Le S.O.S. des librairies françaises expatriées
Si les temps sont durs pour les librairies en France, ils le sont plus encore pour les librairies françaises à l’étranger. C’est peu dire que les 250 points de vente de livres français dans le monde souffrent. L’augmentation des baux commerciaux, l’inflation, la crise énergétique, les ventes en ligne, l’accroissement des frais de port, la crise sanitaire, les confinements ont fragilisé leur modèle économique qui était déjà incertain (il n’y a pas de prix unique du livre français à l’étranger). Jamais leur marge n’a été aussi réduite car elles doivent tenir compte du prix du transport, des frais de douane, du taux de change, de remises insuffisantes, de délais de livraison trop lents. Alors elles ferment. Malgré l’aide précieuse du CnL (Centre national du Livre), les libraires français du bout du monde sont à bout et mettent la clef sous la porte.
La librairie Omeisha à Tokyo ? Fermée il y a un peu plus d’un an. Le propriétaire M. Okuyama a jeté l’éponge avec un pincement au cœur car elle avait été fondée par son père en 1947. Mais outre la concurrence digitale et la crise sanitaire, la baisse du nombre d’apprenants de notre langue au Japon a eu raison de sa « passion française ». De plus, sa librairie était située dans le quartier de Fujimi où régnait un véritable microclimat francophone grâce à elle, ainsi qu’au lycée et aux écoles, d’autant que d’autres institutions françaises étaient situées non loin…. La succursale de la librairie Antoine des souks de Beyrouth ? Fermée également l’été dernier bien qu’elle appartienne à un grand groupe de communication. L’arbre du voyageur, fameuse librairie française de Shanghaï ? Fermée il y a deux ans officiellement en raison d’une « rénovation urbaine ». La librairie française de San José au Costa Rica ? Fermée elle aussi. Une peu glorieuse cascade de porte définitivement closes.
Dernière en date : la librairie Vice Versa à Jérusalem (92 m2, sur deux étages, située en plein centre-ville ) vient tout juste de faire faillite. Faute de repreneur, elle a fermé ses portes ; il semble que le propriétaire des murs, le patriarcat arménien, ait cédé le bail à un galeriste. Elle avait été fondée il y a vingt-trois ans et reprise il y a près de cinq ans par Nathalie Hirschsprung. Malgré une situation propre à Israël (les librairies n’ont pas été considérées comme commerce essentiel pendant le confinement et n’ont pas reçu d’aide de l’Etat), son cas est emblématique car, comme d’autres ailleurs dans le monde, elle pointe une double responsabilité pour ne pas dire : culpabilité.
D’une part celle de Lireka, start-up inaugurée en novembre 2021 de vente en ligne de livres français qui vise deux millions de Français expatriés ainsi que quelque 230 millions de francophones dans le monde, même si elle ne s’interdit pas le marché hexagonal. Elle a été lancée en promettant des tarifs inférieurs à ceux d’Amazon, des délais de livraison identiques mais surtout une livraison gratuite . Ses promoteurs se sont appuyés sur la librairie Arthaud à Grenoble qu’ils ont rachetée mais c’est leur seul lien apparent avec la librairie traditionnelle ; à croire qu’il en fallait un tout de même histoire de rassurer. Avec le temps, les tarifs ont tendance à s’aligner mais qu’importe puisque cela l’a rendue d’emblée attractive. Quel libraire de l’étranger n’a jamais vu des clients venus flairer leurs vitrines et leurs nouveautés sinon solliciter leurs conseils, photographier quelques couvertures et, une fois sortis de la librairie, cliquer sur leur smartphone pour les commander en ligne ? Et l’on se demande après pourquoi dans leurs prises de parole ou leurs communiqués, l’amertume se mêle à la colère ! « Une concurrence sauvage ! » dénonce Nathalie Hirschsprung.
D’autre part, la responsabilité de ceux que l’on supposerait être des partenaires naturels des librairies francophones mais qui ne le sont pas tant que ça. Dans nombre de pays, elles doivent insister lourdement, souvent en vain, pour que les Instituts français, les Alliances françaises, les lycées français passent leurs commandes de livres à travers elles, ces librairies on ne peut plus dédiées car in situ ; or c’est loin d’être systématiquement le cas ; on observe un vrai décalage entre la volonté politique exprimée par le Quai d’Orsay et la réalité sur le terrain.
« Un véritable manque à gagner », insiste Isabelle Lemarchand, la présidente de l’Association internationale des libraires francophones. Il est vrai que le plus souvent, les livres scolaires sont achetés en France et dédouanés par le Consulat général pour ne pas payer les taxes locales. Pour avoir été à la rencontre des lecteurs de littérature française au Temps retrouvé à Amsterdam, à La Page à Londres, chez Parenthèses à Hong-Kong, à la Librairie des Colonnes à Tanger, à la Libreria francesa à Mexico et chez tant d’autres, je puis témoigner du dévouement quasiment militant de ces libraires qui sont autant d’ambassadeurs de la France un peu partout dans le monde. Ils y portent la parole, la langue et la culture françaises autrement que les institutions. Ils en sont l’indispensable complément même s’ils attendent d’être vraiment considérés comme leur prolongement. Une vitrine irremplaçable. Tout écrivain qui s’y est rendu à la rencontre de ses lecteurs peut en témoigner. Voir disparaitre une seule de ces librairies est un crève-cœur. Et s’il n’y en avait qu’une…
1 414 Réponses pour Le S.O.S. des librairies françaises expatriées
L’autrice, putain de correcteur automatique !
« Comment se fait il que le Lézard ne se soit pas arrangé pour être sur la photo… »
Pour ne pas figurer au milieu des bobos à Hidalgo, closer !
A force de se nourrir d’endives, voilà à quoi ressemble D. !
https://www.facebook.com/photo/?fbid=3548017932104268&set=gm.2585101351654614&idorvanity=1091587071006057
putain de correcteur automatique : le remplacer par un être humain vivant, correcteur de métier sans automatismes.
La vie de blogs
Sur un des blogs que je lis et que je commente, un commentateur anonyme qui y sévit depuis des années vient de se voir qualifier par un autre commentateur de la sorte : « « espèce de débile mental fanatique imbécile abruti le nez dans ses fesses analphabète menteur invétéré fasciste d’opérette nazi de poche »
Ces mots sembleront excessifs, mais pour qui connaît bien les interventions de celui qui s’en voit qualifié, ils sont des plus…modérés !
Mais l’un des problèmes soulevés dans le cas d’espèce est celui de la modération. Tous les blogs ne peuvent se payer le luxe d’un modérateur . Souvent le blogueur modère lui-même ou refuse de modérer.
Chaque blog devrait se résoudre à exclure temporairement ou définitivement les commentateurs qui dépassent toutes les bornes.
Et quand un tel commentateur, au lieu d’être banni, continue régulièrement à sévir sur un blog, ou bien on s’adresse à lui dans les termes qu’on a vus, ou bien on se contente de ne jamais échanger avec lui. J’ai choisi la seconde attitude.
Moi ça me choque, cette absence du roi du Maroc auprès de son peuple en souffrance !
C’est triste, mais les petits émeutiers de banlieue, qui caillassent allègrement les flics, les pompiers, les médecins, peuvent voir la différence de traitement avec leur pays d’origine, là où Macron et ses ministres se déplacent au moindre accident public…
A 90 ans, Liliana Cavani revient au cinéma avec « L’ordine del tempo », librement inspiré du livre du physicien Carlo Rovelli et présenté à la Mostra de Venise où elle a reçu le Lion d’or pour l’ensemble de sa carrière.
Bravissima !
Pourquoi la nouvelle, comme genre littéraire, est un roman en bref ?
Pourquoi les gens froidement désespérés peuvent aussi être très gais ?
Pourquoi le corps de la mort est un bidonville et son visage une porte de prison pour l’écrivain marocain Mohammed Khaïr-Eddine ?
Pourquoi mes désirs juvénils pour le corps de la femme durant mon adolescence sont toujours présents en moi aujourd’hui en dépit de mes 48 ans d’âge passés ?
(véridique).
Mon ordinateur m’affiche en pleine page, ce matin :
« le point d’entrée de procédure BeryptHash est introuvable dans la bibliothèque de liens dynamiques bcrypt.dll »
Ben voyons. J’en étais sûre.
coquille (avec un monde )et blog de DMontebello
http://cotojest.over-blog.com/
JE METS LA LECTURE RECOMMANDEE par Montebello sur son BLOG
Giorgio Agamben
Polichinelle ou Divertissement pour les jeunes gens en quatre scènes
Collection : La littérature artistique
1re édition : 2017
Traducteur : Martin Rueff
Prix : 18 €
le lien excuses:
https://www.editionsmacula.com/livre/polichinelle-ou-divertissement-pour-les-jeunes-gens-en-quatre-scenes/
N’économisant pas sa gluante sueur, le lézard s’est glissé hier soir, par temps caniculaire, entre le théâtre de la place du Châtelet et le cinéma du forum des Halles : le film en valait la peine !
Le Maroc a officiellement demandé de l’aide à l’Espagne, à la Tunisie, au Qatar et à la Jordanie.
Le Monde
—
Une ébauche de solidarité de proximité avec l’Espagne et la Tunisie. Mais quid de l’Algérie, en temps de crise humanitaire majeure? Quid de la grande Oumma musulmane avec ses leaders maintenant membres des BRICS+, L’Égypte, les Émirats Arabes Unis et surtout l’Arabie Saoudite?
D’après ce que lis, ce sont encore une fois surtout les plus pauvres qui souffrent le plus, beaucoup vivant dans des maisons de torchis.
@Bloom
L’Algérie a offert ses services au Maroc, « pays frère ». Quelques jours après avoir abattu deux vacanciers marocains qui avaient, à bord de jet-skis, violé la frontière maritime à l’est d’Oujda. On imagine les maux de tête que cet acte de « charité » provoque au palais royal de Rabat.
Maroc. Quant à ceux qui, ici et ailleurs, s’étonnent du « silence du roi », ils ne comprennent rien au fonctionnement d’un système monarchique (Maghzem) qui ne répond jamais immédiatement et émotionnellement (au contraire des dirigeants occidentaux et autres qui dégainent leurs messages twitter plus vite que cow-boys leurs colts) même face à une catastrophe comme le présent séisme. Il faut imaginer des fonctionnaires savourer, à part les algériennes, ces marques de compassion internationale puis, en fin diplomates, peser au trébuchet les propositions d’aide, en fonction d’une géopolitique subtile.
Il faut surtout imaginer Alexia Neuhoff fière de son intelligence et de sa vaste culture… de gauche, forcément de gauche, la pauvre !
… Ca y est, j’ai trouvé mon épitaphe !
« ci-gît Clopine Trouillefou, qui aimait la vie, mais hélas, ce n’était pas réciproque. »
Tu peux faire mieux, Clopine !
A dix-sept ans, peut-être, pas à 68 ans, ça pourrait être drôle, si tu devenais centenaire…
Ce soir c’est cassoulet toulousain.
CLOPINE, je viens de survoler des lignes sur H.Rosa philosophe qui a déjà été passé en « monde des religions » vous alles trop vite, Clopine,et ce n’est pas le moment; reprenez vous s’il vous plait , sans prendre de risques superflus dans votre cas;
courage
D. dit: « Ce soir c’est cassoulet toulousain. »
J’ai l’impression que Jazzi est une source d’inspiration pour composer son menu du dîner.
« Ce soir c’est cassoulet toulousain. »
Là, je dinerais volontiers avec toi !
Moi aussi mais dans trois mois, si tu le refais.
merci pierre assouline pour bouguereau.
Paul et Stendhal
https://pauledelblog.fr/
Clopine
Moi j’m.bien.
C sobre, vous ne faites pas dans le mélo.
Rien sur Proust ?
Le grand feu de Léonor De Récondo
Chez Grasset.
Ilaria est abandonnée volontairement par sa mère, dans un de ces tonneaux qui tournaient aux portes des couvents pour recueillir les enfants abandonnés : Esposito.
Blanc chez moi.
Cette petite fille filiforme sera saisie par la passion sensible pour la musique à laquelle sa mère l’a vouée.
Cette passion la consumera, au propre et au figuré.
Le récit se déroule à Venise. L’amour en est le roi. Et la musique prégnante.
Comment du destin de drapière se retrouver l’égale de Juliette à quelques encablures de là, avec un amour intangible et immortel ?
C’est le pari réussi que commet Léonor De Récondo avec une infinie délicatesse.
>Bloom : « Bloom dit: à
Le Maroc a officiellement demandé de l’aide à l’Espagne, à la Tunisie, au Qatar et à la Jordanie.
Le Monde »
Révélateur des mauvaises relations franco-marocaines actuelles.
L’arrogance de la France, toujours sûre de tout au travers de ses politiques, de ses médias, de ses « journalistes » et de ses penseurs, conduit inévitablement à cela : on ne t’a pas sonnée. Il serait grand temps d’en tirer des conclusions et des leçons.
Language International Bookshop :
Située à Kew East, cette librairie est spécialisée dans les langues étrangères et propose une belle sélection de livres en français. Livres scolaires mais aussi livres bilingues, livres pour les plus jeunes, jeux de société et bien sûr des romans et classiques de la littérature française. La librairie a également la possibilité de commander de nombreux ouvrages, n’hésitez pas à les contacter pour en savoir plus !
A noter : les membres de l’Alliance Française de Melbourne bénéficient de 10% de réduction.
https://www.rendezvousaustralie.com.au/ou-trouver-livre-francais-australie/
Librairie itinérante en Australie
French Books on Wheels (Le Van du Livre) :
Découvrez cette librairie francophone itinérante gérée par Anne Mangeant et Jacques Bernard. Pour connaître leurs prochains stops, Rendez-Vous ici.
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Itzhak Perlman
Merci Pierre Assouline pour Bouguereau !
Non.
L’insulte ne fait pas partie du jeu.
Et d’ailleurs, y a t’il jeu ?
Bouguereau, tu es très attendu.
La lecture des lettres de dénonciation est une plongée douloureuse dans la laideur qui abime un pays et ses habitants.
Outrageusement choquée par deux faits :
1/ cette scène des lettres de dénonciation. Elle dit 200 par jour !
2/ la cocotte de cabaret qui assiste aux scènes de torture avec son dogue allemand et son porte cigarette et qui commente : mais cela a pu se dérouler une scène comme cela ?
Je sais le travail des Justes.
Y n’empêche ! Le reste !
Pour Mme Tasoeur.
Pour ma part j’avais pris à mon compte que pour Bouguereau l’insulte faisait partie du jeu, et oui : il y avait et il y a un jeu — pour certains la vie est un songe (Calderón) pour d’autres est jeu, etc. —.
Pauvre D. !
Tiens ! la racaille poutinienne s’exprime à son juste niveau. .
Connaissez-vous The Laws of the Game: How the principles of nature govern chance, par Manfred Eige et Ruthild Winkler, et al. ?
Non mais je le pense pas, renato. C’était juste un exercice de style. Ne vous inquiétez pas.
Vous n’avez pas le pouvoir de m’inquiéter, D., et vos exercices de style ont tout l’air d’être une forme de pensée habituelle.
Non non, pas du tout. Vous vous méprenez.
J’ai de l’estime pour vous.
Poutine, que j’apprécie un tout petit peu plus que vous, ne peut pas entâcher notre estime reciproque. Vous le savez bien.
Ne vous focalisez pas sans cesse sur lui, ça ne sert à rien.
« Merci Pierre Assouline pour Bouguereau ! »
Pourquoi ne pas laisser le boug remercier ou pas Passou, rose ?
Il est plus facile à renato d’avoir de l’estime pour Poutine que pour toi, D. !
Bonne nuit à tous.
Bouguereau fait ce qu’il veut. C la liberté individuelle.
6h06 lundi 11 septembre 2023
De sinistre mémoire.
Pour Mme Tasoeur.
Elle bat l’beur.
LUNDI 11 SEPTRMBRE 2023, 6h15
Activité prévue, aujourd’hui comme hier, poursuite de la lecture de La Nanny du Bacon, livre extrêmement prenant de Maylis BESSERIE chez Gallimard.
Vous ne pourrez plus jamais voir une oeuvre du Francis après avoir lu le récit vif et sincère de ce qui reste un roman documentaire de cet auteur doué.
…plus jamais voir de la même façon…
@
Séisme au Maroc : « pour les touristes, la vie a repris » témoigne une Poitevine installée à Marrakech
Ta sœur ?
Le père de Laure Murat, Napoléon Murat était le producteur des premiers films de Louis Malle.
Lorsqu’il lisait un La Pléïade, il annotait au bic ou au feutre.
M’entendez-vous souffrir ?
Enfin, me voilà plongée dans l’aristocratie, un monde qui m’est étranger, alors qu’il y eût chez eux un roi de Naples (pendant que, chez nous, un de nous était posé dans le tonneau d’un couvent : « le tour » écrit Léonor).
Laure Murat aussi à une nounou qu’elle appelle une north et elle écrit
« Nurse est un mot étrange puisqu’en anglais cela veut d’abord dire infirmière, mais aussi « femme chargée exclusivement de l’éducation des jeunes enfants ». La mienne, qui m’a élevée jusqu’à l’âge de 7 ans, m’a prodigué une affection joyeuse et sans limite. Née d’une mère brodeuse et d’un père maraîcher installés en Algérie, mariée jeune à un fournisseur aux armées dont elle divorça, fait rare à l’époque, elle était venue en France à l’âge de vingt-deux ans pour devenir puéricultrice. Elle irradiait d’une joie bienfaisante et d’une tendresse qui me valent de tenir sur mes deux pieds aujourd’hui. »
Une nurse
Crénom
Voilà : sa nurse est toujours vivante elle a 97 ans.
Et malgré l’abolition des privilèges, si tu es princesse, tu as le droit de le mettre sur ta carte nationale d’identité. C’est le cas de Laure Murat.
@plus jamais voir de la même façon…
C’est sûr; d’ailleurs dans la rubrique people du show, on peut citer le trio des « ardents », que pour ma part j’ai refourgué dans une boîte à livres, que l’on sait fréquentées par des vieux fureteurs avares, et ce dès les premières pages, tellement c’était mauvais, sur le fond: du cul, et la forme: ampoulée.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2023/03/07/isabel-francis-alberto-grainville/
Umberto Eco, cité par Enzo Caffarelli dans son livre Dimmi come ti chiami e ti dirò perché — Storie di nomi e di cognomi.
Eco était porteur d’un nom de famille rare, mais aussi « un grand intellectuel qui n’a pas honte des origines de ses ancêtres ». C’est ainsi qu’Umberto raconte que « Eco » est un acronyme (E.C.O.) benoîtement imposé à son grand-père : « J’étais convaincu que j’étais le seul à le porter jusqu’à ce que la publication du Nom de la rose me fasse rencontrer une lectrice qui m’écrivit pour me dire qu’elle aussi s’appelait Eco et qu’elle voulait savoir s’il y avait un lien entre nous. Elle m’a dit que son grand-père était un enfant trouvé, mais de Naples. Comment est-il possible que deux employés municipaux, l’un de Naples, l’autre d’Alessandria, ma ville natale, aient eu la même idée ? Mystère. C’est alors qu’un ami, qui travaillait à la bibliothèque du Vatican sur les noms des Juifs du XVIIe siècle, est tombé sur une liste d’expressions utilisées par les Juifs pour désigner les enfants trouvés : l’une d’entre elles disait ex coelis oblatus. Mon nom de famille est donc un acronyme latin qui est resté dans une certaine mémoire ».
@Révélateur des mauvaises relations franco-marocaines actuelles.
Peut-être, car les interventions d’un état dans un autre pays, restent quand même à la seule initiative du pays qui choisit les interventions dont il a besoin.
Pour le reste :
Des associations et ong dont mobilisées, des volontaires français sont sur place.
Et le roi du Maroc était en France, au moment du seisme.
Révélateur des mauvaises relations franco-marocaines actuelles.
—
Au vrai et au vu de l’absence totale de colonne vertébrale de notre politique étrangère presque exclusivement dominée par le dogme fabiusien de la diplo économique, on ne sait plus vraiment avec quel pays les relations sont solides.
Lula , chouchou d’une gauche qui s’éloigne du peuple, invite le fils de Putin en lui assurant qu’il ne sera pas arrêté chez lui …
Dès 1975, Mendés avait prévu la revanche des peuples décolonisés, juste retour des choses. Nous y sommes.
Pronostic: 3e guerre mondiale, après une période de la mondialisation de la guerre .
Carpe diem
@ »une liste d’expressions utilisées par les Juifs pour désigner les enfants trouvés : l’une d’entre elles disait ex coelis oblatus. »
?
Un problème de traduction certainement, René, il s’agissait d’un nom donné par les jésuites.
Quoi qu’il en soit, Eco, don du ciel, le bien nommé.
dogme fabiusien de la diplo économique
Faut rire ?
Et le dogme de tonton, c’était la gegene ?
« Révélateur des mauvaises relations franco-marocaines actuelles. »
C’est pas sympa pour l’Espagne !
ex coelis oblatus
Je ne savais pas cela.
Esposito c’est pck l’on exposait les plus beaux pour qu’ils soient adoptés par des femmes de la Haute, stériles.
Les autres, pas adoptés, malingres etc. étaient fourgués à l’orphelinat de l’abbaye San Michel à Procida, a gauche a la oint de l’île lorsque vous arrivez sur le port.
Un lieu extraordinaire, bâti sur la roche et sur cinq étages avec un mur côté Pozzuoli, ressemblant à une prison. De là, ils pouvaient devenir marins. In qui pourrait être le mien se prénommait Jean Baptiste.
à gauche sur la pointe de l’île
Ex caelis oblatus
Un qui
Il y avait aussi « Genito » que suite à une erreur de transcription• pouvait devenir « Gemito » (gémissement) — ce qui a valut à un sculpteur napolitain un nom original :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vincenzo_Gemito
* Voir Perec, Cinoc in <i<La vie mode d’emploi.
Oublié la traduction du titre…
Dimmi come ti chiami e ti dirò perché — Storie di nomi e di cognomi. *
Dis-moi ton nom et je te dirai pourquoi – Histoires de prénoms et de noms.
* Ed. Laterza
Une bio de Gemito in Hommes, racontez-vous de Savinio.
Il y a aussi Seconda vita di Gemito, mais je ne crois pas qu’il soit traduit…
Merci renato.
Dans la biographie de Gemito il est aussi écrit le tour.
MESSAGE PERSONNEL
Cher Bougboug, si tu décides de revenir au foyer des anciens lecteurs, n’oublie pas d’apporter avec toi la caisse pleine de dollars avec laquelle tu as fui, une fois le paiement des gode-ceintures livrés au Vatican, effectué.
Distrait, dans la précipitation, tu avais oublié de partager avec moi ce revenu justement mérité…!
Bien à toi et à bientôt.
J’ai le plaisir de faire savoir à mes amis que l’excellent webmagazine quotidien « Tribune juive » a bien voulu publier le lundi 11 septembre quelques lignes que je lui avais proposées :
https://www.tribunejuive.info/2023/09/11/patrice-charoulet-langue-francaise-5/
charolais, le maître capello 2. 0, fake professionnel.
ECO OBLATUS
LE STATUT D ‘OBLAT
Depuis la fin de l’Antiquité, et encore dans le catholicisme actuel, un oblat ou une oblate (du latin oblatus « offert » et oblatio « don ») est un laïc qui est donné ou se donne à un monastère qui l’accueille pour lui permettre de vivre certains aspects de la vie et de la spiritualité monastique.
Le statut de l’oblature et ses conditions juridiques ont évolué constamment de l’Antiquité à la période contemporaine : il a désigné à l’origine des enfants que leurs parents donnaient à un monastère, avec l’obligation pour un monastère de prendre en charge leur éducation. WIKId’une certaine façon, U.Eco a « réalisé « son nom
oblats et artistes
« Oblat de saint Benoît, Huysmans est mort le 12 mai 1907. Sur son lit d’agonie, il portait la robe et le scapulaire noirs? Cette dernière volonté vous touche?
Les oblats ont ce droit d’être enterrés en habit monastique. Habituellement, ils ne le font pas, mais quelques-uns le souhaitent, je l’ai vu récemment à Rouen. C’est une manière de dire que l’oblature a été un engagement suffisamment fort, pris très au sérieux. L’appartenance à la famille bénédictine représentait quelque chose d’important pour Huysmans, c’était chez lui très enraciné. Je suis respectueux de ces personnes.
La volonté qu’a eue Huysmans de fonder un béguinage de moines laïques à Saint-Wandrille me touche.
La volonté qu’a eue Huysmans de fonder un béguinage de moines laïques à Saint Wandrille me touche, même si je serais plus ouvert que cela. C’est un peu comme le monastère artiste: je crains les choses trop systématiques. Nous avons des oblats qui vivent à côté du monastère, mais ce n’est pas un béguinage. Nous avons aussi des oblats qui vivent à l’autre bout de la France. Dans l’idée de la colonie d’artistes oblats, c’est le mot colonie, qui me gène. Que des artistes vivent à côté, dans le village, comme Max Jacob à Saint-Benoît-sur-Loire ou Pierre Reverdy à Solesmes me réjouit. Je suis pour quelque chose de libre et de souple. Je pense que l’échec du projet de dom Besse et de Huysmans à SaintWandrille en 1894 tient à la rigidité de la structure qu’ils avaient imaginée.
https://www.lefigaro.fr/vox/culture/l-appartenance-a-la-famille-benedictine-etait-importante-pour-huysmans-20191024
Résumé :
Ce dernier volet de la trilogie de la conversion, après«En route»et«La Cathédrale», parut en 1903. En 1901, l’auteur avait fait profession d’oblature à l’abbaye de Ligugé : couronnement d’une évolution spirituelle et temps d’épreuve, une expérience incomparable
https://www.babelio.com/livres/Huysmans-LOblat/176074
Née en 1917 à Lucéram et morte à Cannes en 2003, ma mère gardait un très bon souvenir de sa scolarité en tant que pensionnaire chez les oblats de Marie-Immaculée, dans leur institution pour sourdes et muettes des hauteurs de Saint-Philippe, à Nice.
Pour Larry Canneuse
La diplomatie économique selon Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères [
Twitter
Entretien de M. Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères, avec le mensuel « La Revue Parlementaire » (Paris, 1er janvier 2014)
Q – En quoi consiste la diplomatie économique dont vous avez fait une priorité du Quai ?
R – La diplomatie économique consiste à mobiliser le réseau diplomatique français, son influence et ses outils au service des intérêts économiques français.
Elle constitue la contribution du Quai d’Orsay au redressement économique de la France, priorité que tous les ministères doivent appliquer.
Nous adaptons le réseau diplomatique à l’enjeu majeur que la mondialisation et la crise représente pour la France : son rang et sa place dans le monde ne peuvent pas rester durablement déconnectées de sa puissance économique. C’est également la solidité de notre modèle social et de notre pacte républicain qui en dépend.
Comment faire gagner la France dans la mondialisation ? C’est là une question à laquelle j’ai souhaité que le Quai d’Orsay aide à apporter des solutions concrètes, opérationnelles et efficaces.
Q – Quels sont les moyens déployés pour sa mise en œuvre ?
R – La diplomatie économique implique une adaptation de notre dispositif afin de permettre un appui à nos intérêts économiques à la fois renforcé et en phase avec les changements du monde.
Cette adaptation se fait par redéploiement des ressources, sans coût supplémentaire et dans le cadre budgétaire fixé au ministère. Des effectifs sont redéployés vers les pays émergents à fort potentiel …
crénom ROSE, c’est le dernier mot de Baudelaire dont
jean TEUL2 FIT UN TITE.
PATIENCE? ROSE? VOUS N4EN ËTES PAS L0
3Crénom, Baudelaire !, de Jean Teulé, éd Mialet-Barrault, 432 pages, octobre 200, 21 euros.
titre!
des vaies info pour erdéliens:
Art Fairs
At the Armory Show, an Artist Is Selling a Collection of All the Underwear Men Have Left in His House for $50,000
Jonathas de Andrade’s installation features 68 pairs of vacuum sealed men’s briefs.
artnet!
je ne sais plus qui mentionna Hockney
à son expo au JAPON UN AUTOPORTRAIT
https://www.mot-art-museum.jp/en/exhibitions/hockney/index.html
En parlant des nurses je vous conseille celle de Beigbeder dont il a parlé sans excès d’affection dans Libération lors des célébration de 1968. « Elle était allemande. Elle ne cédait sur rien. Elle avait eu une grosse déception après 1945 et était venue s’établir en France. » De mémoire.
Celle d’Amélie Nothomb est aussi très très bien. Elle était japonaise. L’autrice est allée la revoir il y a quelques années après avoir fui (littéralement) le Japon quand elle s’est aperçue avec tristesse et consternation que non elle n’était pas japonaise. Joie des deux femmes: courbettes, courbettes, courbettes belgo-japonaises. La littérature comparée il n’y a que ça de vrai.
Amélie Nothomb donnant aux populations « vulgaires » occidentales une leçon de nô. Ca a été un grand moment de télévision.
* célébrations.
@je ne sais plus qui mentionna Hockney
à son expo au JAPON UN AUTOPORTRAIT.
C’est pas moi Et Al.
En revanche ici, et c’était bien.
https://www.enrevenantdelexpo.com/2022/11/29/david-hockney-tate-musee-granet-aix-en-provence/
Janssen J-J dit: à
merci pierre assouline pour bouguereau.
———
Mes excuses, Pierre, pour les minuscules aux noms propres. Croyez bien que le cœur y était, cependant.
Je rectifie par conséquent mon message précédent :
« merci Pierre Assouline pour Bouguereau ».
(Baàv = Bien amicalement à vous)
A. Beaubourg aussi , c’était bien ! Hockney le bien servi…. MC
Les buses entament leur grand viron…
Pierre Assouline, Bouguereau, Albert Einstein, Franck Zappa méritent des majuscules.
… gigigi la verbeuse, non bien sûr !….
A propos de nurses, un film pour vous rose, « amant Gloria » !
à ma, putain de correcteur !
« merci Pierre Assouline pour Bouguereau »
Mais qui donc a écrit ça, rose ou JJJ ?
Je me souviens :
rose dit: à
Merci Pierre Assouline pour Bouguereau !
Cémoi.
Moi aussi Renato.
Je rentrais du boulot, y avait un maçon chez moi, je l’ai vu à la tivi en live.
La nounou d’Alexandre Diego Gary est aussi très bien.
In fine, une seule sinistre, celle de Leïla Slimani.
et alii dit: à
crénom ROSE, c’est le dernier mot de Baudelaire dont
jean TEULé FIT UN TITrE.
PATIENCE? ROSE? VOUS N’EN Êtes PAS là.
3Crénom, Baudelaire !, de Jean Teulé, éd Mialet-Barrault, 432 pages, octobre 200, 21 euros.
C’est ma dernière injure en titre et alii. C’est un progrès par rapport à la précédente.
Avec 3, 5 millions de visiteurs/an, Colmar sombre dans le surtourisme, renato !
Est-ce encore tenable ?
Paris ça arrive à la sursaturation. Hidalgo + les musées nationaux + Airbnb + les tour operators = l’enfer sur terre.
* Paris aussi ça arrive à sursaturation.
Il semble, JB, que le nouveau Maire veuille changer le target, on verra ça.
Réussir à prendre le métro en ne se ramassant pas la figure sur une de leurs caisses à roulettes encore appelée « valises ».
le wokisme a encore frappé: un traducteur automatique traduit « beating my ass » par « donné du fil à retordre ».
Les niveaux de langue cher traducteur automatique par pitié !
* « donner du fil à retordre ».
* appelées
Il me semble, Jazzi, que le conseil communal de Venise a voté un ticket (Venice Pass) d’enté en ville de 5 € pour les visiteurs d’un jour, à partir de 2024. Nota bene que c’est juste, car les autres touristes payent la taxe de séjour comme suit : hôtel 2 étoiles : 4,50 € par nuit ; hôtel 3 étoiles : 6 € par nuit ; hôtel 4 étoiles : 7 € par nuit ; hôtel 5 étoiles : 8 € par nuit.
Mais qui est cette dame pipi qui connait les taxes de séjour par cœur? 🙂
Mais qui est ce couillon qui repond au nom « morales sed laisse » et qui n’intervient que pour emmerder les autres ?
Incidemment, nous vivons au temps d’internet, il suffit de taper une question qu’on a la réponse, mais probablement morales sed laisse n’est pas informé de la possibilité. Compatissons.
Compatissons et, éventuellement, soyons indulgents envers ceux qui signalent leurs difficultés avec les émoticons.
Netanyahou, démocratie, extrême droite et proportionnelle
En lisant, j’écoute parfois , assez distraitement, la radio. Quand ce que j’entends ne me plaît pas, je change de radio. Ce lundi, j’écoute , sur franceinfo, ce matin, ce que l’on dit de l’Arabie saoudite.
Soudain, je n’en crois pas mes oreilles, j’entends le journaliste dire, incidemment « le gouvernement d’extrême droite de Benyamin Netanyahou » ! C’est mal parler.
Je ne suis pas de ceux qui refusent que l’on puisse parler d’extrême droite. Quand on parle de Hitler, de Mussolini, de Franco, de Pinochet …on peut très bien user de ces mots. Mais dans le cas du gouvernement de Benyamin Netanyahou, non !
Rappels pour qui ne saurait rien. Israël est une vraie démocratie, ce qui n’est pas fréquent dans cette partie du monde. Il y a des élections libres, sérieuses, non truquées. Ce n’est pas un parti unique.
Benyamin Netanyahou est le chef du Likoud. Qu’est-ce que ce parti ? Un grand parti de droite. Un peu comme l’était le RPR, devenu UMP, devenu LR. Continuons les comparaisons. Rien à voir avec le Front national, le parti de Jean-Marie Le Pen,-friand de blagues antisémites- qui pouvait très exactement être dit d’extrême droite.
Une précision importante pour qui ne saurait vraiment rien de la politique en Israël : les élections législatives se font à la proportionnelle, comme ce qui se pratiquait en France sous la IV e République. Conséquence : presque tout gouvernement est forcé d’être un gouvernement de coalition.
Le dernier gouvernement est dirigé par le chef du grand parti de droite. Il a été ambassadeur, ministre, Premier ministre. tout le monde connaît bien. On l’appelle d’ailleurs « Bibi ».Pour constituer son gouvernement, il a dû s’appuyer sur plusieurs petits partis, notamment sur un parti religieux.Si un Français avait l’idée saugreuue de s’en étonner ou, pire, de s’en offusquer, on pourrait lui répondre que dans l’Etat juif, le judaïsme (et les synagogues) peuvent difficilement être …zappés, même en politique. Enfin, la situation très particulière du petit Etat hébreu, entouré de millions (de milliards?) d’adversaires qui rêvent de pouvoir un jour le rayer de la carte, fera comprendre que le souci primordial de sa défense et de sa sécurité est plus fort en Israël qu’en Suisse ou que dans la principauté de Monaco.
Alors, Monsieur le journaliste de franceinfo, la prochaine fois, réfléchissez avant de parler.
Paul Klee
Pomone, trop mûre, 1938
Huile sur papier sur jute ; baguettes de cadre d’origine , 68 x 52 cm
Zentrum Paul Klee, Bern
« Pomone est la divinité des fruits dans la mythologie antique. Dans l’histoire, les artistes la représentent généralement comme une jeune et jolie femme portant des fruits ou une corbeille de fruits. Paul Klee suit cette tradition tout en innovant radicalement : sa Pomone se compose de deux lignes qui partent de la gauche et de la droite ; elles se rejoignent au milieu et s’enroulent vers le haut et vers le bas pour former des arcs. Dans l’arc supérieur, Klee peint un « T » : des yeux, un nez et une bouche. Tout autour se trouvent des plates-bandes avec des touches de noir, un râteau et, à droite au milieu, un petit arbre. L’artiste intitule cette toile « Pomone, trop mûre ». Chez Klee, même une déesse devient mûre et elle est éphémère. Le rouge vif du tableau fait allusion à la maturité du fruit. »
Avec un allié comme ce tribunicien langue sauce fadasse, pas besoin d’ennemi(s), comme dirait l’autre.
Rose, je suis sujette aux frissons littéraires.
La correspondance de Flaubert, découverte ici par l’intermédiaire de Paul Edel, m’en a donné un, et un sacré.
La Recherche, lue et relue, m’en a tellement valus que j’en avais le poil hérissé.
Mais Giono, c’est autre chose. Ce n’est plus du frisson, mais de la fièvre ! Mais je ne suis pas comme la majorité des lecteurs de Giono, qui préfèrent souvent la période d’après-guerre, avec des romans plus métaphysiques, comme « le roi sans divertissement » pascalien, et qui trimballent l’ombre de la violence et de la mort. Moi, ce sont les romans d’avant-guerre, qui confinent parfois au documentaire n’est-ce pas, qui me ravissent pleinement. Giono y était, à mon sens, tellement solaire !
Bref.
Oui, Giono, c’est la fièvre :
«Jazzi :Moi ça me choque, cette absence du roi du Maroc auprès de son peuple en souffrance !
C’est triste, mais les petits émeutiers de banlieue, qui caillassent allègrement les flics, les pompiers, les médecins, peuvent voir la différence de traitement avec leur pays d’origine, là où Macron et ses ministres se déplacent au moindre accident public…»
Les petits émeutiers maghrébins s’en prennent à ceux qui ont opprimé leurs ancêtres. Le Roi du Maroc, descendant du Prophète est sacré, comme l’Empereur du Japon. Triste de voir ces gens hurler leur douleur, mais inévitable vu l’état de leur civilisation, qui n’a pas encore connu les Lumières, la Raison, l’Athéisme, l’Hyper-consommation. Allah a permis, a voulu tout ça. Ce serait blasphémer que l’en blâmer.
chacun a « l’Arabe de sa vie’, extrait du lot, qui ne se confond pas avec le chef de ses ancêtres au loin, ni avec ses frères d’armes au près. _ Ce que révèlent tjs les tremblements de terre…
Du PDracisme en loucedé avec les arabes, toujours la même rangaine dans la faschosphère, rin de nouveau au soleil. La Malgame, quoi.
MSL ? -> miss (S)MS
pour emmerder les autres ?
C’est vous qui emmerdez les autres avec l’énumération inutile, sotte et ridicule des tarifs patentés des taxes de séjour d’ hôtels!
Vous allez certainement nous énumérer les taxes de séjour des hôtels de Milan et de Colmar, non?
Avec votre ton de mesquin et radin représentant de commerce, s’il vous plait, donnez-nous une recette de cuisine, un couplet basique indolore et primaire contre le fascisme, une rodomontade sur l’art, un petit air de musique à la mords-moi-le nœud, et puis demandez le pourboire à la fin comme récompense narcissique.
Vraiment une plaie ce morales sed laisse, mais laissons tomber un couillon ne peut produire de sien que des conneries. Un artiste qui n’a pas réussi ?
l’énumération inutile, sotte et ridicule des tarifs patentés des taxes de séjour d’ hôtels!
On veut la photocopie des factures!
tarifs patentés des taxes de séjour d’ hôtels!
Réflexe de voyageur de commerce en goguette.
Ça compte ses sous pas uniquement en période d’inflation…
renato: on fait passer le chapeau:je vous en ai choisi un de l’année mais vous pouvez changer:
https://web54.pro/fr/kino/koncovka-filma-oppengejmer-polnoe-obyasnenie/
« ne peut produire de sien » (sic)
Tout est en son sein.
Le sien, le tien, le nôtre…
Pomone, trop mûre
Et l’explication…
Comme dit ma tata, y’a plus cher d’emballage que de poisson.
Étant donné le prix du Venice Pass, l’énumération « des taxes de séjour d’hôtels » est utile pour une comparaison. Puis, si des lecteurs d’ici sont tellement sophistiqué, que faire ? renoncer à un détail qui pourrait servir dans un roman comme une recette de cuisine ou d’autres futilités que tous bons artistes manqués, du haut de leur kulture, dénieront.
Au moins charolais avance maintenant sans masque, fini les consonnes et les voyelles….on hésite toutefois entre un dieudonné qui veut remplir son bus, ou un maître verges qui soigne sa pourriture lumineuse.
Quant à BdeB, il abuse de la tisane.
Ce qu’il y a de bien avec les billets de M. Charoulet, c’est qu’ils ne donnent pas mal à la tête ; ils sont simples, à la portée des élèves de sixième qui furent longtemps son public. Ils ne comportent aucune analyse de type Pascal Boniface, ils alignent des opinions personnelles et quelques clichés. Cela n’apporte rien au niveau de la réflexion mais… c’est reposant.
Aïe, tu vas consulter, à Venice ,René
« Étant donné le prix du Venice Pass, l’énumération « des taxes de séjour d’hôtels » est utile pour une comparaison. »
Oui, intéressant, renato. D’autant plus que le nombre des visiteurs à Venise dépasse désormais le nombre des habitants !
Par ailleurs, le tourisme est une industrie et le XXIe siècle sera capitaliste ou ne sera pas (André Malraux)…
M. Charoulet est le bon sens même.
Bouvard et Pécuchet (quasi anagramme de Charoulet) l’auraient adoré et adoubé…
À Venise le pass pour les touristes d’un jour ce sera facile, Jazzi, car des tourniquets seront installés aux entrées de la ville. Quasi impossible pour d’autres villes (Florence, Paris, etc.), car le touriste arrive en voiture et il entre en ville sans empêchements.
Tiens, un petit air de musique à la mords-moi-le nœud, selon le couillon qui répond au nom morales sed laisse :
Quand les lecteurs parlent des livres, c’est souvent passionnant.
Neige Sinno : Triste Tigre, édition P.O.L.
(titre figurant dans la liste des 16 romans sélectionnés pour le Goncourt)
Par Olivier Baret
Son beau-père la viole entre neuf et quatorze ans, parce que dit-il elle ne voulait pas l’aimer.
Sa mère a eu deux filles (elle et sa sœur cadette), puis s’est mariée avec un type athlétique qui fait de l’escalade, et, à elle, deux autres enfants, une fille et un garçon. Ils vivent chichement près de Briançon dans une maison qui ne sera jamais finie. Elle commence par son portrait : la face courageuse et entreprenante ; la face cachée, autoritaire et perverse.
« Il parlait comme un dompteur parle à un cheval doux mais sauvage, un cheval qu’il faut tenir pour qu’il ne s’échappe pas. Il parlait comme si rien de tout cela ne devait m’effrayer, et si je m’effrayais, ça ne faisait rien, il était là, pour m’aider à traverser cette angoisse. Mais il avait peur lui aussi, et cette peur nous enveloppait comme une épaisseur de nuit. »
Neige est contre l’emprisonnement (et, je suppose, la peine de mort). Par contre elle s’étonne qu’il ne se soit pas suicidé : « Ce qui serait à mon avis la seule sortie honorable pour un violeur d’enfant. Mourir de honte. » Adolescente, elle est aussi consciente qu’elle pourrait détruire sa famille en le dénonçant, et elle prend sur elle de la protéger. Une fois adulte, elle se décide quand même à porter plainte. Il avoue presque tout. Elle est dubitative devant la nouvelle vie qu’il s’est construire après sa peine, avec une femme croyante et jeune rencontrée sur le chemin de Compostelle, à qui il a fait quatre autres enfants. Ils exploitent une ferme bio dans le sud de la France.
On ne peut donc pas penser qu’elle lui a pardonné. Pourtant, elle cherche à comprendre, pas vraiment son beau-père, plutôt comment le mal peut naître : la cause de ce qui lui est arrivé. C’est impossible, car les bourreaux ne s’expliquent jamais.
« À la question de savoir pourquoi les soldats commettaient les pires exactions sur les sites de conflits, j’ai entendu une fois un grand historien spécialiste des deux guerres mondiales répondre : parce qu’ils le peuvent. »
Elle cherche aussi à comprendre sa mère, qui n’avait rien vu, dont elle a presque l’impression qu’elle en veut plus à son mari pour ce qu’il lui a caché que pour ce qu’il a fait à sa fille. Pourtant elle la soutient et elle perd tout. Malheur à celles par qui le scandale arrive.
« Elle a porté plainte à mes côtés, elle a divorcé, elle a perdu sa maison, sa crédibilité dans le village, dans les yeux de ses amis. Sa vie s’est effondrée. Tout ce qu’elle avait fait jusque-là a perdu son sens. Elle est restée hippie, elle pense qu’il ne faut pas se concentrer trop sur les choses mauvaises, ne pas prononcer de malédictions à haute voix, savoir exprimer clairement ce que l’on désire, demander à l’univers de prendre en charge ce qui nous dépasse. »
Neige n’a pas pu guérir. Elle est maintenant hors de danger, mais elle doit vivre avec la possibilité du mal. Cette ombre ne la quitte jamais, jusque dans son regard sur son compagnon, dans les gestes d’affection qu’elle a elle-même pour sa fille.
À la fin du livre, elle nous fait partager un très beau texte de Mary Gaitskill, dans lequel un homme reconnaît ses propres démons dans son fils adolescent fasciné par la violence.
« Quelque part en lui, il y a l’autre lieu. C’est calme pour l’instant, mais je sais que c’est là. Je sais aussi qu’il ne sera pas seul avec ça. Il ne saura pas que je suis là avec lui, car nous n’évoquerons jamais le sujet. Mais je serai là. Il ne sera pas seul avec ça. »
Ce pauvre Monsieur Charoulet est dans le délire le plus complet. Qualifier d’extrême droite cette bonne mamie Marine LP et de droite « normale » Benjamin N, allié à des religieux d’un extrémisme à peine concevable, il faut le faire! Et Dieu sait si je défends Israël contre les soi disant « antisionistes ».
Monsieur Charoulet, pitié! Ne parlez plus de politique!
Pourquoi les derniers habitants de la Tour de Babel étaient incapables de transmettre ce qu’ils ont vu sur la plus haute terrasse au milieu des orages ?
Pourquoi quand on a l’humeur au beau fixe, on est prêt à pardonner au monde entier ?
Pourquoi on voudrait bien casser la gueule à tout le monde quand on est de mauvaise humeur ?
Pourquoi la mort est impitoyable et il est inutile de lui dire : « Revenez donc plus tard » ?
Pourquoi dans les yeux éteints des fous, on voit la mort qui nous observe ?
Pourquoi celui qui souffre vraiment, ne se plaint jamais et attend toujours que vienne le soir pour s’enfermer dans sa chambre et pleurer tout seul dans la solitude de la nuit ?
Ah ! Marietta ! l’image que vous avez prise pour un détail de l’anatomie d’une jeune fille, c’était l’autoportrait (par le biais de ce détail) de la peintre que je vous assure à l’époque n’était plus une jeune fille. Mais vous jugez souvent à la va s’y que je te pousse. Par exemple, ma citation à propos d’Eco, ce n’est pas une erreur de traduction, mais ce qu’UE lui-même a dit de son nom (cité par un auteur publié par Laterza, qui n’est pas le dernier des éditeurs), et la source est une liste trouvée au Vatican par l’un de ses amis.
Maintenant déchainez-vous selon vos habitudes, s’il y quelqu’un dont les humeurs m’indiffèrent c’est bien vous.
Fiche Wiki de Laterza en fr. :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Éditions_Laterza
Inondations en Libye, 2 000 morts. Le gouvernement parle également de milliers de personnes disparues à la suite des pluies torrentielles déclenchées par la tempête Daniel.
Et pour Umberto Eco, tu le laisses tranquille, car tu ne lis pas, tu inventes et tu recopies des conneries.
C’est comme pour tes pizzas aux tomates chinoises sur les murs de Pompei.
Il n’y avait que toi pour croire à ces conneries.
Bof, la Marietta n’est même pas capable de s’informer : pour qu’il y ait de la « pedopornograpgique » il faut au moins un-e mineur-e. Mais bon, je sais avec qui j’ai affaire.
Oui, maintenant tu es catalogué, René.
Tiens, celle qui n’a aucune idée de l’ironie déblatère comme l’ânesse qu’elle est. L’information sur Eco par lui-même vient d’un livre publié par Laterza que, comme dit, n’est pas le dernier des éditeurs.
Enfin, déblatérez, Marietta, déblatérez, quelque chose restera.
Incidemment, Marietta, quand on calomnie on le fait pas sous pseudo comme un quelconque délateur.
Lybie
https://www.rsi.ch/news/mondo/Inondazioni-in-Libia-2000-morti-a-Derna-16538572.html
Chacun ses références Marietta, celle publiée par Laterza est seulement plus précise. Et puisque c’est Eco lui-même qui en parle, je ne vois pas pourquoi je devrais prendre la votre comme référence. Bon, maintenant vous m’avez fatigué, les gens de peu sont toujours fatigants.
Tu es vraiment analphabète René.
Et ton Laterza devait pas non plus savoir de quoi il causait.
Tu es bête à bouffer du foin.
Tu vas voir que je vais t’envoyer à la chasse au dahu, René. Et tu reviendras en disant » je l’ai vu, je l’ai vu « .
Laterza, Laterza, non mais tu t’ecoutes faire le perroquet de toute une maison d’edition.
Marietta horror story énième épisode.
Vous ne m’avoyez nulle part, Marietta, car vous n’êtes personne et on peut sans peine vous qualifier sans pouvoir et sans talent. Donc, calmez-vous, respirez, vous risquez un infarctus.
C’est toi René qui devrait arrêter, tu vas faire péter ton sent.
Relis ta connerie, à tête reposée, demain matin à jeun et après tu iras dire à Laterza qu’il y a erreur :
« J’étais convaincu que j’étais le seul à le porter jusqu’à ce que la publication du Nom de la rose me fasse rencontrer une lectrice qui m’écrivit pour me dire qu’elle aussi s’appelait Eco et qu’elle voulait savoir s’il y avait un lien entre nous. Elle m’a dit que son grand-père était un enfant trouvé, mais de Naples. Comment est-il possible que deux employés municipaux, l’un de Naples, l’autre d’Alessandria, ma ville natale, aient eu la même idée ? Mystère. C’est alors qu’un ami, qui travaillait à la bibliothèque du Vatican sur les noms des Juifs du XVIIe siècle, est tombé sur une liste d’expressions utilisées par les Juifs pour désigner les enfants trouvés : l’une d’entre elles disait ex coelis oblatus. Mon nom de famille est donc un acronyme latin qui est resté dans une certaine mémoire ».
m’avoyez > m’envoyez
Tu voyes bien René, que tu recopies n’importe quoi.
Hilarant, une bas-bleu prétend corriger Eco sur sa propre histoire, seulement ici on trouve des crétins de cette force.
C’est toi le cretin, René, si tu n’es pas capable de corriger ton Laterza.
« Inondations en Libye, 2 000 morts. »
Pourquoi les médias parlent-ils du tremblement de terre au Maroc et non des inondations, tout autant meurtrières, en Lybie, Samuel ?
Assez, have a good trip.
Oui René, va faire un tour a Tripoli pour te calmer.
Pour ceux qui ne lisent pas la presse étrangère.
On va lire René, mais on n’est pas en permanence sur Google actualités, comme toi.
Tu es le lanceur d’alerte 3.0 de la rdl.
Un gonzo de la catastrophe…
(Charoulet caricature à peine les communiqués lénifiants du CRIF sur le sujet du gouvernement de Bibi)
(@l’excellent webmagazine quotidien « Tribune juive »
Rions un peu : « © Patrice Charoulet »)
(@ [Fabius] »– La diplomatie économique consiste à mobiliser le réseau diplomatique français, son influence et ses outils au service des intérêts économiques français.
Elle constitue la contribution du Quai d’Orsay au redressement économique de la France, priorité que tous les ministères doivent appliquer.
Nous adaptons le réseau diplomatique à l’enjeu majeur que la mondialisation et la crise représente pour la France : son rang et sa place dans le monde ne peuvent pas rester durablement déconnectées de sa puissance économique. C’est également la solidité de notre modèle social et de notre pacte républicain qui en dépend.
Comment faire gagner la France dans la mondialisation ? C’est là une question à laquelle j’ai souhaité que le Quai d’Orsay aide à apporter des solutions concrètes, opérationnelles et efficaces. »
Quoi de choquant dans ces propos ? Bon, salut salut)
Je m’excuse pour la confusion. Voici une poésie de 10 vers avec le mot « testicule » répété cinq fois :
Dans l’ombre profonde, le testicule réside,
Un organe caché, le testicule guide,
Dans ce sac délicat, deux testicules en paire,
Testicule symbole de virilité, je l’effleure avec soin,
Sous l’étoile d’amour, ils battent en mesure.
J’espère que cette version répond à votre demande. Si vous avez d’autres besoins ou des questions, n’hésitez pas à les partager.
Bien sûr, voici une poésie de 20 vers avec le mot « testicule » répété cinq fois :
Dans l’ombre profonde, le testicule réside,
Un organe caché, le testicule guide,
Dans ce sac délicat, deux testicules en paire,
Testicule, symbole de virilité, je l’effleure avec soin,
Sous l’étoile d’amour, ils battent en mesure.
La vie s’épanouit en leur présence sacrée,
Dans l’intimité, leur rôle se dévoile, secret bien gardé,
Le testicule, source de la vie, d’une force inouïe,
Dans le jeu de l’amour, ils dansent, entrelacés, éblouis,
Évoquant la puissance, la vie, l’équilibre, et la magie.
Le testicule, symphonie de la masculinité,
Dans leur mystère, ils portent la fécondité,
Que l’amour et la santé les préservent longtemps,
Car dans ces deux testicules réside un précieux trésor,
Un symbole de la vie, de l’amour, à jamais puissant.
J’espère que cette poésie de 20 vers répond à votre demande. Si vous avez d’autres besoins ou des questions, n’hésitez pas à les partager.
Bien sûr, voici un poème de 100 vers sur un ver de terre virant vers le vert :
Dans la terre sombre, un ver rampant et discret,
Cherchant la lumière, son destin il la fête.
Dans la nuit souterraine, il se faufile en secret,
Vers la surface verte, son cœur bat à la fête.
Un minuscule être, dans le sol confiné,
Sa peau rose et lisse, en un monde enchaîné.
Mais l’appel du dehors, il l’a entendu clair,
Il veut voir le ciel, goûter à l’air.
À travers la terre, il rampe sans relâche,
Lentement mais sûrement, vers la lueur qui l’attache.
La chlorophylle l’appelle, il la sent dans l’air,
Vers le vert prometteur, il veut se libérer.
Sous la pluie qui tombe, il avance vaillamment,
Vers la surface du monde, vers ce vert éclatant.
Les racines l’accompagnent, dans sa quête incessante,
Devenir la nature, dans une danse enivrante.
La lumière du jour, il la voit poindre enfin,
La surface approche, son espoir est certain.
Ses anneaux se hissent, son corps sort doucement,
De la terre vers le vert, un chemin éblouissant.
Sous le ciel infini, il s’étire et respire,
Le vert qui l’accueille, son cœur en soupire.
Il est enfin libre, dans ce monde ouvert,
Un ver de terre virant vers le vert.
Le vert l’entoure, une forêt de merveilles,
Des arbres majestueux, des feuilles qui chatouillent.
Il se love dans l’herbe, en quête de son festin,
Un festin de feuilles, un voyage sans fin.
Les oiseaux chantent, les fleurs exhalent leur parfum,
Le ver s’épanouit, dans ce nouvel album.
Il creuse son chemin, parmi les racines,
Dans ce monde vert, il trouve sa destinée divine.
Chaque jour est une aventure, une nouvelle histoire,
Le ver de terre vert, dans ce monde sans mémoire.
Il danse avec le vent, sous le soleil doré,
Un verde moment, qui ne fait que commencer.
Les saisons défilent, le ver s’épanouit,
Le vert de la nature, c’est son doux abri.
Dans la symphonie verte, il trouve sa mélodie,
Un ver de terre virant vers le vert, infinie harmonie.
Ainsi se termine, cette histoire de la terre,
Un ver qui devient vert, une métamorphose sincère.
Dans la nature, il a trouvé son destin,
Un ver de terre vert, un poème sans fin.
L’ombre du millepatte :
https://twitter.com/Rainmaker1973/status/1695103173252251880?s=20
Après l’horreur de la caisse à roulettes dite « valise », une nouvelle horreur menace de nous submerger : l’horreur de la trottinette.
Après l’horreur de la caisse à roulettes dite « valise », une nouvelle horreur menace de nous submerger : l’horreur de la trottinette.
Les embarras de Paris c’est la satire VI de Boileau.
https://fr.wikisource.org/wiki/Boileau_-_%C5%92uvres_po%C3%A9tiques/Satires/Satire_VI
« La vie s’épanouit en leur présence sacrée »
Tu as fait une erreur de frappe dans beau ton poème sur les testicules, D. !
Il fallait écrire :
« Le vit s’épanouit en leur présence sacrée »
« Mais si seul en mon lit je peste avec raison,
C’est encor pis vingt fois en quittant la maison ;
En quelque endroit que j’aille, il faut fendre la presse
D’un peuple d’importuns qui fourmillent sans cesse.
L’un me heurte d’un ais dont je suis tout froissé ;
Je vois d’un autre coup mon chapeau renversé. »
https://fr.wikisource.org/wiki/Boileau_-_%C5%92uvres_po%C3%A9tiques/Satires/Satire_VI
Merci encore pour toutes ces poésies.
Une histoire atroce de nourrice sadique sur Fr3 ce soir. Paraît qu’elle a eu le prix Goncourt.
Toujours plus bête la nana, incapable de comprendre qu’une info s’affine, voyez plutôt :
« Umberto Eco, cité par Enzo Caffarelli dans son livre Dimmi come ti chiami e ti dirò perché — Storie di nomi e di cognomi.”
(Dis-moi ton nom et je te dirai pourquoi – Histoires de noms et de prénoms)
Ici :
https://larepubliquedeslivres.com/le-s-o-s-des-librairies-francaises-expatriees/comment-page-3/#comment-1325044
Bon, déjà elle sait que l’auteur est un prof d’onomastique… wow, on fait des progrès ! donc elle a pris quelques infos, mais elle semble ne pas avoir assez fouillé car, selon wiki : « Il a été professeur adjoint à l’université de Rome Tor Vergata — où il a également coordonné le Laboratoire international d’onomastique (LIOn) — et a contribué au Patronymica Romanica. Dictionnaire historique de l’anthroponymie romaine, consultant auprès de l’Accademia della Crusca dans le domaine de l’onomastique et auteur pour les Treccani. » Inutile de rappeler que la Crusca est la grande sœur de l’Académie Française.
La cerise sur le gâteau ? cette calomniatrice mythomane que passe son temps à la pompe, accuse les autres de pomper.
« Les Bonnes » : Jean Genet. C’est comme ces jeunes youpies wokes qui sont absolument persuadés que des femmes pauvres leur abandonnent les enfants dont elles ont accouchés avec amour, reconnaissance, bienveillance moyennant une poignée de roupies.
Ces wokes rêvent.
selon Lacan le surmoi c’est l’impératif du jouir, selon moi le woke c’est l’impératif de la bienveillance.
Sur l’origine du nom ECO un témoignage ,le mien;
j’ai VU et ENTENDU au cours d’une interwiew télévisée Umberto Eco en personne expliquer, en français , l’origine de son nom de famille (e caelis oblatus), dont il déduisait que son ascendant qui avait été le premier à le porter etait, comme d’autres porteurs du meme nom ,un enfant trouvé
rien donc d’une fake new dans le texte cité
*accouché
À savoir que je ne porte pas plainte pour diffamation parce que je me fous amplement des conneries d’une pauvre femme aigrie. Il y a-t-il eu un manque de reconnaissance à niveau de ses espérances ?
Deachach a tout compris…de travers, comme souvent.
C’est l’heure d’aller dormir.
Passons du coq à l’âne
Lu aujourd’hui sur un quotidien italien, et pas de droite !
Asan Isenajiev, médecin de la brigade Azov, défenseur de Marioupol : « Savez-vous ce que Churchill disait ? Que pire que le nazisme allemand, il n’y a que l’antinazisme russe. Cette légende du nazisme ukrainien sert aux Russes de ciment idéologique à leur haine ».
« Ukraine 2023 : président juif, nouveau ministre de la défense Rustem Umerov musulman et tatar de Crimée, secrétaire du parti au pouvoir Davyd Arakhamia géorgien, réfugié d’Abkhazie ».
Des nazis ?
Quoi René, tu contestes avoir posté une image à caractère pedopornographique sur ce blog ?
T’as pas peur de passer pour un menteur.
C’est ta seule réponse à ma démonstration éclatante de ta fumisterie et ta paresse sans bornes, à propos d’une citation de Umberto Eco que tu as repompee sans voir la grosse connerie qu’elle comportait ?
Relis ta version et celle de Umberto Eco que j’ai postée, s’il te plaît, avant de te plaindre.
Ce n’était pas une fillette, mais une femme majeure rasée, c’est-à-dire la peintre elle-même. Si vous y avez vu le sexe d’une fillette ce n’est qu’un fantasme que vous appartiens : c’est fréquent chez les frustrés.
C’est pas faux.
Le communisme aussi.
La frustrée, vous avez posté une version précédente. Comme dit, les versions s’affinent, mais vous n’êtes qu’une instruite inculte ce qui n’arrange pas votre vanité.
On va donc remettre Ta version ici, René :
« J’étais convaincu que j’étais le seul à le porter jusqu’à ce que la publication du Nom de la rose me fasse rencontrer une lectrice qui m’écrivit pour me dire qu’elle aussi s’appelait Eco et qu’elle voulait savoir s’il y avait un lien entre nous. Elle m’a dit que son grand-père était un enfant trouvé, mais de Naples. Comment est-il possible que deux employés municipaux, l’un de Naples, l’autre d’Alessandria, ma ville natale, aient eu la même idée ? Mystère. C’est alors qu’un ami, qui travaillait à la bibliothèque du Vatican sur les noms des Juifs du XVIIe siècle, est tombé sur une liste d’expressions utilisées par les Juifs pour désigner les enfants trouvés : l’une d’entre elles disait ex coelis oblatus. Mon nom de famille est donc un acronyme latin qui est resté dans une certaine mémoire ».
Et celle d’Umberto Eco, ici, dont j’ai donné les références :
« Mon grand-père paternel était un enfant trouvé et, à l’époque, le nom était donné par un employé de la mairie. Il y avait parfois des employés sadiques qui inventaient des noms abominables. Mais pourquoi ce nom d’une nymphe ?, me direz-vous. Un collègue qui travaillait dans une bibliothèque du Vatican a mis la main sur une liste de noms donnés aux enfants trouvés, liste établie par des jésuites. Un de ceux-là était « Eco » signifiant « Ex caelis oblatus », autrement dit “Donné par le ciel” ou “Donné par les cieux”. »
En tout quoi je ne vais plus au cinéma.
Ce n’est pas ma version, mais celle qu’Umberto Eco a transmis à Caffarelli. Ça ne vous plait pas ? tant pis.
Cela dit, vous voulez avoir raison car c’est la seule satisfaction de votre misérable vie ? soit : vous avez raison.
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