de Pierre Assouline

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La République des livres
La malédiction du livre-culte

La malédiction du livre-culte

Il arrive qu’un écrivain vive le succès comme une malédiction. Inutile de dresser la liste des anciens lauréats du prix Goncourt, de Jean Carrière (L’Epervier des Maheux) à Pascal Lainé (La dentellière), qui ont pu mesurer à leurs dépens le prix d’un Goncourt et ses dommages collatéraux tant sur le plan professionnel que psychologique. L’histoire de Charles Webb est à cet égard des plus édifiantes- et on imagine qu’un romancier doublé d’un scénariste ne manquera pas de s’en emparer un jour ou l’autre.

Vous vous souvenez de ce refrain fredonné par Simon & Garfunkel qui a probablement bercé votre adolescence :

« And here’s to you, Mrs. Robinson/ Jesus loves you more than you will know / Whoa, whoa, whoa/ God bless you, please, Mrs. Robinson/ Heaven holds a place for those who pray / Hey, hey, hey/ Hey, hey, hey…”

Ah, elle en aura fait rêver des lycéens et des étudiants, cette sacrée Mrs Robinson incarnée à l’écran dans le plus simple appareil par Ann Bancroft qui séduit le jeune Dustin Hoffman, fils d’un couple d’amis, assez désoeuvré après l’obtention de son diplôme, lequel finira par s’en déprendre dans les bras de sa fille…. Tous sauf Charles Webb qui est à l’origine de tout. Il est l’auteur du roman autobiographique The Graduate/Le Lauréat (1963), dont Mike Nichols a tiré un film quelques années après, l’immense succès de l’un décuplant celui de l’autre et réciproquement. Ce livre-culte, qui a beaucoup compté dans le rejet du matérialisme par toute une génération, a apporté gloire et fortune à son auteur ; mais jusqu’à sa disparition il y a quelques mois, celui-ci n’aura cessé de vouloir s’en débarrasser. De l’argent et de la notoriété comme d’un sparadrap.

Il publia huit livres en tout, notamment une suite du Lauréat dans le but avoué de payer ses dettes. Or non seulement certains se vendirent correctement mais ils furent eux aussi adaptés au cinéma. Ce qui ne manqua pas de générer de nouveaux profits qui s’ajoutèrent aux maisons, meubles, tableaux reçus en héritage (des oeuvres d’ Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, tout de même) ; ils firent l’objet de dons à la Ligue anti-diffamation et à des associations philanthropiques tout comme les droits audiovisuels du Lauréat (ils ont été rachetés depuis par Canal + qui n’est pas une œuvre de charité). Moins sauvage que J.D. Salinger, auteur d’un livre-culte plus fameux encore L’attrape-cœurs (1951), il n’en tenait pas moins la société à distance, à l’égal d’un anarchiste aux yeux de qui tout ce qu’elle touchait par le biais de l’argent était nécessairement corrompu. S’en délester revenait à se purifier. Mais il avait beau y faire, des héritages divers et variés le rattrapaient. Ce qui est dur pour qui a fait vœu de pauvreté. N’empêche qu’en y mettant du sien, il arriva finalement à tout donner ce qui l’obligea, pour vivre, à accepter des petits boulots ici ou là malgré son âge.

Il avait épousé Eve Rudd, qui était « une Mrs Robinson » lorsqu’ils se sont connus, issus du même milieu bourgeois, puis ils ont divorcé vingt ans après afin de protester contre l’institution du mariage avant de se remarier quelques temps après pour des raisons purement pratiques vis-à-vis de l’Administration. Après avoir vécu dans un bus Volkswagen en Californie avec leurs deux fils qu’ils retirèrent de l’école afin de les instruire eux-mêmes, ils s’installèrent en Angleterre ; un journaliste retrouva le couple vivant dans la chambre d’un hôtel de dernière catégorie à Londres payée par les services sociaux ; puis l’ancienne agente littéraire de Charles Webb, qui leur rendit visite du côté de Brighton puis dans un petit hôtel d’Eastbourne, observa que la maison était quasiment vide de meubles et les armoires tout aussi vides de vêtements. Un jour on apprit que Eve, qui fut internée après une grave dépression nerveuse, s’était fait officiellement rebaptiser Fred par solidarité avec un groupe d’Américains tous nommés Fred qui avaient perdu l’estime de soi ; quant à son mari, tout à son obsession de se dépouiller de tout, il avait fini par rejoindre provisoirement une colonie de nudistes.

Bref, gardez-vous de ne jamais écrire de livre-culte susceptible de bouleverser une ou deux générations : c’est trop de problèmes et de malheurs en perspective.« And here’s to you, Mrs. Robinson… » A propos, lorsque le producteur du film rendit visite à Simon & Garfunkel pour leur arracher la chanson qu’ils étaient en train d’écrire, elle s’appelait encore « Mrs Roosevelt » et il fallut l’adapter pour coller à l’histoire. « … Hey, hey, hey/ Hey, hey, hey…”

(« Charles Webb et sa femme Eve » photo Andrew Hasson/Alamy)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 237 Réponses pour La malédiction du livre-culte

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 11h31

Jazzi : (…) un long mail privé de PMB où il me disait sa détestation de Christiane et de ses manières intrusives.

Merci Jazzi pour ce témoignage que j’archive immédiatement pour ne pas risquer de le perdre. Je ne suis donc pas le seul à évoquer le « manières intrusives » de ladite. Ceci mérite d’être noté et conservé.

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 11h33

« Curieux pays où ne peut plus même acheter une paire de chaussures »

Chedly a reçu un mail de sa direction lui intimant la réouverture de sa boutique de l’avenue de l’Opéra le vendredi 27 novembre, Chaloux !
Il attend encore les nouvelles mesures sanitaires et les conditions de soldes…

B dit: 20 novembre 2020 à 11h34

renato, il existe à mon avis un effet feed hack entre le monde et l’individu et inversement. Pourquoi tant de gens déraisonnent, s’accordent des droits qui n’en sont pas si ce n’est parce que la trajectoire du monde devient de plus en plus incertaine, son avenir de plus en plus hypothéqué. Quel sens donner à une vie quand ce qui se passe autour est insensé et nous promet et promeut à un délitement, une perte irrémédiable. On peut opter pour l’individualisme et se dure après nous le déluge ou se battre contre les forces destructrices.

B dit: 20 novembre 2020 à 11h37

Il attend encore les nouvelles mesures sanitaires et les conditions de soldes

Gel, masques, circulation alternée, pas plus de tant de personnes par mètre carré, tout a été écrit.

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 11h40

Le darma-nain-de-jardin va devoir reculer sur sa loi. Même le petit dictateur recule sur ce qu’il avait ordonné. C’est dire s’il est droit dans ses bottes.

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 11h46

Oui, B, mais il y a des adaptations en fonction de la taille de la boutique, du produit vendu et de l’affluence attendue…
Les pieds se mesurent, les chaussures s’essayent ou pas ?

puck dit: 20 novembre 2020 à 11h50

Jazzi dit: Rien en espéranto, puck ?
 »

Sed tiam, se ĉi tiu mondo tute ne havas signifon, kiu malhelpas nin trovi tian ?

je découvre avec stupeur et effroi, surtout avec stupeur, mais aussi avec effroi, que les commentaires de greubou sont écrits en espéranto !!!! comment Dieu ne l’ai-je point remarqué avant ?

et alii dit: 20 novembre 2020 à 12h03

je me demande si « le blog » n’a pas plus attendu de Clopine que Clopine n’a attendu dublog, ou du moins si ce n’est pas ce qu’elle ,Clopine,a cru

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 12h10

Georges Malbrunot :Le président de la République qui apostrophe un journaliste. Son ministre de l’Intérieur pour qui les journalistes « doivent se rapprocher des autorités » pour « rendre compte, faire (leur) travail » avant de se reprendre. Signes de nervosité du pouvoir à l’égard de la presse.

Heureusement pour Macron, d’autres journalistes et écrivains continuent de se tenir quoi, sans rien trouver d’anormal à la situation du pays et au dérives du pouvoir.

Hurkhurkhurk!

christiane dit: 20 novembre 2020 à 12h16

Jazzi dit:
« C’est le moment de ressusciter PMB lol. »

« Il y a bien longtemps de cela, Chantal, j’avais reçu un long mail privé de PMB où il me disait sa détestation de Christiane et de ses manières intrusives. Il sollicitait mon soutient contre elle. J’avais trouvé cela excessif et ce procédé d’exclusion inélégant et ne lui avais pas répondu.
Après sa mort, quel ne fut pas mon étonnement un jour, à l’occasion d’un conflit entre Christiane et moi, de voir celle-ci, à défaut d’arguments, faire parler, à ma charge et d’outre-tombe, MàC et PMB !
C’est là que je me suis dit que cette femme était fondamentalement méchante…
Il ne me reste plus qu’à l’ignorer. »

Ne fais pas de la désinformation, jazzi.
C’est moi qui t’en ai parlé, le jour des funérailles de MàC. Je t’ai dit avoir longuement échangé avec PMB et que je savais que clopine l’avait inondé de mails malveillants afin d’obtenir mon éviction de tous les blogs du monde. Ce qu’il a fait.
Je n’ai jamais parlé de toi ! et j’ai ajouté que je ne pardonnerai jamais cet acte félon à clopine. Ce qu’elle a pu faire pour me virer du blog…. est inimaginable ! Comme ça n’a pas marché, elle s’est vengée en multipliant les commentaires mesquins, méchants à mon égard sur ce blog. Tu en as été témoin comme d’autres qui s’en sont étonnés n’ayant jamais vu un tel déferlement de haine.
Aussi contrairement à ce qu’écrit chaloux le corbeau, je ne lui ai souhaité « ni mort, ni maladie » mais qu’elle reçoive de son vivant ce qu’elle m’a destiné.
Par ailleurs PMB m’a dédicacé deux de ses livres. Est-ce ton cas ?
Ce n’est pas joli joli ce mensonge. Je te signale que trois personnes m’ont confirmé les envois de PMB qu’ils ont refusé parce qu’ils les trouvés, ignobles malveillants : MàC, l’amie de MàC… et DB (Di Brazza).
PMB s’en est excusé avant sa mort.
D’autres personnes ayant des blogs hébergés par Le Monde ont dû recevoir ces mêmes messages… Heureusement, certains ont changé d’hébergeur…
« Il ne me reste plus qu’à t’ignorer. » Débrouille-toi avec tes mensonges…

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 12h19

« Ne fais pas de la désinformation, jazzi.
C’est moi qui t’en ai parlé, le jour des funérailles de MàC. »

1/ Je ne mens jamais.
2/ Aucun souvenir.

DHH dit: 20 novembre 2020 à 12h20

@Puck
ne manque quet-t-il pas le mot » andere »dans votre citation?(‘eine andere Welt)
Mais si la citation est bonne ,alors aidez moi à comprendre c

puck dit: 20 novembre 2020 à 12h22

et alii le blogapassou attend beaucoup de vous tous ! avez-vous été à la hauteur de ses attentes ? c’est une question pertinente, mais difficile, à mon avis je dirais que oui ! vous tous, avez été à la hauteur des attentes du blogapassou, et le blogapassou vous en remercie ! car le blogapassou a placé haut la barre, mais hauts les coeurs, aussi haut que la barre, vous avez su faire les efforts nécessaires pour ne point le décevoir ! chacun dans votre domaine vous avez su apporter votre moellon à l’édifice, moellon après moellon cet édifice a atteint des sommets telle une tour de Babybel, sans jamais en faire tout un fromage, et ça c’est fortiche ! bravo ! c’est qui les meilleurs ? c’est vous ! you are winners ! et pas des loosers comme ce pauvre Charles Webb !

maintenant ouvrez votre Bible au psaume 2020 et chantons ensemble si vous le voulez bien :

I’ve paid my dues
Time after time
I’ve done my sentence
But committed no crime
And bad mistakes
I’ve made a few
I’ve had my share of sand Kicked in my face
But I’ve come through
And we mean to go on and on and on and on
We are the champions – my friends
And we’ll keep on fighting
Till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
‘Cause we are the champions of the World

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h31

droitur..roo l’baroz..massé au gros sel comme une palette de cochon par mon larbin..henfin ça bosse sacrénom

puck dit: 20 novembre 2020 à 12h32

DHH dit: @Puck
ne manque quet-t-il pas le mot » andere »dans votre citation?(‘eine andere Welt)
Mais si la citation est bonne ,alors aidez moi à comprendre
 »

je suis désolé DHH je ne suis en mesure d’aider personne : le seul qu’il faut aider à comprendre ici c’est moi ! je suis totalement largué, je ne comprends rien à ce monde, je ne comprends rien de rien, absolument rien, nada, walou de chez walou.

alors ne me demandez pas de vous aider svp je trouve parce que dans la situation d’incompréhension où je me trouve ça extrêmement malvenu.

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h32

1/ Je ne mens jamais.
2/ Aucun souvenir

troa je suis grec ascendant crétois..ça bosse!

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 12h32

bouguereau le blaireau, je te l’ai déjà dit? Ne rapplique que si on a sifflé le pot de chambre.

DHH dit: 20 novembre 2020 à 12h34

@Raymond Prunier

vous avez donc lu ce post indigeste dont je ne pensais pas qu’il aurait d’autre lecteur que celui qui l’avait suscité.
je ne sais pas où pourrait se trouver l’information qui vous interesse
dans l’immediat je n’ai rien d’autre a l’esprit que les exemples que j’ai consignés
mais je peux penser à une expression ,qui reste au niveau de mots d’une tribu, et qui releve de la même derive ;D’un de mes proches j’ai eu la surprise d’ entendre dire une TETE d’oreiller au lieu d’une TAIE d’oreiller
bien à vous
DA

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h35

Merci Jazzi pour ce témoignage que j’archive immédiatement

ça mouille la chmise en cuisine sacréénom

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 12h36

« Par ailleurs PMB m’a dédicacé deux de ses livres. Est-ce ton cas ? »

Non, pour la simple et bonne raison que je n’ai pas acheté ses romans parus à compte d’auteur aux éditions de l’Harmattan.

« PMB s’en est excusé avant sa mort »

Intrusive, jusque dans son agonie, faut oser

Et maintenant, basta !

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h38

tête de con pour prunier attation..il cherche rien qu’à en himposer à mon étron sans tête de larbin..te laisse pas faire !

JiCé..... dit: 20 novembre 2020 à 12h38

« Face au reconfinement, la santé mentale des Français préoccupe le gouvernement » (Eux)

Face au reconfinement, la santé mentale du gouvernement préoccupe les Français (Moi)
Next ?….

puck dit: 20 novembre 2020 à 12h39

Chaloux dit: Jazzi, je te remercie
 »

hé ben pas moi ! moi je te remercie pas ! parce que j’apprends que tu as été boire un coup avec toutes les personnes qui fréquentent ce blog ici, et que moi quand je te l’ai demandé tu as refusé !!! et pour quelles raisons ? comme tu l’as écrit ici même sur ce blog tu as refusé de venir un coup avec moi parce que tu craignais que je t’agresse, sexuellement j’entends, comme si j’avais déjà agressé sexuellement quelqu’un dans ma vie ! alors d’accord je veux bien Jacky, peut-être que dans un moment d’égarement ma main aurait effleuré la tienne, ou ailleurs, mais peut-on parler d’agression quand il s’agit d’effleurement ! je vous pose la question messieurs les jurés ! suis-je coupable ?
malotru !

christiane dit: 20 novembre 2020 à 12h39

Jazzi dit:
3/ Clopine ne m’a jamais demandé de participer à une quelconque demande d’exclusion.

En plus tu ne sait pas lire ! Elle a demandé cela à PMB et PMB a fait suivre à tous ceux qui avaient un « blog le monde » sur lequel j’intervenais. Toi, tu n’as pas de blog….

puck dit: 20 novembre 2020 à 12h40

« Face au reconfinement, la santé mentale des Français préoccupe le gouvernement »

je confirme !

greubou tu quonphirmes aussi ?

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h40

Intrusive, jusque dans son agonie, faut oser

jicé y trouvrait ptêtre que c’est raccord..tu l’as toujours ta prostate jicé? tu l’as pas jouée aux courses sacrénom?

christiane dit: 20 novembre 2020 à 12h40

Chaloux dit:
Jazzi, je te remercie, très sincèrement et profondément, de ta droiture.

Après C.P, Jazzi. Le corbeau racole…

puck dit: 20 novembre 2020 à 12h42

« Face au reconfinement, la santé mentale des Français préoccupe le gouvernement »

bon c’est vrai je n’aurais peut-être pas dû abattre le chien des voisins parce qu’il aboyait.

le chien à la limite peut-être mais peut-être pas ses propriétaires ?

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 12h43

bouguereau le blaireau, ta grossièreté étant proportionnelle à ton humiliation, je suis toujours heureux de te voir monter en gamme.

christiane dit: 20 novembre 2020 à 12h46

Jazzi dit: Non, pour la simple et bonne raison que je n’ai pas acheté ses romans parus à compte d’auteur aux éditions de l’Harmattan.
« PMB s’en est excusé avant sa mort »

Eh oui, même si ça te gêne !
1-Tout a commencé sur l’ancien blog à Passou. Je me suis adressée à lui, lui disant que j’étais au courant de ses malversations. Il a répondu, oui mais j’avais reçu des mails vous diffamant, se plaignant de vous. Il a alors donné ses coordonnées pour que je le joigne si j’en avais envie qu’il me les lise.
2- Nous avons ensuite parler de ses romans sur le blog à Sergio.
Le reste a suivi.

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h47

Excellent papier de Jacques Drillon sur Jude Stefan. Un texte racé.

sapré dsapré larbin..800ans d’espertise..

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 12h51

« messieurs les jurés ! suis-je coupable ? »

J’aimerais pas être juré dans l’affaire Daval, puck !
Comment juger en toute conscience et sérénité, quand les principaux témoins ont déjà tout déclaré à la presse.
Face à une justice médiatisée à outrance.
Et comment s’y retrouver dans tous ces mensonges ?
On nous dit que cette affaire ne relève pas d’un féminicide, à voir ?
Jonathann Daval prétend que sa femme l’humiliait et faisait l’amour devant lui avec des sextoys.
On croyait avoir tout lu et atteint le sommet du sordide ici, mais nous ne sommes que des enfants de coeur en regard de la réalité…

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h53

« Pour cela, il faut dépasser la peine, la colère, le deuil, le renoncement et, de façon plus exemplaire le ressentiment, cette amertume qui peut avoir notre peau alors même que nous pourrions découvrir son goût subtil et libérateur. »
Cynthia Fleury

s’abandonner à son plaisir ou conquérir sa joie c’est l’étreinte fatal de l’amour..dont nous sommes les purs produits..recommencés..

christiane dit: 20 novembre 2020 à 12h54

Chaloux dit: « Le corbeau racole…
Ce n’est pas à une vieille putain qu’on va enseigner les ficelles du métier! »

Encore une insulte, pure jus.
Les ficelles du métier ? Je vous laisse la responsabilité de vos qualificatifs… tellement reconnaissables. Ne vous énervez pas ainsi petit corbeau, c’est mauvais pour votre santé.
Donc vous reconnaissez manipuler les gens sans vergogne comme un… le ferait.

A propos, ils sont où ces centaines de commentaires horrifiants que j’aurais adressés, ici, à ceux qui me résistent ? Et celui où le « pauvre type » s’est « coincé le pied dans le chambranle de la porte en me hurlant de sortir » ? Vous laisser deviner… Encore des menaces en l’air et rien à l’arrivée…

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 12h55

On croyait avoir tout lu et atteint le sommet du sordide ici, mais nous ne sommes que des enfants de coeur en regard de la réalité…

pépèpe baroz..cherche pas d’issue par le haut dl’égout..faut boire chqu’à la lie qu’il dit mon larbin

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 12h59

christiane dit: à
Chaloux dit: « Le corbeau racole…
Ce n’est pas à une vieille putain qu’on va enseigner les ficelles du métier! »
Encore une insulte, pure jus.

Voyons, Christiane, qui « racole » sinon les putains? Vous êtes à l’origine de l’insulte que vous dénoncez.

Cette histoire de pied dans le chambranle de la porte, l’irritation extrême du personnage en question, tous les anciens l’ont en tête.

Ne soyez pas trop impatiente, je ne suis pas à la retraite, les choses viendront en leur temps.

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 13h05

christiane dit: à
Merci, bouguereau

Hurkhurkhurk!

n’oublie pas christiane que je fus le preum a tâter le rable filandreux de mon larbin..le preum a l’hentendre dire se tournant vers chacun ‘mais pourquoi ? tout ça pour rien!’..hurkurkurkurkurk..

B dit: 20 novembre 2020 à 13h07

Chaloux, vous entretenez toujours et tous les jours une querelle. Rares sont ceux qui échappent à votre aigreur, vos reproches, aux litiges ( Pablo et c’est à peu près tout). Avez vous songé à l’auto-critique?

D’accord avec vous pour la dérive sécuritaire, il faut bien capter le futur électorat, d’une pierre deux coups.

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 13h09

la pauvre bouguereau est achevé, terrassé d’humiliation.

Rappelez-vous, je fus le premier à signaler que bouguereau ayant une collection de G…, ne parlant que de ça toute la journée, il devait s’en servir pour ses propres besoins.
Egalement, qu’il est un fervent soralien.

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 13h13

Béré, pauvre épave, il ne vous reste plus assez de cervelle disponible pour comprendre de quoi il s’agit.

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 13h14

je sais d’autre complot..je sais qulassouline veut mlestourbir mon larbin..le mettre à la chaine au fond dsa cave et le nourrir de coup dbaton pour le montrer au gens du monde..à la télé..te défende mon larbin c’est défende ta maison et ton patron attation!

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 13h17

Avec un peu de clairvoyance vous seriez furax contre vous même

ça va de -soi- béré..haa c’est un spécimène rare de fumier dlapin qu’on me jalouse là..

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 13h20

Je te comprends, bouguereau le blaireau. Quand on est au fond de l’humiliation, comme c’est ton cas en ce moment, on écrit n’importe quoi, du débilissime auquel on puisse faire -faiblement- croire qu’il y ait un sens. Tu n’es vraiment que le dernier des bornés falots piteux. Rentre plutôt sous ta pierre.

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 13h23

..dailleurs..ce niagara de bave..barrée de phrase toute faite comme des bandeaux de pub..n’est il pas beau!?

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 13h26

N’oublie pas de sonner quand ton fauteuil-pot sera plein!

(« Phrase toute faite », n’est-ce pas une phrase toute faite, pauvre blaireau cornichon?)

Hurkhurkhurk!

Brinqueballe dit: 20 novembre 2020 à 13h39

Les fesses creuses.
J. Drillon.

C’est ( comme, il n’aime pas ça Jude!)la tête creuse?

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 13h39

Je me jette au sol roulé boulé pour éviter les balles, d’un côté l’autre de la rue entre saloon et barbier, poussière, je cherche Doc Holliday et trouve Wyatt, ça tire dans tous les sens…… règlement de comptes à ok corral
à plus tard…
come on, matt, les hélicos vont débarquer!

Brinqueballe dit: 20 novembre 2020 à 13h58

Je réponds aussi à Brinqueballe, Jazzou

Vous n’allez pas nous faire le coup glissé à la r., Mimi Pinson!?
( Vous savez, Jacques, Nonobstant, Jacques, sauf votre respect, Jacques, enfin, Jacques!)

christiane dit: 20 novembre 2020 à 14h12

Chaloux dit:

« Cette histoire de pied dans le chambranle de la porte, l’irritation extrême du personnage en question, tous les anciens l’ont en tête. »

Voilà encore un de vos traquenards.
C’est exactement l’histoire du « drap souillé » pour clopine. Naïvement elle vous répondait : mais où ça ? quand ça ? et son tourment continuait autant que vos répétitions générées par votre cerveau de pervers jouissant de son désarroi.
Alors, le coup du « pied coincé dans le chambranle de la porte », que vous avez inventé de toutes pièces, que vous m’attribuez, je ne vais pas faire comme clopine et vous dire quand ça ? où ça ?
Vous êtes un gros malade, chaloux, grossier, frimeur, une baudruche vide.
Allez corbeau, c’est vous qui êtes « ridicule ».
C’est facile de vous déstabiliser, il faut vous renvoyer tout ce que vous dites, tout ce dont vous accusez les autres, toutes vos insinuations crapuleuses et alors vous vous voyez dans un miroir où vous haïssez tant votre visage que vous voulez anéantir tous ceux qui vous le tendent.
Au banquet de paix et d’amour, imaginé par une intervenante, hier, sur ce fil, vous serez absent. Voyez plutôt du côté du cercle de l’enfer de Dante, bien au froid, près de Satan que vous adorez en secret. Ange déchu…

christiane dit: 20 novembre 2020 à 14h15

Jibé dit:
« Je me jette au sol roulé boulé pour éviter les balles, d’un côté l’autre de la rue entre saloon et barbier, poussière, je cherche Doc Holliday et trouve Wyatt, ça tire dans tous les sens…… règlement de comptes à ok corral
à plus tard…
come on, matt, les hélicos vont débarquer! »

Très drôle, Jibé. On dirait Puck le lutin (voir plus avant). C’est ainsi… la rdl va imploser dans un échange de haines et rancœurs. Peut-être est-ce la fin d’un blog…

christiane dit: 20 novembre 2020 à 14h34

@Jibé
d’un roman que nous avons aimé.
« Thésée, mon frère, alors que nous avions les yeux rivés sur l’avenir ; mais dans leur marche en avant, les hommes ont oublié l’archaïque : les vieilles blessures, les peurs, les prières oubliées et ce qui, dans la détresse, depuis le vide de la prière nous appelle ; un lien aux passés et aux futurs, il y a, tu as raison, une vie tremblante qui s’empare de nous, qui se réveille ; le vingtième siècle, après tout, qu’est-ce, sinon trois générations qui ont cru à l’avenir jusqu’à ce que la foi dans la promesse reflue ? Thésée, c’est là que nous sommes apparus ; nous voulions, nous aussi, inventer l’avenir, mais le tremblement nous a pris. »
p.189 « Thésée, sa vie nouvelle » Camille de Toledo. (Verdier)

christiane dit: 20 novembre 2020 à 14h47

bouguereau dit « n’oublie pas christiane que je fus le preum a tâter le rable filandreux de mon larbin..le preum a l’hentendre dire se tournant vers chacun ‘mais pourquoi ? tout ça pour rien!’.. »
Non, je n’oublie pas.
C.P. sur la RDC vous avez bien cerné et parfaitement compris, perçu le solide bon sens et l’érudition sous votre costume de clown.

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 14h50

Cricri, ce ne sont pas vos imprécations de virago malade de dépit, et probablement d’autre chose, qui vont « me déstabiliser ». Je répète que votre pied dans le chambranle de la porte (l’image doit être de la victime elle-même) n’est pas une invention, et que tous ceux qui ont un brin de mémoire s’en souviennent fort bien.

« Les draps souillés par l’amour » de Clopine ne sont pas non plus une invention, ils sortent d’un de ses « poèmes » dont elle fait mine maintenant de ne pas se souvenir, mais dont on s’explique mieux désormais l’origine. Toutes ces vieilles dames, écrivant étourdiment, ont bien des choses à cacher.

Le reste de votre post est si enfantin (retombé en enfance) et si incompréhensible que je renonce à y répondre.

Quant à votre indiscrétion, votre besoin maladif de vous insinuer dans la vie privée d’autrui, elles sont ici proverbiales, nul besoin d’y insister.

Laissez-moi, je vous prie, travailler en paix. Il sera temps tout bientôt (sic) pour d’autres explications.

christiane dit: 20 novembre 2020 à 14h50

Jazzi dit: à
« Ne fais pas de la désinformation, jazzi.
C’est moi qui t’en ai parlé, le jour des funérailles de MàC. »

1/ Je ne mens jamais.
2/ Aucun souvenir. »

Facile ! on croirait entendre clopine !!!
C’était sur le boulevard, juste avant qu’on se sépare, chacun repartant de son côté. Et je sais que tu mens et que tu t’en souviens parfaitement.

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 14h55

Cricri : Voyez plutôt du côté du cercle de l’enfer de Dante, bien au froid, près de Satan que vous adorez en secret. Ange déchu…

Pauvre vieille Cricri, complètement marteau…

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 14h58

Pauvre Cricri, personne ne détient aucune vérité, sauf elle-même, personne n’a de souvenirs exacts, sauf elle-même.

Déjà un indice. Son fils devrait s’en occuper davantage et la faire placer. Il n’est que temps. Je vais essayer de voir s’il est possible de le contacter, et de savoir s’il connaît l’état réel de sa mère. Quelqu’un aurait-il ses coordonnées?

gisèle dit: 20 novembre 2020 à 15h16

**** Le blog en fête.Jamais depuis la scène cultissime où Maïté assommait des anguilles à coups de marteau, jamais je n’avais autant ri; Christiane vos Aventures sont génialement rocambolesques, vous êtes idéalement douée pour le roman noir. Quel suspense.Quel souffle. Bravo.
Gisèle, la fille qui aime la danse le 20/2020 vers14h.

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 15h43

Madame Robisson ? La femme du coiffeur à domicile (années 1959-1964). Tic Tac…, si tu bouges, je vais te couper les oreilles en pointe. Je mets du « sent bon » pour finir ?

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 15h45

Ben quoi ? la taie d’oreiller en tête de lit ? On a toujours dit cela, par chez nous, DHH !

Phil dit: 20 novembre 2020 à 15h51

Daudet, bien dit, jjj. enfin un nom qui tient la route dans toute cette chienlit. il s’agit de reprendre le guidon, manquait plus que la grosse catcheuse en boustifaille

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 16h08

Gisèle, la fille qui aime la danse le 20/2020 vers14h

keupu sans pédreau vesse en vain

christiane dit: 20 novembre 2020 à 16h08

Quelques croassements de Chaloux-le-corbeau :
« la pauvre bouguereau est achevé, terrassé d’humiliation. »
« La déchéance est quelque chose qui fait peur. Bientôt elle criera dans la rue en allant chercher son pain. Misère! »
« Béré, pauvre épave, il ne vous reste plus assez de cervelle disponible pour comprendre de quoi il s’agit. »
« La Chantal sera plus vite devenue une antiquité qu’elle ne deviendra antiquaire. Pour le reste, il suffit de la lire pour voir de quelle prosatrice il s’agit… Faire le compte de ce qui la dépasse serait trop long. Tout l’Univers… »
« On n’en est plus là. Avez-vous retrouvé votre vieux mari pédophile, lequel s’est barré avec la petite copine de votre fils (qui ne doit pas être bien malin, le pauvre gars) et avec lequel vos cellules grises défraichies me confondent? »
« La vieille correctrice multi-fessée ne doit pas en revenir de découvrir ce qui se cache dans le fond de la carcasse puante qu’elle croyait connaître. »
« Assouline ne pouvait pas durablement interdire Montaigne-à-cheval, il en avait trop besoin.
L’assasseure, cette gourde, romance le passé. »
« Et l’Assasseure si contente d’elle-même… Vice de fabrication… La renvoyons au fabricant. »
« Assouline, darmanincoïdal! »
« Ah, Pierre Assouline, je vous reconnais bien dans cet article sursaturé de flagornerie. »
« Arrête d’en sortir de si énormes, on ne te reprendra pas. Cesse de te répandre inconsidérément. »
« Tu es vraiment à toi seul un réservoir d’imbécillité. »
 » Tu dois être sévèrement châtié et tu vas l’être. »
« Je n’ai lu ici que Blabla et Sasseur pour avoir des propos réellement homophobes »
« Jazzi, les homos sont les premiers à se traiter entre eux et parfois eux-mêmes de tafioles, tapettes, pédales etc. »
« Je comprends, Barozzi, que pour un invertébré comme toi, pour qui il ne saurait rien exister au-dessus de la pensée tabloïde, ce soit impossible à concevoir. »
« Mais toi, Barozzi, on t’entendra toujours parler, pour ne rien dire. Tu es la phiotte au bois dormant »
« Jazzi, tu tournes de plus en plus à la vieille tapette fouteuse de merde, je trouve. Ne serait-ce pas l’effet d’un frustration grandissante due à ton âge? »
« ta présence à plein-temps dans les toilettes de la gare du Nord, ont depuis longtemps altéré ton jugement. Lève le pied sur le vit des copains. »
« Répugnant. Je vais le signaler auprès de son ministère. »
« Gigi la visqueuse n’a pas deux sous d’intelligence. Défaut de père, sans doute. »
« Le courrier part demain. »
« Je viens d’en préparer un florilège que j’envoie à ton ministère par l’intermédiaire d’un ami qui est d’accord pour les faire passer, avec ton nom. »
« Pauvre caboche, défoncée. »
« Quand je lis Bloom ou l’Assasseure, murés dans leur violence frustrée et impuissante, je me dis que la France va bien mal. La pauvre visqueuse, empêtrée dans son galimatias comme dans les sables mouvants de la sénilité »
« Quel venin je distille? Pauvre abruti dément crétin… »
« tu n’es qu’un pauvre malade en perdition, tu devrais te faire soigner avant qu’il ne soit trop tard. Ta destitution a altéré ta raison. Contacte d’urgence un psychiatre! »
« toi qui es cérébralement mort depuis longtemps. »
« Un yaourt? Doit bouffer son cerveau avec une paille… »
« L’Assasseure, la demeurée profonde en action »
« Mais connard de Jazzi, je suis sous le coup de menaces de dénonciations incessantes »
« Nadine bousemolle est vraiment une face de phion ignare, et un dechet de pilier de bar, à mettre d’urgence aux ordures. »
« Charoulet, avec sa petite moustache, fait très gay new-yorkais des années 80. Certainement une des raisons pour lesquelles le dossier Verlaine-Rimbaud l’intéresse tant… »

Il continue de prendre sa prose pour délectable…

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 16h09

manquait plus que la grosse catcheuse en boustifaille

elle tenait la route a elle toute seule..

christiane dit: 20 novembre 2020 à 16h10

gisèle dit:
« **** Le blog en fête.Jamais depuis la scène cultissime où Maïté assommait des anguilles à coups de marteau, jamais je n’avais autant ri; Christiane vos Aventures sont génialement rocambolesques, vous êtes idéalement douée pour le roman noir. Quel suspense.Quel souffle. Bravo. »

Vous n’êtes pas mal non plus, la voyageuse.

Lara dit: 20 novembre 2020 à 16h12

« La vie
le monde,
le destin…
Ne font pas sens.
Ni ne saurait faire sens,
la recherche d’un sens ».

Christophe Baudelaire (Le mal des fleurs).

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 16h14

très chouette super, cette version sans parole par l’English Chambrer Orchestra, merci, bon WE !

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 16h17

Pas moi, Gisèle, j’en reste sans voix !

fais pas ton caliméro baroz..quand qu’on est dans l’biznèce on a un cap..que dis je un cap..une alpha ursae majoris qu’il dirait dédé

bouguereau dit: 20 novembre 2020 à 16h19

et c’est ce que vous appelez votre chère famille?

n’exagerons rien..y sont pas tous juifs

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 16h22

Edifiant, il est clair que n’est pas Pol Morue qui veut…
C’est de qui ce loriflège, au juste ?… on dirait du Pessioran…
Ne cherchez pas les points de fixation, sont impossib’ à trouver, hein !…

gisèle dit: 20 novembre 2020 à 16h24

@ Jazzi « j’en reste sans voix ». Parce que vous connaissez les protagonistes, je pense; c’est « le rideau déchiré » et je peux vous comprendre. Vu de l’extérieur, il en va tout autrement. Il y a des coins obscurs qui livrent leurs secrets.
Ai-je le goût de cela ? non.

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 16h26

@ Lara dit: à Lara (Ban) CROFT ?
@ txfl, Je répète : les français parlent aux allemands. A litée ou A debout ?

puck dit: 20 novembre 2020 à 16h27

Lara dit: à

« La vie
le monde,
le destin…
Ne font pas sens.
Ni ne saurait faire sens,
la recherche d’un sens ».
 »

cela ne contredit pas ce que dit Alice, pour elle il ne s’agit pas de « rechercher » le sens de ce qui n’a pas de sens, mais de lui « donner » un sens.

c’est bien ce que fait Baudelaire en écrivant ses poèmes : il donne un sens à ce qui n’a pas de sens, et même quand il dit que rechercher un sens n’a pas de sens c’est aussi donner un sens.

un peu comme tous les écrivains de l’absurde : leurs livres sont tout sauf absurdes, dans le fait même d’aligner des mots les uns à la suite des autres pour donner de la cohérence à leurs textes.

sinon ils auraient fallu faire comme dit T. Zara : mettre tous ces mots dans un sac et les tirer au hasard : là leurs livres auraient été aussi absurdes que le monde.

mais vous comprenez bien que tout cela nous éloigne du propos d’Alice.

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 16h28

@ tu souhaites bon we pour lpourrir

non, c juste que j’ai envie d’être ravitaillé sur ma cîme de guidon, mon ionel…

puck dit: 20 novembre 2020 à 16h43

ça y est !!! j’aime tellement cette photo de Charles Webb que j’ai fait comme lui sur la photo : j’ai mis une boucle à l’oreille gauche genre plume de colibri, ça fait « apache » !

puck dit: 20 novembre 2020 à 16h52

greubou tu savais qu’ils viennent de libérer Ricky Wershe ! le type qui avait été recruté à 14 ans par le FBI pour démanteler des réseaux de drogue, grâce à lui ils avaient coffré des pontes de la police et de la mairie, au final il avait écopé de la prison à vie parce que la FBI n’avait pas voulu admettre qu’ils avaient recruté un gamin… une boulette judiciaire qu’on appelle ça.

rose dit: 20 novembre 2020 à 17h05

Deux solutions

Heureusement pour Macron, d’autres journalistes et écrivains continuent de se tenir quoi, sans rien trouver d’anormal à la situation du pays et au dérives du pouvoir.

Heureusement pour Macron, d’autres journalistes et écrivains continuent de se tenir, quoi, sans rien trouver d’anormal à la situation du pays et au dérives du pouvoir.

Registre de langue familier.

Heureusement pour Macron, d’autres journalistes et écrivains continuent de se tenir cois.

Registre de langue soutenu.

puck dit: 20 novembre 2020 à 17h06

greubou j’ai oublié un petit détail pour Ricky white boy : il a fait 30 ans de prison avant d’être libéré.

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 17h16

@christiane « Très drôle, Jibé. On dirait Puck le lutin (voir plus avant). C’est ainsi… la rdl va imploser dans un échange de haines et rancœurs. Peut-être est-ce la fin d’un blog… »
je ne sais pas, une poussée périodique de colère et de ressentiment, ou la fin? en tout cas, essayez de ne pas vous blesser trop fort dans la bataille

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 17h19

« Faites gaffe à votre matricule, Jibé, évitez d’être la mire de Calamity ChrisJane ! »

@Jazzi, joli jeu de mots. a part ça, je n’aurais pas eu peur de Calamity, sacrée femme qui tenait la dragée haute à une foule de types (voir corresp. avec sa fille); bien plus peur de ma Dalton!

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 17h22

« …mais dans leur marche en avant, les hommes ont oublié l’archaïque  »

très bel extrait, très juste et qui me touche beaucoup Christiane, C de Toledo, j’ai vraiment aimé et je l’ai lu grâce à vous Merci

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 17h24

@Daniel Cordier
en voilà un qui va manquer. Mes respects, monsieur, pour tout ce que vous avez su être -et bien au-delà du compagnon de la Libération bien sûr

B dit: 20 novembre 2020 à 17h28

La pauvre épave regrette, cher Chaloux, qu’aucun traitement n’ait été envisagé pour réduire votre capacité et volonté de nuisance. Vous n’êtes pas un pauvre type mais un sale type qui n’a de plus pas le courage de ses opinions. Lâche et malhonnête, égoïste et criminel à côté de vos indéniables qualités et caractéristiques assises au dessus de la moyenne générale. L’épave vous dit bon vent et vous souhaite une agréable fin de parcours agrémentée de tout ce que à quoi vos talents, votre acuité, votre mentalité, votre intelligence, vos relations, vos amitiés, vos préférences, votre énergie, vos maladies vous autorisent.

Lara dit: 20 novembre 2020 à 17h28

Aimons-nous haineusement ou haïssons-nous aimablement. Selon nos humeurs.
Elles sautent, elles sautent nos humeurs !

puck dit: 20 novembre 2020 à 17h32

« Peut-être est-ce la fin d’un blog… »

hého le blogapassou c’est pas comme l’empire romain, ou comme les civilisations, le blogapassou ça meurt pas !

le blogapassou est éternel ! il existait bien avant vous, et il continuera d’exister bien après vous, quand vous serez morts, des générations de petits greubou et de petits pedro y viendront y parler y de littérature, partager ensemble cet amour des livres, dans la joie, la fraternité et la plus franche camaraderie…

puck dit: 20 novembre 2020 à 17h35

B dit: à

Lara Mènepas.

Bonne idée. Surtout quand on a rien à dire. Faites bien de le rappeler.
 »

vous battez pas les filles ! mon coeur est déjà pris par pedro et je veux pas d’embrouilles.

Marie Sasseur dit: 20 novembre 2020 à 17h37

@ »en voilà un qui va manquer. Mes respects, monsieur, pour tout ce que vous avez su être -et bien au-delà du compagnon de la Libération bien sûr. »

Caisse à dire ?

Marie Sasseur dit: 20 novembre 2020 à 17h43

@pierre assouline

@Passouline

·

2h

« Selon moi, dans le registre des Mémoires de président, comme il y a eu De Gaulle et Churchill au XXe siècle, il y aura « Une terre promise » au XXIe » (Sophie de Closets, éditrice de Barack Obama en français)

Oui, nous avons été peu nombreux, je veux dire aucun d’entre vous, à saluer son opus  » de la race en Amérique ».

Un oubli ?

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 18h12

« des générations de petits greubou et de petits pedro y viendront y parler y de littérature »

Et pas de petits Jazzi, puck ! C’est limite homophobe, j’ai de nombreux neveux et nièces…

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 18h14

« A qui ? »

à Hervé Vilard, son fils adoptif. On pourrait le mettre au Panthéon, avec Jean Moulin, son père putatif ?

rose dit: 20 novembre 2020 à 18h18

On voit comment on peut étudier, dans certains cas, le comportement humain total, la vie sociale tout entière ; et on voit aussi comment cette étude concrète peut mener non seulement à une science des mœurs, à une science sociale partielle, mais même à des conclusions de morale, ou plutôt pour reprendre le vieux mot – de « civilité », de « civisme », comme on dit maintenant. Des études de ce genre permettent en effet d’entrevoir, de mesurer, de balancer les divers mobiles esthétiques, moraux, religieux, économiques, les divers facteurs matériels et démographiques dont l’ensemble fonde la société et constitue la vie en commun, et dont la direction consciente est l’art suprême , la Politique, au sens socratique du mot.

Marcel Mauss,  Essai sur le don, 1924, conclusion, pages 278,279.

Raymond Prunier, merci

Lara dit: 20 novembre 2020 à 18h23

Je joue parfois du limonaire tout en mangeant des poires cactus.
Dieu sait que je ne suis pas barbare mais j’aime bien mon orgue et mes figues… De barbarie !

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 18h31

« et c’est ce que vous appelez votre chère famille? » (et alii)

« n’exagerons rien..y sont pas tous juifs » (le boug)

Excellent, j’arrive trop tard, sinon j’aurais pu le dire !

B dit: 20 novembre 2020 à 18h34

pur style « louis caisse »

Rien à voir avec le débat unifiant mais peut on dire que James Bond file à l’anglaise? Biens et honneurs préservés après ses nombreuses péripéties.

Lara dit: 20 novembre 2020 à 18h35

RÉGIS FASSIER nous a quittés.
CASIMIR de l’ÎLE AUX ENFANTS, c’était lui.
Je suis triste, triste, triste comme une orpheline inconsolable.
Adieu Régis Fassier 😢😢😢😢😢😢😢

et alii dit: 20 novembre 2020 à 18h45

je suis encore très mal ;zut!
bonne soirée ;évitez les fixettes ;ce n’est pas un temps à fixettes

B dit: 20 novembre 2020 à 18h46

Rose, le don est toujours gratifiant, il nous renvoie à notre image. Cependant des tas de gens ne souffrent aucunement de ne rien donner et même n’éprouve plaisir qu’à prendre, voler, détourner, piller de toutes sortes de façons. Pour certains ça ne suffit pas encore à les satisfaire il leur faut aussi s’attaquer à ce que l’autre possède intimement et qui ne saurait être objet de rapine puisqu’immatériel. Il est utile de pouvoir demeurer sur un quant à soi en dehors des courants, ascendants ou descendants, bien que ceux ci alimentent les questionnements.

et alii dit: 20 novembre 2020 à 18h52

Pour certains ça ne suffit pas encore à les satisfaire il leur faut aussi s’attaquer à ce que l’autre possède intimement et qui ne saurait être objet de rapine puisqu’immatériel.
exact;quelqu’un qui l’avait bien compris , c’est STEINER, dans l’entretien en video, il répète « on ne pourra pas vous le prendre »

puck dit: 20 novembre 2020 à 19h07

« je suis de la génération Saturnin »

moi aussi !!! j’adorais ! avec Jeannot Lapin et Madame Labelette.

après je suis passé à MASH et là ça été le révélation, du coup j’y suis resté, j’ai bloqué les compteurs en 1970, l’année où Saturnin a pris fin.

https://www.youtube.com/watch?v=CVBATYWFKp8

B dit: 20 novembre 2020 à 19h09

Possible de salir, de mentir, d’inventer. Bref le portrait est retouché, le parcours « embelli » pour des besoins que l’enquête déterminera.

D. dit: 20 novembre 2020 à 19h19

Le plateau que j’avais annoncé n’a eu que 3 semaines de retard. Je suis un pro de la précision et également de la prédiction. Et mémé de la prédication.
Enduite le gouvernement n’a pas eu d’autre choix que de suivre ma préconisation d’ouvrir les commerces. Il m’a écouté. Je pense que plusieurs ministres me lisent ici. Et finissent par se rendre compte que j’ai raison sur absolument tout à quelques epsilon -près.
Donc prochaines étapes : réouverture restaurants courant janvier, 3ème vague (faible) en mars et ensuite début des vaccinations.
Je préconise un certificat de vaccination nominatif tamponné du professionnel médical. Sur les boîtes de médicaments un code à usage unique sous autocollant à décoller, inscription du code sur le certificat.
Seuls les vaccinés pourront franchir les frontières dans un sens comme dans l’autre.
Et en cas de saturation des services hospitaliers les non-vaccinés seraient pris en charge en dernier.

D. dit: 20 novembre 2020 à 19h23

De quelle épave parlez-vous, Bérénice ?
Je n’ai pas envie de relire tout le fil. J’ai autre chose à faire.

puck dit: 20 novembre 2020 à 19h30

Charles Webb a dû adorer cette chanson, c’est un article comme ça que passou aurait dû écrire sur ce type à la place cette débilité de Mrs Robinson :

That game of life is hard to play, i’m gonna lose it anyway, the losing card I’ll someday lay
So this is all I have to say.
The sword of time will pierce our skin, it doesn’t hurt when it begins but as it works it’s way on in the pain grows stronger watch it grin.
A brave man once requested me to answer questions that are key, is it to be or not to be, and I replied, oh why ask me?

https://www.youtube.com/watch?v=FgcGOWaTPdU&t=1s

Lara dit: 20 novembre 2020 à 19h31

Voici venu le temps
des larmes et du sang
dans l’île sans enfants
c’est tous les jours le chiendent
c’est le pays peureux
des adultes véreux
des monstres vicieux
oui, c’est l’enfer sans Dieu.

D. dit: 20 novembre 2020 à 19h32

Aujourd’hui célébration dès 73 années d’union de la Reine Elisabeth II d’Angleterre et du Prince Phillip Mountbatten de Grèce et du Danemark.
Un dernier mes cousins très éloigné.

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 19h35

Le choix de tes commentaires (miscellanea).
Celle qui l’a réalisé ne s’est pas mise en scène (généralement, c’est Pablo75 qui s’y colle).
C’est plus clair, Chaloux ?

Chaloux dit: 20 novembre 2020 à 19h39

Oui, j’ai compris, Jazzi. Enfin… Mais la somme de mes défauts ne donnera pas une qualité à cette pauvre Cricri.

Lara dit: 20 novembre 2020 à 19h46

D.,
Ne soyez pas si inquiet, mon cher D.
C’est juste un mignon petit virus de rien du tout qui aime bien s’amuser avec nous pour nous distraire un peu.
Comme c’est ennuyeux d’être toujours en bonne santé. La maladie nous occupera et, de ce fait, chassera l’ennui et donnera un nouveau sens à notre vie.
La santé nous rabaisse, la maladie nous transcende et la mort nous ressuscitera.

Clopine dit: 20 novembre 2020 à 20h03

C’est marrant que quelqu’un ait pu voir, dans la photo ci-dessus, une « boucle en plume » à l’oreille de Webb (s’appeler Webb, déjà, c’était avoir trente ans d’avance, alors pour la boucle d’oreille, notez, c’était plausible aussi..) Alors qu’à mon sens, c’est une photo collée au mur, et qui, je pense, représente un nu féminin ? Non ?

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 20h03

Daniel Cordier, oui, il va manquer, au-delà du compagnon de la Libération qu’il a été, il était aussi amateur d’art et un homme de bien, je crois (avec ses proches, who knows?) et capable de revenir sur ses « erreurs », ce qu’il estimait en être. La remise en question au lieu de l’affirmation outrée, j’aime bien, c’est rare

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 20h05

Yes Clopine, et au dessus de l’autre, à gauche, c’est quoi? Moi je vois un homme penché en avant, calé sur ses genoux, ça lui fait presque un chapeau pointu turlututu

Clopine dit: 20 novembre 2020 à 20h12

Un pierrot ? Dites, j’avais écrit un com’ sur Stéphan, avec une remarque ironique en fin de com’ sur Drillon, et hop, censurée. Je crois que je suis interdite d’écrire le nom « Drillon ». Wouarf, non ? pourtant, je n’étais pas insultante, j’estimais juste que l’homme en question est auto-complaisant. Ce qui est une caractéristique bien répandue chez les Sapiens, donc une réflexion anodine, à mon sens, non ? Je me moquais un peu aussi de son anti-féminisme, mais là, tout de même, on ne peut pas me le reprocher, si ?

rose dit: 20 novembre 2020 à 20h18

B
Je n’ai aucune page, seule la conclusion.
C’est, ai-je cru comprendre, une recension/une étude faite dans les sociétés archaïques sur comment le don et son retour construisent des sociétés qui fonctionnent de manière civilisée et non plus guerrière.
Mais il y a 277 pages qui précèdent, avec paragraphe sur les eskimos est-il écrit sur internet ds les extraits cités.

Jazzi dit: 20 novembre 2020 à 20h25

« Je crois que je suis interdite d’écrire le nom « Drillon » »

Pourtant là ça passe, Clopine.
A quelle occasion as-tu été chez lui ?

Marie Sasseur dit: 20 novembre 2020 à 20h49

Jude Stefan.

Le cercle des poètes disparus

« Chers collègues,

 

car d’eux d’entre nous sont déjà morts, comme nous disons en notre langage d’aveugle, morts autrement que nous, Salabreuil, Perros, j’eus de l’amitié pour eux, de la reconnaissance, de l’estime pour d’autres – mais que recouvrirait le terme impossible d’“ami” ? Qu’est-ce que la poésie en ce moment pour moi, pour nous, en partage ? On connaît la chanson : on apprend la mort effective par suicide, vieillesse ou cancer, à trente ou cinquante ou quatre-vingts ans du poète X qui avait publié trois ou cinq – c’est meilleur signe – ou cinquante recueils remarqués des trois cents amateurs parisiens ou étrangers : alors peut-être on fouillera dans ses traces pour trouver quoi ? de la vie, mais lui, l’était, la vie, peut-être, lorsqu’il y était, en elle. (…) »

http://www.unnecessairemalentendu.com/apps/m/archive/2019/05/04/jude-stefan-aux-poetes-6148608.html

Janssen J-J dit: 20 novembre 2020 à 20h52

@ ma soeur,
Je crois qu’à eux deux, Michelle et Barak OBAMA ont déjà engrangé 65 millions de dollars avec leur souvenirs, sachant qu’A promise land (avec 5,9 millions d’exemplaires dans le monde, USA-Canada inclus) tape un carton (et qu’un 2e tome devrait arriver bientôt. La maison Fayard, en France, qui paye des voyages à notre meilleur ambassadeur de littérature anglos-axonne, devrait se remettre sur les rangs pour avoir l’exclusivité des futurs souvenirs de l’espiègle président Trump. Il s’apprête à rassembler tous ses touites depuis quatre ans, y compris ceux envoyés à la RDL sous divers pseudos.
(@ gmarx = Désinformateurs de tous les pays, unissez-vous !)

Clopine dit: 20 novembre 2020 à 20h53

Ah, ça, Jazzi, c’est une autre histoire… Dites, je suis en train de lire Dubois, et je trouve ça rudement bien, dites donc. Quelqu’un d’autre que moi apprécie ?

renato dit: 20 novembre 2020 à 21h15

Janssen J-J, A Promised Land n’est pas seulement le livre d’un politique, je vous le conseille.

renato dit: 20 novembre 2020 à 21h23

Pas de « boucle en plume » chez Charles Webb, plutôt une figure feminine début accrochi au mur derrière.

B dit: 20 novembre 2020 à 21h34

D, quelle famille et ces noms taillés dans le massif.

Pour les USD, c’est juste un détail superfétatoire. Tout le monde s’ en fiche.

B dit: 20 novembre 2020 à 22h23

C’est une charade dont je ne viens pas à bout. Herr? Ara? Bar? Ce ne sont pas des prénoms usuels.

B dit: 20 novembre 2020 à 22h29

Je crois qu’à eux deux, Michelle et Barak OBAMA ont déjà engrangé 65 millions de dollars avec leur souvenirs, sachant

Lu par curiosité Le Monde , leur fortune est estimée entre 40 et 135 millions de dollars en 2019. Ils versent à différents organismes un pourcentage des revenus générés par la vente des livres entre autres.

Jibé dit: 20 novembre 2020 à 22h38

Monsieur et Madame Plurien ont un fils, et il s’appelle?

(message subliminal à ce blog, limite)

D. dit: 20 novembre 2020 à 22h40

On a retenu quelque chose de tous les Présidents dès States. Tout de suite on est capable de leur associer dès choses. Nixon, Kennedy, Trump, Bush Jr. Mais Obama… on cherche encore.

D. dit: 20 novembre 2020 à 22h43

Et Robinette, qu’est-ce qu’il va nous pondre ? eh bien moi je sais parce que je connais son destin inscrit dans les astres.

D. dit: 20 novembre 2020 à 22h50

Robinette ne plaira pas aux extraterrestres qui ont misé sur Trump. Donc il vont l’embêter à fond la soucoupe. Survols nocturnes à basse altitude de bases stratégiques par des escadrons entiers de vaisseaux et tout le toutim.
Lui voudra divulguer tout ça et les secrets de l’antigravité cachés dans des bases secrètes. Euh de fâcheront tout vert et shooteront tout le bazar.

et alii dit: 21 novembre 2020 à 2h52

Une autre bibliothèque, la collection Edge, possède 30 pages de ce même manuscrit. « Il est vraiment excitant de se dire que 29 autres pages dont nous connaissons l’emplacement peuvent également être des palimpsestes », poursuit l’étudiante américaine. Les étudiants ont d’ailleurs photographié une autre feuille de cette collection se trouvant dans une bibliothèque publique.
https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/des-etudiants-americains-revelent-un-texte-francais-cache-dans-un-manuscrit-du-15e-siecle_149318#xtor=EPR-1-%5BSEAActu17h%5D-20201120
ça c’est excitant (aurait plu à Umberto Eco)

et alii dit: 21 novembre 2020 à 3h08

« Par une révolution on peut bien obtenir la chute d’un despotisme personnel ou la fin d’une oppression reposant sur la soif d’argent ou de domination, mais jamais une vraie réforme du mode de penser ; mais au contraire de nouveaux préjugés serviront, au même titre que les anciens, à tenir en lisière ce grand nombre dépourvu de pensée [2]
[2]
Emmanuel Kant, Qu’est-ce que les Lumières ?, présentation par…. »

renato dit: 21 novembre 2020 à 4h24

Année LvB, Op. 133 #1 :

https://youtu.be/13ygvpIg-S0

Commence avec la Grande fugue op. 133 par le quartet Alban Berg une série d’interpretations de la même œuvre, dont voici quelques infos.

Conçue comme dernier mouvement du Quatuor op. 130, la Grande Fugue op. 133 est pour la complexité de l’écriture contrapuntique et le radicalisme du langage l’une des œuvres les plus énigmatiques du style beethovenien tardif. Il a été séparé de l’op 130, pour des raisons pratiques : la longueur excessive, mais aussi pour la réaction froide du public de l’époque, déconcerté par la complexité de l’œuvre. Ce n’est qu’au XXe siècle que cette œuvre exigeante et ambitieuse sera réévalué.

L’op. 133 se compose de trois amples fugues, précédées d’une introduction (« Overtura ») et entrecoupées d’épisodes contrapuntiques. Outre les procédures techniques et formelles héritées de la tradition, LvB accepte le principe essentiel de la fugue même là où elle s’écarte des règles scolastiques : l’unité de la composition est assurée par une seule cellule thématique identifiable dans un succession précise d’intervalles dont sont dérivés tous les thèmes. Cette cellule thématique est systématiquement soumise à des processus d’élaboration qui font de l’op 133 le point de convergence et de synthèse des deux principales traditions historiques de la civilisation musicale occidentale : d’une part le contrepoint, le principe imitatif qui s’incarne dans la polyphonie de la Renaissance et dans la fugue baroque, d’autre part, le principe d’élaboration thématique de la sonate classique et son potentiel dramatique.

LvB présente dans l’Overtura, le matériau thématique sur lequel reposera toute l’imposante construction. Quatre thèmes sont exposés, chacun avec sa propre configuration rythmique et sa physionomie ; tous dérivé de la même cellule mélodique — anguleuse, chromatique et dissonante —, que nonobstant la diversité des caractères, peuvent être considérés comme quatre formulations mélodiques différentes d’un même thème fondamental.
Le thème fondamental est expose dans l’Allegro initiale, en valeurs longues, à l’octave par les quatre cordes. L’attitude est emphatique et déclamatoire ; la grandeur de l’effet est renforcée par la sonorité soutenue du Sforzato. Puis, le thème fondamental est présenté dans une version rythmique ternaire, plus rapide, avec des mouvements dansants. Les cordes jouent en octave et en Forte, prolongeant l’impulsion énergétique des mesures précédentes, ce qui rend le thème encore plus dynamique. Le tempo est maintenant plus lent et modéré, le mètre passe de ternaire à binaire, le son est réduit au Piano. Le thème sous sa troisième forme apparaît d’abord par le premier violon, puis par le violoncelle. Sur l’intervention de ce dernier, les autres interprètent des figures ornementales, fragments mélodiques qui s’avéreront plus tard structurels — en fait, elles constitueront l’épine dorsale de l’épisode central de l’op 133. Enfin, le thème fondamental est présenté sous une quatrième forme, de plus en plus calme et mystérieux, il est confié au premier solo de violon, qui le joue en entrecoupant les notes avec des silences.

Première fugue. Le sujet a un caractère énergique, voire grossier, et un caractère rythmique très prononcé. Le thème fondamental, assumé dans la quatrième forme de l’Overtura, agit comme un contre-sujet ; le contraste entre les deux, très marqué, est le moteur de toute la première partie. Une exposition régulière, avec quatre entrées canoniques déterminées par le sujet et la réponse, plus une autre entrée par le sujet, est suivie d’expositions successives aux degrés affine et étroite, entrecoupées de divertissements qui élaborent de brèves idées du matériel thématique fondamental. Partout domine le rythme incessant du sujet qui détermine, par ses inflexions, des dissonances et des violentes collisions.

Entre la première fugue et la deuxième on a un épisode qui commence sur dans un tempo Meno mosso et Moderato, dans un contrepoint moins rigoureux — un fugato —. L’épisode est basé sur la troisième version du thème fondamental et les figures ornementales qui l’accompagnent dans l’Overtura. Elle contraste fortement avec la vigoureuse fugue précédente, l’attitude est moins sévère, la couleur instrumentale est plus claire, le ton général est marqué par le lyrisme et la douceur. Suit un nouvel épisode imitatif sur un temps Allegro molto e con brio, dans un rythme ternaire, basé sur la deuxième version du thème fondamental.

La seconde fugue prend pour sujet le thème fondamental dans sa première version, dont elle conserve les valeurs longues et le Sforzato énergique. Deux contre-sujets distincts agissent en contrepoint : le premier est dérivé de l’incipit du thème fondamental sous sa seconde forme, par mouvement opposé ; la seconde depuis le début de la troisième version du même thème fondamental. Dès la fin de l’exposition, les processus d’élaboration thématique prennent le pas sur les procédures de contrepoint et les artifices imitatifs typiques de la fugue proprement dite.

La troisième fugue, directement liée à la précédente, est basée sur une version du thème fondamental transformé rythmiquement. Une fois épuisées les quatre entrées canoniques du sujet et de la réponse, divertissements et strettes s’alternent, au cours desquels les allusions aux différentes versions du thème fondamental refont surface. Le temps change à nouveau : on revient à l’épisode moins brutal et modéré qui a immédiatement suivi la première évasion. Ici, cependant, l’écriture devient plus complexe : LvB combine les deux dessins avec la troisième version du thème fondamental joué à l’envers, créant ainsi un triple contrepoint complexe. Après la reprise de la section imitative, agrandie en taille et portée à un point culminant puissant et des réminiscences thématiques brèves et fragmentaires, il entame la coda finale emphatique dans laquelle le thème fondamental apparaît dans sa première version, inspiré par une attitude positive et énergique, c’est dans une atmosphère triomphale de victoire que s’achève la grande et complexe op 133.

21.12 — 5.24

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