de Pierre Assouline

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La République des livres
Le Nobel de littérature fait-il lire ?

Le Nobel de littérature fait-il lire ?

Un grand prix littéraire n’est pas toujours un cadeau. Même s’il s’agit du plus fameux d’entre eux. Surtout pour un éditeur. L’auteur, lui, s’en tire mieux parce que le chèque de 10 millions de couronnes (soit 940 000 euros) qui accompagne la consécration échappe à l’impôt, ce qui en fait la prix littéraire le mieux doté au monde. Mais pour l’éditeur, la note est souvent plus salée : outre que le montant des droits augmente bizarrement au lendemain de l’annonce du prix, il doit ensuite accompagner la promotion pas seulement de l’ouvrage mais de l’ensemble de l’œuvre durant toute l’année : campagne de publicité, tournées de signatures, conférences etc Ce qui attend Abdulrazak Gurnah, le dernier lauréat de l’Académie suédoise distingué pour sa vision « empathique et sans compromis des effets du colonialisme et du destin des réfugiés pris entre les cultures et les continents ». On saura bientôt si le fait d’être en parfaite harmonie avec l’air du temps se traduit par une curiosité durable des lecteurs et un succès de librairie. La « beauté austère » de l’œuvre de la poétesse américaine Louise Glück, lauréate 2020, n’a pas vraiment bousculé les listes des meilleures ventes.

Le plus souvent, l’écrivain élu est déjà célèbre. Son Nobel a fait lire plus encore l’œuvre de Beckett mais elle a carrément révélé celle de Isaac Bashevis Singer au-delà des microcosmes newyorkais et yiddish à travers le monde, ou celle du turc Orhan Pamuk et du hongrois Imre Kertzesz au-delà de leurs cercle de fidèles déjà acquis pour ne rien dire du saint-lucien Derek Walcott et de la polonaise Wislawa Szymborska alors ignorés hors de leur pays. Le cas de Claude Simon est un contre-exemple. Je me souviens des soupirs de Jérôme Lindon, le pdg des éditions de Minuit, lorsqu’il en parlait :

« Vous parlez d’une récompense ! Elle n’a pas fait vendre le moindre de ses livres ! ».

En fait, c’était surtout vrai en France où le frémissement des ventes consécutif au prix n’a duré qu’un instant, comme s’il avait déjà fait le plein de ses lecteurs potentiels et ne pouvait de toute façon en atteindre de nouveaux. Mais à l’étranger, il eut plus d’écho, ce qui se matérialisa par des traductions au Japon, en Chine, aux Etats-Unis ; même un pays comme l’Allemagne, qui l’avait un peu publié mais avait dû pilonner ses invendus, s’est mis à acheter à nouveau ses droits.

Le romancier tanzanien Abdulrazak Gurnah (Zanzibar, 1948), dont le kiswahili est la langue maternelle, a écrit son œuvre en anglais et vit depuis l’âge de 18 ans en Grande-Bretagne. Mais il n’était pas lu par ses compatriotes. Il était même inconnu au bataillon dans un pays où la culture orale l’emporte largement sur la lecture. Retraité depuis peu, il a longtemps enseigné la littérature anglaise et post-coloniale à l’université du Kent (Canterbury). Juste avant le Nobel, son dixième roman Au-delà paru chez Bloomsbury à Londres, peinait à crever le plafond de verre malgré ses qualités reconnues par la critique et sa sélection sur les listes de plusieurs prix. Son agent ne parvenait même pas à le faire publier aux Etats-Unis.

Depuis l’annonce du Nobel, six éditeurs américains se sont disputé les droits tandis qu’une trentaine de pays se mettaient sur les rangs. Les lecteurs n’en ont pas moins été frustrés car même chez les éditeurs qui le suivaient depuis des années, la plupart de ses titres étaient épuisés ; et la crise aidant, les problèmes de logistique et d’approvisionnement en papier n’ont pas arrangé les choses. C’est peu dire qu’ils ont été pris au dépourvu d’autant que certains sites de bookmakers ignoraient jusqu’à son nom.

Et en France ? Denoël avait publié Paradis (1995) repris en poche par le Serpent à plumes, et Galaade Près de la mer (2006) suivi de Désertion (2009) à l’initiative d’Emmanuelle Colas, dont le flair africain s’est confirmé par la suite avec Les Impatientes (Goncourt des lycéens, 2020) de la camerounaise Djaïdi Amadou Amal. Denoël rééditera le 1er décembre Paradis et Près de la mer, puis fera paraître Adieu Zanzibar en 2022 et Afterlives (titre anglais) en 2023.

Le Nobel attribué à Patrick Modiano n’a pas seulement profité aux ventes de son roman qui venait alors de paraitre (Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier), il a également stimulé celles de l’ensemble de ses romans en format de poche. De toute façon, les Français n’avaient pas attendu le prix pour le lire… L’effet fut plus spectaculaire à l’étranger : aux Etats-Unis par exemple, il n’était plus traduit depuis des années… De toute façon, au-delà de la récompense et de ce qu’elle peut rapporter, le Nobel de littérature est aussi un paratonnerre. Ce que, dans un bilan, on appelle le capital immatériel. Comme disait André Gide lorsqu’on évoquait ses rapports avec les petits garçons : « Ne craignez rien, mon Nobel me protège ! ». Et cela n’a pas de prix.

(« Tanzanian writer Abdulrazak Gurnah arrives back at his home in Canterbury. AP)

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commentaires

1 221 Réponses pour Le Nobel de littérature fait-il lire ?

Alexia Neuhoff dit: à

Comme si de nombreux historiens français n’avaient pas démenti, démoli les approximations de Z. ! Ah mais, on est en France, il faut passer par New York pour que ça devienne audible, crédible.

Janssen J-J dit: à

(ce soir) – ah bon, c’est pécresse finalement ? Charoulet a bien voté alhors !
@ B, moi j’ai vu Bohemian Raphsody sur lacisse, (manqué à sa sortie) et sais pas si on a vu la même chose…, je connaissais pas ce pt’it gars de Zanzibar, il avait apparemment trop de dents dans la bouche… A l’époque de Montserrat, j’avais la même moustache que lui, et je comprenais pas pourquoi on trouvait que je ressemblais à un clone pédé… ce devait être « la mode Mercury », que disait Mélina… c’est si vieux, et si douloureux, toussa !,…, ces années sidéennes !… Et voilà que ça recommence, 30 ans plus tard avec les mêmes complo-Z-lém(o)uriens… Quel chanteur va nous incarner les « années Covid », ast’heure ?…
@ AN – la taphophilie ?… Tant que jzmn n’est pas atteint par la shoïnopentaxophilie, c’est encore pas trop grave, anéfé, il peut encore nous emmener sur la tombe de François Villon en nous chantant sa fameuse ballade !
@ SV / En ce moment, le prix à créer c’est celui des casseroles retrouvées./// Comprends pas toujours votre humour. En est-ce, d’ailleurs ?… Merci de préciser, le k échouant…
Bàv, (19h01 du 2.12.21)

B dit: à

Bohemian raphsody, je commets une grossière erreur. Excusez. Idem, pas vu au cinéma.

Phil dit: à

on trouvait que je ressemblais à un clone pédé…

vous avez pu plaire à Renaud Camus, dear jjj, et finir couché dans son journal.

B dit: à

3J, la mode gay évolue de décennie en décennie, et je ne sais plus s’il existe encore des signes distinctifs actuellement qu’ils soient vestimentaires, capillaires, ornementaux . Je suis certaine qu’un grand nombre d’individus louches passe à travers les faisceaux de nos radars. De fait quand vous êtes femmes et si vous ne vous posez pas la question , forte probabilité d’avoir affaire avec un individu hybride quand il n’est pas totalement perdu pour la cause des hétéros féminines.

B dit: à

Il nous faudrait un dispositif, un test qu’on poserait sur la peau et indiquerait la préférence, l’orientation du rencontré.

Janssen J-J dit: à

@ Si vous saviez, jzmn !… un jour, je vous raconterai tout, au cimetière du coin…
@ Figurez-vous que je l’avais jamais vraiment lue, cette ballade. Alors, je la copie-colle pour ceux et celles, qui comme moi, ont fait un beau naufrage…
__________
Frères humains qui après nous vivez
N’ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, se pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tost de vous merciz.
Vous nous voyez cy attachez cinq, six
Quant de la chair, que trop avons nourrie,
Elle est pieça devoree et pourrie,
Et nous les os, devenons cendre et pouldre.
De nostre mal personne ne s’en rie :
Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre!
Se frères vous clamons, pas n’en devez
Avoir desdain, quoy que fusmes occiz
Par justice. Toutesfois, vous savez
Que tous hommes n’ont pas bon sens rassiz;
Excusez nous, puis que sommes transis,
Envers le filz de la Vierge Marie,
Que sa grâce ne soit pour nous tarie,
Nous préservant de l’infernale fouldre.
Nous sommes mors, ame ne nous harie;
Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre!
La pluye nous a débuez et lavez,
Et le soleil desséchez et noirciz:
Pies, corbeaulx nous ont les yeulx cavez
Et arraché la barbe et les sourciz.
Jamais nul temps nous ne sommes assis;
Puis ça, puis la, comme le vent varie,
À son plaisir sans cesser nous charie,
Plus becquetez d’oiseaulx que dez à couldre.
Ne soyez donc de nostre confrarie;
Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre!
Prince Jhesus, qui sur tous a maistrie,
Garde qu’Enfer n’ait de nous seigneurie :
A luy n’avons que faire ne que souldre.
Hommes, icy n’a point de mocquerie;
Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre
____________

et alii dit: à

seigneur!j’ai oublié de préciser que DUSSURGET était homosexuel ! on l’appelait l’ange gabriel!

Janssen J-J dit: à

@ la cause des hétéros féminines.
ckoi encore c’te bête-là, cette cause-là ?… c pas queer ! c patch… woke !

Bloom dit: à

Comme si de nombreux historiens français n’avaient pas démenti, démoli les approximations de Z. !
—
J’ai du passer bockàcôté. Merci de donner un ou deux exemples précis, sur des médias pas confidentiels, oeuf corse.

Janssen J-J dit: à

(pardon dirfil, vous ai confondu avec jzmn, on finirait par se les mélanger, à force, hein 🙂

@ finir couché dans son journal

J’hespère bin qu’non, quelle horreur !… J’vous jure madame que j’ai jamais tricksé avec lui… ! Mon alter ego, oui, je le crois bien… Il l’avait rencontré et il l’adulait à cette époque, et donc comme on ressemblait à Fairy Queen…, p’têt bin que vous avez raison…
S’il avait pu savoir comment l’engin RC allait tourner plus tard, il aurait viré sa cutine tout de suite… trop écœuré !…
Pmp, jamais lu son journal pour vérifier s’il causa de lui… Ouh mon dieu, quelle perte de temps !…
Remplacez-moi tous ces Lémuriens en grand !

Phil dit: à

Du sûr gay, tranquillisez-vous dear Etalii, reprenez un coup de pilpoul
Dear jjj, le tableau de rm est indeed constitué exclusivement de moustachus poilus, à passer au peigne fin pour vous y retrouver.

et alii dit: à

phil, j’avais oublié de dire qu’il y a un prix!
Le Prix Gabriel Dussurget récompense, depuis 2006, un artiste révélé par le Festival international d’Art lyrique d’Aix-en-Provence, et ce, dans tous les domaines concourant à la production des œuvres lyriques : chanteur, chef d’orchestre, interprète, compositeur, scénographe. Gabriel Dussurget a su, de son vivant, donner son sens plein à la notion d’opéra, un art qui conjugue tous ces métiers de la scène. Il était également reconnu pour son talent de découvreur. C’est ainsi qu’il contribua aux débuts de chanteurs et de chefs d’orchestre devenus célèbres depuis, tout en privilégiant également la dramaturgie, avec son corollaire scénographique. C’est cette conception de l’art lyrique et ce rôle du Festival que ce prix souhaite mettre en exergue.
Depuis 2015, un Prix Gabriel Dussurget Jeune Espoir est remis à un élève du Conservatoire Darius Milhaud.
Cette année le prix sera remis au flûtiste Clément Husson.

et alii dit: à

à propos de musique:
Un thème très présent depuis les années 1980 est celui du rôle joué par la musique dans la formation des identités individuelles et sociales (la salsa pour les Portoricains). Parfois, un changement politique conduit à ce que de nouvelles significations soient accolées à des formes musicales préexistantes. Par exemple, il y avait dans l’ancienne Yougoslavie un genre appelé « nouvelle musique populaire (une musique traditionnelle rénovée, en quelque sorte) ; avec la guerre des années 1990, ce genre éclata, »
in
Homo musicus
PAR THIERRY LAISNEY
Article publié dans le n°1103 (16 avril 2014) de Quinzaines
https://www.nouvelle-quinzaine-litteraire.fr/mode-lecture/em-homo-musicus-em-26

et alii dit: à

renato:
La perception auditive se différencie cependant de la perception visuelle, qui implique une interprétation « égarante » du réel, dans la mesure où « le son ne nous apprend rien ni ne nous dit rien – rien que le son ». Le son s’en tient à ce qu’il produit, sans commentaire ni interprétation. Les sons peuvent susciter des sentiments et des émotions intenses et énigmatiques, mais pas en exprimer ou en suggérer. La thèse de Santiago Espinosa consiste à affirmer que le propre de la perception sonore est de nous mettre en contact direct avec la réalité – et non de nous conduire à la vérité, comme c’est le cas avec la perception visuelle.
in Homo videns, homo audiens
PAR FRANCK COLOTTE
https://www.nouvelle-quinzaine-litteraire.fr/mode-lecture/homo-videns-homo-audiens-1167
bonsoir

Bloom dit: à

Paxton a oublié Touvier
—
Plutôt bien caché par les cathos traditionnalistes. Le secret du confessionnal.
Monastères pour les monstères.

Alexia Neuhoff dit: à

Minuscule échantillon de la littérature autour du sujet :

France culture : Laurent Joly répondait justement pied à pied [à Zemmour] en publiant, [DEJA]en septembre 2018, L’Etat contre les juifs (chez Grasset).
France inter : « Tout est faux dans ce que raconte Zemmour », lancent les historiens Nicolas Offenstadt et Pascal Ory
Gérard Noiriel : Comment répondre à Éric Zemmour ? (CANAL+)
Enquête Actu J : Affaire Eric Zemmour : les historiens Serge Klarsfeld et Alain Michel répondent sur Vichy et les Juifs

etc. etc.

Soleil vert dit: à

>JJJ : @ SV / En ce moment, le prix à créer c’est celui des casseroles retrouvées./// Comprends pas toujours votre humour. En est-ce, d’ailleurs ?… Merci de préciser, le k échouant

allusion pas très fine de ma part au « Prix du temps retrouvé » qui bat de l’aile

Bloom dit: à

etc. etc.
Certes, mais à part France inter, ce sont des médias confidentiels, (FC & EAJ ne prèchent qu’aux convaincus)
L’opinion se fait ailleurs, notamment dans les grands hébdo, dans le Figaro, Le Monde, les grands titres de la presse provinciale, et, hélas sur les chaines d’infox continue.
Démontent-ils son argumentaire de façon plus étayée en plus de dire que « tout est faux »? Précisément ce que fait Paxton dans le Monde.

En tous cas, on a eu besoin de Paxton pour voir ce qu’était Vichy, et le fait qu’il reprenne du service n’est pas anecdotique.

Bloom dit: à

hebdos

Phil dit: à

médias confidentiels

qui ont laissé gonfler la baudruche comme un golem

moralès sed laisse dit: à

On tire à hue et à dia sur ce blog!

Janssen J-J dit: à

Grand merci pour la précision @ SV, je suis pas mal débranché des ACTU qui comptent en ce moment… Donc, je viens d’allez y voir, et tout s’éclaire…
https://www.huffingtonpost.fr/entry/affaire-ppda-jures-prix-du-temps-retrouve-demissionnent_fr_61a886d6e4b0ae9a42b8187d
Se passe-t-il quelque chose de semblable au,jury du prix « Séquence Frisson » ?
(chic, ma sœur va pouvoir candidater comme jurée aux deux naufragés…, elle qui se rêve d’en charlotte cordée, depuis tant damnées !)…
Bàv,

Bloom dit: à

un golem
—
Un gogol laid, surtout.Un Joanovici 4.0

Il risque juste de se prendre ses boomerang en retour pleine face, même s’il me semble assez peu probable qu’il aille mouiller la chemise au gymnase de Villiers-le-Bel comme l’avait fait DSK avec force conviction en 2007.
Dommage, on l’y attend…

Bloom dit: à

L’Odyssée des Poivre ne manque pas de sel, 3J.
Le temps se couvre.

rose dit: à

Bertrand il faut voir sa vie sexuelle.
Ne sais rien de Pécresse donc rien à dire.
Mais je aujourd’hui, les baiseurs, plus personne n’en veut.
Sauf les anglais toujours en retard de trois lunes.

Bloom dit: à

Tous les Eric ne sont pas d’affreux jojos. Les 4 qui suivent redorent largement le blason d’un prénom qu’il faut sauver:

Von Stroheim
Blair
Arnoult
Cantona

Bloom dit: à

Sauf les anglais toujours en retard de trois lunes.
—
Et dire que Greenwich, c’est chez eux…!

renato dit: à

C’est très réductif ce que vous dites à propos des sons, et al. Déjà de quels sons on parle ? car, p. ex., les mots ne sont rien de plus qu’un ensemble de sons même si la mémorisation est plus susceptible de se produire pour les significations que pour les sons. Puis il y a la musique, et là il faut savoir de quoi on parle, car tous les systèmes (musique occidentale, orientale) ont leurs règles et leurs modes, p. ex. et en bref, la cadence comme formule mélodique-harmonique de ponctuation qui dévie le développement du discours musical dans des tons différents de l’attendu ou qui résolve le discours musical dans le ton attendu. Or si « le son ne nous apprend rien ni ne nous dit rien – rien que le son », comment se prend le compositeur pour écrire et l’interprète pour lire ? Pour ce qui est de la vérité, que l’œuvre musicale, comme l’œuvre plastique d’ailleurs, n’a pas vocation de nous conduire à la vérité c’è une évidence, car chaque œuvre porte en soi sa vérité et l’exprime. Et pour finir, à la fois la perception auditive et la visuelle nous mettent en contact avec la réalité, simplement la réalité des sons demande une attention plus soutenue.

D. dit: à

Le pas triste 🐱 roulé ne nous a pas donné son point de vue sur le résultat de ce premier tour de primaire « républicaine ».

D. dit: à

Je crois que renato a raison, pour une fois.

Jazzi dit: à

« il peut encore nous emmener sur la tombe de François Villon »

On ne connaît pas la date de la mort du pauvre François, JJJ, et encore moins le lieu de la fosse commune dans laquelle il a été probablement jeté…

Phil dit: à

On ne connaît pas la date de la mort du pauvre François, JJJ

mais le nom de sa femme. Penelope

Janssen J-J dit: à

/// et dieu sait qu’elle l’a aidé dans ses cOmpagnes électorales !
Pénélope (CRUZ), de la croix et la bannière… à la fesse commune… warf

Janssen J-J dit: à

en 2, tu vas devoir départager entre éric et valérie, mais le gros bertrand picard, va se donner en adoption à valérie… kiladi… te souhaite bin du piaisi ! – et zémoure va se désister pour marline… aux chiottes, lard bite !… des prédications à la charoule…
– Mme Figmag kidi mieux : Eric Bana Eric Elmosnino Eric Frechon Éric Guérin Éric Heilmann Éric Schmitt Eric Maria Remarque

rose dit: à

Greenwich c’est chez eux.
Les petits pois verts également.
Et Trafalgar.
Et Ken Loach.
Et l’île de Wight.
La liste est longue.
N’empêche, trois lunes de retard.

bouguereau dit: à

mais le nom de sa femme. Penelope

décidément toutes les mêmes qu’elle dirait alesquia

rose dit: à

Éric Cochet

bouguereau dit: à

Mais je aujourd’hui, les baiseurs, plus personne n’en veut

ça va ça vient rosy..et pis faut pas trop médire sur cqui nous a fait

Janssen J-J dit: à

@ décidément toutes les mêmes

… des Thérèse, quand on les Lope

Janssen J-J dit: à

Eric de Mongol Fier

bouguereau dit: à

On ne connaît pas la date de la mort du pauvre François, JJJ, et encore moins le lieu de la fosse commune dans laquelle il a été probablement jeté…

ça lui va comme un gant..peau dchevreau..surmesure prés du corps ça veut dire..t’as des inconforts prudhommex baroz

renato dit: à

« Mais je aujourd’hui, les baiseurs, plus personne n’en veut »

N’empêche que l’activité est encore vivace.

et alii dit: à

renato, les quelques phrases que j’ai envoyées sont préc&édées de
« Né en 1978 à Mexico, Santiago Espinosa est docteur en philosophie et traducteur de Clément Rosset. Ses travaux sont consacrés au rapport entre musique, littérature et philosophie. Il est notamment l’auteur de L’Inexpressif musical (Encre marine), inspiré de la pensée de Stravinski qui déclarait que la musique est « impuissante par son essence à exprimer quoi que ce soit » et de la philosophie tragique de Clément Rosset, en guerre contre tous les dédoublements du réel, Dans son dernier essai, Voir et entendre, Espinosa élargit ses vues sur la musique à l’art en général, et aborde des sujets plus vastes comme la science physique. Dans cette perspective, il distingue la perception auditive, plus prompte à saisir le mouvement et le changement, non susceptible par surcroît d’en faire une image ou même une « chose ».
SANTIAGO ESPINOSA
Voir et entendre : critique de la perception imaginative
https://www.nouvelle-quinzaine-litteraire.fr/mode-lecture/homo-videns-homo-audiens-1167

Janssen J-J dit: à

Eric de Chevillard

bouguereau dit: à

médias confidentiels
qui ont laissé gonfler la baudruche comme un golem

..à la crème de jéruzalème..bah..et en même temps c’est bien à son himage à la céleste..yavé nfait qu’en rire..enfin faut lsouhaiter qu’il dit dirfilou

rose dit: à

Je ne suis pas là politique. Mon enquête sur les EHPAD me passionne bien plus. Les petites et les grosses magouilles. Les mensonges. Les combines. Comment on abuse sans vergogne des gens qui ont des problèmes de mémoire.

La politique c’est 100% du moins.
Càd que les petites magouilles deviennent de très gros poissons.

Ce qui m’intéresse aussi en ce moment, c’est comment les histoires ressortent.
Un immense raz de marée.
Je suis encore sous le tsunami, mais c’est tellement énorme de découvrir les dessous, que oui, effectivement, c’est passionnant.
Ce qui est évident c’est que les gagnants vont être les perdants. Et vice versa.

rose dit: à

La politique c’est 100% du moij.

rose dit: à

Éric Tabarly, RIP

Janssen J-J dit: à

Eric Charden
Eric Ross Weinstein
Eric Sadin
Eric Temple Bell
Eric Weil
Erri de Luca
Eric Extchetera

rose dit: à

Éric Satie

rose dit: à

Éric à Zaraï.👏

bouguereau dit: à

En tous cas, on a eu besoin de Paxton pour voir ce qu’était Vichy, et le fait qu’il reprenne du service n’est pas anecdotique

prend du rcul kabloom..et quant tu espereras que ce n’est qu’ironie..tu verras un peut la picture

rose dit: à

L’activité est encore vivace. Une queue de comète.
Une implosion réjouissante.

bouguereau dit: à

surtout le prince éric..cher a dirfilou

bouguereau dit: à

pierre joubert..ça valait des thunes chez les brocs dirfilou

bouguereau dit: à

erik thorvaldsson..dze red

Jazzi dit: à

« Prince Eric » c’est de la littérature pour pédophiles, qu’elle dirait Sasseur, et elle n’aurait pas tout à fait tort !

Vu « Le diable n’existe pas », le boug, j’en parlerai plus longuement demain…

et alii dit: à

mais Erich Auerbach

rose dit: à

Éric Érach.

rose dit: à

Éric Kiki, de Saint Phalle.

renato dit: à

et al., la position de Stravinski relative à l’impuissance de la musique etc. est connue, mais il parlait du fait que on peut pas exprimer, p. ex., des sentiments. Toutefois, si on tient en compte la nature de la musique, on ne peut pas nier qu’elle se fonde sur des règles, et quand on dit règles on dit expression et signification, peut-être pas d’un sentiment mai sans doute d’un processus — voyez l’harmonie et le contrepoint. Puis que chacun pense ce que bon lui semble, mais sans moi.

Janssen J-J dit: à

@ etalii – > Mildred Clary (née le 7 février 1931 à Paris, de mère française et de père anglais, et décédée le 18 novembre 2010, à 79 ans) est une productrice de radio et de télévision et auteure française. Mildred Clary naît à Paris dans une famille mélomane et musicienne. Son père lui fait découvrir les richesses de la musique de luth ancienne et sa mère est pianiste, élève de Riccardo Vines et Marguerite Long. Elle commence une carrière de concertiste à la guitare puis au luth et joue de la musique de scène dans la fosse du Old Vic Theatre de Londres. Elle décide de quitter l’Angleterre et de s’installer en France. Elle demande au directeur du Old Vic des recommandations auprès de metteurs en scène français. Celui-ci l’adresse à Jean Vilar et Jean-Louis Barrault qui, tous deux, l’engagent. Car, dans les années cinquante, elle est l’une des rares, en France, à jouer du luth à une époque ou peu de facteurs fabriquent de tels instruments. Mildred Clary joue sous la direction de Pierre Boulez et Hermann Scherchen au Domaine musical et participe à de nombreuses musiques de scène au luth pour Jean Vilar. Elle enregistre, en 1956, l’Hommage « Le Tombeau de Claude Debussy », de Manuel De Falla, reproduit dans le coffret anthologique « Les Introuvables de Manuel de Falla » (EMI, 1996). Elle gravera également, pendant les années cinquante et soixante, différents microsillons de musique ancienne au luth, en solo ou avec des chanteurs (notamment avec les ensembles vocaux de Philippe Caillard et Roger Blanchard, ou avec le ténor Yves Tessier et la soprano Chanterelle Lanza del Vasto pour les firmes Erato, Ducretet Thomson, Vega ou studio SM). Elle y témoigne d’une très fine sensibilité musicale. En 1955, elle devient productrice d’émissions de radio pour la radiodiffusion française puis pour France Culture et France Musique. Elle produit d’abord une série intitulée « Poète prends ton luth » dans laquelle elle intervient en tant qu’instrumentiste. Elle abandonnera ensuite l’instrument; pour ne se consacrer qu’aux émissions qu’elle anime désormais. La première des séries fleuves qu’elle produira à la radio sera « Musica britanica ». Elle s’intéresse aux musiques de l’Inde (un pays qu’elle adorait et avait souvent visité) et du Japon ainsi qu’aux compositeurs du XXe siècle tels Jean Sibelius, Benjamin Britten, Olivier Greif, aux chefs d’orchestre, aux grands interprètes et aux hauts lieux de la musique en Europe et à travers le monde. Elle réalise des entretiens avec des peintres.
________________

@ l’rdl et JL, Un peu de Françoise… avant le dodo….
Personne ne peut détester de telles mélodies !… BN !
https://www.youtube.com/watch?v=O2Ts8Ix1gqA

et alii dit: à

, peinait à crever le plafond de verre:
l’ouvrage Breaking the Glass Ceiling3,4. Le terme est ensuite importé en France sous la plume de la sociologue Jacqueline Laufer5, laquelle constate l’universalité du concept :sur wiki
https://fr.wikipedia.org/wiki/Plafond_de_verre

et alii dit: à

Expressions Y
Y a pas de lézard
Origine : Le lézard contenu dans cette expression désigne dans l’argot des musiciens un son parasite sur une bande rendant nécessaire une nouvelle prise. S’il n’y a pas de lézard sur la bande c’est que tout va pour le mieux et la première prise de son sera la bonne.
Cette expression française dont les origines remontent à la fin du XXème siècle, et symbole d’une exclamation où la propension à s’assurer que tout va pour le mieux s’est considérablement accrue et se retrouve sous diverses formulations comme « ya pas de lez » ou « pas de blème » ou « no problèmo »

JiCé..... dit: à

VENDREDI 3 DECEMBRE 2021, 5h18, 8°, calme

Pour écraser Bébé Macron dans son berceau élyséen trop grand pour lui, il manque à cette femme LR, Valérie PECRESSE, deux qualités essentielles compte tenu du niveau politique de l’électorat hexagonal actuel :

– elle n’est pas noire de peau,
– elle n’est pas lesbienne de cœur

Négresse égarée, elle passait la barre à coup sûr, par Jésus-Christ notre Seigneur !

rose dit: à

Négresse égarée de Megara, pécaïre !

Pour être pdlr s’agit d’avoir de l’envergure, l’a t’elle ?

JiCé..... dit: à

Il n’est plus nécessaire d’avoir de l’envergure pour être élu Président de la République ! Il suffit d’avoir des potes qui vous disent quoi dire, quoi faire, quoi éviter, et qui financent.

Tout le monde n’est pas Charles le Gaulois !

Jazzi dit: à

« Y a pas de lézard »

Mais il y a un léZard à Paris, et alii !

rose dit: à

Tout le monde n’est pas Charles le Gaulois.
Encore moins général.

On ne va pas réclamer une bonne guerre.

Les hommes d’influence, on assiste en live à leur absence d’avenir.

Jazzi dit: à

Face à Valérie Pécresse Anne Hidalgo ne fait pas le poids. S’il n’en reste qu’une, ce sera elle !

Bloom dit: à

Eric Iki, dit le Bref.

Eric Idle (Always look on the bright side of life, The Life of Brian)

Eric Clapton, aka Slowhand.

Erik le Rouge, fondateur du Vinland pré-colombien.

Eric Hobsbawm, THE historian

Janssen J-J dit: à

@ Vu « Le diable n’existe pas », le boug, j’en parlerai plus longuement demain (jazzie)

Je vous croyais parti voir les Bodin…, mais vu le caractère très confidentiel de ce film, il ne passerait que dans quelques petits cinémas de quartiers de la grande Kapitale… C’est dommage que la province, une fois de plus soit si privilégiée. J’espère néanmoins que vous pourrez nous offrir votre fiche, jzmn,, j’attends votre critique avec bcp d’impatience, je ne doute pas de votre futur enthousiasme ! Il semblerait que le grand public s’y désopile. Quid ? BJ

et alii dit: à

Erich Fromm ?

Bloom dit: à

Eric Adams, maire de NY.

Eric Liddell (Les Chariots de feu)

Eric Burdon (The Animals)

Erich Maria Remarque

Font vraiment pas le poids les 2 porte coton.

et alii dit: à

Erica Jong

moralès sed laisse dit: à

On écrit n’importe quoi sur ce blog. De la street écriture de mes deux! 😉

pourmapar dit: à

Boum, boum et rataplan!
 » La mort n’existe pas » Mourir – être mort – ressuciter
de Frédéric Nef aux éditions du Cerf
Un livre que j’ai trouvé à la Maison de la presse entre les bouquins de bien-être personnel et de connaissance de soi par les plantes.
Bien sûr qu’il y a erreur d’adresse pour ce bouquin roboratif et savant.
C’est pour JJJ, ça! 😉

Jazzi dit: à

Le léZard a suffoqué à Téhéran, mais s’est un peu reconstitué au soleil du désert iranien et il se demande toujours comment peut-on être Persan ?

bouguereau dit: à

t’en as jamais eu keupu..change de trottoir & marche a l’ombre

bouguereau dit: à

pas de quoi lézarder comme chez hidalgo hin baroz

bouguereau dit: à

Tout le monde n’est pas Charles le Gaulois !

..ya hassez de chienlit comme ça..tu veux en plus des bagarres au schlass dans les bals

bouguereau dit: à

Il suffit d’avoir des potes qui vous disent quoi dire, quoi faire, quoi éviter, et qui financent

cépafo..mais hassez de ton péril judéomaçonique..sinon kabloom va sortir ses bill of rights..rentre ton opinel

bouguereau dit: à

Les hommes d’influence, on assiste en live à leur absence d’avenir

rosy elle veut finir goudou a lépad..c’est son droit

bouguereau dit: à

Jeunes garçons à cuisses ouvertes, le boug !
C’était pas vraiment ma came…

il ne faut pas regarder les himages au premier degré baroz..alors que ce sont elles qui t’illustrent..cette période 20/60 pour les graphistes était bénie..ils ont réussi à montrer son âme

bouguereau dit: à

Négresse égarée, elle passait la barre à coup sûr, par Jésus-Christ notre Seigneur !

casse toi sale blanc qu’elle te dit ramayad..avec mes 2 doigts en plus qu’il dit nicolas

bouguereau dit: à

ferme ta gueule la poufiasse

Jazzi dit: à

« ils ont réussi à montrer son âme »

Pour moi ça rime mieux avec Tom of Finland, le boug !

vanina dit: à

@ renato maestri

la poésie de Wallace Stevens, de la volupté sonore,
qui s’accompagne à merveille à la musique de Richard
Strauss, des vagues de sons qui vous enveloppent dans
un naufrage qui vous donne paradoxalement envie de
vivre, avec ou sans chevalier de la rose.

« Harmonium » est encore accessible, plus tard le grand homme devient de plus en plus fermé: trubar clus,solitude, mariage on the rocks et fille adorée qui se marie avec un undésirable. L’ange nécéssaire n’a pas toujours offert son aile. Il faudrait relire un beau article où Nadia Fusini cernait cette grande vague avec finesse. Il est quelque part dans le cache- misère d’une maison désormais intraitable.
Bon décembre, un mois qui en mène toujours trop large.

JiCé..... dit: à

Comment ça !…
Anne d’Hidalgo ne fait pas le poids ?

55 kgs, la bête de 62 ans….

Jazzi dit: à

Je n’ai rien personnellement contre Anne Hidalgo, JiCé.
Seulement contre son incompétence et celle de son équipe.
A un tel degré que ça en est dangereux !

Bloom dit: à

Et puis tous ces emplois fictifs, ces faux électeurs du 5e, Baroz, ça fait quand même désordre, non?

closer dit: à

Pécresse est le genre de femme à donner deux baffes au petit Macron et à l’envoyer dans sa chambre jouer avec son train électrique.

Puisse-t-elle être désignée et arriver au second tour! Prions mes bien chers frères.

Jazzi dit: à

« ça fait quand même désordre, non ? »

C’était la douceur de vivre à Paris, Bloom. Et les caisses étaient pleines et les impôts locaux commençaient à baisser.
Aujourd’hui la dette a explosé et la ville est devenue un bidonville à l’air libre généralisé.
Y a pas photo !

Janssen J-J dit: à

Voici le lien du nouveau blog de Paul Edel…. L’ex ne marcherait plus, RM ! https://pauledelblog.fr/
Bonne chance !…

Bloom dit: à

Niet 3J, mais comme lecteur et passeur des textes de Mary Shelley et de Bram Stoker, j’ai cru intellectionner que tout est possible.
« La Nef » (The Spire = La flèche), grand livre symboliste de William Golding, un Nobel de grand mérite.

Bloom dit: à

Baroz, pas pro-mafieux,non, pas du tout.
C’est ta jeunesse perdue que tu pleures. Les véritables saccageurs de Paris sont les Parisiens eux-mêmes, pour la plupart des provinciaux parvenus, bobos et boubours réunis.

et alii dit: à

j’ai entendu un enseignant (considéré comme « mandarin » ce qu’il rejetait)dire que les enseignants étaient des mafieux

et alii dit: à

la mort: un dossier:
« Les sociétés humaines ont toujours réservé une place privilégiée à la pensée de la mort. À une exception près : la nôtre. » C’est le constat que Philosophie magazine dressait dans le dossier « La mort, oser y penser », en dévoilant les résultats d’un sondage exclusif. À la question « Face à la mort, comment nous conduisons-nous ? »,
https://www.philomag.com/articles/face-la-mort-et-au-deuil-la-philosophie-lepreuve-du-reel-absolu

et alii dit: à

j’ai toujours pensé à MA mort depuis le jour où mon père, à table me dit qu’il m’avait fait un cadeau:une place au cimetière!j’étais adolescente, lui un vieil
homme

Jazzi dit: à

« Les véritables saccageurs de Paris sont les Parisiens eux-mêmes… »

C’est l’argument principal de l’actuelle équipe municipale.
Mon pauvre Bloom, on voit bien que tu ne vis pas à Paris.
Voilà près d’un demi siècle que je sillonne les rues de la capitale, que j’écris sur ses jardins, ses cimetières, sur la diversité de son patrimoine…
La Mairie est probablement intervenue auprès de l’un de mes éditeurs pour qu’il retire de son catalogue mon livre-inventaire sur les fontaines de Paris, que j’ai mis gratuitement à la disposition des lecteurs sur mon site.
On peut juger sur pièce.
Et ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres.
Je vais prochainement mettre en ligne l’ensemble de ma documentation sur les jardins, aujourd’hui dans un état lamentable et envahis par les rats.
Sais-tu que depuis plus de vingt ans que les « sociaux démocrates » sont à la tête de l’Hôtel de Ville, rien n’a été entrepris pour consolider le sous-sol du parc des Buttes-Chaumont bâti sur d’anciennes mines de gypse et qui menace de s’écrouler sur lui-même : le principal poumon vers de l’est Parisiens, aménagé par Napoléon III pour les classes laborieuses !
Et tout est à l’avenant…
Quand je dis que leur incompétence est dangereuse, je parle en connaissance de cause.
Pas depuis les palais délocalisés de la République ou depuis une coquette banlieue.

et alii dit: à

ce non-mandarin s’intéressait beaucoup, selon moi, à l’âge de ses confrères et à leur mort ( cela faisait partie du cours!)

Jazzi dit: à

« Baroz, pas pro-mafieux,non, pas du tout. »

Une argumentation digne des procès staliniens, Bloom…

Jazzi dit: à

Que je sillonne QUOTIDIENNEMENT, etc.

Alexia Neuhoff dit: à

En bonne « social-démocrate », chaque soir, Anne Hidalgo et son conseil municipal arpentent les rues de Paris pour jeter masques, mouchoirs, mégots à terre, renverser les poubelles, taguer les murs, pisser contre les portes cochères, abandonner sur le trottoir les crottes de leurs chiens, lâcher les rats qu’ils élèvent à l’Hôtel de ville dans cette intention, briser des vitrines, des pare-brises, des rétroviseurs… Pour ne parler que de quelques distractions à quoi on reconnaît un.e « social-démocrate » (tendance écolo).

bouguereau dit: à

C’est ta jeunesse perdue que tu pleures. Les véritables saccageurs de Paris sont les Parisiens eux-mêmes, pour la plupart des provinciaux parvenus, bobos et boubours réunis

Sais-tu que depuis plus de vingt ans que les « sociaux démocrates » sont à la tête de l’Hôtel de Ville, rien n’a été entrepris pour consolider le sous-sol du parc des Buttes-Chaumont bâti sur d’anciennes mines de gypse et qui menace de s’écrouler sur lui-même : le principal poumon vers de l’est Parisiens, aménagé par Napoléon III pour les classes laborieuses !

2 fiches linkedln pour l’embauche postzemmour

bouguereau dit: à

taguer les murs, pisser contre les portes cochères, abandonner sur le trottoir les crottes de leurs chiens, lâcher les rats qu’ils élèvent à l’Hôtel de ville dans cette intention, briser des vitrines, des pare-brises, des rétroviseurs…

grün le soir y met son lézeur long coat et sa heavy plaque de felgendarm..la viande a soleil vert phinit en croquette pour chien à mémère

pourmapar dit: à

« j’ai toujours pensé à MA mort »

 » Que l’idée de votre mort vous inspire angoisse ou insouciance, que l’image de votre dernier souffle à la dernière heure lors de votre dernier jour vous intrigue ou vous indiffère, que la perspective de l’immortalité vous réjouisse ou vous ennuie, ce livre est pour vous Il ne consiste ni en un manuel de l’agonie, ni en un guide du voyage dans l’au-delà et encore moins en un traité des fins dernières. Il vous invite seulement et simplement à penser à la mort.
C’est en philosophe que FREDERIC NEF affronte le sens ultime du temps. C’est au présent qu’il s’agit de redécouvrir cette vérité aveuglante de simplicité : le moment présent de votre mort est l’instant de votre résurrection.
Un livre qui, sans jamais cesser d’éclairer rigoureusement les concepts, se veut transparent pour l’accomplissement de notre existence au présent. »
LA MORT N’EXISTE PAS, Mourir – être mort – ressusciter de Frédéric NEF au Les éditions du cerf nov. 2021.

bouguereau dit: à

Pour moi ça rime mieux avec Tom of Finland, le boug !

beaucoup d’homo en france lavaient pris à charge..le gai pied l’a édité qu’en 90..c’est dire

pourmapar dit: à

LA MORT N’EXISTE PAS, Mourir – être mort – ressusciter de Frédéric NEF au Les éditions du cerf nov. 2021.

Un livre formidable qui va me permettre d’expliquer pourquoi je veux un cercueil en carton qui sera peint par les personnes présentes lors de mon enterrement. Même pas une tombe comme celle faite de fer et peinte en bleu-blanc-rouge par l’artiste Raynaud pour je ne sais plus qui ( au secours Jazzi, vous devez la connaitre cette tombe!), mais l’incinération, ce sera la fête des pots, des pinceaux et des pigments! 😉 🙂 😉

bouguereau dit: à

pourquoi je veux un cercueil en carton qui sera peint par les personnes présentes lors de mon enterrement

..et ton enfant va « vouloir » qu’il soit en pain azyme et qu’on mange un bout..et son ptit fils qu’on l’encule..

Jazzi dit: à

5 millions de rats à Paris, au dernier recensement, Alexia, 2,3 rats par habitant…

Janssen J-J dit: à

Je n’aime pas non plus ce côté anti hidalgo de jzman qui nous dit que tout empire depuis elle, avec les impots locaux, etc… et que du temps splendide des chichi/tiberi, tout était mieux, qu’on pouvait enfin se baigner dans la Seine !…
Il y a qq chose d’autre chez lui de pas dicible (ou bien reluisant) qui explique cela… et pas juste la prétendue interdiction de son bouquin…. Lui d’habitude si posé, il dérape… grave et s’aigrit… Sa jeunesse perdue ?…, may be, mais lui qui regarde toujours en avant, ça m’étonne !… Oui Alexia, oui Bl., oui jmb… ce venin de jzmn, est devenu hautement suspect et commence à me gonfler, je le dis comme je le pense, alors que par ailleurs on peut lui reconnaitre bien des qualités !.. Mais TSPC s’il ne pouvait pas voir tout ce que SON Paris en transformation constante avait d’enchanteur et de prometteur, en dépit des célèbres « embarras » déjà dénoncés jadis par la Bruyère…
Un vieux kon d’bobosnob qui va trouver bintôt qu’il y aura pas assez de rampes d’accès au père la chaise pour aller s’y balader en chaise roulante quand son temps sera venu… Vous verrez, ce sera encore la faute aux rats en gilets jaunes d’la mère hidalgo !…
Peuchère, pécaïre ! Reus’ment, Valérie Siotti va nous dératiser toussa… !

bouguereau dit: à

j’ai toujours pensé à MA mort depuis le jour où mon père, à table me dit qu’il m’avait fait un cadeau:une place au cimetière!j’étais adolescente, lui un vieil
homme

décidément t’as haucun sens de l’humour juif..et c’est bien ton droit

bouguereau dit: à

ce venin de jzmn, est devenu hautement suspect

..mais non..il a -toujours- été comme ça..comme on connait ses saints on les honore..et baroz c’est dans l’calendrier révolutionnaire..au mois jeanfoutre..
les écoute pas c’est rien que des mauvaises langues baroz

Janssen J-J dit: à

5 millions de rats à Paris,
… et combien de pigeons et de perdreaux ?

Phil dit: à

Baroz voit sa littérature censurée par d’anciens danseurs du Palace, sa colère est saine. Qu’il vole dans les plumes de tous ces perdreaux encartés. comme dit le grassouillet Almodovar, carne trémula !

Janssen J-J dit: à

arrête de rtourner ta vesse, jmb !… tu mvénères, à la faim, hein (brun) !

bouguereau dit: à

5 millions de rats à Paris, au dernier recensement, Alexia, 2,3 rats par habitant…

dans les années 80 avec des copains en sortant de la gare du nord un soir on en a tué au moins 50 (tu sais bien où) en un quart d’heure..on a fait notre tableau de chasse sur le trottoir..un quart teron de flic s’est arrété et nous a intimé l’ordre de les virer sous peine de ballon..camembert baroz

Jazzi dit: à

A Paris, les vieux ne sortent plus de chez eux, JJJ.

bouguereau dit: à

Alexia, 2,3 rats par habitant…

alesquia elle en veut pas de quart ni de tiers..elle en prend trois bien vivants les poves bêtes..et crois le baroz..ça fait encore loin derrière londre et nyc

Jazzi dit: à

« (tu sais bien où) »

Du côté de la pissotière, le boug ?

Alexia Neuhoff dit: à

Jazzi dit: à
« 5 millions de rats à Paris, au dernier recensement, Alexia, 2,3 rats par habitant… »

Information passionnante. 1°/ ce décompte, 5 000 000, pourrait laisser penser que l’employé au recensement a arrondi l’addition : il laisse suspecter quelques biais 2°/ il conviendrait de citer la source de cette étude comptable (organisme, commanditaire) sans quoi on peut légitimement en déduire qu’elle n’est rien d’autre qu’une intox destinée à nuire à la municipalité en place 3°/ merci de bien vouloir nous préciser tout cela

Janssen J-J dit: à

@ Baroz voit sa littérature censurée par d’anciens danseurs du Palace,

ce s’rait ça, la vraie essssssssssss-plication ?…
Ben mon ieux !… Alhors, on va y dire : laisse aller, c qu’une valse !… y’a pu d’trace de Fabrice E…, y compris au Bataclanava… mais l’histoire repasse-rat les plats, hein, des gais de droite ou de gauche ça va ça vient, mais y’en aura toujours aux manettes de la gde Kapitale !…

bouguereau dit: à

il conviendrait de citer la source de cette étude comptable

c’est dans l’arrière plan de la déclaration de candidature a zemmour..le grand remplacment hultime..c’est blek le rat qui le dit..dommage qu’il ait pas fait son procés à ce connardus de banksy..rénateau aurait pus mettre des liens

pourmapar dit: à

DISPARITION – Figure de l’art conceptuel, cet Américain rebelle et dandy maniait le langage comme une arme dissuasive. Il meurt à 79 ans et laisse ses aphorismes poétiques dans les musées et fondations du monde entier.

Lawrence Weiner (1942-2021) est né dans le Bronx à New York. Il a vécu et travaillé entre New York et Amsterdam. Lawrence Weiner fut l’un des premiers à proposer un autre rapport à l’art et est devenu ainsi une des figures majeures de l’art conceptuel. Ce dandy rebelle est mort le 2 décembre à 79 ans. Son œuvre a placé au cœur de sa recherche la question de l’objet des conventions qui le définissent, tant du côté de celui qui le produit que de celui qui le regarde. Il s’est servi du langage comme matière première dès la fin des années 1960. Toujours écrites en lettres capitales, ses sentences marient fragments de textes, signes de ponctuation et lignes ont été exposés partout et ont fait le tour du monde. Des pues de cruzar el rio /After crossing the river, parle de la question des «mojados» qui traversent le Rio Grande au Texas.

Chaque pièce suivait un protocole établi par Lawrence Weiner : langue, matériel utilisé, couleurs, délimitations et interactions dans l’espace (…)

https://i.f1g.fr/media/cms/1194×804/2021/12/03/b777c1a88d4721cf4ebd21c880308a4ac902a80a50eda542bc2b23a4c8b33175.jpg

Joëlle BOUYSSET dit: à

Revenir après deux jours de pose et retrouver la liste des Eric de talent, voilà qui fait du bien. De même que lire les noms de Paxton et Hobsbawm qui, différemment, ont oeuvré à décrypter les nationalisme.
Blanchard (Pascal) et Marcel Gauchet ont aussi montré les délires de Z, les deux je crois sur France 5, dans l’émission du soir C Politique.
Le problème, c’est que personne de zemmourien ne les entend, parce que seules s’entendent les idées bruyantes et les croyances folles et que les rézos passent devant la presse et la télé en matière d’info. Paraît que C News est une des plus regardées, je suis donc allé voir l’heure des pros -un must en matière de réacs. A se rouler par terre de rire, sauf élection présidentielle en ligne de mire…

Jibé dit: à

J’avais écrit un com, l’est passé à la trappe. Pfiou. L’était question de Paxton et Hobsbawm . Eh bien tant pis.
En France, aucun rat n’a quitté le navire; ils tentent de prendre la casquette du capitaine (je reprends cette formule de je ne sais plus qui).

Alexia Neuhoff dit: à

Lawrence Weiner
Il s’est servi du langage comme matière première dès la fin des années 1960.

Comme Ben. Vautier, Ben. En moins rigolo.

pourmapar dit: à

Comme Ben. Vautier, Ben. En moins rigolo.

Ils sont une pléiade à se servir du langage en tant que pratique artistique à cette époque là, Alexia…
Il existe même un groupe avec la dénomination commune de  » art and langage ».
😉

pourmapar dit: à

Ben est devenu un clown triste, non, Alexia?

renato dit: à

Ben Vautier, Benjamin comme son grand-père peintre.

pourmapar dit: à

@alexia.
J’ai reçu pas plus tard qu’hier sa « news letter » comme on dit, eh bien il est triste et il le dit et l’écrit. Quatre-vingt six ans, déjà…

bouguereau dit: à

Comme Ben. Vautier, Ben. En moins rigolo

en carrément chiant tu veux dire alesquia..et c’est une manière toujours vivace dans les arts conceptuels américains..façon sourate urbaine de merde..les prots en art partent havec un chié handicap sur terrain lourdissime et il leur en a toujours fallu des monceaux de dollar a fourrer dans toutes les fouilles pour arriver..qu’il dira pas rénateau..vendu achté y sait pus

Bloom dit: à

le principal poumon vers de l’est Parisiens, aménagé par Napoléon III pour les classes laborieuses !
—
Merci not’ bon maitre!
Répression des Communards plus que féroce dans ses bosquets, entre autres.

Paris, j’y trainais mes guêtres, dans le 18e, le 6e, le 20e et le 12e, avant que tu sois en âge de te polir le chinois, Baroz.
Pas de leçon à donner à un Parisien né à Paris de parents et grand-parents parisiens.
Arrogance des nouveaux riches.

Le Paris des flânneries d’Eric Hazan, avec un oeil politique et une vraie pratique d’historien.Pas de compte perso à régler.

bouguereau dit: à

..tada

lmd dit: à

Jazzi, cette impression que nos villes sont de moins en moins avenantes, bien entretenues, ne peut être énoncée de bonne foi que si on donne une valeur aux efforts faits, ou à faire ; quelles dépenses il faut diminuer pour en augmenter d’autres et quelles recettes supplémentaires ils faut rechercher.
Je crois avoir compris que vous connaissez bien Paris. A vos ciseaux :
https://cdn.paris.fr/paris/2021/02/04/fc4400a9dcf194d4298b1a1ca56553f4.pdf

(Je connais mieux Marseille et je serais en peine de faire les mêmes opérations ; je n’arrive jamais à trouver ces tiroirs pleins de frics où l’on pourrait puiser pour que la ville ressemble à ce qu’elle était, sans tous ces panneaux publicitaires, ces potelets imbéciles, ces fléchages superflus ; avec de l’eau coulant dans les caniveaux et un balayeur plaisantant avec les riverains).

Lawrence Weiner, non il ne s’est pas servi du langage comme Ben, Ses inscriptions (pour cette part de son travail) tirent leur sens de leur rapport avec leur support.
J’en connais trois à Marseille.

bouguereau dit: à

ce qu’un extermonateur de rats n’a jamais dit et ne dira jamais, il y a une partie de responsabilité des humains dans la prolifération des rats, car comme tout le monde sait « l’homme est sale… »

c’est archi connu depuis toujours..le surmulot rat suit les humains..il est probable qu’a certaine époque il bouffait a lui seul la moitié des récoltes..beaucoup d’architecture zarbi de silo et de stockage agricole (basque for exampeul) ne se comprend pas si l’on ne pense pas à lui..que l’homme soit « sale » n’a pas grand chose a voir lanedans..sinon pour un luther peut être

Bloom dit: à

C’est quoi les « Palais délocalisés de la République », les ambassades, les Alliances françaises? Tu délires, mon pauvre gars, tu n’y connais rien du tout, mais rien. Sors de ton ghetto bobo et vois du monde autre chose que des plages où se dandient des Q nus à consommer.

« coquette banlieue », je ne dirais pas ça ( c’est le nord de Paris), mais la vue sur les coteaux et la forêt de mon bureau, me ravit (Shankar, bien sûr). Jaloux? Pas ton genre, iZnt’it, IZnogood?

Jazzi dit: à

Alexia, j’avais déjà donné la source récemment.
Je la remets donc ici.
https://www.docteur-nuisibles.com/deratisation/rats-a-paris//

« avant que tu sois en âge de te polir le chinois, Baroz. »

Tu es si vieux que ça, Bloom !

Aucun venin, ni nostalgie de ma jeunesse perdue, JJJ.
Seulement des faits constatés et avérés d’un amoureux de Paris, auxquels Bloom et toi répondez par des insultes et insinuations mais jamais sur le fond
Du temps de Georgina Dufoix, avant sa conversion religieuse, les socio-démocrates tendance écolos avaient inventés l’expression « responsables mais pas coupables ». Il semble que depuis on en soit à « ni responsables ni coupables », mais toujours en poste pour toucher les prébendes. On n’arrête pas le progrès !

bouguereau dit: à

einstein a dit de ses contemporains d’une époque qui les a fait connaitre beaucoup mieux que la notre..si le rat pesait 40 kilo c’est lui qui serait maitre du monde

Bloom dit: à

« se dandiNent », comme le George de Molière.

bouguereau dit: à

Seulement des faits constatés et avérés d’un amoureux de Paris

baroz c’est un homme de passion..et depuis vge qu’est revnu en odeur..on sait que le coeur est à droite et qu’hidalgo est quune méchante mouquère épicétou

et alii dit: à

Le Joueur de flûte de Hamelin est une légende allemande, transcrite notamment par les frères Grimm et connue sous le titre original Der Rattenfänger von Hameln (L’Attrapeur de rats de Hamelin).

Jazzi dit: à

« Arrogance des nouveaux riches. »

A moi qui suis pauvre comme Job !
T’en tiens une sacrée couche, mon pauvre Bloom…

Bloom dit: à

Tu es la pauvre victime d’insultes, Baroz, mais t’ as le stalisnime un peu facile, Sarko-boy.
« Penses ce que tu veux, mais ta pensée, tu l’imposes pas, Jean Kanapa! »

Janssen J-J dit: à

@ bl (au fait) /// William Golding, un Nobel de grand mérite ///
Me souviens qu’après son nobel, suis allé voir sa majesté des mouches (superbe roman inégalé !) . Fut enthousiaste et coup foudré… , du coup, j’en entrepris d’autres dans la foulée… mais fus tombé de Charybde en Sylla avec successivement (je reprends mes fiches de lectures de mon année 1985) : Rites de passage, meuh ; Chris Martin, bof : les hommes de papier… ça suffit !) – Y suis pu rev’nu, et tant qu’à lire La Nef, je préfère les piliers de la terre, de K. Follet, moins prétentieux, mais plus haletant !…
Hein, voilà ce que je peux vous dir’… de william golding dont on ne parle plus beaucoup, d’ailleurs… en dehors de vous qui avez l’art de nous exhumer des britanniques…

2/ Re-au fait. Savez-vous que la Barbade vient enfin de s’émanciper du Commonwealth… Pas trop tôt, hein !… on respire un peu mieux…

bouguereau dit: à

alors baroz..le diabe existe?

Jazzi dit: à

lmd, Paris est une ville riche, un immeuble sur sept lui appartient.
Pour Marseille, je ne sais pas…

Bloom dit: à

A moi qui suis pauvre comme Job !
—
Tu vas nous tirer des larmes, SDF du web.
Dieu pourvoit à tes besoins. Il est grand.

Avec tes états de service pour la droite républicaine, Dame P. te donnera peut-être un job de jardinier à l’Elysée, c’est un lieu plein de glaces et de gardes républicains en tenue affriolante.
Ah!

Patrice Charoulet dit: à

Vanité

« La vanité est si ancrée dans la cœur de l’homme qu’un soldat, un goujat, un cuisinier, un crocheteur se vante et veut avoir ses admirateurs, et les philosophes mêmes en veulent et ceux qui écrivent conte veulent avoir la gloire d’avoir bien écrit, et ceux qui les lisent veulent avoir la gloire de les avoir lus, et moi qui écris ceci ai peut-être cette envie, et peut-être ceux qui le liront… »
(Pascal, « Pensées »)

Jazzi dit: à

Il semblerait que non, pour Mohammad Rasoulof, et que le Diable c’est l’homme !
Terrible scène, brève et sèche, où l’on voit les pieds des pendus qui s’agitent et leurs vessies qui se vides aussitôt : des criminels, des trafiquants de drogue auxquels se mêlent quelques condamnés politiques…

bouguereau dit: à

Je connais mieux Marseille et je serais en peine de faire les mêmes opérations ; je n’arrive jamais à trouver ces tiroirs pleins de frics où l’on pourrait puiser pour que la ville ressemble à ce qu’elle était, sans tous ces panneaux publicitaires, ces potelets imbéciles, ces fléchages superflus

c’est du yves michaud..ce qu’il dit dailleurs de la difficulté d’identifier un urbanisme « de droite ou de gauche » e leur ridicule des politiques electoraliste continué..des lobi privés qui prennent « en charge » l’espace publique et le mette en coupe réglée..crée des besoins ineptes comme ils savent le faire..attiré par les retombées de la gestion de la capitale mondiale du tourisme..de ça baroz fait lhinnocent

Janssen J-J dit: à

Je ne vous insulte pas, jzmn, et vous le savez, Je vous dis simplement mon agacement, pour une fois… lié à votre incroyable biais perceptif, et vous avez beau jeu de me reprocher de ne pas argumenter « sur le fond »… C incroyab’, ça !… Comme si Paris allait s’écrouler à cause des rats et du faible entretien des Buttes Chaumont… Pfft !… Souffrez qu’on ne soit pas toujours d’accord avec vos idées politiques à cent balles…, même si on vous garde en grande estime par ailleurs !… dans la Kapitale la moins endettée du monde… Il faudrait peut-être en sortir de temps à autre, croyez pas ?

bouguereau dit: à

et moi qui écris ceci ai peut-être cette envie, et peut-être ceux qui le liront…

sapré pascal..un discour au rats sales au travers des ages et ils te font roi pour leternité

Janssen J-J dit: à

@ leurs vessies qui se vides…
êtes vraiment déstabilisé, là… faux pas ! (bidet)

bouguereau dit: à

Terrible scène, brève et sèche

certes mais tu paraphrases..alors le fime?

Bloom dit: à

la Barbade vient enfin de s’émanciper du Commonwealth
—
Effectivement, avec Rihanna en Marianne. Pas pire.

Mêmes l’Irlande, première colonie anglaise, n’a quitté le Commonwealth qu’en 1949, alors qu’elle était devenue indépendante en 1922, sous le nom d’Etat libre d’Irlande (Irish Free State)…

J’aime bien Golding, qui était assez torturé & en marge de l’establishment littéraire.
C’est Golding qui a forgé le terme de « Gaia », conceptualisé ensuite par James Lovelock.
Un style inimitable en anglais.
Grand marin, comme Orsenna.

Jazzi dit: à

Je suis à la retraite, Bloom. Une retraite particulièrement active.
J’ai contacté la bibliothèque de l’école du Breuil, où sont formés les futurs jardiniers de la Ville. Ils ont tous mes livres et sont intéressés pour que je leur donne mes archives sur les jardins de Paris (à la cave, avec les rats)…
Notamment un jeu complet des affiches historiques sur l’histoire des principaux espaces verts parisiens, qui ont depuis disparu sur les sites concernés et que j’ai rédigées durant quinze ans (environ 80 grandes affiches des bois, parcs, squares, promenades…)
Mais avant, je voudrais les scanner pour les mettre sur mon site. Pour l’instant je n’ai pas le budget pour ce faire…

et alii dit: à

, la légende liée à l’émigration d’enfants en 1284 est si ancienne et si bien attestée que la date ne devrait pas être mise en doute. Les chercheurs considèrent généralement les théories de la quatrième catégorie comme les plus probables. Le joueur de flûte serait donc un recruteur pour la colonisation intervenue au xiiie siècle, qui aurait emmené nombre de jeunes habitants de Hamelin aux confins orientaux de l’Empire germanique. Mais pour le chercheur local Gernot Hüsam, les enfants disparus dans les collines auraient été victimes d’un enlèvement criminel2.

Decan Lude, originaire de Hamelin, déclare en 1384 avoir en sa possession un livre de chants contenant un verset en latin faisant le récit d’un témoin oculaire de l’événement. Ce verset aurait été écrit par sa grand-mère. Ce livre de chants est connu pour avoir été perdu à la fin du xviie siècle.
wiki

bouguereau dit: à

faut vende plus de shit baroz..tu balances grün à la police française et tu lui chourre son spot..tu mets ses copines au turbin..les générations futur comprendront j’en suis sûr..et tu auras ton manequène pisse.. »baroz soulageant paris » ça s’apelra

Alexia Neuhoff dit: à

https://www.docteur-nuisibles.com/deratisation/rats-a-paris//
Bref, une pub ! Zont tout intérêt à balancer ces chiffres et fiche la trouille aux clients potentiels, c’est de bonne guerre.
Si je vendais des alarmes, je dirais qu’il se commet un vol avec effraction toutes les 3 secondes dans la capitale. Marketing élémentaire.

et alii dit: à

La légende du joueur de flûte inspire en 1906 Selma Lagerlöf, l’écrivain suédoise prix Nobel de littérature, pour son chapitre des rats noirs et des rats gris, dans Le Merveilleux voyage de Nils Holgersson, ou la poétesse russe Marina Tsvetaïeva dans son poème narratif Le Preneur de rats, publié pour la première fois en 1926, sous-titré « Satire lyrique » et dont la traduction est parue en français sous le titre Le Charmeur de rats aux Éditions La Barque en 2017, dans une traduction d’Éveline Amoursky. (ISBN 9782917504239).

Jazzi dit: à

« Comme si Paris allait s’écrouler à cause des rats et du faible entretien des Buttes Chaumont… »

Deux exemples parmi une foultitude d’autres, que vous trouverez dans mes inventaires patrimoniaux sur le site que vous connaissez bien, JJJ.

bouguereau dit: à

Si je vendais des alarmes, je dirais qu’il se commet un vol avec effraction toutes les 3 secondes dans la capitale

par allah c’est larrière fond vidéo à zemmour dans sa déclaration de candidature..dla concaténation de tf1 au 20h à l’élection de sarkozi..vous les les vieux vous voulez sortir? faut tuer les rats qu’il dit baroz

bouguereau dit: à

dailleurs nosferatu sans les rats c’est comme frankenstein sans ses boulons qu’il dirait dirfilou

et alii dit: à

J’ai enfin le droit de saluer des êtres que je ne connais pas
Ils passent devant moi et s’accumulent au loin
Tandis que tout ce que j’en vois m’est inconnu
Et leur espoir n’est pas moins fort que le mien

Je ne chante pas ce monde ni les autres astres
Je chante toutes les possibilités de moi-même hors de ce monde et des astres
Je chante le joie d’errer et le plaisir d’en mourir

Le 21 du mois de mai 1913
Passeur des morts et les mordonnantes mériennes
Des millions de mouches éventaient une splendeur
Quand un homme sans yeux sans nez et sans oreilles
Quittant le Sébasto entra dans la rue Aubry-le-Boucher
Jeune l’homme était brun et de couleur de fraise sur les joues
Homme Ah! Ariane
Il jouait de la flûte et la musique dirigeait ses pas
Il s’arrêta au coin de la rue Saint-Martin
Jouant l’air que je chante et que j’ai inventé
Les femmes qui passaient s’arrêtaient près de lui
Il en venait de toutes parts
Lorsque tout à coup les cloches de Saint-Merry se mirent à sonner

Le musicien cessa de jouer et but à la fontaine
Qui se trouve au coin de la rue Simon-Le-Franc
Puis saint-Merry se tut
L’inconnu reprit son air de flûte
Et revenant sur ses pas marcha jusqu’à la rue de la Verrerie
Où il entra suivi par la troupe des femmes
Qui sortaient des maisons
Qui venaient par les rues traversières les yeux fous
Les mains tendues vers le mélodieux ravisseur
Il s’en allait indifférent jouant son air
Il s’en allait terriblement
Puis ailleurs
À quelle heure un train partira-t-il pour Paris

À ce moment
Les pigeons des Moluques fientaient des noix muscades
En même temps
Mission catholique de Bôma qu’as-tu fait du sculpteur

Ailleurs
Elle traverse un pont qui relie Bonn à Beuel et disparait à travers Pützchen
Au même instant
Une jeune fille amoureuse du maire
Dans un autre quartier
Rivalise donc poète avec les étiquettes des parfumeurs

En somme ô rieurs vous n’avez pas tiré grand-chose des hommes
Et à peine avez-vous extrait un peu de graisse de leur misère
Mais nous qui mourons de vivre loin l’un de l’autre
Tendons nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandises

Tu pleurais assise près de moi au fond d’un fiacre

Et maintenant
Tu me ressembles tu me ressembles malheureusement
Nous nous ressemblons comme dans l’architecture du siècle dernier
Ces hautes cheminées pareilles à des tours
Nous allons plus haut maintenant et ne touchons plus le sol

Et tandis que le monde vivait et variait

Le cortège des femmes long comme un jour sans pain
Suivait dans la rue de la Verrerie l’heureux musicien
Cortèges ô cortèges
C’est quand jadis le roi s’en allait à Vincennes
Quand les ambassadeurs arrivaient à Paris
Quand le maigre Suger se hâtait vers la Seine
Quand l’émeute mourait autour de Saint-Merry

Cortèges ô cortèges
Les femmes débordaient tant leur nombres était grand
Dans toutes les rues avoisinantes
Et se hâtaient raides comme balle
Afin de suivre le musicien
Ah! Ariane et toi Pâquette et toi Amine
Et toi Mia et toi Simone et toi Mavise
Et toi Colette et toi la belle Geneviève
Elles ont passé tremblantes et vaines
Et leurs pas légers et prestes se mouvaient selon la cadence
De la musique pastorale qui guidait
Leurs oreilles avides

L’inconnu s’arrêta un moment devant une maison à vendre
Maison abandonnée
Aux vitres brisées
C’est un logis du seizième siècle
La cour sert de remise à des voitures de livraisons
C’est là qu’entra le musicien
Sa musique qui s’éloignait devint langoureuse
Les femmes le suivirent dans la maison abandonnée
Et toutes y entrèrent confondues en bande
Toutes toutes y entrèrent sans regarder derrière elles
Sans regretter ce qu’elles ont laissé
Ce qu’elles ont abandonné
Sans regretter le jour la vie et la mémoire
Il ne resta bientôt plus personne dans la rue de la Verrerie
Sinon moi-même et un prêtre de saint-Merry
Nous entrâmes dans la vieille maison
Mais nous n’y trouvâmes personne
Voici le soir
À Saint-Merry c’est l’Angélus qui sonne
Cortèges ô cortèges
C’est quand jadis le roi revenait de Vincennes
Il vint une troupe de casquettiers
Il vint des marchands de bananes
Il vint des soldats de la garde républicaine
O nuit
Troupeau de regards langoureux des femmes
O nuit
Toi ma douleur et mon attente vaine
J’entends mourir le son d’une flûte lointaine

Guillaume Apollinaire, Ondes, Calligrammes 1918

Jazzi dit: à

Sinon, d’après les derniers sondages, 87% des Parisiens (probablement des nouveaux riches arrogants ?) trouvent que la capitale est… sale !

bouguereau dit: à

..et pourtant y’a ni boulon ni gros godillot a goudronner dans mary shelley

bouguereau dit: à

87% des Parisiens (probablement des nouveaux riches arrogants ?) trouvent que la capitale est… sale !

l’homme est sale sauf moi ma mère mes copins et mes maitresses..ça fait 87% qu’il dit rénateau..c’est scientifique

Alexia Neuhoff dit: à

Jazzi, vous êtes donc pauvre. Je consens à vous donner le moyen de vous enrichir : élevez des furets. Le furet est l’extermonateur (si renato permet cet emprunt)idéal du rat. Solution écologique qui séduira la mairesse. Mise de fonds modique. Contrat juteux.

renato dit: à

L’on aura observé que j’ai mis des guillemettes à l’homme est sale, donc : « l’homme est sale ».

Jazzi dit: à

Le boug, dès que je traverse le périphérique, ou que je vais en province, la première chose qui me frappe, c’est la… propreté !

bouguereau dit: à

paris est dabord une hénorme machine a cash baroz..

renato dit: à

… l’extermonateur fut une erreur de frappe Alexia.

Cela dit, la couleuvre aussi est un bon chasseur de rats.

Janssen J-J dit: à

probablement des nouveaux riches arrogants ?) trouvent que la capitale est… sale !

comme c petit…! de s’abriter derrière ces sondages enregistrés auprès des touristes japonais qui viennent de laisser tomber leurs pizzas à moitié bouffées dans les poubelles des jardins du Trop Crad Héros… Ah, les arguments d’autorité par les sondages !… On est vraiment tombés bien bas, sur cette chaine ! mais comment en relever le nivo désormais, si jzmn s’emploie ainsi à l’assécher comme ses fontaines en été, jadis…

Jibé dit: à

A propos de Golding, « grand marin » dites-vous Bloom, précisons pour ceux qui ‘ont pas lu ce roman que la Nef ne cause pas grandes voilures mais cathédrale, montée de pierre vers le ciel en plein Moyen Age.

Janssen J-J dit: à

moij, quand je débarque de la province pour me rendre dans le 7e, je remarque immédiatement la propreté de la ville lumière à l’intérieur du périf – éric, (Eric Périf), le soir surtout, que tous les rats sont gris.
J’en ai marre de ces manichéismes préélectoraux moisis, d’ailleurs…, je cesse. C’est indigne de moij.

Jibé dit: à

Les Japonais trouvent tout « sale »; j’ai eu des élèves nippons ds des lycées internationaux, pour eux tout était sale. Je ne sais pas quel est le degré culturel de tolérance à la saleté, ni non plus ce qui est considéré « sale » ou « propre » au Japon -une question pour ethnologue, ça.

lmd dit: à

Bouguereau, pour Yves Michaud et les accessoires urbains inutiles vous avez raison. En parcourant ce livre je me suis pourtant dit que sa dénonciation du design en général est imbécile ; les moindres lampadaires, bornes, plaques d’égout, numéros de rue ont toujours été dessinés soigneusement pour pouvoir être fabriqués ; Yves Michaud ne peux que contester ce goût  là ; ça lui plait pas.

Jazzi, si Paris a tant de recettes et les dépense mal, il faut couper dans les dépenses ; mais où, les crêches ou les rats ?

Janssen J-J dit: à

bien dit, jibé, voilà pourquoi je causais de ken follett, et les bons entendeurs de l’herdélie ont salué cet audacieux parallèle !… Merci de m’avoir appuyé… Et vous, JibEric, quelle est votre opinion sur l’irrésistible tsunami de saletés à Paris ?… vu de la région lyonnaise ?
Bàv… Paxton-Hobsbawm, voulez pas réessayer ? ça m’intéresse pas mal, là…

NB / avez-vous vu passer le premier polar « généalogique » de notre ami l’excellent historien Jean-Marc Berlière (de Dijon) et de sa fille Justine,… en hommage à l’entreprise de Mendelssohn (les disparus) et de Sands (retour à Lemberg) ?… Plutôt intéressant et propre à vous encourager… Je crois qu’iel sont des connaissances à nous, communes… Bàv
http://www.denoel.fr/Catalogue/DENOEL/Romans-francais/Le-Silence-des-maquis

et alii dit: à

Savez-vous passer le trédéridéra, savez-vous passer ceci sans vous tromper !
Voici un jeu bien belge à jouer en famille, en groupe ou autre. à chaque fois qu’un joueur se trompe, il est éliminé. Bonne amusement ! (on peut accélérer le rythme pour corser l’affaire !
https://www.youtube.com/watch?v=GpC6wXzGCsY

Janssen J-J dit: à

ah je viens de me resouvenir de cet écrivain moustaché tombé sur le font du sida en 1985.. Mais qui se souvient encore… de ce Conrad Detrez que de bonnes âmes m’avaient signalé à l’époque, notamment son roman : « la mélancolie du voyeur » ? _
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conrad_Detrez
Il était éclipsé par les Hervé Guibert, Yves Dangerfeld, Yves Navarre et autres Mathieu Galley, à l’époque, etc… Quelqu’un a-t-il déjà raconté la saga de cette hécatombe littéraire gaie des années 1980 ?

renato dit: à

lmd, je me souviens que en regardant certains objets (pas seulement mobilier urbain), Luciano Fabro disait : « Et il y a quelqu’un qui l’a dessiné ! »

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