Il n’y a pas d’écrivains maudits
Quelle étrange entreprise collective que ce Réprouvés, bannis, infréquentables (350 pages, 20 euros, Léo Scheer) dans lequel Angie David a recueilli une quinzaine de portraits desdits proscrits. A priori, on se dit qu’il doit s’agir d’écrivains français de la fin du XIXème siècle. Quelque chose de ce goût-là. Mais dès qu’on y pénètre, la fausse route s’impose à la lecture du sommaire : Maurice Dantec, Pierre Boutang, Cristina Campo, Pier Paolo Pasolini, Dominique de Roux, Simon Leys, Guy Debord, Michel Houellebecq, Renaud Camus, Jean-Claude Michéa, Baudoin de Bodinat, Marc-Edouard Nabe, Philipe Muray, Peter Handke. Ce n’est plus un rassemblement : c’est une rafle. Céline y a échappé par miracle et on ne peut que s’en féliciter. Car on doute que tous aient goûté l’honneur d’un tel coude à coude (avec les disparus, c’est plus facile). Sans oublier le principal, Richard Millet, puis qu’il est le rédacteur en chef de la Revue littéraire. Le projet tel qu’il se dessine laisse à penser qu’on a imaginé constituer ainsi une famille d’esprit autour de lui, de sa revue et de son éditeur. Pas un clan, ni une secte, encore moins un parti, pas même un mouvement mais une sorte de tendance.
Il y a de cela aux éditions de Minuit grâce à l’obstination de Jérôme Lindon, poursuivie par sa fille Irène Lindon, à creuser une seul et même sillon pendant des décennies avec une exigence inentamée par les modes et les demandes du marché ; nombre de jeunes écrivains qui y présentent leur premier manuscrit le font pour y être publié par « l’éditeur de Jean Echenoz », lequel s’y était présenté autrefois pour y être publié par « l’éditeur de Samuel Beckett »… Il y a de cela aussi chez Verdier, où le phénomène de « famille d’esprit » est conforté par la réussite du Banquet du livre, manifestation estivale qui permet aussi aux auteurs de se retrouver. On retrouve aussi ce phénomène de bande d’écrivains du côté de chez Verticales. Sur un autre plan, notre récente histoire littéraire n’a pas été avare d’« écoles ». Mais elles ont ceci de particulier qu’elles n’ont jamais été lancées par les intéressés, et qu’elles n’ont jamais été des écoles.
Ce fut le cas tant du « Nouveau roman », expression de Bernard Dort popularisée en 1957 par Emile Henriot dans son feuilleton du Monde avant d’être reprise par Alain Robbe-Grillet qui sut la faire prospérer aux Etats-Unis, que des « Hussards » lancés par un article de Bernard Frank dans les Temps modernes des « Nouveaux philosophes » regroupés par Paul Guilbert dans un article des Nouvelles littéraires, avec la même désinvolture que tel ou tel de leurs devanciers en regroupements hasardeux avaient lancés qui les impressionnistes, qui les cubistes ou encore les fauves. C’est bien là une manie typique des chroniqueurs de regrouper des artistes et de les étiqueter en fonction de quelques points communs nonobstant tout ce qui les sépare, les distingue et parfois les oppose entre eux. Ce qui était censé cimenter (écriture blanche, objectivation du réel, disparition du personnage etc) les écrivains (Sarraute, Pinget, Simon, Beckett etc) prétendus membres du « Nouveau Roman » ne faisaient illusion que sur la photo historique prise devant le siège des éditions de Minuit ; les intellectuels (BHL, Glucksmann, Lardreau, Jambet, Dollé…) dits « Nouveaux philosophes » n’avaient de commun que la critique du totalitarisme ; les « Hussards » (Blondin, Nimier, Déon, Laurent), s’ils étaient liés d’amitié autour d’une vision littéraire de la politique vue de droite, ne se sont jamais réunis tous les quatre, même pas sur une photo dans un bistro ! ; quant aux « non-conformistes des années 30 » (Mounier, Marc, Dandieu, Maulnier, Rougemont, Robert Aron …), ils ont été ainsi baptisés tardivement par le politologue Jean-Louis Loubet del Bayle, dans un essai de référence paru au Seuil en 1969, comme un agrégat de groupes et de revues soucieux de situer leur engagement en marge de l’establishment politique.
Au moins tout cela a-t-il eu le mérite d’avoir été improvisé sans la moindre prétention de conceptualiser quoi que ce soit ni de modifier le cours de l’histoire des lettres et des idées. Ces chroniqueurs auraient été bien surpris si on leur avait dit que leur « invention » d’un jour, une formule tout au plus, parfois brillante (la « Nouvelle vague » des cinéastes lancée par Françoise Giroud) figurerait un jour dans les manuels scolaires et qu’elle susciterait des thèses universitaires. Une commune sensibilité littéraire ne suffit pas. Surtout, si elle doit constituer une famille d’esprit, cela ne se fait jamais volontairement. Cela ne s’organise pas. Faut-il être naïf pour imaginer que ces choses-là se préméditent ! Tous ceux qui s’y sont essayés ont échoué, et pour cause. Ce qui sera le cas des écrivains rassemblés dans Réprouvés, bannis, infréquentables. Pour chacun des écrivains consignés dans ce livre, on trouvera bien, à un moment de leur vie et de leur œuvre, de quoi justifier l’un ou l’autre de ces qualificatifs. Mais enfin un Guy Debord est vite devenu un totem et sa Société du spectacle un bréviaire transgénérationnel ; la dénonciation de la maolâtrie française par Simon Leys, édité et soutenu par Jean-François Revel qui ne manquait pas de réseaux, a éclaté au grand jour avec succès très rapidement dès que le sinologue s’encoléra contre la Machiocchi sur le plateau d’Apostrophes ; Pasolini, le poète comme le cinéaste, sont des classiques ; les philippiques de Philippe Muray contre l’homo festivus et les années Jack Lang appartenaient déjà à la doxa grâce à lui de son vivant etc Quant à Michel Houellebecq, l’auteur français le plus lu dans le monde, invité au JT de 20.00 à chacun de ses livres avant de saturer tous les médias sans exception par sa présence, il doit bien rire de découvrir que sa posture de suicidé de la société est toujours efficace et qu’il n’a pas eu tort de se faire masque d’Artaud pour mieux gruger les gogos. Lui, un réprouvé, un banni, un infréquentable parce que les mosquées l’ont une fois poursuivi en justice ?
Pour chacun, on trouvera bien un petit quelque chose : la serbophilie qui valut à Peter Handke de recevoir des seaux de boue sur la tête, mais ce fut provisoire, éphémère, déjà oublié et n’empêchera pas son œuvre d’être un jour rassemblée en un gros volume de Quarto sinon dans la Pléiade ; la marginalisation de Simon Leys par le parti intellectuel, et la conspiration du silence et du mépris, ont passé d’autant plus vite que ledit parti a été confondu dans son soutien criminel à la révolution culturelle chinoise. Peu d’entre eux ont subi le sort d’un Richard Millet, objet d’un immonde lynchage médiatique de la part d’autres écrivains assemblés pour réclamer et obtenir sa tête.
Il n’y a pas d’écrivains maudits, les pires étant les autoproclamés que leur paranoïa aveugle tant ils sont prompts à interpréter comme une exclusion personnelle le refus d’un manuscrit par un éditeur ou l’absence de critique dans un journal. Tous ceux-là ont été ou sont publiés chez les plus grands éditeurs, ou de plus modestes tout aussi prestigieux. Et ceux qui ne le sont plus, ce n’est pas en raison d’un ostracisme, d’un boycott ou d’un complot éditorial souterainement ourdi mais parce qu’ils ont jugé préférables pour maintes raisons de s’autoéditer après avoir épuisé nombre de bonnes maisons (M.E. Nabe). Eu égard au nombre d’éditeurs, à la quantité de revues et à la prolifération des blogs et des sites indépendants, il faut vraiment y mettre du sien pour ne pas se faire lire et entendre lorsqu’on a une parole un tant soit peu subversive à lancer dans l’agora. Cela dit, il faut mettre au crédit de ce recueil la qualité d’écriture et l’acuité de l’analyse de plusieurs de ses portraits, ainsi que des révélations. Pour ma part, j’ignorais tout de cette poétesse italienne nommée Cristina Campo, « indépendante jusqu’à l’impardonnable » que Pietro Citati compara à une statue toscane du XVème siècle discrète et sévère ; ce qui est raconté de sa recherche faite de grâce, de beauté, de souffrance, de sa lutte pour le maintien du latin dans la liturgie catholique, de sa dénonciation d’« une Eglise morte par apostasie », me donne envie de la lire pour ses excès et sa violence même.
(Photos Devin Yalkin, Raymond Depardon, Brassaï)
1 096 Réponses pour Il n’y a pas d’écrivains maudits
Jacques Laurent s’est fendu en 1977 d’un Roman du roman.
Ça commence bien : « Le roman n’est pas sorti de la cuisse à Jupiter. »
Et ça se termine mal : « le nouveau roman cherche à dissoudre toute littérature dans la critique. », ce qui n’est pas faux, si on prend la dernière phase du mouvement avec les « romans » de Jean Ricardou, Mathieu Bénézet ou Roger Laporte, qui deviennent des romans de la langue. Mais c’était déjà un peu le cas des romans de Flaubert comme B & P, où les personnages n’en sont déjà plus mais bien plutôt des incarnations de discours, de langues (la médecine, la critique littéraire, l’art du jardinage, l’histoire, etc.); de même que Balzac qui, dans La peau de chagrin, se met soudain à parler de son personnage en employant « vous » à la manière de Butor dans La Modification.
On voit bien la logique littéraire qui relie Flaubert à Mathieu Bénezet, ou Balzac à Butor. C’est pourquoi assigner une date à la naissance du Nouveau roman n’est qu’un pur artifice journalistique sans pertinence littéraire en réalité.
Le Nouveau roman est moins un mouvement littéraire qu’un mouvement intérieur au roman lui-même et à la logique interne de ses formes qui se déploient depuis Cervantès.
dicton 23h04 de mon côté je ne me pose pas la question de savoir si tu es à l étroit dans la machine.
ducon on doit avoir le même correcteur ortho.
Le mien est coréen. Et le tien ?
Widergänger dit: 26 mars 2018 à 18 h 24 min
Il s’ est quand même reconnu…
Chers Amis,
Deux informations :
1) Les enregistrements audio et vidéo de la conférence de Gilles Hanus (21 mars), intitulée « L’énigme du corps, 2. D’un corps l’autre » sont disponibles sur le site de l’Institut.
2) La prochaine séance aura lieu le 12 avril prochain. Elle consistera en un grand entretien sur la souffrance au travail entre Romain Buin et Christophe Dejours, qui aura lieu à l’Université de Chicago à Paris, à 20h30 (entrée 10 euros, membres 5 euros, gratuit pour les chômeurs et étudiants).
Cordialement,
Institut des Etudes Lévinasiennes.
« Elle consistera en un grand entretien sur la souffrance au travail entre Romain Buin et Christophe Dejours… »
La souffrance au travail… Je ne sais pas ce qu’ils vont raconter, encore ; mais il faudrait revenir sur le point fondamental qui consiste à soutenir l’abolition légale du travail. Cela commence nécessairement par une abolition « philosophique », sachant, comme le disait Deleuze, que toute révolution se doit d’être dans les esprits. Avec ce viatique, nous en avons pour mille ans de réflexion et de cogitation…
« Roman du roman » de Jacques Laurent se lisait agréablement. A cette époque, le roman avait encore le vent en poupe. On en écrivait en y croyant. Est-ce toujours les cas aujourd’hui ? Qui écrirait de nos jours un essai sur le roman, à part les sorbonnards et les fumistes ?
Avril
Déjà les beaux jours, – la poussière,
Un ciel d’azur et de lumière,
Les murs enflammés, les longs soirs ; –
Et rien de vert : – à peine encore
Un reflet rougeâtre décore
Les grands arbres aux rameaux noirs !
Ce beau temps me pèse et m’ennuie.
– Ce n’est qu’après des jours de pluie
Que doit surgir, en un tableau,
Le printemps verdissant et rose,
Comme une nymphe fraîche éclose
Qui, souriante, sort de l’eau.
Gérard de Nerval, Odelettes
http://larepubliquedeslivres.com/rebatet-exhume-des-decombres/
‘Les écrivains sur cette liste improbable n’ont pas grand chose à voir les uns avec les autres’
Belle clairvoyance du Père Delaporte.
Pasolini, anticonformiste accusé de sympathies fascistes,
Michéa, socialiste soupçonné de collusion avec l’extrême droite,
Muray, pamphlétaire d’extrême droite, ami de Michel Houellebecq,
Dantec, écrivain néo-conservateur d’extrême droite,
ami de Michel Houellebecq,
Handke, écrivain d’ext…, euh, autrichien,
Nabe, islamo-franchouillard d’extrême droite, ancien ami de Michel Houellebecq,
Millet (Richard), écrivain phalangiste d’extrême droite,
Camus (Renaud), écrivain homosexuel d’extrême droite, ami d’Alain Finkielkraut,
de Roux, éditeur d’extrême droite,
Simon Leys, sinologue catholique (donc, peu ou prou, d’extrême droite),
Finkielkraut, essayiste juif d’extrême droite, ami de Philippe Muray, Michel Houellebecq, Renaud Camus, Richard Millet…
Campo, poétesse catholique d’extrême droite,
Boutang, philosophe catholique d’extrême droite,
Houellebecq, plus-grand-écrivain-français-vivant, membre de la France insoumise.
Rien à voir entre eux, en effet!
Les personnage de Sautet sont des marionnettes. Que de marionnettes autour de nous.
Les féministes intégristes éructent : « Queues de marionnettes autour de nous ! »
Vittoria Guerrini alias Cristina Campo:
https://blogfigures.blogspot.fr/2010/02/cristina-campo-rendere-conto.html
« Que Dieu nous garde de la littérature! Il diavolo è certamente un ottimo scrittore che opera sopratutto attraverso « spleen and dreaminess », come ha detto un esperto. »
Cristina Campo
@Vittoria Guerrini alias Cristina Campo
Il semblerait, à confirmer, qu’elle ait eu plusieurs » alias ».
Il n’y a pas d’écrivains maudits ? si , JC Landouille, auteur de centaines de romans publiés sur d’innombrables pseudos avec de nombreux prix, musicien de jazz, grand voyageur par le monde entier, spationaute et plus… quelle grand homme ce charcutier !
« la dénonciation de la maolâtrie française par Simon Leys, édité et soutenu par Jean-François Revel qui ne manquait pas de réseaux, a éclaté au grand jour avec succès très rapidement dès que le sinologue s’encoléra contre la Machiocchi sur le plateau d’Apostrophes » bloom 12h32
bloom le sinolâtre, ne donne pas une vision parfaite du combat du » sinologue », qui voulait être gourou des cols mao.
http://next.liberation.fr/livres/2015/05/27/mao-mis-a-nu_1317667
succès de Leys : « a éclaté au grand jour avec succès très rapidement »
12 ans d’attente quand même avant de passer chez mossieur Pivot…
« la dénonciation de la maolâtrie française par Simon Leys, édité et soutenu par Jean-François Revel qui ne manquait pas de réseaux, a éclaté au grand jour avec succès très rapidement dès que le sinologue s’encoléra contre la Machiocchi sur le plateau d’Apostrophes » bloom 12h32
Erreur, extrait du billet de « Passou » cité par bloom hier à 12h32.
les règlements de comptes parisiens à Mao choral, c’était qqchose.
https://www.monde-diplomatique.fr/2003/07/ACCARDO/10293
« On ne résume pas un pamphlet d’une telle encre. On le lit avec la jubilation d’un spectateur de western qui voit le justicier solitaire faire un carton sur les hommes de main du banquier véreux. »
cri-cri boude, dommage, revenez qu’on rigole un peu
e.e. cummings i six nonlectures
Les gens, tous les gens, préfèrent les rêves soyeux qu’on leur présente à la dure réalité qu’ils vivent.
Mao fit rêver les crétins, Stalin fut adulé, le communisme de nos jours tente de boucher les trous des crétins partis ailleurs, à défaut d’en augmenter le nombre.
Si le cas de Simon Leys est rare, il n’est pas unique. En Avril 1944, Victor Andreïevitch Kravchenko, ingénieur soviétique ukrainien en mission à Washington dans le cadre d’une mission de la commission d’achat soviétique, demande l’asile politique aux Etats-Unis.
Il rédige quelques mois après, en 1946, un ouvrage où il décrit la vie publique et privée d’un haut fonctionnaire soviétique et il explique pourquoi il a choisi la liberté.
Dans son livre, traduit en français en 1947, il décrit, seize ans avant Alexandre Soljenitsyne l’horreur de la collectivisation, la famine provoquée en Ukraine, les purges, les camps de concentrations.
Tout comme Leys, Kravchenko mort en 66 ne fut pas cru. Il fut même accusé de mensonge par les cocos de l’époque..
Les briseurs de rêve sont des gens déplaisants ….
JC Landouille, redresseur de torts-boyaux !
Un film chrétien, « Marie Madeleine », qui sort demain, et qui apparemment est encore un navet… Pour la semaine sainte, c’était bien trouvé, apparemment, sauf que c’est un désastre artistique et une nouvelle crucifixion pour le spectateur :
« Comme le titre l’indique, le cinéaste met aujourd’hui en scène, façon fresque hollywoodienne, l’histoire de la disciple numéro une de Jésus qui, avec les apôtres, suivit le héros jusqu’à la crucifixion. Résultat : une sorte de chemin de croix, pour elle, pour Jésus et pour le spectateur… »
…
…de toute évidence, personne,…ne peut adhérer,librement, à une forme, ou autre du fameux, communisme,…
…
…si, desgens y votent, c’est pour faire peur, au grand capital, et pour revendiquer,!…que ces gens, n’ont rien,…
…office de soutien populaire, en somme,…
…
…contre, les riches églises, de toutes sortes,…subsidiées, en confréries, et soumis, aux protocoles , non pas de Sion,…mais soumis, » témoins de Jéhovah « , ou Opus Dei, des fesses,!…comme des laquais vertueux, aux pérégrinations d’être serviteur-collabos, des doxas, d’escroqueries des peuples et guerres fratricides gratuites,…
…
…en fait, vivre, dans les stratifications sociales, à charges de revanches, à faire porter, aux soumis d’Europe, les responsabilités des horreurs, perpétrer, en leurs noms,…
…
…quand le vice, du profit héréditaire s’immisce, pour les » parfait « , riches, manager, des pauvres-cons,…à défricher,…Oui, plus doucement pour attacher les jarretelles,…sur » shaved « ,…
…c’est mieux, il faut tout vous dire,…
…
…l’école de la littérature, comme dix-version,!…à leurres,!…etc,…
…
…
…en plus, quels crédits, à apporter, aux gens , quels qu’ils soient,…
…
…dans, le sens, que, ce qu’ils sont, !…ce n’est en somme, que par » écoles « ,…et que tout ce qu’ils savent ou font,…n’est pas naturel, d’eux mêmes,…
…mais, des tricheries,pour se croire capable,ou plus grand, que son prochain,…
…qu’elles unités de grandeurs secrètes,…sans écoles,…
…un jardin d’Eden,…ou des Stalag 13,…
…à rire de tout les votes spontanés, sous pressions » impérialiste ‘,de toutes parts mondialistes,…à l’avenir des jeunes à se respectés,…sans castes privilégier,…
…en cadeau Bonus,!…etc,…combien,!…
…
Profondément choqué par le meurtre barbare de cette octogénaire juive à Paris. Pourquoi les médias ne donnent-ils pas les noms et parcours de vie des personnes arrêtées ?
Ces événements sont extrêmement graves,on est passé en dix ans des violations de sépulture juives pratiquées par des néo-nazis à des meurtres barbares. La situation dans le pays est beaucoup plus grave qu’on ne le pense. Prendre des victimes au hasard dans des attentats est déjà abject, les choisir de cette façon et aussi vulnérables c’est digne du nazisme. Que font nos élus ? Quelles sont les réactions ce matin ? Quelles mesures à la hauteur de ces crimes barbares abjects sont proposés ?
Sommes-nous encore en France ?
…
…de plus, quels services publique, en tout sens, pour que tout la monde soient satisfait,…
…et, j’en passe,…les automatismes régaliens, …
…je sort, des courses à faire,!..
…
Qui maudire, s’il est désormais acquis qu’aucun écrivain ne mérite notre malédiction ?
Nos dirigeants qui nous gouvernent ? Ouais ! Qui nous affament ? Ouais ! Qui nous enfument ? Ouais ! Stéphane Poussier ? Ouais ! Nos cons de la France Insoumise qui le laissent tomber ? Ouais ? Nos Français de papier ? Ouais ! Nos Français profiteurs ? Ouais !… Nos belle-mères sadiques ? Ouais ! La Société Littéraire de Bercy ? Ouais….
Soyez maudits, crapulets , crapulettes ! Vous et vos familles, jusqu’à la troisième génération !
La racaille importée raisonne : « Juif ? Fric ! On y va ! On ne va tout de même pas travailler pour gagner notre vie…! »
Un bon avocat, de bons magistrats, et hop !
Qu’est ce qu’on a fait de mal ? On redistribue les richesses, on tue une mécréante qu’a l’âge de laisser la place aux jeunes, on étouffe l’affaire derrière la peur de la guerre civile, la justice passe la serpillière pour laver le sang versé…
Ah, oui ! j’oubliais : on blâme les voyous avec tape sur la joue. Vous ne le referez plus, hein, les petits ?! Vous le jurez ?… Merci.
Tout va bien !
Dormez, bonnes gens !
Au lieu de prendre à bras-le-corps le problème de la radicalisation, Macron n’a comme seul souci de stigmatiser les fonctionnaires et faire de comptes d’apothicaire. Ce matin le sujet pournoyer le poisson était la scolarisation avant 3 ans ! Ce n’est en rien la préoccupation des Français, et pire, c’est un sujet qui aurait du d’abord passer par référendum compte-tenu de son impact gigantesque sur la vie des Français, et économiquement aussi! Je ne me prononce pas ce matin sur l’intérêt possible d’un tel projet, je dénonce qu’on l’entreprenne sans mandat exlicite des Français au moment où des événements graves viennent confirmer que leur sécurité est restée plus que jamais précaire au vu de la menace radicale meurtrière.
J ai lu que Mme Knoll assassinee par son » voisin » avait depose plainte a plusieurs reprises contre lui ?
Si c est le cas l’ indignation legitime provoquee par ce crime odieux aggrave par le caractere antisemite, ne doit pas non plus masquer une consternation devant la responsabilite de ceux qui la portent .
Dénonçons la complicité de cette racaille faisandée de Delaporte avec de récents évenements de voyous qui nous rappellent les heures les plus sombres de nos grands-parents !
Oui ! en niant le caractère sacré du travail, on place nos jeunes forces devant un choix impossible : ne rien faire et mourir d’ennui, travailler et aller ainsi à contre courant du Bien Social Collectiviste … !
Comment déjeuner chez Drouant, sans un sou en poche, si on ne travaille pas ?….
Parlant juste, haut, et fort, le vit dans les doigts souligne le côté positif de ce crime : en tuant les gens qui portent plainte, on allège le travail de ces malheureux magistrats.
A toute chauve, malheur est c.on !
Dis le mariole de la drh a 11h04 contente toi de soutenir ton pote vereux icitte. Il est trop comprehensif avec ta delinquance webesque. Et la il est en grande souffrance.
7h01 Pasolini accusé de connivence fasciste ? Voilà qui laisse perplexe, je le voyais en dénonciateur du système, plus anarchiste , plusde gauche que de droite mais d autres pourraient renseigner plus précisément ce dossier, en tout cas artiste et dérangeant. N a-t-il pas tenté de tuer symboliquement le père ou la mère _ cette Italie fasciste ?
Pp Pasolini n a jamais cache ses sympathies fascistes et nazies durant la WWII.
http://www.lirelasuite-françoisbazin.fr. Quand Pasolini jugeait les nouveaux révoltés.
Et ce n est pas pour cela su il a ete assassine 30 ans plus tard. Ah c est complique la subversion des extremes.
Pour en revenir a Mme Knoll l idee qu elle ait eu a vivre au voisinage de son meurtrier deja connu pour un crime commis chez elle, m est humainement insupportable.
Qu ont fait ses proches pour la proteger puisque les flics et les magistrats en ont ete incapables.
Aucune trace d adhésion au fascisme , le contraire. Enfin après avoir dénoncé la bourgeoisie fasciste et décadente il se fait assassiner mais c est sûrement une coïncidence, je ne suis pas comme d autres ici un puits de culture cependant rien de ce qu on trouve n accrédité l idée d une sympathie fascisante, je n’ ai lu de lui que son théâtre , c est trop peu certes pour afficher une belle assurance et étayer une thèse ou une autre concernant sa réflexion et sa vision.
Bof c est sur que lire Pp Pasolini avec le breviaire du docteur pour hysteriques , y a plus b’soin de penser a aut chose qu au cul.
11h58 quelle sensibilité, pauvre chatte! Faites vous opérer, l ovariectomie devrait affaiblir cette vulnérabilité à la souffrance d autrui et pensez à soigner votre correcteur qui visiblement aime écrire carosserie avec des bosses. Cela apparaît comme inadmissible en prépa.
‘tain, le JC Landouille, il a pas peur du ridicule, il persiste et signe, bravo le vieux !
Il y renoue avec les grands classiques, vc est assez curieux et tragique.
« Un film chrétien, « Marie Madeleine », qui sort demain, et qui apparemment est encore un navet… »
Quand je t’invite à aller voir « La Prière », tu fais la fine bouche, Delaporte !
marrant, la magnagna a toujours un pb -monstrueux- avec le ventre des femmes.
Ma question de 11h58 semble gener la magnagna.
Ce qui est peut etre le plus dur a admettre c est que Mme Knoll rescapee des rafles a fini ses jours bien seule…
Cela me rappelle un autre triste souvenir de personnes comme Mme Knoll.
Lvdlb , non plus avec celui des hommes, et vous pourrez supposer que l andropause n offre à la tranche d âgé ou je stationné qu un bon nombre de bedonnants pas trésor sexy, tant pis, contrairement au dicton faute de merles… Je n’ en mangerais sous aucun prétexte. Entendu hier une émission sur France culture consacrée à votre pote E Carrère , Géorgien appris je en autres éléments de biographie.
magnagna / ragnagna ?
Nonon papate, rien a voir. Vous etes new ici ?
La question qui s affirme à 11h58 ne me gêne pas, une de mes vieilles voisines sans être juive s était faite agressée , trainer au sol pour un sac à main à 6h du matin après que je l que saluée en partant travailler, ajouté à cela une décennie de connerie et vous obtenez des crimes odieux à caractère antisémite. Depuis nous avons eu Sarko, Hollande et présentement Macron soit droite, gauche, centre droit.
« P‘tain, le JC Landouille, il a pas peur du ridicule, il persiste et signe, bravo le vieux ! » (Superco.nnasse)
Il vaut mieux être ridicule que défaite ….
P commeParis, à 58 ans ces choses ont disparu, lvdlb me surnomme ainsi par exigence probablement.
12h45 en attente de modération.
On va connaitre un peu mieux Mme Knoll. Sa bonte d abord.
Contrairement aux rumeurs publiees tot ce matin dans la presse elle n a pas depose plainte contre son voisin passe par la case prison. Elle a essaye de lui venir en aide a cette occasion.
C’est une liste de doloriste, non? D’ici à ce que la vie conchie le paradis il n’y a qu’un pas…
« Sa bonté d abord. »
A sa manière, elle aussi est une héroïne nationale, LVDLB. Victime de sa bonté, comme le lieutenant-colonel fut victime de son courage…
Autre que l actualite qui reunit deux personnes assassinees dans des circonstances d une rare violence je ne peux pas me resoudre a les confondre pour satisfaire aux obligation d une soit disant cause nationale . Laquelle ?
la premiere cause nationale pour les dirigeants devrait etre d assurer la securite de leurs concitoyens..Et pas que de faire des marches blanches…
@22.18 : Alain Fournier ?
91 pour cent des sondés ont aujourd’hui répondu Oui à la question : »Faut-il placer en rétention administrative les fichés S les plus dangereux ? ».
Alors ? On continue à ne pas le faire ?
Quand on pense que JC trouve tous les commentaires VERBEUX, relisez les siens, c’est du SUPER !
le seul mot non verbeux qu’utilise LC Landouille : c.on ou c.onne dix fois par jours et encore !
Lui, un réprouvé, un banni, un infréquentable parce que les mosquées l’ont une fois poursuivi en justice ?
—
Welbeck s’est exilé en Irlande, pour des raisons fiscales ( les écrivains déjà publiés étaient dispensés de l’impôt sur le revenu s’ils s’installaient en Irlande & continuaient à y créer);
Wellbeck s’est exilé dans le 13e, pour des raisons fiscales (le dispositif d’exonération irlandais a été aboli).
Il faut ici comprendre banni reprouve au sens de » ennemi public » concernant Houllebecq. Il ne s agit pas d exil fiscal. Manquerait plus qu il se fasse poursuivre par le fisc. L’avait deja bien assez de journaleux a ses trousses.
Welbeck s’est auto-banni pour raisons fiscales, pour ne pas payer ses impôts en France, c’est clair ou il vous faut un dessin, la mégère?
Houellebecq a ete traine devant le tribunal a cause de journaleux peu scrupuleux. Ca vous gene de le dire ?
Moi, non.
C est la seule raison qui fait que Houellebecq figure dans ce catalogue sous la direction de. Les listes d evades fiscaux c est trop litteraire.
Je vous informe qu’ayant dit tout ce que j’avais à dire et n’ayant plus l’intention de le répéter, je m’en vais longtemps sans exclure que ce soit pour toujours.
Et encore il a echappe au pire en 2015. Une garde rapprochee dont il se serait peut etre bien passe !
Ne vous échappez pas, D., avant de réfléchir avec P. van Inwagen sur la totale incompatibilité du libre-arbitre et du déterminisme, par l’argument de la conséquence. Puisque je ne saurais avoir le choix quant aux causes de mon action qui précèdent ma propre existence, je ne peux pas avoir le choix quant à mon action si ces causes la déterminent. Si le déterminisme est vrai, mon mensonge est la seule conséquence possible d’événements qui ont eu lieu bien avant que je ne pense à mentir, et même bien avant ma naissance. Les lois de la nature ne laissent pas de place à un futur dans lequel je ne mentirais pas. Mais comme je n’ai aucun contrôle sur ces événements passés, ni bien sûr sur les lois de la nature, je n’ai aucun contrôle sur mon mensonge.
Et ça, ca vous en bouche quand même un coin deux minutes. Il se trouve que Michel Houllebecq a failli arrêter d’écrire ses romans quand il a pris la mesure de cette logique métaphysique. Et puis, a décidé de l’oublier pour pouvoir passer outre.
car je ne pense pas qu’un exilé fiscal soit nécessairement un écrivain maudit à ranger dans l’enfer des biblio ; car beaucoup sont au contraire choyés par notre république passouliniste : bob dylan ou michel houellebecq, par exemple.
Et puis il y a les refractaires a l impot qui ne va pas ou il devrait.
Thinkofit.
Sorry, D., oublié de vous mettre un lien utile
https://www.youtube.com/watch?v=f_85DRqbwLQ
A plusse,
Pas franchement convaincu par son argumentation sur quelque chose plutôt que rien… (car quelle serait la nature de ce rien ?…) Et vous, D., qu’en pensez-vous en votre sagesse sidérale ?
https://www.youtube.com/watch?v=ntuFDldLQHk
Et pour changer de crèmerie, à partir d’une version moins ménopausée que celle de houellebecq-vilani, version qui repose la seule bonne question astrophysique plutôt que métaphysique : « quid d’avant le bing bang ? »
https://www.youtube.com/watch?v=130ryGKmf8o
demandez donc à JC Landouille, JJJ, c’est un savant incon.parable, il a la réponse… verbeuse
ces questions s’adressent bien évidencement à toussent, je pensais que D. avait plus d’aptitudes et de compétences à ce sujet que JC et GWG, sans doute ai-je eu tort, je ne connais pas très bien leurs aptitudes respectives.
Bon. Ca s’écharpe tranquillement, comme d’habitude ici. Soupir.
Bibi ce soir, je vais à une « première », à Neuchâtel-en-Bray, soit en plein coeur de la boutonnière brayonne (c’est-à-dire en pleine « zone humide ». L’Europe a établi une carte « Natura 2000 » des zones humides du pays de Bray. Ce sont des rigolos, à l’Europe, parce qu’ils auraient eu plus vite fait de repérer les zones non-humides, wouarf, n’importe qui pourrait vous le dire. Ceci est une incise.)
Donc, première ce soir au théâtre Auzelle : deux « grands entretiens » qui vont mettre en scène les paroles de deux écrivains : Violette Leduc et Simenon. Je penserai à notre hôte, bien sûr, à moi-même, aussi (parce que Violette et moi, hein, pardine !) et un peu à vous, ô erdéliens insupportables et lettrés. Et si vous êtes sages et que j’estime que vous le méritez, je vous raconterai peut-être, façon Lavande, le spectacle de ce soir…
@ Et si vous êtes sages et que j’estime que vous le méritez,
sauf que dans l’ensemble la rdl n’est pas tellement intéressée par ce compte-rendu. Violette était une amoureuse transie de Simone, pas de George. Il ne peut rien en sortir de bon, mais cela n’engage que moi, càd bibilolo-tétine.
Ce sont des rigolos, à l’Europe,
–
Des incompétents, sans doute, mais des rigolos j’en doute fort.
De toute façon il appartient à la France de s’occuper de l’écologie de ses territoires, pas à cette monstruosité technocratique nommée Europe. Epicetout.
Bon je m’en vais.
Le problème avec vous, JJJ c’est que vous transcendez de traviole. C’est pas beau à voir.
@16.47…, conformément à mon diagonalisme, rien là que de plus normal, voyons donc § Vous avez qq chose contre la laideur des handicapés, D. ? Je vous pensais plus tolérant comme nous le sommes en vous imaginant déguster vos sardines à l’huile… Mais surtout, vous me décevez un brin à toujours ainsi botter en touche quand on ose vous demander de l’aide. Ne serait-ce pas une facilité, à la longue ?
Il transcende mal, il transcende mal.
Qu’est-ce que j’y peux, moi ?
L’était prédestiné à mal transcender, et pis voilà. On peut pas être tous pareil. C’est la magie de la diversité hein JC ?
« Vous avez qq chose contre la laideur des handicapés, D. ? » (Gigi)
Je ne sais pas pour D, mais pour moi tout handicapé physique ou mental devrait être « retiré » du monde des gens bien faits.
Plus généralement, tout homme ou femme d’une taille inférieure à 1,49 mètres : hop ! Retiré….
Quittons nous sur une réflexion innocente : tout élève ayant de mauvais résultats scolaires devrait être retiré, ainsi que son professeur principal, comme sa famille … ça inciterait à progresser !
On transformerait les bâtiments déserts, lycées, collèges, universités, en parking gratuit : tout bénéfice !
toute la laideur de JC Lantouille, le charcutier pépère verbeux, meuh
Gigi transcende comme les poissonnières vendent leur poisson pas frais sur le marché du Prado ou au Vieux Port … en gueulant, bêtement, des slogans tout prêts à défaut d’être frais.
Pépère Landouille retourne dans sa charcuterie pour roupiiler sur ses pruneaux
JC….. dit: 27 mars 2018 à 17 h 56 min
On transformerait les bâtiments déserts, lycées, collèges, universités, en parking gratuit
Houi enfin quand il faut monter une moto de trois cents kilos au quatrième étage d’un bâtiment de deux mille élèves…
@18.07 c’est drôle, dans ma jeunesse j’avais écrit une nouvelle dite : « poissonnières transcendales »…
Je me demande si JC l’aurait pas retrouvée par hasard, dérivant dans une bouteille enfin accostée à Porquerolles.
euh… transcendantales…
Il a encore lu de traviole, m’étonne pas…
transcendentales, JJJ.
« ceux qui nous gouvernent sont surtout formés aux sciences humaines. C’est une catastrophe dont on ne mesure pas l’ampleur » Michel Serres Membre de l’Académie Française
https://theconversation.com/conversation-avec-michel-serres-les-mutations-du-cognitif-93214
Jazzi dit: 27 mars 2018 à 20 h 11 min
transcendentales, JJJ.
Janssen J-J dit: 27 mars 2018 à 19 h 35 min
euh… transcendantales…
Dentesque : Nabe et Klarsfeld font cause commune contre la réédition des pamphlets ; Passou défend le dossier Céline
http://www.nabesnews.com/bagatelle-pour-un-klarsfeld/
Libérer Céline des mange-merde
je suis également extrêmement choquée par la nouvelle en Une de la scolarité obligatoire à trois ans alors que nous sortons difficilement du nième attentat meutrier, du nième crime barbare perpétré contre des personnes innocentes et juives et je lis que cette dame portait plainte contre l’individu qui l’a assassiné et j’ai honte de voir notre société ayant si peu évolué en trente ans.
Il faut donc encore mourir pour que l’on prenne au sérieux la personne qui se dit en danger ?
Il faut des centaines de très jeunes filles violées pour qu’un prédateur sexuel soit empêché d’opérer en toute impunité ?
Il faut nombre d’attentats pour que des.mesures radicales soient prises en France pour respecter démicratie et liberté des individus ?
On continue ainsi le culte du c’est pas grave en allant droit dans le mur ?
Faut il créer les mêmes équipes qui comptabilisent les sans-abris pour recenser les personnes âgées trop peu entourées ?
Drôle de dégoût ce soir devant tant d’horreurs accumulées.
( je crois toutefois préférer Violet Le Duc à Violette)(m’enfin bon).
Jean Langoncet en quoi la complexité métaphysique de LFC dans son rapport aux juifs vous paraît moins condamnable que n importe quelle allusion raciste si on met de côté la forme « géniale » qu elle revêt ?
Rose plus de 20000 fiches S à surveiller, cela vous semble faisable?
puissent d’ici-là les vibrions de l’edition et des lettres parisiens y trouver leur gagne pain, de père en fils (on trouve sûrement des roses trémières encore séveuses en Syrie, et des écrivains français partis en guerre sainte ?)
Nous sommes farcis. Les enfermer ne ferait qu aggraver le problème, on voit dans quel état ils ressortent ; expulser les billets nationaux nécessite qu ils soient responsables d un délit en l état actuel du droit.
Bérénice, il ne vous aura pas échappé que Nabe n’est pas Céline, ni même son descendant, fut-il illégitime. Idem pour Enthoven fils.
Les bi-nationaux
contre l’ individi qui l’ a assassinée.
je suis hyper choquée.
je pensais à cela hier.
lors du premier attentat terroriste il y avait eu un regroupement sur la place de mon village où les gens manifestaient leur désir de rester tolérants et ouverts et chaleureux ( et merde aux marches blanches en train de devenir des enfume- couillons).
Un français d’ origine du Magreb était arrivé en criant c’ est moi, bref c’ était de l’ humour lourd. Plus enfant du pays que lui, tu meurs.
Aujourd’ hui, des années après, plus personne ne serait bienveillant.
>lvdlb
ce que je sais c’ est qu’ au sein même des communautés, des clans se déchirent et que le racisme devient ouvertement insolent.
si on regarde les choses en face on sait que les bi nationaux refusent de rentrer chez eux et que les pays concernés ne veulent pas plus les voir rentrer au pays.
je n’envisage qu’une solution économique.
Pourquoi toujours tergiverser, si un homme une femme possédant la double nationalité désapprouve le pays où il elle vit au point de représenter une menace pourquoi ne pas lui imposer de choisir l autre camp, où il elle pourra plus facilement s identifier à un voisin qui lui ressemble sans éprouver le désir de se sacrifier pour un Dieu qu ici nous n honorons pas tous.
revenez qu’on rigole un peu
bcp pensé à cela aujourd’ hui : que nous vous nourrissons de notre sang frais. et que sans nous, vous êtes foutus.
Qu’insinuez-vous ? Pierre Assouline n’est-il pas chez lui en France ?
Pensais à cela aukourd’ hui encore : c’ est comme être richissime et hériter – même à usage collectif- d’ un appartement cours Mirabeau.
Et vous ne voudriez pas de rage ?
Rose il faudrait un énorme travail
dans les quartiers, un énorme travail éducatif, en plus des problèmes qui ne touchent pas uniquement la troisième génération . Ces gens nuisent à tous ceux de même confession qui n ‘e..erdent personne .
Ma remarque répondait à ce commentaire : « si on regarde les choses en face on sait que les bi nationaux refusent de rentrer chez eux et que les pays concernés ne veulent pas plus les voir rentrer au pays.«
crucifixion. Résultat : une sorte de chemin de croix, pour elle, pour Jésus et pour le spectateur… »
Si ce n’ est que le spectateur, loin de la crucifixion peut envisager la fin de carême et laisser les navets pour la soupe. Le nombre en est impressionnany !
je parlais des bi nationaux délinquants ce qui n’ est pas le cas loin s’ en faut de tous les bi nationaux.
et pour l’ex. idiot, s’il en faut, un -au hasard-bi national franco-suisse si la France l’expulsait la Suisse ne serait pas ravie de l’accueillir. Refuserait si elle en a le droit.
Les choses ne sont pas si simples.
Je n’avais jamais rien lu de M.E.Nabot avant de lire ce qu il pense de Lucette, de Louis, Francois, Serge, et Julius.
Il doit fumer ce monsieur.
Jean Langoncet , il est vrai que Pierre Assouline est lui aussi un être complexe, j éprouve parfois le besoin d éclairer certains paradoxes, sûrement est-ce causé par ma simplicité et mon peu d acquis cependant je ne saisis pas comment ni pourquoi un juif défend le genre pamphlets antisémites , indubitablement antisémites.
Ces gens nuisent à tous ceux de même confession qui n ‘e..erdent personne.
Ces jeunes gens : 25-35 ans.
et les assassins de vieilles dames ou jeunes hommes pareil.
Effrayant : leur áge et leur nombre.
Les quartiers ?
Ceux ds lesquels personne ne peut plus pénétrer ?
cependant je ne saisis pas comment ni pourquoi un juif défend le genre pamphlets antisémites , indubitablement antisémites
et moi aujourd’hui je songeais au paradoxe de wdg qui se revendique juif et est très critique envers assouline qui se revendique juif et il y a peu d’alliance, peu de soutien.
jean langoncet
je n’insinue rien.
j’écoute ce que les.gens disent. je vois l’effet qu’entrainent ces actes terroristes sur des communautés qui se déchirent et s’expriment.
J ai l impression que les rdv de Meudon chez Louis ressemblaient a ceux de Montretout chez le Borgne. Et M.E Nabot a l air d etre un coutumier de ce genre de railly.
C’est donc le délinquant qu’il faudrait pointer plutôt que le bi national, non ? Et quel bi national ? Un ressortissant de la communauté ? Ou pensiez vous à une affaire de rive de la Méditerranée ? Le cas échéant, faites gaffe, Passou est espagnol aussi bien que marocain avec, une touche de pince sans rire qui signe l’appartenance au peuple anglois descendu des brumes de Leeds jusque vers Gibraltar ; un vrai casse-tête ce bonhomme
22h22 je ne sais si c est validé mais il existe des accords concernant les migrations pourquoi ne pas en former d autres stipulant les conditions de retour. EM à bien essayé de s entendre avec la Lybie afin d obtenir une retenue des migrants d ailleurs en danger, rien ne semble impossible. Il paraît que certains états en profitent pour laisser passer dans le flux le produit de leurs prisons _immigration choisie? Calomnie? Intox?
autant l’écrire, outre ce que nous vivons je suis catastrophée par les réactions.
salut à tous
cela a tjrs été le cas, en Australie en Amérique, ceux qui émigraient versndesnterres nouvelles et inconnues – et revoir les Moissons du ciel- étaient les plus paubres et les plus démunis.
Si ce n’est qu’aujourd’hui sous le.couvert de la religion -à annexer impértivement au privé-ils jettent des bombes ds l’Eldorado découvert.
C’est à ne plus rien y comprendre à cette jeunesse là.
Oui jean langoncet mais terroriste est au-dessus de délinquant. Trop de laisser faire.
Nicolas dit: 27 mars 2018 à 20 h 31 min
Ce que dit Michel Serres à propos de la nécessité des responsables politiques et de la connaissance des sciences dures est extrêmement naïf et contestable.
C’est une naïveté qui remonte d’ailleurs à Platon. Elle consiste à nous faire croire comme si c’était une vérité absolument nécessaire qu’on ne saurait gouverner sans connaissance scientifique pour prndre des décisions en connaissance de cause.
Non ! C’est confondre deux ordres, comme dirait Pascal. Un homme politique n’a nullement besoin d’être diplomé d’informatique pour prendre les dispositions politiques qui s’imposent dans la Cité concernant l’informatique. Il a des conseillers autour de lui qui, eux, sont parfaitement au courant des tenants et aboutissants dans tel ou tel domaine, et lui permettent de prendre ses décisions qu’il faut ou celles qui s’imposent à ses yeux, au regard de la politique qu’il compte mener.
La politique n’est nullement de l’ordre du savoir mais des valeurs sur lesquelles on veut collectivement que la Cité repose. Le savoir ne connaît pas l’ordre des valeurs.
On pourrait dire la même chose à propos de l’informatique, de la biologie et des conséquences pour la Cité de la génomique etc. Le monde politique est le monde des valeurs, pas de la connaissance. La confusion par Platon entre ces deux ordres est malhureusement reproduite par Michel Serres.
Benny Levy a bien pensé ce problème d’ailleurs dans ses commentaires philosophiques de Platon. À relire.
Et la Durance passe encore par Sisteron. Tout s’écoule
Tu veux dire que sous couvert de modernité Serres nous ressert des idées poussiéreuses ? Prenons le problème à l’envers, qu’elle valeur les politiques donnent ils à la connaissance scientifique ?
Vous avez 8h, à demain
et moi aujourd’hui je songeais au paradoxe de wdg qui se revendique juif et est très critique envers assouline qui se revendique juif et il y a peu d’alliance, peu de soutien. (rose)
__________
Voilà des propos qui méritnt qulques éclaircissements.
Ces propos présupposent logiquement que ce qui fonde l’accord ou l désaccord entre deux personnes serait purement d’ordre ethnique. Ils présupposent implicitement une ethnisation de la société.
Il n’en est bien sûr rien ! Prenez deux Juifs, vous aurez deux points de vue différents. C’est si bien connu que c’est l’objet de fréquentes plaisanterie parmi les Juifs. Il n’y a pas un pays où les débats vont bon train entre des Juifs qui s’opposent qu’Israël !
Le désaccord de fond sur ds questions aussi graves à propos ds pamphlts de Céline ou du cas Maurras n’empêche nullement que sur d’autrs points tout aussi vitaux et d’importance on puisse tomberd’accord. Cela peut être lié à nos origines juives ou pas mais cette origin n’est pas le point déterminant. Ce qui compte, c n’est pas l’origine pour penser qulque problème qui soit de la Cité mais la Raison. C’est en fonction d’un critère de valeurs fondé en raison qu’on peut débattre d’une question, et non pas en fonction de son appartenance ou pas à telle origine ethnique, ce qui serait une pnsée purement raciste.
Il ne faut pas tout confondre. C’est trop grave !
Nicolas dit: 27 mars 2018 à 23 h 04 min
Prenons le problème à l’envers, quelle valeur les politiques donnent ils à la connaissance scientifique ?
_________
Ce n’est nullment prendre le problème à l’envers, c’est parler d’un tout autre problème : la politique de la recherche. Chaque gouvernmnt a une certaine politique de la recherche qui ne dépend nullement des connaissancs scientifiques du ministre en question ou du président. Ça n’a aucun rapport !
Il est clair qu’un démocratie ne peut pas légalement mettre tous les fichés S dans un camp de rétntion administrative ou un camp de concentration pour préserver la société de leurs dangers potntiles. Seule une dictature le peut.
Le danger vient alors non des fichés S mais de ceux qui veulent les mettre en sûreté dans un camp, car alors ils entre dans la logique de la dictature et fragilisent sans vraiment le comprendre bien souvent ls principes de liberté démocratique qu’ils prétendent vouloir préserver en demandant leur enfermement. C’est une logique totalement perverse mais hélas bien à l’œuvre dans notre société.
Il n’y a pas d’autre choix que de vivre dangereusement ! L’histoire est tragique. Vouloir éviter le tragique, c’est tout simplment l’histoire d’Œdipe qui pour fuir une menace imaginaire rencontre son destin tragique. C’est lui le seul responsable, c’est lui qui décide de partir, nullement ls dieux; on l’oublie toujours.
Vivre dangereusement est le seul moyen donné à l’homme d’éviter le danger. Il doit rester humble et modeste s’il veut vivre.
Tu n’es pas très drôle W. Oui on peut se placer à des hauteurs philosophiques platonique, on peut aussi noter que la ministre de la santé n’est pas l’heureuse propriétaire d’une maison d’édition. Je pense qui ni toi ni Serres n’avez totalement tort ni totalement raison. Et toc!
21h26 Dante-estce-que…
….
Mais en préalable, dans ce débat confus,
21h51 « j’ai honte de voir notre société ayant si peu évolué en trente ans… » !
Vous; vous n’êtes pas du tout la pire des intervenautes, vous vous exprimez poliment, parfois joliment, avec des points de vue intéressant, mais bon, là on a l’envie de dire : qu’est-ce qu’il vous faut !
Par exemple : envoyez-vous des enfants à la petite école ? recevez-vous la photo de classe annuelle ? Vous est-il possible de la comparer avec celle de vos tendres années? voire du temps de vos grands-parents ? Car cela pourrait vous aider…
Il est vrai que vous avez dit avoir voté Mélenchon (ce qui revient à Mélancron) -ce n’est pas un reproche- mais aide à comprendre le sens de l’évolution que vous souhaitez… et dont on peut s’inquiéter. Et que ce Roquet, très clairement (si l’on ose dire) voulut nous expliquer, lors d’un Show électoral sur une plage de Marseille jadis, où on le voyait à la télé gesticulant pour inviter par les « coeurs » à abattre l’obstacle naturel qui nous sépare (encore) de l’Algérie ! (sans doute avec la main non pas de « ma soeur », mais de Fatima (Khamsa)
—
Pour revenir à la question des Pamphlets, il ne sert à rien de cultiver les paradoxes.
Ce qui sépare en vérité Mr. Klarsfeld de Mister Nabe, c’est un tout petit volume en papier bible et à la couverture en cuir souple comme disait Aragon.
Le premier ayant dit « il ne manquerait plus qu’on les édite en Pléiade ! », et l’autre au contraire ne souhaitant qu’ils ne soient édités : « qu’en Pléiade ».
Cependant le problème que soulève Nabe (provocateur né) est complexe dans ses conséquences. Car comme il le dit lui-même, il n’y a aujourd’hui en France, qu’Henri Godard, pour réaliser cette édition prestigieuse (car il connait toute une masse de documents non publiés trouvé dans des coffres), et il n’en a pas du tout envie (existe un film surnaturel, où l’on voit Mr Godard et son épouse, promenant dans Paris et passant par hasard devant la Galerie farfelue de Nabe [comme si Macron promenait son chien en bas de chez vous… par hasard] et un dialogue cocasse s’engage, durant lequel Godard dit « céline pour moi c’est fini »…). On voit alors que la position absolue et provocatrice de Nabe revient en effet à ne rien publier du tout dans le présent. Même très imparfaite l’édition Tettamanzi aurait pu un temps faire l’affaire.
Très imparfaite en effet par sa forme, mais aussi par l’esprit de ce R. Tettamanzi, qui est encore quelqu’un de très, très mal à l’aise devant les Pamphlets au point qu’on se demande si il arrive à en apprécier au moins quelque chose en eux. Multipliant mille fois les garanties du pardon, et « encadrant » déjà spontanément ces textes, il n’en fut cependant pas davantage remercié…
Il ne reste qu’à souhaiter qu’il n’ait pas à l’avenir à s’occuper d’un éventuel nouveau Pléiade… et que des vocations s’éveillent.
—
Mais « L’Avenir dure longtemps »
Il se fait très tard et je n’ai pas encore fini mon Dewar’s White Label à l’eau alors je vais saluer la compagnie non sans l’inviter à songer à l’excès si utile en littérature. Quand je pense au roman mettant devant les lecteurs une fillette de onze ans qui veut se faire déflorer par un homme mûr qui s’y connait, et non par un boutonneux de quinze ans qui pue la bière, et ce parce qu’ils craignent la Loi, je me dis, faudrait l’entreprendre ce roman. L’hystérique Angot en assurerait le succès…
Bihoreau
ne vous ai pas répondu pck pas de recette. Et pas envie de blabla.
Pourtant, je carbure (aux neurones, pas au whisky).
là, votre idée c de la provoc. ?
On a déjà entendu ce genre de critiques de l’édition Tettamanzi sous la plume d’un certain Philippe Regniez. Elle est parfaitement imméritée.
Widergänger
je vous remercie de votre réponse et de sa clarté.
Au- delà de cette dualité – Assouline, vous et de cette opposition liée à des idées, nous assistons bien, ce me semble à un clivage sociétal : les musulmans assassins terroristes, les juifs martyrisés en premier chef, les chrétiens qui défilent en marche blanche silencieuse pour signifier leur désaccord et leur dégoût.
Pas d’ union, pas de force.
C bien ce que dit le Crif à Mélanchon, non ? Eu égard à vos positions envers Israël, vous êtes persona non grata à la marche blanche.
Alors, nous sommes toujours dans une récupération politique de base ?
Moi, je trouve que vous avez le courage de vos idées. Ce n’ était pas une critique formelle envers vous.
Néanmoins, je pense que si on veut avoir la force, hors triphasé, nous faut l’union.
Truompeu
première partie.
je ne soupçonne en rien Mélanchon de nous faire devenir musulman ; et je ne crois pas- mais n’en sais rien- que sa compagne, ni celle d’Eric Cantona, ai demandé à se qu’il se convertisse.
Bien sûr que l’on aimerait arriver à une confraternité avec l’Algérie autant qu’avec le Boutang.
La solution n’est pas dans le commerce des armes ni dans le commerce du tout. Elle est dans un équilibrage des forces économiques qui régissent les échanges.
Quant à la politesse toute relative, elle me coûte de gros efforts.L’injure me vient communément à la bouche. Je me retiens Truompeu.
en attendant ce roquet a été ovationné hier à l’Assemblée Nationale alors que où est Macron, là ? Hormis dérangé dans son confort présidentiel ?
que nommez-vous la menace imaginaire d’Oedipe ? La prédiction faite par . ?
Tiresias ?
…
…quand, l »éducation nationale, devient une question de simple » gardiennage « , par et pour, les sociétés privés,…industries,…
…nos futur enfants,?…les jouets de tout nos capitalismes,!…
…
…les commandes Bio – éthiques,…
…
…des enfants à Bill Gates,…des marins, musclés, des Copa, des Copi,…des Mercx, des Anquetil,…
…beaucoup, de laisser, pour compte, pour faire, prostitutions et cage aux folles, et bordel compris,…de bonne » race « ,…abrutis,…
…
…les administrateurs à teutoniques collabos, plantés aux bureaux divers, objets trouvés,….
…des riches,qui jettent, l’argent, par les fenêtres, collections de voitures, et autres bio-vert, d’ampoules,…à ne voir, que la télé,comme livre dans l’obscurité,…
…
…refaire, des sociétés,… » Métropolis « ,….aux » divan – lit, et sur canapés,…pour les » maquereaux « , à Macron, aux saintes – ni touches d’Europe, en miettes
…
…des enfants sur mesures » prédisposés « ,…vers l’industrialisation des enfants,…
…
…et, contours, vers les » dons ‘ d’organes,…et » bites » de singes,…
…magnifique ingratitudes des sciences,!…
…tout ce temps, pour la planète des singes,!…etc,..Ah,!Ah,!…Bip,A!Bip,!…
…Go,!…
Rose,
Toute confraternité véritable de part et d’autre de la Mer Nostre est vouée à l’échec car elle présuppose un référentiel commun ce qui est impossible.
Nous avons là une Loi républicaine et démocratique d’une part, et une Loi religieuse totalitaire d’autre part. S’entendre, se tolérer, commercer, est le mieux possible. Ce serait déjà ça …. !
La fraternité est un objectif inaccessible.
Rappelons que dans le même pays, entre braves Français de France patrie des « Droits de l’homme », la liberté est relative, l’égalité est illusoire, la fraternité un mythe artificiellement entretenu pour faire joli …
Alors, entre république et théocratie …… on est pas sorti de l’auberge.
Bref, si nous ne comprenons pas que nous sommes en conflit avec un ennemi intérieur puissant par sa nocivité et qu’il faut adapter notre « démocratie » au problème à résoudre …. ça va mal finir.
@un référentiel commun
Mélenchon au premier tour, Le Pen au second. C’est tout simple voyez
On peut préférer la figure du hâbleur au cinéma, au théâtre ou au cirque
JC Landouille , verbeux dès 5 heures 51 !
Son Evidence, impertinente dès 7h22 ! Je l’adore …. bonne journée, mon choux !
« Cependant le problème que soulève Nabe (provocateur né) est complexe dans ses conséquences. »
Je n’avais rien lu de M.E. Nabot avant de cliquer sur un lien posé ici, une déjection, par celui qui a cru bon de nous la mettre sous le nez.
Ce personnage de l’école sollers-dieudonné, idiot utile de daech, est effectivement sans conséquence, pour peu que tous ceux qu’il met en cause nommément dans des propos passibles de poursuites judiciaires – sa seule manière d’être connu dans le « milieu » ?- ne se sentent pas diffamés dans leur responsabilité sociale.
Il a déjà quelques casseroles au cul, pas assez pour en faire une batterie de cuisine. Un pauvre pantin qui s’agite bruyamment devant quelques autres amateurs du genre.
Bien inutilement devant ceux qui restent sourds à sa dialectique antisémite.
M. E. Nabot, un conversos qui fait carrément honte à l’église.
En 74 Pasolini a parlé de fascisme des antifascistes : « rien n’est pire du fascisme des antifascistes », dit-il ; mais aussi d’une « mutation de la culture italienne qui s’éloignait de l’antifascisme et du progressisme socialiste ».
Il y a néanmoins cette histoire :
http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2006/04/14/la-denuncia-di-pasolini.html
Merci Renato pour ce lien très interessant, qui complète un peu des trous dans la bio de Pp Pasolini, durant la WWII.
En voilà un autre sur l’année 42.
http://badigit.comune.bologna.it/mostre/pasolini42/esordi.htm
Amelia Rosselli, A Pier Paolo Pasolini:
https://blogfigures.blogspot.fr/2010/02/amelia-rosselli-pier-paolo-pasolini.html
(Amelia était la fille de Carlo Rosselli, théoricien du Socialisme libéral tué avec son frère par une bande de cagoulards en 1937.)
Excellent article de Claude Askolovitch dans le Nouveau Magazine Littéraire de mars. Le début: http://archives.magazine-litteraire.com/le-ph%C3%A9nix-fasciste
J’en citerai quelques passage ‘mas tarde’.
Renato, je ne sais pas ce que vous pensez du lien de 8H49 ?
La vie, il fallait bien que les gens puissent vivre, et si l’on avait pas de moyens une adhésion de surface ou la carte du parti était la carte d’accès à la vie. Cela dit, il est vrai que Pasolini avait un fond réac — polémique avec Calvino relative à l’avortement, p. ex.
si l’on avait pas > si l’on N’avait pas
et le 27 mars 2018 à 8 h 18 min
« Que Dieu nous garde de la littérature! Il diavolo è certamente un ottimo scrittore che opera sopraTtutto attraverso « spleen and dreaminess », come ha detto un esperto. »
misere du copier-coller : soprattutto !
Tullio Pericoli, Jorge Luis Borges:
Le fascisme n’est peut-être plus là où on le croit, Bloom, comme le pensait Pier Paolo Pasolini…
« Excellent article de Claude Askolovitch dans le Nouveau Magazine Littéraire de mars. Le début: http://archives.magazine-litteraire.com/le-ph%C3%A9nix-fasciste » (Bloom)
Il n’est guère étonnant que ce splendide abruti d’Askolovitch, prototype réussi de l’idiot inutile, plaise à un attardé en Gaucherie comme Bloom ….
Le début de ses élucubrations sur le phénix fasciste n’incite guère à poursuivre une lecture !
Le début de ses élucubrations sur le phénix fasciste n’incite guère à poursuivre une lecture !
—
C’est dommage, il y un portait-type des jissé rien mais j’parle sur tout un peu plus bas…
« Francis Kalifat, a provoqué un tollé. «La surreprésentation des antisémites tant à l’extrême gauche qu’à l’extrême droite rend ces deux partis infréquentables», a expliqué le représentant du Crif, mercredi matin, sur RTL. » (Figaro)
Comment un couilllon comme ce Kalifat peut -il manager le CRIF ?
Enfin, camarade Bloom ! Tout le monde, ici, sait que Claude Askolovitch est un cerveau vide aux idées creuses, implanté sur un corps malade de haine fasciste …!
Le fascisme n’est peut-être plus là où on le croit, Bloom, comme le pensait Pier Paolo Pasolini…
—
Ce ‘peut-être’ est de trop. On a passé l’âge des arguties, Baroz. En 2018 en France, tout le monde sais très bien où se trouvent l’islamisme, l’antisémitisme, le fascisme version rouge-brun et ou brun noir.
Jean Langoncet 27 mars 2018 à 21 h 26
Dentesque !!! : Nabe et Klarsfeld font cause commune contre la réédition des pamphlets
A dévorer à belles dents ??? A en voir les occurrences sur le net, ce pauvre Dante doit s’en retourner dans sa tombe…
« rien n’est pire du fascisme des antifascistes »
—
« rien de pire que l’imbécilité des imbéciles »
« rien de pire que imbécillité des imbéciles » (Bloom)
Camarade Bloom, cette autocritique t’honore ! Félicitations !
(j’ai corrigé imbécilité qui prend deux L)
https://www.cairn.info/revue-lignes-2005-3-page-7.htm. P
Ajout de matériel pour les travaux sur la voie.
Mélanchon a remis les pendules macroniennes à l’heure. Il n’y a pas de véritalbe montée de l’antisémitisme en France, car rien ne le vérifie. Je ne peux pas regarder la cérémonie des Invalides, mais il semhlerait qu’il y ait beaucoup de dignité. Christian Oster est un écrivain confidentiel très subtil : son humour décalé de grand flegmatique passif et un brin parano forcent le respect (comme le sont la plupart de ses anti-héros fuyant comme le dernier du genre dans le Massif central, en passant faire les courses chez Picard).
Je pense qu’il ne faut pas confondre LF Céline et L. Althusser. Mais que pense réellement l’épouse de Henri Godard (Hélène ?) le seul qui eut pu se coltiner à cette entreprise ? Une estimable internaute dit se réfréner beaucoup plutôt que d’injurier, mais n’en pense pas moins. Je suis rarement en phase avec ses commentaires sur l’actualité terroriste, et pourtant elle m’épargne : est-ce grâce ou à cause de Victor Hugo ? Me l’fait souvent sourire.
Bonjour à toussent, et à cousine Elisab, exilée en Belgique. (Il pleut constamment, et les trains ralentissent, voire sont annulés).
La langue anglais est bien plus cohérente (et partant, moins imbécile) qui conserve le ‘l’ unique lors de la dérivation nominale.
imbecility [ˌɪmbɪ’sɪlɪtɪ] noun → synonyms
a [uncountable] ▶ imbécillité f, ▶ stupidité f
b “act etc” ▶ imbécillité f, ▶ stupidité f
c /Medicine/ ✞✞ ▶ imbécillité f
Pour le JC traditionnaliste :
imbécilité \ɛ̃.be.si.li.te\ féminin (orthographe rectifiée de 1990) Variante orthographique de imbécillité.
« L’intérêt de l’Académie pour les simples d’esprit ne date pas d’aujourd’hui. Déjà, en 1798, elle s’était penchée sur le cas de cet embarrassant imbécille, pourtant logiquement formé mais que les sots risquaient de prononcer de travers. Aussi décida-t-elle, sans plus de façons, de l’amputer d’un coup de faucille bien placé, fixant sa graphie avec un seul l pour les siècles à venir… mais oubliant au passage de faire subir le même sort au nom imbécillité ! L’étourderie ne sera réparée que deux cents ans plus tard, le temps nécessaire aux académiciens pour affûter leur lame.
Avec le recul, on peut se demander si l’inquiétude des sages de 1798 n’était pas fondée, tant nos contemporains ont la fâcheuse tendance à faire rimer bacille, myrtille, pupille, (il) distille, (il) oscille avec fille… »
http://parler-francais.eklablog.com/imbecile-imbecilite-imbecillite-a3851333
La modération n’aime pas les explications pour l’imbecil-l-ité !
@JJJ
la femme d’Henri Godard est ma payse et ma congénère ;nous nous sommes croisées souvent dans le mondanités juvéniles de notre enfance
son prénom m’échappe mais je ne pense pas que ce soit Helene;je pencherais plutôt pour jacqueline mais de son nom j’en suis sure Smadja
Merci Zeribnette d’aider notre langue à entrer dans la modernité, et, qui sais, à devenir aussi PCS que l’anglais!
saiT
On était une petite quarantaine. Et encore, si on enlevait les invités et l’équipe organisatrice, on devait être 23 spectateurs payants (donc « vrais ») dans la salle.
…
Le flop.
En fait, ce n’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre dans le pays de Bray. « Comme ça » : classiquement veux-je dire, avec un joli programme « alléchant », mais distribué dans les villes normandes (Rouen, Dieppe, Le Havre), un site internet indiqué dans Paris-Normandie et un reportage ou deux sur FR3.
Tout est louable, évidemment, dans l’intention, et tout est d’une très grande qualité, de la programmation à l’exécution. Mais ici, ce n’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre, c’est tout.
En fait, il faut (par exemple) aller voir Unetelle, qui ouvre les portes de son jardin brayon deux fois par an et réunit, dans sa grande véranda aux jolis coussins pour les fesses de ses invités, ses amies du coin. Toutes femmes ayant, dirons-nous, quelques revenus, du loisir et une forte propension à s’ennuyer l’hiver, quand les rosiers ne permettent pas d’aller cueillir les bouquets qui orneront les tables marquetées.
Et les X et Y, dans leur joli château, qui égrènent depuis maintenant une bonne trentaine d’années les sculptures de Monsieur, soit sur certains rond-points routiers stratégiques, soit sur la pelouse d’endroits comme le casino, la côte d’opale ou telle municipalité où siège le petit-cousin, hobereau bonne souche et sincèrement admiratif devant la grâce, le bon goût et le lissé des oeuvres de l’artiste de la famille. Là aussi, si on arrivait à parler adroitement à celle-ci, ou celle-là, on mobiliserait ainsi non seulement la génération des parents, mais aussi les djeunes (en équivalent brayon du loden) qui, au sortir des chapelles, prennent le risque d’affirmer leur originalité en lisant Michel Houellebecq.
Mais il y aussi les petits cercles beaucoup moins aisés, institutrices à la retraite que leur homosexualité a conduites à se cacher dans les replis des collines brayonnes, et qui ouvrent, vai des circuits « parallèles », leur longère foutraque et mal isolée, à des manifestations culturelles où l’on a le droit de porter le short…
Et toutes les associations qui gravitent autour de « l’identité brayonne », plantes, fruits, et tousproduits à l’avenant et ne dédaigneraient certes pas être démarchées, pour peu qu’on les chatouille au bon endroit. Connues et reconnues dans des cercles de 15 kilomètres de circonférence, certes, mais c’est aussi là que s’activent les moins bourrus de la boutonnière…
Vous me direz qu’il est impossible au festival Terres de Paroles, financé par le Département (d’où la louable intention de rayonner jusque dans la ruralité la plus profonde) de connaître tous ces gens-là, qui seraient pourtant indispensables au remplissage des salles du pays de Bray.
J’ajoute qu’il faudrait s’y prendre une bonne dizaine d’années à l’avance, pour faire bonne mesure…
Mais pourtant, cet impossible-là est pourtant LA condition de la réussite. Songez qu’hier au soir, dans la superbe (vraiment vraiment) salle du théâtre Auzelle, pas un seul journaliste local n’était venu assister au lancement des manifestations qui doivent durer 5 semaines, et comprennent une forte offre par chez nous de spectacles variés autour de la littérature…
Z’auraient dû m’embaucher comme consultante, tiens, à Terre de Paroles…
(car rien n’a changé vraiment, depuis Maupassant).
Sinon, Simenon/violette Leduc, ça fait pas un drôle de ménage littéraire, Clopine ?
(car rien n’a changé vraiment, depuis Maupassant).
—
Exactement ce que me disait le doyen de la fac de Lettres de Rouen. En 1995.
« et je ne crois pas- mais n’en sais rien- que sa compagne, ni celle d’Eric Cantona, ai demandé à se qu’il se convertisse. »
Ça m’étonnerait qu’elles soient elles-mêmes musulmanes.
« car rien n’a changé vraiment, depuis Maupassant »
Grande admiratrice de Maupassant, je ne peux en juger puisque j’ai dû mettre les pieds en Normandie une seule fois dans ma vie et fouler le sable d’Oklahoma Beach. En revanche, je peux dire que depuis le Paris de la belle époque de Balzac, rien n’a changé.
Cette évolution de la société française et des Hommes en générale est époustouflante, non ?
L’identité brayonne, c’est une idée de c.on, pardon ! une idée de c….
Dire du Colonel Beltrame qu’il incarne l’esprit de résistance français (ce qui est evidemment vrai), sans soi-même accepter de résister un minimum…autant fermer sa g…le.
« je peux dire que depuis le Paris de la belle époque de Balzac, rien n’a changé. »
Faut pas exagérer, ED !
« autant fermer sa g…le. »
Tu ferais mieux, en effet, D. !
Résister, ce n’est pas se fondre dans la formule et l’émotionnel, résister c’est agir et prendre des risques.
Ne prononcez plus ce mot-là, Macron, il vous va si mal.
11.34, Merci Judith pour cette info. Hélène, c’était juste un clin d’oeil à Althusser. Donc, le couple Godard ne veut plus avoir à se coltiner avec Céline. C’est dommage en effet, car au vu de la magnifique biographie produite sur le Maudit…, je l’aurais bien vu commenter les pamphlets chez Gallim. Mais je respecte son apparente répulsion à les voir pléiadisés, d’après ce que je comprends.
Quant au Marc-Edouard, en effet, laissons ce minusse en son purgatorium pour y astiquer au nab les lavabos de son propre vomi.
Jazzi, c’était ach’ment bien. L’idée est lumineuse de simplicité : reprendre des « grands entretiens », (Par exemple, Boutang et Leduc) archivés INA et les faire jouer par des comédiens, l’un jouant le rôle de, allez on va dire pour faire vite, Pivot, l’autre de l’écrivain interrogé.
Ca donne des trucs hilarants. La comédienne qui jouait Leduc avait tout compris, par exemple, et elle donnait une sorte d’accent légèrement parigot et une simplicité presqu’enfantine aux propos de Leduc, ça collait parfaitement avec l’absolue simplicité de l’écrivain mêlée à la roublardise d’une fille qui compte ses sous.
Pour Simenon, le passage où le comédien reprenait les considérations sur le nombre de relations sexuelles de Simenon était vraiment super. L’absence totale de gêne, la constatation, la mise à égalité de l’explication du processus créatif (peu ou prou comparé à un exploit sportif) et des besoins de l’écrivain en matière de femmes, tout ça était épatant.
J’enrage un peu, l’a-t-on deviné ? De l’indifférence des mes payses…
Pour prendre la mesure dont le Paris de Balzac a disparu sous les coups de pelles du Baron Haussmann, il faut lire l’excellent livre de Eric Hazan, L’invention de Paris, si possible dans sa version illustrée, magnifique. A compléter par Une traversée de Paris et Balzac, Paris, du même.
Non JC,
La richesse par naissance, l’arrogance de ces gens qui ont eu la chance de naître au bon endroit. L’abondance qui côtoie la misère dans le plus profond mépris. C’est le Paris de 2018. Être un Rastignac ou crever.
En province, les différences ont le mérite d’être supportables à l’œil nu.
Dans Illusions perdues, Balzac donne une description des célèbres Galeries de Bois du Palais Royal, au temps de leur splendeur (elles furent démolies en 1828) :
[…] sous ce hangar impudique, effronté, plein de gazouillements et d’une gaieté folle, où, depuis la Révolution de 1789 jusqu’à la Révolution de 1830, il s’est fait d’immenses affaires. Pendant vingt années, la Bourse s’est tenue en face, au rez-de-chaussée du Palais. Ainsi, l’opinion publique, les réputations se faisaient et se défaisaient là, aussi bien que les affaires politiques et financières. On se donnait rendez-vous dans ces galeries avant et après la Bourse … Il n’ y avait là que des libraires, de la poésie, de la politique et de la prose, des marchandes de modes, enfin des filles de joie qui venaient seulement le soir …
La rue de Richelieu et, bien entendu, le Palais-Royal furent les deux principales victimes de l’haussmannisation. Le commerce du vêtement féminin, spécialité de la « l’infortunée » rue de Richelieu, y disparut totalement au profit de la concurrence installée rue du Quatre-Septembre . Alors qu’en 1851, sur 59 magasins de nouveautés, 18 étaient situées dans les rues de Richelieu, du Temple et Montmartre, il n’en restait plus que 4 en 1869 . Une foule de prétendants à sa succession se disputèrent les dépouilles du Palais-Royal. Au nombre de ceux-ci figurait la Place de la République, mentionnée plus haut, mais également la rue de la Paix, qui hérita du commerce de luxe qui autrefois subsistait au Palais-Royal, faisant d’elle l’une des rues commerçantes les plus prestigieuses de la capitale . Cependant, les principaux bénéficiaires du déclin du Palais-Royal furent les grands boulevards, « cette grande rue de luxe qui recueille aujourd’hui la succession du Palais-royal agonisant, qui lui prend ses maroquineries et ses petits bronzes ».
P. Nord, L’esprit boutiquier
Jazzi rien n’a changé depuis Balzac dans les salles de rédaction. Lire sa « monographie de la presse parisienne, » on croirait volontiers qu’elle fut écrite ce matin.je t’ai laissé quelque chose sur mon blog à propos du grand Pierre-Jean Jouve,et de ses deux textes rassemblés sous le titre: « Les aventures de Catherine Crachat » , publié -comme toi- au Mercure de France.
Simenon réduit au nombre de ses conquêtes sexuelles? c’est du « Gala » pur sucre!..Misère..
@ renato dit: 28 mars 2018 à 9 h 30 min
Merci de votre réponse.
si vous permettez, j’en fais un copier-coller:
– « il fallait bien que les gens puissent vivre, et si l’on avait pas de moyens une adhésion de surface ou la carte du parti était la carte d’accès à la vie. »
Adherer au fascisme était donc une fatalité ?
Cela ne semble pas concerner Pp Pasolini.
Il fait ressortir une particularité des intellectuels italiens, pendant la guerre.
Il était universitaire en 1942, et son -court- passage au GUF, montre assez bien la politisation de l’université, majoritairement pro-fascistes, et surtout un activisme politique des étudiants. Et Pp pasolini a tiré toutes les leçons de cette expérience.
Il n’existe pas de comparaison possible avec la France, qui s’est couchée très vite, en devançant même les demandes de l’allemagne nazie.
On peut peut-être dire que cet activisme a plutôt été incarné en France, par les débuts du mouvement de la révolution nationale, sous Pétain, chez les militaires, car aucune université française ne semble s’être distinguée par un engagement quelconque ?
– « Cela dit, il est vrai que Pasolini avait un fond réac — polémique avec Calvino relative à l’avortement, p. ex. »
Oui par exemple, pourquoi pas. Pp Pasolini a un arbre généalogique à peu d’autres, comparable. Et en Italie, il est difficile dans ces conditions de ne pas avoir une fort attachement à des valeurs chrétiennes. Qui ne sont pas incompatibles, bien au contraire, avec l’avortement, tel que l’a défendu Madame Simone Veil en France.
Pp pasolini réac aussi car la révolution bourgeoise de l’Université de Nanterre en 1968, et tous ces anciens trostko-maos, tous ces gôchisstes, devenus des potentats de la sphère médiatique, et en partie culturelle, française, et pour d’autres chantres de l’ultralibéralisme de la mondialisation enchantée, il ne l’aurait certainement pas cautionnée.
Par ailleurs, le fait qu’il est été récupéré en France par des mouvements gay d’extrême gauche révolutionnaire, en dit long sur ces nihilistes que le monde entier ne nous envie pas.
Sinon, j’ai en partie écouté le discours de Macron aux Invalides,pour saluer le lieutenant-Colonel Beltrame.
Beau discours littéraire, il faut le reconnaître.
Quelques phrases bien tournées qui ne souffrent aucun sarcasme.
S’agissant du respect qu’inspire ce gendarme, qui comme entendu par un autre citoyen français venu l’honorer : on ne l’a pas connu, mais il nous manque déjà.
Alors d’où vient cette sensation d’un autre manque, dans le discours ?
Peut-être car lorsqu’il s’agissait de reconnaître cette exemplarité d’ Arnaud Beltrame, resté seul, en face à face avec la mort, le nous présidentiel, s’est mué en un « nous » citoyen, devant un mauvais film.
La seule fois où Macron ne s’est pas mis au niveau de ceux qui n’y peuvent rien, atterrés par ce qu’il se passe, c’est lorsque Macron s’est déclaré le chef des Armées et par conséquent du héros.
Appeler les citoyens français à la résistance pour combattre l’islamisme rampant, pour ce qui prolifère sur les réseaux sociaux, pour ce qu’il se passe dans les prisons françaises ce qu’il n’a pas dit, d’où tous les terroristes sont sortis,
ce vœu pieu que personne, le citoyen lambda, n’est à même d’exaucer, sauf sur le « 3615, mon voisin se radicalise »,
on ne comprend pas du tout à qui s’adresse cet appel du 28 mars. Sauf à lui-même.
Mais enfin, Paul Edel, vous allez les enlever vos lunettes réductrices, oui ou m. ?
Parce que bien entendu, il n’y avait pas que ça. J’ai cité les passages où j’ai ri, en fait, pour tenter de faire partager la légèreté et la saveur du moment, mais chaque entretien durait environ une demie-heure, alors, imaginez ! Simenon était interrogé sur ses rapports avec ses domiciles, sur sa façon d’écrire et sa fabrication de ses personnages (je me suis dit in petto que cela avait beaucoup à voir avec les méthodes de l’actor’s studio, pour l’apprentissage des comédiens. Devenir l’autre en allant le chercher au fond de vous…), sur sa relation avec son entourage, il a évoqué l’omerta qu’il respectait à la lettre dans ses livres (« ni politique, ni religion, jamais ») (tu m’étonnes, me suis-je redit in petto, vu que j’ai lu la biographie de notre hôte, moi), etc. etc.
Vous êtes… Non, je ne vais pas faire comme vous, et vous apprendre à vous-même ce que vous êtes. Et je renonce à tenter de vous faire changer d’avis. Après tout, les lunettes, c’est peut-être aussi un accessoire de coquetterie ?
La vie dans les bois sont chaudes,
Oui, le discours de Macron avait l’air d’être bien, Clopin (qui ramenait de la paille et donc était sur les routes avec la bétaillère) l’a écouté sur l’autoradio ce matin – ce n’est pas le côté littérairement correct qui lui a plu, mais la solide réaffirmation de la laÏcité, enfin, c’est ce qu’il m’en a dit.
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