de Pierre Assouline

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La République des livres
Le jour où Samuel Beckett a mangé une orange

Le jour où Samuel Beckett a mangé une orange

Le plus souvent, le courrier que Samuel Beckett recevait finissait comme les manuscrits reçus : au vide-ordures. Avant de procéder à cette épuration de sa table de travail, il mettait un point d’honneur à répondre à ses correspondants quels qu’ils fussent par retour de courrier, si besoin est par un simple accusé de réception quand une vraie lettre ne s’imposait pas ; cette marque d’urbanité, de générosité et de savoir-vivre est générationnelle si j’en juge par ma propre expérience de l’étude approfondie de la correspondance de personnages auxquels j’ai consacré des biographies : Gaston Gallimard, Hergé, Daniel Kahnweiler, Georges Simenon… Tous passaient leurs matinées à répondre. Quelque que fut leur origine sociale, leur éducation leur interdisait de ne pas répondre. Disons que cela s’est perdu puisque de nos jours, même les courriels souvent restent sans écho alors qu’ils ont été lus.

D’où l’intérêt de Lettres IV 1966-1989 (The Letters of Samuel Beckett, traduit de l’anglais par Gérard Kahn,  Gallimard). Ce quatrième volume couvre les vingt-cinq dernières années de sa vie et partant de son œuvre. Alors que dans le précédent volume les éditeurs ont dû accomplir des exploits en raison de sa graphie parfois indéchiffrable, la tâche leur fut paradoxalement moins ardue pour cet ultime volume. L’écrivain, qui souffrait d’une cataracte aux deux yeux et de la maladie du Dupuytren (une forme de fibromatose), dont il disait qu’elle avait pour effet de métamorphoser ses doigts en autant de griffes, s’accommodait sur la fin de sa raideur arthritique ; tant et si bien que son écriture en était curieusement améliorée. Que d’épreuves pour les transcripteurs avant de se résigner, la mort dans l’âme, à passer leur tour en signalant entre crochets « (illisible) ». Cela dit, l’édition est impeccable, les notes instructives, révélant une profonde et ancienne familiarité avec l’homme et l’œuvre, même si on ne peut s’empêcher de sourire lorsque « Telefunken » et « Grundig » renvoient à des notes précisant «marque de poste de radio à transistors de S.B. » alors que c’est peut-être « transistor » qui est aujourd’hui inconnu des lecteurs de moins de 40 ans… J’aurais, quant à moi, préféré une explication de la dilection de Beckett pour l’esperluette en lieu et place de « et »;

827879-par10123jpgIl donne l’impression de ne jamais être aussi heureux, apaisé, réconcilié que dans le silence, ce luxe suprême. Nulle part pieux que dans sa petite maison d’Ussy (Seine-et-Marne) il n’a de chance d’y accéder durablement. A un ami il confie qu’il ne connaît de plus grande félicité que dans les moments en solitaire où le silence n’est disputé que par le discret crépitement né de l’incinération des feuilles mortes. Il a fallu qu’il soit menacé d’un Nobel de littérature pour qu’on le voie, certes longtemps après, s’exprimer sur ses rapports à l’argent et à la célébrité.

« Il est difficile de la considérer comme un honneur, même à supposer une soif d’honneur, quant à l’argent, j’en ai assez pour mes besoins décroissants » (1966)

On ne l’apprendra que bien plus tard, à mots couverts par des indiscrétions, mais le gros chèque de la fondation Nobel lui permettra le plus souvent d’aider des amis, des proches ou de vagues connaissances en difficulté, certains le sollicitant, notamment le dramaturge Arthur Adamov ou l’écrivaine Djuna Barnes. Cela dit, on s’en doute, s’il n’a rien fait pour se gagner les bonnes grâces du comité Nobel, il n’a rien fait non plus après, refusant le voyage à Stockholm et la promotion de son œuvre qui devaient s’ensuivre.

Il affectionne les expressions étrangères comme autant de mots de passe et de codes entre initiés comme le sont souvent les correspondants les plus familiers : « segrete cose ». Chaque fois qu’il est question de traduction sous sa plume, le mot de « perte » ne tarde pas à suivre. Ce qui se perd dans la traduction : son obsession. Avec Cioran, il a passé des soirées à essayer de trouver un équivalent français à lessness, tournant des heures autour des variantes de « sans » et « moindre », allant voir du côté du latin sine, créant le néologisme « sinéité », y renonçant finalement pour convenir ensemble qu’il n’y a rien d’assez honorable dans la langue française pour exprimer ce mélange de privation et d’infini, l’absence en soi, l’absence à l’état pur « et qu’il fallait se résigner à la misère métaphysique d’une préposition » comme le dira Cioran dans ses Exercices d’admiration. Peut-être l’Irlandais a-t-il trouvé la solution dans le génie des lieux à Wannsee où son ami roumain, le sachant à Berlin, l’a pressé de se rendre afin de fouler la terre où le poète Kleist et son amie Henriette se sont suicidés.

Il est beaucoup question de travail tout au long de cette correspondance. Du travail en pratique comme de la notion même de travail considérée comme la plus grande des vertus, en quoi l’éducation protestante de Beckett refait surface. A James Knowlson, son meilleur biographe et l’un des experts les plus éclairés de son œuvre, qui le questionne sur les idées enfouies sous ses mots, il répond :

« Je ne sais tout simplement rien ou presque mon travail vu ainsi, aussi peu qu’un plombier sur l’histoire de l’hydraulique »

Non qu’il fuit car, malgré son hostilité à tout projet de biographie le concernant (« Si seulement il y avait un copyright sur la vie »), il tient Knowlson en grande estime –c’est d’ailleurs lui qui lancera avec un succès le fonds Beckett de l’université de Reading (Berkshire) ; Beckett, qui jugeait sa vie ne valait pas la peine d’être écrite, aurait pu faire sien le mot de Cioran pour lequel il était incroyable que la perspective d’avoir un biographe n’ait jamais fait renoncer personne à avoir une vie. D’ailleurs, les deux hommes firent connaissance et se rapprochèrent, Beckett lui avouant que la lecture de ses livres lui donnait un fort « contentement », et que cette « voix fraternelle »lui allait droit.Avec d’autres, écrivains, plus jeunes et pétris d’admiration, il s’incline devant la grande détresse que leurs poèmes expriment et conseille « éloignez-vous et de mon travail et de vous-même » (à Charles Juliet en 1969)

Son père espérait la voir travailler chez Guinness. « Comme je regrette souvent de ne pas l’avoir fait » écrit-il, et ce n’est pas le leveur de coude en lui qui parle là, mais en aura-t-on connus et lus de grands artistes et de grands créateurs exprimer un pareil regret au soir de leur vie. Moins une posture qu’un accès de mélancolie. Aussi sincère que Beckett écrivant à Robert Pinget (1966) :

« On n’est pas des gensdelettres. Si on se donne tout ce mal fou ce n’est pas pour le résultat mais parce que c’est le seul moyen de tenir le coup sur cette foutue planète »

Il n’en continue pas moins à écrire jusqu’à la fin. Non parce que bon qu’à ça, comme il le répondit au fameux questionnaire de Libération « Pourquoi écrivez-vous », mais « avec quelque chose de l’ancien besoin & du vieil enthousiasme » (1980). Il ne s’apitoie guère sur ses souffrances dues à l’âge mais enrage des maladies qui rongent ses amis :

 « La nature est une enfoirée ».

Le théâtre y apparaît comme sa passion première et dernière, dû-t-il considérer cette échappatoire comme une « distraction » comme une prison puisqu’il avoue être incapable de s’en « évader ». Le théâtre ne le lâche pas. Son éditeur Jérôme Lindon, qui agissait aussi comme son agent pour la gestion mondiale de ses droits, m’avait dit dans les années 80 qu’il ne se passait pas un seul jour dans l’année sans qu’une pièce de Beckett soit jouée quelque part dans le monde, En attendant Godot et Oh les beaux jours étant les plus demandées. Jusqu’à la fin, malgré le spectre du rabâchage qui le hantait, Beckett aura travaillé pour le théâtre –et opposé le plus souvent des refus aux adaptateurs qui voulaient transporter la scène à la radio ou à la télévision. Il lui arrivait de céder mais le plus souvent il fit preuve de ce qui peut passer pour de l’intransigeance mais qui n’est en fait qu’une attitude de principe d’une cohérence absolue. Les didascalies de ces pièces sont à ce propos d’une netteté sans mélange et aux éditions de Minuit, Irène Lindon dans le même esprit que son père, on se fait fort de les faire respecter. Ce qui n’a jamais découragé les adaptateurs du vivant même de Beckett de tenter vainement de lui forcer la main en faisant interpréter En attendant Godot par des femmes.

Pour savoir ce qu’on peut faire d’une pièce, il a besoin devoirle théâtre dans laquelle elle sera jouée. Cette visualisation lui paraît le seul moyen d’adapter l’une à l’autre pour trouver la meilleure résonnance, et il ne s’agit pas que d’acoustique. Il faut aussi parfois adapter la pièce à la spécificité des interprètes mais nul autre que lui ne doit s’en charger.

« La scène mentale sur laquelle on se meut en écrivant et la salle mentale d’où on la regarde sont des substituts très inadéquats à la chose elle-même. Et cependant, sans elles, il est impossible d’écrire pour le théâtre. Mon expérience est que la vision mentale et les indications scéniques qui en découlent sont valables dans l’ensemble mais doivent souvent être rectifiées, voire modifiées (…) L’idéal serait de travailler en connaissant à l’avance ces conditions réelles. Je rêve de pénétrer dans un théâtre sans texte, ou presque, et de me réunir avec toutes les personnes concernées avant de me mettre vraiment à écrire. Autrement dit, d’une situation où l’auteur n’aurait pas de statut privilégié, comme c’est le cas lorsqu’il arrive avec un texte déjà établi, mais oeuvrerait simplement comme un spécialiste qui n’aurait ni plus ni moins d’importance que les autres spécialistes concernés » (1966)

On apprend ainsi au détour d’une carte qu’il est « très amateur » des livres d’Emmanuel Bove, qu’il conseille à une amie la lecture de Contre tout espoir de Nadedja Mandelstam car « c’est un livre qui donne courage , qu’il admire Céline pour son œuvre bien que son antisémitisme le révulse ou que sa pièce Quoi où doit beaucoup au Voyage d’hiver de Schubert. Parfois, on se croit vraiment dans du Beckett, comme lorsqu’il écrit à son meilleur ami le peintre Avigdor Arikha :

« Rien ne va plus dans ma vieille tête. La carcasse se traîne entre monts et vaux. Un œil mi-clos la suit de loin ».

On aura compris que ce volume ne recueille que les lettres de Beckett, pas celles de ses correspondants. Chez d’autres écrivains, l’absence d’aller et retours fait souvent défaut et ne permet pas d’apprécier l’échange dans sa réalité. Etrangement, chez lui ça ne manque pas. Sa parole se suffit à elle-même. Les éditeurs en conviennent qui ne cherchent pas trop à combler les doutes supposés du lecteur sur la teneur de la conversation épistolaire. Une seule fois, ils s’autorisent à reproduire en note la lettre d’un correspondant à qui il répond : celle du dramaturge tchèque Vàclav Havel qui lui avait écrit six semaines après sa sortie de  prison pour lui exprimer sa gratitude. Deux fois plutôt qu’une : merci d’avoir éclairé la noirceur de ma vie d’adolescent quand j’ai découvert Godot, merci de m’avoir soustrait à la bassesse et la crasse de la détention en exprimant publiquement votre solidarité avec moi au festival d’Avignon avec votre pièce Catastrophe… (17 avril 1983). A quoi Beckett, qui admire son œuvre, répond : « C’est moi qui vous suis redevable »

Qu’on n’attende pas de lui qu’il commente ses commentateurs. Quant à ceux qui attendaient de connaître enfin son point de vue sur Mai 68, qu’ils renoncent même à le connaître à l’occasion du centenaire ; bien qu’il ait vécu à deux pas du théâtre des opérations, rien, pas une trace, ni le moindre reflet des « évènements ». Il est vrai qu’il ne dit à peu près rien, non seulement dans ce quatrième volume mais aussi dans tous les précédents, d’un moment autrement plus important : l’Occupation. A peine la caractérise-t-il au détour d’une carte : « un temps honni… « , « des temps infernaux »… Il l’a pourtant personnellement vécue et n’a pas à rougir de ses engagements dans la Résistance à Paris dès les premiers temps, dans le maquis du côté de Roussillon (Vaucluse) au plus fort de la guerre, dans une unité de la Croix-Rouge à la Libération en Normandie. Mais son silence s’explique cette fois par la pudeur, la sainte horreur de ceux qui réclament un retour sur investissement à leurs actions quand leur conscience seule devrait les dicter. Pour tout commentaire, il concède un mot cher à Francis Bacon :

 « de nobis ipsis silemus » (de nous-même, nous ne disons rien)

Le retrait, toujours. Et la discrétion exigée des proches. Enfin, une exigence à la Beckett sur un ton de douce supplique. A l’ami anglais qui lui demande des précisions biographiques, il concède une chronologie de sa vie sans son œuvre, lâche une poignée de dates mais à propos de son analyse à Londres de 1934 à 1936, demande gentiment : « N’insiste pas trop là-dessus ».  Dernières lettres jusqu’au dernier souffle. Il est anéanti par la masse du courrier à affronter.

« Même pour regarder dans le vide je n’ai plus d’entrain. C’est un spectre que je serai bientôt. Pas moins que tous nos chers disparus. Sans leurs avantages ».

La maladie le ronge. Juste la force de se laisser mourir. Au réalisateur d’un projet d’adaptation de Murphy pour la télévision irlandaise, il lâche un dernier mot avant de tourner la page :

« Faites donc sans moi »

Les inconditionnels de Samuel Beckett, dont je suis, seront comblés par ce volume. Aux autres, on révèlera que derrière le discret génie, tout d’intelligence, de finesse, d’humilité et d’humour, il y avait bien un homme de chair et de sang. Presque un écrivain parmi d’autres qui jugeait sa vie sans intérêt et ne parvenait pas à surmonter l’horreur que lui inspirait l’écoute de sa propre voix enregistrée. Un homme comme un autre. La preuve : le 2 février 1975, dans une lettre à sa plus proche amie Barbara Bray, au milieu de considérations techniques sur ses textes, il écrit : « Mangé une orange ». C’est la seule fois dans l’ensemble de ce volume qu’il s’abandonne à une allusion aussi personnelle et anodine, mais ces trois mots, dans cet ordre-là avec les phrases qui les précèdent et celles qui les suivent, c’est aussi et déjà du Beckett.

Post Scriptum En 1986, dans le cadre d’un grand portrait de lui que je devais écrire à l’occasion de ses 80 ans pour le magazine Lire, je me suis adressé à Samuel Beckett pour lui demander non une interview mais une partie d’échecs car, entre joueurs, il n’est pas de meilleur moyen de connaître l’autre. Il me répondit par retour de courrier (voir sa carte en haut de ce billet) et me fit savoir par son éditeur que, hélas, l’état de ses yeux ne lui permettait plus de jouer autrement que mentalement…

(Photos Passou, D.R., Greg Lancaster et John Minihan)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 781 Réponses pour Le jour où Samuel Beckett a mangé une orange

renato dit: à

« La petite maison… »
Là où maintenant il y a l’herbe il n’y avait que de la pierraille ; petit à petit Beckett a nettoyé le terrain — quelqu’un, le nom me fuit, m’a raconté ça en faisant le parallèle avec les expériences horticoles d’Einstein (à l’époque toute une population de soi-disant intellectuels faussaient une différence entre travail manuel et travail intellectuel, ce qui ne plaisait pas à Einstein).

http://blogfigures.blogspot.com/2013/05/einstein-office-in-princeton-on-day-of_28.html

renato dit: à

Pfff ! faussaient > faisaient

christiane dit: à

@Jazzi dit: 2 juin 2018 à 7 h 59 min
Belle mémoire du Pierrot lunaire qui désigne un monde à part de la « masse ouvrière » entassée dans les usines ou dans les mines. Ce travailleur-là, malgré l’épuisant travail de la pierre vivait au milieu des pins et du ciel bleu.

Jazzi dit: à

Le Pierrot lunaire se prénommait Eugenio, le bien né, Christiane !

Jean dit: à

Je conseille à tous la lecture, dans « le Monde des livres », de l’article passionnant sur Edouard Limonov, l’écrivain rouge-brun, fondateur du Parti national-bolchevique, ami de Jean-Marie Le Pen et de Radovan Karadzik, admirateur de Benito Mussolini. Rafraîchissant et porteur d’espoir ! Vive les rouges-bruns ! L’avenir est à eux !

Jean dit: à

A l’exemple d’Edouard Limonov, je me propose de fonder un Parti National-Fasciste Français (PNFF). Au programme : Frexit, rétablissement de la peine de mort, suppression de la Déclaration des droits de l’homme de la constitution, adoption systématique de mesures musclées pour mettre au pas les chieurs (cheminots, migrants, etc), déchéance de la nationalité et expulsion des éléments ataviquement antinationaux, etc.

Jean dit: à

expulsion des éléments ataviquement antinationaux (moi)

Hi hi

Jazzi dit: à

Trop tard, Jean, le Grand Remplacement est désormais définitif et il nous faut faire avec, au mieux…

Jazzi dit: à

Tu devrais refaire ta vie avec une africaine, ou un asiatique, Jean ?

Jazzi dit: à

J’ai entamé la lecture du « Walden » de Thoreau, LVDLB, et je tenais à t’en informer…

Janssen J-J dit: à

@22.24 (Colpine) « Et comme aucun éditeur ne sera intéressé, je vais pouvoir foncer, droit sur la Vérité, ahaha !!! ».
Et nous vous souhaitons tous une heureuse libération de la parole. Mais par pitié, PAS SUR CE BLOG !… Non merci…, tout le monde n’est pas nécessairement intéressé par que la levée de votre prétendu devoir de réserve (rien que ça !) que pourraient révéler des scoops quotidiens.

@7.50, Jazzman. Ce souvenir proustien romancé est bien trop joli pour avoir la moindre crédibilité sur le statut du Jacky’s dad, et pour devoir susciter la fausse indignation de votre réaction. L’observation de Ch. est très fine comme toujours dans sa sympathie, mais ne rétablit pas la vérité objective. Eugenio, sourd et aveugle, n’était qu’un artisan-artiste indépendant aux pratiques ludiques n’ayant strictement rien à voir avec la socio des « ouvriers » de son époque. Et cette remarque ne devrait pas vous choquer, elle n’est en aucun cas inamicale.

BJ à toussent et à Toto, prisonnier de ses pièges.

Janssen J-J dit: à

@9.52, et bon courage pour Walden !… J’ai fait le même effort de lecture jusqu’au bout il y a 2 ou 3 ans… Et ce fut d’un ennui morbide (peut-être à cause de l’abominable traduction dans la collection Gallim-L’imaginaire). Plus jamais ça, comme ils disaient toussent !

christiane dit: à

renato dit: 2 juin 2018 à 8 h 20 min

«… le traitement du dialecte napolitain … »
Pasolini ? « Ragazzi di Vita » ? dialecte de la périphérie de Rome parlé dans les borgate des ragazzi, une langue qui était un mélange d’italien et de patois (dialectes ?) régionaux car leurs parents avaient fui le monde rural du frioul pour s’entasser dans ces banlieues pauvres. Pour les films , il était plutôt tourné vers le dialecte napolitain.
Retour à l’enfance ?
Dans L’amie prodigieuse, Le nouveau nom, d’E.Ferrante (que je n’ai hélas pu lire en version originale), il m’a semblé que le napolitain était comme traduit pour l’adoucir. Seule Lila le parle vraiment, Lenu, va vers une intégration sociale qui l’éloignera de Naples et de cette langue sauf quand elle insulte son amie. En Octobre 2016, sous le titre : « Elena Ferrante en proie à son nouveau nom », le billet de Passou avait était à l’origine de commentaires intéressants.
Sa mère comme celle de Pasolini parlait un dialecte. Ce que les mères transmettent aux enfants, c’est la langue.
Passou évoque aussi celui de sa mère dans Retour à Séfarade : « Quand j’étais enfant, mes parents parlaient tout le temps français à la maison, mais ma mère employait quelques expressions en espagnol, comme ‘vida mía’ (ma vie) ou ‘qué vergüenza’ (quelle honte !) ».

Chantal dit: à

Jazzi je crois qu’il manque en effet un côté néo réaliste à ton récit, comment imaginer un morceau de veau arrosé de vin rouge dans un tissus et un panier d’osier ??? pour moi cela coule de partout et arrive dans un état second tout en haut dans la carrière, enjoliver le passé c’est une démarche poétique, mais pour les neurones sagaces d’un(e) lectri.ce « es muy difficult ».

Janssen J-J dit: à

@9.48, « Tu devrais refaire ta vie avec une africaine, ou un asiatique, Jean »

Bien vu Jazzman !…, quand on sait que Limonov a commencé sa carrière comme poète russe préférant les grands nègres au point d’avoir fasciné Manu Carrère qui en fit un personnage de roman ! Pauvre JEAN… qui s’enfonce inexorablement dans la couche-culotte de ses excréments moitié liquides rouges, moitié solides bruns.
Et l’autre excrémentiel, le drôle de BOUGUEREAU, qu’est-il devenu au jusss ?

Jean dit: à

Excellent Walden ! Et excellente traduction Gallimard ! Ce trouduc de Janssen J-J n’y connaît décidément rien. Oui à son expulsion comme élément ataviquement anti-nazional !

Jean dit: à

@ Janssen J-J

Janssen J-J, tu es d’ores et déjà inscrit sur les listes noires du P.N.F.F. en tant qu’élément anti-nazional, à éliminer d’urgence de la communauté nazionale par des moyens aussi expéditifs que drasticks !

Jean dit: à

Communiqué du P.N.F.F.

Le cas de Janssen J-J sera examiné en priorité lors de notre prochain Congrès Fondateur.

Hèle !

Chantal dit: à

Un imbécile a tordu le guidon de mon vélo … et je me suis croûtée dans un panneau par manque d’équilibre, j’ai le bras violet et verdâtre :), plus que deux fois dormir et mon festival prend fin, abus d’écrans, de blablas, je reviendrais quand mon sablier sera dans le bon sens.

Sinon une piste intéressante pour le théâtre de l’absurde versus grotesque le récit magyar du soldat Tot.

Chantal dit: à

La famille Tot scuzzi.

Anna Fort dit: à

Chouette alors, je suis la pé.tasse qui met Pablo75 l’impuissant en pétard, ça me plait beaucoup, et lui ?

Anna Fort dit: à

le drôle de bouguereau, après avoir tenté de saccager la RdL et le blog à Popaul, sévit, hélas, sur celui de la charmante Annelise (RdC)… pour combien de temps encore ?

Janssen J-J dit: à

Oui, Melle Chantal, on vous souhaite une très bonne cure de sommeil, sans compter un succès d’estime pour votre festival, les échos parvenus jusqu’à présent ont été très louangeurs dans leur ensemble. Bravo ! Heureusement que ce stupide accident arrive à la fin, après cet intense surmenage.
Besoin de précisions sur « le récit magyar du soldat Tot » (???), svp…. rien à voir avec le brave Chveik, on suppose (à moinss que ça en dévoile trop long sur votre identité réelle, en ce cas, ne dites rien).

Lavande dit: à

M’enfin Chantal, même si les tupperwares n’existaient pas encore, la maman de Jazzi mettait le ragoût dans une « gamelle », récipient en métal, avec un couvercle et des espèces de crochets de blocage latéral, fait justement pour le transport des repas d’ouvriers, amoureusement préparés par leur petite femme. La serviette servait seulement à conserver la chaleur.
Je me souviens d’un beau film indien, « The Lunch box », où les lunch box préparées par les épouses sont livrées par une entreprise et où, suite à une erreur de livraison, une belle histoire d’amour se développe entre la cuisinière et un inconnu.

Janssen J-J dit: à

Hélas, gasquet va encore se faire massacrer par rafa.

Janssen J-J dit: à

Je ne pense pas qu’Anna D. Fort ait quelque chose à voir avec Waldène des bois. Cette dernière ne sévit pas sur les trois chaines, même si l’connaît bien son monde à force de fourrager dans le dark-web.

Chantal dit: à

je n’ai pas lu qu’il y avait une gamelle dans ce texte, cela m’aurait éclairée sur l’époque, merci lavande.

JJJ, à mon grand regret le film sur la Famille Tot est désormais payant, comptez-vous que je vous accueille chez moi avec des révérences et que je vous offre tout sur un plateau d’argent époustouflée par votre charisme no life ? C’est une mode ici, intimider pour obtenir. No parasam.

Patrice Charoulet dit: à

Il existe une infinité de blogs, comme chacun sait. Sur tous sujets. La plupart ont zéro lecteur. Ce blog est littéraire. Le maître des lieux écrit des textes de grand intérêt et mérite le respect et l’admiration. Les commentaires sont incroyablement nombreux.Nul n’est obligé de les lire et l’on pourrait se contenter de lire les textes de Pierre Assouline. Je pense que je vais devoir opter pour cette solution. J’ai dit une ou deux fois ma surprise sur certains propos que j’ai été navré de lire.
Plusieurs d’entre vous ont eu la gentillesse de me répondre. J’ai écrit aussi directement à Pierre Assouline, qui m’a répondu très obligeamment. J’ai appris, notamment, qu’il lisait TOUS les commentaires, qu’il comprenait l’usage, massif, de pseudonymes (qui me déplaisent), qu’il ne tolérait pas les propos « racistes, antisémites, scatologiques ».Je l’ai approuvé touchant ces propos-là. Or, dans les commentaires faits après ses lignes sur SB, je lis non seulement des propos scatologiques (qui ont trait, dit le dictionnaire, aux excréments), mais des propos orduriers, immondes, honteux, répugnants (« Tu écartes les cuisses, salope ! »…
Si Pierre Assouline lit tous les commentaires (quel chemin de croix!), il lui est donc loisible de
sucrer ce type d’interventions. Elles déparent son blog.
Quels que soient les dissentiments, en matière de littérature, il est toujours possible d’échanger de façon courtoise et civilisée , à mon humble avis.

Janssen J-J dit: à

le drôle de bouguereau, etc.

cela dit…, on n’a pas gagné au change avec le très médiocre Jean et ses provocs fachos à 2 balles.

rose dit: à

Chantal

no pasaran et non pas ni parasam

rose dit: à

no parasol, je ris tellement les yeux fermés

rose dit: à

zut
no pasaran et non pas no parasam. Obligation désormais de se relire. Finie la spontanéité.

Chantal dit: à

no schweps, no tonic, sin umbrella !

rose dit: à

Patrice Charoulet
les dissensions plutôt que les dissentiments non ?

Chantal dit: à

Peter Szondy

Janssen J-J dit: à

@ 11.16 « C’est une mode ici, intimider pour obtenir. No parasam ».

N’allez pas commencer à faire votre colpine parano, chantale. Je ne suis pas du tout intéressé par une séance de votre cinéma privé, croyez le bien.

@11.16, la fraicheur du nouveau venu de Dieppe… Bien sûr, PA aurait le pouvoir d’interdire gwg, mais pour une raison très estimable, il ne souhaite pas aggraver sa pathologie délirante et ses excès d’agressivité, et je trouve vraiment la décision courageuse. Il n’est certainement pas facile pour lui de tenir une ligne de conduite aussi rigoureuse depuis le temps qu’il en a subies des misères, aussi doit-on rendre cet hommage de temps à autre à la rdl de n’avoir jamais varié, même à l’égard du robot modérateur un peu zarbi.
Il y aurait d’ailleurs tout un roman à écrire sur les stratégies d’adaptation des internautes à ce robot, dont chacun feint de croire qu’il serait un ashkénaze augmenté un rien balourd.

rose dit: à

Lavande

film superbe sur ce métier aussi. Ceux qui font chercher lesngamelles dansblesnfamillesnetblesnemmènenbtvaux Paris. J’en aibdeuxbà étages.
Un étage pour les chapatis.
Un étage pour le riz blanc.
Un étage pour le curry de poulet.
Un étage pour le dessert. Des mangues fraîches aux pistaches concassées.

Quand j’aurais un petit mari, je lui préparerais sa gamelle pour son travail. Ses copains seront béats. Bah.

Je me demande si ce ne sont pas des dwalis.

Moi, je dis artiste pour tailleur de pierre marbrier.

rose dit: à

film superbe sur ce métier aussi. Ceux qui vont chercher les gamelles dans les familles et les emmènent aux maris au boulot. J’en ai deux à étages. Pour de vrai.

rose dit: à

Un inconnu qui n’est pas son mari mais qui est séduit par ses petits plats.
Un espèce de rêve, quoi, qui prend corps.

Ça te change de tes copains qui veulent te faire ouvrir un restaurant. No pasaran.

La vie dans les bois dit: à

J’espère que vous retirerez qqchose bas rosis. L’autre jour quand je suis allée a la librairie, impossible d’eviter HD Thoreau qui bénéficie d’une réédition dans le genre « le goût de »

Ainsi de la simplicité:

« Tournant le dos à la civilisation (argent, travail, réussite sociale), Thoreau s’installe seul près de l’étang de Walden. Il livre alors une réflexion à rebours de l’opinion commune : se contenter du strict nécessaire et prendre le temps de profiter de la vie et de la beauté de la nature. « Je gagnai les bois parce que je voulais vivre suivant mûre réflexion, n’affronter que les actes essentiels de la vie, et voir si je ne pourrais apprendre ce qu’elle avait à enseigner, non pas, quand je viendrais à mourir, découvrir que je n’avais pas vécu ». »

Et de fait c’est un luxe absolu de vous en conseiller lecture, dans le panorama grandiose où je me trouve; du cinéma.

A bientôt.

Jazzi dit: à

« Il existe une infinité de blogs, comme chacun sait. Sur tous sujets. La plupart ont zéro lecteur. Ce blog est littéraire. Le maître des lieux écrit des textes de grand intérêt et mérite le respect et l’admiration. Les commentaires sont incroyablement nombreux. »

Et c’est très bien comme ça, Patrice Charoulet. Pourquoi voulez-vous que Passou ne fasse plus son chiffre ? Il faut savoir souffrir pour être populaire !

Chantal dit: à

Tiens voilà, je vous tend une perche vous sautez JJJ, ha ha ha !

Option Tinder, défilé de trognes.

rose dit: à

ahhhh, excellente nouvelle du samedi 2 juin

la loi littoral ne sera pas bouleversée.

Lavande dit: à

Merci Rose 11h43. Le petit Jazzi ne se doutait pas qu’il était un Dabbawallah.
Au Japon les gamelles sont des bentos, souvent très esthétiques.

Jazzi dit: à

Cet extrait du « Walden », LVDLB :

« Il n’est jamais trop tard pour renoncer à nos préjugés. On ne peut se fier sans preuve à aucune manière de penser ni d’agir, aussi ancienne soit-elle. Ce que tous répètent ou transmettent tacitement comme étant la vérité d’aujourd’hui peut demain se révéler mensonge, simple fumée de l’opinion, que certains ont prise pour une nuée capable d’arroser d’une pluie fertilisante leurs champs. Ce que les vieilles gens disent que vous ne pouvez pas faire, en l’essayant vous découvrez que vous le pouvez. Laissons l’ancien temps aux anciens, et que les nouveaux venus s’occupent des temps nouveaux. »

Jazzi dit: à

« se contenter du strict nécessaire et prendre le temps de profiter de la vie et de la beauté de la nature. »

J’ai commencé très tôt à faire du Thoreau sans le savoir, LVDLB !

Clopine Trouillefou dit: à

Jansen JJJ : j’ai choisi la 2. Si le résultat est juste, c’est une chance pour ce blog, vu le déni et les déplacements que j’oppose à mon refoulé, ahaha !!!

Jazzi dit: à

J’ai vu ce très beau film indien, Lavande. Le plus formidable, c’est ce réseau croisé incroyable qui fait que les milliers de repas à livrer arrivent à bon port et au bon moment !

Chantal dit: à

C’est notre petite coquinerie toute belge, se faire passer pour un idiot profond, cela valorise les autres …

Janssen J-J dit: à

j’ai toujours adoré attraper des (grandes) perches, mais pas sauter dessus, et je les laisse tomber en général quand on me les tend sans S. (pourquoi ah ah ah, c’est une signature usurpée ? et pourquoi pas hurkhurkhurk ?). Cirque Pinder et Piste aux étoiles, vous dis-je, roulez… Lucien. Et pour le défilé des trognes, voyez plutôt Ensor à Ostende.

Janssen J-J dit: à

…Un message de Toto sur le blog à Sergio.
__________

Jadis, à la Rdl, on pouvait changer de pseudo comme de chemise. C’était marrant, ça permettait des astuces. Ce temps est révolu.
Exemple, un jour (alors que je n’intervenais plus depuis des lustres), j’ai voulu dire une connerie pour énerver Chaloux. J’ai signé Toto. Le post est resté en attente de modération, puis est finalement passé. L’effet recherché fut obtenu : Chaloux a cru que c’était écrit par Wgg et s’est mis à vitupérer. Le problème, c’est que je ne peux plus signer autrement. Je suis donc obligé d’écrire exclusivement des conneries, principalement des contre-vérités destinées à provoquer des réactions infantiles. (Genre « la terre est plate » pour que les pompous old farts montent sur leurs grands chevaux en répliquant « t’es nul, t’as jamais rien lu », etc., ce qui donne une idée de leur maturité.) Ça fonctionne toujours, mais ça lasse.
Je suis coincé, donc. Pas plus mal parce que, à la réflexion, vu le niveau du commentarium, j’ai auc

excusez-moi, on m’appelle

Écrit par : Toto | 01/06/2018
____________

Janssen J-J dit: à

une chance pour le blog… les épileptiques ?
Il est vrai qu’ils.elles font pas trop de dégâts, sauf quand ils.elles font du vélo dans les arbres.

gisèle dit: à

Patrice Charoulet. pseudos +webmaster. Il y a 10 ans, j’avais entrepris de lire un blog politique, où les contributeurs se comptaient par milliers et les lecteurs par jour,par milliers, aussi.Il y avait un webmaster remarquable; remarquable car il intervenait pour prévenir *X qu’il cessait de corriger ses fautes d’orthog, et qu’il allait être éjecté; car il prévenait *y que etc..
C’était un blog impeccable, où tous les posts disaient la même chose, du type:on va assister à ton meeting,mardi(par ex)on a loué 5 cars,ça va chauffer, prends pas froid,mets ton cache nez (sic) . Tu vas enfoncer Machin etc etc. Bref, d’un ennui mortel.Un jour où j’étais rentrée dans la nuit, j’ai jeté un oeil sur ma messagerie et aussi sur le blog en question. Surprise,c’était une autre affaire,finie la langue de bois; même on s’y défoulait hardiment.C’était presque le petit matin, j’ai, nous avons pris un café et regardé derechef le blog en question; mince alors, vers 6h du matin,le blog se nettoyait,effacés les posts incendiaires .. Il fallait bien que le webmaster dorme un peu..A l’approche des élections, les passages devenant surmultipliés, il y eut un webmaster de jour et un webmaster de nuit, les posts de nuit devinrent aussi blancs que les posts de jour !!
Tout ça pour dire qu’un blog un peu foutoir, où il est possible de donner la recette de la glace aux petits pois,de raconter la vie de sa grand’mère, et de parler tout de même du billet de PA, et de littérature, c’est un blog qui se porte bien. Quant à ce que vous dénoncez, à juste titre, aux blogueurs de se censurer eux-mêmes, sans tomber ni dans le cirage de pompes, ni dans le flot du caniveau.
Il y a de sacrées trouvailles sur le blog;elles « appartiennent » à leur auteur, à PA qui les publie, au blog qui avale tout, garde tout ?? aux futurs chercheurs qui en décortiqueront les propos, c’est sûr.
( le blog en question a disparu depuis longtemps;aucune suggestion ne sera validée.)

rose dit: à

gisèle

je crois responsable de ses propos celui qui injurie, pas le tenancier du blog qui s’est choisi un parti pris et s’y tient.

Or, celui qui injurie cela ne le grandit pas.

Sans jugement porté. Cela ne rend pas un faible et l’autre fort. Loin de là.

Clopine Trouillefou dit: à

Allez, jjj, arrêtez de vous planquer derrière mes larges épaules, et avouez : vous avez choisi lequel ? (sans tricher, hein)

Jazzi dit: à

En effet, Chantal, car au bout du compte, on ne peut s’empêcher de trouver que les Belges sont bons enfants !

Jazzi dit: à

Moi, j’ai hésité, Clopine, entre la 1 et la 4. Le prof fasciste et la schizophrène. Pour le déni, le 1 me va. Refus de l’autorité. Mais pour la sublimation je préfère la 4 : professions artistiques contre la boucherie !

Lavande dit: à

Vous parlez de quoi Clopine 13h04 et Jazzi 13h08?

gisèle dit: à

Rose,13h01. C’est bien ce que j’ai dit. Chacun est « responsable » des propos qu’il tient. J’ai fait la différence avec « appartient ».C’est un problème analogue à celui de la publication des correspondances.La lettre envoyée « appartient » elle à l’expéditeur ou au receveur ? Pour la correspondance amoureuse de S de B ,les héritiers de son amoureux américain,écrivain, se sont opposés à la publication de ses lettres.Donc c’est un échange inexistant,finalement peu intéressant. Les passionnés de Camus souhaitaient que la correspondance entre Camus et Maria Casarès soit publiée; Catherine Camus a acheté à M.Casarès, les lettres de son père. Et a publié LEUR correspondance. (c’est ce qui a été dit) La correspondance Chopin-G.Sand est perdue. Brûlée et égarée (histoire rocambolesque que raconte l’éditeur des lettres de Sand). Correspondance qui permettrait de mieux comprendre qui était Chopin, mais sûrement pas sa musique. On sait par d’autres correspondants qu’il aimait beaucoup rire, jouait dans les pièces de Maurice Sand( le petit théâtre de marionnettes) et faisait rire tout le monde ,au château.

Widergänger dit: à

Patrice Charoulet dit: 2 juin 2018 à 11 h 16 min
Votre commentaire est en tout cas fort drôle. Mais c’est à l’insu de votre plein gré…

rose dit: à

Lavande
d’ un test à faire sous ? hypnose.mis en ligne ce matin.

Bérénice dit: à

Gisèle si vous écoutez France musique il arrive souvent qu’une composition bénéficie avant sa diffusion sur les ondes des circonstances qui inspirèrent l’artiste ou du moins qui entourerent le travail de composition sans qu’il soit une règle qu’elles aient exercé une influence, la biographie aide à comprendre l’esprit , le climat et parfois la musique est l’expression du tourment ou de tous autres affects occupant l’artiste .

Widergänger dit: à

D’abord, c’est faux, il n’existe pas une infinité de blog. Un blog littéraire comme celui de Passou est unique au monde. On se dit à chaque fois qu’on n’y reviendra plus tellement la bêtise et la mauvaise foi et l’ignorance et la saloperie règnent en masse et occupent le terrain. On comprend que certains n’y reviennent plus, tel C.P. On a trop souvent en effet le sentiment d’y perdre son temps, de batailler contre des moulins sans vergogne et indécrottable dans leur sottise, qu’on enverrait sur les roses d’un revers de main dans la vraie vie. Mais ici, on est puni de toute façon, on est contraint de les côtoyer vaille que vaille, d’essuyer leurs remarques infantiles, débiles, bêtes à ne plus savoir comment les qualifier. Voilà dix ans que je me dis que je vais enfin quitter ce blog qui ne m’apporte strictement rien sinon souvent de l’énervement pour rien. Et puis je suis toujours là parce qu’il m’aide à ruminer des problèmes de littérature au milieu de tout un fatras d’ignominies et d’absurdités. La littérature finit par triompher de tout ce bourbier. Mais c’est quand même un vrai bourbier.

rose dit: à

gisèle
ai écouté Cosma sur Rabbi Jacob. ai failli ne pas. C ‘est incroyablement gai. Excellent moment de voir des gens heureux, qui de chanter, qui de jouer.
La lettre appartient à celui qui l’ envoie. Celui qui la reçoit à le cadeau de la lettre.
S’ il manque un des deux côtés, il manque la grâce de l’échange épistolaire.
Les descendants ou héritiers de l’ amoureux américain de SdB voulaient ils protéger l’ intimité de l’ amant ou le respect de l’ épouse, leur mère, je ne sais.
Sur l’ injure , ce que je voulais suggérer, c’ est que comme souvent, celui qui gagne perd.

Ai regardé aussi l’ acteur italien ; à sa palette expressive, l’ omission des larmes. Sinon, on perçoit bien la montée de la colère, l’ indignation, il a un  » nuancier » extrême, j’ oserais dire latin.

rose dit: à

qui la reçoit a le cadeau unique au monde.

Bérénice dit: à

Rose, concernant la loi littoral, tout n’a pas été abandonné sous couvert de ne pas gêner ou de faciliter le travail des exploitants.

Lavande dit: à

Rose 13h36: ?
par qui et à quelle heure?
(merci)

Widergänger dit: à

Le seul qui avait encore un peu de bon sens, c’était JC. Mais je crains qu’il n’ait fini par cadencher, le malheureux. Mais ses commentaires étaient toniques au moins et allaient droit dans le mille pour cogner sur la bêtise de notre époque et de ceux ici qui l’incarnent.

rose dit: à

Lavande
c’ est mis en ligne par JOB à 11h42 ce matin.

rose dit: à

JJJ pas JOB crénom

Janssen J-J dit: à

@13.04, le n° 2 itou… Hélas, parce que suis bin obligé de reconnaît’ qu’on se ressemb’ q-q part… Faut dire que je m’en doutais un brin depuis pas mal de temps, et dieu que ça m’énerve !

rose dit: à

Bénéfice soyons vigilants quant à la loi littoral.
J’ oserai dire comme en Corse.

rose dit: à

je vais le faire illico. Les jeux ce n’ est pas mon truc mais je ne veux pas rater la bataille.

DHH dit: à

@lavande
vous posez la question que je l’apprêtais à poser ,me trouvant dans le même embarras que vous .
vivement la réponse
@ Clopine
vous vous méprenez sur le devoir de réserve.
Des lors que vous publiez sous pseudo donc que vous n’engagez pas la fonction, tout vous est permis dans la limite des lois en vigueur erga omnes en matière de publication
Le livre le plus cruel qui ait paru sur l’ ENA et les hauts fonctionnaires dont le titre ,l’Enarchie était un néologisme qui depuis a fait flores et a perdu l’effet que produisait alors sa similitude avec Anarchis était signé d’un inconnu virtuel, dont j’ai oublié le nom et écrit par trois hauts fonctionnaires alors en poste, anciens élèves de cette ecole .L’un d’eux était JP Chevènement,ce que tout le monde savait, mais n’apparaissant comme l’auteur il était intouchable
alors vite Clopine ,n’attendez pas, régalez nous avec votre art de raconter avec drôlerie des petits éclats de vie ,et offrez nous les « Aventures de Clopine au bureau »

Nicolas dit: à

Les bons sentiments… Passou je t’aime

rose dit: à

j’ai choisi le trois avec une grosse hésitation pour le sept. En vrai, j’ai choisi celui qui me fait peur.

Bérénice dit: à

Chantal 12h27 un rôle de composition ne présentant guère de difficultés, l’inverse étant moins vrai fait renoncer aux mensonges en particulier à vouloir paraître plus que ce que l’on vaut qui équivaut à se faire passer pour un autre. À moins de baigner dans l’inconscience ou de ne jamais se regarder pour bien s’evaluer il est assez rare de rencontrer des gens qui s’ignorent , peut être serait ce là le moment de sortir un mot fourre tout comme bêtise ou co.erie.

Bérénice dit: à

DHH dans toute sa grandeur invitant Clopine à nous contre * ses petits éclats de vie. Comme c’est charmant, gentil , prévenant et généreux.

Bérénice dit: à

Conter.

Bérénice dit: à

3J merci pour ce lien, savoureux.

Delaporte dit: à

L’affaire Weinstein se double en plus d’un versant financier, comme si le scandale sexuel n’était pas suffisant. Quel Mandrin, ce gros mogul-Weinstein ! :

« le volet financier : Harvey Weinstein est aussi accusé d’avoir détourné, en 2015, 600 000 dollars du célèbre gala de charité de l’Amfar, dont il était président, pour rembourser une préproduction de la comédie musicale « Finding Neverland » qu’il produisait à Broadway. » Match

Janssen J-J dit: à

… toutes fascinantes dans leur genre : DHH, Christiane, Rose, Lavande, LVDB, Bérénice, Clopine T, Chantal, et la petite dernière, Ed.
S’aiment pas toutes les unes les autres, mais z’ont toutes leur petite musique bien à elle. Font du bien, dans l’ensemble, résistent.
https://www.youtube.com/watch?v=SPBVplEp7xE

DHH dit: à

Effectivement je ne me souvenais pas que les auteurs de l’Enarchie, paru en 1968 , Chevènement Gomez et un troisième dont je n’ai pas le nom en tête, s’étaient réclamés d’un brigand ,ce qui ajoutait évidemment du piquant à un pamphlet,qui relevait d’ailleurs de leur part , il faut le reconnaître du crachat dans la soupe
et voici la complainte du vrai Mandrin

Nous étions vingt ou trente
Brigands dans une bande,
Tous habillés de blanc
A la mode des, vous m’entendez,
Tous habillés de blanc
A la mode des marchands.

La première volerie
Que je fis dans ma vie,
C’est d’avoir goupillé
La bourse d’un, vous m’entendez,
C’est d’avoir goupillé
La bourse d’un curé.

J’entrai dedans sa chambre,
Mon Dieu, qu’elle était grande,
J’y trouvai mille écus,
Je mis la main, vous m’entendez,
J’y trouvai mille écus,
Je mis la main dessus.

J’entrai dedans une autre
Mon Dieu, qu’elle était haute,
De robes et de manteaux
J’en chargeai trois, vous m’entendez,
De robes et de manteaux
J’en chargeai trois chariots.

Je les portai pour vendre
A la foire de Hollande
J’les vendis bon marché
Ils m’avaient rien, vous m’entendez,
J’les vendis bon marché
Ils m’avaient rien coûté.

Ces messieurs de Grenoble
Avec leurs longues robes
Et leurs bonnets carrés
M’eurent bientôt, vous m’entendez,
Et leurs bonnets carrés
M’eurent bientôt jugé.

Ils m’ont jugé à pendre,
Que c’est dur à entendre
A pendre et étrangler
Sur la place du, vous m’entendez,
à pendre et étrangler
Sur la place du marché.

Monté sur la potence
Je regardai la France
Je vis mes compagnons
A l’ombre d’un, vous m’entendez,
Je vis mes compagnons
A l’ombre d’un buisson.

Compagnons de misère
Allez dire à ma mère
Qu’elle ne m’reverra plus
J’ suis un enfant, vous m’entendez,
Qu’elle ne m’reverra plus
J’suis un enfant perdu.

Ecouter plusieurs interprétations.

Chanson à la louange

Laura Delair dit: à

et moi émoi, Jean Scène JJ ?

Lavande dit: à

Ah non Delaporte ! N’assimilez pas Weinstein et Mandrin qui lui était plutôt un Robin des bois luttant contre les abus du pouvoir.

Janssen J-J dit: à

Le 3e mandrake était Didier Motchane, tous trois fondateurs du CERES, et c’était en 67.

J’étais sûr que j’allais oublier quelqu’une et lui faire de la peine. Vraiment toutes mes excuses Laura, et voui, vous comptez tout autant à la rdl. Pire, j’ai même oublié Zerbinette. Ne m’accablez pas !

Bérénice dit: à

DHH, ce fut leur mai68 , ces gens sont tout de même discrets et bien éduqués pas du genre à faire voler les pavés et s’échapper par les toits.

radio.. dit: à

Leur petite musique : DHH, clavecin. Christiane : violon. Clopine : accordéon. Rose : triangle. Bérénice : flûte à bec. LVDB : grosse caisse. Chantal : vielle à roue. Chef d’orchestre : JJJ.

Lavande dit: à

Radio: et moi, émoi ? comme dirait Laura Delair? Dans la vraie vie, je joue du piano (mais mal!).

DHH dit: à

@JJJ
merci d’avoir rafraîchi des souvenirs devenus lacunaires autour de ce pavé dans la mare qui avait fait alors grand bruit dans le landerneau administratif
Est-ce que clopine va nous offrir un remake de ce succès 50 ans après ?

Bérénice dit: à

Rose au triangle , c’est une pistonnée qui aime le risque. Restons vigilants.

rose dit: à

la vie dans les bois 😉 : hautbois.

radio.. dit: à

Pardon, Lavande. Piano mais en tant que soliste, catégorie « grand interprète ».

Laura Delair dit: à

le chef d’orchestre m’a oublié, dommage, car je pète en mesure, na

christiane dit: à

@Janssen J-J dit: 2 juin 2018 à 11 h 42 min
Non, JJJ, ce test soi-disant amusant n’est pas instructif, pas dans le sens des réponses « cachées ». Il l’est dans le désir d’apparaitre sous la forme désirée par celui ou celle qui aura lu les réponses avant de donner sa réponse !
Ces huit visages (associés à un trouble psychiatrique ou pire à ce qui parait une déviance pour celui qui l’a inventé) sont au départ offerts pour occasionner une répulsion, une antipathie. Délit de sale-gue.ule ? Ce procédé me rappelle l’Affiche Rouge, placardée en France par les services de propagande allemand. Dix visages du réseau Manouchian précédés d’une question : Les libérateurs ?, suivis d’une réponse : par l’armée du crime.
La question inverse aurait été « amusante » : Quel est le visage qui vous est le plus sympathique et pourquoi ? A vrai dire, chacun de ces visages a son charme. Le pompon, ce sont les niaiseries accompagnant la photo n°8 d’un jeune homme sympathique, catalogué dès le premier mot d’inver.ti, d’homos.exuel… Le reste suit dans les tendances refoulées, déni et la ridicule sublimation.
Pour chaque photo, une première liste de traits de caractère, souvent repoussants : inquisiteur, autoritarisme, méchanceté, besoin de domination, violence, agressivité, délire, indifférence, hystérique, instable, exhibitionniste…. Charmant ! Certains choisiront le moins pire !
Quant à la sublimation, c’est pauvre, insignifiant.
Ce test et ceux qui y participent (souvent après avoir lu les réponses) montre un désir de se connaître, de se rassurer et plus important, un désir de représentation.
Il y a celui que je crois être.
Il y a celui que les autres voient en moi.
Il y a celui que je suis et que je ne connais pas…
Vous n’allez pas me dire, JJJ, que vous êtes tombé dans le panneau !

christiane dit: à

@Laura Delair dit: 2 juin 2018 à 15 h 21 min
C’est le risque des listes, Laura ! On cherche à n’oublier personne, on fait défiler la dernière page du fil des commentaires et vlan ! on oublie. Qui trop embrasse, mal étreint.

rose dit: à

pourquoi hautbois pour la vie dans les bois, rose ?

Parce que la grosse caisse est déjà prise par Clint Eastwood.

christiane dit: à

DHH – 14h32
Je me souviens de cette chanson et de ce disque d’Yves Montand que j’écoutais souvent. On y entendait la goualante du pauvre Jean, Le roi Renaud, Les Canuts, Mon pote le gitan, La marie-Vison, Le temps des cerises, La butte rouge… Quel bonheur vous vous faites là !
https://www.youtube.com/watch?v=xwevfqlpneM

rose dit: à

moi je n’ai pas lu les réponses Christiane sinon le jeu n’a plus de sens.

Jazzi dit: à

« inquisiteur, autoritarisme, méchanceté, besoin de domination, violence, agressivité, délire, indifférence, hystérique, instable, exhibitionniste…. »

Oui, moi non plus, j’ai pas trichée, Christiane. Et ce n’est qu’un jeu, un peu dégueulasse, en effet, de se servir de portraits réels de personnes ayant eu à faire avec les services psychiatriques de l’époque.
Mais pourtant, les qualificatifs que tu as répertoriés caractérisent bien des commentaires et des commentateurs de la RDL. Heureusement qu’il y en a d’autres, plus gratifiants, que l’on peut également utiliser ici…

Jazzi dit: à

J’avais écrit capricante…

Lavande dit: à

Pourquoi Clint Eastwood, Rose ?
Encore une anecdote ( on a le créneau qu’on peut, tout le monde ne peut pas faire des citations en latin).
Une amie, écrivain pour enfants, faisait une intervention dans une classe de primaire. Un des élèves s’appelait Clinis. Elle fait remarquer à la maitresse que c’était un nom très inhabituel. « Effectivement » dit la maitresse « j’ai demandé aux parents si c’était d’origine grecque …ou bretonne…La maman m’a répondu: non, c’est à cause d’un acteur américain qu’on aime beaucoup, mon mari et moi, et qui s’appelle Clinis Wood « 

DHH dit: à

@Christiane
oui j’ai eu ce disque en microsillons il y a longtemps et je ne sais pas si on peut le retrouver sur un support d’aujourd’hui
je me souviens bien des dernières paroles de la butte rouge chanson de la commune ,la plus forte du recueil, qui disait que ceux qui boiraient le vin de Montmartre boiraient « le sang des copains »

christiane dit: à

@rose dit: 2 juin 2018 à 15 h 52 min

« moi je n’ai pas lu les réponses »
Et vous trouvez ça bien, Rose, qu’on vous incite à trouver un visage antipathique pour après, vous dire des horreurs sur ce que vous refusez. Non, ce n’est pas qu’un jeu. Relis tout ce qui concerne la 8. Tu ne peux pas être d’accord avec ce torchon. Pas toi !

christiane dit: à

@DHH dit: 2 juin 2018 à 16 h 35 min
Moi non plus je ne l’ai plus et je ne sais même pas ce qu’il est devenu mais d’entendre cette chanson et toute mon adolescence est revenue… La butte Rouge, je ne peux m’empêcher de la chantonner quand je me balade près de la vigne en descendant l’escalier du jardin du musée de Montmartre. Oh, merci.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 2 juin 2018 à 15 h 55 min
Mais c’est cette voix, cette pochette de disque qui ont pris place dans ma mémoire.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 2 juin 2018 à 16 h 05 min
Peut-être parce que nous sommes exaspérés de ne pouvoir réellement nous expliquer avec tel ou telle. On lit un commentaire, on se sent agressé : colère, chagrin ou indifférence. L’indifférence est plus facile quand le pseudo ne représente rien mais si nous connaissons la personne qui se cache derrière on ne peut plus être indifférent et comme on ne peut réagir que de cette façon : écrire ou ne pas écrire, il est normal que des souffrances se transforment en colère. Où ? ailleurs qu’ici, dans notre théâtre RDL, utiliserions-nous ces bordées d’injures ? Dans le théâtre de Beckett on en rencontre aussi.
C’est le Bœuf écorché de Rembrandt ou les Soutine rouge sang ou les torsions infinies d’un Bacon. Ailleurs l’herbe est plus verte. Ailleurs, nous partagerions le thé avec notre ennemi(e). Mais voilà, ici, c’est souvent le Cercle de l’Enfer de Dante, la scène d’où les comédiens ne peuvent sortir. Beckett mais aussi Bunuel dans « L’Ange exterminateur » (qui repasse ce soir sur Ciné + Classic).
« L’enfer c’est les autres », (parfois). Cette citation qui achève Huis clos de Sartre pourrait être en bandeau en haut du blog de Passou…. Il n’y a pas de bourreau : chacun est celui de l’autre.
“Tous ces regards qui me mangent … Ha, vous n’êtes que deux ? Je vous croyais beaucoup plus nombreuses. Alors, c’est ça l’enfer. Je n’aurais jamais cru … Vous vous rappelez : le soufre, le bûcher, le gril … Ah ! Quelle plaisanterie. Pas de besoin de gril : l’enfer c’est les autres”

rose dit: à

ds l’interview de la jeune écrivain, à la fin elle pousse un soupir elle dit ouf, c’est l’anagramme de fou. Mais vers le milieu, je n’ai pas compris -je dois avoir besoin d’un sonotone crains-je (pour le triangle ça va, gmding de temps en temps lorsque le chef d’orchestre JJJ me regarde d’un oeil noir) elle dit ce n’est pas tant Edgar que ?

Je vais réécouter.

rose dit: à

Dans ce ballet superbe, merci, l’étonnant est que Murra (pour la petite mort) ne joue pas ici le rôle bêtasson de l’ordinaire porteur ; il est à égalité de Sylvie Guilhem. Il a une chorégraphie bien à lui et en harmonie avec la ballerine : belle création, moderne à mes yeux.

Laura Delair dit: à

« l’enfer c’est les autres, le paradis aussi »
(Guy Bedos)

rose dit: à

Christiane

depuis, il y a eu l’antipsychiatrie.
Mes choix aussi – du test amusant- sont catastrophique ; j’oscille entre catatonie et maniaquerie et ne suis pas si psychorigide que ce qui est dit.
JJJ.nousbaime.ncp, Je crois, quoique nous le recevions beaucoup Parce qu’il s’ennuie un peu avec nous.

Oui ce qui est dit sur le 8 sont des poncifs très négatifs. Laissons les choix s’exprimer avec bcp de liberté.

Ma priorité est que chacun trouve son bonheur dans le respect d’autrui.
Je voudrai bien savoir si vous avez triché JJJ.
Je vous accorde le bâton de chef d’orchestre, volontiers.

christiane dit: à

Jazzi (suite)
Mais à La fin de l’acte III des « Mouches » (du même Sartre), il y a cette merveille de dialogue :

« ÉLECTRE
Voleur ! Je n’avais presque rien à moi, qu’un peu de calme et quelques rêves. Tu m’as tout pris, tu as volé une pauvresse. Tu étais mon frère, le chef de notre famille, tu devais me protéger : mais tu m’as plongée dans le sang, je suis rouge comme un boeuf écorché : toutes les mouches sont après moi, les voraces, et mon coeur est une ruche horrible.
ORESTE
Mon amour, c’est vrai, j’ai tout pris, et je n’ai rien à te donner – que mon crime. Mais c’est un immense présent. Crois-tu qu’il ne pèse pas sur mon âme comme du plomb ? Nous étions trop légers, Electre : à présent nos pieds s’enfoncent dans la terre comme les roues d’un char dans une ornière. Viens, nous allons partir et nous marcherons à pas lourds, courbés sous notre précieux fardeau. Tu me donneras la main et nous irons…
ÉLECTRE
Où ?
ORESTE
Je ne sais pas ; vers nous-mêmes. De l’autre côté des fleuves et des montagnes il y a un Oreste et une Electre qui nous attendent. Il faudra les chercher patiemment. »

rose dit: à

comme on ne peut réagir que de cette façon : écrire ou ne pas écrire, il est normal que des souffrances se transforment en colère. Où ? ailleurs qu’ici, dans notre théâtre RDL, utiliserions-nous ces bordées d’injures ?

Hier, moi j’ai utilisé.
Et pire encore.
Une vieille peau qui m’a fait sortir de mes gonds.
Dix ans de boulot qu’elle doit en l’air en 30 secondes cette.grosse pét…e.

rose dit: à

qu’elle fout

rose dit: à

Tu cherches patiemment et une vieille brique te ramène dans ton ornière.

Lamentable.

Pat V dit: à

C’est le Bœuf écorché de Rembrandt ou les Soutine rouge sang ou les torsions infinies d’un Bacon.

Excusez moi d’ intervenir ici Christiane, mais comment pouvez-vous comparer les commentaires mesquins, soporifiquement agressifs de certains ici sur ce blog avec le travail acharné d’ un artiste, des peintres en l’ occurrence qui eux se battent avec des éléments bien plus complexes, bien plus fort de leur univers intime.
Bonne fin de journée.

christiane dit: à

@rose dit: 2 juin 2018 à 17 h 18 min
Mais oui, pas de problème.
Lequel de ces 8 visages est pour toi le plus sympathique ? (en oubliant tout ce qui est écrit !) tu pourrais inventer une histoire à chacun…

rose dit: à

bique.
le correcteur à un vocabvocabulaire de 40 mots.

christiane dit: à

Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 24 min
Je peux.

rose dit: à

vocabulaire.

christiane dit: à

@Laura Delair dit: 2 juin 2018 à 17 h 12 min
Joli !

Pat V dit: à

bien plus fortS de leur univers intime.

Pat V dit: à

Je peux.

On peut tout ce que l’ on veut Christiane! 😉
Mais ici, il s’ agit bien d’ un non évènement, non?
Alors que les peintures de ces trois peintre, excusez-moi de vous le dire, c’ est de la dynamite!

poussière dit: à

j’ai essayé le jeu et je dois avouer être quelque peu bluffé

rose dit: à

Le jeune homme.
Je le trouve plein d’espérance. Il ne sait pas encore la laideur du monde et sa gravité est impressionnante.
Il est difficile pour lui de mettre un nom sur ses rêves mais il est incroyablement déterminé. Son regard est doit et franc. Sa manière d’agir aussi.

Il refuse de se soumettre à la morosité ambiante et lorsqu’il n’y a pas de sang frais il donne du sien. Il fait transfusion permanente.

Il offre à chacun cadeaux multiples, mais de oui, on ne sait rien.

Moi je croiserai les mains sur ma poitrine, cela évitera à d’autres de le faire, et je dirai Jésus marie je suis prête à mourir. Et je mourrai. Ding.

Pat V dit: à

Alors que les peintures de ces trois peintres, excusez-moi de vous le dire, c’ est de la dynamite! me ipse.

Et quels beaux résultats pour nous!

rose dit: à

joseph

Je dirai Jésus marie joseph

christiane dit: à

@Lavande dit: 2 juin 2018 à 16 h 42 min
C’est beau cette légèreté et cette douceur. Les dessins très fins d’Aurore Callias y sont aussi pour beaucoup. Sigrid Baffert à été ce petit Edgard, assis sur le banc, face à la mer. Krol, le fou de Bassan, solitaire s’approche…
N’a-t-elle pas écrit une chanson pour Serge Reggiani ?

rose dit: à

droit et franc.

de lui on ne sait rien. l’ étalage c’ est pas son truc. Il est éduqué.
À côté, on se sent frustre.

rose dit: à

le jeune homme n° 8

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 32 min
Mais ils ne sont pas votre propriété, que diable !

christiane dit: à

@rose dit: 2 juin 2018 à 17 h 39 min
idem !

rose dit: à

on va fiche l’ hypnotiseur au chômage technique Christiane, vous et moi 😊

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 30 min
Oh la la, professeur Cosinus, vous ne vous reposez jamais ? Laissez donc leurs toiles reposer dans notre mémoire et notre imaginaire…
Plus intello, tu meurs !

christiane dit: à

@rose dit: 2 juin 2018 à 17 h 42 min
Et on dansera La carmagnole. Vive le son du canon !

Pat V dit: à

Mais ils ne sont pas votre propriété, que diable !

Difficile de comprendre votre exclamation, Christiane.
Mais un minimum de lisibilité commune parle d’ évidence…

rose dit: à

Par V
La grosse différence est que les peintres ne s’en prennent pas nommément à un ou plusieurs d’entre nous.

Jazzi dit: à

Lavande elle a toujours une histoire drôle à raconter ! Où elle n’est pas sérieuse ou c’est une grande désespérée ?

Pat V dit: à

Laissez donc leurs toiles reposer dans notre mémoire et notre imaginaire…

Les toiles des peintres nommés, heureusement pour nous, ne  » repose  » pas, elles parlent. 😉
Elle ne stagnent pas dans l’ eau d’ un marais affadi et sans vigueur…

Pat V dit: à

rose dit: 2 juin 2018 à 17 h 47 min

Mais qui vous dit le contraire, nous sommes bien d’ accord, rose. Aucune comparaison possible avec les intervenants de blog, virtuels ou réels…
Ceux-celles-là, s’ épuisent ( et se diluent ) dans leur discours alors que les peintres, eux, nous parlent et nous parleront encore! 😉

rose dit: à

Par V

Je conçois cela comme un travail dans une solitude extrême, l’art.
chacun se projette ou pas ensuite.

rose dit: à

Par V
pas de pérennité dans les injures alors qu’ immortalité dans la toile.

rose dit: à

ou une bonne vivante jazzi ; je la vois plutôt comme cela Lavande.

avouez que Clinis Wood c’ est excellent.

Lavande dit: à

Christiane 17h39 : oui tout à fait, elle a écrit pour Reggiani: « ballade pour une gardienne de musée » (boulot qu’elle a fait pour faire bouillir la marmite quand ses livres ne se vendaient pas encore beaucoup). Maintenant elle a même des commandes de grands éditeurs sur des sujets précis.
Elle est vraiment talentueuse et a écrit une comédie musicale (Halb) qui est très belle. Avec son équipe de musiciens, ils en préparent une seconde.
Je la connais depuis son enfance (fille d’amis très chers) et ça a été un bonheur de la voir progresser et s’épanouir.
Si vous écoutez les videos qui suivent elle parle de son travail de façon sympa.

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 51 min
Oh la la… Vous n’avez pas fini d’éplucher tous mes mots ? A chacun son vécu avec ces toiles-là auxquelles je pense souvent.

Pat V dit: à

Je conçois cela comme un travail dans une solitude extrême, l’art.
chacun se projette ou pas ensuite.

Tous les cas de figure existent pour le travail de la toile, rose. Il suffit de visiter de nombreux ateliers de peintres.

Après, pour la projection, entre le subjectivisme et la  » vérité  » de la peinture, il y a une sacré marge!

D’ accord avec votre avis sur les injures..
Très peu présent ici ( je m’ en vais d’ ailleurs )je crois qu’ il faut laisser couler et ne pas intervenir. Ce que j’ essaie de faire dans ce cas là.

rose dit: à

il est dit d’ Edgar il n’ attend pas Krol parce que c’ est Krol qui scrute.

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 51 min
Qui c’est ce « nous » ?
Une toile peut reposer dans notre mémoire et un jour s’imposer dans une situation précise. Elle se réveille alors, éclatante, vivante, traversant les siècles, parfois. L’art est aussi un langage, pas réservé aux spécialistes dont vous êtes. Moi, je l’emmène partout dans mon sac à dos avec mes livres aimés, mes musiques, les visages que j’aime, l’actualité du monde.

Pat V dit: à

 » A chacun son vécu avec ces toiles-là  »

Le problème c’ est que notre vécu ne dit rien du tableau mais tout de notre moi et cela n’ a pas beaucoup d’ intérêt dans la compréhension de l’ œuvre en elle-même.
( Cf. la chapelle de Houston où sont exposées les toiles de Rothko et le commentaire qu’ en fait Miche Butor. )

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 32 min
Mais c’est évident ! pas besoin de vous « excuser » avec condescendance !

christiane dit: à

Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 30 min

« Un non-évènement »… Vous parlez comme un donneur de leçons imbu de lui-même.

Pat V dit: à

christiane dit: 2 juin 2018 à 18 h 28 min

Mais oui, tout est possible avec l’ art.
Vous le mettez dans votre sac à dos, d’ autre le mettent dans un coffre fort… 😉
Et là, cela ne nous dit rien du tableau, non?
Convenez-en avec moi Christyiane.

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 17 h 24 min
Parce que la colère habitait aussi ces trois artistes. La forme qu’ils ont choisie, leurs couleurs, leur façon de peindre transmet au-delà de leurs toiles une lecture de l’âme humaine, des caractères dont les injures sont l’impuissance à hurler.

christiane dit: à

@Janssen J-J dit: 2 juin 2018 à 11 h 42 min
Antipathiques ? Je choisis les lunettes de la 1, les lèvres du 2, les pommettes du 3, l’air boudeur de la 4, l’aspect figé de la 5, le regard de la 6, la barbe hirsute du 7 et le col fermé du 8.
Où est la réponse , docteur Freud ?

christiane dit: à

Ces tableaux, Pat V, on pourrait en parler des heures mais là n’est pas le propos. (christiane c’est sans y)

Pat V dit: à

Christiane, vous me passez tous les qualificatifs.

D’ abord de Professeur Cosinus ( vous devriez être plus claire pour ce qui regarde l’ art à ce propos..) puis d’ intello, puis…puis cela devient de l’ aigre-doux.
Argumentez que diable et ne faites pas ce que vous reprochez doucereusement à certaines autres personnes sur ce blog.
Je vous pose des questions, calmement, je donne mon point de vue et je le développe.
Et pour ma part je n’ emmagasine pas l’ art dans mon sac personnel comme d’ autres ( je ne dis pas vous, quoique…) le guide du routard! 😉
Continuez à nous parler de vos émotions, de vos coups de cœur en public ici mais acceptez quand même que l’ on puisse vous répondre et penser autrement.
A demain peut-être.

Lavande dit: à

Jazzi et Rose je crois que vous avez tous les deux raison (hypothèse 1 pour Jazzi bien sûr). Mais l’histoire de Clinis Wood est authentique : elle m’a été racontée (et a été vécue) par Sigrid.
A part ça je connais effectivement beaucoup d’histoires, en particulier des histoires juives qui me viennent de mon beau-père qui adorait en raconter.
Allez une petite.
C’est un fils qui téléphone à sa mère:
– « Alors comment ça va aujourd’hui? »
– « Très, très bien, je suis en super forme, tout va bien! »
petit temps de silence
– « Excusez-moi madame, je pense que je me suis trompé de numéro. »

Pat V dit: à

christiane dit: 2 juin 2018 à 18 h 37 min

Et bien voilà une réponse sympathique et qui répond par anticipation à mon commentaire ci-dessous.

Paul Edel dit: à

A propos de « Huis clos » de Sartre qu’on vient d’évoquer.
La pièce impressionne toujours autant .Ecrite à l’automne 1943, et jouée le 27 mai 1944, aujourd’hui encore la pièce reflète le formidable climat d’oppression . Pour l’anecdote on sait par Simone de Beauvoir dans « la force de l’âge » que la pièce part d’une situation vécue par Sartre et Simone, puisqu’il s’agit de cette histoire d’amour ,de jalousie entre Sartre, Simone de Beauvoir et Olga Kosakiewicz à Rouen en 1936.
Plus sérieusement la pièce s’exprime toute autre chose, qui la rend cette historiquement percutante » et actuelle avec les blogs…Car la pièce reflète ce qui constitue l’enfer de l’Occupation ,cette vraie séquestration physique et idéologique pour les français . Les français s’épient les uns les autres , entre Collaborateurs, Résistants et masse passive . Sartre montre comment les Français après Juin 40, sont tombés en enfer. Condamnés doublement à mort, d’abord par la privation de liberté, -censure des journaux, etc..- par la faim.. Par son nombre de prisonniers disparus en Allemagne.. et bien sûr par ses lois raciales.. et ensuite par la tentative de « réarmement », bourrage de crâne de la morale Collaborationniste de Vichy. Mais la pièce , aujourd’hui, reprend une brulante actualité :celle des blogs. Quel beau salon Sartrien.
Le blog est un salon qui peut devenir un délicat enfer quotidien sous des allures de lieu de rendez-vous sympa.. Il peut à l’occasion réifier chaque commentateur, l enfermer dans un rôle sous le regard complice des Autres.. L’enfer c’est les Autres, avec son cortège de sadisme, de mauvaise foi, de désir de domination ,de possessivité, de pulsions brutales, de volonté d’anéantissement, volonté de puissance , mépris et violence que la Culture, (on devrait dire les cultures..) lieu d’atténuer, exacerbe. La facilité du pseudonyme permet à l’occasion, de devenir, en toute impunité, un corbeau qui calomnie les autres. Début de la pièce :
(Un salon style Second Empire. Un bronze sur la cheminée.)
-Garcin,( entre et regarde autour de lu :
Alors voilà.
Le garçon : Voilà.
Garcin : C’est comme ça…
Le garçon : C’est comme ça. »

christiane dit: à

@Pat V dit: 2 juin 2018 à 18 h 52 min
Bon, Pat V;, j’étais partie au fin fond de l’appartement . Un livre m’y attendait : ce fameux Journal en Miettes de Ionesco et lisant la page 167, je reviens à vous, parce qu’il écrit là ce dont la colère et la rage sont faites et c’est en lien avec ce que je ressens de ces trois toiles.
« D’ailleurs, il est à se demander s’il y a quelque chose à connaître ou quelqu’un, s’il y a une âme cachée qui se révélerait. Il n’y a peut-être rien d’autre que cette broussaille, ces épines, cette rocaille. C’est peut-être cela l’âme : un lieu où toutes sortes de choses, toutes sortes de forces occupent le terrain simplement. Il n’y a peut-être que des évènements, des conflits d’évènements, des ombres Une vie psychique comme un champ où s’entrecroisent des forces. Le moi ne serait donc qu’un nœud de principes antagonistes en équilibre dynamique. Je défais ce nœud, les forces se dissipent, il n’y a plus rien. Mais il y a cette angoisse. ce serait le signe qu’il y a un être. et que l’être réagit (…) La masse noire, épaisse, le mur sera toujours derrière chaque mur que l’on aura abattu. »
Eh bien, Pat V., ces bordées d’injures, parfois sur ce blog, comme les paroles gelées qui tombent sur le pont du bateau de Pantagruel, elles me parlent d’une rivalité entre deux hommes cultivés qui ne se comprennent pas et ne peuvent se côtoyer que dans la violence. Dans ces toiles que j’évoquais le drame bouillonne au bout du pinceau ou du couteau. Et le cri de ces toiles hurle son désespoir dans ce monde. C’est ça, Pat, la RDL, des passions qui se cognent, s’agrippent et le calme soudain de la fée Lavande ou une chanson ancienne s’éveillant sous la plume de DHH. (Sans oublier le teste pas drôle de JJJ qui nous met face à nos folies muselées.
Bonne soirée , professeur Cosinus.(un mathématicien effroyablement distrait. J’adorais cette vieille BD, retrouvée dans le grenier de mon grand-père. Et ce mot de Rabelais signifiant « coups » : « morderegrippipiotabirofreluchamburelurecoquelurintimpanemens » (60 lettres), Quart Livre, XV.

christiane dit: à

@Paul Edel dit: 2 juin 2018 à 19 h 09 min
Vous arrivé toujours à point nommé. C’est extra !

rose dit: à

Allez une petite.
C’est un fils qui téléphone à sa mère:
– « Alors comment ça va aujourd’hui? »
– « Très, très bien, je suis en super forme, tout va bien! »
petit temps de silence
– « Excusez-moi madame, je pense que je me suis trompé de numéro. »

Lavande
je les aime les blagues juives. 😊

Lavande dit: à

Remarquez, Rose, celle-ci n’est pas spécifiquement juive.
J’ai un ami 100% goy dauphinois qui dit s’y reconnaitre parfaitement.

Bérénice dit: à

Un gratin? D que mangerez vous ce soir?

rose dit: à

tant pis si un goy dauphinois s’y retrouve 100%.

rose dit: à

Je les aime quand même.

Bérénice dit: à

Lavande j’ai lu absolument amusée votre annecdote , en Bretagne ce serait plutôt le ik ou ick qui l’emporte sur le is, cependant je crois qu’il existe tant de recettes pour se moquer du monde . À ce propos il y a très longtemps vivaient les dinosaures et en ces jadis je n’aimais pas les Deschiens qui passaient en clair et dur canal estimant qu’ils se fichaient du lumpen puis j’ai changé , difficile de les égaler, prenez en de la graine , d’ailleurs pour finir chacun s’accorde à reconnaître qu’il est plus aisé d’attrister jusqu’aux larmes qu’à faire pleurer de rire un public bon ou mauvais.

Bérénice dit: à

DHH pour les microsillons il est admis qu’on les nomme vinyles, c’est moins long et un peu moins désuet,bien que votre âge dans cet état où vous l’illustrez brillament soit vénérable et enviable.

En passant dit: à

Un blog c’est surtout le lieu de petites vexations. Il y a des masos qui y vivent. D’autres…

DHH dit: à

@Bérénice
je croyais que le mot Vinyle était reservé aux disques souples 45 tours et non aux 33 tours dont j’ai le souvenir-peut-être trompeur- qu’ils étaient rigides .
le mot microsillon n’est pas aussi obsolète que vous le croyez ,on le trouve même dans une chanson:… moi j’ai de l’instruction et j’ai tout Mozart en microsillons.

Bérénice dit: à

DHH je ne mettais pas en cause votre instruction qui émaille nombre de vos posts, vinyle pour tout ce qui n’est pas sur support CD , il doit bien rester quelques cassettes avec leurs appareils de lecture, des microfilms pour les services d’espionnage qui doivent actuellement être convertis à la clé USB. Ceci dit vous avez entièrement raison de préférer les disques vinyles, les meilleurs mélomanes confirmeraient, un de mes copains après la nouveauté révolutionnaire que fut l’explosion du CD en critiquait le manque de profondeur du son . Quant à moi je ne possède pas l’ouïe adéquate à pouvoir en juger.

Bérénice dit: à

Nota bene. Ce moi je ne vous ressemble guère , votre promptitude laisse présager d’une solitude qui nous réunirait ce soir ou d’un désoeuvrement. C’est bien non? Cette communauté de situation mais sûrement suis je présomptueuse et je ne le désire pas. Bonne soirée, chère DHH.

Bérénice dit: à

Rose, cela baissera le coût de construction des logements, j’espère tout de même qu’ils conserveront les normes en vigueur garantissant l’accessibilité aux secours d’urgence. Ce deuxième temps du quinquennat s’annonce rudement.

Bérénice dit: à

Les trottoirs ne permettent pas non plus aux personnes handicapées et en fauteuil une circulation de façon autonome et sécurisée, beaucoup reste à fournir pour leur faciliter la vie , avec cette mesure on s’éloigne de ce but.

rose dit: à

C’est dans la chanson bérénice, ce n’est pas DHH qui parle

Ce moi je ne vous ressemble guère

Bérénice dit: à

Quelle chanson, j’ai pioché dans l’amoncellement et je ne sais pas à quoi il est fait référence ou si un lien donne à l’entendre. J Langoncet de sortie ce soir et nous ne benificierons pas de sa contribution musicale.

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