de Pierre Assouline

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La République des livres
Le Goncourt 2014 se trouve parmi ces titres

Le Goncourt 2014 se trouve parmi ces titres

La société littéraire des Goncourt, que d’aucuns s’obstinent à appeler l‘Académie Goncourt en référence à l’autre, fêtait aujourd’hui le centième anniversaire de son installation au restaurant Drouant, dans un petit salon du premier étage. C’est là que ses dix membres se réunissent une fois par mois pour y discuter de leurs lectures en vue de l’attribution de ses cinq prix littéraires. Aujourd’hui, commémoration oblige, « les Goncourt », comme on les appelle, avaient convié au rez-de-chaussée de l’établissement du chef Westermann, qui a confié avoir lu cette été à Grignan 1Q84 de Haruki Murakami, plusieurs dizaines de journalistes, critiques littéraires et critiques gastronomiques, pour le déjeuner historique.

Un brochet des Dombes cuit au court bouillon avec condiments et oeuf poché et vinaigrette au Vadouvan, le poulet du Gâtinais avec cuisse farcie aux béatilles, poitrine rôtie, cèpes cuits et crus, et une mousse glacée à la framboise et aux fruits rouges furent servis; ces plats étaient inspirés des recettes de l’ancienne président du jury, la romancière Colette manière de « réconcilier la littérature et l’estomac » comme le fit remarquer le président Pivot,  après tant d’années à ingurgiter de la littérature à l’estomac. Outre le menu, arrosé notamment de Pouilly Fuissé Le Moulin 2011 de chez Jean Manciat et de Médoc Goulée 2008 vinifié par Cos d’Estournel, ils mirent à profit cette occasion pour y dévoiler également leur première sélection (par ordre alphabétique) en vue de l’attribution de leur prix le 5 novembre, ce qui a permis aux gazettes d’en pointer également les absents, enfin surtout l’absent comme s’il n’y en avait qu’un, et permettra aux jeunes jurés du Goncourt des lycéens de se déterminer :

Adrien Bosc, Constellation, Stock
Kamel Daoud, Meursault, contre-enquête, Actes Sud
Grégoire Delacourt, On ne voyait que le bonheur, JC Lattès.
Pauline Dreyfus, Ce sont des choses qui arrivent, Grasset
Clara Dupont Monod, Le roi disait que j’étais diable, Grasset
Benoît Duteurtre, L’ordinateur du paradis, Gallimard
David Foenkinos, Charlotte, Gallimard
Fouad Laroui, Les tribulations du dernier Sijilmassi, Julliard
Gilles Martin-Chauffier, La femme qui dit non, Grasset
Mathias Menegoz, Karpathia, POL
Eric Reinhardt, L’amour et les forêts, Gallimard
Emmanuel Ruben, La ligne des glaces, Rivages
Lydie Salvayre, Pas pleurer, Seuil
Joy Sorman, La peau de l’ours, Gallimard
Eric Vuillard, Tristesse de la terre, Actes Sud

(Photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 180 Réponses pour Le Goncourt 2014 se trouve parmi ces titres

Widergänger dit: à

À l’occasion, il ne dédaigne pas se faire un petit youpin, le Barozzi…

Jacques Barozzi dit: à

Je suis sincère, toto, incapable de bander devant une équipe de tournage et avec un partenaire que je n’aurais pas choisi. On me l’avait proposé pour un film hétéro et c’était bien payé, mais j’ai dû décliner l’offre…

Widergänger dit: à

La France, un pays d’édentés !

Z’avaient déjà pas grand chose dans le ciboulot, l’autre leur a fait perdre toutes leurs dents !

Un pays complètement anémié après le passage du Hollandais volant…

la tête à toto dit: à

François Busnel, lui, a aimé l’inénarrable « La peau de l’ours ». Extrait louangeur et très hyperbolique de sa critique téléphonée :

« C’est l’un des émerveillements de cette rentrée littéraire! Un petit livre parfait, qui rampe dans la mémoire longtemps après qu’on en a terminé la lecture, effaré, sonné. Un conte des temps modernes qui joue avec les peurs enfantines. Ces peurs que les adultes d’aujourd’hui, englués dans un siècle excédé de vitesse, ont un peu trop facilement remisées au rayon des antiquités. Qui ose encore écrire comme ça? Joy Sorman. Cette jeune romancière a réussi un tour de force. »

de nota dit: à

Je n’ai pas ce talent-là, hélas !

oh, c’est un talent qui diverge

la tête à toto dit: à

Judicieuse remarque dans la critique de Télérama, qui a également aimé, on ne sait trop pourquoi :

« En choisissant un ours plutôt qu’un singe, Joy Sorman évite le mimétisme entre l’homme et la bête, préférant un grand corps solennel et massif qui sait courir et grimper, se tenir debout et défier le monde de ses yeux perçants. »

Jacques Barozzi dit: à

Tu finiras en tenancier de sexshop, de nota, y a pas de sots métiers !

chantal dit: à

JB le temps des films comme Caligula de Tinto Brass est révolu ..

Valèrie trierweil dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 6 septembre 2014 à 12 h 30 min

arrêtez de vous vanter!
d’habitude les morues on les vide, FH est quand même le seul type capable de les remplir!!

Jacques Barozzi dit: à

Un talent qui diverge et déconne, c’est pas donné à tout le monde !

Widergänger dit: à

Leben ohne Poesie

Für A., für später

In diesem Herbst ist die Zeit fast ohne mich
vergangen
und mein Leben stand so still wie damals
als ich aus Mißmut Schreibmaschine lernen
wollte
und abends in dem fensterlosen Vorraum auf
den Begin des Kurses wartete
Die Neonröhren haben gedröhnt
und am Ende der Stunde wurden die
Plastikhüllen wieder über die Schreibmaschinen
gezogen
Ich bin gekommen und gegangen und hätte
nichts über mich sagen können
Ich nahm mich so ernst daß mir das auffiel
Ich war nicht verzweifelt nur unzufrieden
Ich hatte kein Selbstgefühl und kein Gefühl
für etwas anderes
Ich ging und satnd unentschieden herum
wechselte oft den Schritt und die Richtung
Ein Tagebuch das ich schreiben wollte
bestand aus einem einzigen Satz
« Ich möchte mich in einen Regenschirm stürzen »
und das noch versteckte ich in Kurzschrift
Vier Wochen lang hat jetzt die Sonne geschienen
und ich bin auf der Terrasse gesessen
und zu allem was mir durch den Kopf ging
und zu allem was ich sah
habe nur « ja », ja » gesagt

__________

Vivre sans poésie

Pour A., pour plus tard

Cet automne le temps a passé presque
sans moi
et ma vie était calme comme à l’époque
où de mauvaise humeur je voulais apprendre à
taper à la machine
et le soir dans le vestibule sans fenêtres
j’attendais le début du cours
Les tubes de néon grésillaient
et à la fin du cours les housses en plastic
étaient remises sur les machines à
écrire
Je suis venu et reparti et n’aurais
rien pu dire sur moi
Je me prenais tellement au sérieux que cette attitude me frappa
Je n’étais pas désespéré seulement insatisfait
Je ne ressentais rien n’avais de goût à
rien
Je tournais comme un animal dans sa cage sans savoir quoi faire
changeais souvent le rythme de mes pas et de direction
Un journal que je voulais commencer
en resta à cette seule et unique phrase
« Je voudrais sauter dans un parapluie »
et encore je l’avais prise en sténo pour qu’on puisse pas la déchiffrer
Et puis quatre semaines durant le soleil a brillé
et je suis resté sur la terrasse assis
et à tout ce qui me traversa la tête
et à tout ce que je vis
je me suis contenté de dire « oui, oui »

Widergänger dit: à

Et Barozzi botté et ceinturé rue Lauriston…!

la tête à toto dit: à

Le magazine littéraire, toujours à la pointe de la pensée, même sur ce coup-là, interroge le très éventuel lecteur :

« Sans manichéisme ni candeur, Joy Sorman interpelle le lecteur : qui, de l’homme ou de la bête, lui paraît le plus humain ? »

Sur les jurys dit: à

Et ceci aussi:
Disons que certains auteurs n’ont pas besoin de nous pour trouver leurs lecteurs – Amélie Nothomb serait l’illustration parfaite de ce cas de figure – et d’autres écrivent des textes qui ne correspondent pas à l’idée que nous nous faisons de la littérature, Marc Lévy par exemple. Nous aimons aller chercher dans les coins, découvrir de nouveaux talents et c’est pourquoi nous sommes très attentifs aux premiers romans. Nous avions par exemple très tôt soutenu Les bienveillantes et L’art français de la guerre qui ont été récompensés par deux Goncourt. Nous suivons aussi de façon systématique Les éditions de Minuit et leurs auteurs, Julia Deck, Éric Chevillard, Hélène Lenoir ou Jean Echenoz entre autres. Nous défendons aussi l’idée que la littérature se construit sur le long terme et nous accompagnons certains auteurs tout au long de leur travail, Laurent Mauvignier ou Patrick Deville par exemple. Disons enfin pour finir que nous ne parlons que des livres que nous aimons pour les défendre et les encourager. Nous ne détruisons pas les livres que nous n’aimons pas, il y a trop peu de place dans nos colonnes pour consacrer de l’espace à cela.

ueda dit: à

L’ours plutôt que le singe.
Parfaitement normal

Quand elles ont eu la faiblesse de choisir un monsieur petite blague, elles ont la nostalgie de la brute.

Il suffit de choisir la bonne file

La vie est simple et ces romans compliqués sont inutiles

Jacques Barozzi dit: à

Ah, si nous pouvions avoir quatre semaines de soleil continu cet automne !
La limpidité n’est pas mal rendue ML, mais juste un détail :
remplacer « qu’on puisse pas » par « que l’on ne puisse… » ?

des journées entières dans les arbres dit: à

et la roulette tourne encore
faites vos jeux, rien ne va plus.
première douzaine, noir, pair et manque.

« Un château fort au bord d’un lac, entouré de montagnes et de grandes forêts… « 

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est ce dont rêve le comte Alexander Korvanyi.
En 1833 ce capitaine hongrois quitte brutalement l’armée impériale pour épouser une jeune autrichienne, Cara von Amprecht. Aussitôt, il part de Vienne avec elle, pour aller vivre aux confins de l’Empire sur les terres de ses ancêtres.
Loin du folklore gothique, la Transylvanie de 1833 est une mosaïque complexe, peuplée de Magyars, de Saxons et de Valaques. D’un village à l’autre, on parle hongrois, allemand ou roumain ; on pratique différentes religions, on est soumis à des juridictions différentes.
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=978-2-8180-2076-0

Sur les jurys dit: à

La rentrée littéraire est avant tout un phénomène économique. C’est là que les éditeurs vont faire leurs plus gros tirages, propulser leurs « locomotives » telles qu’Olivier Adam ou Amélie Nothomb, avec des tirages de 50 000 ou 100 000 exemplaires pour commencer. C’est là aussi que sont lancés les « poissons pilotes », comme Julia Deck il y a deux ans, et qui est passée de 3 000 exemplaires au premier tirage à 40 000 exemplaires au final, grâce à une presse très élogieuse, en particulier la presse féminine. Il y a aussi « la cavalerie », c’est-à-dire les titres qu’on publie sans nécessairement avoir les moyens financiers nécessaires, mais on espère que les locomotives vont permettre de financer ces premiers romans. Gallimard par exemple publie quinze romans pour la rentrée en escomptant et des locomotives et de belles surprises. La deuxième raison à ce phénomène de la rentrée est culturelle : disons que c’est la dernière chose qui reste d’un rêve français, d’un patrimoine menacé, d’une culture singulièrement amaigrie. Pendant quelques semaines, on va beaucoup parler de livres, manière de perpétuer ce rêve qui n’est plus. La rentrée serait comme un long festival littéraire qui démarre le 20 août et se termine avec les prix.
J’ai passé mon été à lire, pas moins de quinze romans, parmi lesquels j’ai trouvé beaucoup de belles choses. Tout d’abord Chant furieux de Philippe Bordas chez Gallimard. C’est un roman qui parle de foot et de Zinedine Zidane, mais le fait dans une langue magnifique, proche de Saint-Simon ou Chrétien de Troyes, alors que l’auteur est né et a grandi à Sarcelles. J’ai lu Julia Deck et j’avais peur d’être déçu, mais ce second roman, Le triangle d’hiver, est encore meilleur que le premier. Il y a aussi le dernier roman de Patrick Deville, Viva, étonnant parallèle entre Léon Trotski et Malcolm Lowry, tous deux partis se réfugier au Mexique dans les années 1930. Mes goûts interviennent bien évidemment dans ces choix, et j’aime tout particulièrement l’imbrication d’une histoire dans l’Histoire, ce que Deville fait à merveille. Il y a aussi mes auteurs de chevet, Modiano par exemple. Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, son dernier roman, est en quelque sorte un remix de Remise de peine. J’aime aussi beaucoup les frères Rolin, deux grands virtuoses dans des genres différents. Je suis moins enthousiasmé que certains par Le Royaume d’Emmanuel Carrère. On y trouve de très beaux passages, mais on s’y perd un peu. Olivier Adam se répète avec Peine perdue ; sa langue m’ennuie, c’est une langue plus cinématographique que littéraire et ses thèmes qui ont trait à la France de la crise, deviennent un peu lassants. Citons aussi Autour du monde de Laurent Mauvignier qui a pour centre le tsunami de mars 2011 et dont l’écriture me touche beaucoup, ou encore Pas pleurer de Lydie Salvayre qui raconte la guerre civile espagnole par deux voix entrelacées, Centrale d’Elisabeth Filhol ou Faux nègres de Thierry Beinstingel. Et pour finir le dernier Éric Reinhardt, L’amour et les forêts, qui est précédé d’une rumeur fort élogieuse mais que je n’ai pas encore lu.

ueda dit: à

WG en slip Reiser attendant le client?

Il n’attendrait pas si longtemps.

Contrairement au bourrage des romans de rentrée, la vie est bien faite.

ueda dit: à

De crânes bien sur.

Widergänger dit: à

J’aime bien le rapprochement entre Saint-Simon et Chrétien de Troyes pour parler de foot… C’est le saut de l’ange ou de la bête, on ne sait plus trop… Le critique n’a pas l’air lui-même très au point…

évidence dit: à

Queue demande le peuple !

Widergänger dit: à

Laurent Mauvignier c’est simplement du sous Claude Simon. Bon à jeter. Pas de personnalité propre. Trop sous l’emprise du maître. Faut attendre encore quelques années. Peut-être un jour.

Widergänger dit: à

Enfin, bref, dans tout ce bordel, il est peu question de littérature !

closer dit: à

« On me l’avait proposé pour un film hétéro et c’était bien payé, mais j’ai dû décliner l’offre… »

C’était du temps où tu étais encore jeune et beau, Baroze…un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître…

kicking dit: à

le talent de jouer les autorités de l’élite.. passons..

Widergänger dit: à

Il faut savoir se dégager de l’emprise des autres pour prendre son envol, comme Kafka :

__________
Les dates et les lieux de publication des œuvres de Kafka sont étroitement liés au courant expressionniste en Allemagne à son apogée. Kurt Wolff, qui était l’éditeur de l’importante revue expressionniste « Der jüngste Tag », était aussi l’éditeur des nouvelles de Kafka, et Max Brod, qui ne cessa de pousser Kafka à écrire et à publier, appartenait au courant expressionniste — Adorno partant de là en vient à parler de sa parenté intime avec ce courant littéraire.

« Avec la liquidation du rêve par son omniprésence, Kafka, écrivain épique, poursuit l’élan expressionniste aussi loin que les poètes lyriques sont seuls à le faire de manière radicale… Le principe hermétique est celui du divorce de la subjectivité et de la réalité. Dans ce sillage, la pure subjectivité se retourne en mythologie, le spiritualisme conséquent en déchéance… La subjectivité absolue est en même temps dénuée de toute subjectivité (Prismes). »

(Walter H. Sokel, Franz Kafka, Tragique et Ironie)

Widergänger dit: à

Echenoz, c’est trop travaillé, ça manque de naturel. Trop expressioniste. Trop maniéré même. Pas bon. Pas beau.

Jacques Barozzi dit: à

Norbert Czarny, compétent et modeste, tout le contraire de ML le bouffon bouffi !

« Ma vocation profonde est la critique littéraire et la critique est pour moi un travail de pédagogie avant tout. L’un de mes modèles est François Truffaut qui savait parler des films avec clarté et force de conviction ; il donnait envie d’aller voir les films. La critique littéraire est également pour moi une bonne façon d’apprendre à réfléchir et à argumenter et je l’enseigne à mes étudiants dans cet esprit. Je suis un timide, je n’aime ni les mondanités ni les débats où il faut savoir être provocateur, avoir le goût de la formule qui frappe. Je suis quelqu’un de l’écrit et j’ai surtout envie de transmettre et de donner envie de lire. »

Widergänger dit: à

En mettant sur le même plan Chrétien de Troyes et Saint-Simon, il prête le flanc justement à la critique et éveille des doutes sur ses compétences en matière critique.

Et ceux comme le Gauleiter Barozzi qui le reconnaissent comme un bon critique montrent du même coup leur parfaite incompétence en matière littéraire…

la tête à toto dit: à

Dommage de n’être pas sensible à l’humour d’Echenoz ! C’est encore à un stade supérieur auquel vous n’arriverez sans doute jamais.

JC..... dit: à

brève dit: 6 septembre 2014 à 12 h 30 min
« à JC, chef de la milice : je ne suis pas une « patriote » au sens du F-Haine, il faudra donc me fusiller, j’espère que vous ne me raterez pas, je serai sans bandeau sur les yeux pour vous voir bien en face »

Vous n’avez rien compris au fascisme : jamais nous ne perdrions notre temps à vous regarder … Brève, vous êtes de la viande !

Toutes les fois où je tue un moustique d’une tapette précise, je ne me pose aucune problème humaniste, et mon regard reste « fuyant »… uhuhuhu !

J’allais oublier : bàV

Remettons le à sa place dit: à

Norbert Czarny est un excellent critique, de même que Mauvignier ou Echenoz sont de remarquables écrivains. Vous, Widergänger, vous n’êtes qu’un guignol bouffi et ridicule, postant des commentaires au fin fond d’un blog depuis des années. Autrement dit: rien du tout.

Widergänger dit: à

Tu parles, mon pauvre toto, toi et l’humour c’est comme le jour et la nuit. Ta connerie assombrit même la lumière !

Widergänger dit: à

Vous ne faites que montrer votre incompétence notoire en le disant. Ça va pas au-delà votre post (restante en rade)…

JC..... dit: à

Le Wanderer est infiniment meilleur que nombre d’entre vous, bandes de tarés à roulettes !

(…j’attaque en ce moment même « L’amour et les forêts » d’Eric le Gland, reçu d’Amazon ce jour)

Widergänger dit: à

Z’êtes nul et un con pétant !

chantal dit: à

So for me it’s weekend free, I have to see the last Ken Loach film, Jimmy’s Hall, have a nice a.m.

Jacques Barozzi dit: à

Beaucoup de points communs sur le métier de critique entre Norbert Czarny et Paul Edel.
(Ta gueule, ML !)

Widergänger dit: à

Ben je veux, oui !

Le Widergänger :
1°) C’est un grand traducteur;
2°) C’est un grand écrivain. Quand il pubiera son livre, les jurés du Goncourt viendront le supplier d’accepter le prix. Et Widergänger les flinguera plutôt que d’accepter cette saloperie.
3°) Widergänger sera la terreur des lettres française. Il flinguera à tout va et sera haï par tous. Et il s’en glorifiera parce qu’il sait combien les autres sont des gens médiocres et pas lui, qui leur est très suppérieur et haï pour cette seule raison.
4°) Widergänger triomphera de finalement de ses ennemis parce que la bonté, la bravoure du combattant pour la vérité lui sera reconnu internationalement. Ce qui fera fermer le bec à tous les petits crétins…

Widergänger dit: à

Paul Edel critique… arrêtons là la poilade…!

Remettons le à sa place dit: à

Ben voyons… Vous êtes d’une nullité crasse dans tous les domaines, déjà très vieux, et pour vous c’est la fin de la route. Votre problème, Widergänger, c’est que vous vous croyez fait pour la littérature alors que de toute évidence elle n’est pas faite pour vous. L’illustration parfaite de ce qu’un imbécile peut faire d’une bibliothèque quand il n’y fout pas le feu

Widergänger dit: à

S’il y en a un qui est un grand critique ici, c’est bien moi. Au point que le Popaul avait mis un de mes commentaires en ligne en le reprenant intégralement. Ce qui avait suscité bien sûr le sarcasme de tous les commentateurs tous plus jaloux les uns que les autres, et animés d’une haine virulente contre le grand critique que je suis. Déjà à l’université, je faisais l’éloge de mes professeurs, notamment je me souviens d’une explication d’un passage d’En attendant Godot de S. Beckett que j’avais faite devant tous les étudiants qui préparaient le concours avec moi et qui avait été louangé par le prof et mes chers camarades. Ce prof lui-même, qui était une sorte de perpétuel rebelle avec des sabots (il devait avoir un problème aux pieds) citant Echenoz avec son bouquin sous les yeux et y découvrant des alexandrins blancs en disait pis que pendre !

Remettons le à sa place dit: à

C’est dur, d’avoir raté sa vie et de n’être rien, Widergänger, j’imagine, mais enfin ce n’est pas une raison pour tympanniser votre monde avec ça depuis des années. Vous êtes un anonyme, un pauvre type tout en bas de l’échelle, et détruit par la rancœur, la jalousie, la frustration. ça se soigne, vous savez

Widergänger dit: à

Mais vous avez vu un peu qui vous êtes pour me juger ? Une pauvre larve belliqueuse… moi, je me cacherais si j’étais vous tellement vous êtes nul ! D’ailleurs, le simple fait de ne pas me trouver génial dit à quel point vous êtes un imbécile…

Jacques Barozzi dit: à

ML, plus important que l’écrivain, le critique ou le traducteur, tous incomparables, vous avez oublié le Grand Poète que vous êtes surtout et devant tous !

Jacques le F dit: à

@Remettons le à sa place

De tout cœur avec vous!
Hélas! Vous perdez votre temps!

Remettons le à sa place dit: à

Et surtout le Grand Comique! Widergänger, c’est le con du Dîner de cons, le type que les tenanciers de blog invitent pour que tous les commentateurs se foutent de sa gueule. ça marche depuis sept ans: quand on n’a pas le moral, on vient voir le Jacques Villeret de la RDL, on se poile un bon coup et on repart requinqué

Widergänger dit: à

Même Passou ne peut s’empêcher de me faired es compliments de temps en temps. C’est dire ! Tellement je suis génial.

Jacques le F dit: à

À bien y réfléchir, W. s’auto-parodie ou parodie un WG ou un ML ou un AT ou…
Personne n’est assez fou pour écrire ce que je lis aujourd’hui.

Widergänger dit: à

Grand poète bien sûr. Je ne l’oubliais pas. Seule ma modestie m’empêchais de le souligner.

Et n’oublions pas non plus le grand critique que je suis de l’œuvre d’un non moins grand poète, André du Bouchet. Sa propre fille a même mis sur son site un extrait de mon article sur André du Bouchet, le seul qui lui a semblé digne d’y figurer sur les quelques autres centaines de pages qu’on lui a pourtant consacré. Des critiques qui publient sur André du Bouchet citent mon article. C’est dire combien je suis important dans ce domaine aussi. Vous l’ignorez parce que vous êtes des ploucs c’est bien normal !

Remettons le à sa place dit: à

Guignol! Guignol! Guignol !
Un Grand Comique, on vous dit…
Et nous sommes partis pour une journée entière, chers amateurs d’humour

Widergänger dit: à

Tiens, lisez ce bouquin et vous verrez qu’il me cite en bonne place :

— Jacques Depreux, André du Bouchet ou la parole traversée, Seyssel, Champ vallon « Champ poétique », 1988.

chantal dit: à

on n’a pas que çà à faire W. 1988 ..

les critiques parlons – en.

avant d’aller voir le Ken Loach je vais voir sur la toile ce qui s’en dit et bien c’est fort varié ..

http://www.lesoir.be/637273/article/culture/cinema/2014-08-27/jimmy-s-hall-ken-loach-defend-toujours-liberte-penser

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1219726-jimmy-s-hall-de-ken-loach-prions-pour-qu-il-s-agisse-vraiment-de-son-dernier-film.html

http://www.lefigaro.fr/festival-de-cannes/2014/05/22/03011-20140522ARTFIG00173-cannes-2014-jimmy-s-hall-un-ken-loach-classique.php

ect ..

Widergänger dit: à

1400 islamistes partisan de Morsi assassinés par l’armée égyptienne. Un bon début. Mais il faut terminer le travail et éradiquer de la surface de la terre le Hamas maintenant.

ueda dit: à

Notre ami WG fait tout pour donner le sentiment qu’il a franchi pour toujours le cerceau de papier séparant le réel et l’imaginaire

Je préfère considérer que c’est un canular!

Widergänger dit: à

Nein, Gott sei dank ! Nur der Ueda ist eine Falschmeldung !

Harmonia dit: à

Il manque surtout ce cher Volodine…

Chaloux dit: à

Ueda, il n’est cependant pas impossible qu’au milieu de tout ce fatras, Alba finisse pas nous laisser un bouquin sublime. Le génie pousse où il veut.

Remettons le à sa place dit: à

Au vu du charabia qu’il poste continuellement ici, c’est impossible. Ce type n’a même pas le niveau de français d’un mauvais élève de collège. En revanche comme comique il est imbattable

Chaloux dit: à

Bah bah bah, il est dément mais il n’est point sot.

Recadrage dit: à

Bon, au lieu de déblatérer sur les vieillards frustrés qui peuplent ce blog depuis des années, on peut revenir au contenu des différents romans de la liste Goncourt?

Widergänger dit: à

Pour une fois, le Chaloux a les yeux en face des trous !

Remettons le etc dit: à

No-life et abruti, sacré Widergänger !

Widergänger dit: à

Et l’autre qui croient que les autres ici sont aussi nases que lui… Y se rend pas compte, le pauvre.

Widergänger dit: à

« Je pense aussi, je l’ai dit, qu’Obama et les siens veulent un ordre du monde très différent de celui qui existe aujourd’hui. Comme je l’ai dit dans des conférences : le problème planétaire essentiel à leurs yeux, c’est la puissance américaine. Et ils entendent abolir celle-ci. Ils y œuvrent. Ce qui se passe dans tout le Moyen Orient, de la Turquie à l’Iran, de l’Afghanistan à l’Irak, attentats compris, correspond à ce qu’ils veulent : je l’ai dit, et je le répète. Et ce qu’ils veulent (ou plus exactement ce qu’ils voudraient), c’est un monde régi par des dictatures et les Nations Unies. Sans aucun doute, un monde sans Israël.  »
(Guy Millière)

En passant dit: à

Ce qui frappe justement chez un Widergänger, c’est son incommensurable stupidité. Un internaute, tout à l’heure, le comparaît au Jacques Villeret du Dîner de cons, et effectivement il y a de ça. Avouons-le: certains d’entre nous ne viennent ici que pour voir ce pauvre homme se ridiculiser

Sergio dit: à

Passou, pour le moment il hétudie les menus rude boulot… Après il nous mettra les étiquettes de pif sacrée collec ! Héventuellement il jouera un coup de tromblon sur le toit… En Youtube ! Avec la sonate de Vinteuil…

Mme Michu dit: à

En tout cas, pour l’instant, la rentrée littéraire c’est Drouot en tête, pas tout à fait le genre plus belle la vie de baroz, mais c’est pas du Drouant non plus.

Widergänger dit: à

Vous avez bien du temps à perdre si c’est votre cas…!

Widergänger dit: à

Même le Popaul, y peut pas s’empêcher de me faire des compliments tellement mes commentaires tranchent sur la masse des imbéciles qui commentent ici, dont les vôtres, pauvre âne bâté ! Avez-vous seulement la moindre idée de l’image que vous donnez de vous pour des gens intelligents comme moi ? Il est assuré que non.

Mme Michu dit: à

Quelqu’un pour y croire ?

Mme Michu dit: à

Plus fort que les amazones & brade j’élis, na! da!

« Dans cette librairie de Washington, si le livre n’est pas en stock on vous le fabrique sur place. » pic.twitter.com/CpXLCs65tq

Vu sur le fil twitter d’un certain P.R.

Bloom dit: à

Ce lien bourgeois entre bouffe et littérature, typically French, non? (Brillat Savarin et sa Physiologie du goût, pas un hasard).
Ormuz de cet Arhiman, les oeuvres de Kafka, frugal végétarien pétri de honte et de culpabilité, dont on répète sans cesse qu’elles ne seraient pas publiées aujourd’hui. Comme de son vivant, d’ailleurs.
A table!

la tête à toto dit: à

Joy Sorman: «On a ridiculisé, humilié l’ours. Mais, pourtant, il est partout»

Son roman figure parmi les favoris du Goncourt, car publié par les éditions Gallimard. A noter.

la tête à toto dit: à

Si on lui attribue le Prix, on pourra dire qu’elle a obtenu le Gonc… ours !

Sergio dit: à

Ca serait pas une casquette de garde champêtre, finalement ?

JC..... dit: à

Je ne voudrais pas desservir ce malheureux Eric Reinhardt en en disant trop de bien …

J’en suis à la page 35 de son « L’amour et les forêts », ouvrage reçu ce matin de l’anaconda amazonien tant haï…. et je le lis avec un très grand plaisir !

Il fallait que je vous le dise : je suis comme cela. Je me plait énormément à le lire !

la tête à toto dit: à

Comme le manifeste le papier de Pierre Assouline, les jurés Goncourt sont de parfaits gastronomes ; la viande d’ours ne les rebute pas. Déjà lors d’une précédente sélection (en 2012) ils avaient eu recours à Joy Sorman pour magnifier la viande de boeuf. Voici ce que cette romancière atypique déclarait à l’époque dans « Libération » :

«Mon plus beau compliment ? Un ami m’a dit : « En finissant ton livre à quatre heures du mat, j’avais envie de me faire un gros steak. »»

vol-alma -lama dit: à

quoi qu’il en soit, la première dame d’ANGERS POUR MOI N4EST PAS NON PLUS madame Sallenave, mais Sheila Hicks , artiste de fiber art, découverte pat madame levi strauss, photographiée par Martine Frank (déjà dans les choix de P.ASSOULINE sur un fil
bonsoir

JC..... dit: à

Foutu…

Page 45, on glisse insensiblement à toute vitesse dans la merde, l’écriture plate, style novellas télévisuelle…, et on ne comprend pas pourquoi ?

Je vais essayer de trouver une lecture au second, troisième degré…. pour admettre cette chute et trouver une explication.

Quelle déception !

JC..... dit: à

J’ai picoré, survolé un peu vite…, la partie « conversation » sur Meetic. Cela s’arrange page 74 et 75. Je continue. Bonne soirée !

bouguereau dit: à

on glisse insensiblement à toute vitesse dans la merde

a vitesse luminique le temps passe tellement vite que tu t’en trouves sans dents le temps de dire ouf jicé..le ou passe à peine que le f n’est pus qu’un flapissement dla lippe

bouguereau dit: à

Ca serait pas une casquette de garde champêtre, finalement ?

de baisebol au finiche « dans la peau de rénateau »..ça fait peur

bouguereau dit: à

En finissant ton livre à quatre heures du mat, j’avais envie de me faire un gros steak

en lisant l’bouquin de trivélère kiki va kiffer staper dla blédine..jicé du flanbi..

Jacques Barozzi dit: à

Il ne faut pas faire à autrui ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse.
On a tous en mémoire comment, confondant la personne et la fonction, François Hollande et sa compagne ont proprement congédié Nicolas Sarkozy et son épouse sur le perron de l’Elysée à l’occasion de la passation des pouvoirs. Aujourd’hui, l’actuel président de la République en appelle au respect de sa fonction, tout en manquant à l’usage qui veut que l’on ne commente pas l’actualité intérieure depuis l’étranger : rien moins que la tribune de l’ONU pour répondre à son ex !
Le ridicule rejaillit sur la France, qui est totalement discréditée !
Pour son honneur, et surtout pour celui du pays, il n’y a pas 36 solutions.
La plus spectaculaire : le suicide à son bureau élyséen. On ne lui en demande pas tant !
L’autre, plus raisonnable, à la manière de Lionel Jospin, consisterait à s’attribuer la faute toute entière de son échec politique et de son impopularité : la démission et le retrait de la vie politique afin de se faire discrètement oublier.

brève dit: à

ah ! les glapissements de bouguereau, quelle désolation pour un vieux débris (de mots)

brève dit: à

le sieur Barozzi donneur de leçons, on croit rêver

Edouard ni Louis ni Limonov dit: à

Pivot a eu tort de fustiger les pages porno du Royaume. Meilleure poilade du livre. Quand Carrere veut affirmer qu il bande, cela tourne a l obsession. Il nous avait deja fait le coup avec la nouvelle du Monde, avec le livre de ses deboires amoureux ou il disait son desir de prendre la place d un tampax, de le machonner comme un sachet de the. Une psychanalyse hasardeuse et un caprice de toute puissance ne font pas office de contenu. Les Goncourt ont fait montre d une appreciable audace en le debarquant comme vulgum pecus.
Les autres? L absence de Mauvignier n a rien d un scandale. Bon garcon, ecrivain sincere mais besogneux, lourd, du sous Claude Simon perpetuel, pour reprendre Wider en grande forme, delirant, megalo, mais qui n a pas toujours tort, loin de la!
Pour la parite Mesdames vous repasserez. La rendre obligatoire, contresens. Mais constater combien les reflexes habituels n y poussent pas est utile. Le rapport CSA qui mentionne la tendance continye, insidieuse, a cantonner lrs femmes a des roles subalternes est sans appel. Autrement Reinhardt, j y suis, honnete, agreable mais sans plus. Joy Sorman, autre  » fille de », resucee du truisme a la Darrieusecq. Bof. Clara DM, un de ces bouquins de journaluste sans interet. Salvayre, pas transcendant mais au pays drs aveugles les borgnes font l affaire? Triste cuvee. Et la-dessus le livre de la virago VT cartonne. Le goujat presidentiel l a dans l os mais le feminisme aussi, helas. La palme de la cretinerie marketing pathetique? Foenkinos bien poli et joli, chez Lapix, son editeur se disant pret a soutenir ce livre « difficile »! On rit, mais jaune. Tant de belles choses par ailleurs. Les jures finalement ont du merite.

bouguereau dit: à

Le ridicule rejaillit sur la France, qui est totalement discréditée !

dans le povcon il y avait collusion avec la raclure pas karshère et dans ce sans dent il y a une concaténation littéraire folement interessante..folement n’est pas trop fort vu l’embrouille..le discrédit de la france c’est son visa pour pluton et l’universel..dracul c’est white trash l’uzi et les douille dans le caniveau..faite vos jeux..les tiens baroz

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…rien que des commentaires de lettrés à tours de bras,…pour à garder chacun son temple, sa chapelle,…

…on ne lui en demande pas tant,!…tous de la même  » grande école  » de suppôt du grand Satan,!…

…tout les matin, en prières aux bureaux des élisées,…Oui,!…nous sommes de grands porcs,!…donnons l’image contraire,!…
…des démissions pour des détails pour cacher les poutres aux yeux,!…

…c’est pareils partout,…chez nous une majorité suèdoise,!…pour mieux se remplir les poches des élites à deux balles des connivences,!…

…une majorité européenne pour se la couler  » douce « ,…la faute aux autres, à culpabiliser,!…
…l’art du n’importe quoi,!…
…pour en faire avaler des couleuvres,!…
…tourner en rond dans Stalag 13 Bruxelles-Carcan,!…en French-Cancan,!…Ollé,!…etc,!…
…le pied,!…capitale de l’Europe des plus cons que nous, on meurt endoctrinés,!…
…quel bordel d’héritiers,!…& lèche-culs aux corporations,!…libres,!…aux royaumes des étrangers-rois à s’en foutre des connivences délictuelles,!…
…nos milliardaires en attente,!…pourquoi faire,!…du nombrilisme plus pape que le pape en usuriers d’états,!…
…etc,!…c’est de bon coeur à l’emploi,!…
…les pauvres descendants du mépris des riches encore plus idiots que leurs pères,!…des sans dents du mépris,!…héritiers des lucres et haines,!…aux naturels,!…
…encore un effort,!…pour le bras d’honneur,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,!…envoyez,!…

bouguereau dit: à

Pivot a eu tort de fustiger les pages porno du Royaume. Meilleure poilade du livre

mets nous quelques bons morceaux..

bouguereau dit: à

mais qui n a pas toujours tort, loin de la!

que lassouline le kiffe ? pas photo..le white trash et l’uzi en lui..dracul un sans dents? huuuurkurkurkrukurk

Jacques Barozzi dit: à

« Les jurés finalement ont du mérite. »

Ou bien ce qu’ils méritent, Edouard ?
Faudrait les faire tourner chaque année, comme pour le Festival de Cannes !

de nota dit: à

Et le Duteurtre? Edouard, les premières pages sont feuilletables sur le site gallimard…ça se laisse lire.
On attendra aussi le verdict passoulinien.

de nota dit: à

Bouguereau! je reconnais pas Passou dans c’te vidéo,
moi qui croyais qu’il pratiquait le Jeu de Paume…il nous a embrouillé, epicémare

des journées entières dans les arbres dit: à

Edouard ni Louis ni Limonov dit: 6 septembre 2014 à 19 h 22 min
il me semble que son épouse actuelle l’épaule, à Emmanuel Carrère.
(encore au top des ventes aujourd’hui, derrière l’ex-future)
Rien de vicieux chez Carrère, c’est peut-être ce qui choque ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Je voulais dire ce qui choque les abrutis voyeurs que ce site  » littéraire » abrite.

la tête à toto dit: à

Les déçus du socialisme façon Hollande :

« Mais le plus préoccupant pour François Hollande se situe au niveau de sa cote de popularité chez les sympathisants de gauche avec seulement 34% qui lui font confiance (-7 points). Elle s’effrite même chez les sympathisants du PS avec seulement 44% de cote de confiance (-4). Même lorsqu’il était impopulaire, son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, avait toujours conservé un très fort soutien de la part des sympathisants UMP. » (Libération)

des journées entières dans les arbres dit: à

Quant à Pivot, hélas, s’il savait lire « le porno », là où il est vraiment dans la littéraure pour initiés à tirage confidentiel, celle qu’on se repasse avec un petit sourire entendu dans les soirées mondaines, ça se saurait; disons ça se saurait su… ( c’est bien conjugué, ça ? ça se saurait su, cela eût été su, etc)

des journées entières dans les arbres dit: à

littérature, colère !

des journées entières dans les arbres dit: à

Mais Pivot doit être un bon gidien ?

des journées entières dans les arbres dit: à

« J’ai picoré, survolé un peu vite…, la partie « conversation » sur Meetic. »

Porquerolles de ce côté-là ça doit être un peu le trou du cul du monde. Le névrosé a peut-être retrouvé  » sa compagne  » sur meetic ?

le film  » vous avez un message  » était quand même autrement plus drôle.

Polémikoeur. dit: à

Ce n’est sûrement pas original
mais la « rentrée » n’est pas finie
que, déjà, la distribution des prix…
Jetablement.

la tête à toto dit: à

Dans Le Parisien, un sondage qui va faire taire les racistes-misogynes de tout poil :

Sondage : 51% des Français plébiscitent Najat Vallaud-Belkacem http://dlvr.it/6qnDwC

Widergänger dit: à

Vous voulez dire que j’ai TOUJOURS raison !

Etant un génie, vous pouvez me faire confiance : je sais reconnaître un génie. Seul les génies se reconnaissent entre eux. Ils sont totalement invisibles pour autrui autrement.

Donc, je sais aussi voir ceux qui n’en sont pas.

Je suis extrêmement intelligent.
J’ai une très grande sensibilité littéraire.
Je suis un pédagogue hors pair.
J’ai une immense culture.
Je suis un grand traducteur et j’écris des chef d’œuvres que je réserve pour le moment à mon seul lecteur : moi même.

Voilà où en est réduit un génie dans la France d’aujourd’hui s’il veut survivre. Il est environné par la médiocrité. Un environnement mortel.

Widergänger dit: à

Pivot est un lecteur moyen mais il sait reconnaître un grand écrivain.

Widergänger dit: à

51% au poste où elle est c’est fragile comme position. À la première réforme venue, si elle mécontente les profs, elle passera sous la barre des 50% vite fait.

Elle peut encore monter si elle nous augmente. Il nous manque quelque 1000€/mois pour être à la hauteur des autres pays européens. Cette réforme est urgente.

la tête à toto dit: à

« Il nous manque quelque 1000€/mois »

Je pense au contraire qu’il faudrait vous baisser votre salaire d’autant : trop de vacances, pas assez de véritable compétence. C’est dit !

Polémikoeur. dit: à

Grâce à la télévision,
un Pivot à mis un pied
dans la boutique du livre
comme des Decaux ou Castelot
ont fini par incarner l’Histoire.
Bidonnulesquement.

des journées entières dans les arbres dit: à

Polé, Pivot pour les séances du dico, à son âge, ce serait un honneur. Simplement, c’est pas la même académie. Et là faut avouer que pour la littérature on préfèrerait trouver des gens à qui parler.

Widergänger dit: à

Juppé sera le recours face à la bérézina à gauche. Rdv 2017. Avec Sarkozy ministre de la corruption.

la tête à toto dit: à

« À la première réforme venue, si elle mécontente les profs, elle passera sous la barre des 50% vite fait. »

Au contraire, si elle fait les réformes qui s’imposent, notamment envers les profs, et pour le bien des élèves, sa cote ne peut que monter davantage.

Widergänger dit: à

Tu peux toujours dire tout ce que tu veux ici. Ça ne mange pas de pain. Mais ne viens pas me le dire en face parce que tu reçois mon poing sur la gueule et mon pieds au cul pour achever la bête, écrasé comme une vulgaire merde sous ma semelle.

la tête à toto dit: à

Je suis ceinture noire de judo. A bon entendeur, salut !

Widergänger dit: à

Tu recevras quand même mon poings dans ta sale gueule de con, crois-moi. Et on se mettra à plusieurs pour achever la bête.

la tête à toto dit: à

Le lâche ! il va rameuter ses copains aussi dégénérés que lui… Quand on est un homme, on règle ses affaires soi-même !

Widergänger dit: à

Il ne s’agit pas de régler des comptes. Il s’agit d’écraser une bête. On s’y met toujours à plusieurs dans ce cas pour être assuré que le travail sera bien fait, net et propre. Les petits merdeux dans ton genre, on a pris l’habitude de se les faire au petit déjeuner.

Widergänger dit: à

Le journaliste Nicolas Hénin révèle que le djihadiste français l’a frappé pendant sa détention

Un ex-otage français en Syrie, le journaliste Nicolas Hénin, a révélé samedi que Mehdi Nemmouche, le djihadiste français auteur présumé de la fusillade au Musée juif de Bruxelles, avait été l’un de ses geôliers et l’avait frappé pendant sa détention.

Les quatre journalistes français otages en Syrie libérés en avril -Nicolas Hénin, Pierre Torrès, Didier François et Édouard Élias- ont reconnu Nemmouche sur des photos après son arrestation fin mai.

L’information devait rester secrète, mais l’hebdomadaire Le Point, employeur de Nicolas Hénin, a publié son témoignage « glaçant » après que Le Monde a révélé que Nemmouche « aurait été l’un des geôliers des otages occidentaux détenus » en Syrie par l’État islamique (EI). Nicolas Hénin a expliqué sortir de sa réserve « pour informer le public ».

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a confirmé que les services avaient « transmis à la justice des éléments laissant à penser qu’il (Nemmouche) aurait pu être le geôlier de nos otages » dès que les autorités ont été en possession de ces informations. Il n’a pas donné de détails.

« C’est à la justice de faire son travail. Ce funeste personnage doit être jugé, il le sera », a poursuivi le ministre.

Nemmouche, 29 ans, est actuellement détenu en Belgique où il a été inculpé, soupçonné de quatre assassinats commis le 24 mai au nom du djihad au Musée juif de Bruxelles.

Arrêté en possession d’armes, d’un « drap » marqué d’un sigle État islamique (EI) et d’un film évoquant la tuerie du musée juif lors d’un contrôle de routine à Marseille le 30 mai, ce Français d’origine algérienne, parti faire le djihad en Syrie au sein de l’EI, a été remis fin juillet à la justice belge par la France.

« Abou Omar le cogneur »

Kenzo Tribouillard (AFP/Archives)Dans son témoignage, Nicolas Hénin présente Nemmouche comme « Abou Omar, le cogneur ». Il décrit un Nemmouche « membre d’un petit groupe de Français dont la venue terrorisait la cinquantaine de prisonniers syriens détenus dans les cellules voisines. Chaque soir, les coups commençaient à pleuvoir dans la salle dans laquelle j’avais moi-même été interrogé ».

« Quand Nemmouche ne chantait pas, il torturait », écrit le journaliste, qui dit avoir lui-même été frappé par l’homme qu’il connaissait sous le pseudonyme d’Abou Omar et qu’il surnommait « Abou Omar le cogneur ».

Il le décrit dans Le Point comme un geôlier « égocentrique et affabulateur pour qui le djihad n’est finalement qu’un prétexte pour assouvir sa soif maladive de notoriété. Un jeune homme paumé et pervers ».

« Il n’était probablement pas parti en Syrie pour se battre pour un quelconque idéal mais, avant tout, sans doute par manque de reconnaissance, pour se réaliser, pour réaliser une sorte de cavalcade meurtrière dont il avait fomenté le dessein », a abondé le journaliste lors d’une conférence de presse.

Ses collègues et lui ont été « en contact de juillet à décembre 2013 » avec Nemmouche, qu’il décrit comme doté d’un « très grand ego », a-t-il précisé.

Peu après la libération des quatre journalistes français, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius avait indiqué que certains de leurs geôliers s’exprimaient en français.

Des centaines d’Occidentaux sont partis faire le djihad en Syrie. Les assassins masqués des deux journalistes américains James Foley et Steven Sotloff s’expriment par exemple sur les vidéos de leurs décapitations avec des accents londoniens.

Mehdi Nemmouche, qui garde le silence sur les faits qui lui sont reprochés, doit comparaître le 12 septembre devant la chambre du Conseil de Bruxelles. Cette juridiction d’instruction doit décider de prolonger ou non sa détention préventive, selon son avocat belge, Me Henri Laquay.

En France, une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris, en 2013, pour « enlèvement et séquestration en relation avec une entreprise terroriste » à la suite de l’enlèvement des journalistes français en Syrie. Une autre l’a été après l’arrestation de Mehdi Nemmouche pour « assassinat, tentative d’assassinat, détention et transport d’arme en lien avec une entreprise terroriste ».

(avec AFP)

des journées entières dans les arbres dit: à

« C’est à la justice de faire son travail. Ce funeste personnage doit être jugé, il le sera », a poursuivi le ministre.

so what ?

Jacques Barozzi dit: à

Je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai pas le sentiment que Hollande, déjà à mi mandat, n’ira pas au bout du quinquennat ? Le soufflet est trop vite retombé et la mayonnaise n’a jamais prise !

Jacques Barozzi dit: à

ira au bout…

Jacques Barozzi dit: à

Je ne crois pas non plus au retour de Sarkozy, son tour est passé…

la tête à toto dit: à

La justice française est à juste titre très sévère pour les musulmans qui veulent partir pour le jihad. Notons-le. La question importante, à mon avis, est de connaître avec précision le nombre de candidats qui se portent volontaires. Les chiffres sont cachés, et d’ailleurs encore assez mal connus par les autorités, y compris les services de renseignement. Ils n’excèdent pas, je pense, quelques dizaines d’individus, et probablement moins. A vérifier, mais comment ?

lecteur, simplement dit: à

(l’article précédent d’assouline, m’avait rendu furax – je terminais un gros bouquin (M.T. « l. M. ») ; MI-RA-CLE !!! j’extrais de ma bibli, un (j’en ai +sieurs) Banville, « l’intouchable » – suis à moitié de lecture – si JC ne l’a pas lu, je l’y invite !)
(ticket de caisse-marque page, dans ce book – livre-de-poche-, est daté de 2005 … des subtilités de language, pensées, subtilités amicales, deplomatates – well, quel trip !
et, surtout, le côté irlandais est un must
(trip perso, seul Edika pourrait illustrer 🙂

Widergänger dit: à

Vous inquiétez pas Barozzi, la rue Lauriston vous accueillera les bras ouverts !

Widergänger dit: à

Le toto il est pas seulement un con pétant à l’égard des profs et de l’enseignement mais également à l’égard des jihadistes qui sont plusieurs centaines.

Il va finir par l’avoir sa raclée…

la tête à toto dit: à

« à l’égard des profs et de l’enseignement mais également à l’égard des jihadistes »

Ne mettons pas les profs et les jihadistes dans le même panier, quand même !

pensivement dit: à

Jacques Barozzi dit: 6 septembre 2014 à 21 h 36 min
Auriez-vous la possibilité de vous procurer Courrier International, n°1053, du 06 au 12 janvier 2011 -en couverture, la gauche; la plus bête du monde ? (20 journalistes étrangers se prononcent (en couverture, dessin de Hachefeld (Berlin) pour C.I.)
Jacques, points de vue éloquents, le plus … hilarant – à l’époque où je l’ai lu (un simple post-it collé-et des sou’sur’lignements (pas stabylotés) « intempestifs (?) –

un must ! yep !

Antonio Marales Riverva , l’article est illustré par « Mix & Remix » : La gauche cherche LEADER (de gauche serait un plus)- slogan sur fond rose
Ambiance … dénichez, non seulement cet article, mais cet exemplaire !

émile dit: à

Widergänger 6 septembre 2014 à 21 h 48 min
« Vous inquiétez pas Barozzi, la rue Lauriston vous accueillera les bras ouverts ! »

vous voyez bien, Baroz, que Wiederverrückt est plein d’attentions à votre égard!

so tired dit: à

Widergänger dit: 6 septembre 2014 à 21 h 20 min

appréciant certaines de vos interventions littéraires, pertinentes, là … ça craint !
« t’es bête ou quoi tit Michou » – personnage (chrétien, certes) d’un illustré, abonnement, mes gosses en ont été friands, so do I (était-ce Blaireau ?)

Sergio dit: à

la tête à toto dit: 6 septembre 2014 à 20 h 27 min
les racistes-misogynes

Enfin bon les femmes c’est une catastrophe mais c’est pas une race…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…des écrits Oui,!…aussi du coeur,!…S.V.P.,!…

…trop de détails implicitement  » mascarade  » à liens logiques comme des  » chevaux de Troies ou autres Sida d’opinions à imposer,!…
…les corrélations à embrouiller son auditoire,…du macadam sur les yeux,!…
…les  » W.W.W.W.W.W,!… » corporatistes des chiottes nombrilistes,!…tirer la chasse aux parfums,!…Merci,!…Go,!…
…etc,!…

Carnets du sous-sol dit: à

On fait les comptes :

Gallimard 4
Grasset 3
Actes sud 2
JC Lattès 1
Stock 1
Julliard 1
POL 1
Rivages 1
Seuil 1

Comme tous les ans, toujours les mêmes éditeurs, à une ou deux exception près. Comme s’il y n’y avait pas plus de 10 maisons d’éditions dédiées à la littérature en France… Qui voudra nous faire croire après ça que les dés ne sont pas pipés ?…

Jacques Barozzi dit: à

Qui se cache derrière ces Carnets du sous sol ?

D. dit: à

Quelqu’un de particulièrement soupçonneux, Jacques. Et peut être jaloux.

D. dit: à

genre…je vois bien qui, mais par charité chrétienne je ne le dirai pas.

JC..... dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 6 septembre 2014 à 20 h 19 min
« Porquerolles de ce côté-là ça doit être un peu le trou du cul du monde. »

Non ! Pas du tout… ce n’est pas un lieu géographique. Voyez-vous, Djedla, le trou du cul du monde, c’est partout où vous êtes !

JC..... dit: à

En poursuivant la lecture de « l’amour et les forêts » de Reinhardt, je me dis que ce livre est actuel, au sens de commun. Pas grossier ou banal, mais « bien de son temps ». Défauts et qualités.

Tout ce qu’il faut pour gagner…

JC..... dit: à

Ma compagne de cellule, dont les mœurs sont la perversion même et le sadisme une pratique quotidienne, me voyant gallimariser me pose sous le nez « Anaconda » de Quiroga, « Les vitamines du bonheur » de Carver, « le Maitre et Marguerite » de Boulgakov.

Elle ajoute :
– Relis moi ça, mon grand, et on reparlera de la notion de progrès dans la littérature
– M’enfin, Bobonne ! On va pas comparer Voltaire et Reinhardt, Yourcenar et Trierweiler … merde !

Le mariage, pour tous, … c’est l’enfer !

JC..... dit: à

Je vous fais mes adieux !

Le referendum d’indépendance qui aura lieu en Ecosse le 18 de ce mois en est la cause. Ma copine Marie, descendante directe des Stuart, vient de me proposer le poste de Premier Ministre dès qu’elle sera devenue Reine d’Ecosse.

La gueule d’Elizabeth II …!!! Ah ! la vieille…

Dans mon gouvernement, j’envisage de confier la Culture à Bouguereau, l’Instruction Publique à ML, l’Armée à Dédé la Soucoupe, l’Economie à Chantal, l’Industrie à Sergio, l’Egalité des chances à Clopine, la Justice à Hamlet, les Affaires Etrangères à Court, l’Intérieur à Abdelkader, le Tourisme à Barozzi, le Cabinet Noir à Passou.

Bien entendu, le port du kilt sera obligatoire, sauf pour les filles que j’ai mis là seulement pour faire joli…et moderne.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…continuons de créer, des dessins, des peintures,!…c’est plus rentables pour donner des liens d’évolutions
…& moins vaches,…que les scribouillis trop engagés à perdre pieds dans le pétrin,!…
…la pensée & les hommes entubés aux parfums,!…
…la flotte,…comme des Airbuss,…en gravités,…çà plane pour moi,!…etc,!…cool,!…

des journées entières dans les arbres dit: à

Si le névrosé de Porquerolles s’emballe, c’est que je dois avoir à peu près mis dans la mille…

JC..... dit: à

Je crois Djedla que tu l’as mis dans la mille … à peu près ! Comme toujours !

des journées entières dans les arbres dit: à

Allez, on va chauffer un peu la salle.

Je me demande si Edouard ni Louis ni Limonov du 6 septembre 2014 à 19 h 22 min n’est pas critique littéraire dans un magazine gay ?

JC..... dit: à

Tout ce que l’on peut en dire, c’est que l’usage des accents ne l’embarrasse pas. Clavier primaire ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Ou pauvre littérateur que sa compagne a fui ?

des journées entières dans les arbres dit: à

zut, il faut vraiment que me me chauffe les doigts:
pauvre littérateur que ce Edouard

des journées entières dans les arbres dit: à

« Une psychanalyse hasardeuse et un caprice de toute puissance ne font pas office de contenu. »

Cette phrase est on ne peut plus symptômatique d’un lecteur qui a tout lu au premier degré.

Et qui n’a pas dû encore trop réfléchir à sa place dans le monde, je veux dire en tant qu’humanité …

Bref, quelqu’un pour qui la spiritualité va se résumer à faire de l’esprit de salon.

Pauvre con.

JC..... dit: à

Ne nous énervons pas, Djedla….

En outre, « l’humanité », c’est juste un truc inévitable sur Terre, comme les déserts, les microbes, les rochers !

Ne me dites pas que vous vous intéressez aux rochers…? ça n’en vaut pas la peine, voyons !!!

émile dit: à

(Un richissime héritier japonais a réussi à concevoir plus de 30 enfants avec des mères porteuses en Thaïlande. Il voulait aller jusqu’à 1000, et continuer jusqu’à sa mort) nouvelobs

des journées entières dans les arbres dit: à

En revanche si Edouard avait mis cette phrase
« Une psychanalyse hasardeuse et un caprice de toute puissance ne font pas office de contenu. » en commentaire du bouquin de Reinhardt, n’est-ce pas, cela aurait pris une autre allure.
__________________

Oui, j’aime beaucoup les histoires de rochers, de grimpeurs, de déserts, et d’explorateurs.

JC..... dit: à

J’en étais sûr et certain…..

Clopine dit: à

Notre hôte va voter pour le Reinhardt, j’en suis sûre. Non seulement parce qu’il s’est enthousiasmé (à tort, à mon sens) pour ce livre, mais encore parce qu’à part jcé (c’est un signe funeste !), aucun d’entre nous n’a apprécié cette prose, il est vrai en extraits seulement m’enfin.

Et même jcé semble déçu, in fine. C’est dire !

Or, notre hôte, homme orgueilleux, voudra confirmer son premier choix ; et il est suffisamment habile pour convaincre ses petits camarades.

Donc, si nous jouons à « qui sera l’élu », avec un gros soupir j’indique Reinhardt – un Goncourt que je n’achèterai pas.

Clopine dit: à

Très bien, l’article de Cotta sur VT, et bravo aux libraires courageux qui préfèrent s’asseoir sur le profit plutôt qu’être mêlés à ça.

Mais perso je vais encore plus loin, et je voudrais bien qu’on interrgeât aussi la maison d’édition « les Arènes » : l’éditeur a AUSSI sa part de responsabilité, il me semble, non ?

JC..... dit: à

P’tain,
« INTERROGER » L’EDITEUR ? DANS UNE BAIGNOIRE ?!!! J’hallucine grave…

Résumons:
Un éditeur, ça doit gagner de l’argent avec des conneries, pour sortir quelques pépites. C’est le B.A. BA du business…

Ah ! ces anticapitalistes : ils n’y comprennent rien.

Polémikoeur. dit: à

L’intérêt pour les rochers,
est affaire de regard.
N’y a-t-il pas des pavés
jusque dans la Rdl ?
Normal, des rochers, des pierres…
Sans vous commander,
quand vous aurez réfléchi
à la place du minéral
dans nos pauvres existences,
vous aurez peut-être plus d’attention
pour le support sans lequel
il n’y a même plus de moules.
Attention aussi parce qu’il existe
des pierres coupantes, d’autres qui chutent
et qui se prennent sur la tronche !
Bref, tout un monde, le nôtre,
qui sa « chance » de se terminer
en jardin de pierres.
Pétraquement.

brève dit: à

JC, le névrosé de Porquerolles ? pire Mister Foldingue en personne mais un trublion de pacotille,
comme dirait le vieux débris (de mots)

Polémikoeur. dit: à

Le courage d’un libraire
de ne pas étaler le brûlot
d’une jalouse pathologique
est-il la jauge des passions
où cristallise la médiocrité
d’une époque de bravos comptés
à l’aide de boutons « like » ?
Deprofundisfonctionnement.

des journées entières dans les arbres dit: à

« L’intérêt pour les rochers,
est affaire de regard. »

ça dépend; ça aussi, on pourrait tergiverser, surtout concernant la fin qui plombe: tu retourneras poussière.

C’est quel verset de la bible que vous lisez Polé ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Je vais devoir quitter; un soleil radieux …

Je vous laisse une cerise, c’estt la même.
Vous n’en avez pas encore atteint le noyau, il me semble.

http://www.youtube.com/watch?v=qsP-QdIA1os

Jacques le F dit: à

À propos du Prix Goncourt, c’est toujours un plaisir pour moi d’en retrouver la liste.

Combien de ces auteurs avez-vous lu?

1903 John-Antoine Nau Force ennemie La Plume
1904 Léon Frapié La Maternelle Albin Michel
1905 Claude Farrère Les Civilisés Paul Ollendorff
1906 Jérôme et Jean Tharaud Dingley, l’illustre écrivain Cahiers de la Quinzaine
1907 Émile Moselly Terres lorraines et Jean des Brebis ou le livre de la misère Plon
1908 Francis de Miomandre Écrit sur de l’eau… Émile-Paul Frères
1909 Marius-Ary Leblond En France Fasquelle
1910 Louis Pergaud De Goupil à Margot Mercure de France
1911 Alphonse de Châteaubriant Monsieur des Lourdines Grasset
1912 André Savignon Filles de la pluie Grasset (2)
1913 Marc Elder Le Peuple de la mer Calmann-Lévy
1914 Adrien Bertrand L’Appel du sol Calmann-Lévy (2) Décerné en 1916
1915 René Benjamin Gaspard Fayard
1916 Henri Barbusse Le Feu Flammarion
1917 Henry Malherbe La Flamme au poing Albin Michel (2)
1918 Georges Duhamel Civilisation Mercure de France (2)
1919 Marcel Proust À l’ombre des jeunes filles en fleurs Gallimard
1920 Ernest Pérochon Nêne Plon (2) Publié en 1914 aux éditions Clouzot
1921 René Maran Batouala Albin Michel (3) Premier écrivain antillais récompensé
1922 Henri Béraud Le Vitriol de Lune et Le Martyre de l’obèse Albin Michel (4)
1923 Lucien Fabre Rabevel ou le Mal des ardents Gallimard (2)
1924 Thierry Sandre Le Chèvrefeuille, le Purgatoire, le Chapitre XIII Gallimard (3)
1925 Maurice Genevoix Raboliot Grasset (3)
1926 Henri Deberly Le Supplice de Phèdre Gallimard (4)
1927 Maurice Bedel Jérôme 60° latitude nord Gallimard (5)
1928 Maurice Constantin-Weyer Un homme se penche sur son passé Rieder
1929 Marcel Arland L’Ordre Gallimard (6)
1930 Henri Fauconnier Malaisie Stock
1931 Jean Fayard Mal d’amour Fayard
1932 Guy Mazeline Les Loups Gallimard (7) Année du Voyage au bout de la nuit de Céline
1933 André Malraux La Condition humaine Gallimard (8)
1934 Roger Vercel Capitaine Conan Albin Michel (5)
1935 Joseph Peyré Sang et Lumières Grasset (4)
1936 Maxence Van der Meersch L’Empreinte du dieu Albin Michel (6)
1937 Charles Plisnier Faux Passeports Corrêa
1938 Henri Troyat L’Araigne Plon (3)
1939 Philippe Hériat Les Enfants gâtés Gallimard (9)
1940 Francis Ambrière Les Grandes Vacances Nouvelle France Réservé, le prix est attribué en 1946
1941 Henri Pourrat Vent de Mars Gallimard (10)
1942 Marc Bernard Pareils à des enfants Gallimard (11)
1943 Marius Grout Passage de l’homme Gallimard (12)
1944 Elsa Triolet Le premier accroc coûte 200 francs Denoël Première femme à recevoir le Goncourt
1945 Jean-Louis Bory Mon village à l’heure allemande Flammarion (2)
1946 Jean-Jacques Gautier Histoire d’un fait divers Julliard
1947 Jean-Louis Curtis Les Forêts de la nuit Julliard (2)
1948 Maurice Druon Les Grandes Familles Julliard (3)
1949 Robert Merle Week-end à Zuydcoote Gallimard (13)
1950 Paul Colin Les Jeux sauvages Gallimard (14)
1951 Julien Gracq Le Rivage des Syrtes Corti refusé par l’auteur
1952 Béatrix Beck Léon Morin, prêtre Gallimard (15)
1953 Pierre Gascar Les Bêtes Gallimard (16)
1954 Simone de Beauvoir Les Mandarins Gallimard (17)
1955 Roger Ikor Les Eaux mêlées Albin Michel (7)
1956 Romain Gary Les Racines du ciel Gallimard (18)
1957 Roger Vailland La Loi Gallimard (19)
1958 Francis Walder Saint-Germain ou la Négociation Gallimard (20) Auteur belge
1959 André Schwarz-Bart Le Dernier des Justes Seuil
1960 Vintila Horia Dieu est né en exil Fayard attribué mais non décerné à l’auteur en raison de son passé politique
1961 Jean Cau La Pitié de Dieu Gallimard (21)
1962 Anna Langfus Les Bagages de sable Gallimard (22)
1963 Armand Lanoux Quand la mer se retire Julliard (4)
1964 Georges Conchon L’État sauvage Albin Michel (7)
1965 Jacques Borel L’Adoration Gallimard (23)
1966 Edmonde Charles-Roux Oublier Palerme Grasset (5)
1967 André Pieyre de Mandiargues La Marge Gallimard (24)
1968 Bernard Clavel Les Fruits de l’hiver Robert-Laffont
1969 Félicien Marceau Creezy Gallimard (25)
1970 Michel Tournier Le Roi des aulnes Gallimard (26)
1971 Jacques Laurent Les Bêtises Grasset (6)
1972 Jean Carrière L’Épervier de Maheux Pauvert
1973 Jacques Chessex L’Ogre Grasset (7) Premier lauréat suisse
1974 Pascal Lainé La Dentellière Gallimard (27)
1975 Émile Ajar (Romain Gary) La Vie devant soi Mercure de France (3) Unique cas de double lauréat,
par ignorance de la mystification
1976 Patrick Grainville Les Flamboyants Seuil (2)
1977 Didier Decoin John l’Enfer Seuil (3)
1978 Patrick Modiano Rue des boutiques obscures Gallimard (28)
1979 Antonine Maillet Pélagie-la-Charrette Grasset (8) Première lauréate canadienne
1980 Yves Navarre Le Jardin d’acclimatation Flammarion (3)
1981 Lucien Bodard Anne Marie Grasset (9)
1982 Dominique Fernandez Dans la main de l’ange Grasset (10)
1983 Frédérick Tristan Les Égarés Balland
1984 Marguerite Duras L’Amant Éditions de Minuit
1985 Yann Queffélec Les Noces barbares Gallimard (29)
1986 Michel Host Valet de nuit Grasset (11)
1987 Tahar Ben Jelloun La Nuit sacrée Seuil (4) Premier lauréat marocain et donc africain
1988 Erik Orsenna L’Exposition coloniale Seuil (5)
1989 Jean Vautrin Un grand pas vers le Bon Dieu Grasset (12)
1990 Jean Rouaud Les Champs d’honneur Éditions de Minuit (2)
1991 Pierre Combescot Les Filles du Calvaire Grasset (13)
1992 Patrick Chamoiseau Texaco Gallimard (30)
1993 Amin Maalouf Le Rocher de Tanios Grasset (14) Premier lauréat libanais
1994 Didier van Cauwelaert Un aller simple Albin Michel (8)
1995 Andreï Makine Le Testament français Mercure de France (4) Également prix Médicis
1996 Pascale Roze Le Chasseur Zéro Albin Michel (9)
1997 Patrick Rambaud La Bataille Grasset (15) Également Grand prix du roman de l’Académie française
1998 Paule Constant Confidence pour confidence Gallimard (31)
1999 Jean Echenoz Je m’en vais Éditions de Minuit (3)
2000 Jean-Jacques Schuhl Ingrid Caven Gallimard (32)
2001 Jean-Christophe Rufin Rouge Brésil Gallimard (33)
2002 Pascal Quignard Les Ombres errantes Grasset (16)
2003 Jacques-Pierre Amette La Maîtresse de Brecht Albin Michel (10)
2004 Laurent Gaudé Le Soleil des Scorta Actes Sud
2005 François Weyergans Trois jours chez ma mère Grasset (17) Auteur belge
2006 Jonathan Littell Les Bienveillantes Gallimard (34) Également Grand prix du roman de l’Académie française
2007 Gilles Leroy Alabama song Mercure de France (5)
2008 Atiq Rahimi Syngué sabour. Pierre de patience P.O.L.
2009 Marie NDiaye Trois femmes puissantes Gallimard (35)
2010 Michel Houellebecq La Carte et le Territoire Flammarion (4)
2011 Alexis Jenni L’Art français de la guerre Gallimard (36)
2012 Jérôme Ferrari Le Sermon sur la chute de Rome Actes Sud (2)
2013 Pierre Lemaitre Au revoir là-haut

JC..... dit: à

« Le courage d’un libraire » de ne pas étaler le brûlot. (Polémikeur)

J’appelle ce courage là une connerie majeure, grandiose, futile et grandiloquente !

JC..... dit: à

« Combien de ces auteurs avez-vous lu? » (Comte de Barozzi)

Un paquet, lus au hasard, ….pas de quoi tirer une conclusion !

Jacques Barozzi dit: à

Libraires courageux ou suicidaires, Clopine ?
Si les livres sont leur passion, qu’ils se fassent plutôt bibliothécaires.
Celui que j’ai entendu regrettait que ses clients réclament celui-ci au détriment des romans de la rentrée !
Le propre d’un commerçant n’est-il pas de mettre à la disposition de ses clients ce qu’ils désirent, auquel cas il ne faudra pas se plaindre si ceux-ci, comme vous, feront de plus en plus appel à Amazon !
Et ce livre, peut-être sordide et dérangeant, mais contenant quelques vérités toujours bonnes à dire, mérite t-il d’être censuré ?
Je ne le crois pas. Libre à tout un chacun de l’acheter ou pas.
Sous l’Ancien Régime, l’auteur de ce pamphlet en forme de réglement de compte serait allé le faire éditer à Amsterdam et il se diffuserait sous le manteau.
Autre temps autre moeurs…

des journées entières dans les arbres dit: à

Combien en avez vous lu ?
Qualitativement, le chiffre 84, 1984, 1Q84 est ésotériquement porteur.

Jacques Barozzi dit: à

Je ne suis pas Jacques le F., JC.
Pour ma part, j’en ai compté 25, soit un peu moins d’un quart.

chantal dit: à

printed in Germany !

Edouard dit: à

Des journees dans les arbres, je ne suis pas contempteur d Emmanuel Carrere dans le systematisme abruti qui semble caracteriser votre adoration. J ai aime certains de ses livres. Maintenant ses actions baissent , son ecriture s est relachee, a pris des tics, des facilites, du toc faute de remise a plat. La sexualite et le traitement demago et vendeur qu il en propose n est su un exemple. Je ne joue pas a la vierge effarouchee, ces pages sont simplement grotesques et si la galanterie ne m imposait pas de la retenue, je vous conseillerais d user de l ordonnance de viagra que vous preconisez d un usage precis.
J ai lu ou suis en train de lire plusieurs des livres de la liste et je maintiens : le Reinhardt, d une lectute agreable mais loin de l emballement d Assouline. Mauvignier est un bon ecrivain, un peu trop confit en grandecrivainerie sanctifiee, sans une once de capacite d humour, sans invention reelle, dont la consensualite, le formatage caches m ont lasse – chez les plus grands, au plus noir et au plus grave, je retrouve toujours cette etincelle, cet ecart, une fantaisie dont Mauvignier definitivement est depourvu. Joy Sorman m a ennuye et Salvayre ne m a pas fait grimper au plafond. Cela vous va t il mieux de la sorte? Vous me traitez de pauvre con? Sarkozyste, en
Plus d etre limitee? Le cumul devrait ette interdit. Bonne journee!

Jacques Barozzi dit: à

A quoi correspondent les chiffres entre parenthèses, Jacques le F. ?

Polémikoeur. dit: à

Qu’un dîner de dix compères érigés en arbitres
d’une foire éditoriale saisonnière, si adroite
en soit la mise en scène, renvoie les agences
événementielles en vogue au rang de dames
patronnesses organisatrices de kermesses
de catéchisme !
Publicictuaillement.

des journées entières dans les arbres dit: à

Des journees dans les arbres, je ne suis pas contempteur d Emmanuel Carrere dans le systematisme abruti qui semble caracteriser votre adoration.

hop! hop! hop!, on s’arrête là.

Que viens faire NS dans cette histoire ?

Clopine dit: à

Je croyais n’en avoir lu qu’une poignée, en fait j’en ai lu bien plus que cela. Mais je ne les ai pas lus (ou bien inconsciemment) à cause du Prix : certains étaient dans la bibliothèque de ma mère ou dans une bibliothèque tout court, d’autres me sont venus dans les mains par des voies détournées (ainsi la Maîtresse de Brecht, lue grâce à ma fréquentation de ce blog), un peu par prescription (télérama, Assouline…), beaucoup par hasard.

Ca donne ça :

Le Feu
A l’ombre des jeunes filles en fleur
Raboliot
La condition humaine
Capitaine Conan
les Grandes Vacances
Mon village à l’heure allemande
Week-end à Zuidcotte
le Rivage des Syrtes
Léo Morin, prêtre,
les Mandarins
les Racines du Ciel
l’état sauvage
les fruits de l’hiver
Oublier Palerme
le roi des Aulnes
l’épervier de Maheux
la Dentellière
la vie devant soi
rue des Boutiques obscures (ça, c’est un titre)
Pélagie la charrette
l’amant
Texaco
Rouge Brésil
les Bienveillantes
3 femmes puissantes
la Carte et le Territoire

ça fait quand même, attendez un peu : 28. Pas si mal ?

Jacques Barozzi dit: à

J’ai compris ! A ce jour, Gallimard a eu 36 fois le Goncourt !

JC..... dit: à

Edouard, il faut vous y faire ! Traiter les autres de « pauvre con », de « sans dents », insulter sans craindre le coup de feu vengeur, c’est le privilège des Grands de ce monde …

La révolution française n’a rien changé : on a redistribué. Pris à Pierre pour donner à Paul, en attendant de donner un jour à Mourad le Califié …… huhuhuhu !

Clopine dit: à

J’ai oublié le Vailland « la Loi » ! Ca fait 29.

JC..... dit: à

Clopine ! Tant de lectures et …. cela ne vous a servi à rien ! La génétique est cruelle en sa diversité…
(Ma foi, c’est la diversité qui triomphe)

Jacques Barozzi dit: à

Maintenant, il serait intéressant de pointer les absents du Goncourt.
Giono, Céline, Mauriac, Colette, Sartre…

Clopine dit: à

Et l’empreinte du Dieu nom de dlà, Van de Meersch, comment ai-je pu l’oublier ? La contrebande, le chien porteur de tabac, le rêve de pureté auprès d’une jeune fille, la vie réelle auprès d’une mégère Valérietrivielesque, le sordide et le doute, et les dunes… J’ai lu ça à 16 ans, cela a conditionné mon regard sur la Belgique…

Dites, comme les Goncourt sont-ils passés à ce point à côté de Simenon ?

JC..... dit: à

Page 100, on est en plein dans le culcul la praline, niouniou Harlequin : ça va plaire aux dames !

Il va se vendre ce Reinhardt, il est onctueux comme un yaourt à la fiente conjugale …

Clopine dit: à

Bah, ils ont pris Beauvoir : la meilleure des deux.
Giono n’a jamais eu besoin du Goncourt, à mon sens. Ca aurait dû taper directement le Nobel.

Jacques Barozzi dit: à

… Bernanos, Gide, Le Clezio…

Jacques Barozzi dit: à

Parmi ces Goncourt, combien sont retournés dans l’oubli le plus total ?

JC..... dit: à

Plaçons nous en 2214, Jacky : tous !

Polémikoeur. dit: à

 » – Et avec ça ?
– Tiens, vous me mettrez une tranche de Goncourt,
s’il vous plaît !
– Vous avez raison, ça tombe bien, j’en ai reçu
du tout frais de cette année !
– C’est agréable à grignoter en écoutant du Mozart ! Et vous, vous lisez du quoi ?
… »
Dubodubondubenêtement.

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