Le Nobel à Svetlana Alexievitch, romancière de voix
Il sera difficile, pour ne pas dire impossible, de juger le jugement des membres du comité Nobel de littérature sur l’œuvre de Svetlana Alexandrovna Alexievitch (1948) sans garder à l’esprit le fait qu’elle est traduite dans une vingtaine de langues, qu’elle a été plusieurs fois distinguée (Prix de la paix des libraires allemands, Prix de la paix Eric-Maria Remarque, prix Médicis et Meilleur livre étranger de l’année par le magazine Lire) à commencer par le tout premier, le très officiel prix du Komsomol en 1986 (mais depuis, l’eau a coulé sous les ponts…), mais que certains de ses livres sont toujours interdits par la censure de son propre pays, la Biélorussie. Tous ces lauriers faisaient d’elle une nobélisable depuis plusieurs années. Son nom revenait depuis plusieurs jours. Et tôt ce matin déjà, sans attendre la fumée blanche sur les toits de l’Académie suédoise, la critique Julie Clarini lui consacrait sa chronique dans la « Matinale culturelle » de Vincent Josse sur France-Musique.
On connaît sa méthode qui est devenu un genre à part entière, illustré notamment en France par Jean Hatzfeld à propos du génocide au Rwanda : le recueil de témoignages. Encore fait-il savoir transformer en littérature ce matériau brut, après un fort travail de montage des entretiens où intériorité et réalité finissent par se rejoindre. Sous d’autres plumes, cela resterait à l’état journalistique. Elle a l’art de de la transformation. C’est le cas avec les Cercueils de zinc (1990) à l’écoute des traumatismes des jeunes anciens combattants soviétiques de la guerre d’Afghanistan, La Supplication (1999) sur les suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl et avec La Fin de l’homme rouge (2013) sur le désenchantement et le désarroi de Russes post-soviétiques et sur la nostalgie de l’Ancien régime (on peut l’écouter ici lors de sa mise en fiction sur France-Culture). Une façon d’observer le réel dans sa cruelle vérité, de l’enregistrer et de le restituer qui a frappé en France l’éditeur Christian Bourgois le tout premier, puis Plon et enfin Actes sud, dans les mots de la traductrice du russe Sophie Benech (lisez ici ses libres propos sur Mandelstam et Akhmatova). Des mots qui ne disent pas seulement l’horreur et la souffrance mais la résignation.
« Je ne cherche pas à produire un document mais à sculpter l’image d’une époque. C’est pourquoi je mets entre sept et dix ans pour rédiger chaque livre. J’enregistre des centaines de personnes. Je reviens voir la même per- sonne plusieurs fois. Il faut d’abord, en effet, la libérer de la banalité qu’elle a en elle. Au début, nous avons tous tendance à répéter ce que nous avons lu dans les journaux ou les livres. mais, peu à peu, on va vers le fond de soi-même et on prononce des phrases tirées de notre expérience vivante et singulière. Finalement, sur cinquante ou soixante-dix pages, je ne garde souvent qu’une demi-page, cinq au plus. Bien sûr, je nettoie un peu ce qu’on me dit, je supprime les répétitions. mais je ne stylise pas et je tâche de conserver la langue qu’emploient les gens. Et si l’on a l’impression qu’ils parlent bien, c’est que je guette le moment où ils sont en état de choc, quand ils évoquent la mort ou l’amour. alors leur pensée s’aiguise, ils sont tout entiers mobilisés. Et le résultat est souvent magnifique. N’oublions pas que l’art de la parole est une tradition russe. Les Italiens ont la grande peinture, les Allemands la grande musique. Les Russes, eux, ont développé une culture logocentrique, qui exalte le verbe. Je ne suis donc pas journaliste. Je ne reste pas au niveau de l’information, mais j’explore la vie des gens, ce qu’ils ont compris de l’existence. Je ne fais pas non plus un travail d’historien, car tout commence pour moi à l’endroit même où se termine la tâche de l’historien : que se passe-t-il dans la tête des gens après la bataille de Stalingrad ou après l’explosion de Tchernobyl ? Je n’écris pas l’histoire des faits mais celle des âmes » (1)
Svetlana Alexievitch se veut une éternelle « étonnée de l’humain ». Les gens qu’elle interroge sont souvent des anonymes, des gens de peu, de ceux qui meurent sans laisser de traces, des oubliés de l’Histoire, souvent oubliés des historiens et maltraités par les journalistes – c’est d’ailleurs par lassitude vis à vis de cette pratique qu’elle s’est tournée vers les livres. De Minsk où elle vit à nouveau après quelques exils, elle se fait mémorialiste des sentiments, du vécu et des expériences des autres ; elle constitue ainsi de livre en livre l’archive souterraine et parallèle de la mémoire de ses pays, l’Union soviétique et la Biélorussie, dans ce qu’elle a de plus sombre. Elle a su remarquablement y pointer l’ambivalence de l’homo sovieticus, un idéaliste déformé par l’ordre totalitaire.
« Nous ne devons pas oublier que ceux qui sont responsables du triomphe du mal dans le monde, ce ne sont pas ses exécutants aveugles, mais les esprits clairvoyants qui servent le bien » aime-t-elle à citer en reprenant les mots d’un philosophe. Les origines du mal absolu sont « la » question centrale avec son cortège de violence, de haine, et d’humiliation, mais c’est la guerre qui mène la danse. La guerre irrigue toutes ses pages, même et surtout lorsqu’elle n’est pas nommée (elle y revient dans cet entretien Anne Brunswic dans XXI). Cet agencement de témoignages relève désormais d’un genre littéraire bien cadré, du moins en langue russe : ils appellent cela « le roman de voix ». Qui n’a rien d’un roman choral ou d’une suite de dialogues. Svetlana Aleksievitch n’hésite jamais à payer sa dette à son compatriote Alexandre Adamovitch (1927-1994) co-auteur du Livre du siège de Léningrad. C’est lui, son modèle même si Dostoïevski reste le maître incontesté.
C’est rarement le cas, aussi cela mérite-t-il d’être souligné : les Nobel ont voulu distinguer en cet écrivain non seulement une femme, première originalité, mais l’auteur d’essais et de récits quasi documentaires et non de romans ou de poésie. Même si cette œuvre est bien celle d’un écrivain, il ne s’agit pas de fiction ni d’imagination. Plutôt de non-fiction, mélange de reportage et d’histoire orale. Raison de plus pour y voir aussi une récompense à caractère politique, et un prix décerné au courage davantage qu’au souci de la littérature, comme c’est parfois le cas à Stockholm.
(Photo D.R.)
(1) Extrait d’un entretien entre Svetlana Alexievitch et Michel Eltchaninoff publié en avant-propos du recueil de ses Oeuvres (774 pages, 26 euros, Actes sud) paru dans la collection Thesaurus le… 7 octobre, c’est à dire hier ! On y retrouve La guerre n’a pas un visage de femme, Derniers témoins et La Supplication, traduits par Galia Ackerman, Pierre Lorrain et Anne Coldefy-Faucard)
1 166 Réponses pour Le Nobel à Svetlana Alexievitch, romancière de voix
les nouveaux époux prononceront le « oui » fatidique. C’est alors que j’appuierai sur le déclencheur
mais avant j’aurai éxigé de mon larbin avec son plug bien profond qu’il te fasse la bise de judas..bien qu’au courant de tout et ne pouant résister tu lui mettras une beigne..le oui sera toujours fatidique nonobstant
De retour en ce Salon merveilleux après une sortie habituelle de jogging au cours de laquelle je me réjouissais de l’action de Putin en Syrie, où l’Armée Rouge sang est en train d’écraser le Califat Islamique.
Voila un humaniste, Putin, comme je les aime à l’œuvre ! C.ouillus… c’est pas comme cette fiotte d’Obama, cette lopette de Hollande, cette Walkyrie chauve de Merkel, la nounou des Envahisseurs.
C’est vrai aussi que dans l’Eure – je ne sais pas où c’est d’ailleurs, l’Eure – on n’a pas de pétrole !
justement..les hommes heureux n’ont ni chemise ni histoire..
Et si l’on a l’impression qu’ils parlent bien, c’est que je guette le moment où ils sont en état de choc, quand ils évoquent la mort
Bougboug, ce n’est pas parce que tu mets de la grappa dans ton Nesquick que t’auras le Goncourt comme Popaul ! Il est passé à la grappa, après …
T’as vu comment t’écris quand t’as bu ton p’tit déj ?
les jeunes oublient que les tsars la russie tsariss aussi c’était l’bon temps
« l’Armée Rouge sang est en train d’écraser le Califat Islamique. »
ben non justement ce n’est pas ce qu’il fait
Raison de plus pour y voir aussi une récompense à caractère politique, et un prix décerné au courage davantage qu’au souci de la littérature, comme c’est parfois le cas à Stockholm
souvent la médaille va au plus inconsistant et couronne le plus lâche, intersignes les plus certain du plus grand génie littéraire, comme c’est l’habitude à stockholm
Voila un humaniste, Putin, comme je les aime à l’œuvre ! (JC)
J’opine ! Préférons la graphie « Poutine ». « Putin », je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne.
Je répète : JC aux abois ment tout le temps et bouguereau ne picole pas, que rarement !
Bougboug boit de la grappa
L’Armée Rouge boit de la vodka
Cela explique quelques dommages collatéraux …
En Syrie, les Russes ont fait quelques erreurs mineures pour faire plaisir à Bachar, l’Ottoman Erdogan s’était gourré lui aussi, le raki est responsable de sa politique kurdophobe…
Bah ! ce n’est pas grave : quelques dizaines de milliers de morts civils en plus ou en moins…. c’est la guerre !
@JC….. dit: 9 octobre 2015 à 7 h 59 min
Jc,
il reste les écrivains. Et ça c’est magnifique ! Donnez à chaque évènement sa juste place. Il est d’autres scandales à faire hurler… Au loin les rumeurs, au près : des livres, tant de livres que nous aimons lire et relire et quelques nouveaux, imprévus, parfois apportés par un billet, une émission, un article de journal, le conseil d’un libraire ou d’un ami. Ainsi va ce monde de « bruit et de fureur »…
Comme Cesare Pavese l’écrivait dans « Retour à l’homme » (L’Unità), le 20 mai 1945 :
« Pour eux comme pour nous, la tâche est de découvrir, de célébrer l’homme par-delà toutes les solitudes de l’orgueil et des sens. […] Parler. Les paroles sont notre métier. Nous le disons sans ombre de timidité ou d’ironie. Les paroles sont de tendres choses, intraitables et vivantes, elles sont faites pour les hommes[…] Les décevoir serait les trahir, ce serait aussi trahir notre passé. »
(Enfin… les vôtres ne sont pas toujours de « tendres choses » mais quand vous êtes sérieux, vous savez vous battre comme Drogo, « exilé parmi des inconnus », et « franchir la limite de l’ombre ».
le PQ menteur : il annonce la mort de son chien, puis erreur c’est de son chat… alors que chez Popaul il clame que sa chatte a 18 ans est en forme : MENTEUR !
Je suis sûr que le regretté Roger Hanin aurait été heureux d’interpréter le rôle principal (le mien)
arno klarsfeld s’insurge sur ce procédé de faire parler les morts et de se donner le beau rôle
Quand je vois Poutine,
J’opine
J’opine
Quand j’entends Obama,
C’est plat
C’est plat
Quand je pense à Martine,
Jospine
Jospine !
fais gaffe jicé..micouille tente une approche..retiens ta main
Il y a quelques années, je me suis converti au judaïsme.
En réalité, cette histoire de conversion au judaïsme et de synagogue est de pure invention. En fait, il s’agit d’une bande de cathos intégristes adeptes de la manif pour tous. Alors là, avec des cons de cet acabit, il n’y a pas à hésiter : boum ! Et plutôt deux fois qu’une.
« souci de la littérature »
ou souci de rester cloîtrer entre 4 murs d’une bibliothèque, à écrire en pensant à payer ses dettes à ceux qui ont eu du courage ?!
colère.
Message personnel
« Ici Porquerolles ! Les Varois parlent aux Français. La chatte de ma sœur a 18 ans ! Je répète : la chatte de ma sœur a 18 ans …poum poum poum poum … Le vit de mulet est rentré dans la bôme. Le vit de mulet est rentré dans la bonne ! »
chez Popaul il clame que sa chatte a 18 ans est en forme
La chatte de Josette n’a plus 18 ans, mais elle a conservé à peu près sa forme et j’aime toujours la caresser. Elle, de son côté, aime toujours les visites de Popaul.
boum ! Et plutôt deux fois qu’une
« Même si cette œuvre est bien celle d’un écrivain, il ne s’agit pas de fiction ni d’imagination. »
Autrement dit elle n’a rien inventé. Autrement dit: elle n’a pas rêvé.
Autrement dit comprendre imagination= rêve.
Autrement dit la fiction est du ressort du rêve, ou du cauchemar, hein.
Pas de lecteur de l’écrivain biélorusse.
Pendant ce temps la fondation Annne Frank soigne ses couilles en or, comme Gallimard avec son petit prince à compte suisse.
bouguereau
https://www.youtube.com/watch?v=YcuE54E9col
« Pas de lecteur de l’écrivain biélorusse. »
n’insultez pas l’avenir Phil.
Si on était dynamique, enthousiaste, à la recherche de l’imaginaire, du récit fou, de la création littéraire imparable…. on se mettrait à quelques uns, ici même, pour pondre un ouvrage collectif*.
Un erdéelien qui commence à écrire les N premières lignes, un second qui enchaine, etc etc… on développe… puis on fait du charme à Passou, il nous pistonne chez ses potes. On édite le chef d’œuvre !
Au mieux, on termine dans le Blavier des « Fous Littéraires », au pire on a un Prix Goncourt ou Michelin …. uhuhu !
(* vous imaginez Sant’Angelo prenant le relais….?)
Ni les 2 millions de lecteurs russes.
C’est bizzare Phil, que Renaud Camus ne se soit pas manifesté pour féliciter la lauréate.
Lui qui voue une certaine admiration aux -nouveaux- riches visiteurs de la France, comme d’ailleurs ses semblables penseurs amis politiques nazionalistes, qui ont trouvé en Russie de quoi cautionner leurs thèses, pour les propager.
Camus n’est plus guère accessible aux lecteurs moyens que nous sommes, lavie. il faut faire effort pour le trouver dans la magma ouebien dépapiérisé.
suite à votre saillie, suis allé voir la dernière entrée publique de son journal.
Rien sur les Russes :
« Une petite ville comme Annecy, par exemple, déjà si éprouvante par la densité humaine presque indienne qu’instaure dans ses quartiers anciens le tourisme de masse, suffit à imposer l’horreur zonarde dans un rayon de trente kilomètres autour d’elle. »
Enquête sur l’amitié complice liant Alain Finkielkraut à Renaud Camus.
On se passera aisément de s’informer de la nature des liens d’amitié entre ces deux vieux guignols réactionnaires et passéistes.
A la maison de retraite académique où la marquise de Finkielkraut a pris pension depuis quelque temps débarque à son tour le baron Camurenault.
La marquise de Finkielraut — Aaah ! mon vieux complice !
Le baron Camurenault — Hélas! la peau de mes couilles aussi, marquise !
SCOOP
Le Prix Nobel de la Paix est attribué à Влади́мир Влади́мирович Пу́тин, enfin récompensé !
Phil, oui, merci de rappeler qu’il y a dans le coin quelques zonards comme Camus qui préfèrent la discrétion d’un hébergement dans un discret chalet de montagne.
Nous rappelons à notre ami de toujours, l’inénarrable conteur de blagues Zoon, que le pastis ne se boit jamais PUR !
JC….. dit: 9 octobre 2015 à 9 h 42 min
à quelques uns, ici même, pour pondre un ouvrage collectif.
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
– A vous.
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur. (ueda)
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13… (JC)
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou ! »
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
– Saligaud! rétorqua-t-elle en lui tirant une baffe. Car elle était borgne.
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit-elle à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
Celui-ci, Yuta Tabuse avait été, jadis, basketteur international. Il l’avait connu dans un Championnat du monde auquel il participait. Night Club et saké. Lumières complices. Il était immédiatement tombé amoureux de ce magnifique colosse russe aux formes puissantes, aux mains gigantesques. Naïf, il espérait qu’à l’horizontale son mètre soixante quinze et ses 75 kilos suffiraient ….
mirabelle dit: 9 octobre 2015 à 11 h 02 min
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
-Enlève tes pattes de là!
STOP ! Collecte !
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit-elle à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
Comment peut-on être japonais, pensait in petto Uljana, et avoir des mains pareilles ? C’étaient effectivement des mains d’étrangleur, larges, carrées, aux phalanges poilues, qui détonaient étrangement du petit corps fluet qui les abritaient. Et, tout en se penchant vers son amant trompé, Uljana se souvenait des frissons d’antan – c’étaient bien à cause de ces mains-là qu’elle avait succombé aux demandes pressantes de Mitsu.
Il lui semblait pourtant, pendant que le petit homme se dressait sur la pointe des pieds pour tenter de lui embrasser le cou, que « quelque chose » clochait dans ces mains-là… Mais oui ! Elle n’avait jamais fait attention, mais des marques enserraient comme des bracelets les bras de Mitsu !
Elle écarquilla ses yeux : ce n’étaient pas ses vraies mains !!!
Mais alors… Qui étaient le vrai propriétaire des mains qui l’avaient caressée ???
(clopine, qui n’a jamais sur résister à un jeu. Bon, j’ai corrigé la faute (manquait un « elle »), pour ajouter à la compréhension de l’oeuvre.
Faudrait corriger les miennes (de fautes).
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit-elle à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
– Saligaud! rétorqua-t-elle en lui tirant une baffe. Car elle était borgne. Enlève tes pattes de là…
Le vieux, Yuta Tabuse, avait été, jadis, basketteur international. Il l’avait connu dans un Championnat du monde auquel il participait. Night Club et saké, lumières complices. Il était immédiatement tombé amoureux de ce magnifique colosse russe aux formes puissantes, aux mains gigantesques, aux fesses immenses.
Naïf, il espérait qu’à l’horizontale son mètre soixante quinze et ses 75 kilos suffiraient ….
…. ça part bien mais faut que j’y aille….
A deux mains !
JC, si vous voulez poursuivre, va falloir s’organiser et établir des règles. Sinon, on va s’y perdre. Donc, distribuer des « tours » pour éviter qu’on ne se marche sur les pieds…
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit-elle à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
– Saligaud! rétorqua-t-elle en lui tirant une baffe. Car elle était borgne. Enlève tes pattes de là…
Le vieux, Yuta Tabuse, avait été, jadis, basketteur international. Il l’avait connu dans un Championnat du monde auquel il participait. Night Club et saké, lumières complices. Il était immédiatement tombé amoureux de ce magnifique colosse russe aux formes puissantes, aux mains gigantesques, aux fesses immenses.
Naïf, il espérait qu’à l’horizontale son mètre soixante quinze et ses 75 kilos suffiraient ….
Comment peut-on être japonais, pensait in petto Uljana, et avoir des mains pareilles ? C’étaient effectivement des mains d’étrangleur, larges, carrées, aux phalanges poilues, qui détonaient étrangement du petit corps fluet qui les abritaient. Et, tout en se penchant vers son amant trompé, Uljana se souvenait des frissons d’antan – c’étaient bien à cause de ces mains-là qu’elle avait succombé aux demandes pressantes de Mitsu.
Il lui semblait pourtant, pendant que le petit homme se dressait sur la pointe des pieds pour tenter de lui embrasser le cou, que « quelque chose » clochait dans ces mains-là… Mais oui ! Elle n’avait jamais fait attention, mais des marques enserraient comme des bracelets les bras de Mitsu !
Elle écarquilla ses yeux : ce n’étaient pas ses vraies mains !!!
Mais alors… Qui étaient le vrai propriétaire des mains qui l’avaient caressée ???
« Orlac ? dit-elle. Pauvre buse, tu t’es encore gourré de roman. T’as rien à faire ici. »
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit-elle à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
– Saligaud! rétorqua-t-elle en lui tirant une baffe. Car elle était borgne. Enlève tes pattes de là…
Le vieux, Yuta Tabuse, avait été, jadis, basketteur international. Il l’avait connu dans un Championnat du monde auquel il participait. Night Club et saké, lumières complices. Il était immédiatement tombé amoureux de ce magnifique colosse russe aux formes puissantes, aux mains gigantesques, aux fesses immenses.
Naïf, il espérait qu’à l’horizontale son mètre soixante quinze et ses 75 kilos suffiraient ….
Comment peut-on être japonais, pensait in petto Uljana, et avoir des mains pareilles ? C’étaient effectivement des mains d’étrangleur, larges, carrées, aux phalanges poilues, qui détonaient étrangement du petit corps fluet qui les abritaient. Et, tout en se penchant vers son amant trompé, Uljana se souvenait des frissons d’antan – c’étaient bien à cause de ces mains-là qu’elle avait succombé aux demandes pressantes de Mitsu.
Il lui semblait pourtant, pendant que le petit homme se dressait sur la pointe des pieds pour tenter de lui embrasser le cou, que « quelque chose » clochait dans ces mains-là… Mais oui ! Elle n’avait jamais fait attention, mais des marques enserraient comme des bracelets les bras de Mitsu !
Elle écarquilla ses yeux : ce n’étaient pas ses vraies mains !!!
Mais alors… Qui étaient le vrai propriétaire des mains qui l’avaient caressée ???
« Orlac ? dit-elle. Pauvre buse, tu t’es encore gourré de roman. T’as rien à faire ici.
– Ni Orlac ni Mitsu, ma grosse. Je suis Yuta. J’essayai de faire un dunk. Ta mandale est un passage en force, j’ai droit à un lancer franc. Alors prépare-toi, je vais te réciter du Finkielkraut en japonais, ça va décoiffer.
Devant ce dégueulis, cette sanie sur mézigues et les toujours miens, émanant de la poubelle putride, du lingot d’ordures ménagères en route pour l’usine de retraîtement de St Ouen, nommé, je crois Alba, j’avais duex solutions:
-ou écraser, et me replonger dans mon silence et ma vie après mon opération cardiaque
-ou lui enfoncer spn pus dans la gargante.
J’ai hésité. Je ne me sens plus , au fond ,l’esprit dans la RDL. Mais là ,il s’agit de diffamation publique, de calomnie, de tirs sur u e ambulance, bref de tout ce qu’un homme policé, un vrai, ne saurait commettre. Cet Alba, Widergänger est , je l’avais un jour ainis nommé un Alabatroce. A-t-on jamais vu pareil gnôme haineux, baveux, frustré, méchant, cruel, con, abject, une sorte de défécation animée??? Pour ma part jamais. Même moi, je fus moins con lorsque je flatulais ici.
Connard…exposer à tous les vents (c’est le cacas de le dire) mes problèmes familiaux, et oser étiqueter mon ex femme que tu ne connais pas de nazie, faut le faire. Pauvre dégénéré, a-je osé , moi, un seul jour un seul, dauber sur on amie peintre décédée. Il y eut pourtant aussi des choses à dire. Mas moi, ducon, je SAIS PARFAITEMENT SÉPARER LA SPHÈRE PUBLIQUE DU MONDE PRIVÉ. Hein, ma grosse pomme moustagachue et couperosée, t’en penses quoi? Je pourrais porter plainte pour diffamation, calomnie publiques et aussi dire à Assouline qu’au lieu de censurer certains posts, il n’a pa s à laisser passer des merdes toxiques im^pliquant l’intimit » des bloggueurs. Tu te crois dans le « Truman Show », hein, Alba , seulement avec toi , le Truman Show capote. C’est bien normal. Tu n’estqu’un looser aigri.
Je te laisse à ton cube de déchèts comprimés comme un César. Petite anecdote, pour finir: j’ai été opéré d’un valve tricuspide et j’ai acepté qu’on utilisât une valve de porc. Alors tu vois, chuis un sacré ont’smittt. Maintenant, tu ma laisses à ma tristesse, à mon désespoir que je désir partager seul. Je me suis retiré ud monde pour éviter de fréquenter de la putasserie poisseuse comme toi, qui ose faire commerce avec la Shoah, tel un Lanzmann de vingtième ordre.
je te chie au cul.
je ne regrette que Lazarillo.
Elle écarquilla ses yeux : ce n’étaient pas ses vraies mains !!!
……….
Mais alors… Qui étaient le vrai propriétaire des mains qui l’avaient caressée ???
« Orlac ? dit-elle. Pauvre buse, tu t’es encore gourré de roman. T’as rien à faire ici.
– Ni Orlac ni Mitsu, ma grosse. Je suis Yuta. J’essayai de faire un dunk. Ta mandale est un passage en force, j’ai droit à un lancer franc. Alors prépare-toi, je vais te réciter du Finkielkraut en japonais, ça va décoiffer.
– Aucune chance, mon gaillard, j’ai une indéfrisable. Et je ne joue plus, c’est la dernière fois que tu me mets la main au panier. »
Le vieux Yuta commençait à regretter d’avoir accepté cette mission des services secrets japonais.
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit-elle à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
– Saligaud! rétorqua-t-elle en lui tirant une baffe. Car elle était borgne. Enlève tes pattes de là…
Le vieux, Yuta Tabuse, avait été, jadis, basketteur international. Il l’avait connu dans un Championnat du monde auquel il participait. Night Club et saké, lumières complices. Il était immédiatement tombé amoureux de ce magnifique colosse russe aux formes puissantes, aux mains gigantesques, aux fesses immenses.
Naïf, il espérait qu’à l’horizontale son mètre soixante quinze et ses 75 kilos suffiraient ….
Comment peut-on être japonais, pensait in petto Uljana, et avoir des mains pareilles ? C’étaient effectivement des mains d’étrangleur, larges, carrées, aux phalanges poilues, qui détonaient étrangement du petit corps fluet qui les abritaient. Et, tout en se penchant vers son amant trompé, Uljana se souvenait des frissons d’antan – c’étaient bien à cause de ces mains-là qu’elle avait succombé aux demandes pressantes de Mitsu.
Il lui semblait pourtant, pendant que le petit homme se dressait sur la pointe des pieds pour tenter de lui embrasser le cou, que « quelque chose » clochait dans ces mains-là… Mais oui ! Elle n’avait jamais fait attention, mais des marques enserraient comme des bracelets les bras de Yuta !
Elle écarquilla ses yeux : ce n’étaient pas ses « vraies » mains !!!
Mais alors… Qui était le « vra »i propriétaire des mains qui l’avaient caressée ???
« Orlac ? dit-elle. Pauvre buse, tu t’es encore gouré de roman. T’as rien à faire ici.
– Pas Orlac , ma grosse. Je suis Yuta. J’essayai de faire un dunk. Ta mandale est un passage en force, j’ai droit à un lancer franc. Alors prépare-toi, je vais te réciter du Finkielkraut en japonais, ça va décoiffer.
Uljana se sentit rougir. Comment Yuta avait-il deviné qu’Alain Finkielkraut était son amant ? Ils avaient pourtant respecté toutes les règles de sécurité, et ne se rencontraient que dans un petit hôtel, près du restaurant Drouot, et uniquement les jours de remise du prix Goncourt, pour éviter les journalistes, si occupés à monter sur les tables pour photographier le nouveau lauréat, ce jour-là.
Qui donc avait cafté ?
Un seul nom lui semplait possible. Un certain Pierre Assouline, un drôle de petit bonhomme rencontré…
(j’ai un peu corrigé, pour la vraisemblance) Clo
>>>>>>
– Aucune chance, mon gaillard, j’ai une indéfrisable. Et je ne joue plus, c’est la dernière fois que tu me mets la main au panier. »
Le vieux Yuta commençait à regretter d’avoir accepté cette mission des services secrets japonais. Non seulement Uljana était borgne, ce qui tempérait ses ardeurs, mais encore elle venait de fêter ses quatre-vingts ans à la fin des vendanges. Et il se demandait si les quelques confidences qu’il pourrait lui arracher sur son lointain passé au KGB seraient vraiment utiles au projet de débarquement nippon en Syrie.
petite correction géographique, que ça part dans la mauvaise direction : le restaurant Drouant n’est pas dans le IXème.
recollons les morceaux :
– Pas Orlac , ma grosse. Je suis Yuta. J’essayai de faire un dunk. Ta mandale est un passage en force, j’ai droit à un lancer franc. Alors prépare-toi, je vais te réciter du Finkielkraut en japonais, ça va décoiffer.
Uljana se sentit rougir. Comment Yuta avait-il deviné qu’Alain Finkielkraut était son amant ? Ils avaient pourtant respecté toutes les règles de sécurité, et ne se rencontraient que dans un petit hôtel, près du restaurant Drouot, et uniquement les jours de remise du prix Goncourt, pour éviter les journalistes, si occupés à monter sur les tables pour photographier le nouveau lauréat, ce jour-là.
Qui donc avait cafté ?
Un seul nom lui semplait possible. Un certain Pierre Assouline, un drôle de petit bonhomme rencontré…
– Aucune chance, mon gaillard, dit-elle pour masquer son trouble, j’ai une indéfrisable. Et je ne joue plus, c’est la dernière fois que tu me mets la main au panier. »
Le vieux Yuta commençait à regretter d’avoir accepté cette mission des services secrets japonais. Non seulement Uljana était borgne, ce qui tempérait ses ardeurs, mais encore elle venait de fêter ses quatre-vingts ans à la fin des vendanges. Et il se demandait si les quelques confidences qu’il pourrait lui arracher sur son lointain passé au KGB seraient vraiment utiles au projet de débarquement nippon en Syrie.
mirabelle dit: 9 octobre 2015 à 11 h 02 min
Chapitre 1
Il leva vers elle des mains d’étrangleur.
Sa maitresse infidèle, Uljana Semjonova, fut prise d’un fou-rire, le toisant de haut. Ancienne basketteuse de l’équipe nationale d’URSS, elle mesurait 2 mètres 13…
« Et regarde-moi dans les yeux quand je te parle ! » dit à son vieil amant japonais, dont la tête arrivait à peine à la hauteur de sa panse.
« Mais enfin, Uljana, protesta le petit homme, c’est justement pour voir tes jolis yeux de plus près que je me pendais à tout cou !
-Enlève tes pattes de là!
– Où sont-elles ? demanda-t-il, troublé.
– Cherche !
Le petit nippon retrouva enfin ses mains monstrueuses, perdues dans les voluptueux replis de la géante, et les fourra dans d’immenses poches, spécialement prévues à cet effet par son tailleur, un grand turc aux mains minuscules mais habiles.
-Mon Uljana, murmura le japonais.
-C’est le bien le moment ! Rugit l’immense sportive. Que fait-on du cadavre ? Continua-t-elle, visiblement agacée par son petit amant.
-Du… cadavre ? demanda le nippon sans paraître comprendre. Quel cadavre ? Mon Uljana.
– Celui du poulet! Rugit l’ogresse.
– Mais, faisons le cuire, mon amour, répondit le nain soudain apaisé.
– Avec quoi ?
– Mais c’est samedi, mon ange. Avec des frites. Comme à l’Elysée. Tu sais bien que je règle mon régime alimentaire sur celui du président de la république. C’est ma façon de soutenir son action. – – Alors, corvée de patates.
Alors, l’amant sentit fondre sur celui un océan de bonheur. Quelle merveille que son existence ! C’était samedi, il fallait éplucher des pommes de terre. Il n’y avait rien à penser.
Il s’empara du couteau économe comme il aurait serré la main d’un ami.
Un seul nom lui semplait possible. Un certain Pierre Assouline, un drôle de petit bonhomme rencontré… à Knokke-le-Zout, un jour de foire aux harengs.
charnière avec Chaloux :
Un seul nom lui semplait possible. Un certain Pierre Assouline, un drôle de petit bonhomme rencontré…
– Aucune chance, mon gaillard, dit-elle pour masquer son trouble, j’ai une indéfrisable. Et je ne joue plus, c’est la dernière fois que tu me mets la main au panier. »
Le vieux Yuta commençait à regretter d’avoir accepté cette mission des services secrets japonais. Non seulement Uljana était borgne, ce qui tempérait ses ardeurs, mais encore elle venait de fêter ses quatre-vingts ans à la fin des vendanges. Et il se demandait si les quelques confidences qu’il pourrait lui arracher sur son lointain passé au KGB seraient vraiment utiles au projet de débarquement nippon en Syrie.
« Et enlève tes pattes de là, répéta-t-elle.
– Où sont-elles ? demanda-t-il, troublé.
– Cherche !
Le petit nippon retrouva enfin ses mains monstrueuses… etc
. . . .
Il s’empara du couteau économe comme il aurait serré la main d’un ami. Un laguiole ! se dit-il. Le même qu’à Knokke-le-Zout. Toshiro avait donc vu juste. Elle trempait dans l’affaire jusqu’au cou. Et cet Assouline émargeait à la CIA.
Le petit nippon retrouva enfin ses mains monstrueuses. Si Uljana avait été séduite par ses mains d’étrangleur à lui, a contrario, c’étaient les larges battoirs de la géante russe qui avaient attiré son attention, la première fois qu’il l’avait vu (faut dire qu’il n’avait guère pu voir au-dessus, même en se redressant…)
Yuta soupira. Sa missoin était implaclable : il devait tuer Uljana, car elle en savait beaucoup trop sur les dessous du Goncourt !
Uljana entendit ce soupir et frémit intérieurement. Mais comment Yuta savait-il, que c’était le jour des Goncourt, et ce jour-là seulement, qu’elle rencontrait Alain ? Une fois par an, mais quelles fois ! L’hôtel était si près de Drouot que les amants entendaient la rumeur qui courait dans la foule… Et suivant le nom qui sortait, Finkie redoublait d’ardeur auprès d’elle… L’année de Houellebecq, tenez : ça avait été une sorte d’extase partagée entre les amants… (clo)
vuE. Y’a d’la coquille dans l’air…
ne sorte d’extase entre les amants…
Yuta s’empara du couteau économe comme il aurait serré la main d’un ami. Un laguiole ! se dit-il. Le même qu’à Knokke-le-Zout. Toshiro avait donc vu juste. Elle trempait dans l’affaire jusqu’au cou. Et cet Assouline émargeait à la CIA.
A moins que ce ne soit au Mossad. Depuis que le Goncourt existait, et que les services secrets du monde entier s’en servait comme planque, plaque tournante du renseignement, c’était surtout Israël qui se servait le plus de cette commode couverture.
Et Pierre Assouline, le japonais en était sûr, avait été contacté par les services secrets israëliens.
C’était comme cela qu’il avait su, pour Finkie et Uljana, grâce au mossad. Depuis, Assouline faisait ainsi chanter la Russe….(clo)
qui pourtant, chantait faux…
(va falloir remettre un peu d’ordre)
Le Goncourt n’était qu’une façade, bien sûr. Il suffisait de déchiffrer le code : les noms des vingt derniers lauréats mis bout à bout et remixés selon la grille 27BZ33Xw8. Le véritable enjeu était le pétrole.
Suite
L’amant sentit fondre sur lui un océan de bonheur. Quelle merveille que son existence ! C’était samedi, il fallait éplucher des pommes de terre. Il n’y avait rien à penser.
Il s’empara du couteau économe comme il aurait serré la main d’un ami.
Tout de même. Ce bonheur du samedi, cet empyrée conjugal (ménage, courses, lessive), cette longue journée aux effluves d’Ajax, parfum citron, son préféré, il ne fallait pas la laisser passer sans tenter de glaner quelques informations. Yuta avait rendez-vous lundi matin à 9H00, à l’ANPE d’Argenteuil, avec un faux conseiller Pole-Emploi, qui n’était autre que son chef de service. Et il n’avait toujours rien. Son antique maîtresse était plus retorse qu’il n’aurait cru. La veille au soir, deux bouteilles de Vodka n’étaient pas venues à bout de sa vigilance. Mis à part quelques (censuré) qui avait contraint le nippon, particulièrement délicat du côté de l’appendice nasal, à ouvrir toutes les fenêtres par moins douze, elle n’avait rien lâché.
– Uljana, ma colombe, tenta le japonais.
– Épluche ! Brama la vieille.
qui pourtant, chantait faux…
Finkielkraut, Houellebecq, Todd, Badiou, Onfray, Sternhell, Gauchet : l’ensemble de la filière française, tous les amants d’Uljana, tous étaient impliqués !
Pendant que Yuta avançait vers elle, la Russe, prenant à deux mains son courage et un volume de la pléiade tout neuf qui traînait sur un tabouret, un assez mince volume puisqu’il s’agissait des oeuvres de D’ormesson , se protégea du coup fatal. Et elle contrattaqua !
Ce fut épouvantable…
Zut, ça se bouscule. Faudrait remettre de l’ordre, Chaloux…
On dirait que perso, je reviens à 12:45 prendre la suite.
(suite parmi d’autres ) Verte de jalousie sous son sublime bronzage de fée dansante, daafdaaf sortit de ses gongs en tongs et hurlements stridents qui firent tomber son gracieux sonotone en un vol plané léger sur la moumoute en brosse de ueda tout en tatouages illustrant les membres de son parti préféré
Clopine, je crois qu’il serait plus simple que chacun propose sa version.
On devrait d’ailleurs faire ça de temps en temps. Se donner un sujet de nouvelle et la poster.
Bon, c’est raté.
La solution aurait été de passer le relai : à Chaloux, à Clopine, à JC, etc.
Mais on n’est pas pendu toute la journée devant le blog.
Y aurait encore moyen de faire un récapitulatif à peu près cohérent, mais c’est du boulot. Et, le seul commentateur assidu étant le petit troll à pseudos multiples, impossible de lui faire confiance, il va nous rajouter des uedada, des marinades, des bénito de pq, etc.
Chaloux, je suis obligé de vous reprendre, ce que je n’aime pas parce que vous êtes mon aîné : vous n’êtes pas ici pour vous amuser comme un gamin, mais pour émettre des commentaires pertinents sur le billet.
C’est le temps du Dexter retrouvé !
Et le jeu-concours des ennemis réunis, Clopine faisant ami-ami avec JC !!!
Que l’on ne compte pas sur moi pour participer à cette partouze pseudo littéraire…
Chaloux dit: 9 octobre 2015 à 12 h 26 min
Non, ça va pas, là, Chaloux se raccroche à son propre texte sans lire celui des autres. Le principe du collectif tombe par terre.
Attila dit: 9 octobre 2015 à 12 h 53 min
Que l’on ne compte pas sur moi pour participer
Personne n’avait compté sur toi, mon petit gars.
« le seul commentateur assidu étant le petit troll à pseudos multiples, »
vlà idéé fixe qui recommence
Ils se ruèrent sur le sandwitch beurré préparé par Madame Maigret tandis que jc, qui passait avec ses chèvres en sifflotant échangea un clin d’œil lubrique, significatif, avec D posté sur le fumier tandis qu’Hamlet fulminait contre Friedrich
Soja inspiré, désolé, ça ne « colle » pas trop avec le reste…
Bon, je reprends après Chaloux :
« Epluche ! » Brama la Vieille, en tapant sur la tête de Yuta à coups redoublés.. « Epluche bien tous les textes, avant d’aller voir le mec de Pôle-Emploi, enfin, quand je dis le mec de Pôle-Emploi, je devrais plutôt dire ton patron, le sinistre Yamamot Kadératé, pas vrai ! ?
Yuta avait laissé tomber son épluche-légumes depuis longtemps, et il tentait, mettant devant sa figure ses mains d’étrangleur, de se protéger comme il le pouvait. Mais las ! Sa maîtresse, armée de tous les mots du D’Ormesson, l’attaquait de toutes part… Et la jolie couverture blanche de la Pléïade, malgré le plastique qui la recouvrait, se teintait de sang, en un rond gigantesque qui allait s’élargissant.
On aurait dit le drapeau japonais…
Bientôt Yuta se mit à genoux et implora Uljana : « laisse-moi la vie sauve, et je te jure, je n’enverrai pas la photo de tes amants au Mossad », lui proposa t-il.
« Trop tard », hurla la géante déchaînée et dont les seins se soulevaient et retombaient au rythme des coups du D’Ormesson sur la tête chauve de Yuta, « trop tard ! »
Et elle attrapa le magazine littéraire qui attendait, sur la table basse, son transfert habituel dans les toilettes (pour le lire confortablement, Uljana avait aménagé une petite tablette bien pratique au-dessus de la lunette).
Et c’était vrai :
Le portrait-robot des amants d’Uljana s’étalait sur la couverture du magazine.
« Encore un coup d’Assouline ! » Cria, hors d’elle, Uljana.
C’est alors que la porte de l’appartement s’ouvrit.
Un homme âgé, au nez carré, aux épaules un peu affaissées mais portant toujours beau, entra dans la pièce.
« Non, dit-il posément. « ce n’est pas la faute d’Assouline, pour une fois. C’est moi qui ait communiqué les portraits-robots au Mossad. »
« Vous ? » s’exclamèrent ensemble et d’une même voix les amants maudits, unis dans l’effarement…
« Oui. Moi »
Et celui qui s’appelait Paul Edel, ou Opitz, ou encore un de ses multiples pseudos, s’avança, l’air sombre, dans la pièce….
oh, Attila, un bon mouvement, quoi. C’est juste histoire de rigoler un peu… Vous ne riez pas assez, Attila, je le sais et je le déplore. Secouez donc cette mélancolie qui vous nimbe, et venez taquiner un peu cette bonne vieille Rdl…
« Le prix Nobel de la paix attribué au dialogue national tunisien » (Lemonde)
Le pape a fait blanchir et amidonner sa robe poureurien
un sesque symbol doit rester un rebel
« L’amant sentit fondre sur lui un océan de bonheur. »
Et voilà que l’ on nous refait le coup de la femme fontaine. Fabrice Luchini est autrement excellent sur ce coup là!
Que Clopine arrête le massacre, le vrai Delly, c’est vraiment autre chose.
baroz a raison..avec toi c’est ou des histoires de levrette ou bien les grosse pognes d’ed gein de lassouline..dabord une vague ressemblance ça suffit pas..faut être honnête
Toupi Superbeau, ce n’est pas de moi. Moi, j’ai juste parlé d’extase sexuelle. C’est quand même plus retenu.
Ce bonheur du samedi, cet empyrée conjugal (ménage, courses, lessive), cette longue journée aux effluves d’Ajax, parfum citron, son préféré
..et lui..il se mord la lève pour pas hurler son gout dl’odeur dla vazeline tiède..et tous les jours que dieu fait
les amants maudits, unis
Ça ne va vraiment pas comme dirait l’ ex conseiller littéraire de chez Gallimard, Richard Millet.
Les amants maudits, justement, ne sont jamais unis…
… Et une extase sexuelle avec Kinkielkraut, c’est quand même plus modeste qu’avec Rocco Siffredi, à mon sens.
Les miens, si, Toupi. tant pis. Pour vous.
Personne n’avait compté sur toi, mon petit gars
et bien moi si..le gout des grosses mains d’étrangleur
ya qula taille de la teub qui compte maintnant..bonne clopine ne recule devant rien
extase, extase, ai-je une gueule d’ extase?!
Les miens, si, Toupi. tant pis. Pour vous.
Unis pour la baise mais c’est juste après que tout se complique!
baroz faisant ses griffes de la nuit sur mon larbin dans un caveau d’écrivain célébe..
… Et une extase sexuelle
Vous avez fait le voyage à Rome, vous, c’ est pas pour rien?
13h13
Ben oui, quoi, Attila, petit grognon va, fais risette à Tata Clopine.
Hein, quoi, elle pique trop ?
ah là là, tenez : vous ne me méritez pas !
(et vous ne saurez pas la fin de l’histoire, pourtant, y’avait du rebondissement…Tant pis pour vous. Z’êtes trop insuportables.)
venez taquiner un peu cette bonne vieille Rdl…
Vieilles carpes et peu frétillants goujons.
@ 13h06
Il avait l’air débraillé et soutenait lea salame qui saignait du nez.ils sortaient de chez darty et avaient acheté un chauffe biberon
Clopine agacée qui se tire ailleurs (sénégalais)
Seine et galets cela fait plus couleur locale pour croquer son sandwich.
y’a pas photo, l’effet grappa est puissant
» jasmin dont un air doux s’exhale, fleurs que les vents n’ont pu ternir, Aminte en blancheur vous égale, et vous m’en faites souvenir. »
http://www.de-tunisie-et-ailleurs.com/jasmin.htm
Extrait d’un entretien avec Svetlana pour le nouvel obs:
» A la fin des années 1970, je suis allée, avec un groupe d’écrivains soviétiques, en RDA. A l’arrivée à Berlin-Est, nos hôtes nous ont proposé des glaces pour nous rafraîchir. Tout le groupe s’est alors retourné vers notre accompagnateur, un officier du KGB, pour savoir que répondre. Celui-ci a hoché la tête et tous ont dit «oui». «Quel parfum ?», ont demandé les Allemands. «Banane», a répondu le KGBiste. Alors tous les écrivains ont dit «banane».
C’était cela aussi la civilisation soviétique, un mélange de prison et de jardin d’enfants. C’était un monde fascinant où régnait une oppression brutale mais où presque tout le monde vivait de la même façon et où parler d’argent était indécent. Un monde pauvre, violent, mais dans lequel on pouvait parler pendant des heures de littérature. Un monde qui, dans les années 1990, s’est effondré du jour au lendemain. »
– Épluche ! Brama la vieille.
Il ne fallut qu’un instant à Yuta pour remarquer, en se tournant presque imperceptiblement, quels regards son Uljana lui lançait, à la fois scrutateurs et méfiants. Les yeux bleus aux prunelles démesurément dilatées étaient devenus noir jais. Que se passait-il dans cette grosse tête dont le chignon, qui n’appartenait pas tout entier à celle qui le portait, commençait légèrement à s’affaisser ?
D’urgence, il fallait l’apaiser, provoquer, dans cet esprit aux aguets, un court-circuit propre à le distraire de ce qui semblait bien être un commencement de soupçon, faire diversion, comme on essaie de détourner un chat de sa proie.
Il le fallait, il le fallait bien. Il n’y avait pas d’autre solution. Yuta réprima un soupir, fit silence en lui-même, prit un grand souffle, et commença.
– Ce soir… dit-il
– Oui, répondit Uljana, soudain apaisée, quoique légèrement haletante, comme branchée sur la voix de son compagnon qui se faisait à la fois plus grave plus douce.
L’évocation du soir, les suites qu’elle suppose, l’apaisaient toujours.
– A l’heure où noircit la campagne.
– Oh, fit-elle.
– Nous nous coucherons de bonne heure…
Au mot « coucherons », Uljana hoqueta bruyamment.
« A peine notre bougie éteinte… » ajouta-t-il.
-« Ah », fit-elle, hoquetant plus violemment encore, arc-boutée contre le four où elle venait d’enfourner le poulet.
Il fallait profiter de son trouble.
– Tes pieds dans mes mains fraternelles…
Uljana voulut répéter le mot « pieds… » Mais s’en trouvant incapable, à bout de souffle, bouleversée étouffa un râle sauvage en se mordant les doigts. Alors, Yuta, d’un geste lent et ample, magicien, mystérieux, écartant une cape invisible, les yeux fixés sur l’infini, jeta une pomme de terre dans la passoire, comme s’il se fût agi du rituel d’une cérémonie familière aux deux amants, d’un sacrement célébré pour eux seuls.
L’énorme main levée du minuscule nippon, pareille à celle d’un dieu, le jaune légume fendant l’air, semblable à quelque comète annonçant des prodiges, semblaient transfigurés dans le regard de la géante.
« Tes pieds dans mes mains fraternelles », murmura-t-il encore, avec une mâle suavité, une tendresse insinuante, une pénétrante douceur, surveillant la vieille femme du coin de l’œil : il ne fallait tout de même pas qu’elle en meure.
Uljana était maintenant tendue dans une attente que rien ne semblait pouvoir briser. Mais le nippon, comme un équilibriste presque tenté par l’appel du vide s’arrête un instant au milieu de la corde raide, ne sachant pas encore si se trouvent au bout de son exploit le triomphe ou la mort, demeurait quoi.
Il fallait en sortir : il dit les premiers qui lui vinrent :
« Comme le pélican lassé d’un long voyage ».
« demeurait quoi », j’adore. Mais c’est un peu trop, comment dire ? « domestiqu…é »
de nota, pas de bananes en ddr, ni chez les soviétiques. la France fait plaisir à ses marges en bouffant la grosse des antilles alors que celle des canaries est la meilleure (implantée par des Français).
fin du communiqué sur la banane.
Perso, je demeure coi. Pas quoi …
Il fallait en sortir : il dit les premiers mots qui lui vinrent ; ce furent ceux-ci, qu’il ne put se retenir de déclamer bruyamment :
« Commeuh le pélican lassé d’un long voyage ».
Il crut entendre un « comment ? » presque imperceptible.
Il avait perdu le fil. Le charme s’était brisé.
Précipitamment, pour tâcher de recoller les morceaux, il ajouta maladroitement :
« Je partirai ».
Alors, il devina que son ennemie, soudain rendue à elle-même, se redressait violemment ainsi qu’une tour Eiffel humaine. Il se tourna vers elle, voyant au milieu d’une face ébouriffée et colère deux yeux exorbités, impitoyables, qui le fixaient méchamment.
– Tu « partiras » ? répondit-elle.
– Je « partirai », répéta-t-il tremblant.
Un terrible sourire s’épanouit sur la bourrelle du malheureux nippon.
Euh, le Pélican, je crois bien que c’est fait « d’exprès »…
Ca me rappelle une anecdote avec le Clopinou. Un soir, il avait copieusement couvert de feutres le drap du dessous de son lit. Alors, il a écrit, avec une orthographe plus qu’incertaine « essxcusé-moi, j’en ai pas fait d’eckspré », et il s’est endormi par là-dessus, comme un ange, les feutres à côté de lui…
Le lendemain, je ne suis pas arrivée à l’engueuler… Je riais trop.
Ce fut à ce moment que le nuage de Tchernobyl passa et les enveloppa tous de son étreinte mortelle. Ils s’affaissèrent les uns après et les autres, les uns sur les autres…
« Ouf » ! dirent les spectateurs qui avaient suivi l’aventure de téléréalité en direct sur leur poste TV, « c’est enfin fini » on peut changer de chaîne et regarder le foot tranquillement.
Avec le Menteur et le Pochtron, tout casse, tout foire, du blabla, du vent et plouf plus rien
la bourrelle, la femme du bourreau, c’est ça ?
Ah, la bourrelle, toujours la bourrelle…
Mais, Chaloux, et le Goncourt, le Mossad, les amours de Finkielkraut et le complot international autour du Magazine Littéraire, sur fond de guerre du pétrole, vous en faites quoi ?
– Alors, dit-elle, moins vite qu’hier!
Clopine, j’ai fait avec le matériau donné : une géante russe et un tout petit bonhomme, c’est la Baba Yaga des contes.
Le Pélican….. dit: 9 octobre 2015 à 14 h 42 min
Très juste, mais dans la chaleur créatrice le scripteur emporté fait de temps en temps des confusions entre homonymes, ce qui rend les brouillons parfois très amusants à relire.
13h13
Ben oui, quoi, Attila, petit grognon va, fais risette à Tata Clopine.
Hein, quoi, elle pique trop ?
Je n’ai pas remonté le cours du fleuve, je vous cherchais mais vous ^$etes d’une humeur massacrante, un problème de rasoir Gillette G2 ?
Sinon entendu le prix Nobel enregistré en septembre, si je n’étais pas si limitée j’étudierais le russe, quelle jolie musique.
Le russe, ça sert à rien. Même Sergio a fini par se mettre au français.
fin du communiqué sur la banane. Phil.
Le fait est que votre communiqué colle tout à fait au billet, la concision d’une frappe chirurgicale qui ne contient pas dans son contenu de dégâts collatéraux . C’est un peu toujours ainsi comme en Syrie actuellement chez qui notre bon Poutine s’en va faire le ménage en commençant par rayer de la carte les opposants non djihadistes, du moins c’est ce qui s’est dit. En marge, des destructions civiles, on pouvait s’y attendre et pour le moment la presse ne fait pas encore mention de victimes et Poutine explique sa stratégie d’une façon radicalement différente. Au moins peut-on prévoir qu’Assad sera maintenu sur son trône sans plus de menaces à l’issue des frappes qui ne font que commencer et semblent tout de même efficaces, du jamais vu dans la portée à distance.
Zoon dit: 9 octobre 2015 à 9 h 18 min
J’opine ! Préférons la graphie « Poutine ». « Putin », je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne.
C’est le mec qu’est sur le chemin : путь ; i tient toute la route ! Распутин, lui, au moins, il s’en barrait… Divergeait bifurquait !
…
…mon linge, mes pantalons à repasser,!…
…
…les plis et replis pour bien ferrer son modèle en cour de jeux,!…serrer de près à transposer l’action en esprit à modélisations multiples,!…
…
…une maison bien gonflée,…c’est vite,…on danse et on rit,!…etc,!…
…
Pimpin dit: 9 octobre 2015 à 15 h 25 min
se mettre au français.
Chais pu où il est je l’ai mis le Lagarde & Michard… Reste le Barnier-Delage ! Et l’Ожегов…
Le frère du Clopinou a commencé son tour du monde au Québec, pour le finir à Moscou. De la poutine au Poutine,en quelque sorte.
bon d’accord, je sors.
Bérénice, j’ai décidé à l’instant de ne plus jamais commenter ici. Je vous dis donc Adieu. Rien ne vous interdis, si jamais vous en éprouviez la nécessité même la simple utilité de me contacter au 0x.4x.xx.xx.xx.
@de nota dit: 9 octobre 2015 à 14 h 05 min
Merci d’avoir signalé l’article contenant cette anecdote.(Bibliobs). A la fin de l’entretien sont proposées les premières pages de La fin de l’homme Rouge. La lecture est édifiante. Quel fossé entre la génération des parents, grands-parents et des jeunes, un peu paumés ! Son analyse des mentalités de ceux qui ayant traversé cet écroulement de l’ex URSS, rêvé puis amers ayant vu leurs rêves s’écrouler, dépendant du pouvoir de l’argent ou de son absence, sont comme incapables de se désengluer d’années d’oppression sur les mentalités. Le passage sur les voyages touristiques organisés aux îles Slovski avec prêt de la tenue de déporté est décoiffant ! (Je pense à O. Rolin et à son Météorologue !). Lisant ces pages, je comprends mieux son désir de poser des questions, de noter des réponses souvent ahurissantes, d’essayer de comprendre son pays et d’en être incomprise.
D votre téléphone est aussi chargé qu’un sex-shop. Justement à côté pas très loin là où l’on s’éloigne de la littérature existe un lieu pour la gastronomie. Je vous prie de m’y convier et s’il vous reste quelque énergie après le festin, nous irons courir, il s’agira comme sur les boîtes de sel cerebos d’antan de vos attraper.
« Et si l’on a l’impression qu’ils parlent bien, c’est que je guette le moment où ils sont en état de choc, quand ils évoquent la mort ou l’amour. alors leur pensée s’aiguise, ils sont tout entiers mobilisés. Et le résultat est souvent magnifique. »
Effectivement picoler c’est quand même un peu flasque (sans jeu de mot) ; ce qu’il faudrait essayer, c’est écrire en jouant à la roulette russe (sans jeu de mots), mettons tous les quarts d’heure comme si on vidait son verre…
En plus ça coûte moins cher, une seule cartouche !
Lu avec intérêt dans « le Magazine littéraire » l’article d’Assouline sur la réédition des textes de Rebatet. Il écrit notamment :
» Pour ses articles de « Je suis partout » comme pour ses « Décombres », Lucien Rebatet méritait déjà douze balles. Rouillées et tirées dans le dos. Car la trahison louée, proclamée, revendiquée fut chez lui augmentée de dénonciations de résistants et d’appels au meurtre de Juifs, à la chasse à l’homme et au pogrom, signés d’un homme qui se trouvait alors du côté du manche, encore plus nazi que ceux qui occupaient son pays « .
Le jugement porté sur Rebatet par Assouline est clair et les attendus de ce jugement ne le sont pas moins.
Cependant, ce qu’on ne peut pas dénier aux propos et aux actes de Rebatet, c’est la cohérence. L’adhésion de Rebatet au nazisme et à la collaboration impliquait la dénonciation des résistants et l’appel au meurtre des Juifs. Ce que Pierre Assouline qualifie de trahison était au contraire considéré par Rebatet et par ceux qui pensaient comme lui comme du patriotisme. Pour Rebatet, l’Allemagne nazie montrait à la France la voie de la régénération.
Qu’est-ce qui permet à Assouline de tenir publiquement aujourd’hui ces propos sur Rebatet (propos certainement très généralement approuvés par la majorité des Français d’aujourd’hui) ? Uniquement le fait que l’Allemagne nazie a perdu la guerre. Si elle l’avait gagnée, ou, du moins, si elle avait réussi à maintenir durablement la plus grande partie de l’Europe, dont la France, sous sa coupe, Rebatet serait sans doute officiellement célébré comme un héros, un classique et « les Décombres » étudié dans les écoles. Qu’est-ce que cela signifie ? Le fait, à mon avis, que considérer Rebatet comme un traître tout juste digne d’être abattu de douze balles rouillées dans le dos ou le célébrer comme un héros et un père de la patrie, ces deux attitudes sont, dans l’absolu, parfaitement équivalentes. La cause en est qu’il n’existe aucune morale universelle, qu’elle soit associée à une croyance religieuse ou non, à valeur absolue, à l’aune de laquelle on puisse porter un jugement de valeur sur la conduite de Rebatet ou, d’ailleurs sur celle de qui que ce soit. Tout jugement moral est, par essence, subjectif et relatif. Notre malédiction, à nous autres, êtres humains, c’est que la Terre ne soit pas assez grande pour que chacun fuie toute espèce de communauté avec les hommes, dans les montagnes ou les déserts, pour y attendre paisiblement la mort, en se contentant du plus frugal des ordinaires, sous les merveilleux nuages et en compagnie des animaux. C’est Rousseau, sans doute, qui avait raison : qu’est-ce qu’il faut à l’homme pour être heureux? » la nourriture, une femelle, le repos « . Sur la question de la femelle, il y a matière à discussion, mais pour le reste, c’est le bon sens même.
« les Décombres » étudié dans les écoles.
Non. Le régime se serait refait une vertu.
qu’est-ce qu’il faut à l’homme pour être heureux? » la nourriture, une femelle, le repos
et du réseau !..sapré jean marron
Uniquement le fait que l’Allemagne nazie a perdu la guerre
si ma tante en avait une demi ça frait pas mon onc mais devine qui jean marron !..ha le monde est complesque
– Que faut-il à bouguereau pour être heureux?
– Un paquet de couches.
🙂
ce qu’il faudrait essayer, c’est écrire en jouant à la roulette russe
..ou tu porteras mon deuil qu’il disait lirisse
Le russe, ça sert à rien. Même Sergio a fini par se mettre au français
..à jeun
Ueda dit: 9 octobre 2015 à 10 h 10 min
Chapitre 1 Il leva vers elle des mains d’étrangleur, etc.
Si je m’attendais.
Je m’absente toujours quand ça chauffe.
Ça démarre très bien, même si ensuite ça diverge, normal.
Un reproche: on ne sent pas assez de tendresse pour le personnage de Yuta, qui est profondément humain.
il s’agira comme sur les boîtes de sel cerebos d’antan de vos attraper
..elle va t’en mette sur la queue dédé..
Si je m’attendais.
Je m’absente toujours quand ça chauffe.
t’es un sapré boutentrain
L’exode racontée dans « Les décombres » est d’une qualité littéraire que la Continentale aurait pu adapter si hollywood n’avait gagné la guerre.
Rebatet resté vivant a dû supporter le très niais « jour le plus long », pensum qui vaut bien une exécution à « balles rouillées » pour un critique de cinéma.
Chaloux dit: 9 octobre 2015 à 17 h 26 min
« les Décombres » étudié dans les écoles.
Non. Le régime se serait refait une vertu
Qui sait, en effet ? Quelle horreur. Cela ne fait que rendre plus fort l’appel du désert.
bouguereau dit: 9 octobre 2015 à 17 h 32 min
..à jeun
C’était en nille meuf cent… Euh…
Quand j’ai acheté « Les décombres » chez un libraire d’occasion, il était enveloppé de papier cristal.
Ça faisait du bruit quand j’ai jeté un oeil à l’intérieur.
Le libraire me regardait en coin.
C’était comme la scène de Woody Allen où le marchand de journaux demande en hurlant à sa femme: « C’est combien ‘Orgasmes’ ? »
pensum qui vaut bien une exécution à « balles rouillées » pour un critique de cinéma
faire le mieux disant en matière d’écorchement c’est bon dans les fime de zombi et les jeux vidéo..voilà cqui faudrait à lassouline un genre de goddies tarantino..à coup de batte reloaded
Pour aller chercher le salut chez Rousseau comme Zoom le fait, c’est vraiment le signe que le contact de notre ami avec le bon goût est rompu…
Car, n’oublions jamais que Rousseau est un vrai con d’époque ! Une chiotte, une niasque, un follicule, un douzinet, un refurtif accompli, bref une fiente !
Non. Le régime se serait refait une vertu
..faut il avoir peur du talent
JC….. dit: 9 octobre 2015 à 17 h 45 min
Car, n’oublions jamais que Rousseau est un vrai con d’époque ! Une chiotte, une niasque, un follicule, un douzinet, un refurtif accompli, bref une fiente !
C’est un chouia sévère.
Un peu geignard, peut-être?
Rousseau est un vrai con d’époque !
..qui te rend intelligent..c’est comme dans les fimes jicé..c’est plein de méchants..mais c’est pour édifier les têtes blondes..tu voudrais pas qu’on étudie platini toudmême
C’est que onze balles, par Hercule ! Il y en a un qui fait semblant de pas savoir qu’il est là par hasard, qu’il a vu de la lumière, et surtout qu’il s’est pas ramassé de recul dans le gras de l’épaule…
C’était en nille meuf cent… Euh…
in vino véritas mais on oublie..je crois que les épris de boisson n’était pas exorcisabe..c’est dans les tesques
C’est que onze balles, par Hercule !
..ha c’est bien dit..lui aussi il finit mal tien.. »et on s’en fout d’avoir la vérole » qu’il chantait comme rebatet
Je me sens coupable d’avoir utilisé les véritables noms des protagonistes de basket russe et japonais, Uljana Semjonova et Yuta Tabuse, ainsi que leurs exactes mensurations pour cet exercice d’écriture collective réussie … Qu’ils me pardonnent !
Merci à tous et à toutes -tu sais que je t’aime, Clopine, mais éteins la lumière s’il te plait – on a marqué un essai, on essayera de transformer un autre jour !
La lutte continue, camarades ! Pour la langue française !…..
Si j’avais Rousseau en face de moi, je lui cracherai à la gueule : on doit toujours se méfier d’un diplômé inintelligent…
Cependant, ce qu’on ne peut pas dénier aux propos et aux actes de Rebatet, c’est la cohérence. L’adhésion de Rebatet au nazisme et à la collaboration impliquait la dénonciation des résistants et l’appel au meurtre des Juifs
c’est l »adhésion » elle même qui est son vrai sujet à rebatet, c’est la litterat’hur et le mal pris à la lettre un peu..c’est pas le seul dailleurs, y’a eu aussi les collabos fondus..qui on été content de vivre « intensément » et qui ne regretaient rien..c’est compliqué ça..pour ça que les militaires font le ménages rapidos..les ordures qui crânent ça n’édifie personne
« Un peu geignard, peut-être? »
amusant…
JC….. dit: 9 octobre 2015 à 18 h 00 min
Si j’avais Rousseau en face de moi, je lui cracherai à la gueule : on doit toujours se méfier d’un diplômé inintelligent…
Il le fait exprès ou il est vraiment ignare ?
Filer le Prix Nobel de la Paix à quatre assemblées de c.ouillons de Tunisiens aux prises avec le Jasmin fané…. c’est à mourir de drôlerie !
A compter de ce jour, le Prix Nobel de la Paix devra être systématiquement refusé par tout humain sensé !
Ceux qui ont connu un peu la Scandinavie savent que l’hiver est rude, là-haut, et les dégâts collatéraux immenses.
les ordures qui crânent ça n’édifie personne
dailleurs le dernier exécuté en public on l’a ziguouillé alors qu’il criait merde à répétition..à tout rompre..jle sais prex de première main
tu sais que je t’aime, Clopine, mais éteins la lumière s’il te plait (JC)
Eteins la lumière
Montre-moi ton côté sombre
(Copie d’un article en accès liobre sur Médiapart)
Le cirque Romanès profané et vandalisé
09 octobre 2015 | Par Jean-Pierre Thibaudat
Le cirque Romanès ne semble pas être le bienvenu dans le XVIe arrondissement de Paris. Portes de caravanes fracturées, fenêtres explosées, canalisations d’eau percées, branchement Internet incendié et procédure judiciaire menée par des associations du quartier pour obtenir leur expulsion. Leur crime : être un cirque tzigane et fier de l’être.
Mêlant rigueur du cirque à l’ancienne et inventivité des nouveaux cirques, alliant danses et musiques tziganes, le cirque Romanès ne ressemble qu’à lui-même. Où qu’il aille, il attire un public aussi nombreux que divers, des gens du quartiers aux stars du cinéma Et, entre deux spectacles, Alexandre Romanès écrit des livres, le plus souvent de poésie, que publie Gallimard. Dernier en date; « Un peuple de promeneurs ».
On les a connus longtemps installés dans un impasse près de la place Clichy, puis du côté de la place Champerret où bien des riverains regrettent leur départ (forcé en raisons de travaux). Depuis le 20 juin, avec la bénédiction et l’accord de la mairie de Paris, ils sont installés square Parodi, à deux pas de la place Maillot. La mairie a installé des barrières en bois clair autour de leur campement, les Romanès ont repeint en vert les caravanes attachées à leur chapiteau rouge, on ne peut pas dire que cela obstrue le paysage. Seul un petit panneau indique leur présence. Mais, pour certains, c’en est trop.
Plusieurs fois, des petits groupes s’en sont pris à leur matériel, allant jusqu’à pisser dans une caravane. Alexandre et Dalia Romanès avaient préféré taire ces incidents dans un premier temps, mais ils se sont multipliés.
« On ne s’adresse jamais au diable »
Par ailleurs quelques associations locales comme l’Association de valorisation pour le quartier Maillot Dauphine » ou « la Coordination pour la sauvegarde du bois de Boulogne » ne baissent pas les bras et envoient lettre sur lettre à la mairie via leurs avocats. Elles jugent que « l’implantation de caravanes » constitue un « préjudice », que la présence d’un chapiteau « contribue à la dégradation du site ». Arguments étranges puisque ce n’est pas la première fois qu’un cirque s’installe dans les parages. Serait-ce parce que le cirque Romanès se revendique tzigane (ce qu’il est depuis sa naissance) ? On voudrait ne pas le croire mais on finit par le penser.
Pour Alexandre Romanès, tout est parti du discours de Sarkozy à Grenoble. Depuis les vannes sont ouvertes. Appeler la police ? « Ce n’est pas dans notre culture. Dans notre langue police le diable c’est le même mot (« del »). Et nous, on ne s’adresse jamais au diable ».
Ils continuent. Ils préparent leur prochain spectacle dont la première approche. Drôle d’impression de voir les fenêtres de leurs caravanes obstruées par des panneaux en bois. Délia pleure la disparition de belles robes gitanes. Alexandre, moins disert, préfère citer des proverbes tziganes. Celui-ci par exemple :
« Ne te moque pas des riches, cela pourrait t’arriver ».
c’est à mourir de drôlerie !
pn vit trop intensément à porc’n roll..allez chte la remet
http://www.dailymotion.com/video/xyof27_aux-bahamas-les-cochons-viennent-a-la-nage-rencontrer-les-bateaux_animals
Zoon, sois clair : tu serais pro-palestinien pro-Hamas, antisémite et rousseauphile !!! …
Pécaïre !…
Romano dit: 9 octobre 2015 à 18 h 09 min
(Copie d’un article en accès liobre sur Médiapart)
« Le cirque Romanès profané et vandalisé »
AFFREUX ! AFFREUX ! ….
Uranium found on planet Jévitch
Please transport masses
Eteins la lumière
Montre-moi ton côté sombre
..la nuit on est tous tirailleuses sénégalaise..jean marron
Pierre Thibaudat est un brave garçon de salle : il emploie le mot « profané » sans en comprendre le sens.
Comme parle une mouche agonisante… marrant !
Zoon, sois clair :
tu cherches rien qu’a le profaner jicé épicétou
il emploie le mot « profané » sans en comprendre le sens
ho que si..c’est ça la sécularisation
JC….. dit: 9 octobre 2015 à 18 h 18 min
Si tu savais qui est Jean-Pierre Thibaudat, tu ne te ridiculiserais pas en lui donnant des leçons de vocabulaire.
Mais te ridiculiser, et avec constance, c’est bien la seule chose que tu saches faire ici.
Continue, surtout, on a besoin de comiques, même sinistres.
Inutile de discuter avec un taré comme toi, gamin : cet article est un sommet de boboïsmes parisien.
On se fout complètement en province de ta « profanation » de cirque !
Digère bien ta bile !
Ami Romano,
Toutes mes excuses… Un type, comme Aliboron Thibaudet, qui peut écrire cela :
« Le théâtre est un temple du contact d’homme à homme, une dramaturgie de la rencontre. »
est forcément un honnête homme qui sait ce que « profané » veut dire !
JC….. dit: 9 octobre 2015 à 18 h 32 min
Ne change pas, Pépé, et reste avec ta bile et ta bave.
Pas foutu de voir que cette affaire de vandalisme n’a rien de spécialement « parisien ».
Si des rebeus avaient vandalisé ta cagna, comment qu’on t’aurait entendu gueuler comme un putois. Putois, tiens, ça te va : tu pues.
La vieillesse est un naufrage.
bouguereau dit: 9 octobre 2015 à 17 h 52 min
les épris de boisson n’était pas exorcisabe..
Ben si avec de l’Alka Sulitzer quand on a écrit toute la night…
Prudence : la majorité des délits relevés dans le XVIe ne doit pas être attribuée à ses habitants.
Dans le 93, à la limite, voui. Mais pas dans le XVIe.
« La vieillesse est un naufrage » (Romano)
Aaaaahahaaaaaha !
Il est marrant le bêta … ta tzigannerie est ton fromage, eh, mon c.ouillon !
J’vous ai pas dit, mes pov’ chéris, mais la lecture de la réforme BelKassetout, c’est édifiant : alors on prévoit en français, en 6ème, de faire de la « paraphrase de texte » et du « racontage »… Là, on a vraiment touché le fond de la piscine. En histoire, c’est du même tonneau. Les générations montantes, l’école va complètement les lobotomiser, les pov’ s.
Effrayant. Un totalitarisme new look ne tardera pas à suivre.
Les profs feront du racontage et les élèves du radotage…
Le 93 commet ses délits dans le XVIè et le XVIè commet ses délits un peu partout sur la planète, mais aussi dans le 93…
Chaloux dit: 9 octobre 2015 à 18 h 41 min
Prudence : la majorité des délits relevés dans le 9-3 ne doit pas être attribuée à ses habitants.
« La vieillesse est un naufrage » (Romano)
Ben oui on respire avec un tuyau…
« racontage »
pas étonnant, pendan les cours les p’tits jeunes font déjà des « téléphonages », comme la mère Verdurin.
Excusez-moi pour la faute, j’écris avec un doigt. (Touch. rect. bouguereau. Quel merd.).
« La vieillesse est un naufrage »
Pour ce pauvre bouguereau, c’est plutôt une liquéfaction.
JC….. dit: 9 octobre 2015 à 18 h 49 min
Et voilà, Pépé s’énerve ! Il va encore nous faire dans sa couche et on va devoir le changer, Madame Bouju ! Bah, laissez donc, Madame Chougnard, il a l’habitude !
Leur crime : être un cirque tzigane et fier de l’être
Le romantisme à deux roubles de la gauche bien-pensante. Etonnants ces accents barrésiens dès qu’il s’agit de louer l’admirable dignité du peuple gitan.
Si des Zarabes avaient vandalisé la cambuse à JC…. on peut être sûr que personne n’en aurait parlé, et surtout pas Médiamerde, du sinistre Eddy Quenelle.
L’article de ce Thibaudat pue l’amalgame et les insinuations sournoises.
Cette affaire est certes regrettable, mais Alexandre Romanès-Bouglione qui est millionnaire, s’en remettra. En attendant, il peut toujours aller planter sa tente aux Tarterets, les habitants sauront l’accueillir avec le sens de l’hospitalité coranique (ta mère) qui est le leur.
J’ai beaucoup d’amis dans le XVIe, des gens charmants. Quand ils se rendent au bois de Boulogne, c’est rarement pour agresser des tziganes!
Parlons de choses sérieuses : quelqu’un a lu le nouveau Corto Maltese ? Qu’Est-ce qu’il vaut ? J’hésite à l’acheter et je n’ai pas envie de le lire debout à la fnac comme un crevard (genre Ueda).
micouille essaie dfaire croire quil se fait enfiler mais pour un paquet dblé
je n’ai pas envie de le lire debout à la fnac comme un crevard (genre Ueda)
c’est un coup bas
Le romantisme à deux roubles de la gauche bien-pensante
c’est cohérent..ils gardent le reste pour la chouffe et la duvel
Il va encore nous faire dans sa couche
il en sort pas mon larbin avec ses virgules
bouguereau dit: 9 octobre 2015 à 19 h 30 min
Pensée magique de l’homme qui vivait dans un seau. Il va taper, envoyer des bombes, et les autres se font forcément enfiler. Ce niais en est à croire que le mot fait la chose.
(Quand tu viendras déposer ton engin, boumou, je te conseille de louer une voiture : ta Mercedes de chauffeur de taxi albanais pourrait te lâcher sur le périph’. Tout ce que je te demande, c’est de ne pas utiliser le pl.ug qui te sert de bouchon depuis tant d’années. Merci d’avance.)
Un champignacien dit: 9 octobre 2015 à 19 h 29 lire debout à la fnac comme un crevard
A Cora c’est prévu étudié pour on lit assis on vire un mec épicétou… Ca fait quand même deux satisfactions là où on pensait se contenter d’une ! Evidemment si le mec décampe sans se rebiffer c’est foutu… Là c’est quand i dorment !
Romano dit: 9 octobre 2015 à 19 h 25 min
Il est raciste, c’est pas nouveau
allons..tu sais bien ou je perche mon larbin..
« Si des Zarabes avaient vandalisé la cambuse à JC…. on peut être sûr que personne n’en aurait parlé, »
Qu’il est drôle! il devrait faire politicien
putain le soleil se couche..desert rock connu de moi seul..
tchouss
Monsieur Jean-Didier bouguereau
Le Popot.
Un champignacien dit: 9 octobre 2015 à 19 h 25 min
On se souvient que le maire de Champignac, hon comme un panier, avait la phobie des Tsiganes.
Son honcitoyen, itou.
Pourquoi vient-on sur la RDL?
Je me souviens de la réponse de Duras à la question « pourquoi boit-on ».
Réponse unique : parce que Dieu n’existe pas.
Bonne soirée,
Chaloux dit: 9 octobre 2015 à 19 h 54 min
Pour nous quitter il revient à son pseudo,
pour raconter des salop…. sur le boug ou autres il se masque.
A-t-il peur ?
Mes pseudos sont tellement transparents…
mais je ne suis pas « Lacenaire », contrairement à ce que croit bouguereau. Lacenaire c’est MAC qui vient régler ses comptes avec de vieilles pourr… comme le susdit.
afp 17h46 : après la remise du nobel de littérature à Svetlana Alexievitch, Poutine a demandé de stopper les livraisons de gaz en direction de la Suède…
ils auraient mieux fait nobéliser le type qui a écrit millenium.
cet hiver ils vont se les geler.
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