de Pierre Assouline

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La République des livres
Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Inutile de présenter Jacques Drillon aux lecteurs de la République des livres puisqu’ici même ces dernières années, il fut donné l’asile poétique à ses lumineux et ironiques Petits papiers. Le simple fait d’avoir à préciser « (1954-2021) » comme il convient après son nom serre le cœur. Mais il n’était pas parti sans laisser d’adresse. On peut ainsi le retrouver ces jours-ci dans Coda sous-titré « essai autobiographique » (347 pages, 23 euros, Gallimard), un livre enjoué, injuste, cruel, drôle, chaotique constitué de fragments qui semblent réglés par un moteur à explosions et qui fait suite à Cadence (Gallimard, 2018).

C’est peu dire qu’on l’y retrouve tel qu’en lui-même, et plus encore que dans les journaux car, seul maître à bord, il s’y sent encore plus libre. Si vrai dans ses bannissements et exclusives, si généreux dans ses goûts et découvertes. Mais quelle cruauté dans l’estocade ! Il fait penser à Mark Twain qui, lorsqu’il refusait de se rendre à certains enterrements auxquels on le conviait, écrivait pour dire qu’il était d’accord. Il est vrai que l’unanimité l’écoeure. Quand la foule qui manifestait pour soutenir CharlieHebdo s’est mise à applaudir les policiers, il s’est enfui. Son aversion absolue et ontologique pour la police quel que soit le régime se voulait fidèle à une certaine idée de l’anarchisme mais elle allait au-delà. Je me souviens d’un déjeuner au cours duquel la conversation glissa justement sur la police ; et là in fine, abdiquant toute rationalité relative à l’ordre public ou à la protection des personnes et des biens, il appelait de ses vœux son abolition pure et simple.

Son sourire abrite l’esprit d’un imprécateur espiègle. D’ailleurs il a fait ses débuts dans la critique avec du brutal et une méchanceté revendiquée dans le règlement de compte parfois haineux (ceux qui l’ont viré de France-Musique s’en souviennent encore). Avec le temps il s’est adouci même s’il reste quelque chose de cette violence dans le parti pris, son livre en témoigne. Cioran n’assurait-il pas que l’on écrit pour y avouer des choses que l’on n’oserait confier à personne ?

« Si je pouvais choisir, je me ferais bien enterrer dans de la langue française : j’y trouverais de quoi rafraichir mon enfer pendant assez longtemps »

 

Coda vaut notamment pour ses puissants portraits. Jean Daniel ? il n’était pas de meilleur directeur de journal (stimulant, créatif, disponible etc) quoique l’homme fut « vaniteux jusqu’au ridicule » sinon jusqu’au délire. Emmanuel Berl ? Il le place très haut en faisant grand cas de Sylvia ou Rachel et autres grâces et bien peu de ses talents gâchés et de son côté munichois discrètement rémunéré par le Quai d’Orsay pour ne rien dire des premiers discours de Vichy qu’il avait écrits pour Pétain. Les hommes de musique (on dit bien « homme de Lettres », non ?) Maurice Fleuret et Henri-Louis de La Grange en prennent pour leur grade. La plume trempée dans le vitriol, il exécute (sans le nommer) le critique musical suisse Antoine Livio et son humour vache est irrésistible de drôlerie. Marguerite Long, repeinte en horrible vieille sorcière autocratique et futile, est habillée pour tous les hivers de sa postérité. On retiendra de vibrants portraits de Beckett, Godard et Boulez, plus critiques dans l’admiration de Satie, dont la vie ne ressemblait pas à la biographie, ou de John Cage à qui il reproche d’avoir « sodomisé » le piano en lui bourrant le cul de ferraille (clous, vis etc)

Les pianistes qui le laissent indifférents (Brendel, Rubinstein, Michelangeli, Perrahia, Fischer, Pollini, Schnabel etc) ne sont pas massacrés pour autant. Mais l’indifférence affichée n’est-elle pas pire que tout ? Dinu Lipatti demeure son mètre étalon. Les autres étaient certainement plus virtuoses que lui, et certains nettement plus histrionesques mais lui était le seul à ses yeux véritablement accompli, notamment ici  ou encore là). Jacques Drillon le dit avec ses mots à lui, les mots d’un écrivain pétri de musique plutôt que d’un critique musical :

« C’est la ductilité de la phrase, sa parfaite ponctuation, sa manière d’avancer sans trébucher, son autorité tranquille, jamais étouffante, jamais réductrice, qui est unique. La rondeur du son, sa plénitude, la parfaite distribution de l’ombre et de la lumière. Pas un truc, pas une tricherie, pas un faux semblant. De la musique, rien que de la musique »

Il est souvent question de haine de la bêtise, mais, je l’avoue, cette attitude assez répandue,  m’est toujours parue suspecte dans ce qu’elle a de subjectif, d’arbitraire et de méprisant, et plus encore lorsque Drillon met ses pas dans la foulée de Philippe Muray. La rencontre a été déterminante pour lui. Il s’avoue inconditionnel de l’homme et de l’œuvre jusqu’à faire sien ses excès. Tant et si bien que l’on pourrait appliquer à Drillon ce que lui-même écrit de Muray :

 « Quant à l’intelligence, elle sait rendre séduisant ce qui chez d’autres ne serait qu’irritant. Nous sommes prêts à tout admettre dans ce qu’écrit Muray, jusques et y compris ce qui violente nos plus intimes convictions, ce qui raille nos goûts, ce qui bafoue notre morale. Il pourrait violer notre alma mater, nous ne lui en tiendrons pas rigueur ; il en a le droit ; et d’ailleurs, au contraire du médiocre, qui salit ce qu’il attaque avant de porter son coup, il laisse ses victimes intactes : nous les retrouverons après son passage. Il ne laisse rien d’amer en vous. On n’est pas d’accord, et basta »

N’empêche : que de couleuvres son admiration pour cet écrivain lui a fait avaler à commencer par sa détestation de la musique, qu’il ne connaissait pas et à laquelle il était fermé, ce qui ne l’empêchait pas de la conchier. Homme de marottes et de tocades, il se reconnait une passion compulsive inscrite dans la longue durée de toute une vie de lecteur, pour l’établissement de listes, nomenclatures, dénombrements sans oublier les inventaires les plus absurdes et parfois même imaginaires, pour le pur plaisir, inutile, désintéressé et ô combien chronophage, de les dresser. Sa critique du critique est bien vue lorsqu’il le campe en jongleur de figures de style (hyperbole, oxymore, forgerie etc), habile au rapprochement de qualificatifs issus de registres différents (sur le modèle de Proust décrivant le bruit produit par le grelot de Combray                 « ferrugineux, intarissable et glacé »).

Jacques Drillon est de ceux qui écrivent pour être enfin seuls, parce qu’il n’est pas d’activité plus reliée à la solitude que l’écriture- à supposer que l’on ne soit pas découragé de s’y coller à son tour après Proust et Céline. Parfois, le récit de certaines anecdotes fait penser à des pages de Jean Tardieu. Surtout lorsqu’elles recèlent un exercice d’admiration ; ainsi son attachement sentimental et indéfectible à la collection de la Pléiade « ce qui est arrivé de mieux à l’humanité avec le quintette des adieux de Cosi fan tutte ».

Fumeur croyant et pratiquant, il était persuadé d’en mourir un jour sans en être troublé pour autant. « Fumer tue » prétend le paquet, et alors ? Finalement, il est mort d’une tumeur au cerveau. J’ignore quand il a achevé son livre mais celui-ci n’a rien de funèbre, de crépusculaire ou de testamentaire. Elégant jusqu’au bout, Drillon. Coda est un livre à offrir à ceux qui aiment la littérature, la langue française, la musique et ceux qui les servent. On l’entend murmurer derrière nous: ça ne fait plus beaucoup de monde, ça… Ce qui ne m’a pas empêché de le recommander pour la liste des lectures pour l’été de l’Académie Goncourt. Qu’il soit lu à la plage, c’et tout le mal qu’on lui souhaite. Le livre s’ouvre sur une épigraphe peu commune, le moins que l’on put attendre de cet homme si attachant et si peu commun : « Loin du funèbre glas des vertus importunes ». Et c’est signé « Marcel Proust, bachelier ès Lettres, 1889 ». Ne jamais négliger le choix de l’épigraphe chez un grand lecteur. Elle ne doit rien au hasard ou à l’épate car c’est un aveu à peine crypté. Tout en découle.

( « D’après-la-Ronde-de-nuit-», 1990, Collection-particulière ; « Autoportrait », vers 1958. Collection particulière, Roubaix ; « Petit nu profond, 1997 » Kolumba, Cologne. L’oeuvre d’Eugène Leroy est actuellement exposée au Musée d’art moderne de la ville de Paris jusqu’au 28 août)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 240 Réponses pour Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Jazzi dit: à

De retour du Var, hier, Chedly et moi avons voté pour la députée sortante du XIIe arr. Laëtitia AVIA, Ensemble ! (Majorité présidentielle), 45.92%.
En vain, puisqu’elle a été battue par Eva SAS, (Nouvelle union populaire écologique et sociale), 54.08 %.

Janssen J-J dit: à

Punie pour n’avoir pas su chasser les rats du XIIe, c’était bin la peine !…

Janssen J-J dit: à

A boire du Ruinard dans un grangeon.
@ BLBG…, mais avec sa poule !

et alii dit: à

le GABRIEL.? ASSEZ D’O(!)G M!

bouguereau dit: à

Pardon, l’O de Roussel est resté dans le clavier, désolé !

grace a moi t’as raté la noyade pèce de suisse kamikaz du léman..roussel..même un gros fégnant

bouguereau dit: à

En vain,

hévidemment ça te change de ta voix de fureur sur ton site de fachiss drogué baroz..c’est pas ça la démocratie..montre toi assez gentleman pour en gouter les délices

bouguereau dit: à

Caramba, encore raté! C’t’un vigile parisien, le boug

..nobidizperfect kabloom

Jazzi dit: à

Je me montre d’autant plus gentleman, le boug, car j’ai voté Avia à reculons. Elle est accusée de harcèlement de la part de ses collaborateurs et a avoué avoir mordu un chauffeur de taxi prétendument raciste !

bouguereau dit: à

j’ai voté Avia à reculons

comme pour moi ça sra en vain qu’elle dirait clopine

et alii dit: à

je vous avais rapporté que Surcouf avait mordu un prêtre au mollet:apparemment, c’est une bonne « story »!

et alii dit: à

le GABRIEL.? ASSEZ D’O(!)G M!
pour DRILLON? ET P ASSOULINE? JE SOIGNE LA PONCTUATION :clam! rog ?

renato dit: à

C’est bien, les Français se normalisent —l’idée d’une majorité présidentielle qui écrase l’opposition au Parlement était vraiment une aberration —. Le moment est peut-être venu d’essayer le régime directorial (un conseil exécutif comme chef du gouvernement).

bouguereau dit: à

y’a que kabloom qui peut donner des bons points rénateau..occupe toi tout seul dtes fesses

et alii dit: à

Traité de la ponctuation française (Tel)

à partir de Jacques Drillon
Il ne reste que 1 éléments
Traité de la ponctuation française (Tel)
La description
Actuellement il n’y a pas de description détaillée pour cet article
https://www.momox-shop.fr/jacques-drillon-traite-de-la-ponctuation-francaise-tel-taschenbuch-M02070721981.html?variant=UsedGood&gclid=CjwKCAjwtcCVBhA0EiwAT1fY72H52OhOBQ33WUdFg02SLOOdrC1OxUE1PVpRS6cz_Jo_GsbZfZWbPRoCLfUQAvD_BwE&gclid=CjwKCAjwtcCVBhA0EiwAT1fY72H52OhOBQ33WUdFg02SLOOdrC1OxUE1PVpRS6cz_Jo_GsbZfZWbPRoCLfUQAvD_BwE
MAIS ALLEz SUR LSP!

bouguereau dit: à

c’est une bonne « story »!

c’est ça..ouve toi un compte instagram..t’auras 30myons d’amis

lmd dit: à

http://www.artnet.fr/artistes/eugène-leroy/nu-a-acwbe0Wi__rGSlqfatIRIw2
J’espère que ça marche, sur le site de artnet il faut choisir –voir à l’echelle– on peut alors agrandir agrandir et on a alors une meilleure perception de ce que faisait Leroy. Je n’ai vu que trois ou quatre peintures de Leroy en vrai. Il faut avoir les bonnes lunettes ; on s’enfonce dans toute la profondeur et on est largué, on ne comprend pas le cheminement par où il (Leroy) passe ; on est obligé de faire confiance. C’est évident.
Mais je ne vois pas bien le rapport avec Drillon.

Un dirigeant qui doit être content c’est le directeur de l’hôtel Ibis des Batignolles, débarrassé d’une femme de ménage qui lui cassait les pieds et dont il ne savait plus comment se dépêtrer,
Rachel Keke a trouvé un espace plus à sa mesure pour démonter la mécanique de l’exploitation comme système de gestion.

lmd dit: à

…non, il faut cliquer sur le tableau et ensuite zoomer.

Bloom dit: à

Avia à reculons

Aiva.
Vae victis

Janssen J-J dit: à

@ TROIS ERREURS, Sandrine Rousseau, Julien Bayou et Aymeric Caron sont élus députés.
Décidément, ces bobos parisiens qui sont allés aux urnes par dépit amoureux à macron, et qu’ont voté n’importe quoi ou caisse.
Charoulet, jzmn et chadli peu ferplés, en sont encore comme tout chamboulés.
***Quand tu sais qu’à Dieppe, c’est le coco Jumel qui l’a emporté sur le cocu Martin, y’a de quoi sans rager un peu mais, la… bàv (aux lèvres), hein patrice !

Janssen J-J dit: à

on se demande comment on peut encore aller habiter dans le Var profond avec tout ce ‘brun’ qui s’y passe, hein !

Damien dit: à

Je suis allé revoir « La Maman et la putain » d’Eustache. Un très beau film de 3 h 40 qui passe comme une lettre à la poste. En fait, c’est un film de femmes, qui magnifie la féminité. Jean-Pierre Léaud commence tout guilleret, et fini complètement lessivé. Les deux femmes en sont venues à bout. Dans la salle, il y avait une vingtaine de personnes. Une fille, dans un coin, avait apporté un thermos, pour tenir. Le public a ri à certaines plaisanteries, comme celle-ci : quelle différence y a-t-il entre la myxomatose et la blennoragie ? La myxomatose, c’est la maladie du lapin, et la blennoragie la maladie de la pine. Le personnage principal raconte qu’il fréquentait un café qui ouvrait à 5 h 25 du matin, et que les gens racontaient ce genre de blague à cette heure-là. J’aime que beaucoup de scènes se passent au Café de Flore. C’est la raison pour laquelle je me sens chez moi dans ce film d’Eustache. La copie avait été rénovée, et tous les films d’Eustache vont être projetés au fur et à mesure en salle, puis exploités en DVD. Le fils d’Eustache, qui bloquait les droits, a enfin trouvé un accord avec les distributeurs. Un grand événement qui illustre l’excellence du cinéma français. Qui a vu ce film ici ?

Amanda Lire dit: à

le boug, car j’ai voté Avia à reculons

Vous gardez toujours le même tropisme Jazzi! 🙂

Amanda Lire dit: à

aller habiter dans le Var profond avec tout ce ‘brun’ qui s’y passe,

Changez pour un département à forte présence viticole type rouge-brun?

rose dit: à

Jazzi dit: à
Je me montre d’autant plus gentleman, le boug, car j’ai voté Avia à reculons. Elle est accusée de harcèlement de la part de ses collaborateurs et a avoué avoir mordu un chauffeur de taxi prétendument raciste !

Si ce n’est, jazzi, qu’en poussant la boule près du cochonnet, jamais je n’aurais voté Avia.
Parce qu’elle fait partie des gens qui sont plus racistes que les racistes.
Vous avez donne vous-même les détails requis.
Et puis brutaliser les gens qui travaillent pour vous, non.

D. dit: à

Selon des infos off que j’ai reçues, Borne démissionerait assez vite et Bayrou prendrait sa place. A vérifier.

Jazzi dit: à

J’ai vu « La Maman et la putain » a sa sortie, Damien, ainsi que la plupart des films d’Eustache, et j’y retourne.
ça va être dur de revoir Françoise Lebrun jeunette après Vortex !

Jazzi dit: à

Entre vérités et rumeurs, tous les politiques ont des casseroles au cul, rose.
Faudrait-il s’abstenir de voter, comme le suggère JC ?

Janssen J-J dit: à

pardon Philippe pour le doublon éventuel, on sait jamais, des foik tu l’avais pas vu…
https://www.youtube.com/watch?v=KBV1ZKocpFk
Patriotes GJ, unissons-nous pour nous tirer fissa de ce m… ! Bàt, Florian.
(nb/ je mets BB en copie)

Janssen J-J dit: à

je n’ai jamais vu sa maman et ma putain, hélas, ils veulent même pas le programmer chez moi ni même à LR, chez Falorni. Je vas quand même pas monter sur la côte bleue pour l’aller oir, hein !

Jazzi dit: à

Pour porter un jugement sur la politique de Macron, tu n’as rien de mieux que Florian Philippot, D. ?

Pablo75 dit: à

« Il y a une sorte de femmes (pardon de faire une catégorie) que je redoute : les femmes clématites. Elles sont susceptibles, capricieuses : parfois épanouies et vigoureuses, parfois étiolées, maigrichonnes, ostensiblement mourantes ; mais toutes exigent d’avoir le pied à l’ombre. C’est une marotte chez elles. (Ne jamais oublier qu’elles ont des marottes, tout comme moi.) Elles s’étendent fort loin, s’accrochent à des riens, nonchalamment, leur tige reste fine, si fragile, si cassante : inutile d’attendre qu’elles fabriquent un tronc. Inutile aussi de les mener ici ou là : vous les feriez crever. Elles vont où elles veulent, l’air de rien. Elles exigent de vous la plus grande discrétion : ce que vous faites pour elles doit rester invisible. La gratitude leur fait horreur. Pour les voir fleurir, vous devez vous effacer, vous soumettre à leur dédain. Respecter leur mauvaise foi.
Elles m’ont longtemps fasciné, elles ont fait de moi ce qu’elles voulaient. Maintenant, qu’elles aillent se faire foutre. »

(Jacques Drillon. Coda)

Janssen J-J dit: à

@ un département à forte présence viticole type rouge-brun
citez m’en un, mon amande, et j’y cours !

Jazzi dit: à

« Vous gardez toujours le même tropisme Jazzi!  »

Oui, mais quand j’avance, tu recules, comment veux-tu que je…, Amanda 🙂🙂🙂 !

Jacques dit: à

Assouline en thamazigh veut dire rocher.
Pierre Rocher donc, ça ne s’invente pas.

Pablo75 dit: à

« Je mourrai sans compte Facebook, ni compte Twitter, ni aucun autre compte de ce genre.
Je mourrai sans m’être réconcilié avec feu Leonhardt.
Je mourrai sans avoir rencontré Perec, ni fait jouir Silvana Mangano.
Je mourrai sans pouvoir retenir la différence précise entre une métonymie et une synecdoque.
Je mourrai sans avoir jamais été enculé.
Je mourrai sans savoir la différence entre des actions et des obligations.
Je mourrai sans avoir vu l’Amérique du Sud, l’Océanie, la Russie, la Chine, l’Inde et bien d’autres pays. Mais j’ai vu le Liechtenstein.
Je mourrai sans avoir révélé mes secrets les plus pesants.
Je mourrai sans être sûr que Dieu n’existe pas.
Je mourrai sans avoir pratiqué le seul métier pour lequel j’étais doué : diriger les acteurs.
Je mourrai sans avoir lu Chateaubriand.
Je mourrai sans avoir tué personne. Ni cambriolé de banque.
Je mourrai sans avoir mangé de caviar, ni de salade de truffes.
Je mourrai sans être monté à dos d’éléphant, de chameau.
Je mourrai sans avoir arrêté de fumer.
Je mourrai sans savoir combien exactement Anne, ma défunte femme, a eu d’amants.
Je mourrai sans avoir jamais été soulagé par la morphine qu’on m’a injectée. Ni sniffé de cocaïne.
Je mourrai sans avoir conduit de voiture décapotable.
Je mourrai sans être allé me faire transpirer dans un sauna.
Je mourrai sans avoir giflé le ministre de l’Intérieur.
Je mourrai sans avoir dansé le rock acrobatique.
Je mourrai sans avoir engendré de fille.
Je mourrai sans avoir joué Adam, dans l’adaptation de la Genèse, que Bresson voulait tourner. Un rôle sur mesure, pourtant.
Je mourrai sans longue barbe blanche.
Je mourrai sans m’être offert le moindre vêtement en vigogne. Pas la moindre pelisse de rien du tout.
Je mourrai sans avoir dirigé d’orchestre, ni tenu la partie de basson dans l’ouverture des Noces de Figaro.
Je mourrai sans avoir su aimer Mahler.
Je mourrai sans avoir raté un avion qui s’est écrasé.
Je mourrai sans être allé à la messe de minuit en traîneau, tiré par des chevaux à clochettes dans la neige autrichienne ou, à la rigueur, suisse.
Je mourrai sans parler l’italien correctement.
Je mourrai sans savoir où se trouve exactement le puisard de ma maison.
Je mourrai sans avoir gagné au casino.
Je mourrai sans avoir de ma vie trouvé une girolle dans une forêt.
Je mourrai sans avoir compris l’intrigue du Lotus bleu.
Je mourrai sans avoir revu Barbara, ni retrouvé Élisabeth. »

(Jacques Drillon. Coda)

Jazzi dit: à

Dans la catégorie des femmes fleurs, il y a une sorte de femmes (pardon de faire une catégorie) que je redoute : les femmes carnivores. Elles vous émasculent d’un coup de dents !

Pablo75 dit: à

J’ai vu « La Maman et la putain » a sa sortie…
Jazzi dit

Moi je l’ai vu à la TV il y a au moins 20 ans. C’est l’un des films les plus nuls que j’ai jamais vu.

Le prestige d’Eustache est l’un de ces gros mystères inexplicables dont la culture française est pleine…

Jazzi dit: à

« Je mourrai sans avoir compris l’intrigue du Lotus bleu »

Là Passou a manqué à tous ses devoirs amicaux, Pablo75 !

Jazzi dit: à

« Je mourrai sans avoir jamais été enculé. »

Ouf, pas moi, comme dirait le boug !

et alii dit: à

Là Passou a manqué à tous ses devoirs amicaux,
j’inclinerai plutôt à croire que P.Assouline préfère garder ses amis sans risquer un conflit qui ne vaut pas un trille

J J-J dit: à

pour l’instant du curieux come-back de 57 aux puces de st-ouen, c’est un sans faute… ! mais où est donc passé yéwéné-yéwéné ? … ça va pas durer, Padura !

Damien dit: à

« ça va être dur de revoir Françoise Lebrun jeunette après Vortex ! »

Elle est magnifique dans les deux films. Dans « La Maman », elle est très belle, très sensuelle, très émouvante. Elle prend le dessus sur les deux autres. Moi, la première fois que j’ai vu ce film, c’était au Saint-André-des-Arts, début des années 90. dans la salle, il n’y avait quasi personne. Les « Cahiers du cinéma » avaient réédité le scénario, que j’ai toujours dans ma bibliothèque. C’est un film fascinant, très élitiste, parfaitement moral puisque ça se termine par un mariage. Evidemment, ce n’est pas une oeuvre pour les ploucs !

Janssen J-J dit: à

portant, on dit qu’Eustache était un vrai plouque à l’origine, allez donc y comprend’ keikchose aux transmuges de flasse !

et alii dit: à

avez vous entendu déjà cette année chanter les cigales?

et alii dit: à

IL PARAIT QUE LES MALES DES CIGALES° CYMBALISENT

Jazzi dit: à

« Evidemment, ce n’est pas une oeuvre pour les ploucs ! »

C’est un film très littéraire, tout en dialogues.
Faudrait que Passou en fasse un article, entre les pour et les contre les commentaires risquent d’être violents !

Amanda Lire dit: à

L’art plouque, ça existe aussi…?

rose dit: à

Faudrait-il s’abstenir de voter, comme le suggère JC ?

Jazzi,

Non, ah non !

rose dit: à

Femmes carnivores

Un truc style le film américain vagina dentada ?

Patrice Charoulet dit: à

CINQ ANS, C’EST LONG !

Quand on voit les résultats des législatives, ce qui saute aux yeux, c’est que la majorité parlementaire ne peut agir utilement qu’avec l’appui des élus LR et UDI.
Or, les premiers députés LR qu’on a entendus, ont tout de suite claironné : « Nous sommes dans l’opposition ! Pas question de servir de béquille. » Certes, et l’on comprend bien leur appréhension.
Ils pensent à l’avenir et à l’après-Macron , dans cinq ans. Mais cinq ans, c’est long. Je serai peut-être au cimetière, dans cinq ans. Mieux vaudrait voir qu’il y a non pas quatre blocs principaux, mais trois. L’extrême gauche, dominée par Mélenchon et les siens, l’extrême droite lepeniste et le bloc central, hostile aux extrêmes. Bruno Lemaire, Darmanin, Lecornu, Estrosi, Eric Woerth et quelques autres l’ont déjà compris. La direction LR et UDI ne devrait pas attendre cinq ans et renforcer le groupe central, en posant certes leurs conditions et en orientant la politique gouvernementale .
Telle est mon opinion. Elle n’est pas majoritaire, si je comprends bien, à LR. Je le déplore.

Bloom dit: à

Nous n’avons pas les mêmes infos, D: E. Borne démissionnera pour se remplacer, après avoir changé tout en restant elle-même,
L’en-même-temps, version Gérard Majax, est un art mineur.

renato dit: à

Dentata, rose.

rose dit: à

Ah merci Renato.

bouguereau dit: à

les sansdents se prètent le dentier

bouguereau dit: à

L’art plouque, ça existe aussi…?

y’a des peintres qui a la fin hésitent entre la palette et la toile..

Bloom dit: à

La défaite d’Amélie de Montchalin ébranle le pôle écologique du gouvernement
(Le Monde)

Coup de froid sur le Pôle, logique du réchauffement démocratique.

bouguereau dit: à

Le prestige d’Eustache est l’un de ces gros mystères inexplicables dont la culture française est pleine…

pour déterrer les idiotismes pédro est trés supérieur au cochon

bouguereau dit: à

Ouf, pas moi, comme dirait le boug !

les déclaratifs sur ce sujet valent pas un caramel qu’il a dit rablais baroz..même si lafrenchézado se fait charrier en catalogne quand il dit que cest un idiotisme

Jazzi dit: à

« les sansdents se prètent le dentier »

Et les émasculés ils se prêtent quoi, le boug ?

bouguereau dit: à

les femmes carnivores

comparer la femme au végétal c’est souvent une combine facile de primate arboricole baroz..lun des plus banal c’est belle plante..car il est souvent employé entre femmes..fabriquer du drihihon c’est aussi à la portée des mégères

Pablo75 dit: à

« Plus encore que l’écriture d’un livre, la traduction est une plongée dans la langue française. On bute du front contre ses limites et ses lacunes (à chaque instant), on s’émerveille de ses finesses (parfois). Chemin faisant, l’on apprend à faire des choix, à renoncer, et l’on en prend possession tout ensemble. D’accessoire encombrant, incommode, hostile, elle devient outil : sa lame s’aiguise, son manche se patine. Difficile de s’en faire une amie, tant elle est grognon, mais on cohabite avec elle, en évitant des querelles dont elle sortirait triomphante – ou meurtrie ; car dans le même temps, on mesure sa fragilité, on la ménage… Mais quand on se frotte à Shakespeare, on enrage de parler une langue aussi mal faite, sans postpositions, si chatouilleuse dans l’emploi des métaphores, si rebelle aux répétitions ; on ne voit que ses insuffisances, ses entournures trop étroites. Et pourtant, une fois Shakespeare refermé, on la chérit comme le plus précieux des dons divins. On se régale de ses règles tatillonnes, de ses exceptions, de ses archaïsmes, on admire ses étymologies, ses airs mozartiens, sa rhétorique propre. Si je pouvais choisir, je me ferais bien enterrer dans de la langue française… »

(Jacques Drillon. Coda)

bouguereau dit: à

on peut facilement préférer une danseuse à une jeune fille en fleur

bouguereau dit: à

Mais quand on se frotte à Shakespeare, on enrage de parler une langue aussi mal faite

un français qui parle 15 mots d’anglais comprends mieux shakespeare qu’un habitant deuxfeurd..ce n’est plus a prouver

bouguereau dit: à

Si je pouvais choisir, je me ferais bien enterrer dans de la langue française…

tudieu..qu’on ait à coeur de la laisser propre pédro

Pablo75 dit: à

Jazzi, c’est qui ce petit péteux de Damien, qui aime tant la branlette « cahiersducinémaesque » dans des cinémas germanopratins vides?

bouguereau dit: à

Plus encore que l’écriture d’un livre, la traduction est une plongée dans la langue française

hof c’est un pont aux anes..morts..la langue en a certes besoin de beaucoup mais bien dégagés..où l’on peut circuler 4 par 4..et même faire demi tour sans géner..lescadron qui suit..tu devrais comprende ça toi lafrenchézado

bouguereau dit: à

Et les émasculés ils se prêtent quoi, le boug ?

tout peut harriver baroz..c’est une épreuve suplémentaire que yavé t’envoie..ceci dit..faut pas se méprende..certain eunuque était roi parait il

bouguereau dit: à

c’est qui ce petit péteux de Damien

c’est que c’est un nez ce pédro..vive la france

Jazzi dit: à

Damien est un autre D., Pablo !

Clopine dit: à

Paul Edel, vous qui m’avez aussi téléphoné, êtes vous vraiment fier de l’absolu mépris que vous me témoignez ? L’intelligence ne saurait elle être mêlée à une quelconque bienveillance ? Et le royaume des idées, ou notre façon, maladroite ou non, d’être face au monde, vaut elle le crachat ?

D. dit: à

Rien à boir entre moi et Damien. Strictement rien. Encore tout faux pour toi, Jacky Zarribo.

bouguereau dit: à

le deni d’ête keupu vaut aveux qu’il a dit rablais

D. dit: à

c’est que la majorité parlementaire ne peut agir utilement qu’avec l’appui des élus LR et UDI.

En effet ça saute aux yeux. C’est d’ailleurs pas compliqué : les gens ne voient que ça.

bouguereau dit: à

polo crache au téléfone..tu prends l’tiens et tu craches haussi bonne clopine..la rdl c’est pas un hologramme de baqueroume qu’il dirait mélanchon

D. dit: à

Eh bien demande à Damien si j’ai pas raiso n. Et tu verras sa réponse.

bouguereau dit: à

c’est ça fais diversion..mais ton odeur ne trompra jamais pédro..

D. dit: à

Cela dit St Germain-des-près c’est bien mieux que les Buttes-Chaumont. Au niveau telluri, déjà.

D. dit: à

Il y a des noeuds telluriques néfastes aux Buttes.

bouguereau dit: à

tu cherche le contact occulte et idiotique avec pédro..niqué..pédro préfère les croquettes ‘chienandalou’ de spanghéro

Errata dit: à

Alexia. « Tribu a l’amitié? » ou Tribut à l’´amitié « 

bouguereau dit: à

t’es qu’une brêle de merde dédé..un fumier..vontraube aura ta peau..il mangra le reste froid

rose dit: à

Avec de la mayonnaise.

rose dit: à

Jazzi, c’est qui ce petit péteux de Damien,

C’est une femme.

rose dit: à

bouguereau dit: à
on peut facilement préférer une danseuse à une jeune fille […]

Oui. Surtout lorsqu’elle dit d’elle même « je suis une petite chose « . Je ne sais pas s’il y a pauvre.
Ainsi que le disait Lucette Almanzor.

bouguereau dit: à

Le plaisir retrouvé d’avoir faim.

Jacques Drillon

tout n’est pas jeter..est ce que son trope misogine serait a excuser pasqu’il a « trop lu » lui et playboy des années 70’s..je parle bien des articles..certains trés ordinairment puants pour l’époque..interview de nice people include et qu’il aurait enragé au finiche dêtre né trop tard

Paul Edel dit: à

Clopine, aucun mépris de ma part, aucun mais je n’ai pas à me mêler de votre vie,et votre féminisme militant, je ne le partage pas.

bouguereau dit: à

une danseuse quand elle danse ne sabaisse pas à parler qu’il dirait malarmé

rose dit: à

Bouguereau et Jazzi cet aprem.

Écroulée de rire !!!

rose dit: à

À 107 ans, ça fait longtemps que les pointes sont remisées.

bouguereau dit: à

Au cinéma

Les scènes de cul où les filles baisent comme des bêtes sans retirer leur soutien-gorge.
*
Le port de tête d’un cheval de race.
*
Au cinéma
Les femmes qui valsent en tournant la tête vers la caméra pour être toujours filmées de face.

haprés hon peut dire aussi que lassouline n’a pas eu les couilles le talent le culot..de mettre les himages qui vont bien en face..chpeux mpermette lassouline t’as été assez hordure pour me censurer mes posts..et l’amitié..avec le recul..mon cul qu’il dirait baroz
quant aux valseuse qui « tiennent » leur tête..c’est un truc assez laid qu’on donne au débutantes pour ne pas défaillir..il a suffit que le metteur en scène leur donne la mauvaise consigne

bouguereau dit: à

Clopine, aucun mépris de ma part, aucun mais je n’ai pas à me mêler de votre vie,et votre féminisme militant, je ne le partage pas

invite la a boire un pot pour rire de vos insondable sottises..hassez de vos nouveau vieux romans himbéciye

Alexia Neuhoff dit: à

Errata dit: à

Alexia. « Tribu a l’amitié? » ou Tribut à l’´amitié «

Holà ! J’ai écrit « tribu DE l’amitié », pour le côté clanique, tu was ?

Phil dit: à

Les critiques littéraires téléphonent à dame Clopine, bon titre pour un film bis, musique François de Roubaix.
Le fils Eustache compte ses sous, netfix ne veut pas des films du père.

renato dit: à

Anacrouse, autre exemple :

Haydn, Symphonie No 104 en re-, troisième mouvement.

Pablo75 dit: à

Lorsque j’ai créé la revue Symphonia, qui a vécu entre 1995 et 1997, j’avais adopté ce double principe : ne faire aucune différence entre le texte ancien et le texte moderne, entre le publié et l’inédit. J’ai ainsi proposé un portrait de Charles Cros par Laurent Tailhade, de Sviatoslav Richter par Louis Aragon, de Stradivarius par Alberto Savinio, de Debussy par Colette, de Stravinsky par Cingria, une histoire de Gesualdo par Anatole France, une théorie des salles parisiennes par Bruno Barilli, et même la longue et magnifique étude de Clément Rosset sur l’objet musical, pourtant disponible en librairie. Cela aux côtés d’inédits : des lettres de Lipatti, justement, ou de Stravinsky, ou de Beethoven, de longs entretiens avec François Michel ou Frans Brüggen, un dialogue entre Nikolaus Harnoncourt et Quincy Jones… Ou bien encore une étude de Pierre-Michel Menger sur les intermittents du spectacle, de Michel Cazenave sur la conception platonicienne de la musique, de Pascal Huynh sur la musique à Weimar, sur la revue de Schumann, un confrère6… À ma manière, et dans la limite des pouvoirs qui m’étaient conférés, je défendais le passé contre les « entreprises » du présent et les « prétentions » du futur. Ce n’est pas ce que j’ai fait de pire. (6)

(6) On peut trouver la « déclaration d’intention » complète en annexe à mon ouvrage De la musique (Gallimard, 1998), ou sur le site symphoniarevue […], qui propose un PDF de la totalité des numéros.

(Jacques Drillon. Coda)

https://symphoniarevue.wordpress.com/a-propos/les-19-numeros/

rose dit: à

Personne ne me téléphone : c’est y normal ?

Amanda Lire dit: à

Personne ne me téléphone

Normal, vous êtes toujours planquée dans votre grangeon! 🙂

Amanda Lire dit: à

toujours planquée dans votre grangeon!

Ça sonne, ça sonne et y’a jamais person qui y répond!

Patrice Charoulet dit: à

TOUS LES MATINS, EN SE LEVANT, ON DEVRAIT DIRE :
«  CHIC ! JE NE SUIS PAS ENCORE MORT ! » (JULES RENARD , « JOURNAL »)

D. dit: à

Moi je me contente de dire Loué sois Jésus -Christ vrai Dieu et vrai homme, Patrice.

D. dit: à

Et vous, renato ?

pourmapar dit: à

« Je voudrais vraiment faire un tableau qui ait sa propre lumière sourde à lui.
Et qui soit là.
Et que les gens puissent y voir quelque chose. »
Eugène Leroy.

Ed dit: à

Entièrement d’accord avec JC. Merci de me lire avec attention, rose. Qu’on apprécie mes chroniques ou non, les lire est la plus grande satisfaction qu’on puisse m’offrir.

D. dit: à

les lire est la plus grande satisfaction qu’on puisse m’offrir.

Faut pas pousser.

rose dit: à

Ai beaucoup apprécié votre chronique Ed, autant que les précédentes.
Beaucoup de détails, de recherche et d’analyse pointue.
Sur cette dernière, vous ai trouvée,c’est un point de vue personnel, plus partisane.
Heureusement ne partageons nous pas les mêmes enthousiasmes, quel ennui sinon !

rose dit: à

Le pdlrf.

En face, Zelensky, blafard.
Deux types d’hommes.

et alii dit: à

à propos de lecture et de cinéma, mais pas seulement, je voudrais signaler une remarque dans un article que n’ai trouvé (à lire) en préparant une bibliographie (pour une autre personne)
 » « qu’advient-il à des personnes données, à des lieux précis, à des sujets et à des motifs, quand ils sont filmés par tel ou tel cinéaste ? » – il n’existe qu’une seule source de données, c’est-à-dire l’apparition et la signification de ces objets, de ces personnes, que l’on trouvera en fait dans la suite de films, ou de passages de films, qui comptent pour nous.

14L’importance du cinéma se trouve dans sa façon de faire émerger (visuellement) ce qui est important, ce qui compte : « de magnifier la sensation et la signification d’un moment. » Mais,

il lui appartient aussi d’aller contre cette tendance et, au lieu de cela, de reconnaître cette réalité tragique de la vie humaine : l’importance de ses moments ne nous est pas d’ordinaire donnée avec les moments pendant que nous les vivons, si bien que cela peut demander le travail de toute une vie de déterminer les carrefours importants d’une vie. (Ibid., p. 29- »
LAUGIER/
https://books.openedition.org/editionsehess/11728?lang=fr

et alii dit: à

QUE j’ai trouvé

JC..... dit: à

MARDI 21 JUIN 2022, 5h41, 24°, vent d’Est comme en Ukraine

« Moins on est désirable, plus on est féministe. »

Allons ! Allons ! Restons raisonnables, même si on a des exemples littéraires sous nos yeux…

JC..... dit: à

FETE DE LA MUSIQUE

Regroupement sociétal.
Si on aime la musique, on évite prudemment 99% des manifestations !

Attention aux Aiguilleurs Fous

Damien dit: à

Selon Jerome K Jerome, « Il n’y a pas de bonheur parfait, comme dit l’homme quand sa belle-mère mourut et qu’on lui présenta la note des Pompes funèbres. »

Quand j’étais écolier, figurait dans mon manuel d’anglais un extrait de son roman « Three men in a boat ». Cela me laissait perplexe. Je me disais qu’il fallait avoir un certain talent moderniste (à la Beckett) pour narrer le quotidien de trois hommes enfermés dans un petit espace clos, un bateau de rien du tout dans l’immense océan. Je n’ai, depuis, jamais eu l’occasion de lire ce livre de K Jerome ni tout autre livre de lui. En découvrant ce matin ce mot amusant de K Jerome, je me dis que je suis passé à côté d’un auteur marrant, qui m’aurait fait sourire.

JC..... dit: à

Exact Damien ! Le Jérome est souvent excellent, dans le genre.

Damien dit: à

Le résumé dommé par Amazon :

« Trois petits employés de bureau, amateurs de bistros, tire-au-flanc et hypocondriaques, entreprennent, pour prendre l’air, de remonter en canot la Tamise. Munis notamment d’un banjo et d’une poêle à frire, et accompagnés d’un fox-terrier nommé Montmorency, les voilà engagés dans le plus saugrenu des périples… Au récit hilarant de cette folle équipée s’entremêlent de savoureuses digressions sur les mérites comparés d’un voyage avec ou sans fromage dans ses valises, la vaste fumisterie des bulletins météorologiques, l’inconvénient de dormir sous le même toit qu’un couple d’amoureux, ou encore l’effet démoralisant de l’air fluvial… Trois Hommes dans un bateau, qui connut dès sa parution en 1889 un succès phénoménal, est un classique de l’humour anglais. »

rose dit: à

De quelqu’un qui se fait violer, il est criminel de dire « il était consentant ». Attitude débile et débilitante.

Ce que questionne Vanessa Springora, tel questionnement qu’il en fait le titre, c’est le consentement, dans le cas précis qui la concerne et peut concerner d’autres enfants.

renato dit: à

Fête de la musique, ce soir pluie et orage prévu : la divinité qui siège à la protection des oreilles nous protège !

B dit: à

Cette fête au fil des années à évolué vers la dégénérescence, c’était mieux avant. Jouaient des formations de tous genres plus ou moins douées, éclectisme avec de temps en temps au coin d’une rue, à l’abri d’un porche une surprise agréable.

lmd dit: à

Je ne connais pas la définition exacte, mais une coda est la petite séquence qui permet de finir proprement un morceau de musique . Quelque musiciens de jazz se sont plus à finir en plein élan, sans coda. https://www.youtube.com/watch?v=fDHAo7xmIac , à peine un dernier accord qui résone un peu. (Thelonius Monk).
Mais Drillon a fait un petit livre entier pour terminer son œuvre ; clore définitivement (le malheureux) sa péroraison .
Pablo 75, vous qui semblez disposer du texte, comment finit-il sa coda ?

JC..... dit: à

INNOVONS !

Remplaçons le bruyante Fête de la Musique -on devrait parler des Musiques- par une FÊTE DU SILENCE.

Facile à organiser ! cela ferait du bien, non ? ….

closer dit: à

Ed, Springora ne cite pas le nom de Denise Bombardier?

VS révèle l’un des aspects les plus repoussant de l’hégémonie intellectuelle de la gauche post soixante-huitarde, dont nous sommes très loin d’être débarrassés.

Jazzi dit: à

JEROME K. JEROME

« La paresse a toujours été mon point fort. Je n’en tire aucune gloire, c’est un don. Et c’est un don rare. Certes il y a beaucoup de fainéants et de lambins, mais un authentique paresseux est une exception. Ça n’a rien à voir avec quelqu’un qui se laisse aller les mains dans les poches. Au contraire, ce qui caractérise le mieux un vrai paresseux, c’est qu’il est toujours intensément occupé.
D’abord, il est impossible d’apprécier sa paresse si l’on n’a pas une masse de travail devant soi. Ce n’est pas drôle de ne rien faire quand on n’a rien à faire ! En revanche, perdre son temps est une véritable occupation, et une des plus fatigantes. La paresse, comme un baiser, pour être agréable, doit être volée. (…)
Mes meilleurs moments c’est quand, dos au feu, je fais l’inventaire de mes dettes et que mon bureau disparaît sous des piles de lettres auxquelles il me faudrait répondre par retour du courrier. La perspective d’une longue soirée de travail me pousse à faire durer mon dîner tard dans la nuit. Quand, pour une raison ou pour une autre, il faut que je me lève très tôt le matin, j’aime m’offrir une demi-heure supplémentaire dans le lit.
Que c’est bon de se retourner pour se rendormir « juste pour cinq minutes » ! (…)
Quelle étrange chose que le lit ! Comme en un tombeau, nos membres fatigués y gisent et nous voilà dans la paix, le silence et le repos. « Ô lit ! Ô lit ! Lit délicieux, paradis sur terre des têtes fatiguées », comme le chantait ce pauvre Hood, tu es la plus gentille des nounous, pour nous tous, garçons et filles au cœur gros. Sages et fols, gredins et gentils, tu nous prends dans ton giron et tu apaises nos pleurs capricieux. Nous posons notre tête endolorie sur ton sein blanc : l’homme plein de soucis, le malade qui souffre, la jeune fille pleurant son amour infidèle, tous, comme des enfants, tu nous berces. Notre peine redouble quand tu t’éloignes et que tu cesses de nous consoler. (…)
Mais assez des chambres, assez des lits ! Même pour un paresseux, je m’y suis trop étendu. Sortons. Allons fumer une cigarette. Ça fait passer le temps ; ce n’est déjà pas si mal. Le tabac est une vraie bénédiction pour les paresseux ! Je me demande ce que pouvaient faire les fonctionnaires avant la découverte de sir Walter Raleigh ? Difficile à imaginer. C’est le manque d’herbe à Nicot qui explique la nature querelleuse des jeunes gens du Moyen Âge. Comme ils n’avaient rien à faire mais qu’ils ne pouvaient pas fumer, ils passaient leur temps à se chercher noise et à se battre. Si, par extraordinaire, il n’y avait pas de guerre, ils s’arrangeaient pour déclencher une petite vendetta des familles avec leurs plus proches voisins. (…)
De nos jours, nous allumons tranquillement notre pipe et nous laissons nos femmes se quereller entre elles.
Ce qu’elles font très bien. D’ailleurs, elles feront bientôt tous nos métiers très bien. Elles sont déjà docteurs, avocats, artistes. Elles dirigent des théâtres, elles ourdissent des escroqueries et éditent des journaux. J’attends avec impatience le jour où nous, les hommes, nous n’aurons plus rien à faire que nous prélasser dans nos lits jusqu’à midi, lire deux ou trois romans par jour en attendant le thé que nous prendrons entre hommes. »
(« Pensées paresseuses d’un paresseux », traduit de l’anglais par Emmanuel Pierrat et Claude Pinganaud, éditions Arléa, 1991)

MC dit: à

Exact Lmd. Ce qui nous change des méchantes extrapolations neuhoffiennes! MC

closer dit: à

L’ironie de l’histoire est que Matzneff lui-même n’a jamais été de gauche. Il s’est habilement servi du contexte politique, ayant des mots flatteurs pour Mitterrand par exemple.

mc dit: à

PS lire dans Le Figaro d’hier la Journée de Louise, députée Nupes! Ce pourrait être celle de Clopine, obsédée par les migrants et les mâles blancs. ( Je sais, les derniers ont été méchants avec elle)!

MC dit: à

Eh oui, Renato. Il fut un temps où Montherlant portait Matzneff aux nues pour ses écrits sur le suicide romain et le stoïcisme . Et je ne peux pas empêcher de penser , sans l’aimer, qu’il pourrait bien en rester quelque chose!

bouguereau dit: à

De nos jours, nous allumons tranquillement notre pipe et nous laissons nos femmes se quereller entre elles

dryon en robe de chambre devant sa glace se rêvait hugefner..lors que baroz sen pame de tant de litterature

bouguereau dit: à

meussieu courte s’enroule la serviette qu’il a piqué au grand hotel façon toge..luculus qui se gratte les couilles chez luculus

bouguereau dit: à

if itz too loud..you’re too old

closer dit: à

Ne limitez pas l’impunité aux artistes et aux curés, Ed. Elle était générale et touchait notamment aussi le milieu enseignant. Les histoires de prof ayant un penchant marqué pour leurs jeunes élèves des deux sexes circulaient avec des sourires entendus dans les cours de récré…sans parler des Facs, mais là le risque d’impliquer des jeunes mineurs était moins grand. En réalité, tant qu’il n’y avait pas de scandale public (et il y en avait rarement), tout restait sous le tapis.

bouguereau dit: à

la divinité qui siège à la protection des oreilles nous protège !

ce petit con de rénateau se voit en vestale

Phil dit: à

Le journal de Matzneff se lit agréablement, tout n’est pas à prendre, bien sûr, c’est une époque où l’on ne faisait pas la fête à la musique.

closer dit: à

« D’ailleurs, elles feront bientôt tous nos métiers très bien. Elles sont déjà docteurs, avocats, artistes. Elles dirigent des théâtres, elles ourdissent des escroqueries et éditent des journaux. J’attends avec impatience le jour où nous, les hommes, nous n’aurons plus rien à faire que nous prélasser dans nos lits jusqu’à midi, lire deux ou trois romans par jour en attendant le thé que nous prendrons entre hommes. »

Quelle prémonition, ce Jérôme K Jérôme!

bouguereau dit: à

« Il n’y a pas de bonheur parfait, comme dit l’homme quand sa belle-mère mourut et qu’on lui présenta la note des Pompes funèbres. »

lhumour anglais comme la 300eme dune pièce de boulvard parisien davant guerre

bouguereau dit: à

Quelle prémonition, ce Jérôme K Jérôme!

finasrie drolatique de cloclo pour nous faire savoir qu’il fait bien la femme à la fénéante..que baroz sen sente revnir du courage serait immoral

Janssen J-J dit: à

@ extrapolations neuhoffiennes

Alexiane ?.. c la p’tite nouvelle que la mâl-droite dépossédée de son machisme usagé a décidé de dégommer sur cette chaine ?

bouguereau dit: à

c’est une époque où l’on ne faisait pas la fête à la musique

la musique est aussi une parfaite calçonnade dirfilou..comme le théatre elle n’en a jamais eu peur

Jazzi dit: à

L’écrivain britannique Jerome K. Jerome (1859-1927), journaliste, auteur dramatique et de romans humoristiques, dont le plus connu demeure Trois hommes dans un bateau (1889), s’était déjà taillé trois ans plus tôt un joli petit succès avec ses Pensées paresseuses d’un paresseux. Un savoureux ouvrage dédié à sa meilleure amie : une vieille pipe ! Arme indispensable du paresseux, comme on peut en juger dans le passage ci-dessus, extrait du chapitre V titré La vraie paresse, un sujet sur lequel Jerome K. Jerome se flatte d’être parfaitement « au fait » (en français dans le texte) et même très doué. Un de ses professeurs ne déclarait-il pas à son propos n’avoir « jamais vu un garçon capable d’en faire moins en autant de temps » ?

JC..... dit: à

« Le journal de Matzneff se lit agréablement, tout n’est pas à prendre, bien sûr, c’est une époque où l’on ne faisait pas la fête à la musique. » (Phil)

On faisait la fête aux enfants… Suce ! Suce, c’est ta liberté !

D’ailleurs je regrette qu’Adolf le violeur de Juifs n’ai pas tenu son journal, où tout n’aurait pas été à prendre, j’en suis sûr !

B dit: à

VS révèle l’un des aspects les plus repoussant de l’hégémonie intellectuelle de la gauche post soixante-huitarde, dont nous sommes très loin d’être débarrassés.

L’adroite Droite a monopolisé le pouvoir jusqu’en 1980. N’avait elle pas non plus les instruments utiles à régner dans le domaine des idées. Les fameux ballets étaient ils le résultats d’une idéologie de gauche, les notables impliqués, pratiquants, d’affreux gauchistes? Les lolitas ont à mon avis toujours existé et leurs usagers appartiennent à tous les bords. Tout comme l’inceste qui il me semble fait des victimes quelles que soient les croyances politiques.il est assez révélateur que le terme n’apparaisse que tardivement dans la liste des délits justiciables.

Phil dit: à

dear JC, autre époque, Beauvoir tripotait régulièrement trois de ses élèves avant de leur administrer des cours particuliers de philosophie et de finir révoquée par l’éducation nationale.
A sa décharge elle ne choisissait que les meilleures, cahier des charges de Sartre, les deux avaient horreur des tourtes.

bouguereau dit: à

comme tous les ados qui voulaient « se faire une opinion par eux mêmes » et qui connaissait toutes les braderie d’époque j’ai lu mein kampf baroz..sans notes de bas de page..à sec..hé bien mon opinion d’ado faite c’est que c’était pas trés bon..il dit même pas qu’il aime les patates et l’estomac de porc farci..cqui aurait pus être du solide

bouguereau dit: à

j’ai lu mein kampf baroz

jicé..je voudrais pas vous hinsulter réciproqument..tout n’est pas a jeter

et alii dit: à

A ce propos, la fermeture des mâchoires d’une plante carnivore lui réclamant énormément d’énergie, il est vivement déconseillé de provoquer ce mouvement par curiosité !

renato dit: à

Marc Court, je n’aime pas perdre mon temps avec les personnages dans la vague, je n’ai donc jamais lu Matzneff.

renato dit: à

Ce crétin qui sine bouguereau devrait boire moins.

Jazzi dit: à

« je suis très surpris que cette intéressante jeune femme ne se soit pas fait élire députée sur la liste du front national »

Pourquoi, vous ne la trouvez pas assez bien pour le parti de Mélenchon pour lequel vous avez voté, JJJ ?

B dit: à

Drillon mérite mieux que Matzneff, bordel!

Bolibongo dit: à

je suis très surpris que cette intéressante jeune femme ne se soit pas fait élire députée sur la liste du front national.

Janssen JJ, renseigne-toi mieux : 🙂 Il y en a une « femme de ménage » élue FN et personne en parle 😉

(…) Lisette Pollet, 54 ans, vit à Mirabel-et-Blacons près de Crest, en dehors de la deuxième circonscription. Née à Romorantin dans une famille originaire du Portugal, la désormais députée de la Drôme s’installe dans le département en 1991. D’abord salariée d’Elior (où elle est pendant un an déléguée CFDT du personnel) puis de Sodexo, elle exerce le poste de cheffe d’équipe de ménage à l’école privée Saint-Victor à Valence, avant de quitter son travail et de se consacrer exclusivement à la vie politique en novembre 2021. »

bouguereau dit: à

A sa décharge elle ne choisissait que les meilleures, cahier des charges de Sartre, les deux avaient horreur des tourtes

tu tapes trop #bovoirgrossebitch sur touiteur dirfilou

JC..... dit: à

Je ne rejetterai jamais mon aversion violente pour un salaud comme Matzneff, et ses complices, ayant beaucoup de respect pour mon infinie sagesse, bonne conseillère dans le cas évoqué de l’Archange Gaby l’Ordure, encensé au lieu d’être puni pour ses crimes !

B dit: à

A ce propos, la fermeture des

Sait on toujours à qui on s’adresse, ces plantes cachent leur jeu comme bon nombre de psychopthes et autres criminels.Et pour cause, la nature est une jungle comme une autre.

Bolibongo dit: à

Le syndrome de la femme de ménage va bien aux extrémistes!

Jazzi dit: à

« j’ai lu mein kampf baroz »

Pourquoi tu me dis ça à moi, le boug ?
Ce matin, je n’ai parlé que de paresse et de Jerome K Jerome !

bouguereau dit: à

cheffe d’équipe de ménage

en gras à cheval sur son dos elle lui fait des trucs a ce dédé keupu de merde..ça se tient

bouguereau dit: à

Pourquoi tu me dis ça à moi, le boug ?

t’es lent jicé..mais c’est ton charme

Janssen J-J dit: à

N’insultez pas jmb si vous ne le comprenez pas… Il ne pense pas si éloigné de vous, sachez le, ni ne boit d’apéros autant que vous. Il n’écrit en outre pas plus mal le français que vous l’italien. Vous n’avez pas le même humour, sauf que lui en a un, voilà tout… C’est drôle cette faculté qu’ont certains erdéliens de se tromper dad’versaires.
***Mais la mécompréhension entre eux n’est-elle point la chose du monde la mieux partagée chez les vrais démocrates ?

une main... dit: à

La femme de ménage, notre ligne d’avenir à tous, notre petite bourgeoise de loisir! 🙂

B dit: à

Bolibongo, une de mes connaissances me racontait qu’il epaulait au parlement européen une élue FN, ex coiffeuse, intelligente mais totalement ignorante en matière de droit.

Jazzi dit: à

« Drillon mérite mieux que Matzneff, bordel ! »

Oui, B, comme l’a remarqué le boug, j’ai essayé de le remonter au niveau de Jerome K Jerome : « De nos jours, nous allumons tranquillement notre pipe et nous laissons nos femmes se quereller entre elles. »

bouguereau dit: à

Je ne rejetterai jamais mon aversion violente pour un salaud comme Matzneff

tant que c’est pas ton voisin de palier..faut se controler jicé..sinon tu vas phinir par dire.. »c’est moâ moâ la rééépubliiiique »..en gros plan c’est pas terribe

Janssen J-J dit: à

@ Janssen JJ, renseigne-toi mieux
merci BLBG pour cette mme Lisette Pollet dont la profession et l’affiliation m’avaient échappé.
Mais pourquoi me tutoyer ainsi ? Bàv

B dit: à

Des audacieuses car il faut tout de même avoir du cran pour éventuellement travailler avec des gens bardés de diplômes. Bon après si elles se vouent au silence représentatif, pas de problèmes à envisager.

Jazzi dit: à

baroz n’est pas jicé et inversement, le boug !

renato dit: à

Toujours pour bouguereau.
Étant donné les limites de ta culture politique qui sont les tiens, te demander de comprendre pourquoi la solution « régime directorial » ce serait une bonne solution aujourd’hui pour la France, ce serait trop demander. Mais réfléchit pour une fois sans écouter ton animal spinale (ce que tu fais d’habitude ici) : les Français sont, parmi les Européens, les moins bien informé relativement à l’état des choses (crise économique, crise énergétique, agression russe, etc.), à un moment ils toucheront terre et là ton animal spinal finira pour se manger la queue.

renato dit: à

Et pas besoin des petites leçons de JJJ !

bouguereau dit: à

Bolibongo, une de mes connaissances me racontait qu’il epaulait au parlement européen une élue FN, ex coiffeuse, intelligente mais totalement ignorante en matière de droit

que béré nous introduise dla pipe qu’est encore à la mode y’a pas loin dla coupe au lève

Janssen J-J dit: à

quoique… parfois on s’y retrouve pu trop entre jissé, JC, baroz, keupu ou dédé… Mais bof, c un peu le même panier percé de crabes… Peu importe l’inter-l’aucul-teur, pourvu qu’on ait le reste !

bouguereau dit: à

con..suisse borné et donneur de leçon c’est raccord rénateau..et ajoute même avec français..qu’on le dos large

Jazzi dit: à

D’autant plus que les femmes de chambre sont de bonnes tailleuses de pipes, dixit DSK !

bouguereau dit: à

baroz n’est pas jicé et inversement, le boug !

toutafé..et même a deux vous êtes pas la république..

renato dit: à

Pauvre bouguereau, ses jugements pré-faits à deux balles le perdront… peut-être l’on déjà perdu.

bouguereau dit: à

dixit DSK !

..et dire que ça lui a couté la république baroz

Janssen J-J dit: à

Je les donne quand même mes petites leçons, RM, ce faisant – MERCI d’amuser nos galeries d’artistiques (Étant donné les limites de ta culture politique qui sont les tiens), on rit bcp quoiqu’on devrait peut-être pas. Avez-vous vu passer ce reportage ?
https://www.thisiscolossal.com/2022/06/paprika-283-saint-louis/

renato dit: à

« La plus minable des actions que l’on peut commettre lors d’une controverse », JJJ, « c’est de s’accrocher aux erreurs de grammaire et de syntaxe de l’adversaire. »

Non, pas lu ce reportage, et pas envie de perdre mon temps.

renato dit: à

« Déçue, polarisée et dans l’illusion ». De qui je parle ?

Janssen J-J dit: à

@ si elles se vouent au silence représentatif, pas de problèmes à envisager

non là je suis pas d’accord…, b., et très déçu… votre mol féminisme a de furieuses limites, et cette insinuation est pftmt inadmissible. Il faut bien dire que tout le monde n’a pas eu le temps de lire Pynchon ou d’avoir fait science sur po pour siéger à la chambre. Et toute ménagère de moins de 50 ans a le droit d’y représenter son intérêt général, pour peu que le cadre en ait été régulier. Non ?

Janssen J-J dit: à

mais il n’y a pas de controverse ni d’adversaire, RM et vous le savez très bien… Juste un poil de vanité blessée, ça passera…

renato dit: à

Dans l’illusion, don trompée.

renato dit: à

Pas de vanité blessée chez moi, JJJ, je sais que je commets des erreurs… donc…. Mais si me croire blessé peut satisfaire votre vanité, je peux vous laisser croire que je le suis.

renato dit: à

don > donC

Janssen J-J dit: à

monsieur Gautret qui était un prof d’anglais farceur en 6e montait sur son bureau et faisant mine de plonger pour nous apprendre le verbe to dive. Il se marrait toujours en parlant de trois hommes dans un bateau… de JKJ… Je viens de comprendre en quoi ce gros faignant lui ressemblait… Hélas pour moi, cet homme me détourna du goût de la langue anglaise pour toujours, il plaquait son gros humour de communiste stalino-lafarguien sur un humour british qu’il ne ressentait pas… Avec ça, on part pas toujours bien équipé dans la vie, à l’assaut de Paris… Hein, robert ?!

Janssen J-J dit: à

@ Mais si me croire blessé peut satisfaire votre vanité, je peux vous laisser croire que je le suis.

Topons là et cessons, RM… Vous avez encore gagné, Gagnon ! tchin !

Bolibongo dit: à

Mais pourquoi me tutoyer ainsi ? Bàv

Parce que toi pas comprendre que c’est possib comme un enfant sans n’oreilles! 😉
Bàv.

Bloom dit: à

Tout aussi passionnant que ‘Three Men in a Boat’, ‘Tom Brown’s Schooldays’ (1857, années de la Grande Mutinerie)), de Thomas Hughes. Ce roman didactique se déroule à Rugby School, où, ‘avec un splendide dédain pour les règles du football’, William Webb Ellis inventa en 1823 le jeu de rugby-footbal, comme le précise la plaque commémorative située sur le pré de cette école mythique que se doit de visiter tout/e amateur/e de ce jeu joué par des gentlemen avec des balles aux formes étranges (odd-shaped balls).
Au 19e, ces romans anglais mettant en scène des jeunes gens de la bonne société occupés à résoudre des situations épineuses de façon généralement cocasses, sont avant tout les incubateurs des administrations de l’Empire.
Pas un hasard si BoJo souhaite que le RU délaisse le système métrique pour revenir au système de mesures impériales (ounces, gallons, etc).
Pas un hasard non plus si Salman Rushdie, dans les ‘Versets sataniques’, situe dans cette ‘public school’ qu’il a lui-même fréquentée, l’initiation à la société britannique présentée comme une conquête inversée. C’est en intégrant une flopée les règles non-dites de l’ancien colonisateur que le protagoniste intègre le club et s’en émancipe.

‘Le lendemain de son arrivée, au petit déjeuner, il trouva un hareng sur son assiette….il ne savait comment l’attaquer….Il en coupa un morceau et avala une bouchée pleine de petites arrêtes. Ses camarades le regardaient souffir en silence: aucun d’entre eux pour lui dire, attend, je vais te montrer, ça se mange comme ça. Il lui fallut une heure et demie pour terminer ce poisson et lui était interdit de se lever avant de l’avoir mangé en entier…Pris de tremblements, il aurait éclaté en sanglots s’il en avait eu la force. Il comprit qu’il venait de recevoir une leçon importante. L’Angleterre était un poisson au goût bizarre plein d’arrêtes pointues que jamais personne ne lui indiquerait comment manger. Il s’aperçut qu’il avait de la ressource. ‘Je vais leur montrer’, jura-t-il, ‘Ils vont voir ce qu’ils vont voir’. Il était venu à bout du hareng – c’était sa première victoire, la première étape de sa conquête de l’Angleterre.
Guillaume le Conquérant n’avait-t-il pas commencé la sienne après avoir avalé une bouchée de sable anglais?’

NB: ‘public’ ici signifie ‘au service du public en tant que dirigeant; destiné à la haute administration, etc.’
L’ironie, car les ‘public schools’ sont des écoles privées, n’est donc qu’apparente.

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