
Jusqu’où est-on capable de s’engager au nom de l’idée patriotique ?
Voilà bien une question typique de la lignée Joseph Conrad-Graham Greene- John Le Carré ! Une famille d’esprit comme l’histoire littéraire en produit parfois sans que les écrivains se soient nécessairement connus. En feuilletant et feuilletonnant le XXème siècle depuis une dizaine d’années en compagnie de Pierre Lemaitre (1951), elle irrigue cette fois Un avenir radieux (592 pages, 23,90 euros, Calmann-Lévy). Pas un polar même si l’on est vite amené à se demander lequel de trois suspects est le coupable, car là n’est pas le problème malgré les fausses pistes et le suspens, il ne s’agit pas d’un whodunit. Non plus qu’un roman populaire ni social malgré sa première épigraphe signée de Victor Hugo. Ni même un roman d’espionnage en dépit de la seconde extraite de John Le Carré. Quoi alors ? Disons un roman d’action ainsi que l’a voulu l’auteur. Gardons-nous de relever un pléonasme eu égard au nombre de romans dominés par l’inaction des personnages, le caractère figé des situations, l’atmosphère gagnée par l’inertie. Chez Lemaitre, on commence à le savoir, ça avance ; la fin d’un chapitre renvoie automatiquement au début du suivant ; il donne au lecteur l’illusion qu’il lui raconte personnellement l’histoire, à voix haute cela va de soi ; on ne le lâche pas parce qu’il ne nous lâche pas.
Depuis Au revoir là-haut (Prix Goncourt, 2013), il s’est inscrit dans le paysage littéraire comme le romancier du temps long. C’est peut-être dans ce tropisme qu’on sent le plus intensément l’influence de ses lectures de jeunesse, l’ombre portée des grandes sagas, Les Thibault de Roger Martin du Gard, Les Buddenbrook, de Thomas Mann, Jalna de Mazo de la Roche… Ensemble, ses trois derniers romans (Le grand monde, Le silence et la colère, Un avenir radieux) constituent la série « Les Années Glorieuses », tendue sur le fil de ce que les historiens ont appelé les Trente Glorieuses, celles de la croissance, du nucléaire, de l’enfance maltraitée, de la résilience, du plan Marshall, du baby-boom, de l’exode rural, de l’extension des villes, de l’augmentation de la consommation… Quelle densité d’évènements concentrée en deux mots ! Une époque dont nous sommes issus. Le dérèglement climatique commence là avec le culte de la domination masculine, la question de l’avortement etc On doit l’expression à l’économiste Jean Fourastié qui, en clin d’œil aux « Trois glorieuses » de 1830, en avait fait le titre d’un de ses livres consacré à l’expansion économique sans précédent qu’avait connue la France de 1945 à 1973. Mais ce qu’illustre bien Lemaitre, autant sinon davantage que le titre devenu un chromonyme parmi les plus identifiables de l’histoire contemporaine de la France, c’est le sous-titre de Fourastié rarement cité : « La révolution invisible ». Une révolution permanente pendant près de trois décennies. N’est-ce pas justement la vocation d’un écrivain, donc d’un artiste, de rendre visible l’invisible en le dévoilant ? Pierre Lemaitre s’y emploie à son meilleur.
Ca fourmille sous cette plume inépuisable car il y a en cet écrivain un homme hanté par le spectre du désœuvrement. Il n’y a que lui pour s’y retrouver entre ses trilogies et ses tétralogies d’autant que l’une des premières est devenue l’une des secondes en cours de route. Ainsi une œuvre romanesque au long cours se métamorphose-t-elle en chemin en somme littéraire. Les lecteurs y suivent d’anciens coloniaux, les Pelletier, en leurs multiples péripéties au fil du temps de 1948 à 1959. Comme dans le reste de la fresque, la famille est le personnage principal dans la mesure où Lemaitre estime qu’elle est la première institution qui rend fou, avant l’école et le mariage ; la famille comme berceau de toutes nos névroses. Le groupe fait masse. Cette fois, une absence est leur noyau central, celui autour duquel ils agissent (mais ne comptez pas sur moi pour gâcher le plaisir de la découverte).
Voilà un romancier qui aime ses personnages, ce qui n’est pas si courant. A croire qu’ils sont tous ses enfants et qu’un père, n’est-ce pas, ne choisit pas entre ses enfants. Son empathie pour la petite Colette, victime de violences sexuelles dont elle ne parvient pas à s’ouvrir auprès de ses proches, la distingue peut-être de celle qu’il éprouve aussi pour ses autres créatures, même Geneviève pétrie de méchanceté (certains lecteurs ne lui pardonneront peut-être pas d’avoir traité l’astrologie avec ironie sinon dérision tant il la considère « par nature fantaisiste ») ou Jean qu’il rend pathétique alors qu’il est un meurtrier en série. Comme si l’auteur voulait nous dire que tout humain abrite en lui le fouet et la caresse et qu’il peut être bourreau ou victime. Les personnages ont évolué à travers le monde entre Paris, Beyrouth, Saïgon et, cette fois, Prague, où François, l’un des fils, le journaliste, se rend en mission, frayant parmi policiers, miliciens et délateurs. L’auteur les a tous imaginés en amalgamant comme il se doit des éclats venus de partout à commencer par ses lectures mais pas uniquement sans que jamais il ne tombe dans les travers du roman-à-clé, exercice des plus vains. Au-delà même de l’inspiration, c’est d’imprégnation qu’il s’agit inévitablement pour tout grand lecteur.
Sous le personnage de Lambert se profile Bloch, le juif honteux d’A la Recherche du temps perdu ; en Julien on entend les mots d’Alphonse Boudard dans la bouche de l’acteur Julien Carette ; il y a du Smiley made in Le Carré en Georges Chastenet et du France-Soir de Lazareff dans le Journal du soir ; la sœur Ursule prend racine dans les sœurs veillant sur Fantine dans les Misérables ; Marthe fait penser à la Martha Hanson dans la pénétrante série de Joe Weisberg The Americans multidiffusée partout dans le monde depuis 2013. Jusqu’au titre même du roman Un avenir radieux, clin d’œil aux lendemains qui chantent et au mythe de l’avènement d’une société sans classe mais qui, personnellement, m’a renvoyé à L’avenir radieux d’Alexandre Zinoviev (L’âge d’homme, 1978), auteur soviétique révélé par l’inoubliable Les Hauteurs béantes, qui, lui aussi, usait par dérision de la radieuse formule communiste.
« Je n’en finirais pas de citer mes sources… » convient Lemaitre in fine. On le croit volontiers tant il tient à méticuleusement payer ses dettes à tous ceux auxquels il doit quelque chose. Avec une honnêteté si scrupuleuse qu’elle en deviendrait manique, il va même jusqu’à remercier nommément certains de ceux qui lui ont inspiré mots, visages, expressions, idées. N’en jetez plus car s’ils en sont propriétaires, le métier est fichu et les ayants-droits d’Ésope vont réclamer des droits d’auteurs aux héritiers de La Fontaine ! Dans une partie de l’intrigue, l’hommage à l’univers de Le Carré malgré la complexité de ses histoires (de lui il tient probablement que l’univers du renseignement est l’inconscient des sociétés occidentales) est évident quoique subliminal, étant entendu que l’Anglais était un grand romancier tout court injustement réduit à l’univers de l’espionnage au même titre qu’un Graham Greene.
Pierre Lemaitre est de ces auteurs qui ne se font pas prier pour parler travail et technique. On sait sur les traces de quels écrivains il veut inscrire son ambition (il doit la structure de sa fresque à Balzac, Dumas, Zola). Pour être subjective, elle se devait d’être historiquement incontestable. D’où ses recherches, tant pour le panorama que pour les détails ceux-ci crédibilisant celui-là, avec l’aide de l’historienne Camille Cléret, devenue au fil des romans son assistante et sa conseillère historique, sur l’apiculture, les radiations atomiques, la guerre froide, la topographie, la télévision ou le passé de Prague. La catastrophe nucléaire de Kychtym, une contamination radioactive suite à une explosion dans une usine de retraitement de combustible (Union soviétique, 1957) et celle de Windscale qui a vu le déclenchement d’un grand incendie à la suite d’un défaut technique majeur dans la construction d’une centrale nucléaire (Grande-Bretagne, 1957) l’ont inspiré. Dans les deux cas les gouvernements (et leurs alliés respectifs) ont choisi de ne pas informer les populations. Comme une certaine résonance avec notre époque. Lorsque Poutine brandit la menace nucléaire vis-à-vis de l’Ukraine, il est parfaitement synchrone avec la manière dont Khrouchtchev nous menaçait de la bombe atomique. Façon de dire que toute littérature est politique sinon Lemaitre ne serait pas Lemaitre.
(Photo D.R. et « Pierre Lemaitre » photo Bruno Lévy)
1 313 Réponses pour Jusqu’où est-on capable de s’engager au nom de l’idée patriotique ?
AUSCHWITZ-BIRKENAU
Pour saluer, à l’occasion du 80ème anniversaire de la libération du camp, les milliers de morts assassinés par une nation européenne dévoyée, devenue terroriste.
Ne jamais oublier. Ne jamais pardonner. Ne jamais récidiver. Reposez en paix, frères humains.
Ô vous, frères humains. @ Albert COHEN, merci pour la mémoire des valeureux Saltiel, Solal, Matthatias, Mangeclous, Michael, Salomon et tous les autres. On ne vous oubliera jamais.
(merci Passoul pour nous avoir rétabli l’horodateur, j’avais oublié d’en saluer l’initiative… Voilà un beau cadeau de début d’année de l’RDL -> le message du 26, à 11.29 s’adressait à Ch. P -> désolé pour C. T.)
Lee film de Ellen Kuras, inspiré par The Lives of Lee Miller d’Antony Penrose, fils de LM, la véritable force motrice du film est Kate Winslet, productrice infatigable du projet, qui joue le rôle de la protagoniste.
Bonjour, JJJ. Oui, j’avais noté le lapsus. Comment l’oublier malgré son comportement….
J’aimais son écriture quand , loin de ses redites mortifères elle évoquait dans une langue goûteuse la nature, les mets, les hirondelles, les ânes… Tout ce petit monde qui était sa joie. Et son fils, sa merveille, un peu trop son idole…
Maintenant, quel silence… Est-elle souffrante ? A-t-elle renoncé à écrire ici ?
Dommage qu’elle ait livré en paturet sa vie personnelle, son couple, son départ… Enfin ça devait lui faire du bien…
Quant à ce combat invraisemblable entre elle et son ami, ici. Bien fol qui s’en approche. Seuls eux savent ce qui se cache sous les mots qu’ils échangeaient. Vouloir choisir qui est le plus coupable c’est être bien outrecuidant…
Donc, JJJ, aucun problème. J’espère qu’un jour vous commencerez votre commentaire par : CT car elle sera revenue du diable Vauvert.
Quant à Jazzi, tant de bons souvenirs l’emportent sur des cailloux dans la chaussure.
Mais aujourd’hui est un jour de mémoire pour tous ces êtres assassinés par les nazis parce qu’ils étaient Juifs. Ja vais relire Paul Celan.
Dans l’affaire du récent homicide d’Elias, pour lui voler son smartphone à la sortie d’un stade du 14ème arrondissement de Paris, l’avocat de l’un des deux prévenus, délinquant déjà connu de la police et de la Justice, est Maître Babacar Niang.
délinquant se rapportant ici à prévenu. Pas à avocat.
De Paul Celan, donc :
Poème traduit de l’allemand par Martine Broda, dans une édition bilingue, José Corti, Collection éditée par Bertrand Badiou dans le recueil « La rose de personne ». Page 37.
Psaume
Personne ne nous repétrira de terre et de limon,
personne ne bénira notre poussière.
Personne.
Loué sois-tu, personne.
Pour l’amour de toi nous voulons
fleurir.
Contre
toi.
Un rien
nous étions, nous sommes, nous
resterons, en fleur :
la rose de rien, de
personne.
Avec
le style clair d’âme,
l’étamine désert-des-cieux,
la couronne rouge
du mot pourpre que nous chantions
au-dessus, au-dessus de
l’épine.
Judicieuses interventions de M Charoulet.
Outre la définition de « protagoniste », je me suis intéressé aux rapports des jurés d’agrégation de philosophie 2024. Face aux incertitudes et désolations du monde et les discours associés, analogues aux inondations qui détruisent non seulement le toit de pauvres gens mais aussi, pour suivre le fil de l’analogie, nos esprits, on a l’impression en lisant ces lignes savantes de se refugier sur des hauteurs salvatrices.
Un des sujets d’examen avait pour titre : « Agir ».
Le rapport note : « On regrette que trop peu de candidats ayant choisi de centrer leur propos sur le libre arbitre se soient interrogés sur les conditions d’un agir dans un univers réglé par la nécessité […] »
C’est la question que je me posais en regardant la conclusion des Rois maudits : « chacun de nous nait investi d’une tache etc .« . Pas sur que le jury aurait apprécié cette référence, mais ça m’a renvoyé à L’Anomalie. Qu’est ce qui nous différencie dans cette définition d’un programme informatique ?
merci a che=rstiane
j’ajoute:
Fugue de mort, par Paul Celan.
Lait noir du petit jour nous le buvons le soir
nous le buvons midi et matin nous le buvons la nuit
nous buvons et buvons
nous creusons une tombe dans les airs on y couche à son aise
Un homme habite la maison qui joue avec les serpents qui écrit
qui écrit quand il fait sombre sur l’Allemagne tes cheveux d’or Margarete
il écrit cela et va à sa porte et les étoiles fulminent il siffle pour appeler ses chiens
il siffle pour rappeler ses Juifs et fait creuser une tombe dans la terre
il nous ordonne jouez maintenant qu’on y danse
Lait noir du petit jour nous te buvons la nuit
nous te buvons midi et matin nous te buvons le soir
nous buvons et buvons
Un homme habite la maison qui joue avec les serpents qui écrit
qui écrit quand il fait sombre sur l’Allemagne tes cheveux d’or Margarete
Tes cheveux de cendre Sulamith nous creusons une tombe dans les airs on y couche à son aise
Il crie creusez plus profond la terre vous les uns et les autres chantez et jouez
il saisit le fer à sa ceinture il le brandit ses yeux sont bleus
creusez plus profond les bêches vous les uns et les autres jouez encore qu’on y danse
Lait noir du petit jour nous te buvons la nuit
nous te buvons midi et matin nous te buvons le soir
nous buvons et buvons
un homme habite la maison tes cheveux d’or Margarete
tes cheveux de cendre Sulamith il joue avec les serpents
Il crie jouez la mort plus doucement la mort est un maître d’Allemagne
il crie plus sombre les accents des violons et vous montez comme fumée dans les airs
et vous avez une tombe dans les nuages on y couche à son aise
Lait noir du petit jour nous te buvons la nuit
nous te buvons midi la mort est un maître d’Allemagne
nous te buvons soir et matin nous buvons et buvons
la mort est un maître d’Allemagne ses yeux sont bleus
il te touche avec une balle de plomb il te touche avec précision
un homme habite la maison tes cheveux d’or Margarete
il lâche ses chiens sur nous et nous offre une tombe dans les airs
il joue avec les serpents il rêve la mort est un maître d’Allemagne
CT
Pour Clopine, la RDL était essentielle, comme si c’est lè, par elle, qu’elle s’était trouvée avec « sa vérité »
j’espère bien qu’elle va savoir mettre ç son profit, et non, comme elle se voyait trop, comme « faire valoir »
@ mais pourquoi un « protagoniste » ne pourrait-il pas être valablement assimilé/assimilable à un « primus inter pares » ?
Vous en donnez une définition à racine latine bien trop restrictive, ce me semble.
j’ai eu l’impression que si je m’étais gardée vivante, c’est parce que j’avais été investie d’une tache, et je me disais à chaque petite « réussite »
: hitler n’aura pas gagné la guerre;ce n’était pas une « obsession qui me portait »,cette mémoire, mais elle me maintenait disponible, à un engagement
même la mémoire, même l’exil peuvent être une patrie;on peut être
née en terre d’archives
De toute façon, elle va bientôt revenir car elle lit toujours les commentaires de la RDL, et y aura quand même senti de la bienveillance.
Si elle n’y revient pas, c’est évidemment parce qu’elle est heureuse et désormais apaisée, sans plus de besoin de cette « béquille ».
Dans tous les cas, pmp, je la salue pour son courage et lui souhaite un avenir plus « radieux » que son triste passé.
J’aimerais comprendre le sens du mot tache, dans la traduction française de Celan. Le mot « tâche » aurait eu autant de sens… la tache d’avoir été juif ? ou la tâche qu’il incomberait au juif d’accomplir sur terre ?___ Merci de bien vouloir préciser, si possible.
(cf… Druon cité par SV vs Charoulet : « investi d’une tache » ?)
attention, il ya des
faux protagonistes:
En fiction, un faux protagoniste est une technique d’écriture consistant à présenter et faire croire au public qu’un personnage est un protagoniste et de lui révéler par la suite que ce n’est pas le cas. Cette technique est souvent utilisée pour créer une discordance, pour accrocher davantage le public en jouant avec ses préconceptions.
wiki
https://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_protagoniste
Le faux protagoniste peut également être utilisé comme narrateur de l’histoire, laissant croire au public que ce dernier survivra pour raconter son histoire plus tard3.
Dans Psychose (1960), Marion Crane est présentée comme étant la protagoniste du film avant d’être tuée, rendant le meurtre plus inattendu et choquant. Hitchcock trouvait les scènes d’ouverture avec Marion comme faux protagoniste si importantes que lorsque Psychose est sorti au cinéma, il a insisté pour qu’une politique de non-admission des personnes en retard soit instaurée pour son film.
La Gorgone (1964) débute avec le Professeur Jules Heitz comme étant le protagoniste, mais celui-ci se fait tuer. Carla Hoffman et Paul Heitz s’avèrent par la suite être les deux véritables protagonistes.
Ouf, D. On avait cru que Babacar Niang était un délinquant… Ce qui ne nous aurait pas étonné outre mesure, sous votre plume philipotesque toujours un brin limite sur les questions migratoires. On sait qu’il est des lapsus calami savamment agencés sur cette chaine ouverte à tous et aux ruses de l’IA, désormais.
un jour, j’ai choqué un psy en parlant de protagoniste, pour lui, et pour moi;
notre histoire s’est arrêtée là!
lequel de nous deux était le « protagoniste »?
Pourquoi ne pas dire que Marion était une « fausse protagoniste » ?… Le terme a ceci d’intéressant qu’il n’est pas genré. De vouzàmoi, je cuis.
tâche ou tache, c’est tellement évident…et si souvent ignoré aujourd’hui.
Horripilant.
Le léZard a goûté ce sacré polar sur une cuisine niçoise guère orthodoxe !
Après les maths, l’IA, « nous, on a Lucie ? »
https://www.bfmtv.com/tech/intelligence-artificielle/moquee-par-les-internautes-l-ia-francaise-lucie-concue-avec-le-soutien-de-l-etat-ferme-temporairement_AN-202501260175.html
Lucia, patronne de Syracuse.
lequel de nous deux était le « protagoniste »?
>Je cuide
Le principal 😄
Clopine Trouillefou.
Moi je.
À un moment, on n’a pas le choix : c’est ou dire, et publiquement, ou crever.
Pour ma part, il n’y a pas d’orgasme.
Lorsqu’on peut ne pas, on peut ne pas.
Marguerite, elle, a eu tjrs besoin.
L’amant de la Chine du nord aux sommets himalayens.
La trahison reste la trahison.
Babacar Niang.
Elle dit de ceux qu’elle traduit au tribunal (des délinquants, voleurs, violeurs, la lie de leur terre) elle dit « ce sont les miens ». In fine, elle est contente qu’ils envoient la France. Elle y met des formes, mais elle aussi encule la France. Si tu n’es pas heureux où tu vis, va vivre ailleurs, ou rentre chez toi. Un jour lointain, un Noël oui, je lui avais dit déjà « rentre en Algérie ». Elle m’avait répondu « c’est la première fois que quelqu’un me dit ça. »
Ben oui, mais si personne ne te le dit, comment tu le sais ?
Et puis, faire semblant que la terre soit legere alors qu’elle est terriblement lourde, cela sert à quoi pour avancer dans la vie ?
Que l’on te répète en litanie « c’est pas grave ? » alors que c’est abominablement grave ? Que l’on fasse comme si c’était rien, alors que c’est épouvantable ?
Je suis pour prendre le taureau ♉ par les cornes : le travail est colossal, mais le sillon a changé.
Après, chacun sa vie, et à chacun des resoonsabilités.
Les gens en évolution, et capable de, je les admire profondément, pour la simple raison qu’ils sont en mouvement, le complet contraire du botox.
Ceci dit, les paysans ont bien chié sur leurs truffiers, pour engraisser leurs champignons.
Un peu long, pardon.
Sainte Lucie est la patronne de Syracuse, certes, mais elle protège aussi les aveugles, les maladies des yeux, les ophtalmologues et les électriciens. Enfin, tout ce qui a trait à la lumière en raison de l’étymologie latine du nom Lux. Une amie dont le père était anarchiste s’appelle Luce (Lumière).
In fine, elle est contente qu’ils enculent la France.
légère
responsabilités
Bonne journée
Moi je suis pour vivre en conscience et hors déni.
Quant à la remarque vacharde d’hier sur CT.
Trente ans de couple, un gosse.
Deux mecs au départ Jules et Jim.
Les choix, ils se font comment ?
Non. C’est une trahison de la part du compagnon, et de la pire espèce. On en meurt.
Et ils se sont choisis. Mais comment on se choisit ?
Et pourquoi pas Jim ?
(merci Passoul pour nous avoir rétabli l’horodateur, j’avais oublié d’en saluer l’initiative… Voilà un beau cadeau de début d’année de l’RDL -> le message du 26, à 11.29 s’adressait à Ch. P -> désolé pour C. T.)
Ah, oui, tellement génial.
M’a permis d’apprendre que Cerbère était mon patron, crénom, le 27 à 11h29.
ROSE/
James Joyce était son père. Samuel Beckett, son grand amour. Voici son histoire.
Lucia Joyce, la fille unique de James Joyce, est une énigme. En 1929, elle était l’étoile montante de la danse contemporaine à Paris. En 1934, à l’âge de vingt-six ans, elle est totalement brisée et disparaît de la vie publique, passant le reste de sa vie enfermée dans des asiles psychiatriques. La plupart de sa correspondance et de ses dossiers médicaux ont été détruits. Qui est-elle et que lui est-il arrivé ? La Fille de Joyce donne enfin une voix à Lucia.
Inspirée d’une histoire vraie, La Fille de Joyce est le récit émouvant et passionnant de la vie de Lucia, une artiste sans œuvre, brisée par l’amour destructeur de son père et premier martyre de la psychiatrie.
https://www.babelio.com/livres/Abbs-La-fille-de-Joyce/1320628
A PROPOS DE LUCIA,
son père n’avait pas de bons yeux
Victime de problèmes oculaires fréquents, James Joyce, alors âgé de 42 ans, dut se faire opérer mais n’a pas recouvré la vue. Ses angoisses face à cette situation le submergent et l’homme de Lettres décide de se confier dans une lettre destinée à son amie Harriet Shaw Weaver.
https://www.huffingtonpost.fr/actualites/article/lettre-de-james-joyce-a-harriet-shaw-weaver-ma-vue-n-est-jusqu-a-present-pratiquement-pas-meilleure-et-cela-me-deprime-beaucoup_63126.html
c’est Bloom qui devrait nous en parler!
Macron et ses ministres entre 2017 et mi-2024 sont les premiers responsables des chiffres désastreux du chômage révélés aujourd’hui.
MACRON DEMISSION
il faut bien voir, je veux dire bien comprendre, je veux si on regarde les choses de façon objective, que les néoconservateurs américains représentent l’organisation la plus mortifère et la plus meurtrière depuis la fin de la 2è guerre mondiale.
bien plus que tous les groupes terroristes réunis : ils ont fait plus de morts que les khmers rouges !
Vous parlez de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz il y a 80 ans ? Vous avez raison.
Mais pourquoi gardez-vous donc le silence sur ce jeune juif tué à 14 ans il y a 3 jours à la sortie d’un stade du 14ème arrondissement parisien ?
A propos de protagoniste
il faut bien noter que dans le théâtre grec ce terme ne désigne pas le héros d’une piècen mais l’acteur principal nqui cumule parfois ce rôle avec un autre rôle ,l’acteur chargé d’un ou plusieurs des rôles secondaires étant le deutéragoniste
Faire du protagoniste le personnage central d’une fiction ou d’un événement est donc un abus de langage
il n’est pas rare que lorsqu’on dit qu’on est juif, quelqu’un oppose(la concurrence!que sa grandmère a été déportée;
déportation ne vaut pas conversion
La mairie du XIIe arr., où Chedly et moi nous sommes mariés le 23 novembre dernier, est partie en fumée cette nuit…
Notre amour serait-il incendiaire ?
Lucia di Lammermoor est un opera seria en deux parties et trois actes de Gaetano Donizetti, sur un livret en italien de Salvadore Cammarano, d’après le roman La Fiancée de Lammermoor de Walter Scott. Il a été créé le 26 septembre 1835 au teatro San Carlo de Naples1.
La version française Lucie de Lammermoor, fut créée le 10 août 1839, au Théâtre de la Renaissance à Paris, dans laquelle le compositeur ainsi que les librettistes Alphonse Royer et Gustave Vaëz ont apporté d’importants changements.
@jazzi
vous écrivez
« Les places à l’agrégation sont distribuées.
Que valent-elles, quand on sait que les premières places ne se donnent pas, elles se prennent ? »
je ne comprends pas ce que vous voulez dire
JC….. dit: 27 janvier 2025 à 5h16
AUSCHWITZ-BIRKENAU
Pour saluer, à l’occasion du 80ème anniversaire de la libération du camp, les milliers de morts assassinés par une nation européenne dévoyée, devenue terroriste.
Ne jamais oublier. Ne jamais pardonner. Ne jamais récidiver. Reposez en paix, frères humains.
Je plussoie.
Ne jamais pardonner. Stefania Auci en parle au moment de la mort (tout le monde meurt, dans le désordre), elle emploie le mot indulgence. Semble impossible à atteindre.
■ MARQUE DE DOMAINE : ANTIQUITÉ GRECQUE. Acteur tragique qui jouait le premier rôle dans une pièce, par opposition à Deutéragoniste et Tritagoniste. Par convention, la porte centrale du mur de scène était celle de la maison ou du palais du protagoniste.
▪ Par extension. Personnage principal d’une pièce de théâtre, d’un film. Dans « Tartuffe », de Molière, le protagoniste n’apparaît qu’au troisième acte. Dans les représentations de nô, le protagoniste est masqué.
▪ Fig. Toute personne qui tient une place importante dans une affaire. Un conciliateur a réuni les protagonistes du conflit.
Ouf … en français, le protagoniste n’est pas nécessairement unique
https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9P4714
c’est Bloom qui devrait nous en parler !
Yep, Bloom
Moi non plus, Rosanette…
Je cuide
de la vie de Lucia, une artiste sans œuvre, brisée par l’amour destructeur de son père
Pas brisée par ce grand amour inassouvi pour Samuel Beckett ? Comme Camille Claudel et son Auguste Rodin ?
@ D. – On n’est pas toujours là, à la RDL, pour vous commenter l’actu immédiate des faits divers les plus divers et établir les parallèles qui vous arrangent. Dites ce que vous avez sur l’endive, et point barre.
@ Lee Quid. Enlevez au moins les renvois de note de vos messages copiés collés avant de les poster, c’est agaçant à la fin, ce serait la moindre des politesses. Merci par avance, au nom de l’herdélie générale.
@ jzmn – Ah bon, vous vous êtes mariés ?… Avez-vous gardé votre nom de jeune fille ? Félicitations…, après avoir vilipendé durant des années cette institution hétéro, il fallait oser. Et même pas de merci @ Christiane T. ?… Y avait pas l’feu au bocal, non plus, faut dire. Je rappelle qu’on peut toujours divorcer en cas de problème dans le XIIe, car il n’est jamais trop tard pour bien se désunir plutôt que de souffrir.
« La première nuit à Auschwitz, Judith fait un rêve où apparaît cette tante qui lui dit : « Rassure-toi ma petite, tu vas vivre, j’ai fait le sacrifice nécessaire pour toi. » La jeune fille est touchée. « Moi, un peu naïve, je me suis mise à penser qu’elle allait intercéder auprès de Dieu pour moi. »https://www.lepoint.fr/histoire/judith-elkan-la-premiere-nuit-a-auschwitz-j-ai-fait-un-reve-27-01-2025-2580855_1615.php?boc=950458&nl_key=c9d208096a0cf9890af148e732b7f0569a768fe1b915dacd51f2d2d7cda0cdd7&m_i=7YUWJavEuBUOoT62roygre_7AhFU1wJ2Bhd4pYwHKOG%2BRdmU_Aj08OvzEg_C3gQqzXBmNkYPR5QTVNV1PJnFk58jYfU77l&M_BT=8578862840
c’est étrange;j’ai une nuit rêvé de ma tante, qui avait été déportée comme ma mère à Auschwitz;et avec elle envoyée à TERESIN?O% ELLES FURENT LIB2R2ES.MA M7RE MOURUT,j’avais connu ma tante que j’ai aussitôt reconnue dans mon rêve qui disait son prénom;
je ,’ai eu de cesse de retrouver cette tante,qui mourut folle peu après, mais avait accepté de donner quelques archives au CDJC où je l’avais accompagnée;
Rosanette, une façon de dire que les premières places s’imposent d’elles-mêmes, naturellement ou d’autorité, mais jamais du fait d’un jury quelconque.
A l’agrégation ou dans les divers prix : Nobel, Goncourt, Oscars ou César…
Mon mariage a été largement commenté sur la RDL, JJJ.
Et, à mon grand étonnement, unanimement salué, même par Marie Sasseur.
Un seul bémol, néanmoins, venu de la Normandie profonde…
Vous aurez manqué cet illustre épisode ?
Oui, je l’ai manqué. Désolé, jzmn. A cette époque de grand déménagement, je n’étais plus à moi. Alors, si tout le monde est content, moi itou.
« On regrette que trop peu de candidats ayant choisi de centrer leur propos sur le libre arbitre se soient interrogés sur les conditions d’un agir dans un univers réglé par la nécessité […] »
Comme c’est bien dit. Personne ne s’est posé la question ?
Pour Leibniz la réponse est simple. L’action humaine a déjà été prévue dans les plans divins. Donc il faut y aller franco.
quant aux personnes avides de confidence, et ne comprennent pas que leur voracité n’encourage pas à parler, voici un souvenir:ayant aperçu une photo, je lui demandai,le jour où je la visitai, sielle pouvait me la montrer
-« on ne demande rien à une personne qui a perdu sa mère jeune »
cette mère perdue était ma grandmère morte dans la déportation, mais j’avais aussi perdu ma mère jeune:
c’est dire que je n’ai pas demandé à connaître ses archives avant qu’elle les confie et commente à l’archiviste préposée ; et que plus tard, je n’ai pas demandé à les voir;c’était déjà un « miracle » d’avoir réussi alors à l’emmener jusque là
et qui ne comprennent pas
je veux dire que le refus de « partage » comme on dit ne privient pas de la crainte de n’être pas comprise », ni du désir d’être comprise, mais du refus de rien savoir devos élucubrations psychologiques publiques à mon égard ,ou à propos de mes « parents »,et de ce que vous en recherchez de votre compréhension,de votre savoir; j’ai assez à faire,pour ma part, avec ces considérations,ce rêve du visage de ma tante ,avant sa disparition;
ne provient pas
Rose, un chrétien ne peut pas écrire « ne jamais pardonner » s’agissant de ceux qui demanderaient sincèrement le pardon, mais combien l’ont fait,en effet ?.
quand je dis: »j’ai assez à faire », je pense aussi que vous avez assez à faire, et que le temps doit vous en être laissé;
ce sont des DROITS
« Avez-vous gardé votre nom de jeune fille ? Félicitations…, après avoir vilipendé durant des années cette institution hétéro, il fallait oser. Et même pas de merci. »
« Même pas merci ». Merci à qui ?
Le pardon est une connerie.
Ne jamais pardonner.
Simple. Efficace !
Radical.
D.
Oui.
Hélas, trois fois. Mais la vie est ce qu:elle est.
Je cuide
Bien lu vos remarques
« on ne demande rien à une personne qui a perdu sa mère jeune »
Et un enfant.
Et son mari.
Colle de lanière générale il est difficile de demander à celui/celle qui a tant souffert, s’il/elle refuse de dire, c’est son droit, son intimité.
comme de manière générale
«… de la vie de Lucia, une artiste sans œuvre… »
Elle a fait partie du groupe et s’est produite en France, en Autriche et en Allemagne ; mais à un moment donné, elle a décidé qu’elle n’était pas assez forte physiquement pour être une danseuse, et a abandonné la danse pour se consacrer à l’enseignement.
La recherche des causes de la schizophrénie dans un amour non partagé détecte la pensée magique. Ce n’est pas non plus la décision d’abandonner la danse. N’oubliez pas que Giorgio, excellent ténor, a échoué dans sa carrière de chanteur d’opéra parce qu’il était trop timide. Calder lui a également dit « non », mais passons outre.
Les conditions de vie ont certainement joué un rôle. Lucia et Giorgio ont grandi dans une étrange relation symbiotique et le mariage de Giorgio est vécu par Lucia comme un abandon, elle se sent rejetée par trois hommes en peu de temps (son frère, Beckett et Calder). En outre, la famille a vécu dans des conditions économiques précaires, errance entre Trieste, Paris, Zurich — et de brefs retours en Irlande —. Au moment critique, le père travaillait au Finnegans et exigeait un calme que la relation entre Nora et Lucia ne permettait pas. Enfin, autre errance, mais celle-ci entre cliniques et asiles, thérapies expérimentales, psychanalyse jungienne, diagnostics contradictoires jamais vérifiés.
On pourrait encore creuser, mais pas d’envie et peu de temps.
Les crimes contre l’humanité, tels qu’ils sont définis par la résolution des Nations Unies du 13 février 1946, prenant acte de la définition des crimes contre l’humanité, telle qu’elle figure dans la charte du tribunal international du 8 août 1945, sont imprescriptibles par leur nature.
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000684761
Ils ne reste plus aux criminels en bras de chemise qu’à abolir l’humanité
@jazzi
j’ai compris et suis d’accord avec vous;
ce qui signifie que ceux qui occupent ces premières places ne sont pas représentatifs du niveau moyen de ceux qui pourront se prévaloir de cette onction
étrange ces commémorations de la Shoah alors que dans le même temps l’Europe vient de dégommer 1 million d’ukrainiens (morts et blessés) en les empêchant de signer des accords de paix pour les pousser à la guerre pour le pas que l’occident perde son hégémonie dixit Boris Johnson qui devrait être poursuivi comme criminel de guerre.
il y a tout de même comme un parfum de grosse hypocrisie.
3j tu sais, c’est pas facile ts les jours le boulot de fact checker.
rendre visibles des trucs invisibles comme dit passou c’est limite une vocation.
C’est vrai ça keupu ; la monde n’a pas toujours été un « chantier de démolition » pour les entrepreneurs du BTP, les affairistes de l’immobilier et les millénaristes en politique
le monde
le type du cnrs qui pousse à quitter X pour aller sur Mastodon a fait une présentation assez drôle où il montre un tableau où il compare les divergences d’opinions sur les 2 résueaux sociaux : sur X ça part dans tous les sens, alors sur Mastodon il n’y a aucune divergences, pour lui c’est l’argument n°1 pour quitter X et aller sur Mastodon.
pour ce type un bon réseau social est un lieu où tout le monde pense la même chose.
un peu comme les débats sur Arte ou LCI.
question : quelle est le sens d’un tel comportement social et politique ?
c’est ma foi une excellente question et je me remercie de me l’être posée…
@«… de la vie de Lucia, un artiste sans œuvre… »
bon je vais encore faire mon boulot de fact checker.
c’est faux ! Paco de Lucia est très loin d’être un artiste sans oeuvre.
Sur ce même thème, le point de vue du Guardian (cher à Bloom)
https://youtu.be/3-APSXZy9UI?si=eKnRrC6DhRqtnqCA
@ »Alexandre Zinoviev (L’âge d’homme, 1978), auteur soviétique »
fact checking : faux ! Zinoviev était un auteur russe anti soviétique.
d’ailleurs il s’est barré de Russie.
Mais, ainsi qu’on l’a fait observer, il y est revenu mourir …
@Sur ce même thème, le point de vue du Guardian (cher à Bloom)
https://youtu.be/3-APSXZy9UI?si=eKnRrC6DhRqtnqCA
Des femmes, des enfants, des vieillards, des hommes survivent dans ces décombres, inhument leurs morts – ce qui caractérise l’humanité depuis la nuit des temps – dans ces conditions, en 2025 ?
@ce qui caractérise l’humanité depuis la nuit des temps
Résumé simplement en quelques paragraphes
https://www.nationalgeographic.fr/archeologie/quand-lhomme-a-t-il-commence-a-enterrer-ses-morts
Je signale le tour récent entretien de Philippe Bilger avec BHL, qu’on trouvera sur YouTube ou sur son blog. Sur ce blog, je le commente ainsi
« Merci de nous avoir offert cet entretien avec BHL.
Je suis de ceux qui n’ont jamais détesté cet homme .
Je viens d’apprendre plusieurs choses.
Il recommande la lecture du livre de Claude Lefort, « Les droits de l’homme sont une poltique » et celui de Claude Lanzmann , « Le Lièvre de Patagonie, » « chef-d’oeuvre » absolu ».
Sa femme est sa première lectrice.
Il est président du Conseil de surveillance de la chaîne de télévision Arte.
Il a 76 ans.
Il songe à écrire ses mémoires.
Il a eu le courage d’affronter les étudiants de plusieurs universités américaines pour tenter de changer leurs idées fausses sur Israël.
Il a deux aversions : LFI et le RN. Moi aussi. Je crois qu’il leur préfère, de très loin, le président Macron, sans le dire. Moi aussi. Moi, je le dis. »
Monsieur Charoulet : on ne déteste pas BHL, on s’en amuse
« Deux adolescents arrêtés en Iran، pour avoir bougé leur corps sur de la musique et partagé leur joie avec le monde, pour avoir dansé. »
@ 14.46 / Merci à qui ?
A Christiane Taubira, banane… ministresse de la Justice à l’époque… Pas Mme Hidago, pour sûr, hein ? faut suiv’. Jzmn a pigé…
@ »on ne déteste pas BHL, on s’en amuse »
pas un type qui défend sur toutes les chaines de TV Netanyahu et l’extrême droite israélienne tout comme les néoconservateurs otaniens et les bandéristes ukrainiens, qui a une part de responsabilité dans le bordel libyen etc… et qui du coup a le sang de milliers de pauvres gens sur les mains c’est pas trop vraiment un truc qui m’amuse.
@et qui du coup
Ta gueule keupu !
@ »Mais, ainsi qu’on l’a fait observer, il y est revenu mourir … »
exact tout comme Soljenitsyne, Zinoviev est revenu mourir en Russie (quand elle n’était plus soviétique) parce que la France (avec l’otan) avait bombardé Belgrade avec des bombes à l’uranium appauvri à cause desquelles des serbes continuent de mourir.
ce que je dis là est vraiment très grave, et le truc qui m’a toujours étonné c’est l’extrême légèreté avec laquelle on a toujours considéré cet épisode de notre Histoire européenne.
malgré même sainte vocation des écrivains et des artistes à rendre visible ce qui est invisible cette histoire est restée assez invisible.
en fait je crois qu’on loue cette vocation des écrivains à rendre visbles les trucs invisibles quand ces trucs nous arrangent : là ils trouvent des éditeurs pour promouvoir cette visibilité et des critiques comme passou pour la saluer.
quand ces trucs invisibles ne nous plaisent pas on ne trouve personne pour les rendre visibles.
ça fait penser à ces réactions des médias quand Trump a parlé de prendre le contrôle du Groenland.
tous les médias ont dit « Trump attaque un pays de l’OTAN : le Danemark ».
après réflexion ces mêmes journalistes l’ont mise en sourdine parce qu’ils se sont rendus compte que les danbois n’avaient rien à faire là, au Groenland, que c’était juste une continuation aberrante de l’esprit colonial.
le Groenland n’appartient pas aux danois :ils appartient aux groenlandais ! à ces tribus indigènes qui ont vécu là depuis des générations avant de voir se pointer des débiles qui venaient leur vendre l’esprit des Lumières.
parce que ce peuple groenlandais avait déjà des coutumes ancestrales que nous sommes venus piétiner du haut de notre arrogance !
l’étape suivante c’est que ce pauple retrouve son indépendance et décide de lui-même s’il veut travailler avec les américains parce que ce choix leur appartient à eux et non pas à nos abrutis de journalistes.
qu’aucune étude scientifique n’a, à ce jour, démontré les vertus curatives des lézards.
ET TOC
https://www.nationalgeographic.fr/animaux/braconnage-animaux-rares-commerce-illegal-il-est-utilise-dans-la-medecine-traditionnelle-ce-petit-saurien-est-desormais-menace
« Ta gueule keupu ! »
un disciple de Thierry Breton…
@Sur ce même thème, le point de vue du Guardian (cher à Bloom)
https://youtu.be/3-APSXZy9UI?si=eKnRrC6DhRqtnqCA
ça, c’était il y a un an ; depuis, c’est la black-out
le black-out
@16.57 c’est pas facile ts les jours le boulot de fact checker /.
A chacun sa merde (sa tache ?)…, on va pas pleurer!
Juste remonter les filets
UN ENTRETIEN vraiment intéressantsur la r_gle du jeu , donc, avec Ady Walter, auteur d’un film surprenant qui retrace les derniers instants d’une communauté juive en Ukraine avant sa disparition.
https://laregledujeu.org/2025/01/15/41449/stthl-un-conte-yiddish-en-ukraine/
L’actrice ukrainienne Anisia Stasevich ne connaissait pas le yiddish, mais son grand père le parlait. Or en une semaine à peine, elle était capable de jouer en yiddish et semblait très à l’aise, ce qui nous paraissait étrange, car elle ne l’avait jamais appris. Et lorsque le coach lui a fait remarquer qu’elle pouvait se passer de lui, elle lui a répondu, « c’est vrai, le yiddish est présent en moi ; j’entends mon grand-père le parler ».
Ce qui nous ramène à la phrase de Lacan… Quelles ont été les réactions à Shttl en Ukraine ?
Très bonnes ; le film est sorti pendant la guerre, une période étrange, car les cinémas étaient très fréquentés, à cause du couvre-feu, et ils étaient remplis matin, midi, et soir. Aussi tout le monde a vu Shttl ! A Kiev, Dnipro, Odessa…Tout le monde se rendait au cinéma ; même les professeurs y emmenaient leurs élèves.
A propos d’enfance, la notion de filiation est très présente dans votre film : la relation au père, à la langue, à la spiritualité…De quelle façon Shttl est-il arrivé dans votre parcours personnel ? Correspond-il à un moment particulier de votre vie ?
Le film est réalisé pour mes enfants. En effet, la transmission est présente, ainsi que la figure du père : j’ai reçu et j’avais envie de donner. Mes enfants, d’ailleurs, jouent dans la scène de la synagogue. Car ce film les concerne : c’est leur histoire. L’idée du film m’est venue lorsque mon épouse était enceinte de mon fils, en 2014. C’est la première fois que je fais le lien…
Avez-vous observé une différence d’accueil entre l’Europe et les Etats-Unis ?
Aux Etats-Unis, l’accueil est émotionnel ; le judaïsme est une composante de l’identité américaine, à la différence de l’Europe. À la fin de la projection au Congrès à Washington, un des spectateurs qui initialement ne tenait pas à voir le film – « je suis venu pour ma fille, qui souhaitait que je le vois », a-t-il dit – a pris le micro pour s’exprimer, mais il s’est effondré en larmes. Aux Etats-Unis, les réactions sont très émotionnelles, à la différence du public européen. Et j’ai vu des Ukrainiens, juifs et non-juifs, main dans la main ; c’était beau de voir la conciliation des mémoires.
Lein Kamof, édition originale. Emmaüs Pau, musée de la Résistance et de la déportation, 80 ans de la libération aujourd’hui 27 janvier 2025, robert antelme aussi libéré.
Merci je cuide pour vos mots sur votre maman et votre tante.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/pyrenees-atlantiques/pau/ca-fait-froid-dans-le-dos-une-edition-originale-de-mein-kampf-decouverte-parmi-les-dons-a-emmaus-3097318.html
Mein Kampf , édition originale. Emmaüs Pau, musée de la Résistance et de la déportation, 80 ans de la libération aujourd’hui 27 janvier 2025, robert antelme aussi libéré. Six millions de morts dans les charniers.
Et la douleur.
Merci je cuide pour vos mots sur votre maman et votre tante.
@ET TOC
Et toc toc les paltoquets
Pour la première fois depuis 300 ans, quatre ibis chauves ont été observés dans les Pyrénées françaises.
Ces oiseaux comptent parmi les espèces les plus menacées au monde, symbolisent une réussite pour les programmes de conservation
Source : Office français de la biodiversité
Est-ce que fact checker pourrait être traduit par vérifier les informations ?
🦩+🦅 = ibis chauve
idem
« Les Américains s’approprient cette histoire ?
C’est leur histoire. L’Ukraine est le cœur de l’histoire juive. Les grands maitres viennent d’Ukraine : le Baal Shem Tov y est né. Et Odessa a nourri l’Amérique. Au regard du nombre de Juifs américains originaires d’Odessa, cette immigration est constitutive de l’identité américaine : il y a une énorme communauté juive ukrainienne. Et retracer cette histoire, c’est rentrer dans l’imaginaire de cette société. Ce n’est pas le cas en France.
En Europe le film reste un objet, aux Etats-Unis il incarne donc l’Histoire ?
Absolument. C’est aussi pour cela que je dis : c’est leur Histoire.
une marche d’espoir à plusieurs hauteurs de vues, devant l’ONU https://www.thisiscolossal.com/2022/12/jr-eyes-on-iran/
Le fact-checking est une technique de vérification des faits et de chiffres, et il traduit « vérification des faits ».
il EST traduit
Maintenant, chez Meta, les act-checkers sont remplacés par des notes de la communauté.
L’effulgence est un terme soutenu qui désigne une grande luminosité, un éclat intense et brillant. Ce mot provient du latin « effulgere » qui signifie briller, rayonner. Ce concept peut être utilisé pour décrire la splendeur d’un élément naturel, comme le soleil ou les étoiles, mais aussi la beauté exceptionnelle d’une œuvre d’art ou d’un objet précieux. Ainsi, l’effulgence exprime la puissance d’une lumière éblouissante, capable de susciter l’admiration et l’émerveillement.
(ex. : j’avais une mère juive qui était très effulgente)
Une étude menée auprès des partisans de Trump pendant la campagne présidentielle de 2016 a révélé que si la vérification des faits concernant les fausses affirmations de Trump réduisait la confiance de ses partisans, les corrections apportées à ces affirmations ne modifiaient pas leur attitude à l’égard de Trump.
https://web.archive.org/web/20181212032312/https://www.dartmouth.edu/~nyhan/trump-corrections.pdf
Pour avoir un aperçu des coulisses : La Fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie par Edward S. Herman et Noam Chomsky.
Tu dors, Puck ??
Les quelques mensonges de Trump arrivent sur un océan de mensonges dont il n’est pas l’auteur. Ceci explique certainement en grande partie le fait que ses supporters ne lui en tiennent pas rigueur.
Et c’est une très puissante personnalité.
Me suis procuré le petit livre de Michel Onfray sur Sade.
vérifier les informations = « vérification des faits » = notes de la communauté = fact checking.
Notre cinéma de Forcalquier est plus politique que poétique.
Quatre spectateurs pour C’est pas moi de Léos Carax et treize pour Spectateurs de Arnaud Desplechin.
Soirée magnifique.
Abondance de références, deux manières de traiter le sujet. Même amour du cinéma, oserait-on dévotion ?
En commun Hitchcock, la Shoah, et bcp d’autres choses, l’esthétique, l’histoire, la réalité, l’amour,…
Chez Carax,
En exergue MERDE
Idées fatales
Famille maladie.
Hommages.
Multiplicité de points de vue.
C’est moi mais c pas moi.
Après la fin Bonne nuit les petits, le marchand de sable vient de passer, Pimprenelle et Nicolas.
Puis, ce final merveilleux avec Annette.
On continue, hein, à aller de l’avant. On y va. Allons-y.
Ai redemandé à FD. Le balcon, c’est non. Définitif. Merdalors.
En commun aux deux réalisateurs aussi :
Humiliés et offensés.
Douceur, immense.
Nostalgie.
_________
Nous sommes des gens privilégiés.
Merci.
Lucia, de JJ.
Le refus de soi tel que nous sommes en l’état, par des gens que nous aimons : c’est trop. Trop de douleur. Trop de souffrance : mes pensées à toi, Lucia, pour tous ces aveugles autour de toi qui n’ont rien su de la lumière dont tu irradiais. Merci, je cuide, de nous avoir ramenés vers elle.
_______
Le meilleur pour vous, Clopine Trouillefou pour 2025. Apaisement et recueil de nouvelles, dont Blaise en number one ?
Je ne sais pas qui est actif en France dans le domaine de la vérification des faits. En Italie, il existe plusieurs intervenants, dont l’un (AGI) publie quotidiennement des articles de vérification des faits et des déclarations du personnel politique.
Ce superbe travail de JR, qui a bcp travaillé avec Agnès Varda, Visages, villages, au bord de l’Hudson, face à l’ONU pour les femmes en Iran.
https://www.thisiscolossal.com/2022/12/jr-eyes-on-iran/
Merci JJ-J
On a ce groupe Anticor sur le plan judiciaire Renato, qui contrôle et vérifie, validé, invalidé par Gabriel Attal, revalidé le 5 septembre 2024 re-invalidé. À n’y rien comprendre.
Est-ce que leur fonction est fact-checking ou bien repérage des embrouilles ?
@le domaine de la vérification des faits
Vérifier les faits et citer ses sources ? Et puis quoi encore ??
Je ne connais pas Anticor. Celle que je connais et que je suis est AGI, une agence de presse qui ne mène pas d’actions en justice.
@Je ne sais pas qui est actif en France dans le domaine de la vérification des faits. En Italie, il existe plusieurs intervenants, dont l’un (AGI) publie quotidiennement des articles de vérification des faits et des déclarations du personnel politique.
Ecole de journalisme, carte de presse, ça parle à quelqu’un ?
Sans parler des écoles de la magistrature pour un examen des faits approfondi et minutieux ; autrement dit, qui s’inscrit dans la perspective d’un travail de vérité de longue haleine
Déontologie ? Un gros mot
Je cuide
Votre lien génial sur la règle du jeu à 20h01 aujourd’hui.
« Mais pour revenir à la phrase de Lacan, j’ai été frappé par une déclaration de l’écrivain Aharon Appelfeld, qui, à la fin de sa vie, avait dit, « je n’ai pas réussi, car je n’ai pas écrit de roman en yiddish ». Or son œuvre est énorme. Et qu’un écrivain d’une telle envergure puisse déclarer « je n’ai pas réussi » pour ne pas avoir écrit un roman en yiddish, m’a stupéfait ! »
Le e de la Disparition de Perec. Je ne comprenais pas auparavant votre style ! Merci à vous. Sur/ quant à l’ukrainienne/actrice qui n’a pas appris le yiddish mais le parle, le comprend, et n’a pas besoin du coach, une amie, fragile (mon entourage), qui ne sait pas lire et lit les sms ; elle est en train d’apprendre seule avec les sms.
« Ecole de journalisme, carte de presse, ça parle à quelqu’un ? »
Si cela suffisait, nous le saurions et nous n’aurions pas besoin du fact-checking.
Le e de la Disparition de Perec. Je ne comprenais pas auparavant votre shttl.
« Ecole de journalisme, carte de presse ».
Blablabla.
Je ne le redis pas, par respect pour Paul. Mais je le pense fortement.
Je le croyais suiveur : une m’a affirmé profondément acteur/actant. Une vraie pourriture par la moelle épinière.
Tournons les pages.
Le tome 4 sera difficile : la grande dégringolade, en chute libre.
Trois.
Le prétendu fact-checking sert manifestement de prétexte pour colporter des rumeurs en réseaux de manière démultipliée ; de ce point de vue, je comprends le « besoin » qu’il suscite, notamment chez vous
Enfin, une pensée pour Mozart : Vladimir Horowitz, Sonate pour piano N° 13 K333.
@Blablabla.
Illustration :
« Simple. Efficace ! » qu’il a dit JiCé en perroquet de Knafo ; « Radical » avez-vous répondu … Impressionnant
Une artiste sans œuvre, Lucia Joyce.
Je tiens à souligner que Camille Claudel est une artiste avec œuvre.
Même intensité de la douleur.
Même solitude dans l’abandon.
P.S : nous avons quitté Le soulier de Satin, de son frère Paul.
Impressionnant.
Le sujet était le pardon : pas le fact-checking, je vous rappelle.
Le fact-checking est né bien avant le réseau. Cela dit, je me fiche des sources, vous êtes apparemment assez « grand » pour les rechercher si cette démangeons vous prend.
Quel que soit le sujet, vous montrez une certaine constance dans votre attirance pour les manières, comment dire, expéditives ; j’imagine que vous les voudriez efficaces … le pardon, ah, oui, c’est ici, remontant ce fil de discussion, un hors sujet évident
Les bullshiters n’ont pas d’âge renato, vous avez raison
En revanche, je me souviens avoir donné la source lorsque j’ai écrit ici sur l’affront que représentait la nomination d’Ali Bahreini, ambassadeur de la République islamique d’Iran et représentant permanent auprès des Nations unies, à la présidence du Forum social 2023 du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, et la réaction stupide et prétentieuse sur la valeur de mes sources de la part de Monsieur Jean Langoncet.
Piteux mensonge a posteriori pour une anecdote insignifiante de la part de renato qui enfourche toujours le même dada (rien à voir avec l’école de Zurich)
Rêve de Judith Elka et non pas de je cuide. La mère sa sœur, etc. Dslée.
Je ne vais pas vérifier à chaque fois.
Mettez des guillemets, tous ceux qui retranscrivent des paroles rapportées, c’est pas sorcier. Ouvrez « , fermez ».
Se souvenir de ses bevues serait la moindre des choses pour quelqu’un qui se prend au sérieux comme Jean Langoncet ! Vous avez mis en doute la qualité de ma source et c’est tout.
Et pour faire court et arrêter (pour ma part) ce dialogue de cons, je suis là pour le plaisir, je ne fais pas de thèse, je ne la joue pas universitaire, ni un journaliste. Si mes post sont intéressants, bien, sinon cela n’a pas d’importance.
Ce n’était pas un hors sujet.
JC….. dit: 27 janvier 2025 à 5h16
AUSCHWITZ-BIRKENAU
Pour saluer, à l’occasion du 80ème anniversaire de la libération du camp, les milliers de morts assassinés par une nation européenne dévoyée, devenue terroriste.
Ne jamais oublier. Ne jamais pardonner. Ne jamais récidiver. Reposez en paix, frères humains.
J’arrête là.
Renato
la nomination d’Ali Bahreini, ambassadeur de la République islamique d’Iran et représentant permanent auprès des Nations unies, à la présidence du Forum social 2023 du Conseil des droits de l’homme de l’ONU
Cela, je l’avais retenu (pas son nom).
Pour le reste, basta aussi pour moi.
@J’arrête là.
C’est là que vous devriez commencer
Pour ne pas recommencer
@Et pour faire court et arrêter (pour ma part) ce dialogue de cons, je suis là pour le plaisir, je ne fais pas de thèse, je ne la joue pas universitaire, ni un journaliste. Si mes post sont intéressants, bien, sinon cela n’a pas d’importance.
Ainsi soit-il ; faut-il désormais vous prénommer modeste, renato ?
@Vous avez mis en doute la qualité de ma source et c’est tout.
Vous avez, en vain et a posteriori, cherché des « sources » pour tenter de justifier vos affirmations anti ONU qui relevaient de la pure propagande en réseau
Quelqu’un a demandé à Luigi Tenco pourquoi il n’écrivait que des choses tristes. Il a répondu : « Parce que quand je suis heureux, je sors ».
@Blablabla
Pascal Praud et vous – «Donald Trump obtient en deux heures ce que la France n’est pas capable d’obtenir depuis 20 ans», selon Sarah Knafo.
Bonne journée aux bourriques efficientes
le fact checking c’est surtout un groupe de personnes dont personne ne connaissaient qui étaient là pour supprimer tout ce qui n’entrait pas dans les clous de le pensée officielle.
exemple : le sabotage de Nordstream, dès l’heure qui a suivi il y a eu un matraquage médiatique pour dire que les russes étaient responsables.
alors qu’un gamin de 6 ans pouvait comprendre que les russes n’avaient aucun intérêt à saboter un truc qui leu coûté un bras et que par contre qq semaines avant le conflit Biden avait dit ‘si les russes entrent en Ukraine il n’y aura plus de NS2’ : déjà à partir de ces 2 éléments cela aurait permis aux journalistes d’avoir qq pistes même sans avoir de certitudes, mais non les médias n’en démordaient pas : c’était un coup des russes.
le plus drôle c’est la dernière enquête du journal allemand : c’est les ukrainiens qu’ont saboté Nordstream2 tout en s’empressant d’affirmer de façon certaine que ni le président ukrainien ni les américains n’étaient au courant : c’est drôle non ?
je sais pas qui a la vocation de rendre visible les choses invisibles ce qui sûr c’est que nos journalistes sont passés complet à côté de cette vocation.
dans son interview avec Tucker Carlson, Donald Trump a dit que les dernières guerres menées par les américains leur ont coûté 9 mille milliards de dollars et des milliers de vies dont celles d’américains et n’ont absolument rien rapporté, le gain de ces guerres est nul pour les US.
cette déclaration pareille dans la bouche d’un président américain ça décoiffe et pourtant aucun média n’en a parlé.
dans ce genre de situation il ne s’agit même pas de rendre visible un truc invisible mais juste de rendre visible un truc déjà visible et pourtant nada !
et là on voit toute la nécessité d’une forme de fact checking des citoyens eux mêmes qui savent désormais qu’ils ne doivent surtout pas passés par les médias institutionnels pour avoir accès aux faits importants.
dans la mesure où la vocation de ces médias est de rendre invisible des choses visibles.
Il y avait un peu de Cesare Pavese en Luigi Tenco, renato.
Libération fatale : « Trum m’a tueR »
https://www.leparisien.fr/faits-divers/un-assaillant-du-capitole-abattu-par-un-policier-quelques-jours-apres-avoir-ete-gracie-par-trump-28-01-2025-EOTY56UGY5HLHA7IOJRQOGGRWA.php
Knafo.
La suprématie américaine, son cul c’est du poulet
https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/01/28/nvidia-perd-600-milliards-et-entraine-dans-sa-chute-le-nasdaq_6519363_3234.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default
Trump m’a tueR.
Au Japon, même effet : en prison, tu es plus en sécurité que chez toi => les vieilles dames volent (comme Ariane Ascaride, qui a Guediguian, une sacrée bande de potes, et a quitté Marseille, comme Pagnol).
Bonne journée,
Irréfutable GWG!
Je cuide
La 11 une chanson yiddish très pure.
La 17 la preuve d’un échec total (Hitler au trou) et une grand-mère celle de léo nataf, entourée de ses petits enfants.
https://www.instagram.com/p/DFU9JPIs6EF/?img_index=16&igsh=dTFqc2d2aWFtbWlu
Bonne journée
« Simple. Efficace ! » qu’il a dit JiCé en perroquet de Knafo (Jean Langoncet dit: 27 janvier 2025 à 22h15)
Perroquet ! Magnifique saillie ! Vous avez un humour remarquable, cher Dindon ! De Knafo, en plus ! Vous êtes un modèle pour moi ! …. GENIAL !
Mille mercis et bonne journée de méditation alcoolique.
A MES AMIS CATHOLIQUES
Je ne suis pas catholique.
Chaque dimanche j’écoute l’excellente émission « L’Esprit public », sur France Culture, à 11h. Ne voulant pas en rater une miette, il m’arrive d’ouvrir ma radio un peu avant. Or, un peu avant, c’est la fin de la messe (catholique). Dimanche, j’entends notamment ceci : « Prions encore le Seigneur. »
Voici ma question : « Dans votre esprit, peut-on remplacer « le Seigneur » par « le Créateur de l’univers » ou par « Jésus » ?
Merci de votre aimable réponse.
J’ai vu et aimé SHTTL qui a eu en France une sortie quasi confidentielle
Je l’ai vu comme un document ethnologique revelateur des tensions qui etaient en train de de fissurer la société juive traditionnelle ; j’étais avec une amie qui, elle l’a vu avec émotion : elle m’a dit : je croyais réentendre parler mon père ;
Effectivement je pense qu’on perd beaucoup et qu’on passe à côté de la dimension émotionnelle, quand on se fie au seuls sous titre ,et que le spectateur ne peut sentir résonner en lui les échos d’une langue ancestrale ,même s’il ne la comprend qu’à peine
A moi, qui l’ai vu avec distance, comme un document sociologique, voilà les réflexions qu’il m’avait inspirées :
J’ai découvert un monde oppressif qui ne pouvait qu’être voué à la disparition ;un monde où on est toujours sous le regard accusateur et culpabilisant des autres dans ce minuscule village. Un monde qui subit à la fois l’oppression de la religion et celle brutale et déculturante de l’occupant soviétique ; un monde où s’ajoute pour les femmes une oppression particulière, qui les voue au travail séculier, qui les exclut de l ‘activité noble ,l’étude, réservée aux hommes et les prive de la connaissance de la langue sacrée l’hébreu, ;un monde et où on décide pour elles de l’homme qui sera leur mari.
Et pour la plus jeune génération la tentation centrifuge de l’ailleurs , de la modernité loin de cette vie corsetée :C’est la tentation de l’athéisme ,et aussi de l’engagement politique dans le siècle , tentation vécue toujours dans l’inconfort de la transgression ,et rarement aboutie, sauf chez le courageux héros devenu communiste et incroyant et qui souffre d’avoir imposé son hérésie à son hassid de père .Lui qui pour completer l’inconvenance de son orientation iconoclaste , va travailler en ville ,à Kiev dans un domaine,, le cinéma contrevient au principe religieux de non représentation des humains .
J’ai aimé la manière dont ce film rend bien, et même avec humour la composante qu’on peut dire. folklorique de ce monde juif particulier , pas seulement les vêtements et les chapeaux ,mais le fait que tout est manière à pilpoul dans la vie quotidienne même dans ses aspects les plus triviaux , jusqu’aux échanges d’invectives dans les affrontements villageois, qui se font à coup de références à la Thora
ChatGpt :
L’appellation « Seigneur » pour Jésus a des origines à la fois bibliques, théologiques et culturelles. Voici les principales explications :
1. Origine biblique
Dans les Écritures, Jésus est souvent désigné comme « Seigneur » (en grec : Kyrios). Cette appellation tire ses racines de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament :
Dans l’Ancien Testament (en hébreu : Adonai), « Seigneur » est un titre utilisé pour parler de Dieu, en substitution du Tétragramme YHWH, le nom sacré et imprononçable de Dieu. En désignant Jésus comme « Seigneur », les premiers chrétiens affirmaient son égalité avec Dieu, reconnaissant sa divinité.
Dans le Nouveau Testament, l’appellation « Seigneur » est fréquemment utilisée pour exprimer la souveraineté et l’autorité de Jésus sur toutes choses. Par exemple :
« Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2:11).
Les disciples et apôtres l’appellent aussi « Seigneur » pour montrer leur soumission et leur foi.
2. Reconnaissance de sa divinité et de sa royauté
Le terme « Seigneur » dans un contexte culturel et politique de l’époque désignait une personne ayant autorité, comme un roi ou un maître. Appliquer ce titre à Jésus avait plusieurs significations :
Autorité spirituelle : Jésus est reconnu comme le maître de la vie spirituelle des croyants.
Autorité universelle : Jésus est perçu comme souverain sur l’univers, une affirmation souvent en contraste avec l’empereur romain, qui se faisait appeler « seigneur ».
Signe de divinité : Appeler Jésus « Seigneur » revient à l’identifier avec Dieu lui-même.
3. Dimension théologique
Le terme Kyrios souligne que Jésus est celui par qui le salut est accompli, celui qui a autorité sur la vie et la mort. Sa résurrection est un des fondements pour lesquels il est appelé Seigneur : « Dieu l’a souverainement élevé et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom » (Philippiens 2:9).
Reconnaître Jésus comme Seigneur signifie aussi lui remettre sa vie en obéissance et en foi.
4. Consécration dans la liturgie chrétienne
Dans les premiers siècles de l’Église, confesser que « Jésus est Seigneur » (Kyrios Iesous) était une formule de foi essentielle, souvent proclamée lors des baptêmes. Elle reste centrale dans la liturgie chrétienne, notamment dans la prière et les sacrements.
En résumé, le titre de Seigneur attribué à Jésus exprime sa divinité, sa souveraineté universelle et sa place centrale dans la foi chrétienne. C’est une manière pour les croyants d’affirmer que Jésus est à la fois leur Sauveur et leur Maître.
« Dans votre esprit, peut-on remplacer « le Seigneur » par « le Créateur de l’univers » ou par « Jésus » ?
Évhémère de Messine donna une interprétation rationnelle de la genèse des dieux : à l’origine des figures publique puissantes et respectées, plus tard vénérées par les citoyens. Il ne s’agit pas pour moi de me perdre dans un résumé, chacun peut faire une petite recherche à la bibliothèque ou via son moteur de recherche préféré, je rappelle seulement qu’au siècle d’Auguste, grâce à l’Évhémère de Quinto Ennius, les Romains intègrent ses idées dans leur théologie.
Donc, puisque « figures publique puissantes et respectées », la terme Seigneur è correcte et par ailleurs couvrons un très large spectre de population — on pourrait parler de terme antidiscriminatoire.
C’est en pensant à Lucia de JJ que Cormac McCarthy nous avait laissé ce formidable roman d’Alicia, Stella Maris, une extension du Passager. Remember. L’avez vous lu ?
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2023/05/17/limites-fiction-mccarthy/
couvrons > couvre
Signalons à l’RDL ce nouvel hommage au prolifique GAG, père du regretté MàC (Montaigne à Cheval).
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2025/01/21/freres-dexil-le-chemin-barre/
@JC….. dit: 28 janvier 2025 à 9h01
« Simple. Efficace ! » qu’il a dit JiCé en perroquet de Knafo (Jean Langoncet dit: 27 janvier 2025 à 22h15)
Perroquet ! Magnifique saillie ! Vous avez un humour remarquable, cher Dindon ! De Knafo, en plus ! Vous êtes un modèle pour moi ! …. GENIAL !
Mille mercis et bonne journée de méditation alcoolique.
On sent qu’une force de la nature hors du commun se cache derrière le perroquet sentencieux
si la mémoire est mon pays, je m’y suis engagée à fond, de la pointe des cheveux aux pieds, et tous les neurones
« Je n’aurais jamais tenu ces propos » déclare Yaël Braun-Pivet après le « sentiment de submersion » migratoire évoqué par François Bayrou.
… ah ça, avec ses avantages et son salaire de 16000 euros mensuel, on imagine qu’elle ne loge pas dans le 93 où elle aurait pu très facilement faire connaissance avec le sentiment en question. Pauvre France. Des personnes si haut placées (et plus étrangement toujours si haut placées) sont encore dans le déni des réalités qui détruisent la vie de leurs compatriotes au quotidien.
Quelle indécence.
Patrice Charoulet appelle les catholiques « ses amis ». Malheureusement, un catholique ne peut pas appeler un non-catholique « son ami », tout simplement parce que le Seigneur Jésus est ami du fidèle catholique de bonne volonté et que le fidèle catholique de bonne volonté est ami du Seigneur Jésus. L’amitié prétendument apportée par le mécréant est en flagrant porte-à-faux avec l’amitié des fidèles catholiques entre eux.
Patrice Charoulet n’est pas un ami, mais une âme en perdition que j’aimerais voir sauvée avant qu’elle n’entre mécréante dans l’au-delà.
Le « départ de X » n’est qu’un faux problème.
Seulement les crétins n’ont pas compris cl simple fait que X apprend, et que c’est donc à l’utilisateur de l’éduquer. Il y a par exemple la fonction « Ce post ne m’intéresse pas », si vous l’utilisez de façon cohérente, à un moment vous ne recevez plus de post similaires. Dans le mème endroit (trois points en haut à droite de chaque post), vous trouvez : « Bloquer @untel » et « Masquer @untel ».
En outre, les qualités des gents que l’on suit est prise en compte, donc leurs posts bien à part, on recevra des post d’autres intervenant intéressés par les themes qui vous intéressent.
Enfin, le « départ de X » n’est qu’un faux problème, j’en veut pour preuve le fait que le gens, surtout les gens de gauche, n’ont pas réagi si viscéralement lors de l’affaire des données Facebook-Cambridge Analytica, lorsqu’il a été révélé que Cambridge Analytica avait collecté les données personnelles de 87 millions de comptes Facebook sans leur consentement et les avait utilisées à des fins de propagande politique. Au moins Musk n’a pas agi en secret, et d’ailleurs, selon les informations actuelles, il n’aura même pas de bureau à la Maison Blanche, mais en face dans l’Eisenhower Executive Office Building.
Là où il n’y a aucun dictionnaire mais pleurs, amers regrets éternels et grincement de dents.
Quand un homme ou une femme veut faire carrière dans la politique, il ou elle ne le fait pas pour le bien commun, mais plutôt pour profiter des avantages, passe-droits, privilèges et autres « fromages » de la République afin d’assurer son propre bien-être personnel tout en fructifiant ses biens matériels.
C’est bien de faire de la politique, tellement bien…
Le léZard n’a pas été convaincu par le film où Vincent Lindon incarne un père courage, de gauche, dont l’un des fils vire à l’extrême droite.
bizarre:le monde a découvert deep seek nous dit Jorion, et Puck ne nous en parle pas?
@Signalons à l’RDL
Que l’un des deux livres de GA Goldschmidt, qui viennent de sortir en librairie traduits en français, a pour titre » le roman du frère « .
De ce petit ouvrage de 100 pages, on retiendra surtout que lorsque les souvenirs sont nécessairement en grande partie reconstitués et reinventés, il vaut mieux effectivement intituler cet essai, » roman « .
Exercice au demeurant dénué de toute empathie ou amour fraternel, qui laisse la curieuse impression d’avoir lu un qui cherche à préempter la vie d’un inconnu.
@renato
votre typologie des permanents de la RDL est exacte et correspond bien s
il y a d’une part les professionnels :universitaires ,thésards journalistes Ils sont ,competents informés ,familiers de l’intelligentsia
D’autre partles autres les braves gens comme vous et moi qui ont parfois quelque chose a dire au cours de la conversation
;mais tous comptes faits dans le cadre de ce blog qui marche « à sauts et a gambades » les interventions des uns ne sont pas moins pertinentes éclairantes ou intelligents que les interventions des autres
Merci à ce blog qui donne l’occasion aux uns de parler aux autres ce qui ne se produirait pas dans la vraie vie
A PROPOS DE DICOS P.Charoulet a-t-il remarqué que
« Neuroatypique et neurotypique : deux adjectifs qui ont fait leur entrée dans le dictionnaire Le Petit Robert
Le terme « neurotypique » est très récent. Il apparaît dans Le Petit Robert seulement en mai 2024. « Nous avions déjà envisagé d’intégrer « neuroatypique » au dictionnaire il y a quelques années, mais il était alors trop restreint dans ses usages, tandis qu’aujourd’hui on l’entend partout », souligne au Monde Géraldine Moinard, directrice de la rédaction du Robert.
La première trace de cet adjectif dans la littérature date de 1982 dans l’article « Principes propédeutiques pour les sciences des langages », où le biologiste Boris Rybak examine des « protéines neurotypiques ».
Il faudra attendre l’année 2003 pour que cet adjectif soit employé par le psychiatre spécialiste de l’autisme Bruno Gepner dans son article « Relations psychisme-cerveau, dualisme interactionniste et gradient de matérialité ». « Un fonctionnement neuroatypique est avant tout une diversité neuronale qui détermine une façon de ressentir, d’appréhender, de percevoir et même de comprendre le monde qui entoure ces personnes différemment de celles dites neurotypiques », explique Christelle Bédouche dans son livre.
L’avez vous lu ?
Pas réussi à atteindre la dernière page, ce bouquin m’a ennuyée, je n’ai pas compris.
Ce n’est pas en répétant mille fois les mêmes mensonges ou demi-verités, qu’ils vont devenir réalité pour l’histoire, Passou.
Les américains pratiquent bien cela, et même tres bien. Bâtir une réalité alternative, celle qui par clientelisme sera la » version officielle »
Sue Sansal aient été arrêté arbitrairement et que Sénat libération immédiate relève désormais de l’humanitaire est le minimum syndical qui ne peut être contesté. Mais ne demandez pas que l’on cautionne les propos d’un qui « partage » sa liberté d’opinion, ses contre-vérités, et son révisionnisme, dans un média facho d’extrême-droite. J’espère que vous savez faire la part des choses, si des profiteurs ne le savent pas.
C’est bien là toute l’indignation que suscite cette lecture :
https://www.lhistoire.fr/carte-blanche/boualem-sansal-ennemi-public-en-alg%C3%A9rie
« Les personnalités « atypiques » sortent de l’ombre. Mais la société contemporaine reste un monde hostile pour nombre d’entre elles. C’est pour les aider à s’adapter que Christelle Bédouche a conçu « Le cahier pratique pour adulte atypique » aux éditions Trédaniel.
medisite
Lire
Que Sansal ait été arrêté arbitrairement et que sa libération immédiate relève désormais de l’humanitaire est le minimum syndical qui ne peut être contesté.
Et votre aveuglement à propos de l’imam Daoud ne sera jamais le notre.
vous deviez vous absenter jusqu’à la mi-février, je vous croyais en voyage.
Toutes les fausses informations que PPPPP (Puck la Pute Payé Par Poutine) répand sur ce site depuis des années sur la Russie et l’Ukraine sont démenties par…. Poutine lui-même et ses conseillers dans le livre de Elisabeth Sieca-Kozlowski « POUTINE DANS LE TEXTE » (CNRS Éditions, 2024 – 375 pages, 25 €), un livre dont le sous-titre est « Textes choisis de Vladimir Poutine, de dignitaires et d’intellectuels russes. 2001-2023″, et l’épigraphe : » Les frontières de la Russie ne se terminent nulle part » (Vladimir Poutine le 24 novembre 2016).
Libération fatale : « Trum m’a tueR »
des enfants de choeur, d’un autre côté jamais compris pourquoi les flics ne tirent pas dans les genoux , dans l’épaule si le type est assis dans un véhicule, cela suffirait à les mettre hors de danger . Dans les séries américaines, ne nous sont montrées que des exercices de tir avec cible thoracique, ça doit être pour cette raison, sinon reste rait aussi la balle dans la tête, très efficace.
montrés, excusez.
12.53 /// (Exercice au demeurant dénué de toute empathie ou amour fraternel, qui laisse la curieuse impression d’avoir lu un qui cherche à préempter la vie d’un inconnu).
Merci. J’étais un brin mitigé, mais là, vous m’avez vraiment donné envie de le lire : je sors l’acheter fissa. En plus, il n’a pas l’air très long. Et j’adore les histoires de fraternalité juive ou arabe, toujours plus réelles qu’imaginaires, pas comme les histoires de filiations anti-œdipiennes, beaucoup plus barbantes en général.
*Oui, et n’oublions jamais que Boualem est une victime plus intéressante que Kamel. Rétablissons les faits ! Ils ne sont nullement des « frères » au regard de la vérité recomposée des faits journalistiques.
13.36 Mais non, il ne fait que corriger les faits contre leur déformation systématique par France Inter. Heureusement qu’il est là, comme exemple emblématique du justicier croyant à sa mission de salut public. Et il a pas mal converti d’erdéliens bêtement sceptiques par principe et paresse.
D’un point de vue strictement littéraire, les romans de Sansal sont d’une médiocrité abyssale. Je n’en ai lu que deux : Le serment des barbares et Le village de l’Allemand. Me sont tombés des mains dès la cinquantième page.
Cette Algérie décrite par Sansal faite de violences et d’atrocités en tous genres et ces algériens peints comme des « inhumains » par la plume de cet auteur enragé et revanchard, tout de même, cela me paraît trop exagéré.
Pour plaire à « Missiou Gallimard » peut-être ?
@Merci. J’étais un brin mitigé, mais là, vous m’avez vraiment donné envie de le lire : je sors l’acheter fissa.
Oui, c’est très marrant comme celui qui a pris toute la lumière médiatique n’est pas le plus intéressant des deux…
Même si le genre » roman » permet d’inventer et combler des » trous « , on perçoit néanmoins ce qui a fait que les frères ne se soient pas fréquentés, euphémisme…
Boualem Sansal, la du style . C’est pourquoi les insultes Sasseuriennes ( on la croyait partie en voyage, mais bon !)glisseront dessus…
Que Sansal traîne à sa suite tous les fachos de France et de Navarre, c’est normal. Il les à flattés.
PPPPP
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Comme l’andouillette ?
Je regarde en différé la série documentaire bouleversante diffusée, hier, sur la 2. « Auschwitz, des survivants racontent », réalisée par Catherine Bernstein. 5 épisodes de 40mn. 110 entretiens réalisés en 2006 à l’initiative de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah avec l’apport de l’INA.
Je pense très fortement à la Cerisaie d’Anton Tchekhov, en les écoutant.
Le regret du bonheur perdu.
« Ô mon doux, mon tendre jardin… Ô ma vie, ma jeunesse, mon bonheur, adieu !… »
Je vais me faire un maquereau, ce soir.
Et pour être tout à fait complet, est-ce la » qualité » littéraire des bouquins de Daoud et Sansal qui méritent un tel battage parisien ?
Il ne faudrait pas être dupes du fait qu’une nationalité française fraîchement acquise grâce à une intervention volontaire du sommet de l’état, se monnaye au prix d’un nationalisme de propagande infecte qui devrait faire honte à ceux qui y accordent la moindre légitimité tant il brosse tous les fachos de fransse dans le sens du poil.
Ne nous causez pas de patriotisme, même littéraire, vous n’êtes pas crédible.
Macron à annoncé une nouvelle tarification pour le Louvre, où les étrangers non européens payeront davantage. Je trouve ça très bien. Mais ce serait mieux de faire payer plus cher également les ressortissants de pays européens.
Dans le 92, on trouve assez facilement du maquereau. Mais les huîtres, c’est très difficiles.
Je pense que les Italiens qui arrivent en très grand nombre à Paris pendant les vacances, notamment à Noël, et qui logent dans des hôtels coûteux, peuvent payer au moins le double de ce qu’ils payent pour aller voir la Joconde.
Par contre les Portugais ont moins de moyens. On pourrait les faire payer moins que les Italiens, mais plus que les Français.
J’hésite entre maquereau et petits harengs frais. Les petits harengs frais sont excellents, mais plus difficile à trouver, quoique nettement plus facile que les huîtres.
Je vide mes poisson moi-même et je jette à mes poules les entrailles.
C’est toujours spectaculaire de lrs voir se précipiter dessus avec avidité, prêtes à se donner des coups de bec pour en avoir plus que la copine. Cela montre bien que les poules descendent de dinosaures prédateurs genre tyrannosaure, c’est à l’évidence dans les gènes.
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