Kerangal, Amalric et la note juste
En toute création artistique, la réussite tient aussi à la note juste. La trouver et la tenir. Rares sont ceux qui y parviennent, discrets sont-ils le plus souvent. La preuve par deux : un livre et un film.
Après l’immense succès de Réparer les vivants, Maylis de Kerangal ne pouvait se manifester que par un petit signe. Ainsi publie-t-on sans paraître. Un livret plutôt qu’un livre avant de se lancer à nouveau dans une entreprise romanesque aussi ambitieuse et puissante. La collection « Paysages écrits » lui en a donné l’occasion. Editée par Guérin à l’initiative de la Fondation Facim, elle propose à un écrivain de composer en toute liberté un texte inédit en s’inspirant de ses paysages familiers, qu’ils soient intimes ou géographiques – sans se limiter à la Savoie… C’est tout le projet de à ce stade de la nuit (76 pages, 10 euros), avec un « à » » minuscule comme s’il s’agissait d’une phrase de milieu ou de fin, alors qu’elle revient en incipit de chacun des chapitres comme pour donner sa cadence au texte.
C’est de Lampedusa qu’il s’agit. « Lampedusa » : quel titre cela eût fait si cet éclat de prose avait voulu rendre un autre son ! Le nom revient régulièrement à la radio chaque fois que de frêles bateaux chargés de clandestins fuyant l’Afrique échouent avant d’atteindre cette île dépendant de la province d’Agrigente (Sicile) qui doit être un mythe chez eux. Quelque chose comme la porte imaginaire de l’Europe, si près de la Tunisie et de la Libye, deux cents ou trois cents kms. Mais la narratrice, elle, ne peut se défendre de penser au « visage recouvert d’écritures de Burt Lancaster », au prince Salina du Guépard, à son créateur Giuseppe Tomasi di Lampedusa, l’acteur issu de l’émigration anglo-irlandaise interprétant un aristocrate ; mais aussi, moins connu mais tout aussi présent dans son réflexe incontrôlé, à Ned Merrill dans The Swimmer (1968), un film de Franck Perry dans lequel le héros forme le projet de rentrer chez lui à la nage en traversant toutes les piscines privées du Connecticut dont il imagine qu’elles forment une rivière ininterrompue.
Beau texte, sensible, mesuré. Pas un mot de trop, pas une émotion déplacée. Et puis quoi, la dernière fois qu’elle a revu Le Guépard, c’était au Reflet Médicis, rue Champollion, entre la Sorbonne et le Balzar, dans sa version restaurée – moi aussi, on aurait pu être assis à côté dans cette salle quasi déserte qui fleure bon le parfum des cinémas de quartier (« un précipité de velours synthétique, de larmes et de transpiration ») et non celle atrocement popcorneuse et cocaïfiée des multiplex. Il lui a fallu le revoir encore, ce film de légende, mais avec l’actualité en résonance dans le creux de l’oreille, pour s’apercevoir que Visconti avait mis en scène le grand bal comme un interminable naufrage, celui d’une société en décrépitude s’absorbant dans la lente dépose du temps.
D’autres réminiscences viennent parasiter celles-ci, créant un léger chaos de mémoire : la lecture du Chant des pistes de Bruce Chatwin lors de la traversée de la Sibérie en train, la leçon inaugurale de Gilles Clément au Collège de France lorsqu’il avait défini le paysage comme ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder, des îles comme des idées, les vibrations du silence… Aujourd’hui, le nom de fiction de Lampedusa a été recouvert par « un autre état du monde » et l’indignation qu’il suscite, ou devrait susciter si l’on ne s’habituait pas à l’indigne. C’est un lieu dans un non-lieu où viennent échouer et mourir des milliers d’anonymes rejetés par la mer, migrants sans papiers dont personne ne veut, des corps en nombre indéterminé.
Voilà pour le livre. Le film, c’est La Chambre bleue de Mathieu Almaric. Un Simenon, forcément, je n’allais pas le laisser passer, ne fût-ce que par curiosité. Aussi réussi qu’à ce stade de la nuit pour les mêmes raisons. Mathieu Amalric, réalisateur et acteur principal de ce film aux côtés de Léa Drucker, a su trouver la note juste et s’y tenir. Une note bleue comme la chambre de l’hôtel des Voyageurs de la petite ville de Saint-Justin-du-Loup, dans la région de Poitiers, autant dire n’importe où en France (cela a été tourné à l’hôtel Cicero de La Flèche dans la Sarthe, où se retrouve régulièrement le couple adultère ; et bleue comme le papier peint de l’ancien tribunal de Baugé, près de La Flèche, où a été tourné leur procès, l’un et l’autre étant jugés ensemble pour avoir chacun empoisonné leur conjoint afin d’hériter et de fuir ensemble, et condamnés ensemble aux travaux forcés à perpétuité :
« Tu vois Julien, ils ne nous ont pas séparés ».
Du classique et du déjà lu. Sauf que c’est Simenon et c’est Amalric. L’esprit y est, à défaut de la lettre, fort heureusement. La seule fidélité et la seule trahison qui vaillent quand un artiste s’empare de l’œuvre d’un autre artiste pour se l’approprier et la réinventer, quitte à ce qu’ils soient à l’unisson dans leur économie de moyens. Une phrase dont j’ignore si elle figurait dans le roman (publié en 1964, il s’intitulait au départ « Les Amants frénétiques ») pourrait être la matrice de l’ensemble, lorsque le héros répond aux gendarmes qui l’interrogent sans relâche :
« La vie est différente quand on la vit et quand on l’épluche après-coup ».
Dès lors on comprend que, contrairement à ce que l’on pouvait craindre au début, (les amants, chacun mariés de leur côté, sont des amis d’enfances qui se retrouvent longtemps après) ce ne sera pas un remake du « Ni avec toi ni sans toi » de La femme d’à-côté de Truffaut. L’histoire est racontée d’un point de vue unique, celui de Julien, père de famille et marchand de machines agricoles, pris dans les rets tant de sa passion pour cette femme que dans ceux d’une machine judiciaire qui s’acharne à le rendre coupable. De beaux partis pris esthétiques qui ne sont jamais esthétisants, des corps mis à nu et une origine du monde dévoilée naturellement, des cadrages audacieux, une photographie inventive signée Christophe Beaucarne, un dépouillement sans froideur, une habile désynchronisation du son et de l’image viennent à point transcender un fait divers anodin.
La réussite, c’est ce ton d’inquiétante étrangeté conservé de bout en bout, jusque dans les ambiguïtés d’un dossier judiciaire qui, en ce qui le concerne (car elle, tout la désigne comme coupable) ne s’appuie que sur des apparences et de la malchance, des coïncidences et un faux témoignage. Cela tient à un détail mais qui ne fait pas son petit important, un frémissement de narine, un haussement de sourcils, l’écho d’un soupir, à peine deux ou trois mots murmurés, le tout baignant dans une lumière venue d’ailleurs au long de ce récit déconstruit et reconstruit au rythme d’une chaconne autour de l’enquête du magistrat-instructeur en flash-Bach. Amalric sait donner à voir autant qu’à entendre le désir, le doute, la passion et l’amour comme si c’était la première fois. Même les audiences rendent un son d’une rare authenticité, contrairement au toc de beaucoup de procès de cinéma et de télévision.
Les silences y sont admirables. Chez Mathieu Amalric omme chez Maylis de Kerangal. Des silences qui prennent la parole lorsque leurs auteurs, après nous avoir durablement inquiétés, nous laissent stupéfaits devant les choses de la vie.
(« La chambre bleue » photo extraite du film ; « Maylis de Kerangal » photo Passou)
688 Réponses pour Kerangal, Amalric et la note juste
Aller au charbon
Activité qui permet de raser des villages entiers.
Le nucléaire peut-être un jour, le charbon tout de suite.
La photo est magnifique.
Elle fait penser à l’amour, tout simplement.
Dommage pour les pieds du type.
Les chaussons au lit, c’est no-sex.
Des journées on ne se demandera pas ce que vous avez bien pu fumer pour pondre de telles aberrations, c’est pas de bol quand même de trainer son ça comme ça toute une vie en plus du sida assiet toi, l’enflure de votre ego n’a d’égal que la surface de votre irréparable en symétrie, ce qui explique votre rage à piller des jardins, à détruire et polluer tout ce que vous approchez, c’est votre nature, toxique, un avenir de péripatéticienne à assurer, allez vos amis mal en point, bagatelle pour requiem. Dédicace du hasard ou génie sélectif, vous êtes l’élue de la providence, justice divine.
« Mme le Pen, on ne le rappellera jamais assez, est l’héritière d’une longue tradition de défaitistes, de traitres à notre histoire, d’admirateurs et alliés des dictateurs, qui ont fait le malheur de la France. Hier soir encore, en ce funeste 25 mai qui restera dans les annales comme un jour de chagrin et de pitié, elle et ses acolytes cachaient mal leur impatience de mettre à bas notre Constitution, nos institutions, nos traités ainsi que tout l’appareillage d’usages et de lois qui fondent la solidarité entre les Français. »
Car c’est bien de ça qu’il s’agit.
Pour le reste, on peu( contester, c’est mon cas.
http://laregledujeu.org/bhl/2014/05/26/pour-un-gouvernement-dunion-nationale/
jicé 550 000 robert
t’as vu, bougros te traite de radio salope de keupu encore..
…
…il n’en reste pas moins,…
…qu’il y a une déréglementation du système économique,…les épiciers,…( … ) et tout les petits commerces,…servir avec le sourire, survivre aux taxes, et encore trouvé un bénéfice avec toutes les grandes surfaces à côté!,…
…peut-être des boxons en arrière-boutique,…l’école à Saumur Cash-d’héritiers à gratter son Rothchild du coin à la fraise fraîche du canapé en ré-mineur à l’emploi du casier judiciaire-vierge!,…preuves des droites à l’appui!,…
…
…la direction d’entreprise,…le plan des nigauds de village,…la masturbation avec les finances!,…
…tu veux ou tu veux pas!,…B.B.,…
…du temps du Plan Marchall d’après guerre,…la droite et ses » pieds nickelés « ,…Oui!,…elle est bonne la France!,…
…vive les colonies des merveilleuses!,…
…etc!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…aux étoiles de la concorde national!,…
…c’est bien, pour un premier essai!,…
…un cachet pour se revoir!,…etc!,…
…le balancier!,…posé,…tic-tac!,…
…çà marche! les filles!,…etc!,…
…
…
…Gilbert Bécaud,…les boîtes à cinq sous !
…
…
…« Je suis serin »,…
…
le président Bouteflika,…qui dit ça,… mais le président Hollande!,…Ah!,…Ah!,…
…
…selon l’excellent Laurel,… le ministre encaisse avec sang froid,…etc,…pas stressé,…de la colère exprimée!….qui va bien tenir compte,…Bip!,…Bip!,… des résultats,…etc,…
…
… Selon quelles modalités?,… « On verra,…Ah!,…etc,…
…
…Un mec à la haute du coup de serin,…cui,…cui,…moi aussi,…envoyez,…etc,…
…etc,…
…
Hé oui, Bérénice, le truc rigolo que j’ai à vous dire ( à minuscule, mais vraiment tout petit minuscule) la mer était encore de glace hier au-dessus de Chamonix …!
Quand on sait que vous vivez à une altitude inférieure à 500 mètres, peut-on vous accuser de mythomanie, à propos de minuscule vous ai-je conté cette rencontre avec une certaine Me Darui, morte aujourd’hui, un véritable démon, dont il fallait se méfier un peu comme d’une bête folle, la souffrance c’est selon, coté pile, coté face.
Phil, il y a l’Europe et l’U.E.
La Suisse ne fait pas partie de l’U.E., mais est partie intégrante de l’Europe.
Les Suisses (je ne parle pas de nationalité) savent aussi ce que veut dire « travailler », peut-être encore mieux que les salariés de la BRD. La moyenne des salaires suisses pousse encore mieux au travail, que la moyenne Allemande.
Les Français aiment se poser en victimes et ont horreur de tout ce qui est au dessus de leur niveau individuel.
Nicolas Sarkozy désire une Europe des deux, la France et la BRD, un Politique Allemand a déclaré que la France devrait sortir de l’Europe.
Marine Le pen est une vraie populiste, comme Christoph Blocher.
Une différence, Blocher est milliardaire et sait gérer une multinationale (Emser Chemie etc…).
Des journées, mer de glace, on en est à merde in France, mais vous avez remarqué, n’Est-ce pas?
…
…@,…motions de synthèse,…vous êtes sur de bonnes bases!,…enfoncé le clou!,…Ah!, çà ira,!…Ah!,…çà ira!,…
…la répétition, c’est O.K,…
…Ah!,…ces élections à toutes les remettre à la page!,…
…allez!,…suivante,…Non!,…les gay’s,…c’est la porte cochère,…à votre gauche,…toqué avant d’entrer, pour éviter de vous mousser!,…etc!,…
…
Béré de Nice, la mer de glace, c’est ici, pour vous:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mer_de_Glace
Les chaussons au lit, c’est no-sex. (ueda)
Et si c’est des chaussons aux pommes ?
Béré de Nice, lorsque vous écrivez:
« vous ai-je conté cette rencontre avec une certaine Me Darui, morte aujourd’hui, un véritable démon, dont il fallait se méfier un peu comme d’une bête folle, la souffrance c’est selon, coté pile, coté face. »
la réponse est : non. Elle vous fait souffrir ? Il faudrait venir voir Mme de Kérangal à Chamonix. Elle met en place un atelier d’écriture, qui vous semble bien correspondre.
Il y a également un homonyme Darui:
http://fr.naruto.wikia.com/wiki/Darui
Ah oui, je comprends votre sens de l’écologie Béré de Nice. C’est un peu celui des toilettes sèches de M. Bové. Vous avez raison, de développer ce sujet.
Des journées toilettes sèches? vous si bien informée que je ne prétends rivaliser en liens avec vous, je ne les ouvre pas aujourd’hui, pas le temps cependant je ne puis me départir de ce sentiment de désastre à penser à l’annonce et à ses projections dans un avenir plus ou moins proche, je ne cultive pas ce défaut à ma résistance mais c’en est un que de ne supporter l’état des choses qui se délitent irrémédiablement, sans non plus cultiver la misanthropie, on peut, sans ressembler à BB qui en vivant avec un membre du FN trouve une priorité à vouloir protéger les espèces menacées, se sentir profondément attristé à enregistrer les préférences de nos décideurs qui ne maitrisent plus grand chose à la chronique de leurs fins prévisibles ainsi qu’à la modification des paysages et écosystèmes attenants.
Bérénice, dès que j’ai le standard qui traite des demandes de miracles, je vous mets en ligne.
Patientez.
Me Darui était un peu comme la hyène, ça la rendait mauvaise comme la teigne. En gros pour résumer.
Des journées je ne suis pas exempte d’un certain mysticisme, enfin le père Noel Dieu l’ésotérisme, non.
Béré, dans le pays où je suis on est très friands d’histoire de sorcières. Aucun mysticisme la-dedans, cela entre dans la littérature Contes et Légendes, dans lequel les animaux fabuleux étaient moins effrayants que ceux qui vous hantent.
Mais puisque vous n’avez pas eu le temps de le lire, le billet mélange ciné et littérature, avec des réminescences des rêves de Mme de Kerangal. Du coup sur la première photo on peut l’interpréter comme une scène du Guépard avec B. Lancaster et M. de Kerangal. Enfin, après c’est talent d’écriture.
Pour ceux qui veulent rigoler un peu:
« Où en est la philosophie française ?
Sur quoi travaillent les successeurs de Foucault, Derrida, Levinas ou Ricoeur? Paul Audi consacre à ce sujet un numéro spécial de la revue « Cités ». Entretien. »
« Car c’est bien de ça qu’il s’agit. »
BHL expliquant la monté du FN c’est comme Madoff expliquant la crise économique…
« Pierre-André Taguieff : «La propagande antilepéniste, puissant facteur de la montée du FN».
Pour le philosophe et politologue, la réthorique antiraciste et son processus de diabolisation sont une des explications du succès du lepénisme dans les urnes. »
rigoler un peu
ah ça, dans le disneyland bourré comme un métro tokyoïte la bataille du lancer d’étiquettes remplace la lutte des classes, tu parles d’un tube underground..
J’entends encore une fois le mot « pédagogie », je sort mon revolver…
« Hier soir encore, en ce funeste 25 mai qui restera dans les annales comme un jour de chagrin et de pitié »
Les pleurs de Bloom, colibri se prenant pour un aigle, font mourir de rire ses amis du Quai….
et si c’est « propagande » faudra lâcher des bombes
Vous devriez descendre de temps en temps de votre arbre ! toute une journée ce n’est pas sain… Allez acheter Télérama, bon dieu ?!
J’ai pas entendu le président Hollande à la TV, il a dit quoi ? j’avais piscine !
Sade, à votre service 24h sur 24 dit: 26 mai 2014 à 20 h 15 min
Merci à Bloom.
Merci, vos services vous pouvez vous les mettre où je pense.
Curieux s’abstenir dit: 26 mai 2014 à 20 h 38 min
j’avais piscine
Eh bien coulez maintenant.
Des journées effectivement j’ai lu la fin car je suis sortie de la séance avec une énigme non élucidée ne sachant quoi penser de l’homme accusé, des indices semés laissant comme pour les jurés l’interprétation au travail, je n’ai pas encore lu une seule ligne de MdK et je ne sais si mes hésitations et un emploi du temps à la confiscation raison boulot m’y mèneront, mais pourquoi pas, si la photo est bonne. Je vais m’attarder au commencement de ce dernier billet mais elle vous épate, non?
En tout les cas je me suis rassasiée l’instant d’avant de Mathieu Amalric en noir et blanc coiffé décoiffé façon piou piou intensément sensible et concerné, enfant de la presse. Je le trouve de plus en plus séduisant esthétiquement satisfaisant.
Béré, vous écrivez: « Je vais m’attarder au commencement de ce dernier billet mais elle vous épate, non? »
Les 3 premières lignes ne valent pas un cachou.
La bonne note c’est comme la bonne distance. Faut savoir s’y tenir.
Faut aller au 5ème paragraphe, pour que cela devienne vraiment énervant.
Béré, dans le pays où je suis on est très friands d’histoire de sorcières.
Vous regardez trop les pub pour Kezac.
http://www.bing.com/videos/search?q=eau+min%c3%a9rale+kezac&FORM=HDRSC3#view=detail&mid=EA58C80C371835A04204EA58C80C371835A04204
« Vous regardez trop les pub pour Kezac. » Béré, je cliquerai pas. Vous en êtes à lire le billet ou à noyer le poisson ?
Dear TKT, les amitiés particulières franco-allemandes ne semblent pas avoir de secrets pour vous. Indeed, les populistes germaniques ont gagné leurs millions tandis que ceux d’ici en héritent (les ciments), une différence cachée supplémentaire qui fait de la soi-disante entente des deux pays un des plus beaux malentendus de l’après seconde guerre.
Le Guépard, lointain écho des conquêtes de Barberousse, devrait mettre tout le monde d’accord.
Et vous identifiez-vous clairement au 5ème paragraphe qui devrait en toute logique porter dans sa nacelle un 5ème élément? Quelle prétention une fois de plus, vous feriez mieux de ravauder vos chaussettes, d’ailleurs vous mériteriez le prix du scénario.
« une différence cachée supplémentaire qui fait de la soi-disante entente des deux pays un des plus beaux malentendus de l’après seconde guerre. »
C’était pas une histoire de charbon, Phil ?
je noie le billet en emballant le poisson dans l’évènementiel politique, pour tout vous dire je m’en fiche du billet.
Une histoire à la Karl et au blé, des journées.
béré, vous avez tort, ça commence juste à devenir interessant :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Communaut%C3%A9_europ%C3%A9enne_du_charbon_et_de_l'acier
desjournées, à tout le moins une fumeuse histoire. Vercors avait pourtant eu le nez fin, donc même les résistants sont tombés dans le panneau.
Ah, Phil évidemment, à ce stade de la nuit…
à 21 h 40 min
à ce stade de la nuit
Oh mes dieux, faites qu’elle s’endorme.…
j’veux pas qu’elle s’en aille!
Sur ce bog, quand on dit que c’est un sophisme que de poser en équation antisionisme = antisémitisme, on se fait censurer !
Merci pour Sabra et Chatila.
Phil mon décodeur en panne je vous demande de traduire en bon français, je répète les carottes sont cuites les topinambours sous le buffet, ici Londres…
« Des silences qui prennent la parole lorsque leurs auteurs, après nous avoir durablement inquiétés, nous laissent stupéfaits devant les choses de la vie. »
Eh oui, il y a aussi la mer, son silence lorsqu’elle est calme; la vie quoi.
Des journées tout le monde ne vit pas comme vous une vie stupéfiante, l’océan plus bruyant qu’une mer connait lui aussi des phases sans phrases, des partitions sans notes, infini étale sans plus qu’un souffle continu en fond sonore ou rien qui attend l’oiseau pour ajouter au silence.
vœux pieux, l’oeuvre résistante: le silence de la mer. Desjournées, vous savez maintenant combien de petits-enfants eut Céline ?
Phil, non, j’y penserai un autre jour aux enfants de Colette.
Non, savez-vous quel film a été primé à « un certain regard » cette année à Cannes ?
Je viens de lire:
« Un conte visionnaire entre une espèce supérieure et ses congénères en disgrâce… »
Comme je disais à Béré de Nice que j’aimais bien les contes, celui-là me parait quand même un peu hard.
http://www.festival-cannes.com/fr/archives/ficheFilm/id/100009237/year/2014.html
Desjournées, c’est un film hongrois. Les sélectionneurs de Cannes sont très incultes et ne lisent pas le prestigieux blog de passouline. Ils voient la Hongrie comme l’Iran et prime le documentaire par mansuétude. Le synopsis ne dit rien sur la qualité de ce film.
J’espère que monsieur Fillon n’a rien à voir avec le dernier scandale financier impliquant le teigneux et q’il pourra, le plus tôt possible, remettre la France sur les rails, comme sut le faire autrefois le Général.
Si la France a élu ce pauvre monsieur Hollande, c’est qu’elle voulait virer le teigneux. C’était non point le meilleur choix, c’était le moins pire. Allons, courage, notre cher pays a connu des heures autrement plus horribles. Le défouloir qu’est le Parlement européen a permis d’exprimer notre grogne. C’est fait. Revenons à la saine politique du Général. Il n’y en a point de meilleure. Et je n’écris pas de moins pire!
Bihoreau, vous ne vieillissez pas très bien. La noblesse n’est plus ce qu’elle était.
Bihoreau de Bellerente dit: 26 mai 2014 à 22 h 30 min
Revenons à la saine politique du Général.
Bonne idée ! On donne l’autocirculation la dépigeonnisation à la Lorraine je peux plus les voir… A Angela directos !
Phil dit: 26 mai 2014 à 22 h 38 min
n’est plus ce qu’elle était.
Yes. Je vois pas pourquoi on se baladerait pas avec des épées à deux mains de quinze kilos…
La noblesse? Faut pas se fier aux apparences. Vieillir, ça, c’est sûr.
Le monde étant imparfait, le régime du Général fut quand même ce qui pouvait se faire de mieux; mais voilà, il faut de la vertu pour traverser cette vallée de larmes, le Général en avait à revendre. Quant aux veaux, la société de consommation les a repu et ils sont retourné à leur bassesses, sauf exceptions admirables et trop rares qui ont su se bien tenir devant la gabegie qui a connu son paroxysme sous te vulgaire teigneux et sa cohorte de grossiers lèche-culs. Puisse ce bon monsieur Fillon dont la vie privée est irréprochable et la vie publique aussi pure que le permettent nos moeurs revenir au gaullisme qui a fait de la France ce à quoi s’attent encore bien du monde.
Sergio, les épées ont toujours eu sensiblement le même poids.
Les biceps en revanche ont rétréci avec le temps et sont composés de ces filaments blancs, faux muscles qui retombent en bouillie visqueuse à la fin des abonnements de body-pumping.
Le prince de Salina n’est pas une mauviette uvéisée.
Qu’on me pardonne les fautes de frappe, le whisky du coucher me semble plus délétère que de coutume. Hic!…
dear bihoreau, à quelle source « whiskysée » puisez-vous cette nouvelle de « vie privée irréprochable » ?
Le Général, certes, qui éteignait les interrupteurs de l’élysée avant de se coucher
Tout le beau monde est couché. Profitons-en.
Amalric, acteur, n’est-il pas un peu sur-moussé? incompréhensible qu’il eût pu jouer « le méchant » dans un james bond. Faudrait pas que le séisme-tsunamique des élections balaye aussi les haroun tazieff littéraires qui officient sur le prestigieux blog à passouline.
Monsieur Fillon a une épouse de haute tenue, des enfants qui ne lui font pas honte, et si il découchait, ça se saurait, les paparazzi étant ce qu’ils sont.
Le Prince de Salina pouvait avancer les mêmes qualités et il vivait au pays des paparazzi. Vous avez sûrement vu le film.
Un sonnet acrostiché avec le troisième vers du calligramme d’Apollinaire utilisé hier (le deuxième vers ne comporte que douze mots : C’est vous aussi qu’il pleut merveilleuses rencontres ô gouttelettes).
ET les jours et le nuits s’enchaînent monotones,
CES tempêtes, ces cris, sont loin dans le passé,
NUAGES noirs et lourds, fuyant un ciel lassé,
CABRÉ comme un oubli dans de tristes automnes.
SE peut-il que des gens dans leurs destins atones
PRENNENT cet aspect gris, celui du trépassé ?
À tout prendre et pour fuir l’éternel ressassé,
HENNIR dans la fureur, des tonnes et des tonnes.
TOUT mouvement est bon plutôt que le sommeil,
UN trip par monts et vaux pour rester en éveil,
UNIVERS est sans borne à toutes les audaces.
DE l’agitation pour notre grand bonheur.
VILLES, accueillez-nous dans la foule des places
AURICULAIRES, oui, pour parler à son coeur.
Jean Calbrix, le 27/05/14
A propos du Chant des pistes /The Songlines de Bruce Chatwin:
cette réflexion profonde sur le nomadisme comme modalité première du rapport au monde contient des révélations sur des savoirs et des pratiques immémoriales que l’auteur était censé garder pour lui. Cela lui valut l’inimitié éternelle des communautés aborigènes du Red Centre de l’Australie et d’ailleurs, grands absents de cette société aussi superficielle que la couche de terre arable recouvrant ce continent vieux et usé où faire du neuf est encore trop souvent synonyme d’imitation. Loin de tout, près de rien.
Nothing matters much. Few things matter at all.
A.J. Balfour
« Monsieur Fillon a une épouse de haute tenue »
Monsieur Bellerente, un véritable gentleman ne se vante jamais de ses succès féminins
» Monsieur Fillon a une épouse de haute tenue, des enfants qui ne lui font pas honte »
Cher Bihoreau, vous oubliez celui qui a tassé une dame en scooter sur la rocade de Rennes.
La mienne est mieux
Telle Gwenhwyfar/Guinevere, l’épouse de Fillon est galloise; l’a décroché le filon et creusé son sillon, le Fillon. Courage, Fillon…
« Monsieur Fillon … et si il découchait, ça se saurait »
Nous sommes prudents et discrets
(le monde)
: des écoliers découvrent une momie vieille de 7 000 ans Chili -séisme -con ? carne
Réorienter l’Europe ? qu’ils réorientent plutôt leur culture politique !
« ça se saurait »
si encore il était au premier plan …
7 h 10 min
ils se nourrissaient à 90% de fruits de mer
Monsieur Fillon a une épouse de haute tenue
madame fion est une perle
assez de chienlit byoro..la france a soif d’une brune a forte poitrine
le whisky du coucher me semble plus délétère que de coutume. Hic!…
pouah c’est gauliss et ça boit de la gnole brit..
« Le visage recouvert d’écritures de Burt Lancaster » L’exemple type de la prose pseudo-poétique à la française. Quelle image ridicule, que cela sonne faux. Cette Maylis de Kerangal est encore plus insupportable à lire qu’à écouter parler. Littérature sirupeuse d’étudiante en khâgne, prix France-Culture-Télérama.
Avec elle même The Swimmer devient un cliché cinéphilique pour initiés. La pire chose qu’il pouvait arriver à ce film.
boudegras déjà en forme ce matin grâce à glou glou glou
«Totalement dédiabolisé, le FN perdrait une grande partie de son attractivité»
c’est comme jean marron..sans son chalet..ses pleurs amère noyant son gland sur son prépuce perdu..ses antichaloupisme primaire en se grattant les burnes..c’est un type sans saveur
onenote être génie supérieur
« c’est comme jean marron..sans son chalet(…)c’est un type sans saveur »
comme JC sans son scooter
Pour ce qui est du « visage recouvert d’écritures » :
http://www.pinterest.com/pin/393713192395109478/
Rénato, j’ai de la tendresse pour vous mais n’en profitez pas. Arrêtez un peu de rouspéter, je vous en prie. On dirait que vous en voulez à la terre entière.
Mais pourquoi ? Vous avez assez bien réussi dans la vie, nous ne sommes pas responsables de vos quelques échecs.
la france a soif d’une brune a forte poitrine
Super Pumpie is waiting for you
« qu’ils réorientent plutôt leur culture politique ! » dites-vous, Rénato. Eh bien commencez déjà par redresser la barre vous-même. Car vous partez à la dérive, vous êtes déboussolé. Réorientez-vous, mon ami.
« Quand la tête baisse, le palimpseste monte »
Flaubert
D’ailleurs, quelle est-elle, votre orientation politique, Rénato, hum ? Je ne vous imagine pas nostalgique de la collaboration comme Phil ni royaliste comme Sergio, encore moins gaulliste comme Bihoreau.
Ne nous dites pas que vous êtes un émule de ueda-JC, tendance « tout me va du moment qu’on touche pas à mes éconocroques », beaucoup de commentateurs qui vous apprécient en seraient marris.
Il suffit d’un rien.
L’histoire est racontée d’un point de vue unique, celui de Julien, père de machines agricoles et marchand de familles, pris dans les rets tant de sa passion pour cette machine judiciaire que dans ceux d’une femme qui s’acharne à le rendre coupable.
Deleuze aurait fait la préface.
Ne nous dites pas que vous êtes un émule de ueda-JC, tendance « tout me va du moment qu’on touche pas à mes éconocroques » (les frères D)
On est les deux pourris du blog, enfin je suis, puisqu’il navigue vers des eaux meilleures.
Chaque matin qui se lève est une leçon de courage
(ce titre est d’un type que Mitterrand avait désigné comme l’écrivain le plus doué de sa génération, les plus de vingt ans se souviennent).
9h11
Ach, cette Joie de vivre, diese fröliche Wissenschaft, this agenbite of inwyt, ce ‘je-ne-sais-quoi’ de Blut und Boden, de Sturm und Drang copieusement arrosé de Trauerspiel et de Schadenfreude…
On sera fondé à lui préférer (by a long chalk) un weekend avec Marc Lévy en son Nouille Orque.
Hé, Dédé ! si vous ne savez pas pourquoi posez-vous la question ?
« si vous ne savez pas pourquoi posez-vous la question ? » (Rénato)
Ben justement ! Si j’avais la réponse, je ne la demanderais pas. Vous faites l’âne pour avoir du son, Rénato, c’est votre côté ueda.
Chaque matin qui se lève est une leçon de courage
la droite est certaine davoir le monopole du courage zouz et toi t’as juste peur de passer pour une feignasse..c’est une veille lune, le courage des gens de gauche c’est toujours de la folie..à droite on a bien peur que tout l’monde peut pas croquer on a le courage de le dire
Super Pumpie is waiting for you
un travlo siliconé pour le blog a rénato
Demandez au petit célinien, Dédé, il suit les fils, lui…
Non, ueda, la leçon de courage, ce n’est pas le matin.
C’est la nuit. Ce qui fait peur, c’est la nuit. Demandez à Bloom, il en sait quelque chose, il ne dort jamais sans veilleuse.
« si vous ne savez pas pourquoi posez-vous la question ? »
no comment dédé
fais pas le mec de gauche idiot dédé..tu peux en tuer un ou deux pour aider le soleil a se lever..et au matin tu dis en transe avec du sang et des plumes « c’est grace à moi bande de feignant »
Dites donc, Rénato, je n’avais pas vu votre lien de 9h36.
On parle d’un visage recouvert d’écritures et vous nous envoyez la photo d’un visage recouvert d’écritures, sans rapport avec le contexte. Vous êtes un peu bêta, parfois.
Jean Edern’s club était quand même plus marrant que La grande librairie.
Je ne fais pas le mec de gauche, bouguereau. Je lis humblement des commentaires rédigés par des gens beaucoup plus méritants que moi et je me permets de relever parfois, rarement, ici ou là, quelques légèretés ou approximations. Pour m’instruire, uniquement.
Bon maintenant, ça suffit, OneNote. Vous nous pompez le darjot, je le dis comme je le pense.
La grande librairie
vachement moins bien qu’elcabache surtout..
Il ne peut y avoir qu’un mâle dominant sur ce blog, Dédé. En tant que puceau, vous êtes disqualifié d’office.
bien dit, onenote. C’est comme avec Copé. les vicelards déguisés en enfants de choeur sont virés.
Le cofondateur et visage de WikiLeaks Julian Assange fait son entrée dans Le Petit Robert des noms propres : il figurera dans la prochaine édition du dictionnaire de l’éditeur, a annoncé Le Petit Robert
Assange: devenu incontinent après une accusation de viol en Suède.
J’ai 54 ans, je me garde dans toute ma pureté, mes mains sont plus pures que celles de Maquebête. Je me garde pour une femme tout aussi vierge que moi, nous ferons des enfants grâce à la médecine réparatrice.
Je suis un vrai mâle dominateur, mon chat en sait quelque chose.
Aujourd’hui c’est le jour de Saint Augustin de Cantorebeuri, mon parrain.
OneNote, mon darjot est tout à fait pompé, boursouflé, rouge de honte.
Je quitte ce Blog, vous ne méritez pas ma présences, vous tous, je pars en pèlerinage sur le raiepairbanne, je rentrerais encore plus vierge.
Ce midi, je vais déguster un œuf brouillé sur une pomme de terre à l’eau.
Balle tragique à Lu-Aime-Pet: c’est le président qui a écopé.
Et le malinois pas malin de japper: « Maitre lui pas content ouaf ouaf ouaf ouaf… »
La………..la plus conne du monde. CQFD.
Triumvirat (troïka en russe) est un terme qui à l’origine désignait une fonction de la magistrature romaine composée de trois hommes. Ensuite il fut utilisé pour décrire l’alliance secrète ou publique de trois personnalités (politiques ou militaires) de poids égaux qui s’unissent pour diriger. Le mot vient des génitifs latins trium signifiant « trois » et virum signifiant « homme ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Triumvirat
Pas la peine que je vous fasse un dessin. Ni que je vous cause du genre de certains, ici.
Bon aprèm, qui se présente très gai, comme allégé, didon.
Je repense à un truc,
« sans toi ni avec toi », c’est pas tiré d’un ( bon) bouquin de Marc Levy ?
Bloom, ça devient un peu la fin du langage; la poésie en moins.
Béré de Nice, inutile de vouloir me suivre. L’ascension risque de vous être rude.
Béré de Nice, inutile de vouloir me suivre. L’ascension risque de vous être rude
Vous suivre? Dans votre direction? je ne suis absolument pas tentée, rassurez-vous simple remarque. A part ça, un conseil pour oiseaux dans vos arbres qui vous accompagnent, le millet un complément alimentaire. Songez à vous soigner.
http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=millet_nu
Dans les arbres (acacias?non?), je ne sais VRAIMENT pas pourquoi mais à vous lire me vient à l’esprit le personnage de Philipilus le prophète dans L’Ile Mystérieuse de Tintin: « Faites pénitence! La fin des temps est venue! ».
Béré, j’ai décidé de pas cliquer non plus sur votre lien. D. est ze spécialiste de la nutrition ici. Prenez en de la graine.
Sinon, le bouquin de Marc Levy c’est « Just like heaven »
Rien à voir avec « ça », plus sickanalytique :
http://www.cairn.info/revue-le-divan-familial-2005-1-page-39.htm
Et si ça va pas mieux Béré, voyez avec le réparateur de divans, comme Hamlet.
Béré, faudra quand même ouvrir mon lien.
On dirait qu’il était fait pour vous:
« Mme D est constamment irritée par M. D, elle parle toujours de séparation, au point d’avoir acheté sa propre maison un an auparavant, mais au bout de quelques mois elle s’est mis en tête de faire venir son mari chez elle. »
…
…@,…Pablo75,…à,…26 mai à 19 h 58 mn,…
…bien vu!,…les Madoff »s sous les couvertures,…pourvu que çà se tasse!,…
…
…circulez!,…il y a rien à voir!,…Mme la République est servis!,…son maître-queue l’a aux anges!,…le triumvirat,…nous avons un régulier derrière les rideaux,…qui ne peut attendre!,…un sosie comme Dieu qui vous le rendra au centuple!,…
…
…mécréants!,…vaut mieux un en con-fasse que Dieux tu auras!,…of course!,…
…etc!,…suivant!,…
…
Outre Marc Levy, dans la liste des écrivains adaptés au cinéma, et pas par des moindres, il y a » Ensemble c’est tout »- je reste dans le même registre, ne me dites pas que je ne suis pas dans le sujet- écrit par un auteur méconnu : Gavalda.
Bien, puisque quelqu’un d’autre signe Dédé à ma place, je vais désormais signer Dudu.
Je n’avais pas voulu lire le billet parce que je n’aime ni Maylis de Kérangal ni Mathieu Amalric. Je me suis forcé finalement. Eh bien je le regrette parce que, comme je le soupçonnais, on y dit du bien de Maylis de Kérangal et de Mathieu Amalric, or, comme je l’ai dit, je n’aime ni Mathieu Amalric ni Maylis de Kérangal.
Toutefois je suis prêt à m’amender. Je pose donc la question à renato et Chaloux, les commentateurs cultivés de ce blog : dois-je réviser mon jugement ?
Phil dit: 26 mai 2014 à 23 h 35 min
à la fin des abonnements de body-pumping.
Dans la salle à laquelle je vais, à une certaine époque, des types passaient par les toits pour venir s’entraîner gratos ! Grivèlerie musculaire…
Ce que le faux Dédé dit à 12h43 aurait dû vous alerter :
« J’ai 54 ans » Faux.
« Je me garde pour une femme tout aussi vierge que moi » Faux.
« Je suis un vrai mâle dominateur » Faux.
« mon chat » Faux, je n’ai pas de chat.
Sergio, c’est vous qui signez Dédé à ma place ?
Non mais Manu a supprimé l’alcootest ! Dans la boîte à gants… Là où est le whisky ! Et Tonton la vignette moto… Le Rouge est l’ami du motard !
Dudu dit: 27 mai 2014 à 14 h 17 min
c’est vous qui signez Dédé à ma place ?
Ha non même ma propre signature j’arrive pas à l’imiter…
Je comprends mieux maintenant pourquoi christiane vous a traité de galopin, Sergio.
bouguereau dit: 27 mai 2014 à 12 h 04 min
« no comment »
C’est bien. Continue.
Rien à voir avec « ça », plus sickanalytique
Ah le scialytique rien de mieux pour y voir, Desjournées comme vous l’avez constater il y a à faire et plus que me coller les basket, si vous n’y voyez aucun inconvénient, il faut encore que je termine mon raisin. Je vous passe la télécommande, j’avais compris que vous receviez cet après-midi et à tort m’en réjouissais et puis non, quel zut
J’ai archivé tous vos liens.
13h45 je suis célibataire et chaste depuis 21 ans antinomique au féminin, proche âge retraite et pas lesbienne non plus, que suis-je dans quelle étagère chez quel coiffeur? Cairn info sur cette publication ne me concerne pas, si vous ne savez pas non plus viser et droit, apprenez à trouver la cible, merci.
Dudu dit: 27 mai 2014 à 14 h 20 min
Je comprends mieux maintenant pourquoi christiane vous a traité de galopin
Il y a un fond de vérité : le galopin, lui, est apolitique. Il n’est que du côté du radiateur. L’hiver s’entend…
Mais je vous accorde une confidence: il y a très longtemps, à l’ère des dinosaures alors que je souffrais d’une vie de couple recommandée par l’OMS, je dus lire « parle-moi j’ai des choses à te dire » de je ne sais plus qui et qui se révéla absolument adapté à la situation, je rompis le frêle banc sur lequel l’union éphémère ( pléonasme) reposait quoiqu’à la vivre, ce fut fort éprouvant voir épouvantable, depuis, je n’ai pas rejoué cette carte chargée de promesses, voire chimères.
Le galopin, c’est pas aussi une boisson?
bérénice dit: 27 mai 2014 à 14 h 55 min
proche âge retraite
Oui mais les gardiens du Goulag j’avais calculé ils pouvaient l’être à trente-deux ans… C’est pour cela qu’ils le faisaient, d’ailleurs.
« l’union éphémère »
Alors je suis votre homme, bérénice. Avec moi, les unions sont toujours éphémères, je suis éjaculateur précoce, c’est mon seul point commun avec TKT.
Le galopin fait 12,5 cl en France et 20 cl en Suisse (ce qui correspond à la flute hollandaise).
J’ai deux fois l’âge du gardien, Sergio, ne nourrissez aucune illusion, l’œil triste, le cheveux terne, la peau parcheminée, le corps veiné d’un fin réseau qui vire au mauve quand la température est inférieure à 22 degrés. Je ne suis pas présentable et je ne mange que du hareng.
la peau parcheminée, le corps veiné d’un fin réseau qui vire au mauve
Tout le portrait de Daaphnée.
Vous vous vantez.
J’ignorai qu’on put verser un liquide quel qu’en soit la nature dans un instrument. Beaucoup de musiciens sombrent dans l’alcoolisme, peut-être un début d’explication…
Hue, non, j’aimerais bien pourtant!
bérénice dit: 27 mai 2014 à 15 h 15 min
du hareng.
Comme Cascade alors ! Ha ça c’est un homme…
12,5 cl en France et 20 cl en Suisse
C’est pourquoi les Suisses sont plus gras que les Français en moyenne.
J’ignorai qu’on put verser un liquide (bérénice)
J’ignorais — imparfait.
qu’on pût — subjonctif imparfait.
quel qu’en soit la nature (bérénice)
quelle qu’en soit — s’accorde avec nature, féminin.
le cheveux terne (bérénice)
le cheveu
Lefurnion, oui mais il fourchent.
il fourchent
J’adore ça.
Dommage que vous ne soyez pas lesbienne, nous aurions fait un beau couple.
une leçon de courage
jfc c’est le courage personnifié
Lefurnion il nous faut réinventer une grammaire qui puisse dire l’intime, à coup de lapsus dévastateurs, la guerre des genres n’a plus d’endroit, la concordance a perdu ses mécaniques, l’instrument langue sonne faux, sa musique n’est plus qu’un folklore expérimental pour bourgeois en mal de canapé.
oui mais il fourchent.
faut arrêter la gégène du soir épicétou
« le héros répond aux gendarmes qui l’interrogent sans relâche :
« La vie est différente quand on la vit et quand on l’épluche après-coup ». » : non mais qu’est-ce qui veut qui croient qui s’y entravent…
quoi, Sergio traité de galopin par l’attachée de presse de Popaul ? eh bé !
La conclusion de Bihoreau est celle ou parvient le rigoureux Jean Michel Quatrepoint, in « Le Choc des Trois Empires », livre dont je ne puis que recommander la lecture.
Bien à vous.
MC
au moins Ciboulette écrit le pronom OÙ avec un accent, pauvre andouille de Court sur pattes
Madame de Valognes dit: 27 mai 2014 à 16 h 21 min
l’attachée de presse
Le seul truc qui change pas c’est des blondes ès qualités, mais sinon maintenant ça doit avoir des noms terribles, non ? Faut galoper pour faire moderne…
bérénice dit: 27 mai 2014 à 15 h 58 min
la guerre des genres n’a plus d’endroit
Du moment qu’elle a un envers, on est sauvé comme les mecs de la Méduse…
Faux, je ne suis pas plus précoce que tardif.
Je suis comme le lac salé sans le sel.
renato dit: 27 mai 2014 à 15 h 13 min
« Le galopin fait 12,5 cl en France et 20 cl en Suisse (ce qui correspond à la flute hollandaise). »
…Expert loufiat.
La pinte française (50 cl) équivaux à la canette suisse et au demi belge…
Bon, après avoir fait de faux Dédé, maintenant ueda fait un faux Dudu. J’essaie une dernière fois avec Dada, mais je vous préviens, il n’y aura ni Didi ni Dodo.
La mignonette fait 5 cl, la fillette 37,5 cl, le pot 46 cl et la désirée 50.
les mecs de la Méduse…
le poulpisme
https://www.youtube.com/watch?v=m-oqr0Z5VMo
Et pour le moteur franco-allemand, un formidable (1 L) vaut un mass…
…Expert loufiat
avec veston technique 36 poches..
avec l’euro, le cuivre c’est pour faire des balles de 9mm..j’ai un souvenir ému du gros porte monnaie de ma mère d’un kilo quand elle allait au marché
La pinte française (50 cl)
y’a pus que les anglais pour être honnête la dessus faut reconnaite..même a dunké une pinte ça fait un demi d’un demi..un quart quoi..salaud!
Le galopin fait 12,5 cl en France
je connais un bistrot où il est moins cher que le 1/2 demi..pour faire boire la gonzesse et foutre la honte au soulot qui en commande 2
Je commande ma vodka par bouteille de 5 L.
Je bois 1 bouteille et demi par jour de vodka française.
Combien de litres ?
bouguereau 27 mai 2014 9 h 10:
«Bihoreau de Bellerente:le whisky du coucher me semble plus délétère que de coutume. Hic!…»
pouah c’est gauliss et ça boit de la gnole brit…
Et oui, le Général ne servait jamais de scotch, blâmant 1789, les Émigrés en Angleterre où le whisky dut remplacer la fine à l’eau, vu le blocus napoléonien, le retour des Émigrés avec ce goût acquis, et l’inévitable anglomanie des veaux qui fit en sorte que le scotch devint si populaire en France. Que le Général me pardonne…
« parle-moi j’ai des choses à te dire »
C’est un bon début pour en finir avec le bouquin M. de Kerangal.
J’ai eu la sotte idée de me demander ce qu’un médecin pouvait penser de son succès en librairie.
Et quand je dis médecin, je veux dire quelqu’un qui descend des chasseurs-cueilleurs, qui pratique la médecine sans émotion. En un mot comme en cent: un chirugien.
Alors j’ai trouvé. Il n’est peut-être pas chirurgien; mais il taille dans le vif.
Et ce qu’il dit est plus qu’interessant. Avis aux émotifs: s’abstenir !
http://jeanyvesnau.com/2014/04/26/elections-europeennes-donneriez-vous-votre-rein-a-un-roumain/
L’amour des produits du terroir de France n’a pas pour autant fait plier le Général, qui s’est écarté de certain écrivain, fils de producteurs de cognac.
Oubli réparé par le président Mitterrand (que le Général voyait comme « une arsouille »).
« l’inévitable anglomanie des veaux »
il n’aimait pas non plus ceux qu’il appelait les bougnouls
@maurice dit: 27 mai 2014 à 19 h 18 min
parait que Mélanchon pleurait comme un gosse dimanche soir, c’est vrai ?
une leçon
de vie si la planète était bleue..
Arsouille : (Mitterrand, selon le général de Gaulle)
(Argot) Souteneur de tripot.
Personne abusant ostensiblement de l’alcool et d’aspect repoussant.
La première gorgée de bière fut sans doute un plaisir, mais maintenant le jeune homme est ivre. « Où qu’il est le cuistot ? beugle l’arsouille à peine entré dans le hall. » — (Yann Venner, Aller simple pour Trélouzic, page 276, 2006)
Oui, Mélanchon était tout mélanchonné. Il a soudain compris que la classe ouvrière avait voté contre lui à l’extrême droite, et qu’il vivait dans des illusions qui risquent à terme de lui couter sa place député. On comprend qu’il chiale l’arsouille…
Ah ça, on peut dire que Maurice, vous l’avez pas raté ML,
« On vous apprend quoi à l’école, mon petit chat ? Les jolies filles en savent toujours trop. Vous savez comment je l’vois votre avenir ? Vous voulez le savoir ? […] L’Égypte c’est pas commun ça l’Égypte. C’qui a d’bien c’est qu’là-bas, l’artiste est toujours gâté. […] J’disais l’Egypte comme ça! J’aurais aussi bien pu dire… le Liban. »
« la femme d’à côté » habitait Bernin, vous connaissez Bernin ?
(vous connaissez)
A peu près tout pour vous cacher derrière djedla ?
Phil dit: 27 mai 2014 à 19 h 07 min
le président Mitterrand (que le Général voyait comme « une arsouille »).
« Pèpèpe », Phil, c’était en effet une arsouille.
Mais une arsouille supérieure, raffinée, perverse, jouisseuse, capable d’aller probablement jusqu’au meurtre, inutile de donner les noms.
Pas une arsouille minable comme Copé ou Camba.
Un artiste.
Il lisait Chardonne comme vous ou notre ami Chaloux.
Je me demande si M. Philippot lit Chardonne.
On ne peut l’exclure.
Il est très bien ce journaliste, Gilles Bouleau. L’interview de Cos Palpatine, ce soir, a été bien menée.
J’en appelle à chacun et à tous.
N’oublions jamais nos racines catholiques.
Je dis à l’étranger qui nous toise.
Ne crois pas trop, passant, au laïcisme dont on t’entretient ici.
Tu ne le comprends pas et c’est normal.
Les Français sont dévots.
C’est le plus illustre des Français qui l’a dit.
Et merde, on m’appelle, trognon, et je ne peux vous écrire le post délicat et courtois que je voulais vous adresser.
Vous êtes une conne.
Je sais, je sais, il faudrait dire ça autrement.
Et puis relativiser, bien sûr, sans pour autant gaser, hein.
Il y en a d’autres, etc.
Pas le temps!
béré, je vous dois un compliment, déjà fait à d’autres, je ne suis pas avare: vous êtes une petite chose odieuse que votre deuil n’a pas vraiment rendue plus humaine, si ?
uhuh doit être un journaleux frustré, lui.
« Vous êtes une conne. »
Mais non, ce n’est pas grave.
Vous continuerez à piocher et gloser, bien sûr.
No problemo!
Simple mouvement d’humeur.
Vous en étiez prise à Sophie, sans pouvoir vous poser la question de son intelligence.
Poussez donc!
Et soyez arrosée (c’est traduit de l’arabe).
Dédé?
À votre arrosoir, je dois filer!
Il n’a pas du pouvoir joindre Martin Schulz, uhuh.
uhuh défend les veuves. Mais dans les contes ce sont des araignées bien velues. Beurk.
Faut-il répondre à Ciboulette?
Elle ne sait pas ce qu’elle fait
Faut-il répondre à Ciboulette?
Non! Ciboulette est un un navet.
Serviteur.
Ueda,
un Chardonne a plus de saveur dans la défaite.
Si Philippot a du goût, il doit plutôt lire son ami et correspondant en résidence suisse.
21h02 sj’lt jvdbdc m cupp a jm’a dvscqlrmd.
BàV.
Ce soir, M. Copé est mûr pour lire Chardonne.
La vodka c’est très bon c’est sain c’est naturel y a rien dedans…
Si ça remarche.
Phil, pour le Vercors à l’heure polonaise c’était là:
http://en.youscribe.com/catalogue/reports-and-theses/knowledge/le-lycee-polonais-cyprian-norwid-de-villard-de-lans-1940-1946-685749
Merci Desjournées. Quatre cents pages, c’est un peu long sur écran, mais la Pologne en vaut la peine.
Avant le Vercors, elle a subi l’oppression de nos amis allemands, alors prussiens, et comme la Hongrie, subit aujourd’hui l’opprobre des médias français qui n’ont étudié l’histoire qu’à partir de la seconde guerre dans une version laïcisante.
uhuh défend les veuves. Mais dans les contes ce sont des araignées bien velues
Dans les contes dites-vous? Parce qu’il me semble que la veuve noire pas vraiment, mais aucune envie d’aller vérifier. Faudra peut-être penser à ne pas trop prétendre tout savoir des cibles sans être capable de viser droit btw. Les soldats du rire qui s’allient pour ne pas s’assumer claque-merde on a le droit de ne pas aimer…
C’est pas faux Phil, 400 pages c’est un peu long pour les aborigènes du bois de boulogne un peu durs de la comprenette.
Il est minuit, et le reste est.
Bonne nuit.
Quant à moi je doute que vous l’ayez lue, il faut je crois autant de passion et d’intérêt pour la lire qu’à l’écrire et à la recherche, à part ça on admire le grand écart entre les derniers liens et la diversité, presqu’un conseil des ministres sous Sarkozy, ce qui nous maintient en état d’éveil et d’alerte maximale.
U je vous trouve trop sobre, vous auriez pu cumuler.
688
commentaires