de Pierre Assouline

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La République des livres
Jusqu’où est-on capable de s’engager au nom de l’idée patriotique ?

Jusqu’où est-on capable de s’engager au nom de l’idée patriotique ?

Voilà bien une question typique de la lignée Joseph Conrad-Graham Greene- John Le Carré ! Une famille d’esprit comme l’histoire littéraire en produit parfois sans que les écrivains se soient nécessairement connus. En feuilletant et feuilletonnant le XXème siècle depuis une dizaine d’années en compagnie de Pierre Lemaitre (1951), elle irrigue cette fois Un avenir radieux (592 pages, 23,90 euros, Calmann-Lévy). Pas un polar même si l’on est vite amené à se demander lequel de trois suspects est le coupable, car là n’est pas le problème malgré les fausses pistes et le suspens, il ne s’agit pas d’un whodunit. Non plus qu’un roman populaire ni social malgré sa première épigraphe signée de Victor Hugo. Ni même un roman d’espionnage en dépit de la seconde extraite de John Le Carré. Quoi alors ? Disons un roman d’action ainsi que l’a voulu l’auteur. Gardons-nous de relever un pléonasme eu égard au nombre de romans dominés par l’inaction des personnages, le caractère figé des situations, l’atmosphère gagnée par l’inertie. Chez Lemaitre, on commence à le savoir, ça avance ; la fin d’un chapitre renvoie automatiquement au début du suivant ; il donne au lecteur l’illusion qu’il lui raconte personnellement l’histoire, à voix haute cela va de soi ; on ne le lâche pas parce qu’il ne nous lâche pas.

Depuis Au revoir là-haut (Prix Goncourt, 2013), il s’est inscrit dans le paysage littéraire comme le romancier du temps long. C’est peut-être dans ce tropisme qu’on sent le plus intensément l’influence de ses lectures de jeunesse, l’ombre portée des grandes sagas, Les Thibault de Roger Martin du Gard, Les Buddenbrook, de Thomas Mann, Jalna de Mazo de la Roche… Ensemble, ses trois derniers romans (Le grand monde, Le silence et la colère, Un avenir radieux) constituent la série « Les Années Glorieuses », tendue sur le fil de ce que les historiens ont appelé les Trente Glorieuses, celles de la croissance, du nucléaire, de l’enfance maltraitée, de la résilience, du plan Marshall, du baby-boom, de l’exode rural, de l’extension des villes, de l’augmentation de la consommation… Quelle densité d’évènements concentrée en deux mots ! Une époque dont nous sommes issus. Le dérèglement climatique commence là avec le culte de la domination masculine, la question de l’avortement etc On doit l’expression à l’économiste Jean Fourastié qui, en clin d’œil aux « Trois glorieuses » de 1830, en avait fait le titre d’un de ses livres consacré à l’expansion économique sans précédent qu’avait connue la France de 1945 à 1973. Mais ce qu’illustre bien Lemaitre, autant sinon davantage que le titre devenu un chromonyme parmi les plus identifiables de l’histoire contemporaine de la France, c’est le sous-titre de Fourastié rarement cité : « La révolution invisible ». Une révolution permanente pendant près de trois décennies. N’est-ce pas justement la vocation d’un écrivain, donc d’un artiste, de rendre visible l’invisible en le dévoilant ? Pierre Lemaitre s’y emploie à son meilleur.

Ca fourmille sous cette plume inépuisable car il y a en cet écrivain un homme hanté par le spectre du désœuvrement. Il n’y a que lui pour s’y retrouver entre ses trilogies et ses tétralogies d’autant que l’une des premières est devenue l’une des secondes en cours de route. Ainsi une œuvre romanesque au long cours se métamorphose-t-elle en chemin en somme littéraire. Les lecteurs y suivent d’anciens coloniaux, les Pelletier, en leurs multiples péripéties au fil du temps de 1948 à 1959. Comme dans le reste de la fresque, la famille est le personnage principal dans la mesure où Lemaitre estime qu’elle est la première institution qui rend fou, avant l’école et le mariage ; la famille comme berceau de toutes nos névroses. Le groupe fait masse. Cette fois, une absence est leur noyau central, celui autour duquel ils agissent (mais ne comptez pas sur moi pour gâcher le plaisir de la découverte).

Voilà un romancier qui aime ses personnages, ce qui n’est pas si courant. A croire qu’ils sont tous ses enfants et qu’un père, n’est-ce pas, ne choisit pas entre ses enfants. Son empathie pour la petite Colette, victime de violences sexuelles dont elle ne parvient pas à s’ouvrir auprès de ses proches, la distingue peut-être de celle qu’il éprouve aussi pour ses autres créatures, même Geneviève pétrie de méchanceté (certains lecteurs ne lui pardonneront peut-être pas d’avoir traité l’astrologie avec ironie sinon dérision tant il la considère « par nature fantaisiste ») ou Jean qu’il rend pathétique alors qu’il est un meurtrier en série. Comme si l’auteur voulait nous dire que tout humain abrite en lui le fouet et la caresse et qu’il peut être bourreau ou victime. Les personnages ont évolué à travers le monde entre Paris, Beyrouth, Saïgon et, cette fois, Prague, où François, l’un des fils, le journaliste, se rend en mission, frayant parmi policiers, miliciens et délateurs. L’auteur les a tous imaginés en amalgamant comme il se doit des éclats venus de partout à commencer par ses lectures mais pas uniquement sans que jamais il ne tombe dans les travers du roman-à-clé, exercice des plus vains. Au-delà même de l’inspiration, c’est d’imprégnation qu’il s’agit inévitablement pour tout grand lecteur.

Sous le personnage de Lambert se profile Bloch, le juif honteux d’A la Recherche du temps perdu ; en Julien on entend les mots d’Alphonse Boudard dans la bouche de l’acteur Julien Carette ; il y a du Smiley made in Le Carré en Georges Chastenet et du France-Soir de Lazareff dans le Journal du soir ; la sœur Ursule prend racine dans les sœurs veillant sur Fantine dans les Misérables ; Marthe fait penser à la Martha Hanson dans la pénétrante série de Joe Weisberg The Americans multidiffusée partout dans le monde depuis 2013. Jusqu’au titre même du roman Un avenir radieux, clin d’œil aux lendemains qui chantent et au mythe de l’avènement d’une société sans classe mais qui, personnellement, m’a renvoyé à L’avenir radieux d’Alexandre Zinoviev (L’âge d’homme, 1978), auteur soviétique révélé par l’inoubliable Les Hauteurs béantes, qui, lui aussi, usait par dérision de la radieuse formule communiste.

  « Je n’en finirais pas de citer mes sources… » convient Lemaitre in fine. On le croit volontiers tant il tient à méticuleusement payer ses dettes à tous ceux auxquels il doit quelque chose. Avec une honnêteté si scrupuleuse qu’elle en deviendrait manique, il va même jusqu’à remercier nommément certains de ceux qui lui ont inspiré mots, visages, expressions, idées. N’en jetez plus car s’ils en sont propriétaires, le métier est fichu et les ayants-droits d’Ésope vont réclamer des droits d’auteurs aux héritiers de La Fontaine ! Dans une partie de l’intrigue, l’hommage à l’univers de Le Carré malgré la complexité de ses histoires (de lui il tient probablement que l’univers du renseignement est l’inconscient des sociétés occidentales) est évident quoique subliminal, étant entendu que l’Anglais était un grand romancier tout court injustement réduit à l’univers de l’espionnage au même titre qu’un Graham Greene.

Pierre Lemaitre est de ces auteurs qui ne se font pas prier pour parler travail et technique. On sait sur les traces de quels écrivains il veut inscrire son ambition (il doit la structure de sa fresque à Balzac, Dumas, Zola). Pour être subjective, elle se devait d’être historiquement incontestable. D’où ses recherches, tant pour le panorama que pour les détails ceux-ci crédibilisant celui-là, avec l’aide de l’historienne Camille Cléret, devenue au fil des romans son assistante et sa conseillère historique, sur l’apiculture, les radiations atomiques, la guerre froide, la topographie, la télévision ou le passé de Prague. La catastrophe nucléaire de Kychtym, une contamination radioactive suite à une explosion dans une usine de retraitement de combustible (Union soviétique, 1957) et celle de Windscale qui a vu le déclenchement d’un grand incendie à la suite d’un défaut technique majeur dans la construction d’une centrale nucléaire (Grande-Bretagne, 1957) l’ont inspiré. Dans les deux cas les gouvernements (et leurs alliés respectifs) ont choisi de ne pas informer les populations. Comme une certaine résonance avec notre époque. Lorsque Poutine brandit la menace nucléaire vis-à-vis de l’Ukraine, il est parfaitement synchrone avec la manière dont Khrouchtchev nous menaçait de la bombe atomique. Façon de dire que toute littérature est politique sinon Lemaitre ne serait pas Lemaitre.

(Photo D.R. et « Pierre Lemaitre » photo Bruno Lévy)

 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 313 Réponses pour Jusqu’où est-on capable de s’engager au nom de l’idée patriotique ?

Jean Langoncet dit: 28 janvier 2025 à 17h42

Incidemment, «Gaza va supplanter Auschwitz» : la comparaison choquante (Selon l’hebdomadaire Marianne) de l’ex-patron de Médecins sans frontières, Rony Brauman.

« Penser le fait génocidaire : histoire, mémoire, actualité. » Voici le colloque qui s’est tenu le week-end dernier à Paris. Le rassemblement a été organisé par deux organisations juives, Tsedek et l’UJFP (Union juive française pour la paix).

Qu’en pensent les contributeurs d’ici-bas ?

Christiane dit: 28 janvier 2025 à 17h56

Le cinquième et dernier episodey est le plus troublant : le retour des survivants, l’arrivée au Lutecia. La recherche pour chacun d’eux des éventuels survivants de leur famille. Les questions qu’on leur pose (ont-ils vu untel ou untel ? Pourquoi s’en sont-ils sortis, eux et pas les autres ? Leur impossibilité de raconter… L’accueil mitigé pour ceux qui s’étaient emparés de leurs biens. Comme si ces survivants embarrassaient avec les choses invraisemblables qu’ils racontaient. Pas facile ce retour…

Janssen J-J dit: 28 janvier 2025 à 18h01

Il faut tout reprendre à la base et bien comprendre la controverse juridique qui opposa à Nuremberg la notion de crime contre l’humanité à celle de génocide. La deuxième a fini par s’imposer, à bon escient pour Auschwitz. Hélas, son usage s’est répandu dans le monde de la conscience internationale à tel point que son sens initial s’est dévoyé et qu’on l’emploie désormais à tort et à travers.
***Idem pour la métaphore de la « submersion juive » (sic) à nouveau mobilisée par certains cercles centristes pour qualifier le péril des « flux migratoires » de la planète terrorisant les droites les plus extrêmes. Or, on ne jouera pas longtemps avec les incendiaires, car les tsunamis océaniques en auront vite fait une bouchée. Il a dit : « n’ayez pas peur de la crise écologique. Elle n’existe pas… Et d’ailleurs, je vais l’arrêter tout de suite » (Le Verbe Très-Haut)

MC dit: 28 janvier 2025 à 18h11

C’est beau les syllogismes quand ils se retournent contre leur auteur: « Les romans de Sansal sont d’une médiocrité abyssale. ». Je n’en ai lu que DEUX »

MC dit: 28 janvier 2025 à 18h14

D’où il suit que deux est un nombre suffisant pour se prononcer sur la valeur de tel ou tel.,,,

B dit: 28 janvier 2025 à 18h27

patriotisme, même littéraire,

En soi, l’expression n’ouvre à aucun engagement (excepté intellectuel , ça fait pas tout) particulier sauf peut-etre à se faire dézinguer par un camp adverse, arrestation, fatoua; finalement un français de souche et auteur d’une littérature « patriote » ne prend aucun risque et on peut toujours douter d’un réel engagement en cas de grabuge. Servir sa patrie en alignant des poncifs, en exprimant un amour immodéré pour son pays, je veux bien mais bon, quels sont les effets de tels écrits, à part convaincre les déja convaincus. Prendre la défense de son pays avec des mots, c’est déja ça et malheureusement l’on a pu noter que des hommes se sont fait assassiner pour avoir revendiqué une liberté qui ne plait pas à tous ceux qui vivent ici, ils dessinaient, hélas! S’ils avaient simplement écrit, compte tenu du niveau des assaillants, ils seraient peut être encore en vie et ceux-là de plus n’étaient pas foncièrement patriotes, pour preuve, un de leurs titres satiriques: Bal tragique à Colombey.

Jazzi dit: 28 janvier 2025 à 18h34

« l’on a pu noter que des hommes se sont fait assassiner pour avoir revendiqué une liberté qui ne plait pas à tous ceux qui vivent ici, ils dessinaient, hélas! S’ils avaient simplement écrit, compte tenu du niveau des assaillants, ils seraient peut être encore en vie et ceux-là de plus n’étaient pas foncièrement patriotes, pour preuve, un de leurs titres satiriques: Bal tragique à Colombey. »

Superbe, B !

B dit: 28 janvier 2025 à 18h35

Bien avant la critique de l’Islam dont on déplore les dérives, l’anthropologue bien connu L Strauss pensait déjaque de toutes les religions, l’Islam étaient la plus contraignantes. Certains ont besoin des murs d’une telle doctrine pour se sentir en liberté et évoluer au fil du temps rassurés par tous les interdits, toutes les limites qu’elle impose et par lesquels elle soumet. Dieu a le dos bien large.

Jazzi dit: 28 janvier 2025 à 18h40

« Ne nous causez pas de patriotisme, même littéraire, vous n’êtes pas crédible. »

Bravo, Sasseur !

J J-J dit: 28 janvier 2025 à 18h43

@ Je n’en ai lu que DEUX
Et encore, les 5 premières pages de chacun… Dix pages en tout 🙂

B dit: 28 janvier 2025 à 18h48

St Valentin bientot! c’est qui qui va recevoir un bouquet de maquereaux ou de petits harengs pour fêter ça? Pas moi, je suis contente d’échapper à ça!

B dit: 28 janvier 2025 à 18h51

Bon alors voilà, pour feterça en solo, je me suis offert une bouquet de Claude Simon, les fleurs je me les achète TOUTE SEULE et y’a pas de t^^aches dans mes draps! La menopause, que voulez-vous nous prive de tant de corvées et de joies.

Jazzi dit: 28 janvier 2025 à 18h59

« C’est encore au ciné, que ses histoires passent le mieux, pour lecteurs pas très convaincus… »

C’est tout à fait mon cas !
Je ne le connais qu’à travers les adaptations de ses livres feuilletonesques qui passent bien à l’image…

le baron perché dit: 28 janvier 2025 à 19h20

L’Islam n’est pas seulement une religion contraignante pour les musulmans eux-mêmes, il est également un sale fardeau aussi inutile que pesant pour le reste de l’humanité.

D. dit: 28 janvier 2025 à 19h26

J’apprends qu’il existe une « communauté française » à Kinshassa.
Cette situation m’est totalement incompréhensible.

le baron perché dit: 28 janvier 2025 à 19h28

Le vieux breton myope comme une taupe et toujours bourré de la Rdl, Marc Court, s’intéresse maintenant à Sansal et veut le défendre sans l’avoir jamais lu !!!
On aura tout vu sur ce blog.

D. dit: 28 janvier 2025 à 19h31

Quelle malhonnêteté intellectuelle de nier la submersion migratoire dans de nombreux départements et villes.

je cuide dit: 28 janvier 2025 à 19h55

QU’APPEZ VOUS LA VRAIE VIE?
un rêve, comme celui que j’ai rapporté , n’est-il pas dans la vraie vie ?

je cuide dit: 28 janvier 2025 à 20h20

AGIR, JE VIENS

Poussant la porte en toi, je suis entré
Agir, je viens
Je suis là
Je te soutiens
Tu n’es plus à l’abandon
Tu n’es plus en difficulté
Ficelles déliées, tes difficultés tombent
Le cauchemar d’où tu revins hagarde n’est plus
Je t’épaule
Tu poses avec moi
Le pied sur le premier degré de l’escalier sans fin
Qui te porte
Qui te monte
Qui t’accomplit
Je t’apaise
Je fais des nappes de paix en toi

(Henri Michaux)

le baron perché dit: 28 janvier 2025 à 20h22

« L’esprit français met toujours l’école, la formule, le conventionnel, l’a-priori, l’abstraction, le factice au-dessus du réel et préfère la clarté à la vérité, les mots aux choses, et la rhétorique à la science…
Ils ne comprennent rien, quoiqu’ils ergotent sur tout. Habiles à distinguer, à classer, à pérorer, ils s’arrêtent sur le seuil de la philosophie… Ils ne sortent de la description que pour s’élancer dans des généralisations précipitées. »
(Henri-Frédéric Amiel « Journal intime », 30 septembre 1871).

rose dit: 28 janvier 2025 à 20h36

B.

Mon aventure dernier bouquet m’a été offert par l’ex d’une amie, à elle aussi, pour les soins que nous prenons les unes des autres.
Mon premier 2025, je me le suis offert seule, du mimosa en branches, lumière d’hiver sur ma terrasse. Le gars y a rajouté un oeillet du poète rose. C’était gentil mais totalement superfétatoire.

Jazzi dit: 28 janvier 2025 à 20h51

« un rêve, comme celui que j’ai rapporté , n’est-il pas dans la vraie vie ? »

Nos rêves sont bien réels et éclairent nos nuits et alii !

FL dit: 28 janvier 2025 à 21h08

« L’accueil mitigé pour ceux qui s’étaient emparés de leurs biens. »

Je me souviens d’un récit hallucinant. Un jeune homme, ou un adolescent, revient dans l’immeuble qu’il occupait avec ses parents pendant l’Occupation. Je pense que ses parents sont morts en déportation. Je ne sais pas ce qu’ils étaient, résistants ou juifs. Et les voisins l’invitent a entrer chez eux. Et là stupeur ! le jeune homme reconnaît dans l’appartement tout le mobilier qui était chez ses parents. Le jeune homme s’en émeut à haute voix. Les voisins, la mégère et le Thénardier, se récrient, on les calomnie, ça couine, ça piaille et ils finissent par foutre le jeune homme, ou l’adolescent, à la porte.

Un des nombreux vols organisés par des voisins pendant l’Occupation et l’Epuration.

Ce qui me laisse un peu interloqué c’est pourquoi ces salops ont invité ce jeune homme à venir chez eux sachant qu’il allait reconnaître le mobilier qu’ils avaient volé. Voulait-ils rajouter un peu à sa douleur ? Jouir de leur impunité ? Revivre le plaisir de leur saloperie ?

Ont-ils imaginé qu’il n’allait oser rien dire ? Voulaient-ils observer ses réactions ?

Mystère.

Je ne sais plus qui raconte ça. Je ne sais plus où. Je me souviens juste du récit.

Christiane dit: 28 janvier 2025 à 21h20

Oui, Fl, dans le dernier épisode la parole est donnée à deux survivants polonais qui s’apprêtent at retourner au pays. Un ami juif rencontré dans la rue leur conseille de vite partir, leur expliquant que les Polonais tuent les Juifs qui reviennent au pays de peur de devoir leur rendre appartement et biens qui leur ont volés quand ils ont etet déportés. C’est terrible.
J’ai regardé et surtout écouté ces témoignages forts en apnée. Beaucoup n’ont pu se réadapter à une vie enfin libre. Ils ont porté ce cauchemar en eux jusqu’ici la mort. L’élimination des Hongrois arrivés par les derniers trains filmés par les nazis est terrible. Tant d’enfants, de familles allant directement vers les chambres à gaz. « Horreur ! Horreur ! Horreur ! »

je cuide dit: 28 janvier 2025 à 21h28

réponse au défi de la question en titre du billet
obligée de replonger dans le souvenir de ma rencontre avec le traducteur de l’auteur du roi Mathias,je appellerai seulement que cet auteur se battit toute sa vie pour ses orphelins
, jusqu’à avoir choisi délibérément d’être déporté vers Treblinka avec les enfants juifs de son orphelinat.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Janusz_Korczak
:Janusz Korczak (né le 22 juillet 1878 à Varsovie et mort le 6 août 1942 au Camp d’extermination de Treblinka), pseudonyme de Henryk Goldszmit, est un pédiatre, éducateur, pédagogue et écrivain polonais.
son traducteur,que j’ai rencontré par hasard (et sans atomes crochus avec lui)était « Le dernier survivant de la rafle de Meymac » Maurice Wajdenfeld dee son nom, et obsédé par le désir de s »appeler Wajda
https://www.lamontagne.fr/ussel-19200/actualites/arrete-a-meymac-en-1944-maurice-wajdenfeld-a-echappe-a-la-deportation-a-drancy_11877075/

rose dit: 28 janvier 2025 à 21h29

Je plussoie avec Laure Adler.
À vrai dire, je ne connais pas de plus belle histoire d’amour que Dalva, de Jim Harrison.

rose dit: 28 janvier 2025 à 21h33

Je ne sais plus qui raconte ça. Je ne sais plus où. Je me souviens juste du récit.

C’est marrant (non), moi, ce dont je me souviens d’un tel récit, c’est du service à thé en porcelaine fine, volé par les voisins/les concierges/ les mécréants.

je cuide dit: 28 janvier 2025 à 21h37

la story, alla elle jusqu’à yad vashem
L’histoire
Marguerite Wajdenfeld, jeune catholique française née en Normandie, avait épousé un médecin juif,
/https://yadvashem-france.org/dossier/nom/4362/

je cuide dit: 28 janvier 2025 à 21h41

« Nous sommes de l’étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil. » écrivait Shakespeare dans La tempête.

rose dit: 28 janvier 2025 à 22h02

Quant aux athés, allez cueillir des pâquerettes (les petites marguerites, Desplechin) dans les champs de coquelicots, et foutez-nous la paix.

FL dit: 28 janvier 2025 à 22h11

Non seulement william Marx dit « autrice » et « écrivaine », mais le Collège de France écrit « événement » avec les accents dans le mauvais sens : « évènement ».

Je vais me pendre.

P.S. Je ne sais pourquoi William Marx dit « rabin » et non « rabine ». Du mou dans le wokisme ?

rose dit: 28 janvier 2025 à 22h21

Je vais me pendre.

1/ je ne peux pas lire ça.
2/ on ne rigole pas avec ce sujet.
3/ mettons un circonflexe :évênement.

JC..... dit: 29 janvier 2025 à 5h04

« Jusqu’où est-on capable de s’engager au nom de l’idée patriotique ? » (Maitre Passou)

Afin de répondre à cette excellente question sur l’engagement patriotique, nous avons cherché et nous avons trouvé la meilleure des réponses.

Jusqu’où Les patriotes ayant un peu d’expérience de la vie s’engagerons-ils ?

Et bien, mais jusqu’à la terrasse ensoleillée de l’Institut Bartabacs, car rien n’est plus raisonnable qu’un engagement dans l’immobilisme patriotique, solution parfaite pour éviter affrontements intellectuels et/ou guerriers.

Au travail, à la française, camarades de pastissade !!!

renato dit: 29 janvier 2025 à 6h05

Quant aux athés […] et foutez-nous la paix.

Ce sont donc les pseudo-chrétiens qui dictent les règles ? mais où sommes-nous, au Moyen-Âge ?

Phil dit: 29 janvier 2025 à 7h52

Je ne sais plus qui raconte ça. Je ne sais plus où.

Arte, radiofrance ? Pas sur le prestigieux blog à passou, dear FL.

JC..... dit: 29 janvier 2025 à 8h44

Cher Philou, soyez prudent !

Votre « Pas sur le prestigieux blog à passou . » est gravement discourtois par absence de la majuscule !

Passou, ne l’oubliez pas, est un boxeur émérite, un auteur violent, un critique fin, un maitre à penser littéraire qui garde la tête haute malgré le bruit du couperet de la guillotine médiatique, laquelle les yeux fermés raccourcit les meilleurs !

Patrice Charoulet dit: 29 janvier 2025 à 8h53

Un portrait peu banal de Trump

Un commentateur, dont je ne connais pas le vrai nom, du blog de Philippe Bilger écrit ceci :

Il est assez plaisant, en effet, de voir tous ces gens qui battent des mains comme s’ils venaient, eux, d’élire Donald Trump. Éric Zemmour et Sarah Knafo, tout émoustillés d’avoir été invités à Washington, sont comme des gamins à qui l’on a donné les clefs de la confiserie. Passons.
Ce qui serait plus pertinent, ce serait d’apprécier la nature du président américain, de déterminer si son élection est bonne pour les États-Unis, et, surtout, si elle est bonne pour la France.
L’entrée en fonctions de Trump valide votre attachement au caractère des hommes politiques, de préférence à leurs programmes. Car ce qu’elle a démontré de façon éclatante, c’est que le bonhomme est intrinsèquement, viscéralement poutiniste.
Je ne veux pas dire par là qu’il soutient la Russie et les intérêts russes, bien que ce soit le cas. Car au préalable, il faut rappeler ce que les journalistes hésitent à dire de façon claire : Trump est un agent russe. C’est un fait historiquement établi.
Des auteurs comme Catherine Belton ou Craig Unger ont montré, de façon irréfutable, que le KGB a mis une option sur Trump dès 1977, année de son premier mariage avec un mannequin tchèque, et qu’il est massivement acheté par l’argent russe depuis les années 1980. C’est à dire l’argent du KGB, mélangé à celui des oligarques, mélangé à celui du crime organisé, mélangé à celui des dirigeants du Kremlin : c’est le même.
Et on ne parle pas des pourboires de quelques milliers de dollars que le KGB pouvait lâcher à ses agents officiels. On parle de centaines de millions de dollars, qui, seuls, ont permis à Trump de devenir un magnat de l’immobilier, ce qui fait dire aux neuneus « souverainistes » qu’il est un « entrepreneur », alors qu’ils ne sauraient pas distinguer une action d’un billet de loto.
Mais ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est sa mentalité telle qu’elle vient de se confirmer, et qui révèle la chose suivante : si Poutine n’existait pas, c’est Trump qui aurait inventé le poutinisme.
Depuis des années, la propagande trumpiste tente de nous persuader que le grand homme n’a jamais « déclenché de guerres », que c’est un isolationniste, un humaniste, quasiment un pacifiste gauchiste à en croire sa claque en France.
Il est élu pour la seconde fois, et paf ! il n’a pas plus pressé que de déclencher une guerre avec le Canada, une autre avec le Danemark et une troisième avec le Panama. Excusez du peu.
Le premier ministre danois (une femme) ayant expliqué que le Groenland n’était pas à vendre, il a entrepris de la menacer pendant trois quarts d’heure au téléphone, lors d’un entretien qualifié « d’agressif », de « très dur » et « d’horrible » par ceux qui en connaissent le contenu. Auparavant, il avait refusé d’exclure une attaque militaire pour arriver à ses fins. Le lendemain, il a déclaré qu’un refus de la part du Danemark serait un acte inamical.
Dans le cas du Groenland comme de celui du Canada, il ne voit pas pourquoi les intéressés s’opposent à leur annexion : ce serait dans leur intérêt comme dans celui du « monde libre ».
Autrement dit, alors que la conquête de ces trois nations ne figurait nullement dans son programme, Trump s’est révélé, dès son élection, comme un impérialiste enragé, à l’ancienne, au sens strictement territorial et militariste du terme, revendiquant le droit d’annexer son « étranger proche » parce que c’est « dans les intérêts de l’Amérique ».
Soit le coeur même de la doctrine de Vladimir Poutine.
Comme Poutine, il considère qu’il a le « drouâ » de bouffer ses voisins puisqu’il est plus puissant qu’eux. Comme Poutine, il considère que ces petits pays de m… n’ont pas voix au chapitre, et que la politique étrangère se fait entre grandes puissances : États-Unis, Russie, Chine – ce qui exclut les pays européens, bien entendu.
Comme Poutine, il ne comprend pas pourquoi ses alliés refusent de devenir ses esclaves, alors que c’est pour leur bien.
Comme Poutine, il accuse d’agression les pays qu’il agresse.
Comme Poutine, il s’attaque en priorité à ses alliés, avant de combattre ses ennemis. C’est frappant dans le cas de la Russie, qui n’a cessé de manifester son amour envers les « peuples frères » en leur envoyant ses tanks (Prague 1968, Ukraine 2022…).
C’est tout aussi frappant dans le cas de Trump, qui menace d’envahir militairement deux de ses alliés de l’OTAN. Si les pays de l’OTAN en sont à se défendre contre une invasion de l’un d’entre eux, que vaut la capacité de dissuasion de l’alliance envers une attaque russe ? Encore plus rigolo : qu’est-ce qui empêche le déclenchement de l’article 5 du traité de l’Atlantique Nord, en cas d’invasion américaine du Groenland ?
Par ces menaces, le nouveau président américain réduit à zéro la légitimité de l’opposition internationale à l’invasion de l’Ukraine, à l’annexion de la Crimée et des quatre républiques fantoches arrachées au territoire ukrainien. Si l’intangibilité des frontières ne tient plus, si l’interdiction de l’attaque militaire à des fins d’annexion disparaît, alors c’est la fête du slip pour tous les dictateurs – et, au passage, on voit mal pourquoi la Chine s’abstiendrait de boulotter Taïwan, cause en principe chère à l’agent orange.
En quelques mots, Trump vient de ruiner 80 ans de travail acharné pour assurer la sécurité de l’Europe – et du monde. S’il n’était pas un agent russe, il faudrait lui attribuer d’urgence la décoration de Héros de la Fédération de Russie.
L’élévation d’Elon Musk au grade de « premier copain », la mission qui lui a été attribuée de tailler sauvagement dans l’État fédéral, n’est libérale qu’en apparence. En réalité, le choix d’un tel homme, le revirement spectaculaire du gauchiste Zuckerberg qui se découvre des sympathies trumpistes, la présence de la crème de l’industrie numérique à la cérémonie d’investiture de Trump, rappellent bien davantage le système des oligarques à la russe.
Qui peut croire, en effet, qu’un Elon Musk, qui dépend tellement des commandes d’État, pourrait baisser les dépenses du gouvernement sans prendre soin de taper dans la caisse au passage ? Le dispositif semble bien plus proche du capitalisme de connivence que de la tronçonneuse de Javier Milei.
Comme les oligarques russes, Musk ne se contente pas de faire du pognon. Il prend goût aux proclamations politiques tonitruantes. D’ailleurs, les premières réactions de Trump rappellent furieusement la mise au pas par Poutine, dans les années 2000, des oligarques eltsiniens qui avaient concouru à son élection. Musk le contredit sur l’immigration, il le contredit sur l’intelligence artificielle, il se prend pour un faiseur de rois international : la fumée commence déjà à sortir par les oreilles du mini-Poutine de Washington.
Mais les analogies ne s’arrêtent pas là. Comme Poutine, Trump s’invente une religiosité frelatée, hérétique et théocratique. Poutine a son « confesseur » attitré, le métropolite Tikhon, plus proche de César que de Dieu. Trump fait grand cas de son « conseiller spirituel », la prédicatrice évangélique Paula White, qui expliquait, en 2019, que Dieu ordonnait de voter pour lui. Naturellement, quiconque se penche sur la vie et les actes de Poutine comme de Trump ne peut qu’éclater de rire devant leur profession de foi chrétienne.
Comme Poutine, qui a réduit la Douma à une chambre d’enregistrement, Trump intimide le Sénat, qu’il contrôle pourtant, en le sommant d’entériner sans discussion l’ensemble de ses nominations gouvernementales – alors que l’audition impitoyable des candidats du Président est une prérogative jalousement préservée de la chambre haute.
Comme Poutine, Trump gouverne par oukazes (le mot russe qui n’a pas changé depuis les tsars), en saturant l’espace médiatique et politique au moyen de 35 décrets présidentiels dans les sept premiers jours de son mandat, dont 26 dès le premier jour. Au moins deux étant illégaux. Certes, d’autres présidents américains ont signé de tels décrets, mais la diarrhée réglementaire trumpiste est inégalée pour un premier jour. De l’aveu même de ses concepteurs, il s’agit de « noyer la zone » pour paralyser l’opposition.
Bien sûr, la passion du mensonge ouvert, impudent, non dissimulé, rapproche Trump et Poutine. Il est inutile de rappeler les états de service de l’homme qui a nié avoir envahi la Crimée, qui a promis de ne pas envahir l’Ukraine quelques jours avant de le faire, etc.
Donald Trump s’est hissé à des niveaux similaires lorsqu’il a prétendu que dès son élection, il mettrait fin à la guerre en Ukraine en 24 heures. C’était un mensonge évident. Un enfant de seize ans comprend que c’est impossible. À l’approche de sa prise de fonctions, c’était devenu six mois. Puis ça a changé à nouveau pour devenir cent jours.
Le jour de sa prestation de serment, un journaliste lui a posé la question : vous aviez dit 24 heures, alors ? J’ai encore une bonne demi-journée, a laissé tomber le Président. Moquage de figure ouvert, à la face du monde : oui, je raconte n’importe quoi et je vous emm…
Cette imprévisibilité, présentée par certains écervelés comme une qualité, est évidemment l’un des aspects les plus inquiétants du mandat qui s’annonce.
Alors, l’arrivée de Trump à la Maison Blanche est-elle une bonne chose pour la France ? À l’évidence, non, comme on vient de le voir, en ce qui concerne la souveraineté du pays, sa sûreté, sa liberté. Ce qui est tout de même le premier critère.
Est-ce une bonne chose sur le plan de la prospérité ? Pas davantage : une forte augmentation de droits de douane américains aura des conséquences négatives pour les entreprises françaises.

MC dit: 29 janvier 2025 à 9h10

Notons que le portrait que trace de votre serviteur le Baron Perche ressemble étrangement à ceux de Marie Sasseur. Et comme elle n’a pas porté plainte en poussant des cris d’orfraie, mieux vaut le lui attribuer généreusement. Sasseur sous perche et Honneur de Blog, ça fait beaucoup pour qq qui vous accuse d’usurper moult pseudos..,

JC..... dit: 29 janvier 2025 à 9h12

Cher Patrice, votre extrait de « No name de chez Bilger » est délicieux !

Il confirme la nécessité pour nos nations exsangues, sans avenir, sans natalité, d’exiger l’abandon international de concepts fumeux et ridicules, à l’agonie : humanisme, liberté, universalisme, abandon des diplomes, exit compétences, bonjour blablas intellectuels, respect des cons !

Trump ? Un nain pour des géants ….

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 9h17

bnjour;pour réparer un oubli:
« Il revient en 1999 sur sa jeunesse et l’expérience du ghetto et des camps, dans le premier volume de son autobiographie L’adolescence volée2 où il écrit notamment : « Si quelqu’un avait eu l’idée de me demander pourquoi je travaille avec les adolescents, j’aurais pu répondre : « C’est parce que je les aime ». Il n’était pas question d’avouer aux autres ou à moi même une vérité que j’ai mis des années à oser regarder en face : je travaille avec les adolescents parce qu’on m’a volé mon adolescence… L’expression peut paraître abusive. On a toujours une adolescence, bien sûr ; disons que la mienne, entre les murs rouges du ghetto de Varsovie et les barbelés de Bergen-Belsen, n’a pas été tout à fait normale »4. Il en témoigne également dans le documentaire On l’appelait Tom de Daniel Kupferstein en 20115. Il consacre le deuxième volume de son autobiographie C’est la lutte finale etc. à son engagement politique. Il poursuivit ses activités de soin et de psychothérapie2 jusqu’à la fin de décembre 2002. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Stanislaw_Tomkiewicz

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 9h48

@21.08 – Je ne sais plus qui raconte ça. Je ne sais plus où. Je me souviens juste du récit.

Je crois l’avoir lu chez l’écrivain belge Pierre MERTENS, qui vient de mourir bêtement ce 19 janvier, dans ce chef d’œuvre que fut LES EBLOUISSEMENTS, dédié à la vie du « poète » maudit Gottfried Benn.
Pour le saluer ici… car, sauf erreur, la RDL n’a pas rendu l’hommage qui convenait à cet écrivain aux engagements et parcours politiques très sinueux. Une autre chaîne littéraire lui a rendu un bel hommage. Merci, cf. le cas échéant :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2025/01/28/mertens-est-mort-vive-mertens/

Marie Sasseur dit: 29 janvier 2025 à 9h48

Il est heureux que je ne sois pas seule à n’en penser pas moins d’un sinistre imbécile doublé d’un harceleur. Pour  » breton  » je me serais toutefois abstenue, il ne faudrait pas insulter les Bretons, me refusant à les réduire aux affidés de le pen et toute la trinité de jeanne au s’cours pourtant bien relayée sur ce blog par le sinistre crétin mc, qui me voit partout.
______

Bien le bonjour de Toulon, Passou, fait frais, ce matin.

Vous êtes sûr que les 30 glorieuses sont bien le créneau de cette trilogie de Lemaitre ? Si oui, c’est exagéré.

Jazzi dit: 29 janvier 2025 à 9h49

« Trump est un agent russe. »

Et Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ?
Tous des agents russes, comme D. !

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 10h08

@ 8.53 – Texte d’un internaute fort bien écrit et plaisant à lire intégralement, a priori. Car il nous change assez de l’habituelle prose perchée du baron, l’honneur de ce blog s’il en est, anéfé.
« Un enfant de seize ans » (dans le texte…, au lieu de six) + quelques vulgarités du slip gâchent un brin le plaisir de la lecture, et bien sûr, banalisent, pour ne pas dire anéantissent du même coup la portée de son message.

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 10h09

betement?
AUFAIT
Pierre Mertens, né en 1939, est mort d’une mort absurde, due à une déglutition de travers.
c’est ce qu’on appelle une fausse route!

honneur de blog dit: 29 janvier 2025 à 10h25

Sasseur sous perche et Honneur de Blog, ça fait beaucoup pour qq qui vous accuse d’usurper moult pseudos..,

Sasseur sous perche, c’est exact, mêmes expressions à peine modifiés.
Mais peut-on vous trouver un peu .on .on et réac décalé, MC?

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 10h30

10.25, J’ai appris à croire que MC n’était pas un peu .on.onc et réac décalé. Pmp, je crois qu’il est bien autre chose de très différente. Et qui nous dit qu’HDB n’est pas la MS ? du reste, on s’en t… On a d’autres bonnes raisons de croire à l’incroyable tant que les « facts » ne sont pas rétablis dans leur vérité intrinsèque par les spécialistes de la vérité extrinsèque.

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 10h34

@ c’est ce qu’on appelle une fausse route! (10.09)
… surtout pour les porcs, des bêtes aimables qui sommeillent de traviole, sur les routes de la Corse profonde. Cuid-Couic,

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 10h43

9.17 – On l’appelait Tom de Daniel Kupferstein en 20115 (?)

J’ai connu Stanislas T., dans les années 1980, c’était un honnête thérapeute, bienveillant envers les difficultés vécus par les délinquants juvéniles judiciarisés, comme le furent pas mal de juges pour enfants de la première époque, avec cette vocation farouche de les réparer en les désentravant de leurs chemins d’embûches.

JC..... dit: 29 janvier 2025 à 10h43

Cher Jazzi, la vérité sur la Mélenche ? Ce serait un bavard de famille aristocratique : Adolf von La Melenchum und Klapoti

D. dit: 29 janvier 2025 à 10h49

Absolument pas, c’est une couverture.
Je suis agent du MI6. Mon vrai nom est Domb. Jean Domb, domicilié à Paris.
Maintenant que je vous ai révélé ceci, je vais devoir vous tuer, si vous n’y voyez pas d’inconvénient.

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 10h51

10.44 – Si vous l’avez essayée ou testée, que pensez-vous de DeepSeek par rapport à GPTChat.com, Donna ?

JC..... dit: 29 janvier 2025 à 10h54

POUR LUTTER CONTRE LA DESINFORMATION

Oui !!! L’admirable dirigeant de la Biélorussie, Popaul Loukachenko, est bien l’auteur de l’ouvrage célèbre Le Ping Pong pour les Nuls.

le baron perché dit: 29 janvier 2025 à 11h12

Le Net est un vide-ordures planétaire où le brave bétail grégaire humain a le droit de s’informer par des ploucs tordus qui ont le devoir de le désinformer.

D. dit: 29 janvier 2025 à 11h35

Agent CJ17, décidément bous avez des difficultés, il ne m’étonne plus que l’on vous ai éloigné à Porquerolles. My name is Domb. And my matricule is 007.

Jazzi dit: 29 janvier 2025 à 11h39

Le Net est une source incomparable d’informations.
Comme pour tout, il suffit de savoir bien chercher, de vérifier et de confronter les infos…

Marie Sasseur dit: 29 janvier 2025 à 11h51

Si déshonneur de blog pouvait troller intelligemment et ne pas changer de pseudo sans arrêt.
Merci pour la planète. Qui se réchauffe à la vitesse grand V à cause de malfaisants qui font surchauffer des serveurs pour conserver leur merde.

____

Passou vous faites fort, passer du nucléaire civil , des balbutiements, à lz menace de bombe nucléaire brandir par Poutine, vous exagérez l’avenir irradié.
Je ne vous ferai pas injure en vous rappelant que la première bombe thermonucleaire était américaine( merci Robert…) et la première centrale nucléaire raccordée sur un réseau civil était soviétique.

Marie Sasseur dit: 29 janvier 2025 à 11h51

passer du nucléaire civil , des balbutiements, à la menace de bombe nucléaire brandie par Poutine, vous exagérez l’avenir irradié.

D. dit: 29 janvier 2025 à 12h08

Submersion migratoire de la France:

le maire de Moumoudzou « très heureux d’entendre que le premier ministre ait décidé de faire preuve de courage ».

Marie Sasseur dit: 29 janvier 2025 à 12h09

« Le dérèglement climatique commence là avec le culte de la domination masculine, la question de l’avortement etc »

Dites, si Lemaitre fait ce genre de raccourcis, faut pas s’étonner que, plus que le climat, des cerveaux soient en surchauffe, limite fusion.

De la surconsommation, Passou, retenez bien cela, et une foi aveugle en ce que peut le progrès.

Vous n’avez pas voulu sortir de votre zone de confort en ignorant totalement ce petit roman bourré d’intelligence de Abel Quentin,  » cabane « .
La prise de conscience de cette consommation effrénée a véritablement commencé au débit des années 1970, après le choc pétrolier. Et la fin du rêve américain…Malheureusement, les mouvements politiques qui ont pris le relais de cette prise de conscience montrent surtout leur propre dérive totalitaire.
Si vous avez été attentif au discours de E. Musk, lors de l’investirure de Trump, c’est moins son salut nazi que ses croyances en des ressources illimitées et au pouvoir de la Tech qui menace l’avenir de l’humanité.

MC dit: 29 janvier 2025 à 12h11

« Le sinistre imbecile double d’un harceleur » vaut son pesant de cacahouètes quand on se souvient qui a harcelé l’autre. Mais l’accusation d’éthylisme, revenue à maintes reprises sans autre justification que votre violence verbale, Marietta, on la retrouve aussi, fort curieusement, chez ce Baron Perché…Si c’est vraiment un de vos élèves, complimentez-le de sa servilité à vous imiter….

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 12h14

Il a évoqué un « sentiment » de submersion, nuance.
Il est indéniable que l’extrême-droite fait tout pour exacerber ce sentiment, comme elle fait tout et depuis longtemps pour exacerber le « sentiment » d’insécurité. Ce cul de basse fosse en est une illustration

JC..... dit: 29 janvier 2025 à 12h22

« Ce cul de basse fosse en est une illustration » (Langoncé)

Nous attendons avec impatience des illustrations polychromes de ces concepts de cul et de basse fosse !

Question « sentiment de « , faisons confiance à l’intellectuel qui y croit….et nous amuse d’autant !

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 12h24

vais devoir vous tuer,
nous empoisonner avec des endives amères?
OU A LA FEUILLE DE BOUCHER?
c’est sur langue sauce piquante, cet outil, (si vous êtes durs de la feuille, voilà l’outil essentiel)

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 12h26

Vos années lysergiques sont devant vous ; ouvrez l’œil et le bon qu’il aurait dit Jean-Marie

Marie Sasseur dit: 29 janvier 2025 à 12h26

Je n’ai pas le temps de corriger mes fautes dans mon message précédent, mais l’essentiel y est, Passou. On regrettera, encore, des raccourcis qui font de ce roman populaire un peu le terreau du populisme.
Mais bon, faut faire avec le niveau…bien bas de l’éducation; cela se ressent dans ce commentarium, d’ailleurs, où des vieux imbéciles rivalisent d’insignifiance.

Je ne lirai pas ce bouquin de Lemaitre, comme aucun de lui d’ailleurs.
Dans le rayon gros vendeurs, je préfère actuellement la facilité sans intention, d’un polar de Thilliez dont je n’avais rien lu jusqu’alors . Et si je veux vraiment me mettre en situation d’inconfort, puisqu’il est question de progrès…j’ai trouvé de quoi me challenger.
Ça vient de sortir :

https://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences/physique-chimie/si-einstein-avait-su_9782415007027.php

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 12h42

Une règle qui se vérifie souvent : ce qu’on tient pour une réalité est constituée de 10% de faits et de 90% de sentiments ; l’exercice personnel qui consiste à distinguer faits, opinions et sentiments peut être salutaire

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 12h50

l’exercice personnel qui consiste à distinguer
assez d’accord avec vous sur ce point; (d’où mon stupide pseudo)
mais ce n’est pas si facile de suspendre tout jugement

renato dit: 29 janvier 2025 à 13h01

« …nous pourrions nous demander dans quelle mesure nous avons échappé au contrôle politique direct des médias en nous montrant indifférents à l’impact des médias tant qu’ils peuvent être exploités pour le plaisir du public et le profit privé ».

Marshall McLuhan, Notes sur les médias en tant que formes d’art, 1954

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 13h34

Si déshonneur de blog pouvait troller intelligemment et ne pas changer de pseudo sans arrêt.
———
Fort drôle : brefle, tout se passe comme si (TSPCS) Dédé s’adressait à l’Haricot Vert, pour faire accroire aux gogos de la réalité du dédoublement de leur personnalité. Bonjour pour les dégâts de leurs empreintes carbone (ara) chez tous ces pseudo multiples.

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 13h37

13.01, je me le suis souvent demandé, mais ça n’a pas tellement servi à grand chose.
Quant aux culs de basse fosse, prière d’en revenir aux sources… Passoul s’adressant je crois à l’une de ses internautes les plus spirituellement enivrées d’elle-même (cudjatt’)

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 13h41

Si Freud avait su ce que je sais, il n’aurait jamais inventé la psychanalyse. Pour sûr.

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 13h41

lundi 27 janvier, au retour de l’acétamipride, une molécule de la famille des néonicotinoïdes autorisée partout en Europe, mais interdite en France depuis 2018.
le point

Marie Sasseur dit: 29 janvier 2025 à 13h46

« Dédé s’adressait à l’Haricot Vert »

S’cuse, je ne pensais pas à toi, et je sais que tu tiens à ce que ton usage pathologique de plusieurs pseudos se répondant, reste une forme de complicité entre nous.
Mais non, gros naze, depuis que Passou t’a dénoncé sans le savoir dans son petit bouquin , brèves de blog et de bourrés, tout est public.
Diagonal, Jjj, d, puck, haricot vert, tout ça, c’est le même cinglé.

Ciao, j’ai mon avenir à vivre, lol.

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 13h56

chinois:
j’apprends à l’occasion de la fête, que
Des raviolis ou « jiaozi  » en chinois;

c’est votre lézard qui appréciera

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 14h41

@Quant aux culs de basse fosse, prière d’en revenir aux sources… Passoul…

Par extension, le cul de basse fosse désigne ce lieu et nous sommes ses habitants

J J-J dit: 29 janvier 2025 à 14h44

cul de basse fosse (CDBF) ?… on croyait que c’était un.e dénommé.e Chalouxe. Si en plus elle en revendique la maternité. Y’a une comme a-nomalie !
No comment.

Edmond Poivre dit: 29 janvier 2025 à 14h55

x : »Ce qui serait plus pertinent, ce serait d’apprécier la nature du président américain, de déterminer si son élection est bonne pour les États-Unis, et, surtout, si elle est bonne pour la France. »

Je pense que les gesticulations du bonhomme ne doivent pas dissimuler le fait que que les USA sont sur la pente descendante . La Chine est en train d’avaler le gros hamburger. Intelligence artificielle, experimentation fusion, voitures, electronique, la Chine fait au moins aussi bien pour moins cher. Ils réflechissent davantage, en particulier sur des projets audacieux mais concrets, centrale solaire spatiale plutot que Mars. Les execedents commerciaux autorisent tout.Les USA maintiennent une suprématie militaire avec leur onze porte-avions, mais pour combien de temps ?

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 15h57

Rions un peu

Conflit au Proche-Orient : L’Iran se moque de Trump en proposant « d’expulser » les Israéliens vers le Groenland

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 18h23

dans le domaine littéraire, un portrait chinois est un jeu permettant de déceler certains aspects de la personnalité d’un individu ou d’identifier ses goûts ou ses préférences personnelles, au travers d’un questionnaire basé sur l’identification à des personnes, des objets ou des éléments divers.

Dans son Dictionnaire des jeux, René Alleau le définit comme une variante du jeu littéraire ancien du portrait, dit aussi « jeu des énigmes ». L’adjectif « chinois » n’indiquerait pas une origine ethnique, mais l’aspect plus compliqué de ce jeu. Aussi appelé « jeu dans la voiture ».
wiki

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 18h31

@mais ce n’est pas si facile de suspendre tout jugement

Plus que de suspension du jugement, il s’agit d’écoute active au sens où Carl Rodgers, notamment, le définit ; et, en effet, rien de moins « naturel » que l’écoute active

FL dit: 29 janvier 2025 à 18h45

« Arte, radiofrance ?  »

C’était écrit pour autant que je me souvienne. Un livre ? Plutôt un journal… Je ne sais plus. J’en viens à me demander si c’était pas une fiction. Mais dans mon souvenir c’est un récit vécu.

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 19h09

Ceci pour illustrer les propos de Trump qui a comparé Gaza à un « chantier de démolition »

Chaloux dit: 29 janvier 2025 à 19h46

Rappelons que cette assignation à cul-de-basse-fosse pour cause de «complotisme », concernait l’illustre du Bouchon. Or, dans cette geôle je me trouve en la meilleure compagnie, celle de Michel Onfray, qui ne rate pas une occasion de se farcir ledit, toujours avec beaucoup de verve et de justesse, la dernière fois il y a quatre jours.

Le livre de Michel Onfray consacré à Sade se révèle particulièrement intéressant, cent-mille fois plus que les bavardages de visqueux retraités à cervelles de crevettes avariées, incapables de savoir ce qu’ils lisent, mais dont je renonce à livrer les noms.

Salut Pablo!

Jean Langoncet dit: 29 janvier 2025 à 19h46

« A l’issue des 80èmes commémorations de la libération du Centre de mise à mort d’Auschwitz-Birkenau, il serait temps que progresse dans l’esprit public, notamment parmi les élus de la République, forcément en partie prescripteurs de l’opinion, l’idée que la notion de « devoir de mémoire » est inadaptée et malheureuse. On perçoit bien les bonnes intentions qui forment les soubassements de ce mantra qui peuple nos commémorations depuis des décennies et bien souvent vient combler des discours en mal de créativité devant la répétition du même. Mais s’il y a bien une chose qu’on n’impose pas, qui plus est par la voie morale, c’est bien la mémoire. Le seul devoir qu’il nous reste, à nous, les témoins de témoins qui ont disparu ou disparaissent, c’est un devoir de vérité, d’histoire, de transmission, d’enseignement, de raison, de nuance, d’universalité de valeurs et de principes qui, indépendamment du contexte, demeurent des boussoles de fraternité.

Notre seul devoir, et il est gigantesque, est sans doute celui de suivre la voie ouverte dans le testament de Marc Bloch consistant à chérir la vérité – « Dilexit veritatem » et à parler du réel pour mieux comprendre l’idéal. »

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 19h53

golfe
@ renato
philomag dit dans sa lettre que » à quoi peut bien servir de rebaptiser le golfe du Mexique en “golfe d’Amérique” ? En quoi cela peut-il changer la vie de qui que ce soit, sans parler de l’améliorer ? Et pourtant. Non seulement Donald Trump l’a fait, mais Google Maps s’apprête à lui emboîter le pas en adoptant la nouvelle dénomination – rien de surprenant toutefois, »
pensiez vous à cela,et quoi encore plus précisément?
allez c’est _à vous renato

je cuide dit: 29 janvier 2025 à 20h23

les retours de mémoire sont un effet si étrange et extraordinaire que ceux qui manipulent par des suggestions ‘psy » de leur invention peuvent s »attirer une haine justement méritée

rose dit: 29 janvier 2025 à 21h02

Nota : La Manche va aussi changer de nom.

Ai mangé à midi avec mon papa sur sa tombe. Ma maman ne s’alimente plus et est sous perfusion.
Elle m’a posé la question du cyclope « est-ce que demain, je serai encore vivante ? » Son aînée a commencé avec elle ce qu’elle a fait avec mon papa, le but étant de me tuer.
Détail : je ne suis plus là.
Elle a mis Béatrice dans le coup qui accompagne son mari journellement de puis longtemps, et qui est tombée direct dans le panneau.
Ai vu trois personnes successivement, diplômées, compétentes, bienveillantes pour remettre les pendules à l’heure
Qui trinque plein pot ?
Ma maman.
Assassiner sa propre mère, après avoir réduit son père à néant, et son enfant du milieu, je me demande où cela cessera, et comment, combien, un tel niveau de vice et de perversion est possible.
Je vous rassure, cela l’est.

Nota bene : avec mon papa, ce fut très paisible, comme pique-nique ; avec Béatrice, nous sommes déjà réconciliées ; avec ma maman, il s’agit de tourner la page.
Pour le reste, la justice divine, en son temps.
Ma maman, en grande souffrance, elle.
Rosanette, c’est irracontable ce que vit ma mère.

Je cuide, beau voeu de Jean Langoncet pour vous.

rose dit: 29 janvier 2025 à 21h05

je me demande où cela cessera

Me souviens de cet homme de lettres, parti jeune, quoiqu’ayant décidé d’être abstème, qui avait raconté comment au décès de sa mère, celle-ci était rempli de pus purulent.

renato dit: 29 janvier 2025 à 21h38

Non mi pongo molte questioni relativamente a quel che accade nella testa della gente, je cuide.

renato dit: 29 janvier 2025 à 21h39

Oups !
Je ne pose pas beaucoup de questions sur ce qui se passe dans la tête des gens, je cuide.
Pardon, ets.

JC..... dit: 30 janvier 2025 à 6h00

SUBMERSION

EN 2025, il serait vivifiant que la France et l’Europe se bougent le cul et agissent, en passant de la submersion de problèmes subis, à une submersion de solutions réalistes !

Devenons trumpistes, camarades désenchantés…

Le Gros canard blondinet doit devenir un exemple pour nous. Notre salut est à ce prix.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 8h07

mais Béatrice est ressortie des enfers saine et sauve, ainsi que michelonfray.com & ses nouveaux fans.fr sadiens
Une fois de + aux réveils, me suis-j consterné par l’état du monde et des perles noires et nacrées trouvées au fond du filet. J’ai gardé mon jardin secret, de + en + très vert, et vais marcher par les chemins boueux de la campagne non blanchie. Mon maie E. vivait une mauvaise passe, mais elle allait bientôt s’en relever.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 8h11

amie, mais, maie, mets, mai… Pourquoi il intervertit’il les lettres, malgré ses relectures.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 8h19

Bonjour Christiane. Je me souviens de ce que vous m’aviez dit de Paul E et SV, un jour. C’était vraiment sympa. Aujourd’hui, après la marche, projet de relecture de quelques passages de Nietzsche avant d’aller aux courses, chez la coiffeuses et le notaire, et ce soir, de parcourir quelques revues spécialisées… La tendance dominante est à recherche sur la criminalité environnementale et les différences de victimation genrée en criminalité sexuelle.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 8h35

Commenter l’actualité internationale immédiate n’était pas son beau souci prioritaire. Il avait du mal à synthétiser logiquement l’incohérence du monde au sein duquel il était plongé chaque matin. En prenant n’importe quel livre au hasard de sa bibli, il ouvrait ce bouquin et ses yeux tombaient p. 149, sur ce fragment : « Dona Celia, les affaires mises à part, c’est une femme qui s’attache aux gens dès qu’elle les connaît, dona Celia est très sentimentale, c’est une patronne de maison de rendez-vous très sentimentale… » – Ce sont des lignes qui furent écrites un jour et imprimées. On tombe dessus par hasard, et on ne peut pas faire comme si elles n’existaient pas. Mais que s’agit-il alors de nous prouver au juste ?… Que l’IA serait capable de nous dire d’où elle sort ? Il pensait qu’elle n’en sera jamais capable, tous les livres imprimés de la terre eussent-il été mis en ligne. Or, en rouvrant les yeux, il pouvait juste vous dire l’auteur, le traducteur, le titre, la date de l’édition en français, et la page. Preuve que vous aviez encore besoin de lui pour communier autour de ce livre et satisfaire une éventuelle curiosité.
La solution à qui la lui demanderait de manière bienveillante.

Christiane dit: 30 janvier 2025 à 9h02

Bonjour, JJJ.
Les espaces de P.E et S.V. sont ceux où je me repose. Le premier pour la beauté de la langue écrite et des tableaux. Le deuxième pour un espace traversé d’écritures surprenantes, situé par l’imaginaire des écrivains, loin dans le temps où loin dans la psyché humaine.
Ici, c’est d’abord un rendez-vous avec l’écriture bondissante de Pierre Assouline qui tourne autour d’un trou noir, l’Occupation, les années troubles où tant ont souffert et tant ont commis l’irréparable…
Et puis il y a vous, fidèle depuis si longtemps à ce blog avec votre écriture oulipienne qui ne laisse pas indifférent. Votre absence m’a pesé. Je la trouvais inquiétante surtout après la remarque de Rose qui disait ne pas vouloir en parler « par décence »… Je me disais, alors quoi ? Il danse encore tout nu au clair de lune avec les elfes et les fées ?
Et puis vous êtes revenu, d’abord grave et sérieux puis, le naturel reprenant le dessus, libre comme l’air, déchaînant les foudres de vos trolls.
Voilà pour vous répondre. Je lis au calme et sors entre deux averses. L’hiver finira bien par être suivi du printemps ! Bonne journée.

D. dit: 30 janvier 2025 à 9h04

Rappelons néanmoins que le problème de fond n’est pas la migration mais QUI migre. Des communautés toujours pas intégrées, voire développnt des sentiments et témoignages de défiance ou d’hostilité à l’égard de la France, à la deuxième voire à la troisième génération, doivent évidemment être écartées de toute possibilité de migration et de regroupement familial, à titre préventif.

D. dit: 30 janvier 2025 à 9h06

Et ceux qui diraient le contraire seraient vraiment les rois des cons. A titre préventif.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 9h16

Statistiquement insignifiants pour les chercheurs quantitativistes, jzmn. Ils intéressent les sciences humaines à méthodo quali, psycho et socio, bien sûr, mais pas du point de vue criminologique. victimilogique, seulement… Vous me direz que la victimologie fut historiquement, -au sein de l’espitemé discursive où nous nous situons vous et moi, ici et maintenant-, une extension de la criminologie en général. E tje vous dirai qu’elle l’a quasiment supplantée en une trentaine d’années. Il suffit de regarder le contenu des communications des congrès internationaux de criminologie drivés par les américains. Il serait trop long d’en expliquer la socio histoire de cette « discipline », jzmn. Si vous le souhaitez, je peux vous fournir des références. Bonne journée à vous,

… et à notre amie Ch. Merci infiniment, Ch., pour le calme de votre message.

JC..... dit: 30 janvier 2025 à 9h45

« Merci infiniment, Ch., pour le calme de votre message. » (3J)

Allons, allons ne rêvons pas ! La divine Christiane cache sous ce calme bien construit une âme tempétueuse !

Jazzi dit: 30 janvier 2025 à 9h50

La criminologie ne m’intéresse pas vraiment, JJJ.
Contrairement à mon vieil ami Hector, qui ne rate aucune émission criminelle à la télé !

FL dit: 30 janvier 2025 à 9h58

« Le livre de Michel Onfray consacré à Sade se révèle particulièrement intéressant, cent-mille fois plus que les bavardages de visqueux retraités à cervelles de crevettes avariées, incapables de savoir ce qu’ils lisent, mais dont je renonce à livrer les noms. »

Il a fait sur Sade ce qu’il a fait sur Freud, ce qu’il a fait sur d’autres. Un tissu d’inepties anhistoriques qui relèvent au mieux des pires tabloids anglais.

FL dit: 30 janvier 2025 à 10h00

Michel Onfray on n’a même pas besoin de lire, c’est un système. On sait où il veut en venir avant d’avoir ouvert la première page.

FL dit: 30 janvier 2025 à 10h04

« Je me rappelle qu’au moment où il a fait son numéro sur Freud, Elizabeth Roudinesco est montée au créneau avec véhémence et lui a cassé la baraque, démontrant avec précision que l’agitateur publique racontait n’importe quoi. »

Elle lui avait proposé un débat. Il avait refusé. Il savait très bien que face à une spécialiste de l’histoire de la psychanalyse il aurait l’air de ce qu’il est un ignorant manipulateur.

FL dit: 30 janvier 2025 à 10h05

Je me rappelle qu’au moment où il a fait son numéro sur Freud, Elizabeth Roudinesco est montée au créneau avec véhémence et lui a cassé la baraque, démontrant avec précision que l’agitateur publique racontait n’importe quoi.

Elle lui avait proposé un débat. Il avait refusé. Il savait très bien que face à une spécialiste de l’histoire de la psychanalyse il aurait l’air de ce qu’il est un ignorant manipulateur.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 10h09

Un bel hommage de Philippe Descola à Bruno Latour, à 10’14, lors du colloque de science po, deux ans après sa mort…
https://www.youtube.com/watch?v=9I3vHM7NQmw
@ 9.50, je vous comprends… Vous ne comprenez pas de quoi je parle, en évoquant votre ami Hector. « Une émission criminelle », cela ne veut rien dire, bien évidemment, hélas. Mais cela n’a strictement aucune importance.
@ 9.45, Une âme tempétueuse…. Why not ? So what ?
@ 9.58, vous m’avez l’air bien méchant.e sur l’épinglage du tissu d’inepties onfroyesques. Mais avec leurs béni-wiwi, c’est de mise et un brin légitime.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 10h42

@10.04, Je m’en souviens bien, également.
Mais ER ne m’avait pas convaincu non plus. Elle pinaillait sur des points de détail de son bouquin sur le crépuscule d’une idole. Et s’il n’avait pas donné suite, c’est parce qu’il n’avait pas à « discuter » avec une idolâtre, pas plus « scientifique » que lui. Comme si cette spécialiste de l’histoire des ouvrages et de la vie de Freud voulait jouer à l’institutrice à l’égard des enfants terribles du genre d’Onfray en flanquant un coup de pied dans la fourmilière. Il se trouve qu’il l’avait autant lu qu’elle, Freud, mais qu’il en avait fait autre chose qu’une dévotion sacrée. Son objectif était de pulvériser un gourou à la tête d’une secte increvable, lacanisée ou non. J’avais aimé son athéisme radical et son athéisme freudien. Alors, Mme Roudinesco, franchement… Au regard de leurs habitus et trajectoires respectifs, comment un débat Onfray/Roudinesco sur Freud aurait-il pu être constructif, sinon présenter le moindre intérêt ?
Bref, comme CT, il est clair que je méprise un brin ce qu’est devenu Onfray, mais il est tout aussi clair que tout n’est pas à jeter dans ses innombrables écrits et bavardages, loin de là. Je retiens par exemple sa généreuse « défense » de Houellebecq et Bourdieu en leur temps. Quant à Sade, Camus ou le Coran… une idée le traverse, et voilà un nouveau bouquin inutile. Pour Freud, ce n’était pas le cas. Evidemment, je ne suis pas un lecteur de son journal périodique. Quant à sa haine de l’Europe de Maastricht et à sa belgérisation forcenée, j’ai peut-être tort de penser qu’il soit ce qu’il est devenu. Un vrai réac politique, au sens propre du terme.

JC..... dit: 30 janvier 2025 à 10h49

Blablater sur SADE ne sert à rien : il faut pratiquer son enseignement inventif, toujours en usage dans le monde entier !

le baron perché dit: 30 janvier 2025 à 11h07

Toujours aussi palabreuse et jacassière la Gigi, un vrai moulin à merde parloteuse.
La calamité de ce blog, c’est elle.
Mon Dieu, quelle purge !

closer dit: 30 janvier 2025 à 11h34

Désolé FL, c’est Onfray qui pulvérise Roudinesco:

« Suite à la publication sur Mediapart du texte d’Elisabeth Roudinesco, Pourquoi tant de haine?, consacré à une réfutation du livre de Michel Onfray, Le crépuscule d’une idole. L’affabulation freudienne, Michel Onfray nous a adressé le texte suivant.

Roudinesco sur Onfray
Où l’on apprend ce qu’est la position du missionnaire…

Elisabeth Roudinesco a affirmé à un journaliste sidéré qu’elle allait créer une polémique planétaire contre moi, une polémique dont je ne me remettrai jamais! Tudieu! Quelle force de frappe! Quelle puissance pour une si petite dame qui croit pouvoir activer ses réseaux intergalactiques afin de pouvoir continuer à distiller son fiel, enseigner la légende, et puis, bien sûr, empocher les bénéfices de ce petit commerce (très) rentable… Pour ce faire, elle inonde internet d’un «communiqué d’Elisabeth Roudinesco» de dix-huit pages, celui qui fut envoyé à l’Agence France Presse (!), qui est un tissu d’insultes, de mensonges, de contre vérités qui la ridiculisent gravement plus qu’elles ne me nuisent. Elle a intitulé la chose: « Pourquoi tant de haine? (suite)». En effet: Pourquoi tant de haine?

Cette haine, on la cherchera en vain dans mon livre, on pourra également lire les entretiens, visionner les émissions de télévision, écouter mes conversations radiophoniques qui n’ont pas manqué avant même la parution du livre, sinon assister à mes séminaires de l’Université Populaire (où mon amie psychanalyste, Myriam Illouz, enseigne, à ma demande, la psychanalyse -car je crois, pour ma part, aux vertus de la saine confrontation, du dialogue intelligent pour que le public se fasse lui-même une idée juste) : on n’y trouvera aucune haine.

A moins d’estimer que célébrer les vertus de l’histoire contre la dangerosité de la légende ce soit manifester de la haine! Auquel cas, je ne peux rien faire et veux bien être traité de haineux par une femme qui fait de moi à longueur d’ondes, d’entretiens, de papiers, de discours, un nazi, un vichyste, un pétainiste, un compagnon de route des négationnistes, un révisionniste, un antisémite, un défenseur de l’idéologie de l’extrême droite française!

Dans ce «travail» de Madame Roudinesco qui met à jour toute l’épistémologie dont elle est capable, je me contenterai juste d’une remarque pour éviter de reprendre point par point ce chapelet d’insanités. Pas question en effet de répondre de manière circonstanciée et développée à cette phrase tellement ridicule qui prétend qu’avec Le crépuscule d’une idole, j’aurais fait de la psychanalyse «une science nazie et fasciste» (page 15)!

Pas question non plus de faire autre chose que rire à gorge déployée à la lecture de cette sottise crasse: parlant de Freud je l’aurais tellement admiré que je l’aurais lu dans «mon enfance» (quel talent!) en me masturbant (page 8) (quel autre talent!)…
Pas question de commenter le diagnostic digne d’un élève de terminale (après sa première leçon de psychanalyse dans son cours de philo…) concernant la «haine» (page 8) que j’aurais pour ma mère, une information prélevée dans La puissance d’exister un livre justement dédié… à ma mère!

Pas question de répondre à l’assertion que j’aurais lu Freud en cinq mois quand, dans la préface, je signale avoir commencé ma lecture en 1973 alors que, sans craindre la contradiction, elle prétend elle-même que son Mentor me servait à me tripoter dans les cabinets dans mon «enfance»…

Pas question de montrer que ce livre, prétendument «dénué de sources et de notes bibliographiques» (page 2) comporte une bibliographie de vingt pages, interligne «un», soit plus de 50.000 signes, et de faire remarquer que les notes ne sont pas en bas de page, mais derrière chaque citation tant il y en a, (quatre ou cinq par pages en moyenne…) , ce que précise la seule note en bas de page de mon livre (page 37)!

Pas question de relever le mépris venu des beaux quartiers parisiens que ses honoraires lui permettent d’habiter contre moi qui suis tout juste un goy terroir «du bocage de Basse-Normandie» (page 7).

Pas question de tourner le couteau dans la plaie en relevant les passages dans lesquels Madame Roudinesco défend les pédophiles et la pédophilie (page 12) et attaque ceux qui l’attaquent -dont moi qui préfère me trouver de ce côté-là de la barrière que du sien, pour ça comme pour le reste….

Pas question de raviver le prurit en commentant cette assertion que j’aurais écrit «la première biographie non autorisée de Freud (en) laissant croire que ne sont aujourd’hui disponibles que celle d’Ernest Jones et de Peter Gay, parues la première entre 1953 et 1957, et la deuxième en 1988» (p.2) alors que je renvoie, pour le travail le plus récent, aux presque mille pages intitulées Si c’était Freud… de Gérard Huber paru en août 2009 -mention donnée dans la bibliographie (p.584). Par ailleurs, je n’ai nulle part dit qu’il s’agissait d’une «biographie non autorisée»!

Pas question de préciser que, concernant la correspondance de Freud avec Max Eitingon (dont Madame Roudinesco écrit: il «ne la cite pas puisqu’il ne connaît pas le détail de cette affaire», page 11) se trouve être précisément à la base des développements des deux chapitres intitulés «Salut respectueux de Freud aux dictateurs» et «Le surhomme freudien et la horde primitive» avec un détail de l’analyse des lettres échangées entre les deux hommes pp.549-550. Le livre que je ne connais donc pas est mentionné dans cette fameuse bibliographie qui n’existe pas non plus page 590! On y lira: «Sur la question politique, sur celle des relations entre psychanalyse et national-socialisme, quelques lettres à Eitingon constituent une mine, Correspondance (1906-1939), traduction d’Olivier Mannoni, Hachette, 2009. Egalement indispensable pour approcher la machinerie de l’institution psychanalytique»).

Pas question de montrer mes quartiers de noblesse de gauche (la chose est connue publiquement, la dame le signale elle-même dans ce même texte en me présentant, sans craindre le ridicule d’affirmer l’exact contraire de sa thèse, comme «un freudo-marxiste» (page 1) pour réfuter l’assertion selon laquelle je «réhabilite le discours de l’extrême droite française» (idem)!

Madame Roudinesco qui fut longtemps stalinienne au Parti Communiste français a gardé les tics d’une pathologie qu’on ne soigne jamais: elle est toujours bel et bien l’éleveuse des vipères lubriques et des hyènes dactylographes, ces animaux d’un temps qui fut le sien, celui de sa gloire passée, mais c’était un temps où je n’étais pas encore né…

Juste une remarque: le fichier qu’elle diffuse d’une manière hystérique et compulsive sur le net et qui contient cette prose scientifique (dans le sens que Freud donnait à ce mot…) a pour titre : «Roudinesco sur Onfray»… Si j’étais psychanalyste, ce qu’à Dieu ne plaise, j’y verrai quelque chose comme un acte manqué qui trahit un désir inconscient! Quand je pense qu’on ne peut même pas lui conseiller le divan – puisque c’est déjà fait! Preuve définitive, d’ailleurs, de l’inutilité de ce genre de pratique pour en finir une bonne fois pour toute avec les pathologies mentales, non? »

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 12h18

Bof, Onfray , tout facho souverainiste qu’il soit devenu, a bien raison de ne pas vouloir ferrailler avec la papesse de ce qui restera l’escroquerie pseudo-intellectuelle du siècle.
Il a résumé le truc en une phrase, le freudisme, ses apôtres, ont fait main basse sur l’inconscient pour l’assigner en dessous de la ceinture. Le cerveau consigné dans le slip.
Heureusement que des politiques ont combattu pour que cette escroquerie ne soit pas remboursée par la secu.

je cuide dit: 30 janvier 2025 à 12h21

Ai Weiwei a répondu au refus de DeepSeek de répondre aux questions sur l’artiste , déclarant à Hyperallergic que les réponses du chatbot IA rappellent la stratégie du Parti communiste chinois (PCC) consistant à « nier les valeurs universellement acceptées tout en les rejetant activement dans la pratique ».
https://hyperallergic.com/986549/ai-weiwei-speaks-out-on-deepseek-chilling-responses/?utm_source=ActiveCampaign&utm_medium=email&utm_content=Imani%20Perry%20on%20Blackness%20and%20Blue&utm_campaign=D013025

B dit: 30 janvier 2025 à 13h08

Chaloux c’est assez surprenant que vous attachiez une telle importance au livre de MO vous qui êtes adepte des Pleiades ET correspondances, vous auriez de quoi occuper des jours et des nuits autour de Sade autrement qu’en passant par Onfray et en explorant à la source l’oeuvre et l’homme.

B dit: 30 janvier 2025 à 13h12

Le cerveau consigné dans le slip.

l’éros nous détermine.

« Platon distingue deux types d’éros : l’éros vulgaire, fils de l’Aphrodite vulgaire, qui pousse « les hommes à la légèreté et au libertinage », et l’éros céleste, né de l’Aphrodite céleste, qui est la voie permettant le passage du sensible au suprasensible, du monde inférieur au monde supérieur, du monde matériel au monde des idées. Ce passage s’effectue toujours dans le même sens : du bas vers le haut, puisque le monde des idées ne peut agir sur celui des sens. L’éros platonicien n’est ni purement divin ni uniquement humain, il est quelque chose d’intermédiaire, un grand daïmon, permettant d’éveiller dans l’âme, comme la braise sous la cendre, l’attrait de l’âme vers le monde supérieur. Ou autrement dit la beauté de ce monde a pour rôle d’éveiller l’éros dans l’âme pour qu’elle parvienne à la beauté suprasensible et céleste. » Et c’est pas du Freud qui lui a ajouter une extension pour expliquer ou tenter de le faire nos blocages, nos névroses, nos perversions, nos pathologies.

B dit: 30 janvier 2025 à 13h22

3J, noté hier que vous déploriez « la fete du slip » dans le communiqué d’anonymus chez Bilger, n’est-il pas comique ce moment où les populistes puissants de droite du monde entier s’apprêtent à montrer qui de l’un ou de l’autre a « la plus grande » pour en faire usage à des fins contestables et d’ores et déjà contestées?

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 13h23

Je fais plutôt confiance à B. Accoyer qui a porté un coup fatal à cette bande d’escrocs de la névrose. Il est médecin, a priori, il connaît le sujet.

B dit: 30 janvier 2025 à 13h27

Il est médecin, a priori, il connaît le sujet.

cela n’élimine aucun parti pris et sa profession ( otorhino) prouve seulement qu’il possède l’intelligence suffisante à produire quelques écrits. Si ce n’est trop demander, à quoi faites vous référence?

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 13h53

Bof , cette escroquerie du siècle est suffisamment documentée. Et Accoyer est plutot défavorablement connu, comme on dit, dans et par, ce milieu de mafieux de la névrose, et autres gourous des tabous.

Les preuves de cette vaste escroquerie se ramassent à la pelle.
Voilà un qualifié, a priori, qui sait aussi de quoi il cause.

https://www.editionsmardaga.com/products/mensonges-freudiens?srsltid=AfmBOoqmWg1VvdBqFZx2ITIGEILj4sRWueAJUbcxhAuPBxFimoiFNiwW

B dit: 30 janvier 2025 à 14h03

Je ne vois pas comment créditer une charge anti freudienne émanant d’ un spécialiste du nez de la gorge des oreilles sur ce pan. Mais bon, toujours possible de lui prêter confiance, après tout, cerains, certaines estiment tout à fait légitime d’initier leurs enfants à des choses qui ne leur sont pas initialement destinées et parmi eux se rencontrent toutes sortes de corps de métier. Donc un ORL pour critique de la psychanalyse, ça le fait! si cela peut soulager les otites, hein!?

B dit: 30 janvier 2025 à 14h10

Pour avoir bosser un peu en psy, je peux confirmer que les abus sexuels pendant l’enfance et le non respect de la maturation psychologique d’un enfant sont responsables de nombres de dégats et blessures marquantes pour une vie. Surement faudrait-il leur attribuer d’autres origines que celles qui nous sautent aux yeux. Je ne ^suis pas psychologue, il faudrait qu’un élément de cette profession et compétent relate ses expériences en conservant l’anonymat de victimes. Je présume qu’il apparaîtrait comme un lien de causalité probable entre le subi et cequi s’en suit. Le metoo abus et inceste me semble éloquent.

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 14h13

Ouaip, et puis après il y en a , qui ont aussi fait  » psy » et qui signent des pétitions dans Libé pour défendre des pedocriminels et défendre la pédophilie.

B dit: 30 janvier 2025 à 14h13

On peut aussi remettre en cause les differents courants de la psychologie et sauter dans la boue en accusant tous ces gens de charlatanisme, pour faire court.

J J-J dit: 30 janvier 2025 à 14h14

13.22, Dans le texte mis en ligne par Charoulet, il est écrit ceci :
(Si l’intangibilité des frontières ne tient plus, si l’interdiction de l’attaque militaire à des fins d’annexion disparaît, alors c’est la fête du slip pour tous les dictateurs – et, au passage, on voit mal pourquoi la Chine s’abstiendrait de boulotter Taïwan, cause en principe chère à l’agent orange).

A vrai dire, je n’étais pas sûr d’avoir compris le sens, mais seulement imaginé qu’il était un brin vulgaire, ce qu m’avait étonné de la part de cette plume impeccable.
Merci d’avoir mis les points sur les i. Ainsi donc, ce serait ça « la fête du slip », genre de savoir qui de JC ou de puck de l’RDL, par exemple, aurait la plus grosse quéquette ? Eh bé, je sais point si chatGPT va nous départager l’affaire, hein. Vous en pensez quoi, vous, B., au juste, sérieux ?

B dit: 30 janvier 2025 à 14h17

année post 68 , des foules d’erreurs sont inscrites dans l’histoire des sciences humaines, les choses évoluent, les savoirs aussi sauf pour quelques irréductibles qui clament que la Terre est plate, qui nie la théorie de l’évolution, etc etc. Les thèses dépassées sur le bienfait des caresses sur un corps d’enfant sont depuis longtemps mortes et enterrées et ceux qui l’ignorent sont des fous ou des psychopathes.

B dit: 30 janvier 2025 à 14h20

A quoi je pense, 3J? Vulgairement que Trump et ses affidés vont nous niquer, nous et nos espoirs et je pense au règlement de certains conflits en particulier.

B dit: 30 janvier 2025 à 14h24

Oui, Sasseur, Dck s’est déssapé une fois sur un plateau TV, il portait un slip rouge, comme un aveu pour un passé. Une préférence pour la couleur de vos falbalas, blancs comme neige?

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 14h47

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/serie-les-oligarques-de-la-silicon-valley-anatomie-d-un-pouvoir-sans-limite

Cette série d’inter qui montre que barons de la tech , qui avait commencé hippies baba cool, sont devenus des reacs no limit, qui vont programmer la fin de l’humain tel que nous le connaissons, avec les différents modèles d’IA, et autre  » augmentations » post-humaines disent assez la vanité de toute utopie qui invariablement tend au pire comme le vérifie le deuxième principe de la thermodynamique. Vous avez connu les 30 glorieuses, vous voici au seuil des 30 foireuses …

 » il faut faire confiance à notre espèce, elle a toujours créé des solutions en même temps que les problèmes  »
Cabane, A. Quentin. Chap. 12

je cuide dit: 30 janvier 2025 à 14h51

« le Mensonge ?
[Il frappe de son épée le vide.]
Tiens, tiens ! -Ha ! ha ! les Compromis,
Les Préjugés, les Lâchetés !…
[Il frappe.]
Que je pactise ?
Jamais, jamais ! -Ah ! te voilà, toi, la Sottise !
Je sais bien qu’à la fin vous me mettrez à bas ;
N’importe : je me bats ! je me bats ! je me bats !
[Il fait des moulinets immenses et s’arrête haletant.]
Oui, vous m’arrachez tout, le laurier et la rose !
Arrachez ! Il y a malgré vous quelque chose
Que j’emporte, et ce soir, quand j’entrerai chez Dieu,
Mon salut balaiera largement le seuil bleu,
Quelque chose que sans un pli, sans une tache,
J’emporte malgré vous,
[Il s’élance l’épée haute.]
et c’est..
Cyrano

JC..... dit: 30 janvier 2025 à 15h04

AVEU

Pour avoir connu de nombreux psychanalystes dans les années finissantes du millénaire passé, je m’y suis fait quelques amis, morts depuis et enterrés dans des cérémonies de haute tenue, bien entendu.

J’en ai tiré une observation générale, leur intelligence à tous, large et fine, très imaginative, et une autre, leur passion pour l’espace mental de leurs patients en souffrance, domaine labouré à qui mieux mieux.

Les querelles de chapelle entre eux, incroyablement violentes parfois, devenaient souvent insupportables, incompréhensibles. Cessées, les disputes livraient des hommes aussi honnêtes et engagés que des plombiers travaillant sur des fuites délicates….

Dans ces conditions, il fallait remonter le temps, avec calme et rester patient, en travaillant le sujet. Lire par exemple, chez Calmann-Lévy 1990 CORRESPONDANCE Freud/Ferenczi 1914-1919….

Prodigieusement intéressant.
Il y a pire façon de perdre son temps.

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 15h19

Dans ces conditions, il fallait remonter @le temps, avec calme et rester patient, en travaillant le sujet.

______

Je ne sais pas quel lycéen de terminale a
pu échapper au  » sujet « , tant les profs de philo ont été biberonnéau poison de cette pseudo pensée depuis les années fastes de la goche soixante-huitarde.
Sérieux, faudrait arrêter de faire comme si vous decouvriez l’eau tiède, tous les matins.

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 15h34

Et Alien, vous êtes en crise ?
je trouve un peu jmenfoutiste, et bien outrecuidant de votre part, de massacrer un texte avec un copier-coller foireux, comme souvent, tout le temps en fait.

JC..... dit: 30 janvier 2025 à 15h36

COEFFICIENT DU BAC

Chère Marie, un lycéen de terminale scientifique allait jouer au baby-foot au bar du coin durant les heures de philo que nous proposait une pédagogie en retard de mille ans sur l’évolution du monde !….

Bien à vous et bonne soirée.

rose dit: 30 janvier 2025 à 15h38

Mon maie E. et sa mauvaise passe.

En examens à l’hôpital cet après midi : tout est normal.
Elle a le droit à ce qu’on lui foute l paix.
Qu’elle remonte la pente après cette alerte, c’est tout ce que je demande et je vais m’y employer. Tourner la page, c’est la méthode.

Merci aux attentifs et bienveillants.

renato dit: 30 janvier 2025 à 15h44

« … jouer au baby-foot… »

Nous avions la chance d’avoir au coin un bar avec billard : perfect place to pine.

Marie Sasseur dit: 30 janvier 2025 à 15h56

Ouais eh bien surjouer le glandeur qui n’a pas eu besoin de points en philo pour avoir le bac , et qui découvre la psychanalyse, vieux, comme une pensée magique, à mon avis ce gars là est un nevrosé.
La lycéene de term scientifique- maths physique- qui a joué aussi au baby-foot, mais pas pendant les cours.

B dit: 30 janvier 2025 à 16h00

les années fastes de la goche soixante-huitarde.

Ne vous en plaignez pas , grace à elle tout le monde peut s’envoyer en l’air sans avoir à souffrir d’un jugement morale, elle est tout de même l’auteur d’une révolution Cul et pour suivre d’une certaine évolution culturelle au sein de notre société. Entre les snobinards qui crachent dans cette soupe de gauche et les néo-reac qui s’ignorent, qu’est-ce qui reste?

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