de Pierre Assouline

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La République des livres
Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

Inutile de présenter Jacques Drillon aux lecteurs de la République des livres puisqu’ici même ces dernières années, il fut donné l’asile poétique à ses lumineux et ironiques Petits papiers. Le simple fait d’avoir à préciser « (1954-2021) » comme il convient après son nom serre le cœur. Mais il n’était pas parti sans laisser d’adresse. On peut ainsi le retrouver ces jours-ci dans Coda sous-titré « essai autobiographique » (347 pages, 23 euros, Gallimard), un livre enjoué, injuste, cruel, drôle, chaotique constitué de fragments qui semblent réglés par un moteur à explosions et qui fait suite à Cadence (Gallimard, 2018).

C’est peu dire qu’on l’y retrouve tel qu’en lui-même, et plus encore que dans les journaux car, seul maître à bord, il s’y sent encore plus libre. Si vrai dans ses bannissements et exclusives, si généreux dans ses goûts et découvertes. Mais quelle cruauté dans l’estocade ! Il fait penser à Mark Twain qui, lorsqu’il refusait de se rendre à certains enterrements auxquels on le conviait, écrivait pour dire qu’il était d’accord. Il est vrai que l’unanimité l’écoeure. Quand la foule qui manifestait pour soutenir CharlieHebdo s’est mise à applaudir les policiers, il s’est enfui. Son aversion absolue et ontologique pour la police quel que soit le régime se voulait fidèle à une certaine idée de l’anarchisme mais elle allait au-delà. Je me souviens d’un déjeuner au cours duquel la conversation glissa justement sur la police ; et là in fine, abdiquant toute rationalité relative à l’ordre public ou à la protection des personnes et des biens, il appelait de ses vœux son abolition pure et simple.

Son sourire abrite l’esprit d’un imprécateur espiègle. D’ailleurs il a fait ses débuts dans la critique avec du brutal et une méchanceté revendiquée dans le règlement de compte parfois haineux (ceux qui l’ont viré de France-Musique s’en souviennent encore). Avec le temps il s’est adouci même s’il reste quelque chose de cette violence dans le parti pris, son livre en témoigne. Cioran n’assurait-il pas que l’on écrit pour y avouer des choses que l’on n’oserait confier à personne ?

« Si je pouvais choisir, je me ferais bien enterrer dans de la langue française : j’y trouverais de quoi rafraichir mon enfer pendant assez longtemps »

 

Coda vaut notamment pour ses puissants portraits. Jean Daniel ? il n’était pas de meilleur directeur de journal (stimulant, créatif, disponible etc) quoique l’homme fut « vaniteux jusqu’au ridicule » sinon jusqu’au délire. Emmanuel Berl ? Il le place très haut en faisant grand cas de Sylvia ou Rachel et autres grâces et bien peu de ses talents gâchés et de son côté munichois discrètement rémunéré par le Quai d’Orsay pour ne rien dire des premiers discours de Vichy qu’il avait écrits pour Pétain. Les hommes de musique (on dit bien « homme de Lettres », non ?) Maurice Fleuret et Henri-Louis de La Grange en prennent pour leur grade. La plume trempée dans le vitriol, il exécute (sans le nommer) le critique musical suisse Antoine Livio et son humour vache est irrésistible de drôlerie. Marguerite Long, repeinte en horrible vieille sorcière autocratique et futile, est habillée pour tous les hivers de sa postérité. On retiendra de vibrants portraits de Beckett, Godard et Boulez, plus critiques dans l’admiration de Satie, dont la vie ne ressemblait pas à la biographie, ou de John Cage à qui il reproche d’avoir « sodomisé » le piano en lui bourrant le cul de ferraille (clous, vis etc)

Les pianistes qui le laissent indifférents (Brendel, Rubinstein, Michelangeli, Perrahia, Fischer, Pollini, Schnabel etc) ne sont pas massacrés pour autant. Mais l’indifférence affichée n’est-elle pas pire que tout ? Dinu Lipatti demeure son mètre étalon. Les autres étaient certainement plus virtuoses que lui, et certains nettement plus histrionesques mais lui était le seul à ses yeux véritablement accompli, notamment ici  ou encore là). Jacques Drillon le dit avec ses mots à lui, les mots d’un écrivain pétri de musique plutôt que d’un critique musical :

« C’est la ductilité de la phrase, sa parfaite ponctuation, sa manière d’avancer sans trébucher, son autorité tranquille, jamais étouffante, jamais réductrice, qui est unique. La rondeur du son, sa plénitude, la parfaite distribution de l’ombre et de la lumière. Pas un truc, pas une tricherie, pas un faux semblant. De la musique, rien que de la musique »

Il est souvent question de haine de la bêtise, mais, je l’avoue, cette attitude assez répandue,  m’est toujours parue suspecte dans ce qu’elle a de subjectif, d’arbitraire et de méprisant, et plus encore lorsque Drillon met ses pas dans la foulée de Philippe Muray. La rencontre a été déterminante pour lui. Il s’avoue inconditionnel de l’homme et de l’œuvre jusqu’à faire sien ses excès. Tant et si bien que l’on pourrait appliquer à Drillon ce que lui-même écrit de Muray :

 « Quant à l’intelligence, elle sait rendre séduisant ce qui chez d’autres ne serait qu’irritant. Nous sommes prêts à tout admettre dans ce qu’écrit Muray, jusques et y compris ce qui violente nos plus intimes convictions, ce qui raille nos goûts, ce qui bafoue notre morale. Il pourrait violer notre alma mater, nous ne lui en tiendrons pas rigueur ; il en a le droit ; et d’ailleurs, au contraire du médiocre, qui salit ce qu’il attaque avant de porter son coup, il laisse ses victimes intactes : nous les retrouverons après son passage. Il ne laisse rien d’amer en vous. On n’est pas d’accord, et basta »

N’empêche : que de couleuvres son admiration pour cet écrivain lui a fait avaler à commencer par sa détestation de la musique, qu’il ne connaissait pas et à laquelle il était fermé, ce qui ne l’empêchait pas de la conchier. Homme de marottes et de tocades, il se reconnait une passion compulsive inscrite dans la longue durée de toute une vie de lecteur, pour l’établissement de listes, nomenclatures, dénombrements sans oublier les inventaires les plus absurdes et parfois même imaginaires, pour le pur plaisir, inutile, désintéressé et ô combien chronophage, de les dresser. Sa critique du critique est bien vue lorsqu’il le campe en jongleur de figures de style (hyperbole, oxymore, forgerie etc), habile au rapprochement de qualificatifs issus de registres différents (sur le modèle de Proust décrivant le bruit produit par le grelot de Combray                 « ferrugineux, intarissable et glacé »).

Jacques Drillon est de ceux qui écrivent pour être enfin seuls, parce qu’il n’est pas d’activité plus reliée à la solitude que l’écriture- à supposer que l’on ne soit pas découragé de s’y coller à son tour après Proust et Céline. Parfois, le récit de certaines anecdotes fait penser à des pages de Jean Tardieu. Surtout lorsqu’elles recèlent un exercice d’admiration ; ainsi son attachement sentimental et indéfectible à la collection de la Pléiade « ce qui est arrivé de mieux à l’humanité avec le quintette des adieux de Cosi fan tutte ».

Fumeur croyant et pratiquant, il était persuadé d’en mourir un jour sans en être troublé pour autant. « Fumer tue » prétend le paquet, et alors ? Finalement, il est mort d’une tumeur au cerveau. J’ignore quand il a achevé son livre mais celui-ci n’a rien de funèbre, de crépusculaire ou de testamentaire. Elégant jusqu’au bout, Drillon. Coda est un livre à offrir à ceux qui aiment la littérature, la langue française, la musique et ceux qui les servent. On l’entend murmurer derrière nous: ça ne fait plus beaucoup de monde, ça… Ce qui ne m’a pas empêché de le recommander pour la liste des lectures pour l’été de l’Académie Goncourt. Qu’il soit lu à la plage, c’et tout le mal qu’on lui souhaite. Le livre s’ouvre sur une épigraphe peu commune, le moins que l’on put attendre de cet homme si attachant et si peu commun : « Loin du funèbre glas des vertus importunes ». Et c’est signé « Marcel Proust, bachelier ès Lettres, 1889 ». Ne jamais négliger le choix de l’épigraphe chez un grand lecteur. Elle ne doit rien au hasard ou à l’épate car c’est un aveu à peine crypté. Tout en découle.

( « D’après-la-Ronde-de-nuit-», 1990, Collection-particulière ; « Autoportrait », vers 1958. Collection particulière, Roubaix ; « Petit nu profond, 1997 » Kolumba, Cologne. L’oeuvre d’Eugène Leroy est actuellement exposée au Musée d’art moderne de la ville de Paris jusqu’au 28 août)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 240 Réponses pour Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes

rose dit: à

L’aurait voulu un faubourg, un boulevard, un quartier, une sinécure et que nous formulons nos uestions de belle manière : verbe, sujet inversé, et point d’interrogation.
L’avait le goût des belles choses et des petits papiers.

Dino dit: à

Petite coquille au dernier paragraphe:

« J’ignore quand in (il) a achevé son livre… »

Beau texte, bel auteur.

rose dit: à

formulions nos questions

Jacques dit: à

Là où il est maintenant, au ciel, Drillon peut enfin ponctuer la musique des sphères.

et alii dit: à

pardon, pardon de me dire assez vite que les tableaux ne viennent pas « bien » sur l’écran et que cela m’agace parce que cela en vient à m’obséder au point de chercher à voir sur d’autres sites si j’ai la même sensation;et même leur apparition ici donne-t-elle le désir d’aller à l’exposition comme c’est indispensable ; car oui, j’aime la « matière » dont le peintre semble célébrer le triomphe, sa peinture est le triomphe de la matière, de la peinture;mais ce n’est pas le sujet du billet qui nous fait retrouver Drillon dans son monde
bonsoir

Bloom dit: à

Les canicules s’emballent…

Janssen J-J dit: à

On bénirait Passoul pour cela : « Il est souvent question de haine de la bêtise, mais, je l’avoue, cette attitude assez répandue m’est (m’a ?) toujours parue suspecte dans ce qu’elle a de subjectif, d’arbitraire et de méprisant, et plus encore lorsque Drillon met ses pas dans la foulée de Philippe Muray ».
C’est assez avouer que Drillon ne fut guère plus qu’un poseur snob…, qu’il n’avait pas grand chose dans le ventre quand il vous censurait sur la chaine, ne supportant pas la moindre critique retournée à la fréquene médiocrité de ses petites pensées du vendredi… Bouh !… Muray-Drillon et autres Chevillard, mais qu’ont donc apporté ces petits maitres-là à la littérature censée faire germiner la moralité de l’espèce humaine ?… L’Etat va-t-il devoir édicter le juste d’une haine raisonnablement légitime, à force ?

J J-J dit: à

Les cannibales s’enculent…, voilà au moins un Robert qui comprend tout ! Très funny ! Your’s !

Janssen J-J dit: à

Faites vous inviter par Christiane… Elle a des places gratuites. Bàv, bonsoir.

pourmapar dit: à

j’aime la « matière » dont le peintre semble célébrer le triomphe, sa peinture est le triomphe de la matière

Certes, il y a de la matière chez E. Leroy, mais quant à dire qu’elle est « triomphale »?
Il y a de la couleur qu’épuise la matière, ça, c’est sûr.
Leroy est nu, c’est la matière qui l’habille, mais pas en toge ni en costume d’apparat! 🙂

pourmapar dit: à

Leroy est nu = sa peinture, voulais-je dire.

pourmapar dit: à

C’est très bien Passou d’écrire une critique sur un livre dont l’auteur est disparu.
Belle générosité gratuite, il ne pourra pas vous dire merci.

Soleil vert dit: à

Oui c’est bien de repenser à ce compagnon de La République des livres

Janssen J-J dit: à

… pat v, toujours à l’affût de l’obscurité lumineuse : « il y a de la couleur qu’épuise la matière »… Le châtiment de Tartuffe : « Peuh ! Tartufe était nu du haut jusques en bas ! »

Janssen J-J dit: à

dans ces conditions…, copions-collons ses derniers papiers, toujours en tête de gondole en rdl…
———
(Derniers) Petits Papiers
Le geste de Don Camillo, qui relève sa soutane pour courir à son aise.
*
Dans La fugitive, lorsque le Narrateur écrit à Albertine de ne pas revenir, en espérant que justement ça la fera revenir.
*
(Suite)
Quand Albertine vient de mourir d’un accident de cheval, et qu’arrivent au Narrateur deux lettres d’elle, dont une où elle le félicite de vouloir vivre avec sa meilleure amie, et l’autre où elle lui annonce son retour.
*
(Fin)
La vie, où tout est décalé, en quinconce.

pourmapar dit: à

 » couleur épuisée », c’est une métaphore employée par le poète René Char et cela dit bien, à mon sens, le sentiment très fort de « ce qui reste » après toutes ses adjonctions de matière.

pourmapar dit: à

« ce qui reste » après toutes ses adjonctions de matière.
C’est le paradoxe de la peinture d’ Eugène Leroy, parvenir à une force d’épure par l’amas,le conglomérat, c’est éruptif comme un volcan qui a craché son magma ( certaines de mes petites nièces sont en ce moment tout près de l’ Etna..)et qui nous laisse ses versants et collines de lave durcie.

Passou dit: à

Merci Dino pour le signalement de la coquille

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…samedi 18 juin 2022 à 23 h 22 min.

…des taches aux pinceaux – variées, et en glacis pointilliste;…sur les pâtes de couleurs déjà empâtées encore fraiches,!…et en sur-couches,!…
…un fond tamisé en veux-tu, en voilà,!…

…sous la projection durable, et à réaliser des scènes par des photographies,!…

…ce n’est même pas du Alechinsky ( Pierre ), ( style Cobra ),qui lui, peint  » direct  » des rôles de serpentins, divers et couleuvres d’érotismes dissimulées,!…aux vues de la censure,!…

…l’abstrait imaginaire et ses manipulations,!…sous directives projetées,!…le nouvel Art, c’est qu’il n’y a rien à voir,!…

…du Van Gogh (Vincent),confettis à Gogo,!…

…chercher les accoutrements abstraits de cette scène de carnaval, dimensions , ? ,…
…quelles alternatives,!…etc,!…Go,!…
…Leroy Eugène, un plus,!…le sport pour l’argent.

JC..... dit: à

DIMANCHE 19 JUIN 2022, 5h28, 25°, temps dégagé, brise faible

DRILLON

L’hommage est mesuré.
Nous ignorons l’unité de mesure utilisée.

Cela nous permet de situer le notre, en toute liberté…

JC..... dit: à

US CIRCUS

Le Président BIDEN, 79 ans, tombe de vélo, à l’arrêt…sans blessures.

Pragmatique, le Congrès réuni en urgence lui offre deux petites roues à monter à l’arrière du véhicule pour soutenir le démocrate instable.

JC..... dit: à

METEOROLOGIE

Aujourd’hui en France, canicule politique prévisible due à la présence de 2 soleils, un jeune pimpant qui grimpe et un vieil astre déclinant bon à jeter, tous deux qui chauffent inconscients le pays à blanc, menaçant l’équilibre thermique de la vieille planète des Veaux Gaulois Républicains.

Ne prenez pas de risque ! Soyez prudents …

JC..... dit: à

DECOUVERTE

Eugène LEROY m’était totalement inconnu.

Grands dieux !
C’était mieux, avant….

Janssen J-J dit: à

@ « confettis à Gogol »…,
il faut passer la tondeuse aux urnes mortes, même les dimanches matin –
@ AR // « le monde a soif d’amour – tu viendras l’apaiser » // …
;;;

J J-J dit: à

@ Eugène LEROY m’était totalement inconnu.
allons allons, prof de français !…, Souvenez-vous de vos basiques : Jacquou le croquant, voyons donc !

Alexia Neuhoff dit: à

Tribu de l’amitié (de papier) : après Garcin dans l’Obs, P.Assouline ici. C’est leur droit, leur devoir, leur choix. « Coda », autrement dit « queue », est pertinent dans le cas de ce pourfendeur des féminismes.

Janssen J-J dit: à

@ MC, « pourquoi recréer notre cerveau, puisqu’il existe déjà ? La réponse qui s’impose c’est : pour le bienfait du marché, du marché éditorial, pour l’argent… » –
Ce type de réponse abruptale n’est-elle pas un peu courte, madame, quand on entend lui donne l’allure de conditionner la question pour clore tout débat ?

Janssen J-J dit: à

@ AN, j’observe une fois de plus que vous n’adhérez pas non plus à ce genre de « tribu d’amis ». Eh bien…, moi non plus, et dieu sait pourtant que mon féminisme a toujours prétendu rester des plus pittoresque plutôt que sectaire, hein. Bàv.

JC..... dit: à

@RENATO

Revenons aux évidences !

Les pauvres méritent leur sort, càd vivre dans des bidonvilles sans charme. Ils ne font rien pour devenir riche par le travail, l’effort, l’engagement entrepreneurial. Ils se laissent engraisser par l’Etat !

Bien plus honorable est le sort des oligarques russes, américains, africains ou européens. Ceux la ont du coeur, portent de beaux costumes, respectent la loi et l’ordre au service d’un capitalisme libéral, lequel apporte aux riches un bonheur sans mélange.

Libérons-nous !!!

Janssen J-J dit: à

On prétend que l’IA ne sait pas se représenter le monde sur un mode binaire, en noir et blanc… Heureusement que l’on a l’JC sur cette chaine pour le démenti permanent… hurkqcoda-adada 🙂

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen, oui, il est des fricotages qui m’échauffent, ce qui n’est pas de saison. L’Obs fait un dossier sur les drogues et offre à Beigbeder (je l’ai dans le nez) je ne sais combien de lignes à dérailler sur trois pages pour nous conter les heurs de ses montées et descentes sur la poudreuse et nous promettre qu’il se remet sur les rails. Le tout dans ce style de fils de pub dont il ne s’est jamais sevré. Le degré zéro de la critique littéraire, de la littérature, tout juste bon à épater par un bon mot le client (actuel) du Flore.

JC..... dit: à

Le mot Cartoucherie a perdu tout son sens matériel pour moi, tant j’en ai tâté jadis de ce Temple Nouveau, la Cartoucherie mouchkinesque !

Ah ! Cornecul, c’était mieux avant, par Pol Pot et Jean XXIII !

renato dit: à

Pas besoin de crier, JC.

MC dit: à

MC? jamais fit ça !

MC dit: à

Le respect qu’on a pour Henry-Louis de la Grange, et même parfois Maurice Fleuret, empêche de s’associer à l’hommage rendu à ce pitre, dont on ne voit pas bien ce qu’il a apporté,hors sa puissance de détestation , ses mignardises, et sa haine de la musique, celle-là magistralement illustrée par les refus cités.

et alii dit: à

MC
eh bien on peut être importune sans être une (même petite) vertu:j’en suis un exemple (encore!)vivant!
a_t_il écrit ou dit: « haine de la musique « ?
MAIS CE SERAIT POUR 3JOUER3 AVEC « HAINE DE LA DEMOCRATIE » (Rancière!)

B dit: à

Ici de grands pins maritimes servent d’écrin aux villas lovées dans des bouquets d’hortensias, d’agapanthes qu’accompagnent quelques roses trêmières . Le regard se perd dans les cimes et je ne peux m’empêcher de penser à Drillon, sa vidéo quand il attend en vain de rencontrer les écureuils promis . Ici non plus pour le moment aucun ne s’est manifesté. Je ne sais trop s’il était misogyne, mon avis est que non, que sa vie lui aura fourni des exemples féminins à ne pas fuir. Impossible d’être inconditionnelle d’un genre ou d’un autre bien que la phallocratie soit une institution . Cela dit, tout à fait d’accord pour dénoncer les excès, les abus du pouvoir masculin et protéger les femmes des dérapages délinquants ou criminels.

B dit: à

Mimi, je trouve un peu fort que des hommes politiques déplorent les résultats du jeu démocratique. Une majorité relative compliquerait le travail du gouvernement!? Que soient abolies les législatives, on ira plus vite, hein?

Bloom dit: à

Sur les ‘abus du pouvoir masculin’, comme vous dites B., le très dérangeant film anglais ‘Men’. Anti-pub pour & pour Canary Wharf & pour la campagne anglaise.
Brrrr…

B dit: à

empêche de s’associer à l’hommage rendu à ce pitre, dont on ne voit pas bien ce qu’il a apporté,hors sa puissance de détestation , ses mignardises, et sa haine de la musique, celle-là magistralement illustrée par les refus cités.

Avez vous lu tous ses écrits? Moi non.
D’un autre billet :

Que n’a –t-il pas fait en musique ? Tout, semble-t-il, sauf l’écrire. Il l’a enseignée dans un collège de Nancy, a donné des leçons de piano et de flûte, a tenu sa place comme ténor dans l’ensemble vocal de Gérard Caillet et au sein d’un quintette vocal spécialisé dans les madrigaux de Gesualdo, a collaboré à France-Musique dès l’âge de 20 ans, en a dirigé des enregistrements intégraux chez Harmonia Mundi, l’a explorée dans des livres, racontée dans des conférences, éditée dans des collections, transcrite jusqu’à plus soif – tout sauf lui faire subir les derniers outrages. Sa seule collection concerne les fichiers PDF de partitions musicales (même pour des collectionneurs de ce type, il existe une internationale sur le web) avec une niche dans la niche : les transcriptions pour piano (seul, à quatre mains ou à deux pianos). Voilà qui déjà donne le « la » de son livre.

JC..... dit: à

@RENATO

Pas besoin de crier, JC. (renato)

Je ne procède ainsi qu’avec les sourds, cher ami !

Amanda Lire dit: à

protéger les femmes des dérapages délinquants ou criminels.

Quelle drôle de conception de la femme, faiblarde et fragile, que l’on définit comme un être à protéger.
N’est-elle pas assez grande elle-même?
Le sociétal deviendrait-il son « maquereau »?

rose dit: à

Un/e sourd/e cela ne lui fait aucun bien que l’on crie.

Mimi Pinson dit: à

Mimi, je trouve…

Mais de l’ironie au second degré ma B.elle!

JC..... dit: à

Il y a sourd et sourd, chère amie !…

renato dit: à

Je ne suis pas votre ami JC, e, nonobstant l’âge avancée, pas sourd non plus. Cela dit, votre propos est plutôt stupide, et par-dessus le marché aboutement pas libéral mais carrément archéo, ce qui n’est pas étonnant vue l’inconsistance de votre sens civique.

pourmapar dit: à

Vous avez raison Mimi P.
Il faut prêter attention au titre : la Ronde de nuit. C’est tout un ballet du bras du peintre qui manie la couleur et puis ou en même temps la pâte matérielle de celle-ci. Comme une lumière épuisée qui surgit de la nuit ( peut-être un volcan éruptif, peut-être une coulée très lente de lave incandescente en train de se refroidir et de se ternir voir de s’ossifier. Ainsi la ronde qui continue d’opérer ses tours et ses détours dans la nuit même si on ne voit pas toutes ses manifestations, tous ses mouvements.

https://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2022/06/Eug%C3%A8ne-Leroy-%C2%AB-D%E2%80%99apr%C3%A8s-la-Ronde-de-nuit-%C2%BB-1990.-Collection-particuli%C3%A8re-France-%C2%A9-Photo-J%C3%B6rg-von-Bruchhausen.jpeg

pourmapar dit: à

Eugène Leroy était un indépendant vagabond, un laissé pour compte de la peinture « moodeerne » en France.
Quasiment exhumé par quelques peintre allemand de l’avant-garde.

pourmapar dit: à

Et quand on pense à l’omniprésence des peintres du groupe « support/surface » dans les années soixante-dix et leur obsession de la matière et du matériau.
Eh bien, chez E. Leroy, n’y en-t-il pas de la matière qui s’affirme comme telle?
Mais avec lui, pas de discours blablateurs de professeurs de beaux-arts…

pourmapar dit: à

Malgré l’épaisseur de ses couches picturales, ses tableaux n’en ont jamais fait des tonnes!

pourmapar dit: à

Non, pas de triomphalisme de la matière chez Leroy. Plutôt tout un remue-méninge haltérophile qu’il nous offre tel un constat du : cela a été et cela sera.
( Voyez sa foi catholique…)

pourmapar dit: à

Si l’on veut, le « triomphe », s’il y a triomphe, serait dans la parousie que l’on peut constater au travers de ses tableaux.

et alii dit: à

« La Ronde de nuit » : meurtre dans un tableau hollandais
A partir de « La Ronde de nuit » de Rembrandt, Peter Greenaway superpose brillamment biographie du peintre, décryptage de l’oeuvre et réflexion sur l’art.

Par Jean-Luc Douin
Publié le 26 février 2008 à 18h56 – Mis à jour le 26 février 2008 à 18h56
Temps deLecture 2 min.
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En 1642, le peintre Rembrandt accepte une commande : un portrait de groupe de la milice civile d’Amsterdam. Prouesse esthétique, ce tableau intitulé La Ronde de nuit recèle un certain nombre d’énigmes à partir desquelles Peter Greenaway signe ce film éblouissant de maîtrise technique (en particulier par sa dextérité à restituer les éclairages du maître hollandais) où se superposent trois niveaux de lecture.

D’abord, une biographie de l’artiste axée sur ses trois femmes et sur la déchéance sociale dont il fut victime, riche collectionneur d’objets précieux brutalement discrédité et jeté dans la misère. Ensuite, un décryptage de la toile, selon des hypothèses fictives qui soupçonnent Rembrandt d’y avoir dénoncé un crime et accusé les douze familles ploutocrates qui régnaient alors sur Amsterdam, cité de toutes les corruptions.

Enfin, une réflexion sur le rôle du sexe et de l’argent dans l’art, la subversion de l’artiste et la vengeance des puissants, la valeur historique d’une oeuvre picturale témoignant des vices d’une époque, et l’idée (audacieuse) d’un Rembrandt inventant le cinéma.
sur le monde

pourmapar dit: à

il nous offre tel un constat du : cela a été et cela sera.

C’est aussi ce qui peut nous laisser comprendre son isolement face aux expressionnistes abstraits, aux matiéristes exubérants et autre instinctifs intuitifs expansifs.
Il y a chez E. L., de la retenue, du temps laissé au séchage de la peinture à l’ huile si lente et si peu pressée à recevoir une nouvelle charge colorée, contrairement à l’acrylique qui sèche vite et bien ( voyez Alechinsky par exemple), bref, il y a du marmoréen dans cette pâtes et ce jusqu’à l’os.
Cela a été et cela sera, cela lui va!

pourmapar dit: à

A partir de « La Ronde de nuit » de Rembrandt, Peter Greenaway superpose brillamment biographie du peintre

C’est bien intéressant ce copié/collé et alii, mais quel rapport avec Eugène Leroy?
Rembrandt versus Greenaway, d’accord, mais Eugène est-il en géhenne?

et alii dit: à

remarque:les tableaux et le peintre? Y COMPRIS LE NOM DE CELUI ci sont le choix de P.ASSOULINE

pourmapar dit: à

l’acrylique qui sèche vite et bien

Et attention alors au résultat!
(C’est comme de rendre une copie à un examen. Vite et bien? Pas sûr!)
A propos d’ Alechinsky, il existe un texte de lui fort intéressant ( pas le temps de retrouver les références) où il parle de son passage de la peinture à l’ huile à l’acrylique. Rapidité de séchage qui permet les sur couches, mais tellement vite que l’on ne laisse pas vivre, on éxécute les couches inférieures. C’est tout le contraire chez Eugène Leroy, la première couche crie toujours famine sous les épaisseurs!

JC..... dit: à

Je ne suis pas votre ami, JC (renato)

Mais enfin, lorsque je vous traite de « cher ami », renato mio, c’est de la pure courtoisie hypocrite !!!
Vous m’avez cru ? Réellement ?….

Navrant !

et alii dit: à

( « D’après-la-Ronde-de-nuit-», 1990, Collection-particulière ; « Autoportrait », vers 1958. Collection particulière, Roubaix ; « Petit nu profond, 1997 » Kolumba, Cologne. L’oeuvre d’Eugène Leroy est actuellement exposée au Musée d’art moderne de la ville de Paris jusqu’au 28 août) »
P.ASSOULINE

et alii dit: à

UN TITRE 6MAIS AUSSI UNE « légende » font partie d’une pièce, ou d’une oeuvre; les minus legentes semblent l’ignorer

renato dit: à

Et maintenant ce « moi » ! c’est une suite de poncifs mais rien d’étonnant lorsqu’on relit : « Ils ne font rien pour devenir riche par le travail, l’effort, l’engagement entrepreneurial. Ils se laissent engraisser par l’Etat ! ». Or, il s’agit d’un bidonville français « crée » par l’migration bienvenue de travailleurs qui n’ont pas trouvé ici les structures pour les accueillir, donc mal reçus.

http://histoire-geographie.ac-dijon.fr/IMG/jpg/app0015_opt_04.jpg?1563362739

renato dit: à

 » moi  » >  » mio « 

Janssen J-J dit: à

il vous faut cesser de consulter l’Obs pour ne pas vous faire du mâle, ALESKIANE. Bec-BD, m’enfin quoi °?… ça exist’encore, ça ?
J’ai pas encore voté et c’est point dans mes habitudes, ast’heure là (15h)… Vas-j pouvoir me tirer du plumard après ma sieste granuleuse, avant 18 h ?

racontpatavi dit: à

après ma sieste granuleuse,

Encore un qui couche avec ses poules pour le gratin!? 😉

J J-J dit: à

@ rptv de crapule
ah bon …. y’en a beaucoup des comme-ça ? 🙂

B dit: à

AL, dans un contexte où le mâle règne encore trop souvent en l’autre des horloges, oui sans vouloir faire d’elles des êtres faibles et fragiles. Voire le mouvement qui en résulte visant à montrer quels sont les dérives insoupçonnées de la prérogative masculine. Y compris concernant le clergé qui réussit à infliger aux religieuses le même sort que celui rencontré dans une autre sociétés. Quelle serait l’ouverture concédée aux femmes s’il n’y avait eu des combats, est ce qu’ils font d’elles des guerrières assassines? Et puis voire encore le viol utilisé comme une arme, une vengeance, une ultime humiliant quand réellement la guerre a lieu.et pourtant celles qui restent ne sont pas les moins courageuses, peut être n’ont elles pas d’autres choix. Faudrait il laiser faire sans chercher à juger afin que ces femmes ne fassent pas partie des victimes?

B dit: à

Quelles.

B dit: à

Rose, coda, par un hasard, est aussi l’acronyme en anglais pour les « enfants nés de parents sourds ».

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen J-J dit: à

il vous faut cesser de consulter l’Obs pour ne pas vous faire du mâle, ALESKIANE. Bec-BD, m’enfin quoi °?… ça exist’encore, ça ?

Hélas ! Je sors d’une crise de rire provoquée par une scène monumentale, magistrale, époustouflante dans Guerre (L-F Céline). Tous ces écrivaillons si encensés de nos jours ne pèsent rien par comparaison. Céline est à la littérature ce que Picasso est à la peinture, après eux, seulement des dépouilles : ils ont consommé tout le sang (sens) de leur art.

rose dit: à

B.
Alors, Jazzi est un coda.
Comme quoi, on peut être sourd et faire des bébés.

rose dit: à

J’ai pas encore voté et c’est point dans mes habitudes, ast’heure là (15h)… Vas-j pouvoir me tirer du plumard après ma sieste granuleuse, avant 18 h ?

Allez zou.
J’irai manger une glace au yaourt sur la place Saint Michel.

rose dit: à

Quand Albertine vient de mourir d’un accident de cheval, et qu’arrivent au Narrateur deux lettres d’elle, dont une où elle le félicite de vouloir vivre avec sa meilleure amie, et l’autre où elle lui annonce son retour.

Albertine est une fille.
Putain de tranquillité. Avec Bilal Hassani, le matin tu crois ça et le soir tu le sais plus, alors tu te ronges les foies.

rose dit: à

Elle doit être, Albertine, sa meilleure amie.

rose dit: à

Faudrait ouvrir Proust pour le savoir.

rose dit: à

C’est une fille.

rose dit: à

(C’est comme de rendre une copie à un examen. Vite et bien? Pas sûr!)

Utiliser, plein temps, les quatre heures données, allouées, et ne pas court-circuiter la conclusion.
Ne pas court circuiter la conclusion.

rose dit: à

Pour le bac de français.

rose dit: à

Quelle serait l’ouverture concédée aux femmes s’il […]

B.

Pas compliqué : niente.
Pas d’ouverture.

rose dit: à

Ce qui est « joli » ds ce poème proustien, ce sont les énumérations.

Clopine dit: à

Jacques Doillon m’était parfaitement inconnu, et je doute qu’il accède à l’immortalité réservée aux génies. Mais il m’avait cependant contactée, trois fois, par téléphone. Non pour me parler de la résolution des accords chez Jean Sébastien Bach, non pour me parler littérature ou m’inviter à telle ou telle lecture, mais juste pour me dire son éxecration du féminisme. A ses yeux, la plainte pour viol contre un personnage public relevait du lynchage, si je me souviens bien. Moi qui ai tendance à penser que la dénonciation des puissants pourrait permettre à toutes les victimes de la cohorte d’anonymes (le tonton, le boulanger du coin, le grand frère ou le simple passant) d’enfin prendre la parole, je m’étais rendue compte de l’impasse : Drillon n’avait aucune idée de ce qu’est l’inégalité et la violence envers les femmes. Sans doute les aimait il. Ah ahaha. Le chasseur aussi aime ses proies. Désolée donc d’être malséante. Mais lui aussi l’était,Au moins l’a t’il été à mon égard.

Clopine dit: à

Drillon, pas Doillon bien sûr. Il y aura certainement quelques belles pleureuses, du genre à pouvoir s’acheter de jolies boulettes noires, à son enterrement. Mais, si je suis cynique,(et il faut que je m’y force car ce n’est certes pas ma nature) Vive le temps de l’égalité entre hommes et femmes, qui enterre définitivement ce pauvre Jacques.

Clopine dit: à

Voilettes et pas boulettes, bien sûr.

bouguereau dit: à

(et il faut que je m’y force car ce n’est certes pas ma nature)

mon cul bonne clopine..comme lassouline et ses componctions pour faire dire tout le mal aux autres..mais ici on est dans le marketting..où le mal est mieux que rien..à la guerre il est presque tout

bouguereau dit: à

Tous ces écrivaillons si encensés de nos jours ne pèsent rien par comparaison

cela vaut pasquon vient dapprendre son existence alesquia..faut pas en accabler les vivants

bouguereau dit: à

le très dérangeant film anglais ‘Men’.

tous ses films m’ont semblé poussif et trop intelligent..rien à coté de ce dark miror ou le premier ministre doit enculer un cochon au 20h pour sauver une petite fille de son ravisseur..les brits quand il veulent..ils peuvent!..suffit pas dparler anglais kabloom

bouguereau dit: à

C’était mieux, avant….

c’est juste qu’il faut donner l’temps au présent dprende un peu dbouteille sacrénom..tu verras quand t’auras 110 ans..tu diras..j’étais encore jeune et plein dsanté

bouguereau dit: à

Quant à l’intelligence, elle sait rendre séduisant ce qui chez d’autres ne serait qu’irritant.

c’est souvent toutafé le contraire qui se produit lassouline..ça s’explique assez facilment en faisant l’effort surhumain dêtre bête

Clopine dit: à

Bouguereau, t’es gentil, mais là je me blinde contre le tombereau de merde qui va s’abattre sur moi. De l’irrespect dont je fais preuve par rapport à un défunt au militantisme outrancier dont je ferais preuve ( et qui mettrait en évidence mes frustrations), je m’attends à tout !

Jazzi le retour dit: à

La confusion des genres et des sentiments : ça commence par un poème de Proust et ça finit par une enculade généralisée !

« Je voudrais à jamais coucher, aimer ou vivre
Avec un tiède enfant, Jacques, Pierre ou Firmin.
Arrière le mépris timide des Prud’hommes !
Pigeons, neigez! Chantez, ormeaux ! blondissez, pommes !
Je veux jusqu’à mourir aspirer son parfum !
Sous l’or des soleils roux, sous la nacre des lunes
Je veux… m’évanouir et me croire défunt
Loin du funèbre glas des Vertus importunes ! » 
https://www.leparisien.fr/intime/la-jouissance-est-vraiment-decuplee-le-sexe-anal-dernier-tabou-des-hommes-heteros-19-06-2022-J3VAQMMAIVHJ3HZNVHCIRYJH7E.php

Jazzi dit: à

La confusion des genres et des sentiments : ça commence par un poème de Proust et ça finit par une enculade généralisée !

« Je voudrais à jamais coucher, aimer ou vivre
Avec un tiède enfant, Jacques, Pierre ou Firmin.
Arrière le mépris timide des Prud’hommes !
Pigeons, neigez! Chantez, ormeaux ! blondissez, pommes !
Je veux jusqu’à mourir aspirer son parfum !
Sous l’or des soleils roux, sous la nacre des lunes
Je veux… m’évanouir et me croire défunt
Loin du funèbre glas des Vertus importunes ! « 
https://www.leparisien.fr/intime/la-jouissance-est-vraiment-decuplee-le-sexe-anal-dernier-tabou-des-hommes-heteros-19-06-2022-J3VAQMMAIVHJ3HZNVHCIRYJH7E.php

Jean Langoncet dit: à

@Le Parisien dernier cri

Voir Lenore Kandel et Jack Kerouac ; on me souffle que renato a des photos

bouguereau dit: à

y veut tous les enculer le baroz..donc comme ça les actifs comme toi vont dvenir les derniers aliénés..c’est ça que tu veux dire à bonne clopine?

bouguereau dit: à

Bouguereau, t’es gentil

comme dab tu cherches une bonne âme pour te faire fesser..et certes je suis je suis un homme de bien..mais n’est ce point là flatrie qu’il dirait monmirail

Jean Langoncet dit: à

@c’est ça que tu veux dire à bonne clopine?

Nan. Juste que la bague anale est un paquet de nerfs hypersensible ; un peu comme toi qui a survécu à la canicule au fond de ta passoire thermique
Bonne soirée les sondés de la dernière heure

D. dit: à

Très balaise le Claudio.
L’un de mes pianistes préférés.

D. dit: à

Oh le macron a po eu da majorité absolue.
Comme je suis 😔.

D. dit: à

Le RN 3ème groupe à l’Assemblée !

D dit: à

Castaner battu. Dans son propre fief.

D. dit: à

« Echec sévère pour Emmanuel Macron ».
De la bouche-même des journalistes de France Télévision.

Vive la démocratie.

Vive la France !

D. dit: à

Alleluia !

D. dit: à

Autour de 90 députés RN à l’Assemblée !
A affiner.

D. dit: à

Vive la démocratie !

D. dit: à

Bon je vais manger. De la pizza aux rondelles de merguez.

Miam !

D. dit: à

J’ai envie de sortir nu en chantant et dansant dans la rue. Mais je me retiens.

Jean Langoncet dit: à

toi qui a > toi qui as

Jean Langoncet dit: à

Victoire du scrutin majoritaire sur le mirage de la proportionnelle : le gouvernement dispose d’une majorité qui lui permettra d’agir, sans pour autant en faire une assemblée de larbins au service d’un président doté de tous les pouvoirs

Jean Langoncet dit: à

… sans pour autant faire de l’assemblée nationale une assemblée de larbins …

rose dit: à

Glace au yaourt, trois boules.
Léo Walter l’a emporté haut la main contre Castaner.

Forcalquier en liesse.

rose dit: à

Voilà comment que j’ai fêté la victoire : glace au yaourt, trois boules.

bouguereau dit: à

on sen fout longoncet..t’as déjà ltshirt kaki sacrénom..reste spontané

bouguereau dit: à

toi rose..réfléchis plus..tu y gagneras et lassouline haussi

bouguereau dit: à

keupu..son neurone n’a pas sauté..boulette proufe..faut lnomer guénéral

bouguereau dit: à

hen plus ‘denfin seul’ rénateau va faire graver un lien opus..en chiffe romain atation..faut filtrer..et payant!..le déserbant bio c’est pas gratos

bouguereau dit: à

mais là je me blinde contre le tombereau de merde qui va s’abattre sur moi

tu fais trop ta diva..total personne veut tle fondre ce bronze pour ta statue bonne clopine..

Jazzi dit: à

« Forcalquier en liesse. »

Quelques vieux hippies soixante-huitards qui se croient révolutionnaires !

Bolibongo dit: à

Quelques vieux hippies soixante-huitards qui se croient révolutionnaires !

On a l’impression de remonter cinquante ans en arrière avec les stroskos, bourgeois de loisir! 😉

Jazzi dit: à

« contre le tombereau de merde qui va s’abattre sur moi »

L’éternelle complainte du masochiste qui tend les verges pour être battu…

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, Charoulet se déchaîne sous Conrad

Amanda Lire dit: à

trois boules.

C’est comme Fédor?!

rose vous avez lu les Onze mille v.rges d’ D’Apollinaire, vous! 🙂

Amanda Lire dit: à

petit d, pas celui du blog à Passou.

rose dit: à

Oui g lu, mais pas la fin.
G beaucoup lu, Amanda Lire, mais pas tout.

rose dit: à

Jazzi dit: à
« Forcalquier en liesse. »

Quelques vieux hippies soixante-huitards qui se croient révolutionnaires !

Oui ♥️🤩☀️💡😅🍟🍎👯👍🌝💪😉❤️

D. dit: à

C’edt un grand honneur de me placer devant Apollinaire mais je tiens à m’effacer et lui laisser la première place. Évidemment.

D. dit: à

A l’instant la défaite de l’ancienne ministre macroniste des sport est confirmée.

bouguereau dit: à

Quelques vieux hippies soixante-huitards qui se croient révolutionnaires !

en connaitre trop un rayon ça compromet baroz..et keupu c’est ses clients..il les méprise pour se blanchir du pognon qu’il leur prend.. »il est plus malin qu’eux » du coup on lui pardonne qu’il dit lassouline..et toi baroz?

bouguereau dit: à

et rosy est toujours à fleurs..mais c’est pas pareil

bouguereau dit: à

L’éternelle complainte du masochiste qui tend les verges pour être battu…

conchiée et battue c’est pas pareil..au baqueroume tu dois pas valoir un caramel qu’il dirait dirfilou

D. dit: à

A l’instant la défaite de la ministre macroniste Amélie de Montchalin est confirmée. Quelle débâcle. Vive la démocratie. Vive la France.

bouguereau dit: à

..t’as toujours été un bon chieur toi keupu

B dit: à

Pour résumer, on risque d’avoir une politique qui penche encore plus à droite pour besoin de majorité parlementaire. Effet kiss cool.

Jazzi dit: à

« une politique qui penche encore plus à droite »

Grâce aux irresponsables, tel JJJ, qui ont voté… Mélenchon et l’ont fait savoir !

Jazzi dit: à

En conséquence de quoi Marine Le Pen, avec plus de 80 députés à l’assemblée nationale, triomphe !

B dit: à

Personne ce soir dans les rues de Carnac, les gens sont devant leur TV.

MC dit: à

Au moins avez-vous attiré son attention, Clopine! Par. Vos homélies de Tricoteuse, mais c’est une autre histoire….

D. dit: à

Qu’est-ce que vous foutez dobc à Carnac, Bérénice ?!

D. dit: à

Qui se fingit, oui. Je l’ai déjà écrit ici.

bouguereau dit: à

meussieu courte..en couleur de bronze clandestin?

rose dit: à

B aligne.

bouguereau dit: à

..et toi keupu la seule idée d’être hutile te constipe

bouguereau dit: à

debitum naturae reddidit

pour lucrèce ‘la nature’ avait un sens qu’on a parfaitment perdu et je pense qu’un romain ne comprendrait pas davantage celui qu’on lui donne..c’est ce qu’on appelle une catastrophe

renato dit: à

À Saint-Colomban (Carnac) il y avait une belle petite auberge, mourir que je me souviens du nom…

B dit: à

Renato, je ne suis pas certaine de reconnaitre les lieux, bétonnés. Nous y allions à velo et là je ne reconnais plus rien en dehors de st Colomban.

Phil dit: à

une scène monumentale, magistrale, époustouflante dans Guerre (L-F Céline)

Miss Neuhoff sur ses talons aiguille a du nerf.
M. Drillon, as du coda venenum, à lire d’une main (un verre dans l’autre, hein !

rose dit: à

La Trinitaine 🫓, pas loin de la Belle-Îloise🤩🐟, et loin derrière les alignements.

Quand je pense que sans ce curé éclairé, les bretons auraient pris ces grosses pierres debout pour les mettre dans leur grange.

rose dit: à

Couchées.
Z’auraient tout mélange.
On n’aurait plus rien compris.

rose dit: à

mélangé, ces cailloux.
Qui ont une signification mais que personne ne sait laquelle.

Janssen J-J dit: à

vous auriez dû rester en vacances le cul à l’air, jzmn, plutôt que de venir jeter votre gourme dépitée sur la rdl… Cela dit, je comprends votre peine pour Manu. Mais ça vous passera !
70% d’abstentionnistes de la tranche 18-35 ans, ça vous interpelle pas un petit brin pour l’avenir de la pla-nette plutôt que la responsabilité de JJJ ?
Vous serez le premier à nous expliquer comment et pourquoi votre Manu va « composer » au jour le jour avec vos 90 charmant.es député.es du front national. Bon courage à votre Jeanne d’Arc !

closer dit: à

« On ne peut pas tromper tout le monde tout le temps »

A force de vouloir faire croire à la droite qu’il était de droite et à la gauche qu’il était de gauche, Macron a fini par s’asseoir le cul entre deux chaises…

B dit: à

Pourquoi pas des sépultures?

Janssen J-J dit: à

@ tel JJJ, qui ont voté… Mélenchon et l’ont fait savoir !
CE QUE J’AI FAIT SAVOIR à la RDL QUE J’AI INFLUENCE AU POINT D’AVOIR FOUTU LE PAYS DANS LA MARDRE, c’est ceci…
1° – à la présidentielle, voté pour liste de « Jadot » au 1er tour, et vote blanc au 2e
2° – aux législatives, pour la liste NUPES au 1er tour, et pour le candidat de la liste NUPES au 2e tour (par chance le FN n’était plus en lice dans ma commune)…
TRANSPIRANCE, la dame du sans-souci sans honte et sans haine… Et si nous passions à autre chose de moins anecdotique, jzmn, hein ?
Que pensez-vous du dernier livre posthume de Jacques Dryllon, par exemple ? Approuviez-vous son exacerbée misogynie ? Voilà ce qui nous intéresse le plus sur cette chaine… Mais pour l’instant, nous n’avons pas eu votre opinion éclaircie (en dehors de celle d’Amélie de Montchalgrin et de la défaillance de son immense compétence pour nous chasser plus efficacement les rats de Paris)… 🙂

B dit: à

3J, si vous étiez une femme pourriez vous déclarer que les hommes en général sont vos amis et que vous n’emettez aucun doute, jamais, quant à leurs compétences, leur délicatesse, leur intégrité, leur santé mentale, leur aptitude à nouer des relations désintéressées , respecteuses .

rose dit: à

Dimanche 19 juin 2022

Bonne fête à tous les papas.

rose dit: à

Pkoi pas des sépultures ?
Oui pkoi pas.
Moi je pencherai volontiers pour une piste d’atterrissage, à cause des alignements.
Style, « je rentre à la base. »

Janssen J-J dit: à

@ Closer / Macron a fini par s’asseoir le cul entre deux chaises /
… et en +, sans aucun filet puisqu’au dessus d’un panier percé… Tu m’étonnes que la droite classique en est toute conchiée & débouzolée !

Janssen J-J dit: à

@ B, je crois que la lecture de Pynchon à Carnac vous a déboussolée un brin la parallaxe… Je suis une femme, et vous êtes mon amie de longue date, vous le savez bien… Pour le reste, je n’ai pas bien compris votre interpellation…
Ce soir, je fatigue, les bulles du Ruinard étaient trop grosses pour mon petit estomac, je crois que je vais rendre. Oui, rendre… mon tablier.
Bonne nuit à vous !

D. dit: à

Ces pierres étaient implantées là tout simplement pour équilibrer le réseau géobiologique terrestre. Appelé de nos jours réseau Hartmann.

rose dit: à

5h39
Lundi 20 juin 2022
Temps nocturne frais et joyeux.
Bonne semaine

JC..... dit: à

LUNDI 20 JUIN 2022, 5h40, 24°, ciel dégagé

VAR FOLLIES

Mon dieu ! Mon dieu ! Mais comment est ce possible !

Dans ce département enchanteur, que doivent représenter 8 députés, j’apprends que 7 élus sont RN ? Misère de l’homme sans Jupiter…

Cornecul ! Mais le Rassemblement national, c’est l’extrême droite ? De petites gens !…

Quelle horreur ! Quelle horreur….alors que nous avions un nouveau mètre à penser, trotskyste, ou un ancien mètre pliant/plié Manu Paquerette, le gérontophile ?

Quelle horreur quelle horreur ! Vraiment, les varois sont des misérables, des incultes, des bolos de ferme…ça promet.

JC..... dit: à

Hier, à sonné le funèbre glas des vertus importunes !

Comme disait Coluche.

JC..... dit: à

Qu’est ce qu’on se marre en France… !

JC..... dit: à

Et dans le monde, admiratif !….

rose dit: à

Ed

Pas trouvé, sous le monceau de pubs, l’onglet commentaires. Dslée.
Trouve passionnants les angles de lecture différents.
Pas lu le livre sous le même angle que vous :

Le père n’est pas si abject que cela. D’ailleurs, il s’oppose violemment -c’est le seul dans le bouquin, à la relation entre M et V.

Les deux, jamais, ne forment un couple : lui est un prédateur sexuel consommateur de chair fraîche. À 48 ans, 30 ans de plus qu’elle, 13 ans, il était extrêmement séduisant.
Elle, sa grande erreur est :
D’avoir été amoureuse, follement.
D’avoir consenti, plein pot.
Elle demande, in fine, à la loi, d’établir des règles pour protéger les enfants d’eux-mêmes. Et de ceux qui rôdent, à l’affût des petites victimes, dans leur innocence perverties.

Tout le bouquin dit, sous l’angle de ma petite lecture « je me suis fait avoir ; je le regrette. Néanmoins, je n’en veux pas à ma mère (faible femme, pck elle s’oppose elle aussi, mais sans résultat.) ».

L’ère Metoo continuera haut et fort.
Le livre de Springora fera acte. C’est un des témoignages.

Cordialement, Ed

rose dit: à

Il y a encore des détails qui m’ont marquée : comment, un jour, elle accepte de se dessiner.
Pour ma part, j’ai note qu’elle a lu dans un de ses livres à lui comme il allait consommer des enfants, de jeunes garçons, en Asie du sud-est, les Philippines dans ce cas-ci.

Profondément révulsée par cela, j’attends le jour où le Tiers Monde s’éveillera, et se lèvera en masse.

Ce que ne dit pas Vanessa Springora, c’est que jamais, on ne revient en arrière.

rose dit: à

Elle accepté de se dessiller. Elle le décidé.
« Dessiller les yeux de qqn, à qqn = l’amener à voir ce qu’il ignorait ou voulait ignorer. On dit aussi : mes (tes, ses, etc.) yeux se dessillent. Dessiller signifiait à l’origine « découdre après dressage les paupières d’un oiseau de volerie ». »

renato dit: à

— Racines, troncs, rameaux, branches collatérales —
L’état de mes aïeux ; les frustes cathédrales ;
Voir le fier menhir, l’original cromlech,
Le dolmen sous lequel le terrain est toujours sec.
Raymond Russel, Damiette

rose dit: à

Pour les enfants
.. Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?
Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules
Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d’une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer.
Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : – Petits comme nous sommes,
Notre père, voyez ce que nous font les hommes !
Ô servitude infâme imposée à l’enfant !
Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant
Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, oeuvre insensée,
La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée,
Et qui ferait – c’est là son fruit le plus certain ! –
D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !
Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil !
Progrès dont on demande : Où va-t-il ? que veut-il ?
Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l’homme !
Que ce travail, haï des mères, soit maudit !
Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit,
Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème !
Ô Dieu ! qu’il soit maudit au nom du travail même,
Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l’homme heureux !

Victor Hugo
Mélancholia, Les Contemplations

JC..... dit: à

TOTOR EST FRANC. TOTOR EST GRAND

J’ai pleuré, rose. Pleuré à la lecture de ce splendide poème …Tous ces enfants qui n’ont pas eu la chance de Vanessa Springora.

Merci !

Bloom dit: à

« (…) tout cet ignoble monde importun, bruyant et puant: la haine de J.N.était, cet après-midi là, si universelle et titanesque qu’il aurait voulu mettre le monde à feu et à sang, à cause d’un accroc à son pantalon!… »

Citation qui me semble bien cadrer avec notre présent. Mais d’où vient-elle donc?

rose dit: à

Hé JC, ce que dit Vanessa Springora, nous n’avons pas lu le même livre, c’est qu’elle était consentante et qu’il aurait fallu ne pas.
Je pense que,elle l’a digéré.
S’ouvrent d’autres questions, comme la sexualité entre enfants.
Se pose aussi une autre question, c’est la propension de Ed de classer tout ce grand bordel soixante huitard et post sous l’étiquette gauche, avec une petite frange religieux.
C’est abolir tout le reste dont les amours ancillaires.

rose dit: à

P.S
Admettons que, chacun son kif et que, comme on fait son lit on s’y couche.
Je suis une femme, je suis un homme, je ne sais pas ce que/ qui je suis.
À chacun ses fantasmes etc.

Ciao,

JC..... dit: à

Retour de jogging et commentaire simple, ô belle rose !

Un enfant de 13 ans NE PEUX PAS être consentant. Il n’a pas le discernement de l’adulte à cet âge là. Il n’a pas de maturité.

Vanessa ? Il s’agit de viol, de soumission, imposés par le criminel sexuel, le prédateur bien connu, le délicieux Gaby.

Jamais jugé comme il le mérite, l’Archange Gabriel !…Bravo l’artiste !

bouguereau dit: à

TOTOR EST FRANC. TOTOR EST GRAND

..même hugo que rose va comme regarder jusque dedans sa tombe est comme déterré roué démembré damné

bouguereau dit: à

Un enfant de 13 ans NE PEUX PAS être consentant

et qu’on s’en fout même s’il consent jicé qu’il dirait la mélanche..c’est moi et l’assemblée qui vote les lois

bouguereau dit: à

Mais d’où vient-elle donc?

d’un pti prof qu’a perdu trop dcrédit dsa menace pédophile et qui n’sait pus comment moucher ces ptis morveux de merde kabloom

bouguereau dit: à

les frustes cathédrales

chten foutrais..c’est bien d’une grosse fégnasse dangliche au main manucurées

bouguereau dit: à

Hier, à sonné le funèbre glas des vertus importunes !

la vertue étant comme on le disait du temps de proust ‘une cloche sans battant’ cette phrase est aphone au gueuloir..sauf pour térezoune avec ses prothèses audio poussé a fond..hévidemment

JC..... dit: à

SCOOP

Des rumeurs mensongères font état d’un début de dépression chez notre Pol Pot chavo-trotskyste Hubert Mohamed Jésus de la Mélenche Vaine !

Il vient de s’installer sous le Pont Neuf, dans une tente-igloo DECATHCON de couleur rouge, sang des martyrs…

Jazzi dit: à

« mourir que je me souviens du nom… »

Jolie expression, renato.

Pas sûr de lire le livre posthume du cher disparu, JJJ.
En revanche, j’aurais bien aimé lire les échanges pro ou anti féministes entre Clopine et Jacques Drillon…
Mais j’apprécie le billet amical de Passou, qui n’a rien à voir avec un quelconque copinage !

Janssen J-J dit: à

ON SE CALME, c’est l’été de la musique qui arrive, allons nous baigner tous ensemble avec Emmanuel et Brigitte.
Voilà ce que le président réélu a concocté de longue date pour obtenir l’union sacrée mise à mal par un peuple ingrat autour de son auguste Splendeur.
Dès le mois de septembre prochain, trois phénomènes vont simultanément SE déclencher dans le monde et dans notre pays ;
1 – va survenir un attentat sanglant faisant 577 victimes à Paris le jour d’une inauguration, commis par des islamistes radicaux venus de l’Est, super entrainés par le groupe Wagner. Ce qui devrait nous ressouder au Front national.
2 – va survenir la 8e vague d’un variant allemand du Covid19 particulièrement virulent provoquant des ravages inédits dans les rangs de nos ehpad. Ce qui devrait atténuer drastiquement les coûts de leur prise en charge par notre sécurité sociale, diminuer le coût de la redistribution des retraites, désenfler celui de la dette fiscale future, et renvoyer aux oubliettes la réforme du départ à 65 ans… Le tout devant ressouder LREM à ceux qui auraient douté du savoir-faire présidentiel.
3 – le coup de chaleur lié aux émissions de gaz à effet de serre ayant détruit durant l’été 2022 le quart de la biodiversité mondiale (et la quasi totalité des récoltes russes) devrait induire le ralliement de la NUPES au président reverdi, désormais convaincue par la nécessité d’édifier avec son concours des éoliennes sur les nouvelles centrales nucléaires propres.

***Surtout, la jeune Greta T., récemment naturalisée, devrait faire son entrée triomphale en notre pays, lumière du monde, en tant que première ministre, remplaçant avantageusement au poste ce vieil ‘has been’ de Mélanchon qui s’y croyait déjà.

Bàv à tous.tes, ce 20.4.22_9.07*** 🙂

bouguereau dit: à

le combat enfin incertain..baroz et sa liste de parfait fauculisme fort écoeurant sort du bois et s’essaie à battre drion post mortème..

bouguereau dit: à

quoique..havec les listes à jiji de véroles et de tréponème la victoire de baroz n’est pas certaine

Bolibongo dit: à

super entrainés par le groupe Wagner. Ce qui devrait nous ressouder au Front national

Enfin 3J dévoile ses batteries de rouge-brun à l’eau de mets lisses!
A boire du Ruinard dans un grangeon.

Janssen J-J dit: à

*** (l’anneau-Mali)… du solstice du 20.6.22_0.24 serait plus crédib’, hein ! Allez, oups !

Patrice Charoulet dit: à

TROIS ERREURS

Les Parisiens sont tombés sur la tête. Sandrine Rousseau, Julien Bayou et Aymeric Caron sont élus députés. Battue d’un cheveu, on aurait pu ajouter à ce trio l’inénarrable Caroline Mecary.

Bloom dit: à

Mais d’où vient-elle donc?

d’un pti prof

Caramba, encore raté! C’t’un vigile parisien, le boug.

renato dit: à

Pardon, l’O de Roussel est resté dans le clavier, désolé ! et ce n’est pas « une grosse fégnasse dangliche au main manucurées », mais un Parisien aisé.
La cit. vient de Nouvelles Impressions d’Afrique, Damiette. La maison où saint Louis fut prisonnier.

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