de Pierre Assouline

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La République des livres
Le nouveau Javier Cercas, roman noir, furieux et politique

Le nouveau Javier Cercas, roman noir, furieux et politique

Voilà un écrivain à qui nul de bonne foi ne pourra reprocher d’écrire chaque fois le même livre, contrairement à tant d’autres qui se tiennent au genre qui a fait leur succès à leurs débuts. Lui aurait pu également ayant donné ses lettres de noblesses à la novela sin ficción (roman sans fiction) avec des livres acclamés tant par la critique que par le public, et couronnés de prix, des Soldats de Salamine au Monarque des ombres en passant Anatomie d’un instant et L’Imposteur. Changer de genre, fut-ce provisoirement, est le plus souvent perçu comme une tentative de renouvellement au risque d’y perdre son public. On en connait qui ont laissé des plumes à vouloir changer de plume. Javier Cercas (Càceres, 1962) n’a pas changé de convictions en changeant de genre. Il a mis haut la barre non seulement optant pour le polar politique mais en se lançant d’emblée dans une trilogie romanesque, excusez du peu.

Terra Alta, son premier tome, lui a donné raison. Le deuxième paru il y a peu sous le titre Indépendance (Independencia, traduit de l’espagnol par Aleksandar Grujicic et Karine Louesdon, 338 pages, 23 euros, Actes sud), le confirme dans son choix. Il emporte le morceau dès les premières pages de cette sombre histoire qui se déroule en 2025 à Barcelone. Selon la loi du genre, on y retrouve des personnages désormais récurrents, Rosa Adell, héritière des cartonneries Adell, le sergent Blai passé inspecteur, qui ne travaille plus en Terra Alta, cette région de la province de Tarragone (Catalogne) qui donne son titre à la trilogie, mais dans la banlieue de Sabadell, ville de la province de Barcelone, et surtout celui qui est central, Melchor Marín, barcelonais à jamais malgré ses différentes affectations, un flic bourru, pas commode, discret, obsessionnellement intègre, prompt au coup de poing dans la gueule avec les faux naïfs, sombre tant il est hanté par la mort de sa femme Olga dont il se sent irrémédiablement responsable, un taciturne que son passé de trafiquant de drogue et d’ex-taulard vient titiller de temps en temps – et cela vous rappelle quelqu’un, c’est normal, il y a du Javert en lui, ressemblance revendiquée par l’auteur puisque sa fille s’appelle Cosette et son livre de chevet s’intitule Les Misérables (à peine cité, juste une fois en passant, de même que L’Illustre maison de Ramires du portugais Eça de Queiroz) ; seulement cette fois, c’est moins souligné que dans le premier temps. Il y avait résolu l’affaire en cours de manière radicale en ne se contentant pas de mettre la main sur quatre terroristes islamistes en fuite mais en les abattant en pleine rue à Cambrils, une commune de la province de Tarragone, ce qui lui conféra le statut de symbole et de héros national.

On retrouve donc Melchor Marín à Barcelone, ville où il y a toujours quelqu’un ou quelque chose pour lui rappeler l’assassinat de sa mère prostituée et lui faire serrer les poings, au moment où il débarque au Département central des enquêtes sur les personnes de la « crim’ » pour être rattaché à l’Unité centrale des enlèvements et extorsions, laquelle peut agir sur tout le territoire catalan sous les ordres du sergent Vàzquez. Il a été appelé pour y résoudre un petit problème qui risque de prendre des proportions s’il n’est pas résolu au plus vite : la maire de cette capitale régionale devenue à ses yeux insupportable (« aussi sale que Naples et aussi puritaine que Genève. Bref, le pire de chaque endroit »), une personnalité avant tout guidée par ses propres intérêts, son ambition et son opportunisme, fait l’objet d’un chantage du type « sextorsion ». Autrement dit, un anonyme menace de rendre publique une vidéo dans laquelle elle a été filmée, alors jeune étudiante, dans des attitudes peu farouches qui tranchent avec la morale ultra-conservatrice et puritaine qu’elle prône désormais (ce qui n’est pas sans rappeler, de même que la série Intimidad actuellement diffusée sur Netflix, ce qu’avait vécu Olvido Hormigos, conseillère municipale PSOE de Los Yébenes (province de Tolède), affaire à la suite de laquelle elle avait intenté un procès à son ex-mari dans l’espoir de faire inscrire ce genre de délit dans la législation).

Le décor est planté mais il y manque un trio essentiel qui figure pourtant en illustration de couverture et ce n’est pas un hasard. Dans un milieu où un microcosme se donne pour l’élite catalane, avec tout ce que l’argent peut conférer d’arrogance aux puissants, quelques fils de famille, dont les géniteurs contrôlent tout et décident de tout, jouissent d’une impunité de classe pour leurs crimes et délits, et surtout pour les viols commis au cours de fêtes particulièrement arrosées (et là, difficile de ne pas y voir un écho certes transposé du scandale de la manada, cette « meute » autoproclamée dont la révélation des agissements avaient mobilisé l’opinion publique il y a quelques années). On touche là au sordide, l’enquête de Melchor Marín nous entrainant dans un monde d’autant plus glauque qu’il donne l’impression de vivre au-dessus des lois, que l’objet du chantage à la sextape soit une pure question d’argent ou qu’il s’avère être une arme de déstabilisation politique.

Ces intouchables sont protégés par les « Vidal boys », une sorte de milice parallèle mise en place par la mairie avec des anciens de la police. C’est dire si la charge politique d’Indépendance est aussi percutante, et la critique sociale aussi dévastatrice, que s’il s’était agi, comme dans l’ancienne manière de l’auteur, d’un roman sans fiction. Sous sa plume jamais dénué d’un humour mordant (d’autant qu’il s’autorise à plusieurs reprises une mise en abyme de lui-même sous son nom – « sacré casse-couilles celui-là » – et de son livre Terra Alta, qui n’est pas piquée des vers), la Generalitat est aussi corrompue que la municipalité, tous les politiciens sont dépeints comme des acteurs, la maire de Barcelone comme une série de masques sous lesquels il n’y a rien « car elle ne pense qu’à accumuler du pouvoir » (et Ada Colau, la maire de Barcelone, n’est pas en reste, évoquée comme « une actrice de premier ordre ») sans oublier ce pantin de Puidgemont « président fortuit du gouvernement catalan » et le major Trapero des mossos d’esquadra (la police locale) qui fut mouillé dans la tentative avortées de sécession en 2017.

On aura compris, pour ceux qui ignoreraient encore les convictions politiques Javier Cercas, qu’Indépendance n’est vraiment pas favorable à l’indépendance de la Catalogne (« un luxe »), que le procès ne fut jamais que la métamorphose d’une revendication d’une minorité en celle de la moitié de la communauté autonome et que le pouvoir y est aux mains des villes. Mis à nu, les indépendantistes n’y ont d’autre souci que de préserver les privilèges de leur caste.

Si ce polar politique tout à fait actuel est aussi captivant, c’est que l’auteur, dans la parfaite maitrise de ses moyens, a trouvé le juste équilibre entre les deux composantes, trop riche et dense pour verser dans le pamphlet romanesque à la Eric Vuillard, trop réfractaire au militantisme par le biais de la littérature pour que s’en dégage le fumet de la propagande, trop confiant dans le pouvoir de la fiction lorsqu’elle s’ancre dans l’histoire immédiate pour que son roman soit lu pour autre chose que ce qu’il est. De la littérature et de la meilleure. En attendant la parution du troisième tome de Terra Alta, on comprend que, pour nombre de critiques et de lecteurs, les deux premiers ont suffi pour que Melchor Marín, personnage terriblement attachant par sa complexité, figure d’ores et déjà parmi les grands flics du roman noir contemporain, aux côtés du Kurt Wallander de Henning Mankell et du Pepe Carvalho de Manuel Vázquez Montalbán. Il est de pire compagnonnages.

(Oeuvres d’Antoni Tàpies, D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

1 211 Réponses pour Le nouveau Javier Cercas, roman noir, furieux et politique

MC dit: à

On lira avec profit « Voyages en Terres Complotistes,d’ Antoine Bastielle.

rose dit: à

Et alii
rose, réponse à la question « où êtes vous »
c’est une question que je ne comprends pas; il est vrai que je ne suis pas à la hauteur des échanges de ce blog; pas du tout, c’est une opinion forgée par vous-même, qui me semble erronéevous m’avez dit que j’étais inutile , jamais je n’ai dit, ni pensé cela,jugement que je ne saurais contester! contestez

Et alii

Où êtes-vous ?
Parfois, nous sommes perchées quelque part, comme les poules qui aiment cela et l’on voit la vie d’un autre point de vue. C’est ceci que je vous demandais hier.

Un jour, j’ai dit ainsi à JP-DR « tu es hors-sol ». Et je lui ai expliqué la culture des tomates hors sol, perchées avec un tuyau noir qui les nourrit avec je ne sais quoi. Mais les racines ne sont pas dans la terre. Ce sont des tomates qui ressemblent à des 🍅 mais qui n’en ont pas le goût.

P.S : le narrateur, selon comment il se positionne, interne, externe ou omniscient, change notre point de vue sur l’histoire.

Paul Edel dit: à

Merci d’avoir donné cet extrait de l ‘émission de Pivot. On voit le courage et la précision de Michel Schneider face à Jack Lang et Pierre Boulez.

rose dit: à

Bloom

Sinon, qu’on sait qu’on ne retrouve jamais sa forme originelle, après un choc, physique ou psychique. L’adage bravache ‘ce qui ne me tue pas me rend plus fort’ est de la foutaise. Tout choc laisse des traces profondes qui affaiblissent durablement et de façon irréversible l’ex-choqué.

Oui.
On est affaibli et on survit difficilement. Très abîmé.
Votre analyse a contrario du courant paraît pertinente.
La résilience est dans survivre.

Le corps trinque beaucoup. Moij.ne me reconnaîs plus.

rose dit: à

« Pénélope KOMITÈS : Adjointe à la Maire de Paris en charge de l’innovation, de l’attractivité, de la Prospective Paris 2030 et de la Résilience. »

Jazzi

Est-ce son nom de femme mariée ?

bouguereau dit: à

Pas un hasard si ce ‘concept’ a été forgé en Australie, vieille terre porteuse d’un écosystème on ne peut plus fragile

ouais..un pays où la nature te tue rapido si tes pas au jus..un cosmonaute kabloom flippe égalment
trés faciment..dans un envronment pure et sans tâche..hévidemment si tu te perds la nuit dans le pays de bray et que tu vois de la lumière..t’as bonne clopine qui tacceuille avec un gateau normand au pomme..sapré kabloom..la terre ne ment pas partout

bouguereau dit: à

L’adage bravache ‘ce qui ne me tue pas me rend plus fort’ est de la foutaise

on vieillit kabloom..on vieillit..c’est un naufrage..et en philosophie l’idéalisme c’est aussi qu’il n’y a qu’une seule horloge..la sienne biologique

Jazzi dit: à

« On voit le courage et la précision de Michel Schneider face à Jack Lang et Pierre Boulez. »

Trop drôle, cette querelle à la cour Kulturelle de gauche.
Et les courtisans tout autour sur le plateau qui ricanent.
On a même droit à la Reine Edmonde…
Malgré tout cela, Lang, à la fin, toujours triomphe !

bouguereau dit: à

refus chez elles du principe de régulation des intérêts par un tiers, qu’il provienne de l’exécutif ou du judiciaire (par la maitrise organismes transactionnels de règlements des conflits et litiges en dehors du système pénal)

le bon temps où poutine et macron se téléphonait va revnir..

Amanda Lire dit: à

Malgré tout cela, Lang, à la fin, toujours triomphe !

Mais non, Jazzi!
C’est le début de sa chute.
Il continuera d’être l’opportuniste extra, mais sa « paire de botte qui vaut Shakespeare », commence a user même ses admirateurs ravi de la fête de la musique!
Une partie non négligeable qui vote à gauche comprenne ses contorsions de notable rad-soc!
Cette manière de faire existe encore dans les bastions socialistes des députés « cassoulets » qui ne sont pas officiellement nupes mais qui ne sont pas ouvertement Macron non plus, tout en léchant le cul (par derrière) à notre Président démocratiquement élu.
Politique culturelle clientéliste, on expose la reine du Danemark, propagandisme, on se fait reluire pour la réélection et on fait jouir le bon peuple par des divertissements, style tour de France à 120 millions la mi-journée! 🙂

Paul Edel dit: à

Jazzi. Jack Lang retombe toujours sur ses pieds. Un vrai culbuto politique au sourire inaltérable. Je l’avais suivi pendant trois jours pour le journal Le point pour faire de lui un portrait quand il était ministre de l’éducation nationale . Toujours à l’aise, toujours souriant, courtois, disponible, avec son équipe, son secrétariat, avec les nombreuses les délégations étrangères (ce fut le premier jour des lycéennes Hongroises), à l’écoute des recteurs (mais que devenaient leurs recommandations ? Mystère..) et attentif avec ceux qui proposaient suggéraient des modifications dans les programmes scolaires ou pour telle ou telle filière. Il déjeunait, courtois, à l’écoute de ceux qui l’entouraient , bénéficiant d’un menu spécial de poisson et d’un régime maigre ce qui lui a bien réussi. Je constate : beaucoup de courtisans et de compliments pleuvent sur lui sans qu’il les sollicite. Le plus étonnant, ce fut le dernier jour de ma rencontre, il y a une réunion, dans le parc du Ministère avec ceux qui dirigent les Alliances françaises dans les pays du monde . (Rappelons qu’il y a je crois 832 Alliances Françaises dans + de 130 pays). Belle journée de soleil, très joli cocktail party. Buffet sympa, femmes élégantes. Et il me murmure en approchant des invités : »il faudrait un 18 brumaire pour changer tout le système éducatif Français . Evidement je vous dis ça en Off. »

Amanda Lire dit: à

ravis…comprend…

Bolibongo dit: à

il faudrait un 18 brumaire pour changer tout le système éducatif Français .

Et notre Gloomy était dans le sac! 🙂

Patrice Charoulet dit: à

JJJ

Vous alléguez un livre qui s’en prend aux « élites dirigeantes ». Libre à vous. Je n’ai rien lu sur le sujet.
Vous aurez noté que je considère comme faisant partie des élites françaises les professeurs, les
magistrats, les médecins, les ingénieurs,etc.
Et que mon post n’était ni révolutionnaire, ni gauchiste, ni protestataire, mais simplement constatif.

honneur de blog dit: à

des divertissements, style tour de France à 120 millions la mi-journée! 🙂

C’est où tout ce fric du contribuable dépensé? 😉

JC..... dit: à

CANICULE »

« Le corps d’une octogénaire a été retrouvé vendredi 22 juillet dans un congélateur à son domicile près de Carcassonne, a appris l’Agence France-Presse auprès du parquet dimanche. « Une dame a été découverte dans un congélateur, une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte », a indiqué le parquet de Carcas » (le Point)

Tous les rafraichissements ne sont pas exemples à suivre…

Une main... dit: à

Tous les rafraichissements ne sont pas exemples à suivre…

Un exquis mot glacé…:)

Jazzi dit: à

« mais simplement constatif. »

Vous vouliez sans doute dire constipatif, monsieur Charoulet ?

Bloom dit: à

l’exemple de sa propre résilience au choc de la Shoah.

Indéniable, 3J. La pulsion de vie est océanique chez beaucoup d’orphelins de l’extermination nazie.
Cependant, je me demande dans quelle mesure le terme de « résilience » s’applique à Primo Levi, qui se suicida avoir témoigné de façon magistrale et ‘définitive’ de son expérience concentrationnaire?

Jazzi dit: à

« Evidement je vous dis ça en Off. »

C’était une incitation pour que tu l’écrives dans ton article, Paul.

Jazzi dit: à

S’il y a suicide, il n’y a pas résilience, Bloom ?

bouguereau dit: à

s’applique à Primo Levi, qui se suicida avoir témoigné de façon magistrale et ‘définitive’ de son expérience concentrationnaire?

pasque toi comme les autes t’en sais rien kabloom..-rien-..tu t’autorises a te demander

bouguereau dit: à

C’était une incitation pour que tu l’écrives dans ton article, Paul

polo est dans le secret des dieux baroz..toi t’es dans ltouvnant des rats à la déesse hidalgo..un mortel qu’a rien a cacher

Janssen J-J dit: à

@ RB,
P Lévi ?… il n’est en rien avéré qu’il se suicida A CAUSE de son expérience concentrationnaire… Elle ne s’applique pas pour lui.
et Bruno B voulut le faire et le fit POUR cette raison indépassable… Elle ne s’applique pas pour lui
Elle s’applique pour Boris C.

@ P Chat rouillé, « constatif » des élites (dirigeantes ou non dirigeantes ?)… Quelle tare !.. Comme si cette laborieuse énumération des « métiers » ne relevait pas quasiment tous partie de CSP 3 de l’iNSEE qui se garde bien de parler « d’élites dirigeantes »
————
3. Cadres et professions intellectuelles supérieures (CPIS)
31 Professions libérales
33 Cadres de la fonction publique
34 Professeurs, professions scientifiques
35 Professions de l’information, des arts et des spectacles
37 Cadres administratifs et commerciaux d’entreprise
38 Ingénieurs et cadres techniques d’entreprise
________
(in annexe p. 103 de ce rapport :
https://www.cnis.fr/wp-content/uploads/2020/01/Rapport-n%C2%B0-156.pdf

Retournez à l’école…, au lieu de bavasser sur la nostalgie du 20e siècle. Energumène de foire et pelle à gâteux… dixit, Bobby à Lapointe du… prolétariat)… Vénervéj, à force…
Bàv,

bouguereau dit: à

« Une dame a été découverte dans un congélateur, une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte »

ha c’est pas dans l’point qu’on sait écrire si enlvé..

J J-J dit: à

,,,,,,,,,,,_@ Et les courtisans tout autour sur le plateau qui ricanent.
les courtisans de qui au juste ? de schneider ou de lang boulé ? Le manuel Roy Ladurie avait plutôt l’air mal à l’aise, comme d’hab… Quant à Charles Roux, elle ne put trop en placer une…
Quel moment pivotal !…Ai dûj passer à côté, jadis… Merci à Kilami !… Donc, feu MS était un Saint homme, un haut fonctionnaire pétri d’une haute exigence du service public et du souci des deniers ?… DHH…, vous confirmez ?
Bàv,

et alii dit: à

et l’on voit la vie d’un autre point de vue. C’est ceci que je vous demandais hier.
pas perchée, rose; quelle idée! mais dans une ambiance stressante pour beaucoup, et sur laquelle mes « conclusions » ne laissent guère d’espoir quant aux stratégies pour le « management » et les désirs de « domination » sans limite,(y compris entre femmes
qui commencent à maltraiter des femmes:et à mort!

Jazzi dit: à

« les courtisans de qui au juste ? »

Du prince Lang, forcément.
Il m’a semblé reconnaitre le jeune Arnaud de Montebourg…

Janssen J-J dit: à

existe t il un lien où on pourrait lire toutes les chroniques littéraires de JPA dans le journal du Point ?… Si oui, Paul ou autres, merci de nous l’indiquer… Il se trouve que je n’ai jamais lu ce journal de ma vie, d’autant plus quand il se fut annexé par le scélérat FOG, ce faux écrivain aux vestes usagées à force d’avoir vécu en giration permanente. Bàv

renato dit: à

Levi est tombé dans l’escalier. Le médecin légiste, qui connaissait son histoire, a vu sa dépouille est il est parti dans une conjecture. La conjecture a plu aux faiseurs d’opinion, mais rien ne prouve qu’il y ait une intention derrière cette chute.

et alii dit: à

remarque, rose, que je vous ai répondu, alors que j’ai expressément dit à un homme qu’il n’était pas forcé de se justifier,quand tel *** lui posait une question alors qu’il y allait d’une question de « droit » ;
bon ce n’est pas le 4 AOUT encore!

Janssen J-J dit: à

@ y compris entre femmes qui commencent à maltraiter des femmes:et à mort!

Elles ne commencent pas… Elles l’ont toujours fait, c’est dans leur nature, que dirait alice coffin, y’aura jamais de solidarité lisystratienne chez elles ni chez les vieilles personnes juives paranos et enfumées par le tabac, ni chez les transgenres et lesbiennes qui se passeraient fort bien des mâles. Volàj… !
Dépassons les idiosyncrasies, essayons de penser autrement d’où on parle… Faites comme moij par ex (ou comme jmb). Voilà la solution résiliente pour affronter la solastalgie collective.
Bàv

Janssen J-J dit: à

Levi est tombé dans l’escalier.
Idem pour Goliarda… rien ne prouve non plus,
mais il existe comme un drôle de tropisme national chez ces gens-là…

renato dit: à

«… tropisme national… »

La tête dans les nuages ou tendance habituelle à se distraire.

bouguereau dit: à

elle est bonne celle là rénateau..tu vois quand tu t’oublies..fais gaffe aux escaliers

et alii dit: à

N4AYANT PAS RECHERCH2 LES VIEILLES PERSONNES JUIVES NI CHRETIENNES , NI EVANGELISTES, NI MORMONS, niHPI? NI NI PATTES EN LRDL, je vous souhaites à tous une bonne marrade as usual !

bouguereau dit: à

Faites comme moij par ex (ou comme jmb)

pépèpe je copie pas..perdu dans la nuit voyant de la lumière..j’aimerais beaucoup le gateau normand aux pommes c’est vrai..havec un café calva..même un calva au café..certes je suis comme tout le monde..hé halors

et alii dit: à

I wish you ALL YOU NEED , and it’s a lot!

et alii dit: à

toutes mes excuses aux bouddhistes de France et de Navarre

Janssen J-J dit: à

@ Caroulet pour vous mettre à la page de ma soeur IA22, et de vos arrière petits enfants, cf. infra, une nouvelle liste des métiers numérique de la comm’ à l’interface de la conception et de l’utilisation, dans une nomenclature rénovée :
_______
Directeur artistique – jeux vidéos 353c 35C2 0
Directeur artistique web 353c 35C2 8
Dessinateur de presse 354a 35B1 4
Infographiste 354a 46E2 827
Intégrateur graphiste 354a 35D1 1
Webdesigner 354a 37D5 / 46E2 287
Concepteur multimédia 375a 37D5 / 46E2 18
Concepteur/Rédacteur
publicitaire 375a 37D5 9
Community manager 375b 37D5 130
Marketeur digital 375b 37D4 / 46E1 2
Concepteur/développeur de
jeux vidéo 388a 35B2 / 38G2 7
Décorateur graphiste 465a 46E2 17
Designer graphique 465a 46E2 79
Dessinateur en publicité 465a 46E1 3
Graphiste 2D/3D 465a 46E2 125
Graphiste concepteur 465a 46E2 18
Intégrateur multimédia 465a 38G3 / 46E2 2
Vidéographiste 465a 46E2 20
Animateur 2D/3D 465a 35C2 / 46E2 31
Animateur web 465a 46E2 12
Modeleur 3D 465a 46E2 6
Modélisateur 3D 465a 46E2 0
Réalisateur multimédia 465a 46E2 8
Webcommercial 465a 46E2 13
Webmaster 478a 38G3 / 47E1 377
Traffic manager 464a 37D5 / 46E1 32
Rédacteur web

Bàv

et alii dit: à

attention à l’érostratisme systémique de structure!

Bloom dit: à

Lang n’était pas à l’Elysée lorsque les directeurs/trices et président/es des Alliances françaises y furent reçu/es par F Hollande, à l’initiative de F Hollande et à l’instigation de son Secrétaire général de choc, JC Jacq, pour les 130 ans de l’Alliance française. En revanche, nous eûmes droit à Darcos, Filippetti et à quelques autres.

Le nombre exact des AF fut pendant longtemps un serpent de mer, car il ne faut pas grand chose pour créer une AF, qui n’est qu’une est une association de droit local sauf en Chine où le statut n’existe pas. Après un écrémage au début des années 2000, il reste environ 800 AF enseignantes, dont 200 environ sont dirigées par des directeurs/trices détachés par le Ministère des Affaires étranges/
Pour comprendre ce que sont les AF de l’intérieur, on peut écouter la série d’émissions ‘Terres d’Alliance’ réalisées par Alexandre Héraud pour France Inter sur certains établissements phare en 2016, dont celui d’Odessa.

https://www.fondation-alliancefr.org/?p=22873

bouguereau dit: à

ha mais oui ça me reviens..boulez brandissant ses lettres façon énergumène..et de schnédère et de ses petits noeils..lors que fog a toujours eu l’air dun clébar perdu sans collier..havec le recul je me trouve bon..mais je m’égare..bientôt je vais parler comme kabloom au temps du bar du bordel de saigon..avec la taulière..merde comment qu’elle s’aplait déjà

Bloom dit: à

Disons alors Paul Celan, Jean Améry ou Bruno Bettelheim, pour qui le suicide est avéré.
Mort, où est ta victoire?
Je ne sais pas.
Je n’ai connu qu’un suicidé, auto-immolé par le feu…et qui n’était pas moine bouddhiste vietnamien.

et alii dit: à

Je n’ai connu qu’un suicidé, auto-immolé par le feu
moi, c’était une femme de médecin qui n’était pas éligible comme élite en mais son fils, chercheur en biologie, si; un jour qu’elle était venue chezmoi, avec son mari, (pas invitée par nous) et que son mari ouvrait un placard sans façon selon son habitude, je lui ai demandé ce qu’il cherchait et s’il avait perdu quelque chose ; tout le monde a compris, il referma la porte ; après tour les psys ne sont pas faits pour regarder la télé du main au soir!

et alii dit: à

après tout!

rose dit: à

Lu en entier le coup d’État du 18 brumaire.
Compliqué.

rose dit: à

Mort, où est ta victoire ?

Je suis en paix.

et alii dit: à

du matin au soir
la femme s’était brulée vive dans leur jardin,dans la banlieue parisienne;

Damien dit: à

Pour Paul Celan, il n’y pas de certitude, mais la mort volontaire est très probable. Il s’est jeté à l’eau du pont Mirabeau, et son corps n’a été retrouvé que dix jours plus tard.

et alii dit: à

Deleuze s’est défenestré

et alii dit: à

Sarah Kofman s’est suicidée

et alii dit: à

Stiegler bernard s’est suicidé

closer dit: à

« constatif » existe cher JB. Comment as tu pu soupçonner monsieur Charoulet de faire une faute de français? Invraisemblable! Tu réciteras trois Pater et trois Ave pour la peine.

Patrice Charoulet dit: à

La même chose sur les élites mise sur Facebook a provoqué bien des réflexions , dont certaines de très grande qualité. Contraste frappant avec le lectorat d’ici. Il n’y a pas photo. C’est mieux là-bas.

Paul Edel dit: à

Bloom, je parle de Jack Lang donnant une réception auprès de représentants de l’Alliance française; rue de Grenelle, c’était au Ministère de l’Education Nationale et pas à l’Elysée. Jack Lang à l’époque fut jugé par les Français sondés comme un « bon » ministre de l’Education nationale, notamment par Ipsos pour l’Obs ou sondage Ifop-Fiducia pour Match et d’autres journaux Il arrivait loin devant Allègre, Bayrou, Ferry ou Jospin. Bref, il est resté apprécié.

closer dit: à

Cher JJJ (je suis en veine de « cher » aujourd’hui), FOG est l’un des meilleurs journalistes d’hier, d’aujourd’hui et de demain tant que Dieu lui prêtera vie. C’est un excellent historien de la vie politique française d’après-guerre. Il est plein d’humour. Ecoutez le donc religieusement tous les jeudi 8h40 sur Radio Classique. Vous apprendrez plein de choses, j’en suis sûr…

renato dit: à

Peut-être, Charoulet, que les élites ne trouvent ici un public intéressé. Cela dit, dans votre liste manquent des représentant de la classe laborieuse. Or, il y a une élite, p. ex., d’ouvriers ; la revue à laquelle je collaborais dans ma jeunesse, avait dédié une couverture à un maçon égyptien dont l’expertise professionnelle était connue. Mais bon, les préjugés courent les rues.

Jazzi dit: à

Jack Lang, à plus de 80 ans passés, est actuellement à la tête de l’IMA, où il semble avoir dynamisé les expositions qui s’y tiennent…

DHH dit: à

de Michel Schneiderje n’ai conu que le haut fonctionnaire precis et travailleur et a l’honneteté rigoureuse et detestant chez son ministre son obsession de paraître au detriment du « faire »,et son habitudes de mettre les moyens y compris financiers de son administration au service d’intérêts strictement personnels .
Cette primauté permanente donnée par jack lang à la fabrication de son image au detriment des actions de fond est illustrée par un souvenir dont MS a fait etat aupres de nous un jour de 2001
jack Lang avait souhaité qu’on lui prepare une apparition intéressante à la télé à l’occasion la fete de la musique; mais il avait refusé une suggestion de MS d’,aller visiter une classe du primaire , où les enseignants avaient réussi une experience intéressante de découverte de la musique classique par les enfants d »un quartier défavorisé
Cause du refus immédiat et sans appel :avec ça on ne passe pas au 20 heures

et alii dit: à

Crevel s’est suicidé

bouguereau dit: à

..un jour que je trouvais les chiottes de la rédaction telment salle que sans réfléchir je tire des porte de placard pour trouver non pas un balet ou une serpière mais espérais secrétement un truc qu’on asperge sans y toucher..quelquechose de fort comme de la javel..de l’acide..au moins une bombe senteur sous bois..du wisky pas cher..que paf derrière la dernière lourde à ballai je tombe sur fog qui cuvait lisant un gaston lagaffe..je postillonne de rage en lui filant moulte coups de pieds..et c’est là qu’il me dit « si si si demain je me suicide..il y aura une lettre a coté de moi en disant que tu m’as tuer »

Damien dit: à

Jacques Rigaut, aussi. — Dans la vidéo en question, je suis très étonné de voir Boulez se rabaisser à des comptes d’apothicaire, comme un vile tâcheron qui défend ses sous avec une rage sordide. Schneider est plus à l’aise, mais un peu méprisant et très peu sympathique. C’est vraiment le genre de discussion inepte qui ne sert à rien. On sait que Boulez raflait toutes les subventions, et même encore plus que ce dont Schneider l’accuse. Et pourtant, cela n’empêchait pas Boulez d’être un grand musicien et un artiste cultivé sachant parler de Proust et de musique. Je ne connaissais pas cette émission désastreuse. Qu’allait-il faire dans cette galère ???

DHH dit: à

Pour moi il est absurde de s’interroger sur les causes d’un suicide :sauf cas particulier porteurs de sens (ainsi le sepuku des japonais ou les immolations politiques ) le suicide est la manière dont on risque mourir d’une maladie, organique au même titre que le cancer ou le covid ,qui s’appelle la depression
et surtout il ne faut pas prendre le discours du dépressif qui est le symptôme et non la cause de la maladie comme l’explication du suicide.
dire de Primo ,qui a passe des années apres la guerre des a manager activement et efficacement une entreprise et a ecrire de nombreux ouvrages ,que c’est ce passé de concentrationnaire qui explique son suicide des années apres son retour me semble absurde

et alii dit: à

je ne vois pas pourquoi il serait plus absurde de s’interroger sur le suicide que sur le mariage ou sur la tragédie, ou sur les mythes ; une chose l’interrogation, une autre les réponses apportées!
et là, la « littérature » ne manque pas!

bouguereau dit: à

Pour moi il est absurde de s’interroger sur les causes d’un suicide :sauf cas particulier

..halors que je continuais à lui cracher dessus..une idée odieuse me prends..je sort ma bite faisant mine de me « soulager » sur lui..mais non je ne l’aurais pas fais..c’était qu’un « simulacre dexecution manadgérial » qu’il aurait dit polo..n’empeche que bien m’en a pris..dans un seul souffle il adit « pour acheter ma baguette tu sais tu sais que je dois traverser ma rue..et ben quelquefois je le fais au rouge en me cachant les yeux des deux mains..jai fait une lettre à mon notaire à n’ouvrir qu’en cas de mort subite qui t’accuse de tout! »

Janssen J-J dit: à

1 – mais charoule sait’il ce qu’est une « classe laborieuse », maitre, en a-t-il jamais touché du doigt ne serait-ce que l’excrémence, tel le premier consul un pestiféré de Jafa ?

4 – ej petit rappelle que Durkheim n’a jamais prétendu sonder les causes intimes d’un suicide individuel (bien qu’il ait pu se laisser à les colorer en une sorte de typologie, altruiste, anomique, etc.). Il s’est contenté de montrer la composition de le groupe social de son époque qui en était le plus préservé (les catholiques mariés, pour le dire vite), et d’en expliquer les raisons à partir d’une hypothèse déduite de l’appareil statistique dont il disposait à son époque. Je pense que vous rn serez convaincue, DHH, n’est-ce pas ? Vous ne prendriez pas notre bon vieux Durkheim pour un rigolo quand même, si ?

Amanda Lire dit: à

Je ne connaissais pas cette émission désastreuse.

Elle fut une prise de conscience décisive pour une majorité de citoyens qui votaient benoitement ou résolument à gauche, d’avoir été dupé par le slogan de « la culture pour tous » qui n’était que la culture des copains et des coquins. Clientélisme, propagandisme et divertissement. Du quignon culturel et des jeux.

et alii dit: à

je crois qu’il n’y a que des cas particuliers, et que le nier fait partie des « arrangements » pour se donner bonne conscience! et à cela, il y a des personnes qui s’y entendent mieux que d’autres ,et se croient aussi enviées qu’enviables

bouguereau dit: à

(les catholiques mariés, pour le dire vite)

la thèse retenue et débatue de durkeim est la contagion..le mimétisme

Amanda Lire dit: à

la culture des copains et des coquins. Clientélisme, propagandisme et divertissement.

C’est ce qui est arrivé, par exemple, en ce concerne les achats pour les FRAC. De grands critiques d’art d’ailleurs, après plusieurs années de constat désastreux des politiques d’achat, ont démissionné.

bouguereau dit: à

je crois qu’il n’y a que des cas particuliers, et que le nier fait partie des « arrangements » pour se donner bonne conscience!

on peut dire exactement le contraire havec la même mauvaise foi de donneuse de lçon himbéciye

bouguereau dit: à

en ce concerne les achats pour les FRAC. De grands critiques d’art d’ailleurs, après plusieurs années de constat désastreux des politiques d’achat, ont démissionné

la conséquence des faits pourrait apparaitre à charge mais j’ai ici une lettre et dans la main une fiole qui dit le contraire..faut buter saddam dans les chiottes

renato dit: à

Borromini : sa santé, déjà troublée par de troubles nerveux et dépressifs, s’aggrave en raison de fièvres et d’insomnie chronique. La soirée du 1er août, selon un chroniqueur de l’époque, il se montra encore plus extravagant, car Borromini qui était « tombé depuis quelques jours en pleine humeur hypocondriaque, avec une épée, appuyant sa pomme sur le sol et avec la pointe vers son propre corps il s’est suicidé ». Bref lorsque l’homme de ménage n’obéit pas à son ordre d’allumer une lampe pour écrire, Borromini fut pris d’un accès de colère disproportionné et se transperça mortellement avec une épée. La mort ne fut pas immédiate, de cette façon Borromini eut le temps d’expliquer les raisons de son geste, de dicter ses dispositions testamentaires et demander à être enterré dans la même tombe que son oncle Carlo Maderno, dans l’église de San Giovanni dei Fiorentini.

Janssen J-J dit: à

cher closère, vous vous trompez totalement s’agissant de Giesbert… Des biographies de politiques à l’emporte pièce qui font croire à des scoops vraisemblables mais inventés par son invraisemblable mégalomanie, des « romans » ni fait ni à faire à la va vite…, et des essais à l’absolesene programmés avant l’heure prévue… Mais comment pouvez-vous donner crédit à de pareils pantins ?

@ Schneider-Boulez ? tout le monde a regardé cette incroyable vidéo !… Etalii a révisé son Erostrate, rôz son 18 Brumaire, et jmb pigiste au Point levé, fixant Pivot, jzmn allégeant jaklangue DE dynamitER les expos de l’IMA;
Quelle catacombe, Hécate !

et alii dit: à

ce n’est pas donner une leçon que de dire « je crois que « bouguereau » est un cas particulier et j’ai effectivement bonne conscience de reconnaître sa singularité en webprovocateur, même si je ne comprends pas ce qu’il cherche et pourquoi il est si satisfait de lui-même , et s’il semble plaire à beaucoup de persévérer dans les mêmes procédés;

bouguereau dit: à

dans l’église de San Giovanni dei Fiorentini

..il a du donc carambouiller qu’il avait glissé au moment d’embrocher son sanglier pour un barbequeue avec des monsignor qu’il dirait dirfilou

renato dit: à

Cinq cents migrants abandonnés par des passeurs sans eau ni nourriture sur un bateau de pêche. Cinq morts — cadavres jetés à la mer.

bouguereau dit: à

certain affirment sans coup férir comme toi que je suis un impuissant si compulsif que je me cache doublement et derrière un nom faux et derrière une parole fausse pour qu’on soit certaine comme toi que ton nom sonne vraie et telment ta parole juste que tu ne peux être quen bonne santé mentale..farmacon

Janssen J-J dit: à

NON, jmb…. Il connaissait bien la « loi » de l’imitation de Tarde, son collègue magistrat à la sensibilité « sociol » (que vous confondez allègrement avec les mécanismes de contagion propres à la « psychologie des foules » de Le Bon), mais ne s’en jamais indirectement inspiré pour le Suicide, allons donc, jmb ! Ne commettez pas l’erreur du réductionnisme psychologique habituel face à cette étape de la pensée sociologique (outre les Régules de la méthode) que Raymond Aron, psp, détestait…, lui qui n’avait d’yeux de Chimène que pour l’allemand Max Weber qu’il nous importa en France durant l’entre 2G, sur un autre malentendu. M’enfin, on va pas refaire le monde non pu, hein !. Bàv

felix d dit: à

Le seul grand ministre de l’éducation nationale « de gauche » fut Alain Savary . Mais les ensoutanés et les anciens élèves d’ensoutanés ont eu sa peau . Sa grande réforme fit long feu . Et l’école catholique dite « libre » a pu conserver ses parts de marché . Notamment dans l’Ouest ratichon . Merci qui ?

bouguereau dit: à

..farmaconne..mettons

bouguereau dit: à

Merci qui ?

n’houblie pas keupu que tu as dit y avoir envoyé tes fils..pas seulment pour qu’il fussent plus a coup sûr dans l’hélite par piété filiale..mais pour prouver ta largeur desprit et ta tolérance..demens!..raclure

D. dit: à

Tiens pour une fois que roro sort de l’Ukraine…

bouguereau dit: à

tarde!..ha mais oui..c’est encore un coup de ce salaud de fog qui m’a fait une fiche de lecture bidon..la prochaine fois je ne simulrais pus

Janssen J-J dit: à

@ même si je ne comprends pas ce qu’il cherche et pourquoi il est si satisfait de lui-même

quand on est une invétérée conne qui ne s’intéresse à personne, il vaut mieux ne pas faire accroire que l’on cherche à comprendre les autres, et ceux qui les comprennent, pour essayer de vaincre sa propre haine de soie sur les réseaux sociaux. Le miroir n’est jamais bien reluisant.

Tu fais iech, jmb, à me couper tjs la parole, alors que je suis destiné à t’expliquer aux étales comme si je t’avais fait… Franchement, cette histoire de FOG aviné dans les chiottes derrière la porte, je vois bin d’où ça vient…, mais quand même, là, j’vas avoir du mal à leur espliquer !

et alii dit: à

il y a deux obsessions sur ce blog(et pas seulement) que je ne partage pas
1) la santé mentale des uns et des autres
2) la passion de la sexualité
c’es peut-être pathologique , mais comme je suis dans un pays où l’on peut choisir, a priori ,ses thérapeutes, je ne me sens pas coupable de ne pas vouloir en discuter avec vous:oui, j’ai bonne conscience sur ce point au moins!
bonne soirée!

D. dit: à

un maçon égyptien dont l’expertise professionnelle était connue.

Tout ça pour pas dire Imhotep…

bouguereau dit: à

Ne commettez pas l’erreur du réductionnisme psychologique habituel face à cette étape de la pensée sociologique (outre les Régules de la méthode) que Raymond Aron, psp, détestait

c’est tout moi ça..me voilà percé à jour

bouguereau dit: à

Tout ça pour pas dire Imhotep…

hiram dédé..vu que les juifs étaient bon a rien qu’elle dirait renfield

D. dit: à

Le ploton du Tour arrive à Chaville !

MC dit: à

Eh non, on ne fait pas le 20h avec la musique classique mise à la portée ( si j’ose dire) des élèves. Et le même Lang se trompe parfois dans ses fiches en saluant en terrasse de café au grand étonnement des habitués,une autre personne pour un écrivain dont on causa naguère, et avec qui, d’ assez loin, elle peut etre confondue….

DHH dit: à

la video que je viens seulement de découvrir où l’on voit s »affronter MS et Boulez dit tout :le clientelisme en face de l’esprit de service public,la star autoproclamée, diva pleine de suffisance au discours creux , citant comme abscons un exposé pourtant clair,mais qu’il a été incapable de comprendre, en face du responsable administratif competent ,connaissant impeccablement ses dossiers ,les présentant avec clarté et intelligence , et ,ici ,avec un humour d’une cruauté ravageuse déboulonnant la statue
Un grand fonctionnaire!

Jean Langoncet dit: à

@et c’est là qu’il me dit « si si si demain je me suicide..il y aura une lettre a coté de moi en disant que tu m’as tuer »

Femme fatale presque jusqu’au bout du surin
https://www.youtube.com/watch?v=zJ8lmGAXQMA

Amanda Lire dit: à

Un grand fonctionnaire!

Oui, DHH.
Mais il a dû démissionner!

rose dit: à

Merdalors
1101, j’aurais aimé que ce fut moi.
Carambar, encore raté.

P.S : je trouve cela hyper intéressant de se/nous questionner sur le suicide.
Et Abdallah, pourquoi ?
À se suicider, faut pas se rater, m’a-t’on dit.

rose dit: à

Je vais leur faire la poule à mon groupe France O4 Alzheimer, à la rentrée.

Cot cot cot codac.
Déjà qu’ils m’aiment, je vais être leur coqueluche ♥️🐔.

rose dit: à

En rentrant la sur la route, me suis remémoré un détail, puis questionné.
Dans Frères zet soeur de Desplechin, y a un passage, où, lui, le martyrisé par l’aînée, de longues années durant, à l’hôpital, se couche dans le lit le long de sa mère dans le coma.
Le lendemain, elle a une jambe totalement nécrosée qui a mouru, l’opposée de celle le long de laquelle il était blotti contre sa mère.
Vous souvenez-vous ?

Et soudain, je me suis demandé.

rose dit: à

au rond-point de la boulangerie à Sainte Tulle, tant qu’à être sainte, autant que ce soit en tutu.

rose dit: à

Où êtes-vous signifie d’où parlez-vous ?

rose dit: à

Je vais le refaire.
Une oraison funèbre, pour un pote à moi, poète, qui a mouru.

et alii dit: à

c’est gentil,rose;
il n’est pas vrai que des femmes n’arrivent pas à s’entendre ;j’en quitte une, tres consciencieuse dans son travail, pas xénophobe du tout, et qui ne cherche pas à écraser les autres,hommes comme femmes, elle n’est pas aveugle aux questions « politiques »autour d’elle, et ne projette pas inconsidérément; oui on avait une peine en commun, elle et moi; et c’est de cette peine que je vous « répondais »; sans chercher à être plus « forte » surtout pas plus fortes que la mort, nous savons bien que nous ne cherchons pas un « rôle », ni une « place », c’est notre mémoire de survie, surtout à mon âge, elle est plus jeune et c’est une « relation amicale »comme on ne peut que l’accueillir lorsqu’elle se présente;
courage rose pour avancer courage!

D. dit: à

De plus en plus un racisme larvé se développe dans les publicités télévisées sur les chaînes françaises : les personnes roublardes, menteuses, hypocrites, colériques, physiquement faibles, sont presque toutes incarnées par des acteurs ou actrices de couleur blanche, et le plus souvent blonds. A l’inverse, les personnalités vertueuses sont incarnées par des métis.

D. dit: à

Cela finira par aboutir à des dépôts de plainte et des procès.

rose dit: à

D.
Pas vu
Et alii
Merci

rose dit: à

In Télerama
Festival d’Avignon : la bouleversante lettre d’adieu d’Olivier Py
5 minutes à lire
Publié le 24/07/22

Olivier Py lors de l’ouverture du Festival d’Avignon, en 2021.
Olivier Py lors de l’ouverture du Festival d’Avignon, en 2021.

Nicolas Tucat / AFP

Après neuf ans à la tête du festival d’Avignon, Olivier Py s’apprête à céder sa place au metteur en scène Tiago Rodrigues. Ce dimanche 24 juillet, en guise de passage de relais, il a lu devant son successeur une lettre bouleversante, que nous publions en exclusivité.

La scène s’est déroulée ce dimanche 24 juillet, lors de la conférence de presse de clôture de la 76e édition du Festival d’Avignon (qui se referme officiellement le 26 juillet) : l’actuel directeur de la manifestation, Olivier Py, en poste depuis 2013, a tiré sa révérence, comme prévu, devant Tiago Rodrigues – dramaturge, metteur en scène et comédien portugais. Et il l’a fait en lisant une lettre aussi belle que forte. Une lettre en forme de bilan, parfois douloureux, toujours passionné, empreint d’une indéfectible foi dans le théâtre, la création mais aussi et surtout dans cet événement unique qu’est le Festival d’Avignon. En exclusivité, Olivier Py a bien voulu nous la confier.

« Mon très cher Tiago,

Le Festival n’était pas un moment de ma vie, c’était ma vie.
Être libéré de sa vie est une véritable grâce, et je n’en aurai pas été libéré tout à fait sans la confiance que je mets en toi.
Je suis nu comme un nouveau-né et c’est une véritable béatitude. De cette nudité, puisque je ne suis revêtu à ce jour d’aucun projet d’avenir institutionnel, je voulais t’adresser ce viatique. Il est modeste, mais la nudité n’a pas de poches.
Tu vas vivre des heures difficiles, et je serai l’un des rares à le savoir, tandis qu’une foule de jaloux et de fâcheux qui te croient dans l’Olympe, s’autoriseront à dire tout et n’importe quoi et à faire de leur ressentiment un argument. Tu seras bien seul.
J’ai confiance car tu auras, au Festival, une équipe qui te soutiendra, comme cela a été mon cas, des compagnons merveilleux comme j’en ai eu. Cela, malgré tout, ne pourra empêcher des moments de solitude effrayants. Car au Festival, tout le monde est dans sa tranchée et s’efforce de tenir son poste sous les bombes.
J’aimerais te donner des conseils, mais la situation où je suis, la page blanche où je vole n’est pas propice aux conseils.

J’en sais de moins en moins, sur l’état du monde, de la culture, de l’avenir, du théâtre, de la jeunesse, du Festival et de moi-même. Je n’ai plus aucune certitude, je deviens un peu agnostique. Je ne sais pas, j’essaie d’écouter.
Donner des conseils, comme faire des critiques, je trouve cela trop avilissant. Ce n’est donc pas un conseil professionnel que je pourrais te donner mais un secret d’amitié. Le voici.

Olivier Py : “Le Festival d’Avignon aura été la grande passion de ma vie”
6 minutes à lire
Garde la pureté de ton cœur. Le cœur est le lieu du désir et les désirs ne sont pas toujours purs. Garde alors la pure impureté de ton désir. Garde la pureté dans ton cœur car tu seras sommé, par des gens qui en savent toujours plus que nous, de l’abdiquer. On te demandera de programmer ceci et cela au nom de ceci et de cela. On te conseillera tout, on t’intimera l’ordre de faire cela et ceci et tout et son contraire, au nom de toutes sortes de choses, de toutes sortes de bonnes raisons politiques, esthétiques ou éthiques, mais surtout au nom de choses qui n’ont qu’indirectement à voir avec le théâtre. N’écoute pas la raison raisonnable et la prudence professionnelle. N’espère pas dans les stratégies politiques, ne mise rien sur de l’intérêt ou la ruse. Écoute ton cœur pur.
Garde dans le plus pur de ton cœur qu’il y a des choses qu’il faut faire parce qu’il faut les faire même quand il ne faut pas les faire. Et c’est tout.
Garde la pureté de ton cœur quand le Festival sera attaqué par des gens qui n’ont pas lu le programme, et ne sont jamais venus.
Garde la pureté de ton cœur quand les sempiternelles bêtises sur l’art élitiste, l’entre-soi, l’intellectualisme, ou l’institution te seront crachées au visage. La plupart du temps ; ils ne savent pas ce qu’ils disent et ils ne savent pas ce qu’ils font.
Garde la pureté de ton cœur et au contraire de moi, souvent, garde ton calme.
Garde l’amour pur du théâtre, de l’art, de la pensée, de l’absolu littéraire, comme une pureté plus pure que l’impureté des obligations mondaines. Les jeux de pouvoirs sont publiés et reste le souvenir de la pureté de l’acte artistique.
Garde pur en toi celui qui aime le Festival même quand tout va mal au Festival, c’est-à-dire un jour sur deux en juillet.
Garde la pureté de l’émerveillement devant notre Cour d’honneur sous les étoiles, devant l’espoir métaphysique des jeunesses, devant la passion de ce public unique au monde.
Garde la pureté de ton cœur, elle est le centre de tout. Elle est le véritable message. Et si tu penses que rien n’est plus beau au monde que cette folie de juillet dans la ville des papes alors rien ne pourra t’atteindre…

Dis-toi que tu ne peux pas tout faire même en travaillant 25 heures par jour. Mais si tu perds la pureté de ton cœur tu auras perdu le Festival et toi avec.
C’est ce combat spirituel que personne ne verra, que personne ne saura et qui sera parfois le plus terrible. Ne laisse entrer dans ce cœur pur et purifié par le travail, ni remords, ni envie, ni ressentiment, ni colère. Le Festival est plus beau que tout et ton espoir d’un plus beau Festival encore, est le plus grand mystère de ton cœur et tu ne le partageras avec personne.
Ce n’est pas très difficile. Il suffit de ne pas oublier celui qui est venu ici pour la première fois et qui y a découvert un monde meilleur. Moi, j’y ai rencontré, l’année de mes vingt ans, l’art, l’engagement, le théâtre et mon destin.

« Les journées du directeur sont faites de dix compliments pour une bassesse. On retient plus facilement les bassesses par vanité, on oublie trop facilement les compliments. »
Garde la pureté dans ton cœur aussi sous les splendeurs papales, les obligations protocolaires, les cirages de pompes et les courtisaneries et les honneurs. Traite les grands comme des petits et les petits comme des grands. Quand tu seras humilié par les marquis,
il y aura toujours une femme de ménage pour te dire qu’il faut te reposer et prendre soin de toi. Une femme de ménage, ou un détenu, ou un adolescent, ou une spectatrice pressée.
Les journées du directeur sont faites de dix compliments pour une bassesse. On retient plus facilement les bassesses par vanité, on oublie trop facilement les compliments.
Des bénédictions faites par des anonymes qui ne vous demandent rien et vous disent merci du fond de leur cœur pur.
Dis-toi que leurs cœurs purs de festivaliers émerveillés et le tien ne sont qu’un. Tout est là et le reste n’existe pas et passera avec le mois d’août.

Qu’est-ce qu’il y a de plus beau sur cette terre que notre Festival ?
Et pourtant que de critiques ? N’y a-t-il pas des choses plus critiquables en ce monde que notre Festival ?

On lui demande tout, de sauver la planète, d’arrêter la guerre, de reconstruire le contrat social et comme il ne le peut pas absolument, on dit qu’il ment, qu’il se paie de mots. Mais combien de justes causes trouvent ici sa parole ? Et la cause des causes qui est celle de l’émergence du Sens ? Et tant qu’on lui demande tout, c’est la preuve qu’il ne sert pas à rien. Et c’est vrai. Nous ne pouvons pas tout mais nous ne pouvons pas rien et cela suffit à séparer la nuit du jour.
Notre Festival est fragile, financièrement, médiatiquement, politiquement. On le croit puissant, établi, institutionnel, léonin. Le public n’a pas à connaître nos problèmes, lui qui vient ici pour trouver un sens à une vie souvent plus difficile que la nôtre.

À tous les cynismes, à tous les découragements, il te faudra opposer la pureté de ton cœur ; l’amour d’Avignon, du public et de l’art. Et c’est comme cela que tu désarmeras les malveillances, et surtout que tu inventeras l’impossible. Et je t’en sais capable.
Ce qui se passe ici pendant le mois de juillet n’a lieu nulle part ailleurs dans le monde. Ce n’est ni consensuel, ni pré-écrit, ni inoffensif. C’est un miracle et une utopie, c’est la fête de l’Espérance. Ici, demain, certains adolescents vont fabriquer les outils de leur dignité, et c’est eux qui doivent nous juger.

L’année prochaine, je vais vivre enfin un Festival de pure jouissance, de pure béatitude, sachant que tu veilles sur nous. Oui, sur nous, il y a un nous.

Merci à ceux qui partagent ce rêve et longue vie au Festival d’Avignon ! »

Olivier Py,
24 juillet 2022, Avignon

Festival d’Avignon 2022

JC..... dit: à

LUNDI 25 JUILLET 2022, 5h28, 25°, temps paisible

« Garde la pureté de ton cœur »…(Py)

Conseil totalement ridicule !

Le ridicule est sans limite dans la cité des Papes. Il n’y a pas pire que Py…

Bon vent ! belle mer !

JC..... dit: à

Par contre, autre bonne nouvelle ce matin !

L’Ile de Lampedusa accueille toujours plus de visiteurs de l’Europe, bonne fille, ces misérables dupes accompagnées par les dealers de ce beau business africain, encouragé par les bisounours ONG au coeur épris de pureté.

Tout va bien.

JC..... dit: à

GRANDE BRETAGNE

La candidate à la succession de BoJo envisage, si elle est élue, de supprimer une 20taine de CONFUCIUS, cercles culturels chinois, implantés en territoire brit.

Comme si les Chinois pouvaient trahir la pureté de la pensée confucéenne !

Sacrés rosbeefs !

renato dit: à

«… la pureté de ton cœur… »

« la seule pensée me rend malade » a justement dit de Kooning (après lecture de Søren).

MC dit: à

« La star autoproclamée » Cest tout à fait cela, DHH! MC

renato dit: à

Pas si « autoproclamée » que ça pour qui a assisté au Jahrhundertring (Boulez-Chereau).

et alii dit: à

tausk s’estsuicidé
TSVETAEVA S’EST SUICIDEE

et alii dit: à

Carlo Michelstaedter s’est suicidé

Damien dit: à

Pétrone aussi s’est suicidé, en épicurien. Il avait réuni autour de lui tous ses amis chez lui et ce fut une fête magistrale. La dernière fête — où l’on se moqua de Néron. C’est Tacite qui raconte cette mort de l’auteur du « Satiricon », un beau roman dont il nous reste de grands passages. J’aime beaucoup ce « Satiricon » ou « Satyricon », je ne sais pas comment il faut l’écrire. Je l’ai sorti récemment de ma bibliothèque pour le relire. C’est la lecture idéale pour un voyage à Rome ou à Naples.

rose dit: à

Aujourd’hui, lundi 25 juillet, 8h57, c’est le troisième jour que la canicule faiblit
Nous avons pu samedi et dimanche et ce matin du lundi entrebâiller les volets, au lieu de les claquemurer, et mieux encore, ouvrir les fenêtres dans la journée.
Ma maman Emma est rentrée hier vers 19h dans son EHPAD.
Bel accueil des résidents et des personnels. Gentillesse, courtoisie.

rose dit: à

Socrate aussi s’est suicidé. De force. Ita est contraint.

Jazzi dit: à

Pureté de mon coeur, mon cul !

Parlant du festival d’Avignon, pour définir sa singularité et sa raison d’être, Olivier Py n’a pas un mot pour Jean Vilar, son créateur.
Comme si ce festival de théâtre était né avec lui…

Jazzi dit: à

et alii, telle une prêtresse du Temple du Soleil, nous lancerait-elle un appel au suicide ?
Elle nous aimerait mieux morts que vivants !

et alii dit: à

pourquoi diable devrais-je aimer les erdéliens parce qu’erdéliens ?

et alii dit: à

je ne comprends pas que des personnes demandent soudain à être aimés de personnes qui leur sont inconnus et à la figure desquels elles crachent allègrement!
ces exigences d’amour me semblent au moins questionnables;

Jazzi dit: à

Non, parce qu’humains, et alii.

Bob Rafelson, le réalisateur américain de « Five Easy Pieces », est mort à l’âge de 89 ans.

et alii dit: à

sont inconnues ; desquelles!

Jazzi dit: à

« pourquoi diable devrais-je aimer »

pourquoi Dieu devrais-je haïr »

et alii dit: à

désolée, je ne me sens pas obligée d’aimer tous les humains;il y a aimer bien, et aimer! et je ne dirais pas non plus que j’aime bien les erdéliens!

Jazzi dit: à

On ne vous oblige à rien, et alii, juste un peu d’empathie à ceux auxquels vous vous adressez abondamment, quotidiennement et depuis si longtemps…

et alii dit: à

je ne souhaite pas à ceux qui s’imaginent être dans »l’amour » et projettent leur haine sur des personnes qui résistent à leurs jeux (des hommes tuent celles qui leur résistent, voir la presse)
de vivre cette haine;
bonne journée

Bolibongo dit: à

rose, télérama, pypire et témesta et maman dans le cabas! 🙂

Bolibongo dit: à

On ne vous oblige à rien, et alii, juste un peu d’empathie

C’est un handroÏDE! 🙂

Janssen J-J dit: à

-> apparemment, etalii a échappé au suicide, ce matin, JE PENSE. Dieu sait pourtant qu’elle prend plaisir à l’énumération des célébrités sous les sunlights ! Anéfé, ça fait toujours du bien par où ça passe…

-> hier soir, en Galice… Intéressant et bien discutable, ce film. D’un fait divers, on nous montre le choc de deux mondes plongés dans une intrigue pas trop mal cousue au fil de fer, quoique assez caricaturale dans les aspérités de ses personnages en conflit de voisinage. On nous montre en outre le casting improbable d’un couple de quinquagénaires aimant et déterminé dans le gouvernement de son projet de vie alternatif, sans jamais nous donner vraiment à comprendre les raisons réelles de ce choix (très mauvais Malochet dans le rôle de ce « néo-rural). Mais là n’est pas l’intérêt, pas plus qu’il ne résulte du langage de la violence verbale et physique liée à des rapports de classe assis sur des virilités plus ou moins bien bridées de part et d’autres.
Non, l’apport majeur de ce film à mes yeux tient dans son féminisme peu détectable a priori. Pourtant, le fascinant personnage d’Olga, « femme forte », crève petit à petit l’écran, et c’est la deuxième partie du film qui en fait seul l’intérêt. Elle est forte, cette femme, parce qu’elle en impose au monde de la domination masculine ambiante … 1° par la maîtrise de ses émotions face à des virilités variées, telles l’agressivité bestiale des paysans, la virilité débonnaire du compagnon, la virilité « professionnelle » des policiers de la GC, 2° par la détermination de sa quête obstinée pour faire éclater la vérité contre toutes raisons apparentes, 3° par sa capacité à ne pas baisser les bras dans l’équilibrage héroïque et toujours précaire de son statut de mère (sublime leçon de vie donnée à sa fille dans un moment sommital du film !) ; de veuve esseulée, déterminée à rester économiquement auto-suffisante par fidélité amoureuse, 3° par son humanité, consistant à dépasser sa vengeance et à pardonner, en invitant la vieille payanne devenue coite, à l’accompagner dans sa solitude future.
Oui, c’était un bon film, courageux et bien casse-gueule, avec quelques faiblesses, mais qui s’en est très honorablement tiré.

(+ la pirouette du jour, 25.7.22_9.50) : au fin fond de la vallée de la Galice, on m’a toujours dit que la couverture du « réseau » était très défaillante… Apparemment, dans ce film, non… ! Les autochtones sont en passe de tous maîtriser de la vraie modernité à la campagne reculée, skype notamment, dans le calcul des bénéfices de la vente des tomates bio sur le marché local… (Ouh, là… t’es petit, jjj – Oui, je sais).

Bon, après cette petite incartade, passons maintenant à la chronique des livres ! Bàv.

Bolibongo dit: à

C’est un handroÏDE! 🙂

Qui se meut uniquement pas ses liens! 🙂

Bolibongo dit: à

Vous pourriez faire moins long pour ne rien dire Janssen J-J dit: à ! 🙂

Bolibongo dit: à

Ouh, là… t’es petit, jjj – Oui, je sais).

Pourquoi l’écrire puisque vous supposez que d’avance, tout le monde le sait?

et alii dit: à

je ne me sens pas en phase avec des personnes qui balancent leurs fantasmes et veulent les faire endosser par un bouc émissaire!
quant à leurs haines recuites je m’en moque par chance je connais d’autres personnes,et ça ne vous regarde pas

rose dit: à

Bolibongo
Pas de Médoc, pas de coke, pas de pas de pas de.
Pour le reste c plutôt ça.

Jazzi dit: à

Vous êtes un peu injuste avec Malochet, qui n’a pas démérité dans ce rôle, JJJ.
Mais vous avez raison pour Olga/Marina, qui ne voulait pas que son mari filme leurs vindicatifs voisins. On a pu voir que cela ne servait à rien…

Jazzi dit: à

Et sur le chien Judas, vous en dites quoi, JJJ ?

rose dit: à

Padam, padam.

rose dit: à

P.S
Pas encore vu Las bestas.
Pas d’avant première.
Moij.les ai filmés mes voisins, hautement atteints.
Suite à cela, plusieurs choses se sont passées :
l’agression suivante (le compagnon est analphabète) l’homme s’est tourné vers sa femme et lui a dit tu te calmes où je t’allonge une claque.
Il a compris qu’il était monté par elle (le summum du cauchemar).
Plus d’agressions du tout : elle avait pris le pli de me martyriser consciencieusement.
J’ai vécu ma vie chez moi.
Elle a pratiqué ce qu’elle me soupçonnait de pratiquer et que je ne fais jamais : regarder chez moi, être intrusive, écouter mes conversations, surveiller qui me rend visite.
Finalement, un jour, je leur ai emmené des friandises dans la rue devant leur portail (aucun goût du risque) en leur disant que l’on cohabitait bien.
Elle m’a balancé une saloperie style « ah vous vous en êtes rendu compte » : de ma responsabilité ; pas du tout, l’agressive, c’est elle/ dégaine toujours la première.
Et, in fine, nous sommes arrivés à nous foutre la paix réciproquement.
Et très récemment, à l’aube, a téléphoné à la voisine de derrière (je suis devant) pour lui demander pardon.
Après l’avoir copieusement massacrée durant de longues années qui suivirent le suicide de son mari.

Enfin, d’analyse, j’ai compris deux choses :
1/ ces gens avaient peur. Donc l’attaque était une défense.
2/ C’est aussi un moyen de gagner de l’énergie (tu es en panne d’énergie vitale JP D-R ; il l’a écrit sur un papier puis m’a demandé où est-ce que je trouvais tout cela).

rose dit: à

De manière générale, les néo-ruraux, ce n’est pas un cadeau.
Mais ceci est une généralité.

rose dit: à

Nous, nous les supportons parce que nous sommes passablement tolérants.

closer dit: à

« As » bestas, Rose; c’est du galicien.

Si vous y allez, vous serez servies en matière de querelle de voisinage!

renato dit: à

Il y a des doutes aussi à propos du « suicide » de Lotte er Stefan Zweig. Divers facteurs entrent en jeu : analyse des photos des deux ; pas d’autopsie nonobstant la demande explicite du président-dictateur du Brésil, Getúlio Vargas ; présence injustifiée à Petrópolis du le chef de la police nationale brésilienne Filinto Strübing Müller, qui était censé être dans son bureau et n’avait absolument rien à faire à Petrópolis (ceci selon le Journal du Président Getúlio Vargas qu’il ne peut pas être trompé sur ce point, car s’il y en avait un qui contrôlait méticuleusement ses subordonnés, c’était bien lui). Or, Strubling Müller, d’origine allemande, était un pro-nazi impitoyable et visita l’Allemagne en 1937 à l’invitation de Heinrich Himmler. Il fut également l’un des artisans du vaste système répressif de Vargas, caractérisé par le recours à la torture à grande échelle (il a personnellement participé à des séances de torture et aux exécutions sommaires contre des opposants politiques). Sur la base de ces observations, un auteur dont le nom me fuit, n’hésite pas à affirmer que Zweig et sa femme aavaient été assassiné par des espions nazis, qui étaient partout au Brésil à l’époque. Ce n’est pas un hasard si dans la corbeille à papier à côté de son bureau a été retrouvée une note dans laquelle Zweig affirmait être devenu « l’ennemi intellectuel le plus dangereux du nazisme », plus que Thomas et Heinrich Mann qu’il (SZ) considérait intellectuellement plus importants que lui.

rose dit: à

les : les néo-ruraux. Avec leur conviction qu’ils vont rendre la nature vivable aimante et bucolique.
En route vers le Voyage vers Cythères.
Heureusement que, nous, les gens du pays savons l’âpreté des paysages, la rudesse du climat, froid l’hiver et chaud l’été, sans quasiment de transition et la sauvagerie des autotochnes.
Après, nous les laissons se débattre avec leurs chimères.

rose dit: à

Il y a des doutes aussi.
Signifie que, drame, un assassinat peut être maquillé en suicide.
Mais y a la PJ.

rose dit: à

La PJ ce sont des gens qui enquêtent et parfois, suite à un cold case (cf la nuit du 12) un des officiers de la PJ voit sa vie basculer parce qu’il est bouffé par l’affaire.

JC..... dit: à

1/ « Pureté de mon coeur, mon cul ! » (Jazzi)
Euh… Contrepèterie facile ?…

2/ « Vous pourriez faire moins long pour ne rien dire, Janssen J-J » (JoliCongo)
Euh … Condamnation définitive au silence ?…

CHOUETTE ! s’écria la naine lubrique.

Jazzi dit: à

Oui mais « As Bestas » est plus qu’un film de querelle de voisinage.
Qui sauvera la terre et le village, les néo ruraux, utopistes, ou les autochtones, prêts à prostituer leur environnement pour de l’argent ?

Jazzi dit: à

« Pureté de mon coeur, mon cul ! »

Une façon de faire court pour en dire beaucoup, JC ?

Jazzi dit: à

C’est qui la naine lubrique, JC ?

Jazzi dit: à

L’article est très bien reçu sur les réseaux socio spécialisés !

et alii dit: à

la naine:c’est une « étoile », mais je ne saurais dire laquelle

Janssen J-J dit: à

@ Pourquoi l’écrire puisque vous supposez que d’avance, tout le monde le sait?

Pour vous enlevez le plaisir de le dire vous-même, balotte !

@ jzmn – en fait, c’est Ménochet pas Malochet, je trouve que ce couple ne convient pas avec lui dans ce rôle. Il ne fait pas le minimum syndical, et reste très mal dirigé… C’est trop gros comme une maison de lauzes, qu’il peut pas objectivement tenir son rôle de maçon sur les toitures… Et vous avez vu sa façon de marcher ? on dirait un handicapé… N’importe quoi,… Le chien, lui, l’ai adoré, il joue formidablement bien son rôle neutre dans le conflit vicinal, bien qu’on puisse penser qu’il soit un peu rantanplan, incapab’ de renifler la caméra sous les feuilles et de la rapporter plus d’un ou deux ans après le drame.
Enfin brefl, c encore un détail d’invraisemblance, hein !? – Bàv,

Bloom dit: à

incarnées par des métis.

Des métis ou des mulâtres? Des quarterons ou des des octavons? Il faudrait un peu plus de rigueur dans vos allégations, D.

J’étais hier avec un des responsables français de Hanban, l’organisme gouvernemental qui est à l’origine de l’implantation des Centres culturels chinois en Europe occidentale, à siroter du blanc sur une péniche en face de l’Assemblée. Ces établissement sont un flop total depuis Xi I (2012) & Xi II (2017), car perçus comme des organismes de propagande. Ils ont un temps hésité à adopter le modèle Alliance française, mais bien évidemment, l’idée de voir se multiplier plusieurs dizaines de petites Chine potentiellement indépendante du pouvoir vertical totalitaire pékinois séduit très moyennement.
Liz Truss (Le bandage herniaire) envisagerait de supprimer les classes Confucius, au nombre de 150, sortes de petites antennes des grands centres situés dans les grandes universités (Édimbourg, Liverpool, Manchester, Newcastle, Nottingham, Cardiff, University College London.). Menu fretin.
Certes, le Bouddha a de grandes oreilles, mais pas moinss que Dosto Lagitprop avec ses rutilantes coupoles aux petons de la vieille dame scintillante.
Et puis, je pense que Rishi (le saint ou sage hindou, en hindi) le Guju va se farcir la marionnette de Tasdechair.

Bloom dit: à

indépendantes

et alii dit: à

LA vérité, voue en voulez?
Courte scène pour un jeune homme et une jeune femme, tirée de La Vérité de Clouzot. Dominique Marceau (Brigitte Bardot) est jugée pour l’homicide de son ex-amant, et seul véritable amour. Depuis que Gilbert l’a quitée, et lui a dit qu’il ne l’a jamais aimée, elle pense à nouveau au suicide. Son colocataire, Michel, trouve le pistolet que Dominique vient d’acheter, et met le sujet sur le tapis…
https://compagnieaffable.com/2020/03/11/la-verite-de-clouzot-dominique-et-michel-parlent-de-suicide/

Janssen J-J dit: à

– Dans le roman de Seskik, sur le « suicide » de Pétropolis, il n’est nullement fait mention d’un assassinat déguisé par les sbires de Vargas…
Pas plus que chez Padura, il n’est question d’un suicide au piolet de Trotski.
La naine va sans doute nous rétablir les faits ! – – Excellent, ce contrepet matinal, je trouve. Rendons à César, quand même !
– Apparemment, rz vous avez vécu une aventure similaire… Revenez nous du film et nous dire si vous vous sentez un brin solidaire du personnage d’Olga, ce serait chouette… Enfin c just’une suggestion, hein… nul.le n’est obligé.e à koixesoie,
@ la naine:c’est une « étoile », mais je ne saurais dire laquelle///
Flattée la bougresse. Peut pas s’empêcher finalement de pratiquer à haute dose la prétérition… Hein ! Mais comment être crédib’ après toussa ? – Mais voui, on vous M, malgré vous, vous valez la peine de vive encore un peu, comme tout le monde sur cette chaîne et ailleurs. Qui aurait assez de courage pour vous dire le contraire, hein ?
(comme dirait mon service des impôts on line : Ne répondez pas directement à ce message, celui-ci vous est envoyé automatiquement et aucun traitement ne pourrait être effectué sur un éventuel retour). Merci,

DHH dit: à

Et cette star autoproclamée a comme toutes les divas la conviction que le prince ne peut que se sentir flatté de satisfaire ses caprices, et pour elle ce droit est une evidence
Tandis que l’autre ,le gestionnaire,le besogneux sans génie, doit arbitrer entre priorités ,apprécier ,confronté à une enveloppe financière limitée donnée , son meilleur usage au regard des orientations définies par les instances démocratiques
c’est cela le service de l’Etat, c’est cela qu’on attend d’un ministre honnête et responsable et de son administration , bien loin du regne du bon plaisir

et alii dit: à

et ça:
Le Soleil est une étoile naine de type G, c’est-à-dire une naine jaune.

lmd dit: à

Si on revient aux livres chroniqués,
l’article de Pierre Assouline est effectivement enthousiaste et à la veille d’un week end où il valait mieux rester au frais, je suis descendu à la librairie, j’en suis remonté avec le livre de Cercas et je l’ai lu.
C’est un vrai bon polar sur la relation police/municipalité. Le premier commentaire de MC évoque James Ellroy et Los Angeles , Ellroy est plus mordant.
Les nombreux commentaires ci-dessus sur Antoni Tapies ne manquaient pas de pertinence ; l’un des riches méchants a dans son bureau une peinture de Tapies, avec une chaussette ; Melchor, l’enquêteur, un peu déçu par les réponses de son interlocuteur croit voire que la chaussette s’est un peu affaissée ?
Une précision concernant l’ancienne maire Ada Colau qui a valu à Pierre Assouline une demande de correction ; l’action se passe en 2025 de sorte dans le roman, Ada Calau est bien l’ancienne maire.
Cet inspecteur Melchor Martin va-t-il prendre place dans le panthéon des commissaires ? (Lui, il affirme qu’il a envie de devenir bibliothécaire).

Janssen J-J dit: à

Oui DHH, mais cela n’existe plus ni n’a jamais vraiment existé… Le peuple sait mieux désormais, après avoir amplement médité les travaux de Pierre Bourdieu, que la foncière honnêteté désintéressée de la haute fonction publique est un leurre, et que la sociologie de « l’intérêt public supérieur » n’est pas très intéressante, puisqu’elle est par définition toujours mise au service des intérêts particuliers de celzéceux qui s’en proclament les hérauts, urbi et orbi. Ce qui nous explique la suppression de l’ENA par suite de la recherche frénétique parmi ses zeureux zélus de postes à pantoufler dans ledit « secteur privé » ou « privatisé ». A part de ça, tout va bien, le monde de la démocratie n’est pas du tout pourri, le bon peuple français a besoin parfois de faire « confiance à sa Justice » quand elle donne parfois raison à ses plaintes contre les méchants voisins… Hein ! Bàv,

JC..... dit: à

« C’est cela le service de l’Etat, c’est cela qu’on attend d’un ministre honnête et responsable et de son administration , bien loin du règne du bon plaisir » (DHH)

Dans l’ordre :
– le service de l’Etat, tout le monde s’en fout !
– un ministre honnête ?
– un ministre responsable ?
– une administration non sclérosée par les syndicats ?
– la fin de règne du bon plaisir ?

JAMAIS ! Blasphème !….
Reprenez vous, mon amie !

Bloom dit: à

Les termes du débat:

Rishi: Liz dear, quand t’étais ministre de l’éducation, prouve-nous que tu n’as favorisé les Ecoles KongZhi?

Liz: Rishi-Gee, quand t’étais ministre de l’économie, qui c’est qu’a essayé par tous les moyens de dealer avec Chine?

Voilà qui vole haut, la suite ce soit sur BBC1 (pour les aficionados only, olé!)

Janssen J-J dit: à

@ Pat V. Il est bon qu’un erdélien se soit dévoué à la lecture de Cercas dans le temps imparti de cette chronique… Cela dit, on reste un peu sur sa faim.
Quant à l’opinion de MC sur un comparatif avec Ellroy, elle n’a aucun intérêt, puisqu’il n’a pas lu le bouquin…
Bàv,

J J-J dit: à

@ Le Soleil est une étoile naine de type G, c’est-à-dire une naine jaune (dixit 🙂 je ne connais rien à l’ASTROLOGIE, mais j’essaie de vous en instruire)

JC..... dit: à

Jazzi,

Lorsqu’on raffole des naines lubriques, on se doit d’être exigeant. A mes yeux, et autres organes sensoriels, Ekaterina Lisina était parfaite.

Deux mètres zéro six, basketteuse russe : elle voyait les choses avec hauteur !

Jazzi dit: à

Avec ton petit vermisseau, tu te sens capable de satisfaire les désirs d’une géante, JC !

Janssen J-J dit: à

@ les autochtones, prêts à prostituer leur environnement pour de l’argent

N’importe quoi, et comme par hasard, vous êtes tombé dans le piège de stéfane berne, le syndrome du bobo urbain parisien, mon pauvre… Or, ils sont « rationnels » ces paysans, même si peu sympathiques, d’une part, ils trouvent pas que les éoliennes dégradent particulièrement leur paysage, de l’autre, ils savent qu’elles peuvent leur rapporter des thunes, même si c’est pour les réinvestir dans des projets de vie jugés ineptes par le français, et je vois comment ça marche à côté de chez moij… Quant à l’objection du néo rural, « ce sont les norvégiens qui viennent les fourguer chez vous parce qu’ils en veulent pas chez eux »… Idiote et fausse…
Quand on sait qu’ils ont les taux d’équipements les plus intenses qui soient au monde…
Non, non, le piège de ce film dans lequel vous avez plongé, c’est qu’il nous place insensiblement du côté des néo ruraux, alors que les méchants ont des arguments aussi solides que les gentils, sauf que ne sachant pas bien les verbaliser, ils le font avec leurs poings… Ai tout de suite senti dans ce film qu’il fallait surtout pas prendre parti, de même qu’entre les arguments de la fille et de la mère sous le coup de leur colère respective… Je doisj dire que c’est la construction des dialogues qui m’a le plus impressionné. C’est la prouesse… sur le moment de leur énoncé, vous restez incapable de décider du plus convaincant des arguments… –
Par csqt, jzmn, votre question en queue de comète est d’une tout autre commensurabilité, mais elle n’était point le sujet. Dans ce genre de querelles à vif, il n’y a pas de vainqueurs ni de vaincus, c’est la grandeur du cinéma ou du roman de ne pas trancher, mais juste de bien poser les v-balises pour pouvoir en débattre au coin du feu, comme aux bons temps des dossiers de l’écran d’armand jammot. Bàv,

Jazzi dit: à

Les éoliennes ne sont pas la panacée que l’on croit, JJJ.
Sans prendre vraiment parti dans le débat, le film pose bien le problème.
Mais il n’en demeure pas moins que dans cette histoire, les barbares sont les deux tarés indigènes.
Ne pas oublier que le cinéaste est espagnol, pays qui a vu son littoral massacré par les promoteurs, car la terre rapporte plus en la vendant qu’en la cultivant…

Jazzi dit: à

Les éoliennes obstruent la vue, dénature les paysages et font beaucoup de bruit.
Entre le choléra des centrales nucléaires et la peste des éoliennes, que faut-il choisir ? Tel est la problématique du film. Et les écologistes ne sont pas forcément où l’on croit…

Jazzi dit: à

dénaturent…

lmd dit: à

Janssen JJ, manifestement vous attribuez à Pat V. un commentaire écrit par moi ce matin. C’est à moi d’y répondre, me semble-t-il ; vous dites qu’on reste sur sa faim ; pardi, vous ne pourrez jamais avoir la satisfaction que donne la lecture sans avoir lu.
Quant à Ellroy, le quatuor de L.A. et Perfidia, MC les mentionnait comme une structure identique (chantage, etc. et personnages réels) et je note, moi, que Cercas est moins mordant qu’Ellroy qui écrit en étant, en gros, du coté des flics corrompus.
Je lirai tous les Ellroy à venir et peut être pas les futurs romans noirs de Cercas . Mais je pense que je vais lire les Soldats de Salamine que j’ai plusieurs fois hésité à acheter.

Damien dit: à

Suicide juif : Chloïmé se promène le long de la rivière, lorsqu’il voit soudain un homme, à l’air désespéré, prêt à se jeter à l’eau. « Attendez ! Que faites-vous ? », lui crie-t-il. « Je suis las de cette vie, ma femme m’a quitté, je suis ruiné, et mon rabbin m’a exclu de la synagogue pour ivrognerie : je préfère mourir. » Chloïmé s’adresse alors à lui en ces termes. « Ce n’est pas à moi de juger vos intentions, cher Monsieur. Mais réfléchissez un peu. Si vous sautez dans l’eau, je devrais sauter après vous. Mais comme je ne sais pas nager, je vais me noyer. Que deviendront alors ma femme et mes six enfants, et mes vieux parents ? Voulez-vous avoir tout cela sur la conscience, Monsieur ? Bien sûr que non, vous avez du coeur. Alors, soyez un bon, un excellent Juif : rentrez chez vous et, ce soir, au calme, seul dans votre chambre, pendez-vous ! »

Janssen J-J dit: à

@ lmd, pardon de vous avoir confondu avec Pat V… Je prends bonne note de votre remarque. Si je puis me permettre une suggestion sur Ellroy ? _ D’abord le sommital « Dahlia noir », puis en complément, « Ma part d’ombre » (sur l’assassinat de sa mère)… Surtout pas « Extorsion », on n’a jamais fait pire la complaisance fasciste de la noirceur humaine…
N’hésitez pas avec les Soldats de Salamine sur l’histoire du fondateur de la Phalange, (récemment cité par RM), histoire mal connue et bluffante.

@ jzmn…, et j’en connais des cinéastes français jamais inquiets ni inquiétés par le massacre consenti de la bétonisation de la côte d’azur… Vous mélangez tout, comme d’habitude…, sur les éoliennes comme sur LES écologistes. Mon dieu, mon dieu, que d’approximations amateuristes métissées, comme dirait notre Irlandais sur cette chaîne.
Bàv,

Jazzi dit: à

JJJ, vous avez quand même une drôle de façon de voir les choses (en l’occurence, un film).
Vous dites que le chien, un bonnasse berger allemand, adopte une position neutre.
Rien de moins neutre.
Alors que son maître est seul avec lui en forêt, et qu’il se trouve soudain en position de danger, au lieu de la défendre (sa fonction première), il passe purement et simplement du côté de l’ennemi !
Il est ainsi un acteur principal du drame, que dis-je, de la tragédie proprement biblique, qui va se dérouler sous nos yeux.
Connaissant le cinéma de Rodrigo Sorogoyen, et la solidité de ses scénarios, je me suis dit que la scène d’ouverture, sur le domptage à main nue des chevaux par les hommes, ne pouvait pas être gratuite.
Elle annonce, en effet, la scène centrale capitale à venir…

Jazzi dit: à

Attendons l’avis de la néo rurale rose, JJJ.
Vendrait-elle, même à prix d’or, son grangeon pour des éoliennes ?
Les ravages des écologistes, j’en prends quotidiennement la mesure à Paris…
Macron a pris en main la préparation des futurs Jeux olympiques. Il a réunis ses principaux ministres aujourd’hui, sans inviter la maire de Paris à la réunion !

MC dit: à

Oui,enfin bon,on peut aussi penser que Bourdieu n’est qu’un penseur comme il y en a tant, emblématique certes d’une crise des élites en forme de prophétie auto réalisatrice. Moyennant quoi il est incapable de penser les notions d’interet public ou. les grands hommes quand ils se révèlent, étant lui-même borné à un petit schéma de sciences pas humaines et sans grand intérêt .Quand au Cercas, l’avez-vous vous-même lu? Il y a une tendance chez vous à s’afficher en juge suprême de ce blog qui devient fatiguante….

J J-J dit: à

précision @ lmd… « on reste un peu sur sa faim »… par rapport au papier de Passouline », et c’est dommage de ne pouvoir bénéficier du vôtre. C’est comme si nous devions nous contenter des chroniques ciné cégétistes de Jzmn et les prendre pour argent comptant, sans aller vérifier de temps à autre de quoi elles retournent exactement… Bàv,

DHH dit: à

@JJJ
je ne suis pas d’accord
j’ai passe 35 ans dans l’administration et j’ai rencontre plus de hauts fonctionnaires soucieux du service public et désintéresses que de ces calculateurs égoïstes prets a tout pour satisfaire leur ambition ,tels que vous les évoquez
Une promotion de l’ENA c’est une dizaine de ces gens aux dents longues, avides de places et sans scrupules, qui s’afficheront nt toujours du côté du manche, et une centaine d’autres qui font carrière comme cadres administratifs moyens , avec le souci de gérer au mieux , et qui souvent prennent ds risques en se battant contre les défenseurs de certains intérêts privés , pour faire aboutir des projets qui vont dans le sens de l’intérêt général

Jazzi dit: à

réuni…

JC..... dit: à

« Avec ton petit vermisseau, tu te sens capable de satisfaire les désirs d’une géante, JC ! » (Jazzi)

Par chacun de ses pores….!

Jazzi dit: à

« chroniques ciné cégétistes de Jzmn »

Merci pour elles, JJJ.
Mais je vous pardonne, car vous êtes l’un de mes meilleurs lecteurs.

En août prochain, le léZard de Paris aura un an.
C’est un sacré boulot.
Il ne suffit pas de créer un site, il faut aussi le nourrir quotidiennement.
Et en plus, il faut le faire connaître, ce que je fais ici et sur les réseaux sociaux spécialisés sur Paris et le cinéma.
Un passionnant travail, où l’on cumule les fonctions d’auteur et d’éditeur.

Janssen J-J dit: à

@ MC, elle est bien bonne, celle-là ! (Le juge suprême, mdr). Je vous prie instamment de ne pas me lire ni surtout de réagir à Bourdieu (comme espéré), au quart de poil…
Je vous livre cet estrait d’une excellente bretonne pour vous calmer un brin, s’il se peut (hélas, c’est une historienne, et femme de surcroît!) qui vous fera peut-être plaisir ?
« Les gloses de Bourdieu sur la « domination masculine » auraient, j’imagine, si elle avait pu les connaître, beaucoup fait rire ma grand mère (et de gloser elle-même sur le matriarcat breton…) j’aurais tendance pourtant, contre toute attente, à décerner à Marie-Scholastique un éclatant brevet de féminisme ». etc.
.
Michèle Perrot était un peu plus ouverte et indulgente par rapport à l’œuvre entière de PB que son amie Mona, en matière d’histoire du féminisme et des femmes. Mais baste, tout cela est bel et bien du passé, n’allons pas réouvrir la querelle des vieux cons & des femmes savantes. Bàv !

et alii dit: à

IL ME SEMBLE QU’on n’a pas évoqué ce qui est plus récent et qu’on nomme « suicide assisté » lequel est interdit en FRANCE
Définition : qu’est-ce que le suicide assisté ?
Le suicide médicalement assisté est une aide apportée à une personne consciente qui demande à mourir. Un médecin prescrit des substances létales et la personne ingère ces substances ou déclenche la perfusion.

Quelle est la loi en France ?
La Loi française interdit l’euthanasie et le suicide assisté. Deux lois régissent la fin de vie.
https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2714835-suicide-assiste-definition-loi-france-procedure-pays-suisse-difference-euthanasie-prix/

Janssen J-J dit: à

Ok DHH, mais il se trouve que le ratio que vous évoquez s’est quasiment équilibré depuis 20 ans et qu’avant la suppression de l’ENA devenue pure école de management « commercial », il avait basculé au profit des … Vos vieux énarques vertueux étaient, hélas devenus une espèce en voie d’extinction. La macronie aux aguets avait compris qu’il fallait remplacer cette école élitiste par un nouveau bataillon de néo-fonctionnaires capables de bosser en mode dégradé pour le bien de quelques cibles publiques seulement, et alternants selon le gré des vents…
Bàv,

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