trop kiffé le romantiss schleuh de Vercors ….

Marie Sasseur dit: à

Passou, c’est ce soir ou demain, un soir au club ?

On en a soupé de ce cette entreprise éditoriale allemande menee par un théologien protestant, dont on connait les atermoiements avec l’éthique, et un theorisateur du complot…

Marie Sasseur dit: à

Ah non ce soir c’est Benzema contre les Portugais; ce sera donc un autre soir pour le jazz.

Jazzi dit: à

Six fois « la visqueuse » dans le même commentaire.
Attention, terrain glissant, et alii !

Marie Sasseur dit: à

Un penalty tiré par Ronaldo, et le coq français qui chante trop fort peut aller se coucher comme les poules.

Jazzi dit: à

Un penalty tiré par Benzema et la Sasseur peut aller se rhabiller !

Marie Sasseur dit: à

21h51 sur le stade : 1 partout.
On est refait. L’honneur de la France sauvé par la king de la sextape.

Jazzi dit: à

LE GROUPE MADRIGALL :

Gallimard
Mercure de France
Denoël
P.O.L.
La Table Ronde
Flammarion
Casterman
Arthaud…

et les éditions de Minuit !

Qui dit mieux ?

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