Le S.O.S. des librairies françaises expatriées
Si les temps sont durs pour les librairies en France, ils le sont plus encore pour les librairies françaises à l’étranger. C’est peu dire que les 250 points de vente de livres français dans le monde souffrent. L’augmentation des baux commerciaux, l’inflation, la crise énergétique, les ventes en ligne, l’accroissement des frais de port, la crise sanitaire, les confinements ont fragilisé leur modèle économique qui était déjà incertain (il n’y a pas de prix unique du livre français à l’étranger). Jamais leur marge n’a été aussi réduite car elles doivent tenir compte du prix du transport, des frais de douane, du taux de change, de remises insuffisantes, de délais de livraison trop lents. Alors elles ferment. Malgré l’aide précieuse du CnL (Centre national du Livre), les libraires français du bout du monde sont à bout et mettent la clef sous la porte.
La librairie Omeisha à Tokyo ? Fermée il y a un peu plus d’un an. Le propriétaire M. Okuyama a jeté l’éponge avec un pincement au cœur car elle avait été fondée par son père en 1947. Mais outre la concurrence digitale et la crise sanitaire, la baisse du nombre d’apprenants de notre langue au Japon a eu raison de sa « passion française ». De plus, sa librairie était située dans le quartier de Fujimi où régnait un véritable microclimat francophone grâce à elle, ainsi qu’au lycée et aux écoles, d’autant que d’autres institutions françaises étaient situées non loin…. La succursale de la librairie Antoine des souks de Beyrouth ? Fermée également l’été dernier bien qu’elle appartienne à un grand groupe de communication. L’arbre du voyageur, fameuse librairie française de Shanghaï ? Fermée il y a deux ans officiellement en raison d’une « rénovation urbaine ». La librairie française de San José au Costa Rica ? Fermée elle aussi. Une peu glorieuse cascade de porte définitivement closes.
Dernière en date : la librairie Vice Versa à Jérusalem (92 m2, sur deux étages, située en plein centre-ville ) vient tout juste de faire faillite. Faute de repreneur, elle a fermé ses portes ; il semble que le propriétaire des murs, le patriarcat arménien, ait cédé le bail à un galeriste. Elle avait été fondée il y a vingt-trois ans et reprise il y a près de cinq ans par Nathalie Hirschsprung. Malgré une situation propre à Israël (les librairies n’ont pas été considérées comme commerce essentiel pendant le confinement et n’ont pas reçu d’aide de l’Etat), son cas est emblématique car, comme d’autres ailleurs dans le monde, elle pointe une double responsabilité pour ne pas dire : culpabilité.
D’une part celle de Lireka, start-up inaugurée en novembre 2021 de vente en ligne de livres français qui vise deux millions de Français expatriés ainsi que quelque 230 millions de francophones dans le monde, même si elle ne s’interdit pas le marché hexagonal. Elle a été lancée en promettant des tarifs inférieurs à ceux d’Amazon, des délais de livraison identiques mais surtout une livraison gratuite . Ses promoteurs se sont appuyés sur la librairie Arthaud à Grenoble qu’ils ont rachetée mais c’est leur seul lien apparent avec la librairie traditionnelle ; à croire qu’il en fallait un tout de même histoire de rassurer. Avec le temps, les tarifs ont tendance à s’aligner mais qu’importe puisque cela l’a rendue d’emblée attractive. Quel libraire de l’étranger n’a jamais vu des clients venus flairer leurs vitrines et leurs nouveautés sinon solliciter leurs conseils, photographier quelques couvertures et, une fois sortis de la librairie, cliquer sur leur smartphone pour les commander en ligne ? Et l’on se demande après pourquoi dans leurs prises de parole ou leurs communiqués, l’amertume se mêle à la colère ! « Une concurrence sauvage ! » dénonce Nathalie Hirschsprung.
D’autre part, la responsabilité de ceux que l’on supposerait être des partenaires naturels des librairies francophones mais qui ne le sont pas tant que ça. Dans nombre de pays, elles doivent insister lourdement, souvent en vain, pour que les Instituts français, les Alliances françaises, les lycées français passent leurs commandes de livres à travers elles, ces librairies on ne peut plus dédiées car in situ ; or c’est loin d’être systématiquement le cas ; on observe un vrai décalage entre la volonté politique exprimée par le Quai d’Orsay et la réalité sur le terrain.
« Un véritable manque à gagner », insiste Isabelle Lemarchand, la présidente de l’Association internationale des libraires francophones. Il est vrai que le plus souvent, les livres scolaires sont achetés en France et dédouanés par le Consulat général pour ne pas payer les taxes locales. Pour avoir été à la rencontre des lecteurs de littérature française au Temps retrouvé à Amsterdam, à La Page à Londres, chez Parenthèses à Hong-Kong, à la Librairie des Colonnes à Tanger, à la Libreria francesa à Mexico et chez tant d’autres, je puis témoigner du dévouement quasiment militant de ces libraires qui sont autant d’ambassadeurs de la France un peu partout dans le monde. Ils y portent la parole, la langue et la culture françaises autrement que les institutions. Ils en sont l’indispensable complément même s’ils attendent d’être vraiment considérés comme leur prolongement. Une vitrine irremplaçable. Tout écrivain qui s’y est rendu à la rencontre de ses lecteurs peut en témoigner. Voir disparaitre une seule de ces librairies est un crève-cœur. Et s’il n’y en avait qu’une…
1 414 Réponses pour Le S.O.S. des librairies françaises expatriées
Je redonne mes références qui ont disparu :
Un été chez Umberto Eco, de J-Ph de Tonnac.
C’est autre chose que le laterzac de René,
qui n’est même pas capable de citer l’auteur dont il pompe les conneries.
La tempête Daniel. Les wokes ont encore frappé. On dirait du Libération. Le masculin, dans ce grand journal à l’histoire mouvementée, ça veut dire que c’est très méchant, et le féminin veut dire que c’est gentil.
Par exemple : le premier ministre Thatcher, l’héroïne Jean Moulin.
Évidemment si Passou supprime des posts éclairants, on se demande si Umberto Eco devait en faire les frais.
Ou encore : le Terreur (1793-1794), La Conseil national de la résistance.
« Je redonne mes références qui ont disparu […]
C’est autre chose que le laterzac de René,
qui n’est même pas capable de citer l’auteur dont il pompe les conneries.
Pauvre folle !
J’ai donné mas références plus qu’une fois :
Enzo Caffarelli dans son livre Dimmi come ti chiami e ti dirò perché — Storie di nomi e di cognomi.
Et en bonne instruite pas cultivée vous transformez Laterza en laterzac, mais laissons tomber.
Bon, maintenant j’ai mieux affaire. Portez vous bien et cherchez de ne pas donner corps à vos fantasmes.
En tout cas on aura vu un bel exemple de bassesse de René, se souvenait plus de l’auteur qu’il pompe, jusqu’à ce qu’on le lui rappelle. Un prof d’onomastique.
Et l’étendue de son ignorance sur les monastères et les jésuites.
Bon, laissons-la déblatérer, que c’est tout ce qu’elle sait faire.
Incidemment, j’ai dans mes étagères le livre dont je cite un passage.
Oui, ta citation, celle du prof d’echoooo,
édité chez Laterza, René, est dispo en vo, sur le net.
Cela dit, vu la connerie à propos du nom d’Umberto Eco, je n’achèterai certainement pas ce bouquin.
If I Could Tell You
Time will say nothing but I told you so,
Time only knows the price we have to pay;
If I could tell you I would let you know.
If we should weep when clowns put on their show,
If we should stumble when musicians play,
Time will say nothing but I told you so.
There are no fortunes to be told, although,
Because I love you more than I can say,
If I could tell you I would let you know.
The winds must come from somewhere when they blow,
There must be reasons why the leaves decay;
Time will say nothing but I told you so.
Perhaps the roses really want to grow,
The vision seriously intends to stay;
If I could tell you I would let you know.
Suppose all the lions get up and go,
And all the brooks and soldiers run away;
Will Time say nothing but I told you so?
If I could tell you I would let you know.
W. H. Auden
Si je pouvais le dire
Le Temps dira, sans plus: je te l’avais bien dit.
Seul, le temps sait le prix qu’il faudra que l’on paie,
et je te l’apprendrais, si je pouvais le dire.
Si nous devons pleurer quand les clowns se produisent
et si nous trébuchons quand jouent les musiciens,
le Temps dira, sans plus: je te l’avais bien dit.
Nul ne peut prévoir l’avenir, et cependant
comme je t’aime plus que je ne saurais le dire,
ah, je te l’apprendrais, si je pouvais le dire.
Il faut bien que les vents soufflent de quelque part,
il faut bien expliquer que les feuilles pourrissent.
Le Temps dira, sans plus: je te l’avais bien dit.
Peut-être que la rose aime vraiment s’ouvrir,
que la vision vraiment souhaite demeurer;
ah, je te l’apprendrais, si je pouvais le dire.
Supposons que les lions viennent à décamper
et que tous les ruisseaux et les soldats s’enfuient,
le Temps ne dira-t-il que: je l’avais bien dit?
Ah, je te l’apprendrais, si je pouvais le dire.
W. H. Auden. Traduction de Jean Lambert.
Pfffff !
Mon « Pfffff ! » n’était pas pour Auden ni pour son traducteur ni pour celui qui l’a mis en ligne.
pmp, je trouve RM plus convainquant que MSL/MS sur ce dossier dit de l’Encyclope Edit de l’Universaliste (UE/EU).
Ils sont ridicules quand on y réfléchit et qu’on regarde cela de loin en écoutant la radio comme Charoulet le simple. C la raison pour laquelle il est accueilli par les tribunes juives.
Ouil est reposant dans son genre. Bien vu-lve, AN-.
(***jc vs Jc, Jissé Miyaquai)
@ Chloé Delaume : – > « Pauvre folle ! »
Inscrite au patrimoine de la goncoursiade 23, je sais pas qu’en penser, l’ai jamais lue, cette autrice
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2023/09/06/pauvre-folle-delaume/
Pffff
Passou a cru bon se supprimer de mes réponses a un fumiste qui se goberge d’une citation attribuée à Umberto Eco par un obscur greffier a l’état civil qui n’a pas du comprendre l’histoire repompee dans un bouquin édité chez Laterza, René s’est rencardé chez Wikipedia..
Si Passou ne cause pas italien, il comprendra mieux avec deepl, peut-être.
https://stravaganzastravaganza.blogspot.com/2018/02/senza-famiglia-il-ritrovamento-di-mose.html?m=1
Sinon, pour ceux qui aiment bien Umberto Eco, indésirable sur ce blog, il faut lire ce livre:
https://www.grasset.fr/livre/un-ete-chez-umberto-eco-9782246832096/
Avez-vous fini de sauter sur Renato, Sasseur? Ét d’être seule à penser que vous avez lu de Tonnac qui vous paraît sur Eco la Loi et les Prophètes ? D’ avance merci. MC
Disons qu’Eco est un peu trop bon marché. Il faut savoir mettre le prix pour de la bonne littérature.
Manquait la buse pour venir au secours du fumiste, maintenant qu’il a eu son compte.
Sinon, je regrette que sur ce blog prime d’encouragement soit donnée, comme on l’a compris a des fakes qui se neutralisent dans l’imbecilité, et aux fumiste rajoute-je.
Maintenant s’il faut poster des photos à caractère pedopornograohique pour susciter le respect, autant vous dire que vous pouvez tous aller vous faire.
Et à ce point on peut se dire que tant d’arrogance et de mauvaise fois ne vient pas seulement d’une vanité qui n’a de limites d’aucune sorte, mais aussi d’une incapacité à comprendre une proposition… même simple.
Cela dit, libre à cette dame de cultiver des fantasmes, mais qu’elle ne m’y mêle pas, car comme amplement dit, jamais n’ai mis en ligne » des photos à caractère pedopornograohique « . Je cite sans corriger, comme il est juste qu’il soit.
Et non petite dame, personne n’a eu son compte… si en plus des fantasmes vous vous faites des illusions il faudra consulter.
On a vu ce qu’on a vu René.
Un âne qui colporte des âneries pompees dans bouquin édité chez Laterza,c’est pas bon pour les lecteurs de U. Eco.
Après moi, les posts de René sur les taxes de séjours des hôtels de passe à Venice, je m’en tape complètement.
Je lirai l’apostille et aussi le vade mecum, même si 2009 c’est loin.
Apostille au livre d’entretiens entre Umberto Eco et Jean-Claude Carrière dont Jean-Philippe de Tonnac avait été l’initiateur obstiné et l’accoucheur inspiré, publié en 2009 sous le titre N’espérez pas vous débarrasser des livres et traduit depuis dans vingt-six langues, Un été chez Umberto Eco nous fait pénétrer dans les coulisses des rencontres, nous livrant à la fois le portrait des protagonistes, la description des lieux, la nature des conversations – bref, tout le « hors champ » de ce que le premier ouvrage ne pouvait révéler, et les perles de conversation qui n’avaient pu y être retenues.
Nous assistons ici à la danse de séduction de l’auteur auprès des deux monstres sacrés pour les convaincre de dialoguer sur les cinq mille ans d’histoire du livre, du papyrus au fichier électronique ; la visite initiatique à Milan où le « Professore » ouvre au profane sa « salle des coffres », collection de livres rares consacrés aux sciences occultes, fausses, farfelues, et aux langues imaginaires ; les premières journées de travail chez Jean-Claude Carrière à Paris ; et enfin cet été à Monte Cerignone, la maison de vacances d’Umberto Eco, où tout crépite et étincelle, du salon des joutes oratoires à la piscine et des promenades aux repas.
Quel est le plus beau livre du monde ? Pourquoi un livre est-il un incunable avant le 31 décembre 1500, un « simple » livre après ? Le collectionneur passionné est-il davantage guidé par la quête ou par la possession ? En quoi la bêtise est-elle fascinante et quelles en sont les différentes formes ? Pourquoi le livre va survivre à toutes les métamorphoses induites par la technique et en quoi est-il, pour l’éternité, un vecteur de liberté ?
Voici quelques-unes des questions qui parcourent cet ouvrage où deux puits de culture et d’esprit rivalisent de gai savoir, d’érudition joyeuse, de plaisirs des sens et de l’esprit. Un vade mecum délicieux par nos temps d’obscurantisme galopant.
Le cholestérol et l’obésité sont deux facteurs qui accroissent dangereusement le risque d’AVC.
Après un AVC, si vous en êtes sorti vivant, vous ne serez plus le même. Vous serez fissuré.
Comme le disent nombre de gens qui en sont passés par là, Matthieu Kassowitz un des derniers, lui avec un accident de moto, le précédent a voulu frimer lui aussi, sa femme a eu le Goncourt vingt ans après, tout le personnel hospitalier médical et alii est au top.
Pourquoi maltraiter et sous payer des gens formidables : la question se pose.
Comment peut-on être aussi jolie, venir d’une famille autant aisée,cécrire des horreurs pareilles et en obtenir le Goncourt ?
Rien ne pourra rattraper une enfance fêlée sauf à y consacrer sa vie entouré d’amis sûrs. Mais si ta nounou t’assassine, tes chances sont limitées.
Tes chats attendent sans doute que tu leurs parles. Pour cela qu’ils miaulent.
(@Charoulet caricature à peine les communiqués lénifiants du CRIF sur le sujet du gouvernement de Bibi
Un travail de sape de trente ans à ce qu’il semble :
A Paris, le Crif dénonce une manipulation du Likoud-FranceEn consacrant sa seule soirée en France à son parti, Netanyahou rend sa visite très politique.
Par Pierre Haski
publié le 25 septembre 1996 à 10h29
https://www.liberation.fr/planete/1996/09/25/a-paris-le-crif-denonce-une-manipulation-du-likoud-franceen-consacrant-sa-seule-soiree-en-france-a-s_181240/ )
Clopine Trouillefou,
Avoir la ferveur littéraire, ce ne serait pas le plus beau cadeau que la vie vous ait donné ?
(Un avis sur l’opportunité de cette tribune offerte à Bibi à l’ONU ?
« Un groupe d’artistes et d’universitaires israéliens appelle au boycott de Netanyahou à l’ONU
i24NEWS
09 septembre 2023 à 19:19
La tribune offerte à Netanyahou à l’ONU « permettra à ce grand artiste de la duplicité et de la supercherie de réhabiliter son statut international endommagé »
Un groupe composé de plus de 3 500 universitaires, écrivains, artistes, anciens diplomates et autres personnalités israéliennes a lancé un appel au président des États-Unis, Joe Biden, et au Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, leur demandant de ne pas rencontrer le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies à New York, qui se tiendra à la fin du mois.
Dans une lettre ouverte adressée à Guterres, les signataires affirment : « Inviter M. Netanyahou à prendre la parole lors de l’Assemblée générale des Nations unies donnera un pouvoir symbolique et un levier politique à un populiste cynique qui cherche à établir un régime autocratique alors que les institutions de la démocratie sont attaquées partout dans le monde. » Selon les signataires de la lettre, Netanyahou légitime « des partis politiques racistes, ultranationalistes, fondamentalistes religieux et homophobes qui opéraient jusqu’à présent en marge du discours politique israélien ; et ce uniquement dans le but de sa survie politique. »
Le texte ajoute enfin : « Dès le début de la mise en place de son gouvernement d’extrême droite, la coalition de M. Netanyahou a travaillé sans relâche pour saper les gardiens de la démocratie israélienne, affaiblir la Cour suprême, neutraliser les médias et détruire les quelques contrôles et équilibres qui protègent la santé de notre nation. » Selon les signataires, donner une tribune respectable à Netanyahou « permettra à ce grand artiste de la duplicité et de la supercherie de réhabiliter son statut international endommagé, ce qu’il cherche désespérément à faire en utilisant la noble institution de l’ONU comme la scène de ses tours de passe-passe verbaux. » »
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/politique/1694279963-un-groupe-d-artistes-et-d-universitaires-israeliens-appel-au-boycott-de-netanyahou-a-l-onu )
«En ces temps de lepénisme exacerbé[… »] lire cela dans une Tribune en 1996, et savoir que 27ans après il n’y a eu aucun progrès, est caractéristique des difficultés d’évolution sauf pour les milliardaires, dont les biens s’accroissent.
Le plus sidérant chez Netanyahou etant sa sortie par la porte et ré-entree par la fenêtre.
Rosh Hashana en fin de semaine ; Yom Kippour suivra. J’irai marcher pour Yom kippour.
Ma vie a donné tort à mon père.
Dimanche, me suis achetée une côte de porc. Ai demandé épaisse, y en avait pas. Alors tant pis. Je te l’ai gnackée avec délectation et plein de gousses d’ail. Aucun des hommes que j’ai aimés ne s’est comporté comme un porc. Et moi, jamais je n’ai été une pute, malgré quelques regrets parfois, dont un vif à Rhodes. Comment ne pas partager la beauté avec un homme aimé ? (Ex.)
MARDI 12 SEPTEMBRE 2023, 5h49
Ce blog de prestige est une merveille !
Où trouver une image aussi parfaite de la société en devenir ? Où ? Nulle part ! Messire Assouline a, là, réussi un coup de maitre. Il me tarde de le voir candidat à la prochaine présidentielle : on a besoin d’un guide qui connaisse, et le chemin, et les moutons.
Sans oublier les chèvres…
« Venise, Amsterdam, Athènes, Portofino…
Plusieurs villes européennes commencent à prendre des mesures concrètes afin de contrôler le tourisme, en hausse nette depuis la chute liée à la pandémie de Covid-19.
Pourquoi ? »
Le carabinier est déjà levé.
Pour calomnier avec l’aplomb de la Marietta il faut avoir une sacrée habitude au mensonge et à la déformation de la réalité. Voyons donc :
— j’ai parlé d’un Venice Pass pour les touristes d’un jour, pas d’hôtels de pas ;
— ai mis en ligne un tableau où l’on voit un détail anatomique d’une peintre (autoportrait), pas des photos « à caractère pedopornograohique », et là il faudrait qu’elle sache faire la différence entre un tableau et une photo, et qu’elle sache que pendant long temps en peinture on n’a pas représenté la pilosité des partie intime, ce à quoi la peintre se réfère.
Cela dit, à propos d’Eco, si plutôt que de fixer sur un détail (juifs — jésuites) elle prenait la peine de lire attentivement le texte, elle pourrait faire le constat que la version donnée par Caffarelli et celle de JP de Tonnac ne diffèrent pas dans la substance : il est question d’une liste d’expressions utilisées pour désigner les enfants trouvés. Par les Juifs ou par les Jésuites ? Peu importe, probablement les deuxièmes ont dressez la liste, mais ceci n’est qu’un détail, car les deux versions mènent au même résultat : ex coelis oblatus (ECO), et UE observe que son nom de famille est un acronyme latin qui est resté dans une certaine mémoire.
Incidemment le de Tonnac est de 2009, le Caffarelli de 2014, donc le deuxième est plus récent et tout le monde sait qu’en quelques années une information peut s’affiner ; mais ça la calomniatrice et menteuse ne peut pas l’envisager.
À plus…
A pluche dear Renato, mandez-nous vos photographies avec ou sans toison, tout est bon dans le cochon. Vains ébats sur la bande de gazon du prestigieux blog à passou, Bougreau se fait attendre, le traitement aux hormones de miss Sasseur aussi.
grâce aux conneries de René, il faut toujours voir le bon côté de la bêtise, les plus lettrés et les plus optimistes diront que c’est de la serendipite à l’envers,
mais.
Mais on a pu prendre la mesure de cette situation tout à fait banale qu’a été l’abandon d’enfants depuis l’antiquité en Italie , avec des périodes que l’ont peut qualifier de période d’apogée, mais encore cela à relativiser, puisqu’ils ont été enregistrés..et partant, sur les noms qui leur ont été donnés.
Tout a une fin, et les meilleures histoires sont les plus courtes.
Il y a , connaissant ce tres talentueux maître du faux, à peu près autant de possibilités que ce que raconte U. Eco à propos de l’origine de son nom soit vrai, et autant que ce soit pure invention.
Et cela même en ajoutant dans le faux complet colporté par René.
A qui, je vous le rappelle, surtout à Passou, qui met le curseur de la loi comme ça lui chante,
j’avais commencé par demander s’il n’y avait pas une erreur de traduction dans sa » citation », pour me faire répondre par un lien Wikipedia, censé prouver une grosse connerie.
Si non è vero, è ben trovato.
Doublement, donc concernant Eco.
Maintenant , moi, je vais pas non plus en faire tout une histoire, mais on voit bien comment certains contribuent à propager du révisionnisme, et en faisant de la prose.
S’il faut poster une image quasi delictueuse sur un blog public, ne comptez pas sur moi, non plus .
On voit surtout bien l’action d’une calomniatrice inculte. Je ne vais pas en faire toute une histoire, mais d’un certain point de vue voir les contorsion d’une faussaire c’est divertissant.
C’est ça René, le fasciste ici, c’est toi.
Et pour ce qui est de la calomnie, je ne fais que rappeler la loi, c’est à dire celle opposable à tous, en France, en matière de lutte contre la pedocriminalité.
« René et Marietta », c’est une adaptation contemporaine de « La Mégère apprivoisée » ?
Il faut déjà qu’il y ait « pedocriminalité », petite dame !
A corriger
avec des périodes que l’on peut qualifier de période d’apogée
Noces de cendres !
« Younass Boukhtam, 26 ans et Samira Ghanmi, 22 ans, habitants de Meaux (Seine-et-Marne), sont deux des quatre victimes françaises. Il venaient de se marier quand ils ont pris la direction de Marrakech, en voyage de noces. Tous deux ont été enterrés au Maroc ce lundi » (Le Parisien)
@ Soleil Vert. Bonjour, je ne connaissais pas cet incertain Michel Jaury, mais il en ressort qu’on ferait bien d’appliquer la chronolyse à ma soeur, vu qu’on n’ose pas l’amputer en totalité de ses scies…, elle pourrait utilement rejoindre JMB dans les CDBF pour y étudier la pédocriminalité, au moins une journée. Elle en reviendrait peut-être un brin épilée du maillot. Cela dit, on s’en lasse.
Bàv,
Le matin, au relevé des filets RDL, il faut avoir le coeur bien accroché et avoir bien dormi. Ce qui ne fut pas le cas… Je file à la déchetterie du mardi matin. A coquilles rabattues.
#Cela dit, on s’en lasse.
Oui, complètement. L’important c’est le nom de la rose.
Reprends ton pseudo usurpé, bougreau, il y en a qui ne s’en lassent pas. Et même, ce blog en a besoin.
A vous.
Voyager tue !
Comme je comprends le Sage du Kremlin, l’honorable Putin, qui préfère rester dans son bunker….
Est-ce que l’un des deux prendra enfin la bonne décision: laissez tomber ?
L’apologie de la pédocriminalité, c’est vous qui la pratiquez incessamment en traitant tous les gens de pédocriminels. Il n’est pas beaucoup de vos amies internautes qui vous entonneraient ce chant…
Inutile de rappeler votre air de la calomnie, vous n’êtes même pas une « don Bazilique » bien fiable.
Sotte fixiste vous fûtes et le resterez, fixée à jamais dans la prétendue dureté de vos lois. Tout le monde voit pourtant leur élasticité en ce qui concerne le point aveuglant de votre névrose justicière.
Un dernier « martinitt » pour water closet ?
Sinon, Sorj Chalandon et l’enragé, ça peut être intéressant aussi.
C’est ça le keuf, après Passou, tu es le deus de la machine.
Sauf quand tu usurpes un pseudo pour libérer ta grossièreté inintelligible et bestiale.
Mais apparemment ils sont nombreux, tes » amis » à liker ça. Et en redemandent.
Pas moi.
Excellente entrée en matière du cours de l’histoire de Xavier Mauduit sur France Cul, aujourd’hui, à 9 heures. Le thème du jour est le patrimoine culturel africain, et le parcours des oeuvres confisquées.
Et donc l’émission a commencé par la diffusion du discours de Macron sur le sujet… Mais ce discours était enrobé d’une musique qui, sans un mot donc mais de manière irréfutable, désignait les mots de Macron pour ce qu’ils étaient : à savoir, très précisément, du pipeau.
Excellent ! J’ai vraiment éclaté de rire !
du pipeau.
Et toi, clopinambour,
du tambourin?
@ grossièreté inintelligible et bestiale
elle a très bien compris le message de Passou… Fait toujours la sotte, quand ça l’arrange. Déchetterie. Va pas durer longtemps, dura-lex tex-mex !
GROSSIERETES & INJURES
Je ne joue pas au jeu de Bridge car, parait-il, aux dires des membres de cette secte, on ne cause pas durant l’exercice, morne et triste à la fois.
Je préfère la pétanque où, entre amis, l’on peut s’exprimer théâtralement avec parler haut, pensées basses, félicitations simulées et baiser au fondement de la grosse FANNY, en cas de défaite totale.
En vérité, l’injure est un excellent moyen d’expression, la plupart du temps au service d’une franche vérité ! Surtout entre sudistes.
Travaillons joyeusement la grossièreté et l’injure, chers camarades !
Et pourquoi pas :
ex coelis oblatus
A darmi contezza che la verità, irrefutabile, sta altrove è stato lo stesso Eco, citato da Enzo Caffarelli nel libro «Dimmi come ti chiami e ti dirò perché – Storie di nomi e di cognomi».
Eco era portatore di un raro cognome, ma anche «un grande intellettuale che non si vergogna delle origini del proprio avo. E così Umberto racconta al mondo che ‘Eco’ è un acronimo – E.C.O. – imposto benignamente a tavolino al nonno trovatello: « Ero convinto di essere l’unico a portarlo fino a quando la pubblicazione del « Nome della rosa » mi ha fatto conoscere una lettrice che mi ha scritto per dirmi che anche lei si chiama Eco come me e che desiderava sapere se c’erano legami tra di noi. Lai mi ha detto che anche suo nonno era un trovatello, ma di Napoli. Com’è possibile che due impiegati comunali, uno di Napoli, l’altro di Alessandria, mia città natale, abbiano avuto la stessa idea? Mistero. Poi un amico, che lavorava alla Biblioteca vaticana sui nomi degli ebrei del XVII secolo è capitato per caso su una lista delle espressioni utilizzate dagli ebrei per designare i trovatelli: una di esse recitava ‘ex coelis oblatus’ (donato dal cielo). Il mio cognome è dunque un acronimo latino che è rimasto in qualche ricordo »».
Grande, grandissimo, Umberto Eco, Eco, Ecooooooo…, la cui eco sfiderà di mille secoli il silenzio.
http://forum.corriere.it/leggere_e_scrivere/21-02-2019/umberto-eco-ecooooo-ecoooooooo-2-3198011.html
@ L’important c’est le nom de la rose. Reprends ton pseudo usurpé, bougreau,
Confondez vos amours roses avec Gilbert Bécot, Ecot, Echo, Eco…, et vos multiples pseudos avec le premier d’une longue série naufragée, celui de Madame A-D Brandt.
Bàv,
C’est ça le keuf.
J’ai bien été ma seule à découvrir tes » splits » alors que…
Même René, quand il se fait harceler par le pseudo D, n’a toujours pas percuté que c’est toujours le même jjj et (s)Cie.
Comme disait je sais plus qui , tout est là…sous vos yeux.
@ Travaillons joyeusement la grossièreté et l’injure,…
et surtout, détournons l’attention des moineaux migrateurs
lmd dit: à
Et pourquoi pas :
Un écho tardif ?
@ J’ai bien été ma seule à découvrir tes » splits »
euh, maudit smartf : « J’ai bien été LA seule à découvrir et proposer de laver vos « slips » en Alsace, dans le darkweb de l’époque.
__________ >>>>>>>>>>>>>> DéDé, LeBoug, Jzmn, et RM, SV, JL, closer, damien et PC, et l’Jissé, et LMB, sortez du corps de Janssen ! Hein… Y’a pu la plasse…
Corrigé :
J’ai bien été la seule à découvrir tes » splits » alors que…
Le reste inchangé
Un écho tardif ; pardi, je n’assure qu’une veille intermittente et imparfaite…
La comparaison des deux textes fait apparaître une indication complémentaire notable.
Caffarelli relate un déclaration de Eco :
«C’est alors qu’un ami, qui travaillait à la bibliothèque du Vatican sur les noms des Juifs du XVIIe siècle, est tombé sur une liste d’expressions utilisées par les Juifs pour désigner les enfants trouvés. »
J.Ph. de Tonnac relate une conversation de Eco avec Teri Wehn Damish :
«Un collègue qui travaillait dans une bibliothèque du Vatican a mis la main sur une liste de noms donnés aux enfants trouvés, liste établie par des jésuites ».
Cette version ne mentionne pas du tout le contexte juif XVIIème, elle est donc a priori moins riche en indications (car l’indication jésuite est moins inattendue) et donc un peu moins fiable.
Oui lmd , il faut en convenir, c’est bien ce que révèle l’échographie.
Et les Juifs, c’est bien connu, s’exprimaient couramment en latin et faisaient des acronymes à partir de la bible en latin.
C’est d’ailleurs comme ça que Moïse fut sauvé des eaux, et vogua, vogua. Enfin très en vogue au XVIIEME siècle, c’est tout à fait exact :
Il vogua vogua dans son berceau et fit sauvé des eaux.
et fut sauvé des eaux
D’ailleurs lmd, il faudra que tu vérifies ce qui est écrit dans le deuxième livre du Pentateuque, pendant que j’y pense.
Moi j’aurai pas le temps, j’ai des trucs en retard.
« Conversation avec Modiano.
Comment allez-vous ?
Je, oui, je…
Vous travaillez ?
Oui, je , je…
Ce livre, ça marche ?
Je , je, oui… »
(Mathieu Galey, Journal intégral, coll. Bouquins, p. 360)
Il est vrai que Galey n’a pas brillé par son prix Nobel de milleratures
Cpr. Charoulet vs Sasseur, du même nivel, le reste (des couche-culottes et des touche-pipi), inchangé.
Dans le cochon, tout est bon.
https://images.app.goo.gl/gty6zUovb2cLforX9
Si tu trouves pas dans le livre de l’Exode, lmd, il faut que tu regardes dans le Livre des Noms, le livre de Chemot.
11.09.73 – Il y a 50 ans, j’avais juste 18 ans et débarquais sur le campus de Talence, encore à moitié puceau… Quelques temps plus tard, ayant été mobilisé par les étudiants d’extrême-gauche ultra politisés, je criais avec eux ma haine du coup d’état de Pinochet et pleurais l’assassinat d’Allende (El pueblo unido, jamas sera vencido). Et puis survint l’Archipel du Goulag et les Daniel, Glucksman et autres BHL. Quelle époque !… Brrr, j’aimerions point la revivre. Pourtant, elle a laissé les plus belles traces de ma vie. Je préfère de loin les seventies’ formatrices aux actuelles twenties’ macroniques qui nous ont donné les jzmn et autres amateurs de cinémas néo capitalistes !
Mais on s’en ouf.— toussa c’est du passé, avons fait tabula ras’moi —
D’où est tirée cette réplique ?
« quarante ans, pour une actrice, c’est un drame. C’est comme, je ne sais pas moi, 60 ans pour une femme, 80 pour un homme… »
(je ne sais pas vous, mais moi, j’adore. Tout ce qui déshabille l’empereur est bienvenu, et comme c’est la vérité qui le déshabille le plus…)
Klee quotidien :
Étape, 1931
JJJ
C’est quoi, ca charabia où mon nom apparaît ?
Erratum
Veuillez lire : ce charabia
« Devenir célèbre en s’appelant Lamartine »
Un des rares mots de Galey encore bon à citer, dear Jjj.
Pas de recueil de ses critiques, plusieurs générations de lecteurs pour rectifier la postérité éditoriale, nous sommes mal partis.
@ Patrice Charoulet, vous osez adresser la parole à JJJ ? Mais vous vous prenez pour qui, au juste ? Veuillez vous adresser uniquement aux gens de votre K-niveau, svp. Merci.
Galey
—
A une lettre près, c’est la galère en anglais écrit (galley).
Modiano cherchait ses mots, mais à l’oral uniquement; et quand j’ai connu Sorj, il bégayait grave.
On évitera d’être désobligeant en considérant d’où on parle, comme on disait dans les seventies, n’est-il pas, 3J?
(@closer dit: à
Vu sur le site de Courrier International.
Cela va intéresser Monsieur Langoncet
Dans cet ordre d’idées :
“Israël : indignation des orthodoxes après les mises en garde de Netanyahou sur Ouman
i24NEWS
11 septembre 2023
(…) ce sont les déclarations du député Yisrael Eichler, membre du parti Judaïsme unifié de la Torah, qui ont été les plus virulentes. Il a fustigé Netanyahou pour son « ignorance, » et indiqué qu’il pensait que c’étaient les « sionistes », plutôt que Dieu, qui étaient responsables des souffrances des Juifs pendant l’Holocauste: « Depuis plus d’un siècle, le Dieu d’Israël a sauvé la Terre d’Israël de l’idolâtrie du pouvoir, de la vulgarité et de l’assimilation du régime séculier. Les Allemands ont été arrêtés sur le chemin de la conquête d’Israël par des miracles extraordinaires, et non à cause des sionistes », a-t-il affirmé.
Il a ajouté que les sionistes avaient tourné le dos aux Juifs d’Europe, contrecarré les tentatives de sauvetage et méprisé « les Juifs des ghettos », assurant que certains d’entre eux avaient collaboré avec les nazis. « Soyez silencieux lorsque vous blâmez le Dieu d’Israël pour vos échecs et vos crimes. S’il n’y avait pas ceux qui respectent la Torah, Israël aurait depuis longtemps été rayé de la carte du Moyen-Orient », a-t-il conclu. (…)”
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/politique/1694415271-israel-des-chefs-religieux-suscitent-l-indignation-apres-les-mises-en-garde-de-netanyahou-sur-ouman )
Murat, c’est Joachim, maréchal d’empire devenu roi de Naples; Jean-Louis et ses chansons, disparu cette année; Laure, et son ‘Proust, roman familial’; mais aussi une Ville Martyre du Cantal, pourvue d’un Mémorial des Déportés qu’il faut visiter.
@ « Devenir célèbre en s’appelant Lamartine »
Un des rares mots de Galey encore bon à citer, dear Jjj.
Pour moi-j, dirfil & MC-PR, y’a pas l’feu au Lac… Personne n’égalera jamais ces bons paysans de la Charente Inférieure dont un instituteur, le citoyen Vigy du Château d’Oléron, rapporte le 7 novembre 1848 ceci : « Les paysans sont si ignorants que sous le Gouvernement Provisoire, ils prenaient Lamartine et Marie pour deux femmes et disaient que le citoyen Ledru-Rollin ruinait le pays avec ses deux femmes »…
Bàv, et à rBl aussi, 😉
@Rosh Hashana en fin de semaine ; Yom Kippour suivra. J’irai marcher pour Yom kippour.
—
Pour changer des fixettes à L’Engoncé.
Et sur France 2 à 9:15 le 17/09: À l’origine Berechit: Kippour
Marie Sasseur,
1/N’allez pas imaginer que sur votre injonction je vais me mettre à lire le deuxième livre du Pentateuque…
2/ Les imprimeurs juifs ou marrane ont fait de Venise au XVIème siècle une capitale mondiale de la production de livres. Ces livres étaient notamment écrits en latin, langue universelle du savoir, de la médecine, des mathématique, de la philosophie, etc.
3/ Caffarelli, universitaire spécialiste d’onomastique, écrivant un livre sur l’origine des noms a mentionné un contexte juif ; on peut imaginer qu’il a évalué la véracité de l’affirmation d’Eco.
4/Je pense que ce sont bien des religieux tenant les registres paroissiaux qui ont inventé la formule ex coelis oblatus et cela n’a pas empêché les juifs italiens de l’avoir eux aussi utilisée. Mais comment reconnaitre qu’un nourrisson abandonné est juif ? Peut-être dans le ghetto de Venise (où on sait lire le latin!).
Farpaitement.
« Je préfère de loin les seventies’ formatrices »
J’ai fait le même parcours, JJJ.
Mais moi, alors vaguement puceau hétéro, je suis devenu résolument gay assumé et me suis notablement remis en question…
Paris / New York : séisme littéraire (confidentiel)
Suite à une rixe entre deux de ses commentateurs les plus prolixes, un célèbre blogueur littéraire parisien a alerté le palais de l’Elysée (ligne privée et directe) afin de réclamer un arbitrage. Le président a aussitôt réagi en demandant une réunion urgente du Conseil de sécurité à l’O.N.U. M. Gutierrez, attablé à cette heure, a baissé son regard sur son assiette de bacalhau a brás et fait part de son scepticisme : « Emmanuel, tu ne crois pas que c’est une histoire de morue ? » Le Chinois, alerté à son tour, a baissé les yeux sur son chow mein et déclaré : « C’est une histoire de nouilles ». Le Russe, qui trouvait que sa solianka en manquait, s’emporta : « C’est un truc de cornichons ! » Le British dînait d’un kidney pie. Il sourit et avec un humour incomparable, dans un français presque parfait : « Je ne vais pas lâcher my pie pour une pie ». Le Français qui avait commandé une blanquette de veau, la repoussa lorsqu’elle arriva dans un geste gaullien : « Pour ce qui est des veaux, pour ce soir, j’ai mon compte, merci bien ».
@ d’où on parle (en 2023),
certes,… mais quand ?… ça change tout le temps, et les gens se renient si facilement dans leurs sexualités et opinions politiques, comme tout les jzmn moyens nés dans les années cinquante.
d’où on parla (en 1973)
d’où on parlait (en 1988)
d’où on a parlé (en 2006)
d’où on parlera (en 2030)
d’où on parlerait si on… (revenait d’outre-tombe)
Enfin bref, n’est-il pas ?
—
réponse @ CT : Kim Kardashian ? dans Paris Match…, je crois. Pour en savoir plussss
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kim_Kardashian#:~:text=Kim%20Kardashian%20en%202021.&text=Kimberly%20Noel%20Kardashian%2C%20plus%20connue,actrice%20am%C3%A9ricaine%20d'origine%20arm%C3%A9nienne.
Je n’ai jamais assisté à une fête juive, sauf à la circoncision (bar-mitsva ?) d’un enfant âgé de trois jours. Une horreur !
Il parait que toutes ces fêtes sont très gaies, mais que pour y assister, il faut se munir d’un certificat de judaïté. Or, je n’ai pas… Dommage.
« Pour ce qui est des veaux, pour ce soir, j’ai mon compte, merci bien »
Tandis qu’Alexia se tartina copieusement un blinis au caviar…
« il faut se munir d’un certificat de judaïté »
Et d’une kippa, JJJ !
Tu es sur la bonne voie lmd.
Il faut continuer de chercher.
Surtout si c’était des Juifs espagnols qui tenaient les registres paroissiaux dans le Piémont, pour le Vatican, au XVIIEME siècle.
Et ce n’est pas une injonction, mais du co working…je t’invite à retrouver l »origine de cette expression ex caelis oblatus…
A mon avis, tu devrais te faire aider.
Après tout, Caffarelli, universitaire spécialiste d’onomastique, écrivant un livre sur l’origine des noms a mentionné un contexte juif du XVIIEME est certainement très compétent, vu ce qu’il y a dans son bouquin.
« Les imprimeurs juifs ou marrane ont fait de Venise au XVIème siècle une capitale mondiale de la production de livres. »
Souvenir (déjà mis en ligne, mais pour rappel…)
Dans les années qui suivirent immédiatement l’invention de Gutenberg, l’art de l’imprimerie se répandit rapidement en Italie ; rien qu’à Venise, il y avait plus d’imprimeurs-éditeurs que dans le reste de l’Europe. Imprimer des livres et les vendre semble plus pertinent pour expliquer la fortune de l’humanisme à Venise qu’acheter et vendre des soies et des épices — au mépris de toutes les sornettes pseudo-humanistes claironnées par des chacals intellectuels et des bonimenteurs contaminés par les absurdités idéologiques et les préjugés qui ont fleuri au XXe siècle — politiques, sociologiques, etc. — Enfin, Venise était un environnement où l’on pouvait adapter une histoire… un peu comme Londres dans les années 1960 (Blow-Up)… la compréhension n’est pas strictement nécessaire… Comme il y avait des imprimeurs-éditeurs, les livres étaient imprimés à foison. Le résultat de toute cette impression ? L’accès à un mode de vie, certes, mais aussi beaucoup de bibliothèques dont le ministère de la Culture doit s’occuper… comme s’il n’y avait déjà pas assez de vestiges d’un passé plus que mouvementé… ne nous attardons pas à les énumérer… Et les coûts ?! C’est ahurissant, car plus les coûts sont élevés, plus la marge bénéficiaire est faible.. : entretien des musées, bibliothèques, églises, places, bâtiments historiques, jardins, ruines ; œuvres plus ou moins importantes collectionnées par des excentriques aimant la solitude (un ami historien de l’art a trouvé un Poussin mal protégé dans un village reculé des Apennins ligures) ; des livres rarissimes produits sur commande peu avant le XVIe siècle, ou si l’on préfère dans les dernières années du XVe, par des évêques fous qui n’étaient pas assez hérétiques pour être envoyés chez les infidèles ; des incunables trouvés dans les sacristies de petites paroisses assiégées par les rizières* — inutile de dire que le papier et l’humidité ne font pas bon ménage ¬—. Et les travaux publics ! Il faut des années pour construire quelques mètres de métro, car on peut trouver soit une carrière de gorgonzola qu’il faudra exploiter, soit quelque chose d’incroyablement ancien qu’il faudra restaurer et préserver… et ainsi de suite… bref, l’entretien de tout cela est trop coûteux pour en valoir la peine, pas étonnant que certains considèrent le patrimoine culturel comme une malédiction.
*Le mois de mai de cette année à Novare, l’exposition Senza fatica e senza occhiali, la naissance de l’imprimerie dans les incunables de la Bibliothèque Negroni,
On va tous pouvoir devenir riches grâce à Bernard Arnault !
https://jcmcassist.top/collections/womens-sleepwear/products/goodnight-sleep-pant?fbclid=IwAR0wd_2K6V6yqLzTk2BQVBcyTdNAUjnhACPAc9SHhouqU2Lu4G34e0B9dpA
Faites simple, 3J ,d’où il parle s’entend aussi « le niveau (riquiqui) où il se trouve » (7e division régionale).
Pour les fêtes juives, les plus gaies sont les mariages. Et Pourim, pour les gosses.
Peu de Juifs en campagne charentaise, donc plus difficile de fréquenter qu’à Brooklyn ou Golders Green.
Je me prononce contre l’annexation exclusive de l’adjectif « gai », ouvert à tous & toutes. Le ‘gay Paris’ n’est pas le Marais, mais la ville en son entièreté.
Apparemment, la connotation sexuelle daterait du 17e et ferait d’abord allusion aux hétéro qui s’abandonnaient gaiement aux plaisirs de la chair. Au 20e, le mot dans sa graphie anglaise désignera les homos, avec l’avantage d’être unisyllabique & donc plus percutant dans l’affirmative action.
Un gay triste, tout sauf une contradiction dans les termes, est une simple constatation. Quant à un triste gay, eh bien, par exemple…je m’arrêterai là.
Je me demande si ce Caffarelli est un homonyme du journaliste musical, pop and rock.
Auquel cas il faudra faire attention aux sources, lmd, ne pas confondre un paparazzi un peu rock and roll et un grand universitaire qui nous est présenté ici comme un véritable historien, aux travaux assez secrets et confidentiels, et mondialement reconnus.
Prudence, lmd.
s’entend aussi comme…
(100 ans aussi conne…)
hétéroS
Je crois qu’on s’est fait enfler lmd.
Le Caffarelli en question c’est le même que l’autre.
En plus moi j’étais vachement dans le truc et tout. Et paf, on en revient où on en était : une grosse connerie éditée chez Laterza.
Et je viens d’y penser je détiens copie d’un document manuscrit, qui date à environ début du XVI ème siècle le moment où les noms propres en latin, ont été italianisés, dans les registres.
C’est pas ballot, tout ça pour ça.
@ Je crois qu’on s’est fait enfler lmd (enfiler ?)
c etait bien la peine de faire iech le peup’ enherbé de l’rdl avec toutes ces ratiocinations.
D’où ça parle ? de la 7e fonction, dite de la performativité
_________
@ rBl : un triste gai luron, thierry, c’était ce cabot dépressif, je crois.
gai-gay ?… ***je suis pour les juifs gais, pas pour les gay juifs, à telavive : david & jonathan, une assoce dédiée aux rencontres joyeuses et pacifiques des perdreaux et des goélands…
(« guy as you », que disaient les goyim aux keufs en charentaises à new york).
pour des erdéliennes affectées par de sérieux troubles de l’attachement depuis leur plus tendre enfance… qui perdurent un demi siècle plus tard… quelques remèdes,…
https://www.cairn.info/revue-carnet-de-notes-sur-les-maltraitances-infantiles-2018-1-page-6.htm
Je milite depuis longtemps pour que les oeuvres « prises » soient restituées aux pays d’origine, notamment s’agissant des « Arts premiers ». Un objet ne devrait figurer dans un musée qu’acheté à très bon prix à son propriétaire légal ou bieb s’il a été offert.
Par ailleurs bon nombre d’objets sont « chargés », certains même habités par des entités démoniaques particulièrement dangereuses. Plusieurs collectionneurs en ont déjà fait les frais et je pourrais citer des noms. C’est plus terrible encore lorsque ce sont des professionnels du monde de l’art ou de simples visiteurs qui d’un seul coup subissent les assauts de ces entités qui pour beaucoup sont extrêmement malignes, agressives et imprévisibles, capables de se manifester au hasard des années voire des dizaines d’années après un long silence. Je vous conseille de ne pas vous attarder dans les galeries, publiques ou privées, qui en présentent, de ne pas les observer dans le détail, le mieux étant de ne pas du tout les regarder, et surtout de ne pas éprouver d’émotion positive ou négative devant, parce que siuvent c’est par ce moyen qu’elles sortent et possèdent une personne ou établissent avec elle un lien infernal. Généralement très adroitement, sans heurt immédiatement perceptible. Ceux qui en ont été victime, lorsqu’elles ont survécu, parlent d’une sorte de voile, d’opacité, de frein, qui vont ensuite dégénérer en agitation et en désordre particulièrement efficace. Les personnes deviennent fatiguées, anxieuses et ne dorment plus, même très fatiguées, à cause du pompage énergétique.
Les animaux s’écartent, sont nerveux, peuvent subitement mordre, même chez les plus doux d’entre eux, ou se mettent à faire leurs besoins n’importe où jusque sur les lits.
Puis de grands malheurs deviennent : accidents, maladies, infortune, sinistres domestiques, en particulier le feu, les engorgements d’égouts, la proliférations d’insectes, les destructions par insectes ou moisissures. Dans certains cas, des crimes sont commis dans la famille ou dans l’entourage.
L’entité à besoin de générer tout cela pour en profiter et se vitaliser. Certaines sont extrêmement anciennes, plusieurs centaines de milliers d’années, utilisant toujours le même procédé : attachement à une personne sur ordre d’une autorité de sorcellerie ou de leur propre chef par ruse, méfaits et crime pour regagner en vitalité, puis retour dans un objet à l’appel d’une autorité de sorcellerie.
Pourquoi fait-on tant de choses sans savoir pourquoi ?
Pourquoi ce qu’on n’obtient pas paraît toujours meilleur que ce qu’on a ?
En somme, vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenu.
Pourquoi chaque nuit quand je dors, le cours de ma vie dégringole d’un jour ?
Pourquoi on peut dire de quelqu’un de méprisable qu’il est vicieux comme un cercle ?
J’avais effectivement suspendu provisoirement l’accès de Bouguereau aux commentaires car il insultait nommément un autre contributeur.
Passou dit:
Je ne comprends pas (même si, c’est vrai, je ne suis pas le blog de très près): et Marie Sasseur, qui insulte (le traitant de pédophile et fasciste) nommément un autre contributeur (Renato Maestri), pourquoi elle est toujours ici? Et cela d’autant plus qu’elle fait souvent la même chose avec Marc Court. Et que Buguereau était beaucoup moins vulgaire qu’elle.
« Devenir célèbre en s’appelant Lamartine »
Un des rares mots de Galey encore bon à citer
Phil dit:
Des bons mots de Galey il y en a beaucoup (souvent très méchants). Son « Journal » en est plein:
Vanité ? Certains auteurs se sont rendus à « Apostrophes » en ambulance.
(Matthieu Galey)
Sur Sartre:
« Dernier « grand homme » à l’ancienne, de ceux qui ont fait de leur vie une légende (mais hélas pour Sartre, sans prison, sans héroïsme, sans résistance; l’idéal aurait été de confondre la biographie de Malraux avec l’oeuvre de Sartre et le talent d’Aragon: à eux trois ils faisaient un Victor Hugo). Sartre est aussi le premier écrivain spectacle, dont les actes importent plus que les oeuvres. »
(Matthieu Galey)
Au dîner de con, c’est moi en général qui lance les invitations et pas l’inverse .
Sartre est aussi le premier écrivain spectacle, dont les actes importent plus que les oeuvres.
—
Mouais, en plus d’être totalement faux, ce monsieur ne connait visiblement pas ni Oscar Wilde ni Ezra Pound.
Le franco-français est mortifère…
Je vais copier dorénavant les insultes de la Sasseur aux gens qui signent ici avec leurs vrais noms. On va voir si, grâce à la Loi Bouguereau, on se débarrasse enfin d’un tel fléau.
en plus d’être totalement faux, ce monsieur ne connait visiblement pas ni Oscar Wilde ni Ezra Pound.
Bloom dit:
Que je sache on réédite et on lit tjs les oeuvres de Wilde et Pound, qui continuent d’êtres considérées comme des grandes oeuvres, une fois ses actes plus ou moins oubliés. Qui lit aujourd’hui Sartre? Après sa célébrité mondiale pendant au moins deux décennies, la chute dans la vente de ses livres a dû être vertigineuse.
continuent d’être
Bah, en plus, si l’on en croit la filmographie, Beauvoir avait enfin compris la petitesse de Sartre. Quand ce dernier a refusé le Nobel, Beauvoir a laissé tomber que ce refus n’était qu’un geste, pas un acte. Bravo Beauvoir. Et si seulement j’avais pu posséder la moitié de son héritage culturel, si j’avais pu transcender mon appartenance sociale à l’aide d’un savoir qui ne m’ a pas été enseigné, bref, si je n’étais pas médiocre et en plus consciente de l’être, j’aurais sans doute, comme une Violette Leduc au petit pied, mis toutes mes faibles capacités intellectuelles au service de cette femme-là : Simone de Beauvoir.
Blague pour les Parisiens:
– Quel est le plus grand aéroport de Paris?
– Barbés. Un vol tous les 15 secondes.
Violette Leduc au petit pied
Comme vous y allez, Dame Clopine. V. Leduc mettait aussi son lit, avec elle dedans, au service de Beauvoir qui eut le bon goût d’en rester aux corrections de syntaxe.
« comme une Violette Leduc au petit pied, mis toutes mes faibles capacités intellectuelles au service de cette femme-là : Simone de Beauvoir. »
Faut-il imaginer Clopine lesbienne ?
Pour Clopine, le début de l’un de mes récits inédit.
L’UNION LIBRE
« Sa mort nous sépare. Ma mort ne nous réunira pas.
C’est ainsi ; il est déjà beau que nos vies
aient pu si longtemps s’accorder »
SIMONE DE BEAUVOIR
Demeure posthume
A droite de l’entrée principale du cimetière du Montparnasse, en première ligne, une simple tombe, en pierre blonde, conserve les restes de deux enfants du quartier : Jean-Paul Sartre (1905-1980) et Simone de Beauvoir (1908-1986). Paradoxalement, ce couple d’écrivains notoires, qui vécut côte a côte sans jamais partager le même toit, est désormais réuni pour l’éternité.
En passant du cours Désir, l’institution pour jeunes filles chrétiennes de la rue de Rennes et de son annexe de la rue Jacob, aux bancs de la tumultueuse Sorbonne, Simone de Beauvoir imaginait-elle qu’elle y rencontrerait l’homme de sa vie ?
Elle l’avait trouvé moche mais rigolo. Assurément, le plus intelligent de la bande des Normaliens et ne resta pas longtemps insensible à son charme.
Il l’avait trouvé très belle, mais particulièrement mal fagotée. Il avait été surpris aussi de constater que question dialectique, elle était capable de lui tenir la dragée haute.
(à suivre…)
c surtout qu’elle aura de toute sa vie, eu besoin d »un modèle d’identification… aujourd’hui, UNE modèle… de BEAUVOIR, etc.
Mais comment vous convaincre de votre valeur intrinsèque, sans modèle, bon sang ?! c pas possib et trop douloureux !
Du coup, vous suscitez les quolibets habituels, CT, c franchement pas malin !… Voulez vous qu’on finisse par vous détester à vous mortifier de la sorte ?
DU CALME !
JJJ 😉
Moi, je lis Sartre, et je ne suis pas le seul.
Les Chemins de la liberté, excellents, Le Journal de guerre, passionnant, et ses Situations, notamment son reportage au USA pour Combat, en 1946. Je ne connais pas de réflexions plus intelligentes et lumineuses sur les USA émanant d’un auteur français.
Quand on est passé dans ses études par La Critique de la raison dialectique & Questions de méthode et que l’on a lu Le mur avec son amour de jeunesse, on reste à jamais marqué.
Bruno Clément, spécialiste de Beckett, le dit très bien dans une conférence que j’avais naguère traduite en anglais.
Quant à l’accusation de petitesse, qui est-ton pour en juger, de son auguste hauteur morale…?
Oui, JJJ, et ceci malgré l’intervention précédente deRosanette. Bien à vous. MC
Francesca Dego
Notre civilisation offre plus de choix qu’il n’en a jamais existé car du bout de nos doigts, bientôt par notre simple pensée, on a accès à des millions de choses. Vertige. J’aime revenir à la clinique du bon docteur Passou pour y observer des cas fascinants, obsessifs affligés, cas étonnants.
Mon petit Ahmed se dirige vers la psychiatrie; peut-être un jour pourra t-il leur venir en aide. En attendant, ses soins intimes et quelque peu coquins rendent les effets secondaires de l’auro-dutastéride plus acceptables.
Moi, je lis Sartre
Bloom dit:
A Sartre ne le lisent aujourd’hui que quelques nostalgiques. D’ailleurs, il n’y a aucune raison de le lire (à part « Les Mots » qui est de la bonne littérature). Son théâtre est insupportable. Ses romans sont illisibles. Sa « philosophie pure » est le plagiat de celle d’un nazi, ce qui explique en grande partie son attitude frivole pendant l’Occupation. Son existentialisme c’est de la pensée pour des adolescents. Son athéisme est hilarant.
Ses écrits politiques seraient comiques s’ils n’étaient pas tragiques (rappelons-nous de son « Tout anticommuniste est un chien » de 1952).
Sur ses écrits littéraires: qui lit Sartre aujourd’hui pour comprendre Flaubert? Son « Idiot de la famille » est ridicule à côté de la « Correspondance » de notre ami Gustave, qui est la meilleur initiation à son oeuvre. Qui peut dire que pour lire Baudelaire, Genet ou Mallarmé les écrits de Sartre sur eux sont une excellente introduction?
Sartre n’a jamais été qu’un graphomane opportuniste et frivole qui a eu la chance d’être au bon endroit au bon moment. Né à Oulan-Bator, Ouagadougou ou à Brisbane, personne n’aurait jamais entendu parler de lui, à part dans son quartier à cause de sa laideur.
« Je pense que Sartre est une outre pleine de vent» ». George Orwell.
« Sartre – le faiseur, le fabricant, le faussaire. On s’étonnera un jour que la mauvaise prose et la pauvreté de pensée de ce tâcheron aient pu à ce point retenir l’attention d’un public. (La place que tient, en France, l’influence politique quant à la notoriété d’un écrivain. Pour Sartre, le parti communiste. Et ce type de traficoteurs sait parfaitement accaparer les consciences à son profit.)
(Louis Calaferte. Carnets)
Au dîner de con, c’est moi en général qui lance les invitations et pas l’inverse .
Généralement un con n’a pas conscience de la place qui lui est assignée en tant que tel, ne soyez pas si présomptueux. Qui sait si l’un des nombreuses invitations dont vous êtes l’objet ne vous y installe pas très secretement.
Présomptueuse, l’une. Correcteur.
Mercredi 13 septembre 2023 5h31
Un psychiatre qui s’occupe de l’hypertrophie de la prostate ?
C’est bien psychiatre comme métier. Encore faut-il être doué.
Quoique l’on fasse, le couple restera symbole d’une époque et du café de Flore.
Lorsque je suis venue vivre ici à Forcalquier, il y a trente cinq ans, tous les néos ruraux qui étaient venus juste après 68, gardaient les moutons et/ou les chèvres en lisant Jean Paul Sartre et Simone de Beauvoir.
J’aime beaucoup ce fait de leur vie privée : lorsqu’il est mort (dépouillée par une minette, me semble t-il) elle venait s’asseoir sur un tabouret à côté de sa tombe et lui parlait. Belle histoire, ils n’avaient pas fini de débattre sans doute.
Il est mort en 1980. Elle en 1986. Cela a duré six ans cette conversation.
Enfin, un Klee extraordinaire
https://scontent.ftls1-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/378325285_10163196512319778_7852167611366166539_n.jpg?_nc_cat=101&ccb=1-7&_nc_sid=5614bc&_nc_ohc=P05HBELPklAAX_dFHyy&_nc_ht=scontent.ftls1-1.fna&oh=00_AfC3LSVrOZAyGxaL-R44uQ0MYOHn6piEfEQdT8w4bjTb3Q&oe=6504B87C
Plus tard, ce ne sera plus que des petits carrés colorés !
Trouble de l’attachement pour erdélien en recherche du motif.
Vais finir Laure Murat qui développe longuement le sujet dans Proust, roman familial, dans un milieu très spécifique, l’aristocratie.
Elle, a choisi deux méthodes, foutre le camp, il y a trente ans, et ne plus voir sa mère au décès de son père et devenir homosexuelle, le sommet de l’outrage.
Bouquin passionnant, y compris pour qui n’a pas lu Proust : c’est un décodage des interactions.
MERCREDI 13 SEPTEMBRE 2023, 6h03
Allez ! Ne perdons pas notre temps à causer de Sartre et Beauvoir.
Ces pitres d’une époque où le soviétisme heureux (!) recrutait des fantoches occidentaux, prêts à croire n’importe qui, professant le n’importe quoi au Café de Flore du coin….
Que disparaissent dans l’oubli profond Jean-Paul, Simone et les idéologues imbéciles qui continuent à les admirer, ces fumiers germano-pratins !
lmd dit: à
Marie Sasseur,
1/N’allez pas imaginer que sur votre injonction je vais me mettre à lire le deuxième livre du Pentateuque…
___________
Et pourtant, ce n’était pas une mauvaise idée, surtout quand les soirs d’été, sur la terassse la conversation tourne » autour » de Pontormo…qui lui, l’a forcément lu.
L’onomastique c’est pas ton truc, donc, lmd.
Moi je trouve cette science , partie de la linguistique, assez intéressante.
On a typiquement ici, avec cette trappola de U. Eco sur son nom, un cas de tentative d’onomastique litteraire.
____
Je n’ai pas trop compris ton grand capharnaüm à propos des Juifs en Italie.
Et des idées d’ailleurs assez fausses, sur leur pratique du latin d’imprimerie…
Si tu veux un aperçu plus exhaustif, il y a ce texte, un extrait :
« En 1484, Joshua Salomon Soncino publie le traité Berakhot du Talmud de Babylone, puis, en 1488, la première Bible hébraïque imprimée. En terre ottomane, les frères Nahmias et Sasson fondent des imprimeries à Constantinople en 1493, et à Salonique en 1513. Un petit groupe ashkénaze crée, dès 1512, une imprimerie à Prague, où Gershom ben Salomon Kohen imprime la première Haggadah en 1526. Leur typographie s’inspire fortement de la typographie italienne. En 1605, une autre famille d’imprimeurs, les Bak, s’installe à Prague. Il faut attendre le début du XVIIe siècle pour voir naître des lieux d’édition dans l’espace germanophone, tels Hanau et Sulzbach, où seront également imprimées de nombreuses traductions et compilations en judéo-allemand. En Pologne, dès 1534, Cracovie puis Lublin deviennent d’importants centres d’imprimerie. Dans les toutes premières années du XVIe siècle, autour des grandes facultés de théologie, des imprimeurs chrétiens éditent des ouvrages en hébreu. À Bâle, Heinricus Petrus et Johannes Froben emploient des imprimeurs juifs ou des chrétiens hébraïsants et copient leurs caractères sur ceux des manuscrits ashkénazes. À Paris, les Estienne emploient un nouveau type de lettres, œuvre du graveur Guillaume Le Bé. Les deux Bibles d’Estienne sont considérées comme des chefs-d’œuvre de la typographie hébraïque. Le Bé fournit aussi les imprimeurs étrangers, dont Plantin à Anvers, et Bomberg à Venise. Venu de France, Christophe Plantin s’établit à Anvers en 1549 et publie une Bible, des grammaires et des dictionnaires d’hébreu. À Venise, de 1516 à 1549, Daniel Bomberg, originaire d’Anvers, est le premier à publier le Pentateuque (1517), deux éditions complètes du Talmud (de 1520 à 1523) – qui serviront de référence aux imprimeurs et aux érudits – et la Bible commentée (dite Miqraot Gdolot). Les caractères de Le Bé sont ensuite adoptés par les presses du nord et de l’est de l’Europe. Ce graveur de génie – il signe parfois en hébreu « Gugliemus ha-Tsarfati » (Guillaume le Français) – contribua à fixer la forme définitive de la lettre hébraïque, surtout du type séfarade. À Amsterdam, Menasseh ben Israël crée en 1626 les « caractères d’Amsterdam » (dits otiyot Amsterdam), qui deviendront la typographie dominante en Europe. La famille Athias – à partir de 1658 – publie des ouvrages prestigieux, dont la Haggadah d’Amsterdam en 1695. Imprimeurs depuis 1704, les Proops éditent de nombreux ouvrages liturgiques, et font d’Amsterdam un centre prépondérant de l’imprimerie hébraïque, rivalisant avec Venise, jusqu’au XIXe siècle, époque où la Pologne et l’Allemagne deviennent les foyers les plus innovateurs et les plus actifs. »
Tu trouveras le reste, ici:
https://www.mahj.org/fr/parcours-permanent/3-les-juifs-en-italie-de-la-renaissance-au-xviiie-siecle
Ne me remercie pas.
Grâce à toi aussi, on compris que l’imbecilité sur les réseaux, a encore de grands jours devant elle.
J’ai le plaisir de signaler à mes amis que l’excellent webmagazine quotidien « Tribune juive » du 13 septembre a bien voulu publier quelques lignes consacrées au gouvernement israélien que je lui avais proposées.
Mes adversaires peuvent se dispenser de m’insulter à cette occasion.
D’ailleurs en causant d’imbécilité sur les réseaux,le premier écho arrive illico.
On se dispensera de répondre à celle de charolais.
Il y a tant de nécessiteux.
« lorsqu’il est mort (dépouillée par une minette, me semble t-il) »
Non, sa fille adoptive ne l’a pas dépouillé, rose.
Sartre a plutôt été abusivement récupéré par Benny Lévy au profit d’un sionisme actif.
Là où Jean Genet avait épousé la cause palestinienne…
« Entre 1978 et 1980, Benny Lévy fait découvrir à Sartre, dont il est le secrétaire, l’œuvre de Levinas : « Benny Levy lui en parlait lors de longues après-midi de lecture à haute voix. Il lui lisait Difficile liberté». Un moment décisif, tant pour l’un que pour l’autre, selon Bernard-Henri Lévy.
Des entretiens de Sartre et de Benny Lévy sur Levinas et sur le judaïsme résulte un texte intitulé L’Espoir maintenant, publié d’abord par extraits dans Le Nouvel Observateur, sur trois numéros, le 10, le 17 et le 24 mars 1980, sous la forme d’un dialogue de vingt-cinq pages dans sa totalité, un texte dont Bernard-Henri Lévy souligne l’importance dans l’itinéraire philosophique de Sartre : « C’est une libération. Un moment de lucidité formidable, de maturité. La grande tristesse de ce texte, c’est que Sartre meurt juste après alors que c’est un jeune Sartre qui recommence ». Un texte retentissant.
L’Espoir maintenant provoque un scandale. Benny Levy est accusé par l’entourage de Sartre d’avoir abusé de son état de faiblesse (Sartre est presque aveugle) pour lui imposer sa pensée. Olivier Todd parle d’un « détournement de vieillard ». Simone de Beauvoir reproche à Benny Lévy d’avoir contraint Sartre à des déclarations démentes. John Gerrasi, l’un des biographes de Sartre, dénonce même la « manipulation diabolique » de Benny Lévy, « un petit chef de guerre fanatique », « un juif égyptien », devenu « rabbin et talmudiste »1. » (Wiki)
« La Cérémonie des adieux valut à Beauvoir trois sortes d’accusations recoupant trois types d’enjeux. Le premier est d’ordre idéologique : Beauvoir fut accusée de vouloir rétablir sa vérité au sujet de la sympathie grandissante de Sartre à l’égard des « maos » et de l’influence qu’exerça Benny Lévy sur sa pensée à la fin de sa vie. Pour certains, ce livre n’était rien de plus qu’un règlement de compte, une manière pour Beauvoir de se réapproprier Sartre, de retrouver la première place dans sa vie et dans sa mémoire en effaçant mauvais souvenirs et concurrents ; ce à quoi les défenseurs de Beauvoir répondirent qu’elle n’avait fait que son devoir en rétablissant la vérité, en dénonçant le « détournement de vieillard » opéré par Pierre Victor (Benny Lévy) et en rectifiant les images faussées que la postérité risquait de garder de Sartre vieillissant. Le deuxième enjeu est d’ordre éthique : nombreux sont ceux qui ont vu dans le dernier livre de Beauvoir un texte transgressif et indécent, qui décrivait avec précision – d’aucuns ont parlé de « manie », de « photographie maniaque », de « minutie perverse » – et sans dissimulation la progressive dégradation de Sartre jusqu’à sa mort. Beauvoir avait-elle cherché à se venger de Sartre lui-même, de ses déclarations dans l’entrevue avec Olivier Todd – au cours de laquelle son compagnon avait avoué mentir à toutes les femmes qu’il fréquentait, y compris et surtout à Simone de Beauvoir –, de l’intérêt qu’il accordait à Benny Lévy ? Le camp opposé répondit qu’il ne s’agissait pas du récit d’une dégradation, mais de celui d’un combat qui nous montrait Sartre vivant et luttant de toute sa force et de toute son intelligence contre la maladie : en livrant ce récit, Beauvoir honorait le serment que Sartre et elle-même s’étaient fait de ne jamais se mentir, de ne jamais dissimuler la vérité. Le troisième enjeu est quant à lui d’ordre esthétique : le texte de Beauvoir fut jugé plat, froid, « sans style », écrit sur le ton glacial du constat ou de la description « clinique », sans âme pour tout dire, ce qui ne pouvait pas convenir à un hommage funèbre. On leur rétorqua que l’intention de l’auteur n’était évidemment pas d’écrire le « tombeau » d’un homme qui avait toute sa vie refusé les fastes et les honneurs : l’écriture blanche adoptée respectait les idées et les volontés de Sartre qui voulait un enterrement simple, sans « cérémonie » ; la sobriété du style était l’expression pudique et vraie d’une immense tendresse et peut-être également une manière pour Beauvoir de s’effacer afin de mettre sa plume et sa voix au service de son compagnon. »
https://www.cairn.info/revue-litterature-2018-3-page-95.htm
Tant d’affirmation péremptoires à propos de Sartre de la part de qqn qui n’a pas du lire beaucoup de son œuvre protéiforme…n’appelle aucune réponse sinon que lui n’aura pas eu le plaisir d’être assis à côté de Jean Paul et de Simone, au théâtre de l’est parisien en 1977 pour une mise en scène de Nekrassov. J’en ai parlé ailleurs.
Molarder à l’envi sur de bien plus conséquents que soi n’a jamais constitué une appréciation littéraire valide.
C’est juste un nez krassov à moucher.
AffirmationS
« l’excellent webmagazine quotidien »
Un webmagazine auquel Monsieur Charoulet participe ne peut être qu’excellent ou, s’il ne l’était pas, il le devient.
l’imbecilité ( erreur volontaire)
l’imbecillité.
l’artisanat.( pour un post précédent)
Marie Sasseur «Je crois qu’on s’est fait enfler lmd» ?
Parlez pour vous, s’il vous plait !
Je ne me suis pas laissé distraire, je n’ai vu qu’un Enzo Caffarelli, parfaitement identifié, universitaire spécialiste d’onomastique. C’est bien lui qui a écrit –Dimmi come ti chiami e ti dirò perché–. J’ai cité son texte en italien pour être sûr qu’il n’y a pas d ‘erreur de traduction. «…Poi un amico, che lavorava alla Biblioteca vaticana sui nomi degli ebrei del XVII secolo è capitato per caso su una lista delle espressioni utilizzate dagli ebrei per designare i trovatelli…». Il n’y a pas à en faire toute une histoire.
Sartre, plus personne ne le lit, c’est un astrologue du marché aux puce qui vous l’assure.
MS, je ne sais si vous aviez lu le tout autant instructif que désopilant Binet, la 7ème fonction du langage. Emprunté son HhHH à la bibli, son dernier n’y figure pas encore.
Cher Jazzi, la Statue de Bloomie le Froggie, financement AF, est colorée, minuscule mais réussie, érigée dans un lieu perdu, en rase campagne aveyronnaise, proche de la déchetterie de région….
Cependant, son piédestal en baobab nain, financé sur ses fonds propres, est immense car destiné à porter aux nues un géant.
Un géant de tout, bourré d’humour !
lmd, je n’ai pas envie de remonter dans l’historique du débat , pourrai-je connaitre l’objet du litige ayant conduit à cette passe d’armes afin d’évaluer l’importance du dénivelé de la ligne de front?
Sur le certificat de judeité obligatoire
Fake new
je ne pense pas,en effet que Montaigne ait mis une kippa ni produit un certificat de judéité pour assister a Romme à la circoncision dont il rend compte avec un impressionnant luxe de détails dans son journal de voyage
@ 3Oe anniversaire d’un jour qui illumina ma vie, et lui donna un espoir insensé : la poignée de mains de Yasser à Shimon et Itzhak sous la houlette de Bill pour les accords d’Oslo. – On pourra dire tout ce qu’on voudra sur la suite, ce moment d’espoir insensé a eu lieu, et personne ne pourra jamais l’anéantir. Charles Enderlin était aussi dans la coulisse, fort ému.
@ Ce matin, l’émouvant hommage de mon ami Emmanuel D. à l’égard de Bruno Latour. Il résume en quelques mots très simples ses souvenirs de thésards, doublés d’une typologie rigoureuse et soignée des réactions classées par catégories des tweets que sa disparition suscita dans le monde entier.
http//www.cairn.info/revue-sociologie-2023-3page-273.htm
@ relevé des perles matinales du filet rdélien : ù l’on apprend donc que l’auro-dutastéride équivaudrait à une hypertrophie de la prostate, et que le jeune psychiatre Ahmed en devenir saurait comment soulager agréablement le problème de son patient.
@ jzman, merci pour le rappel des réactions suscitées par « la Cérémonie des Adieux »… Les arguments pro et anti ont l’air d’être bien équilibrés. Je n’en pense rien, cela dit, vu que je suis passé à côté de ce bouquin à l’époque où il faisait quelque bruit. Il faut dire que ce couple naufragé ne m’intéressait plus depuis longtemps.
-> Bonne journée à tous.tes, et à MC entre autres (13.9.23_10.16)
oups/opus
http//www.cairn.info/revue-sociologie-2023-3-page-273.htm
re (décidément, quand ça veut pas, hein !)
http://www.cairn.info/revue-Sociologie-2023-3-page-273.htm
@ « au diner des connes, c’est moi qui invite »…
Elle valut son pensant de kk – ouettes, celle-là !
Qu’il lui a bien fallu se l’enfiler …
« Arrêtez de lui lever la peau », comme disait mamère.
Patrice Charoulet dit:
« Mes adversaires peuvent se dispenser de m’insulter à cette occasion. »
En tout cas, votre billet insulte les milliers de manifestants israéliens qui, au cri -précisément- de « démocratie ! », se sont dressés contre les dérives autoritaires (pour employer un mot faible) de votre cher Netanyahou.
@ cette passe d’armes afin d’évaluer l’importance du dénivelé de la ligne de front?
d’où, comme d’hab., l’humble lmd ressortit grand vainqueur et haut la main sur l’arrogante et piteuse MS… Quant au contenu, une histoire d’onomastique bien fumeuse au sujet de laquelle icelle (Marietta Kissétou) prétendit avoir le dernier mot grâce à la peu fiable Wiki et un logiciel de traduction de l’italien des plus incertains. On connait la méthode,… elle finit toujours par battre en retraite et passer à d’autres harcèlements diffamatoires, à défaut d’être virée comme une malpropre par la rdl. Ce que personne ne demande et n’obtient, au demeurant, à la différence d’un charoulaid…
Personnellement AN, j’admire sincèrement votre calme olympien et politesse face aux énervants, en toutes circonstances. Merci de rester zène, je vous m’en félicite un brin, moi qui n’ai pas toujours cette tempérance du tempérament, malgré mon bon fond. Bàv,
lmd, on t’a donné une référence complètement foireuse à propos d’un soit-disant » universitaire spécialiste d’onomastique, écrivant un livre sur l’origine des noms a mentionné un contexte juif » , en réalité un journaliste, tout juste bon à pousser la chansonnette ou le ballon…
Et tu ne te sens pas enflé. Heureux homme, un autre, qui peut se permettre de raconter n’importe quoi sur les réseaux.
Ce qu’il y a de bon pour pousser
la chansonnette ,qui plaît a ce mastiqueur inconnu jusqu’à il y a deux jours sur la rdl, c’est Bowie.
Et ça tombe bien, j’aime aussi.
Ne sois pas mauvais joueur lmd, les seuls qui peuvent battre les marseillais à l’esbrouffe, ce sont les milaniais.
Et dans ce match entre deux crétins, je trouve que vous vous valez.
D’ailleurs ça s’écrit esbroufe.
Marie Sasseur, je ne comprends rien à ce que vous racontez à propos du soi-disant universitaire en réalité journaliste :
https://it.wikipedia.org/wiki/Enzo_Caffarelli
Bof bof, the spacy sound, je m’interroge sur la capacité des foules à idolatrer tout et n’importe quoi. Glauque, manque de puissance, triste, texte léger comme d’ailleurs beaucoup le sont dans le registre pop. A Bowie, je préfère Prince , tant qu’à faire.
Il a tout de même commis une thèse littéraire… certes, puis entretenu quelques liens avec l’onomastique, (en déroulant le lien wiki). Mais vous avez raison, 1/4 d’heure avant de mourir, il vivait encore.
Paul Klee – Lil J prêt à voyager, 1928. Aquarelle.
Bonjour!
Mais qui est donc le rodomont de ce blog?
Sur la forme, maintenant.
A la question » pourquoi pas » ?
S’ensuit une citation.
On peut légitimement s’attendre à une argumentation du pourquoi, justement , du contenu de cette citation.
Après plusieurs liens, qui tentent à en prouver la mystification , le » pourquoi pas ? » n’a toujours pas fait l’objet d’une justification argumentée, c’est a dire vérifiable, sur les assertions pour le moins incongrues que cette citation contient, au pire on a pu lire » c’est un détail « , et au plus pire » Il n’y a pas à en faire toute une histoire. »
C’est grave, je trouve.
Car les révisionnistes ne procèdent pas autrement.
Ils affirment. A charge pour d’autres d’en apporter la charge de preuve, un faisceau d’indices montrant qu’ils se trompent, ou mentent délibérément. J’ai fait ma part, en postant plusieurs liens, très intéressants.
A ce « pourquoi pas ? » , j’aimerais bien être detrompée, lmd.
Plutôt que des invectives, et fuites en avant, en guise de réponse.
Ps: Oui, vous avez raison , lmd, ce Caffarelli là, n’a rien à voir avec le journaliste qui vous occupe:
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louis_Marie_Maximilien_de_Caffarelli_du_Falga
Dans l’attente, etc.
“Une fille est plus seule qu’un garçon. Personne ne se soucie de ce qu’elle fait. Personne n’attend rien d’elle. A moins qu’elle soit très jolie, on n’écoute pas ce qu’elle dit… Et c’est ce que j’aime, ajouta-t-elle avec énergie, comme si le souvenir lui en fût agréable. J’aime à me promener dans Richmond Park et chanter pour moi seule et savoir que tout le monde s’en fiche. J’aime regarder ce qui se passe, comme le soir où nous vous regardions sans que vous nous voyiez. J’aime la liberté de tout cela, c’est comme si on était le vent ou la mer.”
Virginia Woolf “La traversée des apparences”
Merci Mimi Pinson pour ce splendide P. Klee!
La fille de Paul Klee aime à voyager..
Le wokisme à l’envers.
« Le nègre du Narcisse » de Joseph Conrad a été rebaptisé « Les enfants de la mer ».
Tandis que la pièce de Jean-Paul Sartre, titrée à l’origine « La P. respectueuse », sur nos anciens livres de poche, a retrouvé depuis longtemps toutes ses voyelles et consonnes dans la collection Folio.
A croire que, question respect, une Blanche putain vaut moins qu’un Nègre ?
Marie Sasseur,
pourquoi pas ?
Pourquoi ne pas envisager que la citation donnée par renato est exacte, alors que vous sembliez la croire inexacte (les juifs au lieu des jésuites). J’ai donc trouvé la citation en italien.
Bien entendu ni vous ni moi ne pouvons nous assurer de la véracité des citations, celle de Caffarelli et celle de J.Ph. de Tonnac. Nous ne pouvons que les croire exactes. Et noter leurs différences.
Vous parlez de liens que vous avez donnés qui tentent à prouver la mystification ; sur quoi porte la mystification ? C’est cela que je ne vois pas. Vous me mettez au rang des révisionnistes et je ne sais même pas de quoi on cause.
_____________
La formule E.C.O a pu être créée par les jésuites et être utilisée par les juifs italiens du XVII. C’est ce que j’imagine sans avoir les moyens d’explorer plus.
________________
…et je vais déjeuner.
@la fille de P Klee aime à voyager.
Les girafes ne portent pas de faux col. Les girafes ne portent pas de faux col.
Enfin, un Klee extraordinaire
rose dit:
Il est temps d’aller voir un ophtalmologue.
« Entre 1978 et 1980, Benny Lévy fait découvrir à Sartre, dont il est le secrétaire, l’œuvre de Levinas : « Benny Levy lui en parlait lors de longues après-midi de lecture à haute voix. Il lui lisait Difficile liberté». Un moment décisif, tant pour l’un que pour l’autre, selon Bernard-Henri Lévy.
Jazzi dit:
Entre 1978 et 1980, Sartre avait le cerveau en compote. Il avait pris tellement de merdes chimiques à des doses énormes pendant des années pour écrire ses pavés philosophiques délirants, que cela faisait longtemps qu’il n’était pas en conditions de comprendre Levinas.
@J’ai donc trouvé la citation en italien.
Je l’ai trouvée avant vous, puisque je m’en étais enquise, croyant à une erreur de traduction, et sur le même forum que vous. Et j’ai indiqué en avoir pris connaissance.
@Bien entendu ni vous ni moi ne pouvons nous assurer de la véracité des citations, .celle de Caffarelli et celle de J.Ph. de Tonnac. Nous ne pouvons que les croire exactes. Et noter leurs différences.
Non. Je ne crois rien d’emblée. Je suis par ailleurs payée pour ça, et quand l’enjeu est important, je lâche rien…. C’est une déformation, qui date…je plaide scientifique, comprendre pourquoi.
La citation des propos de U. Eco, du livre de De Tonnac se retrouve à plusieurs reprises et dans les mêmes termes.
La question reste pourquoi ce journaliste italien, le seul à ma connaissance, a cru devoir la falsifier ou la modifier, et surtout avec quels justificatifs ?
Voyez-vous il y a entre les deux versions, celle de U. Eco, qui peut être pure invention comme ne pas, qui attribue aux jésuites le fait d’avoir tenu registre des noms donnés aux » enfants trouvés », ou surnom dans ce cas précis, ou une abréviation plus commune pour en désigner l’ensemble ,
et celle du journaliste qui fait référence à des pratiques juives ( en latin),
autant de différences entre le vraissemblable d’un côté , Eco in maître dans cet art
et l’invraissemblable, loufoque, de l’autre .
J’ai presque terminé de déjeuner, merci.
C’est difficile d’être plus mégalo que Bloom (on se demande pourquoi il a un besoin si pressant de l’être autant): Sartre est un grand écrivain parce que Bloom a « eu le plaisir d’être assis à côté de Jean Paul et de Simone, au théâtre de l’est parisien en 1977 pour une mise en scène de Nekrassov. »
J’ai crû rêver en lisant une telle connerie, d’une taille qu’on voit rarement par ici, qui est pourtant un endroit où elles fusent à toute heure de la journée.
L’autre jour, ça a été l’un des robinets à conneries sur l’art le plus fécond de la ville de Paris, qui est devenue grâce à un double contact avec Bloom l’un des plus grands esprits de ses dernières 50 années: « Catherine Millet, brillantissime effectivement. J’ai eu l’honneur de travailler 2 fois dans de lointaines contrées avec cette grande intellectuelle et Art press, où elle est fort bien entourée. »
De toute façon tous les gens qui entrent en contact avec Bloom deviennent brillantissimes (« Mon amie Feryal, elle, tout simplement brillantissime »). Et avez-vous remarqué qu’il n’a aucun ami qui ne soit pas exceptionnel? « mon ami & ex-collègue DR très bientôt; il a monté une société après sa retraite du « 5e bureau » »…. »mon ami Sam, à qui P.Deville, grand mineur de fond du filon rézo culturel à l’étranger, consacre quelques paragraphes dans son dernier ouvrage »…. » j’ai eu comme collègue et ami un éminent baconnien » (tout cela trouvé dans ses derniers posts).
S’il y a des romanciers parmi nous, je conseille de relire tous les messages écrits par Bloom ici depuis des années: il aura « prêt à l’emploi » un personnage de mégalo qui se prend au moins pour James Bond et qui a des remarques hilarantes, impossibles d’inventer, comme celle-ci:
« la vie voulut que je foule un samedi après-midi la pelouse du stade Jean Bouin avec un N°6 dans le dos & la difficile mission de mener à la victoire l’équipe d’Ile-de-France junior de rugby ».
Imagination
Et puis lmd, depuis cette photo des gendarmes sur le port de Marseille, que vous aviez postée et à partir de laquelle vous en aviez raconté, de quoi remonter toute la Canebiere et en redescendre…
vous n’êtes êtes pas marseillais pour rien !
Non. Je ne crois rien d’emblée. Je suis par ailleurs payée pour ça, et quand l’enjeu est important, je lâche rien…. C’est une déformation, qui date…je plaide scientifique, comprendre pourquoi.
Quelle est donc votre mission, vous n’en avez jamais fait état? Cela dit, il est vrai qu’il ne fait pas croire, quoi que ce soit, qui que ce soit. Vérifier, chercher des preuves, des signes ( cliniques), des signifiants, des signifiés authentifiés .
Ce pauvre type ne comprend rien à ce qui est écrit. Alors Sartre, vous pensez!
Misère de la constipation cognitive.
Rappelons que l’ami Sartre a déclaré à son retour de son voyage en URSS en 1954, dans une longue interview intitulée « La Liberté de critique est totale en URSS » (Libération, 15.7.1954) et entre autres affirmations ahurissantes qui montrent bien à quel point sa connerie de naissance était inguérissable: « Le citoyen soviétique possède, à mon avis, une entière liberté de critique, mais il s’agit d’une critique qui ne porte pas sur des hommes, mais sur des mesures. L’erreur serait de croire que le citoyen soviétique ne parle pas et garde en lui ses critiques. Cela n’est pas vrai. Il critique davantage et d’une manière beaucoup plus efficace que la nôtre. L’ouvrier français dira : »Mon patron est un salaud !». L’ouvrier soviétique ne dira pas : « Le directeur de mon usine est un salaud ! » mais : « Telle mesure est absurde. » La différence, c’est que le Français le dira dans un café ; le Soviétique, lui, s’engagera publiquement, engagera sa responsabilité dans la critique au cours d’une réunion officielle – par exemple la réunion du Soviet, la réunion de tel groupe technique dont il fait partie, ou la réunion du Parti –. Il critiquera âprement, souvent, mais toujours dans une direction positive. Et ce qui est vrai des ouvriers est vrai de tout le monde. »
Question: mais comment peut-on être si CON?
Christiane avait remarque ce trait auquel vous tenez mordicus, vous tenez à être la première, la découvreuse , l’initiatrice des débats, la chercheuse qui met à jour La pépite insoupçonnée et indispensable à la survie intellectuelle du blog à Passou. Puérile?
https://youtu.be/xaxbAxgcdRY?si=xBVCwJov1ep16mv4. ( c’est affreux, c’est MaUvaIs)
Quand on pense que Sartre à la fin de sa vie était devenu maoïste, après les 30 millions de morts de Mao et la folie meurtrière de la « Révolution culturelle » (au moins 1 million de morts supplémentaire), et la destruction de dizaines de milliers d’oeuvres d’art.
« Des artistes sont assassinés ou mutilés : bras brisés pour les acrobates, doigts écrasés pour des pianistes… »
Et il y a ici des gens pour qui Sartre est un génie !!!
Qu’il ne faut pas… Correcteur.
« Un régime révolutionnaire doit se débarrasser d’un certain nombre d’individus qui le menacent, et je ne vois pas là d’autres moyens que la mort. On peut toujours sortir d’une prison. Les révolutionnaires de 1793 n’ont probablement pas assez tué. »
(Sartre)
« [Sartre] a exercé une terreur intellectuelle au profit des staliniens, telle que les jeunes gens ont été entraînés dans l’aveuglement, la sottise et l’arrogant fourvoiement. Il s’est constamment trompé avec une ahurissante présomption. »
(Jean Daniel. Carnets 1998-2000)
à Mme Neuhoff
Je n’insulte nullement les manifestants israéliens. Manifeste qui veut dans les rues en démocratie véritable. Impensable en Corée du Nord, en Chine, en Russie… Fréquent en Israël comme en France, vraies démocraties par cela, mais aussi par ceci : élections non truquées, multipartisme, gouvernement constitué en fonction du résultat des élections, action du gouvernement qui peut certes déplaire aux
oppositions, mais…
Il va sans dire que si les manifestations de rue sont autorisées, nul n’est obligé de les approuver.
Je n’approuve ni les manifestations de rue israéliennes, ni les manifestations de rue françaises.
Bloom est passablement snob, Pablo75.
Et dans la dialectique, il a des arguments de poids : ses poings dont il menace tout ceux qui ne partagent pas son point de vue !
Le percheron me cite…quel déshonneur! On le voit constituant ses fiches sur les uns et les autres, comme un Vallat ou Darquier au petit pied, dans l’ambiance fétide des livres mités acquis à vil prix, entouré de cartes du ciel qui feraient se tordre de rire Nicolas Flamel….Beurk.
Affaire Bouguereau (suite)
Comme il est reparlé de cela de temps en temps, généralement en me dénigrant, je suis contrait de rappeler ceci : J’avais demandé à Pierre Assouline, par courrier de sermonner, B.
Il m’a répondu : « Non, non, en ce cas, je bannis temporairement , puis définitivement, si l’intéressé recommence ».
J’ignore s’il y eu recommencement, si B. a décidé de ne plus revenir. Ce qui est certain , c’est que je suis totalement innocent des reproches que d’aucuns( son fan-club) me font.
« De retour à Paris, il aurait fondé avec certains de ses amis, dont Simone de Beauvoir, un mouvement de Résistance, « Socialisme et liberté ». Il faut noter cependant qu’aucune recherche n’a pu mettre en évidence une quelconque existence de ce mouvement (Le Catalogue des périodiques clandestins diffusés en France de 1939 à 1945, publié par la Bibliothèque nationale en 1954, n’en fait aucune mention) ou d’activité de résistance de Sartre durant cette période, ce que confirme le journaliste résistant Henri Noguères à l’historien Gilbert Joseph:
« Je maintiens qu’en une vingtaine d’années consacrées à la recherche et à des travaux sur l’histoire de la Résistance en France, je n’ai jamais rencontré Sartre ou Beauvoir »
Il sera d’ailleurs profondément critiqué par Jankélévitch qui lui reprochera de s’être occupé davantage de l’avancement de sa carrière que de dénoncer ou contrarier l’occupant.
[…]
En octobre 1941, Jean-Paul Sartre est affecté au lycée Condorcet sur le poste de professeur de khâgne en remplacement de Ferdinand Alquié. Ce poste était initialement occupé par le professeur Henri Dreyfus-Le Foyer (jusqu’en 1940), évincé en raison de sa qualité de juif. Il a, au préalable, certifié sur l’honneur qu’il n’était ni franc-maçon ni juif comme l’exigent les autorités françaises. […] Ingrid Galster (de) se pose la question de la qualité de l’engagement de Sartre et remarque « qu’il l’ait voulu ou non voulu : objectivement, il profitait des lois raciales de Vichy » Il publie à cette époque plusieurs articles pour la revue Comœdia, dirigée du 21 juin 1941 au 5 août 1944 par René Delange, collaborationniste et contrôlée par la Propaganda-Staffel.
Sartre fait jouer, en 1943, une pièce qu’il a composée, Les Mouches, reprenant le mythe d’Électre et qui est un appel symbolique à résister à l’oppresseur. C’est lors de la première qu’il fait la connaissance de Camus. En cette période d’occupation, la pièce n’a pas le retentissement escompté : salles vides, représentations interrompues plus tôt que prévu. Pour Jean Amadou, cette représentation est plus ambiguë : « En 1943, dans l’année la plus noire de l’Occupation, il fit jouer à Paris Les Mouches. C’est-à-dire qu’il fit très exactement ce que fit Sacha Guitry, donner ses pièces en représentation devant un parterre d’officiers allemands, à cette différence qu’à la Libération, Guitry fut arrêté alors que Sartre fit partie du Comité d’épuration, qui décidait quel écrivain avait encore le droit de publier et quel autre devait être banni.».
[…]
La même année, il publie L’Être et le Néant, ouvrage influencé par les idées du philosophe allemand Heidegger, dans lequel il fait le point sur son système de pensée et en approfondit les bases théoriques. Du 17 janvier au 10 avril 1944, il livre douze émissions pour Radio-Vichy. Il écrit ensuite une pièce de théâtre, Les Autres, qui deviendra Huis clos, joué en mai 1944 et qui, elle, rencontre un franc succès, notamment auprès des officiers allemands invités à la première représentation… ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Sartre
Tu es au courant, Bloom, ou ta folie des grandeurs t’empêche de voir une fois de plus la réalité?
Bloomie connaît tous les grands de son monde. Être assis a côté de, ca pose son bonhomme, des arguments de poids…
Simplement il est tendance, un « en même temps » très en vogue en macronie, en être et » en même temps » ne pas,
être français, comme tel, à l’étranger et viscéralement méprisant les français lorsqu’en France dès que l’occasion se présente, sur n’importe quel sujet.
Moi d’un gars comme ça, j’en veux pas dans mon équipe.
élections non truquées, multipartisme, gouvernement constitué en fonction du résultat des élections, action du gouvernement qui peut certes
Post élections, est-ce que les électeurs ne se font pas avoir au gré d’alliances » incestueuses » ce mot pour exprimer l’inacceptable de ces accords entre les différents partis de la majorité , BN prêt à tous les compromis pour échapper à la justice .
Et ca reste très bon, en deçà quand même de ce qui est possible pour entarter un qui vit dans l’ordure en décomposition.
Je mets +1 pour ça :
« entouré de cartes du ciel »
« mais comment peut-on être si CON ? »
Les intellectuels de l’après Guerre, généralement de gauche, et Sartre, en particulier, ont dit beaucoup de conneries.
La foi, ou la haine de la bourgeoisie, est-elle la cause de leur déraison ?
Est-ce que ces juges dont il est question de débarrasser le pouvoir, ultime corps de contrôle de la politique menée, ne forment pas un garde fou contre les dérives extrêmes de l’exécutif? BN doit contenter les ultras pour conserver sa majorité, n’est-ce pas dangereux?
Post coïtum, animal triste. Le peuple.
Pablo75 dit: à
C’est difficile d’être plus mégalo que Bloom (on se demande pourquoi il a un besoin si pressant de l’être autant): Sartre est un grand écrivain parce que Bloom a « eu le plaisir d’être assis à côté de Jean Paul et de Simone, au théâtre de l’est parisien en 1977 pour une mise en scène de Nekrassov. »
J’ai crû rêver en lisant une telle connerie, d’une taille qu’on voit rarement par ici, qui est pourtant un endroit où elles fusent à toute heure de la journée.
L’autre jour, ça a été l’un des robinets à conneries sur l’art le plus fécond de la ville de Paris, qui est devenue grâce à un double contact avec Bloom l’un des plus grands esprits de ses dernières 50 années: « Catherine Millet, brillantissime effectivement. J’ai eu l’honneur de travailler 2 fois dans de lointaines contrées avec cette grande intellectuelle et Art press, où elle est fort bien entourée. »
Oui, C. M. n’est pas une grande intellectuelle sinon cela se saurait!
Grande partouzarde, oui et elle s’en vante publiquement par écrit.
Sartre est un grand pourvoyeur d’idées pour les jeunes, selon les vieux… D’ailleurs il a embêté plus d’un bachelier.
« Dostoïevski avait écrit : « Si Dieu n’existait pas, tout serait permis. » C’est là le point de départ de l’existentialisme. En effet, tout est permis si Dieu n’existe pas, et par conséquent l’homme est délaissé, parce qu’il ne trouve ni en lui, ni hors de lui, une possibilité de s’accrocher. Il ne trouve d’abord pas d’excuses. Si, en effet, l’existence précède l’essence, on ne pourra jamais l’expliquer par référence à une nature humaine donnée et figée ; autrement dit, il n’y a pas de déterminisme, l’homme est libre, l’homme est liberté. Si d’autre part, Dieu n’existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite. Ainsi, nous n’avons ni derrière nous ni devant nous, dans le domaine lumineux des valeurs, des justifications ou des excuses. Nous sommes seuls, sans excuses. C’est ce que j’exprimerai en disant que l’homme est condamne a être libre.
Si j’ai supprimé Dieu le père, il faut bien quelqu’un pour inventer les valeurs. Il faut prendre les choses comme elles sont. Et par ailleurs, dire que nous inventons les valeurs ne signifie pas autre chose que ceci : la vie n’a pas de sens, a priori. Avant que vous ne viviez, la vie, elle, n’est rien, mais c’est à vous de lui donner un sens, et la valeur n’est pas autre chose que ce sens que vous choisissez. »
Pourquoi les femmes âgées ne s’amuseraient-elles pas avec les jeunes hommes commes les hommes âgés s’amusent avec les jeunes filles ?
« M. Sartre donnant des leçons à la Résistance et la Résistance se laissant donner des leçons par M. Sartre, c’est évidemment une des grandes drôleries de ce temps. Car enfin, où était-il, ce preux, lorsque fumaient les crématoires qu’il brandit contre Brasillach? Et lorsque ce même Brasillach ne pouvait monter « La Reine de Césarée », jugée insuffisamment antisémite? M.Sartre, lui, pendant ce temps donnait la comédie aux Allemands.
J’ai de bonnes raisons de le savoir. J’étais à la générale de « Huis clos » au printemps 44. Pas très bien placé: les fauteuils de choix étaient réservés aux messieurs en vert. Mais invités personnellement par M.Sartre. Ainsi que Rebatet, ainsi que Laubreaux. Aujourd’hui M. Sartre prévient, dans sa revue, qu’il n’accepte pas les manuscrits des condamnés de cours de justice. A l’époque il conviait dans son théâtre ces futurs condamnés. Bien gentiment. Pour qu’on dise du bien de ses pièces dans les journaux maudits.
Nul alors ne soupçonnait que M. Sartre pût être résistant. Lui même moins que personne. Si les événements militaires avaient pris une autre tournure, grâce à quelque arme secrète, M.Sartre pontifierait maintenant dans « l’Ordre nouveau », comme il pontifie dans la résistance. Qui s’y fût opposé? Il avait donné assez de gages: « Les Mouches », « Huis-clos », « L’être et le Néant » joués ou publiés avec l’imprimatur de la Propagandastaffel. Les gages de Sartre à la résistance sont bien moins convaincants, et postérieurs, en tout cas, au 23 août. »
(Pierre Antoine Cousteau. Dans le « Dictionnaire des injures littéraires » de Pierre Chalmin. Livre de poche, 2010, pp. 687-688).
Ça ne te gêne pas, Bloom, d’admirer éperdument un type qui a invité des nazis à la première de ses pièces de théâtre et qui a publié des livres avec l’imprimatur de la Propagandastaffel?
Monsieur Charoulet est en effet innocent.
Il n’avait pas à être insulté de la sorte. Je prends totalement sa défense. Mais reste convaincu que Bouguereau peut apporter beaucoup par ses commentaires, s’il apprend à s’exprimer poliment. Voilà.
Eh oui.
1414
commentaires