Les prix littéraires : des accélérateurs de particules
C’est rare, un observateur de la chose littéraire qui ose parler des Prix sans les réduire systématiquement à la corruption, aux magouilles et aux manœuvres. Rare, appréciable et au fond assez gonflé car cela lui sera reproché par ceux qui n’ont rien d’autre à en dire. Quelque chose de positif. Par exemple que les Prix font lire, qu’ils font tourner les librairies, qu’ils permettent parfois de soutenir les écrivains de manière sonnante et trébuchante, qu’ils constituent d’excellents cadeaux et qu’ils focalisent l’attention du public à l’automne ce dont on ne saurait se plaindre. Le romancier Tanguy Viel a parfaitement nommé le phénomène en le désignant comme « un accélérateur de particules ». On trouve le reflet de cet état d’esprit La littérature à quel(s) prix ?. Histoire des prix littéraires (240 pages, 22 euros, La Découverte). Sylvie Ducas, qui le signe, le dédicacera certainement et recevra peut-être un prix à cette occasion, qui sait, est une spécialiste d’histoire culturelle, maître de conférences en littérature à Paris-Ouest où elle dirige un master Métiers du livre. C’est dire que le monde de l’édition, industrie de prototypes, lui est familier.
Son enquête, lancée dès 1998 dans le cadre d’une thèse de doctorat sur la reconnaissance littéraire, vaut surtout par son ton dépassionné et ses jugements équilibrés, chose rare s’agissant d’un sujet qui suscite le plus souvent la polémique. Elle tient à juste titre les prix littéraires, « labels vendeurs dans une économie du prestige », pour une part singulière de l’exception culturelle française. Car s’il y en a bien dans d’autres pays, ils sont loin d’être aussi nombreux et leur importance y est bien moindre. Chez nous, ils ont acquis une telle place que, de même que les festivals et salons, ils font partie intégrante de « la condition littéraire », statut que Julien Gracq avait évoqué en d’autres termes dans La Littérature à l’estomac (1950). Ils sont pourtant ignorés du commentaire critique ; et l’habitude a été si bien prise de les dénigrer ou de les mépriser qu’ils constituent selon elle « l’archive maudite de la littérature ». Plus d’un demi-siècle a passé et la situation a évolué en raison d’un déclin certain de plusieurs facteurs parfaitement mis en lumière par Sylvie Ducas : autorité symbolique de l’écrivain, sacralisation du livre, lecture, expertise… A ses yeux, il ne fait guère de doute que l’on assiste à l’effondrement du rôle social de l’auteur dans la sphère publique, étant entendu que « le prix est un simulacre qui fabrique de la valeur littéraire ». De temps en temps, elle « se lâche » contre sa collègue Nathalie Heinich dont manifestement elle n’apprécie pas les méthodes, ou contre Michel Houellebecq qu’elle réduit à son marketing et à sa « posture littéraire ».
S’agissant de l’histoire du Goncourt, qui se taille la part du lion dans son étude en raison de « sa puissance mythique », elle l’inscrit très justement dans l’histoire des prix de Fondation, souligne que, de tous les jurys, c’est le seul qui soit reconnu association d’utilité publique, réhabilite à juste titre le rôle d’Hervé Bazin dans le dépoussiérage de l’institution et son ouverture à la francophonie et elle va jusqu’à voir dans le déjeuner mensuel des Dix chez Drouant « le dernier acte du théâtre de l’écrivain » en ce qu’il rappelle « la Cène christique » ! Certes, le mot est à l’origine de « cénacle » mais tout de même (il faudra y songer lors de notre prochaine réunion). Son livre dissuadera peut-être de porter un jugement global sur « les prix et les jurys » pour ne les juger que au cas par cas, époque par époque – et ce ne sera pas le moindre de ses mérites. Car ils ne forment pas un bloc homogène et compact, figé et immuable dans ses principes des origines à nos jours ! Elles a des pages instructives, qui contredisent utilement certaines affirmations de Pierre Bourdieu, sur l’utopie du prix Médicis qui a tenté, et réussi à ses débuts, de concilier la marchandisation de la littérature et l’avant-garde littéraire (La Mise en scène de Claude Ollier, le premier roman de Philippe Sollers, L’Opoponax de Monique Wittig…) avant de buter sur le trop sulfureux Eden, Eden, Eden de Pierre Guyotat. In fine, elle appelle à résister contre la tendance des jurys à faire des prix « des machines à rétrécir les écrivains » et propose en réaction d’en faire « des machines de guerre de l’écrivain ». Comment, par quels moyens et dans quels buts au juste, on ne le saura pas.
Des reproches tout de même : un langage et des perspectives qui relèvent parfois de la sociologie, n’en déplaise à l’auteur. C’est patent si l’on tient registre des « Moi auctorial », « scénographie auctoriale », « instance auctoriale » ou des « prétentions auctoriales » des auteurs autoédités grâce à Internet. Ce n’est pas le Paul Bénichou du Sacre de l’écrivain (1973) qui se serait permis de tels écarts de langage ! Sylvie Ducas, qui a mené son enquête dans les archives et en interrogeant des acteurs de cette histoire, a l’information sûre. Enfin, presque toujours… Passe encore qu’elle fasse d’Henri Filipacchi « l’un des créateurs » de la collection de la Pléiade alors que le mérite exclusif en revient à Jacques Schiffrin entouré de son frère Simon et de quelques copains exilés à Paris, juifs russes comme eux ; il est facile de vérifier d’où vient cette contre-vérité (la notice « Henri Filippachi » aux sources bien légères sur Wikipédia). Mais là où le bât blesse, c’est dans ce qui est écrit à la page 72. Dans le corps du texte, où il est question de l’activisme d’Hervé Bazin chez les Goncourt, on lit ceci :
« Bazin renoue non seulement avec cet esprit de corps des origines, mais il joue en homme de réseau et vrai stratège des relations de confraternité littéraire pour exploiter la clause d’utilité publique qui offre à l’académie de recevoir dons et legs. Lettres, déjeuners, discussions avec des personnalités du monde politique et culturel se multiplient pour défendre telle subvention, gonfler telle autre, quitte à remercier parfois les généreux donateurs en attribuant un prix littéraire qu’ils affectionnent… »
Tiens, tiens ! se dit-on. Des révélations ! Il y a du scoop dans l’air. D’autant qu’un « a » renvoie à une note en bas de page où on lit ceci :
« A la suite de la visite chez Drouant du président François Mitterrand en mai 1984, une subvention exceptionnelle de 100 00 francs est accordée à l’Académie Goncourt en octobre par la Direction du livre et Marguerite Duras, amie du président, reçoit le prix Goncourt en décembre pour L’Amant. Archives Goncourt, procès-verbaux de 1984 »
Explosif, non ? On s’en doute, lorsque j’ai rencontré Sylvie Ducas dans le cadre d’une interview croisée que publiera bientôt le Nouvel Observateur, je me suis empressé de lui demander quelles étaient ses sources ; car, pour ce qui est des archives, je ne me souviens pas y avoir lu rien de tel. La réponse fut décevante car l’auteur s’abrita alors derrière « le secret des sources », évoquant à mots couverts d’anciennes rencontres avec un ou des jurés de jadis. Frustrant. Et d’autant plus gênant que ce qu’elle rapporte est, plus ravageuse encore qu’une accusation, une insinuation, offensante pour les Dix, pour Duras et pour Mitterrand. Ce qui est mal connaître les uns et les autres, et tout ignorer de leur orgueil. C’est oublier, enfin, que L’Amant avait connu un énorme succès bien avant d’être couronné. Nul besoin d’accélérateur de particules, pas plus circulaire que linéaire. Le jury des années quatre-vingt avait rattrapé le manque de clairvoyance de celui des années cinquante qui était passé à côté d’Un Barrage contre le Pacifique.
Il fallait tout de même vérifier. Même si l’on sait que l’Académie Goncourt n’a guère de besoin d’argent. Juste assez pour ses dépenses de fonctionnement et pour financer des bourses. Que disent exactement les archives des Dix conservées à Nancy, plus précisément le carton 4Z122 contenant les pièces comptables de l’année 1984 ? D’un échange de lettres, datées des 10 avril et 1 juin 1984 entre Jean Gattegno, directeur du Livre au ministère de la Culture, François Nourissier, secrétaire général de l’Académie Goncourt et Robert Sabatier, il ressort clairement que celle-ci touchait chaque année une subvention de 50 000 francs ; mais que, comme elle avait oublié d’en faire la demande en 1983, et qu’elle n’a donc rien reçu cette année-là, une régularisation fut effectuée en 1984 pour une somme de 100 000 francs, après avis favorable du contrôleur financier du ministère. Quant au procès-verbal de la 735ème réunion, il consigne bien entendu le déjeuner du 8 mai 1984 chez Drouant en présence du président Mitterrand à sa demande. Il est rapporté que la conversation fut libre et cordiale, et que ce problème technique fut évoqué, voilà tout.
Lorsque j’ai parlé de cette histoire chez les Dix, cela n’a provoqué qu’incrédulité, haussements d’épaules et éclats de rires. « Que les éditions de Minuit rendent l’argent à Takieddine et qu’on n’en parle plus ! » a tranché Patrick Rambaud, avant qu’une autre voix suggère : « S’il avait fallu complaire à François Mitterrand, c’est au dernier livre de Roger Hanin qu’ils auraient dû donner le Prix ! » Au fond, pour balayer tout cela, autant se souvenir du mot de Robert Sabatier : « Cette année-là, on a donné Duras au Goncourt … »
(« L’arrivée du lauréat vue du premier étage » photo Passou ; « Marguerite Duras et François Mitterrand » photos D.R.)
489 Réponses pour Les prix littéraires : des accélérateurs de particules
« et qu’on n’en parle plus ! » a tranché Patrick Rabaud »
Euh, passou, ne s’agirait-il pas plutôt de P.Rambo…Rimbaud…enfin, l’inénarrable auteur de « Virginie Q. » ?
Filipacchi, créateur de la pléiade..pffff. Heureusement qu’il y a des connoisseurs de votre acabit pour corriger les travaux de ces blancs-becs. comme dupond/t, ajoutons que Gallimard ne voulait pas racheter la pléiade, idée trop commerciale à son goût. Il fallut gide pour le convaincre. sapré gide. qui savait tempérer sa tendresse pour les Schiffrin.
Vu ce jour chez un bouquiniss le Mazeline, « les loups « ..quelque chose, celui qui eut le Goncourt l’année du « Voyage au bout de la nuit ».
le grand-père de l’époque lui a collé une reliure cuir avec des fers dorés au dos, de la peau des fesses. Du bien digne des vessies pour les lanternes du jury Goncourt.
passou, votre porsche est mal garée.
Ha ça fait douze repas ? Pas mal ! Dommage qu’il n’y ait pas d’années bissextiles pour les mois…
la tendance des jurys à faire des prix « des machines à rétrécir les écrivains »
J’aime bien cette image. Accablés par les prix, les meilleurs écrivains primés deviennent ressemblant aux maréchaux soviétiques hyper-médaillés, façon Brejnev, aussi larges que hauts…
Les prix ? Plutôt qu’accélérateurs de particules, … rétrécisseurs de particuliers !
« le Goncourt l’année du « Voyage au bout de la nuit ». »
En parlant de ça,
vous savez que demain l’exemplaire n° 1 est à vendre.
Je l’ai vu, il est tout beau.
Moi je parie pour plus de 100.000 €
4 Goncourt(s) sont sortis de « l’accélérateur de particules » : Francis de Miomandre, Alphonse de Châteaubriant, Simone de Beauvoir, André Pieyre de Mandiargues.
« prix Médicis qui a tenté, et réussi à ses débuts, de concilier la marchandisation de la littérature et l’avant-garde littéraire »
Exact. Et, quand on voit ce qu’il est devenu…
Le gars qui a dessiné cette lanterne, il faut l’envoyer sans jugement à Воркута…
Mais qui donc nous parlera de ce livre sur le (s) prix Goncourt qui est sorti en librairie ces jours-ci ?
http://sites.radiofrance.fr/radiofrance/kiosque/fiche.php?id=2269
Chez l’inénarrable monsieur Mitterrand, dont la description gourmande du caractère « florentin » était devenue la scie musicale de tous les orchestres à poncifs de la critique symphonique de l’époque, toute la pratique de « l’influence » et la science de l’entregent, tenaient en un seul principe : tout devait se faire par osmose, sans bruit, dans le froissement des draps de soie mordorée et le silence frais des alcôves tièdes. Allons, pas d’aveuglement rétrospectif, ne baissons pas les yeux, son excellence Mitterrand adorait jouir de son « soft-power », lui, le puissant des puissants (il faut se souvenir qu’en 1984, le Viagra n’était encore qu’une lueur dans l’oeil de son futur chimiste créateur, les vieux messieurs devaient compenser comme ils pouvaient.) J’y crois un peu beaucoup passionnément à la folie aux arguments (même à moitié tus) de madame Ducas (dont je me demande si elle n’est pas de la famille du grand compositeur Dukas, Paul de son prénom), le président de l’époque (dont on se demande aussi la raison qu’il eût de s’inviter à la table des Goncourt, un président de la République n’était pas admis à l’Assemblée nationale par exemple, pourquoi un homme qui, bien qu’il fût un écrivain très largement contrarié quoique peu raté, eût tout au long de sa vie des prétentions auctoriales (désolé j’aime le mot) très affirmées, put prétendre s’installer au beau milieu des jurés, devant une assiette en porcelaine de Limoges ? Uniquement pour glousser cinq minutes tout à sa joie la joie d’être au coeur d’un impertinent jeu de rôle ? Hmm, je suis sûr qu’il roulait pour Duras comme il fera rouler pour lui Sagan plus tard. Avec l’ineffable archonte né à Jarnac, on avait souvent l’impression d’un éternel « faites vos jeux… » dans son regard, tout comme dans ses rares véritables actions politiques.
Ne pas confondre les lanternes (éléments généralement portatifs) de la place de la Carrière à Nancy avec les réverbères ou lampadaires parisiens, Sergio !
Tu nous fais mal, Sergio, à nous autres Parigots. Cette « lanterne », comme tu dis, est le modèle le plus répandu dans notre ville. En la compissant, c’est notre environnement quotidien que tu salis, c’est notre essence même que tu piétines.
Jacques Barozzi dit: 15 octobre 2013 à 17 h 41 min
les réverbères ou lampadaires parisiens
Oui mais ronde ! C’est comme la mairie d’Issoire, on peut pas stehen devant, puiqu’il n’y a pas de devant…
« des alcôves tièdes » : oui
« la raison qu’il eût » : non
« bien qu’il fût un écrivain » : oui
« eût tout au long de sa vie » : non
Bon, un sur deux, c’est pas mal. Mais l’élève Odradek peut sans doute mieux faire.
Tant qu’il n’a pas de prétentions scripturales, tout baigne.
Suivant !
Joli coup de plume, xlew.
Mitterand avait dit de Thatcher qu’elle avait la bouche de Marilyn et les yeux de Caligula. D’une certaine manière, c’était un autoportrait.
Un regard étudié pour glacer les loufiats et obtenir leur allégeance, mais une babine sacrément sensuelle.
« la description gourmande du caractère « florentin » était devenue la scie musicale de tous les orchestres à poncifs » (xlew)
Le plus poilant était le double poncif, évoqué parfois dans le même paragraphe: « florentin …et paysan ».
Paysan comme Claudel, madré hein, et le « pouvoir de l’argent ». Avec les Juifs, en gros ça allait mais il faudrait gratter un peu.
Pour Mimi, quand il aura cessé de jouer à cache-solex, une trad’ fastoche comme tout. Faut pas le brusquer, pépère, qu’il nous fasse pas une rechute :
» Vor der Kaserne
Vor dem großen Tor
Stand eine Laterne
Und steht sie noch davor »
Traduiseztout !
« Pour Mimi, »…
Pour les Chinois (sont-ils familiers), Tonton s’appelait Vieux Mi.
« Allons, pas d’aveuglement rétrospectif, ne baissons pas les yeux, son excellence Mitterrand adorait jouir de son « soft-power », lui, le puissant des puissants (il faut se souvenir qu’en 1984, le Viagra n’était encore qu’une lueur dans l’oeil) »
En tous cas, sur la photo, on voit qu’il est sous un lustre et qu’il lui faut deux mains pour contrôler sa queue.
Ce n’est pas à cause de Marguerite (vous avez vu ce plaid? ma soeur portait ça, elle avait 16 ans).
Une question me tracasse.
Est-ce que Marguerite a un slip sous son kilt ?
J’angoisse.
« En 1931, Henri Filipacchi s’associe à Jacques Schiffrin, qui a créé les Éditions de la Pléiade et qui envisage de les céder à Gaston Gallimard. Il parvient à le faire changer d’avis et imagine alors la Bibliothèque de la Pléiade »
Mais qui a raison ?
Wiki ou passou ?
Peut-être faut-il creuser.
Avec un sourire, à la demande d’un de nos membres, nous avons décidé d’intégrer xavier-lew, hein, mais vous le savez déjà. Bah, ce n’est pas bien grave, comme nos lycéens (putain, ils sont forts), c’est un humaniste non-socialiste qui aime les chats.
« dont on se demande aussi la raison qu’il eût de s’inviter à la table des Goncourt »
Vos allusions à peine ou si mal déguisées, monsieur Alec, peinent beaucoup notre patron, qui se trouve être aussi votre amphitryon.
Il pensait avoir décelé en vous l’homme d’esprit et de culture, ce rara avis qui tant le ravit, et était même à deux doigts de proposer votre candidature « à titre exceptionnel » auprès de ses commensaux, afin que vous aussi fissiez bombance et vous gobergeassiez aux frais de l’édition princeps.
Et voilà, patatras ! que vous révélez votre vrai visage, hideux, gargouillesque, tordu par un rictus qu’Hugo lui-même n’aurait pu imaginer, une face travaillée par la moquerie et la lésine.
Non, monsieur Alec, vous n’êtes pas ce gentleman qu’ u., eu lui aussi, et dans les grandes largeurs, crut…euh, crût ? voir en vous.
Vous êtes un paltoquet, monsieur.
je ne vous salue point.
Est-ce que vous avez finalement réussi à caser vos articles chez Voici et Gala, xlew.m ?
je me marre: des journées entières dans les arbres avait deux têtes de Turc, u. et Alec, et voilà qu’ils font équipe, hi hi hi.
Bàv
Laissez Journées tranquille, c’est une bonne fille, et il y a Donnadieu sur la photo.
« vous avez vu ce plaid? ma soeur portait ça, elle avait 16 ans). »
comment est-ce peussible?! ! c’est très cheuquant
Hautes-Etudes dit: 15 octobre 2013 à 18 h 30 min
Mais qui a raison ?
Wiki ou passou ?
Wiki confirme ce qu’écrit Passou. Il suffit de regarder la bonne entrée. Voyez qu’il n’est pas question de Filipacchi :
En 1931, un jeune éditeur indépendant, Jacques Schiffrin des éditions La Pléiade/J. Schiffrin & Cie, crée une collection innovante : la Bibliothèque de la Pléiade dont le nom évoque tout à la fois la constellation et le groupe des poètes du xvie siècle. Schiffrin père souhaitait offrir au public des œuvres complètes d’auteurs classiques en format poche compact… André Gide et Jean Schlumberger, créateurs de la Nouvelle Revue française (NRF), s’intéressent au travail de ce nouvel éditeur et intègrent cette collection aux éditions Gallimard le 31 juillet 1933.
Jacques Schiffrin est licencié de Gallimard en 1940 à cause de sa judaïté. C’est alors Jean Paulhan qui prend la direction de la collection.
Wer erinnert sich noch an LML ? dit: 15 octobre 2013 à 18 h 13 min
Traduiseztout !
Oui mais après il y a « Jeden Abend brennt sie » on sait pas si c’est la lanterne ou si c’est Lili…
Les comices sont un phénomène bien français, généralement destinés à écouler de la marchandise gavée d’hormones.
H.L. dit: 15 octobre 2013 à 18 h 53 min
J’avais vu,
il me paraît très étonnant qu’il ne soit pas fait référence à cette association qui a forcément eu lieu.
La fiche Pléiade est peut-être sponsorisée par Gallimard.
Elle ne veut sûrement rien avoir à faire avec ce suppôt de Hachette.
Je doute toujours.
« Il suffit de regarder la bonne entrée. »
Argument de poids.
Philippe Régniez dit: 15 octobre 2013 à 18 h 58 min
Les comices sont un phénomène bien français, généralement destinés à écouler de la marchandise gavée d’hormones.
M. Régniez, vous m’inquiétez.
On commence par cracher sur les comices, qui pourtant ne mentent pas, on finit par chier dans la casquette du maréchal Pétain.
» on sait pas si c’est la lanterne ou si c’est Lili… »
Tu chipotes, Sergio. N’était l’indéfectible solidarité entre détenteurs du PPL ex-TT (t’as songé à passer ta visite bisannuelle Sergio ?), je te soupçonnerais de faire l’âne pour avoir du son, ou de mettre la charrue avant les beoufs, comme disait màc.
Sauf si tu envisages une prose au Poppée, comment veux-tu que ton lampadaire « oublie » qui que ce soit, et surtout la sublissime Marle(e)n(e) ?
Bon, ça ira, ça ira pour cette fois.
Lorsque j’ai parlé de cette histoire chez les Dix
mâtin..
bien français, généralement destinés à écouler de la marchandise gavée d’hormones
toi meussieu t’es un marrant t’es pas au jus du pot belge..mais ça va bien alleye..personne ne t’en voudra
y’a un bon film belge zouzou qu’est sorti récemment la dessus..un éleveur de bbb
aprés nonos oublié on enchaine on enchaine
Traduiseztout ! dit: 15 octobre 2013 à 19 h 26 min
faire l’âne pour avoir du son
Ha ça c’était bien, dans le blog à Brighelli c’était l’antienne, parfois on complétait mais c’était pas forcément nécessaire. Et alors l’intérêt c’est que c’est une formule pour des immensités rurales comme nous et des adjoints au maire comme dirait Renaud.
Mais Lili Marlen là l’intérêt il était encore plus triple parce que tout le monde la chantait, ami, ennemi, neutres, ceux qui avaient pas encore déclaré la guerre, ceux qui en étaient sortis… C’est une exception culturelle, ach du lieber Gott !
« C’est rare, un observateur de la chose littéraire qui ose parler des Prix sans les réduire systématiquement à la corruption, aux magouilles et aux manœuvres. »
Ah,oui, c’est rarissime. Surtout à la radio !
Quel poseur, çui-là !
le prix du livre ? 16,06 euros
Et Marguerite !
Virez-moi ce souvenir photographique pénible.
Après l’électron libre, il fallait remettre
les particules dans l’accélérateur !
Ordonnangement.
Ah mais Polémikoeur,
à table il manque le couvert de » l’ami public N°1″
Sylvie Ducas, elle mériterait de faire un tout au 36, un petit interrogatoire serré, pas un truc du genre :
« je me suis empressé de lui demander quelles étaient ses sources »
un tour au 36, sur le même quai.
« les archives des Dix conservées à Nancy, plus précisément le carton 4Z122 »
Sergio, c’est pas le moment de rester en terrasse du Foy sur la place Stan’ et la mobylette sur trépied.
Il faut nous en dire plus sur ce carton.
des journées s’il fallait virer tous les souvenirs photographiques pénibles les écrivains et écrivaines disparaîtraient de ce paysage pas qu’on vote pour le culte des personnalités en tous genres mais tout de même…Marguerite celle-la là a bercé mes 20 ans, bon ou mauvais ingrédient de base? That’s a question.
Bérénice, le mauvais ingrédient sur la photo, ce n’est pas Marguerite !
Passou écrit : » « Son enquête, lancée dès 1998 dans le cadre d’une thèse de doctorat sur la reconnaissance littéraire, vaut surtout par son ton dépassionné et ses jugements équilibrés, chose rare s’agissant d’un sujet qui suscite le plus souvent la polémique. » « Jugements équilibrés »… »ton dépassionné. ». bien.. ; la distance universitaire.. magnifique !…mais attention… j’espère bien quand même que ca continuera à susciter polémiques sur polémiques parce que le choix parmi plus de 3OO romans français est déjà sujet à polémique.. car si on regarde le passé du prix Goncourt, il y a eu des grandes années magouille…splendides… il ne faudrait quand même pas l’oublier.je sais.. je sais… aujourd’hui.. tout ça est fini.. tout ça est devenu propre impeccable, régulier, transparent, nickel chrome, vertueux comme c’est pas possible. !.. il y a eu un coup de baguette magique….tant mieux… c’est soudain ..non, il ne faut pas y aller trop fort dans ce sens là. .Et oui je pense que de Julien Gracq à Aragon,la vitalité et l’importance des Goncourt tiennent justement aux polémiques, aux scandales.. aux démissions soudaines.. aux protes claquées…et aussi aux soupçons d’influences..….la vie littéraire n’est faite que de passions, et de batailles d’éditeurs par jurés interposés…. ça bouillonne comme la vie politique . ne nous privez pas de ça..c’st la dynamique et l’existence même..du Goncourt qui est en jeu…si tout est honnête.. quel ennui..car personne ne sait qui a écrit le meilleur roman de l’année.. si.. quelqu’un..le Temps..mais faut etre patient..
des journées excusez j’ignorais que ce blog était subventionné par le RPR. Quoiqu’il en soit des temps qui se troublent et des amitiés incompréhensibles il me semble qu’après Mitterrand le monde politique continue de métastaser.
Chaloux dit: 15 octobre 2013 à 19 h 55 min
Clopine, presque toutes vos raisons sont excellentes mais vous ne devriez pas partir.
cheuloux a décidé de ne plus partir!..ses raisons sont tarabiscotés..
Virez-moi ce souvenir photographique pénible
c’est pas popo..zukerbèregue l’interdit..en plus phil est sur la liste des amis.. »kurkurk » qu’il fait l’enculé de zukerbèregue
Bérénice, on y va très doucement, à voix douce et feutrée. C’est pas parce que Marcel repeint ses cathédrales couleur polychrome, que le crime proustien est oublié.
http://www.franceculture.fr/emission-du-cote-de-chez-drouant-le-goncourt-de-1979-a-2002-2013-08-24
Pfeuhh, Bérénice si j’ai offensé votre tonton, je ne m’en excuse même pas.
recevoir Marguerite n’est pas ce qu’il fit de pire, à présent toutes sortes de personnalités circulent à l’Elysée la démocratie se démocratise ouvre ses portes pour que chacun puisse trouver son Dieu sa Déesse et s’enorgueillir le soir au fond de sa chapelle.
Passou, vous commencez sérieusement à me botter! Excellent billet. Kiossef et Morlino sont aussi en train de remporter mes suffrages. Désormais trois « républiques » à mes yeux tiennent la corde.
C.D.
Ces histoires de prix, magouilles ou pas, gros sous ou pas, spécialité française ou pas, le lecteur qui lit s’en fout. Les prix n’ont aucune influence sur ses choix. C’est au-dessous de la dignité de la littérature, de sa dignité et, pour tout dire, au-dessous de l’étiage. Toute distribution de prix est, par définition, grotesque et infantilisante.
des journées entières dans les arbres dit: 15 octobre 2013 à 20 h 27 min
c’est pas le moment de rester en terrasse du Foy sur la place Stan’
Mais bien sûr que si ! Les affaires culturelles, c’est justement pile au-dessus du Foy qu’elles sont, je les connais tous c’est eux qui me filent leur galerie avec préméditation. Donc Passou, quand il viendra chercher ses sacs d’or pour payer les homards chasseur chez Drouant, je l’attendrai en bas sur la terrasse camouflé en homme normal, et là on verra bien comment il tient la mirabelle…
C’est le lapin qui est chasseur, Sergio. Le homard est à la nage. Il faut sortir un peu des Routiers pour bikers. Ne le prenez pas mal. Moi aussi j’aime les moteurs et même les turboréacteurs double flux. Je vous comprends en partie.
J’ai beaucoup aimé François Mitterrand et son époque. Je considère que ce fut là l’apogée de la grandeur républicaine de la France. Ceci montre que je ne situe pas la grandeur républicaine de la France au niveau de questions purement économiques.
D. dit: 15 octobre 2013 à 23 h 51 min
Le homard est à la nage
On s’en met partout, alors ? Vaut mieux pas y aller avec des créatures…
…
…on tourne en rond, on se retourne en rond,…
…de page en page,…je les tourne et les retourne dans leurs fardes d’Ô,…
…Click,…Clack,…j’en retire une page,…à copier/coller sur le scanner,…Non pas la peine,…au prix de l’encre,…se garder de développer des essais à perte,…
…
…Oui,…s’en tenir à ses bourses,…pour éviter l’obsolescence programmée à en jouer sur la » de droite « , de l’avenue,…par nécessité de pratiquer l’éveil des services sous contraintes économiques,…
…la communication par les livres différenciés,…une vue en 3D,…pour en avoir été et » de gauche « ,…de la même aveux-nue,…
…l’€urope et à ses trottoirs bienvenus » comme chez nous « ,…
…la macque-€uro-Ô économie sociale,…
…la servilité aux impostures et corruptions des services sous contraintes économiques,…
…
…une raison adroite encore gauche,…pour économisez la vie,…avec nos fortunes à la roulette-russe,…B.B.,…Ah,…Ah,…Ah,…
…un bon coup pour moi,…Click,…un coup pour toi,…Clack,…au culte,…vint-âge,…
…
…le peuple se plait aux spectacles,…nous les tenons par leurs esprits et leurs coeurs,…
…après,…le peuple salit par les privilèges des adroites fortunes sur les » dos à dos » des gauches, mises à nues,…poils au cul,…etc,…avec la loupe en main,…rien à redire,…un travail adroit profond,…etc,…
…Oh,…Oh,…etc,…Bip,…Bip,…un jour,…Bip,…Bip,…toujours,…
…queue du plaisir littéraire,…un aval adroit de Gond-cour-la-joie,…et en…accélérateurs de particules,…
…
…un dessein corporatiste le croissant à l’X Expresso,…en godes-est private-lunch,…
…que du bonheur,…
…la transhumance du portefeuille à la vapeur,…etc,…
…elle est bien bonne,…etc,…à l’expresso,…Da-Da & C°,…envoyez,…le saut-biquet,…Stop,…Ah,…Ah,…
…
« on finit par chier dans la casquette du maréchal Pétain. »
Non ! Dans le képi, à la rigueur, pour notre Maréchal perdu ! S’il faut emplir une casquette, ce sera celle de cet écrivain dont le petit livre fut beaucoup lu, et hystériquement agité, à une époque de grande lucidité collective : Mao Zedong.
Desmedt dit: 15 octobre 2013 à 21 h 22 min
« Kiossef et Morlino sont aussi en train de remporter mes suffrages. »
Georges Anastasie Kiosseff aime le jazz, c’est un spécialiste du genre, doublé d’un taulier bourré de qualités dont l’ouverture d’esprit nécessaire à la tenue d’un blog musical désertique.
Un homme au goût sûr !!! Aucun de mes commentaires sur une des musiques que j’adore n’a tenu chez lui plus de 15 minutes. Jugement pertinent, nerveux, sanguin, ouvert ! un prince du ciseau … certainement colérique.
EXCLUSIF
L’hymne des Dix du Jury Goncourt, chanté chez Drouant depuis les origines.
(Chef de Chœur, Passou, paroles Marguerite Duras)
Chevaliers de la Table Ronde
Goûtons voir si le livre est bon
Chevaliers de la Table Ronde
Goûtons voir si le livre est bon
Goûtons voir, oui, oui, oui
Goûtons voir, non, non, non
Goûtons voir si le livre est bon !
Goûtons voir, oui, oui, oui
Goûtons voir, non, non, non
Goûtons voir si le livre est bon !
50 000 francs au milieu des années 80, c’est beaucoup et c’est peu. En tant que coopérant civil, j’eus droit pendant 6 mois à 20 000 balles mensuels en 85. Jamais été si riche.
La République était naguère bonne mère, malgré la crise. Elle est devenue une harpie, une ‘weird sister’.
Dura lex, sine Duras…
Je n’en finis pas de m’étonner que le prix Goncourt n’ait pas, depuis longtemps, été rebaptisé prix Congourd. Cela tend à prouver la rareté des lecteurs sérieux dans ce pays.
Le prix Goncourt, c’est comme le label rouge. « Tu vois, le chapon que je t’offre il a eu le prix. » Des facilités pour Noel et le jour de l’an. Une justification pour ceux qui n’y connaissent rien. Celui qui offre n’a pas lu. Celui à qui on offre ne lira pas. D’ailleurs, le livre n’a aucune importance, c’est le bandeau qui fait tout.
Lisez La Première Pierre de Pierre Jourde.
C’est le prix Chaloux.
JB c’est plutôt le prix Consgoure.
20 000 balles mensuels
une misère, un coup des socialos
Méditerranéen pastissant, solidaire de la Bretagne malgré le nombre d’ivrognes joyeux qui s’y épanouissent, je recommande l’achat pour la Noël d’un best seller publié le 24 janvier de cette année, qui devrait obtenir un franc succès, pour sa qualité exceptionnelle.
Il va de soi qu’un cadeau pareil à une belle-mère continentale, disons vivant à l’intérieur des terres, ne peut qu’animer un dîner familial de la meilleure façon …
En outre, c’est original et ça change du Kroncourt.
ANNUAIRE DES MAREES 2014
Auteur : Collectif
Editeur : Epshom
Date de parution : 24/01/2013
EAN13 : 9782111283350
Genre : Vie pratique & Loisirs
Langue : français
Format : 295x210x13
Poids : 667g
Prix : 21,58 euros
qu’est-ce que t’es marrant jicé on est plié en huit, c’est la preuve que t’existes
Je suis sérieux comme un juré….
Allons, Pierre Assouline ! si François Miterrand s’est déplacé en personne, pour régler une question « comptable » aussi dérisoire, c’est bien qu’il avait de son côté une requête à formuler, non ?
Mon point de vue sur la rentrée romanesque, toujours ici : http://joelbecam.blog.lemonde.fr/2009/09/01/la-rentree-romanesque/
qu’est-ce que t’es marrant jicé on est plié en huit, c’est la preuve que t’existes
jicé il est toujours a faire d’l’ontologie
Cela tend à prouver la rareté des lecteurs sérieux dans ce pays
..pépèpe..il peut pas avoir trop de lecteur d’essèption jean marron..sinon c’est pus des esseptions..et deuz, tu peux pas ête lécteur d’esspetion avec cheuloux, c’est contre la troisième loi de la thermodinamique..faut tout te dire
C’ est le bande haut qui fait tout…
Ah ce Chaloux!!!
Il peut être cocasse de confronter la liste des lauréats du prix goncourt avec celle du livre inter-décerné par des lecteurs,comme chacun sait-,et s’il faudrait être de mauvaise foi pour affirmer que les lecteurs couronnent des oeuvres plus estimables que celles couronnées par les professionnels de l’académie Goncourt,on peut,néanmoins,se demander pourquoi la diversité des éditeurs primés est bien plus grande pour le livre inter qu’elle ne l’est pour le goncourt,sauf à dire que la meilleure littérature a quasiment toujours été publiée par les trois mêmes éditeurs…,et quand on voit-c’est un exemple- qu’en 1994,le goncourt avait choisi van cauwelert alors que le livre inter avait,lui,primé bober,on est un peu dubitatif…on pourrait souhaiter que le jury du goncourt soit une jury tournant et ne siégeant qu’une fois,ça ferait taire bien des suspicions,il me semble.
une jury tournant
..tournante
toujours a faire d’l’ontologie
il s’y connaît en Dasein
« faire taire des suspicions » c’est bien aussi
JC L’annuaire des marées est gratuit et disponible dans tous les OT de plus il n’indique pas la vitesse des vents alors à quoi bon? Avez-vous l’intention d’aller à la pêche aux moules toute cette année afin de noyer votre désespoir politique dans les trous d’eau?
uuuu. dit: 16 octobre 2013 à 9 h 05 min
Reste à ce niveau d’esprit, quadruple u, sinon j’abaisse ta côte.
Ta cote.
de nota t’es un démocrate..et j’approuve..et même on pourrait faire une grosse loterie comme préconisé par les grecs pour la renouveler..expert..ploucs..hazard..c’est que des ressources a esploiter pour prouver que jicé exisss au finiche
uuuu. dit: 16 octobre 2013 à 9 h 42 min
toujours a faire d’l’ontologie
« —il s’y connaît en Dasein »
Attention, triple u, attention!
Alors que le sujet proposé explose l’actualité je suis assez surprise par la mollesse du flux distendu, serait-ce qu’un mouvement s’empare à la grève des non syndiqués littéraires et de l’inimaginable érudition des membres siégeant à droite du père à gauche de la mer et au dessus de tant de contingences que les esprits planent tels des aigles un jour d’hiver sec et gelé sur les cimes de l’Atlas?
Bérénice, holà ! Quel désespoir politique ? Aucun ! On s’amuse comme des fous à jouer dans cette pièce interprétée par la charmante troupe de Théâtre de Marionnettes de Solferino, conduite au sommet par un prof d’allemand, et dynamisée dans les entreprises par un avocaillon au menton mussolinien … !
PS : Pour la pêche, retirer les moules de leur milieu naturel est écologiquement criminel, vous ne parlez pas sérieusement j’espère ?!
Il faut bien manger un peu!
bérénice « désespoir politique »
si vous retirez au grincheux sa manie de postilloner,il ne lui reste plus que le vide absolu de sa vie de frustré
« j’abaisse ta côte »
ça donne à réfléchir
Il y a deux siècles et vingt ans, le 16 octobre 1793, Marie-Antoinette était guillotinée pour trahison et supposé inceste sur son fils … Fouquier-Tinville, serviteur de la gueuse révolutionnaire, n’avait pas lésiné sur les reproches, fondés ou non : il fut un excellent serviteur de l’Etat.
Quelle heureuse époque où tout était possible et où le changement c’était pour demain matin de bonne heure ! Vive la Reine !
Attention, triple u, attention!
c’est la quadrature du cercle
Vive la Reine
le bouffon réclame la royauté
Passons sur le Roi Louis, au cerveau si léger ….
(je ne sais pas vous, mais la rentrée littéraire est un phénomène, certes important pour une petite coterie, mais dont on se tape joyeusement eu égard à la montagne de livres déjà publiés, généralement en attente de lecture pour des raisons diverses … A demain !)
mais non. Gide a convaincu Gallimard de se payer la Pléiade (et Schriffrin) parce qu’il était dedans, si l’on peut dire, et de son vivant. Pour le reste, vraie fausse bonne idée pour vitrines de notaires. La greluche du livre n’osera jamais l’écrire.
Comme Mitrand aurait refilé le goncourt à Chardonne, sans vote. Et ceux qui contestent prennent un contrôle fiscal dans le dentier.
La rue des Goncourt est construite à Nancy sur un cimetière mérovingien.
Bloom, 20000 mensuels, vous avez coopéré au japon. c’était le tarif pour pas rester drieussec.
trop sensible le bouffon de pq ne supporte pas la critique-
(Alors que ses parents sont enterrés au cimetière de Gentilly (13e arr.), Patrice Chéreau sera inhumé au Père-Lachaise, du côté de l’entrée principale, boulevard de Ménilmontant, vers 13h 30…)
Cent!
baroz, vous êtes allé ré-enterrer Cocteau ? Bine sympa, le Bergé dansant sur le touite à droite.
Oui, Phil, très intéressant le papier de mon copain Gérard Lefort dans Libération !
Salut à Marie-Antoinette!
Cette jeune écervelée sera parvenue à la fin de sa vie à percevoir avec beaucoup de profondeur le désastre politique dans laquelle elle avait été jetée.
L’ingéniosité dans les tortures déployée par le geôlier (le savetier Simon) pour obliger l’enfant à déclarer qu’il avait couché avec sa mère (il est mort de ces sévices) constitue une lecture recommandable pour tout républicain (j’en suis)!
indeed c’est du bien troussé, baroz. mais bon, peut pas encore tout se permettre avec « l’homme d’affaire, actionnaire de libération ». faut être patient.
Jacques Barozzi dit: 16 octobre 2013 à 11 h 14 min
mon copain Gérard Lefort
Auto-cirage de pompes barozzien.
« trop sensible le bouffon »…
« Auto-cirage de pompes barozzien. »
Parmi les innombrables particules qu’attire ce générateur, certaines sont de très basse intensité.
L’individu exprimant des vivats pour la Reine de France décapitée n’est pas des nôtres.
Nous, c’est le Poitou ! Notre reine y demeure en attente d’un destin national. Etêtée frauduleusement par la princesse Martine du Nord, et ses larbins, elle attend un geste du père de ses enfants …
Tous nos espoirs sont poitevins et cette ile est notre Château d’If !
Nous, c’est le Poitou !
vous pouvez toujours persiffler, SR est tout sauf stupide et inefficace, contrairement à son prédécesseur
très basse intensité.
c’est la crise
Pas terrible, le troll d’u. et JC.
Pas le Japon, Phil, le Bengale, d’où vient Jhumpa Lahiri, déjà prix Pultizer, et peut-être bientôt Booker Prize, dont le New Yorker de cette semaine affiche le très beau visage.
Dans le même numéro, un excellent article de sur les relations entre Philip Roth et ses maîtres et amis, Kundera, Bellow & Updike, dû à l’alerte plume de Claudia Roth Pierpoint (aucun rapport de parenté). Où l’on apprend que Kundera, ne parlant pas l’anglais, dépendait des traductions de sa femme, Vera, pour communiquer avec le créateur de Portnoy. Ménage amical à trois (au moins). Un détail à ajouter au misérable petit tas de secrets dont sont si friands les biographes.
http://www.newyorker.com/reporting/2013/10/07/131007fa_fact_pierpont
« Un détail à ajouter au misérable petit tas de secrets dont sont si friands les biographes. »
Nous vendons vos bassesses. A vous d’être respectables.
…
…fusée de service en papier,…maquette dépliée du livre,…sur mesures à l’échelle,…
…
…un Goncourt pour » bourreaux des coeurs « ,…un livre adroit,…
…
…pour notre J.C.,…en manque de vif-argent au mercure de France à droite de la vie en Swan,…rondelles de bouches à oreilles,…
…
…un Con-court de Gauche à Droite,…ou des Droites à Gauches des aveux-nus,…
…
…Le Musée des Supplices,…édition du manoir,…en réédition sur papier de Hollande aux €usos à l’Ô de Colle-Ô-gnole,…près de Trêve en Vente-dé,…
…
…des supplices bien de chez-nous à deux balles,…le témoins à droite sans lâcher le bâton du Berger au maréchal à droite de la marée-chaussée nous promet avec habilité,…peut mieux faire,…
…n’en doutons pas le moutons s’ébats,…l’humanisme à la frech-économie saignante Ha-Ha-,…à l’ail,…
…
…con-cours de bourreaux, aux municipales,…emploi garantis » longue-durée « ,…cuisiniers-et commis admis les mains-propres à cols-blancs,…
…les bain-marie garantis cinq ans,…métal d’Arc des Jeanne en pucelle Métropolis du Pape,…Grand-Cru en Bavière sur Gironde-Bosch,…etc,…Ah,…Bip,…d’Hermès,…cuir DE lune aux €uro’s garantie,…Stop,…etc,…
…Oui, c’est fort,…
« dont le New Yorker de cette semaine affiche le très beau visage. » (Bloom)
Eh oh.
Mollo, les pulsions asiatiques.
Le visage de Ruth Ozeki est beau aussi!
Bon, les deux dames ont été remerciées.
Leçon d’understatement:
Tranquille and tranquillisé (oh la mauvaise version)
« I don’t want it to sound tranquil to the point of tranquillised (Macfarlane said) because it wasn’t that. We brought pressures to bear on the novels but it was a very happy process. »
C’était coton, mais le jury n’était pas cotonneux.
@12 h 10 min
jcü vole trop haut
…
…je vous est compris,…
…
…les supplices qui n’en laisse rien paraître,…un art dans la continuité,…etc,…
…
« Cette année-là, on a donné Duras
..avec bien du piment, du vin californien et de l’achard de mangue ça doit ête comme manger chez kabloom..phil se resserre pas mais il finit son assiette
le cénacle des dix ça fait trop christie..ça tire a la courte paille en tournante..
phil se resserre pas
si si..je note
« prétentions auctoriales »
il se revendique littéraire quoi..clopine sait faire modeste et plus simple
Chez ces dix actants auctoriaux, sauras-tu trouver le noeud?
Des côtes de Duras, j’en ai bu, c’était pas mauvais du tout.
indeed Bloom, au Bengale avec 20000, y’a de quoi jouer le maradja, manière Sabu qui joue à la Korda. Le goût de la mangue au foie gras vous est venu en coopérant. une nouvelle référence pour baroz à mettre dans son goût de la dinde. Tout ça, of course avant de lire le scorpion de Bouvier, reluctant of ceylan.
Encore un Roth qu’est pas cousin. diable, on s’y perd. Kundera déprime la populace autodéprimante germanopatine.
mais les europecentraliens savent écrire moins déprimette totomatique. Zilahy par exemple, aux oubliettes aujourd’hui, because pas assez de cousins.
Heureusement que les pauvres émigrés illégaux viennent distraire les futurs chômeurs de l’effondrement de l’emploi et des problèmes réels du pays.
Tous ensemble, un seul Désir : SAUVEZ LEONARDA !….
Comme souvent, un article de velours qui finit sur un coup de griffe… C’est d’ailleurs ce qui sauve Passou à mes yeux : les louanges qu’il dispense aux passables gloires du jour ( par politesse, respect des confrères ou conscience de la difficulté du métier) sont souvent des critiques déguisées, d’autant plus venimeuses qu’elles prétendent ne s’attaquer qu’à des détails.
les pauvres émigrés illégaux
la mère à JC a tout de suite trouvé à bosser dans les bars à marins su’l port
la Valls à la Sarko, drôle de danse, à faire vomir
Phil dit: 15 octobre 2013 à 16 h 08 min
passou, votre porsche est mal garée.
Effectivement, malgré les apparences trompeuses, puisque vous ne conduisez pas, il me semble qu’un parking vous encombre, alors même que vous n’avez pas de voiture, curieux non!?
« la Valls à la Sarko, drôle de danse, à faire vomir »
La danse du ventre chez les africains, tentée par la hollandaise entretenue, est bien plus poilante et inspire un respect républicain de la part de tous les chorégraphes avertis.
15 h 31 min
tu causes comme tes potes marine et jean-luc m
t’écris comme marcela: t’as des chances pour le prochain prix
La danse du ventre chez les africains, tentée par la hollandaise entretenue, est bien plus poilante et inspire un respect républicain de la part de tous les chorégraphes avertis.
danser est vil
Béjart, comme c’est Béjart ! …..
merci frère de ton soutien je te revaudrai ça
le bouffon est nuancé, il déteste encore plus les Africains et les socialos qu’il déteste les Roms
Marie-Antoinette, Marie-Antoinette… Elle séduisait tout le monde même les rouges avec des bonnets phrygiens à oreillettes, on se demande comment elle a fait pour pas s’en sortir…
Littérature…
Elle causait français avec un accent autrichien, sergio. Les Français qui sont nuls en langues étrangères ont cru entendre un accent prussien. Il aurait fallu plus de Lorrains dans le peuple de Versailles pour les éclairer.
Littérature suite…
http://www.youtube.com/watch?v=7JLgKUAsNm0
« comment elle a fait pour pas s’en sortir… »
Elle s’en est bien sortie, elle aurait pu finir ses jours en Autriche où le climat est affreux.
Et puis la guillotine franchement c’est bonnard, ziou clac et on n’en parle plus.
Au moins elle est morte en bonne santé, tandis que là-bas avec les frimas terribles les risques de pneumonie sont énormes.
Le coup de grâce par définition c’est offert, c’est cadeau. Idem pour le petit mitron, imagine la vie qu’il aurait eu, pire qu’un romano sans papiers. Sans que compter que, quand t’es roi ou reine, mourir sur l’échafaud ça fait partie du métier. Sinon elle aurait cru qu’elle avait pas vraiment été reine, elle aurait pu le prendre mal. On est humain.
Sinon, pour les plus encrés :
http://www.youtube.com/watch?v=oC2nfAJLXZ4
Souhaitons ne pas y laisser trop de plumes.
Rien de plus désagréable qu’une méprise. Par exemple, tout à l’heure, bouguereau va me dire ta gueule keupu alors que je suis pas keupu, c’est désagréable. S’il me disait ta gueule petit con, au moins je comprendrais, c’est pas pareil.
ta gueule keupu..
L’histoire pour les nuls dit: 16 octobre 2013 à 16 h 47 min
Et puis la guillotine franchement c’est bonnard, ziou clac et on n’en parle plus.
Ben non y a des mecs qui se relèvent sans la tête se mettent à marcher font tout un tas de simagrées… Ou alors la tête toute seule qui se met à ronger le fond du panier où on les stocke…
…
L’accent autrichien faut pas croire c’est pas mauvais pour l’éloquence y a qu’à voir oncle Wolf…
se mettent à marcher font tout un tas de simagrées… la tête toute seule qui se met à ronger le fond du panier
ouais mais ceux-là ils savent pas se tenir, une reine c’est autre chose.
le problème en fait c’est pas les prix, c’est la rentrée littéraire.
un prix est censé couronner le meilleur roman de l’année, mais en fait il couronne début novembre le meilleur de ceux qui ont paru en septembre.
Futur…Rutuf
http://www.youtube.com/watch?v=-hDwz72ataQ
Une fille jolie, Marie-Antoinette, et soignée de partout ! Un bijou d’Autriche ! Ces cons là auraient du raccourcir la Duras à la tronçonneuse de Guillotin, au lieu de couper en deux la belle Queen !
Moche comme un pou, Marguerite … on gagnait au change !
Phil dit: 16 octobre 2013 à 16 h 38 min
Il aurait fallu plus de Lorrains
En 986, Louis V a brûlé la politesse à son oncle, Charles de Lorraine. Hugues Capet a doublé le coup un an plus tard, ce qui fait qu’on a eu les capétiens à la place des Guise sur le trône de France.
Every things are possible now :
idle, c’est des acteurs, tes robots.
Every things are possible now
révise ton angliche avant de poster des canulars.
on dit « peussibeul »
Les Guise avaient la lame facile, tandis que les Capets comptaient quelques faiblards dans la tige. ça vous conserve la descendance.
OK; no fael dit: 16 octobre 2013 à 17 h 20 min
idle, c’est des acteurs, tes robots…Et lui c’est un acteur ?
On time :
Mon best robot réussi : Najat Belkacem !
c’est çui qui dit qui ê
« la place des Guise »
A la droite de Satan, en sortant de l’ascenseur.
Pareil pour l’assassin de Guise (le père, pas le fils-qui-paraissait-plus-grand-mort-que-vivant), Jean de Poltrot de Méré.Mais avant, un petit détour par la place de Grève, devant le populo jouant des coudes, comme sur la photo à Passou.
S’il voulait voir du pays, Jojo le Méré a été servi, et a eu tout loisir d’admirer le paysage :
« Il est écartelé le 18 mars 1563 en place de Grève (de l’Hôtel-de-Ville, aujourd’hui) devant une foule immense. En tant qu’assassin d’un haut personnage du pays, il a droit à un traitement de faveur. Le bourreau commence par lui arracher des morceaux de chair aux cuisses et aux bras avec une tenaille portée au rouge. L’assistance apprécie l’entrée en matière. Puis l’exécuteur et ses aides attachent chacun de ses membres à un cheval. Et fouette, cocher ! Mais les quatre cavaliers ont beau éperonner leurs montures, le bougre n’a pas l’air de vouloir se laisser démembrer. Il résiste. La foule gronde. Le bourreau sent qu’il lui faut agir sous peine de ridicule, il utilise un long coutelas pour couper quelques ligaments, telle une ménagère découpant une cuisse de poulet. Cette fois-ci, les chevaux parviennent à leurs fins en laissant entendre de sinistres craquements. Mais le spectacle n’est pas achevé. Le tronc gigote sur le sol dans un dernier rappel. Le bourreau met fin définitivement aux souffrances de Méré en lui sectionnant la tête. Il peut rejoindre le duc en enfer… »
L’aile ou la cuisse ? dit: 16 octobre 2013 à 17 h 41 min
« la place des Guise »
Personnellement je ne mange pas de poulet. Mais plutôt de la volaille à ma guise!
Place au jury :
Mais aussi : Mais ose aussi :
http://www.youtube.com/watch?v=P7GHgE8fylQ
Ha la Ligue ça c’était bien… Des sortes de Hezbollah, mais sans l’accoutrement…
Prochain Goncourt :
Les grands chansonniers…Fauconniers…
A Paul Edel de 20.49, Ne vous inquiétez pas, la vertu retrouvée des Dix ne les rendra pas bigots pour autant. On s’amuse autant qu’avant, on s’engueule beaucoup, et des portes claqueront certainement un jour, et il y aura des mots de trop et des votes qui resteront en travers la gorge, comme avant. La différence, c’est que nul éditeur ne nous paiera pour ça. Et puis si la corruption revenait, vous seriez le premier à la dénoncer…
« Des sortes de Hezbollah, mais sans l’accoutrement… »
Disons qu’ils avaient un style plus personnel :
@13h16 mns
http://www.dead.net/sites/default/files/images/19710529_0605.jpg
Passou dit: 16 octobre 2013 à 18 h 35 min
A Paul Edel de 20.49, Ne vous in…OUF, du coup d’un coup une autre vision du monde :
« Et puis si la corruption revenait, vous seriez le premier à la dénoncer… »(Passou à Paul Edel)
Ça signifie que :
1) la corruption a existé
2) si elle revenait, Paul Edel en serait informé (?!)
..ta gueule keupu..
Bon de toutes manières les affaires culturelles au-dessus du Foy sont cernées on peut plus rentrer du tout même par la cheminée tous les CRS jusqu’au Rhin ont été rameutés en hordes ignobles…
Et l’amour dans tout cela :
Besoin de personne :
Les Nancéens, c’est pas des vrais Lorrains, z’ont jamais été annexés par la Prusse, peuvent pas comprendre.
Dites, idle, vous avez l’intention de nous déballer tout YouTube ?
Restons calmes dit: 16 octobre 2013 à 19 h 05 min
z’ont jamais été annexés par la Prusse
Ha mais on a reçu des pélots du Grand-Couronné ! Pas loin du tout… Etablis, qu’ils étaient, indélogeables ! Du soixante-dix-sept surtout… Il y en a un qui est tombé sur la villa Majorelle… A midi ! Dans l’assiette à soupe… Ah les rats !
Restons calmes dit: 16 octobre 2013 à 19 h 06 min
Dites, idle, vous avez l’intention de nous déballer tout YouTube ?
Bon d’accord, tu veux quoi ?
Restons calmes dit: 16 octobre 2013 à 19 h 06 min
Moi, peut-être!
Idle peut-être souhaite-t-il que vous vous illustrassiez ou illustrassiez tout court par d’autres vecteurs, le verbe, le chant, la mandoline?
bérénice dit: 16 octobre 2013 à 19 h 23 min
Ce qui serait étonnant, c’est qu’un commentateur arrive à dire un truc nouveau et intéressant sur la question des prix littéraires…
Bon, je me lance : le Drouant est plus près de la Bourse que de la Bibliothèque nationale, est-ce un signe ?
notez bien, ça pourrait être pire, pourrait y avoir bouguereau.
Salut, bouguereau ! Ça boume ?
« Bérénice, le mauvais ingrédient sur la photo, ce n’est pas Marguerite ! »
… ce n’est pas seulement Marguerite…
allez tous vous faire enculer..vdqs
si tu crois que c’est facile!C’est qu’on n’a pas ton entregent.
Ce qui serait étonnant, c’est qu’un commentateur arrive à dire un truc nouveau et intéressant sur la question des prix littéraires…
TKT,lui,il y arrive,finger in the noze!rien ne résiste à tkt!
bouguereau dit: 15 octobre 2013 à 20 h 57 min
Hep, garçon ! Deux insultes bien salaces, un jugement à la noix et l’addition.
Je suis là sans beaucoup y être, je passe pour lire l’article, et glisser mon petit grain de sel de temps en temps.
Je suis un peu de l’avis de Clopine, le niveau a beaucoup baissé, plats insulteurs, vieux messieurs à couche (faut-il te ranger dans cette catégorie ou dans la première ; ou dans les deux?), beaucoup moins ou plus du tout de vrai dialogue sur la littérature, pour la bonne et simple raison que les gens qui squattent la RDL à longueur de journée n’y connaissent rien. Aucune raison de se gaufrer ici les spécimens qu’on évite soigneusement dans la vie.
Mais tout de même quelques sentiments, l’habitude et une certaine estime pour l’aubergiste et quelques intervenants, font que je reviens de temps en temps.
En espérant, mon gros, que cela ne te défrise pas trop. Ce serait dommage. Toi qui dois être si mignon frisé.
Le Goncourt et ses frères relire :
http://www.evene.fr/livres/livre/pierre-assouline-le-portrait-29398.php
Qu’est-ce qu’elle est vilaine !
ah que coucou idle
http://www.vigi-sectes.org/liste/classification_sectes.html
Quel que soit le prix, si on ne peut pas l’éviter, peut-être faudrait-il se souvenir au moment du vote qu’un bon livre n’est pas un exercice de style plus ou moins réussi, ou l’expression même surprenante d’une individualité. La littérature, c’est l’école de l’humanité et de la liberté. Rien de ce qui sort de ce cadre ne peut prétendre être de la littérature. Rien qu’un ersatz. De ces succédanés, nous regorgeons.
Jacques Barozzi dit: 16 octobre 2013 à 20 h 07 min
Jacques, elle est d’une beauté qui vous échappe. C’est tout le miracle de l’amour.
Restons calmes dit: 16 octobre 2013 à 19 h 26 min
« Les Goncourt étaient déjà entrés au purgatoire. »
http://www.freres-goncourt.fr/BarbierSteMarie/a5Gide.htm
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