de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
L’affaire Vaudoyer : une comédie très française

L’affaire Vaudoyer : une comédie très française

Qui l’eut dit et qui l’eut cru : une « affaire Vaudoyer » en 2013 ? Elle agit symboliquement comme une piqure de rappel : s’il est vrai que les qualificatifs de « négationniste » et de « pédophile » sont les plus efficaces pour détruire une réputation, lorsque c’est à titre posthume, « collabo » fait encore des ravages. L’affaire remonte à mai 2012 mais n’a vraiment éclaté que ces jours-ci. A cette date, six unités de soins étaient inaugurées au nouvel hôpital de Clamart, non sans avoir été auparavant baptisées avec des noms du monde de la culture : Dora Maar, Auguste Rodin, Anna Marly, Pierre-Jean de Béranger, Fernand Léger et Jean-Louis Vaudoyer. En pareil cas, il est de tradition de choisir des personnalités liées au département ou à son histoire. Pas vraiment le cas de la plupart de celles-ci, assez étrangères aux Hauts-de-Seine à l’exception de la dernière d’entre elles native du Plessis-Piquet (actuel Plessis-Robinson). Or c’est justement cette personnalité qui pose problème car Jean-Louis Vaudoyer (1883-1963) a accepté de diriger la Comédie-Française de 1941 à 1944, poussé par des sociétaires et par son ami Jean Giraudoux.

Le syndicat Sud-Santé du groupe hospitalier Paul-Guiraud, à Villejuif (Val-de-Marne) a cru levé un lièvre en dénonçant son passé sous la botte, et en reprochant à la direction de l’hôpital d’avoir choisi Vaudoyer sans en référer à quiconque. Au lieu de se résigner sous la pression et la crainte du scandale, la direction du nouvel hôpital de Clamart a tenu bon, se retranchant derrière le fait qu’elle s’était renseignée à l’époque en consultant sa fiche Wikipédia et que celle-ci n’indiquait rien de répréhensible. Il est vrai qu’il y a un an, elle était extrêmement succincte, ce qui n’a rien d’étonnant eu égard à l’importance du personnage ; mais étrangement, à la suite de l’affaire, elle a gonflé de volume en des proportions grotesques : des pages entières où sont consignées toutes ses publications, le moindre de ses articles, plus de 300 notes… On n’imaginait pas qu’un vaudoyerologue attendait, tapi dans l’ombre de son ordinateur, que l’encyclopédie en ligne accueille enfin cette pluie de références ! C’est peu dire qu’elles sont orientées tant l’amalgame y est systématique (trop fastidieux d’en faire l’analyse détaillée) ; quant au légendaire principe de neutralité de Wikipédia, il suffit de constater que Paul Claudel y est présenté sans guillemets comme un « pantin » pour se faire une idée. Mais pour les anti-Vaudoyer hospitaliers, il suffit que François Mauriac ait fait campagne contre l’entrée de Jean-Louis Vaudoyer à l’Académie française en 1950 en raison de « son passé collabo » pour le discréditer. Or un an après, l’écrivain faisait amende honorable et s’excusait de son erreur auprès du nouvel élu. Il en faudrait davantage pour désarmer les anti-Vaudoyer de 2013. Ainsi le docteur Bernard Lachaux, président de la Commission médicale d’établissement, hostile à la direction dans cette affaire, qui a déclaré sans rire à Rue89 :

 « Si quelqu’un dont ça choque les croyances et les convictions est hospitalisé dans cette unité, c’est inacceptable ! Il y a tout de même eu 40 000 malades mentaux morts de faim entre 1939 et 1945 ! De faim ! Je ne veux pas faire le procès de Jean-Louis Vaudoyer mais il me paraît difficile d’en faire une figure emblématique dans une unité de soins psychiatriques. »

Si l’on devait élever l’amalgame au rang d’un des Beaux-Arts, nul doute que le Docteur Lachaux serait médaillé. Mais au fait, qu’a vraiment fait l’accusé à son poste d’administrateur du Français, où il succéda à Jacques Copeau ? J’ai posé la question à « la » spécialiste du sujet, Marie-Agnès Joubert, auteur d’une synthèse rigoureuse, complète et informée sur La Comédie-Française sous l’Occupation (444 pages, Tallandier, 1998) dont on s’étonne qu’elle n’ait été jamais reprise en livre de poche :

Alors,  « collabo », Vaudoyer ?

« Attentiste » est peut-être l’expression qui convient pour qualifier son attitude. Contrairement à plusieurs artistes ou auteurs dramatiques, il n’adhéra pas à la section dramatique du Groupe Collaboration, ni à un parti politique, et il ne s’engagea pas non plus dans la Résistance même s’il ne put ignorer les mouvements qui se développaient au sein de la Maison et sur lesquels il ferma les yeux. Sur la mise à la retraite de plusieurs sociétaires, il n’eut pas son mot à dire, et les sociétaires pas plus d’ailleurs

Et sur le plan artistique ?

Il faut lui reconnaître la volonté de s’inscrire dans la continuité de la ligne artistique impulsée par Edouard Bourdet, sur le plan de la mise en scène principalement (en confiant à Barrault celle du Soulier de satin, en permettant à des sociétaires de réaliser des mises en scène…) et dans l’inscription au répertoire d’auteurs tels que Claudel, Cocteau et Montherlant (auquel il permis d’être enfin reconnu comme auteur dramatique). On lui doit aussi l’engagement de Raimu, qui n’avait pas vraiment le profil d’un pensionnaire de la Comédie-Française.

A-t-il bénéficié d’un soutien financier important de la part de Vichy ?

La subvention a certes fait un bond spectaculaire sous son mandat, mais cela ne s’est pas traduit par une emprise sur le plan du répertoire, par exemple. Vis-à-vis des Allemands, contrairement à ce que dit Jean-Pierre Azéma, la venue du Schiller Theater ne lui incomba pas (la décision fut prise en novembre 1940, sous le mandat de Copeau, et le Schiller Theater vint en février 1941). Il accueillit en revanche le Théâtre de Munich au printemps 1942, à la demande des Allemands. Le point le plus important concerne l’inscription au répertoire d’une pièce d’un auteur allemand contemporain (Gerhart Hauptmann). C’est le signe sans doute le plus marquant d’une emprise des Allemands sur la Comédie-Française, mais celui qui illustre aussi le mieux, à mon sens, les efforts faits par Vaudoyer (qui refusa en outre que la Troupe effectue une tournée en Allemagne) pour contenir cette emprise. Dans les rapports d’activité de la Propaganda-Abteilung, on voit bien comment Vaudoyer (ce qui provoqua l’irritation des Allemands) fit traîner les choses plusieurs mois durant, adoptant plusieurs stratégies de contournement (il prétexta le manque de traductions de la pièce, puis fit valoir qu’il choisirait une autre pièce qu’Iphigénie, et enfin, pour tenter d’amoindrir l’impact de la représentation, décida de l’inclure dans une cycle Iphigénie). Aussi et surtout, il demanda des « compensations », comme la libération de plusieurs membres du personnel détenus en Allemagne et le fait que des comédiens puissent être exemptés du STO.

Quel fut son sort à la Libération ?

Il avait démissionné dès mars 1944 sous la pression d’Abel Bonnard, et visiblement épuisé par la tâche. A la Libération, curieusement,  il ne comparut pas devant la Commission d’épuration de la Comédie-Française, si ce n’est comme témoin. Pierre Dux, résistant gaulliste et alors administrateur à titre provisoire, ne fit rien contre lui. Si en tant que sociétaire particulièrement actif, Pierre Dux avait constaté durant trois ans des actes de collaboration manifestes posés par Vaudoyer, pourquoi ne l’a-t-il pas fait comparaitre devant la Commission ? Julien Bertheau (résistant communiste), que j’ai interrogé en 1992, ne m’a jamais parlé en termes négatifs de Vaudoyer. Il fallut attendre la candidature de Vaudoyer à l’Académie et les attaques de Mauriac pour que son mandat soit examiné, de façon partiale. Un jury d’honneur fut alors constitué et dans sa décision rendue le 17 juin 1946, il a abouti à ce double constat : non seulement Jean-Louis Vaudoyer ne pouvait être regardé comme une personne ayant de près ou de loin collaboré avec l’ennemi, mais il n’avait commis aucune faute contre l’honneur.

Qu’en concluez-vous ?

A l’issue de cinq années de recherches effectuées auprès de nombreuses sources (dont les archives françaises et allemandes), j’en conclue que Jean-Louis Vaudoyer a fait ce qu’il pouvait pour préserver la Comédie-Française de l’emprise de Vichy et des Allemands. Rappelons qu’il était à la tête du premier théâtre national situé en zone occupée, et subventionné par un régime autoritaire. N’oublions pas non plus que les Français fréquentaient beaucoup les salles de spectacles, et la Comédie-Française en particulier. Pour Julien Bertheau, il était important de continuer à jouer, pour les Français. Vaudoyer n’est cependant pas exempt de reproches (inviter par exemple Robert Brasillach à diriger une matinée poétique sur Corneille, même en prétextant l’inviter en tant que spécialiste de cet auteur, est pour le moins « maladroit » !). Mais lorsque l’on dirige la Comédie-Française, comment éviter de « dialoguer » avec l’Etat, et entre 1941 et 1944 avec les organes (culturels ou non) de la puissance occupante (Copeau dut bien le faire avant Vaudoyer) ? A mon sens, Vaudoyer a sans doute commis des maladresses, mais n’a pas franchi la ligne des obligations officielles ou relatives à l’exercice de sa fonction. A titre plus personnel sur l’affaire, je déplore le contenu d’une fiche Wikipédia qui use de raccourcis et me semble assez infamante dans certaines expressions, telles que « Vaudoyer collaborateur d’Abetz dans l’aryanisation culturelle ».

Outre tout ce qu’elle révèle du fonctionnement du théâtre sous l’Occupation, l’affaire Vaudoyer vaut par le reflet qu’elle renvoie d’un certain état d’esprit,  et par ce qu’elle dit de la société d’aujourd’hui. Le cas n’est pas isolé. Le phénomène est même récurrent : sous la présidence de François Mitterrand, un collège connut des problèmes lorsqu’il voulut se faire baptiser du nom de Jacques Chardonne, l’un de ses écrivains de chevet pourtant ; en 2004, pour les mêmes raisons, des conseillers régionaux socialistes de Poitou-Charentes firent débaptiser les deux salles de l’Hôtel de région auxquelles son nom avait été donné en 1986. Sans même parler de l’eugéniste Alexis Carrel : la faculté de médecine de l’Université Lyon-I-Alexis-Carrel fut rebaptisée en 1996 R.T.H. Laennec et plusieurs noms de rues de municipalités portant le nom du biologiste furent débaptisées. Plus récemment encore, lorsqu’il fut question de baptiser une rue de Paris du nom d’un grand éditeur, il y eut au départ du dossier des obstacles au motif que… n’est-ce pas… sous l’Occupation… son comportement… son attitude… cela risquerait… des remous…. Là comme ailleurs, l’insinuation pire que l’accusation.

(« A la Comédie-Française, dans l’antichambre de l’Administrateur » photo Passou ; « Jean-Louis Vaudoyer en 1928 » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Théâtre.

949

commentaires

949 Réponses pour L’affaire Vaudoyer : une comédie très française

W dit: à

son oud?pardon

cet homme est-il fou ? dit: à

Depuis ça vivote à la petite semaine. Mais rien d’important vraiment. Rien qui vous chamboule la cervelle pour longtemps.(ML)

venant d’un homme qui disait, il n’y a pas si longtemps, qu’il n’allait presque jamais au théâtre, c’est troubant.

La mauvaise langue dit: à

Ouais, bof (comme disait mon brave pater) ! Ça fait pas le poids tout ce beau monde par rapport à un Beckett !

Poutre du voisin dit: à

TKT dit: 22 février 2013 à 19 h 09 min

Burne de chez burne.
Toujours plus fort le TKT (pour ne pas dire le Kron, c’est interdit)

Zêtes malade l’helvète, comme vous le suggériez à ML, une petite analyse ne pourrait pas vous faire du mal.
Vous souhaitez des adresses ?

La mauvaise langue dit: à

J’ai jamais dit ça. Je vais au contraire au théâtre assez souvent, disons une ou deux fois par an ou à l’opéra. La dernière fois c’était à Odessa, à l’opéra d’Odessa où j’ai vu Le Lac des cygnes, c’était pour moi une émeute de signes…

La mauvaise langue dit: à

En novembre dernier ! Nah !

La mauvaise langue dit: à

La poutre va analyser le Tkt, et moi je vais me faire analyser par Tkt. Je me demande dans quel état je vais en ressortir… Je peux déjà me flinguer, ça fera des économies de temps…et de divan…

Paille dit: à

« Je ne peux pas être persécuté par un inférieur, inférieur en tout. »
Thierry Kron

Le coquelet sur fumier au sommet (50cm) de son art

La mauvaise langue dit: à

Ouais, comme si Freud n’avait pas été persécuté par ce trou du cul d’Himmler, en tout, absolument tout inférieur à Freud.

renato dit: à

Il y a de bon que la logique n’est plus ce qu’elle était.

Le Mimi pour tous dit: à

La mauvaise langue dit: 22 février 2013 à 19 h 26 min
Comme Rue89, des connards, et en plus des connards antisionistes.

Traduisons le mauvaiselanguisme :

« sont antisionistes donc sont des connards »

renato dit: à

Full of sound and fury.

Sincère dit: à

« Pourquoi ce mépris, ce soudain refus du dialogue »
polder

Mes dieux savent que je vénère polder depuis des annèes, mais là quand même,

« soudain » !

Vous ne poussez pas le bouchon un peu loin ?

polder dit: à

« soudain » ! « Vous ne poussez pas le bouchon un peu loin ? »
Non. Je parlais dans le contexte du fil de commentaires, de la discussion en cours. ça m’a paru abrupt.

Jacques Barozzi dit: à

Heureusement que renato assure de courts entractes, des temps de respiration, mais ML est toujours bouché à l’émeri, quelqu’un aurait-il le bon tire-bouchon, svp ?

renato dit: à

« Voici, je vais faire venir sur ce lieu un malheur, qui étourdira les oreilles de quiconque en entendra parler. »
(Jér. 19, 3)

Geai dit: à

Tiens, renato se lamente. Mais de quoi donc ?
Tout va pour le mieux dans à peu près tous les domaines.

Geai dit: à

Quelque chose t’affliges, papa ?

Geai dit: à

T’afflige.

W dit: à

Polder vous confondez Etretat saint-Valéry-en Caux et la plaine des Flandres,méfiez-vous un accident est si vite arrivé

renato dit: à

Ah ! nous ens sommes à la separation du referent !

presson la grappe dit: à

« le bon tire-bouchon, svp ? »

Voyez Marcela…

la grappe dit: à

on dit, pressons!

W dit: à

Geai vous devez confondre, c’est je crois l’age de DHH s.arthaud à peu de choses près.

hamlet dit: à

Monsieur Assouline je sais pas si vous êtes au courant mais il parait qu’il va même sortir prochainement un livre sur Goebbels que certains soupçonneraient d’avoir eu une attitude pas très très nette pendant la guerre.

robert dit: à

Affaire bien française vue de Belgique… 🙂
Pour ce qui est des reproches faits à Wikipédia, je renvoie à l’article de présentation qui se trouve toujours en page d’accueil. Chacun est libre d’apporter sa pierre à l’édifice, et de corriger telle ou telle partie d’un article, d’étayer, d’améliorer…

hamlet dit: à

j’ai écouté ce matin une émission sur un type, Philippe Moreau Defarges, qui vient d’écrire une « histoire du monde pour les nuls » dans laquelle il passe en revue toute l’histoire du monde du début à aujourd’hui.

quand le journaliste lui a dit : « c’est curieux alors que vous parlez de toutes les exterminations vous ne parlez pas de l’extermination des juifs et des tziganes par les nazis dans votre livre ».

le type a répondu « oui c’est vrai, j’en suis désolé ce n’était pas voulu c’est juste un oubli de ma part ».

je pense qu’il était sincère, comment lui en vouloir, il a juste oublié, les meilleurs cuisiniers peuvent oublier de mettre de la crème fraiche dans une blanquette de veau, les meilleurs historiens peuvent aussi oublier des trucs.

on se dit heureusement qu’il n’est pas cuisinier, il n’aurait jamais eu un étoile au guide michelin, car autant il existe des professions, comme par exemple pilote de ligne ou un oubli du genre oublier de sortir le train atterrissage, ne pardonne pas, on peut se faire lourder, autant dans les sciences humaines les oublis n’ont jamais fait lourder personne.

Kronenbourg, patient sous pression dit: à

Vous souhaitez des adresses ?

Seulement un peu de dextérité.

W dit: à

Rien sur Robert …

renato dit: à

Je fais tous mes compliments, sur le réseau c’est tout ce qu’on peut faire, à celui qui répond, même sans argumenter, à cette question : « Quelle est la relation entre Bosch et Kafka ? »

Encyclique pour tous dit: à

Robert, mon Robert, comme je t’aime.
Etayons les cons, améliorons les jesaistout, corrigeons encyclocyclistes, la vie sera belle belle sous wikiki

hamlet dit: à

c’est comme ce Veaudoyer.

la guerre s’est finie en 45, il y a 2013 moins 1945 ans : ça fait combien ? 3 moins 5 ça fait 8, je retiens 1, 1 moins 4 plus 1 ça fait 6…

j’en sais rien combien ça fait, un peu moins de 70 ans.

on découvre ce type qui a laissé mourir 40000 personnes au bout de 70 ans ?

franchement c’est pas sérieux.
vous savez combien coutent à l’état la ribambelle d’historiens ?

disons 50 000 historiens et profs d’histoire.

à 50 000 euros annuels charges et csg comprises.

ce qui fait un total de 2 milliards et demi d’euros !!!

je me permets de poser une question : 2 milliards et demi d’euros pour payer des types qui mettent 70 ans pour découvrir un type qui a tué 40 mille personnes est-ce que c’est de l’argent bien placé ?

j’en sais rien, peut-être que oui.
le problème est qu’avec 2 millards et demi d’euros nous pourrions embaucher des infirmières ce qui sauverait au bas mot 40 mille personnes par an dans les hôpitaux.

dépenser 2 milliards et demi d’euros pour payer des types qui mettent 70 ans pour retrouver un meurtrier de 40 mille sachant qu’en plus ça donne 40 mille personnes non sauvés, ça 40 mille + 40 mille = 4 et 4 8, 0 et 0 0 = 0…
ça fait au total 80 mille personnes : les 40 mille de la guerre plus les 40 mille d’aujourd’hui.

je ne suis pas à la cour des comptes mais il me semble que nous avons au vue de ces chiffres au regard de la réalité qu’elle cache, comme dirait un problème.

hamlet dit: à

un écrivain a écrit un petit dialogue entre 2 personnages :
– dans l’histoire du monde il ne se produit pas d’évènements déraisonnables
– ne s’en produit-il pas des milliers dans le monde chaque jour ?
– dans le monde oui ! mais dans l’histoire du monde jamais.

sûr que c’est pas un écrivain du genre Mathias Enard qui a écrit ça.

hamlet dit: à

un écrivain a écrit : « concernant l’historicité, chaque individu est en droit de se demander s’il se trouve au début, au milieu, ou à la fin d’une époque. »

renato dit: à

Il y a plus élegant : quelle époque n’est pas de transition ?

hamlet dit: à

il est tout à fait vrai que le fait de débaptiser et rebaptiser des rues à tout de bras pose un énorme problème pour les résidents.

prenez par exemple une famille qui a habité durant de nombreuses années à Lyon au 43bis de la rue Alexis Carrel.
Le facteur qui, travaillant dans ce quartier durant de nombreuses années, connaissait bien cette rue, bien située, dans un quartier plutôt calme, a vu son nom changé par la rue Gregory Coupet, du nom de ce gardien de but de l’olympique lyonnais qui, reconnaissons-le, sauva son équipe et donna à cette ville quelques raison de fierté surtout après avoir arrêter un penalty en quart de finale de la ligue des champions face au Manchester United de Sir Alex Ferguson, barra ainsi la route des anglais bien mieux que ne le fit Alexis Carrel qui n’étant pas gardien de but ne su pas contenir l’armée anglaise qui envahit la France en 44, et bien ce facteur que je connais très bien a complètement été déboussolé.

Les facteurs sont les premières victimes de cette histoire de France qui va et vient selon les époques.

hamlet dit: à

en plus les gens n’arrivent pas suivre : il y a peu de temps encore, un individu m’arrête pour me demander où se trouve la rue Alexis Carrel.
il avait, il est vrai, un air assez louche.

hamlet dit: à

d’autant que vous prenez un toubib sorti ayant fini ses études en 1994 : sur son diplôme il est noté : diplômé de l’université Alexis Carrel.
ils ont changé le nom de l’université mais ils ont gardé le nom sur les diplômes!
tous ces médecins sont bien moins bons, avec leur diplôme dévalorisé.

TKT dit: à

Vous ramenez tout à la Shoah, Mauvaise Langue, et c’est moi qui en ferait une fixation ? Comme en France, les assurances maladies ne remboursent pas les psychanalyses, vous êtes fichu. Pas assez fou, pour l’instant, pour finir dans un hôpital psychiatrique. Bon, peu importe, vous n’avez pas d’enfants à charge.

hamlet dit: à

ils ont changé le nom de la fac de médecine : ils ont remplacé Carrel par Laennec.
Laennec était breton.
Carrel était lyonnais.
si on jour les historiens nous apprennent des trucs glauques sur Laennec au moins les lyonnais auront toujours cette consolation de se dire qu’il était breton.
d’autant que la vie de Laennec n’est pas très claire.
il dit avoir inventé le stéthoscope mais ça reste encore à prouver.
même politiquement il n’était pas clair, en plus il était hyper catho et un catho qui invente le stéthoscope c’est tout sauf clair.

Distribution des billets dit: à

Zêtes malade l’helvète, comme vous le suggériez à ML, une petite analyse ne pourrait pas vous faire du mal.
Vous souhaitez des adresses ?

C’est sûr que tu dois en avoir des adresse vu que t’as encore besoin de consulter, ma crotte!

Mort aux cons! dit: à

Les facteurs sont les premières victimes de cette histoire de France qui va et vient selon les époques.

ça doit être pour ça qui se sont tous flingués à Télécom. trop c’est trop!

Code & Michet, Cie dit: à

un catho qui invente le stéthoscope c’est tout sauf clair.

f’rait mieux de se le mettre dans le cul!

Le boulier, frères dit: à

je ne suis pas à la cour des comptes mais il me semble que nous avons au vue de ces chiffres au regard de la réalité qu’elle cache, comme dirait un problème.

au « vu », Ducon de la cour des cons.

La mauvaise langue dit: à

Tkt, quand est-ce que vous rendrez compte des énormités que vous pouvez pondre ? C’est bien vous qui aurait besoin d’un psychiatre, mon pauvre Tkt. Vous faites pitié, je vous assure. Mais je crains que pour vous il n’existe aucun soin curatif possible. Ça s’appelle une buse…

Doc Gynéco dit: à

tous ces médecins sont bien moins bons, avec leur diplôme dévalorisé.

le doc, le bon, c’est celui qui te met le doigt dans le cul pour te dire que t’as une laryngite stridulante-ouille ma mère!

La mauvaise langue dit: à

On attend la Duras au coin du massacre alors…

Antonin dit: à

Les fous, ça sert à rien.

La mauvaise langue dit: à

En tout cas, je suis content que Michael Edwards soit de nos académiciens. Voilà un savant et un poète attachant. Je termine son bouquin sur l’émerveillement. Un émerveillement, ce bouquin !

———

S’émerveiller c’est pour savoir :
les ombres,
le puits où brûlent tes rêves,
tes mains de cendre qui incendient le jour.
Loin de toi, je ne m’émerveille pas
du vermillon sauvage
de la clématite
dans son festin de neige.
Le temps dévasté qui noue
sépare,
il m’a rendu aveugle.

La mauvaise langue dit: à

Je ne voudrais pas laisser croire que ce poème soit de Michael Edwards, il est simplement de moi…

Daphnée dit: à

« Argentin brasier, braise creusée
Avec la musique de son intime force
Braise évidée, délivrée, écorce
Occupée à livrer ses mondes.

Recherche épuisante du moi
Pénétration qui se dépasse
Ah ! joindre le bûcher de glace
Avec l’esprit qui le pensa.

La vieille poursuite insondable
En jouissance s’extravase
Sensualités sensibles, extase
Aux cristaux chantants véritables.

Ô musique d’encre, musique
Musique des charbons enterrés
Douce, pensante qui nous délivre
Avec ses phosphores secrets.  »

A. Artaud

La mauvaise langue dit: à

Deux autres :

Seul,
sur le fil ténu de la brèche,
par où il est
entré,
sur le fil du siècle,
il porte un cri en lui
à une hauteur démesurée
dans l’éclat
de ton œil
vide.

*

Ses mains qui nagent, bleues,
dans l’ombre du temps,
dans le creuset de feu
que fut sa vie,
éteint,
s’effilochent au fil des rêves
et tout devient soir,
crépuscule entre chien et loup
dans la nuit charnelle,
avec tous les oiseaux qui tremblent.

La perle de la soirée dit: à

La mauvaise langue dit: 22 février 2013 à 19 h 51 min
Je vais au contraire au théâtre assez souvent, disons une ou deux fois par an.

Si en plus vous lisez un livre tous les cinq mois, gare au surmenage.

La mauvaise langue dit: à

« Recherche épuisante du moi »

C’est le cœur même de toute la vie d’Artaud.

Il nous parle d’une étrange naissance impossible, parce qu’elle a déjà eu lieu. C’est un poème tout à fait bouleversant. Oui. Merci Daaphnée de nous l’offrir.

Lares dit: à

Vers de lycéen.

La mauvaise langue dit: à

On ne va pas se surmener au théâtre quand même… Il est drôle lui ! Le surmenage (et la fatigue), c’est mon boulot de prof, eh, patate !

Daaphnée dit: à

« gare au surmenage »

Pas nécessairement, parfois la juste réplique suffit à dire le nécessaire ..

« Quand elle fut sortie, Frédéric ouvrit sa fenêtre. Mme Arnoux, sur le trottoir, fit signe d’avancer à un fiacre qui passait. Elle monta dedans. La voiture disparut.

Et ce fut tout.  »

Gustave Flaubert – L’Éducation sentimentale

Les vignes pourpre dit: à

Dans leur concision même, les vers de LML dépassent, dans leur intensité concentrée ceux d’ Artaud. On attend ceux de tkt, lyriques et chinois dans leur douleur.

rbd dit: à

Mauvaise Langue, je vous avais répondu, mais le post n’est pas passé (sans doute avais-je été censuré sous mon précédent pseudo, j’ai oublié, peu importe).

Vous ne pouvez pas dire à la fois que vous allez assez souvent au théâtre et que vous n’y allez que 2 fois par an. Enfin, c’est ridicule.
De même, vous ne pouvez pas accuser quelqu’un de rien connaître à un pays (l’Espagne, voir plus haut) tout en avouant que vous n’y connaissez rien non plus.
Un peu de rigueur, s’il vous plaît.

La mauvaise langue dit: à

« Je vais mourir, dit-elle, — c’est absurde ».
Et elle fait un grand geste de la main,
du ventre jusqu’à la tête :
« C’est encore bon tout ça ! »
Puis elle se tourne
du côté de la fenêtre
de la chambre d’hôpital,
son corps se fissure et aspire,
quelle lumière ?

La mauvaise langue dit: à

Comme dit l’autre, vous ne voyez pas quand je tourne en dérision toutes vos conneries.

Daaphnée dit: à

Artaud est effectivement bouleversant, ML.
Et continûment bouleversant.

Dans un autre ordre-aléatoire d’idée, suis allée voir Van Gogh à la Pinacothèque, là aussi. Bouleversant et plus encore, parce que sans les mots, le génie est d’autant plus éclatant.

M. Bouillon dit: à

ML, vous pouvez injurier qui vous voulez, vous pouvez envoyez les commentaires les plus ineptes, ça n’a pas trop d’importance. Mais, de grâce, arrêtez de nous envoyer vos « poèmes » d’adolescent attardé. Si vous aviez seulement une once de talent, ça passerait, mais là franchement… non, pitié ! Méprisez-nous si vous voulez, mais ne nous souillez pas avec ces merdes, il y a de l’abus !

La mauvaise langue dit: à

Et c’est vrai, elle l’a vraiment dit, et elle s’est vraiment tournée du côté de la fenêtre de l’hôpital pour regarder le jour. Sans rien dire d’autre.

La mauvaise langue dit: à

Je respecte votre jugement. Mais je continuerai à vous emmerder avec mes poèmes d’attardé… Ah, je sais, c’est dure la vie, que voulez-vous ! Vous vous y habiterez, vous verrez. Vous finirez par être sensible à ces poèmes, vilaine brute, va…

Daaphnée dit: à

( certains exagèrent, ML, ce que vous postiez l’autre jour était très « inspiré ». Il en a été fait la juste remarque)

La mauvaise langue dit: à

Je vais y aller voir les Van Gogh ce week-end.

La mauvaise langue dit: à

Ne vous inquiétez pas, Daaphnée. faut simplement les moucher un peu tous ces petits cons…

tintinabulle dit: à

ML,c’est notre Castafiore version poésie. Il se rit d’être si beau en ce mouroir!

Madeleine dit: à

Daaphnée dit: 22 février 2013 à 23 h 23 min
la Pinacothèque

Usine à fric bien digne de la spécialiste de la civilisation lambayeque.

La mauvaise langue dit: à

Oui, c’est pas mal trouvé. Mais faux.

Philippe Régniez dit: à

Des étrangers à l’Académie Française, la descente sans parachute continue…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’inquisition,… » collabo « ,…la comédie française,…l’académie française,…Stalag 13,…

…un jeux de cons,…avec l’école obligatoire sans polyvalence des choix libres des élèves,..
…les peuples sous la tyrannie de l’état,…

…ce siècle-ci,…l’enseignement à la Louis XV,…
…le siècle suivant l’ère industriel,…
…le XX°,…l’aube du choix des droits,…pourquoi faire,…faire et fabriqué du riche rassurant, bourgeois, presque timide,…ingénieurs des travaux finis,…
…juste,…encore un management fasciste d’état,…l’autorité au dessus des partis,…
…la justice sociale en épargnant les très riches de payer l’impôt, la taille, les taxes,…votre serviteur,…
…aménager les cognitives d’en être  » collabo »,…d’état,…ou en sont  » la vie privé des citoyens « ,…Glamour d’abrutis et lèche-culs,…
…les fesses et l’argent,…la même odeur de liberté,…la ventilation des coïncidences inversées,…les rituels de l’espèce humaine au niveau de la basse-cour des Dieux,…
…etc,…

La mauvaise langue dit: à

Bientôt ça va être le « complot de l’étranger »…! En plus, c’est plutôt marrant pour un type Français qui s’est exilé au Paragay…

Mon vieux, elle est ringarde, hein, cette France-là.

Entre la « Castafiore du mouroir », la supplique du morveux et le complot du pamphlet, ah on est gâté, mes petits choux, ce soir…!

La mauvaise langue dit: à

« la tyrannie de l’état » qu’y dit, la folle…!

Prie qu’il te protège encore longtemps l’Etat, pauvre naze.

La mauvaise langue dit: à

Certains ont un parachute doré, d’autres descendent sous la coupole sans parachute…

Ah, qu’est-ce qu’on se marre sur la Rdl…!

Philippe Régniez dit: à

Pourquoi pas une Académie Européenne, ou des langues Indo-européennes ? Il faut savoir. Tout cela fait partie de la confusion organisée, comme le mariage des invertis.

Philippe Régniez dit: à

Voyez, la réaction ne s’est pas fait attendre : « La Grande-Bretagne perd son triple A »
Remarquez, ils l’ont bien cherché, depuis qu’ils em… le reste du monde.

Milady dit: à

mes petits choux
ML

Ben voilà, c’est mieux
mon déshonorant que le « sales cons » de « mes petits chéris »
On sent bien le « je vous aime bien les merdeux » avant d’entrer dans la 501 pour Planchet

Ophélia Linnart dit: à

Les blagues à deux roulements de tambours et à trois centimes d’euros de l’Hommelet du blog, c’est tous les jours ?
Non je dis ça parce que c’est franchement pénible à sauter.
C’est une petite tragédie renouvelée. et on s’appelle pas tous Pistorius. Il part jamais en vacances en Norvège ?

Philippe Régniez dit: à

Aucune honte les Anglais, ils font un film sur Robin des Bois, qui d’ailleurs n’a jamais existé que dans leurs esprits enfiévrés, totalement anti-français, et ils font rentrer en douce, sorte de 5ème colonne, un des leurs à l’Académie Française… et les Français avalent ça comme une rasade de mauvais vin vendu par Thierry.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…?,…socialisme,…ou national-socialisme l’état,… » violation de la vie privée « ,…
…des caméras partout,…des codes de la route et de maintien ( cigarettes-fumée sacs poubelles, courtoisie obligatoire à des inconnus,…),…la vie de Seigneur,…et les prussiens sous la Coupole,…
…les nouveaux français de la révolution des  » oeillets – haricots « ,…
…la sélection  » naturelle  » des talents  » cognitifs,…pour en arriver à nous pomper  » la mondialisation « ,…l’état des cons riches faute de noblesse du sens de l’état,…en €urope des châteaux  » balourds « ,…les paradis fiscaux,…
…etc,…

renato dit: à

Dans une nouvelle de Borges un vieillard parle — si ma mémoire est bonne, nous pouvons supposer un âge canonique puisqu’il parle depuis un futur où la science aurait fait des extraordinaires progrès. Le vieillard parle, donc, il dit qu’il doit se préparer car sous peu quelqu’un verra lui dire que le moment est venu de partir. Il dit qu’il est en train de ramasser ses choses — la harpe qu’il s’est construit, les quelques tableaux qu’il a peint, les poèmes qu’il a écrit — car dans son époque lorsqu’on part pour le dernier voyage on emporte (c’est à emporter ou vous le mangez sur place) ses créations car personne ne doit laisser aucun témoignage de son passage sur terre. Il me semble que Owon (voir le film ‘Ivre de femmes et de peinture’) soit disparu mystérieusement et que son corps ne fut jamais retrouvé. Connu pour avoir dit «si vous voulez peindre, apprenez d’abord à boire », il a laissé quelques traces dont un coq et une poule de toute beauté. Bon, Im Kwon-taek suppose qu’il serait entré dans un grand four pour la cuisson de la céramique…

Prince des voleurs dit: à

totalement anti-français
Phiphi d’amour (de son prochain s’il n’est pas ………, ………,……..,……,……,………,………,……….,……….,………,……… ou tout simplement …………

Par les mânes d’Alexandre, tous pour un !

Geai dit: à

Sinon au point de vue de mes réflexions du jour, j’en suis arrivé à la conclusion très sérieuse que si l’on avait correctement envahi au 13ème siècle le territoire qu’on nomme Suisse aujourd’hui, il y aurait eu beaucoup moins de problème au 21ème.
Il n’est d’ailleurs jamais trop tard. Qu’est-ce qu’on attend ? Et qui nous en empêcherait ? Certainement pas les Suisses avec leur petite armée de rien du tout et leurs avions périmés. Nous avons bien liquidé Kadhafi, presque gagné au Mali, l’objectif suivant doit être la Suisse.

renato dit: à

Daumal aussi a parlé de la question de ne pas laisser de traces…

Geai dit: à

Il nous faut former une coalition comprenant France, Allemagne, Italie et Autriche, chacun ayant droit à une part du gâteau à la fin.
Franchement, ils ne feront pas le poids.
Pourquoi ne l’a-t-on jamais fait avant ? Et il y a beaucoup d’or à se partager, à un moment où nous en avons besoin.

W dit: à

Geai incapable d’observation erreur de diagnostic je ne suis pas candidate à la grippe aviaire et ne suis pas ovipare .

TKT dit: à

Philippe Régniez, il est aussi possible de gagner sa vie avec des bons vins, pourquoi devrais-je en vendre de mauvais ? Cela oblige a toujours renouveler sa clientèle.
Vous devenez aussi con que D., Michel Alba (c’est comme cela qu’il signe sur Mediapart), et l’ineffable JC.

Geai dit: à

On commencerait par un ultimatum, puis on pilonnerait Zurich toute une nuit. Le matin les habitants seraient en slip au milieu des ruines en train d’agiter des drapeaux blancs, on aurait même pas besoin d’envoyer les paras des forces spéciales.
J’ai pris Zurich au hasard comme exemple, ça pourrait être Berne ou Genève, mais Zurich me plait assez.

renato dit: à

Vous pourriez faire un premier essai avec la Belgique francophone car il n’y a pas de montagnes, ce qui limite beaucoup le risque de guérilla…

Geai dit: à

Pas assez d’or en Belgique, renato. Il faut qu’un conflit soit rentable.

Geai dit: à

De toutes façons les Suisses se rendront tous.

renato dit: à

« On commencerait par un ultimatum… »

On commence par une déclaration de guerre, éventuellement. Et il faudrait s’assurer l’appui des Américains, pas qu’au dernier moment vous ne soyez obligé d’arborer drapeau blanc…

Philippe Régniez dit: à

Mon cher Thierry, vous savez bien tout comme moi que les gens n’ont plus aucun goût, le manque de références d’un monde qui a perdu la boussole je suppose, et puis, parce que la marge est plus grande mon enfant.

renato dit: à

« Pas assez d’or… »

Mais bonne qualité du chocolat, ce qui devrait vous combler…

Les amours de Thierry dit: à

TKT dit: 23 février 2013 à 0 h 17 min

Philippe Régniez………..
Vous devenez aussi con que D., Michel Alba (c’est comme cela qu’il signe sur Mediapart), et l’ineffable JC.

Nous reconnaissons bien le vrai visage de Thierry, longtemps son modèle a été son merveilleux Phiphi, mais une grosse déception sentimentale (un vin bouchonné)a rompu ce bel amour.
Phiphi vient d’intégrer la boîte à malédictions de TKT.
JC hier, Phiphi aujourd’hui, qui demain ?
Enfin, D. doit se sentir moins seul.

Geai dit: à

L’appui des Américains ! Et puis quoi, encore ?
J’ai le plus grand respect pour cette grande nation que sont les États-Unis, mais ils ne sont plus grand chose sur la scène internationale. Extrêmement timides et timorés. Nous n’avons pas besoin d’eux. Les Suisses n’ont plus l’habitude de vivre à la sauvage en montagne comme les Afghans. Ils se rendront tous. Vous n’avez aucun sens des réalité, renato.

Philippe Régniez dit: à

Intéressant ce musée des écrivains à Chicago.

Il est permis de se demander s’ils vont accueillir des écrivains étrangers…

Que cet helvète est bien petit dit: à

Michel Alba (c’est comme cela qu’il signe sur Mediapart)
TKT

Une burne, et une moche

Philippe Régniez dit: à

Il faut toujours tout mettre en perspective pour voir jusqu’à quel point certains se font en…

renato dit: à

« Vous n’avez aucun sens des réalité… »

Fort possible, il faut dire que vous ne brillez non plus de ce côté-là…

Hermé dit: à

renato dit: 23 février 2013 à 0 h 27 min
Mais bonne qualité du chocolat, ce qui devrait vous combler…

surfaite, surfaite.

Geai dit: à

ET qu’est-ce que ça nous couterait d’essayer, renato ? Peau de balle. Croyez-vous que les Suisses nous envahiraient en retour avec l’aide des Américains ? Allons allons.

Geai dit: à

Ils sont forts en chocolat AU LAIT. Et en horlogerie. C’est tout. Et c’est bien peu.

renato dit: à

« ET qu’est-ce que ça nous couterait d’essayer… ? »

Jamais sous-évaluer l’adversaire…

Bien, bonne nuit.

Milka ou Flicka ? dit: à

Peut-être même au lait de jument,
qui sait ?

Geai dit: à

Vous êtes là, W ? Lorsque la Suisse occidentale sera Française comme elle aurait toujours dû l’être, je compte en faire un Duché et vous serez Duchesse.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’or çà sert à rien,…

…c’est une religion, une culture du temple « commerciale »,…
…tu en a beaucoup, ou peu,…çà n’n’empêche personne de vivre,…

…c’est une valeur de troc,…l’amour ne se troque pas,…ni avec des diamants, ni avec l’or,…ou autres châteaux balourds de basse-cour des Dieux à deux-sous sous l’éternité,…
…le club des alouettes à l’or et crédit,…en décapotable à l’eau de Vichy  » collabo « ,…
…pour elle un français doit mourir,…la république,…changeons de disque,…c’est partout le même sens de la musique d’état,…
…etc,…un berger sur le clair de la lune qui compte ses moutons,…une autre,…

Geai dit: à

Thierry, cette idée d’envahir la Suisse n’est pas dirigée contre vous. D’ailleurs vous n’êtes pas Suisse. Ce n’est que la résultante d’une mécanique géopoliticostratégique contre laquelle nous ne pouvons rien.

La mauvaise langue dit: à

TKT se réveille. Mais ça fait bien longtemps que j’y suis plus sur Mediapart, mon pauvre TKT. Sont comme vous, sur Mediapart, aussi cons, aussi borné, aussi méchant, une vrais secte d’abrutis. Et ignares, mais ignares, que c’en est à frémir… Ah, faut lire les articles de l’adjudant-chef Plenel sur Israël ! C’est à mourir de rire. Avant de m’abonner sur Mediapart, j’avais une certaine estime pour Plenel, mais là j’ai découvert qui il est vraiment, l’horreur ce type, l’horreur ! Un type dangereux, un cinglé. Je comprends maintenant que Mitterrand l’ait mis sur écoute, même si je n’approuve pas. Un vrai fou. J’ai en plus une amie dont l’ex travaille à Mediapart. Elle me dit toujours en parlant de Plenel : les moustaches, faut toujours s’en méfier… Je ne dis pas ça pour vous, hein Passou, mais vous n’en portez plus ! Effrayant le Plenel. Effrayant.

Geai dit: à

Je n’ai jamais porté de moustache et je partage votre avis sur les moustachus, ML. Il faut bien comprendre que la moustache est un moyen de dissimulation de quelque chose. Ou une façon de tenter de se mettre en valeur de cette façon parce qu’on y arrive pas d’une autre. Il faut toujours se méfier d’un moustachu, nous n’avons pas affaire avec lui à un être tout à fait normal et correctement construit.

Geai dit: à

C’est pour cela que Passou a cessé d’en porter. Ça ne lui correspondait pas du tout, on arrêtait pas de lui dire, il a fini par comprendre qu’il n’avait aucune raison de porter une moustache. Mais ça a été dur.

Geai dit: à

Du coup il s’est rabattu sur la barbe de trois jours.

Geai dit: à

Un peu à regret.

abdelkader dit: à

‘…tueur au scooter…’
mais non, faut pas charrier quand même…il est seulement braconnier, pardon garde-champête…et selon les rumeurs, y a bien eu une mamie venue de la métropole, y a 15 ans de ca, qui s’est chopée une crise cardiaque sur son scooter quant il a pris un virage a 15km a l’heure…depuis, il est sous caution de la gendarmerie de Porc et Co…
sinon, c’est une exception française cette manie de l’an 40? s’passe plus grand chose chez vous? ben voyons, Amour vient d’être nommé pour un Oscar, la première fois, je pense, qu’un film ‘étranger’, cad non anglo-saxon, soit nommé pour Oscar du meilleur film…au lieu de ca, z’en êtes a remuer le marc du café de 1944…fuck me ! I’m off to bed again ! sans ce site, je ne me coucherai jamais…non Mais!

abdelkader dit: à

je regardais un programme de jazz sur la BBC et quelqu’un demandait a Duke Ellington quel était son secret pour réussir ainsi a garder ensemble ses superbes musiciens pendant plus de 45 ans…Duke lui répondit : le truc qui marche le mieux, a mon avis, c’est de bien les payer… y a une morale que’que part ici mais j’ai franchement pas la motivation pour chercher…

Bloom dit: à

Il y en est qui sont encore à discuter les années 40, mais le visqueux réimprineur, lui, fiat encore plus fort dans le crétinisme radical: il est resté coincé à l’époque de la guerre de cent ans…C’est vrai qu’il a pas d’éducation l’étron majuscule, les pédoprêtres lui ont jamais entendu parler d’entente cordiale, de de Gaulle, ou du ‘crunch’…
A cet égard, il faut saluer la rentrée de François Trinh-Duc à l’ouverture du XV de France, qui va apporter sa puissance et son inspiration pour réveiller le jeu devenu stéréotypé des Petits. Mon fils aîné va revêtir le maillot frappé du coq et autographé de la main du N°10 tricolore tandis qu’on regardera le crunch au club anglais du coin, dont nous sommes of course membres, en bonne 5e colonne du cassoulet-confit…

Bloom dit: à

réimprimeur
fait
les pédoprêtres ont jamais
(parler des cadavres, de l’école des cadavres, ça inspire moyen)

Bloom dit: à

Ecoutons Michael Edwards:

« Un peuple modèle la langue qui lui convient; il est modelé à son tour par la langue qu’il parle. De la même façon, la prosodie naît des caractéristiques sonores d’une langue et de l’oreille des poètes, et influe sur la poésie qui s’écrit. La prosodie anglaise, fondée à la fois sur les puissants accents d’intensité qui viennent des Anglo-Saxons et sur le décompte des syllabes français ou italien, semble résister à l’unité simple et servir, elle aussi, l’hétérogénéité, engageant le poète à développer l’énergie rythmique des accents ou l musique virtuelle d’une langue devenue nombreuse ».
Le Génie de la poésie anglaise, pp. 12-13.

Parfaite illustration de ce qu’Edgar Morin appelle la complexité, le multiple, et la boucle rétroactive.
A langue nombreuse, monde nombreux, qui déjoue les pièges des identités meurtrières.

Simon dit: à

Ah mais c’est qu’ils vont plus loin que l’an 40 ! Pensez donc qu’on pourrait comprendre que la Belgique et peut-être même les Etats-Unis d’Amérique étaient territoire français en 80, c’est dingue quand même. Allons, restez détendus, pas de quoi percher un chat.

Bloom dit: à

A traveling exhibit titled « Finding Home: Immigrant Voices in American Literature » is in the works and could appear at big city libraries nationwide from New York to Los Angeles as soon as 2013.
—-
Chicago, pourquoi pas…tant de lieux:
ConcordYoknapatawphaNewarkBrooklynBig SurWinesburghTaosLotusLong IslandSalemFaubourg MarignyHarlemBostonEastwickVietnamItalieParis, FranceL.A.Idaho….

JC dit: à

« Amour » l’emporte aux Passou d’Or, cette nuit
23 février 2013 à 00:23
Par AFP

Sans musique, sans effets, rythmé par les seuls grincements de parquet de l’immense hall de la RDL, «Amour» met à nu l’inexorable déchéance d’un vieux couple de commentateurs, le pseudo suisse TKT et le malheureux D., deux êtres fragiles perdus dans leur vie commune.

La table de nuit se couvre de médicaments; la chaise roulante Gallimard, un temps libératrice, finit abandonnée dans un coin tandis qu’on installe un lit médicalisé Wiki, les aides soignantes HR, Daaphnée, W, font leur apparition, il faut changer les couches… La RDL assiste sans pitié, mais sans voyeurisme, à cette dégénérescence.

«Arrivé à un certain âge, on est obligatoirement confronté à la souffrance de quelqu’un qu’on aime», avait affirmé Passou devant la presse à Cannes, où il avait reçu en mai le Billet d’Or, pour son papier sur L’affaire Vaudoyer…

Toutes nos félicitations aux heureux comparses !

ténié flagellé dit: à

jc pendant que tu jacasses, le lobby des invertis et mafieux du vatican prie en son siège, mussolinien, pour le salut de ton âme

TKT dit: à

D., pourquoi ce nouveau pseudo, Geai, vous êtes un aigle, non ? Un aigle à mille têtes

Jacques Barozzi dit: à

(« N’oublie pas de vivre car elles filent les années… »

Cette citation de kleist, dite par Emmanuelle Riva, hier soir, c’était un peu ce que je vous disais, entre parenthèses, quelques heures plus tôt, ML.)

JC dit: à

Il n’y a que merveilles de dévouement au Vatican oeuvrant sans relâche sous la conduite de Benedickt 16, guide subtil des âmes catholiques, führer admirable que nous allons libérer le 28 prochain…
(… que le lobby des invertis et mafieux de l’Elysée prie pour ton salut, ténié flagellé !)

Macellaio dit: à

Jacques Barozzi dit: 23 février 2013 à 9 h 16 min

(« N’oublie pas de vivre car elles filent les années… »
Qui vivra, verrat, Barrozizi!

un qui débarque dit: à

De quoi s’agit-il ?

TKT dit: à

@ Geai dit:23 février 2013 à 0 h 42 « Lorsque la Suisse occidentale sera Française comme elle aurait toujours dû l’être, je compte en faire un Duché et vous serez Duchesse. »:
Vous renoncez à la Suisse germanophone ? Alors pourquoi bombarder Zürich ? Je comprends pourquoi votre carrière de comptable n’a jamais évolué. Pensez y, Napoléon avait réalisé que la Suisse était ingouvernable depuis Paris et qu’aucun de ses frères et sœurs ne désirait en devenir le monarque. Et puis l’or, franchement D.boussolé, c’est une valeur refuge. Voila ma proposition, vous reprenez le Sahara algérien, pour son pétrole, et vous essayez de refiler les les usines de pneu aux Quataris. Vous promulguez W Princesse de Zanzibar. Il y a déjà un bar du même nom rue d’Antibes.

réponse dit: à

« De quoi s’agit-il ? »

Il s’agit de Mauvaise Langue, comme d’habitude. Une nouveauté toutefois : depuis quelque temps, il lui arrive de s’exprimer aussi en vers, que Daaphnée, femme de goût, trouve réussis. Les autres continuent à s’émerveiller de la justesse et de la profondeur de ses commentaires, toujours très pointus et bien documentés.

JC dit: à

Amis erdéeliens, je vous propose de vous étriper ce samedi avec le maximum de haine, de jurons, de mots grossiers, d’insinuations perverses, de saletés mensongères !

Et demain dimanche …. on crée « La Journée de l’Amour » !

Les ennemis de la veille, les ploucs les plus ringards, les agitateurs les plus nuls, les sionistes, les palestiniens, les machos, les féministes, les voileux, les vaporeux, s’embrassent enfin, se respectent, s’envoient des fleurs, se félicitent, et devisent… courtoisement.

Bien evidemment, dès lundi, on reprend les pratiques grossières, comme d’habitude !

D dit: à

TKT dit: 23 février 2013 à 8 h 53 min
D., pourquoi ce nouveau pseudo, Geai

Il y a une grande différence entre D et Geai, monsieur Kron.

D dit: à

Le geai, si je ne m’abuse, est de la famille des corvidés. Jamais D n’aurait pris un nom de corbeau.

déception dit: à

dès lundi, on reprend les pratiques grossières

Si on ne peut plus s’enculer le dimanche, à quoi bon continuer à vivre ?

renato dit: à

Vous oubliez les cons JC, c’est parce que vous ne lisez pas vos posts ou, et plus banalement, ce n’est qu’un reflexe corporatif ?

Tir au pigeon dit: à

Bon, amore, on parle de la succube Iac.b?

JC dit: à

Trés bien, renato, très bien ! Bonne journée ! On vous aime, renato…
(je m’entraîne pour demain)

renatamore dit: à

Ode à renato

Pour une allumette
qui passait par là
j’ai perdu la tête
Ainsi me voilà!

Ton mètre quatre-vingt ne m’effraie pas
Ni tes chaussures compas
Ton cerveau que l’on entrevoit
Est bien passé par là!

bouguereau dit: à

Jamais D n’aurait pris un nom de corbeau

par tor et par odin c’est un animal trés intelligent dédé, petit il est mangeable et facile a apprivoiser, mais tu peux pas faire les 2 en même temps..c’est un inconvénient, ça c’est pour faire de l’humour à la dédé

renato dit: à

« Jamais D n’aurait pris un nom de corbeau »

Le nom scientifique du geai est ‘garrulus glandarius’ si on traduit large ça nous donne ‘clavardeur déseouvré’. Peut-on voir ça comme de l’auto-ironie ?

JC dit: à

Seul, debout dans le froid d’automne,
Au coeur de la Corrèze fuyant vers le Nord,
Au cap de l’Ile au Mensonge,
Je vois sur des milliers de montagnes vermeilles,
Les bois teintés de rouge étages par étages.
Sur les vastes eaux, verte transparence,
Ces bateaux filent dans leur concurrence,
Les aigles battent l’infini des nues,
Les poissons de voler au fond des eaux ténues;
En automne, à l’envi, tous êtres s’en donnent à leur aise.
Saisi de cette immensité,
J’interroge la terre en sa vague étendue,
Quel Elu tient le sort de toute la nature ?

Avec maints compagnons ici j’étais venu ;
Que de jours étonnants au temps jadis vécus !
Tous étudiants, à la fleur d’énarchie,
En pleine floraison de tournure et d’esprit,
Nous étions, d’une fougue écolière,
Exaltés au suprême degré.
Nous montrions du doigt nos champs, nos rivages ;
Nos cris et nos bravos s’exhalaient en ouvrages,
Comptant tous nos seigneurs comme poussière immonde.
Vous souvient-il
Qu’au milieu du courant nous donnions dans les ondes,
En soulevant des flots contre l’envoi des barques ?

«si vous voulez peindre, apprenez d’abord à boire » dit: à

Corrigé sans arrières pensées.

Saisi de cette immensité, j’interroge
La terre en sa vague étendue,

Vous souvient-il qu’au milieu du courant
Nous donnions dans les ondes,

Geai dit: à

renato dit: 23 février 2013 à 10 h 15 min

« Jamais D n’aurait pris un nom de corbeau »

Le nom scientifique du geai est ‘garrulus glandarius’ si on traduit large ça nous donne ‘clavardeur déseouvré’. Peut-on voir ça comme de l’auto-ironie ?
____________________

Pur hasard, renato.

TKT dit: à

Des chaussures compas, tient, ce sont des chaussures avec GPS intégré ?

Geai dit: à

Le compas donne le cap, Cher Thierry, pas la position.

renatamore dit: à

Merci de votre commentaire éclairé, Geaiotrouvetout.

Geai dit: à

Et puis l’or, franchement D.boussolé, c’est une valeur refuge. TKT DIXIT
___________________________

Une valeur refuge que les vieilles dames se font arracher lorsqu’elles vont à la messe le dimanche.

Une valeur refuge qui rend inoxydables les connexions des circuits électroniques de vos ordinateurs, Cher Thierry.

TKT dit: à

Le meilleur pseudo de D. était Pathos

Bloom dit: à

Sur la photo du haut, c’est marbre qui domine. La Comédie Française, marmoréenne, c’est tout à fait cela. Le Grévin du théâtre vient de faire entrer Tennessee Williams à son répertoire. Révolutionnaire (il est mort quand je faisais des études littérature américaine, au millénaire dernier). Va-t-on lui faire connaitre le sort récemment réservé à Marivaux, consciencieusement massacré par de mauvais comédiens sur France Cul…?
Comme disait le Desarthe d’Hamlet, ‘Bah, on s’ennuie toujours un peu au théâtre, c’est la loi du genre’. Un peu, ça va encore, mon bon prince, mais quand il n’est que cela…De la magie, de la magie, que diable! Comment ça, on n’en aurait plus en magasin?

Geai dit: à

Vous me faites de la peine, Thierry. Je vous aime bien et vous ne me le rendez pas. Ce n’est pas d’aujourd’hui, je vous le pardonne et je vous l’ai toujours pardonné.

Geai dit: à

Tenez, c’est tombé à 11h 11, ce n’est pas un hasard, rien ne relève du hasard dans notre monde.

Geai dit: à

Ce quadruple un symbolise ma solitude quadruplée.

JC dit: à

« Corrigé sans arrières pensées »

je ne me serais jamais permis de modifier une traduction du poème perverti de Mao Zedong, ne pratiquant pas cette langue bizarre.

Inventaire des amis de Thierry dit: à

D., Pathos !

Mais quelle burne ce Thierry

Cesar dit: à

Hé, t’en n’as pas marre de tes conneries à répétition, Inventaire de ta propre connerie?

Inventaire des amis de Thierry dit: à

Nous rajoutons Cesar sur la liste.
Une bien belle recrue.

D dit: à

Très cher Thierry, Geai est un pseudo autonome. Comme vous le savez, mais semblez l’oublier, D. est un pseudo collectif — depuis un fameux post dans lequel D. annonçait solennellement que désormais plus aucun commentaire signé D. ne serait de lui. Nous avons été un certain nombre à sauter sur l’occasion pour écrire des âneries sous cette initiale.
Mais les posts signés Geai sont de Geai. Jamais je ne permettrais de lui emprunter cette signature.
Par ailleurs, je suis convaincu que vous commettez un erreur en pensant que Pathos était D. Des styles très différents. Pathos était beaucoup plus vulgaire. Cherchez ailleurs. (Une piste, peut-être : nous connaissons tous un troll très vulgaire dont le pseudo habituel commence par la lettre D.)

TKT dit: à

JC, vous devriez varier vos insultes, burne devient un peu ennuyeux.
Quant au mandarin, langue bizarre, cela ne plaide pas pour votre culture générale.
@ D., ne vous prenez pas pour un bon chrétien, d’autre part personnellement, je ne connais pas le pardon pour les pervers narcissiques, pourquoi faire ? Si vous changez de pseudo, vous devriez aussi changer de nature, pas celle du prince que vous avez flasque, mais celle de vos commentaires, toujours aussi d.biles depuis 2005. Vous avez JC, pour vous aider, un autre nationaliste brun. À vous deux vous faites, deux andouilles con-gelées.

Burne dit: à

enfin, TKT ! mon nom n’est pas une insulte. Je suis une glande très utile, ce qui ne veut pas dire un glandeur.

Inventaire des pseudos de Thierry dit: à

Assez grandiloquent votre nouveau pseudo Thierry, je préférais les anciens, Jean-Hubert ou Gonzague faisaient plus classieux.
Déçu.

Burne dit: à

cela ne plaide pas pour votre culture générale.

Vous parlez chinois, Traube ?

Ducon dit: à

Hé, « inventaire des pseudos », vous m’oubliez ? Y a moi aussi. je suis un grand ami de Thierry.

TKT dit: à

Comme Vaudoyer ou la période de l’Occupation, ne semblent pas générer des commentaires sur le sujet de la Note; je laisse aux deux trolls congelés la place libre.

les deux trolls congelés dit: à

Merci, Thierry, mais nous ne voudrions pas vous faire fuir. Vous êtes ici chez vous.

les deux trolls congelés dit: à

y a de la place pour tout le monde, TKT, restez !

un troisième troll congelé dit: à

Je ne connais pas les deux autres. Vous faites allusion à qui, Traube ?

Association pour la variété typographique dit: à

Nous remarquons avec plaisir que, à 12 h 12, TKT utilise un point-virgule. C’est une nouveauté dont nous nous réjouissons.

Et la lumière viendra dit: à

TKT dit: 23 février 2013 à 11 h 59 min
JC, vous devriez varier vos insultes, burne devient un peu ennuyeux.

Pauvre JC, pour une fois où il n’a rien fait.

Cherche encore Thierry, cherche

troll congelé n°4 dit: à

Je connais le sujet du prochain billet, mais je veux garder la surprise pour Mauvaise Langue. Ça lui plaira beaucoup. Et de toute façon j’ai promis de garder le secret.

«si vous voulez peindre, apprenez d’abord à boire » dit: à

« je ne me serais jamais permis de modifier une traduction du poème perverti de Mao Zedong »

Et je n’ai corrigé que la plus grosse pustule.

«si vous voulez peindre, apprenez d’abord à boire » dit: à

On ne dit pas « Cherche encore Thierry, cherche » mais « Cherche Thierry, cherche »…

troll surgelé dit: à

je me sens très supérieur aux trolls congelés mais je n’attrape la grosse tête pour autant.

renato dit: à

À propos de « si vous voulez peindre, apprenez d’abord à boire » Wiki…

« Quel horreur !
— Calmez-vous, Monsieur.
— Je suis une femme, Monsieur !
— Veuillez m’excuser, Madame. Nous disions ?
— Si vous voulez peindre, apprenez d’abord à boire
— Bien sûr, Wiki publie divers ficher images. Voyez plutôt comme il bien rendu l’intérêt lu coq et de la poule pour l’insecte http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/ea/Owon-Rooster-detail.jpg »

renato dit: à

«je ne me serais jamais permis de modifier une traduction du poème perverti de Mao Zedong »

Je vous faisais plus transgressif JC et je découvre qu’au fond vous êtes un conformiste : c’est décevant.

ueda dit: à

Au dessus du buste en pierre de l’Académie, dont on ne donne pas le nom (Sauras-tu l’identifier?) et du visage lugubre de l’ennuyeux Vaudoyer (Sauras-tu découvrir un moustachu joyeux?), apparaît comme toujours le visage plus jeune de J. Dicker.

Question d’un ignorant au public littéraire de ce blog:
C’est pas un handicap, pour les ventes, cette histoire de Goncourt des Lycéens?
C’est vrai qu’ils sont bons…
Mais quoi?

Un filon à explorer: le Fémina des Séniors, le Médicis des Mal-Voyants, l’Interallié de la Diversité.

Geai dit: à

Il est amusant, mais non surprenant, de constater que Thierry (qui est mon ami mais un ami ingrat -ce qui ne signifie pas pour autant qu’il soit svelte) confond aigle et hydre.

W dit: à

Chapeaux,yeux,sacs à mains de femmes etc,à peine des points de peinture.
Silhouettes ont une existence spectrales,triste,éphémère,chacune,comme celle de Giacometti,absorbées dans son propre monde.Révèle l’absence de couleur extérieure de l’existence,comme si elles avaient été essorées jusqu’à élongation par la solidité et la pression de l’atmosphère environnante.
Cf.les déclarations de Rothko sur l’incommunicabilité humaine et la figure solitaire,etc.
Girl in subway
Tout dans les gris tirant vers le blanc,clair et chaud (principalement clair)excepté la terre de Sienne sombre de la perspective fuyante.La perspective se focalise d’une manière si évidente sur la fille que c’est comme si des fils irradiaient de sa main.Maniant la perspective,entourée de zones de gris en rectangles,de sorte que sa profondeur n’est pas lisible.Surfaces opaques peintes révélant des zones griffées-avec un couteau,comme une sorte d’imprimatur.
William Seitz,notes d’une interview avec Rothko,1er avril 1953 .

ueda dit: à

La volaille, dans la peinture d’Owon, manifeste quand même une belle ouverture à l’Autre.
C’est l’araignée, qui fait un peu sa mijaurée.

W dit: à

à propos d’Owon,bonjour Ueda,avez-vous vu hier ce séduisant Ozon à la cérémonie des Césars juste assis à coté du ministre ?Je craque je mets 100 balles pour voir le reste…

renato dit: à

“… je mets 100 balles pour voir le reste…”

Vous êtes folle ou quoi ? Moi, ce soir avec 100 balles je me fais un restau à Bâle avec café, pousse-café, cigare !

La mauvaise langue dit: à

Ecoutons Michael Edwards:

« Un peuple modèle la langue qui lui convient; (posté par Boolm)

Dans le cas du français, ce n’est pas exact. Le français d’Île-de-France a été imposé à la France entière, non pas du tout par le peuple mais par les rois et ses représentants. À une époque beaucoup plus récente, ce fut par l’Ecole, et souvent par la violence. Je me souviens d’une anecdote du poète Guillevic, un Breton comme chacun sait, qui nous racontait à une conférence au lycée Chaptal où il était venu invité par Lionel Ray, mon prof d’alors, qu’on lui avait empêché de parler breton à coups de punitions quand il était gamin. Donc, je crois que Michael Edwards, là, se goure complètement. Mais c’est quand même un grand savant et un chic type.

W dit: à

j’y préférerais l’éphémère d’une rencontre quand bien même elle ne mène pas à un intermède prometteur,je tenterais le portrait,je m’inscris au fan-club d’Ozon et s’il n’existe pas encore,j’invite les membres intéressés à s’y inscrire pour lui témoigner notre ferveur et notre admiration.

renato dit: à

Michael Edwards ne se goure point : cherchez l’erreur.

La mauvaise langue dit: à

Mais Baroz, ça voudrait dire quoi dans votre bouche : « N’oublie pas de vivre ? » Est-ce que vous le savez seulement ? C’est un pur slogan vide.

ueda dit: à

W, je n’ai pas le courage de regarder ce genre de choses (et le choix de gens comme A. de Caunes ou D. Debbouze me fait passer le gout du blanc sec).

En revanche, à 6:00 pm, heure française, tout s’arrête.
Bloom, si notre XV fait bonne figure, j’offre la tournée à votre petite famille.
C’est l’heure de Morgan Parra…

(Quelle belle équipe anglaise, comment font-ils pour trouver des talents aussi complets de Farrell ?)

W dit: à

Je vois que beaucoup l’ont espéré, rêvé ,fantasmé peut être même utilisé,c’est décourageant mais vous parliez d’archétype les fan-club ne seraient que l’expression de l’hystérie collective?

Chaloux dit: à

yop la boum dit: 22 février 2013 à 12 h 12 min

« La seule mauvaise publicité, c’est le bulletin de décès ».
Charles Trenet.

renato dit: à

« … expression de l’hystérie collective? »

Hystérie ? comment vous y allez… compte tenu qu’il n’y a plus d’exorcistes à la hauteur, il faudrait demander l’aide d’un « psykon’aliste », avec tout ce qui va avec : divan, pipe… Moi, je dirais, plutôt, orgasme collectif indirect ou plus banalement, et pour que (démocratiquement) tout le monde comprenne, onanisme de groupe…

TKT dit: à

@ La mauvaise langue dit: 23 février 2013 à 13 h 27: Le breton est une langue à part entière. De Gaulle avait interdit l’usage des langues régionales: Flamand, alsacien, lorrain, niçois, provençale, corse, catalan et basque. Je pense qu’il avait parfaitement raison, seule manière d’imposer le français dans les populations paysannes. J’ai le souvenir d’un camarade, à l’armée en 1965, qui ne parlait que l’alsacien. Il fut réformé au bout de quelques semaines. Je n’ai jamais su s’il avait feint ou que sérieusement, il ne parlait que l’alsacien. La France est quand même un des rares pays, où il y a une langue pour tout le monde. Merci De Gaulle !
Quand toute une nation parle une langue nationale, il est alors temps de réapprendre les langues régionales, en supplément, en valeur ajoutée.

W dit: à

rénato les groupes de fan s’expriment certes par des déchaînements de cris de pleurs enthousiastes mais peuvent aussi former un soutien ,témoigner de lacote de popularité quoique le cinéma d’Ozon flotte nettement au dessus du rase pâquerettes,populaire souvent synonyme de qualité moindre ,négligé des milieux élus

Simon dit: à

Les fans clubs ne sont que fans de leur « propre » fosse commune depuis longtemps.

JC dit: à

TKT, aujourd’hui jour de haine : votre analyse des langues régionales, et de l’objection de conscience, contient du cheval…

HammerStein dit: à

Mauvaise Langue, j’ignore la langue que vous parlez mais
 » qu’on lui avait empêché de parler breton à coups de punitions quand il était gamin.
celle que vous éfrivez, c’est du michelin ou de la micheline ?
je vous interdis de me répondre !
bon weekend et écrivez!

JC dit: à

W,
vous me pardonnerez, mais votre Ozon a une gueule d’éboueur !
Ou d’instit, si vous préférez …

W dit: à

yop la boum n’est-il pas un des nombreux avatars de DHH ?Chaloux vous êtes à la traîne,22/02 12h12 plus de 24heures pour répondre!un décalage horaire ou l’effet désopilant d’une chambre d’échos à retardement?

bouguereau dit: à

Merci De Gaulle !

..tu t’égares von traube..jicé te dirait qu’on le doit au jacobin, enfin avec le sang des autres..du rothko, mais du vrai..pas du « ce faisan » année 50 pour repeindre les capitalo

HammerStein dit: à

que vous écrivez !

bouguereau dit: à

une gueule d’éboueur ! Ou d’instit, si vous préférez …

..et alors ? regalien..

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*