Les écrivains se confessent à la radio comme nulle part ailleurs
Un écrivain c’est une voix que l’on doit retrouver tant à la lecture qu’à l’écoute. Elle le révèle et le trahit quand il espère dissimuler. Sa voix le dévoile. Un précieux recueil, mais « précieux » au sens d’indispensable, paraît ces jours-ci à l’occasion des 50 ans de la Maison de la radio. Les grandes heures (472 pages, 45 euros, La Table ronde/Radio France éditions/INA)réunit dans un format, sur un papier et à travers une mise en page parfaitement adéquats, douze entretiens avec des écrivains, dont six sont inédits, diffusés sur les ondes entre 1950 et 2000.
Nombre de Français des années 50 n’ont lu Léautaud et Paulhan que par ouï-dire après les avoir écoutés des semaines durant au micro de Robert Mallet. Jean Amrouche, en sa triple qualité de poète, essayiste et journaliste, passe pour avoir été l’inventeur du genre, car cela en est un, en 1949 sur Radio France Paris. Il l’illustra en menant 34 entretiens dont l’écrivain Jean Lescure, qui fut conseiller au service de la recherche de l’ORTF, put écrire :
« Les enregistrements des entretiens de ce véritable créateur du genre qu’est Amrouche avec Gide, puis avec Claudel, Mauriac, Ungaretti sont des œuvres dont l’histoire de la littérature ne se passera qu’avec dommage, et dont la perte serait aussi grave que celle du manuscrit des Caves du Vatican, de Protée, de Génitrix, ou de l’Allegria. (…) Ce qui est bouleversant ici et à jamais digne de l’attention des hommes, ce sont précisément les voix humaines, en leur origine même, à ce point où elles ne sont pas encore distinctes des mots qu’elles prononcent. Ce sont les soupirs traqués de Gide devant l’impitoyable question que lui inflige Amrouche, ce sont les roulements massifs de Claudel, les essoufflements torturés d’Ungaretti, les murmures difficiles de Mauriac. Et neuf fois sur dix Amrouche trouve la question qui contraint son interlocuteur à faire aveu de lui-même, et à renoncer à se protéger du masque que l’existence mondaine a autorisé sa voix à se former. »
Jean Amrouche est absent de ce recueil qui pourrait facilement être le premier d’une longue série tant les rayonnages de l’INA débordent d’entretiens de ce niveau ! Les interviewers n’y déméritent pas pour autant que ce soit André Parinaud, Michel Manoll, Thérèse de Saint-Phalle, Eric Laurent, Paul Guimard, André Bourin, Patrick de Rosbo, BHL et Jean-Marie Benoist, Pascale Lismonde. On pourrait en isoler deux pour la complicité manifeste qui les lie à l’interviewé : Georges Belmont, traducteur et ami d’Henry Miller, et Francis Crémieux, si proche d’Aragon.
A la radio, le voussoiement est fortement recommandé : non seulement la familiarité du tutoiement y serait considérée comme déplacé, mais elle présente surtout le défaut d’exclure l’auditeur d’une complicité aux accents de connivence. Ce qui n’empêche pas Jean Giono de tutoyer Jean Carrière. Ce qui reste à l’antenne, et pour cause car le montage n’y pourra rien, peut s’effacer à l’écrit. Car une conversation se réécrit à condition de conserver le ton de la parlerie. Le cas de ce recueil où l’on a veillé à restituer la spontanéité. Ce livre sauve quelque chose qui est d’ordinaire réservé aux archivistes, aux documentalistes et aux producteurs. A ceux qui réécoutent, filtrent, sélectionnent. Il n’est pas seulement prodigue en informations, anecdotes, choses vues : en offrant des clés pour mieux comprendre une oeuvre, des pistes pour saisir l’étincelle qui anime une vie, il permet au lecteur/auditeur d’accéder directement à la vérité de l’auteur sans le truchement des intermédiaires, et de se faire son son image. Qui dira jamais la puissance de l’imaginaire radiophonique ?
On lit ces entretiens et on prend la mesure de ce qui se perd. S’il fallait résumer d’un mot l’ensemble de leurs questions, souvent riches et abondantes, ce serait : « Pourquoi ?.. » Le mot qui paralyse et parfois tue. Car dès qu’il y a un « parce que… », on sort de la littérature. Ce genre difficile de l’entretien radiophonique avec un écrivain, Jacques Chancel (France-Inter), Philippe Caloni et Alain Veinstein (France Culture), Patrick Ferla (Radio Suisse romande), et parfois Alain Finkielkraut (France Culture) lorsqu’il renonce au débat à trois pour le tête à tête, l’ont magnifié. Ils l’ont fait en un temps où la radio s’offrait encore le luxe du temps. Durée moyenne : une heure. Mais une vraie heure, qui ne soit pas mangée par de la publicité ou des disques toutes les cinq minutes.
Aujourd’hui, la plaie de ce genre de conversation, c’est la musique. Pire encore que celle qui interrompt de manière intempestive, celle que les réalisateurs se croient tenus de passer en permanence sous les voix, telle une musique de fond. Qu’importe qu’il s’agisse de Bach ou Clayderman, ce sont là des mœurs d’ascenseurs et de supermarchés. De quoi tuer l’émotion, conduire à la haine de la musique et compromettre ce qui dans ces entretiens relève de l’esprit de la maïeutique. Les écrivains ne soupçonnent pas toujours ce qui les attend lorsqu’ils se rendent au studio d’enregistrement ; après coup, si l’interviewer est suffisamment fin pour le laisser vraiment parler, et le pousser en sachant jusqu’où aller trop loin, ils comprennent qu’ils ont été à confesse. Qu’ils ont lâché davantage qu’ils n’auraient voulu. Qu’ils ont abandonné une part d’ombre. Et qu’on leur a fait dire l’indicible. Car le grain de la voix a fait passer une émotion.
Les archives littéraires de Radio France sont d’un richesse que l’on n’ose dire patrimoniale car le mot fait fuir tant il pue la naphtaline. Espérons que Les grandes heures ne témoigne pas d’une époque révolue, qu’il n’a pas fonction de mémorial et que l’entretien radiophonique avec un écrivain n’est pas mort. Ce serait le comble au moment où les technologies vont permettre à l’écriture et l’oralité de se rejoindre, comme l’annonce un spécialiste de la génétique littéraire, Pierre-Marc de Biasi :
«Très probablement, l’écriture va aller vers une saisie directe à l’oral – une saisie du texte bien entendu, mais aussi de la mimique, du geste, de l’intonation. C’est étonnant de voir à quel point l’informatique est souvent un retour à quelque chose d’archaïque. Avec le perfectionnement des logiciels de saisie automatique, la machine fera office de scribe, d’esclave qui prend la dictée, tandis que le geste de l’auteur redeviendra oral ».
Ce qu’il manque à ce livre ? Ce qu’il y a de plus beau à la radio : les silences, les trous, les absences. Eux seuls disent l’émotion. S’en priver revient à émonder les enregistrements de Glenn Gould de ses fredonnements, râles et murmures (ses producteurs l’ont tenté, en vain). Ils sont une respiration, un souffle ; à force, une signature. Mais comment retranscrire les silences éloquents d’une Duras, l’accent slave d’un Nabokov, les hésitations chargées de remords d’un Modiano, le timbre caverneux d’un Char ?
Ce qu’il manque encore ? Un CD. Souhait vite exaucé. Il suffit de se transporter sur le site du livre pour écouter Aragon racontant passionnément les réunions des surréalistes chez Breton notant et évaluant Hugo, Romain Gary brûlant de se lancer dans un éloge du Quai d’Orsay mais n’osant pas trop, Henry Miller avouant être enfin en paix avec lui-même, Yourcenar assurant que tout roman est par définition historique, Barthes reconnaissant vivre dans la peur, toujours dans la peur de ce qu’il écrit, Romilly priant si délicieusement de la laisser être optimiste sur l’avenir de la littérature…
(« Jack Kerouac s’écoutant à la radio, 1959 » photo John Cohen ; « Jean Amrouche et André Gide disputant une partie d’échecs » photo D.R.)
640 Réponses pour Les écrivains se confessent à la radio comme nulle part ailleurs
« Dans son catalogue, l’éditeur présente le volume de la correspondance Morand/Chardonne … »
Brown, Brown…
Ça sent le remords.
On dégobille en public, et on va quand même jeter un oeil en loucedé, au cas où…
C’est ça, les lettrés (bravo).
Mais mon camarade Chaloux devrait quand même consacrer quelques lignes pour nous dire pourquoi, à son avis, cette résurrection est intéressante.
(Phil pourrait aussi, mais je n’ai pas compris son collant vert).
Les grands esprit se rencontrent. Je sonnais de l’oliphant par devant et monsieur court arrive par derrière. C’est sympa. il paraît encore un peu fâché, mais la plaie va se cicatriser.
Bonjour et bonsoir monsieur Court.
un n’importe-quoi sexuel
allons bon..voilà les derniers jargons jesuites enfin acclimatés..bravo zouzou
Sur ce coup, M. Court, c’est Marcel qui se montre généreux.
C’est précieux, la générosité.
De plus, Brown et le camarade JC évacuent bien rapidement le cas Louise Michel.
Une sacrée bonne femme, pardonnez-moi….
Les grands esprit se rencontrent. Je sonnais de l’oliphant par devant et monsieur court arrive par derrière
n’importe quoi..sexuel
« allons bon..voilà les derniers jargons jesuites enfin acclimatés..bravo zouzou »
De ta part, qui n’ignores pas l’apport extraordinaire des Jésuites, je le prends comme un compliment.
A ta santé.
Kampai!
u. dit: 3 décembre 2013 à 21 h 03 min
Brown et le camarade JC évacuent bien rapidement le cas Louise Michel.
Une sacrée bonne femme, pardonnez-moi….
Merci, monsieur u., d’avoir remis les pendules à l’heure
4G : le gouvernement invite les consommateurs à se couvrir.
u., je n’y manquerai pas, une petite chronique journalière. Pourquoi pas.
bouguereau dit: 3 décembre 2013 à 21 h 03 min
Les grands esprits se rencontrent. Je sonnais de l’oliphant par devant et monsieur court arrive par derrière
n’importe quoi..sexuel
Il faut allez faire un tour sur le divan de monsieur Fred, Boug.
John Brown dit: 3 décembre 2013 à 11 h 32 min
à des extases burlesques
tu mouilles bien les tapis de chez passou en simulant, à se demander pourquoi tu te donnes la peine de montrer que t’as ton blog
alors fainéant..ce site..jean marron a hate de le polluer..histoire de lui donner du rutilant par derrière..et pas seulement
Il faut allez faire un tour sur le divan de monsieur Fred, Boug
..sur un divan..ma mère c’est exactement ce genre de truc que les jésuites qualifiaient de n’importe quoi sexuel..ça ulcérait freud
tu mouilles bien les tapis de chez passou en simulant
c’est pasqu’il peut pas faire autrement..mais attend un peu que la technique s’affine..enfin « s’affine »..comme dirait le modèle singulier cheuloux
rien n’est donné sans contrepartie
ça dépend le domaine… il est des souvenirs de copains, sans chercher à tout prix de fourguer le mot ami, en or massif en comparaison avec les pétasseries putassières rencontrées plus tard dans la life comme qu’on dit maintenant…
Le Boug, je ne suis pas Saint-Pierre Assouline, il n’y aura pas de commentaires déposés par de vieux graveleux comme toi et John Brown . Je n’ouvre pas un café, ni une maison de tolérance, ni un asile de nuit, ni un chalet de nécessité.
De plus, Brown et le camarade JC évacuent bien rapidement le cas Louise Michel. (u.)
Je ne saisis pas.
Brown, Brown…
Ça sent le remords.
On dégobille en public, et on va quand même jeter un oeil en loucedé, au cas où…
C’est ça, les lettrés (bravo). (u.)
Ah pas du tout. Je ne retire rien de ce que j’ai dit des deux lascars, qui, à mon avis, s’en sont tirés plutôt bien en 44/45, vu leurs états de services de pétainistes et de collabos. Qu’un Morand ait été élu à l’Académie (en 68, en plus!) n’ajoutera rien au prestige de la vénérable institution. J’ai recopié ce texte de présentation dans le catalogue Gallimard à l’intention de Chaloux qui s’étonnait de la discrétion de l’éditeur sur cette publication. il me semble qu’il n’en est rien et que la pub pour le bouquin a été correctement faite. Je note cependant que ce texte n’évoque qu’avec une extrême discrétion ce qui, dans cette correspondance, pourrait fâcher…
C’est la quatrième de couverture du volume.
« VRP » Gallimard, c’était la presse, mon gros.
J’arrive pas à comprendre comment un blog sur la fin fait plus de 400 commentaires en deux jours sur un sujet creux.
J’arrive pas à comprendre.
Quelque part, c’est choquant.
http://www.emballagedigest.fr/blog.php?2011/06/10/12621-coca-cola-lance-un-concours-pour-reveler-tout-le-potentiel-artistique-et-esthetique-des-emballages-de-boissons
D je tombe d’accord avec vous, c’est lassant et il nous faut nous orienter vers d’autres quêtes, des challenges nouveaux qui renouvellent nos buts et nos consommations, par là même notre discours et sa façon.
Il manque un cross-index à la chronologie d’Ismard.
Si la réalité évolue, la vérité d’un instant devrait être invariable. Ce qui rejoindrait l’observation de Barthes sur la photo, non ce qui n’est plus mais ce qui fut.
étrange(r) dans le sens de bizarre?
—
C’est « strange’ ou « eery », ou « weird » (très négatif, qui donne weirdo, pervers)…
L’anglais est une lange facile pourtant. N’importe qui la parle comme Churchill ou Coetzee.
J’oubliais « uncanny »…
L’anglais est une lange facile pourtant
tu as une préférence pour les langes en dentelle ? ça fait weirdo-chic ?
je propose, pour gagner de l’espace, une contraction: weak .
autrement y’a le choix, le modèle $25 billion endowed democracy pour frétiller de l’oiseau, le mom-weirdo à brouter avec le dentier de sa mémère, le best-practices avec 50 instruments de mesure dynamomètre inclus (c’est pas pour l’éclairage of course), le modèle personal train pour flirter avec les butées (là tu peux en avoir avec lueur rouge au cul), le légendaire modèle berlusconi avec tige en métal intégrée, etc…
@ Bloom: Pas encore eu la possibilité de voir le dernier JJ, la distribution bloquée à the limits of control de 2009 et pas sur que le réseau local offre l’intégralité de la moisson 2013.
«Si vous avez du Ku Klux Klan dans le sang, les Noirs peuvent le sentir, même encore aujourd’hui. Tout comme les juifs peuvent sentir le sang nazi et les Serbes le sang croate.»
Voila ce qui ne faut pas dire ! Même si on est aussi célèbre que Bob Dylan … lequel est attaqué devant les tribunaux français par un vague CRAN croate, le CRICCF.
Malaparte aurait du insister sur la tendresse des Croates d’Ante Pavelic vis à vis des Serbes : vous vous souvenez du panier rempli d’yeux, « collectés » par « mes fidèles oustachis », lu dans un de ses romans témoignages … En France, les Tribunaux adorent dénuder la liberté d’expression…c’est vrai qu’elle est mignonne, à poil, attendant le viol ! Non mais quelle époque !
Etudions ce qu’il faut dire et ne pas dire :
Si je dis « Marisol ressemble à une guenon ! » c’est permis par la loi. Simple injure malvenue. Tout le monde rigole. Bêtement.Si vous dites « Christiane ressemble à une guenon ! », c’est un délit, interdit par la loi. Grosse injure raciste. Gros sprountz avec soirée de soutien…Personne ne rigole.
Or il n’y a aucune différence entre ces deux personnes ! Mammifères supérieurs de sexe féminin appartenant à la même espèce, l’espèce humaine, personnes honorables sous tout rapport.
Pourquoi la loi distingue les deux ? Et comment fait elle, la loi ? Comment passe t on de l’injure au délit ?
En fait, la loi est raciste, elle privilégie un être humain par rapport à un autre sur des critères bidons … !
Bon ! En route pour le jogging et bonne journée à tous, racistes et/ou antiracistes !
Inscrivez-vous à l’AJC de Porquerolles, c’est là où je cours : l’Antiraciste Jogging Club. L’équipe va disputer le Jean-Michel Ribes Trophy, en juin …
En juin, il viendra courir avec nous, Jean-Mimi ! Dix mètres, il va courir ! Il nous l’a promis … Dame il est plus tout jeune, et petit, et gros, et lourd ! Toujours bon pour la lutte … mais assis.
J’ai lu que c’était un vilain cathophobe, capable de blasphème, sacrilège, pièce pisseuse, et tout et tout. Les gens sont cons ! Vous vous souvenez qu’à Nancy, l’an dernier, des intégristes catholiques lui avaient jeté à la gueule une assiette pleine d’excréments et de tracts cathophiles…
Aucun risque ici : où irait-on trouver des tracts catholiques ?…
LéoBloomPold 4 décembre 2013 à 3 h 32 min
Mais ‘stranger’ n’a, semble-t-il, pas le sens de ‘weird », how bizarre!
hervé dit: 4 décembre 2013 à 8 h 23 min
Ni de « queer »…how very singular!
Poupin, ce YopLàBloom. Ensuiffé, même…
L’équipe va disputer le Jean-Michel Ribes Trophy, en juin
gaffe aux requins plutôt ça pullule par là-bas
ce qui m’agace chez ce MCourt : son mépris affiché pour ceux qui ne sont pas de son avis ou ne partagent pas ses lectures d’un autre âge ; pov’ petit bonhomme !
Pourquoi la loi distingue les deux ? Et comment fait elle, la loi ? Comment passe t on de l’injure au délit ?
mais t’es bête jicé..elle a des chiens renifleurs de kkk..s’il remue la queue..t’es bon! pour bob dylan..c’matin il en parle sur france mu..et hop aprés il passe une de ses chansons..si si chtassure..ils ont des chiens aussi a lortf
Lorsque, calme, reposé, détendu, l’esprit clair, la tolérance et l’amour de l’autre réglé sur maxi, je relis ce que le pousse-au-crime, l’ineffable, le sadique Passou appelle : » … l’annonce faite par un spécialiste de la génétique littéraire, Pierre-Marc de Biasi « , je tousse. Comme Tonton.
Lorsque je reprends la citation donnée par Passou, càd en quoi consiste l’annonce du dit spécialiste : banalités majeures, propos sans intérêt, retard technique évident… mon pouls bat plus vite, la main tremble en astiquant ma baïonnette-clavier, je contiens à grand peine un rugissement devant tant d’inanité. L’animalité reprends le dessus.
Heureusement que les commentateurs se préoccupent de tout autre chose que de cette contradiction majeur dans les travaux du Sire de Biais : faire de la prospective littéraire qui sente la naphtaline !
..dis donc ton jogging l’est un peu short ça me fait penser a une bande des bidochons ou robert met son survète le samdi matin pour allez boire son pastis..en voiture évidemment
Madame Verdurien, vous affichez du mépris pour Marc Court : c’est bon, n’est ce pas !?
Le mépris, faut pas le garder pour soi, ça frustre… hurkhurk !
Quarante minutes ! Tu veux me tuer, Bougboug ?
faire de la prospective littéraire qui sente la naphtaline !
ce qui est grave c’est qu’il discrédite jusqu’à l’ambition de ses recherches..c’est classique chez les litteraire même les bons qui s’interessent aux technique et spécialement au numérique..ils s’authorisent tellement vite que vient définitivement l’ère du soupçon..le terrible, celui qui consume et ruine
Quarante minutes ! Tu veux me tuer, Bougboug ?
si t’avais ton smartphone lassouline pourrait t’envoyer des applaudissements..et si saint thomas avait eu des google glass kabloom srait cardinal a rome
« on dirait une bédé des 50′s »
Cela dit par un gars incrusté dans les poncifs du XIXe qui se la joue petit-célinien pour faire moderne…
le troll de pq singe le xlouxlouclan
un spécialiste de la génétique littéraire, Pierre-Marc de Biasi (JC)
C’est toujours flatteur d’être bombardé ou de s’auto-bombarder « spécialiste ». Et spécialiste de la génétique littéraire, pourquoi pas. Génétique, ça en jette, ça va dans le sens de l’histoire. On en faisait d’ailleurs bien avant l’invention du mot, de Biasi le reconnaît plus ou moins dans l’interviouve. Non, l’insupportable, c’est l’ambiance de sérieux où tous baignent, les spécialistes et leurs admirateurs. Que la génétique littéraire ne serve à peu près à rien, tout le monde le sait, mais l’essentiel est que ceux qui en font et ceux qui les lisent en fassent et en parlent avec le plus grand sérieux. Il est vrai que, quand les crédits sont en jeu, on aurait tendance à arborer des mines plus sérieuses que jamais… A quand l’avènement de la société ludique ? C’est peut-être elle, au fond, que les situationnistes appelaient de leurs voeux.
pq est en deuil son général est cané
Une idée pour commencer l’année 2014 en beauté et utiliser au mieux vos étrennes ?
Voyez le catalogue de janvier du Mercure de France !
Au programme, Julian Barnes, Pascal Quignard, Denis Podalydès et…
permettez-moi, Jacques Barozzi de préférer ceci
http://www.actes-sud.fr
vous vous trompez JC, le mépris est dans toutes les interventions de ce petit monsieur
On est un peu surpris de voir paraitre, chaudement recommandé par Madame Verdurien, un roman d’Ashton Smith déjà paru chez Néo, et qui n’est que du sous-Lovecraft.
On a le Cottin ou le Ménage qu’on mérite.
Assez d’accord avec u contre la monstrueuse thèorie Butlerienne façon Bonjour « Monsieur-Dame » devenant dans un avenir radieux(?) The way of all flesh.La SF de cauchemar,la vraie, la voilà.
« Si je dis « Marisol ressemble à une guenon ! » c’est permis par la loi. »
Moi, si j’étais Marisol, je porterais plainte… en d’autres termes cela dépend de la volonté de l’insulté…
Il y a quelques années de là, j’ai lu (letemps.ch) avec plaisir d’un Genevois condamné à payer 3.000 FrS de dommages pour avoir traité de petasse une femme… un exemple à suivre…
John Brown dit: 4 décembre 2013 à 10 h 18 min
« Il est vrai que, quand les crédits sont en jeu … »
On est dans le même cas de figure en physique quantique, ça fait des années que les crédits partent dans les équipes Théorie des Cordes, c’est élégant, on en sort rien, mais les budgets autorisent la poursuite, les Cordeux sont contents !
… et les Graviteux qui eux étudient la Gravitation Quantique à Boucles, type Lee Smolin, gueulent : « Et nous ! Eh ! Oh ! » ….
Bref, quand on cherche, on trouve le budget, et on essaie de le garder pour soi.
quand on cherche, on trouve le budget, et on essaie de le garder pour soi.
les pauvres c’est rien qu’un tas de paresseux
« Il y a quelques années de là, j’ai lu (letemps.ch) avec plaisir d’un Genevois condamné à payer 3.000 FrS de dommages pour avoir traité de petasse une femme… un exemple à suivre… »
C’est con ! Le comportement du Génevois condamné était peut-être justifié ! C’était peut-être la Diva des Pétasses ! J’en connais des pétasses et des connasses. Y en a partout … Des cons et des péteux aussi …
Où on va là ? Où on va … si on condamne pour une babiole vulgaire un honnête Génevois !
» Si je dis « Marisol ressemble à une guenon ! » c’est permis par la loi. »
Je disais ça comme un cas d’école… Marisol, celle que je connais, elle ressemble plutôt à une grenouille curieuse, avec son exophtalmie prononcée !
Un cas d’école… certains s’en servent pour garder sans peine une verticalité fictive ? Une pinte de bière, parfois moins, suffit pour casser l’enchantement…
ses lectures d’un autre âge
Verdurien
Heu … Mme Verdurien remplit son caddie en vérifiant la date de péremption ?
Il fallait y penser !
Pour ma part, ce serait plutôt ces incessants ragots et commérages divers que je trouve d’un autre âge … un qqc un peu faisandé ..
Beurk !
Le Conseil constitutionnel censure une partie de la loi sur la fraude fiscale
Le mouvement « Touche pas à mon fric » dont l’emblème est la main crispée, exulte.
Bien évidemment que je permets, Madame Verdurien : j’informe et chacun dispose !
Chère Daaphnée, je ne partage pas votre opinion, et c’est rare, dieu merci !, sur les ragots et commérages qui me paraissent essentiel dans la marche du monde …
Exemple : j’adore l’écume vaseuse liée à l’état de la prostate de notre Pépère chéri d’amour. Cela ne vous intéresse pas ?
Allons, Marcel, allons mon ami, ne fais pas l’innocent ! Le poing fermé… c’est bien le symbole du pognon que la nomenklatura dépensait en devises étrangères dans les magasins Kosmos… non ?
Pui-je me permettre un hurkhurk, génétiquement littéraire ?
jc déposera une rose blanche sur le cercueil à son général
« Le mouvement « Touche pas à mon fric » dont l’emblème est la main crispée, exulte. »
c’est les plus forts
Que la génétique littéraire ne serve à peu près à rien, tout le monde le sait, mais l’essentiel est que ceux qui en font et ceux qui les lisent en fassent et en parlent avec le plus grand sérieux.
Si vous voulez, mais à ce compte là, aller étudier les esquisses qui ont précédé la réalisation d’un tableau non plus !
Ce n’est donc pas que cela ne serve à rien, c’est plutôt qu’il manque des liens, en particulier dans le domaine de la littérature, entre ce que cogitent les chercheurs, ce qui est rendu public de leurs recherches et les lecteurs .. dont on voit bien, et les distributions de prix littéraires en sont bien souvent la parfaite illustration, qu’ils peuvent être de piètres lecteurs tout en étant de « grand lecteurs », c’est à dire qu’ils lisent en quantité ..
« dont on voit bien, et les distributions de prix littéraires en sont bien souvent la parfaite illustration, qu’ils peuvent être de piètres lecteurs tout en étant de « grand lecteurs », c’est à dire qu’ils lisent en quantité .. »
Arrogance gratuite….
Pardon, JC, « essentiel dans la marche du monde » ? Il est vrai que chez certains, c’est LA nourriture propre à maintenir en activité à peine plus que les fonctions végétatives ..
« c’est à dire qu’ils lisent en quantité .. »
Voire au kilo, Daaphnée.
Quand je vois les colonnes carrées du dernier Goncourt, à offrir pour Noël et que la plupart des « récipiendaires » ne liront probablement jamais, qui attendent le chaland à l’entrée des librairies-supermarchés du livre, j’en ai la nausée : de quoi vous dégoûter de la littérature !
Et ces vitrines organisées partout autour de la guerre de 14-18…
Même les pacifistes – à condition qu’ils soient intelligents ce qui est le plus souvent le cas, j’en suis (?!) – peuvent comprendre que les lois de la guerre aménagent fortement la morale en vigueur dans un monde en paix. Cambouis. Saletés. Hontes.
Repose en paix, Aussaresses ! Ceux qui n’ont pas voulu se salir ne sont pas plus clean que toi.
En revanche, je suis content, qu’à l’occasion du film, on ressorte les romans de Violette Leduc…
l’égaré de pq après l’apologie du racisme fait l’apologie de la torture- u. va adorer?
» Si je dis « Marisol ressemble à une guenon ! » c’est permis par la loi. » (JC)
Le manque de discernement de JC en matière de charme féminin m’aura toujours sidéré.
« Et ces vitrines organisées partout autour de la guerre de 14-18… »
Ceux qui ont eu la chance/malchance de lire des lettres de poilus, parents proches/lointains, morts en 14-18, savent ce que le désespoir et le courage veut dire.
Rien de choquant à ce que le business fasse ressortir les morts de l’oubli !
tomas achète châtaignes, marrons tout calibres.
Et ces vitrines organisées partout autour de la guerre de 14-18…
un libraire de choc mettrait des sacs de sable et une machinenguévère 35mm à l’antimoine..l’ak d’jicé srait surbooké
Arrogance gratuite….
c’est vrai qu’en général elle est payante en plus..c’est ça qui fait lplus mal au cul dailleurs
Où on va là ? Où on va … si on condamne pour une babiole vulgaire un honnête Génevois !
c’est sot..ce qui caractérise l’injure c’est le contesque..le public etc..c’est à ça qu’est sensib la loi..rénato est encore dans le littéral comme un commissar du ènkavédé..l’genre a fusiller un porteur de lunette kmère
Johnnie, tu as raison : je n’ai jamais eu que les charmeuses dont les autres ne voulaient pas …
Marisol m’a échappée, Duflot a préféré un génie de la communication, Ségo était prise, Hillary était furibarde, Taubiroute rétive…
Seule Golda Meier était d’accord… hélas ! j’avais un agenda chargé, ça ne s’est pas fait !
On m’a rapporté que Josette avait, au marché, un regard apeuré ?… Pourquoi ?
« Rien de choquant à ce que le business fasse ressortir les morts de l’oubli ! »
ben oui t’as raison c’est même émouvant de les faire voter si nécessaire
Repose en paix, Aussaresses ! Ceux qui n’ont pas voulu se salir ne sont pas plus clean que toi.
jc va ériger un monument à la gloire de son modèle
Si vous voulez, mais à ce compte là, aller étudier les esquisses qui ont précédé la réalisation d’un tableau non plus ! (Daapphnée)
Oui, d’accord, c’est intéressant pour ceux que ça intéresse, et ils sont heureusement nombreux, (j’en suis), mais j’en avais surtout à l’écrasant esprit de sérieux qui règne dans le champ des préoccupations littéraires et qui tue une bonne partie du plaisir qu’on prendrait à tout ça. Si l’on admet que la littérature et l’art sont le champ des activités humaines où règne, par essence, l’esprit le plus sainement ludique (ce qui fait d’eux une source essentielle de bonheur), ne peut-on discerner la pression de compensation et de récupération perverse que la société exerce sur ce domaine, en y ré-injectant artificiellement du sérieux du type le plus lourd ? Richelieu savait ce qu’il faisait en inventant l’Académie, et les promoteurs de prix littéraires ( Goucourt, Nobel, etc.) aussi. On voit bien l’effet désastreux sur certains artistes de la reconnaissance sociale et de la création : Camus se mettant à jouer les sages, Céline s’abandonnant à ses vaticinations antisémites, etc. etc. Et les foules des lecteurs ravis de tenir leur partie, à la façon des guignols de Voltaire : « Cher Maîaître, nous venons vous prier de nous dire pourquoi… » Sus aux maîtres penseurs et encore plus aux maîtres pincés !
ce que le désespoir et le courage veut dire.
pauvre type
l’effet désastreux sur certains artistes de la reconnaissance sociale et de la création (mézigue)
pas de la création : de la consécration
Bouguereau il vient pétarder l’évidence avec le « contesque »… mais bon, il a encore exagéré avec les apéros…
tiens jicé..jme souviens pus bien mais il dit plus loin que l’autre a peur de l’insulter..
..l’évidence c’est tes oublis
Mes oublis ?! où ça petit commissaire du peuple aux allures céliniennes ?
Aussaresses est parti rejoindre les soldats qu’il a dû « questionner ».
Un des seuls ayant eu le courage de raconter des actes, commandés par la République. ÊTRE militaire, obéir, tuer ou « questionner », demande des qualités et pas mal d’insensibilité. Il est très facile de condamner Aussaresses et la torture.
Toute comparaison avec la Milice de Vichy ou la Gestapo, n’est pas compatible.
Marcel dit 3 decembre 18h 57
a propos de Daphnée
« Clopine vous manque et vous avez envie de planter vos jolies canines dans un autre croupion »
Bien vu ce diagnostic d’addiction au bashing
jacques barozzi, la guerre 14 -18 est un secteur porteur de marché.et si le roman est bien foutu? ..brecht avait une expression pour ça: »art culinaire. ».. on mijote les bons ingrédients que le client attend..
Thierry, les « Tokyoïtes » en jupettes vous les prenez toujours par derrière ?
ça va encore jaser et D. va en être particulièrement jaloux !
tkt est rigolo quand il se met à parler d’histoire
Jacques Barozzi, vous confondez jupette et robe longue ?
Vêtement ancien revisité, c’est très élégant. J’attendrais volontiers des Bavarois et autres Tyroliens, de moderniser leurs costumes de peau et loden. Ceci dit, quoi de plus élégants et sophistiqués, que les Bavarois et Bavaroises en costumes traditionnels haut-de-gamme (chic et rustique) ?
les « Tokyoïtes » en jupettes vous les prenez toujours par derrière ? (Jacques Barozzi)
Tiens, mais je bande ! je bande !
Oui, Paul Edel, le « secteur porteur » aujourd’hui c’est l’humanitaire : les bons sentiments feraient-ils les bons romans ou les bons films ?
Exemple :
http://www.youtube.com/watch?v=w6fPeOdBtXg
DHH entretient ses fonctions végétatives malodorantes
Là, c’est plutôt les talons qui sont hauts, Thierry !
http://traube.blog.lemonde.fr/files/2013/12/581-Man-in-red.jpg
« Tiens, mais je bande ! je bande ! »
Au prix du viagra, on dit merci à qui JB ?
esprit de sérieux qui règne dans le champ des préoccupations littéraires
La recherche est qqc, en soi, de très sérieux!
Après le temps des publications, des colloques etc .. il pourrait y avoir, probablement, des communications faites avec plus de légèreté, c’est certain ..
C’est sans doute cet « espace » là de communication qui n’existe pas .
Mais passer du sérieux à la légèreté, excepté dans le cercle restreints de proches, c’est bien souvent mal compris !
Moi aussi.
C’est le printemps…
Dire, c’est faire.
Racine
quant à l’idée du maître à penser, d’accord pour détrôner les idoles, oui. Il n’empêche qu’il y a quelques bonnes leçons à prendre parfois tout simplement parce que le « maître » en question possède son sujet !
On peut reconnaître et apprécier sans faire partie d’une cour .. Cela me semble tellement évident !
Dans cette époque où les gamins dans certains milieux s’insultent en se traitant d’ « intello » , il y de quoi y réfléchir à deux fois ..
»art culinaire. ».. on mijote les bons ingrédients que le client attend..
Je trouve assez cocasse, Paul Edel, cette remarque de votre part ..
Wizard, vous avez dit Wizard !
Vous êtes enfin sortie des toilettes, Daaphnée, et désormais vous vous êtes mis en cuisine ?
Pardon, Jacounet ?
Non, j’envoie seulement promener DHH, ses ragots et vieilles salades.
@wizzard 13 h17
quel tact!quelle delicatesse,quelle subtilité dans la pensée et dans l’expression !
Pour sur vous êtes une tête
SÛR, DHH. N ‘oubliez pas ce petit chapeau, il vous donnera un peu d’élégance.
rose dit: 4 décembre 2013 à 13 h 32 min
« Dire, c’est faire. »
Racine
On voit bien qu’il n’avait guère à faire avec nos politiciens… !
daaphnée, vous êtes d’une acuité effrayante.
Avec vous, Paul Edel, c’est un jeu .. d’enfant.
Enfin .. , vous êtes bien plus à votre avantage quand vous parlez de ce que vous aimez vraiment ..
http://traube.blog.lemonde.fr/files/2013/12/581-Man-in-red.jpg
C’est Traube, ce troutrou… ? Notre Traube à nous, qu’on l’adore ? je le voyais plus discret, plus classieux… tout se perd !
Daaphnée, Paul Edel, qui a eu la gentillesse de m’inviter un soir à dîner chez lui, fait très bien la cuisine. quand pourrais-je venir goûter à la votre ?
Mon Jacounet, vous n’en ratez pas une !
Mais quand vous voulez, figurez-vous … Enfin, vous ne seriez pas si pipelette, ce serait quand vous voulez ..
Seriez-vous victime de vos préjugés, Daaphnée ?
Dommage, vous constateriez que je suis un garçon délicieux !
« Paul Edel, qui a eu la gentillesse de m’inviter un soir à dîner chez lui, fait très bien la cuisine. »
Ce blog littéraire de haut niveau autoproclamé devient franchement répugnant !
Au prix du viagra, on dit merci à qui JB ?
question bien perfide baroz..tu devrais écrire « le gout du viagra »..à l’oral sur ton ordi..selon la geste debiasi
Ce blog littéraire de haut niveau autoproclamé devient franchement répugnant !
tu veux dire que polo va des chiottes a la cuisine direc aussi ?
je le voyais plus discret, plus classieux… tout se perd !
vontraube même à pied a la tête dans les nuages et les fesse en l’air..ça lui vient de goering
Mais JC, si tu m’invites à Porquerolles, je viendrais aussi !
Le boug, j’ai décidé d’arrêter ma participation à la collection des goûts de… et aussi aux livres sur Paris.
Je veux tourner une autre page…
( Bon, je regarde ma boule de cristal … je vois, je vois, je vois .. mmm .. 1, 2, 3, 4, 5 hommes tout à fait d e l i c i e u x ..
Si .
Dont certains ne savent pas faire cuire un oeuf au plat mais on ne pas tout leur demander, non plus .. )
Ce que dit de Biasi sur le fait que la littérature, via l’ordinateur et l’accouplement à internet, renoue avec le déroulement des manuscrits, comme avant l’invention de l’imprimerie, et enfin une forme de retour à l’oralité, m’a paru assez pertinent…
Moi qui connait de visu TKT, je peux témoigner que « l’homme en rouge » n’est pas un autoportrait !
qui connais, s’cuse !
HOMMAGE AU GENERAL AUSSARESSES
L’un des officiers les plus décorés de l’armée française, Commandeur de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939-1945 avec palmes, Médaille de la Résistance, est mort de vieillesse. Que ce gâteux de Chirac l’ait dégradé ne change rien à l’engagement militaire de cet honnête homme, Aussaresses, cela remet le Jacounet à sa juste place : poubelle de l’Histoire.
Rappelons qu’Aussaresses obéissait au pouvoir politique, Guy Mollet SFIO et François Mitterrand SFIO, et que son « travail » de contre-terroristes a sauvé la vie de centaines de victimes d’attentats potentiels
30.000 jeunes français sont mort là-bas, sans compter les victimes d’attentats du FLN, 3.000, et presque 100.000 harkis assassiné par leur frères, abandonnés à leur sort par les Français.
Que tous les morts reposent en paix !
Jacques Barozzi dit: 4 décembre 2013 à 14 h 56 min
Ce que dit de Biasi sur le fait que la littérature, via l’ordinateur et l’accouplement à internet, renoue avec le déroulement des manuscrits, comme avant l’invention de l’imprimerie, et enfin une forme de retour à l’oralité, m’a paru assez pertinent…
Tu dis ça parce que tu n’y connais rien, Jacky, tu me fais penser à Clotilde Loveless parlant énergie nucléaire …
Et pour l’invitation à porquerolles, JC ?
@P-M. de B.
Cher Pierre-Marc, j’espère qu’alerté par les piafs de l’Avenue du X, tu auras posé ton oeil vert et malicieux sur l’article de P. Assouline qui mentionne tes recherches et, tel un navire sur son erre, sur certains commentaires. J’imagine sans peine tes grands éclats de rire.
La « génétique littéraire », oui c’est vraiment indispensable! Pourquoi ? Mais pour nous faire des Boris Cyrul-nik par milliers… Bigre!!
Et vas-y que je fais semblant de te scruter les soubreseaux du cervaut… Et même qu’une récente (pas encore sortie d’ailleurs) étude de l’Uni- Hawaïo-Canadienne dans la revue Nattchu’reuuu (et puis une autre dans Cha’iennceeuuu; vous pensez, que dire!!) va le confirmer… (que vous-dites, c’est plus que loufoque, totalement incroyable!! et garanti par le classement Shanghaïeyeaihaiia)
Bref c’est la vieille histoire du Cogito adaptée pour les Nuls (à la Radio-France en direct d’Odile Jacob;édition)
C’est tout comme si on allait descendre en bathyscaphe spirituel (oh oui!) au fin fond de l’être; ce minuscule point de l’Esprit (l’Entendement, entendez-vous?), où tout est, avec la pt’it « boîte » mémoire de surcroît. Ce point quantique, ou glande génétique (c’est pareil) irradiant en retour: clignement des yeux, spasmes, orgasmes, bafouillements et phonèmes, graphèmes et maculages… et on en passe avec l’écriture naturellement.
Sérieusement, si ça ne l’était; au début des Confessions, JJ. Rousseau écrivait:
« Je sentis avant de penser… J’ignore ce que je fis jusqu’à cinq ou six ans : je ne sais comment j’appris à lire(sic)… je ne me souviens que de mes premières lectures…; c’est le temps d’où je date sans interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des Romans » (nrf oE.I/p 8).
Sous couvert d’une second « moi-même » bien caché, il nous désignait toute une extériorité à lui-même. Quel interview radiopho-nique formaté, ou subreptice numérisation forcenée, pourra être capable de rendre cela, quand Internet ignore la moindre connexion de Rimbaud aux Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul ! laissant l’abruti de l’écran incrédule à la vérité.
LF. Céline, « mon pote », a toujours en ce sens pu dire dans sa lettre à E. Faure sur « l’ovule »:
« Je parle le langage de l’intimité des choses. Il a fallu que je l’apprenne(sic), que j’épelle d’abord… » (nrf; Let/p 461). Ailleurs dans une autre lettre à Marie Bell, il devait ajouter:
« Ne jamais oublier… Le chant est naturel, la parole est apprise. » (Idem/p 725; et à fortiori l’écriture pensait-il…)
Tout cela, le moindre écrivaillon dans sa « liberté de penser » (myself à l’instant), l’a oublié; et heureusement qu’il l’a oublié -même si c’est involontairement, mais dû seulement à l’amnésie infantile-, car c’est justement cet « oubli » qui seul, peut lui permettre de prétendre tant soit peu, à la Littérature (Nietzsche encore: « Il faut oublier pour vivre »).
Bref; les intervieuuuveees peuvent toujours rendre au travers des hésitations, lapsus, vides,… la marque de cet extérieur à la conscience, mais ils ne l’expliqueront jamais. Tout ce que mimiques, gestes, halètements ou cafouillages, et même transpiration signifieront dans l’oralité radiophonique (qui ne peut être celle du « apprendre à lire, ou parler » primordial), l’Ecriture l’aura déjà transcrit.
Quand Malraux va être conduit faire ses show médiatiques innombrables et incroyables (personnellement j’adore !) faits de tics insondables, scansions du verbe, éructations de la parole contenue, convulsions du regard perdu, tremblements… depuis longtemps s’en était fini de sa Littérature; pour toujours il aura raté le roman 39-45…
En ces temps-là, LF. Céline très déçu d’avoir pu croire au talent de romancier de l’auteur de « l’Espoir »
Alexia Neuhoff dit: 4 décembre 2013 à 15 h 11 min
@P-M. de B.
Cher Pierre-Marc…/…
Chère Alexia, votre langue au travail est admirable de dévotion !
le travail de pédagogie de boug avec son amuseur ne donne rien
Massu avoue que la torture « n’est pas indispensable en temps de guerre » et que l’on pourrait « très bien s’en passer ». « Quand je repense à l’Algérie, cela me désole. La torture faisait partie d’une certaine ambiance. On aurait pu faire les choses différemment », ajoute-t-il. Les « regrets » de Massu créent la stupeur.
23 novembre 2000, paraît dans Le Monde une nouvelle interview du général Massu. Ce sera la dernière qu’il accordera avant sa mort, deux ans plus tard. « La torture est quelque chose de moche. C’est un engrenage dangereux, déclare-t-il. Institutionnaliser la torture, je pense que c’est pire que tout ! » C’est la première fois que des acteurs de la guerre d’Algérie, et non des moindres, reconnaissent publiquement ce que des intellectuels, des journalistes, des historiens, se sont évertués à faire savoir dans les années 1950.
…non pas une « repentance » comme on l’imagine à tort mais la reconnaissance solennelle, par la France, de ce qu’ils ont subi. Ils ne crient pas vengeance, n’espèrent aucune compensation financière. Ils veulent seulement qu’on dise la torture, les déportations, les regroupements de populations, les viols, les exécutions sommaires… Qu’on ne prétende plus que la torture a été employée « pour sauver des vies innocentes » alors qu’elle était pratiquée de façon routinière dès le début de la colonisation, donc bien avant le soulèvement de 1954 et les attentats à la bombe commis par le FLN.
(Le Monde années 2000/2012)
Bardamu dit: 4 décembre 2013 à 15 h 18 min
…talent de romancier de l’auteur de « l’Espoir »
Après l’Espoir, le désespoir, hélas !
« Qu’on ne prétende plus que la torture a été employée « pour sauver des vies innocentes » alors qu’elle était pratiquée de façon routinière dès le début* de la colonisation, donc bien avant le soulèvement de 1954 et les attentats à la bombe commis par le FLN. »
(Le Monde années 2000/2012)
Le Monde a raison, pour trois raisons :
– le Monde a raison
– le Monde écrit ce que les lecteurs veulent lire …
– le Monde a toujours raison !
* celle là, il fallait la faire : elle est trop bonne !
On ne va pas se quitter sous une mauvaise impression …
Ce qu’il advient à ceux qui refusaient le terrorisme du FLN… Bonne soirée !
JC….. dit: 4 décembre 2013 à 15 h 43 min
elle était pratiquée de façon routinière dès le début* de la colonisation
Oui mais sous Louis-Philippe (ah le rat d’Orléans !) on n’avait que le télégraphe Chappe, donc pas la gégène…
Invitée chez Popol, j’ai trouvé ses madeleines un peu rassises, il réussit nettement mieux la daube
Le Bardamu de 15 heures 18 est Goetheen! par cette journée grise, un rayon de soleil..
le bouffon à la galerie fait l’apologie du racisme, de la torture, plaint les tortionnaires « blancs » (de pauvres victimes innocentes d’après lui) tolère « les Arabes » à condition que ce soit des béni oui oui , il adore Minute. Le Monde est trop subversif pour lui -il y traîne par ennui et pour y diffuser sa bêtise, ça le fait marrer –
JC fier de justifier la torture, lamarine elle va dire comme toi , quelle coïncidence, que les tortionnaires que tu admires tant pratiquaient l’autodéfense
Sergio
les enfumades, entre autres..
JC….. dit: 4 décembre 2013 à 15 h 02 min
HOMMAGE AU GENERAL AUSSARESSES
30.000 jeunes français sont mort là-bas, sans compter les victimes d’attentats du FLN, 3.000, et presque 100.000 harkis assassiné par leur frères, abandonnés à leur sort par les Français.
Que tous les morts reposent en paix !
Bah oui, mon JCTounet. Pratique l’égocentrisme chauvinard, et tire nous des larmes de crocodile.
Inversons un peu les rôles. Combien de braves allemands ont laissé leur peau sous les tirs de lâches terroristes de l’armée du crime ? Terrorisme, ce lieu commun reprit à l’envi par les médias officiels et qui a motivé nos braves politiques à créer des cellules spéciales dans la police. Et que de hourra poussés lorqu’un gentil drone capable de frappes chirurgicales s’abat sur un village, tuant tout le monde pour ne pas rater le résistant et ses armes de destruction massive ?
ciel, DHH, comment osez-vous encore vous exprimer ici ?! Vous voyez bien que vous incommodez Madame et les esclaves de son immense beauté et non moins immense intelligence
Bon, mais qui les a laissé rentrer dans la cuisine ?
xavière dit: 4 décembre 2013 à 12 h 41 min
« Rien de choquant à ce que le business fasse ressortir les morts de l’oubli ! »
ben oui t’as raison c’est même émouvant de les faire voter si nécessaire
Merci, Xavière, j’en rigole encore !
ben oui marcel c’est humain comme jicé ou aussaresses eux aussi des créature au bon dieu
Ce que dit de Biasi sur le fait que la littérature, via l’ordinateur et l’accouplement à internet, renoue avec le déroulement des manuscrits, comme avant l’invention de l’imprimerie, et enfin une forme de retour à l’oralité, m’a paru assez pertinent…
simplement parceque l’ordinateur « nous tombe des mains » avec lesquels le rouleau et le livre avait entretenu tant de liens pour réduire son protocole (rituel) gestuel à néant..de biasi renoue avec l' »oral » qui lui est antérieur..c’est vraiment chercher des mimétisme et l’éternel retour dans les formes..numérique « digitale » faisait doigt de fée..s’il sagit de filer des métaphores de plaquer des shémas convenus, on demande à rénato..ce qu’on voudrait c’est un peu de nouveau
Très probablement, l’écriture va aller vers une saisie directe à l’oral – une saisie du texte bien entendu, mais aussi de la mimique, du geste, de l’intonation
passons sur la saisie orale..mais que signifie la saisie de la mimique ? des émoticons ? et pour le geste, une vidéo ? ou alors il propose la création de nouveau code..la france est en pointe..je veux bien
Le coût de la guerre en hommes est encore discuté. L’incertitude provient moins des morts au combat que des victimes officieuses des tortures de l’armée française ou des assassinats dus au FLN, y compris chez les musulmans. Le chiffre de 300 000 à 400 000 morts du côté algérien est le plus probable. On compte 27 500 militaires français tués et un millier de disparus, et chez les civils européens 2 800 tués et 800 disparus. http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/guerre_d_Alg%C3%A9rie/104808
la machine fera office de scribe, d’esclave qui prend la dictée, tandis que le geste de l’auteur redeviendra oral
le scribe était esclave mais c’était un homme et parmis les plus cultivé et de loin..ici ce meusieu balaise de l’université translate sur « esclave machine » et même « nègre » dirait jicé..comment veux tu que la france soit en pointe avec des cafouilleux comacs!
Ce qu’il manque à ce livre ? Ce qu’il y a de plus beau à la radio : les silences, les trous, les absences
..aprés les making ofs..les tshirts et les mugs..
l’accent slave d’un Nabokov, les hésitations chargées de remords d’un Modiano, le timbre caverneux d’un Char ?
et la bite a dudule..
Mieux le bouquin est écrit, plus la présence d’une voix quelconque serait incongrue… Un peu comme les calicots poétiques dans la peinture !
( Tiens, Sergio,
hors sujet mais belle série de photos pour dénoncer la destruction des fonds marins
http://fr.news.yahoo.com/photos/les-stars-s-engagent-pour-les-fonds-marins-slideshow/aure-atika-photo-1386165745542.html )
Un peu comme les calicots poétiques dans la peinture !
n’emp^che que dans les enluminures ça va bien..les piramides précolombiennes etaient tagué de textes plus pire qu’a times square..il a fallut logntemps..longtemps pour qu’on trouve « cultivé » qu’un bouquin soit sans illustration..
..elles sont assez vilaines dafnoz..
bouguereau dit: 4 décembre 2013 à 17 h 00 min
Un peu comme les calicots poétiques dans la peinture !
n’emp^che que dans les enluminures ça va bien..les piramides précolombiennes etaient tagué de textes plus pire qu’a times square..il a fallut logntemps..longtemps pour qu’on trouve « cultivé » qu’un bouquin soit sans illustration..
C’est vrai ça Boug (pour une fois que je comprends clairement ton post). L’inverse se produit aussi. Au départ, chaque dessin des pieds nickelés était suivi d’un texte. Au court du temps est venue la bulle avec un texte réduit allant s’amenuisant jusqu’aux onomatopées. Bon, un dessin peut se suffire à lui-même, mais c’est quand même un apauvrissement qui encourage l’illétrisme.
J’entends jicé derrière moi qui gueule : « Les illétrés, i zon le droit de vivre,eux zossi. »
Daaphnée dit: 4 décembre 2013 à 16 h 59 min
la destruction des fonds marins
Oui mais brune avec un morceau châtain c’est déjà de la compromission ça engendre le doute l’honnête homme y retrouverait pas son veau…
( j’aime bien cette idée d’associer un corps humain nu et un poisson, le Boug’.
Plusieurs des clichés sont de Denis Rouvre.
J’avais vu son expo de portraits, des gros plans souvent, à la pinacothèque sur
LE JAPON DU CHAOS,
il y a d’autres sujets sur son site:
la communauté masculine des commentateurs se demande avec impatience lequel d’entre eux la si brillante star du blog voudra bien interpeler après sergio et boug (ce n’ets apparemment pas par lettre alphabétique)
j’aime bien cette idée d’associer un corps humain nu et un poisson
si c’est pour faire des souchi avec aprés..vontraube il en mangra pas
TKT
A propos , film suisse sur
Jacques de Bollardière
le général qui refusa la torture – (Archive vidéo )
http://www.youtube.com/watch?v=nIxZ7Udp_Z4
Bon, un dessin peut se suffire à lui-même, mais c’est quand même un apauvrissement qui encourage l’illétrisme
sergio c’est ce qu’il cherche..pour qu’on soit pus capabe de distinguer le pastis 51 d’avec le vittel..la barbarie quoi
(( le Boug’, le doigt dans le pot de confiture .. tsss !
Tiens, la série Kanak
http://rouvre.com/fr/gallery/22/kanak ))
« ( j’aime bien cette idée d’associer un corps humain nu et un poisson, le Boug’. »
Un bon coup, Daaphnée.
(http://www.fishlove.co.uk)
Je choisis une cause incontestable, et en fais un site web (Faut-il élargir les trous dans l’ozone? Faut-il massacrer les bébés phoques? les pandas? les Bretons?), et j’y accroche des liens avec mes copains.
Etes-vous un ami des poissons?
I love it.
Cela dit, les femmes sont intéressantes.
Avec Laure Atika, on n’a pas trop envie de plaisanter.
Lizzy Jagger, ça sent l’effort, c’est le cul appliqué.
Mélanie Bernier, c’est du sérieux, les yeux dans les yeux, au bout de trois secondes ça chauffe un peu.
Mélanie Laurent, trop détaché, trop clean, on pense à autre chose.
Gillian Anderson… On devine que c’est Gillian Anderson.
Pour les mecs, il faudrait demander à Jacques.
Jacques de Bollardière, on admire, comment faire autrement.
La pluie de distinctions qui l’accablent sur le tard est-elle aussi le fruit de la mauvaise conscience?
Prière de ne pas oublier sa fidélité bretonne et sa foi catholique.
Ugh.
bouguereau dit: 4 décembre 2013 à 17 h 56 min
vittel
Vittel c’est la fin des zaricaux yzon supprimé la piste d’aviation et le champ de courses pour mettre un golf, plus la moindre galerie de peinture et tout à l’encan…
le Boug’, le doigt dans le pot de confiture .. tsss !
en tout cas zouzou il dit pas clairement ses trucs..si j’étais gros thon ça me dégoutrait carrément..je trouve ça repoussant et je suppose que c’est pas l’objet..la hype au fond mes mers ? c’est l’dernier endroit ou on voudrait la trouver non ? sauf zouzou surement
au fond des mers..
@u. Des femmes qui pénètrent vos eaux territoriales par effraction ou peuplent de quelques filaments de rêve votre vieux ciel pollué?
vittel avait eux de belles bouteilles..ricard aussi, je faisais la collec..maintenant les contenants folklo ça fait beauf..les denières bouteille de chianti que j’ai trouvé c’était avec du tressage en plastique..la honte
j’ai encore 2-3 bouteille de rioja avec le jute..une espingouine voulait me les prendre..j’ai dit stop ! pas passaranne !..si qu’elle avait parlé de gaterie catalane peut être..mais elle avait pas le sens commercial
Pâris de Bollardière ? Un général classique. Vieille école, né peu après 1900. Besoin d’une armée d’en face avec des uniformes de couleur différente. Respect du prisonnier. Croix Rouge.
N’a rien compris à la lutte antiguérilla, antiterroriste. Un OVNI. Morale sauve. Un peu perdu en Algérie … Dépassé.
@ u. 18 h 34 min
le film suisse dont il est question dans la vidéo date de 74- le sujet de la torture pendant la guerre d’algérie a refait surface, de manière documentée, dans les années 2000
N’a rien compris à la lutte antiguérilla, antiterroriste.
au contraire! il en avait été pendant WWII
Un peu perdu en Algérie … Dépassé.
jicétout la teigne être un vrai pro de la torture
N’a rien compris à la lutte antiguérilla, antiterroriste. Un OVNI. Morale sauve. Un peu perdu en Algérie … Dépassé. (Témoignage chrétien)
Curieux commentaire, pour le moins ambigu. Bollardière ne fut ni perdu ni dépassé en Algérie. Il dit le seul mot qu’il y avait à dire : non. Heureusement que lui et quelques autres furent là pour dire ce mot : autrement, quelle honte !
Pour gagner, se battre comme l’ennemi.
U., .. ah l’esprit critique !
Vous n’avez pas tort mais avec un tel niveau d’exigence, très cher, on en resterait à se geler les fesses dans la neige comme un pingouin .. (et toc!)
Allez quand même voir ce que fait Rouvre, ce n’est pas mal …
il dit pas clairement ses trucs.
mmm .. le Boug’, vous nous feriez encore le coup du tribunal populaire, avec vous en procureur ?
bérénice dit: 4 décembre 2013 à 18 h 43 min
@u. Des femmes qui pénètrent vos eaux territoriales par effraction
Pourquoi par effraction, ma porte est facilement ouverte.
Je salue avec respect, et offre du thé.
Contemplatif, pensif, oblatif.
« j’ai encore 2-3 bouteille de rioja avec le jute..une espingouine voulait me les prendre..j’ai dit stop ! »
C’est tout à fait ça, les Espingouins, quand elles ont un oeil de braise.
Le premier qui dit cliché, je me fâche.
On passe sa vie à détruire les clichés, et ils s’invitent gentiment, sur vos genoux.
Témoignage chrétien dit: 4 décembre 2013 à 19 h 11 min
Pour gagner, se battre comme l’ennemi.
toi t’as perdu, tes potes ont perdu
lui il s’était battu et savait de quoi il parlait
se geler les fesses dans la neige comme un pingouin .. (et toc!) (Daaphnée)
Là dessus, un post s’intercale et parle d’espingouin.
Hasard objectif (« table de dissection », etc.), pas mort.
Et toc.
Là dessus, un post s’intercale et parle d’espingouin.
Hasard objectif (« table de dissection », etc.), pas mort.
Parler des autres évite toujours de parler de soi-même, mon chéri ( et toc !)
Hihihi…
Inclination, les mains jointes (trois fois, c’est la règle).
mon bouboug’, si je puis me permettre ..
Votre
« j’ai encore 2-3 bouteille de rioja avec le jute..une espingouine voulait me les prendre »
mmm .. que n’avez-vous ôté cette jupe .. heu .. ce jute ..
( ces garçons, il faut tout leur dire .. pfff !)
(trois fois, c’est la règle)
mmm U., .. une fois, passe .. allez même 2, voire 3 .. la dernière est très risquée .
u 19h28 j’espère au moins pour vous que c’est lucre à tif…
John Brown dit: 4 décembre 2013 à 10 h 18 min
JB continue à tartiner sur une discipline dont il n’a pas la moindre idée. C’est vrai que Biasi (il me semble qu’il est aussi peintre) doit bien se marrer en lisant cette prose de nanard.
Ce qui est passionnant dans la génétique littéraire, c’est de suivre autant que possible l’écrivain défrichant et créant son propre sentier. Si évidemment le petit bonhomme que nous savons n’y voit pas d’intérêt, il n’y a pas à tenter de le convaincre du contraire.
Daaphnée, ce que vous écrit Paul Edel, j’aurais aimé vous l’écrire. C’est d’ailleurs ce qui vous rend si redoutable.
Par ailleurs j’ai décidé d’ignorer complètement TKT. De faire comme s’il n’existait pas.
Un mur d’étanchéité parfaite entre lui et moi, sans la moindre fissure.
Il pourra me faire tous les compliments qu’il voudra, j’y demeurerai totalement insensible.
et toc !
oui bon, si on en fait un but dans l’existence…
D il n’est pas converti et Dieu notre seigneur qui nous renseigne m’a demandé de le conduire sur le chemin de la repentance à temps perdu, ce qui vous en conviendrez ne dure pas longtemps finalement, 2 post et pif paf le voici dans la lumière du prophète
Vous même rentrez tard! o% étiez-vous? ( période inquisitrice)
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