Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes
Inutile de présenter Jacques Drillon aux lecteurs de la République des livres puisqu’ici même ces dernières années, il fut donné l’asile poétique à ses lumineux et ironiques Petits papiers. Le simple fait d’avoir à préciser « (1954-2021) » comme il convient après son nom serre le cœur. Mais il n’était pas parti sans laisser d’adresse. On peut ainsi le retrouver ces jours-ci dans Coda sous-titré « essai autobiographique » (347 pages, 23 euros, Gallimard), un livre enjoué, injuste, cruel, drôle, chaotique constitué de fragments qui semblent réglés par un moteur à explosions et qui fait suite à Cadence (Gallimard, 2018).
C’est peu dire qu’on l’y retrouve tel qu’en lui-même, et plus encore que dans les journaux car, seul maître à bord, il s’y sent encore plus libre. Si vrai dans ses bannissements et exclusives, si généreux dans ses goûts et découvertes. Mais quelle cruauté dans l’estocade ! Il fait penser à Mark Twain qui, lorsqu’il refusait de se rendre à certains enterrements auxquels on le conviait, écrivait pour dire qu’il était d’accord. Il est vrai que l’unanimité l’écoeure. Quand la foule qui manifestait pour soutenir CharlieHebdo s’est mise à applaudir les policiers, il s’est enfui. Son aversion absolue et ontologique pour la police quel que soit le régime se voulait fidèle à une certaine idée de l’anarchisme mais elle allait au-delà. Je me souviens d’un déjeuner au cours duquel la conversation glissa justement sur la police ; et là in fine, abdiquant toute rationalité relative à l’ordre public ou à la protection des personnes et des biens, il appelait de ses vœux son abolition pure et simple.
Son sourire abrite l’esprit d’un imprécateur espiègle. D’ailleurs il a fait ses débuts dans la critique avec du brutal et une méchanceté revendiquée dans le règlement de compte parfois haineux (ceux qui l’ont viré de France-Musique s’en souviennent encore). Avec le temps il s’est adouci même s’il reste quelque chose de cette violence dans le parti pris, son livre en témoigne. Cioran n’assurait-il pas que l’on écrit pour y avouer des choses que l’on n’oserait confier à personne ?
« Si je pouvais choisir, je me ferais bien enterrer dans de la langue française : j’y trouverais de quoi rafraichir mon enfer pendant assez longtemps »
Coda vaut notamment pour ses puissants portraits. Jean Daniel ? il n’était pas de meilleur directeur de journal (stimulant, créatif, disponible etc) quoique l’homme fut « vaniteux jusqu’au ridicule » sinon jusqu’au délire. Emmanuel Berl ? Il le place très haut en faisant grand cas de Sylvia ou Rachel et autres grâces et bien peu de ses talents gâchés et de son côté munichois discrètement rémunéré par le Quai d’Orsay pour ne rien dire des premiers discours de Vichy qu’il avait écrits pour Pétain. Les hommes de musique (on dit bien « homme de Lettres », non ?) Maurice Fleuret et Henri-Louis de La Grange en prennent pour leur grade. La plume trempée dans le vitriol, il exécute (sans le nommer) le critique musical suisse Antoine Livio et son humour vache est irrésistible de drôlerie. Marguerite Long, repeinte en horrible vieille sorcière autocratique et futile, est habillée pour tous les hivers de sa postérité. On retiendra de vibrants portraits de Beckett, Godard et Boulez, plus critiques dans l’admiration de Satie, dont la vie ne ressemblait pas à la biographie, ou de John Cage à qui il reproche d’avoir « sodomisé » le piano en lui bourrant le cul de ferraille (clous, vis etc)
Les pianistes qui le laissent indifférents (Brendel, Rubinstein, Michelangeli, Perrahia, Fischer, Pollini, Schnabel etc) ne sont pas massacrés pour autant. Mais l’indifférence affichée n’est-elle pas pire que tout ? Dinu Lipatti demeure son mètre étalon. Les autres étaient certainement plus virtuoses que lui, et certains nettement plus histrionesques mais lui était le seul à ses yeux véritablement accompli, notamment ici ou encore là). Jacques Drillon le dit avec ses mots à lui, les mots d’un écrivain pétri de musique plutôt que d’un critique musical :
« C’est la ductilité de la phrase, sa parfaite ponctuation, sa manière d’avancer sans trébucher, son autorité tranquille, jamais étouffante, jamais réductrice, qui est unique. La rondeur du son, sa plénitude, la parfaite distribution de l’ombre et de la lumière. Pas un truc, pas une tricherie, pas un faux semblant. De la musique, rien que de la musique »
Il est souvent question de haine de la bêtise, mais, je l’avoue, cette attitude assez répandue, m’est toujours parue suspecte dans ce qu’elle a de subjectif, d’arbitraire et de méprisant, et plus encore lorsque Drillon met ses pas dans la foulée de Philippe Muray. La rencontre a été déterminante pour lui. Il s’avoue inconditionnel de l’homme et de l’œuvre jusqu’à faire sien ses excès. Tant et si bien que l’on pourrait appliquer à Drillon ce que lui-même écrit de Muray :
« Quant à l’intelligence, elle sait rendre séduisant ce qui chez d’autres ne serait qu’irritant. Nous sommes prêts à tout admettre dans ce qu’écrit Muray, jusques et y compris ce qui violente nos plus intimes convictions, ce qui raille nos goûts, ce qui bafoue notre morale. Il pourrait violer notre alma mater, nous ne lui en tiendrons pas rigueur ; il en a le droit ; et d’ailleurs, au contraire du médiocre, qui salit ce qu’il attaque avant de porter son coup, il laisse ses victimes intactes : nous les retrouverons après son passage. Il ne laisse rien d’amer en vous. On n’est pas d’accord, et basta »
N’empêche : que de couleuvres son admiration pour cet écrivain lui a fait avaler à commencer par sa détestation de la musique, qu’il ne connaissait pas et à laquelle il était fermé, ce qui ne l’empêchait pas de la conchier. Homme de marottes et de tocades, il se reconnait une passion compulsive inscrite dans la longue durée de toute une vie de lecteur, pour l’établissement de listes, nomenclatures, dénombrements sans oublier les inventaires les plus absurdes et parfois même imaginaires, pour le pur plaisir, inutile, désintéressé et ô combien chronophage, de les dresser. Sa critique du critique est bien vue lorsqu’il le campe en jongleur de figures de style (hyperbole, oxymore, forgerie etc), habile au rapprochement de qualificatifs issus de registres différents (sur le modèle de Proust décrivant le bruit produit par le grelot de Combray « ferrugineux, intarissable et glacé »).
Jacques Drillon est de ceux qui écrivent pour être enfin seuls, parce qu’il n’est pas d’activité plus reliée à la solitude que l’écriture- à supposer que l’on ne soit pas découragé de s’y coller à son tour après Proust et Céline. Parfois, le récit de certaines anecdotes fait penser à des pages de Jean Tardieu. Surtout lorsqu’elles recèlent un exercice d’admiration ; ainsi son attachement sentimental et indéfectible à la collection de la Pléiade « ce qui est arrivé de mieux à l’humanité avec le quintette des adieux de Cosi fan tutte ».
Fumeur croyant et pratiquant, il était persuadé d’en mourir un jour sans en être troublé pour autant. « Fumer tue » prétend le paquet, et alors ? Finalement, il est mort d’une tumeur au cerveau. J’ignore quand il a achevé son livre mais celui-ci n’a rien de funèbre, de crépusculaire ou de testamentaire. Elégant jusqu’au bout, Drillon. Coda est un livre à offrir à ceux qui aiment la littérature, la langue française, la musique et ceux qui les servent. On l’entend murmurer derrière nous: ça ne fait plus beaucoup de monde, ça… Ce qui ne m’a pas empêché de le recommander pour la liste des lectures pour l’été de l’Académie Goncourt. Qu’il soit lu à la plage, c’et tout le mal qu’on lui souhaite. Le livre s’ouvre sur une épigraphe peu commune, le moins que l’on put attendre de cet homme si attachant et si peu commun : « Loin du funèbre glas des vertus importunes ». Et c’est signé « Marcel Proust, bachelier ès Lettres, 1889 ». Ne jamais négliger le choix de l’épigraphe chez un grand lecteur. Elle ne doit rien au hasard ou à l’épate car c’est un aveu à peine crypté. Tout en découle.
( « D’après-la-Ronde-de-nuit-», 1990, Collection-particulière ; « Autoportrait », vers 1958. Collection particulière, Roubaix ; « Petit nu profond, 1997 » Kolumba, Cologne. L’oeuvre d’Eugène Leroy est actuellement exposée au Musée d’art moderne de la ville de Paris jusqu’au 28 août)
1 240 Réponses pour Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes
“All of us deserve to tell our flawed, imperfect stories in our flawed, imperfect ways.”
https://hyperallergic.com/741776/beba-rebeca-huntt-documentary-review/
Anny Duperey. Anny avec un y, oui, oui.
« (jazzi, j’écris « bite » avec un seul t !) ! »
Et tu fais bien, Damien !
Demain, je vous parlerai d’Elvis…
Jeudi 23 juin 2022
Temps frais de la nuit, hier grosse pluie. C’est l’été, répété.
5h23.
« Une femme sur le retour ».
D’une élégance !
D’une élégance répétée…
C’est vrai que chez les hommes, on ne dit pas « un homme sur le retour ».
D’un coup, blam, l’homme devient une ruine. Ma mère » on dirait une épave ». Elle n’y va pas par quatre chemins ! Tout s’est écroulé : les poches sous les yeux, énormes, jusqu’aux bajoues, le cou du poulet flasque et mou, qui pendouille lamentablement, les pieds qui se mettent à traîner par terre, à racler le sol. Sûr que nulle envie d’inventorier les restes, ni le reste.
Mais la coquetterie peut perdurer, elle. L’imbécile. La beauté est derrière, définitivement remisée.
Puis, y a des gens, qui ne vieillissent pas. Pas coquets, pas pénibles. Leur peau devient transparente et fine. Leurs veines apparentes, toutes leurs peines. Il y a la modestie et la générosité qui toute une vie durant, la vieillesse arrivée, a pris le temps d’imprimer tous leurs traits. Le temps d’une vie.
Ces gens là, l’ont pas cherchée, mais leur a été donnée, l’éternelle jeunesse.
Celle du coeur qui rend la personne belle bien au delà de son apparence physique.
Compétition officielle
J’ai ri, mais j’ai ri, j’ai éclaté de rire*. Tout me ling du film.
Un peu gênée parce que j’étais ma seule dans ma salle.
Très vite, j’ai basculé dans le second degré : ces personnages caricaturaux jusqu’à l’os. Ce pitch délirant du milliardaire qui hésite entre un pont et un film et voit sa propre fille, j’ai calculé, elle a 17 ans il en a 80, il l’a eu passé 60 ans, vers 63, lorsqu’il a bâti son empire, et maintenant, il veut laisser une trace ; il mange sa glace à la pistache : trois boules.
Bah…y aurait pas du Almodovar dans ce film là ? (Sans la mère).
* Ai compris tout de suite me coup du cancer du pancréas (un mois, pas un an). Je savais m’arnaquer : alors in rit avant de savoir.
Un des plus beaux plans du film, à mes yeux, est Lola*, étalée au sol, cernée par le tuyau de l’aspirateur, qui se parle à elle-même : l’a tout raté => a exclu les hommes de sa vie, et est devenue un monstre.
Comment elle séduit les deux tour à tour (mais pas la langue, hein) pour mieux les entuber, mon enfant !
En fait, ce qui a été le plus jouissif pour moi fut la mise en abyme répétée n fois jusqu’au final, encore répétée ! Cette éternelle répétition. Celle de Ionesco ! Tellement drôle ! Et ridicule !
le long
et zut
la seule à rire de manière tonitruante (y’a eu deux vagues gloussements)
Il l’a eue : l’a pondue.
Nota bene : un ex. est un ex.. Mon plâtrier est bien d’accord.
Bon bref hein. Gros doigts gras sur petit clavier maigre.
Bisous
Mozart : https://youtu.be/oNrM37AYxfc
« Une femme sur le retour ».
Cette expression est assez cruelle, en effet. Je l’ai utilisée pour caricaturer la lectrice du Café de Flore, ironiquement. C’était une femme, lisant le roman « Sous le volcan », dans une belle édition brochée, la nouvelle traduction qui venait de sortir. La rombière se mettait en valeur, assez vieille, mais un corps élancé, malgré les bourrelets de chair qui semblaient lui dégouliner de partout, les seins qui pendaient. Non, elle n’allaitait pas, le nichon à l’air. Elle lisait, et se donnait en spectacle, mettant bien évidence le titre du livre, pour que le badaud, Mme Michu, puisse l’admirer. C’est en effet mieux d’être là qu’à Fleury-Mérogis ! Comme je le disais, c’était peut-être Alexia Neuhoff. Je crois que notre chère Sasseur est trop jeune, mais je la verrais bien au Flore, refaisant le monde avec ses étudiants jusqu’à pas d’heure. Vous êtes plutôt whisky ou Sauvignon, Sasseur ? Moi, je suis un buveur de thé. Mais quand j’ai parlé longtemps, je suis épuisé, et je prends une bière. Au Flore, elle est excellente. C’est la meilleure de Paris !
Les expressions cruelles sont réservées aux femmes, parce que les hommes possèdent cette vertu de ne pas se voir, et de ne pas avoir de miroir.
Leur laideur nous est soumise, parfois, rarement à notre regard compatissant.
Les hommes sur le retour c’est plus aucune perspective de voyage.
« les hommes sur le retour »,rose, c’est le temps de l’odyssée;
le temps du voyage , c’est avec 6 clopes, et 6 gares
je vous propose de demander au Pr 6 clones!
ce sera presque hexagonal!
ce matin, je suis intrigué par cette histoire de sage-femme accusée du viols sur des patientes en gésine. Me demande comment les féministes radicales prêtes en général à vouloir guillotiner les violeurs, vont évacuer cette possible dissonance cognitive à l’égard d’une violeuse : par le déni de réalité ? l’invocation d’une infox ? la présomption d’innocence ? la faute professionnelle ? l’instrumentalisation politique des victimes ? un complot contre la macronie ?… IL FAUT EN DISCUTER COLLECTIVEMENT à la rdl, je pense, dans le droit fil du billet consacré à Drillon.
https://www.sudouest.fr/justice/deux-plaintes-pour-viol-contre-la-secretaire-d-etat-chrysoula-zacharopoulou-une-enquete-ouverte-11385352.php?
l’accusation de viol d’ Alexandre JOLIEN maintenant me semble tres étrange aussi
excuses (doublement)
Jollien (2l)
la plainte à son encontre est « agression et exhibition » ,résumée par la presse par « harcèlement »
@ au badaud Mme Michu… (genre Damienne /// Non, elle n’allaitait pas, le nichon à l’air ///).
… qui, sous l’apparence de la maîtrise du verbe léché, dérape toujours un max dans la vulgarité, prouvant de la sorte la nature des exhalaisons de son tropisme habituel.
Jazzi
Vous aviez menti enb diusant ici que mon compte Facebook était bidon. J’ai répondu à votre mensonge en mettant ici le lien qui permet de voir que ce compte n’est nulleemnt bidon.
Comme votre mensonge est maintenant avéré, vous changez de sujet et parlez maintenant de mon blog, qui est non pas bidon, mais, je n’en disconviens pas, quasi désert. Notamment si on le compare avec la RDL qui a parfois mille commnentaires, et où chacun peut faire assaut de digressions.
Pour Gérard de Nerval l’été c’est avant tout la saison des papillons.
LES PAPILLONS
De toutes les belles choses
Qui nous manquent en hiver,
Qu’aimez-vous mieux ? – Moi, les roses ;
– Moi, l’aspect d’un beau pré vert ;
– Moi, la moisson blondissante,
Chevelure des sillons ;
– Moi, le rossignol qui chante ;
– Et moi, les beaux papillons !
Le papillon, fleur sans tige,
Qui voltige,
Que l’on cueille en un réseau ;
Dans la nature infinie,
Harmonie
Entre la plante et l’oiseau !…
Quand revient l’été superbe,
Je m’en vais au bois tout seul :
Je m’étends dans la grande herbe,
Perdu dans ce vert linceul.
Sur ma tête renversée,
Là, chacun d’eux à son tour,
Passe comme une pensée
De poésie ou d’amour !
Voici le papillon “faune”,
Noir et jaune ;
Voici le “mars” azuré,
Agitant des étincelles
Sur ses ailes
D’un velours riche et moiré.
Voici le “vulcain” rapide,
Qui vole comme un oiseau :
Son aile noire et splendide
Porte un grand ruban ponceau.
Dieux ! le “soufré”, dans l’espace,
Comme un éclair a relui…
Mais le joyeux “nacré” passe,
Et je ne vois plus que lui !
(…)
« faire assaut de digressions »…, c’est le propre des blogs qui ne censurent que très peu les commentaires déplaisants, et jamais les « hors-sujet » du jour
«… viols sur des patientes… »
Deux indications :
1. « L’accord oral de la femme est recueilli avant tout examen clinique ».
2. « Si la femme désire ne pas être examinée, elle est invitée à en faire part en début de consultation ».
Il faudrait donc voir si la gynécologue a tenu en compte ces deux points. Cela dit, il me semble évident que si une cliente se trouve sur un fauteuil de gynécologie sait à quoi s’attendre. En tout cas je parlerais plutôt d’agression que de viol — bien que, je l’admets, on peut faire de la sémantique là-dessus…
Il est vrai que certains médecins souffrent d’arrogance : « Le médecin c’est moi ! ». Cela m’est arrivé une fois avec une ophtalmologue : « Le client c’est moi », ai répondu et changé d’ophtalmologue.
parceque, je l’affirme, « la cité des femmes »
« La Cité des femmes (La città delle donne) est un film franco-italien réalisé par Federico Fellini en 1979, sorti en 1980. »
et la « cigale qui chante l’été »
La Cigale et la Fourmi est la première fable du Livre I des Fables de La Fontaine située dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en mars 1668. Les vers sont en heptasyllabes. Il s’agit d’une réadaptation d’une fable,
ont été prélevées dans
le jeu des si
Le jeu des si
Isabelle Carré
Il y a ceux qu’on vient toujours chercher dans les gares, les aéroports, et puis ceux qui plongent seuls dans les souterrains du RER ou partent en trainant leurs valises à la recherche d’un bus, d’une voiture… A l’aéroport où son fiancé était censé l’accueillir, Elisabeth ne voit personne. Désemparée, elle hésite, puis avise le dernier taxi en vue. Le chauffeur tient une pancarte au nom de la cliente qui décidément n’arrive pas : Emma Auster. »
https://www.grasset.fr/livres/le-jeu-des-si-9782246830337
inutile donc de mettre un B MOL NI UN Bcarre!
j’en suis sure!
Il s’agit d’une gynécologue et non d’une sage femme, JJJ. Votre perplexité laisse entendre que vous trouver anormal qu’il existe des femmes qui usent de leur pouvoir médical pour commettre des viols. C’est une attitude machiste et archéo patriarcale de votre part! Les femmes ont le droit de commettre les mêmes crimes que les hommes!
Je vous suggère un petit stage chez Sandrine Rousseau ou Caroline de Haas…
« Le client c’est moi »
ça a du être les derniers mots de drihihon..la dernières trouvaille des cons c’est dse dire libéraux
Les femmes ont le droit de commettre les mêmes crimes que les hommes!
pour la parfaite démonstration manque pus quune nous libére de ta sottise d’un coup de hache sur ta tronche cloclo
JEAN DE LA FONTAINE
LA CIGALE ET LA FOURMI
La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle.
« Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l’août, foi d’animal,
Intérêt et principal. »
La Fourmi n’est pas prêteuse :
C’est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
– Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
– Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
Eh bien! Dansez maintenant.
_____________________
RAYMON QUENEAU
LA FOURMI ET LA CIGALE
Une fourmi fait l’ascension
d’une herbe flexible
elle ne se rend pas compte
de la difficulté de son entreprise
elle s’obstine la pauvrette
dans son dessein délirant
pour elle c’est un Everest
pour elle c’est un Mont Blanc
ce qui devait arriver arrive
elle choit patatratement
une cigale la reçoit
dans ses bras bien gentiment
eh dit-elle point n’est la saison
des sports alpinistes
(vous ne vous êtes pas fait mal j’espère)
et maintenant dansons dansons
une bourrée ou la matchiche
Moralité : la cigale n’est pas rancunière !
@ rose et Janssen J-J :
Rimbaud, Les pauvres à l’église
(extrait)
Aux femmes, c’est bien bon de faire des bans lisses,
Après les six jours noirs où Dieu les fait souffrir !
Elles bercent, tordus dans d’étranges pelisses,
Des espèces d’enfants qui pleurent à mourir.
Leurs seins crasseux dehors, ces mangeuses de soupe,
Une prière aux yeux et ne priant jamais,
Regardent parader mauvaisement en groupe
Des gamines avec leurs chapeaux déformés.
Etc., etc.
J’adore ce très beau poème, je me le récite presque chaque jour, quand je suis dans les transports en commun ou que j’attends chez le médecin. Je l’ai lu à un copain l’autre jour, pour savoir si cela lui rappelait son enfance catholique à la campagne. Il m’a dit que oui.
Il vous en faut peu pour vous scandaliser, rose et Janssen J-J. Aimez-vous Rimbaud et ses « seins crasseux dehors » ?
Les députés LR
Les deux députés LR actuels les plus connus avaient participé à la primaire de la droite : Eric Ciotti et Philippe Jupin. D’autres sont connus de beaucoup d’observateurs politiques : Olivier Marleix
(nouveau président du groupe LR au Palais-Bourbon), Annie Genevard, numéro trois du parti, Aurélien Pradié, Philippe Gosselin, Marc Le Fur.
Mais sont aussi députés LR : Nicolas Ray, Fabrice Brun, Vincent Descoeur, Jean-Yves Bory, Dino
Cinieri, Emmanuelle Anthoine, Yannick Neuder, Isabelle Valentin, Jean -Pierre Vigier, Alexandre
Vincendet, Nathalie Serre, Alexandre Portier, Emilie Bonnivard, Vincent Rolland, Virigine Duby-
Muller, Christelle Petex-Levet, Hubert Brigand, Marie-Christine Dalloz, Justine Gruet, Josiane
Corneloup, Ian Boucard, Jean-Luc Bourgeaux, Nicolas Forissier, Valérie Bazin-Malgras, Thibault
Bazin, Fabien Di Filippo, Vincent Seitlinger, Raphaël Schellenberger, Jean-Jacques Gaultier, Julien
Dive, Victor Habert-Dassault, Pierre Vatin, Maxime Minot, Pierre-Henri Dumont, Emmanuel
Maquet, Jean-Louis Thiériot, Isabelle Perigault, Michel Herbillon, Anne-Laure Blin, Christelle
d’Intorni, Eric Pauget, Alexandra Martin, Michèle Tabarot.
Dans tous les débats TV ou radio qui ont suivi les législatives on n’entend parler que de Mme Le Pen, MM. Mélenchon et Macron. Or, il me semble que ces députés LR ne doivent pas être négligés : ils vont avoir, à mon humble avis, un poids décisif.
Rimbaud aussi avait le goût de l’été, Damien !
« Par les soirs bleus d’été j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue. »
___________________
BONNE PENSÉE DU MATIN
A quatre heures du matin, l’été,
Le sommeil d’amour dure encore,
Sous les bosquets l’aube évapore
L’odeur du soir fêté.
Mais là-bas dans l’immense chantier
Vers le soleil des Hespérides,
En bras de chemise, les charpentiers
Déjà s’agitent.
Dans leur désert de mousse, tranquilles,
Ils préparent les lambris précieux
Où la richesse de la ville
Rira sous de faux cieux.
Ah ! pour ces Ouvriers charmants
Sujets d’un roi de Babylone,
Vénus ! laisse un peu les Amants,
Dont l’âme est en couronne.
Ô Reine des Bergers !
Porte aux travailleurs l’eau-de-vie,
Pour que leurs forces soient en paix
En attendant le bain dans la mer, à midi.
________________
AUBE
J’ai embrassé l’aube d’été.
Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnu la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq. A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.
En haut de la route, près d’un bois de laurier, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
Voilà à quoi ressemblerait le plus bel homme du monde aujourd’hui.
D’accord ou pas d’accord ?
https://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18711024.html
Cher Damianus, bonjour,
« Si jamais d’aventure, je recherche l’aventure
Café Paris, Le Flore, où tu me dis « je t’adore »
Après minuit, Paris c’est fun, attablé, détaché
Regards lourds de sens et connivence pour qui cherche une main
Je n’attends vraiment rien, je viens pour y lire des bouquins
Artaud, Miller puis faut qu’j’aille
Trainer sans raison. »
J’aurais effectivement pu vous apercevoir, l’année dernière a Marienbad, au café de Flore, où » y’avait déjà des folles ».
J’y ai mis les pieds deux fois.
La première fois ce fût en janvier je crois, un temps froid et gris où nous voulions voir la plus vieille église de Paris, juste en face.
Je vous aurais immédiatement reconnu, en warrior à catogan genre Steven Seagal, bien calé dans la banquette, tenant ostensiblement un exemplaire des Pensées de Marc Aurèle sous les yeux de Momone de Bavoir, pochée sur le mur.
En revanche je vous aurais superbement ignoré la deuxième fois où je m’y rendis, sans rien devoir au hasard. Un déjeuner qui avait un but pédagogique.
Vous allez comprendre.
L’invité de marque était un futur manager formé aux meilleures écoles de commerce peu équitable, et littéralement : des tueurs. Mais il nous avait semblé amusant à sa grand-mère et moi-même de le traîner dans ce temple de la gauchitude branchouille en chasse, où l’obsequiosite du personnel n’a d’égale que la morgue débraillée et boursouflée des habitués.
Je suis heureuse, Damianus, de savoir que vous n’y étiez pas à ce moment là.
Bien bonne journée à vous, cher Steven.
Je l’ai lu à un copain l’autre jour, pour savoir si cela lui rappelait son enfance catholique à la campagne
ce grand libéral de stéfane pladza tortillant du cul pour se faire mettre par baroz..
n’oublie pas ton serment d’hypocrate grand praticien de baroz..c’est qu’il pairait bien ce client
Cher Damianus, je ne suis jamais allée au café de Flore, me suis trompée d’estaminet.
stefen Damianus coté jardin..térezoune y gambgandant en vieille faunesse dans la flore..meussiue courte va rapliquer enroulé dans un vieux rideau..baroz toujours client
Pour Damien qui souhaite en savoir plus sur ce dictionnaire des sentences latines :
Si tacuisses, philosophus mansisses
Pour Damien qui souhaite en savoir plus sur ce dictionnaire des sentences latines :
Si tacuisses, philosophus mansisses
Je crois bien que c’est la plus vieille eglise de Paris
https://www.unjourdeplusaparis.com/paris-culture/eglise-saint-germain-des-pres
@ il est drôle ce closer avec sa sentence selon quoi tout le monde (homme et femme) a le DROIT de commettre les mêmes crimes…, et d’en déduire que si t’es pas d’accord, t’es qu’un horrib’ machiste patriarcal. Et c’est CA… qui nous enseigne le droit, la philo et la socio dans le monde périscolaire… Eh bé, y’a encore du boulot chez les détachés de l’EN-Blanquer à Paris II, tout n’est point perdu pour les « islamo-gauchistes ».
@ /// Il vous en faut peu pour vous scandaliser/// Anéfé, la connerie des trissotins-parisins déflorés m’a toujours scandalisé, je sais pas pourquoi…, une histoire propre aux pladzouilles en catogouilles, sans doute.
Je rigole JJJ…
« El buen patron », Javier Bardem génial, mais film un peu lourd et caricatural. On ne s’ennuie pas, c’est déjà ça.
Je rigole JJJ…
« El buen patron »; Javier Bardem génial, mais le film est un peu lourd et caricatural…on ne s’ennuie pas, déjà ça.
Hier, le léZard est allé se déhancher en cadence sur des airs de rock n roll, loin du funèbre glas des vertus importunes : le King est toujours en vie !
Certains disent que la plus ancienne église de Paris serait Saint-Pierre de Montmartre, miss Sasseur !
https://www.pariszigzag.fr/secret/histoire-insolite-paris/la-plus-vieille-eglise-de-paris-saint-pierre-de-montmartre
@ Je rigole JJJ…
dans ce cas, mettez une émoticône en clin d’œil par ex. 😉 , car je suis pas du genre à vous croire a priori, depuis le temps qu’on s’intervenante à fleurets mouch’tés… hein !?
-< c à macron d'espliquer comment il va s'ouvrir à nous autres, les christian Jacob", faudrait quand même pas inverser les (d)rôles ! bàv,
SANDRINE ROUSSEAU , AYMERIC CARON ET JULIEN BAYOU (SUITE)
Avant de pouvoir lire les résultats complets , région par région, des législatives dans « Le Monde » de mardi, j’avais notamment appris que des Parisiens avaient, incroyablement, élu députés Sandrine Rousseau, Aymeric Caron et Julien Bayou. Je n’avais pas alors félicité ces électeurs aveugles.
J’y reviens. Tout le monde sait que Sandrine Rousseau n’est pas une écologiste, mais une extrémiste
hystérique et frappadingue. J’apprends à l’instant, ce jeudi, qu’elle est candidate pour devenir vice-présidente de l’Assemblée nationale. Elle a vraiment toute honte bue !
Tout le monde sait qu’Aymeric Caron, ancien de chez Ruqier à la télé, est un cinglé qui veut interdire la pêche, la chasse, de manger de la viande, qui demande la fin des frontières et la semaine de 28 heures. Voilà un beau député parisien !
Julien Bayou choque moins les gens pas très informés. On sait seulement, la plupart du temps , que c’est un dirigeant d’EELV . Moi, je n’ai pas oublié qu’il y a une dizaine d’années il organisait des commandos qui brisaient des serrures et fracturaient des portes de logements provisoirement sans locataires, pour y installer des squatters. Or un squatter est un voleur de logement. Voilà encore un joli député parisien !
Trio calamiteux.
sauf que ce sont les extrémistes dans leur jeunesse qui, en vieillissant, deviennent les meilleurs garants de nos institutions en faisant bouger les lignes de pêche à l’intérieur… De quelle ombre avez vous peur, Daniel ?… De la vôtre ou de celle des bandits connes ? – Laissez-vous aller un brin, patrice, au lieu de taquiner le sermon (goujon saumon), vous n’en avez plus pour très longtemps à la rejoindre, de toutes. Roule ton char, ma poule ! Bàv 😉
Déchainons les dix femmes à Sion, Patrice…
une extrémiste hystérique et frappadingue (sic)
un cinglé qui veut interdire (sic)
un voleur de logement (sic)
… nous voilà frais avec ces trois malfrats face aux 89 autres !… Vont sans doute faire le poids à la Chambre (à coucher), hein, jmb !…
Saint Germain a vu passer deux cataclysmes, Haussmann et lés Flandrin. On admirait naguère dans le Metro, c’était au temps oas si lointain ou les illustrations avaient un but éducatif, à la station éponyme ,une photo de St Germain à sa grande époque, avec ses cinq clochers, avant le percement du boulevard et la disparition des remparts. Cet heureux temps n’est plus…. Bien à vous. MC
les plus anciens lieux cultuels chrétiens de Paris, début du IVe siècle, ont disparu. Ils étaient situés sur la Rive Gauche…
QUI PEUT M’EXPLIQUER POURQUOI TANT DE BRUNES SE TEIGNENT EN BLONDES ?
« Dans toutes mes actions, je suis resté un conquérant de l’inutile. »
Reinhold Messner
https://www.expeditions-unlimited.com/medialibrary/cms/2570/cache/couv_665x535.png
R.M. au Nanga Parbat
Parce que les hommes préfèrent les blondes, Char à roulettes !
Monsieur Charoulet, à force, à force , on comprend que les brunes se teignent en blondes, simplement pour vous casser les pieds. Et on les comprend.
Trio calamiteux.
Martha Jane Cannary, dite Calamity Jane1 [kəˈlæmɪti d͡ʒeɪn]2, est une personnalité de la conquête de l’Ouest, née le 1er mai 18523 près de Princeton dans le Missouri et morte le 1er août 1903 à Deadwood dans le Dakota du Sud.
mais j’avais pensé à CRUELLA
https://www.disneyplus.com/fr-fr
Ce môssieur qui s’érige en arbitre du bon goût, des bienséances et de la rectitude politique ignore visiblement qu’un texte en majuscules équivaut à une éructation agressive.
Que je sache, aucun/e des intervenautes ici n’éprouve le besoin de se faire plus gros/se que le boeuf.
Descendez d’un ton, le mirliton!
LMD la mode teinture pour cheveux de femmes en ce moment est un rouge de cuivre à chaud ; je crois que le blond est pour les cigarettes et les hommes encore un peu
mais pour les SL? JE NE SAIS PAS
— Comme on demandait à Lagerfeld ce qu’était le style Chanel, il répliqua : « Si tu pisses partout, t’es pas Chanel du tout ! »
Quand on y réfléchit un peu, ce n’est pas si faux que cela. De la modération avant toute chose, telle a toujours été la sagesse. J’avais emprunté un roman, l’autre jour à la bibliothèque, « La Grande idée » d’Anton Beraber, un jeune romancier qui habite au Caire, mais qui est français. J’ai tenté plusieurs fois de commencer son livre, je n’y suis pas arrivé. On est quand même à plus de 550 pages illisibles ! La critique, lors de la parution, en 2018, avait crié au génie. Ils ont lu le bouquin en entier ? — Quant à Drillon, c’est l’inverse. Il s’exprime par aphorismes, comme s’il était déjà à bout de souffle. N’est pas La Bruyère qui veut, ni même La Fontaine, dont je relisais la fable « Le savetier et le financier ». Ce qui est très fort, c’est que La Fontaine a tout de suite compris comment parler de l’insomnie du financier, et ensuite de celle du savetier, quand il a le malheur d’accepter l’argent du financier. Qu’advient-il ? Le savetier retourne chez le financier et lui rend fric :
« Le sommeil quitta son logis,
Il eut pour hôtes les soucis,
Les soupçons, les alarmes vaines.
Tout le jour il avait l’oeil au guet ; Et la nuit,
Si qulque chat faisait du bruit,
La chat prenait l’argent : A la fin le pauvre homme
S’en courut chez celui qu’il ne réveillait plus !
Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,
Et reprenez vos cent écus.
La morale de cette fable est à mettre en relation avec « Le loup et le chien » au Livre 1. Pour être heureux, vivons indépendant, et sans forune à gérer (la sienne ou celle des autres). Imaginez l’angoisse de Carlos Ghosn, recherché par toutes les polices !
Revue avec joie hier soir la patronne d’Art Press avec qui j’avions fort bien bossé autrefois lors de son passage par le Sydney Writers’Festival.
Les années passent, mais avec les personnes de qualité, on va toujours droit à l’essentiel. Et comme le temps nous est encore davantage compté qu’avant, on se délecte d’un miel nourrisant et roboratif.
J4APPRENDS qu’il y aurait une expression commune, « banale » : »écrit sur le mur » »lire l’écriture sur le mur », vous devez l’écrire sur le mur »:je ne l’ai jamais entendue ! ni lu sur le mur de la RDL;
il parait qu’elle se réfère au livre de Daniel, (là je vois bien ,à cause de Rembrandt!
https://www.myjewishlearning.com/wp-content/uploads/2022/06/1279px-Belshazzars_Feast-787×630.jpeg
mais je n’avais pas pensé que ce fût devenu trivial , peut-être pas en Français ?
J4AVAIS CONNU? IL Y A LONGTEMPS UN PROF DE PHILO, que j’ai raccompagné chez lui, après souper : tous ses mirs étaient couverts de ses dits sur des bandes de papier; c’était affreux, effrayant,
tous ses murs
il y a bien la bibliothèque de Montaigne:
https://www.pourmontaigne.fr/wp-content/uploads/2016/10/DSC00481-1024×768.jpg
Quand un communiste parle de « Une grande famille dans une communauté de destin pour l’humanité », on peut facilement comprendre ses intentions.
renato «Une grande famille dans une communauté de destin pour l’humanité» c’est une formule-prétexte chinoise, d’aujourd’hui; ce n’est pas communiste. Ni Staline ni Brejnev, ni Castro, encore moins Togliatti n’auraient pu dire cela. Encore moins Marx . Votre anti-communisme vous fais dérailler .
et alii, ‘The writing is on the wall’ signifie selon le contexte ou la situation,’la fin/catastrophe, etc. est imminente’.
C’est cette idée d’imminence, voire de ‘menace’, qui consitue la valeur centrale de l’expression biblique.
Kaliningrad?
Quoi, lmd, la Chine a changé de régime ?
Schumann : https://youtu.be/L16yD3HbBZI
« Les juges de la Cour Suprême ont décidé à la majorité que tout citoyen américain pouvait sortir de chez soi avec un pistolet ou un fusil sans donner de raisons, rendant ainsi inconstitutionnelle la loi de l’État de New York qui imposait de sévères restrictions à l’octroi de licences » !
@« Les juges de la Cour Suprême ont décidé à la majorité que tout citoyen américain pouvait sortir de chez soi avec un pistolet ou un fusil sans donner de raisons, rendant ainsi inconstitutionnelle la loi de l’État de New York qui imposait de sévères restrictions à l’octroi de licences » !
Tant mieux ; l’Amérique est toujours le pays des libertés
l’Amérique est toujours le pays des libertés
–
Surtout de la liberté de tuer son prochain, en particulier s’il est noir, juif ou gay.
Bonne soirée bande de nazes
16:31 18th November 2015
news
More about: Bob Dylan
Bob Dylan has requested armed guards on his tour during two performances tonight and tomorrow at the auditorium Manzoni Bologna in Italy – in the wake of the weekend’s terrorist attacks in Paris.
Keep on trucking…
« UN PROF DE PHILO, que j’ai raccompagné chez lui, après souper »
Vous êtes passée à la casserole, et alii ?
Avec ou sans consentement ?
« Que je sache, aucun/e des intervenautes ici n’éprouve le besoin de se faire plus gros/se que le boeuf. »
Tu ne lis jamais les commentaires… les copiés/collés veux-je dire, de et alii, Bloom ?
William Hogarth, Les Enfants Graham, détail, 1742
https://pbs.twimg.com/media/FV8okH8XkAIp3Ha?format=jpg&name=large
Il y en a toujours une plus grosse que l’autre, renato !
@Bonne soirée bande de nazes
conté avec l’accent traînant du sud pour la petite histoire (pro-choice : renato le milicien bien sous tous rapports nous dira peut être quels sont les foyers suisses dépourvus d’armes à feu ; d’armes à feu de guerre, pas de simples armes de défense)
https://www.youtube.com/watch?v=t0WM1R3Q5UQ
mieux vaut un bon lien que des doléances de provinciaux
Casseroles & faussets
https://www.youtube.com/watch?v=4Znf5jWzUXo
renato, je suis un grand amateur de hogarth, tableaux comme gravures. Entre autres, ‘Gin Lane’ & ‘Beer Lane’ sont des marqueurs puissants de la civilisation britannique.
Hogarth & The Line of Beauty…ah! (présente sur son front & sur sa palette dans son célèbre autoportrait accompagné de son fdièle Pug
https://en.wikipedia.org/wiki/William_Hogarth#/media/File:The_Painter_and_His_Pug_by_William_Hogarth.jpg
Version corrigé, sorry!
Hogarth & The Line of Beauty…ah! (présente sur son front & sur sa palette dans son célèbre autoportrait où il est accompagné de son fidèle Pug
https://en.wikipedia.org/wiki/William_Hogarth#/media/File:The_Painter_and_His_Pug_by_William_Hogarth.jpg
«… les foyers suisses dépourvus d’armes à feu… »
La garde à domicile d’une arme continue d’être justifiée, mais désormais beaucoup laissent les armes dans des locaux sécurisés de l’armée. Cela dit, bien à part le fait qu’il y a infiniment moins de cons, il y a très peu d’incidents, car nous respectons l’arme, donc il n’y a pas de problèmes.
Jeunes filles en route pour le Tir fédéral
Bloom, Les Enfants Graham :
https://i.pinimg.com/564x/03/18/b9/0318b93402ae0f41a4c37067f938e68e.jpg
effectivement, Bloom, je n’ai pas copié l’interprétation proposée par l’article (ni donné le lien! » Il semble y avoir un accord universel sur le fait que lire l’écriture sur le mur signifie se préparer, sobrement et stoïquement, au pire. »)surement facile à retrouver ne dit-on pas « simplicité biblique » en français? QUEL FRANCAIS?
BONSOIR.(je suis trop fatiguée pour suivre)
Les léZards ne vieillissent pas !
https://www.leparisien.fr/sciences/certains-reptiles-et-amphibiens-ne-vieillissent-pas-et-on-sait-desormais-pourquoi-23-06-2022-UKDZQGTQDNCU5E2WWYUIJZHGMQ.php
On peut avoir une petite photo du jour pour en juger, Jazzi ?
Patrice Charoulet, est-ce par l’observation scientifique que vous constatez qu’il y a tant de fausses blondes ou bien par le on-dit ?
Renato, en effet cet enregistrement des Kreisleriana par Horowitz me semble être un enregistrement fétiche. Et pourtant, il y la « patte » Horowitz, (par exemple dans la première reprise du thème initial), qui n’est pas Schumann. On entend aussi que l’époque a changé. Pour une fois (sans doute de trop), je commente parce que hier, j’ai repensé à cette video de H. lors du retour à Moscou, avec « Träumerei » en bis, et une grosse larme d’un auditeur russe (video exploitée par Steinway pour son système de piano automatique pour riches chinois). Hier, pour le même morceau, Volodos à la fondation LV. Complètement différent. La vraie rêverie, qui n’est pas sentimentale, surtout chez Schumann. Vous connaissez sans doute son toucher incomparable.
V. joue sur Steinway parce que, comme la plupart des pianistes, il y est contraint. Mais quelqu’un qui semble si connaître m’a dit que chez lui, c’est une autre marque.
Près de 80 000 nouveaux cas de Covid supplémentaires en France en 24h…
Il faut porter le masque, on ne peut plus l’ignorer. Transports, commerces, lieux de réunion clos, dont salles de spectacle, échanges verbaux de proximité en dehors du cercle familial. Interdire de nouveaux les consommations debout (bar) et les dancings.
Sinon ça va être terrible. Je vous le dis.
L’été sera chaud l’été sera chaud dans les tee-shirts dans les maillots.🚑☣😷📈
Bon ju quutte ce blog défunitivement.
Bösendorfer c’est bien. Moi je ne jure que par Bösendorfer. Après, un piano, ça va avec une salle, une acoustique, une distance, une facon de toucher. Y’a pas de règle absolue. C’est comme les très bonnes confitures.
vedo, j’ai écouté Volodos à Milan le mois de février, au programme Liszt et Schumann.
À propos du premier comme toujours beaucoup de réserves, la Balade n 2 bien à part, et pas pour l’interprète : L. est, à mon goût, trop lourd (l’un de mes amis avait défini sa musique « une charrette de fumier »).
De Schumann l’op. 99 et l’op. 20 : lecture très nuancée, moment de grande élégance.
Je préfère le six boulot.
Bösendorfer = mauvais villages.
Nicht so leicht zu tragen!
Bosendorfer ou le piano qui pense pour vous…
vedo, à propos de Steinway. Michelangeli après avoir essayé le S. fabriqué pour lui (l’un de 100 Custom), se leva, dit « la touche ne revient pas » et sortit sans autres explication.
Pour finir ce piano a été acheté par un studio d’enregistrement.
explicationS
Qui est venu faire le premier commentaire chez le léZard ?
S’il faut traduire « Bösendorfer », « mauvais villages » est une méchante traduction 🙂 Bloom, vous êtes meilleur en anglais qu’en allemand.
D. : En gros d’accord, bien sûr, et il y aussi la façon de jouer de l’interprète, et un bon technicien peut toujours arranger un peu le piano, mais, comme vous le savez, il y a des constantes, comme entre les marques de voiture. MC: Certains pianistes ont justement en horreur, un piano qui pense pour le pianiste. Renato: Je ne comprends pas Liszt, mais c’est sans doute ma faute. On peut toujours essayer de comprendre, on ne sait jamais–autrefois je trouvais Wagner de la musique de film, c’était avant d’entendre Thannhäuser à Bayreuth. Après quelques minutes de l’ouverture, je me disais que je n’avais pas eu idée de ce que la musique peut être. Mon plus grand choc musical. Je crois que V. a chez lui un Fazioli. Etant donné son toucher, cela me paraît être le seul piano qui lui convienne, notamment à cause de sa richesse entre p et ppp. Les autres sont loin derrière. Michelangeli un S? C’est tout petit. Je ne comprends pas, surtout pour lui, (dont Horowitz disait qu’il est « un peu mechuga »).
Je rentre de voir le biopic sur Elvis, viens de lire votre papier et le come-back de M.A. / WGG(?) sur votre site… (est-ce le même que jadis ?), et j’ai point été convaincu… Film lassant par sa longueur et le ridicule du narratif kouzu de fil blanc, l’histoire de l’emprise progressive du Pelvis Resley par l’obèse colonel Parker (alias Forest T), sa volonté d’émancipation quasi réussie à chaque saubresaut de l’histoire intérieure de l’USA (de 59 à 77), et cette niaiserie romantique selon quoi le King serait mort du trop d’amour qu’il vouait à son public et qu’icelui lui rendait.
Tous comptes faits, ai préféré la vie de céline dion… la française d’Aline était quand même plus subtile dans le portrait psychologique que ce portrait d’Elvis plutôt superficiel.
Bàv et BN, jzman !
VENDREDI 24 JUIN 2022, 5h23, 24°, temps couvert
AMBIANCE POST-ELECTORALE
Elle est épouvantable ! Correspondant parfaitement au vide politique de ce cher peuple de plus en plus veule…
Quand je pense que mon grand-père est mort dans une tranchée à 28 ans, en 1918, pour ça !
Pour cette nation vide !
D’accord avec vedo sur l’apport enrichissant des conditions d’écoute de Wagner à Bayreuth, pour en avoir tâté physiquement en 2003 durant huit jours.
On passe des écoutes photo à deux dimensions dans sa ville, à une perception multidimensionnelle infiniment plus riche.
Mon plus grand choc musical.
Le rêve.
En effet, vedo, Michelangeli a refusé le Steinway — pourtant fabriqué pour lui.
Liszt, je cherche à le comprendre depuis plus ou moins 60 ; mais rien, ça ne passe pas.
opus! 60 ANS
Un écueil ?
D. essaie de nous dire qu’en matière de piano, rien ne vaut le CornuFé 110 (alliant merveilleusement design propre aux pianos La Cornue® et innovation technologique, la CornuFé 110 est avant tout le résultat d’une passion… )
« Film lassant par sa longueur et le ridicule du narratif kouzu de fil blanc »
Pourquoi croyez-vous que j’ai titré mon articulet « The Kitsch Narcissus », JJJ ?
Moi aussi j’ai trouvé qu’ « Elvis » traînait en longueur, alors que les 3H40 de « La Maman et la putain » sont passées comme une lettre à la poste.
(Il n’y a qu’un seul Alba et il est grand !)
La RDL est devenue une boutique de piano !
@ jzmn, OK je n’avais pas compris l’allusion du titre de l’articulet… Non, non, ne vous mésestimez pas… Excellent d’ailleurs ce papier : un clin d’oeil au vieux film de Pink Narcissus, sans doute ? — Je vous plains souvent de vous fader tous ces films, jzmn… (Je me fais souvent avoir avec ceux du Canard, étonnamment toujours bienveillants dans leurs encadrés)…
J’imagine que vous avez récupéré l’adresse mail de MA-WGG, dites-lui, SVP, que la RDL (du moins moij) pensons souvent à lui. Qu’il manque un brin, mais que si son exil lui est source de joie, qu’il ne revienne pas icite se faire massacrer ou aduler… Je me souviens que Passoul l’avait viré à cause de la fureur engendrée par une remarque sur son manque de loyauté à sa venue en son collège… (ou ai-je la mémoire flancheuse ?). Ne réac – Tivons pas les plaies… On ne pouvait même plus écrire le nom de Michel Alba en toutes lettres sans être viré par le robot. Voyons voir ce qu’il en est…
Bàv.
Notre récent échange d’avant-hier sur linkedin, JJJ :
« MERCREDI
Michel Alba a envoyé les messages suivants à 14:08
Voir le profil de Michel Michel Alba
Michel Alba 14:08
Alors, mon Jacques, toujours fidèle au poste ?! Quoi de neuf ? Je fais très bientôt mon Alyah. Je pars vivre en Israël en septembre prochain auprès de ma cousine russe Olga (Olga Laya Alba) de Saint-Pétersbourg, qui elle-même a fait son Alyah en mars dernier pour échapper à l’enfer chez Poutine. J’ai en effet miraculeusement retrouvé la branche russe de ma famille. On s’était perdu de vue depuis 1935…! Bien à toi, mon cher Jacques !
Voir le profil de Michel Michel Alba
Michel Alba 14:14
Ah, j’oubliais de te dire; j’ai maintenant un cousin amércain, le fils du demi-frère d’Olga, Nikita Bogolyoubov, qui est un acteur assez connu de Hollywood; il tourne dans des séries américaines. Tu peux voir sa filmographie sur Internet en tapant son nom; c’est le nom du père d’Olga, qui était un grand mathématicien russe, membre de l’Académie de Saint-Pétersbourg, spécialiste de la théorie du chaos en économie, mort en 2017. C’était aussi mon cousin (petit fils du frère de mon grand-père russe de Paris, père de mon père… Tu t’y retrouves…? On va faire un film à partir de mon roman de ma famille « Le Fantôme d’Auschwitz ».que j’écris.
Barozzi Jacques a envoyé les messages suivants à 14:27
Voir le profil de Barozzi Barozzi Jacques
Barozzi Jacques 14:27
Merci pour toutes ces nouvelles, Michel.
Un film et Israël, voilà qui change de la routine parisienne !
Michel Alba a envoyé le message suivant à 14:29
Voir le profil de Michel Michel Alba
Michel Alba 14:29
Oui, et encore tu sais pas tout…!
Barozzi Jacques a envoyé le message suivant à 14:30
Voir le profil de Barozzi Barozzi Jacques
Barozzi Jacques 14:30
Faut venir nous en parler chez Assouline !
Michel Alba a envoyé les messages suivants à 14:30
Voir le profil de Michel Michel Alba
Michel Alba 14:30
Non, je ne fréquente plus les blogs ni Assouline, ni d’autres, il y top de connards…
Depuis quelques mois maintenant j’apprends le russe et l’hébreu à fond de train…
Barozzi Jacques a envoyé le message suivant à 14:32
Voir le profil de Barozzi Barozzi Jacques
Barozzi Jacques 14:32
Bravo
Michel Alba a envoyé les messages suivants à 14:32
Voir le profil de Michel Michel Alba
Michel Alba 14:32
Je commente ici l’édito de J. Attali… Même là, il y a quelques connards…
J. Attali est partiellement fou, paranoïaque…
Voir le profil de Michel Michel Alba
Michel Alba 14:35
Je vais m’installer avec Olga à Hadera en Galilée su la côte. Un grand appartement de 5 pièces. Ça va me changer de mon studio à Montmartre, que je garde quand même pour avoir un pied à terre et faire visiter Paris à Olga, qui ne le connaît pas encore.
Vu par Michel Alba à 14:35. »
@ RM, vous n’avez jamais été subjugué durant 60 ans par ça ?… Vraiment ?
https://www.google.com/search?q=la+campanella+liszt&ei=Am-1YtnhCYW6ap-cntAE&oq=la+companella+&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAEYADIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDTIECAAQDToHCAAQRxCwAzoFCCEQoAE6BQgAEIAEOgsILhCABBCxAxCDAToLCC4QgAQQxwEQrwE6EQguEIAEELEDEMcBENEDENQCOgQIABAKOgoILhCxAxCDARAKOhAILhCxAxDHARDRAxDUAhAKOgcIABCABBAKOg0ILhDHARCvARDUAhAKOgoILhDHARCvARAKOgcIABCxAxAKSgQIQRgASgQIRhgAUJoGWOguYN1JaAFwAXgBgAGhAYgB2hCSAQQyNC4zmAEAoAEByAEHwAEB&sclient=gwswiz#fpstate=ive&vld=cid:eb22ae60,vid:Hf2MFBz4S_g,st:0
Serait-ce que vous auriez à jamais pris ombrage de n’avoir point pu égaler l’une des partitions pianistiques les plus difficultueuses à jouer de tous les temps ? Sauf votre respect, je me le demande…
Ne me plaignez pas, JJJ.
C’est toujours un plaisir (retrouvé) pour moi que d’aller au cinéma.
Même quand le film n’est pas génial, j’y trouve encore matière à me réjouir, à apprendre, rêver ou méditer…
merci jzman d’avoir mis en ligne votre correspondance avec MA… C’est chic de votre part, et il ne vous en voudra pas j’espère…
Heureux d’avoir eu en direct et léger différé sa réponse à ma question ;
« Non, je ne fréquente plus les blogs ni Assouline, ni d’autres, il y trop de connards… »
Au fond, l’a peut-être pas tort si l’est devenu un juif plus heureux ou moins tourmenté qu’il ne l’était naguère. Je lui souhaite bonne chance pour la suite de sa vie.
Bàl et Bàv,
Voici un extrait avec le petit cousin acteur russo-américain de Michel Alba !
https://www.imdb.com/video/vi298695705/?ref_=nm_pr_ov_vi
Je viens de voir sur Arte « Tous les autres s’appellent Ali », de Rainer Werner Fassbinder. Ce qui m’intéresse, c’est que ce soit une sorte de remake d’un film de Douglas Sirk, et donc un pur mélodrame. Fassbinder était très fleur bleue, mais dans son film le contexte des années 70 est saisissant, avec la question des émigrés, du racisme, de la solitude, de la misère des salariés, etc. La re-lecture du cinéaste est radicale, il en fait un document extraordinaire sur son époque. Le film a sans doute été tournée rapidement, comme tous les films de Fassbinder, qui était affamé de cinéma. C’est l’un de mes cinéastes préférés, même si j’était passé à côté de « Querelle », pourtant vu en salle.
« Subjuguer » est un terme carrement con, JJJ, comme « fasciner » par ailleurs (fagoter ?). Donc, non, jamais subjugué par Liszt, et cela nonobstant quelques conversations avec Rattalino.
Il est vrai que lorsque Liszt réussit à éviter la redondance et le sentimentalisme, et reste dans une forme brève (S192, S171) se laisse écouter, mais encore : selon le pianiste.
Cela dit, « plus difficultueuses à jouer de tous les temps » n’est qu’un jugement plutôt conformiste, car la virtuosité n’est vraiment pas un critère de qualité.
@ houla, RM, vous êtes cinglant, ce matin !. Quelle mouche vous à piqué pour user d’une riposte aussi méprisante ? Excusez mes poncifs, ce sont ceux de l’ignorant qui n’a jamais touché un piano, comme vous le savez (Je ne parlais pas de Liszt en général, juste de la Campanella). Cela ne me donne-t-il pour autant pas le droit de vous interroger simplement, quitte à ne pas obtenir de réponse sérieuse, plutôt qu’une confirmation de mes soupçons à l’égard de votre personnalité parfois bien vulgaire en dépit des apparences. Bàv,
@ nonobstant quelques conversations avec Rattalino.
Qu’il est drôle de susceptible suffisance, parfois, hein. Je ris, mais j’Henry, koij, un brin… Tchin ! Bàv,
@ C’est l’un de mes cinéastes préférés, même si j’était (sic) passé à côté de « Querelle », pourtant vu en salle.
***Bienvenue au club des folles de la rdl !… plus y’en a, plus le désert croît, Priscilla…, kil aurait dit, jmb-nitch 😉
Ici, s’il y a une personnalité parfois bien vulgaire c’est la vôtre.
P.S., et pour ce qui est de la susceptibilité vous n’êtes second à personne !
@ Paille-Poutr-oeil
Si vous le dites, alh’ors… topons-là…
Je suis vulgaire et susceptib’, moij. Anéfé, je me le dis parfois. Mais pas toujours, hein… Bàv
D’accord, la République c’est vous!
Chez Fassbinder, la lutte des classes, comme le nazisme récurrent, n’est jamais loin, Damien.
Même chez les homos. Si tu ne l’as pas vu, je te recommande « Le Droit du plus fort ».
L’histoire d’un pédé prolo qui gagne à la loterie (Fassbinder lui-même), passablement vulgaire, qui se fait exploiter par un pédé bourgeois aussi chic que renato (qui n’est pas homo) dont il est tombé amoureux.
Un superbe mélo politique, comme Werner Rainer en avait le secret !
« ***Bienvenue au club des folles de la rdl !… »
Le boug, présidente !
Oups, j’ai oublié le lien !
https://www.bing.com/videos/search?q=le+droit+du+plus+fort+film+fassbinder&docid=608043674425981032&mid=1619C5D94BF612E2CD091619C5D94BF612E2CD09&view=detail&FORM=VIRE
Yvonne Rainer, Hand Movie :
« La RDL est devenue une boutique de piano ! »
L’intitulé de ce billet est bien « Jacques Drillon loin du funèbre glas des vertus importunes », ou pas ?
Jacques Drillon était marchand de pianos… à coda, renato ?
Les vertus de l’enfer selon Pierre Boulle.
Personne pour s’intéresser à la vie de Patricia Highsmith, dont Passou nous a récemment parlé, et au documentaire qui lui est consacré.
Va t-il falloir que je m’y colle ?
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=290733.html
A Paris le stationnement devient payant pour les motos et les scooters !
Je n’en possède pas mais je trouve ça proprement dégueulasse pour une mairie qui se dit socialiste, sachant qu’ube très grosse partie de ces motocycles est détenue par des gens de condition modeste dont beaucoup de travailleurs.
DEGUEULASSE. Comme l’aspect des trottoirs de mla ville
Mais moi, plus que quelques semaines et je donnerai mes sous à Chaville. Plus à Paris. Faudra en trouver chez d’autres dindons. Jusqu’à ce tous les dindons soient partis.
J’aime votre humour, Alexia. Votre spiritualité. Tout ça.
« Jusqu’à ce tous les dindons soient partis. »
S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là !
Je pourrai alors réaliser le fantasme de Fédal (moi, pas la synthèse de Federer et Nadal !)
Les ukrainiens ont reçu l’ordre de se retirer de Severodonetsk. Ben ils auront mis le temps pour comprendre… toutes ces victimes pour rien.
La spiritualité d’Alexia serait-elle dans la culotte de Masseur, D. ?
Totalement déplacés, tes propos, Jazzi.
Il ne s’agit que d’une attirance spirituelle astrale.
Toujours aussi primesautier, ce Jazzi !
mur:
AVIGNON et ATTALI
t, la ville ne souhaitait pas retirer la fresque polémique : « Chacun peut interpréter l’image comme il veut puisqu’il n’y a pas de mot sur ce mur » avait ainsi expliqué le Grand Avignon. Malgré les demandes d’associations
https://www.ladepeche.fr/2022/06/24/avignon-la-fresque-jugee-antisemite-representant-jacques-attali-manipulant-la-marionnette-emmanuel-macron-sera-recouverte-10393660.php?M_BT=2071836733665#xtor=EPR-1-%5Bnewsletter%5D-20220624-%5Bclassique%5D
QUEL TOUPET d’argumenter ainsi!
en dehors du prétendu contenu latent de cette drôle de fresque, j’aimerais bien savoir en quoi et sur quel.s dossier.s politico financiers Jack.etalii@laposte.net « influencerait », voire manipulerait, le pdt Macron. Anéfé, je n’avais encore jamais pensé au fameux Protocole… Si qq1 peut m’répond’, merci. Bàv,
les impôts locaux sont les plus élevés du pays à Chaville… Et on y a bien mal voté aussi : Zemmour a fait plus fort que Marine… A moins que ce soye là, la raison pour laquelle vous y courez, D. ?
https://www.lemonde.fr/resultats-elections/chaville-92022/ Bàv !
merci jazzi e nous avoir gratifié de quelques propos de WGG ,une grande perte pour ce blog.
dans le genre omniscient cet homme erudit et cultivé n’a pas vraiment ete remplacé ici par Et alii qui nous parle de tout mais sans nous faire découvrir une pensée structurante de son savoir
Faites lui savoir qu’on lui souhaite une heureuse aly et que nous sommes nombreux sans doute qui apprécierions son retour ici, benefique pour le niveau de ce blog
C’est frais et sympa, « primesautier », AN !
DÉFINITIONS
primesautier , primesautière adjectif
littéraire Qui obéit au premier mouvement, agit, parle spontanément. ➙ spontané.
déf.
syn.
ex.
SYNONYMES
primesautier, primesautière adjectif
impulsif, spontané, vif
guilleret, allègre, badin, folâtre, frétillant, fringant, gai, jovial, joyeux, léger, réjoui, sémillant
familier, gaillard, leste
DHH,
non seulement, je ne vous parle pas des aliens, ni des escargots, ni des vedettes , autrement dit c’est vous qui êtes une spécialiste du « tout », surement pas moi; mais comment ferais-je découvrir quelque chose à des gens qui savent tout?et qui plus est s’intéressent à eux par dessus tout, je n’y songe certainement pas; j’ai autre chose en tête, portez vous bien! ça arrive!
DHH dit: à
merci jazzi e nous avoir gratifié de quelques propos de WGG ,une grande perte pour ce blog.
En effet, et une perte pour la France ! Quand cessera la fuite des cerveaux ? Nous voilà rassuré.e.s : Alba est bien portant, reste tel qu’en lui-même. Toujours pas guéri de son syndrome de Tourette mais c’est difficile à « traiter ». Reste pour lui à apprendre à dire « connard » en russe et en hébreu. Les occasions ne devraient pas manquer de les utiliser en Galilée.
Lavrov : « L’UE et l’OTAN, comme Hitler, préparent la guerre contre la Russie ».
Pour le moment c’est la clique du Kremlin qui agresse son voisin, mais la marionnette Lavrov semble ne pas en avoir conscience.
je me souviens d’un professeur qui surveillait ce qui était à ses yeux des « erreurs » de ses confrères, -par exemple ceux qui en avaient pour « la structure »!
« En effet, et une perte pour la France ! »
Rassurez-vous, Alexia, il garde son pied à terre de la rue Ramey à Montmartre, où il pourrait revenir plus tôt que prévu…
« ça arrive! »
Qu’est-ce qui arrive, et alii ?
Vous nous avez concocté un nouveau plat !
Sans vouloir vous offenser, il est vrai que vous paraissez quelque peu déstructurée, et alii !
@ oui, AN 😉 commençons à lui à apprendre à dire « connard » en russe et en hébreu, et déjà par savoir l’écrire sur la rdl :
קונרד
мудак
Bàv,
@ quelque peu déstructurée
Ne nous parlez plus de structure, jacques déridé, évoquons plutôt à son édgart le concept de « désarticulation » (genre : quelque peu désarticulée du clavier), bien moins stigmatisant et péjorant, comme aurait dit pierre legendre…
j’ignore ce qu’est une personne destructurée; mais je saurais faire une liste de tous les travers qui sont reprochés à des personnes plus ou moins »inconnues »
par des personnes qui aiment se mettre en avant et se faire reconnaître des vertus!
mais je ne le ferai pas; bobbe suite!, j’ai autre chose à faire avec une compagnie plus attachante que des herr des lien-n-es
Histoire d’un détail expressif :
https://hyperallergic.com/742148/a-brief-history-of-womens-eyebrows-in-art/
et alii
qui parmi les intervenantsa parle ici des alien des escargots ou des vedettes? et qui affiche des pretentions de tout savoir ,qui n’ont rien a apprendre de vous? apparmmnt c’est à moi que ce discours s’adresse ;
mais je ne me sens pas du tout concernée par les points que vous soulevez; je ne me souviens pas d’avoir abordé les sujets que vou citez et quant a la prétention de tout savoir j ne crois pas qu’elle soit particulièrement prononcée chez moi. :Poutre dans mon œil ?je ne crois pas
j’aime mieux croire que votre post parlait en general de ce que doit apporter un commentaire
bonne suite!
Je n’aime pas qu’on dise du mal de Chaville.
Si je vais m’installer à Chaville, c’est que c’est bien. Cela va de soie.
Pour compléter sur Bayreuth (et puisque le sujet du billet est un spécialiste de musique), la salle est particulière en ceci que le public est très concentré pour l’acoustique, comme dans un amphithéâtre universitaire, pas d’accoudoir, et on ne s’assoie que quand la rangée est complète. Les billets officiels ne sont pas chers comparé à Salzbourg et autres, comme le désirait W., mais l’économie de rationnement étant ce qu’elle est, difficiles à obtenir. On peut mesurer la rareté en comparant avec les prix à une agence parallèle où il faut multiplier par dix. Je peux préciser mon impression musicale pour quelqu’un d’assez bienveillant pour vouloir comprendre: Bach et Beethoven me semblaient soudainement n’être plus que des artisans, admirables, mais laborieux, des maçons, ou pour utiliser le mot qui convient parfaitement à cette impression, des « bricklayers ». Je m’éclipse, les blogs ne me conviennent plus du tout. Surtout après le covid. Le medium électronique est une régression formidable par rapport aux contacts directs entre personnes. BaV
j’ai souligné que je n’avais pas la prétention d’instruire qui que ce soit ;
croyez ce que vous voulez: ça m’est égal ! et je n’ai pas à vous dire ce qui m’intéresse personnellement, comme ton par exemple pour un commentaire »sur un blog, sur la RDL ;
pour moi, cette tentative de me « dé (cons) truire,d’où que vous parliez, est close!
Puisqu’on parle de structure,
je ne sais pas ce qu’est une personne destructurée, mais Sandrine Rousseau,Ma députée, m’a appris qu’un homme hetero blanc peut devenir acceptable et se faire pardonner ce qu’il est s’il est capable de faire sa mue de devenir un » mâle destructuré «
erreur
lire « faire sa mue ET devenir….
L’esche de DHH a fonctionné. Le poisson a mordu.
@alexia
« Esche »
merci vous m’avez appris un mot
pour le Scrabble on n’en a jamais trop
www.http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Famille_Le_Tellier_de_Louvois
Melius frangi quam flecti.
Le medium électronique est une régression formidable par rapport aux contacts directs entre personnes. Trop fort, Daniele Achach ! l’esche ou l’aché ont mordu au covid (le nouveau scrab’ l’accepte, le covid). A Chaville, au Sel, un club de scrab’ particulièrement actif et savant y sévit, je l’ai longtemps côtoyé depuis Meudon. Pour en faire partie, D., il vous faudra vous émanciper du blog et apprendre la moitié du dico du scrab’ par coeur. – Pour ma part, je n’ai jamais réussi à avoir deux places à Bayreuth, mais on dit que Vienne est redevenue la capitale la plus attirante au monde. Il faudrait que j’y aille : les places y sont encore abordables, même si on y joue de moins en moins de wagnère. – Je viens de comprendre la dette de Mohamed à Roberto, … en fait, une allusion d’influence aux « détectives sauvages ». J’en dirais bientôt plus… Le prix Goncourt, un semestre après l’agitation, oui, maintenant, je le sais, il valait vraiment le temps de la plongée. Un hymne magnifique à la littérature, en vert et contre tout… !
Bàv les démandibulé.es de l’RDL, j’ai bien sommeil maintenant.
@ // Sandrine Rousseau, Ma députée, // AN, vous ne vous sentez pas trop mal représentée à l’AN :-), après le diagnostic de mister Charoulet ? Bçv,
(opus-oups) @ // Sandrine Rousseau, Ma députée, // AN, vous ne vous sentez pas trop mal représentée à l’AN ;-), après le diagnostic de mister Charoulet ? Bav,
(ropus-roups) @ // Sandrine Rousseau, Ma députée, // AN, vous ne vous sentez pas trop mal représentée à l’AN 😉 après le diagnostic de mister Charoulet ? Bàv,
alors, cette histoire de déstructuré-e est donc à la mode , mais depuis quand ?
à la mode, mais depuis quand ?…(sic) j’ai souligné que je n’avais pas la prétention d’instruire qui que ce soit, (sac) ohé hein bon-…soir !
Déstructuré, c’est-à-dire sans entoilage, par exemple une veste légère…
JE ne considère pas comme un commentaire du billet- les appréciations des contributeurs qui ciblent d’autres contributeurs sans considération pour le billet attaché à la mémoire, et l’oeuvre, de Drillon;
dans son contexte;
tous les contributeurs ne sont peut-être pas musiciens pratiquants ,et comme tels, familiers d’une partition de musique, du vocabulaire des musiciens; le commentaire implique plutôt une élucidation de termes professionnels partagés qu’une réclamation grandiloquente;
bonne soirée (que j’aurai le plaisir de ne pas partager)
Grosse bourde de ma part :
l’homme ideal pour la députée du 13 eme ,la mienne, n’est pas un mâle destructuré mais « déconstruit »
et alii dit:
mur:
AVIGNON et ATTALI (avec articulet + photographie)
Où l’on voit « considération pour le billet attaché à la mémoire, et l’oeuvre, de Drillon ».
@« déconstruit »
Déconstructible, c’est pas ce qui manque et de toutes les couleurs
https://bdi.dlpdomain.com/ecommerce/principal/3521320002651/1.jpg
@DHH
Malheureuse ! Parler de « mâle déconstruit » est un manque d’égard pour la personne de Monsieur Drillon.
Mozart
https://www.playmobil.fr/wolfgang-amadeus-mozart/70374.html
Aymeric Caron
https://i.ebayimg.com/thumbs/images/g/-nIAAOSw3QViqO4u/s-l300.jpg
Water Walk
@merci jazzi e nous avoir gratifié de quelques propos de WGG ,une grande perte pour ce blog
Je crois avoir satisfait en deux-trois envois toutes vos espérances de retrouver le niveau himalayen que le regretté Israë, proto zemmourien blogueur, avait su imprimer ici ; ne me remerciez pas
proto zemmourien blogueur > dracul
si shakespeare n’a rien à voir avec Drillon
(ni AVIGNON°)
SUR L
Dans la préface qu’il a écrite pour sa traduction du « Roi Lear », tout juste rééditée chez Gallimard, Jacques Drillon explique que traduire, c’est « donner au piano de la musique d’orgue, au clavecin de la musique de violon », et invoque l’art de Matisse. Extraits.
Par Jacques Drillon
·
Publié le 30 septembre 2021 à 15h37OBS
,Ma députée, m’a appris qu’un homme hetero blanc peut devenir acceptable et se faire pardonner ce qu’il est s’il est capable
Je ne sais pas encore par quoi cela va passer.
Je fais grande confiance aux cheveux longs des garçons (je n’inclus pas Bilal Hassani).
Mais, une chose je sais : il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de boulot.
Passez par ce que vous voulez.
Prenez-vous y comme vous le voulez.
Mais, allez-y les mecs !
attention à la proximité de i et de u sur votre clavier, parce qu’il y a aussi « stricture »
« Stricture est un mot inventé avec l’écriture de Glas. Il en forme, dit Derrida « à la fois le thème et l’instrument, la corde » (p26). Ce qui se dit sous ce mot, dans Glas (1974) et aussi dans la Carte postale (cartes envoyées entre 1977 et 1979), c’est un ton [une tonalité unique, singulière], une tension qui traverse la différence tonique et tonale, « l’écart, les changements ou la mutation des tons ». »
in
« Figures privilégiées de tout ce qui est soumis à stricture : le ligament tendu, la corde tissée ou tressée, la bande, et aussi le ton : hauteur de voix et qualité de timbre »
«
et merci de me donner l’occasion de préciser:
« ». En substituant stricture à structure, Derrida ouvre le champ. Il prend acte d’une errance, d’une tension qui est aussi celle du cordage, du câble ou de la sangle. Etymologie de la tonalité : du latin tonus, lui-même du grec ancien τόνος, tonos («corde, tension de la corde de la lyre, mode musical, mesure d’un vers, accent tonique»).
Stricture — rétrécissement — sténose…
Stricto censu.
le lien Drillon -Shakespeare
https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20210930.OBS49310/comment-retraduire-shakespeare.html
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