Nobel à Ishiguro, le vertige d’un jour
Pas si sûr que, « si l’on mêle Jane Austen et Franz Kafka, on obtient Kazuo Ishiguro » comme le croit dans une formule rapide Sara Danius, secrétaire perpétuel de l’Académie suédoise, pressée tout à l’heure de définir les qualités du nouveau lauréat du prix Nobel de littérature. Ce genre de rapprochement façon cocktail, toujours hasardeux, étonne de la part d’une universitaire. Il est vrai qu’elle a fait d’autres depuis un an qu’elle s’est mise en tête de défendre bec et ongles, avec parfois les moyens les plus saugrenus, l’attribution l’an dernier de la fameuse récompense à un chanteur populaire.
Bref, Kazuo Ishiguro à la surprise générale et c’est tant mieux. Voyons voir : né en 1954 à Nagasaki (Japon) mais installé dès son plus jeune âge dans le Surrey. Naturalisé britannique en 1982, sa langue est l’anglais. Son parcours universitaire aussi. A noter qu’il a étudié l’écriture dans un fameux master spécialisé (l’équivalent britannique des workshops of creative writing américains) à l’université d’East Anglia, créé et animé par l’écrivain Malcolm Bradbury, son professeur aux côtés de la romancière Angela Carter ; nul doute qu’il sera fait au lauréat Nobel le procès absurde du formatage de son écriture au standard de ce type d’enseignement.
Bien sûr, Ishiguro a été, est et sera toujours ramené aux Vestiges du jour, couronné du Booker Prize en 1989, son grand roman incontestablement, au risque d’éclipser injustement Quand nous étions orphelins (2001), L’Inconsolé (2005), Auprès de moi toujours (2010). Il est vrai que The Remains of the day est vraiment un grand livre, admirable tant par sa construction, son échafaudage que par la netteté de sa langue (traduit de l’anglais par Sophie Mayoux). Les académiciens y ont donc été sensibles. A preuve les attendus de leur jugement :
« Il (Ishiguro) a révélé, dans des romans d’une grande force émotionnelle, l’abîme sous l’illusion que nous avons de notre relation au monde »
Un mot suffit parfois à engager et gouverner une vie. Un seul mot mais généralement porteur d’une telle charge de sens et de valeur qu’il vaut bien toute une œuvre. Pour Stevens, majordome de Lord Darlington dans les années 30, ce mot fut « dignité ». Kazuo Ishiguro a fait de cet homme le narrateur et de ce mot le leitmotiv de son roman. Son voyage en voiture dans l’Angleterre de l’après-guerre est l’ombre portée de la remontée d’un fleuve, à ceci près qu’il ne se rend pas au cœur des ténèbres mais à la rencontre de l’ancienne intendante de Darlington Hall, le château où ils s’étaient connus lorsqu’elle y officiait. Irrésistiblement attirés, ils s’y étaient aimés, à leur manière, sans jamais se toucher, comme on s’aime du regard, en se heurtant à demi-mots et en s’affrontant à fleurets mouchetés. Elle si vive et entreprenante, lui si corseté dans ses valeurs. Les années ont passé ; elle s’est mariée, elle a divorcé, sa propre fille s’apprête déjà à devenir mère à son tour ; quant à lui, il est resté célibataire, toujours au château, cette fois au service du riche américain qui l’a racheté. Et s’il était passé à côté de sa vie pour n’avoir jamais su ouvrir son coeur ?
Ils se souviennent par étapes, par petites touches.
C’était entre les deux guerres, à l’époque des accords de Munich. Lord Darlington, héritier d’un grand nom de l’aristocratie anglaise, était de ceux qui oeuvraient pour le rapprochement anglo-allemand ; ils tentaient de dédiaboliser le chancelier Hitler, assurant que ses intentions n’avaient rien de belliqueux. Lord Darlington fit donc de son illustre demeure de l’Oxfordshire le théâtre de rencontres secrètes entre les chefs des diplomaties des deux pays ; il tenta aussi discrètement de rendre acceptable le leader fasciste Oswald Mosley en le présentant à des dirigeants du pays ; puis il organisa chez lui en grande pompe durant un week-end de chasse une grande conférence internationale afin de témoigner à l’Allemagne des meilleures intentions du monde libre à son endroit. Il faudra l’audace du diplomate américain pour houspiller cette assemblée de gens bien, naviguant entre naïveté et cynisme, en osant leur dire en face, debout au moment des toasts, qu’ils ne seront jamais que des amateurs et qu’on ne leur demande pas de mener les affaires du monde. Encore n’est-ce là que la toile de fond historique du roman. L’essentiel est ailleurs.
Il est dans l’idée que Stevens se fait de son métier de majordome. Plus de devoirs que de droits. Une haute conception du service. Un dévouement absolu au chef d’une grande Maison. Ce sont les grandes Maisons qui font les grands majordomes. Ils ont toujours intérêt à servir des maîtres de qualité, condition pour être tiré vers le haut et accomplir sa vocation loin des médiocres. Le jour où les grands de ce monde d’avant ont conféré dans le grand salon du château autour de Sa Seigneurie, Stevens a vraiment compris ce que pouvait être la noblesse de son métier ; il était enfin conscient d’avoir su préserver une dignité conforme à sa place.
Stevens exercice une telle maîtrise sur ses émotions que rien ne semble l’atteindre car il ne laisse rien paraître. Il a si bien intériorisé la retenue qu’elle lui est une seconde peau. Tout dans son expression compassée, tant physique que verbale, semble gouvernée par l’injonction de l’understatement. Il est la litote faite homme. Il a eu une vingtaine de personnes sous ses ordres ; les grands jours, une trentaine. Valets de pied, femmes de chambre, cuisinières, gouvernantes etc Il conçoit le plan de travail comme un art. Voilà la pierre angulaire de sa vie de château qui n’est pas une sinécure, celui qu’on appelle bien souvent « majordome » un peu partout, « Major domus » en Pologne, « Butler » en Angleterre et … « Butler » en Allemagne, semble-t-il.
Fondamentalement, le grand majordome n’est pas seulement qui élève le placement à table au rang d’une science exacte et mesure au millimètre l’écartement entre le défilé de verres, les couverts et les assiettes; il est celui qui réussit à ne pas abandonner son personnage professionnel au profit de sa personne privée. A ne jamais renoncer au premier, qui l’habite, pour céder au second, qui l’encombre. Rien ne doit l’ébranler ni même le perturber. Ni un choc ni une nouvelle. Plus gentleman que les gentlemen, il tient le contrôle de soi pour un absolu, quitte à paraître coincé, inhibé, inexpressif. Sa maîtrise va loin puisque, lorsqu’on murmure à l’oreille de Stevens que son père, lui-même grand majordome, vient d’expirer là-haut dans sa chambre, il ne cille pas, toujours trois pas derrière le maître des lieux présidant à sa table de banquet.
On s’aperçoit là que la dignité selon Stevens a partie liée avec la grandeur, mais que l’une et l’autre ne peuvent donner la pleine mesure que dans le cadre d’une maison vraiment distinguée. Il a l’orgueil de la Maison qu’il sert. C’est sa seule vraie famille. Il ne connaît pas de plus haut privilège. Seuls les bourgeois verront du snobisme là où il ne s’agit que d’épouser une vision du monde mais sans jamais quitter son rang. Ceci pour vous donner à la fois le ton et l’esprit du narrateur, dont les réflexes, la gestuelle, les attitudes, les répliques et le langage présentent une telle cohérence et lui confèrent une telle personnalité que la réussite du roman d’Ishiguro tient déjà à cela. Et comme le reste est de la même encre, retracée avec une remarquable pénétration psychologique, on ne peut qu’applaudir la prouesse de ce livre plus anglais qu’anglais.
Le seul problème, c’est que lorsqu’on le relit après avoir (re)vu le film inoubliable que James Ivory en a tiré, on ne peut plus se défaire non seulement des images, mais des traits qui se superposent aux personnages du roman : ceux de Anthony Hopkins sur le visage de Stevens, ceux de Emma Thomson pour Miss Kenton, de James Fox pour Lord Darlington, et puis ceux de Michael Lonsdale, Christopher Reeve… Une oeuvre aussi magistrale que celle dont elle est issue. Rarement un film se sera aussi harmonieusement et naturellement accordé à l’esprit du roman dont il était inspiré. Vis à vis des deux, un seul mot me vient à l’esprit: gratitude, car je leur dois d’avoir inspiré le personage principal de mon roman Sigmaringen. Il sera beaucoup pardonné aux artistes qui ont su adapter un grand film d’un grand roman en le trahissant si fidèlement qu’ils en ont fait une oeuvre d’une grande… dignité.
Quant à ceux qui pourraient s’étonner que les Suédois aient choisi Kazuo Ishiguro pour succéder à Bob Dylan, on pourra toujours opposer que le comité Nobel n’a pas dévié de sa ligne et que, à défaut d’avoir lu à fond l’œuvre de cet excellent écrivain, il a sûrement dû être sensible aux paroles des chansons qu’il a écrites pour la si délicieusement jazzy Stacey Kent…
(« Kazuo Ishiguro » photo Francesco Guidicini ; « Anthony Hopkins et Emma Thomson dans Les Vestiges du jour »; « Kazuo Ishiguro entre Stacey Kent et le saxophoniste Jim Tomlison » photos D.R.)
796 Réponses pour Nobel à Ishiguro, le vertige d’un jour
Bref, le problème ce n’est pas le mot, c’est l’agression injuste. Ne nous trompons pas. Essayer de faire croire que ceux à qui on enlève incessamment sont générateurs de bordel.
C’est d’une iniquité révoltante.
Il n’y a pas d’ordre accepté sans justice. C’est évident. Et le défaut d’ordre se nomme bel et bien le bordel.
Angot a une requête, il faut l’imaginer heureuse, mouarf mouarf mouarf.
…
…les profits, a chacun, son bordel, de commerce,!…
…avec ses réserves en stocks,!…
…de la bio-marchandise,!…Ah,!…Ah,!…
…le football, des conneries en stocks,!…
…Oh,!…la belle bleu,…Oh,…la belle rose,!…les parfums constructifs,!…etc,…
…
mais le fouta.ge de bordel n’est qu’une forme de justice réparatrice. Même si nos Macro.ns auront toujours de bonnes raisons de pense que les injustices du travail sont préférables au désordre du pillage de leurs banques. On ne voit pas ce que viennent faire les poèmes de françois villon là-dedans, ceux de françois fillon en revanche ne risquent pas d’être rattrapés par l’optimisation fiscale au fond d’un univers impitoyablement coffré. Comme dirait un noble internaute : « garder, le « bordel », des comptes, pour un lucre des banques complices,!… …à l’Europe des escrocs,!…Go,!… » – C clair !
Vous êtes POUR beaucoup de choses contradictoires entre elles, je voudrais pas dire, mais je le dis quand même, voyez.
Une nouvelle fable complotiste se répand sur les réseaux sociaux, qu’essaye de justifier salvadore pallida. Je le connais bien celui-là, il m’énerve de plus en plus.
https://blogs.mediapart.fr/salvatore-palidda/blog/260917/pourquoi-letat-islamique-epargne-litalie
Voilà un sujet auquel passoul devrait s’attaquer en priorité, dans sa rubrique « essais et sciences humaines ». Je crois qu’il produirait un festival d’intelligences chez les internautes érudits de la rdl, bien au dessus de toussa.
http://www.lesinrocks.com/2017/10/05/idees/la-guerre-des-sociologues-aura-t-elle-lieu-11994027/
Pour beaucoup de gens dont le français n’est pas la langue maternelle, et mêm poour les autres, le mot bordel est simplement synonyme de désordre sans connotation particulière, ,car ils n’ont souvent pas eu l’occasion de l’entendre utiliser dans son sens premier de « maison de passe »,ce qui n’est ps étonnnt des lors qu’il designe une institution qui theoriquement n’existe plus
J’ai à cet egard un souvenir amusant
Je participais il y a plusieurs années avec une délégation française à une rencontre à Moscou entre administrations des deux pays .L’objectif de la mission était de renouer des relations de coopération qui avaient eté un peu distendues à la suite de desaccords mineurs et d’incompréhensions entre personnes
La dame , fonctionnaire de rang tres élevé qui nous recevait pour cet enterrement officiel de hache de guerre, nous a accueillis avec des propos à l’evidence aimables , traduits sur le champ par notre remarquable interprète, dont nous avions pu apprecier precedemment la parfaite maîtrise du français jusque dans le respect impeccable des registres de langue .
Et la traduction des mots de bienvenue a été à peu près celle(-ci ;
Je me rejouis de ce que les malentendus qui ont perturbé nos rapports soient désormais dissipés et que le BORDEL qui a entaché un temps nos relations soit maintenant oublié
Certains vont au bordel, d’autres au charbon, d’autres encore au chagrin…
D. dit: 7 octobre 2017 à 11 h 10 min
petit gris
Ha oui c’est des escargots, également ; mais je suis un rien bourguignon par ma mère…
Occupez vous de vous, et de vous seul : c’est déjà beaucoup de travail !
« Je participais il y a plusieurs années avec une délégation française à une rencontre à Moscou entre administrations des deux pays .L’objectif de la mission était de renouer des relations de coopération qui avaient eté un peu distendues à la suite de desaccords mineurs et d’incompréhensions entre personnes » (DHH)
Judith, vous êtes conne, ou vous faites semblant ? Qui, ici, n’a jamais participé à ces réunions importantes « d’agitprop » destinées à faire semblant ? Qui ?
Consultez, Judith ! Consultez ….
Foutaises !
Bruckner : «Ils haïssent la France, non parce qu’elle opprime les musulmans, mais parce qu’elle les libère» (Figaro)
On n’a rien à ajouter, tellement c’est juste …..
Je verrais bien GS’A en tenancier de bordel, pas en banquier !
…
…un des points fondamentaux, qui me vient, à l’esprit,…c’est la notion d’ordre à ses controverses,!…
…
…le résultat d’ordre » mal interprétés,!…
…
…c’est à dire, qu’il y a, plusieurs variantes de résultats à attendre,!…Ah,!Bon,!…çà aussi,!…
…
…en somme, avec quelques rudiments,..il y a , une forme d’ordre d’artistes, qui, dans ce désordre des autres, est pour l’artiste, une réalité » en ordre « ,!…
…
…et ,si, on présente, à ces artistes, des choses ou réalités, dites, en ordre,!…
…les vrais artistes, de répondre, !…mon Dieu, quels gâchis,!…quels désordre de vies,!…dans cet ordre,…
…tout est dis, façons fonctions, se répondant en arts,!…à ses disciplines,!…
…
…remuons tout çà,…pour en faire un bordel, presque parfait,…Oh,!…la vie qui renait,!…
…
…mon appartement un genre de désordre,…
…un bordel, ou je suis, le plus heureux des hommes,!…
…
…on peu, mieux dire, en châteaux,!…quel château, pour ne pas dire, quel bordel,!…façon seigneurs et artistes,!…
…respecter les murs, et ces coïncidences propres,…etc,!…
…l’essentiel à porter de mains,!…
…en plus, je ne suis pas armé,!…
…
« Je suis pour la suppression du travail d’esclave, je suis pour 30 heures par semaines pour tous, avec de la souplesse, je suis pour que les hommes s’épanouissent dans un travail équilibrant et créatif autant que possible… »
Je me réjouis de voir, D, que vous avez fait la moitié du chemin vers ce que je préconise, à savoir : la suppression légale du travail, et donc la libération de l’espèce humaine.
…
…comme quoi,!…seigneurs, tenanciers, artistes,!…orfèvres, horlogers, paysans, à veiller à nos grains, à semer ou a moudre,!…
…la nécessité, fait lois,!…
…à nos finances liquides,…etc,!…
…banquiers, à quelles mesures,!…un rapport à l’âge, déjà,…
…faire faire, l’indispensable,pour rien,…
…etc,!…l’entreprise et suivi,…
…
Merci Passou d’avoir relayé l’info mise à 13.01 dans vos touites deux heures plus tard, s’agissant du « rififi » des sociologues. Le s’en remettront pas.
Comme un Delaporte des Fleurs coupées, je suis pour la liberté des hommes en supprimant le travail asservissant pour les meilleurs !
Pour ce faire, la meilleure solution : rétablissons l’esclavage légal !
« Comme un Delaporte des Fleurs coupées, je suis pour la liberté des hommes en supprimant le travail »
Vous aussi, infâme JC, vous avez fait la moitié du chemin. Reste la plus périlleuse, la plus délicate : ce sera fait par nos neveux et nos nièces, dans un futur proche. L’existence sera pour eux un long sabbat à la seule gloire de Dieu !
Bravo les gays de la rdl pour avoir participé au crownfounding de ce nouveau roman à l’eau de rose des bois Madonnax. C’est l’avenir du post-capitalisme éditorial !…
https://unbound.com/books/the-madonna-of-bolton
De même, pourrions-nous nous cotiser pour le prochain « goût de Jazzman chaud », pour aider notre ami s’il devait être rejeté par le mercure au chrome ?
J’ai l’impression que le STRASS œuvre à contre-courant des souhaits de monsieur Delaporte. Pourtant, pour mettre fin à l’esclavage des personnes prostituées, il me semblait que le syndicat des travailleurs et travailleuses du sexe avait trouvé une solution élégante. Ce que je voyais comme un « progrès » relatif, il le verrait comme une régression. Pendant ce temps, la misère sexuelle d’une moitié de la planète n’a pas fini d’engendrer l’esclavage de l’autre moitié. Et la violence qui préside toujours au « commerce » du sexe gratuit dans le monde risque de se pérenniser longtemps avant de diminuer par le passage à l’esclavage légal.
Ces enjeux là sont d’ailleurs bien trop compliqués pour être laissés aux fumeuses recettes de cuisine des jc et autres delaporte.
Dieu ? Mais enfin, c’est quoi ce machin, Delaporte ?
Raisonnez un peu, nom de Lui ! c’est bon pour les ânes de croire à de pareilles futiles foutaises.
Dieu ? ça sert à rien qu’à perdre son temps…
« Dieu ? Mais enfin, c’est quoi ce machin, Delaporte ? »
« Misère de l’homme sans Dieu… » disait Pascal. Il manque quelque chose à l’homme qui est athée, il ne jouira pas de la joie ineffable. Ce n’est pas pour autant que c’est facile. C’est une démarche lourde de conséquences, ici et maintenant. Quand l’homme ne travaillera plus, après l’abolition légale du travail, il se tournera tout naturellement vers cette entité essentielle, intime et universelle à la fois.
« Ces enjeux là sont d’ailleurs bien trop compliqués pour être laissés aux fumeuses recettes de cuisine des jc et autres delaporte. »
J’essaie de comprendre honnêtement vos considérations, JJJ, et je les trouves malgré moi bien fumeuses également. Désolé de devoir vous le dire, en espérant que ça vous instruise et vous porte à mieux faire la prochaine fois.
« Misère de l’homme sans Dieu… » disait Pascal.
Quittons nous sur cette remarque : Blaise Pascalou disait vraiment n’importe quoi, le pauvre ! …. Quel bolo !
Une bonne branlette ineffable pour un orgasme divin c’est ce qu’il te faut.
Il est expressément demander à tout romancier de veiller à une égalité de personnages féminins et masculins, et à respecter une égale proportion, selon le lieu de l’intrigue : de génération (enfants, adultes, vieillard.e.s), de couleur de peau (Blanc, Noir, Jaune), de religion (juif, chrétien, musulman…) et d’athéisme, de préférence sexuelle (hétéro, homo, sans oublier les bi et les trans), de grandes, de moyennes et de petites tailles, de poids lourds, moyens, légers, de niveaux de QI, de tares congénitales, de handicaps physiques, d’infirmités, de carnivores, de végétariens et de végétaliens.
demandé (et de fautes d’orthographe !)
« Il est expressément demander à tout romancier de veiller à une égalité de personnages »
Certains romanciers, dans le temps, avait ce talent. Par exemple, Dostoïevski, chez qui les personnages fourmillent en mille manières, et représentent ainsi toute une humanité diverse et des plus riches. Les romanciers modernes, même Ishiguro, n’y arrivent pas aussi bien. Cela marque une époque, sans doute, et en même temps autre chose doit sûrement être apporté.
On sait avec plus de précision que le ω apparait.
avaient ce talent
bonne nuit blanche
« Il manque quelque chose à l’homme qui est athée, il ne jouira pas de la joie ineffable »
J’essaie de comprendre honnêtement vos respectables considérations, essayez simplement de ne pas vous soucier de mon bonheur et de ma joie, grâce à mon trop plein d’absence de dieu. Merci de faire ce effort je sais que ce n’est pas facile pour vous.
son rêve a dlalourde c’est ête un plus un gros trafiquant damphète que david et mouloud
de préférence sexuelle (hétéro, homo, sans oublier les bi et les trans)
baroz haprés havoir palpé y crache dans la soupe
Pendant ce temps, la misère sexuelle d’une moitié de la planète n’a pas fini d’engendrer l’esclavage de l’autre moitié
..ma mère de ma mère
@On n’a rien à ajouter, tellement c’est juste …..
Pas d’accord ; il vaut tjs mieux ajouter qq chose plutôt que d’opiner bêtement, on vous l’a pas appris à l’école ?
@Une bonne branlette ineffable pour un orgasme divin c’est ce qu’il te faut.
Une leçon à tirer de ste thérèse dawila, mais tout le monde est pas cap d’avoir le niveau.
L’athéisme en religion c’est un peu comme l’abstention en politique, JJJ, le choix de JC ?
les nuits blanches aux JO ?… mais c pour les fan’s d’hidalgo, ça, non ? et sur les toits de notre drame de paname, uniquement !
Passou, irez-vous à Francfort la semaine prochaine ? Désormais, c’est uniquement là que ça se passe, du moins pour l’aspect commercial !
mais non j’ai voté la 1ère fois, pas la 2e, et j’ai bien fait, voyant les candido en lice. Je n’ai jamais eu à en rougir comme vous, cher Jazzman, que je respecte infiniment. Car moi, ce que racontent les Charlot, je le savais déjà, à votre différence. Bofl, maintenant faut lutter avec le réel, on va pas continuer à se fromager, hein ?
http://www.lesinrocks.com/2017/09/14/actualite/monique-pincon-charlot-emmanuel-macron-synthetise-completement-les-interets-de-loligarchie-11985548/
Les Pinçon-Charlot sont des charlots de la sociologie, JJJ : des pseudos communistes des beaux quartiers…
Les Pinçon-Charlot nous démontrent que l’eau est mouillée et que le feu brûle. Leur émission télé «Le ghetto du Gotha» est fort bien faite, mais aurait gagné à aller voir des aristos paumés, ou qui tirent le Diable par la queue. Évidemment, leur thèse en aurait souffert; quant à moi, je trouve Monique Pinçon-Charlot très convenable, voire très-comme-il-faut. Rien d’Arlette Laguiller ou de l’hystérique qui sévit (encore) à ONPC !
Panique dans le 16e ! Une enquête sociologique et dessinée de Monique Pinçon-Charlot, Michel Pinçon et Etienne Lécroart, éd. La Ville brûle.
Un centre d’hébergement pour sans-abris, qui en aurait accepté un à-côté de chez-soi ? Personne ! Les plus défavorisés auraient sans doute dit: bof…, mais les bien-pensants auraient hurlé que les placer-là relevait du mépris. Pas de sans-abris chez les paumés !
Francfort c’est bien surtout pour les saucisses.
Le reste n’a aucun intérêt, comme Vienne.
Francfort ?
Quel rapport avec Sigmaringen ?
Le plus judicieux c’est de conseiller à Julius de voir ce qui se passait ce soir à l’Annexe de la Bibli Medicis.
Comment J-P. Elkabbach explique qu’il a rencontré le » majordome » d’une grand maison, ( berghof) cadre idyllique ( la montagne), architecte au top ( Speer, la pure ordure plutôt que « lâche » comme il s’est complaisamment défini).
Bref, vous l’aurez compris, à l’Annexe, ça plane beaucoup moins que chez Ultrabright.
s’cusez, cette émission- à ne pas manquer- était déjà diffusée hier soir, mais c’était tard.
https://www.publicsenat.fr/emission/bibliotheque-medicis
Christine Angot sera à Francfort.
J’espère qu’elle aura pris de la distance avec tout ce patacaisse orchestré par les médias franssais.
petit mot en passant
https://www.youtube.com/watch?v=pJVtHBHcuV0
D. dit: 7 octobre 2017 à 21 h 25 min
Francfort c’est bien surtout pour les saucisses.
Le reste n’a aucun intérêt, comme Vienne.
C’est pas le Chenittezeul ?
Mais c’est vrai que j’ai encore des souvenirs ému des Bratwürstel in Wien…
Sarkozy va devoir rendre des comptes devant la justice, apprend-on ce soir. Le système d’impunité des présidents de la République a assez duré. Il faut que Sarko écope d’une peine qui soit dissuasive :
« Le parquet national financier a demandé le renvoi de l’ex-chef d’État devant le tribunal correctionnel, notamment pour corruption. »
Dans la foulée, il faut espérer que Fillon ne va pas non plus attendre des lustres avant d’être fixé sur son sort pénal. Le plus tôt une peine grave sera rendue, le mieux ce sera pour la démocratie.
Cette époque est révolue :
Ma première saucisse viennoise véritable, je l’ai mangée dans Schönbrunn, parfaitement, en regardant Sissi faire de la barre fixe.
C’est la pure vérité.
Vertige, vestige :
Le premier est inadéquat en parlant de Kazuo Ishiguro.
En début d’émission, dans un studio vide et pesant, un Ruquier solennel, tout de noir vêtu comme s’il représentait je ne sais quel deuil médiatique, a proféré le discours suivant, sur un ton vif, pour tenter de faire justice du scandale de la semaine précédente. Il parvient avec beaucoup de mal, et ne convaincra pas tout le monde. Mais, du moins au départ, il y avait selon moi de l’idée :
« Pas d’accord ; il vaut tjs mieux ajouter qq chose plutôt que d’opiner bêtement, on vous l’a pas appris à l’école ? » (JJJ)
L’autre taré de Gigi, qui donne des leçons de maintien ! On aura tout vu dans la Nef des Fous à entrée gratuite … Pauvre de nous !
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À l’occasion de la fête de la science, la Délégation générale à la langue française et aux langues de France publie pour la première fois un Vocabulaire de la biologie : 611 termes et définitions concernant des notions nouvelles dont beaucoup n’avaient pas de désignation en français.
Et dans le même temps, la Défense, l’Économie et les Finances, l’informatique et les télécommunications disposent de nouvelles terminologies. Cyberattaque remplacera cyberattack, cartouche changera infobox et finance parallèle sera désormais l’équivalent de shadow banking.
« Une analyse du génome d’une Néandertalienne vieille de 52.000 ans précise les apports faits aux Homo sapiens. Nous avons peut-être encore plus de Neandertal en nous que nous ne le croyions. » (Figaro)
Rien qu’ici même, où fleurissent les plus belles fleurs de la rente active, on peut vérifier cette audacieuse supposition des paléogénéticiens !
L’analyse ADN de la tétine de Gigi l’Infantile en témoigne : il y a beaucoup plus de chimpanzé que de Sapiens dans la baudruche jansséniste !
En toute humilité, j’avoue qu’au Dojo mon Sensei m’a souvent reproché un comportement de Néanderthalien de tatami digne de Mélenchon, la bête friquée de la République.
On ne peux pas reprocher à une émission de TV obscène de faire dans l’obscène : elle est faite pour ça !
Une distraction en vaut une autre : passons de la Littérature au Yachting, à Saint-Tropez en 2017
the language theorist Roman Jakobson is said to have objected, saying ‘Gentlemen, even if one allows that he is an important writer, are we next to invite an elephant to be Professor of Zoology?’
dans le lien ceattive writing
un seul t creative
Jazzy, A Francfort, j’irais
@passou
vous iriez si ou vous irez sur de sur?
Imaginons qu’un Groupe révolutionnaire guévariste inconnu enlève notre Maitre Passou à Frankfort lors de son futur déplacement.
A votre avis, on peut en tirer combien côté rançon ?
1 million de sesterces d’argent ? un ticket repas chez Drouant ? un exemplaire de Sigmaringen dédicacé pour chacun des terroristes ? 33% de royalties sur sa production littéraire en chambre forte …
Pour un lecteur de peu :
Raymond Queneau : « Les fleurs bleues » :
Francesca Woodman :
Kubrick & Weegee :
«Est-ce le duc d’Auge qui rêve qu’il est Cidrolin ou Cidrolin qui rêve qu’il est le duc d’Auge ?»
«Une analyse du génome d’une Néandertalienne…»
Ce n’est vraiment pas une nouveauté…
Les analyses ADN du Kodak de Renato ont signalé une rareté tout à fait extravagante pour un natif de la botte : disproportion singulière entre des facultés imagières démesurées et des possibilités cérébrales réduites a minima.
Il vaut eux fréquenter les revues scientifique que le Figaro… ou pas ?
… eux > MIeux
Toto : le jugement d’un gardien de nuit d’hôtel borgne me sera toujours infiniment précieux.
…
https://mobile.twitter.com/museiincomune/status/916921100960980993/photo/1
Je me demandais, « la dignité selon Stevens » n’est ce pas du même ordre que « l’écrivaine selon Angot »? Question de vu de l’esprit ?
je me suis trompée. Christine Angot n’en sera pas.
« Passou », vous pourrez faire un gros bisou à Michel Houellebecq de ma part ?
http://www.francfort2017.com/#!/page/fr.html
Bon, je vais aller voir les comics.
Bonne journée.
Dans l’émission ONPC, celle du fameux clash ,la semaine dernière ,et le départ (coupé) de Christine Angot, le plus étonnant est peut-être dans une partie non coupée de l’émission: c ‘est quand Angot affirme sans sourciller qu’un écrivain dit la vérité et comprend mieux le monde que les autres, elle vise en particulier , les politiques. Moix, dans un plan, adhère à cette thèse. C’est d’autant plus paradoxal que Angot vient devant les téléspectateurs de faire la démonstration qu’elle n’est pas du tout à l’ écoute de la douleur des autres, ici une femme politique harcelée. On voit que Angot fait justement de sa violence verbale et physique une arme massive pour faire taire l’autre. Mais surtout c’est la manière dont ces deux écrivains s’autoproclament avec une pathétique assurance , « caste des intouchables » qui laisse rêveur.
La dignité absolue, la soi-disant grandeur de ce majordome Stevens, n’est ce pas plutôt de l’imbécillité totale, dégénérative, d’un malade mental, malheureux mort-vivant 24h sur 24 ?
Il a beau changer de charcuterie (de Zeus à JC), l’andouille de ce blog est toujours aussi niais, verbeux, nul
« the larger part of the labour of an author in composing his work is critical labour; the labour of sifting, combining, constructing, expunging, correcting, testing; this frightful toil is as much critical as creative. »
Je n’ai pas vu cette émission, boudant depuis longtemps l’imagerie sectaire du petit écran grand par la taille, mais il me semble que ces deux donzelles et les dompteurs-causeurs qui les ont chatouillées sont de bien petites gens.
Arriver à la hauteur de votre cheville épaisse, mademoiselle Tigris, est tout ce qui me passionne sur cette planète ravagée par le bonheur !
On a les passions qu’on mérite, mademoiselle Tigris, n’est il pas vrai ?
Passou est partout, c’est notre Tintin reporter de la république des lettres ! Et matinal avec ça.
Passou est grand ! Jazzi est son prophète !
Cette histoire avec Angot n’a aucun intérêt.
Donc le sujet est désormai
s clos
« Passou est grand, Jazzi est son prophète »… et JC l’andouille son dépotoir
Hier avant que je m’endorme bercé par l’interet immense que suscite cette émission en moi Moix répondait à Geluck qui lui demandait si regarder brûler un livre ne lui faisait pas le même effet qu’à lui regardant Weiwei briser un vase que le livre n’a aucune importance puisque c’est la littérature qu’il sacralise. Je me demandais si il lisait sur liseuse Moix?
Oui, mais depuis que l’on sait que Tintin était une fille, je m’interroge sur le genre de Passou, JC !
…
…l’illustration encadrée, derrière Ishiguro,…
…çà serait pas, du Klee, en reproduction,…
…
…tirer d’un livre, ou du copier-coller,…
…
…intelligence – service, par un leitmotiv,…
…
…autrement,…tout des bourrages de crânes,!…
…copier/coller,…et découpages, recoller,!…les liens,…
…du Matisse pour faire vivre les tenanciers de bordel, chers ,à nos Jazzman de service,…
…le bordel, ne fait pas, dans le crédit de banquiers,!…
…faut voir, les comptes,…exonérés d’impôts,!…
…des liquidités pour les investisseurs,!…
…etc,…
Le Clézio a eu des mots plutôt sympas pour Ish, qu’il dit ne pas bien connaitre mais dont il considère ce qu’il connait comme une invitation à d’ autres lectures. Le haut du panier, dans le monde de la littérature, comme ailleurs, survole avec grâce et élégance l’universel tropisme vipérin.
« Le haut du panier, dans le monde de la littérature, comme ailleurs, survole avec grâce et élégance l’universel tropisme vipérin. »
Tu dis ça parce que tu es snob, Bloom !
Oui mais les tenanciers de bordels restent et résistent sur place, GS’A. A Barcelone, les banquiers et les grands groupes éditoriaux foutent déjà le camp !
On voit bien que ce n’est pas du Klee, là, GS’A…
http://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2017/10/Photograph-by-Francesco-Guidicini.jpg
Ruquier comme chantre de la liberté d’expression absolue dans son émission ONPC (« je reste fier de cet espace de liberté ») où deux femmes ont pu exprimer à parts égales leur souffrance par leurs pleurs ou par leurs cris. Aucun mot sur la troncature des 20 minutes passées à la trappe – Et voilà les jurés du prix Goncourt qui se transportent à Francfort pour annoncer leur dernière sélection (c-c : un événement exceptionnel : l’Académie Goncourt rendra publique la deuxième sélection du Prix Goncourt à la Foire de Francfort le mercredi 11 octobre 2017 en présence de son président Bernard Pivot et de tous ses membres : Pierre Assouline, Tahar Ben Jelloun, Françoise Chandernagor, Philippe Claudel, Paule Constant, Didier Decoin, Virginie Despentes, Patrick Rambaud, Eric-Emmanuel Schmitt)… dans un grand hôtel comme celui de Lima, pour fêter la victoire de Paris aux JO de 2024 ! Ça vous encore nous coûter bonbon, c’t’affaire là ! (mais ne soyez donc pas aussi mesquin et janséniste, voyons donc, c notre Littérature qui est en jeu !). – DHH, elle s’appelle Judith, Bloom ? Que signifie « l’universel tropisme vipérin », JC ? – Je tombe toujours sur des lectures coïncidentes : alors que JMG-LC nous entretient de la disparition du dodo mauricien, Henning Menkell faisait exactement la même chose il y a deux ans, dans son livre testamentaire, Sables mouvants, fragments d’une vie, chap. 47, p. 251-257, éd Seuil points : « Le dodo n’ayant pas eu de prédateur avant l’arrivée des hommes, il avait perdu sa faculté de voler – Ce sont les hommes qui ont fait disparaitre de la terre l’oiseau « stupide » (…) Le squelette du dodo est ce qui nous reste de cet oiseau qui n’ pas pu survivre après que les premiers marins ont débarqué sur les plages de l’île Maurice. (…) Le dodo ignorait ce qu’est un ennemi. Et, bien sûr, il a aussitôt été jugé stupide ». JC, l’homoçapince, a su en tirer la leçon. Le vivra vieux !
Bonjour à toussent et à Sophie Trébuchet.
…
…en tout cas, cela semble du style d’imitation sur l’œuvre de Paul Klee,…
…
…j’ai déjà vu, ce chat, quelque, part,…
…etc,…
Que signifie « l’universel tropisme vipérin »
Autrement dit, la plèbe, pour notre distingué attaché culturel Bloom, JJJ !
Dans son genre, Ruquier n’est pas mauvais. Il est même plutôt bon, à condition de ne pas regarder ONPC plus d’une demie heure. Il s’inscrit dans une longue tradition télévisuelle : le Jean Nohain de « Reine d’un jour » et le Roger Lanzac de « la Piste aux étoiles ». Chez Ruquier ça donne « La piste aux étoiles médiatiques du moment » Faites entrer l’animateur et les têtes de gondoles en promotion !
Les dodos sont morts de partout et on s’en fout complètement !
Car nous sommes des adeptes de Darwin, et des chancres de l’évolution du monde animal, végétal, humain, politique, et social !
… Ce qui nous importe, c’est que les tenanciers de bordels restent à Barcelone. Vive Dodo la Saumure !
Et, bien sûr, il a aussitôt été jugé stupide »
voilà qui est rationnel de raison de messire supposé savoir
« Ruquier n’est pas mauvais. Il est même plutôt bon » (Jibé)
Il est TOUJOURS bon …. sinon, on coupe… la Tv est une arme du fascisme démocratique que j’apprécie comme spectateur amusé.
@JJJ
DHH, elle s’appelle Judith
NON Judith c’était le premier pseudo que j’ai adopté quand j’ai cessé de poster sous mon vrai nom comme je me croyais jusque là obligée de le faire
puis diverses considérations d’ordre personnel m’ont amenée à changer de pseudd ,
Quelle émotion de revoir ainsi roger et mireille ! Un modèle assurément pour laurent et christine
http://www.ina.fr/video/I04154754
@ »on s’en fout complètement »
Non, moi je souhaite qu’on les fasse revivre et je pense qu’on y arrivera, il y a encore de leurs oeufs non éclos qui attendent d’être découverts. Je pense également qu’on peut vaincre le fascisme ordinaire qui sévit à la télévision et sur les blogs. Il suffit d’attendre qu’y crèvent les charognes qui le vectorisent et s’en repaissent. Il restera toujours des gentils innocents pour survivre même à la mémoire des darwines.
Aujourd’hui, c le jour de la bonté universelle, chacun-e dévoile son pseudo. Moi, c Jean-Jacques, avant j’étais Diagonal, puis j’ai décroché longtemps, et maintenant je réapparais de temps en temps pour donner mon point de vue qui vaut ce qu’il vaut, même si je comprends pas tout.
J’ai terminé « L’amie prodigieuse » et je me pose des tas de questions. J’ai relu ce que la presse, enthousiaste, en disait à l’époque. Personne n’a relevé « l’erreur », que, seule, zerbinette, a signalée ici, à propos du métro de Naples ! Le métro est plusieurs fois mentionné dans ce volume, dès l’été 1958, lorsque Elena repère, en compagnie de son père, le parcours pour se rendre au lycée, à la rentrée. C’est aussi la première fois où elle sort des limites de son quartier et découvre le centre de Naples. Erreur grossière ou brouillage volontaire d’un texte qui se présente comme une auto fiction et sous lequel le mot « roman » n’est pas mentionné sous le titre en page de garde ? On ne sait pas vraiment si le véritable auteur est la traductrice Anita Raja (romaine, de père magistrat napolitain et de mère allemande) ou son mari l’écrivain Domenico Starnone, natif de la région de Naples. Beaucoup de mystère, et une erreur notoire qui n’enlève rien à sa qualité littéraire, autour de ce futur quatuor napolitain, dont je vais me procurer très vite le prochain volume…
Wiki indique que le projet du métro de Naples remonte au milieu des années 1960, mais que la première ligne est devenue opérationnelle seulement en … 1993 ! Aucun Napolitain ne peut pas s’en souvenir plus ou moins approximativement…
« maintenant je réapparais de temps en temps pour donner mon point de vue qui vaut ce qu’il vaut » (JJJ)
Ne te sens pas obligé … on tiendra le coup jusqu’à Noel !
Jazzman, vous sentez-vous appartenir à la « génération Ricoeur », vous ?… Moi, non, j’ai rien à voir avec ça.
_________
(touite Passou – extrait) Régis Debray —uno de estos intelectuales veteranos también prolífico— acaba de publicar su segundo libro del año, Le nouveau pouvoir (el nuevo poder). Plantea la teoría según la cual Macron es la expresión, ya no sólo de la americanización de Francia, como planteaba en su ensayo anterior, sino de un neoprotestantismo que infiltra las culturas católicas. Debray dedica el último capítulo a lo que llama la “generación Ricoeur”. Explica que Ricoeur, que era protestante, asimilaba la izquierda a la confrontación, la derecha a la exclusión y el centro a la negociación. Y él se situaba en el centro, como el “gran reconciliador de las tradiciones de izquierda y derecha”.
Jamais lu Ricoeur, JJJ !
Vous ne trouvez pas ca super drôle cette histoire d’écriture inclusive? Ca fout une grosse bordelle tres rafraîchissante.
C’est à cause de l’Europe que les catalans on ont intensifié leur lutte pour l’indépendance.
Demain, la Catalogne sera indépendante et non européenne. Je me sens français mais aussi catalan, si la Catalogne veut bien de moi.
Vive la Catalogne libre et indépendante !
Paul Edel critique à juste titre les paroles de Christine Angot: « l’écrivain dit la vérité et comprend le monde mieux que les autres ».
C’est l’erreur classique depuis au moins Zola: le réalisme, la vérité etc. Cette Madame Angot devrait faire des sciences humaines ou de la philo pour s’approcher de la vérité, pour comprendre le monde. Elle s’est trompé de voie. L’écrivain – chez les meilleurs – l’écrivain dit sa vérité, non la vérité. Il cherche à capter l’air du temps, ce qui ne veut pas dire qu’il le comprend mieux qu’un sociologue ou tout autre spécialiste de la chose sociale. L’écrivain hume et restitue le fumet du temps, sa musique – qui n’a rien à voir avec la musique entendue à la radio télé -, L’écrivain ne dit pas la vérité, il écrit des fictions en espérant qu’elles rejoindront le tuf du présent pour dire ce qu’il en était de nous au temps où le texte fut écrit; mais la vérité est un concept philosophique qui n’a rien de commun avec l’écriture littéraire.
Air du temps ou intemporel, comme on veut on choise… C’est un peu comme Citroën versus Jaguar, finalement !
La vérité n’a rien à voir avec la littérature, ensemble ouvert de tous les mensonges possibles !
La grande et vraie littérature, la grandiose fiction, dit plus que tout le reste. Et le roman en particulier. Du Claude Simon nous fait mieux comprendre la réalité que du Paul Ricoeur. Les sciences de l’homme ou les sciences sociales tournent autour de « l’événement », mais la fiction nous fait entrer dedans. Trop de mauvais romans nous dissuadent cependant d’être aussi affirmatifs, et nous revenons à Ricoeur, quoique en attente d’une herméneutique qui s’intéresserait directement à la fiction. La Bible est le texte herméneutique par excellence.
JAZZI, l’erreur du métro n’enlève rien à l’intérêt de la saga d’Elena Ferrante, mais moi qui étais à fond dans le roman, tout à coup ça m’a troublée, c’est comme une petite tâche sur une belle robe, surtout étant écrit à la première personne.
Il est vrai que par ailleurs on prétend bien que Flaubert a dit « Madame Bovary c’est moi » alors…
L’auteur a tous les droits même d’écrire n’importe quoi à partir du moment où les lecteurs y adhèrent et apparemment les lecteurs d’Elena Ferrante ne sont pas gênés par les bruits du metropolitana.
PS et ce n’est pas une erreur de traduction :
Nel 1925 a Napoli fu inaugurato il primo passante ferroviario urbano d’Italia, gestito dalle Ferrovie dello Stato[3], e noto come « metropolitana FS ».
Source wiki. Il y avait bien une « metropolitana » à Naples avant l’inauguration du métro moderne.
Vous êtes lourds.
« La grande et vraie littérature, la grandiose fiction, dit plus que tout le reste. »
Il faut s’appeler Dédé Delaporte pour affirmer d’aussi galactiques commeries !
Etant interdit de séjour à la RdL pour des raisons qui m’échappent, quelqu’un pourrait-il dire à Jazzi et à zerbinette qu’il y avait effectivement une metropolitana à Naples avant le métro moderne ?
source wiki :
Nel 1925 a Napoli fu inaugurato il primo passante ferroviario urbano d’Italia, gestito dalle Ferrovie dello Stato[3], e noto come « metropolitana FS ».
Là-bas mon post est attente de sidération.
Écrit par : en passant | 08/10/2017
Gemacht ist gemacht…
« La grande et vraie littérature, la grandiose fiction, dit plus que tout le reste. »
« Il faut s’appeler Dédé Delaporte pour affirmer d’aussi galactiques commeries ! »
D’ailleurs, même les mauvais livres apprennent des choses uniques sur la galaxie.
« c’est comme une petite tâche »
tâche=travail
tache=salissure
Il y avait apparemment un truc qui s’appelait « metropolitana » à Naples et que la traduction a rendu par métro, sans doute par facilité…
On va pas faire le réveillon là-dessus.
Et depuis 1925 en plus…
Et bien voilà, la vérité finit toujours par se faire jour au bout de la fiction ! Merci, D., tu lèves toutes mes suspicions à propos de cette « metropolitana »…
Paul, Raymond, la vérité de dame Angot est plus patente que celle de dame Rousseau. La différence est essentiellement d’ordre littéraire…
Sergio, il est vrai que :
La ligne 2 voit le jour en 1925 sous le régime fasciste comme chemin de fer métropolitain souterrain, le premier de son genre en Italie. Appelée depuis le jour de son inauguration « Metropolitana FS » (métro des chemins de fer nationaux FS), la ligne 2 constitue en effet le premier tronçon de chemin de fer métropolitain jamais construit en Italie, même si jusqu’en 2009 elle restera ouverte aux trains InterCity. Pour avoir en Italie un véritable métro, en effet, il faudra attendre trente ans, avec l’inauguration de la ligne B du métro de Rome. » (wiki)
Ce n’était pas un métro comme nous l’entendons aujourd’hui, mais ça y ressemblait ! Donc la version originale « metropolitana » est juste mais la traduction française « metro » prête toutefois à confusion par rapport à ce que l’on entend par métro aujourd’hui.
tâche=travail
tache=salissure
touche moi pas cloclo
L’auteur a tous les droits même d’écrire n’importe quoi à partir du moment où les lecteurs y adhèrent
polo sans un mot a keupu qui adhére..y’est fixé
galactiques commeries !
..yavé y chie des pendules
« On va pas faire le réveillon là-dessus. »
Faut voir, closer. Je vais entamer le deuxième volume et l’ensemble de la saga forme un véritable quatuor napolitain. On ira peut-être jusqu’à Pâques ? ça nous change des comices des prix littéraires…
Oui, c’est un problème de traduction. Affaire réglée sur ce point. Reste encore des doutes sur l’identité de l’auteur.e. ? L’oeuvre serait-elle l’enfant romanesque du couple ?
« l’écrivain dit la vérité et comprend le monde mieux que les autres ».
C’est l’erreur classique depuis au moins Zola: le réalisme, la vérité etc.
chus pas dac..le réalisme de zola c’est ‘la vérité du sujet’..angot frait croire à une ‘manière vraie’
..en tout cas pas mal vu..le réalisme comme le baroque c’est une bouteille a l’encre archi maous
la vérité est un concept philosophique qui n’a rien de commun avec l’écriture littéraire
la vérité n’appartient en prope à personne..la tradition veut qu’ça soit les locdu dégueu qui la dise la mieux..hors donc la littérature a à voir havec la vérité..hévidemment
Imaginez Houellebecq venant faire la promo de son prochain livre à ONPC, face à Angot !
Une idée de repas pour D :
«LE GRAND VEGGIE» : MCDONALD’S LANCE MARDI SON BURGER VÉGÉTARIEN EN FRANCE
Tu dis ça parce que tu es snob, Bloom !
..et toi t’es toujours a sucer la roue dceux qu’on dla thune baroz
« l’écrivain dit la vérité et comprend le monde mieux que les autres »
L’écrivain s’abolit dans le texte qu’il écrit. Ce n’est pas l’homme qui est intéressant, c’est ce qu’il a produit dans ce suicide de lui-même qu’on appelle écriture. Et c’est pour ça qu’elle est sacrée, comme un seppuku japonais.
T’es fauché, le boug ?
Les Pinçon-Charlot sont des charlots de la sociologie, JJJ : des pseudos communistes des beaux quartiers…
en tout cas..cette duplicité qu’il font du catéchisme de l’individualisme à l’usage des enculés par les enculeurs syndiqués est parfaitment justus baroz..et fais dtoi un noir sujet
De quel suicide parles-tu, Delaporte ?
comme un seppuku japonais
l’auvergnat c’est souvrir le vente à coup de sauciflard et de beaujo..cest plus long..mais tout haussi certain
ha la détresse de tes questions baroz..dla tnue bordel
Toi, tu l’enfiles par quel bout le sauciflard, le boug ?
De quel suicide parles-tu, Delaporte ?
du suicide de lui même..c’est clair pourtant
« De quel suicide parles-tu, Delaporte ? »
Vous n’avez jamais ressenti cette (petite) mort en écrivant, Jacuzzi ?
« L’écrivain s’abolit dans le texte qu’il écrit. »
S’avilit ?
Il ferait mieux, l’écrivain, de faire des gosses à sa bourgeoise… que l’espèce humaine elle est en danger !
L’écrivain s’abolit dans le texte qu’il écrit
..tu m’étonnes que dlalourde soit pour labolition légale..tout seul il harrive à rien qu’a smarcher sul bas dson bénart
Non, Delaporte, plutôt le contraire !
Vous n’avez jamais ressenti cette (petite) mort en écrivant, Jacuzzi ?
baroz il peut pas havoir tous les défauts non pus dlalourde
Créer ou procréer, il faut choisir.
Il ferait mieux, l’écrivain, de faire des gosses à sa bourgeoise…
havec un gode ceinture ça donne rien..angot l’hencaisse mal..bien qu’havec quelquartifice à poire on doit pourvoir..mais ça frait pouffer
même havec hartice a poire bien profond tu donnerais rien dlalourde..bien que légalment on peut pourvoir..on y vient dlalourde à ta vérité
bouguereau dit: 8 octobre 2017 à 17 h 46 min
tout haussi certain
Et c’est pas prêt de s’harrêter !
@Sergio
Merci
Votre information sur ce qui s’appelait à Naples en 1953 metropolitana est une bonne nouvelle.
Tant de choses sonnaient vrai dans cette saga que j’étais toute déconfite de devoir me résigner à l’évidence qu’elles venaient de quelqu’un qui, ne les avait pas vecues. ce que je m’efforçais de ne ne pas croire, tant je me suis retrouvée à certains moments dans la narratrice
la vieille taupe ressort son gode ceinture,ça radote de plus en plus, quelle déchéance !
Se retrouver !
nalement !
raymond dit: 8 octobre 2017 à 14 h 54 min
Mais oui, vous avez raison, cela est d’ une telle évidence!
lu:
« Ce n’était pas un métro comme nous l’entendons aujourd’hui, mais ça y ressemblait ! Donc la version originale « metropolitana » est juste mais la traduction française « metro » prête toutefois à confusion par rapport à ce que l’on entend par métro aujourd’hui. »
un peu culcul ce post. On a déjà un maitre des horloges et maintenant on a une vieille teigneuse du dico, et inculte, en plus.
C’était quoi le métro à Paris dans les années 50 ?
Questions subsidiaires pour les joueurs
Que veut dire métropolitain ?
Quelles stations cite précisément Elena Ferrante dans ses références della « metropolitana » de Naples, si elle en cite ?
Le Monde des livres -6/10/2017
Spécial Foire du livre de Francfort
7 pages sur :
1- ce que la France et l’Allemagne partagent en littérature
2- ces auteurs que l’Allemagne nous envie
3- Anne Weber sur l’art de traduire l’allemand en français
4- une analyse (qui plairait à W.) Heidegger de part et d’autre du Rhin
5 – les écrivains qui seront présents à la Foire du Livre
ce jour :
-l’amitié européenne (T.Ostermeier et O.Cadiot)
-D’autres vies que les nôtres : table ronde animée par N.Weill
-Les fantômes de l’Europe (autre table ronde animée par J. Birnbaum)
Pour ce billet de Passou et les commentaires, je n’ai jamais lu cet écrivain…
cricri elle prend l’train comme elle aime.
Forcément ça déraille.
Espérons que Passou emmène Jazzi avec lui, ça lui fera une saucisse.
J’espère que » Passou »-reporter nous fera un petit papier sur Goethe. Sa maison a l’air bien. Enfin, bien reconstruite.
Lvdb vous vous trompez de Francfort
Salaire de la Ministre des Armées : 52000 euros mensuel. Choquant, violent. Comme d’habitude au départ on ne le croit pas. Et puis il faut se rendre à l’évidence, ce n’est pas une blague.
C’est en France, début 21ème siècle, Présidence Macron, Gouvernement Philippe.
Non, pas de stations de métro précises, LVDLB dans ce premier volume d’Elena Ferrante. Mais c’est très bien d’avoir éclairci le pb. Grâce soit rendue à D. J’étais embêté car le morceau que j’ai sélectionné commençait justement par la première occurence du mot « métro » :
« C’était une belle journée, venteuse et très claire. Je me sentis aimée, chouchoutée, et à l’affection que j’avais pour lui (son père) vint s’ajouter une admiration croissante. Il connaissait très bien l’espace immense de la ville, il savait où aller prendre le métro, le train et le bus… »
Cela aurait mérité une courte note d’Elsa Damien, qui a réalisé par ailleurs une excellente traduction française.
C’est le bordel, quoi.
Des gens ont voté pour ça.
Mais si.
Ah bon, la foire n’aura pas lieu à Frankfurt am Main , oder ?
« Non, pas de stations de métro précises »
C’est bizarre, aussi, ça.
C’est un peu le quai 9 3/4, quoi, comme d’hab…
…
…c’est, incroyable,!…le chat,est revenu,…
…
…et, comment cela,…en dernières minutes, je sort, faire des courses,!…
…et, en revenant,…presque, devant, ma porte,!…et, des miaulement, infini,….
;;;je lui répond,…et, il sort, de sous les voitures,…
…je le prend dans mes bras,…et déjà, nourris, lait, et viandes, à satiétés,!…
…au début, un peu énerver, par la fain,!…le voilà, déjà calme, et il se repose, en silence, devant, la chaleur, et la lumière,…presque assoupis déjà,…
…
…mais, qu’est ce qu’il faisait, côté rue, puisqu’il est partis côté jardin,…depuis près de 3 semaines,!…et,un peu, beaucoup , plus maigre,…
…vas savoir, si le chat, pouvait parler,!…etc,!…
…il semble satisfait, chez moi,!…et je laisse, l’espace, pour qu’il retourne au jardin,…
…il est sec,…et se plait, en ma compagnie,…etc,!…
…
Giovanni, les chats mâles, quand ils ne sont pas coupés, ont un immense territoire (dix fois plus vaste que celui des femelles). Quand ils commencent à partir, ils vont de plus en loin, et leurs absences sont de plus en longues. Et souvent, un beau jour, on ne le voit plus du tout revenir. J’ai toujours entendu dire que les chats partent.
de plus en plus…
J’ai prié pour vous et votre chat, Giovanni.
Et c’est vrai.
Remerciez Dieu.
Le programme du dimanche 8 octobre est une avant-première se tenant au « Haus am Dom » précédant la Foire du livre (11 au 15 octobre) destinée aux professionnels du livre et de l’édition. L’accès pour les visiteurs privés est seulement permis pendant les deux derniers jours de la foire. Cette année, la France est le pays invité d’honneur.
L’essentiel se sont les saucisses.
Je n’en démords pas.
« Le Monde des livres -6/10/2017
Spécial Foire du livre de Francfort »
Un numéro hautement soporifique, à vous dégoûter de l’Allemagne. Un grand article sur Heidegger, et ce qui nous attend en France. Une offensive post-nazie. Vous allez voir, il y aura des tas de discussions, avec notamment un essai aberrant qui défend Heidegger et ses Carnets noirs. Gallimard à l’avant-garde de cette offensive. Affreux !
LES SAUCISSES, A FRANCFORT !
Le chat de Sant’Angelo s’appelle probablement Ulysse.
LVDB vous avez raison, je vous présente mes excuses, car il y a bien une « maison de Goethe » à Francfort, mais c’est une reconstitution car la vraie a été complétement détruite le 22 mars 1944 (jour anniversaire de la mort de Goethe), lors d’une attaque aérienne .Elle a été reconstruite à l’identique à partir de 1951.
Je pensais donc à la vraie maison de Goethe, qui est à Weimar, et qui, elle, n’a pas été détruite. Tout est resté comme à l’époque de Goethe : le cabinet de travail, la bibliothèque, les pièces d’habitation. c’est impressionnant de voir les centainnes de volumes de sa bibliothèque.
Les saucisses innocentes et sensibles vont se retrouver à Francfort avec autant de joie que les requins bâfrent à Matignon sous la haute autorité souriante du meneur de jeu élyséen, déchainé par une ambition de cour d’école.
Saluons avant de nous quitter car il se fait tard, la remarquable initiative de créer un concours de beauté original : Miss Monde Fauteuil Roulant.
Handicapées, mais sexy. Varsovie, Pologne, le week-end dernier. 24 candidates…
…
…Chaloux,… D,… J.C.,…
…
….merci, à tous, et aux autres, qui n’ont pas que çà,…en têtes,…
…
…mais, il y a , de ce fameux ordre de » Dieux « ,…beaucoup à discourir, sur l’incompétence, de tout ce circuit des dominants abrutis intellos,…et des » bêtes « , asservies,…qui devraient, au moins savoir nous communiquer, leurs raisons d’être, et états d’âmes,…sans passer; par nos scolastiques péremptions d’ordres plastiques,!…
…
…il y a de l’économie,…que du mépris, de la vie,…en général,!…
…
…de vrais, fous, qui nous gouvernent,…l’Utopie, version gouvernants débiles, en toutes choses,!…etc,…
…
…de vrais, » pauvres cons « ,…des vérités, honnêtes,…à ses pratiques usuelles,…
…allez Go,!…
Paul edel à 6H05, inutile de vous confondre en excuses, ça arrive à n’importe qui de confondre Frankfurt am Main et Frankfurt am Oder.
Ce que vous dites de la Goethe Haus à Francfort à peu près identique, en plus succinct, aux infos wikipédia.
Sinon, dans la maison reconstruite de Goethe à Frankfurt am Main, il y a aussi une bibli
Der Rat Goethe trug eine beachtliche Bibliothek zusammen, die ungefähr 2000 Bände aus fast allen Wissensgebieten umfasste. Hier ging er seinen Studien nach und unterrichtete seine Kinder. Auch der Sohn fand in dieser Umgebung viele Anregungen. Ein kleines Fenster in der Brandmauer gibt den Blick über den Hirschgraben frei.
http://www.goethehaus-frankfurt.de/goethehaus/2-etage/bibliothek
L’invitation de la Foire du livre de Francfort à la France : lettre d’un libraire
« Le chat de Sant’Angelo s’appelle probablement Ulysse. »
Et GS’A Pénélope ! Pas étonnant alors qu’il tisse et détisse interminablement sa toile…
on peut lire dans cette explication de « lettre d’un libraire », la remarque suivante:
« La Foire internationale du livre qui s’y tient depuis 1520 est toujours considérée comme le premier marché mondial de l’édition. »
En VO, elle s’appelle Frankfurter Buchmesse.
Elle a commencé à se tenir au moment de la Réforme, et réunissait à l’origine les typographes. Il faut se rappeler que Gutenberg n’habitait pas loin.
« La passion peut être destructrice et féroce quand l’animent le fanatisme et le racisme. La pire de toutes, celle qui a causé le plus de ravages dans l’Histoire, c’est la passion nationaliste », a dénoncé l’écrivain. ( M. Vargas Llosa)
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/10/09/a-barcelone-une-immense-maree-jaune-et-rouge-contre-l-independance_5198053_3214.html#ku9yq15elAaO6ZJr.99
C’est affreux d’en arriver là: énoncer une évidence, pour faire taire ceux qui sont désormais obligés de s’y résoudre.
…
…@,…Jazzi,!…à 07 h 16 min,…
…
…depuis, le temps, des facultés, pour exister,!…comme » Attila « ,…
…
…aux portes du château Saint-Ange, crever sur place, ou déguerpir,…avec ses Huns, du terroir,…nos chefs » alambiqués « ,…sur la dorsale,!…
…
…,nos français d’origine hongroise, aux pouvoir,…le style » mongol « ,…classique,…la pitrerie sur le net,…
…vénitien de mes couilles,!…
…
…à se faire avaler, tout cru, please, of course,!…en pantoufles,!…etc,!…
…un dressage de chient,…Baruzzisques,…
…mépris et en abondances,…etc,!…
…
…après, les juifs, les Huns d’Italie,!…,…suivants,!…
…
L’Affaire du bisou
« Cette condamnation intervient dans un contexte de débat sur les réelles avancées sociétales du pays. Le 1er octobre, le New York Times a publié une tribune de l’écrivain Kamel Daoud encensant le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, comme une «figure de proue du mouvement réformiste dans le monde arabe» après son soutien à la parité sur le droit à l’héritage et au droit des musulmanes à épouser des étrangers d’une autre confession. La louange a provoqué l’ire d’une partie de la société civile tunisienne. »
http://www.liberation.fr/planete/2017/10/08/tunisie-l-affaire-du-bisou-ou-le-baiser-qui-mene-droit-en-prison_1601659
Il y en a qui voudraient s’approprier des appréhensions des classes privilégiées lorsqu’elles se trouvèrent confrontés à l’ascension sociale des classes laborieuses, mais ils n’arriveront jamais à la hauteur des Benjamin Constant, Jacob Burckhardt, Friedrich Nietzsche parce que avec leur culture ils ne peuvent que se tailler un string ; en conséquence, les voilà qu’ils pratiquent l’insulte de cour d’école — melos et logos à la poubelle ? en un sens oui car en dehors d’un amusant bien que limité effet de dérision, incapables de cueillir le provisoire et d’apprécier le singulier, ils n’offrent qu’une synthèse approximative des langages régressifs et quelques « mises en scène de leurs aigreurs ». Je me demande quels échecs ont-ils essuyé, quelles vexations ont-ils subi si, ne sachant s’opposer au monde qu’avec l’arrogance transmise par les modèles les plus frustres parmi ceux que l’ancien monde a produit, ils n’arrivent à voler que raz les pâquerettes ; puis je me dis qu’ils ne sont que des pauvres gens que soumis à la norme imposée par les petits-grands-prêtres de n’importe quel talk-show kulturel, ils n’ont su ou pu réaliser les ambitieux objectifs rêvés pour eux par leurs velléitaires mamans, et je passe à autre chose — déjà heureux que fasciné par la Stupidité dans Toutes Ses Forme, je leur ai dédié un brin de mon temps. Et maintenant, après une nuit de veille à la réception de l’hôtel où j’ai la chance de travailler, au lit !
…
…jouer, la haine, par des tire aux flancs,…du privé corporatiste, sans savoir faire, ni gloires,..
…
…rétablir Rome, sur le monde entier,…
…pas de pitié pour les croissants, ou assimilés,!…Go,!…
…vingts dieux,…
Et maintenant, après une nuit de veille à la réception de l’hôtel -où j’ai la chance de travailler-, au lit !
Ozy faisait pareil.
@Delaporte dit: 8 octobre 2017 à 23 h 52 min
Argumentation irréfutable… Avez-vous lu ce dossier ?
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