de Pierre Assouline

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La République des livres
La malédiction du livre-culte

La malédiction du livre-culte

Il arrive qu’un écrivain vive le succès comme une malédiction. Inutile de dresser la liste des anciens lauréats du prix Goncourt, de Jean Carrière (L’Epervier des Maheux) à Pascal Lainé (La dentellière), qui ont pu mesurer à leurs dépens le prix d’un Goncourt et ses dommages collatéraux tant sur le plan professionnel que psychologique. L’histoire de Charles Webb est à cet égard des plus édifiantes- et on imagine qu’un romancier doublé d’un scénariste ne manquera pas de s’en emparer un jour ou l’autre.

Vous vous souvenez de ce refrain fredonné par Simon & Garfunkel qui a probablement bercé votre adolescence :

« And here’s to you, Mrs. Robinson/ Jesus loves you more than you will know / Whoa, whoa, whoa/ God bless you, please, Mrs. Robinson/ Heaven holds a place for those who pray / Hey, hey, hey/ Hey, hey, hey…”

Ah, elle en aura fait rêver des lycéens et des étudiants, cette sacrée Mrs Robinson incarnée à l’écran dans le plus simple appareil par Ann Bancroft qui séduit le jeune Dustin Hoffman, fils d’un couple d’amis, assez désoeuvré après l’obtention de son diplôme, lequel finira par s’en déprendre dans les bras de sa fille…. Tous sauf Charles Webb qui est à l’origine de tout. Il est l’auteur du roman autobiographique The Graduate/Le Lauréat (1963), dont Mike Nichols a tiré un film quelques années après, l’immense succès de l’un décuplant celui de l’autre et réciproquement. Ce livre-culte, qui a beaucoup compté dans le rejet du matérialisme par toute une génération, a apporté gloire et fortune à son auteur ; mais jusqu’à sa disparition il y a quelques mois, celui-ci n’aura cessé de vouloir s’en débarrasser. De l’argent et de la notoriété comme d’un sparadrap.

Il publia huit livres en tout, notamment une suite du Lauréat dans le but avoué de payer ses dettes. Or non seulement certains se vendirent correctement mais ils furent eux aussi adaptés au cinéma. Ce qui ne manqua pas de générer de nouveaux profits qui s’ajoutèrent aux maisons, meubles, tableaux reçus en héritage (des oeuvres d’ Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, tout de même) ; ils firent l’objet de dons à la Ligue anti-diffamation et à des associations philanthropiques tout comme les droits audiovisuels du Lauréat (ils ont été rachetés depuis par Canal + qui n’est pas une œuvre de charité). Moins sauvage que J.D. Salinger, auteur d’un livre-culte plus fameux encore L’attrape-cœurs (1951), il n’en tenait pas moins la société à distance, à l’égal d’un anarchiste aux yeux de qui tout ce qu’elle touchait par le biais de l’argent était nécessairement corrompu. S’en délester revenait à se purifier. Mais il avait beau y faire, des héritages divers et variés le rattrapaient. Ce qui est dur pour qui a fait vœu de pauvreté. N’empêche qu’en y mettant du sien, il arriva finalement à tout donner ce qui l’obligea, pour vivre, à accepter des petits boulots ici ou là malgré son âge.

Il avait épousé Eve Rudd, qui était « une Mrs Robinson » lorsqu’ils se sont connus, issus du même milieu bourgeois, puis ils ont divorcé vingt ans après afin de protester contre l’institution du mariage avant de se remarier quelques temps après pour des raisons purement pratiques vis-à-vis de l’Administration. Après avoir vécu dans un bus Volkswagen en Californie avec leurs deux fils qu’ils retirèrent de l’école afin de les instruire eux-mêmes, ils s’installèrent en Angleterre ; un journaliste retrouva le couple vivant dans la chambre d’un hôtel de dernière catégorie à Londres payée par les services sociaux ; puis l’ancienne agente littéraire de Charles Webb, qui leur rendit visite du côté de Brighton puis dans un petit hôtel d’Eastbourne, observa que la maison était quasiment vide de meubles et les armoires tout aussi vides de vêtements. Un jour on apprit que Eve, qui fut internée après une grave dépression nerveuse, s’était fait officiellement rebaptiser Fred par solidarité avec un groupe d’Américains tous nommés Fred qui avaient perdu l’estime de soi ; quant à son mari, tout à son obsession de se dépouiller de tout, il avait fini par rejoindre provisoirement une colonie de nudistes.

Bref, gardez-vous de ne jamais écrire de livre-culte susceptible de bouleverser une ou deux générations : c’est trop de problèmes et de malheurs en perspective.« And here’s to you, Mrs. Robinson… » A propos, lorsque le producteur du film rendit visite à Simon & Garfunkel pour leur arracher la chanson qu’ils étaient en train d’écrire, elle s’appelait encore « Mrs Roosevelt » et il fallut l’adapter pour coller à l’histoire. « … Hey, hey, hey/ Hey, hey, hey…”

(« Charles Webb et sa femme Eve » photo Andrew Hasson/Alamy)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 237 Réponses pour La malédiction du livre-culte

D. dit: à

C’est vrai, Bouguereau, que tu es le Seigneur des anneaux, répondant au nom d’Hagård Hunord ?

Soleil vert dit: à

Yourcenar : outre le travail documentaire préparatoire à ses grands romans, il y a aussi le travail de réécriture des œuvres de jeunesse. Labeur admirable qui cependant me dissuade d’acquérir des ouvrages anciens et laisse des traces – des coutures – dans Les nouvelles orientales

Bloom dit: à

Funeral Blues

@renato, la version qu’en donne John Hannah dans Four Weddings and A Funeral, avec en prime un franc accent calédonien, fait référence.

A propos d’accent, grâce à la radio irlandaise, je viens de découvrir une pièce de Beckett que je ne connaissais pas, The Old Tune, adaptation libre du « Cric » de Robert Pinget, sorte de Godot musical et hilarant, dans l’accent dublinois des années 50…
https://www.rte.ie/drama/radio/plays/2020/0925/1167501-the-old-tune-by-samuel-beckett/

bouguereau dit: à

Le jour où l’on retrouvera le boug raide mort avec son marque page, ça va être délicat pour la famille !

les flatte pas trop..et puis tout ça c’est des histoires de tabloids ou tu rêves ta nécro baroz..

bouguereau dit: à

C’est vrai, Bouguereau, que tu es le Seigneur des anneaux, répondant au nom d’Hagård Hunord ?

la traduc du héro de dik browne en français est presquaussi bien que du shakespeare en chti dédé..ça se mérite

bouguereau dit: à

En revanche tees stations obsessionnelles dans les toilettes pour hommes de la gare du Nord, c’est toi même qui en a parlé, je n’invente rien

j’ai dit que tu ne connaissais de paris que ce que tu en avais lu dans les livres..

Bloom dit: à

Autant pour moi, il s’agit de « La Manivelle », de Robert Pinget…que le grand Cric me croque & la manivelle m’annihile!

christiane dit: à

Soleil vert dit:
« Yourcenar : outre le travail documentaire préparatoire à ses grands romans, il y a aussi le travail de réécriture des œuvres de jeunesse. Labeur admirable qui cependant me dissuade d’acquérir des ouvrages anciens et laisse des traces – des coutures – dans Les nouvelles orientales. »

Idem !

Chaloux dit: à

Au temps pour moi.

christiane dit: à

Jazzi dit:
« Il semblerait, mais peut-être me trompé-je, que les femmes parlent plus des livres, qu’elles lisent, que de leurs bibliothèques. Seraient-elles moins matérialistes ou fétichistes que les hommes ou bien est-ce chez ces derniers une résurgence du « c’est moi qui ai la plus grosse » ? »
 »
Simplement, jazzi, que ce jeu « m’as-tu vu », est revenu plusieurs fois sur ces pages. Il devient usant ! Pour ma part, ma bibliothèque est ma source de bonheur. Elle est en perpétuel mouvement, faites de piles, de rayonnages toujours en désordre. Beaucoup de livres manquent : prêts, dons, déménagements ou lassitude de certaines lectures. Je garde mes préférés. Je n’ai pas envie de jouer au jeu factice d’exposition.
PS: quels que soient les reproches que je te fais, jamais je ne t’ai agressé quant à tes choix sexuels, jamais je n’ai pensé que tu pouvais pervertir ou agresser des enfants. Par ailleurs tes livres si petits qu’ils soient enferment de véritables trésors dans l’ouverture que tu donnes à tes thèmes par tes préfaces et ton choix de citations. Bravo pour ta curiosité intellectuelle.
Bonne suite à toi.
Jeanne d’Arc ? Son procès est époustouflant quand on lit ses réponses. Que d’intelligence et de subtilité face à ses juges et quand même, quelle aventure…
Les bûchers ? Beaucoup de mises à mort révoltantes à ce propos.

Chaloux dit: à

Blue mite, tu es espagnol?

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

DHH, en 1964 j’avais 12 ans et ne lisais pas trop la presse, hors Nice-Matin. Cette blague courait les cours de récréation et je ne connaissais pas encore Paris.

Chaloux dit: à

Jazzi, pense à ce proverbe:

Quand la vieille veut se réconcilier, il y a bombe sur le palier

Chaloux dit: à

DHH, diriez-vous que « autant pour moi » est un solécisme?
sinon, comment peut-on qualifier cette faute?
Merci!

Jazzi dit: à

Christiane, Jeanne fut brûlée et ses cendres aussitôt jetées à la Seine, pour qu’il n’y ait pas de lieu de culte. C’est râpée !

Jazzi dit: à

rapé au quai de la Rapée !

Jazzi dit: à

Chaloux, la trêve de Noël approche. Je demande bien pardon au boug à qui je souhaite longue vie ! Avec ou sans marque-page…
Que deviendront tes livres ? Les Yourcenar, tu pourrais les léguer à l’Académie française ?

Chaloux dit: à

Ils deviendront que pour le moment je les lis (et relis), mais pas « relie », hélas, j’aurais aimé savoir le faire.

Clopine dit: à

Pour répondre au « que faire » de Jazzi, j’ai un ami brocanteur qui vend des livres d’occasion sur les marchés, et peut venir débarrasser n’importe quelle maison, livres inclus donc. Mais il présente dorénavant deux factures : la première indique le montant qu’il versera, pour l’achat du contenu de la maison. La seconde, le montant qu’il réclame pour le vidage de ladite-maison. Et la seconde est bien entendu supérieure à la première.

N’oublions pas non plus la révélation de Paul Edel, sur les invendus des librairies qui finissent en boîtes à pizza, ce qui montre la voie de la modestie à n’importe quel plumitif…

Plus que la bibliothèque de Jude Stéfan, ce sont les tableaux qui garnissaient les murs de sa maison de famille, à Orbec, dont le sort m’intéresse. C’était la première chose qui vous sautait aux yeux : une maison de province, un torchon soigneusement accroché à côté d’un modeste évier, un ameublement qui semblait n’avoir pas bougé depuis 50 ans, une sorte de modeste odeur de vertus petites-bourgeoises, la propreté, l’odeur d’encaustique… Et sur les murs, très violents, d’immenses tableaux aux couleurs criantes, criardes, des nus féminins pour la plupart, bien faits pour scandaliser les aïeules qui avaient légué la maison et ses meubles à l’occupant dont la rébellion s’affichait ainsi, sur tous les murs…

Que deviendront-ils ? Au fond de quel bric-à-brac les retrouvera-t-on ? Allez savoir…

christiane dit: à

Le pervers est aux abois, il défend son pré carré…

christiane dit: à

Les lieux de culte ne remplacent pas la mémoire.

renato dit: à

Finir incinère comme déchet du commerce alimentaire c’est encore honorable pour un livre qui n’a pas porté à terme sa mission.

Clopine dit: à

Autant en emporte le vent, Christiane. L’important est de reconnaître son erreur… Quoi qu’il puisse en coûter à l’ego.

Bloom dit: à

Il va falloir que le Corbeau de service envoie un pli de dénonciation au Robert & Collins

autant [otɑ̃] adverbe
[…]
d locutions
■ autant dire qu’il ne sait rien/qu’il est fou : you ou one might as well say that he doesn’t know anything/that he’s mad
■ autant pour moi ! : my mistake!

Jazzi dit: à

Rien de plus triste, Clopine, que de voir étalé aux puces ou dans une brocante le contenu d’une maison entièrement vidée d’un défunt sans succession ou dont les derniers héritiers veulent se débarrasser. Meubles, tapis, bibelots, vieux papiers, livres ou pas livres, disques… Le pire, c’est les photos de famille, où l’on voit défiler d’un coup la vie de leur ancien propriétaire !

christiane dit: à

Clopine dit:
« Autant en emporte le vent, Christiane. L’important est de reconnaître son erreur… Quoi qu’il puisse en coûter à l’ego. »
J’attends toujours que vous fassiez cette démarche par rapport à tout le mal que vous m’avez fait en paroles sur ce blog et … hors de ce blog…
Au lieu de donner des conseils, appliquez-les à vous-même. Je n’oublie rien de votre méchanceté gratuite. Je ne vous pardonnerai jamais et je souhaite que la vie vous rende l’équivalent bien pesé.
Quant à Jacques, je ne retire rien de ce que j’ai dit : c’st un courtisan et certaine des écrits qu’il aime semer ici sont pornographiques. Je ne cherche nullement à rétablir un contact avec lui, il m’a trop déçu avec ses mille et une pointes d’ironie méchante. Je tenais seulement à écrire ici clairement ce que je pense de certaines accusations infondées (pédophilie) qui lui sont adressées ainsi que ces moqueries constantes quant à ses choix sexuels (homosexualité). En ajoutant une remarque sur le procès de Jeanne d’Arc.

christiane dit: à

Bloom dit:
« Il va falloir que le Corbeau de service envoie un pli de dénonciation… »
Bien trouvé ! ça l’habille remarquablement !

Clopine dit: à

Wouarf, Christiane, rancunière oublieuse en plus… Quant à votre « hors blog », je ne vois pas de quoi vous parlez, mais quelle aigreur !

Jazzi dit: à

C’est reparti comme en 40 !

J’aime bien la tradition des tziganes, qui brûlent la caravane du défunt avec tout qu’il y a à l’intérieur. Pas d’héritage et nul besoin de passer chez le notaire !

Jazzi dit: à

La pornographie c’est la vie, Christiane, et nous sommes tous un peu Grecs !

renato dit: à

Pour les italophones — une perspective ouverte qui vaut pour ici :

https://pin.it/3eUvwgf

[trad.
« Vous êtes un étron.
— comment le savez-vous ? Je suis asymptomatique. »

Petit Rappel dit: à

Soleil Vert
Je me demande si la comparaison que vous citez avec le calamiteux JP Andrevon est vraimpent un compliment.

christiane dit: à

Clopine dit:
Wouarf, Christiane, rancunière : oui
« oublieuse en plus »… (oui cela vous va très bien !) « Quant à votre « hors blog », je ne vois pas de quoi vous parlez, » (Ah vraiment….)
« mais quelle aigreur ! » à votre égard, oui ! la même que celle que j’exprime envers ce cafard de chaloux. D’ailleurs, vous vous ressemblez terriblement…

Jazzi dit: à

« Les lieux de culte ne remplacent pas la mémoire. »

Je dirais même mieux : l’absence de lieux de culte n’empêche pas la mémoire.

christiane dit: à

Jazzi dit:
« La pornographie c’est la vie, Christiane, et nous sommes tous un peu Grecs ! »
L’érotisme, la sensualité, oui. La pornographie : non !
Quant au « genre », bien sûr que chacun a en lui du féminin et du masculin. Les laisser librement trouver leur place dans nos vies ne me gêne point, ça évite le refoulement qui rend pervers et méchant.

Petit Rappel dit: à

Oui, les Nouvelles Orientales forment un recueil inégal. J’ignore si la version Idées est la corrigée, mais l’oeuvre accuse ses disparités.

christiane dit: à

« Je dirais même mieux : l’absence de lieux de culte n’empêche pas la mémoire. »
Oui.

Jazzi dit: à

Une claque, un bon point !

bouguereau dit: à

Une claque, un bon point !

et mon tout est porno baroz

bouguereau dit: à

L’érotisme, la sensualité, oui. La pornographie : non !

encore un coup de dédé avec son lard allégé

bouguereau dit: à

ce cafard de chaloux. D’ailleurs, vous vous ressemblez terriblement…

..de l’eau sale..dla basse cours..dla tinette!..du porno trash baroz!

bouguereau dit: à

« Vous êtes un étron.
— comment le savez-vous ? Je suis asymptomatique. »

..mais es tu acéphale?

Chaloux dit: à

Qu’est-ce qu’elle raconte la vioque?
Au fait, j’ai une idée vocabulaire pour elle. A l’hypermarché d’où je reviens, l’escalator qui sert à monter à l’étage avec son caddie s’appelle « travelator ». Je propose à cette dinde migratrice (qui vient de revenir) de transformer ce mot en : « travelotor ».

Le Pantacrator travelotor…

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Non, Clopine est beaucoup moins intelligente que moi, beaucoup moins cultivée, elle ne sait pas la clef de sol et n’est même pas de bonne famille. Alors…

Il faut comparer ce qui est comparable!

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

« ça évite le refoulement qui rend pervers et méchant. »

Lâche-tout, Christiane !

bouguereau dit: à

J’aime bien la tradition des tziganes, qui brûlent la caravane du défunt avec tout qu’il y a à l’intérieur. Pas d’héritage et nul besoin de passer chez le notaire !

ça eut été copernicien baroz..mais petit a petit dirfilou..aprés tous ses tatouages..ses anneaux dans les nez..on peut le mettre a dériver sur la scène sur un matelas gonflabe henfalmmé comme grossebaf..mais y s’en fout ! ses dollars ses euro..morand..tout sur le claoud!

Chaloux dit: à

ça évite le refoulement qui rend pervers et méchant. »

Il est temps qu’elle se fasse lesbienne, mémère. La Gigi n’a qu’à lui envoyer le mode d’emploi de Coffin!

bouguereau dit: à

un étron sans tête qui fait croa croa..ma mère de ma mère..

DHH dit: à

@Chaloux
j’ai essayé de vous répondre ,de manière que vous trouverez peut-etre confuse. Tant pis
voici donc ma réponse :
Je ne dirais pas solécisme qui est une faute contre la syntaxe.
Or l’expression « autant pour moi » est correcte.
Mais j’y vois un fait de langue du même ordre que le le phénomène linguistique a l’œuvre dans certaines expressions, qui tout en gardant leur sens initial, se présentent sous des formes dévoyées, résultant d’une sorte de parasitage indirect de la forme par des éléments se referant au fond dans l’esprit des locuteurs
C’est comme si ces expressions modifiées ,et considérées un temps comme fautives , mais conservant dans sa plenitude leur sens initial, résultaient d’une intervention des locuteurs ordinaires pour leur donner une forme compatible avec leur univers matériel et leur bagage linguistique familiers.
Ce qui peut aboutir produire dans certains cas des formules, qui continuent a faire sens, mais qui à la lettre, peuvent être absurdes
Quelques exemples pour expliquer cette idée mettant en évidence le mécanisme de ce parasitage de la forme via une référence au fond :
• Contamination par une autre expression liée à une réalité plus familière : »faire flèche de tout bois » devient « faire feu de tout bois « qui a la lettre n’a pas grand sens mais « faire du feu » c’est un acte basique et une phrase courante )
• Remplacement d’un mot rare mal compris ou désuet par un mot familier de même consonance mais de sens très différent : parler comme un basque espagnol devient parler comme une vache espagnole ;le trentain tissu de luxe devient 31 dans « se mettre sur son 31″:les deux expressions prises à la lettre sont également absurdes les vaches ne parlent pas et on ne s’assoit pas sur un numéro
• Association d’idées; Mars etant le mois associé au carême, on a la transformation de » arriver comme marée en carême » en « arriver comme mars en carême, pure tautologie denuée de signification , alors que la formulation initiale disait bien « arriver au bon moment »,quand la viande est interdite et qu »on doit manger du poisson
• Dans » autant pour moi devenu (et je crois accepté) » autant pour moi » ,il y méconnaissance de la realité militaire à l’origine de l’expression initiale, et à partir de son sens remplacement dans la langue par une formule tout venant disant la même chose : « l’erreur est de moi » »
remarquons que toutes ces expressions modifiées dont pour certaines la forme ne dit plus rien du sens sont en général passées dans l’usage avec leur sens d’origine s

Chaloux dit: à

bouguereau le Le blaireau continue avec son humour Pernod. Il doit y avoir une promotion à l’asile.

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

Je demande bien pardon au boug à qui je souhaite longue vie !

hallons baroz..nous sommes nombreux ici à n’avoir jamais espéré la mort de quiconque..certes il y a les death ouich a mon larbin..mais il sont à prende comme l’espression de sa condition et sont en somme roboratif..

Chaloux dit: à

@DHH, merci pour ce point très complet. Je dirais plutôt que « autant pour moi » est admis de guerre lasse.

bouguereau dit: à

Inserts

richard dreyfus..en voilà une vieille gloire passé complétment à la trappe

Brinqueballe dit: à

une sorte de modeste odeur de vertus petites-bourgeoises, la propreté, l’odeur d’encaustique…

Mieux vaut encore cela qu’une odeur persistante de foutre et d’urine!

Chaloux dit: à

J’ai Ida, je vais pouvoir le regarder.

Moralès sed laisse dit: à

pornographie

L’érotisme des pauvres.

bouguereau dit: à

je trouve bonne clopine mieux que mon larbin..elle ne veut que la mort du cochon..de quelques canards..d’à peine 4-5 poulets..de rares lapins..jamais elle n’a voulu la mort de polo ou de meussieu courte..jamais insinué que bien bouillu..en confinement..le péché srait véniel au finiche..ou halors ça m’a échappé

Chaloux dit: à

Mieux vaut encore cela qu’une odeur persistante de foutre et d’urine!

Il parait que chez bouguereau le blaireau, ça fait au moins vingt ans que ça ne sent plus du tout le foutre!

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

L’érotisme des pauvres

il faut payer keupu! sinon les actrices bossent pour nibe..plus pire que baroz!

Phil dit: à

Richard Dreyfuss, toujours bien coté par les cinéphiles, dear Bougreau. fatalement les netflixeux brouillent les ondes mais Dreyfuss tient la rampe comme une édition yourcenar d’avant guerre. deashash sort le grevisse, miss robinson peut aller se rhabiller.

bouguereau dit: à

J’ai Ida, je vais pouvoir le regarder

..il peut le faire

Chaloux dit: à

bouguereau, tu n’es vraiment qu’un sale blaireau et une vieille donneuse avinée. Je n’ai jamais souhaité la mort de personne ici, ou alors tu dois en apporter la preuve.

Quand tu deviens aussi ordure, c’est bon signe!

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

coté mais archi daté dirfilou..c’est sa qualité d’esprimer si bien son époque dailleurs..et il n’est pas si vieux..toujours gaillard

bouguereau dit: à

croa croa..il peut le faire

Chaloux dit: à

Mais il faut avouer une chose, bouguereau le blaireau, tu es très bon dans l’autoportrait, un genre de Rembrandt de caniveau et d’établissement de bain:

bouguereau dit: à
un étron sans tête qui fait croa croa..ma mère de ma mère..

DHH dit: à

@Chaloux
quand je disais que l’expression est correcte je ne me prononçais pas sur sa place tres dicutée dans le « bon usage » mais du seul point de vue de la syntaxe, irréprochable, de la formule
pour l’anecdote j’ai longtemps moi-même ignoré la forme d’origine de la formule et a mon grand étonnement je me suis aperçue que tous les hommes de mon entourage contrairement à moi ecrivaient l’expression correctement.
Ah on ne regrettera jamais assez la disparition le service militaire !

bouguereau dit: à

Dreyfuss tient la rampe comme une édition yourcenar d’avant guerre

c’est pas mal vu..des correspondances hétonnantes

bouguereau dit: à

je sais que c’est pas facile d’être larbin et d’être fessé..il te reste le protège dent mon étron san..mon larbin pardon..un sursaut de courage..c’est que la lachté c’est sans issue mon larbin

bouguereau dit: à

Ah on ne regrettera jamais assez la disparition le service militaire !

sapré drh..

Chaloux dit: à

bouguereau le blaireau, bats-toi avec ta plume. Elle est trop courte? Tire dessus!

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Christiane à Clopine : Je n’oublie rien de votre méchanceté gratuite. Je ne vous pardonnerai jamais et je souhaite que la vie vous rende l’équivalent bien pesé.

Là, on peut dire Sainte Cricri touche à l’abjection sans mélange. Pureté incomparable. Et c’est toujours la faute des autres…

Je propose une minute de silence.

Chaloux dit: à

« que Sainte Cricri »…

renato dit: à

« … une vieille gloire passé complétment à la trappe »

Inserts, donc.

Belle performance de Dreyfuss de vingt-sept ans, nonobstant qu’il soit trop jeune — 27 ans — jouer Boy Wonder qui devrait avoir évitions 50 ans.

Interessante l’ambiguïté de Jessica Harper.

Curieuse ouverture sur le futur et l’immediate fermeture lorsque Dreyfuss n’ouvre pas la porte à un jeune acteur — un certain Clark Gable — venu lui proposer de tourner un vrai film : il préfère rester seul avec son piano.

J’ai aimé la situation « théâtre » : tout advient dans un seul espece — le lieu de travail et de vie de Boy Wonder.

Patrice Charoulet dit: à

TROIS LIVRES ET UN CONSEIL

A la fin de l’entretien avec Montebourg que j’ai invité mes amis à écouter sur Thinkerview , on lui a demandé trois livres à lire et un conseil aux jeunes gens.
Voici les trois livres :
Régis Debray, D’un Siècle l’autre
Hubert Védrine, Sauver l’Europe
Patrick Artus, Contre l’austérité salariale
Voici le conseil :
Lisez, réfléchissez, agissez, engagez-vous.

Chaloux dit: à

Bloom dit: à
Il va falloir que le Corbeau de service envoie un pli de dénonciation au Robert & Collins
.

Je suppose, Blue mite que celui que tu appelles « corbeau de service », c’est toi-même, puisque tu es le premier à avoir parlé de me dénoncer pour antisémitisme (complètement loufoque de ta part). Le corbeau c’est toi, et l’ignoble c’est toi. Ne l’oublie pas. Ensuite, que tu te sois pris les pieds dans tes propres menaces, est ton affaire. Comme si tu étais tombé dans ton propre vomi.

christiane dit: à

Chaloux dit:
« Christiane à Clopine : Je n’oublie rien de votre méchanceté gratuite. Je ne vous pardonnerai jamais et je souhaite que la vie vous rende l’équivalent bien pesé. »

« Là, on peut dire Sainte Cricri touche à l’abjection sans mélange. Pureté incomparable. Et c’est toujours la faute des autres… »

Eh oui, chaloux le corbeau. Vous souvenez-vous, un jour où vous aviez été particulièrement « abject » je vous ai écrit que vous auriez à en répondre. Vous avez cru que je faisais allusion à une démarche judiciaire (celle dont vous vous réclamez si souvent) mais non, chaloux, je parle d’une autre justice. Vous aussi vous allez avoir à répondre de votre abjection, de votre méchanceté, de vos calomnies.
La roue tourne, chaloux. Et chacun reçoit son salaire.

Chaloux dit: à

Pauvre Cricri, retombant en enfance, maintenant les foudres divines. Juste un petit conseil : il est bien connu qu’un individu ne doit jamais manier des forces qui le dépassent, sans avoir été auparavant initié à ce maniement, sous peine qu’elles retombent sur le maladroit.
Je vous dis cela, Christiane, je ne vous dis rien.

Pour le reste, croyez-vous vraiment que si nous sommes jugés, nous le serons selon les critères de votre esprit malade?

Reprenez-vous, pauvre vieille.

christiane dit: à

Pauvre chaloux,
si vous n’avez rien à vous reprocher, allez gaiement ! Ah, vous devriez porter attention à vos rêves (votre inconscient les guide).
Sans aller jusqu’à la justice divine, le destin marque les vies. La roue tourne, chaloux !
Quant à clopine, ma foi, nous n’avons eu que sa version des faits…

Chaloux dit: à

Cricri, vous êtes vraiment abjecte. Vous serez frappée par les flèches dont vous menacez autrui. Il ne peut en être autrement. Et regardez vous en face vous-même, scrutez vos rêves si besoin est, si cela peut vous faire du bien.

Chaloux dit: à

Cricri, vous devriez vous abstenir de venir ici tant que vous n’avez pas recouvré la raison. On imagine ce qu’ont dû être vos semaines de silence.

christiane dit: à

Chaloux dit:
« vous devriez vous abstenir de venir ici tant que vous n’avez pas recouvré la raison. On imagine ce qu’ont dû être vos semaines de silence. »

Un problème, chaloux, ce n’est pas votre blog. Je sais que je vous gêne. Vous avez même appelé à la curée. Vous vous prenez pour quelqu’un de bon ? Vous avez traîné clopine dans la boue, scruter les fonds de culotte d’Ed, menti à propos de Bloom, moquer méchamment JJJ, Puck, P.edel, P.Assouline, B. Marie Sasseur. Vous salissez tout le monde sauf Renato… depuis peu sorti de la vague de boue dans lequel vous aimiez le rouler et Jazzi (selon les jours) et DHH (total respect, là vous n’osez pas) et Pedro, votre bouée…. Mais c’est vous, pauvre corbeau déplumé qui devriez quitter ce blog ! Franchement, vous sentez très mauvais.
Quant à mon mois de silence, ici, il ne l’était pas ailleurs… Des semaines profondes et harmonieuses.
Je suis revenue pour Rose. Encore une que vous avez tenté d’humilier.

Jazzi dit: à

« Je propose une minute de silence »

Moi il m’a fallu deux bonnes heures pour digérer la méchanceté de ces deux phrases assénée à Clopine, qui a reçu un terrible coup de massue qui a bouleversé sa vie et subit deux récentes hospitalisations en psychiatrie. Et avec ça on vient nous faire la leçon sur la pornographie.
Shame on you Christiane !

Chaloux dit: à

Cricri, vous avez suffisamment dépassé le stade de l’abjection pour aujourd’hui. Allez donc vous coucher.

Chaloux dit: à

Jazzi, ton émotion vraie se lit dans ton orthographe bouleversée. Moi aussi, ces deux phrases d’une vieille folle qui se met à jeter des sorts parce qu’il n’y a plus rien d’autre de disponible dans sa pauvre cervelle, j’ai beaucoup de mal à les digérer. La déchéance de la pauvre Cricri est quelque chose qui fait peur. Bientôt elle criera dans la rue en allant chercher son pain. Misère!

Jazzi dit: à

Je n’ai aucun goût pour la polémique, Chaloux, mais il y a des moments où on ne peut pas garder le silence et toujours arrondir les angles. Je m’étonne que ceux qui ont de l’amitié pour Christiane ne se manifestent pas. Grâce te soit rendue sur ce coup !

rose dit: à

J’apprécie Christiane et vous remercie.

Je suis revenue pour Rose

Janssen J-J dit: à

J’ai de l’amitié pour Ch., tout le monde le sait jzmn, mais je ne comprends pas le sens de votre culpabilité à son égard.
Vous ne l’assumez pas vraiment ?…
Je suis désolé par la teneur de ces échanges (délaissés aujourd’hui) en les découvrant ce soir. Je sais aussi que j’y succombe parfois, excessivement ; et je sais enfin qu’à vouloir s’immiscer dans ceux des autres, on agace un brin tut autant les protagonistes du moment.
Heureusement, les nuits sont souvent réparatrices pour tout le monde.
Bàv, à bonne équidistance, Ch., CT et Jzmn.
(*** demain matin sera encore une journée de dure épreuve hors RDL, à moins que ne survienne enfin la bonne surprise attendue depuis quelques semaines).

Lara dit: à

Serons-nous vraiment jugés le jour du Jugement dernier ?
Nous serons peut-être aimés et ce jour-là sera pour nous tous le jour de l’Amour dernier. Infini, éternel et beau… Comme Dieu.

puck dit: à

Lara dit: Serons-nous vraiment jugés le jour du Jugement dernier ?
 »

oui, et tant pis pour les prêtres qui pour déménager ont utilisé un Diable.

christiane dit: à

Aucune honte, Jazzi;
En psychiatrie ? Un séjour éclair pour une soi-disant cure de sommeil qui ne l’empêchait nullement d’envoyer des commentaires joliment tournés ici. Un séjour si bref que tu n’as même pas été informé d sa sortie.
Clopine invente avec tant de facilité ce qui l’arrange, ce qui lui permet d’écrire, de se justifier. Un jour Clopin est le meilleur compagnon qu’elle ait pu souhaiter, un autre, elle le quitte parce qu’il … partouze..; Que sais-tu de l’histoire de ce couple ? Ce qu’elle t’a raconté… Et le fils ? disparu des antennes…
Clopine a du Emile Ajar en elle. Beaucoup d’imagination.
Et je n’ai aucune compassion pour elle qui a été si horrible à mon égard et cela depuis mon arrivée sur la rdl il y a 10 ans Ces supposées accusations qu’elle a ressassées pendant des mois comme un alibi qu’elle n’a pu prouver, cette « cour que je lui aurais faite avant qu’elle me chasse d’un de ses anciens blogs » et dont elle ne retrouve aucune trace.
Je vais te dire : tout cela sent l’arnaque. Une histoire de plus inventée pour écrire. Et pourquoi pas…
Honte à elle, plutôt et honte à toi pour ces paroles. Va vite te consoler dans les bras de chaloux si telle est ta rêverie ! A ton bon plaisir…

puck dit: à

« Serons-nous vraiment jugés le jour du Jugement dernier ? »

l’intérêt avec le Jugement Dernier c’est que justement c’est le Dernier.

du coup on sera sûr qu’il n’y en aura pas d’autres après.

puck dit: à

sans vouloir m’immiscer dans ces querelles il faut relativiser en prenant bien en compte les effets néfastes du confinement.

rose dit: à

Essai sur le don, 3

Le charpentier dit à Arthur : « je te ferai une table très belle, où ils pourront s’asseoir seize cents et plus, et tourner autour, et donc personne ne sera exclu… Aucun chevalier ne pourra livrer combat, car là , le haut placé sera sur le même pied que le bas placé.»  Il n’y eut plus de « haut bout » et partant, plus de querelle. Partout où Arthur transporta sa Table, joyeuse et invincible resta sa noble compagnie. C’est ainsi qu’aujourd’hui encore se font les nations, fortes et riches, heureuses et bonnes. Les peuples, les classes, les familles, les individus, pourront s’enrichir, ils ne seront heureux que quand ils sauront s’asseoir, tels des chevaliers, autour de la richesse commune. Il est inutile d’aller chercher bien loin quel est le bien et le bonheur. Il est là, dans la paix imposée, dans le travail bien rythmé, en commun et solitaire alternativement, dans la richesse amassée puis redistribuée dans le respect mutuel et la générosité réciproque que l’éducation enseigne.

christiane dit: à

chaloux dit:  » Moi aussi, ces deux phrases d’une vieille folle qui se met à jeter des sorts parce qu’il n’y a plus rien d’autre de disponible dans sa pauvre cervelle, j’ai beaucoup de mal à les digérer. La déchéance de la pauvre Cricri est quelque chose qui fait peur. Bientôt elle criera dans la rue en allant chercher son pain. Misère! »
Et votre déchéance chaloux, et votre haine, et les « draps souillés » de clopine et sa « bêtise ». J’ai oublié dans votre haine abjecte WGG, M.C, Chantal.
En comparaison je me trouve bien plus sensée, lucide et généreuse que vous. Votre « déchéance », ici, elle crève l’écran !

puck dit: à

quant à l’orthographe et au sens des mots, c’est pas très grave, un peu comme ceux qui font l’erreur de penser qu’un psychopathe n’est pas un psychologue qui travaille chez Lustucru.

puck dit: à

ou ceux qui, quand on leur dit que Gibraltar est un détroit, demande « qui sont les deux autres ? ».

puck dit: à

demandENT

rose dit: à

Lustucru ou Rivoire et Carré

puck dit: à

rose dit: Ai pris un pot avec Jacques
 »

j’y crois pas, tout le monde est allé boire un pot avec Jacky, et moi à chaque quand je lui ai demandé il a toujours refusé !

puck dit: à

la première fois où mon ordinateur m’a demandé de prouver que je n’étais pas un robot j’ai compris qu’on entrait dans une nouvelle ère.

puck dit: à

passou, j’ai relu votre article, vous n’avez pas insisté sur le fait que ce devait un type sacrément sympa ce Charles Webb.

je me souviens à l’époque on en croisait à tous les coins de rue des comme lui : il était la norme.

aujourd’hui il est devenu l’exception : on se sent quand on vous lisant, que vous trouvé ça pas normal.

je ne sais pas trop à quel moment les choses sont parties en vrilles.

Lara dit: à

Puck ou le lutin d’une nuit d’hiver.

puck dit: à

passou le truc que vous n’avez pas précisé c’est que les types qui ont fait le film « le Lauréat » avaient refilé 20 mille dollars à Charles Webb.

20 mille dollars ! les enflures !

Phil dit: à

il faut avoir connu les poules lustucru pour apprécier le blog à passou. bien dit, puck

Bloom dit: à

Version glasvégienne du Portait de l’artiste en jeune homme, récompensée aujourd’hui par le Booker Prize:

Mr Darling had a considered, half-closed way to himself. Shuggie tried his best to be polite and listen as the man told him how he had been a janitor at a Protestant school that they had shut and merged with the Catholic one to save the council money. To hear him tell it, Mr Darling sounded more astounded that the Proddy weans should be running with the Catholic ones in peace than he was to find himself out of a job. “Ah jist cannae believe it!” he had said, mostly to himself. “In ma day a person’s religion said something about them. Ye came up through the school having to fight yer way there through bus-fulls of cabbage-eating Catholic bastards. It was something to be proud of. Now any good lassie will sleep with any dirty Mick as soon as she’d lie with a dog.” Shuggie pretended to take a light tug on the beer, but mostly he let it swirl around his teeth and trickle back into the can. Mr Darling’s eyes were searching the walls for a sign. Then he stole a sideways glance at the boy and asked, suddenly unsure of his audience, “So, what school did ye used to go to?” Shuggie knew what he was after. “I’m not really one or the other, and I’m still at the school.” It was true, he didn’t belong to either the Catholics or the Protestants, and he still did go to school, when he could afford to not be at the supermarket. “Aye? What’s your best subject then?” The boy shrugged. It wasn’t modesty, he generally wasn’t good at anything. His attendance had been patchy at best, and so the thread of learning was difficult to follow. Mostly he went and sat quietly at the back so that the education board wouldn’t come after him for truancy. If the school knew how he lived, they would have been forced to do something about it (…)

– Shuggie Bain, Douglas Stewart.

Vient s’ajouter à ces portraits d’enfants inoubliables que sont le Billy Casper du ‘Kes’ de Barry Hines (rotten sod!), et du Paddy Clark Ha Ha Ha de Roddy Doyle (*uking gobshite so he is!)
Littérature libre gigotante & truculente, débarrassée de tout corset germano-pratino-académico-bourgeo-aristo-auto-dont-on-se- tamponne. Aye Jimmy!

Chaloux dit: à

Cricri, il serait difficile de faire le compte des horreurs que vous avez racontées ici à propos de presque tous les membres qui vous résistaient. Vous n’êtes qu’un sale individu qui voudrait toujours se faire valoir et dominer, mais qui ne domine rien du tout. Rappelez-vous, ce pauvre type qui n’avait plus qu’une idée, c’est que vous retiriez votre pied du chambranle de sa porte, et qui vous l’a ordonné ici même. Vous êtes un personnage ridicule et malfaisant, insinuant, indiscret, sans conscience, comme vous l’avez encore prouvé ce soir à propos de Clopine. De plus d’une crédulité qui fait peur. On vous ferait avaler n’importe quoi. Vous êtes vraiment Cricri gobe tout.

Chaloux dit: à

christiane dit: à
En comparaison je me trouve bien plus sensée, lucide et généreuse que vous.

C’est ans conteste un aspect de votre folie.

Chaloux dit: à

« sans conteste »

puck dit: à

« Littérature libre gigotante & truculente, débarrassée de tout corset germano-pratino-académico-bourgeo-aristo-auto-dont-on-se- tamponne. »

j’achète !

puck dit: à

et j’espère que cette année on refilera le Goncourt à le Tellier !!!

Chaloux dit: à

Cricri :Va vite te consoler dans les bras de chaloux si telle est ta rêverie ! A ton bon plaisir…

Jazzi, je te conseille plutôt les bras de bouguereau le blaireau. N’ai pas la vocation!

christiane dit: à

Chaloux dit: « il serait difficile de faire le compte des horreurs que vous avez racontées ici à propos de presque tous les membres qui vous résistaient. »
Vos pourriez les mettre en ligne, ça m’intéresserait ! Par contre les vôtres pullulent, ici.

« Vous n’êtes qu’un sale individu qui voudrait toujours se faire valoir et dominer, mais qui ne domine rien du tout. »
Votre portrait, corbeau

« Rappelez-vous, ce pauvre type qui n’avait plus qu’une idée, c’est que vous retiriez votre pied du chambranle de sa porte, et qui vous l’a ordonné ici même. »
Quel est ce pauvre type ? C’est un scoop ! Doit-on lui envoyer un serrurier ?
Vous pourriez mettre en ligne son commentaire ?

« Vous êtes un personnage ridicule et malfaisant, insinuant, indiscret, sans conscience, »
Très fidèle portrait de vous, corbeau !

« comme vous l’avez encore prouvé ce soir à propos de Clopine. »
Dans ce domaine vous me battez à plate couture !

« De plus d’une crédulité qui fait peur. On vous ferait avaler n’importe quoi. »
Ah, toujours ces paroles de Rose qui vous hantent… Figurez-vous que la crois !

Chaloux dit: à

Rien ne sera plus simple.

christiane dit: à

Jazzi dit:
« La pornographie c’est la vie »
C’est en pensant au conjoint de clopine que tu écris ces mots ou pour te situer dans ta vie ?

christiane dit: à

Chaloux dit:
« Rien ne sera plus simple. »
Et en regard je mettrai les vôtres !

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…vendredi

…YouTube : Simon & Garfunkel : El Condor Pasa (1970)

…les pandémies et en boucles,!…
…avec l’humour musical des déchéances des profits appropriées en lots quotidiens,!…
…sur nos têtes,! et aux suivants,! etc,!…

et alii dit: à

bye bye les bidochons

Un 5e Jour au Musée avec les Bidochon, Fluide Glacial,

Chaloux dit: à

La citation à ce point, c’est du plagiat. Cricri, use plutôt de ton talent que du mien, STP!

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

J’ai commandé et recevrai sous peu en numérique (sauvons les arbres …) le dernier Blake et Mortimer, «Le cri du Moloch». E.P. Jacobs a beau être mort depuis 1987, d’autres ont repris le flambeau. Comme feu la reine Mary qui attendait fébrilement son Agatha Christie à chaque fête de Noël, j’attends mes deux Britanniques plein d’anticipation, surtout si ils ne versent pas trop dans la science fiction.

Même joie de retrouver ce merveilleux Jean Lebrun sur France Inter chaque samedi. De quoi ne pas trop désespérer des Français. La France, comme le Général, ne me décevra jamais.

Quant aux patients du bon docteur Assouline, je les retrouve toujours aussi primaires, s’exprimant gauchement, le genre à se nourrir d’une boite de sardines, et ce carrément au dessus de l’évier de la cuisine.

JiCé..... dit: à

Vendredi 20 novembre 2020, 5h36, 11°

Lire les derniers commentaires avec plaisir est pure joie perverse. Délectable. Comique…

Passer son chemin est plus sain mais, vous l’admettrez volontiers, terriblement ennuyeux de sagesse plate. On n’a pas l’occasion de rire tous les jours. Merci, Maitre Pierre !

JiCé..... dit: à

J’ai rêvé cette nuit d’ANN BANCROFT, l’actrice, et de ses courbes de jeunesse, tellement magnifiques.

Elle m’a prié entre deux génuflexions de saluer Anne Brancroft, sa doublure dans The Graduate, entrée au Carmel, section bibliothèque et critique littéraire, en 1976.

Toujours vivante, elle espère que personne n’abuse, ici-bas, de l’usage de son nom…

Marie Sasseur dit: à

Charles on the web.

In 1969, Charles Webb thought to make a trip around the world, with his family. He finally delared, in a letter to a relative of his own, to have to defer.
He had a book to appear at the same time, and mostly was recently involved in a californian group who was fighting against the air-pollution.

christiane dit: à

Chaloux dit:
« La citation à ce point, c’est du plagiat. use plutôt de ton talent que du mien, STP! »

Mais oui, il est revenu le petit corbeau, en pyjama, les yeux bouffis de sommeil pour avoir le dernier mot, « un sale individu qui voudrait toujours se faire valoir et dominer, mais qui ne domine rien du tout »… (c’est vous qui le dites…)

Je « plagie » l’ineffable prose du corbeau ? ça alors… deviendrais-je le renard alléché par son ramage et son plumage ? Vite, un fromage !

Soudain un tutoiement glissé dans trois lettres majuscules. Allons un peu de tenue, corbeau. Pas de familiarité entre nous. Restez poli !

Alors, c’est le grand jour. Vous allez « faire le compte des horreurs que j’ai racontées ici à propos de presque tous les membres qui me résistaient ». J’ai hâte ! de la vraie science fiction !

Mais le clou du spectacle sera le « pauvre type ».
Qui est le « pauvre type » se cramponnant à sa porte entrouverte ? Il y a un « pauvre type » sur la rdl ?… « retirer mon pied du chambranle de sa porte » Oh la la, ça devient palpitant. N’oubliez pas de préciser l’adresse, l’étage, la porte.
et « qui me l’a ordonné ici même » Ah, c’est un film parlant.

Vous progressez, corbeau. Vous êtes sous LSD ?

Marie Sasseur dit: à

Ça va chier.
Lol
bel hommage de J. Drillon à son poète.

Bloom dit: à

La France, comme le Général, ne me décevra jamais.

En revanche, celle-ci déçut fort celui-là, qui la quitta une seconde fois, le 10 mai 1969 pour se réfugier au Heron Cove, modeste hôtel de Sneem, au bord de la Baie de Kenmare, dans le comté de Kerry, loin des paparazzi et de la foule tumultueuse. Il en profita pour visiter Derrynane House visiter la maison de Daniel O’Connell, dit « Le Libérateur » (!), grande figure du nationalisme constitutionnel irlandais, qui œuvra également à l’émancipation des catholiques britanniques au 19e.
La grand-mère du Grand Charles était une McCartan, originaire du comté de Down, en Ulster, connu, entre autres, pour la beauté de l’une de ses ‘colleens'(jeune femme), The Star of the County Down, que célèbrent Van the Man et les Chieftains:
https://www.youtube.com/watch?v=QSvVVzH3O5E

Bloom dit: à

Lire:
« Il en profita pour visiter Derrynane House, la maison de Daniel O’Connell, dit « Le Libérateur » (!), grande figure du nationalisme constitutionnel irlandais, qui œuvra également à l’émancipation des catholiques britanniques au 19e ».

Autant etc.

et alii dit: à

Podcast « Les mots de la science » : P comme peer review
non, ce n’est pas comme plagiat ;
https://theconversation.com/podcast-les-mots-de-la-science-p-comme-peer-review-150473?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2020%20novembre%202020%20-%201790117374&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2020%20novembre%202020%20-%201790117374+CID_22c5f6ac42a92ee30b4f6bdbe9fb6e88&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=Podcast%20%20Les%20mots%20de%20la%20science%20%20%20P%20comme%20peer%20review

Janssen J-J dit: à

@ BddB, « le genre à se nourrir d’une boite de sardines, et ce carrément au dessus de l’évier de la cuisine »…
Comme 10% de la population française, sous le seuil de pauvreté.

@ Cette réplique de Zola à un lecteur qui l’avait accusé de plagiat : « Ah ! nuire pour le plaisir de nuire, baver sur une œuvre pour la joie de souiller ! Se dire : « toi, tu es illustre, tu te vends, tu m’embêtes ! Je vais te salir, et quelle danse de cannibales si tu en crevais » (..) Tel est le joli rôle de monsieur. Heureusement, si l’intention assassine y est bien, ce sont les blessures qui font la gloire et la santé des vaillants. Assassinez, assassinez, impuissants et envieux ! Cela vous tient en haleine et en joie »
(citée par E. Klein, dans Psychisme ascensionnel, Paris, Arthaud, 2020, p. 95).

@ MC, que préférez-vous lire sur ce blog ? de la « catabase sotériologique » ou, plus modestement, de la « chute salvatrice » ? Je vous pose cette question, étant resté dans l’expectative au sujet du « logion christique » et des mazarinades… (pour cette histoire du destin d’une bibliothèque). Ne le prenez pas à mal. Bien au contraire.

-> Hélas, les passions tristes n’ont pas toutes été apaisées durant la nuit. Sans doute, nous faudrait-il méditer Cynthia Fleury à propos des ravages du « ressentiment » au mitan de l’Herdélie. Mais « à qui appartient ce blog, au juste » ?… et qui voudra jamais « aller consulter » comme feu Sergio en avait conçu l’horreur du conseil ?
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-20-novembre-2020

Essayons de faire une BA autour de nous, aujourd’hui… en tant qu’athées. Pour ceux qui ont un Dieu, c’est inutile, ils la font naturellement, vu que c’est leur seconde nature.

Bàv à tous.tes, 20.11.20_9.44

DHH dit: à

@bloom
J’ai vu recemment malheureusement je ne sais sur quelle chaîne (ARTE ou LCP ?) mais cela doit être facile a retrouver si on veut le voir en replay ,un excellent documentaire sur les moments historiques où de Gaulle est parti et ceux où il a failli partir ;Cela commence à Dakar et cela se termine avec l’Irlande

Jazzi dit: à

« Ai pris un pot avec Jacques il y a plus de trois ans. Suis sûre de dire qu’il n’est pas le type de Chaloux. »

Vous venez sur la RDL pour trouver un mec, rose ? Pas moi.

« J’ai de l’amitié pour Ch., tout le monde le sait jzmn, mais je ne comprends pas le sens de votre culpabilité à son égard.
Vous ne l’assumez pas vraiment ?… »

De quelle culpabilité parlez-vous, JJJ ? Soyez plus explicite si vous voulez que je vous réponde clairement et franchement.

Chaloux dit: à

La Cricri ne voit même pas l’abjection de ce qu’elle écrit sur Clopine, ni le vice et la dégradation d’esprit que révèlent ses imprécations. Il faut lui ouvrir les yeux.

Quant au pied dans le chambranle de la porte, les anciens savent parfaitement de quoi il s’agit. J’y reviendrai.

bouguereau dit: à

Vous venez sur la RDL pour trouver un mec, rose ? Pas moi

tu dis ça pasque t’as trouvé dirfilou..que térezoune te dispute!..et que cornecul c’est cornélien

bouguereau dit: à

mais mon larbin veut égorger!

Phil dit: à

Pour ceux qui ont un Dieu, c’est inutile, ils la font naturellement, vu que c’est leur seconde nature.

la BA AT-hic.

Chaloux dit: à

@Jazzi. Il faut dire que bouguereau le blaireau a raconté hier que je t’avais fait « des offres de service » (ainsi qu’à Pablo!). La pauvre vieille a sauté sur ce glaviot et l’avalé. Elle en est généralement très friande et les gobe tous,- même les plus verts. Beurk!

(Rose est folle mais je ne lui en veux pas).

bouguereau dit: à

De quelle culpabilité parlez-vous, JJJ ? Soyez plus explicite si vous voulez que je vous réponde clairement et franchement

henfin..du combat à la loyale..à ma droite lange blanc comme neige!..et à ma gauche..il manque cruellement delaporte le boureau de béthune..je suis trop sentimental qu’il dirait serdgio

Chaloux dit: à

Mais tais-toi, bouguereau le blaireau, pauvre minable. Personne n’a encore demandé de pot de chambre. Tu es un objet inutile.

Janssen J-J dit: à

1 – D’abord quelques paraboles de Jésus. Choisissez la vôtre… :
L’Ami importun · Le Bon Grain et l’Ivraie · Le Bon Samaritain · La Brebis égarée · La Dette ou le Serviteur impitoyable · Les Deux débiteurs · Les Deux fils · Les Dix vierges · La Drachme perdue · L’Économe fidèle et avisé · L’Économe infidèle · Les Enfants sur la place publique · La Femme courbée · Le Figuier · Le Figuier stérile · Le Filet · Le Fils prodigue · Le Grain de sénevé · Le Grand Souper · Guérison du fils d’un officier · L’Homme fort · L’Homme riche · Le Juge inique · La Lampe · Le Levain · Le Lis · La Maison bâtie sur le roc · Le Maître de maison · Les Noces ou les Noces du fils du roi · Les Oiseaux du ciel · Les Outres neuves · Les Ouvriers de la onzième heure · La Paille et la Poutre · La Perle · Le Pharisien et le Publicain · La Pièce à un habit · La Porte étroite · Le Retour du maître · Le Riche et Lazare · Le Sel de la Terre · La Semence · Le Semeur · Le Serviteur revenant des champs ou les Serviteurs inutiles · Les Talents · La Tour inachevée ou la Guerre imprudente du roi · Le Trésor caché · Les Vignerons infidèles · Le Vrai Cep

2° – @Jzmn, Je pensais avoir été suffisamment explicite. Je ne demandais pas forcément de réponse… Je m’étais senti interpellé par votre « Je ne comprends pas que personne ne vienne prendre la défense de Ch. »… Pourquoi aviez-vous éprouvé le besoin qu’elle ait des avocats, alors que vous veniez de vous ranger du côté d’un accusateur harceleur de la pire espèce pour vilipender son attitude à l’égard de CT ?… J’en avais juste déduit chez vous un poil de mauvaise conscience, à défaut de culpabilité. Voilà tout… Mais je veux bien reconnaitre m’être trompé.
Sachez surtout, jzmn, que je ne souhaite en rien prolonger ce genre de polémiques assommantes. Merci d’en tenir compte.
Je demeure surtout impatient de lire votre future Jeanne d’Arc. Je souhaite d’ores et déjà à votre travail un bon succès d’estime et de sympathie auprès de l’Herdélie. Nous y resterons vigilant, comme au sujet de tous vos goûts… certes dans la nature, mais avec des hauts et des bas… N’est-ce pas ?
Bàv,

bouguereau dit: à

La France, comme le Général, ne me décevra jamais

il fut un temps il parait qu’on pouvait avoir degaulle sur le gps de son suv..’je vous ai compris!..à 400m ne prenez pas à gauche..etc’

bouguereau dit: à

On n’a pas l’occasion de rire tous les jours. Merci, Maitre Pierre !

c’est dégueulasse..c’est mon larbin qui se décarcasse les valochs sou les noils et c’est lassouline fraiscomme un gardon qui capitalise..

Chaloux dit: à

Comme Gigi la visqueuse a désormais les fesses aussi rouges que sa vieille correctrice, elle insulte à distance l’air de rien. Pablo a raison, amusant comme elle quémande chaque jour sa ration de martinet!

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

Chez Drillon les (Dernière minute) sont souvent plus longues que les premières !
Bel hommage rétroactif au poète.

bouguereau dit: à

..bon c’est paltou..ventredi c’est sodomie quil dit drihihon le cul au fond dlécran

bouguereau dit: à

Non seulement le livre ne l’a pas intéressée, mais elle n’a pas condescendu à éprouver le désir de savoir ce qu’on y disait d’elle

làbas..drihihon ne veut même pas savoir le bien que tu dis de lui jicé..

bouguereau dit: à

Se blesse lui-même, s’attaque lui-même, se dédommage avec sa propre assurance

‘sa propre assurance’..dihihon a des rapports fusionnels havec son banquier..son charcutier..son fournisseur d’accés..uouyouyouye..mais je suis votre client haprés tout

Jazzi dit: à

« Je m’étais senti interpellé par votre « Je ne comprends pas que personne ne vienne prendre la défense de Ch. » »

Vous avez encore tout lu de travers, JJJ. Je n’ai jamais dit ça.
J’ai dit mon étonnement au fait que les amis de Christiane ne lui fasse pas entendre raison…

christiane dit: à

Chaloux ne voit même pas l’abjection de ce qu’il a écrit pendant des mois sur Clopine, ni le vice et la dégradation d’esprit que révèlent ses imprécations.

bouguereau dit: à

Beckett / Giacometti

le gras c’est la vie qu’il dit ubu notre pére

Jazzi dit: à

fassent pas

Jazzi dit: à

« Se blesse lui-même, s’attaque lui-même, se dédommage avec sa propre assurance »

Oui mais au final, c’est pas lui qui paye !

et alii dit: à

je ne comprends pas qu’il y ait quoi que ce soit à écrire sur Clopine ;c’est à elle d’écrire si elle le désire

bouguereau dit: à

Celui qui tire les marrons se brûle, et l’autre les mange

tout le kick du plaisir est là drihihon..se brûler..a l’inverse de la patate chaude tu les refiles jamais..

bouguereau dit: à

c’est à elle d’écrire si elle le désire

toutafé renfield..cupe toi dtes lettes carrés

Janssen J-J dit: à

@ JD / dont les pages ne sont plus coupées au-delà du premier quart

Fausse interprétation…, en réalité, cette duchesse mourut avant d’avoir fini sa lecture… Comme le père vénéré de Soleil Vert.

@ jzmn, Next !

@ JD, Finalement passionnante la personnalité de ce Jude Stefan, telle que racontée sur l’autre chaine. Quant à sa poésie, ne l’ai jamais lue, ce genre n’est pas ma respiration. Ne crois pas j’essaierai. A quoi bon ? c’est trop tard, surtout si c’est juste de l’antichardavoine pour les mulets !

bouguereau dit: à

Chienne de vie de merde. Mais qu’est-ce qui est en train de nous arriver ?

t’es un client drihihon..un roi à particul comme jjj..

bouguereau dit: à

..mais pour cqui est de poigner..a main nu..à la pince..vous rpassrez

christiane dit: à

Janssen J-J,
vous êtes subtil et bon mais vous faites face, ici, à un être vil et polymorphe qui utilise toute parole qui ne lui est pas adressée pour en faire soit une occasion de s’innocenter, soit, la déformant, de salir encore et encore les gens qu’il déteste sous différents pseudos…
Clopine est devenue sa sainte au lin blanc à défendre alors qu’il l’a humiliée pendant des mois, ici, l’enfermant dans je ne sais quel drap souillé sorti tout droit de son imagination malade et dans ce qu’il jugeait être la bêtise incarnée.
Jazzi, vous avez raison, il n’est pas très clair…, contradictoire, rêvant d’une utopique innocence.
Quant à Clopine, la rage d’écrire et d’être enfin reconnue par son écriture a été et est toujours sa priorité quels que soient les moyens qu’elle emploie pour cela… Les anecdotes de sa vie privée qui ont saturé ce blog l’ont présentée, tour à tour, mère et conjointe ravie, championne de cuisine, reine de la caméra (Ah, les abeilles et les agneaux…), clone de Proust, féal puis ennemie d’Onfray, jardinière, cueilleuse de pommes, maitresse d’un chien fou fou, et d’un âne romantique, puis don Quichotte dans un Paris pollué, ami des SDF, de passage, exaspérée dans les hôpitaux, célibataire, élève du 3e âge de l’université de Rouen… C’est une réinvention du conte des mille et une nuits qui se rêve d’être la reine sans partage de ce blog… et qui aime pour cela la férocité ou le miel…

Très bel inventaire des paraboles.

Janssen J-J dit: à

Voici un argument (a fact) que je partage intimement avec Ch., au sujet de CT ou de rôz : « Nous n’avons qu’une version des faits ».
Et personnellement, je m’en accommode ou pas.
Ce que je pense par ailleurs de la personnalité de Ch. n’entre pas en ligne de compte. POINT BARRE. Je sors.

Chaloux dit: à

christiane dit: à
Chaloux ne voit même pas l’abjection de ce qu’il a écrit pendant des mois sur Clopine, ni le vice et la dégradation d’esprit que révèlent ses imprécations.

La pauvre Cricri qui n’a visiblement déjà plus assez de tête pour écrire une phrase à elle (qu’est-ce que ce sera dans deux jours?), ne sait pas ce que sont des imprécations.
Ils sont deux ici à en avoir usé: elle-même (et nous en avons de toutes fraîches sous les yeux), cette pauvre folle qui ne peut même plus se regarder en face tellement le spectacle est hideux. Et Gigi la visqueuse, qui ne pouvait pas faire autre chose que de souhaiter systématiquement la mort de qui lui déplaisait, notamment d’un internaute notoirement atteint d’un cancer avancé, ce qui révélait une rare noblesse d’esprit. C’est même la raison pour laquelle j’ai attaqué de front ce punais, trouvant son procédé insupportable. Tout cela très facile à retrouver. Cette limace baveuse peut maintenant citer Jésus.

Chaloux dit: à

Il ne faudrait tout de même pas perdre de vue que le problème, c’est ça, une vieille folle complètement abrutie qui se met à jeter des sorts:

christiane dit: à
« Christiane à Clopine : Je n’oublie rien de votre méchanceté gratuite. Je ne vous pardonnerai jamais et je souhaite que la vie vous rende l’équivalent bien pesé. »

et alii dit: à

l’imprécateur, le vrai que je connais, il faut voir:
l’imprécateur Thomas Bernhard.

Jazzi dit: à

« Nous n’avons qu’une version des faits »

Raison pour laquelle je n’ai jamais porté de jugement sur Clopin ou le frère et la soeur de rose, JJJ.

« Ce que je pense par ailleurs de la personnalité de Ch. n’entre pas en ligne de compte. POINT BARRE. Je sors. »

Chaque fois que vous avez porté un jugement fautif me concernant et que je vous en ai demandé les preuves, vous vous débinez. Courage, fuyons !

Bloom dit: à

Je vais aller y voir, DHH, merci.
Ci-dessous le lien vers la bande annonce d’un documentaire irlandais diffusé le mois dernier, qui contient un parallèle intéressant entre les situations historiques de de Valera et de de Gaulle (à eux deux, que de ‘de’…!), de même qu’une anecdote rigolote sur la façon dont les propriétaires du Heron Cove ont dû fabriquer en urgence un lit à sa grande taille.
Le ‘teaser’ est bilingue, avec des parties en irlandais sous-titrées en anglais. Enjoy!

https://www.youtube.com/watch?v=H7qFxXKDAtA

renato dit: à

« … je souhaite que la vie vous rende l’équivalent bien pesé. »

Archaïque ! Cela bien à part, car l’évolution ne s’achète pas, en cette simple proposition il y a la preuve que lire, voir des expos et ainsi de suite, ne sert à rien si le lecteur ou le spectateur n’est pas civilisé.

renato dit: à

« l’imprécateur, le vrai… » ?!

Dante.

Jazzi dit: à

« Jazzi, vous avez raison, il n’est pas très clair…, contradictoire, rêvant d’une utopique innocence. »

La belle affaire, l’horrible crime !
Venant d’une sombre garce qui cache son jeu sous des paroles mielleuses et flatteuses, dois-je le prendre comme un compliment ?

Raymond Prunier dit: à

DHH: merci pour « autant pour moi » et autres expressions… il existe peut-être un lexique de ces curiosités qui visitent notre langue.

rose: infinie reconnaissance pour la table ronde. Bravo!

renato dit: à

« Mais qu’est-ce qui est en train de nous arriver ? »

La banalité d’un réel possible — et le prochain ce sera pire —.

Chaloux dit: à

Je n’ai aucun autre pseudo. La Cricri veut faire croire que je suis seul à la trouver immonde sous diverses identités. Mais non…

Chantal dit: à

C’est le moment de ressusciter PMB lol.

et alii dit: à

le problème, c’est que ce jeu de juger l’autre sur ce blog est inepte;
une chose, ce dont l’autre « parle » , le rôle qu’il endosse, une autre sa personne avec son patronyme

puck dit: à

moi je hais le dénigrement de tout ce qui n’est pas moi ki dirè greubou

puck dit: à

Mézalor si ce monde n’a ocun cense, ki nhou empêche den trouvèrun kèle dirait Alicia.

puck dit: à

anvého : But, said Alice, if the world has absolutely no sense, who’s stopping us from inventing one?

puck dit: à

adesso… ma poi, se questo mondo non ha assolutamente senso, il che ci impedisce di trovarne uno ? qui dirait E. de Luca.

Chantal dit: à

j’aimais beaucoup PMB, un brave grand – père qui corrigeait gentiment et discrètement les billets de passou, nous n’avons plus droit ici qu’à des enragés qui plagient leurs lectures, on se croirait dans les entrées de roues d’un vaudeville.

Alexia Neuhoff dit: à

« Pour cela, il faut dépasser la peine, la colère, le deuil, le renoncement et, de façon plus exemplaire le ressentiment, cette amertume qui peut avoir notre peau alors même que nous pourrions découvrir son goût subtil et libérateur. »
Cynthia Fleury
(Ci-gît l’amer. Guérir du ressentiment, Paris, Gallimard, coll. « Blanche », 2020 – 336 p)

puck dit: à

mas então, se este mundo não faz absolutamente nenhum sentido, o que nos impede de abrir um ? qui dirait Pessoa.

puck dit: à

aber dann, wenn diese Welt absolut keinen Sinn ergibt, was uns daran hindert, eine zu finden ? qui dirait Oderline.

Jazzi dit: à

« Archaïque ! »

Et cela n’est que la conséquence du « Je ne vous pardonnerai jamais », renato.

Qui a pu croire un seul instant que Christiane ne reviendrait pas ici cracher son venin ? L’innocente rose, peut-être ?

Marie Sasseur dit: à

Hey hey, there’s another Mrs Robinson

« Jerry Hall will reprise her role as seductress Mrs Robinson for the very last time in the Sydney season of The Graduate. Having previously played in this iconic piece of American culture in the West End, Toronto, Broadway, North America, Perth and Melbourne, Jerry Hall will make her way to Sydney next year. The production will play a strictly limited season from December 2nd 2016 at Sydney Lyric Theatre. »

Marie Sasseur dit: à

What about the Webbs.

« In 1999 they moved to England, where they found “the distance to express the anti-Americanism we’ve always felt”. They settled on the East Sussex coast.

Unfortunately their arrival coincided with a high-profile West End production of The Graduate starring Kathleen Turner and, subsequently, Jerry Hall. Interviewed in their one-bedroom flat, the pony-tailed Webb declared he “couldn’t care less” that Jerry Hall was making more money in a single week than he had earned from his story in his lifetime. »

https://www.smh.com.au/national/author-of-the-graduate-shunned-fame-and-wealth-20200630-p557m5.html

Chaloux dit: à

Chantal dit: à
nous n’avons plus droit ici qu’à des enragés qui plagient leurs lectures.

Belle revanche sur le destin du plus médiocre prosateur belge de tout l’histoire de la littérature. (En cours de recyclage).

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

Gosh, fail better.
Hey hey, there’s another Mrs Robinson: Mrs Murdoch.

Jazzi dit: à

« C’est le moment de ressusciter PMB lol. »

Il y a bien longtemps de cela, Chantal, j’avais reçu un long mail privé de PMB où il me disait sa détestation de Christiane et de ses manières intrusives. Il sollicitait mon soutient contre elle. J’avais trouvé cela excessif et ce procédé d’exclusion inélégant et ne lui avais pas répondu.
Après sa mort, quel ne fut pas mon étonnement un jour, à l’occasion d’un conflit entre Christiane et moi, de voir celle-ci, à défaut d’arguments, faire parler, à ma charge et d’outre-tombe, MàC et PMB !
C’est là que je me suis dit que cette femme était fondamentalement méchante…
Il ne me reste plus qu’à l’ignorer.

Jazzi dit: à

Rien en espéranto, puck ?

renato dit: à

« adesso… ma poi, se questo mondo non ha assolutamente senso, il che ci impedisce di trovarne uno ? »

Il mondo ha il senso que ognuno gli da. Se non hai saputo dare senso alla tua vita non troverai un senso possibile del mondo.

B dit: à

AN, c’est quoi le contexte de la citation sur le ressentiment, je ne saisis pas dans quel but il faut le dépasser, en guérir au besoin puisque vous avez extrait la phrase qui ne dit plus ce qui est  » cela » et donc pour rejoindre quel état d’esprit. ( ça vous va bien de citer cela vous qui en êtes la proie, auriez vous guéri?)

ce bl9g à quelques exceptions est un sac de crabes et de serpents. Belle hypocrisie, on s’y moque des mots à longueur de journée en s’en drapant.Tenue de camouflage dérisoire.

Chaloux dit: à

On peut discuter, même très âprement, jusqu’aux limites du langage, ce qui est dit ici, mais on ne peut pas souhaiter à qui que ce soit, le malheur, la maladie ou la mort. c’est insupportable.

Excellent papier de Jacques Drillon sur Jude Stefan. Un texte racé.

Oui, faire c’est chier. C’était exactement le programme de Fillon, faire sur la France, comme l’indiquait clairement le titre de son livre. Aujourd’hui, c’est un autre qui fait sur nous. Le mal en devient si patent qu’il s’en tirera difficilement, ainsi que ses complices. Au pilori. Curieux pays où ne peut plus même acheter une paire de chaussures mais où les tabacs restent ouverts. Il nous manque un Voltaire.

Jazzi dit: à

Heureux de voir que vous allez mieux, et alii. La lecture au fond de votre lit des Bidochons serait-elle plus efficace que celle des erdéliens ?

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