Houellebecq et l’islam : bis repetita
Remettez-nous ça ! La scène qui se jouera bientôt devant un tribunal entre Michel Houellebecq et l’Islam de France a un petit air de déjà vu et entendu. Car il semble bien qu’elle aura tout de même lieu : Chems-Eddine Hafiz, directeur de la mosquée du 5ème arrondissement dite « Grande mosquée de Paris », a retiré sa plainte pour « provocation à la haine contre les musulmans » après une négociation avec l’écrivain à l’issue de laquelle celui-ci a accepté de modifier, d’atténuer ou de supprimer des passages dans le livre qui sera tiré de l’entretien ; mais pour sa part, l’Union des mosquées de France (UMF) a maintenu sa plainte de même que le Conseil français du culte musulman (CFCM).
La judiciarisation de la vie littéraire est certes regrettable mais le phénomène est plus ancien qu’on ne le croit. Sauf que le procès à venir n’aura rien de littéraire. Il ne sera pas question des livres de Michel Houellebecq, mais de certains ses propos récemment parus à l’occasion d’un copieux entretien croisé avec le philosophe Michel Onfray dans un hors-série de sa revue Front Populaire. Il lui est reproché d’essentialiser tous les musulmans comme des islamistes et d’appeler les Français à prendre les armes contre eux. Qu’on en juge :
« (…) Quand des territoires entiers seront sous contrôle islamiste, je pense que des actes de résistance auront lieu. Il y aura des attentats et des fusillades dans des mosquées, dans des cafés fréquentés par des musulmans, bref, des Bataclan à l’envers (…) Le souhait de la population française de souche, comme on dit, ce n’est pas que les musulmans s’assimilent, c’est qu’ils cessent de les voler et de les agresser. Ou bien autre solution, qu’il s’en aille ».
Face à la bronca, Michel Onfray vola à son secours en mettant cela sur l’exigence de « généralisation » (?) qu’exigerait toute conversation (!). Lui et d’autres tel l’éditorialiste Mathieu Bock-Côté et le philosophe Robert Redeker déplorent la décontextualisation (air connu) des propos incriminés ; en appellent à la défense la liberté d’expression en agitant le spectre de la censure et en usant de grands mots tel que « inquisition », « scandale absolu », « bouc-émissaire », « délit d’opinion et de blasphème »… A les en croire, Houellebecq est juste pessimiste. Il ne souhaite pas : il décrit. Ben voyons ! (si je puis permettre sans que pour autant…). Plus nuancée, Caroline Fourest estime dans Franc-Tireur que la plainte de la mosquée n’est pas « déraisonnable ». Toutes choses qui rappellent des souvenirs.
C’était en septembre 2001. Le romancier venait de publier Plateforme. A cette occasion, le magazine Lire consacra plusieurs pages à un long entretien qu’il accorda à un journaliste de la rédaction, Didier Sénécal. Ils passèrent toute la soirée à discuter à bâtons rompus, du livre et du reste. Il y disait notamment ceci :
« (…) Et la religion la plus con, c’est quand même l’islam. Quand on lit le Coran, on est effondré… effondré ! (…) L’islam est une religion dangereuse, et ce depuis son apparition. Heureusement, il est condamné (…) À long terme, la vérité triomphe (…) L’islam est miné de l’intérieur par le capitalisme. Tout ce qu’on peut souhaiter, c’est qu’il triomphe rapidement. Le matérialisme est un moindre mal. Ses valeurs sont méprisables, mais quand même moins destructrices, moins cruelles que celles de l’islam. »
Il faut au moins lui reconnaitre de la suite dans les idées. Plusieurs associations musulmanes à commencer, déjà, par la mosquée de Paris et celle de Lyon, ainsi que la Ligue islamique mondiale rejointes par le MRAP et la Ligue des droits d l’homme, portèrent plainte. En ce temps-là, l’écrivain était soutenu par la critique de gauche et d’extrême-gauche qui applaudissait à chacun de ses livres ; et malgré la misogynie qui se dégageait de ses romans comme de ses interviews (à l’époque, des esprits crédules faisaient encore le distinguo entre les deux mais ça leur a passé depuis), un large public féminin en France comme à l’étranger s’enthousiasmait pour leur lecture.
L’audience se déroula de 13h30 à 22 h en présence de très nombreux journalistes français et étrangers devant la 17ème chambre correctionnelle du TGI de Paris. Je me trouvais également sur le banc d’infâmie in solidum en tant directeur de la rédaction de Lire. Michel Houellebecq se montra d’une parfaite lâcheté. Au lieu d’affronter les représentants des organisations musulmanes qui lui faisaient face, il se défaussa sur le magazine, allant jusqu’à prétendre, en dépit des preuves irréfutables (bande magnétique etc) que son interview était truquée, qu’on avait sorti des phrases de leur contexte (air archi-connu) que la transcription était fautive, que ses propos avaient été mis en scène, qu’ils étaient tenus dans le cadre d’une œuvre de fiction (métaphore inédite pour désigner un bistro, euphémisme original s’agissant d’une interview journalistique), qu’on l’avait fait boire (comme s’il avait besoin qu’on l’y aide !) et que toute façon il changeait souvent d’avis. Les magistrats suivirent le parquet et, au nom de la liberté d’expression, Houellebecq et Lire furent relaxés.
Vingt-deux années ont passé. Il ne fait plus régulièrement la couverture des Inrockuptibles mais celle de Valeurs actuelles. Seuls les naïfs s’imaginent encore qu’il a évolué ou retourné sa veste, ce qui les dispense de s’interroger sur leur propre aveuglement. Car il est d’une absolue fidélité à ce qu’il a toujours été : un décliniste apocalyptique profondément réactionnaire, menteur et provocateur, bien plus malin et intelligent que ses admirateurs. S’agissant de l’Islam, il n’a pas bougé d’un iota. Il sera néanmoins intéressant d’observer les suites de ce nouveau procès. Il agira comme un reflet de l’air du temps. En 2001, le tribunal avait débouté les plaignants au motif que les propos incriminés relevaient du droit à la critique des doctrines religieuses. Qu’en sera-t-il dans une société où les notions d’identité, d’assimilation, d’islamophobie sont désormais largement controversée, vis-à-vis d’un public et un milieu littéraire où sa misogynie crasse sera traitée avec moins d’indulgence ?
On verra bien ce qu’il en sera au prochain procès. La première fois, le procureur de la République estimait que les propos de Michel Houellebecq visaient l’islam et non les musulmans Ce qui n’est pas le cas de la récidive. Vingt deux après, la société a changé. Mais pas l’écrivain. Il pourra toujours plaider qu’il avait simplement voulu venger sa race. Mais ca ne lui vaudra pas le prix Nobel de littérature.
(Métaphore théâtrale de l’entretien Houellebecq/Onfray : une remarquable adaptation de Fin de partie de Samuel Beckett à l’affiche du Théâtre de l’Atelier à Paris jusqu’au 5 mars dans une mise en scène de Jacques Osinski avec, dans les rôles principaux, deux comédiens époustouflants : Denis Lavant (Clov) et Frédéric Leidgens (Hamm). Photo Pierre Grosbois)
1 443 Réponses pour Houellebecq et l’islam : bis repetita
Bon courage Bloom.
Bon ciné Janssen J-J.
Et que Sasseur soigne son ulcère variqueux.
Un gynéco n’est pas un généraliste.
Le mien est rugbyman, ancien urgentiste, vivait à Hazebrouck. ♥️👏🍒. M’a raconté en détail l’hôpital où a été soigné Louis Ferdinand. L’aile en question n’existe plus. La structure est en U.
Lorsque je l’ai choisie, il y a trente ans, j’aurais dû me méfier. Son cabinet était déserté. Ne sais pas encore pour moi. Une erreur médicale, une morte ?
J’ai tenu bon.
Des années après, elle m’a réclamé le paiement d’une consultation que j’avais fait, ô chance par chèque.
Ai retrouvé le chèque, lui ai dit ce n’est pas moi qui ne vous paye pas vos consultations.
Des années après, je rentrais dans la ménopause, elle a refusé de me prescrire un traitement hormonal pour m’accompagner dans ce processus de cessation des règles. J’ai demandé, a minima trois fois.
Des années après, elle m’a dit qu’elle se l’était prescrit à elle parce qu’elle en avait besoin et pas moi pck je n’avais pas suffisamment de bouffées de chaleur.
Aucun respect de mes désirs.
Sur le plan de l’auscultation, elle est correcte.
Fin sept.2022, j’ai vu une vieille femme à côté de moi, au corps délicat d’adolescente. Je lui ai dit « je vous connais mais je ne sais pas qui vous êtes ».
Elle m’a mise sur la voie, puis elle s’est tirée ailleurs.
Je ne l’avais pas reconnue.
Les femmes qui changent de gynéco sont celles qui se font vider comme un lapin pck elles ont des horreurs gros comme des pamplemousses qui leur poussent dans l’utérus.
N’empêche, ma gynéco est une salope et une grosse conne, très mince, jolie.
Et moi, je lui ai servi d’objet d’études sur comment on entre dans la ménopause les mains vides et le coeur lourd.
C’est derrière moi.
Notre besoin de consolation est impossible à rassasier, ce n’est pas pour moi du tout. Du tout.
Intérêt zéro, affect zéro, etc.envers elle. Je ne suis pas sûre d’en changer.
Ne sais pas encore pourquoi. J’étais alors une parisienne émigrée depuis peu.
La rosse devrait faire soigner sa grande hystérie, et prendre rdv sur doctolib avec un dr Charcot 2.0.
Quelle chiasse elle deverse sur ce blog jour et nuit.
Tant qu’à obtenir un RDV, proche ou lointain, mieux vaut que ce soit avec un bon médecin, closer.
Vivants sous un régime libéral, il nous est encore possible de faire jouer la concurrence.
Merci qui ?
moij, MS et RPTV, je trouve que la façon de raconter sa vie est super intéressante, inédite et insolite… Elle assume… Epi, té ma soeur, t’es pas obigée de raconter la tienne non pu… (ou de lire la sienne)…
On supporte tous./tes nos calvaires préférés, icite, hein ? On supporte bin tous.tes ton humeur de fosse d’aisance empoissée… Et pourtant, personne ne veut ton éviction par la chiasse d’eau. So what ? Chacun se merdr’, comme dirait notre ami le gentil lézard gris… Pas vrai, pustule ? Bàv,
J’ai rien compris à la gynéco de rose, c’est une salope et une grosse conne, très mince, jolie, qui fut un ancien rugbyman !
Tiens justement il vient nous faire son cours de libéralisme tempéré par la bonne main invisible de la concurrence saine et loyale…, où le client-consommateur serait libre de « choisir » au gré de ses humeurs pectorales…
Sauf que ça n’existe que dans son indécrottable déalisme macronien… La réalité réelle est autre pour la majeure partie de la popu… Mais il ne le sait pas. Tant mieux pour lui, Jzmn est un homme heureux qui n’a jamais eu le souci des autres, en dehors du sien. Bàl,
juste une gentille rivalité de bonnes femmes qui s’estiment et se détestent, mais qui ne sauraient se passer l’une de l’autre… Ne pas chercher à en savoir plus. Mais nous autres, sommes nous si transparents et du genre à aplanir toutes nos contradictions, à ne pas les laisser apparaître… ? Meuh, jzmn… Vos critiques de cinéma restent toujours un brin superficielles, elles ne dérangent personne, finalement. Voilà ce qu’on peut leur reprocher sans moindrement les jalouser… Perso, je n’aimerais pas m’imposer pareil pensum… Entendons nous bienj. Mais je suis heureux que vous teniez à jour gracieusement votre chronique que j’ai plaisir à lire, à défaut d’en suivre les recommandations à la lettre. Mancrépuxa ! Bàv.
Le keuf raconte sa vie de merde dans son enclos, il a trop besoin d’une moman.
Il en a trouvé une dans un cantou et lui écrit des lettres.
C’est la vie qu’ils se racontent ces vieux toxiques.
Je zappe.
Oui mais tout ça ne nous explique pas quel est le genre du, de la, gynéco de rose, JJJ !
très bien mariej, zappez et tirez bien fort sur votre chasse, et surtout faites attention que l’eau ne vous rejaillisse pas sur le nez avec le désinfectant. Il est des eaux de javelles autrement toxiques… Bàv,
« Vos critiques de cinéma restent toujours un brin superficielles, elles ne dérangent personne, finalement. »
Ce ne sont pas à proprement parler des critiques, JJJ.
Des éléments de mon journal cinématographique, tenu au jour le jour, comme vous le faites pour vos lectures, me semble t-il.
Je cherche plus à informer, donner mes impressions que « déranger »…
Les délires de cette ivrogne Gigi la visqueuse dans ce pauvre bar aux vieux cons bourrés qu’est la Rdl sont d’une bêtise telle qui dépasse l’entendement même des soûlards !
Ils ont donc opté pour l’ortho italienne, rose — il faudra qu’Antidote fasse une mise à jour.
@ jzmn… Mais ce n’est pas le sujet… Nous sommes en présence d’un rapport de « bonnes femmes » (au sens non péjoratif de l’expression, comme vous le savez depuis Claude Chabrol)… Nous ne sommes pas à leur place pour savoir ce qui les lie exactement. Alors réfléchissez à ceci : pourquoi croyez vous que les machos grecs pratiquant la sexualité de moeurs très codifiée que vous savez, ont(il inventé le mythe de Tirésias en ses mamelles ? Parce qu’ils s’étaient aperçus du trouble que généraient les hermaphrodites dans leur société de classe : pouvoir éprouver une joiussance égale à pénétrer et être pénétré. Voilà le danger suprême : impossible alors de pouvoir justifier la suprématie du mâle sur la femelle dans la Cité dont pouvait se revendiquer le pouvoir des un.es et des autres à partir de Tirésias.
Laissons notre amie roz se débattre avec sa gynécologue. Accordons-lui comme plausible ses rapports de compagnonnage avec cette personne transgenre. D’ailleurs, ne pourrait-on pas soutenir, dans l’idéal, que ce devrait être le statut identitaire de ce type de praticien spécialisé, objectivement les meilleurs thérapeutes compassionnels qui soient ?
A méditer, non ?… Bàv jzmn !
C’est le généraliste qui fut rugbyman JB. Sois attentif!
Il parvient à destabiliser jissé au point de le faire sortir de son bar-tabac, dès qu’il touche aux frontières du genre… Le gars en sort tout é-branlé, à la rescousse de sa soeur.
@ Jzma, j’ai bien compris le sens de votre petite entreprise… Je vous présente toutes mes excuses si je vous ai blessé en quoi que ce soit. Bàv,
@JJJ
« Allègre »… ma non troppo… vous avez une mémoire de vieil éléphant… de mammouth, quoi.
J’aurais un gynéco « rugbyman », je prendrais Laporte.
« Un gynéco n’est pas un généraliste.
Le mien est rugbyman, ancien urgentiste, vivait à Hazebrouck.(…)
Lorsque je l’ai choisie »
Avoue, closer, que le manque d’attention est plutôt dans la rédaction, ce qui n’arrange pas la lecture !
Mais enfin, j’avais compris, et je faisais de l’humour auquel seule Alexia a répondu sur le même ton…
un homme que j’ai quand même un peu connu -mon père-n’était certes pas un savant et il fut à peine scolarisé;n’empêche, comme il était dans l’intendance, à la 2guerre(il avait déjà fait honorablement la première) il fit ravitailler l’armée allemande de vaches avariées;bref le sabotage un vrai! réussi, et on sut que c’était son fait, il avait été prévenu qu’il était recherché et prit le premier train qui l’emmena dans les Pyrénées;
d’ailleurs, ce même homme, instruit plutôt par la guerre, monta peu après la libération, le plan de la congélation en FRANCE. et il réussit là encore;
J’aurais un gynéco « rugbyman », je prendrais Laporte.
Excellentissime, comme d’hab, AN ! je ris, mais je ris (intérieurement)… Votre humour détrônera toujours ses invectives, dans ma mémoire trieuse. Ouij ai besoinj de m’inventer une mômanj. Pas besoin d’une NTMj !
ah, la source pour Charoulet, je crois, dans le tweet hidden…
3[« Tout le monde veut sauver la planète mais personne ne veut descendre les poubelles. »]
Le mien de généraliste.
Ouh là, les gars sortez de votre antre.
Cui en cuisine pas le temps.
Juste pour dire a Sasseur que je pense depuis ce matin à vous et à Camille Claudel.
Suis
LE mimosa bleu vaut-il comme sensitive? PROUST LE SAVAIT SUREMENT.
EN ATTENDANT
Oncle Marcel : Une affaire de famille
La galerie du Passage – Pierre Passebon accueille du 9 décembre 2022 au 15 février 2023, l’exposition Proust par WIAZ.
Au 20 Gal Véro-Dodat, 75001 Paris
https://www.galeriedupassage.com/
AVEC IMAGES SUR la règle du jeu
bonne journée
Je découvre qu’il y a même Sherlock Holmes dans « La Recherche du temps perdu ». Il y a tout dans « La Recherche du temps perdu ».
Il y a peut-être un petit problème de chronologie. La Recherche est tout de même censée se passer de 1897 à 1900 pour l’action principale.
Mais il y a plusieurs problèmes de chronologie dans la Recherche.
Ces subjonctifs imparfaits mon dieu ! Ces subjonctifs imparfaits !
« La fermeture des églises ou la déportation des curés »
MDR
Marcel Proust charrie la bonne.
Faux comptes Facebook (suite)
Deux célèbres avocats parisiens tous deux avocats au Conseil, Patrice Spinosi et Fraçois Sureau
(devenu académicien français) partageaient le même cabinet. Depuis deux ans ,chacun a son propre cabinet.
Jetant un œil sur le compte Facebook de Patrice Spinosi , j’ai observé plusieurs anomalies, au point de contacter le cabinet de cet avocat. Réponse écrite de l’assistante juridique « Patrice Spinosi n’a pas de compte Facebook. » Conclusion (que j’avais pressentie) : Piratage.
Jetant un œil sur le compte Facebook de François Sureau, j’ai observé aussi plusieurs anomalies, au point de contacter le cabinet de cet avocat. Après coups de fil et mails, il apparaît que François Sureau n’a pas non plus de compte Facebook. Autre piratage.
Le plus inquiétant pour lui est que sur le faux compte Facebook, figure en gros caractère un faux mail de François Sureau. Je laisse imaginer les conséquences. Un mail adressé là aboutirait dans les filets du pirate !
Ah Alexia, que je vous remercie de m’avoir restitué le Danton, que le côté romantique de votre serviteur avait antidaté ! Cela dit, comme il vous faut de l’époque, comme d’autres du Henri II nous attendrons l’un et l’autre que revienne à la mode Marie-Joseph Chénier, Monvel, et quelques autres dont charles IX ou l’ école des rois , Abufar ou la Famille Arabe, où ces Victimes Cloîtrées rigoureusement d’époque et chèrement mises en scene. Vous et moi, si nous sommes encore là , aurons de bons prétextes pour bailler d’ennui à l’écoute de ce théâtre plus pré, que révolutionnaire. On pourrait même y ajouter Ducis, contraint d’écrire un dénouement optimiste à Othello pour ne pas fâcher de farouches sans-culottes qui venaient au théâtre pour se détendre , entre deux guillotinades, et ne pouvaient supporter un dénouement aussi horrible Est- ce -que ce n’est pas alléchant comme programme ? Sur ce ,.Je vous salue. MC
Le chat s’appelait Victor Mowgli. A cause de Victor, l’enfant sauvage de l’Aveyron, et de Mowgli, qu’on ne présente plus.Je l’avais adopté à cause d’une conversation que j’avais entendue. Deux de mes collègues parlaient d’un « chaton diabolique », car « roux », et « sauvage ». Je n’aime pas vraiment qu’on parle de « diable » autour de moi. Et mes collègues crédules semblaient les victimes désignées d’un Marc Court prompt à les circonvenir, du haut de sa science et de sa foi dans l’univers magique des religions… Bref. Je me suis proposée pour recueillir le chaton, tant la réprobation qui l’entourait me semblait sujette à caution…
C’était un chat adorable. Ronronnant, doux à ravir, beau dans son roux automnal, bref, nous nous entendions à merveille, lui et moi. Il cherchait les coins chauds. Je lui offrais mon coude, bien calé dans l’angle de mes bras…
L’été, nous avions l’habitude de traiter nos animaux, contre les redoutables tiques, les parasites, les puces… Le vétérinaire nous approvisionnait en pipettes spécialisées : celles-ci pour les chiens, celles-là pour les chats…
C’était donc une chaude journée de juin, et j’étais très occupée. Une tablée à nourrir, les tâches quotidiennes, et puis une amie qui passait et me bousculait (il s’agissait d’un film, enfin, elle était pressée et du coup me pressait aussi, bref). Avant de partir, j’ai voulu administrer la pipette à Victor Mowgli : il était particulièrement sujet aux aoutats, et développait chaque été des plaques, du prurit, et si je pouvais lui éviter cela…
Pendant mon absence de deux heures, j’avais comme une sorte de sourde inquiétude, comme un pressentiment aurait-on dit au dix-huitième siècle, ou comme quand on n’est pas bien sûr d’avoir fermé la porte et éteint le frigo, avant de partir en vacances.
Aussi, sitôt rentrée, j’ai regardé le chat.
Il n’allait pas bien.
Ses yeux, surtout, exorbités…
C’était couru. J’avais donné la pipette bleue, celle pour les chiens, au lieu de la pipette rouge, celle pour les chats…
Clopin a filé sur l’ordinateur, est revenu aussitôt, empoignant la bête sous le bras. La pipette bleue était mortelle pour les chats !!!
Il a rincé le chat sous la douche, pendant que j’appelais, en pleurs, le cabinet vétérinaire…
Le verdict fut sans appel. Soit le chat passait la nuit, soit il succombait. Et le vétérinaire a commencé à m’engueuler vertement… Alors que j’étais déjà dévorée par le remords… Je suis sortie dans le couloir, j’avais du mal à rester debout…
Le chat s’en est sorti. Visiblement, le poison n’avait pas eu le temps de pénétrer (grâce à la douche adminsitrée)… Mais le chat avait eu le temps, cette bête (si douce qu’aucun enfant, et il y en avait à l’époque chez « nous », n’avait jamais été mordu ni griffé), d’implanter ses dix griffes sur mon bras, si profondément que j’en garde encore la trace.
Cela forme comme un chapelet de petits points blancs, sur mon avant-bras. Je vais vraisemblablement pouvoir l’égrener jusqu’à ma mort…
Je ne sais vraiment pas pourquoi je vous raconte cela.
Clopine
Stupéfiant.
Heureusement pour ce chat !
Est-il resté dans l’ancienne maison ?
Je dois à mon tour vous raconter cela : je ne connais pas de bonheur plus parfait que celui que je vis en ce moment.
Ma maison, une de mes, est entourée de verdure alors qu’elle pourrait être cernée de plaques métalliques comme la prison annexe du cap des Milles à Forcalquier, au lieu dit la Simonette.
Mon jardin, un de mes, est planté d’arbres, d’arbustes, qui ne crèvent pas et portent leurs fruits, ou leurs fleurs en plus de leurs feuilles.
Je ne suis pas sujette à la rage, ni à l’énervement, ni à la jalousie ni au ressentiment ni à le vengeance.
Hier, après un repas roboratif avec deux anciens collègues, je leur ai fait une galette des rois et ai partagé trois secrets avec iceux.
Voilà, il y avait deux fèves dans la galette et les deux furent pour moi, une à table et la seconde ce matin au petit déjeuner. Cela ne semble pas juste, pourtant je suis une sacrée privilégiée.
Clopine,
Pourquoi racontez-nous cela ?
Le chat en a réchappé.
La mienne, siamoise, au début de sa vie, mais elle avait déjà été mère, a ingéré un poison mortel destiné aux rats, dans une cave.
Elle s’est mise à saigner du vagin. La vétérinaire lui a sauvé la vie je ne sais par quelle opération : peut être un lavage d’estomac si cela existe pour les chats.
Elle a vécu, Clopine, jusqu’à ses vingt deux ans.
Allez, zou, retour en cuisine.
Oui, Rose, il est resté,bien sûr, dans la maison (les chats sont territoriaux, et je suis incapable de faire violence à quiconque, en fait, et donc d’arracher un chat à sa vie). Il paraît, d’après le Clopinou, qu’il passe sa vie dans mon ancien lit.
A part ça, j’aurais bien aimé être une sorcière avec chat roux. C’est dommage que les sorcières n’aient jamais existé, sinon dans l’imagination d’hommes malades.
Clopine
Lorsque j’ai déménagé, cas de force majeure, une internaute bienveillante (cela existe) m’a dit « emmenez votre chat car il est attaché à vous ».
Je l’ai fait. Cette chatte m’a présentée à tout le quartier et elle a redéménagé une troisième fois avec moi. J’allais la laisser dans son ancienne maison.
Un chat a un attachement à un individu. Oui, ils sont territoriaux mais pas seulement.
Enfin, chacun fait ce qu’il veut, en son âme et conscience.
Vendredi 27 janvier 2023, à 16h19
Bonjour Madame TUA,
La quatrième semaine de chaque mois, aucun enfant n’a de droit de visite auprès de votre mère, sauf « meilleur accord entre vous ».
Votre frère et votre soeur ne s’oppose pas à la sortie de votre mère ce dimanche. Néanmoins ils souhaiteraient que la sortie s’effectue entre 11 h et 17 h.
Bien cordialement,
Sic.
La tutrice de ma mère.
Je vous informe.
Je vous informerai également du conseil de vie sociale du 30 janvier 2023.
Ne vous avais-je pas parlé récemment d’acharnement ?
Marc Court doit avoir un abonnement à vie au Puy du Fou. Ca lui fait une destination pour les vacances.
Je vous certifie que sorciers et sorcières existent bel et bien, Clopine, et que leur puissance obtenue des entités démoniaques peut être très forte.
Je vous informerai également du conseil de vie sociale du 30 janvier 2023.
On s’en fout, rose, si vous voulez le savoir.
Après la gynéco dure du doigt, le chat pelé de la voisine, sa maman rantanplan.
Je vous informe.
Ne nous mettez pas raplapla!
duralexsaid lexe
On s’en fout.
Pas autant que moi.
Agnès Pannier-Runacher: « Si nous voulons baisser nos gaz à effet de serre, il va falloir baisser de 40% notre consommation d’énergie »
Erga omnes, Un filo d’oro. La collezione Prutscher di libri viennesi per bambini, donation de Beba Restelli. Biblioteca Nazionale Braidense, (via Brera 28 Milano), jusqu’au 15 avril 2023. Atelier pédagogique pour les enfants avec Beba Restelli (nièce d’Otto Prutscher, élève de Bruno Munari).
Euh, Renato, avez-vous un seul enfant de moins de quinze ans participer à la Rdl ? Et si la réponse est « non », pourquoi venir ici faire la retape pour l »atelier » de votre copine, auquel personne d’ici n’ira ?
Certes, ce blog se barre de plus en plus en couilles. Mais qu’elles soient italiennes ne leur accordent rien de plus. Allez, je vous l’accorde : rien de moins non plus.
Bonne soirée les pet sitters
J’ai cette rare faculté de pouvoir reconnaître les démons à leur voix.
Je peux vous assurer que Zelensky est habité de l’Antéchrist.
Ce n’est évidemment pas une bonne nouvelle.
Il s’agit d’une expo à propos de la Vienne cosmopolite du début du XXe siècle, Clopine, pourquoi ne pas ouvrir la voie aux enfants ? Bon, ceux qui se prennent pour des intellectuels (tous genres confondus) font un stupide distinguo relatif à l’âge… mais l’art pour les enfants n’a rien à envier à l’autre.
Cela dit, les gens voyagent.
Incidemment, un vieux qui n’arrive pas à jouer un singe pour amuser un enfant n’est vraiment pas quelqu’un d’appréciable, même s’il fait un usage excessif d’adjectifs.
Un exemple de la collection Prutscher :
Lune de miel à Venise, Richard Teschner, 1920
On se souviendra de Marinetti :
« Nous répudions l’ancienne Venise épuisée par la volupté séculaire, que nous avons également aimée et possédée dans un grand rêve nostalgique.
Nous répudions la Venise des étrangers, marché des contrefacteurs d’antiquités, aimant du snobisme et de l’imbécillité universels, lit défoncé par les caravanes d’amoureux, demi-tasse pour courtisanes cosmopolites, cloaque maximal du passéisme. »
P.S., voir la première image :
@voici Pierre Lellouche, lui aussi excellent sur l’Ukraine
De l’artilleur torpillé. Discours qui tend, voyez vous mon bon monsieur, à regarder les choses en face ; c’est regrettable mais c’est ainsi si l’on veut mettre fin à cette boucherie, montyrons nous responsables : le meilleur pour l’Ukraine serait de reconnaître sa condition de vassal de la Russie de Poutine plutôt que d’accéder aux demandes déraisonnables de la présidence ukrainienne, notamment la fourniture de chars, d’avions et de missiles pour défendre une chimérique souveraineté qui la conduirait à aspirer à l’UE plutôt qu’à une néo URSS … la stratégie interarmes et l’emploi de toutes les armes conventionnelles imaginables devant demeurer, dans cette affaire, le monopole de la Russie.
Tiens ! D. oublie toujours qui est l’agresseur !
Ben moi, Renato, adjectifs ou non, je suis déjà contente d’avoir pu relater mon anecdote en si peu de mots, si vous y pensez… Bref. Je ne doute pas de l’intérêt de l’exposition dont vous faites état. Mais pourquoi cela me touche-t-il si peu ?
« Mais pourquoi cela me touche-t-il si peu ? »
Ça c’est à vous de voir, Clopine.
Chez Paul Edel :
renato, n’est-ce pas ce Marinetti qui disait des gondoles que c’étaient des balançoires à crétins ?
Oui Alexia Neuhoff, c’est dans I manifesti del Futurismo, Lacerba editore 1914.
« Dépêchons-nous de remplir les petits canaux puants avec les décombres des vieux palais lépreux qui s’écroulent.
Brûlons les gondoles, chaises à bascule pour crétins, et élevons vers le ciel l’imposante géométrie des ponts métalliques et des usines fumantes, pour abolir les courbes affaissées de l’ancienne architecture.
Que vienne enfin le règne de la lumière électrique divine, pour débarrasser Venise de sa vénale lumière de lune de meublé. »
Le passage susmentionné en relation avec Lune de miel à Venise de Richard Teschner ¬— la gigantesque figure qui vomit dans la lagune —.
« les sorcières n’aient jamais existé, sinon dans l’imagination d’hommes malades. »
Prends-toi ça dans la gueule, D. !
D. porte un heaume.
No pain.
Cracher sur Venise ainsi, cette ville sublime !
@ Je ne sais vraiment pas pourquoi je vous raconte cela.
Moi, je le sais… qui viens de sortir éberlué du visionnage du film Les banshees d’Inisherin – (M. Mc Donageh)… Eh bin, figurez vous que votre anesse Jenny aurait pu avantageusement remplacer votre chat. Mais elle eut le malheur de bouffer le doigt de l’ami ingrat et d’en mourrir. Personne n’eut le temps de la sauver. Pourtant, comme la jument et le chien, c’étaient les seuls êtres compréhensibles et sensibles à la douleur du héros qui ne comprenait pas le silence volontaire de son entourage : son ami le musicien en veine de créativité, la soeur, l’idiot du village, le curé, le flic, la curieuse, le bistrotier, la sorcière… tous ces gens qui n’osaient lui dire que sa gentillesse (naturelle) signait sa bêtise… Sur ces terres âpres, nul n’avait droit à la gratuité de l’amitié : cette maladresse ne pouvait que se déouer par la punition ou la vengeance, en dépit des remords à venir, le mal était fait…
Du Sade au loin, de l’Anneke au près… Du bon cinéma sur les malheurs de la vertu au superbe pays des Mc Bloom,… Jzmn… Ouij !
Bàv,
la gigantesque figure qui vomit dans la lagune
On l’a vue.
Et si on disait, nous aussi, « moi je ‘e veux pas le savoir ? »
G fait 666.
666÷12 = 55,5
zone Apollinaire:
« Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres immigrants
Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants
Ils emplissent de leur odeur le hall de la gare Saint-Lazare
Ils ont foi dans leur étoile comme les rois-mages
Ils espèrent gagner de l’argent dans l’Argentine
Et revenir dans leur pays après avoir fait fortune
Une famille transporte un édredon rouge comme vous transportez votre coeur
Cet édredon et nos rêves sont aussi irréels
Quelques-uns de ces immigrants restent ici et se logent
Rue des Rosiers ou rue des Écouffes dans des bouges
Je les ai vus souvent le soir ils prennent l’air dans la rue
Et se déplacent rarement comme les pièces aux échecs
Il y a surtout des Juifs leurs femmes portent perruque
Elles restent assises exsangues au fond des boutiques »
Jazzu, je crains que Clopine ne sache tout simplement pas de quoi elle parle. Elle est revenue ici pour s’occuper, il faut temoigber d’indulgence avec elle.
Un brin de musique :
« Cracher sur Venise ainsi, cette ville sublime ! »
La Sérénissime en a vu bien d’autres, rose, et les jérémiades de Marinetti résonnent d’un air sinistrement fasciste…
« Pierre Lellouche »
La voix de Moscou, financé par les oligarques russes !
« Suis en cuisine pas le temps. »
Si elle cuisine comme elle écrit, aie !
Tweet :
« l’accès au texte intégral de cet article vous est offert par Elara Bertho »
https://www.cairn.info/revue-annales-2022-3-page-491.htm?tap=o6vvusx2wfjs3&wt.mc_id=crn-tap-a-654059
Merci à son auteure pour ce texte et une lecture du Goncourt de M. Mbougar Sarr qui donne une bonne idée de ce roman, et le replaçant dans sa réception, au Sénégal,
et à Passou qui le relaye.
Une idée pour les éditeurs sénégalais, une occasion historique de faire traduire à la fois le Goncourt 2021 et le roman de Ouologuem qui lui est associé, en wolof, en serer, pour le partage, pour une restitution tout simplement, par delà l’espace, d’un bonheur de lecture, pour une histoire qui leur appartient aussi, a ceux qui pourraient être conquis par cette aventure de Diegane Faye.
Ce serait une innovation, je crois.
Vous n’avez aucun risque Jazzi.
ici pour s’occuper
Reparti comme en quarante.
Les mecs qui s’arrogent la prééminence de la parole et les autres bouclez-la.
Je connais de rares filles comme ça. Cauchemardesque.
A la source du mal
En peul aussi, la langue mère du Sénégal.
La vraie nouveauté pour l’Afrique noire, tant aimée, serait non pas d’appliquer ce qui marche ici en occident mais de développer ce qui marche très bien là-bas en le mettant haut et fort en valeur.
Ce serait un regard totalement différent sur l’Afrique noire. De l’intérieur.
Les éditeurs sénégalais, impliquez-vous en innovant :
Une idée pour les éditeurs sénégalais, une occasion historique de faire traduire à la fois le Goncourt 2021 et le roman de Ouologuem qui lui est associé, en wolof, en serer, pour le partage, pour une restitution tout simplement, par delà l’espace, d’un bonheur de lecture, pour une histoire qui leur appartient aussi, a ceux qui pourraient être conquis par cette aventure de Diegane Faye.
Le fascisme date de 1919, Jacques ; le manifeste du futurisme première édition est de 1909. Le Marinetti fasciste vient après, car son Futurismo e fascismo est de 1924.
Sant’Elia et Boccioni morts en 1916, la recherche d’un langage propre à la nouvelle civilisation des machines et basé sur la vitalité de l’ère moderne n’est plus la priorité des futuristes.
Antonio Sant’Elia, Projet de ville futuriste, 1914 :
https://www.comprensivosanteliacommenda.edu.it/wp-content/uploads/2016/12/AntonioSantElia3-1.jpg
Ce 27 janvier marque le 78e anniversaire de la libération par l’Armée Rouge du camp d’Auschwitz-Birkenau.
Les idées dans l’air du temps n’ont pas de dates précises, renato…
Sasseur dit: à
Ce 27 janvier marque le 78e anniversaire de la libération par l’Armée Rouge du camp d’Auschwitz-Birkenau.
👍🎈🙏
Je me souviens, Jacques, que pour Degas le mot « architecte » était une insulte, car il pensait à Haussman et à son grand plan d’urbanisme.
Gio Ponti qui fit le plan d’urbanisme de Milan était dit Barberousse.
Fin XIXe début XXe, bien à part le centre et quelques lieux (Lido), Venise était en piteux état. Marinetti s’est défoulé et cette partie du Manifesto fit beaucoup de bruit, ce qui réveilla les Vénitiens qui ont repris en main leur ville.
Tout s’efface des mémopires collectives à la longue, hélas…
Pourquoi la Shoah d’il y a 80 ans, serait-elle plus traumatique pour l’ensemble des jeunes générations du monde que ne le fut la première guerre mondiale pour nous autres, les babyboomers inconséquents ?
Une question certes cruelle, mais qu’il faut poser en toute lucidité à d’autres gens que les historiens spécialisés ou les simples profs de l’histoire européocentrée du XXe s ?…
Et puis, il y a cette question lancinante du devenir de l’Etat israélien sombrant dans le fascisme pur et simple en attaquant cette pauvre Palestine martyre, en dépit des leçons du « plus jamais ca » (pas nous !) suite aux espoirs naufragés des miraculeux accords de Camp David.
Bàv
De toute façon…, à quoi bon cultiver les heureux moments évanescents de l’Histoire chaotique, comme s’ils avaient eu la moindre vocation à perdurer ? Et d’ailleurs, étaient-ils si heureux, et pour qui le furent-ils ? La merde nostalgique… BNàv, cultivons les roses de demain, ma Cunégonde.
27 janvier 17.., naissance de Mozart.
MS, convenez tout de même que le Goncourt 2021 s’exprime mieux à l’oral qu’à l’écrit.
La terrasse fut un bon film d’un cinéaste italien, mais lequel au juste ? Ettore Scola ?
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19597317&cfilm=4928.html
@ mais Mozart n’est pas du 17e siècle, voyons donc, Jzmn !…
74 – Je me souviens de Marcelle Padovani et de Maria Antonietta Macchiocchi. D’Elena Ferrante aussi, (et de Teresa Cremisi). De Goliarda Sapienza et de Natalia Ginsburg. De Milena Agus, plus récemment… Toutes différentes en leur genre, mais terriblement italiennes. Et ouij. Bàv, je sais en avoir oublié sur ma liste, alors si qq un peut le compléter, n’hésitons pas. Merci.
1756. 1eres compositions musicales écrites à 4 ans.
Maria Antonietta Macchiocchi > Maria Antonietta Macciocchi.
De l’armée rouge à Wagner et à la Russie de Poutine, exclue des commémorations de la libération du camp de la mort nazi d’Auschwitz-Birkenau, on mesure le chemin parcouru et l’aboutissement que constituent les si profondes considérations combinées de Houellebecq et de Onfray, sur l’état des choses en Ukraine et dans le monde ; des visionnaires, qu’on le veuille ou pas
Une justice dans les pays de la Loire qui ressemble à quelque chose de cohérent.
Les accusés sont-ils conscients de leurs actes ?
Alexithymie, une pathologie une pathologie de plus en plus diffuse.
L’alexithymie consiste en « une inhabilité à pouvoir faire des connexions entre les émotions et les idées, les pensées, les fantasmes, qui en général les accompagnent »
Une enquête préliminaire a établi que le harcèlement que subissait l’adolescent a « pu participer au passage à l’acte suicidaire ».
in Le Monde.fr
Ce n’est pas a pu.
C’est participe plein pot.
Toutes les caractéristiques du harcèlement subi par cet ado.qui s’est suicidé.
De nombreux autres cas.
Une illustration avec do the evolution (DEVO)
https://www.youtube.com/watch?v=jadvt7CbH1o
À Bollywood, les acteurs sont toujours un peu gras pck riches, heureux et bien nourris. Et les chants sont toujours annonciateurs de belles choses.
https://www.instagram.com/reel/CnmaZ-4gDp1/?igshid=YmMyMTA2M2Y=
mais la nostalgie elle-même est évanescente, elle évolue, et souvent pour le meilleur
Comparer Houellebecq à Balzac paraît incongru.
Hier une étude de Saint Jérôme de Antoine Van Dyck a été vendue aux enchères à New York.
Je ne conviens que d’une seule chose à propos du roman de M.Mbougar Sarr, Goncourt 2021, et ne transigerai pas sur ce préalable,
message à l’attention des mal intentionnés
« Je demande simplement qu’on lise ce que j’ai écrit. Et qu’on sache lire, aussi. Savoir lire, c’est aussi quelque chose qui s’apprend ».
28/01/2023, 8h35
Je viens de lire le nom de Milena Agus sur ce fil.
Excellente référence. Et vais tenter une expérience de lectrice, j’aime bien me challenger:
son » une saison douce » en attente sur la pile et » le silence du chœur » de MMS, à télécharger sur liseuse. A partir de février je passe au zéro papier.
Et rappeler pour compléter cette trilogie ainsi formée, l’excellentissime « Taormine » de Y. Ravey.
Je ne conviens que d’une seule chose à propos du roman de M.Mbougar Sarr, Goncourt 2021, et ne transigerai pas sur ce préalable
Bien Madame, désolée mais malgré les doutes de l’auteur sur la compétence de ses éventuels lecteurs, je réitère mon opinion et elle n’a pas prétention à se poser pour absolu, ce n’est qu’une opinion . Sûrement est-il « un Moderne » et il est vrai que je n’ai pas souscrit à sa » modernité « . J’avais espéré autre chose après l’avoir entendu si éloquent.
Bis repetita placent.
Une idée pour les éditeurs sénégalais, une occasion historique de faire traduire à la fois le Goncourt 2021 et le roman de Ouologuem qui lui est associé, en wolof, en serer, et une autre idée pour les rééditions en français, donner le traduction des mots et expressions en wolof, présents dans l’édition d’origine, car bonjour la débrouille…😵💫
ALEXITHYMIE @ https://www.cairn.info/revue-psychotropes-2006-3-page193.htm#:~:text=L'alexithymie%20consiste%20en%20%C2%AB%20une,qui%20en%20g%C3%A9n%C3%A9ral%20les%20accompagnent%20%C2%BB.
Après lecture approfondie, je ne pense pas en être exactement atteint, Alexia, contrairement à ce que j’avais subodoré, prima facie. Merci RM d’avoir pensé à l’Herdélie et à rz d’avoir défriché le terrain. Bien bonne journée à tous.tes, (28.1.23_9.30)
Et je n’ignore pas qu’il ait plu dans bien des chaumières, qu’il ait choisi entre tous et dans d’autres pays que la France. Phénomène d’éditions, déduction collective, mode? Il bénéficie tout en rendant grâce à son aîné de » Son devoir de violence » .
MAUVAIS CALEMBOURS
@ stardust : ce n’est pas trop ce que pensait Simone S’ignorait, me semble-t-il. Bàv,
qu’il ait été, séduction collective.
Voulait-il rendre justice à son aîné injustement accusé de plagiat en célébrant l’intertextualité comme genre littéraire incontestable. Qu’en avez-vous retenu MS qui paraissait plus en mesure que moi à fournir une analyse du contenu, du style, de la forme ?
La fusillade qui a eu lieu à Jérusalem près d’une synagogue, avec 7 tués, est un événement très très préoccupant. La vengeance israélienne risque de revêtir un caractère particulièrement violent, destructeur et durable, avec forte possibilité d’escalade incontrôlable.
Je n’ai pas aimé son style, ses histoires de nanas, un peu rocambolesque sa course au nazi, seul le dernier quart du roman a emporté mon suffrage.
Je ne sais plus si Sarr dine à l’huile ou au beurre, vous savez ?
D, avant cela, une opération grand ménage dans un quartier palestinien a causé la mort de nombreuses personnes . C’est vengeance sur vengeance, cela n’en finit pas.
Oui Rose, le heaume me poursuit, sur mon cimier et, il y a déjà bien longtemps, j’ai fait partie du 501 RCC, à l’insigne évocateur, où est inscrit « En tuer ». Tout un programme. Quand je parle des chars, c’est en connaissance de cause. A l’époque des AMX 30 B2 Et également quand je parle de la chasse anti-char, car vous auriez pu me voir un temps commander des chasseurs équipés de LRAC.
www.http://fr.m.wikipedia.org/wiki/501e_r%C3%A9giment_de_chars_de_combat
À l’huile et à la 🍅.
1/4 c pas bcp. Mais à la fin, c bien pck tu gardes une bonne impression.
Le cimier c’est une reconnaissance.
Cela peut être du cygne ou de l’autruche.
https://www.historia.fr/le-cimier-sur-un-casque-perch%C3%A9
Ou un petit plumet.
Je rappelle qu’on a eu droit au retour de Bouguereau JM à quatre reprises, avant hier. Je ne l’avais vu passer, tant personne n’y a rebondi… Ce n’est d’ailleurs pas très correct de l’avoir zappé. Or, il nous a entretenu de 4 sujets profondément inspirés : de l’invertébré Houellebecq l’enculé islamophobe et poutiniste ; rendu hommage à la vitalité de la vie littéraire par RDL interposée non sans propos un brin acidulés sur la patron, ses écrivains et leurs lecteurs ; et,last but not least, rappelé un symapthique hommage au regretté Sergio, le meilleur d’entre nous toutes, depuis son départ…
———-
1§ bouguereau dit: àun décliniste apocalyptique profondément réactionnaire, menteur et provocateur, bien plus malin et intelligent que ses admirateurs qu’il porte a droite ne serait rien -rien- si sa saucisse avait dla colonne vertébrale..si elle savait rmuer dans nos derches..tout teutchy frenchy gonzo sait bien que c’est surtout -surtout- quand qu’on fait commerce d’un pire toutafé certain qu’il faut smontrer himpécabe prophète
2/ bouguereau dit: à En ce temps-là, l’écrivain était soutenu par la critique de gauche et d’extrême-gauche qui applaudissait à chacun de ses livres comme à droite c’est pas trop dure d’y trouver des prospects..ceci dit lassouline un bon lecteur est toujours plus bête que l’auteur du livre qu’il lit..entrun match de foot et un bouqin ya serdgio
3 / bouguereau dit: à La judiciarisation de la vie littéraire est certes regrettablec’est encore de la litterature..enfin de quatrième de couverture..pas vrai lassouline
4/ bouguereau dit: à Le matérialisme est un moindre mal. Ses valeurs sont méprisables, mais quand même moins destructrices, moins cruelles que celles de l’islam un grand coup dmasse sur sa caboche à ce sous chien..c’est encore du wagnère
Bien à vous : n’hésitez pas à revenir rapidement, jmb, vos remarques seront toujours appréciées, par les endives et les chardons arbants, icite.
Maria Antonietta Macchiocchi > Maria Antonietta Macciocchi.
Gnocchi parlour, gnocchi toujours!
D. dit: à
La fusillade qui a eu lieu à Jérusalem près d’une synagogue, avec 7 tués, est un événement très très préoccupant. La vengeance israélienne risque de revêtir un caractère particulièrement violent, destructeur et durable, avec forte possibilité d’escalade incontrôlable.
[…]
B dit: à
D, avant cela, une opération grand ménage dans un quartier palestinien a causé la mort de nombreuses personnes . C’est vengeance sur vengeance, cela n’en finit pas.
Terrible.
Pas même osé en parler.
Souvent, je signale ici le mot acharnement mais c’est ce dont il s’agit.
Du harcèlement moral à l’acharnement.
Dans le cas Israël/Palestine c’est un drame.
Dans le cas Russie/Ukraine, c’est une tragédie : les deux endureront de durables traumas.
A l’époque le 501 était à Rambouillet. Non pas à Mourmelon comme actuellement.
3J, j’ai sorti de mon chapeau l’Alexithymie suite au lien mis en ligne par rose (votre lien n’envoie nille part).
Le lien de rose :
https://larepubliquedeslivres.com/houellebecq-et-lislam-bis-repetita/comment-page-4/#comment-1280649
Par ailleurs, la journée de la mémoire aidant, cette pathologie est maintenant au centre des débats entre enseignants en divers pays européens.
Incidemment, Pape Ratzinger a estimé ne plus être apte à exercer adéquatement le ministère pétrinien car il était insomniaque.
Le prestigieux blog à passou vire au darwich tourneur, la littérature centre y pète,
changez le micro sion, dear Passou
Les rature centre y pète, voulez-vous dire, Phil ?
Opus ! Les ratureS centreS y pèteS
« Battu à mort par 5 policiers alors qu’il était sans défense » ! on appelle ça un lynchage il me semble.
J’ai dit une bêtise, « La Marque des quatres [sic] » de Conan Doyle est traduite dès 1900 chez Hachette. Le narrateur de « La Recherche » peut donc sans incongruité parler de Sherlock Holmes. Et il y a peut-être des traductions dans les journaux.
Dédié à ceux qui n’arrivent pas à suivre le fil :
(Janssen J-J dit: à
74 – Je me souviens de Marcelle Padovani et de Maria Antonietta Macchiocchi. D’Elena Ferrante aussi, (et de Teresa Cremisi). De Goliarda Sapienza et de Natalia Ginsburg. De Milena Agus, plus récemment… Toutes différentes en leur genre, mais terriblement italiennes. Et ouij. Bàv, je sais en avoir oublié sur ma liste, alors si qq un peut le compléter, n’hésitons pas. Merci.
…
renato dit: à
Maria Antonietta Macchiocchi > Maria Antonietta Macciocchi.)
Comment ça se prononce Macciocchi ?
Machiochi ?
Makiochi ?
Machioki ?
Makioki ?
ITALIE?
je me souviens d ‘AGAMBEN G :Homo Sacer. III, Ce qui reste d’Auschwitz : l’archive et le témoin, traduit par Pierre Alfieri, Paris, Payot & Rivages, 1999
Giorgio Agamben : « L’épidémie montre clairement que l’état d’exception est devenu la condition normale »
Dans un entretien au « Monde », le philosophe italien critique la mise en place de mesures sécuritaires hors norme supposant qu’il faut suspendre la vie pour la protéger.
https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/24/giorgio-agamben-l-epidemie-montre-clairement-que-l-etat-d-exception-est-devenu-la-condition-normale_6034245_3232.html
LE MONDE
AGAMBEN/
« En s’efforçant de produire « une généalogie théologique de l’économie et du gouvernement », Agamben bouleverse la perspective communément adoptée. Car ce n’est plus l’accumulation primitive du capital, ou l’émergence d’une industrie bâtie sur la combustion d’énergie fossile, ou la structure inégalitaire des rapports sociaux de production capitaliste qui vont délimiter le champ de sa recherche, mais un ensemble de textes notamment théologiques, depuis les spéculations des Pères de l’Église sur la Trinité jusqu’aux règles de vie de la communauté des franciscains, en passant par la scolastique médiévale, chrétienne, arabe ou juive. Pour donner une idée du dépaysement que provoque sa recherche et des enjeux théoriques et pratiques qu’elle engage, voici un exemple de « généalogie théologique ».
https://www.cairn.info/revue-du-crieur-2017-3-page-116.htm
@ désolé pour le lien, RM…, je re-essaie :
https://www.cairn.info/revue-psychotropes-2006-3-page-193.htm#:~:text=L'alexithymie%20consiste%20en%20%C2%AB%20une,qui%20en%20g%C3%A9n%C3%A9ral%20les%20accompagnent%20%C2%BB.
S’il ne marche pas, c’est la faute à Cairn, etc.
Bàv pour le suivi, je vous sais très attentif au nuancier infini des commentaires… Bàv,
AGAMBEN
L’action (l’économie, mais aussi la politique) n’a aucun fondement dans l’être : telle est la schizophrénie que la doctrine de l’oikonomia a laissée en héritage à la culture occidentale [4]
[4]
Ibid., p. 24-25.. »
Gnocchi parlour, gnocchi toujours!
Crac, boum, hueeee!
Encore?
Joujou extra :
https://www.youtube.com/watch?v=N6k7RIaMWZA
Le lien est actif, 3J, merci.
Bientot,
un autre procès
« Enquête
Pétrole congolais, Manuel Valls, aéroport du Bourget… Tout comprendre à l’affaire Orion Oil »
À propos d’alexithymie. Maintenant certains chercheurs parlent aussi d’un éventuel déficit de la fonction réflexive du Soi.
déficit de la fonction réflexive du Soi.
autrfois on disait à une femme qu’elle se cherchait; puis on lui a demandé quand on a vu qu’elle était vivante et ne s’attachait comme on le lui conseillait
quel est ton secret?
maintenant on lui demande qu’est-ce qu’il te(vous)manque?
et ne s’attachait pas (de côté)
Et alii, est ce que c’est freudien?
Plus sérieusement, l’amitié, la possibilité du voyage.
Et alii, est ce que c’est freudien?
quoi?
RECEMMENT? JE NE SAIS PLUS CE QUE JE VENAIS DE DIRE 0 UNE JEUNE FEMME 5QUI DEPUIS ME PORTE UN PEU SUR LES NERFS6PAS GRAVE, CA PASSERA;
et elle me demanda est-ce que c’est gouvernemental?
je n’ai pas vraiment compris, mais j’ai quand même supposé chez elle (née canadienne, mais qui a pris la nationalité française)un désir de gouverner assez puissant ;et vous « comment l’entendrez vous »?
JE LUI AI également prêté la crainte que je désire « la gouverner » ,alors qu’elle m’avait recommandé de « critiquer » (sans autre précision)sur quoi je lui avais répondu que j’ai vu les dégats du harcèlement comme mode de relation et que ça ne m’attire pas du tout du tout
au fait, comm je ne suis pas « hypocrite », j’ai signalé à cette canadienne qui a mené sa vie « à a psychologie » le rebondissement dans la carrière du psychologue et philosophe canadien Jordan Peterson, ancien professeur à l’Université de Toronto [1], est depuis dix ans l’un des intellectuels anglophones les plus influents dans le monde. Révélé par ses cours et ses conférences ayant cumulé des millions de vues sur YouTube, ses livres sont des best-sellers traduits dans 45 langues et les télévisions des deux côtés de l’Atlantique se disputent des entretiens avec lui.
et précisé que je ne connaissais pas ce psychologue du tout
Les transferts d’argent de la Russie vers les pays voisins ont explosé en 2022, avec des pics approchant les 600 %. Ça c’est ce qui réellement advient, tout le reste (enquêtes d’opinion, sondages, déclaration à deux balles de Medvedev) ce ne sont que des broutilles jetées en pâture aux poutiniens de chez nous.
Makiotchi
Un t avant le ch final. Je dirais
One :
B.
G pris M. Sarr à la médiathèque pour en parler avec vous.
Et Sarah Jollien-Fardel
Et Leonara Miano pour parler avec Renato.
Carton plein.
almost good enough : excellent baby drum.
Va avoir son bac. Gaby aussi.
Wow.
renato dit: à
« Battu à mort par 5 policiers alors qu’il était sans défense » ! on appelle ça un lynchage il me semble.
Effrayant.
Israël /Palestine.
Ukraine/Russie
Noirs américains/ forces de l’ordre
Au secours, à l’aide
Rien compris à l’histoire de la photocopieuse avec la jeune fille avec le psychologue canadien. Si elle a un rejet violent, elle a ses raisons. Si vous ne vous comprenez pas, c’est que vous n’êtes pas branché sur la même onde.
Vécu cela avec un jeune cycliste vegan en Irlande, vers Erigal. Le lendemain, il est revenu vers moi. Prenez le cool, sans compèt. Arriver à communiquer c’est l »idéal. Laissez les portes ouvertes comme m’a dit le/un Kanak à l’Institut de l’Image, ne coupez pas le lien.
Le léZard est allé rire et pleurer au Japon avec la drolatique famille Asada !
une nouvelle maladie:vous allez pouvoir « communiquer! » entre netthérapeutes!
« Des milliers d’Américains seraient atteints d’un nouveau syndrome, le Vexas »
Il m’arrive de songer à l’île imaginaire du Pacifique d’où vient Queequeg : « vous ne la trouverez marquée sur aucune carte : les lieux réels ne le sont jamais », dit Melville (Moby-Dick, ch. 12). Je m’en fais des images proches des patients assemblages d’Aloys Zötl avec en soundtrack le son du magasin d’un oiselier où j’étais entré pour curiosité.
The True-Life Horror That Inspired ‘Moby-Dick’ :
https://www.smithsonianmag.com/history/the-true-life-horror-that-inspired-moby-dick-17576/
Renato, quand vous signalez sur la RDL un nouveau texte dans mes carnets, les chiffres des visiteurs doublent pendant trois ou quatre jours, alors un grand merci!
Quand Polo ironise, on croirait entendre Villiers prétendre défendre les abeilles en proscrivant le gaucho ; que seraient les abeilles sans le nombre ?
@ oui, c’est un peu le flûtiste d’Hamelin, à moinss qu’il ne veille y exercer le ministère « pétrinien » (un terme que je découvre à mon âge, merci),
@ en revanche, quand il est signalé par la nuisible en nuisette (MS ?), la chute est spectaculaire…
Bàv,
n° 80, je me souviens d’une histoire de photocopieuse qui opposait Umberto Eco à Philippe Sollers, et surtout de celle sur laquelle dormait le chat de violette retencourt… Mais tout cela est devenu si confus qu’on finit par procastiner à propos des émotions décorellées des fonctions cognitives. Il faudrait qu’un lecteur attentionné rétablisse les faits. Bàv,
J’aime pas Eco. J’aurais donné raison à Sollers sans hésitation.
oui c’est un peu en littérature comme en géopolitique : j’aime pas depardieu, donc j’aurais donné raison à poutine. Encore des endives au bléko, ce soir à chaville ? A quelle heure est la messe et les burettes asthmatiformes ! Bàv,
Enfin, Chez Polo ne serait pas grand chose sans les happy fews qui illuminent ce jardin extraordinaire, au premier rang desquels figure l’intangible Hyperboréen Primordial, pour faire court, que les initiés auront reconnu à cette simple évocation
https://m.youtube.com/watch?v=XWLvm11MAaM
@ Paul. Je suis, comme toi, soulagé par l’heureux dénouement de cette crise au sein de notre parti, qui risquait d’écorner durablement son image. Salutations militantes, à bientôt dans la rue ! Restons mobilisés, hein !
https://www.lefigaro.fr/politique/congres-du-ps-un-protocole-d-accord-entre-faure-et-mayer-rossignol-soumis-au-vote-des-delegues-20230128
@que les initiés auront reconnu à cette simple évocation
> I’m young and able
Mais en quoi le nombre de vos visiteurs en garanti-il la qualité, Paul Edel ?
EFFECTIVEMENT, RENATO, CONTINUEZ!
Vous écrivez Clopine : »Mais en quoi le nombre de vos visiteurs en garanti-il la qualité, Paul Edel ? » S’agit-il de la la qualité de ce que j
‘écris ?je ne suis sûr de rien.. ou la qualité des visiteurs de mon blog?
C’est une bonne question Clopine! Mais je me demande, si je comprends bien votre raisonnement en quoi le fait que parfois je n’ai que trois ou quatre personnes à me lire en une journée si ça « garantit » -comme vous dites- ..
leur qualité?
Pour une aussi fervente démocrate que vous la question me surprend un peu. Je pense que vous avez, à une certaine époque, et avec beaucoup de présence d’esprit, utilisé la RDL pour faire une petite publicité pour vendre vos livres et opuscules, et je m’en réjouissais. Mais la question devait aussi se poser pour vous à l’époque, non? Aviez vous besoin d’un grand nombre sans connaitre leur qualité?
Donc, pour résumer je ne suis pas sûr de la qualité de mes textes(je ne les présente même pas à un éditeur…) et je n’ose vraiment mettre en question la qualité de ceux qui viennent lire mes « carnets », ce serait discourtois et assez injuste, étant donné la qualité de leurs commentaires.
« les chiffres des visiteurs doublent pendant trois ou quatre jours, alors un grand merci ! »
Oui, grâce au lien remit par renato, je fais généralement parti de ceux-là.
Mais j’ai des problèmes pour mettre un commentaire.
Je les fais le plus souvent ici…
Heureux de voir que Clopine a retrouvé son coup de griffes !
Et Paul toute sa capacité au pan-sur-le-bec…
Mais le nombre des visiteurs est-il proportionnel au nombre des commentaires qui restent… ? Il suffit qu’un seul internaute y clique dix fois par curiosité des commentaires de MC, rz, closer… et la machine parait s’emballer, mais non… Je suis comme jzmn et JL, préférant vous commenter ici, de même que pour ED, ou SV et jzmn lui-même. On n’arrive pas à s’arracher à l’équipe d’un vieux blog qui gagne, pas plus que vous-même, Paul.
Je crois, du moins. Bàv,
Quand même, PE, la qualité de ce que vous écrivez est indéniable, n’en doutez point par fausse modestie. Largement supérieure en tout cas à MS et aux posts de passoul, souvent passionnants mais parfois un rien bâclés… Est-ce RM ou les touites de Passoul signalant vos chroniques qui suscitent ces légers accès de fièvre ? Je me le suis souvent demandé… Mais bon, je dois aller dormir, on est samedi soir. BNàv,
La qualité ne va jamais avec la quantité, et pourtant !
Chère Clopine, j’ai un abonnement au Puy du Faou comme je suis Lucien Bergeret. Et c’est vous qui le dites…,. Cela dit , le Costa-Rica, les Mahuzier en bateau, les rapides, le guide louche, et Clopin vous soutenant dans les rapides de « toute sa force D’homme, » ( sic) dont on a su depuis qu’il l’employait aussi ailleurs, on a bien le droit de s’en souvenir, et d’en rire un peu. MC
Qu’est-ce que c’est, jazzi, un lien remit ?
J’aime pas Eco, parce que ça sonne « pas cher ». Moi j’aime quand c’est cher.
« et pourtant ! »
…pourtant, je n’aimerai que toi ! et pourtant, je n’aimerai que toi, etc.
C’est le lien que redonne courtoisement renato à l’annonce d’un nouveau papier de Paul Edel, D.
Prends-en de la graine !
« Moi j’aime quand c’est cher. »
Tu devais adorer Guy Lux, D. !
Les endives à la feuille d’or ?
Tu peux donner le t de « remit » à Clopine, Jazzi. Il lui en manque un.
Jazzi dit: à
« et pourtant ! »
…pourtant, je n’aimerai que toi ! et pourtant, je n’aimerai que toi, etc.
Non.
Et pourtant, certains écrivains allient la quantité à la qualité. Des espèces de fous frappadingues dont c’est la vie écrire.
Il ne me semble pas que les Mahuzier aient été en bateau, mais se déplaçaient plutôt en range rover.
« Toute sa force d’homme », loin à des années lumière d’être limité à sa bite, mais quelle tristesse infinie de lire cela.
Pourtant, je n’aimerais que toi.
Ben oui, je l’/t’aimerai toujours mais pas que lui/toi et puis vivre avec un connard pareil : ma mère dit « il y perd plus que toi » ; il perd tout et moi, je ne perds rien.
Nota : sur son compte Instagram, Carla Bruni fait une élégante critique su livre de Harry de Sussex et de beaux compliments sur sa nièce aimée Oumi.
Décidément, je l’aime bien cette femme qui demanda à un mec en soirée « t’as une bagnole ? ». Les gens gagnent à être connus. Mannequin un jour, mannequin toujours. Mon truc à moi c’est aventurière. Desperados je l’ai laissé à Petaouchnok avec Stieg.
Pierre-Emmanuel Barré s’est barré.
1/ Que faire de son patronyme ?
2/ Toucher à Cyril Hanouna ? Ce à la solde des milliardaires qui font main mise sur les médias, Bolloré, Xavier Niel etc. ?
Une petite remarque, n’ai pas pu vous copier/coller le lien sur les sociétés d’autoroutes : depuis la vente aux privés, le frère de Sarkozy depuis son mandat électif, les bénéfices ont tellement flambé que la haute autorité a proposé trois choses :
1/ baisser les tarifs de 30%.
2/ repasser l’appartenance au public : cela s’est déjà vu ça ?
3/ oublié : une troisième proposition pourtant.
Ce trublion à la solde
Le goût de l’argent.
Pire (et délétère) que le goût du sexe
Et pourtant !
Les autoroutes :
ai trouvé une solution partielle, je ne les prends pas.
Voilà, le papa qui a compris l’importance de l’événement : autre chose que Louis (et Emma sa préférée) chez Jollien-Fardel. https://www.instagram.com/reel/Cneqvp-PtNk/?igshid=YmMyMTA2M2Y=
En lisant Jollien-Fardel :
Tu n’es pas payé de ce que tu subis.
Un été apulien.
C un été dans les Pouilles
Vais m’acheter un mayen dans les alpages valaisans ; j’y ferai du fromage avec le lait de ma chèvre Blanchette.
@renato dit: à
Il m’arrive de songer à l’île imaginaire du Pacifique d’où vient Queequeg : « vous ne la trouverez marquée sur aucune carte : les lieux réels ne le sont jamais », dit Melville (Moby-Dick, ch. 12). Je m’en fais des images proches des patients assemblages d’Aloys Zötl avec en soundtrack le son du magasin d’un oiselier où j’étais entré pour curiosité.
__________
C’est une expérience auditive qui fait un peu » installation « , comme un truc duchampien, René, ce magasin d’oiseaux en cage…pour la possibilité d’une île, inconnue…
Cela, merci d’évoquer Melville, et son Moby Dick qui auront été sur ce blog particulièrement malmenés, la préoccupation principale de savoir si Melville était : à voile ou à vapeur » et son cachalot une bite géante.
Cela dit, le chapitre XII de Moby Dick » récit d’une vie » dans sa trad de H. Guex-Rolle, commence ainsi :
» Queequeg était natif de Kokovoko, une île très lointaine dans l’ouest et le sud. Elle ne figure sur aucune carte, c’est le propre des endroits vrais »
S’ensuit une explication de » l’endroit vrai », au sens : épargné par la chrétienté.
Merci enfin de ne pas avoir cité Houellebecq et son Goncourt 2010, que j’ai personnellement plaisir à rappeler.
» LA CARTE EST PLUS INTÉRESSANTE QUE LE TERRITOIRE » était, en majuscules, l’intitulé de l’expo parisienne, une première du genre, de l’artiste Jed Martin pour la ste Michelin.
29/01/2022, 7h38
Bis repetita
29/01/2023, 7h39
1443
commentaires