de Pierre Assouline

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La République des livres
Légumes des jours

Légumes des jours

Maintenant que les librairies ont été officiellement décrétées « commerces essentiels » au même titre que les épiceries, on va y pénétrer avec sérieux comme on le ferait d’une institution. Ce serait dommage car les libraires risqueraient de perdre leur humour et leur ironie, eux qui en ont tant entendu. Des perles d’inculture, ils n’ont qu’à se baisser pour en ramasser. Mais comme le client est roi, ils ne les partagent la plupart du temps qu’avec les collègues. Ou exceptionnellement dans un livre. Le cas de Shaun Bythell qui a un jour racheté « The Bookshop » à Wigtown pour en faire vingt ans plus tard la plus importante librairie de livres d’occasion d’Ecosse. Son Petit traité du lecteur (155 pages, 12 euros, Autrement) propose une ingénieuse et désopilante taxinomie à la Linné de ses clients.

Il les classe par genres (Homo peritus ou l’expert, Homo qui desidet ou le flâneur …) et sous-catégories (Homo odiosus ou le raseur, Conjux vexatus ou le conjoint qui s’ennuie…). Il faut croire qu’il vise juste puisque ses observations, toutes de dérision, d’humour et de finesse, se révèlent d’une portée universelle. Ses bipèdes monomaniaques en quête de livres introuvables et bon marché sont peut-être écossais mais on a les mêmes en France. D’où la saveur de son petit livre bourré d’anecdotes. Il est si complet que je m’y suis trouvé : genre Cliens perfectus ou le client parfait, sous-catégorie Homines normales (inutile de traduire, vous m’avez reconnu) ; il est si ouvert d’esprit qu’il n’est pas fixé sur un titre, qui ne marchande pas et qui est rare.

Dans le même esprit mais en plus français, Shaun Bythell avait été précédé ces dernières années par Jean-Loup Chiflet et David Alliot, chacun auteur d’irrésistibles anthologies et autres colliers de perles de librairie. « La Faute de l’abbé bourré » de Zola pourrait figurer dans les deux recueils. Ils n’ont pas en magasin « Liliane est au lycée » d’Homère mais ils vous trouveront « J’attends un enfant mais je m’en rappelle plus de qui » de Laurence Pernoud. Qu’on se le dise, ce n’est pas chez eux que les oiseaux se crashent pour mourir. En revanche, on y trouvera le best-seller de Balzac dans le stations de ski « Ca glisse dans la vallée ». Le fantôme d’Albert Camus doit supporter tous les jours d’entendre demander « La Veste » ou « L’Etranglé » quand ce n’est « Le Mythe décisif ».

L’époque est aux affaires. Deux pour le prix d’un sans faire exprès en demandant Tolstoïevski. Mais en temps de crise, il ne faut pas forcer la vente : amis libraires, ne refusez pas si, par mesure d’économie, on vous demande « Suzanne sans le Pacifique », la Carte sans le Territoire », « Vendredi plutôt que La vie sauvage », « le Rouge ce mois-ci et le Noir le mois prochain »… Quand on aime les livres, on ne compte pas : on ne badigeonne pas avec l’amour ! Car coté théâtre, ce n’est pas mieux qu’ils s’agisse des « Femmes s’en vantent » de Molière ou « l’Antigode » de ce pauvre Anouilh. C’est aussi que certains titres, on n’a pas idée ! On veut bien lire à condition que ce ne soit pas trop long, genre « Légume des jours » de Boris Vian.

Au fond, ce n’est pas si mal, les mangas sans les images. Comment ils appellent ça déjà ? Ah oui, des romans. Ne vous moquez pas de celui qui demande « Sadique » de Voltaire : un ancien ministre a bien revendiqué « Zadig & Voltaire » comme livre de chevet (il peut aller se rhabiller). Cela vous a peut-être échappé mais depuis quelques temps, Dostoïveski fait un tabac à Marseille avec ses « Frères Kalachnikov ». L’ami Boudard (salut Alphonse, où que tu sois !) eut apprécié que sa Métamorphose des cloportes se muât en un titre plus incompréhensible encore mais si boudardien « La Métempsychose des popotes ». En revanche, pas sûr que Guy Debord aurait apprécié de voir sa Société du spectacle rangée au rayon « Arts et spectacles » où l’on ne risque pas de trouver la République de Platoon.

«  »Pour Foucault, c’est au rayon sciences humaines – Mais c’est où ça ? – Au fond – Je vois pas – Tout au fond là-bas…- Mais AU FOND Y A UN MUR ! – Oui mais sur le mur, il y a des livres… »

Patience et longueur de temps en absurdistan. Les collégiens sont les plus terribles, encore que leurs mères soient pas mal non plus :

« Je voudrais les Fourberies de Scarface – Je crois que je vois. Quelle édition, Madame ? – On s’en fout. –Voici l’édition Larousse, elle est très bien- Non, pas celle-là : vous voyez bien, mon fils l’a bien précisé, là sur son papier : l’édition on s’en fout. »

Le métier de libraire est un sacerdoce et l’on comprend que lorsqu’on leur demande vers 18h13 pour la vingtième fois de la journée « Vous avez une photocopieuse ? Parce il n’y a que deux pages qui m’intéressent », ils ne répondent plus que par un signe de tête (de gauche à droite). Mais avec celui qui recherche un guide mais lequel, et qui précise « Un GuydeMaupassant », il faut renoncer. A propos, où rangez-vous les Capote ? Et vous savez qui est l’auteur du Journal d’Anne Frank ? Et Colombo de Mérimo, vous l’avez encore ? Pauvre libraire ! Lui aussi a le droit de décompresser en fin de journée : « Vous avez des nouvelles de Tchékhov ? – Mais cher Monsieur, il est mort ! ». Quant à Mme de Sévigné, inutile de la chercher : elle ne travaille plus ici. Dans ces moments-là, s’il a assez de force, il peut encore conseiller le meilleur texte de Sartre, ses souvenirs d’enfance (« Les Motos »). On mesure alors le chemin de croix du libraire obligé de se transformer en détective alors qu’il s’est déjà fait manutentionnaire, lui qui s’était engagé dans ce métier par amour de la littérature et passion de la lecture,…

(« Bibliothèque de Richard A. Macksey,  professeur de sciences humaines et co-fondateur et directeur du Centre des sciences humaines à l’Université Johns Hopkins » photo Will Kirk, merci à Renato)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

1 545 Réponses pour Légumes des jours

puck dit: à

« les lundis je suis comme Robinson Crusoé, j’attends Vendredi – essais critique de l’oeuvre de D Defeo » d’Umberto Eco.

Bloom dit: à

L’Insoutenable légéreté de mon bulbe, de JJ LeRoux & LeSot.

bouguereau dit: à

la pression vaut mieux la boire que la subir

..keupu reste quand même le plus con..il met même jibé à l’aise

et alii dit: à

lettres insanes de MONTESQUIEU

bouguereau dit: à

Les femmes à barbe en sont-elles exclues ?

ma mère de ma mère..

puck dit: à

bouguereau dit: à

la pression vaut mieux la boire que la subir

..keupu reste quand même le plus con..il met même jibé à l’aise
 »

ouai greubou, surtout quand on sait que cette phrase est de Pierre Desproges.

puck dit: à

sûr que si je recopiais des citations de Flaubert sans donner le nom de l’auteur vous les trouveriez nulles.

puck dit: à

la parole est un laminoir qui allonge toujours les sentiments.

Bloom dit: à

Soulagé; Vriament. Notre avenir est entre les mains de professionnels qui ont le sens des responsabilités. Nous pouvons tranquilles dormir.
Après tout, même un Ministre des affaires étranges a le droit d’être en vacances quand une petite rixe se déroule dans une contrée lointaine & montagneuse, non?
Si les habitants de Crète sont bien des Crétois, le prèe Domi, lui, serait donc un …? Non…!!!

The Guardian, tout à l’heure:

« What is the role of foreign secretary in the era of Global Britain? News that Dominic Raab was spotted lounging on a beach in Crete on the day Kabul fell certainly sends a message. The suspicion must be that the position of foreign secretary has key similarities with that of England football captain, which is of course a non-operational role roughly on a par with that of regimental goat ».

puck dit: à

il n’est pas d’amour qui soit aussi lourd à porter qu’une haine.

Bloom dit: à

These are strange echoing vibes indeed, Jibé…

bouguereau dit: à

L’Afghanistan a été laissé à lui-même par Trump

donald y peut pas tout l’malheur du monde rénateau..il est trés fort mais toudmême

bouguereau dit: à

ouai greubou, surtout quand on sait que cette phrase est de Pierre Desproges

..si c’est vrai c’est pas sa meilleure keupu..mais c’est la faute au sujet..faut qu’il hinspire..tu lui pardonnes

Janssen J-J dit: à

@ la pression vaut mieux la boire que la subir
Il voulait écrire : « la bière pression, vaut mieux la boire en mort subite »
S’est just’emmêlé les pinceaux, y’a pas mord’om…

renato dit: à

Enfin, le faux célinien ! à un moment il faudrait que tu arrives à trouver les bonne infos.

closer dit: à

Pas d’accord Renato. Ne me dites pas que Biden n’avait pas les moyens d’organiser un retrait ordonné en sécurisant un périmètre autour de Kaboul pendant les quelques semaines nécessaires à l’évacuation en bon ordre des personnes menacées.

Il porte une très lourde responsabilité.

puck dit: à

bouguereau dit: à

ouai greubou, surtout quand on sait que cette phrase est de Pierre Desproges

..si c’est vrai c’est pas sa meilleure keupu..mais c’est la faute au sujet..faut qu’il hinspire..tu lui pardonnes
 »

greubou t’es trop touchant quand tu essaies de rattraper tes erreurs comme tu peux.

puck dit: à

greubou passer de « keupu reste quand même le plus con.. » quand tu croies que c’est moi à « c’était pas sa meilleure » quand tu sais que c’est de lui… faut l’oser comme dirait Audiard.

puck dit: à

quand tu croies…

renato dit: à

« Il porte une très lourde responsabilité. »

La réalité vue dans un miroir déformant, on dirait un journaliste d’info en continu ou un humaniste d’opérette.

Et naturellement les afghans ne portent aucune responsabilité

bouguereau dit: à

Enfin, le faux célinien ! à un moment il faudrait que tu arrives à trouver les bonne infos

baptisé ‘petit célinien’ ici dèce et repris..t’as du changer pour le ‘célinien petit’..haprés florés..et mainant le faux..tes infaux rénato

bouguereau dit: à

« c’était pas sa meilleure » quand tu sais que c’est de lui…

c’est d’un automatique keupu..disons que sur ce coup là on est tous les frére kalachnikov..mais pas dans l’pieds keupu..pas dans l’pieds sacrénom

bouguereau dit: à

Il porte une très lourde responsabilité

hahem..depuis le début il fallait s’en sortir par le haut..en hélicoptère..celle là jicé la copiée du saint esprit..il a pas dmérite aucun

renato dit: à

PS, l’accord de Doha date du 29 février 2020, les afghanes ont eu tout le temps puisqu’ils en connaissaient les termes.

À noter, éventuellement, que l’accord entre l’Émirat islamique d’Afghanistan avec les talibans et les États-Unis, a été signé par le président américain de l’époque, Donald Trump, qui a par cette action reconnu l’émirat des talibans.

bouguereau dit: à

greubou passer de « keupu reste quand même le plus con.. » quand tu croies que c’est moi

t’ozras même pas dmander à jibé..qui pourtant est bien placé pour dire que t’es seule derrière..

Jean Langoncet dit: à

Afin que nul n’en ignore ; pas même les nécessiteux, qui peuvent toujours recourir, sur les conseils de leur prof d’anglais, à DeepL

THE PRESIDENT: Good afternoon. I want to speak today to the unfolding situation in Afghanistan: the developments that have taken place in the last week and the steps we’re taking to address the rapidly evolving events.

My national security team and I have been closely monitoring the situation on the ground in Afghanistan and moving quickly to execute the plans we had put in place to respond to every constituency, including — and contingency — including the rapid collapse we’re seeing now.

I’ll speak more in a moment about the specific steps we’re taking, but I want to remind everyone how we got here and what America’s interests are in Afghanistan.

We went to Afghanistan almost 20 years ago with clear goals: get those who attacked us on September 11th, 2001, and make sure al Qaeda could not use Afghanistan as a base from which to attack us again.

We did that. We severely degraded al Qaeda in Afghanistan. We never gave up the hunt for Osama bin Laden, and we got him. That was a decade ago.

Our mission in Afghanistan was never supposed to have been nation building. It was never supposed to be creating a unified, centralized democracy.

Our only vital national interest in Afghanistan remains today what it has always been: preventing a terrorist attack on American homeland.

I’ve argued for many years that our mission should be narrowly focused on counterterrorism — not counterinsurgency or nation building. That’s why I opposed the surge when it was proposed in 2009 when I was Vice President.

And that’s why, as President, I am adamant that we focus on the threats we face today in 2021 — not yesterday’s threats.

Today, the terrorist threat has metastasized well beyond Afghanistan: al Shabaab in Somalia, al Qaeda in the Arabian Peninsula, al-Nusra in Syria, ISIS attempting to create a caliphate in Syria and Iraq and establishing affiliates in multiple countries in Africa and Asia. These threats warrant our attention and our resources.

We conduct effective counterterrorism missions against terrorist groups in multiple countries where we don’t have a permanent military presence.

If necessary, we will do the same in Afghanistan. We’ve developed counterterrorism over-the-horizon capability that will allow us to keep our eyes firmly fixed on any direct threats to the United States in the region and to act quickly and decisively if needed.

When I came into office, I inherited a deal that President Trump negotiated with the Taliban. Under his agreement, U.S. forces would be out of Afghanistan by May 1, 2021 — just a little over three months after I took office.

U.S. forces had already drawn down during the Trump administration from roughly 15,500 American forces to 2,500 troops in country, and the Taliban was at its strongest militarily since 2001.

The choice I had to make, as your President, was either to follow through on that agreement or be prepared to go back to fighting the Taliban in the middle of the spring fighting season.

There would have been no ceasefire after May 1. There was no agreement protecting our forces after May 1. There was no status quo of stability without American casualties after May 1.

There was only the cold reality of either following through on the agreement to withdraw our forces or escalating the conflict and sending thousands more American troops back into combat in Afghanistan, lurching into the third decade of conflict.

I stand squarely behind my decision. After 20 years, I’ve learned the hard way that there was never a good time to withdraw U.S. forces.

That’s why we were still there. We were clear-eyed about the risks. We planned for every contingency.

But I always promised the American people that I will be straight with you. The truth is: This did unfold more quickly than we had anticipated.

So what’s happened? Afghanistan political leaders gave up and fled the country. The Afghan military collapsed, sometimes without trying to fight.

If anything, the developments of the past week reinforced that ending U.S. military involvement in Afghanistan now was the right decision.

American troops cannot and should not be fighting in a war and dying in a war that Afghan forces are not willing to fight for themselves. We spent over a trillion dollars. We trained and equipped an Afghan military force of some 300,000 strong — incredibly well equipped — a force larger in size than the militaries of many of our NATO allies.

We gave them every tool they could need. We paid their salaries, provided for the maintenance of their air force — something the Taliban doesn’t have. Taliban does not have an air force. We provided close air support.

We gave them every chance to determine their own future. What we could not provide them was the will to fight for that future.

There’s some very brave and capable Afghan special forces units and soldiers, but if Afghanistan is unable to mount any real resistance to the Taliban now, there is no chance that 1 year — 1 more year, 5 more years, or 20 more years of U.S. military boots on the ground would’ve made any difference.

And here’s what I believe to my core: It is wrong to order American troops to step up when Afghanistan’s own armed forces would not. If the political leaders of Afghanistan were unable to come together for the good of their people, unable to negotiate for the future of their country when the chips were down, they would never have done so while U.S. troops remained in Afghanistan bearing the brunt of the fighting for them.

And our true strategic competitors — China and Russia — would love nothing more than the United States to continue to funnel billions of dollars in resources and attention into stabilizing Afghanistan indefinitely.

When I hosted President Ghani and Chairman Abdullah at the White House in June and again when I spoke by phone to Ghani in July, we had very frank conversations. We talked about how Afghanistan should prepare to fight their civil wars after the U.S. military departed, to clean up the corruption in government so the government could function for the Afghan people. We talked extensively about the need for Afghan leaders to unite politically.

They failed to do any of that.

I also urged them to engage in diplomacy, to seek a political settlement with the Taliban. This advice was flatly refused. Mr. Ghani insisted the Afghan forces would fight, but obviously he was wrong.

So I’m left again to ask of those who argue that we should stay: How many more generations of America’s daughters and sons would you have me send to fight Afghans — Afghanistan’s civil war when Afghan troops will not? How many more lives — American lives — is it worth? How many endless rows of headstones at Arlington National Cemetery?

I’m clear on my answer: I will not repeat the mistakes we’ve made in the past — the mistake of staying and fighting indefinitely in a conflict that is not in the national interest of the United States, of doubling down on a civil war in a foreign country, of attempting to remake a country through the endless military deployments of U.S. forces.

Those are the mistakes we cannot continue to repeat, because we have significant vital interests in the world that we cannot afford to ignore.

I also want to acknowledge how painful this is to so many of us. The scenes we’re seeing in Afghanistan, they’re gut-wrenching, particularly for our veterans, our diplomats, humanitarian workers, for anyone who has spent time on the ground working to support the Afghan people.

For those who have lost loved ones in Afghanistan and for Americans who have fought and served in the country — serve our country in Afghanistan — this is deeply, deeply personal.

It is for me as well. I’ve worked on these issues as long as anyone. I’ve been throughout Afghanistan during this war — while the war was going on — from Kabul to Kandahar to the Kunar Valley.

I’ve traveled there on four different occasions. I met with the people. I’ve spoken to the leaders. I spent time with our troops. And I came to understand firsthand what was and was not possible in Afghanistan.

So, now we’re fercus [sic] — focused on what is possible.

We will continue to support the Afghan people. We will lead with our diplomacy, our international influence, and our humanitarian aid.

We’ll continue to push for regional diplomacy and engagement to prevent violence and instability.

We’ll continue to speak out for the basic rights of the Afghan people — of women and girls — just as we speak out all over the world.

I have been clear that human rights must be the center of our foreign policy, not the periphery. But the way to do it is not through endless military deployments; it’s with our diplomacy, our economic tools, and rallying the world to join us.

Now, let me lay out the current mission in Afghanistan. I was asked to authorize — and I did — 6,000 U.S. troops to deploy to Afghanistan for the purpose of assisting in the departure of U.S. and Allied civilian personnel from Afghanistan, and to evacuate our Afghan allies and vulnerable Afghans to safety outside of Afghanistan.

Our troops are working to secure the airfield and to ensure continued operation of both the civilian and military flights. We’re taking over air traffic control.

We have safely shut down our embassy and transferred our diplomats. Our dip- — our diplomatic presence is now consolidated at the airport as well.

Over the coming days, we intend to transport out thousands of American citizens who have been living and working in Afghanistan.

We’ll also continue to support the safe departure of civilian personnel — the civilian personnel of our Allies who are still serving in Afghanistan.

Operation Allies Refugee [Refuge], which I announced back in July, has already moved 2,000 Afghans who are eligible for Special Immigration Visas and their families to the United States.

In the coming days, the U.S. military will provide assistance to move more SIV-eligible Afghans and their families out of Afghanistan.

We’re also expanding refugee access to cover other vulnerable Afghans who worked for our embassy: U.S. non-governmental agencies — or the U.S. non-governmental organizations; and Afghans who otherwise are at great risk; and U.S. news agencies.

I know that there are concerns about why we did not begin evacuating Afghans — civilians sooner. Part of the answer is some of the Afghans did not want to leave earlier — still hopeful for their country. And part of it was because the Afghan government and its supporters discouraged us from organizing a mass exodus to avoid triggering, as they said, “a crisis of confidence.”

American troops are performing this mission as professionally and as effectively as they always do, but it is not without risks.

As we carry out this departure, we have made it clear to the Taliban: If they attack our personnel or disrupt our operation, the U.S. presence will be swift and the response will be swift and forceful. We will defend our people with devastating force if necessary.

Our current military mission will be short in time, limited in scope, and focused in its objectives: Get our people and our allies to safety as quickly as possible.

And once we have completed this mission, we will conclude our military withdrawal. We will end America’s longest war after 20 long years of bloodshed.

The events we’re seeing now are sadly proof that no amount of military force would ever deliver a stable, united, and secure Afghanistan — as known in history as the “graveyard of empires.”

What is happening now could just as easily have happened 5 years ago or 15 years in the future. We have to be honest: Our mission in Afghanistan has taken many missteps — made many missteps over the past two decades.

I’m now the fourth American President to preside over war in Afghanistan — two Democrats and two Republicans. I will not pass this responsibly on — responsibility on to a fifth President.

I will not mislead the American people by claiming that just a little more time in Afghanistan will make all the difference. Nor will I shrink from my share of responsibility for where we are today and how we must move forward from here.

I am President of the United States of America, and the buck stops with me.

I am deeply saddened by the facts we now face. But I do not regret my decision to end America’s warfighting in Afghanistan and maintain a laser-focus on our counterterrorism missions there and in other parts of the world.

Our mission to degrade the terrorist threat of al Qaeda in Afghanistan and kill Osama bin Laden was a success.

Our decades-long effort to overcome centuries of history and permanently change and remake Afghanistan was not, and I wrote and believed it never could be.

I cannot and I will not ask our troops to fight on endlessly in another — in another country’s civil war, taking casualties, suffering life-shattering injuries, leaving families broken by grief and loss.

This is not in our national security interest. It is not what the American people want. It is not what our troops, who have sacrificed so much over the past two decades, deserve.

I made a commitment to the American people when I ran for President that I would bring America’s military involvement in Afghanistan to an end. And while it’s been hard and messy — and yes, far from perfect — I’ve honored that commitment.

More importantly, I made a commitment to the brave men and women who serve this nation that I wasn’t going to ask them to continue to risk their lives in a military action that should have ended long ago.

Our leaders did that in Vietnam when I got here as a young man. I will not do it in Afghanistan.

I know my decision will be criticized, but I would rather take all that criticism than pass this decision on to another President of the United States — yet another one — a fifth one.

Because it’s the right one — it’s the right decision for our people. The right one for our brave service members who have risked their lives serving our nation. And it’s the right one for America.

So, thank you. May God protect our troops, our diplomats, and all of the brave Americans serving in harm’s way.

https://www.whitehouse.gov/briefing-room/speeches-remarks/2021/08/16/remarks-by-president-biden-on-afghanistan/

Bloom dit: à

3xJ, je reviens sur « Age of Iron » de Coetzee, au sujet duquel j’ai pu constater qu’il n’existe pas de fiche Wikipèd en français; ce qui est dommage, car en Afsud & dans les pays anglophones, c’est un des livres sur l’apartheid les plus couramment étudiés.
A la lecture d’une bio littéraire de bon aloi qui court jusqu’à « L’Enfance de Jésus », « John Coetzee and the Life of Writing », de David Atwell (2015), j’ai appris que ce misanthrope notoire avait donné un interview à la télé suédoise, à l’occasion de la remise du Nobel.
Pas fan des bio d’écrivains, mais cette étude est parfois lumineuse et change un peu des gimmicks narratologiques à la noix qui constituent trop souvent l’ordinaire de la critique universitaire française.

renato dit: à

« We gave them every chance to determine their own future. What we could not provide them was the will to fight for that future. »

bouguereau dit: à

toupartou des surènedeur monkiz kabloom..que chte les foutrais tous au stalag moi

bouguereau dit: à

gimmicks narratologiques à la noix qui constituent trop souvent l’ordinaire de la critique universitaire française

« ce soir nous hinvitons nos 2 eminant imam de paris pour trancher la question: hitler en avait il 3 ou 4 »

Bloom dit: à

renato, vous avez raison de détailler l’accord de Doha. Sur FC lundi matin, Georges L. soulignait le fait que très peu de gens l’avait lu.
Cela dit, on peut faire confiance aux Talebs pour ne se tenir à aucun accord qui ne servira directement leur intérêts.La main gauche, impure, ignore ce que fait la main droite.
Quant au grand pardon pachtoune, c’est bien évidemment un vaste foutage de gueule.
Un exemple parmi d’autres: après la prise de Kandahar, il ont illico liquidé un des rares comiques afhgans, ex-policier, Nazar Mohammad, aka Khasha Zwan. Humour assassin…
https://www.independent.co.uk/asia/south-asia/aliban-khasha-zwan-death-video-b1892927.html

Bloom dit: à

Cha, ché un gros lourd, Baroz. Cha che déplache chamais chans chon pute Ploto, euh, chon pote Pluto;
Comme les talebs, cha chasse en meute…

Bloom dit: à

Je ne résiste ps à partager le post de mon vieux pote Talha, saxophoniste de grande classe et directeur de Lok Virsa, équivalent du Musée des arts & traditions populaires à Islamabd:

If you ever feel useless….
Just remember ….
It took USA 4 Presidents,
Thousands of lives,
Trillions of dollars & 20 years to *Replace Taliban with Taliban.*

Jean Langoncet dit: à

@Je ne résiste ps à partager le post de mon vieux pote Talha

Tant que vous résisterez à BHL et à son mignon, le fils Massoud, aucune analogie avec le De Gaulle de 40 ne vous sera opposée ; des fois que le ridicule se mette à tuer

D. dit: à

C’etait mieux du temps de Bush Jr. Tout le monde est en train de s’en apercevoir.

D. dit: à

J’ai lu que Dylan était inquiété par la justice américaine pour une vieille affaire sexuelle. Vous en savez plus, Jean ?

D. dit: à

Ch.alouxx viendrait de Castel lucius.

Jean Langoncet dit: à

Pas de nouvelles fraîches sinon que Dylan avait de très mauvaises fréquentations en 1965, au point de produire un album qui allait renvoyer la pop anglaise à sa suffisance et à ses insuffisances ; un doc sur Bloomfield à ce sujet (celui de Maggie’s Fram)
https://www.youtube.com/watch?v=-B4yavD9AEY

rose dit: à

Pas d’accord Renato. Ne me dites pas que Biden n’avait pas les moyens d’organiser un retrait ordonné en sécurisant un périmètre autour de Kaboul pendant les quelques semaines nécessaires à l’évacuation en bon ordre des personnes menacées.

Il porte une très lourde responsabilité.

Encore eût-il fallu savoir qu’il faudrait une semaine aux talibans pour reprendre, ville après ville les rênes du pays.

Huit jours.

Nota :
Le truc sur la main gauche qui ne sait pas ce que fait la droite, ita est, l’indépendance des mains , est la plus grande fumisterie menant à toutes les saloperies.

Tout ce qui est par deux, dans le corps humain, est fait pour fonctionner par deux. Sinon, y aurait qu’un membre au départ. S’il y en a deux, y a bien des raisons.
C’est donc un prétexte fallacieux.

Une main sait parfaitement ce que fait l’autre. Et tout ce qui est caché -ah Ferdinand, rendez-moi ! -, un pote m’a dit avant hier « j’aurais tout brûlé, moi », 🤐😱🤯, finit toujours par sortir, toujours, toujours.
Vingt ans, 75 ans, 3000 ans, c’est comme cela que cela se passe.

Alors, lorsque par de sales décisions non réfléchies, – et tu peux toujours tomber sur un type qui décide de tout brûler, comme la famille quasi entière de sa femme à Auschwitz- ce serait plus efficace que ta main, touchée par la sagesse et le bon sens, parle à ta seconde main prête à commettre l’irréparable, et la raisonne.

rose dit: à

Alors, lorsque par de sales décisions non réfléchies, – […] tu te mets à dire « ah mais ma main va faire un truc, là, mais l’autre ne le saura pas […].

Et, en passant, mais dans ce contexte précis, il y a mis les deux mains Adam Driver, c’est la raison pour laquelle les larmes se sont mises à couler, total hors contrôle, dès qu’il a commencé à songer à tuer sa femme, puis à passer à l’acte, c’est parce qu’alors cela va continuer, et effectivement il continue avec Simon, pour finalement s’annexer l’enfant, à lui tout seul.

Enfant forcément marionnette, car comment vivre de telles horreurs.

puck dit: à

Jazzi dit: à

Ch.aloux est de retour !
 »

manque plus que le retour de mon pedro….

et là on va assister à match opposant les 2 couples du blogapassou :

bloom-jibé vs pedro-chalou

chez les premiers leur faire valoir et leur brossage de pompe c’est l’amour des civilizations et de la kulture.

chez les deux autres le faire c’est l’amour de la musique et de l’art !

je vous le prédis : ce sera le combat du siècle retransmis sur toutes les chaines ! une lutte à mort sur le ring du blogapassou.

réservez vos places dès maintenant !

renato dit: à

« Tout le monde est en train de s’en apercevoir. »

On s’aperçoit surtout que ’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan n’était pas nécessaire, car comme il a été démontré sous la présidence Obama, les USA avaient les moyens de liquider ben Laden sans mettre en jeu la vie de leurs soldats ; mais, évidemment, le mythe de la force reste une spécificité des cons.

Et plutôt que déblatérer at libitum comme certains journalistes et certains éditorialistes qui parasitent les chaine d’information continue, il faudrait s’informer sur l’action des uns et des autres et sur les coûts de cette guerre inutile, compris la création d’une armée de 300.000 hommes qui n’a dans les fait servi à rien.

puck dit: à

Jibé dit: à

« Plus pertinent qu’il y 10 ans…élasticité quantique du temps… »
Bloom, ça ne m’étonne pas, on se bonifie souvent.

PS on a bien dû se croiser dans une librairie ou une autre, ou alors carrément ailleurs, c’est pas possible sinon.
 »

faudrait faire des recherches sur le blogapassou on devrait retrouver le même genre de truc écrit par pedro à l’attention de chalou.

j’adore ce blog !

JiCé..... dit: à

Mercredi 18 août 2021, 7h49, 21°, mistral fatigué

CAUSERIE PAPALE

Se faire vacciner contre le Covid-19 est «un acte d’amour, a plaidé mercredi le pape François en appelant tous les croyants à se faire immuniser.

 » Grâce à Dieu et au travail de beaucoup, nous avons maintenant des vaccins pour nous protéger contre le Covid-19», a dit le pape dans un message vidéo destiné à soutenir l’initiative «It’s up to you», une campagne d’incitation à la vaccination aux Etats-Unis et dans d’autres pays du continent américain. »

Grâce à Dieu, on a surtout affaire au virus, eh couillon !

puck dit: à

renato ce que vous dites c’est un constat ou une certitude ?

j’avoue que constat vs certitude je m’y perds un peu…

renato dit: à

… armée de 300.000 hommes : Afghane, naturellement.

puck dit: à

JiCé salut l’ami ! la mer qu’on voit danser est calme de par chez toi ?

ici on va bientôt assister à un super match.

puck dit: à

JiCé t’as raison ces propos anti Covid du pape sont ineptes : les virus sont aussi des créatures de Dieu.

si ce fléau nous a été envoyé par Dieu il faut juste l’accepter et prier pour le pardon de nos fautes.

renato dit: à

«… constat vs certitude je m’y perds un peu… »

Cela ne n’étonne point.

puck dit: à

« armée de 300.000 hommes : Afghane, naturellement. »
 »

pas possible : une armée de 300 mille hommes faut banquer !

les américains ont refilé le pognon pour financer cette armée, sauf que es types qui ont encaissé le pognon ils l’ont viré en Suisse où ils vivent aujourd’hui : on peut les voir faire leur jogging tous les matins sur les berges du lac.

puck dit: à

par contre les talibans eux ils n’ont pas dilapidé le pognon refilé par le Qatar !

faut bien voir que le Qatar gère aujourd’hui tous les transferts de la planète ! ce sont les rois du mercato !

Patrice Charoulet dit: à

CHIFFRES

7 mots scribouillés par votre serviteur sur Facebook ont déclenché 58 approbations iconiqques et 73 commentaires.

Pourmapar dit: à

« belle esthétique des lieux »

Cette expression ne veut rien dire!

JiCé..... dit: à

Ami Puck,
J’ai demandé pardon à Dieu pour mes fautes.

Cela a pris 10 secondes tant ma vie est exemplaire ! Il m’a dit, le Très Haut : « T’inquiète pas, JiCé, le gros boulot en RdL c’est écouter ceux que tu connais, ces voyous, ces crapules, ces malfrats verbeux… ! »

Sympa Dieu !

Bloom dit: à

La barbe avec l’Afghanistan…!

Ne pas manquer l’interview de l’ex-ambassadeur d’Afghanistan en France sur TV5. Date un peu (12 août) mais vaut son pesant de pavot juteux.

Où les Talebs vont-ils trouver de quoi entretenir leur réseau diplo? Un immeuble rue Raphaël (16e), c’est pas donné

Au bon vieux temps du mollah Omar, ils n’avaient été reconnus que par 3 pays, le Pakistan,les Emirats Arabes Unis (Dubai/Abu Dhabi) & l’Arabie Saoudite.
Au Pakistan ils avaient mis le paquet: ambassade à Islamabad (ville conçue par l’architecte grec Konstantinos Apostolos Doxiadis…), consulats à Karachi, Peshawar & Quetta (Balouchistan).

Quand il viendront prendre possession de leurs locaux à Paris, ça va être folklo!

Jibé dit: à

« Taliban spokesman Zabihullah Mujahid told a press conference in Kabul it would seek no “revenge” against those who had opposed them. “The Islamic Emirate – after the freedom of this nation – is not going to revenge anybody, we do not have any grudges against anybody. We have pardoned anyone, all those who have fought against us. »
(source The Guardian 18/08)
On le lit et, non seulement il n’est pas crédible mais encore plus, tu entend le contraire. Un tel pardon qu’il est en soi une menace.

Jibé dit: à

entendS

D. dit: à

Jicé, le pardon de Dieu n’est pas un sujet de plaisanterie. Le péché fait toujours du mal aux autres et à soi-même indirectement. Et les bonnes choses que nous faisons parfois ne suffit pas à eviter la confession et le sacrement du pardon, comme le suggère très malheureusement d’autres religions ou spiritualités, en particulier celles croyant au « karma ». Non, seul Dieu pardonne après sincère confession, et pour cela dans tous les siècles il prend sur lui-même par le sacrifice inouï de son Fils unique.

et alii dit: à

Il m’a dit, le Très Haut
c’est un blog d’hallu -ciné math iques;
bonne journée ,ciao

D. dit: à

« Grâce à Dieu, on a surtout affaire au virus, eh couillon ! »

Aucun mal ne vient de Dieu. Paroles blasphématoires que tu profères, Jicé. Tu n’échappera jamais à la Justice divine, la vraie, pas celle que tu falsifies.

et alii dit: à

tweet: « Le fait que nous soyons je ne sais combien de millions d’individus et que, pourtant, la communication, la communication totale, soit parfaitement impossible entre deux de ces individus est pour moi l’un des plus grands thèmes tragiques de l’univers « . Simenon, entretien (1968)
LA COMMUNICATION LIMITEE,OK, mais je crois qu’il vaut mieux; c’est assez tragique comme ça (voir la RDL)

JiCé..... dit: à

Dieu est plus sincère que toi, Dédé, infâme grenouille de bénitier agitant le blasphème comme une balayette de WC qui vient de servir !

Il pouvait me dire : « JiCé, le virus c’est Lucifer, le vaccin c’est moi ».

Et bien non ! Le mal vient de Dieu aussi, Lui qui sous-traite le mal par l’usage de son ancien serviteur Lucifer le Malin, un gars bourré d’imagination !

et alii dit: à

cité sur Brumes:
 » Environné d’une clarté qui émanait de lui, plus lumineuse que toutes les autres, entouré d’étagères en or débordant d’incunables, assis sur des in-folio très anciens, son interminable barbe floconneuse étalée sur des piles de feuilles volantes, brochures, journaux et catalogues — le Très-Haut lisait. Le front superdivin qui avait conçu le monde reposait dans la main superpuissante qui l’avait créé, et le Créateur lisait, et souriait. Je me risquai, tremblant d’une horreur sacrée, à jeter un œil par-dessus son épaule, d’où jaillissaient les éclairs. Le livre était un livre broché, à trois sous… L’Éternel lisait Voltaire, dans une édition bon marché, et souriait.
Environné d’une clarté qui émanait de lui, plus lumineuse que toutes les autres, entouré d’étagères en or débordant d’incunables, assis sur des in-folio très anciens, son interminable barbe floconneuse étalée sur des piles de feuilles volantes, brochures, journaux et catalogues — le Très-Haut lisait.
épaule, d’où jaillissaient les éclairs. Le livre était un livre broché, à trois sous… L’Éternel lisait Voltaire, dans une édition bon marché, et souriait

Janssen J-J dit: à

@ SMS, Aujourd’hui, Amélie N. publie son 30e roman, parmi les 120 encore à venir dans ses tiroirs… Toute cette vie d’énurétique gâchée, qui provoque pourtant l’admiration ou l’incrédulité de quelques CRITIQUES littéraires, genre Didier Jacob… https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20210818.OBS47627/10-choses-que-vous-ne-savez-pas-forcement-sur-amelie-nothomb.html
@ bl. Merci pour l’allusion à Coetzee, je ne parviens pas à retrouver la réf que vous signalez… Vous m’obligeriez, si possible. Merci et belle journée.
@ jzmn, Peut-on accéder à votre commentarium sans y intervenir ?

(18.8.21@9.30 -> @ RPTV : J’apprends ce matin avoir subio une saisie sur salaire à tiers détenteur à la suite de 2 amendes liées à des contraventions de stationnement électroniques, laissées sans suite, et montées à 170 euros – Tous mes comptes sont bloqués jusqu’à nouvel ordre de recouvrement de cette somme au fisc. – N’ayant pas l’intention de contester la procédure tout à fait légale selon la législation vigoureuse (L162-1 et R 211-19 du CPC) dans les 30 jours…, je souhaite laisser pisser le mérinos, et demande simplement que cet argent bénéficie aux pauvres en dessous du seuil, à qui l’on a enlevé leur voiture, leur seul instrument de travail ou d’aide à la recherche d’un nouvel emploi. Je pense surtout aux populations afghanes fuyant à pied le nouvel Émirat de terreur qui s’installe. J’espère que mon pays va en rapatrier et accueillir une grande partie. Ne soyons pas égoïstes avec nos comptes en banque, voilà le conseil que j’incline à me formuler, en tant qu’erdélien appartenant à l’échelon inférieur de la classe moyenne de notre société).
Bàv,

rose dit: à

j’avoue que constat vs certitude je m’y perds un peu…

Hypothèse :
Un constant est issu de faits, de chiffres, de réalité.
Une certitude est bien plus floue. Et surtout pas définissable.
La vie, ira est, les faits, la réalité, peuvent prouver que la certitude était fondée.
Difficile*, mais vraie.
*puisque coupée de la réalité.

rose dit: à

Un constat.
Constamment.

rose dit: à

« On le lit et, non seulement il n’est pas crédible mais encore plus, tu entends le contraire. Un tel pardon qu’il est en soi une menace. »

Je n’entends rien, et j’attends, curieuse. Cette nuit, je me suis intéressée un peu à leurs coutumes alimentaires, culinaires, vestimentaires.

Nota bene :
Dieu et les virus, le covid, le sida, les tsunamis, les secousses sismiques et tout la Bataclan. Eh bien, Haïti la souffrante, est dans son collimateur.
Et la connerie des hommes, invalidée ?

et alii dit: à

c’est à BLOOM PARTICULI7REMENT QUE j’ai indiqué le festin de Babel;il a surement des projets et comparaisons de traductions à proposer

rose dit: à

170 euros pour vingt mille afghans accueillis sur notre sol. C’est gentil, bel effort. Généreux. Pourront se payer une feuille de PQ.

Nota bene : moi, j’ai eu, découvert ce que c’était, et c’est cauchemardesque, des crises d’angoisse.
J’ai lâché prise.
Sont finies.
Le sommeil doucement revient à une normalité tranquille.
Et je nage. Une heure hier, en rond, avec des canards.
Des bisous, de bons moments, le coeur paisible, vous, je souhaite.

et alii dit: à

@renato
Lettre de Schubert à Heinrich Albert Probst
e me demande : quand le trio paraîtra à la fin ? Ne devriez-vous pas avoir reçu cet opus ? C’est l’op. 100. J’en attends la parution avec langueur. J’ai entre autres composé 3 sonates pour pianoforte seul, que je voudrais dédier à Hummel. Aussi, j’ai écrit plusieurs lieder sur des poèmes de Heine de Hamburg, qui ont plu extraordinairement ici, et enfin fabriqué un quintette pour 2 violons, 1 alto et 2 violoncelles. J’ai joué les sonates dans plusieurs endroits, elles ont été acclamées, mais on n’en est aujourd’hui qu’aux répétitions du quintette. Si des fois quelques unes de ces compositions vous convenaient, faites-le savoir.
https://lefestindebabel.wordpress.com/2011/12/20/lettre-de-schubert-a-heinrich-albert-prost/

closer dit: à

Quand on lit le discours de Biden, on a l’impression qu’il a fait ce qu’il devait faire, mais manque de chance, ce sont des images de débandade que l’on voit partout sur les écrans. Soit il ne l’a pas réellement fait, soit il l’a mal fait.

closer dit: à

« Lézard de Paris », ça me mène directement à un café…

JiCé..... dit: à

« Et la connerie des hommes, invalidée ? » (rose)

Si Dieu existe, oui elle est invalidée. Le Très Haut est responsable d’avoir créé c’te bête là, définitivement nulle.

Si Dieu n’existe pas, invalidée aussi car c’est dans la nature des mammifères supérieurs d’être aussi cons que des cafards.

puck dit: à

rose dit: à

Hypothèse :
Un constant est issu de faits, de chiffres, de réalité.
Une certitude est bien plus floue. Et surtout pas définissable.
 »

nein !! das ist eine merdique philosophische argumentation : zéro pointé !

réponse = un constat est une conclusion tirée à partir de certitudes plus ou moins vaseuses !

puck dit: à

closer dit: à

Quand on lit le discours de Biden, on a l’impression qu’il a fait ce qu’il devait faire, mais manque de chance, ce sont des images de débandade que l’on voit partout sur les écrans. Soit il ne l’a pas réellement fait, soit il l’a mal fait.
 »

pour ça que pour faire les malins les talibans ont attendu le départ de Trump qui, avec le recul, s’avèrera être un des meilleurs présidents américains.

renato dit: à

Incidemment, le départ de la coalition s’est fait avec un certain retard, car, le personnel du président Trump a entamé de nouvelles discussions avec les talibans en 2018. Celles-ci ont pris fin le 29 février 2020 avec la signature d’un accord qui prévoyait, entre autres, le retrait complet des 12.000 soldats américains encore présents sur le territoire afghan au 1er mai 2021.

puck dit: à

la différence avec les talibans c’est qu’eux ont gardé la notion de bien commun vu qu’ils se battent pour une idée qui les transcende : Dieu…

face à eux l’occident a perdu cette notion de bien commun et les riches ne rêvent que d’une chose : s’éloigner toujours un peu plus loin des réalités de ce monde.

d’ailleurs ils peuvent maintenant s’offrir un petit voyage dans l’espace pour voir ce monde de très loin pour la modique somme de 28 millions de dollars (qu’est-ce qui faut pas faire pour fuir le monde humain) :

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2021/06/13/un-vol-dans-l-espace-avec-jeff-bezos-pour-28-millions-de-dollars_6083936_1650684.html

Janssen J-J dit: à

@ Pourront se payer une feuille de PQ.

C’est toujours mieux que pas de feuille du tout. Et que les crises d’angoisse pour Haïti qui font une belle jambe aux peuples concernés
@ coeur paisible ou apaisé nageant vous, je souhaite aussite, en dépide.
@ Biden n’a fait qu’achever le boulot conclu par Trump… C’est un fait. Inutile d’accabler le deuxième pour mieux exonérer le premier…
Cette « discussion » rdlienne devient passablement ridicule, bien dans la manière de ce blog littéraire qui feint de se pencher avec accablement ou allégresse sur toutes les misères du monde qui surgissent chaque jour de l’ère commune au dessus du monde flottant.

renato dit: à

La chance pour les talibans c’est d’avoir signé un accord avec le plus inepte des présidents US. Est-ce un hasard s’il plait à pluk et l’extrême droite européenne ?

renato dit: à

« Cette « discussion » rdlienne devient passablement ridicule, bien dans la manière de ce blog littéraire qui feint de se pencher avec accablement ou allégresse sur toutes les misères du monde qui surgissent chaque jour de l’ère commune au dessus du monde flottant. »

Contemplative paralysis in constant flux ?

renato dit: à

«… vu qu’ils se battent pour une idée qui les transcende : Dieu… »

Pauvre Dexter, perdu dans les méandres de la crédulité !

Janssen J-J dit: à

Accord pour le rétablissement de la paix en Afghanistan
entre l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu comme un État par les États-Unis. en tant qu’État et connu sous le nom de Taliban, et les États-Unis d’Amérique le 29 février 2020 qui correspond au 5 Rajab 1441 du calendrier lunaire Hijri et Hoot 10, 1398 du calendrier solaire hijri.

Un accord de paix global se compose de quatre parties :

1. Des garanties et des mécanismes d’exécution qui empêcheront l’utilisation du sol afghan par tout groupe ou individu contre la sécurité des États-Unis et de leurs alliés.

2. Des garanties, des mécanismes d’application et l’annonce d’un calendrier pour le retrait de toutes les forces étrangères d’Afghanistan.

3. Après l’annonce des garanties pour un retrait complet des forces étrangères et du calendrier en présence de témoins internationaux, ainsi que des garanties et l’annonce en présence de témoins internationaux que le sol afghan ne sera pas utilisé pour la guerre.
témoins internationaux que le sol afghan ne sera pas utilisé contre la sécurité des États-Unis et de leurs alliés, l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis comme un État et qui est connu sous le nom d’Émirats arabes unis.
États-Unis comme un État et connu sous le nom de Taliban, entamera des négociations intra-afghanes avec les parties afghanes le 10 mars 2020, ce qui correspond au 15 Rajab 1441 du calendrier lunaire Hijri et au 20 Hoot 1398 du calendrier lunaire Hijri.
Hoot 20, 1398 du calendrier solaire Hijri.

4. Un cessez-le-feu permanent et global sera un point à l’ordre du jour du dialogue et des négociations intra-afghans.. Les participants aux négociations intra-afghanes discuteront de la date et des modalités d’un cessez-le-feu permanent et global y compris des mécanismes conjoints de mise en œuvre, qui seront annoncés en même temps que les accords de paix et des mécanismes de mise en œuvre conjointe, qui seront annoncés en même temps que l’achèvement et l’accord sur la future feuille de route politique de l’Afghanistan.

Les quatre parties susmentionnées sont interdépendantes et chacune d’entre elles sera mise en œuvre conformément à son propre calendrier et aux conditions convenues.
calendrier et aux conditions convenues. L’accord sur les deux premières parties ouvre la voie aux deux dernières parties.

Voici le texte de l’accord pour la mise en œuvre des parties un et deux de ce qui précède. Les deux parties conviennent que ces deux parties sont interconnectées. Les obligations de l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis en tant qu’État et qui est connu sous le nom de Taliban dans cet accord, s’appliquent dans les zones qu’ils contrôlent jusqu’à ce qu’ils aient atteint leur objectif. s’appliquent dans les zones qu’ils contrôlent jusqu’à la formation du nouveau gouvernement islamique afghan, tel que déterminé par l’accord intra-afghan

PREMIÈRE PARTIE

Les États-Unis s’engagent à retirer d’Afghanistan toutes les forces militaires des États-Unis, ses alliés et ses partenaires de la coalition, y compris l’ensemble du personnel civil non diplomatique, des prestataires privés de services de sécurité, des formateurs, des conseillers et des agents de sécurité et le personnel des services d’appui dans les quatorze (14) mois suivant l’annonce du présent accord. l’annonce de cet accord, et prendra les mesures suivantes à cet égard :
II
A. Les États-Unis, leurs alliés et la coalition prendront les mesures suivantes au cours des cent trente-cinq (135) premiers jours :

1) Ils réduiront le nombre de forces américaines en Afghanistan à huit mille six cents (8.600) et réduiront proportionnellement le nombre de leurs alliés. et des forces de la Coalition.

2) Les États-Unis, leurs alliés et la Coalition retireront toutes leurs forces de cinq (5) bases militaires.

B. Avec l’engagement et l’action sur les obligations de l’Émirat islamique d’Afghanistan qui n’est pas reconnu par les États-Unis en tant qu’État et est connu sous le nom de Taliban dans la deuxième partie de cet accord, les États-Unis, leurs alliés et la coalition retireront leurs forces de cinq (5) bases militaires. les États-Unis, leurs alliés et la Coalition exécuteront ce qui suit :

1) Les États-Unis, leurs alliés et la Coalition achèveront le retrait de toutes les forces restantes d’Afghanistan dans les neuf mois demi qui restent.

2) Les États-Unis, leurs alliés et la coalition retireront toutes leurs forces des bases restantes.

C. Les États-Unis s’engagent à commencer immédiatement à travailler avec toutes les parties concernées sur un plan visant à libérer rapidement les prisonniers de combat et les prisonniers politiques, en tant que mesure de confiance avec les États-Unis. la coordination et l’approbation de toutes les parties concernées. Jusqu’à cinq mille (5,000) prisonniers de
l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis en tant qu’État et est connu sous le nom de Taliban, et
connu sous le nom de Taliban et jusqu’à mille (1 000) prisonniers de l’autre partie seront libérés d’ici le 10 mars 2020, premier jour des négociations intra-afghanes, ce qui correspond au
Rajab 15, 1441 sur le calendrier lunaire Hijri et Hoot 20, 1398 sur le calendrier solaire Hijri.
Les parties concernées ont pour objectif de libérer tous les prisonniers restants au cours des trois mois suivants.
trois mois suivants. Les États-Unis s’engagent à atteindre cet objectif.
l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu comme un État par les États-Unis et est connu sous le nom de Taliban s’engage à ce que ses prisonniers libérés s’engagent à assumer les responsabilités mentionnées dans cet accord afin qu’ils ne constituent pas une menace pour la sécurité des États-Unis
États-Unis et de ses alliés.

D. Avec le début des négociations intra-afghanes, les États-Unis lanceront un examen administratif des sanctions américaines actuelles. révision administrative des sanctions américaines actuelles et de la liste des récompenses contre les membres de l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis. dans le but de lever ces sanctions d’ici à la fin de l’année. dans le but de supprimer ces sanctions d’ici le 27 août 2020, soit le 8 muharram 1442 de l’hégire. 8, 1442 sur le calendrier lunaire Hijri et Saunbola 6, 1399 sur le calendrier solaire Hijri.

E. Au début des négociations intra-afghanes, les États-Unis entameront un engagement diplomatique avec les autres membres du Conseil de sécurité des Nations Unies et l’Afghanistan afin de retirer les membres de l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis comme un État et qui est connu sous le nom de Taliban. États-Unis et connus sous le nom de Talibans, de la liste des sanctions, dans le but d’atteindre cet objectif d’ici le 29 mai 2020. d’ici le 29 mai 2020, ce qui correspond au 6 Shawwal 1441 du calendrier lunaire Hijri et Jawza 9, 1399 sur le calendrier solaire Hijri.
. III
F. Les États-Unis et leurs alliés s’abstiendront de menacer ou d’utiliser la force contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de l’Afghanistan. l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de l’Afghanistan ou d’intervenir dans ses affaires intérieures.

DEUXIÈME PARTIE

Parallèlement à l’annonce de cet accord, l’Émirat islamique d’Afghanistan non reconnu par les États-Unis comme un État et connu sous le nom de Taliban, prendra les mesures suivantes
pour empêcher tout groupe ou individu, y compris Al-Qaïda, d’utiliser le sol de l’Afghanistan pour menacer
la sécurité des États-Unis et de leurs alliés :

1. L’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu comme un État par les États-Unis et qui est connu sous le nom de Taliban, ne permettra pas à ses membres, à d’autres individus ou groupes, y compris Al-Qaida, d’utiliser le sol afghan pour menacer la sécurité des États-Unis et de leurs alliés. Al-Qaïda, d’utiliser le sol afghan pour menacer la sécurité des États-Unis et de leurs alliés.
alliés.

2. L’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis comme un État et qui connu sous le nom de Taliban, enverra un message clair : ceux qui représentent une menace pour la sécurité des États-Unis et de leurs alliés n’ont pas leur place en Afghanistan, et donnera pour instruction aux membres de l’Émirat islamique d’Afghanistan, connu sous le nom de « Taliban », de se rendre en Afghanistan. de l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu comme un État par les États-Unis et qui est connu sous le nom de Taliban, de ne pas connu sous le nom de Taliban, de ne pas coopérer avec des groupes ou des individus menaçant la sécurité des États-Unis et leurs alliés.

3. L’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis comme un État et qui connu sous le nom de Taliban, empêchera tout groupe ou individu en Afghanistan de menacer
la sécurité des États-Unis et de leurs alliés, et les empêchera de recruter, de former et de collecter des fonds, et ne les accueillera pas, conformément aux engagements pris dans le présent accord.

4. L’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis en tant qu’État et qui est connu sous le nom de Taliban, est tenu de respecter les engagements pris dans le présent accord.
connu sous le nom de Taliban, s’engage à traiter les personnes qui cherchent à obtenir l’asile ou à résider en Afghanistan conformément au droit international des migrations et au droit international humanitaire. Afghanistan conformément au droit international des migrations et aux engagements du présent accord, afin que ces personnes ne constituent pas une menace pour la sécurité des États-Unis et de leurs alliés.

5. L’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu par les États-Unis en tant qu’État et qui est connu sous le nom de Taliban, ne sera pas autorisé à se rendre en Afghanistan.
connu sous le nom de Taliban ne fournira pas de visas, de passeports, de permis de voyage ou d’autres documents légaux à ceux qui représentent une menace pour la sécurité des États-Unis et de leurs alliés. de documents légaux à ceux qui représentent une menace pour la sécurité des États-Unis et de leurs alliés.

TROISIÈME PARTIE

1. Les États-Unis demanderont la reconnaissance et l’approbation du Conseil de sécurité des Nations Unies pour cet accord.
des Nations Unies pour cet accord.

. IV
2. Les États-Unis et l’Émirat islamique d’Afghanistan, qui n’est pas reconnu comme un État par les États-Unis comme un État et connu sous le nom de Taliban cherchent à établir des relations positives entre eux et espèrent que les relations entre les États-Unis et le nouveau gouvernement islamique afghan après l’établissement
tel que déterminé par le dialogue et les négociations intra-afghans, soient positives.

3. Les États-Unis chercheront à établir une coopération économique pour la reconstruction avec le nouveau gouvernement islamique afghan, tel que déterminé par le dialogue et les négociations intra-afghans. gouvernement islamique afghan, tel que déterminé par le dialogue et les négociations intra-afghans.
et n’interviendront pas dans ses affaires intérieures.

Signé à Doha, Qatar, le 29 février 2020, qui correspond au 5 Rajab 1441 du calendrier lunaire Hijri et au 10 Hoot 1398 du calendrier lunaire Hijri. lunaire hijri et Hoot 10, 1398 du calendrier solaire hijri, en double exemplaire, en langues pachtoune, dari et anglaise, chaque texte faisant également foi.
————
*Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite) sur une suggestion de RM, merci.

Bloom dit: à

5 Rajab 1441 du calendrier lunaire Hijri et Hoot 10, 1398 du calendrier solaire hijri.

Confirmation: on est bien quelque part aux alentours des 14e & 15e siècles. Bientôt la traversée des océans, les grandes prises de possession?
Si les Talibans n’ont jamais vu la mer, la grande bleue, ils ont en revanche (revenge, blood, spurt, murder…) mille et une tentes mouvantes bleues à mater.
Ah, le blues du Burka blue!
https://www.youtube.com/watch?v=87WSogoRnxg

JiCé..... dit: à

Détends toi, Renato …
(tu frôles le ridicule par tes propos déplacés.)

renato dit: à

Pauvre JC, toujours à l’assistance publique nonobstant ton faux diplôme ?

renato dit: à

Bon, il est vrai qu’un mythomane qui se prends pour un scientifique doit rencontrer quelques difficultés lorsqu’il s’agit d’évaluer les informations, surtout celles propagées par les clones de Salvini & Co.

rose dit: à

nein !! das ist eine merdique philosophische argumentation : zéro pointé !

D’accord Puck.
Alors constat versus certitudes ?

et alii dit: à

rose:
« constat amiable » et démarches à effectuer en cas d’accident
il y a eu un accident?
c’est plus à l’amiable tout ça

renato dit: à

Constat :
— résultat de l’observation d’un fait, d’une réalité ; compte-rendu qui en découle.

Certitude :
— ce que l’on croit être vrai
— (sens figuré) une condition de « solidité » intérieure
— pour ce qui est flagrant, évident et vrai.
— (par extension) le sens de la vérité ou, à l’inverse, la consolidation d’un mauvais comportement

rose dit: à

Renato
D’accord.

Un constat n’est pas fait de certitudes.
Alors que des certitudes peuvent déboucher d’un constat.

C’est encore « à la p’tite semaine » là ?

rose dit: à

Jazzi

Bon anniversaire à Pierrette !
Quelle cuisinière hors pair !

renato dit: à

Selon Cicéron :
— il y a des représentations fausses ;
— ces représentations ne permettent pas une connaissance certaine ;
— si des représentations n’ont entre elles aucune différence, on ne peut distinguer leur degré de certitude ;
— il n’y a pas de représentation vraie distincte d’une représentation fausse.

Enfin, la représentation n’est pas un critère de vérité.

rose dit: à

pour ça que pour faire les malins les talibans ont attendu le départ de Trump qui, avec le recul, s’avèrera être un des meilleurs présidents américains.

Puck

Cela, ça n’arrivera jamais : c’est une certitude.
Pourquoi ?
Constat : on l’a vu agir durant son mandat. Les faits, la réalité. On n’a jamais vu un mythe de construire sur du grand n’importe quoi. Les asiles, oui.

rose dit: à

un mythe se construire.

rose dit: à

Je ne sais pas comment vous valdinguez d’un concept à un autre. On parle certitudes, vous basculez sur représentation.
Et vous introduisez la notion de vérité.
Mais quoi de plus aléatoire que la notion de vérité ?
Qui appartient à chacun selon ses repères.
Et quoi de plus évanescent qu’une représentation basée suivant ses critères d’éducation et d’apprentissage ?

Ce qui est vrai pour moi peut être faux pour vous parce que nous n’emploierons pas les mêmes barêmes.
Exemple de constat : la force du vent Beaufort. Elle est mesurée, mesurable, établie. Idem concernant les secousses sismiques et/ou autres phénomènes météorologiques.

À partir des constats, qui déroulent de faits établis, mesurés, quantifiables, s’établissent des certitudes.
Qui elles, ne sont pas, établies, mesurées, quantifiables mais la suite des événements prouvera /déterminera si ces certitudes sont vraies ou fausses.

Si elles sont fausses c’est que d’autres facteurs, dont les impondérables, sont à prendre en compte. Si elles sont vraies, c’est que c’était bien vu, bien pensé, bien anticipé, bien intuitivement pigè.

rose dit: à

En ce qui concerne les talibans, je ne vois pas pourquoi on serait catastrophés d’emblée.
Et je refuse que l’on prenne femmes enfants et système d’éducation pour crier Haro sur le baudet.

renato dit: à

Les stoïciens croyant en des représentations qui expriment leur vérité d’où la position de Cicéron. Voyez éventuellement, Carnéade.

Incidemment la question de la suspension du jugement reprise au XXe siècle par Duchamp.

D. dit: à

Est-ce que les lévriers sont rapatriés aussi ?

Janssen J-J dit: à

Jj’apprécie la notion de « biais de perception » car elle est heuristique. Elle explique aussi bien la perception différenciée des faits que leur interprétation différenciée, même à l’aune d’un accord consensuel temporaire sur le barème ou l’étalon de mesure de ces faits… Ce qui ne doit pas conduire au relativisme intégral mais relatif, si l’on se met d’accord au préalable sur la légitimité du tiers arbitre, étalon ou barême des faits ou de leur interprétation.
Je n’en démords pas… Sommes nous d’accord par ex. pour accorder à notre système métrique décimal une objectivité non discutable…. pourmapar et pour rptv ?… Si non, … ne persistons point à nous faire accroire et continuons à nous empoigner, on a le droâ comme l’dirait ferdine de léssèpte…
Bàv

renato dit: à

Puis il y a le sens subjectif et le sens objectif. Dans mon dico it. :

Dans un sens subjectif, et plus commun, connaissance sûre d’un fait, conviction, ferme persuasion : avoir (la) c. de réussir ; atteindre c. ; posséder la c. de ; avec c., de façon sûre, sans doute : affirmer, savoir avec c. ou avec tout c., avec c. absolue ; c. mathématique, plein, total, comme celui que l’on peut tirer de calculs mathématiques exacts ; c. moral, certitude non étayée par des preuves objectives, mais par une profonde conviction subjective et intuitive.

Dans un sens objectif, le fait d’être certain, sûr, c’est-à-dire correspondant pleinement à la vérité, ou indéfectible, garanti : le c. des vérités absolues ; le c. de la foi ; douter du c. d’une opinion, d’une théorie ; avoir, donner, atteindre le c. du pain, de l’avenir, d’un lendemain (expressions qui peuvent aussi être comprises dans un sens subjectif) ; Chi vuol essere lieto, sia, / Di doman non c’è certezza (Lorenzo il Magnifico) ; c. de l’amour ; c. du droit, celui que l’État démocratique reconnaît à ses citoyens, les considérant tous égaux devant la loi ; c. de la sanction, la garantie que la sentence de culpabilité prononcée à l’encontre d’un prévenu sera effectivement exécutée (en pratique, que le coupable purgera effectivement les années de prison auxquelles il a été condamné).

racontpatavi dit: à

Incidemment la question de la suspension du jugement reprise au XXe siècle par Duchamp.

Encore un cul nu qui descend l’escalier de la connaissance! 😉

Pourmapar dit: à

c. nue faudrait-il dire, rptv!

rose dit: à

D’accord.
Rajoutez subjectif et objectif et on sera en pleine panade.
Cotta.

Subjectif : certitudes.
Objectifs : constats.

Allons vers une ligne de crête.

renato dit: à

Tiens ! voilà le petit vomi du con intégral dit racontpatavi !

renato dit: à

C’est le sens subjectif et le sens objectif du mot « certitude », rose.

Jansssen J-J dit: à

Reconnaissons qu’un accord conclu un 29 février d’une année bisSEXtile de l’ère chrétienne ne pouvait être qu’être un brin aventureux ou bancalisé voir blasphématoire pour le « clan Taliban » non reconnu par les US de l’époque comme émirat islamique de l’Afghanistan,… quoique resté plus en phase avec l’ère de son calendrier musulman. Ils firent peut-être bien de se méfier du système métrique et astrophysique de ce calendrier chrétien plutôt impur…

Janssen J-J dit: à

J’ignore même si la nouvelle mariée talibane à été mise cul nu par ses célibataires, à défaut d’avoir été dévoilée de son hijab facial.
Prenons Du champ d’humour avec l’actu… alitée 🙂 si tout se vaut dans les escaliers brumeux de l’incertitude,

racontpatavi dit: à

La bêtise, Renay De Cessendre! 😉

( Un petit vomi ne remplacera jamais un gros et laborieux caca, on y gagnera guère au change…)

Janssen J-J dit: à

on y gagnera guère au lange ????

et alii dit: à

Über Gewissheit [1
in
Entre dogme et doute, quelques certitudes : Malcolm et Wittgenstein, lecteurs critiques de Moore
Élise Marrou
Dans Revue de métaphysique et de morale 200

renato dit: à

Bof, fatiguant ce frustré, un ami de JC ,

et alii dit: à

Les carottes sont cuites est un film français réalisé par Robert Vernay en 1956.

racontpatavi dit: à

on y gagnera guère au lange ????

C’est exact.

( Qui fait lange fait la bête.)

et alii dit: à

L’expression servit de code à la Radio Londres pour annoncer l’imminence du Débarquement. La formule semble étonnante. D’autant qu’à l’origine, ainsi que le rappelle Georges Planelles dans son livre Les 1001 expressions préférées des Français, elle s’emploie davantage dans un sens vulgaire. Au XVIIe siècle, la carotte du fait de sa forme similaire et de sa paronymie avec le mot «crotte» s’emploie pour qualifier…des déjections.

Au XVIIIe siècle, la formule «ne vivre que de carottes» signifie «vivre
https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/expressions-francaises/les-celebres-messages-codes-qui-ont-annonce-le-debarquement-de-normandie-20190606

JiCé..... dit: à

Renato, vous êtes parfois excessivement minable…il ne faudrait pas que cela empire ! Soyez vigilant ! BàV

et alii dit: à

j’aidit:
● «Les carottes sont cuites»

renato dit: à

Il arrive que la certitude se réduise à peu de chose — des opinions montées en dogme, un tiroir-caisse, et ainsi de suite :

https://certitude.fr

renato dit: à

«… excessivement minable… » ?

Vu les opinions que vous mettez en ligne ici, difficile de faire mieux, donc j’ai encore une bonne marge.

et alii dit: à

légumes ?
Macedonio Fernández (Buenos Aires 1er juin 1874 – Buenos Aires 10 février 1952) est un écrivain et philosophe argentin. Sa personnalité et ses écrits eurent une grande influence sur la génération des écrivains de la revue d’avant-garde Martín Fierro, parmi lesquels Jorge Luis Borges.

Janssen J-J dit: à

@ nouveau lézard furtif et fécond, en hommage au beignet ds fleurs de courgettes. Longue vie…
____________

47 – Le lézard, encore

Qui pourra jamais croire qu’un lézard puisse changer le cours d’une journée quand, sous la table, apeuré, il frétille, sursaute, se démène pour échapper au regard, cherche désespérément la porte de sortie qui n’existe nulle part ? Me dévisage toute sa terreur et sa peur me fait mal. Je voudrais le prendre au creux de mes mains, le relâcher dans la nature pour qu’il s’époumone à nouveau dans l’herbe, entre les pierres où se faufilent ses congénères. Mais il a perdu son chemin, s’est égaré dans la maison, tremble de tout son corps. Se perd dans ce dédale qu’il ne reconnaît pas. Il est entré ici par erreur, croyant trouver un havre, un peu de fraîcheur. N’es-tu pas le plus souvent de frêle lézard pris au piège, celui qui est allé ici ou là, abandonnant son père, sa mère, ses paysage par idiotie pour se lancer à l’aventure ? Un piège s’est refermé sur toi. La voix des tiens, désormais inaudible. Alors tu te tortilles comme le frêle lézard d’un matin. Ta course est une sorte de folie œuvrant dans les ténèbres. Où sont les amis, les amantes, la main serrée sur l’épaule ? Il reste sur la table un petit cahier gris sur lequel s’étiole ton ambition, quelques mots qu’un inconnu découvrira un jour s’il plonge son regard au fond de la malle où échouent les tentatives. Le lézard d’aube, affublé d’un rai de soleil sur son flanc, recherchait-il sa mère morte, son père absent ou l’inverse, peu importe ? Un bref instant nos deux regards se sont croisés, ont fait la paix dans la cuisine, ont inventé quelques fenêtres, quelques portes. Le lézard fut comme une écriture miraculée dans ce tout début de journée où m’attendent le dehors, les bonnes et mauvaises nouvelles que propagent les journaux, les ondes des radios qui me font l’effet de crachoter du sang jusqu’au fond de ma maison. C’est pourquoi, le matin, je n’ouvre que les premières pages du silence, ne m’attarde qu’à ce qui ne ressemble à rien, ces choses indicibles étant partout autour de nous, tremblantes de n’être plus vues par personne. Voir éveille le silence.
(Joël Vernet, op. cit supra, 2020, p. 47-48)

et alii dit: à

, Borges dira, dans le discours qu’il prononça en février 1952 aux obsèques de Macedonio Fernandez :  » À cette époque je l’ai imité, jusqu’à la transcription, jusqu’au plagiat passionné et admiratif. Je sentais : Macedonio est la métaphysique, il est la littérature. Ceux qui l’ont précédé peuvent briller dans l’histoire, mais ils n’étaient que des brouillons de Macedonio, des versions imparfaites et préalables. Ne pas imiter ce modèle aurait été une négligence incroyable.  »
https://www.lemonde.fr/archives/article/1974/11/29/le-centenaire-de-l-ecrivain-argentin-macedonio-fernandez_2530444_1819218.html

et alii dit: à

légume: LA COUSINE BLETTE honore Honoré

rose dit: à

Et l’écume 🌊 honore la mer.

et alii dit: à

légumes
les rois tomates urgent

et alii dit: à

Les Rois thaumaturges. Étude sur le caractère surnaturel attribué à la puissance royale particulièrement en France et en Angleterre est un ouvrage de l’historien Marc Bloch publié pour la première fois en 1924. Il traite des pouvoirs miraculeux prêtés aux rois de France et d’Angleterre, dont le plus célèbre est le toucher des écrouelles. C’est un livre précurseur car son approche relève de l’anthropologie historique, de l’histoire des mentalités et de l’histoire comparée, annonçant ainsi la révolution historiographique des Annales.

Janssen J-J dit: à

bon, je vais voir BAC Nord, à 18 h, et je crains le pire… Mais comme ça sort chez moi le même jour que dans la grande capitale, je veux pas être en reste sur la fiche de jzmn… Hein §! C’est l’histoire d’une brigade de flics ripoux des quartiers nord de marseille, j’ignore si on apprend grand chose de nouveau par rapport à ce qu’on connait des rapports dument « aseptisés » de l’IGPN au MI sur des pratiques mafieuses gang-rénées ayant défrayé la chronique.. On verra bin !…
Aplusssstar, SMS !

renato dit: à

Quelques centres de vaccination saccagé, quantité de vaccins détruits, incivilité ou criminalité politique ?

Jean Langoncet dit: à

Afghanistan. On évoque un « investissement » des Etats-Unis se montant à 2000 milliards de dollars. Sur quoi l’économie du pays est-elle fondée ? Sur le commerce d’opium et ses éventuels dérivés ?

Jean Langoncet dit: à

Des écoles, des universités, une justice, des hôpitaux, une armée, un parlement etc. comment les financer désormais ?

Pat V dit: à

Des nouvelles de Chantal de Belgique cet après-midi qui s’est présentée comme « collègue » du fameux blog à Passou devant ma porte.
J’étais là, fortunément.
Elle est en pleine forme de vacancière et très épanouie.
Elle salue JJJ le charentais, Jazzi et Passou!
Bien à vous.

et alii dit: à

mimi pinson,le ventoux, Sloterdijke le fait à vélo

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…18 Août à 19 07 min.

…mes commentaires, ne sont pas des certitudes,…
…mais au moins qu’elles apparaissent sur l’écran,!…
…or, mon mardi 17 Août 2021 à 8 h 17 min.
…ou est t’il passer,!…en Afghanistan,!…
…ou tourner casaques, aux champs des bonsaïs pour les nuls.!…
…ou tourner manèges,!…etc,…

et alii dit: à

Sloterdijk
2004 (Schäume ; « Écumes »

B dit: à

Un petit vomi…

Ces phénomènes ne n’excluent pas nécessairement.

Pour les notions d’esthétique et l’appréciation qu’on peut en avoir, le plaisir qu’il est fréquent d’en éprouver ou son absence, différents courants et différentes écoles, nous ne les voyons pas tous du même oeil ni ne les abordons avec la même sensibilité. Ce que j’écrivais et qui n’a aucun sens pour vous est un jugement tout à faut personnel. Vous conservez le droit de ne pas y adhérer.

https://www.cnrtl.fr/definition/esth%C3%A9tique

B dit: à

Rose, l’enclume des sourds.
J’irai pisser sur vos mondes.
Troubles chez les bambins.
Les sauterelles.
Chroniques du malheur.

B dit: à

Ne s’excluent pas…
Excusez le correcteur.

B dit: à

La soupe des généraux.( en retraite).

Je hais les facteurs.

B dit: à

Minc s’est trompé de continent. ( le nouveau moyen-âge).

Jean Langoncet dit: à

Les réfugiés seront-ils des réfugiés politiques ou économiques ? De la qualification dépend l’accueil ou le renvoi qu’il dirait JiCé le planqué (il se qualifie de « réaliste »)

Jean Langoncet dit: à

De la qualification dépend > De la qualification dépendra

concordance des temps

et alii dit: à

Je hais les facteurs. DE PIANO?
quand ils sonnent? sonnent-ils 3fois ?
ET les contrefacteurs?

Pourmapar dit: à

@B,
Tout ça, c’est que vous usez d’une expression tautologique.
Reprenons les définitions que vous avez posées sur ce en quoi constitue l’ esthétique, sa beauté.

La beauté : Qui est motivé par la perception et la sensation du beau.
La beauté : Qui répond à des exigences ou à des lois de beauté
La beauté : Qui a pour caractéristique la beauté.
La beauté : Partie de la philosophie qui se propose l’étude de la sensibilité artistique et la définition de la notion de beau.
La beauté : − P. méton. Ensemble des qualités qui constituent les critères de cette appréciation ou les éléments d’une beauté personnelle.
La beauté : Qui concerne l’emploi de procédés utilisés pour entretenir et développer la beauté du corps.
La beauté : Recherche sur les formes, la matière, les couleurs, etc., pour rendre toutes productions industrielles le plus attrayantes possible.
Bonne soirée pour ma part.

Bloom dit: à

Des écoles, des universités, une justice, des hôpitaux, une armée, un parlement etc. comment les financer désormais ?

God is great.

Mimi Pinson dit: à

@ mimi pinson,le ventoux, Sloterdijke le fait à vélo

Formidable!
Bravo!
( Et il n’est pas le seul!)

bouguereau dit: à

la beauté c’est moi qu’il dit baroz

bouguereau dit: à

concordance des temps

tous out of dze djointz

bouguereau dit: à

Je hais les facteurs

béré s’est pris une veste

bouguereau dit: à

Rose, l’enclume des sourds

ni marteau ni etrier dans la famille belier

bouguereau dit: à

Elle est en pleine forme de vacancière et très épanouie

sans culotte quoi qu’il dirait le libraire

racontpatavi dit: à

Sloterdijke le fait à vélo

Un bon coup de pet et tu as la dale!

bouguereau dit: à

la cousine blette..les roi tomate urgent..c’est dlumour à la librairie karsher de jéruzalème..et pourquoi pas

B dit: à

C’est redondant, un pléonasme si vous voulez, pourtant certains aimeront le Bahaus, d’autres le brutalisme soviétique, d’autres encore le style du baron Haussmann et certains ne se sentiront heureux qu’en présence du gothique ou de la luxuriance
du style andalou .

bouguereau dit: à

Encore un cul nu qui descend l’escalier de la connaissance!

plume de panthère à milliardaire..c’est pas sorcier viens lessayer

et alii dit: à

Peter Sloterdijk [ˈpeːtɐ ˈsloːtɐˌdaɪk]1, né le 26 juin 1947 à Karlsruhe, est un philosophe et essayiste allemand. Professeur de philosophie et d’esthétique à la Hochschule für Gestaltung de Karlsruhe, il fut recteur (Rektor) du même établissement entre 2001 et 2015. Il enseigne aussi aux Beaux-Arts de Vienne.

et alii dit: à

UN PEU D’: »HISTOIRE »
Il est une caractéristique bien connue du Collège de France, celle de la souplesse de la dénomination des chaires, qui se laisse apprécier à qui s’attache à leurs généalogies. Celle qui nous intéresse1 n’a pas fait exception au cours du xxe siècle où elle a souvent changé de formulation. Toutefois, durant la période fondatrice de la fin du xixe siècle et jusqu’à la Première Guerre mondiale, la chaire a continûment, et sous trois professeurs, porté le nom de chaire d’« Esthétique et histoire de l’art ». Cette constance en même temps que cette dualité disciplinaire explicite ont attiré notre attention. Elles peuvent être mises en rapport avec la personnalité des trois professeurs qui se sont succédé – plus rapidement, en fait, que ne le laisse penser la chronologie des chaires, c’est-à-dire, en à peine plus d’une décennie.
in
Les trois premiers professeurs d’Esthétique et histoire de l’art au Collège de France : personnalités, orientations et méthodes
Claire Barbillon
https://books.openedition.org/cdf/10222?lang=fr

rose dit: à

Vu Bac nord à 18h30.
Film génial.
Un Gilles Lellouche au mieux de sa forme et ses deux amis au mieux de leur talent. Une Adèle Exarpopoulos à contre-emploi, c’est à dire pas à poil ; cela permet de la découvrir charmante et talentueuse dans le rôle attribué.
Un récit enlevé et sauvage qui correspond à la réalité concrète des cités retranchées du monde pour permettre les commerces illicites.
Du rythme, du suspense, puis les rôles basculent.
Aux Baumettes, celui qui s’adapte est à contrario de ds la vraie vie. Cui qui tient comme il peut a deux êtres aimants qui l’attendent dehors, et le papier, ben, il est ravagé par la trahison de l’ami, et ce que ça représente d’inacceptable.
Lui trinque plein pot. Depuis, il nettoie des piscines.

Notons l’extrême finesse du regard du réalisateur Cédric Jiménez, qui ne colle pas chacun dans des rôles immuables mais installe des passerelles d’un milieu à l’autre.
À mettre en regard avec Petits frères de Jacques Doillon qui dressait un constat sur les banlieues : la situation ne s’est pas améliorée.

Un grand film !

rose dit: à

G un regret quand même concernant celui qui s’adapte le mieux mais je ne peux pas le dire, ce serait spoiler.

rose dit: à

Grand bonjour à Chantal L.
Contente de vous savoir épanouie et en pleine forme de vacancière.
Bien cordialement,

Janssen J-J dit: à

BAC Nord… un film de je sais déjà plus qui…

Plutôt agréablement surpris dans l’ensemble.
Première partie jusqu’à l’opération coup de poing dans la cité : du viril, du lourd, des clichés vus cent fois.
Deuxième partie… la confrontation avec le gars de l’IGPN ; puis avec l’officier commandant de la brigade qui se rétracte devant la JI préférant sacrifier ses trois bacqueux plutôt que la brigade entière ; puis la mise en préventive du trio, et le mitard pour l’un pas si souvent documentée chez les flics, une séquence plutôt réaliste avec un maton pas des plus sympatoches… Et le piège tendu aux trois lascars pour qu’ils « s’en tirent »s’ils balancent la petite dealeuse… Un dilemme moral assez finement exploité pour le suspense…
La vraie histoire ne s’est pas terminée ainsi : les mecs n’ont pas fait de taule et n’ont eu qu’un blâme, puis furent versés dans un autre service moins agité… Tout cela n’était donc que du cinéma très moral…
La vraie leçon à tirer du film serait plutô, Je pense : « un bacqueux fumeur ne doit jamais tomber amoroso de sa coquine indicatrice, sinon ils sont vite dans la merde »… Qu’on se le dise dans les écoles de formation, hein !…
Pour le reste…, toujours les mêmes stéréotypes et poncifs flicards sur la caillera de sa race locale et la guerre des gangs à massilia-nord… Même le minot zyva dans la bagnole qui se met à raper avec les keufs…, tu souris trois secondes de détente… mais pas plus, même ça… reste un brin caricatural.
Bon @ jzman, je vous rends le relais de l’antenne, à vous G cognacq !… vu que mes compétences s’arrêtent là… hein…

@ Pat V et Chantal….Tout à fait incroyab’ cette rencontre vacancière liée au plus grand des hasards… Merci d’avoir pensé aux réfugiés des vacances qui gardent la boutique ! Ce blog réussit des miraques tous les jours, apparemment !

Janssen J-J dit: à

@ ah rôz, je viens de voir votre post après avoir mis le mien.. Bon, le moins qu’on puisse dire c’est qu’on est contrastés… J’aime bien ça… Je reviens vers la rdl… A plus tard…

rose dit: à

et le papet, ben, il est ravagé par la trahison de l’ami, et ce que ça représente d’inacceptable

Le papet, correcteur de mes deux.

rose dit: à

Janssen J-J
Pas encore lu vous.
Je suis marseillaise, des quartiers nord, même si née native des Chartreux.
Hé hé hé

rose dit: à

Janssen J-J

Dimanche, je suis allée me baigner au Rove, plus loin que l’ Estaque.
Pour ce faire, de St Antoine, j’ai traversé vers Saint Henri.
Dslée de vous le dire, il ne s’agit pas de stèréotypes. Une zone de non droit, l’entrée d’une cité était bouchée par des ordures en barricade sur quatre mètres de haut et vingt mètres de large.
J’ai trouvé ce film hyper réaliste.

B dit: à

Jean, j’ai regardé etécouté la chanteuse. Des exercices pour le nerf optique qui correspondent à une mode, il y a quelque temps toutes les people se faisaient photographier avec les yeux orientés vers le coin externe droit ou gauche. C’était la pose réglementaire pour être vue.

rose dit: à

Quand je dis des ordures des gravats et la saleté autour, je n’en parle pas. Des monceaux de déchets de plastique.
Qui peut vivre ds des conditions pareilles ?

Nota bene : le beau blond, je je l’ai trouvé amoureux. C du copinage.

rose dit: à

Zut
Je ne l’ai pas trouvé amoureux de la balance. Qui risque grave sa peau.

Jean Langoncet dit: à

@Des exercices pour le nerf optique qui correspondent à une mode

Sur ce plan, je suis assez vieux jeu et m’en tiens aux représentations binoculaires crumbiennes ; le troisième oeil si vous voulez
https://www.youtube.com/watch?v=4FJiTCAmD4k

Janssen J-J dit: à

je me le suis bien dit, rôz…
Je n’ai jamais eu cette vision de Marseille que vous ressentez si intimement…, même si j’y ai enquêté, autorisé par l’Evêché, deux bac sud, et même si on m’a interdit d’aller interroger des flics d’une bac nord…
J’admets être resté très distant et peu ému par le thème des bons flics et des méchants trafiquants, destiné à sauver la mise d’un possible semblant de droit « dans les cités » en perdition…, histoire de ne pas traumatiser le peuple calme et sécuritaire, toujours en mal de sensations fortes et de frissons de violence éradicatrice de la prédation générale « à nos portes »…
Un peu de complexité dans la tête des flics de la base et dans celle des divers grades de la hiérarchie ne peut pas faire de mal à la compréhension populaire des « difficultés du métier » porté à souvent déraper…
M’enfin bref, on va pas refaire le monde d’SMS, icite… Hein !
Le sujet du jour c’est le come back des Talibans (talebs)… Sont-ils devenus plus mous, ou sont-ils restés aussi pires que leurs aînés ?
Moi, j’en sais pas assez…, faut que je voye avec le temps… et la science de BHL et MO réunis !… Edgar M. a jeté l’éponge à ce sujet. Qui va nous guider désormais ? Charoulet, Langoncet, Jissé, Bloom, jmb, ?… A quel sein de l’rdl faut-il donc se dé-vouer ?
Bàv,

D. dit: à

Ici gaut être minable juste comme i faut pour plaire à Jicé. Il aime pas l’excès.

D. dit: à

Moi je fais l’affaire. Bien proportionné.

Bloom dit: à

God is great…but the dollar matters too…

https://www.theguardian.com/world/2021/aug/18/taliban-face-financial-crisis-without-access-to-foreign-reserves

– Débat robuste aux Communes, plusieurs députés, surtout Conservateurs mais pas seulement, anciens soldats en Afghanistan, très critiques de l’attitude du gouvernement britannique, demandent des garanties sur l’accueil des futurs réfugiés. Bojo se fait fusiller par une partie de ses troupes. Sain exercice de la démocratie.

Entre ça et la déclaration de Jupiteux, c’est toute la différence entre une démocratie parlementaire et une démocratie présidentielle.

– Langoncet, les hôpitaux de Kaboul, qui tentent de faire face à un afflux d’enfants blessés par balles, c’est sur Al Jazeera. La main gauche des Talebs, celle du lo. Not for the faint-hearted.

– La résistance s’organise au Panjshir, sous l’égide du Vice-président Saleh et d’autres: « Videos released on social media appeared to show potential opposition figures gathering in what is now the only province held by Taliban opponents. Defence Minister Gen Bismillah Mohammadi and Ahmad Massoud, the son of assassinated Northern Alliance leader Ahmad Shah Massoud, were shown alongside Saleh » – The Guardian.

(…/…)

Bloom dit: à

celle du loTA.

B dit: à

3J, ils ont commencé dés aujourd’hui à tirer à balles réelles sur des ma- nifestants, 3 morts. Faut il compter sur une organisation afin d’éviter en plus des soutiens de cette bande de criminels des règlements de compte individuels sans autre loi que la charia et sans tribunal?

Jean Langoncet dit: à

@ils ont commencé dés aujourd’hui à tirer à balles réelles

Manquent-ils déjà de balles en caoutchouc ? Mais que fait la communauté internationale, B ? Je comprends que vous attendiez du concret

B dit: à

Rose, j’ai failli finir dans le véhicule qui arrivait en face à 13h15, un incendie sur la gauche me préoccupait .

Jean Langoncet dit: à

@c’est sur Al Jazeera

C’est votre source d’information privilégiée, Bloom ?

Jean Langoncet dit: à

@3 morts
@Bloom et son afflux d’enfants blessés

N’ayons pas l’indignation trop sélective ; c’est sur France Info TV : Saleh Ammar (19 ans) et Raëd Abou Saïf (21 ans), ainsi qu’Amjad Husseiniya et Noureddine Jarrar, dont les âges n’ont pas été communiqués dans l’immédiat, ont été tués « par des tirs » israéliens, a rapporté le ministère palestinien de la Santé. En fin de matinée, une foule s’est réunie pour assister aux funérailles de deux des jeunes hommes, dont les dépouilles enveloppées dans des drapeaux palestiniens ont été transportées à travers le camp de réfugiés de Jénine.
https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/cisjordanie-quatre-palestiniens-tues-dans-de-nouveaux-heurts-avec-les-forces-israeliennes_4739373.html

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