Le nouveau Javier Cercas, roman noir, furieux et politique
Voilà un écrivain à qui nul de bonne foi ne pourra reprocher d’écrire chaque fois le même livre, contrairement à tant d’autres qui se tiennent au genre qui a fait leur succès à leurs débuts. Lui aurait pu également ayant donné ses lettres de noblesses à la novela sin ficción (roman sans fiction) avec des livres acclamés tant par la critique que par le public, et couronnés de prix, des Soldats de Salamine au Monarque des ombres en passant Anatomie d’un instant et L’Imposteur. Changer de genre, fut-ce provisoirement, est le plus souvent perçu comme une tentative de renouvellement au risque d’y perdre son public. On en connait qui ont laissé des plumes à vouloir changer de plume. Javier Cercas (Càceres, 1962) n’a pas changé de convictions en changeant de genre. Il a mis haut la barre non seulement optant pour le polar politique mais en se lançant d’emblée dans une trilogie romanesque, excusez du peu.
Terra Alta, son premier tome, lui a donné raison. Le deuxième paru il y a peu sous le titre Indépendance (Independencia, traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujicic et Karine Louesdon, 338 pages, 23 euros, Actes sud), le confirme dans son choix. Il emporte le morceau dès les premières pages de cette sombre histoire qui se déroule en 2025 à Barcelone. Selon la loi du genre, on y retrouve des personnages désormais récurrents, Rosa Adell, héritière des cartonneries Adell, le sergent Blai passé inspecteur, qui ne travaille plus en Terra Alta, cette région de la province de Tarragone (Catalogne) qui donne son titre à la trilogie, mais dans la banlieue de Sabadell, ville de la province de Barcelone, et surtout celui qui est central, Melchor Marín, barcelonais à jamais malgré ses différentes affectations, un flic bourru, pas commode, discret, obsessionnellement intègre, prompt au coup de poing dans la gueule avec les faux naïfs, sombre tant il est hanté par la mort de sa femme Olga dont il se sent irrémédiablement responsable, un taciturne que son passé de trafiquant de drogue et d’ex-taulard vient titiller de temps en temps – et cela vous rappelle quelqu’un, c’est normal, il y a du Javert en lui, ressemblance revendiquée par l’auteur puisque sa fille s’appelle Cosette et son livre de chevet s’intitule Les Misérables (à peine cité, juste une fois en passant, de même que L’Illustre maison de Ramires du portugais Eça de Queiroz) ; seulement cette fois, c’est moins souligné que dans le premier temps. Il y avait résolu l’affaire en cours de manière radicale en ne se contentant pas de mettre la main sur quatre terroristes islamistes en fuite mais en les abattant en pleine rue à Cambrils, une commune de la province de Tarragone, ce qui lui conféra le statut de symbole et de héros national.
On retrouve donc Melchor Marín à Barcelone, ville où il y a toujours quelqu’un ou quelque chose pour lui rappeler l’assassinat de sa mère prostituée et lui faire serrer les poings, au moment où il débarque au Département central des enquêtes sur les personnes de la « crim’ » pour être rattaché à l’Unité centrale des enlèvements et extorsions, laquelle peut agir sur tout le territoire catalan sous les ordres du sergent Vàzquez. Il a été appelé pour y résoudre un petit problème qui risque de prendre des proportions s’il n’est pas résolu au plus vite : la maire de cette capitale régionale devenue à ses yeux insupportable (« aussi sale que Naples et aussi puritaine que Genève. Bref, le pire de chaque endroit »), une personnalité avant tout guidée par ses propres intérêts, son ambition et son opportunisme, fait l’objet d’un chantage du type « sextorsion ». Autrement dit, un anonyme menace de rendre publique une vidéo dans laquelle elle a été filmée, alors jeune étudiante, dans des attitudes peu farouches qui tranchent avec la morale ultra-conservatrice et puritaine qu’elle prône désormais (ce qui n’est pas sans rappeler, de même que la série Intimidad actuellement diffusée sur Netflix, ce qu’avait vécu Olvido Hormigos, conseillère municipale PSOE de Los Yébenes (province de Tolède), affaire à la suite de laquelle elle avait intenté un procès à son ex-mari dans l’espoir de faire inscrire ce genre de délit dans la législation).
Le décor est planté mais il y manque un trio essentiel qui figure pourtant en illustration de couverture et ce n’est pas un hasard. Dans un milieu où un microcosme se donne pour l’élite catalane, avec tout ce que l’argent peut conférer d’arrogance aux puissants, quelques fils de famille, dont les géniteurs contrôlent tout et décident de tout, jouissent d’une impunité de classe pour leurs crimes et délits, et surtout pour les viols commis au cours de fêtes particulièrement arrosées (et là, difficile de ne pas y voir un écho certes transposé du scandale de la manada, cette « meute » autoproclamée dont la révélation des agissements avaient mobilisé l’opinion publique il y a quelques années). On touche là au sordide, l’enquête de Melchor Marín nous entrainant dans un monde d’autant plus glauque qu’il donne l’impression de vivre au-dessus des lois, que l’objet du chantage à la sextape soit une pure question d’argent ou qu’il s’avère être une arme de déstabilisation politique.
Ces intouchables sont protégés par les « Vidal boys », une sorte de milice parallèle mise en place par la mairie avec des anciens de la police. C’est dire si la charge politique d’Indépendance est aussi percutante, et la critique sociale aussi dévastatrice, que s’il s’était agi, comme dans l’ancienne manière de l’auteur, d’un roman sans fiction. Sous sa plume jamais dénué d’un humour mordant (d’autant qu’il s’autorise à plusieurs reprises une mise en abyme de lui-même sous son nom – « sacré casse-couilles celui-là » – et de son livre Terra Alta, qui n’est pas piquée des vers), la Generalitat est aussi corrompue que la municipalité, tous les politiciens sont dépeints comme des acteurs, la maire de Barcelone comme une série de masques sous lesquels il n’y a rien « car elle ne pense qu’à accumuler du pouvoir » (et Ada Colau, la maire de Barcelone, n’est pas en reste, évoquée comme « une actrice de premier ordre ») sans oublier ce pantin de Puidgemont « président fortuit du gouvernement catalan » et le major Trapero des mossos d’esquadra (la police locale) qui fut mouillé dans la tentative avortées de sécession en 2017.
On aura compris, pour ceux qui ignoreraient encore les convictions politiques Javier Cercas, qu’Indépendance n’est vraiment pas favorable à l’indépendance de la Catalogne (« un luxe »), que le procès ne fut jamais que la métamorphose d’une revendication d’une minorité en celle de la moitié de la communauté autonome et que le pouvoir y est aux mains des villes. Mis à nu, les indépendantistes n’y ont d’autre souci que de préserver les privilèges de leur caste.
Si ce polar politique tout à fait actuel est aussi captivant, c’est que l’auteur, dans la parfaite maitrise de ses moyens, a trouvé le juste équilibre entre les deux composantes, trop riche et dense pour verser dans le pamphlet romanesque à la Eric Vuillard, trop réfractaire au militantisme par le biais de la littérature pour que s’en dégage le fumet de la propagande, trop confiant dans le pouvoir de la fiction lorsqu’elle s’ancre dans l’histoire immédiate pour que son roman soit lu pour autre chose que ce qu’il est. De la littérature et de la meilleure. En attendant la parution du troisième tome de Terra Alta, on comprend que, pour nombre de critiques et de lecteurs, les deux premiers ont suffi pour que Melchor Marín, personnage terriblement attachant par sa complexité, figure d’ores et déjà parmi les grands flics du roman noir contemporain, aux côtés du Kurt Wallander de Henning Mankell et du Pepe Carvalho de Manuel Vázquez Montalbán. Il est de pire compagnonnages.
(Oeuvres d’Antoni Tàpies, D.R.)
1 211 Réponses pour Le nouveau Javier Cercas, roman noir, furieux et politique
faut se les faire soimême les merguez baroz..un peu comme les antiques volauvent..sinon tu es sur de manger du chien au gras de veau
« On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas tout d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure »
il faut recontextualiser le nonos..il ne dit pas que le monde moderne ne croit pas à la vie interieur et qu’il ne fait pas le siège d’un chateau vide..au contraire..nonos est retord..et surtout pas trés catholique..ce quau contraire permet souvent de faire excellent commerce de sa vie interieur à lui..de la vendre pour rien a sa place
Et le bouguereau le crétin toujours à regarder les autres plutôt que faire un bon usage de son miroir.
toujours à regarder les autres plutôt que faire un bon usage de son miroir
et je m’en flatte..narcisse suisse
Évidemment, étant un crétin !
« la poésie est LA voix essentielle de l’humanité, loin devant les autres formes littéraires » (bloom)
Content de l’apprendre ! J’adore les affirmations dénuées de fondement.
Personnellement, je milite pour le chant vocal, sans proclamer qu’il est LA voix de l’humanité laquelle à mes yeux n’existe pas le moins du monde.
MICHEL SCHNEIDER EST MORT.IL AVAIT 78 ANS,
c’était la dernière séance
Évidemment, étant un crétin !
excellente base de départ rénateau..fort de cette première hypothèse prend ton baton de pélerin..regarde..compare..mesure..et si tu y reviens c’est quil faut bien qu’un peu tu aimasses ton pays..-branleur-
– si la poussière est amoureuse cela veut dire que l’amour a survécu à la mort. T’imagines-tu bin que c’est ski fallait comprend’ après des milliers de gloses, que Vedo, t’es bouché ou koiq ? (merci chachal75).
– si feu ma femme créole en Réunion n’avait pas été la seule personne que j’ai la plus aimée au monde toute ma vie, je ne serais pas devenu un militant de l’anti-racisme à sa mort. Je serais resté d’extrême-droite sous chien comme tout le monde, un brin antiarabe et antinègre…. Ben quoi ?
– la métaphore « pladza » pour dire le citoyen moyen d’aujourd’hui, blanc, entrepreneurial, bisexué, de centre-droit, macronismé, est tout à fait utile pour bien mesurer les écarts de chaque erdélien.ne à ce profil moyen. Le centre de gravité de la cloche en U. évolue, TCPCE.
– mais le plurivers est-il capable de nous faire dépasser en imagination et en scientificité cette « loi » exaspérante de l’actuelle astro-physique quantique selon laquelle, rien ne saurait aller plus vite que « la vitesse de la lumière » ?
– il ne faut pas chercher aux puces des remblas de barcelone l’explication mystérieuse d’une poussière amoureuse incrustée au bas du plafond de chaque hispanic. Ne pas la balayer non plus d’un revers de pelle, si la toile d’araignée la maintient sous contrôle. Par exemple, le bien français // : « et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde ». Ebé, il reste inutile de s’esquinter à comprendre « ce qu’a voulu dire l’auteur », intimement. Le savait pas lui-même.
– Le problème du sympathic jzmn, c’est qu’il veut trop essayer de comprendre ces « gens-là », et quand il parvient à se faire expliquer un commentaire énigmatique par mon jmb, les remercie d’inespérance, l’a trop de bonté. Restons sur la RDL et rappelons que Zuckerman, s’adressant à l’autobiographie de Roth, lui reprochait de confondre éthique et esthétique. C’est le SUJET de beaucoup, icite, et seul jmb semble échapper à cette PROBLEMATIUQE, JE PENSE, C’EST ça. VOILA…
« Alors, maintenant, nous beut-être bouvoir gommencer, oui ? »
Bàv (22.7.22 @ 10.27)
POUR MICHEL SCHNEIDER
GOULD BACH
https://www.youtube.com/watch?v=Cwas_7H5KUs
« c’était la dernière séance »
C’était un projectionniste de l’inconscient…
Ma bonté me sauvera, JJJ !
Baudelaire
Le mort joyeux
Dans une terre grasse et pleine d’escargots
Je veux creuser moi-même une fosse profonde,
Où je puisse à loisir étaler mes vieux os
Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde,
Je hais les testaments et je hais les tombeaux ;
Plutôt que d’implorer une larme du monde,
Vivant, j’aimerais mieux inviter les corbeaux
A saigner tous les bouts de ma carcasse immonde.
Ô vers ! noirs compagnons sans oreille et sans yeux,
Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ;
Philosophes viveurs, fils de la pourriture,
A travers ma ruine allez donc sans remords,
Et dites-moi s’il est encor quelque torture
Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts !
« Il y a, dans la position d’avoir des enfants sans avoir à rentrer en rapport avec le sexe masculin, une peur, une haine, une crainte, une phobie du membre viril, qui fait qu’on essaye d’avoir le produit de l’accouplement sans avoir à passer par l’acte d’accouplement. Là, il y a quand même un fantasme, on a envie de dire “Mesdames, si vous voulez avoir des enfants, il y a un moyen très simple, très économique, qui ne coûte rien à personne, c’est le rapport sexuel avec un homme en chair et en os”. Pourquoi avoir besoin de PMA ? Pourquoi vouloir être mère quand on a choisi un mode de sexualité qui l’interdit »
____
Evitons les sujets qui fâchent la psychanalyse engagée à deux balles, en ce jour de deuil musical. Bàv,
« et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde ». Ebé, il reste inutile de s’esquinter à comprendre « ce qu’a voulu dire l’auteur », intimement. Le savait pas lui-même
et bien il y a synchronicité laminche..la majorité des requins sont des bestes condamnées à la mobilité ne pouvant pulser l’eau donc loxygène de leur « ouies » qui n’en sont pas..une légende tenace affirme qu’il y a des lieux où le courant est assez fort pour qu’ils arrêtent enfin leur effort..et qu’ils y convergeraient comme des keupu a leur spot de cocke..qu’enfin il connaitraient une forme de sommeil telment inconnu qu’il sombreraient à jamais sils était sur des bas fond
il se trouve que Ferdinand Cheval était facteur
Il transmettait le courrier, pas peintre en lettre pour un sou.
Mais il fit des dessins de préfiguration de son Palais.
« il reste inutile de s’esquinter à comprendre « ce qu’a voulu dire l’auteur » »
Sa dernière adresse pour aller lui poser la question.
https://www.lelezarddeparis.fr/le-cimetiere-du-montparnasse
« narcisse suisse »
Quelles sifflantes, ces serpents sur sa tête! 🙂
@ Ma bonté me sauvera
yes, jzmn… T’es le seul qu’ira direck au paradis !
Dédé devra mettre bin plus de temps pour te rejoind’ à la droit’du père.
(***pardon pour le tutoyage, je commence à êt’condaminé) BaVous,
Bouguereau, regarde plutôt toi-même, petit provincial chauvin ; essaye de faire un petit voyage hors des frontières nationales, tant pour ne pas mourir con comme tu as vécu.
cette hestoire n’est pas de ce turd de damien..c’est un conte de californie
https://blog.artsper.com/wp-content/uploads/2014/03/DHS76_771_0.jpg
Michel Schneider était un homme de gauche, JJJ. Il a beaucoup pleuré à la mort de Mao.
Moi j’ai été très ému par la mort de tes poules, JJJ. Surtout par le suicide de la dernière, snif !
p’tain, jmb, je suis scié sur l’histoire du rorcal ! vous croyez que beau de l’air savait toussa ?
Le seul Schneider qui a de la valeur :
il n’y a pas bijection que serdgio le matheux aurait dit baroz..et par la barbe de pétain l’émotion que singes à la mort des poules le montre bien
c’est pas que rénateau n’veaudrait rien avec du persil dans les oreilles..mais il faudrait un sot de sauce gribiche
« Le seul Schneider qui a de la valeur »
C’est une appréciation fiduciaire, renato !
Combien valait-il au kilo ?
par la barbe de pétain baroz..il n’y a pas bijection que serdgio le matheux aurait dit..
lui c’est lalbatroce..je crois comme rénateau qu’on a un animal totème..c’est pas dma faute qu’il dit..j’ai tiré un mauvais numéro comme pédro
merssi jzmn, êtes un pote, suis sûr que pour mes poules, etc
(nb / perso, aij amais compris comment l’école mao pouvaient être de gôche… Encore une i(v)ro(g)nie de listoir, comme ils auraient dit, les et-tabli-s, avec alain geste-marre & marie-antoinette ma ciotti) 😉
Pour moi, 75 sera toujours un bon numéro, le boug !
Au jeu des sept familles Schneider, je demande Maria et Romy !
on a beau être bijecté, on n’en reste pas moins humain.e, comme isabelle !… Il singe rin, l’est authentique, voilà ce que je croij. Le respecte mes animaux fétiches, comme moij le jaloux ChedlY.
Bàv, et à Serdgio des fractales de Nancy, ça fait un cercle.
Pour moi, 75 sera toujours un bon numéro
pédro son totème c’est le cochon noir hybridé d’une truie gasconne..total il sait plus où il habite..sinon une conduite dafrenchézado..ha c’est pas toujours marrant le chamanisme hibérique..
Marius Schneider, « Les dieux sont des chants ».
Avant d’être des figures et des visages, les dieux étaient un rythme et une mélodie, car l’origine, selon les cosmologies archaïques, est un son, une vibration. Mais il a fallu l’association d’un musicologue et d’un mythologue, ainsi qu’une audace de pensée inflexible, pour reconstruire un modèle de cosmologie qui n’est rien d’autre que l’articulation d’une substance sonore qui nous éclaire à la fois sur les spéculations védiques et sur le Verbe johannique. Marius Schneider a consacré sa vie à tenter de recomposer la cosmologie archaïque à partir du son — il en retrouve la trace partout dans le monde : Chine, Australie, Asie centrale, Afrique, ainsi que dans les chapiteaux romans. Cela dit, Jacques, vous le lisez et vous faites votre idée.
@ 75 sera toujours un bon numéro
oui, mais faudrait pas qui soye usurpé par n’importe quel.le espingouin.e….
(Et suivez pas mon regard, hein !)
Le seul qui a tiré un mauvais numéro, ici, c’est le bouguereau — ce qui explique son masque construit pour cacher ses frustrations ; et avec ça, à partir de maintenant je me tiens au fait qu’on peut ne pas lire les post de quelqu’un, qu’il suffit de faire défiler et d’aller plus loin sans casser les boules à son prochain, ce qui n’est pas nécessaire car l’intervenait s’en charge.
Oui Jacques, nous vous guidons la tête, telle Antigone son aveugle de père.
Cela dit, vous en faites ce que vous voulez, naturellement.
Nous sommes toutes des suissesses très libérales face à l’inintelligence collective.
Bàv,
@ lalbatroce
té…, au fait i devient koi, le michel wawagon du gangstère ?
Il existe un ordres des Hétérodontiformes appelés requins dormeurs.
Ils vivent tapis au fond de l’océan à des profondeurs comprises, nous dit-on, entre la surface et 305m (!)
il existe même un requin dormeur zèbre, Heterodontus zebra qui, le malheureux, hésite toujours entre dormir ou faire le zèbre.
l’est authentique, voilà ce que je croij
à paris tout est frelaté et les rosettes s’éclosent forcé au gazoil russe..depuis que poutine a dit qu’il n’y enverrait jamais de sarmat pour prouver au monde que la russie est pure et sans tâche..et baroz tartarine en disant que c’est de sa science
Je me méfie beaucoup de l’érudition sur la poésie et je n’y attache, en général, pas grande valeur…
vedo dit:
Toi, tu te méfies même de la simple culture poétique, comme tu nous l’as prouvé hier ici, en ignorant ce qu’est un sonnet…
Quant à ta connaissance de la poésie en espagnol, je te soupçonne d’avoir appris 3 poèmes par coeur (« Érase un hombre a una nariz pegado », « La canción del pirata » et « Volverán las oscuras golondrinas ») pour te la péter devant des naïfs encore plus incultes que toi. D’ailleurs, le choix « pue » l’exhibitionnisme le plus puéril…
enfin, c pas toujours l’ankulélé qu’on croit, même si peut tjs y avoir un p’tit doute sur la rosette de wladimir, hein !
(@tation à pas cfdr l’Hétérodontiforme d’avec l’Héautontimorouménos, hein ! chez Charly, c pas toujours bin clair, en bourreau de lui-même se prenant pour un vil(b)requin !… olé ! roulez lucien !)
BWV 972 :
pour te la péter devant des naïfs encore plus incultes que toi
attation pédro..sinon on va dire quau spectacle de ton pétomane tu es celui qui applaudit le plus fort pour faire le modeste et couvrir des talents musicilogiques de naissance..n’oublie pas que rénateau te voit et t’entend
(Gong Ora) … kil est imbu-teigneux ce mec, nom de dieu !… A vraiment pas conscience de s’enfoncer toujours un peu plus aux tréfonds des CDBF !
Sans soute qu’à MADRID, puent moins qu’à PARIS…
Michel Schneider a écrit des livres intéressants, même si un peu pédants, sur la musique. J’en ai lu 2: « Glenn Gould, piano solo » et « La Tombée du jour : Schumann ».
J’ai d’autres livres de lui, dont ceux sur Proust et sur Marilyn, que ma femme a lu et aimé, mais moi pas encore (et je ne risque pas de le faire, ne sachant pas où ils sont).
Le seul Schneider qui a de la valeur :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marius_Schneider
renato dit:
Qu’est-ce qu’il faut lire de lui?
Schumann: Piano Quartet in E flat, Op. 47 – 3. Andante cantabile
Beaux Arts Trio & Samuel Rhodes
Quoi lire de Marius Schneider ? j’ai presque tout lu en italien et anglais, il a aussi écrit en espagnol et allemand, je ne sais pas si cet alsacien est traduit en français
Il significato della musica ; Pietre che cantano : studi sul ritmo di tre chiostri catalani di stile romanico ; Gli Animali simbolici e la loro origine musicale nella mitologia e nella scultura antiche (trad. de l’espagnol : El origen musical de los animales-simbolos en la mitologia y la escultura antiguas. Ensayo historico-etnografico sobre la subestructura totemistica y megalitica de las altas culturas y su supervivencia en el folklore espanol) La musica primitiva ; La nozione del tempo nella filosofia e nella mitologia vedica (dans Ecologia della musica) ; Cosmic Music: Musical Keys to the Interpretation of Reality ; Inner Traditions International.
Ecologia della musica :
Oups! Inner Traditions International > Cosmic Music, musical Keys to the Interpretation of Reality… pardon, etc.
La suite de Indépendencia de Javier Cercas: El castillo de Barbazul, située , excusez du peu,https://www.youtube.com/watch?v=BOnQRhwEYeA en 2035. Pour ceux qui comprennent l’espagnol:
@ renato
Merci. Je vais voir ça…
Je n’aime pas du tout la littérature espagnole actuelle, elle est moite et humide comme les cheveux d’Antonio Banderas, vulgaire et laide comme Rossy de Palma. Beurk !
pourquoi imiter la rhétorique de D., jacques ?
« pourquoi imiter la rhétorique de D., jacques ? »
Idem pour Charoulet…
Que l’on condescende à m’y autoriser ou non, je persisterai quant à moi à accorder de la valeur à cet ouvrage de M. Schneider : Voleurs de mots Essai sur le plagiat
« Marius Schneider a été l’un des plus grands ethno-musicologues, auteur aussi d’un travail très important paru en 1960 sous le titre La Philosophie de la musique chez les peuples non européens dans l’Encyclopédie de la Pléiade chez Gallimard. »
Moi non plus je n’aime pas du tout Voltaire, ce qui n’est pas le cas des merguez.
Par ailleurs je me réjouis que l’horrible Draghi se soit barré, c’est une grande chance pour l’Italie. Je ne tiens pas à faire d’ingérence dans les affaires italiennes mais bon.
Idem pour x
Allons-nous assister à un grand phénomène d’unicité ?
RENATO,merci pour l' »l’Ecomusicologie »,
Mario Draghi, fils d’un banquier originaire de Padoue. Père de Giacomo, cadre au fonds spéculatif londonien LMR Partners.
Rien que ça, en dit déjà long.
Mario Draghi est, de 2002 à 2005, vice-président de la branche européenne de la banque d’affaires américaine Goldman Sachs. Cette fonction prête à polémique quant à un éventuel conflit d’intérêt: contre rémunération, la banque d’affaires a notamment aidé la Grèce à dissimuler son déficit public via un procédé considéré comme relevant de l’inventivité comptable. Le député européen Pascal Canfin considère qu’il est directement impliqué dans l’échange de swaps avec des États aujourd’hui en difficulté, ce que nie Mario Draghi qui précise que ce type de contrats étaient engagés avant son entrée en fonction à Goldman Sachs; il soutiendra lors d’une audition par les députés européens avoir travaillé uniquement avec le secteur privé alors qu’il était chargé aussi, selon les communiqués de Goldman Sachs, du travail avec les gouvernements et les agences gouvernementales (acteurs publics) et du développement stratégique en Europe avec les principaux dirigeants de la firme.
(Wikipédia)
je n’aime pas du tout Voltaire, ce qui n’est pas le cas des merguez
pourtant je l’aurai bien vu avec une demi baguette onion merguez a son écritoire..terminant sa missive par ‘mamdame larissa si vous voyez quelques taches rougeatre sur le papier cest que le sang me bout et ne cesse à l’instant encore de me regonfler la bite..à vous revoir..même de dos etc.’
Le 29 décembre 2005, Mario Draghi est nommé gouverneur de la Banque d’Italie par le président du Conseil, Silvio Berlusconi, pour un mandat renouvelable de six ans. Il prend ses fonctions le 16 janvier 2006. Fait notable, provenant du secteur privé, il est le premier gouverneur de la Banque d’Italie depuis 1960 à ne pas avoir fait l’intégralité de sa carrière à la Banque d’Italie. Il remplace Antonio Fazio, démissionnaire à cause de son implication dans une affaire de conflit d’intérêts. En tant que gouverneur, il se retrouve aussi membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE).
Il adresse en août 2011, avec le gouverneur de la BCE Jean-Claude Trichet, une lettre secrète à Silvio Berlusconi lui demandant d’accentuer les réformes libérales, notamment l’assouplissement de la législation sur les licenciements, des privatisations, et la baisse des salaires des fonctionnaires.
(Wikipédia)
…sympathique, le Draghi, non ? Je vous en mets encore un peu ?
Etonnante photo et étonnant Tchekhov !
https://www.facebook.com/j.artsculture/photos/a.2264580033605466/5398795120183926
Quelqu’un sait s’il y a en français quelques chose de traduit de Giacoma Limentani ?
Quelques titres : In contumacia; Gli uomini del libro: leggende ebraiche ; Il grande seduto ; Il vizio del faraone e altre leggende ebraiche ; L’ombra allo specchio.
Intéressant l’essai Scrivere dopo per scrivere prima: riflessioni e scritti
(Présentation du livre : « Partant de l’hypothèse que l’on écrit toujours après que ce que l’on veut ou doit écrire est devenu une expérience, un questionnement et donc une expérience culturelle ou de vie, GL arrive à la conclusion que l’écriture doit cependant être aussi une écriture d’avant : c’est-à-dire que l’expérience que l’on essaie de communiquer par l’écriture aide le lecteur à regarder vers demain. C’est une hypothèse ambitieuse, mais qui ne tombe pas dans la présomption dans la mesure où elle cherche à obéir à l’impératif juif de se référer au passé pour vivre le présent en fonction de l’avenir. Non seulement pour assurer l’homogénéité de l’ensemble du volume, parmi les divers écrits couvrant une trentaine d’années, GL a choisi avant tout ceux qui sont les plus centrés sur le judaïsme : ce des Juifs étant à la fois un destin et un impératif pour la diversité, l’expérience juive est particulièrement pertinente dans une société où ceux qui sont différents sont de plus en plus nombreux et de moins en moins tolérés. »)
RENATO,merci pour l’ »l’Ecomusicologie »
c’est certain que draghi et la merguez..c’est la carpe et le lapin..rénateau s’en dit rechton naturel..je ne sais que penser
Au début de l’année 2013, alors qu’il est à la tête de la BCE, Mario Draghi est mentionné dans le cadre de l’affaire « Monte Paschi ». La Banque d’Italie, qu’il dirigeait au moment des faits, est accusée d’avoir réagi trop lentement et de façon peu transparente à l’égard de la banque Monte dei Paschi di Siena, la troisième banque du pays, en difficulté pour avoir procédé à partir de 2006 à des transactions risquées de produits dérivés sur fond de soupçons de corruption. Le parquet de Trani ouvre alors une enquête sur la Banque d’Italie pour manquements à ses devoirs de régulateur.
(Wikipédia)
ce > celui
il y a des années que je n’avais pas vu Michel Schneider, et si je l’avais rencontré par hasard il ne m’aurait probablement pas reconnue et même mon nom ne lui aurait rien dit.
Et pourtant sa mort me remue au delà de ce que j’éprouverais devant la disparition d’un écrivain aimé , ou plutôt d’une manière différente, étrangère à mon appreciation de son oeuvre *
Car c’est la mort d’un camarade que j’ai côtoyé naguère, avant qu’il connaisse la notoriété ,et que cette mort m »a confrontée brutalement et douloureusement, l’espace d’un eclair, à la fragilité de ma propre vie
@ ce qui n’est pas le cas des merguez
elles aiment Voltaire ?…
Grand-croix de l’ordre du Mérite de la République italienne (2000 ; grand officier en 1991)[41],[42].Grand-croix avec collier de l’ordre de l’Infant Dom Henri (2019)[43].Grand-croix de l’ordre du Mérite de la République fédérale d’Allemagne (2020)
Quoi ? Pas encore la Légion d’honneur en France ?? Maimaimais qu’attend-t-on donc ?
Étrange comme la photo de Tchékhov nous le ressuscite sous nos yeux.
Tellement vivant, tellement proche de et pour nous l’auteur de La Dame au petit chien.
Je préfère les merguez qui n’aiment pas Voltaire, en effet.
moi aussi tiens je vais cracher ma valda avant ma dernière dents sur michel chnédère..combien de fois aije dis a fog que j’aimais bien plus son look d’endormi que le sien..que ses petits yeux entrouvert avait plus de malice que son air de cleps de la fourrière..juste pour le voir se mettre en panique « non non pitié je ne veux pas y retourner.. »
Que l’on condescende à m’y autoriser ou non, je persisterai quant à moi à accorder de la valeur à cet ouvrage de M. Schneider
x dit:
Mais ici tout le monde s’en fout complètement de tes goûts et tes opinions…
« Tellement vivant »
Il respire l’intelligence et la douceur.
Oui moi je m’en fous complètement, bien que je ne sois pas tout le monde.
Quelqu’un sait s’il y a en français quelques chose de traduit de Giacoma Limentani ?
renato dit:
Ça a pas l’air. Et en espagnol non plus.
Tu bossais au Point, le boug ?
Et tu connais Polo ?
De toutes façons j’envisage de me retirer définitivement au Mont Athos sous huitaine.
Faudrait-il demander à René de Ceccatty de traduire sa trilogie et de l’éditer en France ?
https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/trilogia-7
Mais dans quel délire êtes-vous encore plongé, jazzi ?
Vedo, à propos de « érudition » et poésie, il me semble surtout que l’on devrait s’efforcer de distinguer
— l’analyse (technique, savante) du « mode d’être artistique » (en l’occurrence littéraire) des œuvres, analyse de leurs propriétés (du côté de la production),
et
— l’observation, l’approfondissement de leur « mode d’être esthétique », en nous : du côté de la réception, de la subjectivité de l’expérience esthétique.
L’une et l’autre ont leur légitimité — dans leur ordre propre.
Que l’on convoque les autorités critiques pour imposer en norme ses propres préférences ou qu’au contraire on récuse ou ridiculise toute forme d’analyse de l’œuvre au profit de la tyrannie de son « ressenti » personnel, on bascule dans la confusion des ordres, le discours faux et la volonté d’intimidation.
Cela dit, le problème que vous soulevez, celui de la dimension temporelle (du côté de la réception des œuvres) me paraît en effet important.
Elle est très bien, dites-moi, cette série » Intimidad « .
Même si elle n’est mentionnée que sous forme de post-it dans ce billet, et certainement sans aucun rapport avec le bouquin de Cercas,- sauf à vouloir » embrasser » le sujet sextape, et qui trop embrasse mal étreint, comme le billet à côté de la plaque sur le sujet-
on peut dire que oui, c’est une réussite, cette série.
Les paysages de la région de Bilbao sont aussi dans le casting. Magnifiques.
Les derniers bains d’Ane ( pas la maire, l’autre…) sont admirablement filmés et mis en musique.
On retrouve cette idée d’amour à mort, avec Wagner en toile de fond.
« Liebestod (prononcé en allemand : [ˈliːbəsˌtoːt], littéralement « mort d’amour ») est le titre de la dramatique musique du finale de l’opéra Tristan und Isolde (1859) de Richard Wagner. Lorsqu’il est utilisé comme terme littéraire, liebestod (de l’allemand Liebe, amour et Tod, mort), le mot se réfère au thème de l’érotisme de la mort ou de « l’amour à mort », signifiant que la consommation de l’amour du couple amoureux se fait dans la mort ou après la mort. » Wiki
J’ai shazamé, et la version proposée est celle-ci :
» Mild und leise wie er lächelt », par Jessye Norman.
au profit de la tyrannie de son « ressenti » personnel,
MERCI DEME DONNER L4OCCASION D4APPROUVER VOTRE INTERVENTION
Je me souviens d’un interprète très connu qui reconnaissait volontiers que ses opinions critiques contre tels auteurs et grands (et moins big)professeurs qui étaient « ses bêtes noires » ,étaient excessives et exagérées (tyrannique ressenti )
Vuillard, Cercas, ou la critique socio politique du capitalisme industriel, réduit soit à des compromissions , et quelles, soit a des orgies.
C’est vrai que c’est posture facile.
Trop ?
Enfin il y aura toujours quelque chose qui vous échappe.
Comme ce » peu farouche » si mal à propos, mais absolument INDIGNE, vestiges de vieux machisme.
C’est arrivé près de chez moi.
En ce moment on peut lire, tout autour du lac Daumesnil, des panneaux historiques illustrés nous contant la grande exposition coloniale de 1931, sur les lieux mêmes où elle se tint…
https://www.bing.com/videos/search?q=histoire+de+l%27exposition+coloniale+1931+paris+panneaux+expo+bois+de+vincennes&&view=detail&mid=487FDE09DCB4B845238C487FDE09DCB4B845238C&rvsmid=48E5D1DB6FE137DE49B448E5D1DB6FE137DE49B4&FORM=VDQVAP
Jazzi
Alexandre Pavlovitch Tchekhov était le frère aîné d’Anton. Ils s’apprécient tous deux et s’envoient régulièrement des petits mots ou des lettres très drôles. Alexandre est lui-même écrivain, journaliste, directeur de plusieurs revues, mais son frère cadet Anton est devenu plus célèbre, depuis la publication de la nouvelle « La steppe ».Les deux frères ont un même don pour les nouvelles humoristiques. Alexandre a éprouvé une telle passion pour la photo qu’il a publié en 1892 un « Dictionnaire chimique de la photographie » , donc un an après cette photo de son frère si émouvante . Cette photo est prise l’année où Tchekhov,31 ans, visite Venise, Rome, Nice et Paris. Anton a été séduit par l’Italie (surtout Venise)puis il vient en France, notamment à Nice, mais n’aime pas Paris. C’est aussi l’année où Anton flirte avec la belle comédienne aux yeux gris Lydia Stakhievna Mizinova et ,d’après les témoins, cette belle comédienne était folle de Tchekhov et lui était dans la séduction et la dérobade( « oh, Lika,Lika,infernale beauté « lui écrit-il et en juillet 1891 il écrit : »Chère Lydia Stakhievna,Je vous aime passionnément comme un tigre, et vous propose ma main.. » Quatre ans plus tard Anton se servira de « Lika » cette comédienne pour créer le personnage de Nina dans « La Mouette «.
Oui bon , Jessye en Isolde, on veut bien, mais pour le. Tristan, Ramon Vinay , Martha Modl , et’ le jeune Karajan restent très impressionnants, outre qu’ils chantent tout, et pas seulement le Liebestod.
Pour la bo de cette série « Intimidad » intimidation ? elle est très variée. Entre autres, Bashing ? A vérifier, et puis celle-ci qui va bien : Hate.
Bashung, lol
Cette scène dédoublée où Malen pleure, Ane se noie , sur » Mild und leise wie er lächelt », par Jessye Norman, est à mon avis la plus belle scene de la série.
A part Passou, personne ne peut rien en dire, ici.
Très belle légende pour accompagner l’émouvante photo, Paul !
L’avenir n’est-il pas au roman-photo ?
Avec des sons et de la musique par-dessus ou en-dessous, on a un film documentaire…
Je vous aime passionnément comme un tigre, et vous propose ma main..
au cul ferait vieux matou..et sans ça fait un peu court jeune homme qu’elle dirait bonne clopine
on est sur hinternet baroz..le touché et l’odeur..les fragrances qu’il dirait polo c’est pour bientôt
tout ce qui peut pas se raconter en 90 mn est inhumain quil dit dirfilou..si c’est sur 28 jours gaffe térezoune c’est l’age dabattage dun poulet classe a..classe c c’est s’il présente des hématomes..et si tu vas à la police..tu phinis en promo classe d
C’est arrivé près de chez moi
et avec la télé ça arrive dans ton salon baroz..les hestoires d’amour phinissent mal mein guénéral
Les critiques de « As Bestas » sont excellentes, closer.
Même Sophie Avon y va de son couplet élogieux dans Sud-Ouest :
« Rodrigo Sorogoyen n’est jamais là où on l’attend, s’ingéniant à créer des atmosphères, à rendre la beauté de cette campagne à la fois sauvage et morose, jouant avec les codes du western, mais reculant pour mieux sauter et semant des indices avec l’économie d’un laboureur. »
Je vais aller m’en rendre compte par moi-même…
Rodrigo Sorogoyen est la nouvelle coqueluche du cinéma espagnol !
Mon « je persisterai à accorder de la valeur » (à l’essai de Michel Schneider sur le plagiat) venait en réaction à un jugement aussi global que péremptoire : « Le seul Schneider qui a de la valeur ».
Une lecture un peu attentive des commentaires aurait permis de repérer la reprise du terme « valeur » et de saisir l’allusion.
C’est manifestement trop demander à Pablo litighino, lequel ne recherche pas la justesse de ses pseudo-déductions, mais seulement des prétextes pour décharger sa bile et conforter ses préjugés.
Jessye en Isolde
quand même meussieu courte si wolfram ça peut être bat..tristan doit rester celtique..ils meurent..bien sûr ils meurent..comment dire..c’est pas pareil qu’il dirait didier bourdon..qui s’y connait en distinguo de poil de cul qui compte en amour
mais seulement des prétextes pour décharger sa bile et conforter ses préjugés
c’est pasque y’en a marre que tout le monde l’encule..sauf rénateau..ça va de soi qu’il aurait dit brassens
la nouvelle coqueluche du cinéma espagnol !
dans l’temps pour les porno 3d c’était les lunettes..maintenant c’est le masque..est ce qu’on y gagne? quil dirait baroz
le sujet avec le maestro renati, c’est qu’il enkule jamais personne… Sa musique reste atonale. Voilà ce que l’autre a-conceptuel comprend pas, alors qu’il est tout vert à tout…
Lee Miller, Women with Fire Masks, Downshire Hill, London, 1941:
Giorgia Meloni les égouts débordent.
La flamme tricolore du parti de Giorgia Meloni vient du MSI, parti néofasciste, en usage de 1947 à 1972, donc une vraie fasciste sortie des égouts de l’histoire :
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/it/c/c8/Fratelli_d%27Italia_%282017%29.svg
SURPOIDS
Je peux mourir de n’importe quoi d’un cancer, ou dès demain d’un infarcrtus, d’un AVC ou d’un accident de voiture.
Je ne suis pas du tout en surpoids. Pas la moindre obésité.
Ai-je de la chance ? Pas vraiment.Friand de diététique et très informé dans ce domaine, je mange toute l’année de manière équilibrée et raisonnable.
Et je suis exaspéré par une des publicités qui sont assénées matin, matin et soir aux téléspectateurs
par une certaine marque , je vais la nommer « Comme J’aime », qui explique aux gens qu’on leur fournira à domicile régulièrement dans des cartons tous leurs repas pour maigrir. Un célèbre joueur de tennis et un célébre animateur télé , payés dans soute une fortune, vantent la chose. Je n’ai pas demandé les tarifs, mais je présume qeu cela coûte fort cher.
Inutile ! Il suffit à chacun de trouver les informations qui lui manquent pour ne plus avoir 130, 120 ou 110 kilos. C’est facile à trouver et à noter. Et l’on peut commencer à maigrir juste après cette recherche.
Difficile de raccrocher le fil ibérique sur le prestigieux blog à passou, tout ça manque d’un bon coup de chorizo assené par pablo75. Souvent un problème de focale, « semant des indices avec l’économie d’un laboureur », lu chez baroz, drôle de vision du labour.
@C’est facile à trouver et à noter.
Juste. Sous le billet précédent : il suffit de nager 235 kilomètres d’affilée pour perdre 16 kilos
A ce propos, je reviens sur le gros cul ramollo de Philippot et lui suggère de se rendre dans le Donbass en petites foulées et d’y rester … le temps d’un séjour linguistique à haute valeur éducative
https://www.youtube.com/watch?v=3xzFA6WPdOw
Par ailleurs, hymne national bien à part, Fratelli d’Italia est le titre d’un roman d’Alberto Arbasino :
https://www.adelphi.it/libro/9788845910005
(voir suivante ce lien la présentation de l’éditeur)
Ou alors wiki : « Initialement écrit en 1963 mais révisé en 1967 puis à nouveau en 1991, le roman est le summum du style d’Arbasino : il raconte les aventures estivales de deux jeunes homosexuels (Antonio et l’Éléphant) qui parcourent l’Italie et l’Europe. L’histoire est juste une occasion de raconter l’environnement culturel italien dans un moment indéterminé des années soixante. »
suivante > suivant
Premier et dernier lien vers cette propagande minable.
Dans la réalité : L’Ukraine et la Russie ont signé vendredi [aujourd’hui 22 juillet 2022] au palais de Dolmabahçe, à Istanbul, chacune un accord avec la Turquie et les Nations unies pour l’exportation des céréales et produits agricoles bloqués dans les ports de la mer Noire par la guerre et qui font cruellement défaut aux marchés mondiaux. Le secrétaire général des Nations unies a remercié la Russie et l’Ukraine qui ont « surmonté leurs divergences pour faire place à une initiative au service de tous ». Maintenant, l’accord « doit être pleinement mis en œuvre », a-t-il plaidé.
Peu farouche,.c’est comme pas difficile.
Clara dans la Nuit du 12.
C’est une raison ?
Comme Léa, elle l’est pas.
https://youtu.be/CS7_W8G0kZQ
@ Je ne suis pas du tout en surpoids. Pas la moindre obésité.
Pourtant, vous restez un sujet à risque d’extrême addictivité aux blogs, laquelle peut occasionner à tout moment une mort imminente, dite de la rupture de fabrique du crétin vieillissant.
léa c’était le blaze dune poupée gonflabe rose..c’est dégueulasse de sattaquer a plus faible que soi qu’il dirait lassouline
A ce propos, je reviens sur le gros cul ramollo de Philippot
..langoncet y’est toujours a le gonfler
c’est qu’une parisienne… pas une marseillaise,
tu meetonnes
« semant des indices avec l’économie d’un laboureur », lu chez baroz, drôle de vision du labour
moins t’es mondain et parisien et plus t’es radin sur le champagne et les ptit fours..et t’es telment crevé que pour la gaudriole c’est que le samdi soir..c’est lanalyse marxiss léninisss à baroz
vouii c’est ce qu’on appelle la prétérition. Le gros dico de dhh, il marque que c une figure de rhéto qui consiste à dire qu’on parle pas de ce dont on cause (fog). Il aime pas filipot mais l’est toujours en train de lui faire sa pub, à croire qu’il le follow, JL. Betty, elle est complètement embringuée dans cette propadandastaffel, tous les jours, elle dit que la russie de poutine, c’est l’top ! Elle collectionne tous ses disques à filipot-viandox, c sa seule source de désinfox ! tu peux pu rien faire avec elle, même si elle reconnaît, quand elle t’écoute, être super dépressive depuis son burnout. Dit qu’elle va essayer la camomille, que ce sera toujours mieux que l’antidépressurisateur… Moi je la laisse, car la contre propagande, je supporte pas de la faire. Alhors, tuwois, léa ! si les gros culs lui font du bien, hein, et que moij y arrive pas, c’est la vie qu’est comme ça. Mal faite qu’on le sait bien.
@JJJ
votre remarque sur le cretin vieillissant me rappelle
cette definition que Pierre Dac donnait du cretin prétentieux : celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui
Léa
Les gros culs lui font du bien.
https://www.lego.com/fr-fr/product/heavy-duty-tow-truck-42128
Nommer l’adversaIre, s’opposer à ses thèses, c’est les épouser… J J-J je ne sais pas si vous avez un gros cul mais je vous soupçonne de sympathies Philippotardes – vous aussi vous avez été chevenementiste dans votre jeunesse (ils le prétendent tous) ? enfin, en matière de baudruches qui partent en couilles, on ne manquera pas de matière première pour passer le rude hivers qui s’annonce (je retiens le qualificatif de prétérition ; j’aurais plus banalement employé celui de simulation)
Visite de la faille et des amis en quarantaine
Juste après le magnifique portrait de Tchekhov.
De la famille, lapsus clavii : cépamoi.
Merci Paul pour je suis un tigre, prendrez-vous ma main ?
Nous avons un tigre ici.
Dans notre moteur, de l’éthanol.
et vous vous êtes Paso doble?
Nommer l’adversaIre, s’opposer à ses thèses, c’est les épouser…
moi haussi j’ai une tendresse pour philippo..je lui trouve cette qualité d’avoir une vrai jouissance politicarde..le vice désintéressée presque..de plus il fait une excellente revue de presse..mais ces derniers temps je sais pas si c’est la canicule ou quoi mais il accuse..épuisé..je me demande si dédé s’est inscrit a sa chaine pour le soutnir un peu..il faudrait
ET VOUS vous êtes pas Paso doble?
PAPAPAPILON
https://www.google.com/search?q=AU+LYC2E+PAPA+PAILLON&rlz=1C1CHBD_frFR1012FR1013&oq=AU+LYC2E+PAPA+PAILLON&aqs=chrome..69i57j33i10i160.11887j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
Et si on préfère pas gros ?
Par exemple :
https://lesempio.blogspot.com/2013/03/robert-mappelethorpe-lisa-lyon_6.html
ça vous gêne pas un brin la science pô duku de croire qu’on peut passer du jour au lendemain de chevènement à filipot ?… Ni l’un ni l’autre ai-je été… de quoi me soupçonnez-vous ? Je ne vous demande pas vos preuves et ne pense rien quant à vos propres st’imulations politiciennes… Gardez donc un peu d’humour et de sagesse comme DHH…, quitte à l’emprunter à PD, ce serait au moinss la seule chose pacifique que nous pourrions partager (hormis le rockenroll des septante’ et des beat des 60′). Mécé apparemment pas le genre de la plupart de ces gens-là, en herdélie… Epi non, bobdylane, ça passe pas non pu. Je le regrette bien, JL.
Damien, je pense que vous connaissez le mystère des voix bulgares. Au kazoo:
https://www.youtube.com/watch?v=AFgzzWT3zX4
L’azan a rythmé ma vie pendant plus de 10 ans. Un des plus beaux souvenirs, après une nuit passée à deviser avec les amis lahoris en goûtant de l’afghan venu tout droit de Peshawar, cet allah-uh akbar, allah-uh akbar, allah-uh akbar allah, qui monte et emplit l’espace saturé de moiteur d’un matin de mousson.
@Et si on préfère pas gros ?
Si bad Barbie, avec ses hanches de douze ans, se met à jouer de la muléta …
Francisco de Goya, Nature morte à la dorade dorée :
https://www.choisir.ch/images/2021/Expositions/Beyeler_Goya_Nature-morte-dorade_LAC.jpg
@ passer le rude hivers qui s’annonce
pmp je suis prêt dans ma grangette, pas d’électricité ni de gaz poutinien… j’ai que du bois de chauffe, c bien assez pour ma datchak/ Et voui, chacun se merdre, si on a pénurie de blé, voilà qui réduira l’obésité générale… Pakon, filipot héhé, pour maigrir duku-lélé…
VOUS ËTES DO?C PLUTÖT PALO ALTO
bonsoir!
Plait-il ?
https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwd_772523_607604/image.jpg
@ x: bien sûr, d’accord, sur vos deux remarques. J’avais forcé le trait.
les hanches de goebbels ou goering (je sais pu), elles avaient quand même plus d’allure que celles de filipot pour toréer du barbie zon à bon escient
Plait-il ?
Playmate ?
« forci »
Une châtaine de la « Barbie » de la photo, JL, et ça vous fait un arrêt maladie de quelques jours.
Robert Mapplethorpe en a fait le sujet de son livre Lady Lisa Lyon (1983), qui est le meilleur travail photographique consacré au bodybuilding féminin de tous les temps.
non…, juste haut du PALETOT un peu PALOT, bonjour
De là à faire passer des rougets pour des dorades roses et les maîtres espagnols pour des sauvages, renato …
https://i.pinimg.com/originals/70/9f/08/709f08563c7e0c734b9660a6272bd0e2.jpg
Pour ne dire qu’une évidence, JL :
Je crois que vous confondez Sue et Lisa, JL
Sue Lyon shot by Bert Stern for Stanley Kubrik’s Lolita :
https://lesempio.blogspot.com/2012/12/sue-lyon-shot-by-bert-stern-for-stanley.html
Si vous aviez en magasin une photo de dos d’une poupée Barbie ; je ne pense pas exagérer en disant : épaules de nageuse est-allemande du temps des grandes heures et hanches d’une gamine de douze ans … avant que Ken ne déboule, sans pour autant que la morphologie de Barbie ne soit modifiée
Celle que vous prenez pour une Barbie, et tant pis si ce n’est pas à votre goût !
http://www.artnet.fr/artistes/robert-mapplethorpe/lisa-lyon-g_qio4jIYN4Cs6b5_uidEA2
l’interprétation de l’oeuvre par-delà les intentions de l’auteur et les perceptions de l’acheteur, c’est une source d’emplois non négligeable
il n’y a pas que le fric dans la vie. l’emploi et le pouvoir d’achat, what else ?
le reste, la politique, les dirigeants s’en occupent ; c’est ce qui se fait en Chine, pour ne citer qu’une grande puissance économique
le contrepoint ? il se limite à celui des agités du bocal (qui le sont, en effet) … aux armes citoyens
@le reste, la politique, les dirigeants s’en occupent ; c’est ce qui se fait en Chine, pour ne citer qu’une grande puissance économique
c’est le calcul de Poutine, un calcul de souteneur : je vous donne le confort matériel en contrepartie d’un blanc seing au plan politique ; mais les droits naturels, ça se négocie pas qu’elle dit Marianne
Je ne suis pas surpris qu’il y ait eu de bonnes critiques pour « As Bestas », JB. C’est original et bien filmé. Mais si l’on ne croit pas une seconde aux personnages et à la situation, pire, s’ils vous exaspèrent par leur côté forcé et artificiel, comment veux tu que l’on aime un film ou un livre ?
En revanche, le Woody Allen m’a procuré un délicieux plaisir nostalgique. Tous les ingrédients des grands WA des années 70/80 sont réunis: le petit intello moche contre le beau et brillant metteur en scène, l’obsession de la mort, de la maladie (ici le personnage qui aurait été incarné par WA il y a 40 ans a plutôt envie d’être malade, mais pas trop…), les continuelles citations des grands classiques du cinéma européen, les rêves en noir et blanc, les blagues archi usées du genre « si Dieu existait il faudrait qu’il me rende des comptes »… La citation la plus géniale est celle du Septième Sceau à la fin…Pas un hasard non plus si les deux voitures de la belle cardiologue espagnole sont suédoises, une Saab et une Volvo.
Bref, rien d’original, mais une (dernière?) promenade dans un monde de new yorkais blancs, friqués et juifs de préférence où règnent l’amour éphémère, les chagrins de même, l’humour, le sarcasme, le désenchantement, mais rien de vraiment tragique. Cela se passe à San Sebastian mais même les espagnols et le français metteur en scène sont un peu new yorkais pour avoir vécu là-bas.
Cela ne peut avoir le même impact que les originaux d’il y a 40 ans. Du réchauffé donc, mais savoureux.
closer, c’est pas un poulet classe A de 28 jours ; lui, l’élevage en batterie, c’est ad vitam æternam. et c’est ainsi que les pigeons seront bien gardés
Patrice Charoulet, les merguez sont permises mais pas les loukoums. C’est la base à connaître et vous la connaissez.
@ cl, vous n’êtes pas sensible à la cocluche du moment ? jzmn, lui, si fait !… le préfère S. AVON comme critique, discutez pas, vous n’aurez jamais le niveau de calife requis à sud-ouest !
@ JL Chevènement ? je lui reconnais historiquement un heureux acte politique fort courageux en tant que ministre de l’EN et de la recherche, en 1984. Une titularisation plutôt massive de contractuels de la recherche laissés pour soldes de tous comptes… Comme ministre de l’Intérieur ultérieur, bien moinsss avec ces sauvageons, et encore moins aux armées comme godillot devant fermant sa grande gueule…
Et non, je ne me suis jamais ressenti la fibre patriote, ni encore moins nationaliste. Mettez-moi où vous voulez, mon bon, si vous le savez mieux que moi… Je dirais pour essayer, quelque part vers la gauche extrême (un état d’esprit libertaire) qui n’arrivera jamais à se mordre la queue à l’autre extrême dans un cercle devenu d’autant plus vicieux qu’on le caresserait toujours dans le sens de l’écaille.
T’imagines-tu, Grondin, ce que j’essaie de vous dire ?
https://www.youtube.com/watch?v=S9T0fBXmKMU
@ mais les droits naturels, ça se négocie pas, qu’elle dit Marianne
marianne macron ?… elle dit tout le contraire à la Rabie Saoudite, en suivant la piste joe biden, les droits naturels, même Antigone elle y croyait pas d’trop !, l’était grecque pourtant ! quant à ma chiavelle, même pu besoin de l’apprendre aux enfants…
@renato,peut-être connaissez vous bien
Mykola Trokh, une photo (que je trouvez belle) sur la règle du jeu
« semant des indices avec l’économie d’un laboureur »
Rendons à Sophie Avon ce qu’elle dit du film « As Bestas » de Rodrigo Sorogoyen, Phil.
que je trouve belle
et
https://moksop.org/en/art/artworks/mykola-trokh-untitled-trom-69-e1990s/
Un bon film et un bon réalisateur espagnol : closer est passé à côté…
Toit s’explique dear Baroz, pensais bien que vous aviez meilleure connaissance du profil de laboureur.
si les droits naturels ne se négocient pas, l’aptitude à raisonner se mesure et, dans l’hypothèse d’une défaillance, on peut, en France, se faire assister ; le cas échéant, gratuitement. cela étant, vous n’auriez pas la prétention de creuser le déficit de la sécu jusqu’à un point de non retour à vous tout seul pour autant, J J-J, si ?
La merguez est cetogène. C’est prouvé.
Le Lycée Papillon, il faut Ventura (. Ray!)
– phil il arrive pu à s’y retrouver à la rdl, alors i se raccroche à 75 pour nettoyer les écuries d’un coudjé,
– le jjj da lahi lama de jadis, l’a toujours préféré le kif marocain à l’afghan, planait mieux avec. Aurait pas pu rencontrer robert sur les traces de lanza le dévasto à Katmandou, hein, même au cours d’une transe chamanistique, ça non !
Si…, je pourrais, à moi toute seule, même !… ma stupidité koutumière étant devenue tellement abyssale que mon besoin de béquillages d’assistance pourrait lui coûter lui un « pognon de dingue » à la france de macron, même que le maire bruno aurait pu aucune idée pour boucher la béance du vide autour du trou ainsi créé.
***Autant pas me béquiller, qu’elle dirait molly bloom 😉 …
le collègue de travail et inspirateur d’Elvis (plus quelques shots de Betty Page)
https://www.youtube.com/watch?v=VkZhJJ8sPmw
Bettie
Pour Michel Vautier, poète, parti lui aussi, direct au paradis,
BLAISE CENDRARS
Les Pâques à New York
à Agnès
Flecte ramos, arbor alta, tensa laxa viscera
Et rigor lentescat ille quem dedit nativitas
Ut superni membra Regis miti tendas stipite …
Fortunat, Pange lingua.
Seigneur, c’est aujourd’hui le jour de votre Nom,
J’ai lu dans un vieux livre la geste de votre Passion,
Et votre angoisse et vos efforts et vos bonnes paroles
Qui pleurent dans le livre, doucement monotones.
Un moine d’un vieux temps me parle de votre mort.
Il traçait votre histoire avec des lettres d’or
Dans un missel, posé sur ses genoux.
Il travaillait pieusement en s’inspirant de Vous.
À l’abri de l’autel, assis dans sa robe blanche,
il travaillait lentement du lundi au dimanche.
Les heures s’arrêtaient au seuil de son retrait.
Lui, s’oubliait, penché sur votre portrait.
À vêpres, quand les cloches psalmodiaient dans la tour,
Le bon frère ne savait si c’était son amour
Ou si c’était le Vôtre, Seigneur, ou votre Père
Qui battait à grands coups les portes du monastère.
Je suis comme ce bon moine, ce soir, je suis inquiet.
Dans la chambre à côté, un être triste et muet
Attend derrière la porte, attend que je l’appelle!
C’est Vous, c’est Dieu, c’est moi, — c’est l’Éternel.
Je ne Vous ai pas connu alors, — ni maintenant.
Je n’ai jamais prié quand j’étais un petit enfant.
1 Fléchis tes branches, arbre géant, relâche un peu la tension des viscères,
Et que ta rigueur naturelle s’alentisse,
N’écartèle pas si rudement les membres du Roi supérieur
[…]
Fortunat (traduction Rémy de Gourmont, Le Latin Mystique.)
Et vous, vous n’êtes pas ni gérique ?
Paso double ou cha cha cha ?
Tu es épileptique, D. ?
Paso doble
Ce « poème » est épouvantable, rose !
@Ce « poème » est épouvantable, rose !
autrement dit, d’une parfaite modernité qu’il dirait Kodak 1881 à la Mouette à la moue niaise que vous avez relayée via FaceBook, mon mignon
https://www.facebook.com/j.artsculture/photos/a.2264580033605466/5398795120183926
commentaire : « Tellement vivant »
Il respire l’intelligence et la douceur.
on a vu le dernier Elvis au cinéma et on a versé sa larme ; bettie joue les prolongations
https://www.youtube.com/watch?v=Zvd0HsCWvOI
Il reste six pages jazzi.
Et Betty page ?
SAMEDI 23 JUILLET 2022, 5h45, 26°, calme et chaud
ENCORE RATE !
« Un ministre hindou boit un verre de l’eau du Fleuve Sacré afin de prouver qu’elle est saine. La preuve foire. Il est actuellement hospitalisé » (Le Point)
Les Dieux sont farceurs….
Shonka Dukureh est morte, elle a joué Big Mama Thornton
dans Elvis.
Le ministre hindou n’a pas été prudent. On le sait, que l’eau des rivières est dégueulasse. Il faut la filtrer avant de la boire — ou même de se laver dedans. Je suis très à cheval sur l’eau : je ne bois que de l’eau minéral dûment estampillée. En général, Evian, Volvic, Hépar, Placoët, et même la coûteuse Icelandic, et puis de la Cristalline au rabais pour le thé. Je me lave avec de l’eau du robinet, cependant, mais, de temps à autre, une eau de quelque therme exotique me plairait — mais pas de lait, comme Popée ! Quand j’étais au service militaire, on nous avait distribué des pastilles pour assainir l’eau. Cela faisait partie du barda. Il arriva ceci. Un soldat avait prélevé l’eau d’une flaque, dans laquelle d’autres avaient pissé peu auparavant. Il avait ajouté sa pastille et bu cette pisse immonde, croyant l’avoir purifié. Véridique ! Je suis resté un buveur d’eau avec le thé, deuxième boisson la plus consommée au monde. Il y a moins d’eau dans le corps des femmes que dans celui des hommes, je crois, ce qui faisait dire à Desproges que c’était pour ça qu’elles paraissaient plus concentrées… Je connais des gens qui ne boivent pas d’eau. Un de mes vieux amis avait arrêté de boire, pendant le premier confinement. Au bout de quelques jours, il a dû être hospitalisé, et on lui a mis une sonde. Il s’est heureusement rétabli, non sans que les médecins lui aient détecté un cancer de la prostate, qu’il n’a pas opéré, et avec lequel il vit sans souci. Le matin, avant de manger quoi que ce soit, je bois de l’eau, et cela est suffisant pour me redonner quelques forces au corps et à l’esprit. Avant, je buvais un perroquet, quand j’allais au café. Le meilleur moment était quand le verre arrivait et se trouvait près de la carafe fraîche. Alors je versais délicatement le liquide dans le mélange verdâtre, juste un doigt ou deux, et j’attendais quelques secondes avant de porter à ma bouche la mixture synthétique au goût de détergent aqueux (Ricard et menthe). Je ne mettais jamais de glaçons, pour ne pas entendre leur bruit. Seul le silence blanc régnait…
Galerie des Uffizi à Florence : trois jeunes couillons collent leurs mains au Printemps de Botticelli. Grace au protections particulières mis en œuvre il y a quelques années pour les principaux chefs-d’œuvre du musée par la direction il n’y a pas eu de dégâts importants. On est en droit de se demander quelle a-éducations les parents leur ont donnés ?
Betty pour Bettie comme Marylin pour Marilyn ?!
Téthys un océan qui montait jusqu’à Grenoble et une partie de l’Allemagne.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9thys_(oc%C3%A9an)
Et nous, des petits vermisseaux face à l’ichtyosaure (de saurus lézard) et au crocodile marin avec ses dents.
Marylin pour Marylin et tournez manèges au marché des amants.
MM
Changement de cap après Illouz. Passons du désespoir à la mélancolie.
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2022/07/23/the-clash-mal-peachey/
« Un ministre hindou boit un verre de l’eau du Fleuve Sacré afin de prouver qu’elle est saine. La preuve foire. Il est actuellement hospitalisé » (Le Point)
de papa faut prende que les biftons qu’il dit rénateau..s’il en a pas tu prends ceux dmanman..si elle en a pas non pus tu peux t’engager chez poutine
keupu a bien connu rika..zarai
m’a fait l’effet d’une madeleine de Proust auditive – expression qui n’a pas trop de sens, mais vous comprenez l’idée !
haprés le verre à jicé les bains dsiège à keupu les biftons dans les poches du papa à rénateau..ça fait du bien
(Sex Pistols, etc.) parce que vous avez commencé à vous y intéresser alors que Strummer était déjà mort
sinon keupu pus personne écoute les sesque pistol..laisse donc la nostalgie aux vieux dédède
Ce « poème » est épouvantable, rose !
l’hépouvante c’est pas mal baroz..hugo ball accessoirisait..c’est tout ce qu’il en reste..le poéte doit ptête retourner au cirque avec des clarinettes molles
Lu Les choses , le recueil de nouvelles L’ancolie. Vais je te prendre le M&D de Pynchon, c’est la question. Bien en retard termine Un été avec Montaigne . Posé un papillon en bon état entre les pages 130 et 131 de Ursule Mirouët. Mes cheveux me désespèrent .
« Mes cheveux me désespèrent »
Laissez-les vivre !
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