de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Le Nobel à Svetlana Alexievitch, romancière de voix

Le Nobel à Svetlana Alexievitch, romancière de voix

Il sera difficile, pour ne pas dire impossible, de juger le jugement des membres du comité Nobel de littérature sur l’œuvre de Svetlana Alexandrovna Alexievitch (1948) sans garder à l’esprit le fait qu’elle est traduite dans une vingtaine de langues, qu’elle a été plusieurs fois distinguée (Prix de la paix des libraires allemands, Prix de la paix Eric-Maria Remarque, prix Médicis et Meilleur livre étranger de l’année par le magazine Lire) à commencer par le tout premier, le très officiel prix du Komsomol en 1986 (mais depuis, l’eau a coulé sous les ponts…), mais que certains de ses livres sont toujours interdits par la censure de son propre pays, la Biélorussie. Tous ces lauriers faisaient d’elle une nobélisable depuis plusieurs années. Son nom revenait depuis plusieurs jours. Et tôt ce matin déjà, sans attendre la fumée blanche sur les toits de l’Académie suédoise, la critique Julie Clarini lui consacrait sa chronique dans la « Matinale culturelle » de Vincent Josse sur France-Musique.

On connaît sa méthode qui est devenu un genre à part entière, illustré notamment en France par Jean Hatzfeld à propos du génocide au Rwanda : le recueil de témoignages. Encore fait-il savoir transformer en littérature ce matériau brut, après un fort travail de montage des entretiens où intériorité et réalité finissent par se rejoindre. Sous d’autres plumes, cela resterait à l’état journalistique. Elle a l’art de de la transformation. C’est le cas avec les Cercueils de zinc (1990) à l’écoute des traumatismes des jeunes anciens combattants soviétiques de la guerre d’Afghanistan, La Supplication (1999) sur les suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl et avec La Fin de l’homme rouge (2013) sur le désenchantement et le désarroi de Russes post-soviétiques et sur la nostalgie de l’Ancien régime (on peut l’écouter ici lors de sa mise en fiction sur France-Culture). Une façon d’observer le réel dans sa cruelle vérité, de l’enregistrer et de le restituer qui a frappé en France l’éditeur Christian Bourgois le tout premier, puis Plon et enfin Actes sud, dans les mots de la traductrice du russe Sophie Benech (lisez ici ses libres propos sur Mandelstam et Akhmatova). Des mots qui ne disent pas seulement l’horreur et la souffrance mais la résignation.

« Je ne cherche pas à produire un document mais à sculpter l’image d’une époque. C’est pourquoi je mets entre sept et dix ans pour rédiger chaque livre. J’enregistre des centaines de personnes. Je reviens voir la même per- sonne plusieurs fois. Il faut d’abord, en effet, la libérer de la banalité qu’elle a en elle. Au début, nous avons tous tendance à répéter ce que nous avons lu dans les journaux ou les livres. mais, peu à peu, on va vers le fond de soi-même et on prononce des phrases tirées de notre expérience vivante et singulière. Finalement, sur cinquante ou soixante-dix pages, je ne garde souvent qu’une demi-page, cinq au plus. Bien sûr, je nettoie un peu ce qu’on me dit, je supprime les répétitions. mais je ne stylise pas et je tâche de conserver la langue qu’emploient les gens. Et si l’on a l’impression qu’ils parlent bien, c’est que je guette le moment où ils sont en état de choc, quand ils évoquent la mort ou l’amour. alors leur pensée s’aiguise, ils sont tout entiers mobilisés. Et le résultat est souvent magnifique. N’oublions pas que l’art de la parole est une tradition russe. Les Italiens ont la grande peinture, les Allemands la grande musique. Les Russes, eux, ont développé une culture logocentrique, qui exalte le verbe. Je ne suis donc pas journaliste. Je ne reste pas au niveau de l’information, mais j’explore la vie des gens, ce qu’ils ont compris de l’existence. Je ne fais pas non plus un travail d’historien, car tout commence pour moi à l’endroit même où se termine la tâche de l’historien : que se passe-t-il dans la tête des gens après la bataille de Stalingrad ou après l’explosion de Tchernobyl ? Je n’écris pas l’histoire des faits mais celle des âmes » (1)

Svetlana Alexievitch se veut une éternelle « étonnée de l’humain ». Les gens qu’elle interroge sont souvent des anonymes, des gens de peu, de ceux qui meurent sans laisser de traces, des oubliés de l’Histoire, souvent oubliés des historiens et maltraités par les journalistes – c’est d’ailleurs par lassitude vis à vis de cette pratique qu’elle s’est tournée vers les livres. De Minsk où elle vit à nouveau après quelques exils, elle se fait mémorialiste des sentiments, du vécu et des expériences des autres ; elle constitue ainsi de livre en livre l’archive souterraine et parallèle de la mémoire de ses pays, l’Union soviétique et la Biélorussie, dans ce qu’elle a de plus sombre. Elle a su remarquablement y pointer l’ambivalence de l’homo sovieticus, un idéaliste déformé par l’ordre totalitaire.

« Nous ne devons pas oublier que ceux qui sont responsables du triomphe du mal dans le monde, ce ne sont pas ses exécutants aveugles, mais les esprits clairvoyants qui servent le bien » aime-t-elle à citer en reprenant les mots d’un philosophe. Les origines du mal absolu sont « la » question centrale avec son cortège de violence, de haine, et d’humiliation, mais c’est la guerre qui mène la danse. La guerre irrigue toutes ses pages, même et surtout lorsqu’elle n’est pas nommée (elle y revient dans cet entretien Anne Brunswic dans XXI). Cet agencement de témoignages relève désormais d’un genre littéraire bien cadré, du moins en langue russe : ils appellent cela « le roman de voix ». Qui n’a rien d’un roman choral ou d’une suite de dialogues. Svetlana Aleksievitch n’hésite jamais à payer sa dette à son compatriote Alexandre Adamovitch (1927-1994) co-auteur du Livre du siège de Léningrad. C’est lui, son modèle même si Dostoïevski reste le maître incontesté.

C’est rarement le cas, aussi cela mérite-t-il d’être souligné : les Nobel ont voulu distinguer en cet écrivain non seulement une femme, première originalité, mais l’auteur d’essais et de récits quasi documentaires et non de romans ou de poésie. Même si cette œuvre est bien celle d’un écrivain, il ne s’agit pas de fiction ni d’imagination. Plutôt de non-fiction, mélange de reportage et d’histoire orale. Raison de plus pour y voir aussi une récompense à caractère politique, et un prix décerné au courage davantage qu’au souci de la littérature, comme c’est parfois le cas à Stockholm.

(Photo D.R.)

(1) Extrait d’un entretien entre Svetlana Alexievitch et Michel Eltchaninoff publié en avant-propos du recueil de ses Oeuvres (774 pages, 26 euros, Actes sud) paru dans la collection Thesaurus le… 7 octobre, c’est à dire hier ! On y retrouve La guerre n’a pas un visage de femme, Derniers témoins et La Supplication, traduits par Galia Ackerman, Pierre Lorrain et Anne Coldefy-Faucard)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

1166

commentaires

1 166 Réponses pour Le Nobel à Svetlana Alexievitch, romancière de voix

Zoon dit: à

Des fois, un prix sert quand même à quelque chose. J’aurai appris grâce à celui-ci l’existence de cette écrivaine et découvert l’intérêt de la lire.

Zoon dit: à

La question des origines du Mal est centrale

Question oiseuses, d’autant qu’en règle générale, le Mal des uns est le Bien des autres.

pado dit: à

« On connaît sa méthode »

Euuuuh, franchement, non.

Attila dit: à

La voie royale plutôt que la voie de garage !

Un Montréalais de passage... dit: à

Et son style?

Phil dit: à

La méthode de Jean Hatzfeld est payante, Madame Aleksievitch n’a qu’à suivre le plan média.

pado estomaqué dit: à

Phil dit: 8 octobre 2015 à 14 h 48 min
La méthode de Jean Hatzfeld est payante

Vous voulez dire que Hatzfeld a un compte ouvert en Bielorussie ?
Vous pensez qu’il va avoir un bonus pour le Nobel ?

Phil dit: à

non pado. simplement en France, où les médias semblent avoir découvert le recueil de témoignages grâce aux livres de Hatzfeld.
minsk alors.

ResPublica dit: à

Mérité et pressenti à France Culture comme chez Kathleen Evin dans l’Humeur Vagabonde. Le service public a donc encore du flair. Cette oeuvre nous initiera-t-elle au complexe développement de ce vaste pays et de sa tête brûlée qui le tient en joug et brouille le jeu international, enlisé dans ses propres erreurs ? A suivre.

Attila dit: à

Encore plus brut de brut !
Avec « Brèves de blog », Passou n’avait-il pas inventé le livre de commentaires ?
Les autres écrivent ou témoignent et un seul signe et empoche les droits d’auteur…

ResPublica dit: à

A France Musique et sa culture matutinale fallait-il lire.

Zoon dit: à

Dans « Le Monde » de ce jour (p. 15) un point de vue des plus éclairants de Serge Tisseron sur nos intellectuels si médiatisés, les Finkielkraut (voir les pages récentes du « Figaro magazine » sur l’intéressé), Zemmour, Millet, etc. qui encombrent les médias de leurs brames nostalgiques. Je le cite :
 » Hélas! les nostalgies d’intellectuels aux ego surdimensionnés qui occupent aujourd’hui les colonnes des journaux ne seraient pas si problématiques si elles n’étaient aussitôt récupérées par ceux qui ont décidé de faire du maintien du passé le levier d’une prise de pouvoir sur l’avenir. « Prenons garde d’entrer dans l’avenir à reculons « , écrivait Paul Valéry. On ne saurait donner meilleur conseil à nos intellectuels médiatiques. Car leur influence est grande, et leur chant du cygne pourrait nous coûter cher « .

On ne saurait, en tout cas, mieux dire. j’opine et applaudis !

pado dit: à

« une femme, première originalité, »

Cinq lauréates sur les douze derniers.
Pas la parité mais un souci évident de s’en approcher.

Clopine aguichée dit: à

Bon, va falloir encore apprendre à maîtriser l’orthographe de ce nom-là.

Soupir.

D’un autre côté, je n’ai jamais rien lu d’elle. Et me voici tentée…

Toupi superbeau dit: à

« un idéaliste déformé par l’ordre totalitaire. »

Définition de l’homo France Interus?

Lucy dit: à

Juste une question : quelqu’un ici a-t-il déjà lu SVETLANA ALEXIEVITCH ?

Toupi superbeau dit: à

Madame K. Evin est par son prêchi-prêcha au monde des idées sur France Inter ce que Ménie Grégoire était à la sexualité sur RTL!

Toupi superbeau dit: à

Ma voisine est biélorusse et parle le français avec un accent.
Sa boutique de vêtements féminins chics de marques italiennes est super sympa, elle est en plus une excellente vendeuse et cela fait exploser mes dépenses!

Toupi superbeau dit: à

Je vais, c’ est certain lire cette écrivaine qui semble aborder des sujets passionnants et brûlants.

Clopine aguichée dit: à

… Encore, bien entendu, que je préfère la littérature, le travail littéraire, dégagés le plus possible de la gangue du présent, ce qui est le prédicat le plus opposé à la démarche de l’écrivaine.

la vie dans les bois dit: à

Merci pour le lien sur le magazine XXI.

Clopine aguichée dit: à

Manque la moitié de mon mail ! Je disais que j’étais tentée par la découverte de cet auteure…

Ecrit vaine dit: à

Clopine aguichée dit: 8 octobre 2015 à 15 h 44 min
la découverte de cet auteure…

On frime ou on frime pas.
Si on féminise, on le fait pas à moitié.

jem dit: à

On peut se réjouir du transfert des archives de Maurice Blanchot à la Houghton Library de l’université de Harvard. Le meilleur sort qui puisse leur arriver est en effet d’être traitées avec zèle par des étudiants et des professeurs motivés. Je rappelle que Blanchot est mort en 2003.

ResPublica dit: à

@ Toupi supervilain
Ah si la majorité des journalistes arrivait seulement à hauteur de la malléole externe de Mme Evin…

Sergio dit: à

« je tâche de conserver la langue qu’emploient les gens. »

De toutes manières, faut pas se faire d’illusion, celle-là même ne peut être qu’une sorte de Lego d’expressions consacrées ; il faut le voir comme c’est ! Le champ est libre pour les créations, seulement quel boulot…

Lacenaire dit: à

à Toupi supermoche, 15:35 : K. Evin est plus agréable à écouter que vous à vous lire

Toupi superbeau dit: à

ResPublica dit: 8 octobre 2015 à 15 h 49 min

Ah, ResPublica, déjà votre pseudo a tellement des relents de supériorité civique et intellectuelle (et la double majuscule…) que l’ on ne peut que s’ incliner devant votre avis.
Mais « les journalistes » comme « le peuple » par exemple, ça ne mange pas de pain.
Relisons Karl Kraus.

Toupi superbeau dit: à

L’ huissier mercenaire à 16h02 devrait comparer ce qui est comparable…
En être encore à confondre l’écrit et l’ oral.
Sûrement que Mme. E. est la voix de la radio de la République mais permettez que je ne l’ entende pas de cette oreille là.
Par ailleurs, il est notable que l’ on peut trouver plus médiocre journaliste qu’ elle.
Dont acte.

la vie dans les bois dit: à

« Nous ne devons pas oublier que ceux qui sont responsables du triomphe du mal dans le monde, ce ne sont pas ses exécutants aveugles, mais les esprits clairvoyants qui servent le bien »
un philosophe

Peut-être s’agit-il de Fyodor Stepun
https://en.wikipedia.org/wiki/Fyodor_Stepun

D. dit: à

Je pense que nous sommes typiquement en présence d’un non-événement.

D. dit: à

Comme cela est souligné, nous ne sommes pas véritablement en présence de littérature. Ce prix Nobel à donc été attribué à tort, et s’il y a événement, c’est celui-ci.

la vie dans les bois dit: à

L’autre « philosophe » en épigraphe de « la fin de l’homme rouge » n’est pas un philosophe.
C’est un écrivain français connu-pas par moi, c’est le jour découverte littéraire- pour ses travaux sur l’univers concentrationnaire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Rousset

nicolas dit: à

« Nous ne devons pas oublier que ceux qui sont responsables du triomphe du mal dans le monde, ce ne sont pas ses exécutants aveugles, mais les esprits clairvoyants qui servent le bien  »

ya qu’à être malvoyant c’est pas dur et ça rapporte

jem dit: à

Truman Capote lui aussi faisait de la littérature à partir des faits vrais.

JC..... dit: à

Euh…. qui aura le Nobel de Littérature, pour finir ? Parce que là, on vient d’attribuer le Nobel du Reportage.

« SvetlaTintina chez les Soviets ! »

pendant la bataille dit: à

« que se passe-t-il dans la tête des gens après la bataille de Stalingrad ou après l’explosion de Tchernobyl  »

sans blague quelle question! Elle en a de bonnes!

bérénice dit: à

D, une façon de désapprouver le traitement de peuple en Russie, en conférant à une parole retranscrite une récompense . On a bien attribué le Nobel de la paix à Obama . Verra-t-on se dessiner la possibilité d’autres choix que celui des guerres pour équilibrer un monde qu’écartèlent les choix des esprits clairvoyants que les peuples choisissent quand ils en ont le droit.

D. dit: à

JC, vous seriez aimable d’avoir une idée enfin originale à lieu de paraphraser.

Tioaanquoajqlxial dit: à

@ JC et Clopine (pour une fois sur la même longueur d’onde) :

Prix Nobel de littérature ne veut pas dire prix Nobel du roman. Le journalisme ou les essais, c’est de la littérature.

Mais c’est tout de même une surprise, parce que la favorite des bookmakers était Angela Merkel.

Sergio dit: à

Dis voir dites voir disons voir… Elle est bien pourvue, izenite ? Правда или ?

D. dit: à

Je vais vous dire la vérité, Bérénice, vous êtes trop consensuelle. Vous voulez sans arrêt arranger Pierre, Paul, Jacques. Si vous voulez un peu émerger de la masse sous-jacente et terne, il faut avoir des opinions bien taillées et les revendiquer avec brio, sinon votre présence ici ne sert à rien.

bouguereau dit: à

Les gens qu’elle interroge sont souvent des anonymes, des gens de peu, de ceux qui meurent sans laisser de traces, des oubliés de l’Histoire, souvent oubliés des historiens et maltraités par les journalistes

putain c’est lassouline c’est nous c’est toi dédé qu’on cause dans l’post..évidemment jicé dira qu’il est toujours temps de foute le feu à notre dame et de laisser son blaze a la postérité..mais jusqu’ici on a su se retenir..c’est un fait dédé

de l' usage du lien dit: à

Peut-être s’agit-il de Fyodor Stepun
https://en.wikipedia.org/wiki/Fyodor_Stepun

LVDLB, qui ne manque pas d’air a sûrement lu le texte mis en premier lien par Pierre Assouline :

 » C’était ce que je voulais comprendre. C’est pourquoi
j’ai placé cette phrase du philosophe
f
riedrich
s
teppuhn en exergue de
La
Fin de l’homme rouge
: “En tout cas, nous ne devons pas oublier que ceux
qui sont responsables du triomphe du mal dans le monde, ce ne sont pas
ses exécutants aveugles, mais les esprits clairvoyants qui servent le bien.”
C’est mon traumatisme enfantin, et cela reste ma grande question. »

Philosophie Magazine
, novembre 2014

JC..... dit: à

Dédé, mon chien est mort et je viens de l’enterrer : allez vous faire foutre !
Bien à vous.

bouguereau dit: à

Je pense que nous sommes typiquement en présence d’un non-événement

t’as pas de self estime dédé épicétou

la vie dans les bois dit: à

Après Mal, s’il faut y rajouter une majuscule, alors il convient de rajouter russe.
C’est ce qui me gène à la lecture du billet. Ce gand tout.

un autre que moi aurait l'avoir dit: à

Alexievitch, Alexievitch… le fils d’Alexeiev, dirait Ueda qui parle slave. Vassili Alexeiev ? Le champion d’haltérophilie ? Alors fais gaffe, Sergio, avec tes allusions sur ton tour de poitrine.

la vie dans les bois dit: à

Si je ne manque pas d’air, ce qui est tout à fait exact, j’ai aussi pris soin de préciser, après le nom de ce « philosophe » qu’il y avait AUSSI un autre écrivain en épigraphe dans le livre  » la fin de l’homme rouge ».
Ce que ne précise pas le billet.

bouguereau dit: à

J’aurai appris grâce à celui-ci l’existence de cette écrivaine et découvert l’intérêt de la lire.

c’est comme un pv de stationnement interdit quoi..tu as le matricule et t’as intéret a lire sinon c’est 50%..

Tatoo dit: à

Le chien de JC est mort et il vient de l’enterrer, alors allez vous faire foutre.
Bien à vous.

bouguereau dit: à

Je vais vous dire la vérité, Bérénice, vous êtes trop consensuelle

..dis tout dsuite que c’est une salope !

Hot maille dit: à

Ho ! bouguereau ! le chien de jicé a canné et tu te marres ? t’as pas de cœur.

bouguereau dit: à

Ho ! bouguereau ! le chien de jicé a canné et tu te marres ? t’as pas de cœur.

..dis tout d’suite que je polémicouille !

D. dit: à

Ecoutez, JC, le décès de votre clébard est sans doute très triste, mais vous comprendrez, je pense, que je m’en tamponne le coquillard.

jem dit: à

L’interview d’Alexievitch, dans le premier lien, apporte les explications suivantes :

« Je ne suis donc pas journaliste. Je ne reste pas au niveau de l’information, mais j’explore la vie des gens, ce qu’ils ont compris de l’existence. Je ne fais pas non plus un travail d’historien, car tout commence pour moi à l’endroit même où se termine la tâche de l’historien : que se passe-t-il dans la tête des gens après la bataille de Stalingrad ou après l’explosion de Tchernobyl ? Je n’écris pas l’histoire des faits mais celle des âmes. »

D. dit: à

Attila voudrait savoir si c’était un bichon maltais.

le cremier à jc dit: à

« Le chien de JC est mort et il vient de l’enterrer,  »

le chien à JC a enterré JC?

bouguereau dit: à

“En tout cas, nous ne devons pas oublier que ceux
qui sont responsables du triomphe du mal dans le monde, ce ne sont pas
ses exécutants aveugles, mais les esprits clairvoyants qui servent le bien.”

de même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance.

mes îliens sincères dit: à

« Le chien de JC est mort  »

c’est un suicide pov chien qu’en avait marre de voir JC

bouguereau dit: à

bruler notre dame ou pas..that is ze couestion épicétou

bouguereau dit: à

ta gueule sale raclure de merde

D. dit: à

On me dit que Philip Roth ne décolère pas.

bérénice dit: à

D je vous laisse en compagnie de LDVB qui illustre à merveille votre théorie. N’oubliez pas de désobéir au doigt et à l’œil. Vous ne risquez pas d’être perçu comme dissident, cette notion n’existe pas dans notre heureux pays.

la vie dans les bois dit: à

et la shampooineuse dit qu’elle laisse ceci, cela. Vieille teigne hargneuse, au chevet d’un cinglé.

Test dit: à

Cher Bouguereau, sav

bérénice dit: à

, parce que la favorite des bookmakers était Angela Merkel.

Prix Nobel de la Paix pressenti mais non acquis .

Test dit: à

Cher Bouguereau, savez-vous q

Test dit: à

Cher Bouguereau, savez-vous q ue d epuis quelques jours je me pose une q

Test dit: à

et meeeerde

bouguereau dit: à

Vous ne risquez pas d’être perçu comme dissident, cette notion n’existe pas dans notre heureux pays

non seulement tu dois bruler notre dame mais en plus tu dois crier allaouakbar dédé..ha elle met la barre un peu haut la gonzesse

Test dit: à

Cher Bouguereau, savez-vous que depuis quelques jours je me pose une question vous concernant. La voici. Il m’a semblé en li

ça s'arrange pas dit: à

bouguereau dit: 8 octobre 2015 à 17 h 06 min
« ta gueule sale raclure de merde »

le pov ta ré se cause à lui-même maintenant

Test dit: à

sant que vous n’aviez pas beaucoup de tendresse pour l

bérénice dit: à

Vieille teigne hargneuse,

Il faudrait cesser de toute urgence de trop regarder le miroir, d’une part vous n’êtes pas passée de l’autre côté et je ne suis pas dans votre dos, ensuite l’insulte ne vous va pas aussi bien que la prestance à laquelle vous nous avez habitués. Je me demande comment vous interprétez ce qui en aucun cas ne vous est adressé et de plus est élogieux si l’on suit la dynamique que défend D.

vous avez dit 'heureux' dit: à

« cette notion n’existe pas dans notre heureux pays »

donner le nobel à quelqu’un qu’a pas lu Houellbeck Fink Zézé WG …

clébard dit: à

ouaf ouaf

Test dit: à

correction : en VOUS lisant.
Il m’a semblé en vous lisant, donc, que vous n’aviez p

bouguereau dit: à

raclure et polémicouille sont harnaché pour labourer la mer..

ils n'iront pas au paradis épicétout dit: à

8 octobre 2015 à 17 h 14 min
« Vieille teigne hargneuse, »

pov bouguereau i sont méchants

D. dit: à

raclure et polémicouille sont harnaché pour labourer la mer..

c’est beau

Test dit: à

Cher Bouguereau, i

Test dit: à

Cher Bou

clébard dit: à

au lieu d’enterrer son clébard, il commente chez Popaul… tout ça : du bluff

la vie dans les bois dit: à

javert, la coiffeuse pour pitbulls s’interesse à toi. Fais en sorte de la maintenir avec ses délires éthyliques dans ton giron, et pas ailleurs.

nadine vraiment triste dit: à

C’était un rottweiler royal (blanc)

lecteur débutant dit: à

la vie dans les bois dit: 8 octobre 2015 à 17 h 20 min
javert,

saura-t-on unjour qui est javert

damien dit: à

clébard dit: 8 octobre 2015 à 17 h 18 min
au lieu d’enterrer son clébard, il commente chez Popaul… tout ça : du bluff

c’était pour attendrir boguereau

Zoon dit: à

Ah ! ce chien de JC !

Phil dit: à

nonante commentaires et la Biélorusse a déjà coulé.

Sergio dit: à

un autre que moi aurait l’avoir dit: 8 octobre 2015 à 16 h 51 min
tour de poitrine.

C’t’à dire, pour être franc, on voit pas très bien ; parce qu’elle agit en ce sens ! Sûr comme certain… Faut bien voir qu’elles ont toutes les combines, hein ! Ca en fait beaucoup à ôter…

la vie dans les bois dit: à

à 17 h 24 min

débuter par « Les possédés ».

la vie dans les bois dit: à

De Dostoievski, lecteur débutant.

Sergio dit: à

Phil dit: 8 octobre 2015 à 17 h 31 min
nonante commentaires et la Biélorusse a déjà coulé.

Non non non non ça va revenir ; La grrrrande (et sainte) Russie, on va pas laisser passer ça comme ça ; juste faut le temps, boljemoï…

bougroc dit: à

l’art de la parole est une tradition russe. « Les Italiens ont la grande peinture, les Allemands la grande musique. Les Russes, eux, ont développé une culture logocentrique, qui exalte le verbe. »

Les porcrolés ont l’intelligence qui rend aimable

ou va t on dit: à

Personne pour critiquer le fait que ce soit une femme ? Même pas un mot de ueda (qui s’y connaît tellement) ou daaphnée pour critiquer la tenue, les mensurations, se comparer ? rien ! la zone quoi

clébard dit: à

il en avait marre d’entendre aboyer JC

Zoon dit: à

C’est entendu, le billet d’Assouline n’est pas tout-à-fait inutile dans la mesure où presque personne n’a lu Svetlana. Mais enfin, l’attribution du Nobel suffit bien à la faire connaître, mieux vaut tard que jamais. Mais je persiste à penser qu’Assouline aurait fait oeuvre plus utile en nous faisant connaître tel ou tel écrivain français peu connu ou franchement inconnu du grand public. Tiens, par exemple : Philippe Ollé-Laprune. Est-ce que quelqu’un, ici, a lu du Philippe Ollé-Laprune ? Je ne sais pas trop pourquoi, mais je ne le vois pas décrocher un jour le Nobel, même pas le Goncourt. Ce n’est pas une raison pour qu’il reste inconnu. Vive Philippe Ollé-Laprune !

clébard dit: à

allez couché raclure de bouguereau

Zoon dit: à

Vive Philippe Ollé-Laprune !

Ou plutôt : Viva Philippe-Ollé Laprune ! Merci à Patrick Deville qui me l’a fait connaître.

mOuryK dit: à

On ne saurait parler de Philippe Ollé-Laprune sans rappeler tout ce qu’il doit Fleur Aupoirier.

Zoon dit: à

A droite, photo de la couverture du « Magazine littéraire » : elle regroupe les tronches de quelques uns des tenants de cette pensée binaire dénoncée par Serge Tisseron comme une manière d’appréhender le réel complètement dépassée et incapable de penser la complexité du monde contemporain. A noter son coup de chapeau à Gilbert Simondon et à son concept de « métastabilité » (dans « Le Monde » » de ce jour).

JC..... dit: à

Je me suis gourrancé, c’est mon petit chat qu’est mort !

Je déterre le chien en vitesse, pourvu qu’il respire encore, et je met le chat au congélateur : le futur technologique le fera revenir à la vie … Y a déjà ma belle-mère, bah, en se serrant un peu, ça devrait rentrer !

P’tain … la vie est merdique, entropique, hyperboliquement chaotique ! …marre de tout ce toutim.

clébard dit: à

le PQ aux abois ment

JC..... dit: à

J’allais oublier ! Bien à vous, bon ragoût ! Félicitations au Prix Nobel de Reportage….

Politikon dit: à

Ce Philippe a-t-il un lien de parenté avec Léon Ollé-Laprune, philosophe saint-sulpicien qui a laissé un souvenir impérissable dans l’histoire littéraire ?

Politikon dit: à

Pauvre Badiou. Etre mis dans le même sac que Finkie, Onfray et Todd… même Ueda en est tout retourné.

Zoon dit: à

Sur la couverture du « Magazine littéraire », la dégaine de Houellebecq façon Saint-Just est d’autant plus hilarante qu’on n’y croit pas une seconde.

Zoon dit: à

Politikon dit: 8 octobre 2015 à 18 h 01 min
Ce Philippe a-t-il un lien de parenté avec Léon Ollé-Laprune, philosophe saint-sulpicien qui a laissé un souvenir impérissable dans l’histoire littéraire ?

It’s a possibility

Pour saluer Daaphnée dit: à

Triste journée. Après celui du chien de JC (rumeur toutefois démentie), nous apprenons le décès de notre amie Daaphnée. Elle aurait succombé à d’atroces souffrances, suite à l’ingestion d’un suppositoire toxique.

Pour saluer Daaphnée dit: à

Bouguereau prononcera l’oraison funèbre.

Pour saluer Daaphnée dit: à

Toutes nos condoléances à M. Jean Brun, connu ici sous les pseudonymes de Ueda et D.

Zoon dit: à

Pauvre Badiou. Etre mis dans le même sac que Finkie, Onfray et Todd… même Ueda en est tout retourné. (Politikon)

Effectivement, sur la couverture du « Magazine littéraire », il a l’air tout étonné d’être là.

Sergio dit: à

« Il faut d’abord, en effet, la libérer de la banalité qu’elle a en elle. »

Forte pensée, comme dirait Boug, mais alors ce qui est marrant, c’est qu’on construit généralement son identité avec les matériaux de cette banalité, la plupart du temps au petit bonheur la chance, de manière stochastique, au gré des événements : c’est du sable !

Sergio dit: à

Mais le clebs i pourrait pas, je sais pas, moi, tracter des traîneaux ?

Pour saluer Clopine..... dit: à

Les nouvelles de l’amie des concierges et des ânes sont bonnes ! Ouf….

la vie dans les bois dit: à

« Dix ans avant la chute du Mur de Berlin, certains y ont vu les prémisses de la chute de l’Empire soviétique : l’invasion de l’Afghanistan par les soldats de l’Armée rouge en 1979… Ce sera leur Vietnam, avaient prédit quelques stratèges occidentaux qui avaient peut-être d’ailleurs intrigué afin de précipiter l’URSS dans le piège afghan. Et, effectivement, les Soviétiques n’en sortiront qu’au début 1989, après dix ans d’une guerre aussi coûteuse en hommes qu’en roubles… Quelques mois plus tard, le Mur de Berlin tombera, entraînant la dislocation progressive du glacis de l’Europe de l’Est.

La décision de Moscou de s’engager militaire-ment en Afghanistan est donc une question fondamentale. Mais elle ne s’est pas imposée d’emblée. Elle a même été l’objet de longues discussions au sein des plus hautes instances de l’URSS. Et, c’est en tout cas l’opinion de Monsieur X, elle a aussi donné lieu à un certain nombre de manoeuvres tortueuses où se sont affrontées les ambitions des hommes qui voulaient succéder à un Brejnev affaibli et malade.

La conséquence, c’est que dans la mise en ?uvre de l’opération elle-même, on a assisté à une étrange confusion. On en a une illustration spectaculaire avec la récente parution d’un récit exclusif dans un nouveau magazine, « Guerres et Histoire ». Le témoignage hallucinant du chef du commando soviétique chargé de liquider le numéro un afghan : Hafizullah Amin, un dirigeant communiste qui avait pourtant été hissé à la première place par les hiérarques du Kremlin »

http://rendezvousavecmrx.free.fr/page/detail_emission.php?cle_emission=589

Zoon dit: à

M. Jean Brun, connu ici sous les pseudonymes de Ueda et D.

A Ueda sur mon D.D.

Gabriel l'Amandier..... dit: à

« On ne saurait parler de Philippe Ollé-Laprune sans rappeler tout ce qu’il doit à Fleur Aupoirier. » (Bourtik 17:53)

Que ce soit clair, une fois pour toute, et que cessent enfin ces vaines rumeurs !

Mon épouse Fleur Aupoirier n’a jamais inspiré à Philippe Ollé-Laprune qu’une passion platonique, car ceux qui savent peuvent confirmer : Philippe Ollé-Laprune est impuissant depuis son accident de motocyclette survenu en 1984 sur la route Amiens-Grenoble …

Enguerand Ollé-Laprune..... dit: à

Ne soyez pas stupide : seule la motocyclette a souffert de l’accident de la route que mon père a connu en 1984 en revenant d’Amiens.

Une arcade sourcilière fendue n’a jamais rendu quelqu’un impuissant !….

arthur dit: à

Yen a qui ne viennent ici que pour rigoler

songeur dit: à

« Une arcade sourcilière fendue n’a jamais rendu quelqu’un impuissant !…. »

Sait-on tous les tenants et les abrutissants?

clébard dit: à

chien mort ou chat crevé, comment peut-on accorder quelque crédit à ce jean-foutre minable de PQ

Madame Arthur..... dit: à

Pourtant, depuis que son arcade fut brisée, je m’en souviens c’était l’année où Jean Sol Partre a refusé le prix Nobel de Médecine, mon Arthur m’a délaissé…. sa faiblesse, cette sourde impuissance, comprenez-vous ?…

lola dit: à

Christiane Bérénice j’ai mis un petit post pour vous sur le fil précédent( la France…) Bonne soirée.
(je n’ai plus ni TV, ni imprimante et ma souris délire; sale temps)

D. dit: à

JC, le fait que vous soyez comme moi issu d’une famille de militaires (je connais les brillants faits d’armes de Raoul) ne vous donne pas le droit à tant de familiarité avec moi.
Je demande donc des excuses.

Bloom dit: à

Génial!
Un peu autre chose que Christine Angot, dans l’intérêt porté aux autres.
Il est bien de récompenser une auteure ni romancière ni poétesse.
Svetlana Alexievitch (La supplication), Oe Kenzaburo (Notes d’Hiroshima), Michaël Ferrier (Fuskushima), une trilogie du désastre que se doit d’avoir lu tout honnête humain.

D. dit: à

Écoutez, Lola, si chacun commence ici à énumérer en appartée ce qu’il a ou n’a plus, cela va prendre du temps. Faites un effort s’il vous plait, mettez-vous dans le bain, prenez la température ambiante moyenne et commentez en conséquence. Flûte à la fin.

JC..... dit: à

Bien entendu, Dédé, je vous présente toutes mes excuses … entre proches, normal, non ?

Et allez vous faire foutre : il fait beau, et le temps est doux, les jeunes filles en fleurs ont le regard en feu

bouguereau dit: à

Je demande donc des excuses.

en gros tu veux qu’il t’encule dans les douches..

bouguereau dit: à

sois poli jicé..tu vas pas botter en touche..on est pus sul terrain

bouguereau dit: à

« Une arcade sourcilière fendue n’a jamais rendu quelqu’un impuissant !…. »

..un gode esplosif et t’es micouille..ça s’entend

Polémikoeur. dit: à

« … sculpter l’image d’une époque.
… entre sept et dix ans pour rédiger chaque livre.
… guette le moment où (…/…) leur pensée s’aiguise.
Et le résultat est souvent magnifique.
… explore la vie des gens, ce qu’ils ont compris de l’existence ».
Et bien, Dame Svetlana n’est pas près
de venir exercer son art sur la matière
du commentarium !
Nobellement.

bouguereau dit: à

la plupart du temps au petit bonheur la chance, de manière stochastique, au gré des événements : c’est du sable !

pour l’enfer faut dla glaise chamottée..

Sergio dit: à

lola dit: 8 octobre 2015 à 19 h 07 min
ma souris délire

Si c’est une à bille, faut la nettoyer, bille et rouleaux, coton-tige et alcool ; j’ai connu quelqu’un qui le faisait tous les jours, mais enfin tous les mois c’est déjà pas mal. De toutes manières on voit tout de suite s’il y a une espèce de mouton cotonneux qui s’entortille sur, justement, les rouleaux : c’est uniquement cela qui fait tout déraper. Parfois on peut même l’ôter simplement à la main.

Si c’est une infrarouge, normalement rien ne doit broncher, même sous le feu céleste…

D. dit: à

Je constate que le climat est ce soir délétère.
Je préfère encore m’en tenir là et prendre tout cela sur moi que de faire valoir un orgueil que j’ai su mettre de côté car mon seul orgueil et de n’en point avoir contrairement à beaucoup ici.

bouguereau dit: à

celui qui l’entend pas doit consulter

bouguereau dit: à

dédé veut bien ramasser l’savon..il fait ça avec manière

D. dit: à

Mais enfin, Sergio, vous plaisantez ? La souris à bille ne se fait plus depuis près de dix ans.
Elles s’arrachent aujourd’hui à prix d’or sur les sites de revente de matériel informatique vintage.

Sergio dit: à

D. dit: 8 octobre 2015 à 19 h 18 min
mettez-vous dans le bain

Ca fraîchit quand même vaut mieux prévoir une laine…

de nota dit: à

Passou! au « Figaro » on soigne votre image, sur la photo qui illustre l’article pour le nobel à Svetlana, que vous saluez, vous avez dix ans de moins…
O tambourin! O Mauresque!

bouguereau dit: à

« Il faut d’abord, en effet, la libérer de la banalité qu’elle a en elle. »

si pour l’amour on demande aux femmes davoir inventé la poudre pour quelle te rende moins ordinaire..c’est un sport estrème

bouguereau dit: à

dénota il sait causer aux hommes dans les douches..

bouguereau dit: à

le PQ aux abois ment

..non mais franchman

Sergio dit: à

D. dit: 8 octobre 2015 à 19 h 28 min
La souris à bille ne se fait plus depuis près de dix ans.

Oui mais je serais pas étonné qu’il en reste encore des centaines de mille en service ; je dois encore en avoir en spare. Je me vois encore m’échiner dessus, Comme le temps passe* !

* Brasillach, voyons…

bouguereau dit: à

pour les fps t’es mort toudsuite sergio

bouguereau dit: à

tiens a stalingrad..z’auraient été refait
pour le porno c’est encore bon

Chaloux dit: à

Merci à tous ceux qui ont bien voulu participer à mon petit atelier d’hier soir. réponses pour la plupart fort médiocres, comme il fallait s’y attendre, mais pleines d’enseignement. Je ne crois évidemment pas un mot du petit scénario exposé.
Bonne soirée,

Widergänger dit: à

Un extrait de la langue de bois de la réforme Belkacem ; ce n’est pas écrit en russe mais il faut quand même traduire, c’est en ouistiti amélioré :

Dans tous les enseignements, et en particulier dans le champ questionner le monde, la familiarisation aux techniques de l’information et de la communication contribue à développer les capacités à rechercher l’information, à la partager, à développer les premières explicitations et argumentations et à porter un jugement critique. En français, extraire des informations d’un texte, d’une ressource documentaire, permet de répondre aux interrogations, aux besoins, aux curiosités ; la familiarisation avec quelques logiciels (traitement de texte avec correcteur orthographique, dispositif d’écriture collaborative…) aide à rédiger et à se relire.
_________
Il va falloir se taper ce sabir sur des dizaines et des dizaines de pages. C’est à devenir dingue…

Paul edel dit: à

Les Nobel? Pas capables de donner leur prix à Thomas Bernhard alors des rigolos

D. dit: à

Bouguereau, vous avez un goût très sûr.

Widergänger dit: à

Je ne peux pas dire que ce que je viens d’entendre sur France Cul m’ait convaincu. Ce n’est pas quelconque évidemment. On voit bien comment ça tient debout. Pas l’universel reportage, mais das Erleben, le vécu, les émotions, la vie dure, avec des répétitions qui scandent l’enfer, comme une mélopée qui vient vous prendre au détour d’une phrase. Faudrait en lire d’autres, pour voir, pour entendre surtout. Mais pas vraiment convaincu malgré ces bonnes impressions. Manque à mes yeux une certaine densité littéraire. Faudrait bien sûr pouvoir le lire en russe pour en juger. Je ne sais pas trop quoi en penser à vrai dire.

Le jeu des mille boumous dit: à

D. dit: 8 octobre 2015 à 21 h 03 min
Bouguereau, vous avez un goût très sûr.

– Qui est bouguereau?

– Une fille à barbus.

🙂

Chaloux dit: à

Faudrait en lire d’autres, pour voir, pour entendre surtout.

Vieille bavarde.

Widergänger dit: à

Evidemment, Thomas Bernhardt, c’est autre chose. Séduction immédiate. La première œuvre que j’ai lue de lui, Perturbation/Verstörung. En plus en allemand, d’emblée, le jeu de mots : er ist versört (il est bituré, dingue, barjo, cinglé, taré, perturbé ; perturbation, euphémisme… et puis des phrases à vous donner le tournis, comme une musique de Bach devenue folle, le clavier bien tempéré joué par Glenn Gould mais devenu cinglé, des phrases folles, un héros cinglé. Son nom : Saurau, die Sau, la truie, le cochon, le porc. Des alluions à Pascal, au hasard. Tout de suite séduit par Verstörung. Relu immédiatement après l’avoir terminé comme si je n’arrivais à le croire qu’il tel livre fût possible. Deuxième lecture encore plus fascinée que la première. Et puis tous les autres livres ensuite.

Là, Svetlana, pas vraiment séduit. J’ai l’impression qu’elle fait trop confiance au sens des choses racontées ; pas assez d’attention à la forme pour dire l’enfer, l’horreur des vies soviétiques. Mais peut-être qu’on se trompe justement en attendant ça de ce genre d’œuvre.

question dit: à

ResPublica dit: 8 octobre 2015 à 15 h 49 min

Le Toupi, il roulerait en scooter dans le Var ?

Debout les mots! dit: à

Widergänger dit: 8 octobre 2015 à 21 h 09 min
On voit bien comment ça tient debout.

C’est pas comme toi. On voit pas du tout.

Widergänger dit: à

Evidemment, Thomas Bernhardt, c’est autre chose. Séduction immédiate. La première œuvre que j’ai lue de lui, Perturbation/Verstörung. En plus en allemand, d’emblée, le jeu de mots : er ist versört

Widergänger dit: à

perturbation, euphémisme…

Widergänger dit: à

et puis des phrases à vous donner le tournis, comme une musique de Bach devenue folle, le clavier bien tempéré joué par Glenn Gould

G dit: à

Widergänger dit: 8 octobre 2015 à 20 h 13 min

N’allez pas lire l’article de Clausel, où il s’essuie, sur Jean Zay

Widergänger dit: à

des phrases folles, un héros à moitié fou.

Widergänger dit: à

Son nom : Saurau. Des allusions à Pascal, au hasard. Tout de suite séduit par Verstörung. Relu immédiatement après l’avoir terminé comme si je n’arrivais à le croire qu’un tel livre fût possible. Deuxième lecture encore plus fascinante que la première. Et puis tous les autres livres ensuite.

Là, Svetlana, pas vraiment séduit. J’ai l’impression qu’elle fait trop confiance au sens des choses racontées ; pas assez d’attention à la forme pour dire l’enfer, l’horreur des vies soviétiques. Mais peut-être qu’on se trompe justement en attendant ça de ce genre d’œuvre.

Widergänger dit: à

Saurau, le porc.

Widergänger dit: à

Evidemment, Thomas Bernhardt, c’est autre chose. Séduction immédiate. La première œuvre que j’ai lue de lui, Perturbation/Verstörung. En plus en allemand, d’emblée, le jeu de mots : er ist versört (il est dingue) ; perturbation, euphémisme… et puis des phrases à vous donner le tournis, comme une musique de Bach devenue folle, le clavier bien tempéré joué par Glenn Gould mais devenu fou, des phrases folles, un héros à moitié fou. Son nom : Saurau, le porc. Des allusions à Pascal, au hasard. Tout de suite séduit par Verstörung. Relu immédiatement après l’avoir terminé comme si je n’arrivais à le croire qu’un tel livre fût possible. Deuxième lecture encore plus fascinante que la première. Et puis tous les autres livres ensuite.

Là, Svetlana, pas vraiment séduit. J’ai l’impression qu’elle fait trop confiance au sens des choses racontées ; pas assez d’attention à la forme pour dire l’enfer, l’horreur des vies soviétiques. Mais peut-être qu’on se trompe justement en attendant ça de ce genre d’œuvre.

Widergänger dit: à

Faudrait écrire un roman dans la langue de Belkacem, en ouistiti amélioré. Ça doit faire bizarre quand même…

Zoon dit: à

Vu à la télé ce soir des images atroces des forfaits des fascistes israéliens en Cisjordanie. Il est probable qu’elles entraîneront des représailles. Beaucoup de nos jeunes, plutôt que de rejoindre la Syrie, préféreront sans doute s’infiltrer en Cisjordanie pour y mener des actions armées contre les forces armées israéliennes et les colons. En France même, d’autres prendront sans doute pour cibles ceux qu’ils auront identifiés comme les soutiens et les complices des sionistes. Cela nous promet des péripéties que, pour ma part, je suivrai avec un vif intérêt. Amis palestiniens, sachez que nous sommes à vos côtés et que nous prendrons une part active à votre combat.

Widergänger dit: à

Il y a aussi les récits de vie. Ça fait très récit de vie, les romans de Svetlana.

Widergänger dit: à

Faut pas rêver, mon bon Zon Zon…

Zoon dit: à

Thomas Bernhardt, c’est autre chose. Séduction immédiate. (Widergänger)

Thomas Bernhard sans « t » à la fin.

Chantal Thomas a écrit « Thomas Bernhard le briseur de silence ». Thomas Bernhard, c’est d’abord cela en effet : la puissance inoubliable d’une voix, la violence de la dénonciation de l’insupportable. Dans le théâtre, bien sûr. On ne se remet pas d’une pièce comme « Place des héros », de la force accusatrice des courtes scènes regroupées dans « Dramuscules », de la mise à nu des êtres dans « Les Mange-pas-cher ».Que les Nobel aient oublié Bernhard est logique : il est le type de l’artiste irrécupérable par l’establishment. Pour le comprendre, il faut lire l’irrésistible et féroce « Mes prix littéraires ».

Widergänger dit: à

Svetlana, c’est la guerre vue à travers un tempérament en somme. Du Zola intimiste.

Zoon dit: à

Que les Nobel aient oublié Bernhard est logique

Il est vrai qu’il est mort jeune ( à 58 ans ). Mais il avait eu le temps de donner toute la mesure de son génie, d’atteindre sa pleine maîtrise. Après tout, Camus a été nobélisé à 44 ans.

Sergio dit: à

bouguereau dit: 8 octobre 2015 à 19 h 38 min
pour les fps t’es mort toudsuite

Ca baisse ça baisse… Pour le simulateur de vol avec le Xeon et la carte graphique monumentale c’était dans les cent vingt ; six ans plus tard, mais l’avion a les ombres, des éclairages extraordinaires, je tombe à quarante. Mais il y a des gars avec cinq ou six, c’est encore praticable…

Jaune ou rouge il faut savoir choisir dit: à

Zoon dit: 8 octobre 2015 à 21 h 37 min
que nous prendrons une part active à votre combat.

Au derniers soleils de sa colline provençale, assise sur son pliant, Colette se propose de bouger pour soutenir la cause.
Finalement se rasseyant elle attaque son 18 ème pastis.

Environ 7€ dit: à

Zoon dit: 8 octobre 2015 à 21 h 54 min
il faut lire l’irrésistible et féroce « Mes prix littéraires »

Jambrun nous cite à chaque fois le même bouquin (superbe au demeurant).
Je crois que pour ta crédibilité, mon Jeannot, il faudrait investir dans un second poche.

Attila dit: à

Que le Nobel ait raté Thomas Bernard n’est pas pire que Gallimard refusant Proust, Céline, Gracq et jusqu’à Houellebecq !

D. dit: à

Pourquoi ce pseudonyme ridicule depuis quelques mois, Jacques Barozzi ? Cela vous correspond si peu vous qui êtes un érudit sensible, pacifique et si peu cavalier ?

lola dit: à

D 19h18. Me mettre dans le bain? comme vous y allez ..Charité bien ordonnée..vous avez vu la tête de votre »appartée »? un vrai gaspillage, mon ami; à qui vais-je bien pouvoir refiler ces 2 éclopées,en trop ?elles ont fané durant le transport , avec tous ces posts qui se bousculent…

Sergio 19h26. Vos conseils sont pleins de douceur,si ma souris toute neuve pouvait les écouter…pour un oui, pour un non, un k ou un v,un r ou un b,que sais-je ? vlan ,elle saute 3 lignes en arrière; la nettoyer à l’alcool ? vous paisantez, on lui retire tout de suite son permis, réfléchissez !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un Tchernobyl,…par ci, un Tchernobyl par là,!…

…ouvrons les fenêtres pour rester à nos cartes et territoires de nos guéridons,….

…l’émulation pour amoncelés, des prix et des prix, pour de la pub à l’indépendance de l’Ukraine,…
…travail des prix Nobel politique à l’O.T.A.N.,…à maintenir des tensions de haines par des accidents techniques à Tchernobyl,…en rapports avec ?,…la bataille de Stalingrad, et l’armée nazie, stopper net, par l’armée russe, des bolcheviks du peuple,!…
…le roi de Suède, aurait il, des prétentions pour s’autoproclamer roi de l’Ukraine – libre,…avec le concourt de son état-major dans l’O.T.A.N.,…Ah,!Ah,!…
…encore un abçès sur scènes et arrogances sur théâtres et Cinéma,!…
…se faire une action politique dominante, par la soumission en connivence d’un prix Nobel,…qui n’est plus, que du lot, de la seule  » Hanse Moyen Age commercial « , et cow-boys économique à prévaloir,!…

…toujours à désarticuler l’Europe des peuples,…pour des terres australes,!…etc,…
…vivre en Amérique,…Oui,!…dans quels états de droits, et pourquoi faire,…à d’autres mines de sel,!…etc,!…d’une autre Russie,…sociale,!…Ah,!Ah,!…
…un certain commerce des ridicules soucis du lucres, par cultures des soumis aux pots de vins collabos,!…
…se gonfler des conneries en mortadelles,!…
…Stalingrad,…guerres ou cinéma,
…Tchernobyl,…un sabotage placé, en amont,…pour des indépendantistes,!…
…le Nobel d’histoires à couper court,!…Ah,!Ah,!…
…les nouvelles fraîches pour demain,…des endives, des chicons sortis du frigo,…

…comment maintenir toute ces armées à se rouler les pouces, et faire des immigrants de souches à têtes à claques,!…
…des vikings qui battent de l’aille en mondialisation,…etc,!…
…une autre carte sur plans,…en transparence,!…etc,!…Go,..

JC..... dit: à

Bonjour, joyeux contribuables !

J’ai foi en l’Homme, capable d’une grande ingéniosité, créatif, amoral, et gardant la tête froide en toutes occasion.

L’exemple de ce « curé de l’Eure, le père Francis Michel, en conflit doctrinal depuis plusieurs années avec son évêque, qui a comparu hier devant le tribunal d’Evreux pour avoir détourné plus de 100.000 euros sur l’argent de la quête », me ravit !.

« Les faits se sont produits entre 2006 à 2008. Après une plainte de l’évêché, les enquêteurs ont retrouvé 116.000 euros sur les onze comptes bancaires du prêtre qui ne touchait en principe que 900 euros par mois. » (Le Figaro)

Ce n’est pas chez les adeptes de Mahomet que l’on trouverait pareil voyou … il y a religion et religion, n’est il pas vrai ?

C’est vrai aussi que dans l’Eure – je ne sais pas où c’est d’ailleurs, l’Eure – on n’a pas de pétrole !

JC..... dit: à

Le système de l’attribution de Prix, que ce soit Nobel, Goncourt ou autres, est un facteur aggravant de l’inégalité humaine.

Ces incitations à caractère fasciste devraient disparaître ! Tous égaux devant le lecteur !

On ne voit pas, on ne peut pas comprendre pourquoi on se doit de distinguer le « meilleur » de ce troupeau courageux qui sue sang et encre à raconter des bizarreries sur papier, certains durant toute leur vie gâchée par la littérature !

Attribuer un « PRIX » littéraire est un acte raciste. L’homme en uniforme blanc sur la passerelle, distingué des soutiers, couverts de la poussière noire du mépris !

Pourquoi ?

JC..... dit: à

L’attribution de PRIX en littérature est un acte fasciste, totalitaire, un acte de violence inadmissible !

En effet, on peut comprendre que dans le domaine des sciences dures, un CHIMISTE, un PHYSICIEN, puisse montrer la voie dans la connaissance du monde matériel. Bravo, l’artiste …

Mais qu’est ce qui autorise un CRITIQUE a indiquer la voie aux lecteurs !!!? Quelle autorité lui confère ces plumes de paon dont il pare son postérieur …? Houuuuu !

Les Prix ? Mercantilisme abject qui prend la Mémère en librairie pour une c.onne, incapable d’un choix libre, et la soumet jour après jour à l’hypnose des Jury, quel qu’ils soient. Achetez celui là ! Achetez celui ci !

Honteuses pratiques datant d’un autre âge…

JC..... dit: à

On me souffle dans l’oreillette…

Bien entendu, certains écrivains remarquables, Pierre Assouline en particulier, ne sont en rien concerné par mon propos incisif !….

JC..... dit: à

On me ressouffle dans l’oreillette…

Critique à la grappa, Paul Edel est dans le même cas, bien entendu… il ne faut pas généraliser !

christiane dit: à

@lola dit: 9 octobre 2015 à 0 h 22 min
(Pour faire rager D. le provocateur)
Lu ce matin votre commentaire de 19h02. Ma souris est plutôt docile en ce moment mais j’ai connu ces désappointements devant les embardées d’AZERTI !
Pas mal, le chat… (sans rapport avec vos regards étonnés sur la souris frondeuse !)
Donc je vous ai répondu, après lecture du 19h02. (A trouver dans la gare de triage ci-dessous).
Pour ce nouveau billet et ce prix Nobel, une pensée : les terres où l’on vit, ce qui s’y passe et façonne, transforme l’écriture. Qu’aurait écrit Svetlana Alexievitch, cette « étonnée de l’humain », vivant dans un autre pays ? Son observation de « l’enfer pavé de bonnes intentions » s’observe sur toute la planète mais là-bas, peut-être plus pour elle… Ce besoin de recueillir les voix de ceux qu’on écoute rarement, provoque certainement, à la lecture, bien des étonnements. Une autre façon de travailler l’écriture…
Son interrogation de traductrice (2013) est un autre voyage des voix entremêlées.
Quand vous évoquiez Lviv, étiez-vous en terrain d’approche ?

christiane dit: à

JC,
les « Prix » ? Vous empêchent-ils de lire ce que vous avez envie de lire ? Non, bien sûr. Alors, laissez-les apporter un peu de bonheur et d’aisance financière (parfois) aux lauréats. Entendre parler de livres ce n’est quand même pas désagréable, même si la piste aux étoiles s’accompagne des flonflons de la fanfare.
Restent deux silences : celui de l’écrivain, celui du lecteur.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pourquoi un premier de classe,…
…si ce n’est à l’offrir aux autres Dieux d’héritiers de la classe,…à se postulez aux rendements concurrentiels, à l’énigmatique place de direction, à fumés ses cigares du rendement,…
…en,  » havanes ‘, first lady, du Job sur liste en private émulation,…
…nous êtes toujours première de classe,…
…faire ses primaire, pour l’élection aux mis univers,!…
…toujours à poils sur les genoux du jury et con-sort,!…
…Cinéma,!…des suggestions, pour revoir les films 2 X, de suite,!…

…comme dans les entreprises, vérifier déjà, que les ouvriers,…sont bien durs d’oreilles pour les taches disciplinaires en gages d’emplois sûrs, dans l’avenir de crise pour nos incertains, à se lubrifier en alcôves d’entreprises et partis-pris les pieds-joints, toutes bonnes à testez avant les séances -canapés, cigares & machos,!…
…à nos cubains d’avant, après leurres, en boîtes,!…l’entreprise automatique, avec un gode télécommandé,!…
…mieux que cela le Cinéma,!…
…bon pour le service,…coca et sandwichs of course à little édulcorés,!…
…un franc-glais, qui n’en est pas,!…
…etc,!…café sans sucre,…à se sucrer l’esprit de son corps et ses souvenirs de sa première vie,…encore à digérer,!…etc,!…
…envoyez,!…aux con-sortiums,!…de validation des compétences,!…
…l’exploitation de l’homme par l’homme, comment résistez, en havanes machos & phallocraties machistes en herbes,…
…des oiseaux sans têtes à midi,…encore,!…Bip,!Bip,!…Alésia et consorts,!…Ciao, belli, en casting, les emplois d’outre-atlantique,!…

…encore un effort, pour l’épilation des marbres sur Roches,…etc,…Go,!…

JC..... dit: à

Non ! Christiane ! Non ! Les Prix, c’est SCANDALEUX !!!

C’est un business conduit par des critiques autoproclamés, des éditeurs aux poches pleines de recommandations, des voyous du milieu littéraire, au regard rusé, aux mains crochues, au sourire carnassier, aux commerciaux incultes …

Assez ! Assez ! Assez ! Un prix pour chacun ! Stop aux combines ….

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la paix aux,…J.C,!…

…façons,…enclumes ou marteaux, encore des fers à cheval du bonheur,!…les disciplines aux autres,!…
…Non,…c’est trop beau,!…censurer en projections privées,!…
…à nos logiques pavoisées of course à Machiavel des Princes, et cons-sorts,!…Ah,!…etc,…

Zoon dit: à

Il y a quelques années, je me suis converti au judaïsme. J’ai été chaleureusement accueilli par ma nouvelle communauté, une des plus importantes de France dans cette grande ville du Midi. Je suis devenu un assidu de la synagogue et un zélé auxiliaire du rabbin, que j’assiste dans ses oeuvres pieuses. Je suis un zélé prosélyte, et l’on me doit plusieurs conversions. C’est dire l’estime et la confiance dont je jouis parmi mes coreligionnaires.
Mais je suis atteint d’un cancer et n’ai plus que peu de temps à vivre. J’en ai fait part à mes nouveaux amis, qui m’entourent de leur sollicitude et multiplient les attentions à mon égard.
Mais je ne mourrai pas de mon cancer. Chacun est libre de choisir la façon dont il quittera sa vie. J’ai choisi la mienne.
Il y a quelques années, je me suis converti (discrètement) à l’Islam. En ma qualité de visiteur des prisons, j’ai pris langue avec un groupe de djihadistes déterminés auxquels j’ai fait part de mon désir ardent de servir la cause, par quelque action d’éclat. A l’extérieur de la prison, les affidés du groupe, inconnus des services de police, m’ont fourni la ceinture d’explosifs. Je la contemple sur le meuble de mon bureau où je l’ai installée. D’un modèle de nouvelle génération, elle est ultra-puissante et invisible, même sous des vêtements légers.
Dans quelques semaines, on célébrera à la synagogue le mariage des enfants de deux familles de mes amis. Il y aura beaucoup de monde, d’autant plus que les parents des fiancés sont des notables de la ville. On attend même un célèbre critique littéraire parisien, membre de l’Académie Goncourt. Enfin, c’est ce qu’on m’a dit.
En tant que parrain de la mariée, je serai évidemment aux premières loges de la cérémonie. Viendra le moment où les nouveaux époux prononceront le « oui » fatidique. C’est alors que j’appuierai sur le déclencheur.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Karen Cheril,…
…la Marche des Machos,!…
…Oh,! Chéri Chéri …etc,!…

…B.D.,…Rivages/Casterman/Noir,…
…Adios Muchachos,!…Bacilieri/Matz/Chavarria,…chez Casterman,… Alicia, dans les rues de la Havane,!…etc,…
…des contrastes please,!…aux évolutions french-tendances,…
…etc,!…l’orthographe dessinée,!…des vides et des pleins sur rotatives, l’imprimerie,…conceptuelle,…aux esprits,!…
…le cigare vernis,!…etc,…çà mousse le bas-tôt et ses castings à la rose,…etc,…
…envoyez,!…

la vie dans les bois dit: à

Je souhaite revenir sur l’interpellation de
@de l’ usage du lien dit: 8 octobre 2015 à 16 h 45 min

Ce qui est d’autant plus étonnant, c’est que j’ai retrouvé ce numéro de Philosophie magazine N°84 de novembre 2014, je l’ai sous les yeux, où figure cet entre Michel Eltchaninoff et S. Alexievitch :  » j’écris l’histoire des âmes ».

Pourquoi n’ai-je pas alors réactivé des liens dans ma mémoire à l’évocation du nom de la lauréate du Nobel 2015 de littérature ?

Probablement parce que ce numéro de Philo Magazine qui titrait  » Qu’est-ce que faire son deuil » contenait d’autres choses qui ont marqué durablement mon esprit.

Quoi qu’il en soit, je ne puis que vous confirmer que l’entretien donné en premier lien dans le billet repris dans un  » Thesaurus » d’Actes Sud est bien complet …

Cazeneuve, nain policier..... dit: à

Cher compatriote Zoon, nous serons avec quelques uns de mes amis très heureux de participer à votre fête !

Le mariage est un saint sacrement, si merveilleux, une explosion de joie !

… nous arriverons un peu en avance … on n’est jamais trop prudents….

la vie dans les bois dit: à

Ce qui me fait dire aussi que le mot « résignation » est très mal venu.

bouguereau dit: à

En effet, on peut comprendre que dans le domaine des sciences dures, un CHIMISTE, un PHYSICIEN, puisse montrer la voie dans la connaissance du monde matériel. Bravo, l’artiste …

des pensionné du complesque militaro industriel des vipère lubriques des grands groupes farmaceutiques..des aparatchiks du mou d’veau des faiseur d’une matière tout en toc..aux chiottes les arbitres!

Zoon dit: à

Cazeneuve, nain policier….. dit: 9 octobre 2015 à 8 h 35 min
Cher compatriote Zoon, nous serons avec quelques uns de mes amis très heureux de participer à votre fête !

En attendant, je suis persuadé que mon histoire ferait un très bon scénario. Je me propose d’ailleurs de le soumettre à Thomas Langmann, qui se déclarera sûrement intéressé. Je suis sûr que le regretté Roger Hanin aurait été heureux d’interpréter le rôle principal (le mien). J’ai même déjà trouvé le titre : « Le Suisse Jüff » (je suis de nationalité suisse).

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*