Le pessimisme ironique de Dezsö Kosztolanyi
C’est plus fort que moi, et je ne suis pas le seul critique, ni même le seul lecteur à réagir ainsi : face à un premier roman, essayer d’en savoir davantage sur les lectures qui ont pu influencer l’auteur. Celles de toujours et celles qui ont irrigué son imaginaire et son inconscient tandis qu’il ruminait son histoire. On sait que les auteurs ne goûtent guère l’exercice d’admiration ; ils ont l’impression de déchoir en payant leurs dettes, du moins en France ; ailleurs, on a compris depuis longtemps que la manifestation de gratitude nous élève plutôt qu’elle nous abaisse. Car, hormis le cas assez exceptionnel de ceux qui écrivent une fois pour toutes le seul livre qu’ils ont dans le ventre, le plus souvent un récit-témoignage issu d’une expérience personnelle transcendée par la littérature, on connaît peu d’écrivains qui n’aient d’abord été des lecteurs. Lire et écrire, c’est tout un.
Ayant récemment rencontré Frédéric Verger, l’auteur d’Arden, l’un des plus brillants et des plus prometteurs premiers romans de la rentrée de l’automne dernier, d’ailleurs couronné du Goncourt du premier roman, je n’ai pu m’empêcher de le questionner sur ses influences, tout en sachant qu’il ne fait aucune différence entre imagination et mémoire, son écriture les mêlant en fonction de son bon plaisir. Comme ce professeur de français est du genre plutôt réservé, discret sinon timide, et qu’il mettait un certain temps à mûrir sa réponse, je tentais quelques pistes, inspirées par la facture même et l’univers de son livre : La Montagne magique ? Un sourire… L’Homme sans qualité ? Un hochement de tête… Je vous en épargne quelques autres, plus ou moins à côté de la plaque, tous pleins de fantômes européens, mais Frédéric Verger est trop courtois et bienveillant pour le faire remarquer autrement que par frémissement de sourcil. Il finit par lâcher doucement « Nabokov… » avant de poursuivre, avec détermination cette fois : « … et surtout Dezsö Kosztolanyi. Connaissez-vous cet auteur hongrois ? Précipitez-vous. Passionnant »
Ainsi fut fait aussitôt. A l’issue d’une rafle chez son éditrice Viviane Hamy, qui a eu l’audace et le bon goût de le rééditer avec constance (ce classique hongrois est traduit en France depuis 1923) , je me suis plongé dans cet univers plein d’humour, de loufoquerie, de fantaisie jusque dans le tragique, si créatif dans l’art de la métaphore et le culte du détail (l’inoubliable valise pour dire l’espoir d’évasion dans Alouette), dont les passerelles avec Arden sautent aux yeux, effectivement. Je n’avais rien lu d’aussi délectable depuis… un certain temps. Les personnages y évoluent dans une forme de rêverie supérieure. On sait que ce qu’il raconte relève de l’invention tant c’est invraisemblable, et en même temps, il y a flotte un si doux parfum de nostalgie que cela réveille des souvenirs en nous. Il s’en dégage une impression des plus étranges. Mais de qui s’agit-il au juste, Verger ou Kosztolanyi (1885-1936) ? Les deux probablement. On dirait que l’un et l’autre écrivent pour conjurer le spectre de la disparition de ce que le premier appelle « la complicité mystérieuse unissant la mélancolie et l’ivresse dans une ronde incessante ».
Au lecteur qui ne saurait par quel bout prendre cette œuvre, je conseillerais de commencer par Le Traducteur cleptomane (traduit du hongrois par Adam Peter et Maurice Regnaut, 155 pages, 7 euros, Viviane Hamy). La première nouvelle, qui donne son titre au recueil, offre la quintessence de l’art poétique du nouvelliste, avec ce qu’il faut de fantastique, de dérision, d’humour pince-sans-rire et surtout d’absurde. On sent le plaisir tout particulier que cet infatigable polygraphe, qui avait écrit avec une facilité revendiquée plusieurs milliers d’articles pour la presse et les revues, a éprouvé à raconter ces histoires. Celle qui ouvre l’ensemble narre donc celle d’un traducteur si cleptomane (et non pas voleur : on connaît le premier, pas le second) qu’en traduisant Le mystérieux château du comte Vitsislaw, il ne put s’empêcher de voler des mots, sinon des phrases, à l’auteur. Ainsi, le comtesse perd-elle en chemin une partie de ses bijoux de famille, entre la langue de départ et la langue d’arrivée, entre l’anglais et le hongrois ; le traducteur n’a pu s’empêcher de lui en dérober quelques uns…
Quelques pages à peine mais qui suffisent à récréer ce microcosme. De même dans la nouvelle sur l’argent, la langue hongroise ne connaissant que l’expression « ennuis d’argent » comme si l’argent était la cause de ces ennuis ; alors qu’ « embarras de richesse » (en français dans le texte) est tellement plus adéquat. Mais les histoires où l’on parle plusieurs langues ne sont-elles pas déjà une image du paradis ? Les autres récits disent tout aussi bien la part du jeu de cette écriture.
Autant ses nouvelles (il en a écrit une quarantaine), dont un certain Kornel Esti (autrement dit : Cornélius le crépusculaire), son double et le personnage principal, sont marquées du sceau de la fantaisie, autant certains de ses romans se révèlent plus tranchants une fois passé le voile du clair-obscur des univers feutrés de la bourgeoisie. Parfois, ils posent un problème qu’une question suffit à formuler, mais que des centaines de pages suffisent à ne pas résoudre : pourquoi la bonne assassine-t-elle ses employeurs de neuf coups de couteau après avoir fini la vaisselle ? (Anna la douce). Et pourquoi un professeur de mathématiques, aimé de tous mais abandonné par sa fille, incapable de bien noter un cancre au risque de le voir se retourner contre lui, finit-il par se suicider ? (Le cerf volant d’or).
Cet humaniste fait preuve d’un pessimisme fondamental en ce qu’il se résigne à l’ingratitude des hommes et de la société. Le cynisme, cette cuirasse si utile par gros temps, exige une force qu’il n’a pas. La vie est ainsi, il n’y a rien à faire. Ou comme il dit : « C’est la vie ! ». Plus il nous fait pénétrer dans la complexité de ses personnages, plus leur passivité, déteint sur nous jusqu’à provoquer l’empathie, sinon la compassion pour leur état de contemplatif dans un monde en mouvement. Indépendant, inquiet et solitaire, poète dans tous ses écrits et pas seulement dans ses poèmes, il excelle à cultiver l’ironie et le paradoxe ; les situations qu’il expose, de même que les sentiments qu’il prête aux uns et aux autres, flirtent si bien en permanence avec l’ambiguïté, qu’on ne sait si on est dans le réel ou le rêve. Grâces soient rendues à Frédéric Verger pour me l’avoir fait découvrir. Mais il va être difficile un jour de relire Arden sans y chercher l’ombre portée de son cher Dezsö Kosztolanyi…
Soigné pour un cancer qui finira par l’emporter, souffrant de laryngectomie, il perdit la voix et finit par ne s’exprimer que par écrit. Ne demeurait plus que la voix de ses textes, la langue de son œuvre. Ne sachant rien du hongrois si ce n’est qu’il s’agit d’une langue extrêmement difficile, et rêche à l’oreille, il faut s’en remettre à ce qu’en dit l’une de ses traductrices, Eva Vingiano de Pina Martins :
« Sa langue est toujours consciente d’elle-même, travaillée, limpide. Ici (dans Anna la douce), nous avons un style dont le laconisme correspond, on le comprendra, au parti pris narratif. Ainsi avons-nous souvent une syntaxe simple, préférant la juxtaposition à la subordination, une syntaxe qui refuse d’enserrer le lecteur dans un choix préétabli de corrélations Cette simplicité est favorisée par un trait caractéristique de la langue hongroise : l’existence d’un seul temps du passé ».
Toujours la même réaction face aux auteurs de nouvelles. Surtout quand elles sont impeccables. Mû par un réflexe naturel, je me dis dans un premier temps : quel gâchis ! et quel roman cela aurait donné avec un tel fil rouge, de tels personnages. Puis dans un second temps, féliciter l’auteur de sa sagesse car, de toute évidence, son histoire exigeait un rythme, une cadence, une durée propres à la forme brève. Le secret en toutes choses, c’est de connaître sa distance et de savoir s’y tenir. Heureusement il y a aussi des fous. On les reconnaît à ce qu’ils ne savent pas se retenir. Quelques-uns ont du génie.
(« La Lecture, Esztergom, Hongrie, 1915, photo André Kertész ; « Kosztolányi Dezső és Botfai Hüvös László szobrászművész Bp., 1933. forrás: Litera« )
1 160 Réponses pour Le pessimisme ironique de Dezsö Kosztolanyi
y’en a qui innove dans la connerie et qui ne font pas que sempiternellement copier leur maitre..
bouguereau par lui-même
…
…Something Stupid !,…Frank Sinatra!,…
…
« JCulé
..ça c’est envoyé »
Où, le boug ?
L’Europe ayant le blues… Juncker &Schulz seraient les nouveaux Blues Brothers ?
editeurs dit:
..y’avait comme une odeur de hareng..toujours là à pourrir par la tête petit con?
« L’islamisme n’a qu’une seule cause : l’islam ! Et dire le contraire revient à noyer le poisson. Les pétromonarchies du golfe sont riches et prospères et ne se libéralisent pas pour autant, bien pis, elles financent de plus belle le terrorisme et diffusent l’islam le plus rigoriste jusque chez nous. »
justement ça leur sert d’idéologie pour perpétuer leur ordre – On sait tout ça – les horreurs et conneries au nom des religions de l’islam en particulier c’est pas nouveau – des papes ont soutenu et blanchi des criminels, des dictateurs assassins pour perpétuer les saloperies
bougros pue le rance c’est jc qui déteint sur lui
ueda
il faut aussi que les parlementaires approuvent l’heureux élu par la populace
Pour ceux qui aiment déjà Kosztolányi Dezsö, ses nouvelles et ses romans, on peut signaler la parution l’an dernier de ses Portraits (petites chroniques tendres et drôlatiques sur les métiers les plus divers, des miettes qui font société si vous voulez) aux éditions de La Baconnière.
JC, si vous voulez garder un temps d’avance, un autre classique hongrois qui m’avait enchantée : MIKSZÁTH Kálmán, le Parapluie de Saint Pierre (tjs chez Viviane Hamy).
TKT dit: 16 mai 2014 à 9 h 56 min
Le raciste de pq ne vaut pas la peine de s’énerver, c’est un pervers qui veut tout rabaisser à son minable niveau
Elena, avoir un temps d’avance pour tomber de la falaise dans les premiers, ahaha !
Merci pour le tuyau, je n’ai rien lu de MIKSZÁTH Kálmán ! J’achète, je lis, on verra bien… va pour le Parapluie de Saint Pierre !
…
…l’€urope et ses fonctionnaires des » pourris juifs « ,…à cols-blancs et parasites » témoins de Jéhovah « ,…
…et autres » Opus Dei « ,…du cul des banques!,…des saints d’Ambrosiano of Love Jésus-Christ!…aux €ros-Center!,…
…
…le gros-gros Bordel Atomique Management du 3° millénaire,…à se faire mettre par l’Islam, et touti quanti!,…
…
…un nouveau terme à baptiser la » Porno-Politique « ,…ou la » Hard-Porno-Politique « ,…au sucre Mondialiste!,…
…Paris libéré!,…Ah!,…Ah!,…
…des couilles à sucer!,…please!,…
…etc!,…
Plus fort qu’Alexandre, JC, puisque j’aime franchir l’Indus.
Il faut savoir gré à Bloom de nous parler de temps en temps de l’Inde, même si, Bloom, vous un un chouia passionnel.
Modi promet-il un « soft fascism? », les débats vont bon train.
C’est curieux comment moi qui suis néanderthalien en Europe, je retire ma peau de bête en passant à l’Est et retrouve un esprit dubitatif.
Je remarque que des Musulmans, certes très pro-business, critiquent les chiffres de notre Jaffrelot:
http://www.firstpost.com/politics/debunking-the-facts-on-narendra-modi-and-muslims-1218661.html
Je n’en tire naturellement aucune conclusion.
baroz, t’as pas d’humour…un peu graveleux, certes, mais il faut beaucoup se baisser pour être au niveau de la merde de pq.
C’est vrai, les fafs, y en a beaucoup dans ton coin? Pas de bol…
fasciss…la fixette à voir des fasciss partout.
La Hongrie a perdu son accès à la mer d’un coup de crayon vicieux. De quoi rendre fasciss le dernier des mollusques.
OK ! Bloom fait son kéké au Quai : du karaoké filipitoyable : ça nous coûte, mais ça nous distrait.
Nisha Pahuja a vraiment tout pour plaire, et ce qu’on peut voir de son « The World before Her » est bien intéressant.
Impressionnantes images du Beauty Pageant et du camp d’entrainement des femmes fondamentalistes hindoues.
(« I hate Gandhi »).
http://www.youtube.com/watch?v=Xi_E2YNWuMg
Elle s’exprime très bien sur son film (voir Filmmaker).
Mais je regarderais à deux fois avant de conclure.
Après tout, l’association fanatique où elle a fait son enquête, la Durga Vahini, ne compte (sauf erreur) que quelques milliers de membres.
« Je veux Martin Schultz » (ueda)
Bref, tu veux qu’on vote PS.
Puisque c’est pas un scrutin nominal.
Phil dit: 16 mai 2014 à 10 h 45 min
fasciss…la fixette à voir des fasciss partout.
Ah, je te reconnais bien là, mon Phil. Quand y en avait effectivement partout, c’était le bon temps, hein ? Tu regrettes, je sais. Que veux-tu, faut t’y faire.
c’était le bon temps, hein ? Tu regrettes, je sais
Régniez ne vient plus mais on a toujours phil. ouf! on respire
La Pologne était pleine de facsiss il y a dix ans (sur radio france). aujourd’hui bon élève subventionné de l’ue, tout va mieux (sauf sur radio france).
L’Inde, c’est un autre problème. faut d’abord nettoyer le gange. Bloom conseillera la marque de lessive.
…
…tout les partis!,…baisons les honnêtes gens européens de souche et des couche-toi là sur canapé du chômage!,…
…pour les colonies,…des culs pour africains et arabes brutes du pétrole!,…
…à nos Dallas bordel » Ben -Laden » school of €urope – Management!,…
…la classe des castes à coupole sous pots de chambres aux robinets!,…
…& disproportions des taxes pour Morts à crédits!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
Bloom, pour moi la Méditerranée est la Reine des mers !
Dont forget Israel !
La Méditerranée est doublement ta mère, Bloom : vas, et ne te hais point !
dur Est au demeurant dit: 16 mai 2014 à 11 h 00 min
« Je veux Martin Schultz » (ueda)
Bref, tu veux qu’on vote PS.
Puisque c’est pas un scrutin nominal.
La mort dans l’âme je dois reconnaître ta force logique.
Mais je ne les regarde pas, je ne les écoute pas, ces ectoplasmes, je ne fonctionne qu’en allemand.
Je n’ai jamais nié être primitif.
(Je suis bon prince, après la défaite de ma candidate, NKM, une parfaite éducation).
c’est un lac, baroz. aux canaries, pas de promenade des anglais. les caniches s’envolent.
Encore deux semaines de souffrance.
« — Je croyais que c’était une joie?
— C’est une joie. Et une souffrance ».
(Rideau)
Playa del ingles, Phil
http://www.gaygrancanaria.fr/topic/index.html
« Le rapport technique du Qatar indiquait bien qu’il faisait trop chaud en été, mais le comité exécutif [de la FIFA] avec une majorité assez large a décidé qu’on allait jouer au Qatar », a rappelé Sepp Blatter.
Formidable.
Mon camarade JC va encore trouver des motivations basses à cette noble arabophilie.
C’est bien ce que je vous disais, baroz. Les caniches sont rasés et la jupe n’existe pas. tout différent de la méditerranée.
La Hongrie est passée de la terreur rouge du « kakas » (‘coq’ en hongrois) nerveux Béla Kun à la terreur blanche du poulet Horthy, du jour au lendemain (après un court intermède mené par les généraux français Berthelot et Franchet d’Espérey), pas étonnant de retrouver chez les écrivains du pays des esthétiques picaresques (à la Krudy, je pense à son « Coq de madame Cléophas », Elena en a peut-être déjà parlé…) ou sur-ironistes (à la Kostolànyi, voir tous les récits racontés par la voix de Kornél Esti), mais toujours reflétées dans les miroirs d’un baroque délicieusement surréaliste (au sens premier, on imagine assez bien le ravissement d’un Breton si les oeuvres avaient été traduites en français vers 1920-30.)
Prague et Budapest étaient les terres (le champ magnétique n’agit qu’en territoire urbain) du rêve surréaliste par excellence vers cette époque.
Il suffit peut-être de prendre l’incipit d’un romans de l’un des deux auteurs cités : « Pistoli ne parlait jamais du temps qu’il avait passé dans l’au-delà », pour le prouver.
« Mon camarade JC va encore trouver des motivations basses à cette noble arabophilie. »
Le travail du Qatar se situe au niveau des détails…
(… question péripatéticien, Blatter est un maître incontesté…Avida dollars !)
Vous semblez bien connaitre le problème, Phil.
Sinon, voilà une bonne adresse, on m’y voit même sur une photo !
http://www.villasblancas.com/home
Bloom, personnellement j’ai déjà vu du matériel type JC, merde solide flottante, aussi dans d’autres mers. En Europe continentale, les bords de mer et les plages sont trop occupées par la foule. Trop de monde.
L’interdiction mondiale des plages vraiment privées, non accès à la foule des touristes, n’arrange pas les choses en matière de plages pas trop envahie par les foules. Je connais aux USA, des plages dans des parcs nationaux, accès payant, cela rend les baigneurs moins nombreux.
La Côte d’Azur, région fantastique, est un immense embouteillage.
Vous faire traiter de raciste xénophobe par JCulé, montre son état mental, il prend son ombre pour les Autres…
D’JCulé est expert en fichier, il serait devenu officier supérieur de la Stasi, Milicien junior, la chute du Reich et de Vichy, a brisé sa carrière.
Peut-être, est-il même refusé au FN ?
Je vous supplie, Thierry, au nom du duo que nous formons depuis si longtemps, au nom du bon vieux temps, injuriez-moi en priorité.
Pensez aux erdéliens. Ils ont leurs habitudes.
« Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,… » (GSA)
Ça fait un peu coït intergalactique, Giovanni.
Relisez donc ce message, D. !
http://traube.blog.lemonde.fr/2012/11/24/a-propos-dune-de-mes-notes-sur-d-le-troll-de-la-rdl/
xlew, Budapest est né plus tard et plus vite que Prague. Pour une renaissance, Bela Kun a tâté des forceps, pour le malheur des générations suivantes.
sapré Baroz. La maison dans les dunes est un bon roman d’un auteur flamand (pas rose) aujourd’hui oublié.
…
…@,…ueda,…
…
…les négociation entre partis!,…n’a plus rien à voir,…de qui gagne!,…
…tenir l’esprit!,…aux urgences des vies sociales en équité!,…il y a urgence!,…
…
…autrement!,…même les fondements des sécurités,…justice, police, pompiers, administration,…est , complètement » foutre en l’air!,…
…toute l’€urope!,…n’existe plus!,…c’est le Fart-West de bandes-organisés!,…tout le monde » élimine » tout le monde,…
…
…c’est l’€urope » Atilla « ,…avec hypocrisie , tartufes, incompétences et débaucherie instrumentalisée ,…
…
…une grosse crasse d’état infecte!,…à s’exiler sur une île, dans une caverne,…
…
…l’€urope c’est abominable-colossal,…etc!,…c’est abject en tout!,…
…
En observant votre autoportrait, on peut voir que votre œil gauche (coté droit de la photo) semble ne pas suivre les mouvement de votre œil droit.
Votre autoportrait en veste de coton blanc, emprunté peut-être à un serveur de restaurant, votre cravate n’est pas unie noire, ce n’est donc pas vous en tenue de travail…
http://traube.blog.lemonde.fr/2012/06/19/portrait-dun-pervers-narcissique-ou-du-troll-de-la-rdl/
Pardonnez moi d’intervenir, mais la raison en est simple : nous sommes en situation de crise et il est effarant, inadmissible, stupéfiant, lamentable, égoïste, inenvisageable ……que TKT ait des FANTASMES PERSONNELS !!!!
Le temps est venu de mieux gérer diversité collective, rêves communs, pulsions personnelles ! Un seul mot d’ordre : ayons TOUS les mêmes fantasmes !
Egalité ! Fraternité ! Liberté (…en 2017)
Thierry, mon ami de toujours, la photo que vous pensez être celle de D. … est celle du Culbuto Culbutant, François Dernier !
Des excuses ! …tout de suite …
Très drôle, la réserve de TKT,- une variation sur les havres pour éléphants. Comme dit la chanson « Dieu réunit ceux qui s’aiment » (moi qui ai toujours cru que c’était le contraire).
Bonne journée,
Bonne journée,
Hier soir je suis allé voir « Budapest Hotel ».
Le film est tiré d’une nouvelle de Stephan Zweig, se passe dans pays imaginaire du K & K. Au contraire de tous ceux qui ont commenté, sur la RdL, sur ce film, je n’ai pas vu un film montrant la communauté Juive d’avant 1938, et encore moins celle de de la campagne prisée par Wiederkehrender, une sorte de shtetl hongrois.
Bref, après avoir vu ce film, comment les commentateurs, peuvent partir délirer sur le Shtetl ? Ou même, sur la bourgeoisie juive K&K ?
u. je vous trouve un peu faul-cul sur ce coup. Ce genre d’article frise l »advertorial’, les rédacteurs sont soit du ou pro-BJP. Un pur plaidoyer prodomo, comme si on avait demandé à Janovici de s’exprimer sur la rafle du Vel d’Hiv. Dis-moi d’où tu parles et je te dirais ce que tu dis…
J’avais invité C. Jaffrelot à donner une conférence dans une université privée pakistanaise sur le thème des musulmans indiens. C’était avant Ayodhya et les progromes de 2002. Edifiant. Les musulmans dans leur immense majorité sont des citoyens de seconde zone en Inde. Attendons les premières décisions du gouvernement 100% BJP. Un troisième zone à leur usage serait un moindre mal…Une dispariton des radars est à craindre, voire un retour des tensions avec le Pakistan, lui aussi puisance nucléaire incontrollée.
Que les musulmans pro-hindouité du BJP s’en prennent à Jaffrelot, rien que de très normal.
Je reviendrai sur N.le Modi, la langue anglaise, son interdiction de visa US, son fiancement par le BNP bangladais et donc l’ISI pakistanais…Rss, Shiv Shena, et le shakras…brrrr
Ça fait un peu coït intergalactique, Giovanni
vu qu’c’est linfini à portée y’en a pas d’aute épicétou
injuriez-moi en priorité
dédé il aime les étrennes en pièces d’escrément compressé
« Budapest Hotel »
t’es sur que t’as pas donelodé un porno russe vontraube ?
Bloom dit: 16 mai 2014 à 13 h 13 min
u. je vous trouve un peu faul-cul sur ce coup.
Ça m’arrive plus qu’à mon tour (grande admiration pour la Societas Iesu), mais vous remarquerez que sur Jaffrelot, je n’ai présenté aucune conclusion.
Ses analyses sont soignées, je ne dis pas le contraire.
(J’aime bien son livre La démocratie par la caste.)
Par exemple, sur le High-Tech populism de Modi:
http://inp.sagepub.com/content/1/1/79.abstract?rss=1
Les hologrammes de Modi!…
Pour le reste, je n’aime pas beaucoup l’usage du F-word.
(Hard or Strong Fascism)
It’s a conversation stopper.
Maintenant, quand c’est Ashish Nandy qui le dénonce en ces termes il y a une dizaine d’années, je prête attention.
(J’ai frappé à la porte de Nandy à Dehli, et en partageant son breakfast j’ai pu constater que malgré son radicalisme post-quelquechose c’est un parfait gentleman).
Prague et Budapest étaient les terres (le champ magnétique n’agit qu’en territoire urbain) du rêve surréaliste par excellence vers cette époque
prague plutot cubiss..un marrant dailleurs
(Hard or Strong Fascism) > (Hard or Soft Fascism)
(Hard or Strong Fascism)
It’s a conversation stopper
pas en italie, les inventeurs, en fluent globalisation la conversation c’est je vends tu achètes..on s’est apercu que ça se modelisait tellement bien qu’on arréte pas de causer dans l’dos dceux qu’on baise
(le champ magnétique n’agit qu’en territoire urbain)
ma mère de ma mère..tu veux dire que tous les masques océanien on été bidouillé en banlieue de chenzen..perdent jamais l’nord eux
dans l’dos dceux qu’on baise
« ..lui il nous traite de pauvres cons mais au moins il nous le dit en face »
u. je vous trouve un peu faul-cul sur ce coup.
Ça m’arrive plus qu’à mon tour
le faux est un moment du vrai zouzou..t’es bon dans le mouvement
@ bouguereau dit:16 mai 2014 à 13 h 27: je suis allé dans un vrai cinéma. accompagnée de ma belle-sœur, et franchement, rien de moins érotique que ce film. Alors, pour ce qui est de porno, Bouguereau vous confondez avec vos activités comme internaute.
le faux est un moment du vrai zouzou..t’es bon dans le mouvement
Tu vas faire rappliquer Mauvaise Langue pour une séance de Hegel-bashing.
TKT, On ne peut pas dire que Bouguereau « confonde ». On peut juste dire que c’est un gros con, gavé aux médias. Hors-là, désert.
Maximus Poetus, tu as raison… Poussière… Mais n’oublie pas tout de même que cette poussière, c’est nous tous.
Maximus poeta…
Je pensais surtout à Styrsky, Nezval, la peintre Toyen, bouguereau, tous ceux qui furent abandonnés comme des déchets de l’Histoire par leurs ex-amis poètes parisiens devenus des dévots staliniens de la plus belle eau orthodoxe. Je ne sais pas si tu parles de Kupka ou Mucha, mais je crois qu’on peut dire que les frères Capek (avec un chapeau chinois renversé sur le C), Josef mais surtout Karel, firent la soudure avec le surréalisme (et avec quel enthousiasme) très vite dès la fin des années vingt. En ce qui concerne l’apport du surréalisme hongrois, à part l’apparition du jeune Simon Hantaï à Paris qui mit en transe Breton, je ne connais pas bien…
@ Phil, je dois faire partie de la dernière génération qui connut les mecs (et surtout les filles, dans leur propre orga) très actifs dans les lycées publics de France, van der Meersch et son « Pêcheurs d’Hommes », c’est l’une elles qui me l’avait passé, j’avais aimé beaucoup ça. Pour revenir au territoire hongrois de l’après 19, il faut se souvenir de tout ce qu’écrivait un Cioran sur l’angoisse roumaine d’un retour de la revendication territoriale magyare et, inversement, des nostalgies hongroises au sujet du pays slovaque qui n’aurait jamais dû quitté le giron des descendants du grand Hun. Le cloisonnement soviétique de l’Europe centrale n’a rien donné de bon, c’est sûr.
…
…mon post en réponse à ueda,…disparu!,…
…
…l’€urope Attila du Far-West en bandes organisées!,…
…
…tout le monde lynche tout le monde!,…
…les vies-sociales en grosse crasse d’état infecté!,…abject !,…
…avec des strates sous contrôles » nazy-juifs »,…à chevaliers du temple dans leurs poches!,…c’est mieux!,…etc!,…S.A.G.,…inversé!,…
…
Je voulais parler des jeunes de la JOC, pardon.
Je crois u’il Faut distinguer deux moments dans L’antisémitisme wagnerien. un momenten quelque sorte esthétique visant Meyerbeer et Halévy, coupables d’etre en situation de monopole à L’ Opéra, et de chercher à le préserver. Cela donne le Judaisme dans La Musique publié un moment ou Wagner est en quasi-faillite; Cette hostilité ne lui est pas spécifique. Se souvenir du mot de Rossini à qui on demande après Guillaume Tell s’il va faire jouer une nouvelle œuvre:
» Peut etre, mais quand le sabbat des juifs sera passé! » allusion assez claire aux succès du tandem cité plus haut. Et Berlioz, plus gentil: » Meyerbeer n ‘a pas seulement la chance d’avoir du talent, il a le talent d’avoir de la chance; »
le second moment est l’antisémitisme intégral qui nait après la mort du maitre avec Cosima Winifred et Siegfried; la mise à l’écart du chef Hermann Levi, recruté par RW et créateur de Parsifal, pas moins, est tout un symbole. Cosima lui fait comprendre que malgré son génie et son dévouement » elle ne peut avoir de l’estime pour lui puisqu’il est fils d’Israel »;
la psychologie des maitres de Bayreuth peut expliquer ce glissement dans la mesure ou Cosima, née française, comme Chamberlain -né à Versailles!- en viennent à rejeter leur patrie d’origine pour s’inventer une Allemagne chimériquement pure ou le Juif n’a pas sa place; la meme évolution mentale combinée à une religion de l’Art Allemand conçu comme supérieur à tout aura le conséquences que l’on sait. -dont le Finale des Maitres offre le péan sous forme de choucroute musicale –
En résumé, l’antisémitisme de Wagner , surtout esthétique, parait aggravé de beaucoup par la religion de substitution des Wagnériens, ou le juif tient la place du diable. Un seul a vu le danger bien que musicien raté, c’est Nietzsche!
MC
Court, avec du mauvais esprit, je pourrais conclure, que Cosima, éduquée en France, est plus antisémite que son mari, sujet Bavarois ?
TKT dit: 16 mai 2014 à 9 h 56 min
Vos propos sont antisémites, car en fait anti-sioniste primaire.
Pouvez-vous développer un peu plus cette caractérisation de primaire pour certains antisionistes, Thierry, car j’ai un voisin antisioniste et j’aimerais le traiter d’antisisémite.
« que Cosima, éduquée en France, est plus antisémite que son mari, sujet Bavarois ? » (TKT)
Elle est terrible, Cosima, voir son Journal.
Je crois que je lui aurais dit: rentre chez toi, je préfère ta mère.
Enchanté, JCtounet, que vous appréciez la poésie de Jean Calbrix.
@ à tous. Mon patron vient de me faire savoir que Mon cadavre cherche son amant à Rouen vient de paraître. Exemplaire gratuit pour Jacounet.
Hier à la manif : « l’état patron gèle nos salaires et nos retraites, brisons la glace ».
« Va falloir changer les paroles de la célèbre chanson de Franck Sinatra, « Outsiders in the night » !
Un gingle pour la française des jeux en quelque sorte.
http://www.bing.com/videos/search?q=gingle&docid=608005637963712916&mid=6EBF94872781B008854D6EBF94872781B008854D&view=detail&FORM=VIRE5#view=detail&mid=6EBF94872781B008854D6EBF94872781B008854D
xlew.m dit: 16 mai 2014 à 14 h 15 min
devenus des dévots staliniens de la plus belle eau orthodoxe.
Marcherais-tu à quatre papes, xlev ?
Marcel dit 16 mai 2014 à 14 h 36: « Pouvez-vous développer un peu plus cette caractérisation de primaire pour certains antisionistes, Thierry, car j’ai un voisin antisioniste et j’aimerais le traiter d’antisémite. »:
Mon commentaire s’appliquait à JCulé, le troll dont tous les commentaires sont des réactions fielleuses et primaires. Il est antisioniste, bien qu’il se fiche des Palestiniens, car antisémite, par racisme primaire. Ce qui ne lui ressemble pas à l’identique, lui est inférieur.
L’antisionisme primaire d’un JCulé, est le refus de vouloir vivre les Juifs chez eux. Je parle des Juifs, qui sont sionistes et qui ne le sont pas depuis leur fauteuil, depuis leur appartement parisien. Je pense à Langue Moisie, juif autoproclamé.
Je ne suis pas pour usage personnel, pour le sionisme (et encore moins pour les colonies en territoires occupés), mais comme MàC, je désire qu’Israël continue à exister. Je désirerais en Israël, un état laïc. Rien de pire à mon sens que les Nations qui se veulent religieuses.
JC, dorénavant, je vous nommerais D’JoAnCulé
bérénice dit: 16 mai 2014 à 7 h 46 min
Jc la note dramatique du poème qui tient dans la course folle du Setter chassant cette alouette ne dit pas si le ravissement qu’éprouve le poète est tendu par l’incertitude cruelle, je n’ai jamais vu voler une alouette, elle stationne au dessus des blés en rayant l’air d’été de son chant, pourvu qu’elle échappe à la vitesse agile du chien.
Nulle inquiétude à avoir, ma chère poétesse, Iana (ma chienne) a beau être une formule 1, elle est incapable de rattraper une alouette. Par contre, si un petit lapereau s’égare hors de son terrier, je ne dis pas…
je ne dis pas… Je ne sais pas, tiens, un holocauste, un potage, il faut attraper le lapin l’estourbir d’un coup sec derrière la nuque, l’attacher par les pattes de devant à un crochet situé en haut de la porte de l’appentis du jardin puis on le dépèce sous le regard amusé du ministère de la culture, de l’économie et du budget et avec un peu de chance le chef de l’exécutif fermera les yeux sur ce menu larcin et passera sans état d’âme aux affaires sérieuses avant de regagner ses logements de fonction où l’attend la fratrie qui chaque jour l’oriente vers le devoir de mémoire, la patrie, les affaires étrangères qui cognent aux portes de la belle Europe, du grand chantier sur lequel plane encore l’ombre de l’homme qui tua tous les ours.
Court dit: 16 mai 2014 à 14 h 28 min
une Allemagne chimériquement pure ou le Juif n’a pas sa place
Non mais enfin là faut pas se biler les Juifs ils habitent à Villejuif… Et les gays rue Gay-Lussac !
N.D.L.R. J’ai pas de mérite je l’ai pompé dans un Passou’s bouquin…
tout compte fait TKT est assez modéré, il n’insulte vraiment que trois commentateurs et demi : JCouille (culé), D.bile et Langue Moisie. Le demi c’est pour Clopine, qu’il insulte régulièrement mais sans déformer son pseudo.
« rentre chez toi, je préfère ta mère. »
c’est comme daaphnée, sa mère est cent fosi mieux qu’elle (ceci explique cela
15h33 Sa mère n’est plus, en explication de l’explication ceci cela saucisson sec.
Pour les gens comme jc, le borgne etc., les « Arabes » , les étrangers du sud sont la cause de tous les malheurs- jc regrette que son père l’oas n’ai(en)t pas tué assez d' »Arabes »- (ça gène pas bouguereau)
« Sa mère n’est plus »
ça ne change rien
Le Chateau de Dracula est en vente pour 135 millions
xlew, soyez honoré de ressusciter van der Meersch..De mémoire de ce blog, c’est la deuxième occurrence ! Un faible pour « La main du dieu » qui étreint Walcheren et Anvers avec une puissante verve flamande francophone qui déjà s’éteignait.
Le conseil de Bela Kun et sa vingtaine de membres idoines a jeté un mauvais sort aux futures collaborations sémitophiles des magyar. C’est dommage car les Hongrois avaient déjà su reconnaître les plaisirs des bains turcs, tous détruits dans les pays voisins.
Le château de Dracula, qui n’est pas roumain, est à vendre. L’histoire commence à Budapest.
tkt, vous avez bien vu le film (avec votre belle-soeur) mais avez moins bien lu les commentaires du prestigieux blog qui effectivement dégageait Zweig des références. Pas bien grave. Offrez-vous un spa-séjour au Gresham face au Danube turc, fraîchement rénové par des enturbannés pétrolifères.
« tout Compte fait » ou le délire de JCouille.
Je n’insulte pas Clopine, je lui réponds ou la critique, nuance !
Michel Alba ? Je l’attaque quand il part en croisade contre les musulmans ou voudrait faire passer les Juifs, toutes catégories confondues, pour des illuminés comme lui. D’ailleurs, les rabbins ne veulent pas de lui (je le cite) et quant à l’agrégation, je tiendrais un pari qu’il nous a informé l’avoir réussit, pour que l’on ne l’attaque plus sur ce sujet.
Quant à vous JCulé et votre alter-ego, le D.burné, vous ne réussirez jamais à vous faire prendre, tous deux, pour des victimes.
Vous êtes tous deux mauvais joueurs, vous ne comprenez pas les retours de boomerang, sur vos faces de rat.
Phil, je suis allé su Gresham, à l’heure du thé. jolie rénovation, de l’extérieur on dirait un décor hollywoodien, pour un Superman hongrois.
Je ne vois pas pourquoi, le Danube serait turc, à Budapest ?
Bloom, pour moi la Méditerranée est la Reine des mers !
Dont forget Israel
—
Si tu regarde bien, Baroz, tu ne trouveras pas beaucoup d’exemple méditéranéens chez les fils d’Abraham et de Jacob. La Mer No1 est la Mer Rouge, suivie de la Mer Morte (Massada). La Méditerranée, c’est le Phénicen, donc le Carthaginois, et le Troyen, comme le chante si éloquemment l’Enéide, que je lis avec mon grand fils et grand bonheur ces jours-ci.
La Mer à Tel Aviv dans les annés 90, des sacs poubelles à la dérive, soit disant venus du Liban…La Mer Morte à Eilat sur le Golfe d’Akkaba, fraiche et peuplée de poissons multicolores.
tkt, la vue sur Buda rappelle ce qu’il fut. Il manque les minarets mais il suffit de quelques coupoles pour replanter le décor.
des sacs poubelles à la dérive, soit disant venus du Liban…
..salaud de jicé
Phil, quoi de plus beau que la colline de Beoglu et la vue, sur les églises et les mosquées. J’aime les minarets, les croissants dorés et les coupoles.
J’aime aussi en Espagne, les souvenirs architecturaux maures.
J’ai bien aimé dans Los Angeles, le mélange des églises chrétiennes coréennes, les quelques minarets et le souvenir des missionnaires mexicains.
N’étant pas sous les ordres de quelconque religion, mon esprit laïc apprécie les bâtiments religieux. Sans oublier les temples bouddhistes.
Les Franchouillards D’JCouille, devront se faire au 21ème siècle, c’est un joyeux mélange. Mais qu’ils soient sans crainte, la majorité est de souche. Et les musulmans ont eux aussi le droit, à la modernité.
Je n’insulte pas Clopine, je lui réponds ou la critique, nuance !
.. »sacrée salope » c’est qu’une affaire de contesque et de pensée littéraire
@ 16 mai 2014 à 15 h 38: Le père de JC, devait faire partie du groupe à Doriot. Quant à l’OAS, ils ne voulaient que garder l’Algérie dans le sein nationale. Ne pas confondre l’OAS avec un groupe faisant de l’ethnic-cleansing, idem pour les Fellaghas, il ne voulaient que mettre les Français dehors.
On va voir les D’JoAnCulé se défouler, me rappeler le CNIP, amusant, ces deux racistes primaires reprochant aux autres, ce qui fait leur fond de commerce.
@ bouguereau dit: 16 mai 2014 à 16 h 43 min
Je n’insulte pas Clopine, je lui réponds ou la critique, nuance !
.. »sacrée salope » c’est qu’une affaire de contesque et de pensée littéraire
Relisez mon commentaire, c’est D.bile que je nommais de sacrée salope. Faut lire la ponctuation et ne pas mélanger les phrases.
Sacrée salope sied très bien au neutrum D.
ressusciter van der Meersch
maxence avec ses flamandes qui se piquent la fesse a courir cul nu dans les oyats..braydunes et ses lapins!
c’est comme daaphnée, sa mère est cent fosi mieux qu’elle
Ma délicieuse maman vous remercie infiniment, elle se porte comme un charme et sa fille chérie également.
Faut lire la ponctuation et ne pas mélanger les phrases.
tu fais dla contrebande sur le dos a dédé..c’est ta mule..mais à moi on la fait pas..j’ai du clébard dressé
ses flamandes qui se piquent la fesse a courir cul nu dans les oyats..braydunes et ses lapins!
Oh!
Comme les deux bécassines d’en dessous!
tkt, voulez pas acheter le château de dracula ? Pour des cours de ponctuations à lèvres retroussées
L’histoire du génie in fine cauda venenum c’est un peu filandreux quand même…
TKT dit: 16 mai 2014 à 16 h 49 min
Sacrée salope sied très bien au neutrum D.
Peut-être, mais le pseudo est déjà pris, désolée.
Sacrée salope dit: 16 mai 2014 à 16 h 56
Sacrée salope
Des promesses ! Pour allécher le sachant… Euh non… Assécher le… Euh…
Ne pas confondre l’OAS avec un groupe faisant de l’ethnic-cleansing,
ça dépend des individus
« les deux bécassines d’en dessous »
daaphnée et sa mère
..salaud de jicé
bien dit
Sans doute, Sergio, du pipeau !
« Le secret en toutes choses, c’est de connaître sa distance et de savoir s’y tenir. » : encore de l’identité… Mais non ! C’est parce qu’on n’a pas essayé les autres… Quand le brouillard s’en va on change… Ou alors on rajoute du whisky !
Daaphnée dit: 16 mai 2014 à 17 h 12 min
du pipeau !
Ha les bois ! C’est vraiment la haine… Ce soir j’ai concert. S’ils osent souffler dedans je monte sur la scène je la rescalade comme dirait Ferdine… La terreur absolue va se répandre ! Je les désembouche tous…
Une rousse, Sergio ?
en concert, voulais-je dire ..
Daaphnée dit: 16 mai 2014 à 17 h 31 min
en concert
Ha c’est mignon… Mais c’est un montage : à Nancy il pleut tout le temps !
« favorisée par un trait caractéristique de la langue hongroise : l’existence d’un seul temps du passé » (billet)
Sont cons ces Hongrois.
Comme les deux bécassines d’en dessous! Daaphnée
De la même espèce de celles qui de l’index, indicateur d’autorité dans une gestuelle qui échappe, ont été introduites?
Daaphnée dit: 16 mai 2014 à 17 h 12 min
Sans doute, Sergio, du pipeau !
Oui Daaphnée cependant dans cette sélection d’instruments à vents, on peut y préférer le tuba la clarinette le trombone à coulisse le saxophone la flute traversière le hautbois puis plus loin s’intéresser aux cordes pincées, je me demande d’ailleurs dans quelle catégorie ranger les cordes vocales?
http://www.youtube.com/watch?v=s3M8Xc8M_WQ
Bloom pardonnez mes notions hasardeuses de géographie cependant je dirai qu’il règne comme un froid venu d’Antarctique qui rappelons le, n’est prévu au dégel total qu’ici deux à neuf siècles, ce qui nous laisse amplement le temps de mourir ou s’adonner au découpage territorial ou selon, des mouches en 30 parties égales.
ah le bouguereau et ses pensées littéraires, quelle profondeur, vat’faire enculer, minable
Ce que la littérature compte comme verbes et mots qui égratignent à la lecture, s’il fallait en plus les entendre nous pourrions dire qu’elle n’a plus rien de musical, il est vrai qu’on peut tout chanter après le feu ça brûle qui rimerait avec Ursule.
Je souris. Monte sur ma caisse vide de Château Haut-Brion. Lève mon bouquin en l’air comme un vulgaire petit livre rouge (sauf qu’il est essentiellement blanc avec mèche et petite moustache). Je vous crie mon doux conseil :
« Mes amis ! Mes petits choux ! Toi, mon ami Thierry, si cher à mon cœur amusé, et vous tous, crapules payant impôt ! Lisez « Er ist wieder da » de Timur Vermes, traduit par Deshusses !!! »
Exceptionnel ! Si tous les premiers romans avaient cette belle folie… Bonne soirée !
Mais ta gueule JC
Ce soir, je vais faire la cuisine. Mon chat a tué une souris, je vais m’en faire un ragout. Comme accompagnement, je me fais une salade d’oignons avec une sauce à l’huile de ricin.
Phil, ce n’est pas plutôt « l’empreinte du Dieu? » On ne sait ou la divine main va se nicher.
TKT
Je le crois, et c’est ce que semble dire son dernier biographe. Le « sujet bavarois » a pu écrire à Liszt « Crois-moi, qu’importe la patrie »; L’essentiel était de trouver un mécène. Paris n’en a pas voulu, Louis II s’est présenté. Entre les deux,il y a eu le Judaisme dans la Musique….
cela dit, cela doit etre très pénible, quels que soient les mérites réels de Meyerbeer, de se savoir un des plus grands musiciens de l’humanité, et de voir des médiocres à sa place. Les aneries françaises sur la Musique de l’Avenir, la mélodie continue, etc n’ont pas arrangé les choses.
Je ne veux naturellement rien justifier, mais quand on pense que la compétence musicale de Jouvin se mesurait au fait qu’il était le gendre , directeur du Figaro, on voit par quels nains Wagner a été jugé….
Bien à vous.
MCourt
@Traube: l’OAS ne faisait pas du nettoyage ethnique et voulait seulement garder l’Algerie Francaise? Devriez reviser votre Histoire-geo….y’avait des endroits ou les arabes et les chiens n’etaient pas les bienvenus…Fellagha c’est le terme utilise par l’OAs et l’armee francaise pour parler des rebelles FLN…l’armee allemande traitaient les resistants francais de terroristes…comme quoi hein…
(rag out de saison ; rollin black eyed pea mix: http://www.youtube.com/watch?v=eyEH-Z3cFsU)
Le génie de Wagner est absolument étranger à Auschwitz, c’est une évidence
Wagner a voulu illustrer à travers sa musique la supériorité du génie allemand sur celui des autres peuples. Hitler a voulu faire la même chose avec ses moyens, mais se rendant compte qu’il était un peintre médiocre, il s’est tourné vers la politique et la guerre avec le succès que l’on sait.
Dans les deux cas, le Juif est l’ennemi. Pour l’un, il corrompt la musique allemande (l’esprit) ; pour l’autre, il corrompt le sang aryen (le corps). Aussi faut-il s’en débarrasser. Musicalement d’abord, pour atteindre au sublime wagnérien. Physiquement ensuite, pour réaliser l’homogénéité raciale et l’unité politique allemandes.
Voilà toute l’affaire, arrêtons les chichis.
J’aime la Hongrie depuis toujours, même si je n’y suis jamais encore allé, et je me sens Magyar dans l’âme, bien que j’aie un collègue d’origine hongroise et qui soit franchement bizarre.
En règle générale, j’aime cette petite once d’épice orientale jetée dans une culture européenne et chrétienne majoritaire. Cela met un petit parfum de folie très plaisant. Il faut bien sûr se limiter à une petite once.
La seule chose qui me déplaise, et qui je crois est d’origine orientale, c’est les bains turcs. Cette façon de volupté m’a toujours choquée.
Elle privilégie les sens charnels avec le risque de noyer l’esprit et ces dommage.
Ne croyez pas que je n’apprécie pas les minarets. Je suis même très ému à l’appel du Muezzin. C’est d’une grande beauté et très impressionnant. Seulement cela doit rester là où on décide d’aller en voyage à l’étranger. C’est le bons sens même. Qui aurait l’idée de faire sonner les cloches de Notre-Dame de Paris à Ryad ? Personne il me semble.
Quant à Wagner, il me procure en toutes choses de fortes émotions. Car je peux m’émouvoir, je suis un être certes fort mais sensible à mes heures.
Le retour de Thierry s’est avéré catastrophique.
J’en ai honte pour lui. Son dernier voyage ne lui a pas fait du bien, c’est évident.
Je n’aurais pas aimé avoir un fils comme lui, c’est tout ce que je puis dire.
« Les amis de mes amis sont mes amis » faut avouer que c’est très bisounours, et surtout s’il s’agit avant tout de parler des ennemis en respectant le politiquement correct, taisons respectueusement ce qui vient très vite sans même avoir à galoper…
…
…c’est pas fini!,…ce troll de Wagner!,…par ci!,…Wagner par là!,…
…
…il est con le Wagner!,…à l’oreille musicale!,…Putain ces érudit,…çà vous monte un cachalot d’un trait!,…
…
…entre Mozart et Chopin!,…
… » Julian Bream « ,…qui nous interprète,… » lute music from the royal courts of Europe « ,…ect!,…
…
…la seule musique qui vaille, c’est celle des bouche de feux!,…pour achever l’ennemi encerclé,…merci! Attila!,…en passant sur les roses de mon cul!,…
…un peu de virilité abjecte! Non de Dieu!,…etc!,…
…
Abdel, l’OAS était une organisation terroriste, vrai.
D.bile, comme vous êtes vierge du bas-ventre, vous ne risquiez pas d’avoir des enfants.
Je vous prierais de m’oublier, le monde est vaste, trouvez un autre support pour vos crises de pervers narcissique. Attaquez vous à JCouille, vous feriez un beau duo de burnes désaffectées.
oui M. Court ! l’empreinte du dieu…et il me semble « dieu » avec une minuscule…un professeur d’Anvers qui cache une fille mère sur l’île de Walcheren, pour la protéger des assauts de son flamand sanguin des polders. diable…Marie de Hongrie qui gouverna depuis Malines n’est pas loin.
Ramener Wagner dans le juke-box pour faire oublier la petite musique d’un Martin Schulz bien contemporain, supra national socialiste, qui plait aux gars du parti comme uh uh, brrr, c’est du lourd.
M. Court, à 14h28
« En résumé, l’antisémitisme de Wagner , surtout esthétique, parait aggravé de beaucoup par la religion de substitution des Wagnériens, ou le juif tient la place du diable. Un seul a vu le danger bien que musicien raté, c’est Nietzsche! »
Pas exactement la raison de la brouille entre Nietzsche et Wagner.
Et en plus M. Court, pour une fois, vous êtes pris en flagrant délit d’anachronisme, qui fait presque concurrence au talent de madame Soleil, et ça, c’est difficilement admissible.
Vous me donnerez vot’ cahier de textes, que je mette un mot pour les parents.
(c’est à cause d’une réplique de daphnée que je gribouille – elle a écrit : Une rousse, Sergio ?
Vous connaissez, toutes & tous, Peanuts, hein, Schroeder, Lucy, Linus, Violette, Pig Pen,etc et, la petite fille rousse …
Notre créateur, je vous le rappelle : Charles M(onro) Schulz, qui n’a RIEN, ABSOLUMENT RIEN à voir avec Martin Schulz, hein ! Relisez-le (d’ailleurs, très souvent, j’étiquette certains pseudos avec ses personnages (certains ont des double-rôle) ; Clopine qui adore jouer, s’amusera à ce petit jeu intime, on y décompresse.
Votez PS aux €paihaines, peu partant ; Votez, oui – blanc, certainement voire sûrement – abstention, nulle envie.
qq voeux pieux, revoir l’élection de l’exécutif européen (qui est de l’ordre du délire actuellement) ainsi que celles des présidents (lol) des commissions
(je n’en suis pas – encore – à demander un service muy’especial, histoire de contrer les lobbies, et dégager coups de pieds au cul, dans les roubignolles,les miches,Ces conseiller’Seillière(Ernest-Antoine n’est pas exclu sic)
J »suis comme Charlie Brown, si vous connaissez.
la RDL c’est pire que la SPA, sauf que là les malades on ne les pique pas, faut dire que ça ferait du monde
C’est interessant l’origine de la langue hongroise.
Parmi les langues ouraliennes, imaginez qu’il y a une langue « live ». Elle n’est parlée que par une vingtaine de personnes- à ce niveau-là de reflexion, je ne vous cache pas que je me demande à partir de combien de locuteurs peut-on parler de langue, comme, je ne sais pas moi, mais mettez, le rdlien ? –
« Cependant, on compte 13 millions de locuteurs du hongrois (Hongrie), 5 millions de locuteurs du finnois (Finlande et Suède) et 963 000 locuteurs de l’estonien (Estonie). Ce sont les seules langues dont le nombre des locuteurs est important dans cette famille fort diversifiée. Les autres langues numériquement significatives sont le mordve, l’oudmourte, le mari, le komi-zyrian, le komi-permyak et le same, toutes parlées par plus de 100 000 locuteurs. »
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/monde/famouralienne.htm
Desjournées, vous connaissez la soeur de Gobineau ? elle a laissé une correspondance avec son frérot. ça devrait vous intéresser, vous qui saviez pas que Céline avait une fillette. (Colette qu’elle s’appelait).
La soeurette à Gobineau cause bustes, wagner, juifs et couvents. Deux volumes chez le mercure. le blog à passouline avec un siècle d’avance.
Une sacrée salope ne peut pas être vierge du bas ventre, Thierry. Soyons cohérent. Ou alors tu ne maîtrises pas ton vocabulaire. Je retiendrais cette option, te connaissant.
J’ajouterai que tu as été bien mal éduqué. Mais ce n’est pas de ta faute.
« vous qui saviez pas que Céline avait une fillette. (Colette qu’elle s’appelait). »
Ah, mais Phil, depuis l’autre jour j’ai progressé.
J’avais d’ailleurs mis un lien, de Colette à propos de son père.
Gobineau ?
Non, je ne connais pas. Je ne pense pas trouver cette dame dans la correspondance de Nietzsche; si ?
TKT dit: 16 mai 2014 à 20 h 28 min
Salut mon Kron.enbourg chéri, je vois que tu es toujours aussi barje.
« vierge du bas-ventre », c’est imagé !
Toi tu dois être « couillu de la tête » un nouveau concept hyperthyorïdien des cliniques helvétiques.
Des ris de Kron flambé, un régal.
Mais pourquoi y pessimise tant le Bof ?
Un problème de climat ?
…
…Traité de l’€urope de Bruxelles!,…
…
…une substitution aux féodalités du pouvoir!,…
…
…travaillez pour nous!,…nous on vous gère!,…vous n’êtes rien!,…sans nous les institutions de l’Europe!,…soumettez-vous!,…
…ou les fléaux féodaux s’abattrons sur vous!,…comme sur la Grèce!,…
…obéissez à vos prêtres, vos oracles, vos sectes, vos » sophistes « ,…nourrissez les!,…Sinon!,…les guerres, les maladie, l’économie, la vache folle!,…les poules aux huiles frelatées,…s’abattrons sur vous!,…
…avec la protection du Cyclope & Ovni C°,…
…obéissez à la secte du soleil des courtisans lèche-culs aux anchois,…Vous êtes des nôtres délivrez le Christ!,…allez vous faire foutre en terre-sainte,…avec ce qu’il en reste!,…
…
…louez le trône et ses couronnes à Baal’s!,…etc!,…
…Oui!,…quel Bordel ce Cinéma!,…du profit,…en chèvre de Mr. Seguin!,…
…Oh!,…Chaperon rouge! queue tu à grandi,…n’est ce pas!,…en petits-bateaux de l’optimum à Pareto!,…etc!,…
…Ah!,…Ah!,…la racaille à témoins d’Opus dei de morpions!,…
…etc!,…
TKT chéri,
je n’ai pas eu ma réponse donc je reformule.
Pourquoi avoir fourni à D. des photos de toi bébé ?
Un besoin de transgression ?
Un amour qui ne veut (ou ne peut) s’avouer ?
Un refus de féminisation ?
Ces photos existent pourquoi les nier ?
« La soeurette à Gobineau cause bustes, wagner, juifs et couvents. Deux volumes chez le mercure. le blog à passouline avec un siècle d’avance. »
Un petit tour sur wikipédia, Phil; et l’affaire est dans le sac. Le frangin Gobineau , dans le genre, est pas mal non plus. Un truc pour pléiadeux. Pour Universitaires français, je voulais dire.
…
…mon Pasteur,…Quoi encore!,…
…
…vous partager!,…chacun à sa voie impénétrable!,…
…
…Jeanne!,…Nom de Dieu,…répète,…Oui!,…mais pas en gondolant sur ton cheval de bois!,…avec, » je vous reconnais mon Lord’s! »,…
…il faut convaincre ma poule à Henry IV!,…Jeanne la Birkin,…Allez faîte vos jeux!,…misé haut la voile!,…
…mais!,…si, vous allez faire un tabac!,…à 30 contre hun!,…Paris tenu!,…
…en passant par la Lorraine avec mes sabots!,…etc!,…les vandales aux pouvoirs!,…
…
diable Desjournées…c’est le comte de Gobineau qui vous était inconnu ? Vite, une formation chez M. Court (laissez tomber la soeurette)
Dans la nouvelle traduction américaine de « L’Etranger »de Camus, le titre passe de « The Stranger » à « The Outsider »
Intéressantes, les explications de Sandra Smith pour justifier cette nouvelle traduction du titre. Meursault est en effet ce compagnon de route qui n’en est pas un, quelqu’un qui fait bande à part, sans qu’on le sache, sans que lui-même, d’abord, le sache, ni pourquoi. « The Outsider » est vraiment une trouvaille heureuse.
Une sacrée salope ne peut pas être vierge du bas ventre, Thierry. (D.)
Oh que si. D. ne connaît manifestement rien aux femmes.
Phil,
Pourquoi ne faites-vous pas vous-même la défense et illustration d’un auteur, comme ceux dont vous avez le secret ?
« La volonté de réhabiliter Gobineau est venue après-guerre d’écrivains, comme Jean Mistler puis Jean Gaulmier, qui coordonna l’édition de ses Œuvres complètes à la Bibliothèque de la Pléiade. Poursuivie par Jean Boissel, elle consiste d’une part à vanter ses qualités littéraires et d’autre part à prétendre « tantôt qu’il ne fut pas raciste, tantôt qu’il ne le fut pas plus que ses contemporains » et que sa mauvaise réputation est due à une mauvaise interprétation de ses thèses44. Elle insiste notamment sur l’absence totale d’antisémitisme dont fait montre l’écrivain dans son œuvre. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Arthur_de_Gobineau
Dans les deux cas, le Juif est l’ennemi. Pour l’un, il corrompt la musique allemande (l’esprit) ; pour l’autre, il corrompt le sang aryen (le corps). Aussi faut-il s’en débarrasser. Musicalement d’abord, pour atteindre au sublime wagnérien. (One Note)
C’est vraiment comique de vouloir mettre à tout prix de l’antisémitisme dans la musique de Wagner. Tandis que des personnages de Juifs (pas toujours sympathiques) se rencontrent chez Shakespeare, Marlowe, Walter Scott ou Balzac, on serait bien en peine de citer une seul personnage de Juif dans tous les opéras de Wagner : ça ne fait rien; cette musique, qui ne met jamais aucun Juif en scène, dont les livrets n’évoquent jamais aucun Juif, est une musique antisémite ! Mais bon dieu, mais c’est bien sûr ! :c’est une musique antisémite par défaut !
Desjournées, Gobineau fut un intime de Tocqueville, Wagner et Pedro II (qui n’était pas pas un footeux du brésil). entre autres. La collection de schiffrin pour notaires chauves n’a fait que suivre le mouvement de l’histoire. Et « Les pléiades » sont une invention de Gobineau d’avant la naissance de gallimard.
@ D. dit:16 mai 2014 à 21 h 41: « Une sacrée salope ne peut pas être vierge du bas ventre, TKT »:
Sacrée salope, pour parler de vous, est très adéquate. Bien entendu, le fait que vous soyez vierge, puceau de 54 ans, précise bien que le mot salope ne veut pas dire putain. Personne n’achèterait votre corps et personne, n’en n’a jamais voulu, depuis que vous êtes pubère.
Pour le reste, D., je compte mettre sur mes Blogs, vos commentaires anciens, ceux où vous attaquez Clopine et moi. Vous pouvez aussi faire le choix, de m’oublier et de me transmettre de vrais coordonnées. Après vérification, croyez moi je vous éradiquais volontiers de mes Blogs. La proposition est honnête, mais comme vous êtes un cas de psychiatrie, c’est sans espoir !
@ Landau dit:16 mai 2014 à 22 h 11: Alors, JC, vous vous prenez pour une voiture pour bébé ? Comment pourrais-je envoyer à D.le-troll, ou à vous, des photographies. Vous tenez plus à votre anonymat respectif, qu’à quoi que ce soit d’autre.
J’ai en effet des photos de moi, bébé, entouré de mon frère et ma sœur, dans mon landau, un bel objet noir vernis et made in England. Photographies prise avenue du Pd Wilson, notre domicile familial, on voit dans l’arrière plan le Palais Guimet. Mon frère et ma sœur, dans leur tenue blanche et grise, sont très chics. Le tout est très chic. J’ai aussi des photos avec notre bonne d’enfant. Envoyez moi votre e-mail, je vous les ferais parvenir en Jpeg.
La lecture de vos commentaires, montre un dérèglement de vos neurones. Vous êtes ivre, ou en crise mentale ?
J’aimerais bien savoir, ce que pourrait donner, en matière de sons, une musique antisémite.
Cela ne change rien au fait que Richard Wagner, était anti-juif.
Que Cosima Wagner, fille de Franz Liszt, élevée un temps par sa grand-mère Hongroise, était la quintessence de l’antisémitisme nazie.
J’aime écouter Wagner, sa musique est supérieure à ses sentiments racistes.
Si nous ne lisions ou n’ écoutions, ou ne regardions, que les œuvres des artistes non antisémites, non obnubilés par l’eau bénite ou le nationalisme, nous nous priverions de beaucoup de plaisir.
Si on part du principe, que les génies ne sont pas normaux puisque hors-normes, oublions leurs cotés déments.
mouais ; tu traduis outsider c’est l’étranger. Je veux bien.£µ
c’est le chat les deux derniers signes c’est pas moi / je le jure. Possessif.
TKT dit: 16 mai 2014 à 23 h 46 min
Si on part du principe, que les génies ne sont pas normaux puisque hors-normes, oublions leurs cotés déments.Mouais, belle analyse.
ouaip, plus précisément l’outsider c’est celui qui est en marge.
Je connais charlie brown et je l’aime
chez moi 18 listes pour les €PN . Prise de tête.
Vu S en trois D : DDD
(panne de la touche entrée, devenue fixe). Gwenn part à Naples et pas à Oxford (négociation en vue avec le scénariste) : histoire de fog et de climat, pour les os. Lui n’a rien à voir avec ce qui lui arrive ; c la peur au ventre. Séculaire. C la vie. Bises, bonne soirée.(je peux appuyer sur la touche jusqu’à ce que cela aille à la ligne). Elle lui donne la solution : la prise de terre et le reste : très au top cette fille (sauf la couleur de cheveux et le rouge à lèvres sanglant, le reste, ça passe). Ne pars pas avant le générique : y’a un petit best off . On n’était plus que trois dans la salle (un père, son fils et moi / le fils de Spiderman est au top dans le film). J’ai aimé. Salut à tous.
En hommage à Jules Ferry, ce petit sonnet
sur la magnifique photo offerte par Passou.
La lecture
Dans un triste univers de poussière et d’ennui
Où le noir le dispute à la lumière ambiante,
Trois gamins sont assis sur la planche branlante,
Et contre son voisin, chacun prend son appui.
L’objectif a fixé ce spectacle inouï
De haillons, de pieds nus, de peau étincelante,
Témoignant d’une vie un peu bringuebalante
Qu’on peine à concevoir dans le monde aujourd’hui.
Calmes et attentifs, l’oeil rivé sur le livre,
Quel est donc le secret que la photo nous livre ?
L’enchantement d’un Grimm, Andersen ou Perrault ?
L’attitude trahit la merveille d’un conte.
Ils ne sont plus ici, mais dans l’azur là-haut,
Qui leur fait oublier qu’ils sont laissés-pour-compte.
Jean Calbrix, le 17/05/14
la version anglishe de l’Etranger que j’ai lue, il y’a des années de ca, s’appelait The Outsider…je ne sais pas pourquoi c’est soudain devenu ‘news’…sinon, une grosse merde brune est apparue aux bords du Gange , ou un assassin, interdit de séjour en GB et aux USA et qui s’inspire d’Hitler, vient d’être élu Premier Sinistre…au café en bas de la rue ce midi, avec un collègue anglo-indien qui comprends le hindi…apparemment la caissière se félicitait de l’élection de Modi…a haute voix, je lui réponds que j’ai de la peine a croire que les indiens, la plus grande démocratie au monde, aient voté pour un sac de merde pareil…silence dans le café…strange times we’re living…
Euh!.. Hum.. excusez-moi de vous interrompre, je ne fais que passer; c’est promis, après je repartirai sans demander mon reste.
Euh! voilà, je voudrais m’adresser à Mr P. Assouline. Monsieur, je lis régulièrement vos chroniques, et c’est pour moi un vrai plaisir. Je vis depuis 15 ans à Salvador de Bahia et votre site est essentiel pour qui veux rester en contact avec la langue et la culture française.
Dans votre dernier texte vous dites quelque part » Ne sachant rien du hongrois… une langue rêche à l’oreille… »
Alors laissez-moi vous dire que le hongrois n’est pas rêche à l’oreille, que cette langue est tout bonnement la plus belle et la plus harmonieuse langue qui se puisse imaginer, c’est la plus belle langue du monde. Elle n’est parlée que par une nation, la Hongrie, plus quelques hungarophones de Slovaquie, quelques’uns de Croatie, la diaspora, et bien sûr les presque 2 millions de « vieux-hongrois » de Transsylvanie qui eux parlent un vieil hongrois légèrement teinté d’un accent saxon, qui fait que ce hongrois-là est encore plus doux, encore plus chantant.
Je suis allé pour la première fois en Hongrie dans les années soixante-dix, et au premier contact avec cette langue j’ai été comme pétrifié, tétanisé, tellement elle me plaisait, tellement elle était belle à écouter sans en rien comprendre alors; j’était pris jusqu’au tréfond de moi, et j’ai des nostalgies terribles en ce moment, à me remémorer ces premiers contacts.
Que vous alliez aux bains du Gellert, ou vous promener à Debrecen (un beau musée, avec des peintures poignantes de Munkaci) ou visiter une cave du Tokay,partout vous entendrez parler la même belle langue; un enfant, une jeune fille, un ouvrier, un ancien professeur, tous, ils s’adresseront à vous dans une même langue, sans slangs, sans gìria. Cette si belle langue à parfois des tournures, comment dire, « vielle France », ce sont des expressions anciennes mais toujours utilisées (« kezét csókolom » dira une fillette à un monsieur aux cheveux blancs, parfois avec une légère flexion du genou).
Ah! Monsieur Assouline, nous aimons tous-deux notre langue française (je ne suis pas français), mais si j’ose me permettre, prenez contact avec des hongrois lettrés comme vous et maniant bien le français (il était de bon ton, dans l’entre-deux guerres, en particulier dans la région de Szalgotarian, d’apprendre et enseigner le français)qui sauront mieux que moi vous dire toute la beauté et l’harmonie, et aussi la complexité de cette langue hongroise.
Voilà Messieurs-dames, comme promis je m’en vai, mais pour l’amour du ciel, arrêtez ces disputes et insultes (que’est-ce que vous pouvez vous lâcher, parfois, entre autres contre les femmes de ce blog)
…
…un propos,…c’est aussi un instrument adapté!,…comme un rapporteur!,…une équerre!,…une chambre claire!,…la perspective aérienne!,..les limites à se donner express dans ses développements!,…
…
…pour ne pas renforcer » l’empire » des cons,…stratifiés!,…en légions d’optimum à Pareto,…point barre,…
…allez la récréation des forçats-abrutis!,…distributions de bonbons au cannabis et en jets à 10 h 30!,…
…
…Oui!,…tout le monde recommence sa copie en gothique flamboyant,…aux allumettes suédoises!,…les entonnoirs pour les pots de cendre!,…les mains sur la table!,…
…
…distribution des bonnet d’âne à l’€uro,…
…mon élite, Charlemagne vous le rend bien!,…allez prier!,…mes frères!,…mes soeurs!,…
…priez à tout, en la poubelle des commandeurs!,…
… » Caruba « !,…Caramba!,…Ollez!,etc!,…
…
Abdelkador est scandalisé par le vote des indiens qui, maîtres chez eux, se tournent vers un nationalisme des classes moyennes, rejetant les copeaux familiaux usés de l’icone Gandhi !
Il serait bon qu’il compare ce vote à celui de la grande démocratie algérienne, en particulier le vote présidentiel récent mettant à sa tête le dynamique Bouteflika… Hôpital se foutant de la Charité.
Il y aura des départs rapides vers le Pakistan et du souci à se faire pour les chrétiens en Inde …
Le vivre-ensemble multiculturel ne marche pas car nous ne sommes pas tous frères.
TKT dit: 16 mai 2014 à 23 h 34 min
« JC, la lecture de vos commentaires montre un dérèglement de vos neurones. Vous êtes ivre, ou en crise mentale ? »
Les deux, mon général !
(je ne fais jamais les choses à moitié…)
le brêle de pq être ardent défenseur des ultracons
le pauvre jc fait un ulcère depuis la perte de ses colonies
Bon, on apporte les croissants?
Les croissants?
Colonisés…hi,hi!
J’en fini ce matin avec cet aveu, qui croyez le bien, ami Thierry, est la vérité même.
Je suis né le 24 septembre 1922. Nous avons eu mon épouse et moi-même, sur le tard, un premier fils qui était si moche, si difforme, si malfoutu, si raté, que nous l’avons jeté à la poubelle de la Maternité, sa mère et moi.
C’était possible, à l’époque ! Il en est sorti par ses propres moyens, se nourrissant de fruits gâtés et de rapines… Bien plus tard, on m’a rapporté qu’il était sorti major de l’ENA ! Quel cursus !
Cet enfant raté, nous l’avions appelé D1, et nous l’avons perdu de vue définitivement.
Pour nous racheter nous avons eu quelques années après D2 et D3, toujours des fils, parfaitement réussis, eux ! Polyglottes… excellents français.
Mon ami Thierry ! J’ai acquis la certitude que D. est MON FILS perdu ! Trop de choses en commun pour qu’il en soit autrement.
Aussi, pardonnez lui sa vigueur méchante à votre égard : il n’a pas eu votre merveilleuse enfance de gosse de riche, aimé, chéri, choyé, éduqué, qui vous a fait ce que vous êtes, Thierry : un homme bien, un homme vraiment bien….
« Hôpital se foutant de la Charité. »
c’est çui qui dit qui ê
« Il y aura des départs rapides vers le Pakistan et du souci à se faire pour les chrétiens en Inde … »
jc va aller les défendre
« Le vivre-ensemble multiculturel ne marche pas car nous ne sommes pas tous frères. »
Racistes jc et ses maîtres
Dave
Bave
Epave
Batave.
JC (17/05/2014)
Les croissants?
Colonisés…h
jc pauvre con
TKT
à quoi bon relever les merdes du pervers de procrol, ça l’excite en plus
Phil dit: 16 mai 2014 à 23 h 00 min
Oui, Phil. J’ai lu tout cela dans la notice wikipédia.
J’ai beau chercher, je ne vois pas de rapport de cause à effet dans ce que vous essayez de démontrer ; et d’ailleurs y en aurait-il un ?
Non, si vous vous interessez à la pensée raciale, relisez sur « le procès du singe », un classique. A ne pas oublier :
« La première bataille juridique entre les partisans de la théorie darwinienne de l’évolution et ceux du créationnisme s’est déroulée à Dayton, dans le Tennessee (Etats-Unis), en juillet 1925. John Thomas Scopes, professeur de science naturelle, y était jugé pour avoir enseigné aux écoliers de la ville que « l’homme descend du singe ». »
http://www.scienceshumaines.com/le-proces-du-singe-la-bible-contre-darwin_fr_14653.html
quel poète ce jc ! et il nous faut tant réfléchir!
GUARAJUBA dit: 17 mai 2014 à 3 h 06 min
Bonjour Guarajuba.
Vous écrivez: (que’est-ce que vous pouvez vous lâcher, parfois, entre autres contre les femmes de ce blog)
C’est hélas, ce qu’illustre un peu aussi dans son clip, le chanteur hongrois de l’eurovision 2014.
https://www.youtube.com/watch?v=4b2GYRRbv50
Sur la question raciale chez Wagner via Gobineau, Eric Eugène a sorti en 98 un « Wagner et Gobineau/Existe-t-il un racisme wagnérien » chez Cherche midi, préface de Serge Klarsfeld, extrêmement bien fait, très documenté.
On y trouve une étude sur les liens Gobineau/Tocqueville et les commentaires de Wagner sur l' »Essai sur l’inégalité des races humaines » à une époque où Gobineau était encore pratiquement inconnu.
En conclusion du livre d’Eugène, page 235, Wagner est dédouané de toute adhésion aux thèses de Gobineau. Le reste, racisme wagnérien, est « pure » propagande nazie…
des journées entières
pas de belle chanson sans un bon texte, une belle mélodie (et une belle voix surtout )
« Wagner est dédouané de toute adhésion aux thèses de Gobineau »
ah ah, et JC peut ainsi l’écouter les oreilles tranquilles.
Enfin, Djedla, vous savez bien que l’on peut avoir lu Gobineau et avoir l’oreille tranquille, l’esprit en paix, le cœur curieux, non ?!
Oui, oui, JC, allez enfariner quelqu’un d’autre que moi. Vos « dédouanements » sont, au mieux, comiques à lire.
Pour en revenir à la sonorité de la langue hongroise.
https://www.youtube.com/watch?v=qlpQ_ms0IDc
Bonne journée.
Apprenez à lire, Djedla ! C’est Eric Eugène, l’auteur, qui dédouane Wagner… Que Dieu vous enfarine de sa grâce infinie !
JC, pour les photos d’enfance publiées sur le site éphémère de Dexter, avant qu’il ne se transformât en D., tu dois confondre avec quelqu’un d’autre…
Jacques Barozzi, je ne vois pas à quoi tu fais allusion. J’ai le souvenir d’avoir fait parvenir à Dexter, remarquable guitariste bloggeur, une photo de voile, rappel en Finn, une photo de galerie magnétique sur réfrigérateur RCA… photos d’enfance, nib.
(Beau sonnet, Marcel, et merci d’avance pour le polar de l’été…)
Landau dit: 16 mai 2014 à 22 h 11 min
JB, si tu fais référence à ce post, il n’est pas de moi.
Plusieurs faux commentaires à ton nom, sans doute de D. ?
« Deux ordinateurs », fb
Il y a d’autres possibilités ?
Gobineau est une victime collatérale de l’histoire. Lisez le Gobineau de Jean Boissel (je crois éditeur de la Pléiade) et Spectre de Gobineau de Jean Gaulmier chez J.J. Pauvert.
Soyons aussi pessimiste ironique que notre merveilleux hongrois !
« L’École doit s’engager contre l’homophobie et la transphobie » (tribune sur Libé)
Euh…bande d’enculés à la Conchita ! Elle n’a pas autre chose à foutre l’école ? au hasard… INSTRUIRE… et non pas éduquer.
les commentaires de JC nous éclairent par leur grande intelligence
Comment ne pas répondre à des bêtises énormes de ces tarés pédagogiques, sinon par de petits cris perçants manifestant notre courtoise désapprobation…?
L’Ecole est devenue un fourre-tout. On y apprend le code de la route pour éduquer nos bambins à ne pas finir trop vite au cimetière, on y apprend à se prémunir contre le racket, contre la mal bouffe, contre l’homophobie, la transphobie, etc.
Ecole, lieu de vie, lieu de mort de la transmission de la culture. Nos chers bambins ne comprennent plus rien à Corneille ni à Rimbaud mais on leur apprend à lutter contre la transphobie, l’homophobie, etc.
Europe, continent en pleine décadence avec des ministres fous.
Avant de quitter pour aujourd’hui cet espace convivial, je te salue Michel ! Continuons à parler franc…
« Europe, continent en pleine décadence avec des ministres fous. »
Et des profs dépressifs, qui n’ont pas d’autres choix entre collaboration ou résistance ?
ML, notre héros !
« L’Ecole est devenue un fourre-tout. »
Pédagogie ou pédophilie, il faut choisir !
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